Tumgik
#et sous la plage
fabiansteinhauer · 1 year
Text
Plötzliche Glätte
Als Fabian Steinhauer eines morgens aus unruhigen Träumen erwachte, muss jemand über Nacht mit seinen Haaren abgehaut sein.
5 notes · View notes
Text
Clôture
Je fais peu à peu le deuil de la vie que j’ai essayé de vivre. Je croyais qu’il était possible de sortir de soi-même pour devenir une autre, je croyais que mille autres filles étaient cachées sous ma peau, et que je pouvais les incarner une à une. J’ai la capacité de me dissocier très fortement de mes émotions et de mes désirs propres, ce qui a rendu cette errance identitaire plus facile que si j’étais stable et ancrée.
Je voulais rejoindre l’agitation du monde. Avoir beaucoup d’amis, être socialement acceptée, suivre les tendances et la mode, sortir, boire, aller à des concerts. Les concerts ont toujours été difficiles : les sons longs et prolongés me font peur, j’ai peur de perdre l’audition. Je tentais de me convaincre que c’était irrationnel. En mars, j’ai eu un mini trauma sonore et je n’ai pas pu ignorer plus longtemps le fait que mes sensations étaient valides. Je dissociais de plus en plus. Je ne voulais pas écouter mon corps, mon intuition, mon anxiété. À trop l’ignorer, l'anxiété sociale est devenue prépondérante et marcher dans la rue devenait impossible.
Je suis passée à mi-temps au travail et depuis je vais un peu mieux. Ce changement de rythme m’a permis de réaliser que je suis fondamentalement lente, et très sensible à tout changement de rythme. Je ne pense pas vivre sur la même temporalité que les autres. J’ai besoin de plages de temps extrêmement longues où « je ne fais rien » - c’est ce que je dis aux autres. Mais en réalité, je contemple, je réfléchis, je poétise et j’imagine. C’est le temps qu’il me faut pour me recharger. Je déteste que l’on me presse. Je déteste faire vite. Ça me rend très en colère. Je déteste la colère.
Je fais marche arrière. Je suis très triste. J’ai testé la vie des autres et je n’y arrive pas. Travailler à temps plein, sortir, vivre vite, le bruit, la foule : je n’y arrive pas. C’était intense, c’était fort, c’était drôle, c’était beau, c’était une illusion. J’ai repris mes livres. J’ai recommencé à écrire. J'ai abandonné instagram. Je continue la randonnée, et même ça, je le fais plus lentement : je regarde les plantes, je note, je prends des photos. Je fais tout plus lentement. Je fais tout à mon rythme. Et c’est mieux. La colère n’a pas disparu. Je crois qu’elle ne disparaîtra plus jamais. Elle restera là en souvenir de ces 5 ans passés à tricher, à croire que j’étais une autre personne. J’étais une adolescente qui ne s’énervait jamais, qui ne détestait jamais personne. Je suis une adulte qui a du mal à gérer sa colère et ne supporte plus les gens dans le bus. Mais je vais déjà mieux. Je suis sereine et je prie. Dimanche dernier, j’ai marché seize kilomètres pour aller à la messe dans mon lieu préféré, alors que je n’avais pas communié depuis dix ans, et il s’est passé une chose magnifique. Je ne crois pas que je l’écrirai ici. C’est une histoire de foi et les histoires de foi sont très intimes.
Je ne sais pas encore précisément quelle direction prendront ces prochains mois. J’ai très peur de redevenir triste. J’ai entendu une émission l’autre jour à la radio où un psychiatre disait qu’autrefois, quand il y avait des dépressions saisonnières, on envoyait les femmes, c’étaient souvent des femmes, faire des cures à la mer. On les autorisait à mettre leur vie sur pause et à se reconnecter à la nature. J’aimerais avoir ce temps. C’est pareil pour les cycles, je rêverais d’une société qui autorise les congés menstruels. Bref. Je crois que même si je suis lente par rapport aux autres, la société va beaucoup trop vite, pour tout le monde, et qu’on a perdu le lien à son corps et à la nature, et que ça amplifie tout symptôme. Les femmes dépressives qui partaient faire des cures à la mer ne revenaient pas guéries de leurs dépressions : mais au moins, elles avaient le temps d’accueillir la maladie, le temps de composer avec. Je voudrais le temps de pouvoir composer avec mes dépressions. Je ne voudrais plus avoir à me forcer à être vive, belle, douce ou bienveillante, quand je voudrais seulement m’enfouir six pieds sous terre. Je voudrais avoir le temps d'accueillir ma tristesse.
