#faites moi taire
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maluron · 2 years ago
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J'arrivais pas à dormir la nuit dernière et j'étais à ça de faire un post pour dire "Hey les gens on a raté notre vie, c'était l'anniversaire de l'Evergiven ! au lieu de mettre le feu aux poubelles on aurait dû les empiler soigneusement pour créer une barricade en diagonale en travers de la rue ?!!" mais en fait, ben, comme le principe d'une barricade c'est qu'une fois érigée on ne peut plus franchir la rue (ou, d'un bateau échoué, franchir le canal) la manif' aurait été bloquée ensuite et à partir du moment où il aurait fallu prendre sérieusement en considération la logistique d'une barricade avec les flics autour et derrière, le post devenait tout de suite beaucoup moins drôle.
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diari0deglierrori · 11 months ago
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So Jean is a 100% a Mozart L’Opéra Rock fan and I can prove it :
First things first, he’s french, no explanation needed for that one. Je sais de quoi je parle
Second, have you seen him ?
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Third, this is definitely a costume choice, a clear nod to it (specially because Jean’s goes well with Greta’s, which means that’s also an interest they both share)
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Fourth, et pas des moindres, Mozart L’Opéra Rock’s acronym is MOR which sounds exactly like Mort (death), and guess who’s immortal? Exactly!
Five, the lyrics! There could be many examples, but let’s take the title who goes very well with his power: Vivre À En Crever. This:
S'il faut mourir, sur nos stèles je veux graver
Que nos rires ont berné la mort et le temps
[If I have to die, on our headstones I want to engrave
That our laughter fooled death and time]
DEATH AND TIME. DEATH (Jean) TIME (Greta). Poetic cinema.
I’ll leave it here for today but I’m right.
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pompadourpink · 2 months ago
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A list of questions
À quelle heure tu arrives ? What time are you arriving ?
Avec qui tu parlais ? Who were you talking to ?
Bien ou quoi ? You alright ? (very casual)
Ça va ? Are you alright ? (normal)
Ça va pas non ? Are you crazy ?
C'est moi ou il est fou ? Is it me or is he insane ?
De quoi parle ton livre ? What is your book about ?
De quoi tu parles ? What are you talking about ?
De quoi tu te mêles ? How about you mind your business ?
D'où tu tiens ça ? Where did you hear that ?
D'où tu viens ? Where are you coming from ?
En quoi ça me regarde ? What does that have to do with me ?
Est-ce que tu crois que tu es drôle ? Do you think you're funny ?
Est-ce que tu te sens bien ? Are you feeling alright ?
Est-ce que tu t'es fait mal ? Did you get hurt ?
Est-ce que tu vas bien ? Are you alright ? (slightly elevated)
Faut peut-être se calmer non ? You better calm down (annoyed)
Il faut y aller non ? Shouldn't we go ?
Il fout quoi ? What the hell is he doing ?
Il se passe quoi là-dedans ? What's happening in there ?
Il te faut quoi ? What do you need ?
J'en étais où ? Where was I ?
Je t'ai demandé quelque chose à toi ? Did I ask for your opinion ?
Je te ramène quelque chose/un truc ? Do you need anything (from the store/downstairs, etc.) ?
Le mec en pull rouge, c'est qui ? Who is the dude in the red jumper ?
Les deux ? Both ?
On se calme ? Are you going to calm down ? (appeasing or angry)
On y va ? Shall we ?
Pourquoi tu continues à répondre ? Why do you keep talking back ?
Pourquoi tu ne lui demandes pas ? Why don't you ask him ?
Pourquoi tu t'en vas ? Why are you leaving ?
Quel est ton film préféré ? What's your favourite movie ?
Quelle heure il est ? What time is it ?
Qu'est-ce que ça change ? What does that change ?
Qu'est-ce que ça fait ? What does that do ?
Qu'est-ce que tu as à manger ? What do you have to eat ?
Qu'est-ce que tu branles/fiches/fous ? Wtf are you doing ?
Qu'est-ce que tu racontes ? What are you on about ?
Qu'est-ce qu'il y a encore ? What now ?
Qu'est-ce qui ne va pas ? What's wrong ?
Qu'est-ce qui se passe ? What's happening ?
Sur place ou à emporter ? In or take away ?
Tout est réglé ? Is everything fixed/good now ?
Tout va bien ? Everything alright ?
Tu fais quoi ? What are you doing ?
Tu m'as pris pour qui ? Who do you think I am ?
