#jacques toja
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aramielles · 1 year ago
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écoutez . l’heure est venue . je poste les preuves du couple toja x beaulieu .
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kaantt · 1 year ago
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Casile and her boys
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kabbal · 1 year ago
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Un cadeau pour ma chère @kaantt qui trouvera ceci à son réveil (parce que j'ai pris plus de temps à le finir que prévu)
Beaucoup de tentatives de nouvelles techniques pour cette petite affiche des Trois Mousquetaires (1961) donc j'ai beaucoup appris mais ma main est morte. Plus jamais d'escalier en perspective.
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aramielles · 1 year ago
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JFJDJDJDUD attendez stop regardez mon arrière-grand-père et son cinquième enfant
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Y'a des jours où j'ai envie de desinstaller cette appli voir carrément tout effacer me concernant puis je réfléchis et jme dis que si je fais ça je pourrai plus voir lila et ilo rant sur des mecs morts dont uniquement elles seules connaissent l'existence
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lectures-sur-le-bateau-ivre · 10 months ago
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Sur Tartuffe : adaptations
Commençons donc avec ce qui a le moins à voir avec la pièce, une version écourtée de la pièce, mise en scène par Maurice Béjart en 1981.
Casting : Cléante - Bernard Dhéran, Mme Pernelle - Catherine Samie, Orgon - Michel Aumont, Elmire - Geneviève Casile, Tartuffe - Michel Duchaussoy, Dorine - Virginie Pradal, Valère - Raymond Acquaviva, Damis - Guy Michel, Mariane - Marcelline Collard
Mise en scène classique, mais saupoudrée de Béjart (donc décors un peu spéciaux, maquillage très marqué pour les personnages doubles comme Tartuffe). Super performance de Michel Aumont, qui donne à voir un Orgon complètement hypnotisé par Tartuffe (et c’est là qu’@aramielles me dit que c’est normal d’être hypnotisé par le talent de Michel Duchaussoy). J’avoue que je n’arrivais pas à déterminer si Elmire était un peu intéressée par lui ou si elle était juste extrêmement saoulée (merci m’dame Casile). Une déclaration d’amour à l’acte III qui est désespérée comme je les aime. Oh nevermind ??? Elmire intéressée ??? OH MY GOD. Orgon qui s’agenouille devant Tartuffe et lui baise la main rien que pour lui dire bonjour. Béjart I love you. Imagerie chrétienne homoérotique, on apprécie. Globalement le Tartuffe de Duchaussoy est un bon petit connard manipulateur, il jette un regard méprisant sur Orgon à ses genoux, franchement une excellente pétasse qui sied bien pour le rôle.
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Deuxième version, celle de 1975, mise en scène de Jacques Charon.
Casting : Orgon - Jacques Charon, Robert Hirsch - Tartuffe, Jacques Toja - Cléante, Michel Duchaussoy - Monsieur Loyal, François Beaulieu - L’Exempt, Jean-Noël Sissia - Damis, Bernard Alane - Valère, Denise Gence - Mme Pernelle, Claude Winter - Elmire, Françoise Seigner - Dorine, Catherine Salviat - Mariane, Denise Pezzani - Flipote
Encore une mise en scène classique, on aime. Cet Orgon a l’air un peu con (spécialité de Charon). Tartuffe, coupe au bol absolument ridicule (la laideur comme laideur de l’âme ? C'est un lieu commun que je repère parfois dans Tartuffe, où un Tartuffe moche est souvent joué comme ridicule, alors qu’un Tartuffe qu’on embellit physiquement est joué comme plutôt charmeur). Légèrement précieux, doucereux, on est carrément dans la première façon de jouer le rôle, c’est-à-dire en gros cliché, et on ne comprend presque pas comment Orgon peut être à ce point aveugle pour ne pas voir qu’il est double. Il est aussi carrément graveleux lors de la déclaration d’amour, et franchement il m’évoque plus une espèce de cancrelat qu’on a envie d’écraser qu’un manipulateur de génie (super performance d’Hirsch cependant). Une Elmire magnifique (merci m’dame Winter) et oh ! Un François Beaulieu sauvage apparaît en fin de pièce pour faire L’Exempt.