J’irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique. Ce que j’ai vécu, je ne le vivrai probablement plus jamais. C’était beau, mais c’était mauvais. C’était comme nourrir le chien avec les aliments du chat : le chien adore, mais à long terme, sa santé se dégrade. Ce n’est pas la plus belle des comparaisons. Mais voilà. Je ne peux plus me nourrir du bruit, ni de la foule, ni de la course à la réussite. J’ai besoin de me nourrir du ciel, des arbres et de la poésie. J'irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique, mais d'une nostalgie qui se rapproche de la résignation. Je sais intimement que c'est la bonne décision.
42 notes · View notes
chic-a-gigot · 2 months
Text
Tumblr media
La Mode nationale, no. 30, 27 juillet 1901, Paris. No. 1. — Groupe de toilettes pour dames. Bibliothèque nationale de France
(1) Toilette de casino pour jeune femme, en crêpe blanc. Princesse à double pli devant. Au bas, volant de dentelle ocrée surmonté d'une draperie de foulard-panne noir. A droite, gros chou à cœur de strass. Boléro de dentelle ocrée ouvert sur un plastron de mousseline de soie plissée. Devant, draperie noire et chou. Longues épaulettes et bouffant de dentelle sous la manche échancrée du bas.
(1) Young woman's casino ensemble, in white crepe. Princess with double pleats in front. At the bottom, ochre lace flounce topped with a drapery of black panne scarf. On the right, large cabbage with rhinestone heart. Ochre lace bolero open on a pleated silk muslin plastron. Front, black drapery and cabbage. Long epaulettes and lace puff under the low-cut sleeve at the bottom.
Matériaux: 14 mètres de foulard; 5 mètres de foulard-panne; 2 mètres de mousseline de soie.
Chapeau en paille brûlée, auréolée, orné d'un nœud de velours blanc et de bouquet de folle avoine. Voile de tulle illusion noué en cravate.
Hat in burnt straw, haloed, decorated with a white velvet bow and a bouquet of wild oats. Illusion tulle veil tied in a tie.
(2) Toilette de plage pour jeune femme ou dame d'âge moyen (dans ce cas, supprimer la ceinture). Jupe et corsage composés de laizes de dentelle et de rubans de velours alternés. Manche coupée en sifflet sur un long bouffant de dentelle à clair. Ceinture à longs pans et col en taffetas fleuri.
(2) Beach attire for a young woman or middle-aged lady (in this case, remove the belt). Skirt and bodice composed of alternating strips of lace and velvet ribbons. Sleeve cut in a whistle on a long bouffant of lace with clear. Belt with long panels and collar in floral taffeta.
Matériaux: rubans de velours no. 20; larges entre-deux de guipure.
Capeline de crin blanc bordée de velours noir, enroulée de tulle blanc; roses et feuillages en guirlande et en cache-peigne.
White horsehair capeline edged with black velvet, wrapped in white tulle; roses and foliage in a garland and as a comb cover.