Tu m'entends bien ? Can you hear me well ?
Tu pars quand ? When are you leaving ?
Tu plaisantes/te moques de moi ? Are you joking me ?
Tu t'es cru chez ta mère ? Did you think you were at your mother's house ? (angry)
Tu te sens mal ? Are you feeling ill ?
Tu vas te taire, oui ? Will you shut up ?
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Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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visenya-den · 7 months ago
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Moi quand je quitte un forum et demande à ce que tout mes tutoriaux soient supprimés parce que de toute façon ce forum ne m'a jamais méritée et que l'admin me réponds "en ce qui concerne les tutoriels, on reposte jamais les sujets ouverts par les simples membres ^^ en plus lesdits tutoriels datent de plusieurs années / ne sont plus trop d'actualité ^^ ta remarque n'a pas lieu d'être mais soit."
Alors que dans le passé ledit forum -dont j'ai été modo fut un temps très court- les tutoriaux des membres supprimés étaient repostés par les admins -mais crédités du nom du créateur évidemment- juste parce qu'un sujet avec invité ça faisait "moche".
Ouais du coup comme j'ai été supprimée, je me permet de répondre ici hein. Et merci mais mes tutoriaux sont peut être vieux, mais ils peuvent toujours aider des débutants -enfin plus maintenant du coup-. C'est gentil en tout cas de juger gratuitement le travail fourni par un créateur. Vous pouvez retrouver un de cesdits tutoriels "plus trop d'actualité" ICI et un autre expliquant touuus les réglages de photoshop c'est vrai que c'est plus d'actualités non plus.
Des bisous sur ce monde des forums qui ne m'avait absolument pas manqué. Pensez à vous, à prendre soi de vous, soyez égoïstes -c'est pas un mot négatif contrairement à ce qu'on croit!-, et faites ce qui est bon POUR VOUS. Libérez-vous de ce qui est toxique.
En l'occurrence moi j'en ai marre de me taire désormais et même si tout le monde ne sera pas d'accord avec mon post ou ma réaction, tant pis!
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vicnormansstuff · 4 months ago
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Les collaborateurs de l'ennemi se sont emparés de vos cervelles d'oiseau. Ne les écoutez plus. Apprenez à les reconnaître et à les chasser de vous-mêmes, si vous en possédez encore la force. Le monstre est là, échoué sur nos côtes mais bien vivant. On vous adjure, et tout à l'heure encore le pape d'une chrétienté malade, d'ouvrir largement vos portes. Moi, je vous dis, je vous supplie, fermez-les, fermez-les vite, s'il en est encore temps ! Soyez durs, insensibles faites taire votre cœur mou […].
Jean Raspail, Le Camp des Saints, 1973.
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e642 · 9 months ago
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Je suis vraiment fatiguée. Je sais pas si c'est plus physique que mental. La semaine je me sens pas particulièrement mal, juste vide et seule. Et quand je le vois, juste triste et seule. En fait, je sais pas trop ce que j'attends, des comportements que j'aimerais qu'il ait sûrement. Et quand je vois le décalage, je ressens de la déception comme si les gens changeaient. Voire même du mépris de constater qu'ils changent pas. Mais ce que je vis le plus mal, c'est les insomnies et autres troubles du sommeil. C'est une torture de disposer d'autant de temps mais de ne pas réussir à dormir. Tout serait plus simple si je dormais. Je me souviens avoir eu dans ma vie qu'une seule période d'hypersomnie, aussi triste que ce soit, je donnerais beaucoup pour en avoir une autre. Enterrer ma présence et le temps qui passe dans des heures et des heures de sommeil. C'était bon. Je ne peinais pas à dormir, je dormais juste. Là je pourrais m'arracher les cheveux même les yeux tellement je suis frustrée. Pourquoi les autres dorment et pas moi ? J'ai pris conscience de ce luxe bien trop tard et j'ai l'impression de le payer. Je cogite à des trucs si ridicules et insolvables, je comprends pas qu'à chaque nuit je puisse prendre les mêmes sujets d'inquiétude/angoisse, me dire à nouveau les mêmes choses, et arriver aux mêmes dénouements sans jamais m'épuiser. Me taire. Accepter. Franchement, je sais pas ce que je fais, chaque petits regards lancés en arrière me donnent l'impression de ne pas suivre la bonne vie. C'est ça qui me rend malade toutes les nuits : passer consciencieusement à côté de moi.