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Troisième version, de 1960, mise en scène de Louis Seigner (encore une classique).
Casting : Tartuffe - Louis Seigner, André Falcon - Damis, Paul-Emile Deiber - Orgon, Louis Eymond - L’Exempt, Henri Rollan - Cléante, Jean-Louis Jemma - Valère, René Arrieu - Monsieur Loyal, Berthe Bovy - Mme Pernelle, Andrée de Chauveron - Dorine, Annie Ducaux - Elmire, Nagali de Vendeuil - Mariane, Janine Dehelly - Flipote
L’Orgon de Deiber a l’air un peu neurasthénique, sans avoir l’air con il n’a pas l’air complètement dépendant, ça me donne l’impression bizarre que cet Orgon aurait pu se défendre de tout s’il avait prêté un peu plus attention à ce qu’il se passe chez lui (même si Tartuffe, quand on l’accuse une première fois, use énormément d’ironie pour se qualifier de pécheur, et Orgon prend ça premier degré). Tartuffe-Seigner est parfaitement jouissif à regarder, mais on reste exactement dans le schéma classique d’un personnage ridicule. Succulente Elmire, drôle à souhait (merci Annie Ducaux). Bref, ici la bonne vieille pièce familiale, quoi.
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Quatrième version, de 1971, mise en scène de Marcel Cravenne (une autre mise en scène classique)
Casting : Michel Bouquet - Tartuffe, Delphine Seyrig - Elmire, Jacques Debary - Orgon, Luce Garcia-Ville - Dorine, Madeleine Clervanne - Mme Pernelle, Claude Giraud - Cléante, Edith Garnier - Mariane, Bernard Alane - Valère, Jacques Weber (ô surprise) - Damis, Paul Le Person - Monsieur Loyal, Robert Party - L’Exempt, Christine Chicoine - Flipote
C’est marrant, cet Orgon là a plus l’air amusé en début de pièce de Tartuffe, plutôt que de dépendre de lui. Quand on accuse Tartuffe, il réagit plutôt comme si on avait donné un coup de pied dans son chiot préféré. (grmrgmrmg le Cléante de Giraud. Cet homme me rend fou depuis Les Rois Maudits). Petiot Weber, il est pitchoune. Ah, Delphine Seyrig…La fée des lilas à jamais pour moi, mais quelle bonne Elmire (et quelle belle femme jésus seigneur). Un Tartuffe très intéressant, puisqu’il n’est pas ridicule car il n’a pas l’air faux lors de sa déclaration, il a juste l’air un peu dégueulasse ; mais surtout, il brise l’apparent fil rouge de l’interprétation de ce rôle en étant enlaidi par le costume et les postiches, mais en étant totalement manipulateur. 
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Cinquième version, de 1980, mise en scène de Jean Pignol (encore et toujours une mise en scène classique)
Casting : Tartuffe - Michel Galabru, Orgon - Bernard Fresson, Elmire - Yolande Folliot, Dorine - Micheline Dax, Cléante - Pierre Gallon, Mme Pernelle - Germaine Delbat, Mariane - Nathalie Serrault, Valère - Eric Legrand, Damis - Jean-Renaud Garcia, Monsieur Loyal - Georges Montillier, L’Exempt - Pierre Negre, Laurent - Georges Sayad, Flipote - Sonia Laurent
Wow un opening directement sur la petite famille en train de prier avec Tartuffe ? Innovative ! On dirait que Tartuffe est d’abord le dealer d’Orgon parce qu’il est très, très calme au début. Ou alors il est homosexuel, au vu de la façon dont il dit “il venait d’un air doux tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux”. Le Tartuffe de Galabru est bon mais grâce à l’acteur plutôt qu’au rôle lui-même, parce qu’il lui donne justement ce côté double et ridicule (les cheveux bien gras, on pourrait utiliser la moumoute comme friteuse). Opinion tout à fait personnelle, j’aime pas le jeu de Fresson . Et définitivement, Galabru joue beaucoup sur le côté dégueu et graveleux qu’on peut facilement donner à Tartuffe. Une version, ma foi, pas la meilleure, mais pas un échec non plus. 