39 notes · View notes
jacquesdor-poesie · 1 month
Text
S'endormir, quelle échappée belle ! Répétition, dans des jardins d'encre de Chine, du grand sommeil qui nous attend. Dormir sous les paupières immenses de la nuit grande ouverte et qui n'aura plus de fin. Depuis la plage, cet océan nocturne, béant et insondable, a tellement d'allure, de musicalité.
jacques dor
26 notes · View notes
Text
Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
Tumblr media
Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
Tumblr media
Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
31 notes · View notes
valerielemercier · 3 months
Text
" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence  aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait  d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
18 notes · View notes
je-suis-ronflex · 10 days
Text
Je suis allé à la plage histoire de prendre l'air et le soleil j'ai vu des beaux mecs musclés et bien bronzés et puis y avait moi avec mon physique de patate sous Xanax mais c'était quand même rigolo
12 notes · View notes
carraways-son · 2 months
Text
Tumblr media
Jeudi
Août. On a changé de lieu, de ciel et d’ambiance : à nous la campagne verdoyante de la Nouvelle Aquitaine. Tout juste arrivés, les kids se sont baigné dans la piscine-jacuzzi, avant leur leçon quotidienne de kanjis sous la férule paternelle. Leur sentence du jour, que je ne partage pas : la piscine c’est mieux que la mer ! Il faut dire que le Mini Kid trouve la mer trop salée et la plage trop sablonneuse.
7 notes · View notes
lisaalmeida · 9 months
Text
"Ce n'est pas d'être heureux que je souhaite maintenant, mais seulement d'être conscient. On se croit retranché du monde, mais il suffit qu'un olivier se dresse dans la poussière dorée, il suffit de quelques plages éblouissantes sous le soleil du matin, pour qu'on sente en soi fondre cette résistance. Ainsi de moi. Je prends conscience des possibilités dont je suis responsable. Chaque minute de vie porte en elle sa valeur de miracle et son visage d'éternelle jeunesse".
- Albert Camus, Carnets I
Tumblr media
17 notes · View notes
Text
QUELQUES TRUCS BIEN. MARS 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Tumblr media
Aller au dernier événement du printemps des poètes sous la pluie. Pleurer à chaudes larmes pendant le débat suivant la projection du film pourtant déjà vu. M’esquiver sur la pointe du cœur avant de retrouver les mots 
Fêter Pâques et les 19 ans de ma nièce, alors que mon petit Mateo goûte du chocolat 
Être surprise par la biche traversant devant moi de bon matin : émerveillement !
Aller au théâtre à l’improviste. Passer une soirée à compter les cercueils et chanter Julio Eglisias 
Retrouver mes anciens collègues de travail pour une soirée apéro. Partager des souvenirs et des tapas 
Manger des fruits de mer sur la plage 
Visiter un jardin méditerranéen avec vue sur la mer : promenade ensoleillée 
Papoter avec mon amie C. de choses légères et d’autres profondes. Se donner des nouvelles 
M’offrir un bouquin de poésie allant dans les sens de « trucs bien »
M’inscrire à un atelier d’écriture en ligne sur le conseil d’une des abonnés de mon blog 
Entendre le chant des oiseaux à l’aube 
Inscrire mon petit Mateo à une activité nautique 
Saluer la mésange qui vient me saluer de bon matin 
M’offrir des muscaris pour fleurir ma terrasse ce printemps 
Entrevoir une biche qui osait sortir du bois alors que la pluie venait tout juste de s’arrêter et que la forêt était calme. Rester surprise moi aussi 
Consoler ma sœur d’un chagrin d’amitié. Rassurer son cœur de maman 
Attendre la pluie avec l’alerte météo. Attendre aussi le soleil qui reviendra avec le printemps 
Déposer des affaires à Emmaus et me sentir plus légère de donner 
Faire le tri à la maison : ménage de printemps 
Débarrasser le terrain des déchets, trier bois, végétaux, plastiques et ferrailles 
Reprendre les tournées en camion pour aller à la déchèterie. Retrouver ma carte perdue depuis des années 
Faire des vocalises et presque une conversation avec mon petit Mateo 
Découvrir la montagne enneigée le matin après l’orage de la nuit 
Partager un week-end entre filles : sonorités 
M’émerveiller devant les tableaux de Mucha. Avoir les larmes aux yeux devant son engagement humaniste 
10 notes · View notes
fabiansteinhauer · 1 year
Text
Tumblr media
Tafeln
1.
Tafeln ist eine juridische Kulturtechnik, die mit dem Teilen und Übertragen zu tun hat. Daniel Damler behauptet, dass Speisevorschriften erste Gesetze gewesen seien und macht die These paradiesisch plausibel, also fûr das Paradies und mit dem Paradies glaubhaft.