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selidren · 4 months ago
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
7/10
Comme je vous l'avais dit dans ma précédente lettre, je suis néanmoins heureuse de savoir que ces troubles n'affecteront pas mes enfants, et que toutes ces histoires sombres mourront avec notre génération. Je veux que mes enfants soient libérés du passé autant que faire ce peut. Il est hors de question que des événements vieux de trente ans gâchent leur avenir. J'ai mes différents avec Madame Eugénie, mais je sais que sur la question, nous sommes d'accord.
Transcription :
Eugénie « Ah, ma petite. Te voilà enfin... »
Arsinoé « On ne vous a pas vue aujourd’hui. Vous allez bien ? »
Eugénie « A mon âge, ce genre de petit refroidissement est très fréquent. Approche toi donc. »
Arsinoé « Vous êtes sûre que vous ne voulez pas que l’on fasse venir le médecin ? »
Eugénie « Ce n’est pas la peine. Je connais mon corps mon enfant, et je ne suis pas encore à l’article de la mort. Cela fait déjà plus de vingt ans que les premiers froids de l’automne me donnent des rhumes et des douleurs aux genoux. »
Arsinoé « Je pense aussi que toutes les festivités de votre anniversaire vous ont fatiguée. »
Eugénie « Ne me materne pas, jeune fille. Cela m’a fait tant plaisir de voir ma si grande famille auprès de moi que je peux bien consentir à quelques désagréments. T’es tu amusée ? »
Arsinoé « Plutôt oui. Cela m’a fait plaisir de rencontrer Tante Hélène par exemple, nous ne l’avions jamais vue. Elle vous ressemble à un tel point… »
Eugénie « La dernière de mes filles. Une femme brillante, qui s’est enfermée dans ce couvent sans que je ne sache vraiment pourquoi. Elle est aussi impénétrable qu’une porte de prison. Sais-tu que je lui écris une lettre par semaine depuis son ordination, en 1883 ? Elle ne nous visite pas beaucoup c’est vrai, mais il faut savoir qu’elle a commencé à fortement souffrir des articulations peu après ta naissance. »
Arsinoé « Elle vous manque. »
Eugénie « Comme chacun de mes enfants, la savoir loin de moi est toujours douloureux. »
Eugénie « Ecoute moi bien, Arsinoé. Je sais que personne n’aime vraiment en parler ici, mais l’âge que j’ai eu cette année tient tout bonnement du miracle. D’ici peu, j’irai rejoindre mon époux (maudit soit-il) dans la tombe. Il faudra apprendre à vous en sortir sans moi. »
Arsinoé « Oh, ne parlez pas de ça... »
Eugénie « Pas de cela avec moi ! J’ai sacrifié ma vie à cette famille et à sa pérennité, tout cela pour écoper d’un mari infidèle et d’un destin qui m’a volé mes enfants un par un ! Je suis si vieille que s’en est à la fois une bénédiction, mais aussi une malédiction. Je vis chaque jour dans la peur de voir ma dernière fille succomber avant moi autant que de voir mes descendants déliter que mon fils et ton oncle ont eu tant de mal à construire. L’avenir repose sur toi, alors tu vas te taire et écouter bien attentivement. »
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jefaisdurp · 6 months ago
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Il y a deux ans, je fermais ce blog. Il y a un an, j'archivais tous les billets, le temps de réévaluer.
Aujourd'hui et dans les jours à venir, je vais doucement désarchiver quelques posts.
Pour la nostalgie, pour la postérité, parce que j'en ai envie et que c'est une capsule temporelle de mon expérience rpgique.
Actuellement en reconversion professionnelle dans un domaine que je connais uniquement grâce au roleplay et après avoir perdu la trace numérique de mes années lycées avec la fermeture de Skyblog, j'ai envie de pouvoir consulter cette partie de mon expérience même si j'oublie un jour les codes de connexion de ce compte.
JEFAISDURP reste cependant fermé. Je ne pense pas que ça, ça change un jour. Le blog a fait son temps.
Pas de nouveaux posts, pas d'update autre que des messages de service comme celui-ci - si vous voulez me suivre ailleurs, mon main est @un-mare-di-stelle et mon blog de ressources est @mare-avatars (j'y poste parfois mon avis pas très original, mais grandir c'est apprendre à choisir ces batailles et à se taire parfois, on sait que c'était un gros problème pour moi ici).
Passez un bon dimanche, prenez soin de vous, tout ça tout ça.