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Sixième version, de 1997 (retour au Français !), mise en scène de Georges Bensoussan (à quand autre chose qu’une mise en scène classique ?)
Casting : Dorine - Catherine Ferran, Orgon - Jean Dautremay, Mariane - Anne Kessler, Tartuffe - Philippe Torreton, Monsieur Loyal - Igor Tycska, Elmire - Cécile Brune, Mme Pernelle - Nathalie Nerval, Cléante - Christian Blanc, Valère - Olivier Dautrey, Damis - Eric Ruf, L’Exempt - Bruno Raffaelli, Flipote - Stéphanie Labbé, Laurent - Patrick Olivier
Décors blancs, un peu art contemporain, innovative ! Chaque costume est une couleur vive (sauf Tartuffe et Orgon, en noir, et Cléante, en marron), mais qui permet d’identifier immédiatement les personnages et surtout les fait ressortir sur le fond blanc. Jumpscare de Ruf avec une perruque absolument horrible. Aww, mini Anne Kessler, elle est pitchoune. Ô surprise, Ruf a un jeu décent ? (je le respecte en tant que metteur en scène, et je ne m’y connais pas assez en histoire du Français pour dire si c’est un bon administrateur, mais comme comédien…Il m’excusera mais je ne supporte pas son jeu). Je trouve qu’on revient à l’Orgon soit con, soit qui s’en fout un peu en début de pièce. Quoique, on pourrait dire que c’est un Orgon qui commence à développer un autre courant d’interprétation du personnage, celui de la dépendance affective forte (Tartuffe qui lui fait des petites caresses sur l’épaule ???). Dépendance affective de fou ou homosexualité cachée, c’est vous qui voyez. Torreton est jouissif, pétasse à souhait, ironique quand on l’accuse, au physique affreux avec sa perruque graisseuse (leitmotiv chez les costumiers ?). Chose intéressante, la confession de Tartuffe semble désespérée, mais elle est tellement teintée de fausseté qu’on n’y croit pas du tout. Cécile Brune (dieu quelle femme) fait une Elmire hautaine devant Tartuffe que j’A-DORE. Nouveau jumpscare de Ruf qui sort d’une fenêtre cachée haut dans le mur au lieu de sortir d’un cabinet. Bon dieu Cécile Brune, quelle femme, Elmire joue la carte séduction à fond pour l’acte IV. Tartuffe qui commence à se foutre à oilp ??? Ok why not. Costume très très très pailleté pour Tartuffe en fin de pièce. Écoutez, une mise en scène intéressante, des comédiens pas trop tartes, moi je dis que ça fait une bonne pièce.
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Septième version, de 2022, mise en scène Ivo van Hove (youpi ! une mise en scène moderne, histoire de changer un peu)
Casting : Cléante - Loïc Corbery, Orgon - Denis Podalydès, Mme Pernelle - Claude Mathieu, Damis - Julien Frison, Dorine - Dominique Blanc, Tartuffe - Christophe Montenez, Elmire - Marina Hands, Flipote - Héloïse Cholley, et pas de M. Loyal ou d’Exempt ni de Laurent, apparemment ?