Wer tafelt, soll teilen. Wer tafelt, soll übertragen, also eine Weise des Tragens und/oder Trachtens ausüben, die manche (darum vielleicht das Präfix über) mit einem Dritten assoziieren. Manche sagen sogar, der Dritte sei Dritter, weil er ein höheres Wesen sei. Höhere Wesen befahlen, höhere Zahlen zu verwenden, es gibt Leute, die das glauben. Etwas zu übertragen soll danach nicht mindestens zwei, sondern mindestens drei Teile oder Personen involvieren. Der eine gibt, der andere nimmt, der Dritte soll überwachen und garantieren, dass dieser Vorgang trägt und hält, dass er verbindlich, gültig und gründlich erfolgt. Dem Medium, einer Norm oder einer Referenz wird von einigen Autoren die dritte Stelle zugewiesen.
Das (alles daran) ist strittig, was aber nicht heißt, dass Fragen dazu nicht beantwortet werden können oder nicht beantwortet werden sollen. Eher das Gegenteil ist der Fall: darum sollen und können Fragen beantwortet werden. Sie müssen dabei bestritten und gehändelt werden, am besten antwortet man technisch, denn das geht, wie Bruno Latour hervorhebt, mit detour einher, also mit einer Umwegigkeit, die solche Antworten sowohl umgänglich als auch umgehbar macht. Technische Antworten werden geäußert und bleiben äußerlich. Sie sind artifiziell: kunstvoll zimmern sie künstliche Welten, die einen auch draußen lassen können. Hauptsache man hat Fragen und gibt Antworten.
2.
Auf der Wissenswallfahrt nach Aschaffenburg sind wir an einer der besten Gemäldegalerien des Bundeslandes Bayern und des Frankenlandes Franken vorbei gekommen, der meisterhaft renovierten und neu präsentierten Sammlung im Johannisschloss. Dort gibt es eine große Anzahl von Bildern des Rembrandtschülers de Gelder, der insbesondere das burleske, kabarettistische und theatralische Erbe seines Meisters pflegte. Er ist damit der Komödie näher als der Tragik, vielleicht den Leuten näher als den Souveränen, denn wir definieren Leute als diejenigen, an denen immer etwas lustig oder lustvoll absteht, zum Beispiel Fäden oder Haare, und Souveräne definieren wir als diejenigen, an denen und durch die alles glatt gehen soll. Leute sind die, nach denen man ab und zu mal schauen muss, wie der Laokoon das macht. Leute sind die, denen man nachschaut, sie sind mindestens leicht auffällig. Leute rufen Polizei hervor, auch wenn sie selbst nicht die Polizei rufen. Souveräne haben Polizisten oder sie sind Polizisten. Pole sie sie beide, denn beide kommen auf Warburgs Tafeln vor.
De Gelder malt ein letztes Abendmahl, also die Gründungsszene der römisch-katholischen Kirche, die im Februar 1929 auch während des Abschlusses der Lateranverträge nachgestellt wurde und Warburg die Gelegenheit gab, seine Überlegungen zu juristischen Formeln, Akten und Protokollen auch als Kommentar zu den Kulturtechniken des Verzehrens (Bing) oder Verschlingens anzulegen. De Gelder macht in seiner Malerei darauf aufmerksam, worauf auch Didi-Huberman hinweist. Eine Tafel muss kein Tisch sein. Es gibt auch niedere und schwache Tafeln, also Tafeln, die erstens dem Subtilen, Frivolen, dem Durchgehenden und dem Nichtmanifesten affin sind und die leicht verwechselbar und austauschbar mit dem sind, was nicht Tafel ist. De Gelder malt das letzte Abendmahl als Gesellschaft auf einem und an einem Tuch, wie Picknickdecken das sind , auch sous la plage, also auch unter dem Gesetz und unter Palmen. De Gelder, der ist ja nicht dumm, malt eine Treppenszene, deutet das Teilen als wohl auch als Träumen und das Verzehren als Begehren. Im oben erwähnten Streit lässt de Gelder eine scharfe Antwort geben: Das Teilen verlangt keinen Dritten, der höher wäre. Man kommt beim Teilen auch ohne höhere Dritte aus, denn im Traum gilt das Gesetz des Dritten nicht, nicht seine Ausschlüsse. Der Traum entscheidet nicht, auch wenn er Distanz schafft und scheidet.