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claudehenrion · 1 year ago
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'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacit�� à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rab��chée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
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maluron · 2 years ago
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Psst... les gens... à votre avis... combien de temps avant que les soi-disant ~activistes~ en-phase-terminale-d-internetite qui ne fonctionnent qu'aux buzzwords sans chercher à en savoir plus, accusent Germinal d'être PrObléMatique "parce que ça dépeint les abus du système sur des personnages mineurs" ?
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x-heesy · 9 months ago
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Wonderful I could cry 😭
Fébrilité naissante
Irritable, aveuglée
Je traverse une pente
Incertaine, mal éclairée
Au centre ça hurle
Ca gueule
Fort
Sans arrêt
Préférer se taire
Pourquoi dans vos yeux
Je n'existe pas
Pourquoi ma voix ne parvient pas
A vos oreilles
Il est déterminé
Mais
Trop accablé
De monter dans ce métro
Bondé
Blindé aux portes fermées
Le temps d'une station
Avant que ça empire
Voyageurs parisiens
Entrez donc par sa bouche
Détendez vous
Soyez serein
N'ayez crainte des regards louches
Le métro s'accélère
Puis il s'arrête
Dans des endroits malsains
Où les hommes ont cassés leur braguette
Ils pensent dominer les autres
C'est certain
Préférer se taire
L'aberration de ta prétention
Me fait hurler de rire
Préférer se taire
Voyager sous terre
Les larmes vont finir par m'inonder
Car à tout garder en moi, pour moi
Je ne vais pas tarder à suffoquer
Préférer se taire
Voyager sous terre
Préférer se taire
@luna---zylum @frenchpsychiatrymuderedmycnut @freecandyballoon
Emerging feverishness
Irritable, blinded
I cross a slope
Uncertain, poorly lit
In the center it screams
It screams
Strong
Nonstop
Prefer to remain silent
Why in your eyes
I do not exist
Why can't my voice reach
To your ears
He is determined
But
Too overwhelmed
To get on this subway
Crowded
Armored with closed doors
The time of a station
Before it gets worse
Parisian travelers
So enter through his mouth
Relax
Be calm
Don't be afraid of suspicious looks
The metro speeds up
Then he stops
In unhealthy places
Where men broke their flies
They think they dominate others
For sure
Prefer to remain silent
The aberration of your pretension
Makes me howl with laughter
Prefer to remain silent
Travel underground
The tears will end up flooding me
Because to keep everything in me, for me
It won't be long before I suffocate
Prefer to remain silent
Travel underground
Prefer to remain silent 🤫
Pr̵̠͖̂̀̄́́̕éf̵̢̘̦̺̼͈́̒̈́̊͝ér̵̠͖̂̀̄́́̕e̵̯̞̎̈́̀͑̂̓̽̕͝r̵̠͖̂̀̄́́̕ s̶̢͎̮̝̭̫̞̏̒͛͗͜e̵̯̞̎̈́̀͑̂̓̽̕͝ t̵͎̳̠̏͐͒͆̐ǎ̸̹͔̅̈́͘i̴̛͕͍̤̐͆͆͂̇̈́̍̍͊r̵̠͖̂̀̄́́̕e̵̯̞̎̈́̀͑̂̓̽̕͝ b̵̧̙̮̰̜̳̟͈̞̓̀͋̅̓̔ͅy̵̧̛̝͙̪̘͑͋͌͂̓͌̉ͅ Po̵̳̞̖̖̩̻̩̎̍̓́t̵͎̳̠̏͐͒͆̐o̵̳̞̖̖̩̻̩̎̍̓́c̶̡̙̙̞̊̅̋́̒̔̈̑̑h̶̨̢̺̪̻̱̞̓̓͊ͅķ̴̢̨̻̲͖͋͌̏͛̕i̴̛͕͍̤̐͆͆͂̇̈́̍̍͊ṋ̷͆̽̍͊e̵̯̞̎̈́̀͑̂̓̽̕͝
@movinginstero @bigbonzo @boanerges20
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ivo-oz · 9 months ago
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🩸🩸🩸
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 3 〗
Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Dans un sursaut, mes yeux s'ouvrent dans une salle sombre au mur de pierre. Toujours à genoux, je constate que ma situation n'a nullement changé. Les mains clouées à la froideur de la pierre, le sang s'échappant lentement des plaies béantes, peignant ainsi la pierre en rouge.
C'est drôle, il m'a fallu deux jours pour ne plus y penser.
Les premiers jours se sont remplis de cris et de pleur.
Ridicule !
La futilité de cette douleur me rend tellement honteuse.