Peut-on vraiment dire que je l’ai vue ? Non, je n’ai pas vu cette pièce au cinéma. Mais j’ai des photos et des extraits, de là je pose mon jugement. J’aime beaucoup les mises en scène de van Hove, qui sont souvent minimalistes et font ressortir tout le jeu des comédiens, aussi en posant une sorte de centre de scène où tout se passe. Les costumes noirs tranchent avec la pâleur des comédiens, et le carré blanc en plein milieu de la scène ressemble à un ring où les personnages s’affrontent. Autre lieu commun chez van Hove, on relève la brutalité et la violence et du texte et des personnages en eux-mêmes : tout le monde s’empoigne, se bat, se hurle dessus, c’est une famille complètement disloquée qu’on nous présente. Dominique Blanc en Dorine est parfaite. Corbery est un Cléante désillusionné, à la limite du désespéré de voir son beau-frère comme ça. Julien Frison, lui, campe un Damis qui semble moins furieux, plus un petit garçon qui voit son père s’éloigner de lui. Ma seule question est : comment envisagent-ils la pièce sans Mariane ? Est-elle juste citée ? Le moment très comique entre Orgon et Dorine serait simplement coupé ? Je n’aurais sûrement jamais la réponse, à moins que cette pièce vienne un jour sur le site de l’INA. Marina Hands est une Elmire qui floute complètement la ligne séparant deux interprétations : Elmire qui joue un rôle pour empêcher le mariage entre Tartuffe et Mariane et  confondre Tartuffe à l’acte IV, ou une Elmire véritablement intéressée par Tartuffe. Une scène assez éloquente est visible dans la bande-annonce, qu’on peut replacer justement à l’acte IV, et Elmire ne semble pas beaucoup se défendre d’un Tartuffe qui lui embrasse la nuque. Mais les deux personnages les plus intéressants sont ici Orgon et Tartuffe. Pour Orgon, Podalydès joue complètement sur l’ambiguïté constante entre Tartuffe et Orgon : apparemment complètement dépendant affectif, le “il en va de ma vie” semble très vrai ; et certaines images donnent à penser que van Hove introduit dans sa mise en scène un certain homoérotisme malsain entre ces deux personnages (et encore de l’imagerie chrétienne mise au service de l’homoérotisme, merci m’sieur van Hove). Mais pour moi, le personnage le plus fascinant est Tartuffe (Christophe Montenez mon dieu quel talent incroyable). Si il est dans “le modèle Jouvet”, c’est-à-dire un Tartuffe charmant, séduisant même, et surtout très sincère dans sa déclaration à Elmire, et qui pense croire à tout ce qu’il dit sur le Ciel, Montenez a une approche différente du personnage. Il est malsain ; quand il rentre dans une pièce, on a comme un frisson de gêne : le costume (chemise blanche, cravate blanche, mais veste noire à certains moments), la coiffure (des cheveux coupés très ras) et le maquillage (qui lui donne une pâleur mortelle et un visage émacié) n’aident pas à nous le rendre sympathique. Le ton doucereux (méprisant lorsqu’il parle à Dorine) contribue à cette impression. Surtout, c’est un Tartuffe violent, qui arrive à l’Acte III la chemise tachée de sang, due à la mortification qu’il s’est imposé (en début de pièce, apparemment ? la bande-annonce ne permet pas de le situer). Bref, une mise en scène brutale et légèrement subversive, typique du metteur en scène, qui je crois serait très intéressante à voir.
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Je vous ai réservé ma mise en scène préférée pour la fin, huitième version, de 2021, théâtre à la table, direction artistique d’Eric Ruf (qui compte comme une mise en scène moderne ?)
Casting : Mme Pernelle - Claude Mathieu, Tartuffe - Eric Génovèse, Elmire - Clotilde de Bayser, Cléante - Hervé Pierre, Monsieur Loyal, Un Sergent, et L’Exempt - Nicolas Lormeau, Orgon - Didier Sandre, Damis - Laurent Lafitte, Dorine - Anna Cervinka, Mariane - Clémentine Billy, Valère - Antoine de Foucauld