Tumblr media
3 notes · View notes
chic-a-gigot · 1 year
Text
Tumblr media
La Mode illustrée, no. 25, 18 juin 1882, Paris. Toilettes de la Mon Fladry, Mme Coussinet Succr, 43. r. Richer. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Toilette de promenade en canevas de fil bleu ciel et moire à fines rayures bleu pâle et crème. Sous-jupe, garnie de dentelle blanche. Le devant de la jupe est couvert de longues coques de ruban de moire (pareil à la moire), lesquelles se terminent en pans pointus. Une longue tunique en canevas est drapée derrière. Le corsage est en moire rayée semblable au ruban. Sous le contour inférieur du corsage à pointe se trouvent deux rangées de dentelle blanche; sur les épaules se trouve une petite pèlerine en canevas, drapée sur l'épaule, sous une boucle, et garnie da dentelle. Chapeau rond en paille écrue doublé de soie bleue.
Toilette de plage, en batiste rose uni et satinette fond crème à dessins Pompadour. Le devant de la jupe, faite en batiste rose, est orné de dentelles blanches, sur lesquelles retombent des pointes de même batiste, bordées de même dentelle. Jupe-tunique en satinette bordée de dentelle, drapée derrière en un nœud énorme. Corsage à pointe de même étoffe que la jupe, avec pèlerine pareille, garnie de dentelle. Manches demi-longues. Gants en peau de Suède, extrêmement longs. Chapeau à larges bords en paille crème, doublé de rose, avec touffes de rhododendrons sur la passe.
Walking ensemble in sky blue thread canvas and moire with thin pale blue and cream stripes. Underskirt, trimmed with white lace. The front of the skirt is covered with long shells of moire ribbon (similar to moire), which end in pointed ends. A long canvas tunic is draped behind. The bodice is in ribbon-like striped moire. Below the lower outline of the pointed bodice are two rows of white lace; over the shoulders is a small canvas pelerine, draped over the shoulder, under a loop, and trimmed with lace. Round ecru straw hat lined with blue silk.
Beach ensemble, in plain pink cambric and cream sateen with Pompadour designs. The front of the skirt, made of pink batiste, is adorned with white lace, on which fall points of the same batiste, edged with the same lace. Satinette skirt-tunic edged with lace, draped behind in a huge bow. Pointed bodice of the same fabric as the skirt, with similar cape, trimmed with lace. Half-length sleeves. Extremely long suede gloves. Wide-brimmed hat of cream straw, lined in pink, with tufts of rhododendrons on the brim.
192 notes · View notes
leparfumdesreves · 1 year
Text
"Il y a le soleil qui délire et qui danse Au-dessus du jardin pétillant de couleurs Il y a le soleil qui fait valser les fleurs Et chanter les oiseaux subitement en transes.
Il y a la lumière inondant la campagne, Submergeant sous son or les blés blonds ondoyants Il y a le grand ciel transparent comme du verre et flamboyant teintant d’un bleu foncé la mer jusqu’en Espagne.
Il y a la garrigue odorante et trop sèche Dont la beauté fanée exhale des senteurs De lavande et de thym
Il y a la moiteur Des corps qui ont trop chaud, La peau devenue rêche.
Sous les rayons d’acier d’un soleil implacable Et il y a la plage et son sable en fusion La mer qui s’évapore en presque ébullition Dans l’énorme chaleur d’un été qui accable Et qui rend fou le Monde au bord de l’explosion.
