#et sous la plage
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Plötzliche Glätte
Als Fabian Steinhauer eines morgens aus unruhigen Träumen erwachte, muss jemand über Nacht mit seinen Haaren verschwunden sein.
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La Mode nationale, no. 30, 27 juillet 1901, Paris. No. 1. — Groupe de toilettes pour dames. Bibliothèque nationale de France
(1) Toilette de casino pour jeune femme, en crêpe blanc. Princesse à double pli devant. Au bas, volant de dentelle ocrée surmonté d'une draperie de foulard-panne noir. A droite, gros chou à cœur de strass. Boléro de dentelle ocrée ouvert sur un plastron de mousseline de soie plissée. Devant, draperie noire et chou. Longues épaulettes et bouffant de dentelle sous la manche échancrée du bas.
(1) Young woman's casino ensemble, in white crepe. Princess with double pleats in front. At the bottom, ochre lace flounce topped with a drapery of black panne scarf. On the right, large cabbage with rhinestone heart. Ochre lace bolero open on a pleated silk muslin plastron. Front, black drapery and cabbage. Long epaulettes and lace puff under the low-cut sleeve at the bottom.
Matériaux: 14 mètres de foulard; 5 mètres de foulard-panne; 2 mètres de mousseline de soie.
Chapeau en paille brûlée, auréolée, orné d'un nœud de velours blanc et de bouquet de folle avoine. Voile de tulle illusion noué en cravate.
Hat in burnt straw, haloed, decorated with a white velvet bow and a bouquet of wild oats. Illusion tulle veil tied in a tie.
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(2) Toilette de plage pour jeune femme ou dame d'âge moyen (dans ce cas, supprimer la ceinture). Jupe et corsage composés de laizes de dentelle et de rubans de velours alternés. Manche coupée en sifflet sur un long bouffant de dentelle à clair. Ceinture à longs pans et col en taffetas fleuri.
(2) Beach attire for a young woman or middle-aged lady (in this case, remove the belt). Skirt and bodice composed of alternating strips of lace and velvet ribbons. Sleeve cut in a whistle on a long bouffant of lace with clear. Belt with long panels and collar in floral taffeta.
Matériaux: rubans de velours no. 20; larges entre-deux de guipure.
Capeline de crin blanc bordée de velours noir, enroulée de tulle blanc; roses et feuillages en guirlande et en cache-peigne.
White horsehair capeline edged with black velvet, wrapped in white tulle; roses and foliage in a garland and as a comb cover.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1901#on this day#July 27#periodical#fashion#fashion plate#color#cover#description#bibliothèque nationale de france#dress#princess#veil
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S'endormir, quelle échappée belle ! Répétition, dans des jardins d'encre de Chine, du grand sommeil qui nous attend. Dormir sous les paupières immenses de la nuit grande ouverte et qui n'aura plus de fin. Depuis la plage, cet océan nocturne, béant et insondable, a tellement d'allure, de musicalité.
jacques dor
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Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
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" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
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saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là, notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain à Barcelone à son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
Réveils à 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi João et Romain à l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là, Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là-dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons à la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
João me prend à part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là-bas pour la première fois.
Jardinier
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Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Joséphine Le Bris#Jacqueline Rumédier#Louise Le Bris II
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2013 - Les bords de mer
Pendant l’été, un jour entier lui était dédié. Toute la famille déambulait à travers les rues en suivant ma Dame faire du lèche-vitrine, du shopping.
Boutique après boutique.
D’interminables heures perdues sous la chaleur de la ville. Après les multiples essayages, questions et hésitations venait la paire idéale, mettant fin à la chasse.
Récompensées d’une glace deux boules menthe-chocolat, les filles marchaient en observant de loin la plage interdite ce jour. Ce n’est qu’une fois ma Dame assise dans le canapé et les chaussures déballées qu’elle pouvait enfin s’exclamer : - Tu n’aurais jamais dû me laisser prendre celles-là.
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Quelques trucs bien. Août 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Boire du Prosecco avec des pétales de rose cristallisée
Faire un bain de mer et une vidéo sous l’eau
Passer un week-end au soleil et à la mer avec mon amie Cathy. Célébrer l’amitié
Découvrir mon dressing aménagé pour les chaussures de retour de week-end. Surprise d’anniversaire !