Je ne penserai pas que l'humilier devant les représentants du royaume le pousserait à me souhaiter autant de mal. J'aurais préféré garder la mobilité de mes mains. Mais bon, si c'est le prix à payer.
Les blessures que je porte en moi sont plus grandes que ses clous.
Il est vrai que c'est la première fois que je suis confronté à de tels châtiments physiques, mais j'aurais dû me réjouir.
Non, ne crie pas, ce n'est pas de la douleur.
Quelle image de moi j'aurais si je me réabandonne à cette facilité ? J'ai subi plus grave, plus longtemps.
Ce ne sont que des plaies, elles s'effaceront.
Mes vraies blessures, elles n'ont pas cicatrisé et pourtant, je les supporte. Succomber à de telles frivolités serait juste dévalorisant.
La vraie douleur n'aurait plus de sens.
Vous êtes en retard. J'en pouvais plus de lutter contre le sommeil pour m'éviter de m'ouvrir la peau davantage.
Un grincement métallique interrompit ma somnolence.
La porte est ouverte.
J'ai beau être dos à elle, je peux quand même sentir le son des talons frapper la pierre dans ma direction.
Un son grave, puis aigu, grave et encore aigu.
Une paire de bottes désassorties.
Ho, c'est Fides qui a été chargé de me libérer.
Tout en entrant dans mon champ de vision, Fides arrache les clous qui bloquaient mes mains.
J'ai . . .
Je n'ai pas crié,
j'ai pu me contenir haha,
mon sourire partit immédiatement quand je découvris les énormes trous béants que contenaient mes mains dorénavant.
On peut y voir à travers.
C'est répugnant mon dieu.
Mes mains
qu'es que . . . comment . . .
mon dieu.
—Mes excuses, Père Inhonoris a tardé à me donner les clés.
— Vous pouvez me soigner ?
— Je n'ai pas ces compétences, un médecin vous sera assigné dans deux jours.
— Vous vous moquez de moi, mes plaies vont rester ouvertes pendant cinq jours en tout. Je ne pourrai plus jamais écrire.
Un ange passe.
— Vous m'envoyez navrer, mademoiselle.
— Navrée ‽ Vraiment ‽ Ôte-moi ce mot de ta bouche quand tu me parles ! Mais quel genre de soutien hypocrite, tu penses me faire avaler ! Ça ne sert à rien de me mentir si mon état ne t'inspire que de l'indifférence !
Le souvenir de mes mains perforées aurait presque pu être oublié si mon sang ne s'était pas mis à accélérer dans mes veines.
Mon cœur hurle dans ma tête, m'obligeant à me taire.
— Pardonnez-moi Je m'exécute.
—Avez-vous du temps à m'accorder ?
J'aurais besoin de coudre mes plaies.
Bien sûr, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse.
Vous pouvez déléguer le travail à un de vos collègues si c'est trop demandé. J'espère que je n'ai pas manqué de politesse, vous savez, trois jours sans pouvoir pleinement dormir me font perdre pas mal de notions.
Comme la clémence par exemple.
Je sens l'air frais de la pièce effleurer les cavités de mes mains. Le sang a arrêté de couler et fait maintenant place au vertige et à la fatigue.
Toute pressée, elle s'engouffre dans l'ouverture de la porte.
Elle ne m'aide même pas à monter...
Haha, elle doit avoir peur de demander . . .
Haaaa, j'en avais besoin tout de même.
3 minutes plus tard, Fides accourut pour m'éviter un malaise sur les marches et se mit à m'aider à atteindre ma chambre.
Ho, le temps, et puis qu'est-ce que c'est au final ?
Que le soleil finisse couché une fois la fin des escaliers atteint. Alors ainsi soit-il
— N'ayez crainte, nous serons bientôt à vos appartements.
Hum
Mes yeux balaient le sol et les murs comme un pendule oscillant entre le conscient et l'inconscient. Un pendule se stoppant net lorsqu'une certaine odeur lui parvient.
Odeur de café . . . de miel.
Cela me sortit de mon vertige.
11h
— Que faites-vous ? Votre chambre se situe dans le couloir gauche.
Il est 11 heures, grand-père doit être dans son bureau.
— Ne me crois pas si bête. Je vais simplement dire bonjour à Papi.
— Vous entendez vous, c'est lui qui vous a châtié. Ne l'humiliez pas davantage, il risquerait de vous bannir.
— Tu n'es pas convaincante, cesse de mentir, bon sang.
Boitant en direction de la porte, je finis ma route en m'affalant sur la poignée de la porte.