Oh ! Puisse-t-il renaître en une autre éclosion…"
Vette de Fonclare "Délire d'Été"
Tumblr media
30 notes · View notes
swedesinstockholm · 5 months
Text
5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
7 notes · View notes
lesdamesmures · 6 months
Text
Tumblr media
Scène 14 "Une femme mure sur la plage"
En voyant Julie soulever sa robe pour découvrir ses fesses nues je m’arrêtais net derrière elle. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle se dévoile ainsi devant moi, j’étais surpris par son audace, la connaissant je ne l’aurai jamais cru capable d’un tel geste. Par ce signe si féminin, si coquin, c’était comme si elle avait compris ce qui pouvait m’émouvoir au point d’ancrer dans mon esprit cette fraction de seconde pour toujours. Je restais médusé et muet devant ce cul mature qu’elle m’offrait, devant moi à porter de mains, de mes lèvres alors qu’elle ralentissait en repliant sa jambe pour atteindre la marche suivante. Elle n’avait rien dit, ne se retournait pas, ses fesses s’ouvraient en montant la marche suivante laissant entrevoir la naissance de sa pilosité sombre dans la cage d’escalier. Je restais à contempler sa croupe, ses jambes et son dos avec sa robe relevées à la taille qu’elle tenait de sa main gauche, je ne pouvais retenir mon souffle qui s’accélérait au rythme de mes battements de coeur. Je vivais des émotions jamais ressentis jusqu’alors depuis ce moment calé entre son ventre et sa poitrine mature, la voir retirer sa culotte sous sa robe en me regardant et maintenant découvrir son fessier pour ne pas dire son cul, son gros cul mature qui ondulait sous mes yeux. 
J’étais dans le rêve des pieds à la tête, dans la fantasme tel que je ne l’aurai jamais imaginé avec cette femme qui m’avait témoigné tant de pudeur, tant de réserve mais je découvrais ce qu’une femme mure était capable de faire pour s’offrir au plaisir d’un homme et comprendre ses fantasmes. Mes yeux devaient briller de plaisir et de crainte de l’inconnu, ne sachant comment me comporter pour être à la hauteur de ce qu’elle représentait à mes yeux quand elle s’arrêta 2 marches plus haut en tournant la tête vers moi
- J’entends ta respiration Titouan, je n’avais jamais fait ça mais tu sembles tellement aimer mes fesses que je voulais t’offrir ce moment ! Elle parlait de sa voix douce en me regardant, un sourire tendre et ému me confirmant qu’elle n’avait pas l’habitude d’autant d’audace
- Oh mon dieu Julie ! Excusez moi mais votre cul me fait un tel effet si vous saviez, oh pardon de vous parler comme ça mais … Mon air surpris la fit rire presque d’un rire nerveux en m’entendant
- Et bien mon bébé tu es enthousiasme en tout cas, ne t’inquiète pas je le prend pas mal tu as raison après tout même je ne suis pas habitué qu’on me parle comme ça c’est assez cru mais troublant j’avoue ! Tu veux que je reste comme ça Titouan ? Me demandait-elle naïvement comme si je pouvais non !