C’est pas ma version préférée pour rien : la proximité de la table permet de transformer la pièce en huis clos, les vêtements des comédiens, sombres pour la plupart, permettent de relever leurs visages, et la caméra capture d’autant mieux leurs visages qu’elle est proche. Anna Cervinka est une Dorine hilarante qui tranche avec le sérieux des autres ; le Damis de Lafitte est très abrasif ; Cléante par Hervé Pierre use toujours d’un ton extrêmement raisonnable ; les deux petits jeunes sont un couple prometteur. Comme d’habitude, je me suis concentré sur les trois personnages centraux : Elmire, Orgon, Tartuffe. Didier Sandre, trônant en bout de table en patriarche, est un Orgon qui joue sur son âge pour apparaître peut-être plus fragile, qui s’il est moins dépendant que l’Orgon de Podalydès, lui semble extrêmement attaché ; sa colère à l’accusation de Tartuffe est assez violente. Elmire, elle, si elle n’est absolument pas intéressée par Tartuffe (madame moi je veux bien prendre votre place si vous ne voulez pas de lui), aime jouer la carte de la séduction pour parvenir à ses fins, et disons-le, Clotilde de Bayser est charmante. Et Tartuffe…Là encore, pas mon Tartuffe préféré pour rien. Eric Génovèse reprend un Tartuffe qu’il avait déjà joué de cette manière (je donnerai TOUT pour voir la mise en scène de 2005 de Marcel Bozonnet). Il est tout en douceur, la déclaration à Elmire est MAGNIFIQUE et DÉSESPÉRÉE comme il sait les faire, et il est totalement dans le modèle Jouvet d’un Tartuffe qui croit à 90% ce qu’il dit. Chose que je n’avais jamais vu faire avant, le “je tâte votre habit” et ce qui s’ensuit est joué comme une excuse en mousse, comme s’il n’avait vraiment pas fait exprès de poser la main sur le genou d’Elmire, et qu’il tente de rattraper une bourde faite dans l’émotion de l’instant. Tartuffe mis en opposition d’Orgon dans le placement autour de la table le pose en second maître de maison ; sa réponse à son accusation à l’air tellement sincère qu’on y croirait presque. Retournement de comportement à l’acte IV, regard de braise et scène un peu olé-olé (si sage comparée à la mise en scène de Bozonnet où lui et Florence Viala ont failli faire leur affaire sur scène) ; c’est un autre Tartuffe qui retire son masque, celui d’un homme extrêmement froid et calculateur. Bref, pour moi l’interprétation la plus intéressante (sans prendre en compte mon admiration personnelle pour ce comédien). Une pièce que je trouve “redécouverte” par le biais du théâtre à la table qui donne toujours un éclairage autre. 
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xian-moriarty · 1 year ago
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Le Capitaine Fracasse. 1961. Réalisation : Pierre Gaspard-Huit. Scénariste : Pierre Gaspard-Huit et Albert Vidalie.
Casting : Jean Marais, Geneviève Grad, Gérard Barray, Riccardo Garrone, Anna Maria Ferrero , Danielle Godet, Sophie Grimaldi, Renée Passeur, Joëlle Latour , Louis de Funès, Philippe Noiret, Bernard Dhéran, Sacha Pitoeff, Robert Pizani, Jacques Toja, Alain Saury, Maurice Teynac, Jean Yonnel, Jean Rochefort, Guy Delorme.
Synopsis : Dans son château délabré, le baron de Sigognac héberge une troupe de comédiens avec laquelle il décide de partir car il est amoureux d'Isabelle, l'ingénue de la troupe. Bretteur à la fine épée et saltimbanque par amour, il se fait appeler sur scène le « Capitaine Fracasse ». Mais le duc de Vallombreuse, devenu le rival amoureux de Sigognac, est prêt à tout pour se débarrasser de lui et ravir Isabelle.
Plaisir de Visionnage : Adaptation très fidèle du roman de Gauthier ! Si vous n'arrivez pas avec le livre, regardez ce film. Un pur moment de plaisir ! Avec Jean Marais toujours parfait. Note : 5 chats.
Disponibilité : Existe en DVD.
Bonus Point Chat : Le Baron a un chat, comme dans le livre ! Plus un chien et un cheval. Note : 3 chats.