Haha, tant pis pour la surprise.
L'iris de ses yeux dilaté, la rigidité qu'adopte son corps. Toute cette attention pour moi. Il s'efforce d'être calme et ça m'est tellement jouissif.
Je pousse la porte en m'aidant difficilement de mon épaule, mes mains étant inutilisables.
Grand-père est juste derrière.
L'encadré de la porte dévoile progressivement son visage et les émotions qui le parcourent quand il découvre le mien.
Finalement, je ne sais que dire, mon esprit m'échappe, des idées, des bribes me viennent, mais les paroles demeurent insaisissables.
Pourquoi est-il aussi surpris ? Pensait-il me soumettre ?
Tu ne me connais pas assez.
Que pense-t-il de moi ? Que penserait Inhonoris Cornecuus ?
Toute sa vie et son existence ont servi à bâtir cet empire, à se hisser au rang de roi. Être à son niveau est la seule motivation qui me pousse à me faire violence dans mes études.
Enfin, avec les blessures, ça va être plus compliqué.
En marchant ou plutôt vacillant vers lui, le sang pulsant dans mes mains m'empêche de continuer.
Aucun de mes muscles actifs ne m'épargne de douleur.
Je lève faiblement ma main et avec un grand sourire, le plus beau que je puisse faire, je le salue avant qu'un voile noir ne mette fin à mon geste.
SUITE (un jour . . . ) PRECEDENT
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mrlafont · 1 year ago
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Une vidéo d’une jeune fille qui expose son point de vue à propos de la nudité de la femme en public. Elle trouve que c’est absurde que les seins soient considérés comme un “objet sexuel”. Que les seins ne servent qu’à nourrir le nourrisson. Certes, certes. Ce qu’elles doivent comprendre, ces femmes, ces jeunes femmes, et les hommes qui tiennent le même discours, c’est qu’il existe chez l’être humain quelque chose qui s’appelle l’instinct de reproduction et que cet instinct est un des plus puissants, si ce n’est le plus puissant. Pourquoi les attributs proprement féminins de la femme, les seins, les fesses, les cheveux, et tout ce qui représente l’altérité, sont générateurs de tant d’émotions pour le sexe opposé ? Un homme excité à la vue d’une belle poitrine, d’une belle croupe, ou de tout autre attribut, l’est car le génie de son espèce y reconnait ce dont il a besoin pour tendre vers son idéal de vitalité. C’est déjà une chose, un phénomène qu’il faut comprendre. Ce n’est pas moi qui l’invente, il faut relire Schopenhauer, ou simplement observer les faits. Nos préjugés et nos mœurs, aussi arbitraires qu’ils semblent, cachent une vérité qu’il faut découvrir. Tout, tout a une explication. Hommes et femmes, les deux recherchent et désirent la même chose chez l’autre : la beauté. La beauté qui n’est autre chose que la vitalité. Vitalité qui s’exprime de différentes façons : mais toujours en ce qui agit pour, en faveur de la vie, tout ce qui l’empuissante. La femme est attiré par la virilité, l’homme la féminité... Mais ce qui plait pour l’une dans la virilité et ce qui plait pour l’un dans la féminité est une seule et même chose : il s’agit de tout ce qui promesse et signe de vitalité, signe de force donc, de puissance. C’est d’ailleurs ça qu’on appelle “beauté”. Seins nus en public... Il faut comprendre que cela ne peut pas être sans conséquences, qu’inévitablement cela engendra des regards et certains comportements. Inévitablement, il y aura tentation, désir. Alors quoi ? Éduquer les hommes ? Les désensibiliser ? Taire, tarir l’instinct ? C’est folie. Il me semble bien, à moi, que la pudeur est le garant d’une certaine paix sociale, aussi superficielle soit-elle. Mais la pudeur est peut-être ce qui nous éloigne de notre bestialité. La pudeur, ce produit de l’intelligence de notre instinct de survie, ce raffinement qui est sûrement né de notre couardise face à la violence qu’engendre la compétition. Il faut savoir ce qu’on veut. Il y a autre chose qui vient expliquer les différences de comportement entre les hommes et les femmes. Une chose logique, biologique. Il faut neuf mois à une femme pour enfanter. Il faut deux minutes à un homme pour l’ensemencer. La femme est forcément plus exigeante et prudente quant au choix du partenaire. C’est un réflexe très profondément ancré dans sa biologie de femme. Et ce fait explique la réserve naturelle de la femme, sa prudence, sa méfiance instinctive. L’homme, qui ne risque rien à enfanter, a forcément une autre psychologie que celle de la femme. Il est, forcément, plus exubérant, plus bête. La peur rend plus sensible. D’où une certaine délicatesse chez la femme. On comprend donc bien pourquoi le fait qu’elle veuille aujourd’hui se montrer seins nus puissent outrer certains. Car nous, êtres humains, nous savons, davantage instinctivement qu’intellectuellement, que quelque chose pose là problème. D’ailleurs, je pose ça là, mais toutes celles qui aimeraient pouvoir se balader seins nus (pourquoi d’ailleurs ?) : ce ne sont généralement pas des femmes qu’on veut enfanter : elles sont, physiquement, soit indésirables, soit psychologiquement dépravée. Le génie de l’espèce n’y voit rien de bon. On en tirera les conclusions qu’on veut.