Manger au restaurant avec ma fille seule. Prendre le temps des confidences et la mesure de l’attachement. Accompagner mon enfant à devenir parent
Aller prendre un café chez mon amie Pascale. Improviser un semblant d’anniversaire pour se donner des nouvelles
Installer un siège auto dans ma voiture pour les futures sorties avec mon petit Mateo
Suivre une initiation à la bachata en soirée latino. Me laisser inviter à danser par un inconnu
Sortir pour profiter du spectacle d’un feu d’artifice en musique, au-dessus de la mer en baie de Cannes. Être épatée de la synchronisation son et lumière
Recevoir mon amie Monique à la maison pendant une semaine
Faire sortir maman de sa chambre pour aller voir son arrière petit fils
Lire un petit bijou de roman écrit par un poète
Aller à la plage et faire un bain de mer et de soleil
Encourager Mateo qui essaie de se mettre debout
Sortir le soir pour une invitation. La première depuis le début de mes vacances
Faire du shopping avec ma sœur. Choisir des rangements utiles
Mieux dormir avec un sur matelas. Me sentir plus confortable dans mon lit
Ranger ma bibliothèque
Faire le tri et donner à Emmaus
Recevoir un message vert d’Irlande
Voir mon petit Mateo faire un gros câlin à mon fils quand il le voit arriver tout sourire
Faire des jeux d’eau avec Mateo à l’ombre
Boire du champagne pour fêter… ce qu’on veut !
Recevoir un message bleu de Finlande
Me souvenir de maman quand elle était active et suivait la tondeuse en tenant la rallonge électrique
Jardiner sur la terrasse avec ma sœur
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Tafeln
1.
Tafeln ist eine juridische Kulturtechnik, die mit dem Teilen und Übertragen zu tun hat. Daniel Damler behauptet, dass Speisevorschriften erste Gesetze gewesen seien und macht die These paradiesisch plausibel, also fûr das Paradies und mit dem Paradies glaubhaft.
Wer tafelt, soll teilen. Wer tafelt, soll übertragen, also eine Weise des Tragens und/oder Trachtens ausüben, die manche (darum vielleicht das Präfix über) mit einem Dritten assoziieren. Manche sagen sogar, der Dritte sei Dritter, weil er ein höheres Wesen sei. Höhere Wesen befahlen, höhere Zahlen zu verwenden, es gibt Leute, die das glauben. Etwas zu übertragen soll danach nicht mindestens zwei, sondern mindestens drei Teile oder Personen involvieren. Der eine gibt, der andere nimmt, der Dritte soll überwachen und garantieren, dass dieser Vorgang trägt und hält, dass er verbindlich, gültig und gründlich erfolgt. Dem Medium, einer Norm oder einer Referenz wird von einigen Autoren die dritte Stelle zugewiesen.
Das (alles daran) ist strittig, was aber nicht heißt, dass Fragen dazu nicht beantwortet werden können oder nicht beantwortet werden sollen. Eher das Gegenteil ist der Fall: darum sollen und können Fragen beantwortet werden. Sie müssen dabei bestritten und gehändelt werden, am besten antwortet man technisch, denn das geht, wie Bruno Latour hervorhebt, mit detour einher, also mit einer Umwegigkeit, die solche Antworten sowohl umgänglich als auch umgehbar macht. Technische Antworten werden geäußert und bleiben äußerlich. Sie sind artifiziell: kunstvoll zimmern sie künstliche Welten, die einen auch draußen lassen können. Hauptsache man hat Fragen und gibt Antworten.
2.
Auf der Wissenswallfahrt nach Aschaffenburg sind wir an einer der besten Gemäldegalerien des Bundeslandes Bayern und des Frankenlandes Franken vorbei gekommen, der meisterhaft renovierten und neu präsentierten Sammlung im Johannisschloss. Dort gibt es eine große Anzahl von Bildern des Rembrandtschülers de Gelder, der insbesondere das burleske, kabarettistische und theatralische Erbe seines Meisters pflegte. Er ist damit der Komödie näher als der Tragik, vielleicht den Leuten näher als den Souveränen, denn wir definieren Leute als diejenigen, an denen immer etwas lustig oder lustvoll absteht, zum Beispiel Fäden oder Haare, und Souveräne definieren wir als diejenigen, an denen und durch die alles glatt gehen soll. Leute sind die, nach denen man ab und zu mal schauen muss, wie der Laokoon das macht. Leute sind die, denen man nachschaut, sie sind mindestens leicht auffällig. Leute rufen Polizei hervor, auch wenn sie selbst nicht die Polizei rufen. Souveräne haben Polizisten oder sie sind Polizisten. Pole sie sie beide, denn beide kommen auf Warburgs Tafeln vor.