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alexlacquemanne · 4 months ago
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Juillet MMXXIV
Films
Le Comte de Monte-Cristo (2024) d'Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte avec Pierre Niney, Bastien Bouillon, Anaïs Demoustier, Anamaria Vartolomei, Laurent Lafitte, Pierfrancesco Favino, Patrick Mille, Vassili Schneider, Julien de Saint Jean et Julie de Bona
La Jalousie (1976) de Raymond Rouleau avec Daniel Gélin, Nicole Calfan, Jacques Toja, Annick Alane, Marc Eyraud, Anna Gaylor, Françoise Pages et Francis Lemaire
Maestro(s) (2022) de Bruno Chiche avec Yvan Attal, Pierre Arditi, Miou-Miou, Pascale Arbillot, Caroline Anglade, Nils Othenin-Girard et Caterina Murino
The Truman Show (1998) de Peter Weir avec Jim Carrey, Ed Harris, Laura Linney, Noah Emmerich, Natascha McElhone et Holland Taylor
Un crime dans la tête (The Manchurian Candidate) (1962) de John Frankenheimer avec Frank Sinatra, Laurence Harvey, Janet Leigh, Angela Lansbury, James Gregory, Lloyd Corrigan et Leslie Parrish
French Connection (The French Connection) (1971) de William Friedkin avec Gene Hackman, Fernando Rey, Roy Scheider, Tony Lo Bianco, Marcel Bozzuffi et Frédéric de Pasquale
To The Moon (Fly Me to the Moon) (2024) de Greg Berlanti avec Scarlett Johansson, Channing Tatum, Nick Dillenburg, Anna Garcia, Jim Rash, Noah Robbins, Colin Woodell et Christian Zuber
Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) de Jean Girault avec Louis de Funès, Michel Galabru, Jean Lefebvre, Christian Marin, Guy Grosso, Michel Modo, Geneviève Grad, France Rumilly, Nicole Vervil et Claude Piéplu
La Marseillaise (1938) de Jean Renoir avec Pierre Renoir, Louis Jouvet, Lise Delamare, Andrex, Edmond Ardisson, Nadia Sibirskaïa, Jenny Hélia, Gaston Modot et Julien Carette
Un éléphant ça trompe énormément (1976) de Yves Robert avec Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux, Danièle Delorme, Anny Duperey, Martine Sarcey et Marthe Villalonga
Le Gendarme à New York (1965) de Jean Girault avec Louis de Funès, Michel Galabru, Jean Lefebvre, Christian Marin, Guy Grosso, Michel Modo, Geneviève Grad et Alan Scott
Le Secret de Green Knowe (From Time to Time) (2009) de Julian Fellowes avec Alex Etel, Timothy Spall, Maggie Smith, Christopher Villiers, Pauline Collins, Eliza Bennett, Rachel Bell, Dominic West et Carice van Houten
Raoul Taburin (2018) de Pierre Godeau avec Benoît Poelvoorde, Édouard Baer, Suzanne Clément, Vincent Desagnat, Grégory Gadebois, Victor Assié et Timi-Joy Marbot
Nous irons tous au paradis (1977) de Yves Robert avec Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux, Danièle Delorme, Marthe Villalonga, Jenny Arasse, Christophe Bourseiller et Josiane Balasko
Drôle de drame (1937) de Marcel Carné avec Françoise Rosay, Michel Simon, Louis Jouvet, Jean-Pierre Aumont, Nadine Vogel, Pierre Alcover et Jean-Louis Barrault
French Connection 2 (1975) de John Frankenheimer avec Gene Hackman, Fernando Rey, Bernard Fresson, Philippe Léotard, Ed Lauter, Charles Millot, Jean-Pierre Castaldi et Cathleen Nesbitt
Le Gendarme se marie (1968) de Jean Girault avec Louis de Funès, Michel Galabru, Jean Lefebvre, Christian Marin, Guy Grosso, Michel Modo, Geneviève Grad, Claude Gensac et Mario David
Totally Spies! le film (2009) de Pascal Jardin avec Claire Guyot, Fily Keita, Céline Mauge, Jean-Claude Donda, Karl Lagerfeld et Emmanuel Garijo
Séries
Maguy Saison 6
Quitte ou rouble - Séparation de survie - L'injuste prix - Une nièce rapportée - Une occase en moins - Météo et bas - Une Maude passagère - Bénévole d'essai - Tata poule - Des routes en déroute - Débat des eaux - L'ami gratteur - Pinceaux périlleux - Termite errant - Troubles de la télévision - Étrennes à la traîne - Mégarde à vue - Golf: heurts - Mépris de Rome - Le rappeur sur la ville - Jaloux y es-tu ? - Clochard abstrait - Affreux d'emploi - Un clown chasse l'autre - Adamo.. tus et bouche cousue - Passe-moi le recel - Fissures la corde raide - Écoutes que coûte - Le carton de la plaisanterie - Un fils à la patte - Mur… aïe ! - Désaccords de guitares - Une mage d'histoire - Compagnons d'alarmes - Despote au feu - Dernière cartouche au tableau - Des pots en dépôt