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a-room-of-my-own · 9 months ago
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"l’immigration de masse dans les années 70 c’était surtout pour briser les grèves" ah parce qu'en plus ça a toujouts été utilisé pour faire taire la gauche ? Faut que je reprenne mes cours d'Histoire moderne.
Oui bien sûr. Mon grand père était ouvrier électricien dans les années 50 à 70, en usine, et il était syndiqué à la CGT. Il y a eu de l’immigration dans les années 60 mais c’était surtout des européens puis des pieds noirs après la guerre d’Algérie. Après 68 on a commencé à faire venir massivement des ouvriers du Maghreb, consécutivement aux victoires syndicales obtenues à ce moment là. Les chefs d’entreprise allaient les chercher jusque dans leurs villages. Pour mon grand-père et les autres c’était clairement pour briser les grèves, puisque les nouveaux arrivants acceptaient tout.
Évidemment ce n’était pas la faute des immigrés entendons-nous. En admettant que la France avait besoin de travailleurs étrangers il n’était pas nécessaire d’aller les chercher si loin, sauf si c’était pour pouvoir les exploiter.
Depuis avec le regroupement familial on est dans une situation différente, mais il faut bien voir que
La pression sur les salaires existent toujours dans de nombreux secteurs, comme le bâtiment, la restauration ou les services à la personne.
Ce qui fait que plutôt que de revaloriser ces professions on continue à faire venir en masse des premières générations d’immigrés pour occuper ces postes « dont les français ne veulent pas » sans évidemment jamais préciser que les français issus de l’immigration n’en veulent pas non plus.
Ce qui était d’ailleurs le plan des les années 80-90 où on envoyait systématiquement les gamins de banlieue en filière professionnelle type carrosserie ou chaudronnerie.
Pour moi dire qu’on a besoin d’étrangers pour ramasser les poubelles et garder les gosses pour pas cher, c’est pas franchement de gauche.
Dans un système social par répartition on a besoin de cotisants.
Plus on fait venir d’immigrés qui s’installent en France avec des jobs suffisamment peu payés pour qu’ils aient besoin des aides sociales, plus on a besoin d’amener d’autres personnes pour combler et cotiser. 1 actif peu avoir avec lui un conjoint qui ne travaille pas + X enfants, il suffit de faire l’opération. Et évidemment pour les retraites, il faut aussi des actifs pour les financer.
En gros, l’immigration, dans ce système, appelle l’immigration.
D’autre part on a aussi le problème de la diminution de la population active et de la baisse du taux de natalité. A génération 1, les immigrés ont plus d’enfants, ce qui augmente « artificiellement » le taux de natalité du pays. Mais à génération 2, les enfants d’immigrés ont moins d’enfants, ils rejoignent la population générale. Donc ont fait venir une autre génération et ainsi de suite.
C’est une logique qui se mord la queue et qui ne solutionne aucun des problèmes de fond. Plutôt, elle crée des déséquilibres ici et dans les pays d’origine et il est urgent de tout arrêter, et d’investir plutôt dans le développement.
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e642 · 9 months ago
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De plus en plus, je suis cassante avec lui, j'assène les reproches de manière insidieuse, je saisis chaque occasion pour montrer que mon impatience ne cesse de grandir. Je ne peux pas m'empêcher d'être en majorité agacée avec lui, de ne pas cacher ma surprise quand il fait les mêmes choses qui m'insupportent, d'être désagréable, de me taire. Chez moi le silence a toujours été synonyme de point de non retour, dès que j'abandonne le dialogue pour laisser les mots de l'autre se perdre dans le néant c'est que les décisions sont prises. Il ne manque plus que l'application. Je n'attends plus que le moment opportun mais je sais que rien ne me fera changer d'avis. C'est fini.