De Gelder malt ein letztes Abendmahl, also die Gründungsszene der römisch-katholischen Kirche, die im Februar 1929 auch während des Abschlusses der Lateranverträge nachgestellt wurde und Warburg die Gelegenheit gab, seine Überlegungen zu juristischen Formeln, Akten und Protokollen auch als Kommentar zu den Kulturtechniken des Verzehrens (Bing) oder Verschlingens anzulegen. De Gelder macht in seiner Malerei darauf aufmerksam, worauf auch Didi-Huberman hinweist. Eine Tafel muss kein Tisch sein. Es gibt auch niedere und schwache Tafeln, also Tafeln, die erstens dem Subtilen, Frivolen, dem Durchgehenden und dem Nichtmanifesten affin sind und die leicht verwechselbar und austauschbar mit dem sind, was nicht Tafel ist. De Gelder malt das letzte Abendmahl als Gesellschaft auf einem und an einem Tuch, wie Picknickdecken das sind , auch sous la plage, also auch unter dem Gesetz und unter Palmen. De Gelder, der ist ja nicht dumm, malt eine Treppenszene, deutet das Teilen als wohl auch als Träumen und das Verzehren als Begehren. Im oben erwähnten Streit lässt de Gelder eine scharfe Antwort geben: Das Teilen verlangt keinen Dritten, der höher wäre. Man kommt beim Teilen auch ohne höhere Dritte aus, denn im Traum gilt das Gesetz des Dritten nicht, nicht seine Ausschlüsse. Der Traum entscheidet nicht, auch wenn er Distanz schafft und scheidet.
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La Mode illustrée, no. 25, 18 juin 1882, Paris. Toilettes de la Mon Fladry, Mme Coussinet Succr, 43. r. Richer. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Toilette de promenade en canevas de fil bleu ciel et moire à fines rayures bleu pâle et crème. Sous-jupe, garnie de dentelle blanche. Le devant de la jupe est couvert de longues coques de ruban de moire (pareil à la moire), lesquelles se terminent en pans pointus. Une longue tunique en canevas est drapée derrière. Le corsage est en moire rayée semblable au ruban. Sous le contour inférieur du corsage à pointe se trouvent deux rangées de dentelle blanche; sur les épaules se trouve une petite pèlerine en canevas, drapée sur l'épaule, sous une boucle, et garnie da dentelle. Chapeau rond en paille écrue doublé de soie bleue.
Toilette de plage, en batiste rose uni et satinette fond crème à dessins Pompadour. Le devant de la jupe, faite en batiste rose, est orné de dentelles blanches, sur lesquelles retombent des pointes de même batiste, bordées de même dentelle. Jupe-tunique en satinette bordée de dentelle, drapée derrière en un nœud énorme. Corsage à pointe de même étoffe que la jupe, avec pèlerine pareille, garnie de dentelle. Manches demi-longues. Gants en peau de Suède, extrêmement longs. Chapeau à larges bords en paille crème, doublé de rose, avec touffes de rhododendrons sur la passe.
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Walking ensemble in sky blue thread canvas and moire with thin pale blue and cream stripes. Underskirt, trimmed with white lace. The front of the skirt is covered with long shells of moire ribbon (similar to moire), which end in pointed ends. A long canvas tunic is draped behind. The bodice is in ribbon-like striped moire. Below the lower outline of the pointed bodice are two rows of white lace; over the shoulders is a small canvas pelerine, draped over the shoulder, under a loop, and trimmed with lace. Round ecru straw hat lined with blue silk.
Beach ensemble, in plain pink cambric and cream sateen with Pompadour designs. The front of the skirt, made of pink batiste, is adorned with white lace, on which fall points of the same batiste, edged with the same lace. Satinette skirt-tunic edged with lace, draped behind in a huge bow. Pointed bodice of the same fabric as the skirt, with similar cape, trimmed with lace. Half-length sleeves. Extremely long suede gloves. Wide-brimmed hat of cream straw, lined in pink, with tufts of rhododendrons on the brim.