Affaires sensibles
17 et 18 septembre 1981 : dernière cigarette pour la guillotine - 1er février 2003, l’accident de la navette spatiale Columbia - Les Dix d’Hollywood, ou quand l’Amérique voyait rouge - Challenger 1986 : une catastrophe en plein ciel pour la fin d’un rêve "étoilé" - La tornade Michel Polac - John Lennon, mort d'un enfant du siècle - “Nous irons les buter jusque dans les chiottes” Russie, 1999, les attentats, la Tchétchénie et Poutine - Essais nucléaires dans le pacifique, un mensonge français - Péchiney : délit d'amitié, délit d'initiés
Le Coffre à Catch
#174 : William Regal champion en Angleterre? - #175 : CM Punk de retour à la ECW ! - #176 : Shelton vs Christian : un banger en préparation ! - #177 : Trent Baretta & Caylen Croft : les vrais Best Friends ! - #178 : TLC 2009 : Un Show Stealer ?
WWE : les rivalités de légende Saison 2
Hulk Hogan vs. Roddy Piper - The Rock vs. John Cena - Steve Austin vs. Bret Hart - The Undertaker vs. Randy Orton - Steve Austin vs. Shawn Michaels - Brock Lesnar vs. Roman Reigns - The Undertaker vs. Mankind - Trish Stratus vs. Lita
The Durrells : une famille anglaise à Corfou Saison 1, 2
Episode 1 - Episode 2 - Episode 3 - Episode 4 - Episode 5 - Episode 6 - Episode 1 - Episode 2 - Episode 3 - Episode 4 - Episode 5 - Episode 6
Le Tour du monde en quatre-vingts jours
Episode 1 - Episode 2 - Episode 3
Totally Spies Saison 7
Attention : ceci n'est pas un test - Espionnes à l'ancienne - Alerte chat-pardeurs
Spectacles
Patate (1982) de Marcel Achard avec Pierre Mondy, Michel Duchaussoy, Marie Dubois, Pascale Audret, Clémentine Amouroux et Philippe Dehesdin
Imagine Dragons Chambord Live (2023)
Elvis: The Comeback Special (1968)
Nirvana: MTV Unplugged in New York (1993)
Les Pigeons (2022) de et avec Michel Leeb, et aussi Francis Huster, Chloé Lambert, Philippe Vieux
Livres
Batman : The Killing Joke d'Alan Moore et Brian Bolland
Red Skin, tome 1 : Welcome to America de Xavier Dorison et Terry Dodson
Red Skin, tome 2 : Jacky de Xavier Dorison et Terry Dodson
Le coureur et son ombre d'Olivier Haralambon
Détective Conan, tome 23 de Gôshô Aoyama
Détective Conan, tome 24 de Gôshô Aoyama
Conversations avec A d'Alex Lacquemanne
Kaamelott, tome 7 : Contre-attaque en Carmélide d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Picksel
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kritikycz · 5 years ago
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Angelika a král - Angélique et le Roy (1966)
Třetí pokračování dobrodružného příběhu se odehrává několik let po domnělé smrti hraběte Peyraca. Angelika se mezitím provdala za bratrance Filipa, jenž dobrovolně padl ve službách svého krále. Angelika se s diplomatickým posláním vhodným pro kurtizánu vrací ke dvoru a ve Versailles pokouší samotného krále Ludvíka XIV. Král ví, že mezi ním a Angelikou stojí stín mrtvého Peyraca a prozradí jí,…- Více na https://www.kritiky.cz/specialy/2019/angelika-a-kral-angelique-et-le-roy-1966/
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cinemacinemas-fr · 5 years ago
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Angélique Marquise des anges de Bernard Borderie (1964) #MrCinema 305