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selidren · 7 months ago
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
5/10
Ils ont une relation assez particulière. J'ai parfois l'impression de voir un grand frère s'adresser à sa petite soeur, alors qu'ils ont strictement le même âge. C'est assez touchant quelque part. De son côté, elle tempère le caractère parfois un peu trop sévère de son frère et lui rappelle qu'il est toujours un enfant. C'est en les voyant que je regrette de n'avoir eu ni frère ni soeur. J'y pense d'ailleurs, en avez-vous vous-même ? Votre époux s'est parfois essayé à nous décrire les méandres de votre arbre généalogique, mais je ne crois pas qu'il ait déjà abordé le sujet.
Transcription :
Arsinoé « Mais bon, ne le lui dit pas, ça ne servirai à rien. Ah ! Je crois qu’on y est presque. Tu as pensé à prendre l’écharpe et le vieux chapeau de Grand-Père ? »
Marc-Antoine « Une minute… Le chapeau de Grand-Père ? Pour faire un bonhomme de neige ? Tu es sure que ce n’est pas trop… irrespectueux ? »
Arsinoé « J’ai demandé à Papa, et il pense que ce n’est pas grave. Il dit que de toute façon, plus personne n’oserait porter cette vieillerie. »
Marc-Antoine « Oui, mais de là à le laisser à la merci des éléments… »
Arsinoé « Bon, si ça te dérange tant que ça, je suis sure qu’on peut trouver autre chose. Oncle Adelphe est souvent d’accord pour nous prêter des choses. »
Marc-Antoine « Non ça ira, je ne vais pas jouer les rabat-joies. Mais tu ne te pose pas des questions sur notre grand-père de temps en temps ? »
Arsinoé « Non, pas tant que ça. Il faut dire que Grand-Mère ne cesse de nous rabattre les oreilles avec ses transactions, l’aménagement du jardin d’hiver, à quel point c’était un fils et un père exceptionnel… Parfois j’ai l’impression de l’avoir un peu connu. »
Marc-Antoine « Moi, pas du tout. Mais il avait l’air d’être quelqu’un d’exceptionnel. Grand-Mère dis que je devrai lui ressembler. »
Arsinoé « Mais tu lui ressembles déjà, c’est ce que dis Papa en tous cas. »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que dans sa bouche, ce soit un compliment. »
Arsinoé « Ah heu… bah… on s’en fiche de son avis non ? »
Marc-Antoine « Wahou ! Arsinoé Le Bris se permet d’être irrespectueuse ? On devrait le faire dire à la gazette régionale ! »
Arsinoé « Oh arrête un peu. J’en ai peut-être marre que les seuls compliments que me font les adultes sont que je suis gentille et bien élevée ! Oh, mais ne répète pas à Maman que j’ai dit ça, je pense qu’elle ne serait vraiment pas contente. »
Marc-Antoine « Je serai muet comme une tombe. Grand-Mère dit que notre grand-père était très doué pour garder les secrets de la famille et que c’est utile. Donc je pense que je peux bien garder les secrets de mon héritière. »
Arsinoé « Ton héritière ? »
Marc-Antoine « Oui enfin, c’est une façon de parler. Mais dès que tu diras du mal des adultes, je serai là pour me taire et te couvrir. Tu peux compter sur moi ! »
Marc-Antoine « D’ailleurs, ça te dirait de faire quelque chose d’interdit ? »
Arsinoé « C’est à dire que… le soleil va bientôt se coucher. »
Marc-Antoine « Justement. Grand-Mère avait promis de m’emmener me promener et elle ne l’a toujours pas fait, alors que dirai-tu d’aller à l’étang pour patiner un peu ? Kléber m’a dit qu’il laissait toujours ses paires de patins là-bas pour éviter que sa mère ne les lui confisque. »
Arsinoé « C’est vrai que Kléber est malin, mais… tu es sur de toi ? On ne risque pas de se faire disputer vraiment très fort ? Et puis tu sais, Grand-Mère oublie pas mal de choses en ce moment, elle a peut-être juste besoin que tu lui rappelle de t’emmener en promenade. »
Marc-Antoine « Mais je n’étais pas en train de me plaindre ! Pas du tout ! Bon, après oui, on risque de récolter une volée de bois vert mais ça vaut le coup non ? »
Arsinoé « Bon allez, d’accord ! »
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