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Je suis allé à la plage histoire de prendre l'air et le soleil j'ai vu des beaux mecs musclés et bien bronzés et puis y avait moi avec mon physique de patate sous Xanax mais c'était quand même rigolo
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Thomas Fabius
C’est une enfance dans un milieu très aisé, il est le premier résidu d’éjaculat de Laurent Fabius, et le petit-fils de l’antiquaire véreux Élie Fabius. C’est un parcours de privilégié, collège Henri IV, Lycée Montaigne, classe préparatoire privée pour HEC qu’il ne termine pas. C’est le kéké de plage, il sera ainsi prof de tennis au Club Med de Gregolimano en Grèce. Pistonné par son petit papa entre deux saignées d’hémophiles, il entre chez Accor, le groupe hôtelier. C’est l’hôtelier de luxe, de 2002 à 2003, il bosse au Novotel de Bagnolet, où il met en place une méthode de yield management qui consiste à faire payer plus en fonction de la demande. Il devient directeur adjoint de l’hôtel avant de partir, selon sa hiérarchie, il n’a pas laissé « le souvenir d’un grand bosseur ». C’est l’entrepreneur véreux, il cofonde People and baby, une boîte de crèches privées pour les entreprises, au bout de 18 mois ses associés l’évincent pour son comportement imbuvable et ses escroqueries. C’est le conseiller foireux, après avoir tenté de mettre en place un système de paiement frauduleux auprès d’Unipay’s il est entendu par la police et sera condamné pour abus de confiance. C’est aussi la fraude, ne déclarant aucun revenu, il s’achètera pour 7 millions d’euros un appartement de 285 mètres2. Tracfin pointera du doigt la transaction après des mouvements inhabituels. Il s’en tire en arguant qu’il a acheté cet appartement avec ses « économies » et un emprunt d’usure. C’est la petite racaille de la jeunesse dorée, ainsi en 2014, au volant de son Audi cabriolet dernier cri, il force un barrage. Arrêté par la BAC il arguera qu’il est le fils du ministre des Affaires Étrangères, il ressortira libre, sans garde à vue et notre petit con de 34 ans s’en tirera avec une bonne volée de son père. C’est le parvenu, pas de sobriété dans une maison bretonne, Thomas aime ce qui brille et Las Vegas c’est son crédo, amateur de roulette, il gagnera beaucoup et perdra aussi beaucoup. Accroc, il sera interdit de Casino en France à sa demande. C’est les passes droit, ainsi il bénéficiera d’un effacement d’une dette de jeu par la Société des bains de mer pour 700 000€. C’est aussi le fugitif, sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, il est effectivement accusé d’avoir émis des chèques sans provision de façon consciente après avoir perdu 3,5 millions d’euros dans trois hôtels de Las Vegas. Encourant 10 ans de prison en Amérique, il « ne juge pas utile de s’y rendre à nouveau ». C’est l’escroc, il sera mis en examen en France pour une arnaque similaire dans un casino marocain pour un montant de 200 000€. Il sera condamné en 2019 à 75 000 d’amende. C’est le parfait exemple de ce que la République vous offre, quand vous ne devez pas payer pour les parasites qui vous gouvernent, vous devez supporter les frasques de leurs progénitures. À 42 ans Thomas est toujours un petit con.
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Jeudi
Août. On a changé de lieu, de ciel et d’ambiance : à nous la campagne verdoyante de la Nouvelle Aquitaine. Tout juste arrivés, les kids se sont baigné dans la piscine-jacuzzi, avant leur leçon quotidienne de kanjis sous la férule paternelle. Leur sentence du jour, que je ne partage pas : la piscine c’est mieux que la mer ! Il faut dire que le Mini Kid trouve la mer trop salée et la plage trop sablonneuse.
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"Ce n'est pas d'être heureux que je souhaite maintenant, mais seulement d'être conscient. On se croit retranché du monde, mais il suffit qu'un olivier se dresse dans la poussière dorée, il suffit de quelques plages éblouissantes sous le soleil du matin, pour qu'on sente en soi fondre cette résistance. Ainsi de moi. Je prends conscience des possibilités dont je suis responsable. Chaque minute de vie porte en elle sa valeur de miracle et son visage d'éternelle jeunesse".
- Albert Camus, Carnets I
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"Il y a le soleil qui délire et qui danse Au-dessus du jardin pétillant de couleurs Il y a le soleil qui fait valser les fleurs Et chanter les oiseaux subitement en transes.
Il y a la lumière inondant la campagne, Submergeant sous son or les blés blonds ondoyants Il y a le grand ciel transparent comme du verre et flamboyant teintant d’un bleu foncé la mer jusqu’en Espagne.
Il y a la garrigue odorante et trop sèche Dont la beauté fanée exhale des senteurs De lavande et de thym
Il y a la moiteur Des corps qui ont trop chaud, La peau devenue rêche.
Sous les rayons d’acier d’un soleil implacable Et il y a la plage et son sable en fusion La mer qui s’évapore en presque ébullition Dans l’énorme chaleur d’un été qui accable Et qui rend fou le Monde au bord de l’explosion.
Oh ! Puisse-t-il renaître en une autre éclosion…"
Vette de Fonclare "Délire d'Été"
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