Retrouvez la bande-annonce du film Angélique marquise des anges ponctuée des secrets de tournage et d'anecdotes sur celui-ci. ■ Abonnez-vous sur YouTube ► https://goo.gl/dck70g ■ Suivez-moi sur Twitter ► https://goo.gl/IMyExb ■ Rejoignez-moi sur Facebook ► https://goo.gl/eWnGLq ■ Suivez-moi sur Instagram ► https://goo.gl/N7expq 🎥 Angélique, Marquise des anges est un film d'aventure franco-italo-allemand écrit et réalisé par Bernard Borderie, sorti en 1964. ✎ La jeune Angélique assiste à la fomentation d'un complot entre plusieurs grands du royaume, visant à empoisonner le futur Louis XIV. Afin de la protéger de cette dangereuse découverte, elle est envoyée dans un couvent pour y faire ses études. Quand son père l'en fait sortir prématurément, c'est pour lui apprendre qu'elle est promise au richissime comte de Toulouse qu'on dit boiteux et défiguré par une cicatrice... 🎬 Fiche technique ▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Réalisation : Bernard Borderie Scénario : Claude Brulé, Bernard Borderie et Francis Cosne, d'après le roman éponyme d'Anne et Serge Golon Dialogues : Daniel Boulanger Musique : Michel Magne Date de sortie France : 8 décembre 1964 ☺ Distribution ▬▬▬▬▬▬▬ Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort, Claude Giraud, Giuliano Gemma, Charles Régnier, Jacques Castelot, Jacques Toja, Bernard Woringer, Robert Porte, Madeleine Lebeau, Philippe Lemaire, François Maistre, Geneviève Fontanel, Jean Topart, Etchika Choureau, Yves Barsacq ✎ Sources Wikipedia: https://ift.tt/2NuCsE1 ✎ Sources AlloCiné: https://ift.tt/2Z9R7LJ #MichèleMercier #RobertHossein #JeanRochefort #ClaudeGiraud #GiulianoGemma #CharlesRégnier #JacquesCastelot #JacquesToja #BernardWoringer #RobertPorte #MadeleineLebeau #PhilippeLemaire #FrançoisMaistre #GenevièveFontane #JeanTopart #EtchikaChoureau #YvesBarsacq #ClaudeBrulé #BernardBorderie #FrancisCosne #AnneGolon #SergeGolon #DanielBoulanger #HenriPersin #MichelMagne #RaymondBorderie https://youtu.be/TNJSK27JQbc
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aramielles · 8 months ago
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imaginez mourir à cause de françois chaumette, gênant un peu
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kaantt · 1 year ago
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TAG YOURSELF
La Comédie-Française de 1961 à 1987 edition
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kaantt · 1 year ago
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❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
C'est la meilleure adaptation des Trois Mousquetaires.
Et Jacques Toja EST le meilleur Aramis
I don't make the rules
Merciiiii chou ❤️
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Un cadeau pour ma chère @kaantt qui trouvera ceci à son réveil (parce que j'ai pris plus de temps à le finir que prévu)
Beaucoup de tentatives de nouvelles techniques pour cette petite affiche des Trois Mousquetaires (1961) donc j'ai beaucoup appris mais ma main est morte. Plus jamais d'escalier en perspective.
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kritikycz · 5 years ago
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Báječná Angelika - Merveilleuse Angélique (1965)
Druhý díl barevného širokoúhlého seriálu se do českých kin dostal poněkud opožděně - až v roce 1971, tedy po šesti letech od svého vzniku a po promítání zbývajících čtyř dobrodružství. Děj se odehrává krátce po domnělé smrti hraběte Peyraca. Markýza se uchýlí k pařížské lůze a usiluje o znovunabytí bohatství a cti. Po popravě svého manžela Joffreye de Peyrac, upáleného ve vykonstruovaném procesu za…- Více na https://www.kritiky.cz/specialy/2019/bajecna-angelika-merveilleuse-angelique-1965/
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aramielles · 1 year ago
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Ils me font peur.
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kaantt · 1 year ago
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Best friend behaviour : Quand ta meilleure pote prononce mal un mot, prononce-le mal aussi pour la soutenir.
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