- Oh oui j’aimerai Julie ! Je ne me lasse pas de le … les regarder, l’admirer, le contempler, le désirer, je le fantasme depuis que je vous ai vu ! Osais-je ajouter maladroitement comme si mes sentiments se limitaient à son postérieur
J’étais tellement excité que ma retenue habituelle s’effilochait au point de la choquer par mes propos typiquement masculins et machistes. Elle ne répondait pas à mes propos et en me fixant du regard elle se cambra légèrement en secouant sensuellement sa croupe comme pour me provoquer puis repris sa montée dans l’escalier en tournant la tête, sa robe toujours relevée et retenue sur ses hanches nues
Je mourrais d’envie de l’embrasser et m’enfouir dans ce volume charnu et impressionnant de si près. Je la suivais en gagnant une marche sur elle, j’aurai pu toucher ses fesses, ce cul mature qui me faisait tourner la tête, y poser mes lèvres et si je ne gardais pas un minimum de retenu y fourrer mon visage tout entier. Julie montait doucement, régulièrement jusqu’au palier exagérant presque son déhanchement comme si elle s’amusait à amplifier mon désir, j’approchais ma main sans la toucher, ma main ouverte qui n’avait plus que 2 marches pour attraper sa fesse charnue
- Pardon Julie ! Lachais-je en posant ma main sur sa fesse droite comme pour remplir ma main de sa chaire
- Ne t’excuses pas mon bébé ! Entendais-je en retour, comme un encouragement à profiter de ce moment et laisser aller mes pulsion
Je posais mon autre main sur sa fesse gauche et remontait mes 2 mains sur ses hanches comme pour l’arrêter avant de poser mon visage sur ses fesses et m’y frotter avec gourmandise et volupté. Elle lâchait un « oh » suivi d’un léger « hum » presque inaudible mais dont je ressentais les vibrations tellement mon visage s’était enfouie entre ses fesses majestueuses
Je m’étouffais dans ses fesses, j’étais dans son obscurité enivrante de sensualité. Julie restait immobile un moment, surprise par cette impulsion avant de l’entendre dire en se dégageant de mon emprise
- Et bien Titouan ! Je ne pensais pas que mon derrière te faisait autant envie, pas à ce point en tout cas ! Elle se retournait vers moi prenant mes poignets pour m’inviter à me relever
Sa robe avait recouvert sa nudité, elle semblait surprise à son tour, je ne savais pas lire dans son regard si mon initiative l’avait troublé ou choqué, malgré tout son intonation restait douce et bienveillante. Elle gardait une de mes mains dans la sienne m’emmenant dans le couloir, elle s’arrêtait devant la 1ere porte sur la gauche. Elle ouvrait la porte, je découvrais sa chambre, je passais la porte en la suivant découvrant un espace chaleureux et cosy, clair, avec un grand lit qui donnait l’impression d’un nid douillet recouvert d’une couette en lin de couleur verte d’eau et des oreillers volumineux qui donnaient envie de s’y plonger. La fenêtre était grande ouverte, elle semblait donner sur le côté du jardin, en rentrant avançant je remarquais une meuble garni produit de maquillage, crèmes et parfum ainsi qu’un grand psyché dans un coin de la pièce un peu plus sombre avec un fauteuil et une armoire d’époque en bois massif ou elle devait ranger ses affaires.
- Voilà mon petit nid mon prince ! Se contentait-elle de dire en refermant la porte derrière moi comme si elle voulait se mettre à l’abri des intrus
Je parcourais sa chambre du regard, presque gêné par ce qui venait de se passer me demandant si je n’avais pas été trop loin
- Elle est très coquette votre chambre Julie ! Disais-je, restant debout, je me sentais intimidé de me retrouver dans l’intimité de la chambre d’une femme de 58 ans
- Oh mon prince ! Tu veux bien aller chercher le champagne au frais et nos flûtes ? Se contentait-elle de dire
Je la sentais gênée, comme si elle essayait de gagner du temps ou alors elle voulait se griser un peu plus. Elle semblait stressée, peut-être choquée ou dépassée par ce que je venais de faire
- Oui bien sur Julie ! Je suis désolé si je vous ai choqué et impulsif je serai raisonnable, vous êtes la reine aujourd’hui c’est votre anniversaire et je ne veux pas gâcher cette journée en étant maladroit !
- C’est pas méchant Titouan ne t’inquiète pas mais je n’ai plus l’habitude et même jamais eu l’habitude qu’on me fasse ça ! Me répondait-elle en s’asseyant sur son lit comme si elle attendait que je revienne le plus possible
- Je reviens Julie, je fais vite !
Je refermais la porte de sa chambre derrière moi et allait chercher champagne et ramasser nos verres en repensant à cet échange. J’étais excité depuis le matin et encore plus de me retrouver chez Julie, dans sa chambre, cet épisode dans l’escalier avec la vision de ses fesses charnues et ondulantes, la sensation de mon visage dans ses fesses, je bandais dans mon jean encore au point d’en avoir presque mal et j’avais hâte de libérer cette excitation qui me tenait depuis le matin presque. Je n’avais jamais autant bandé pendant la même journée mais en remontant je me disais que j’étais un homme comblé et impatient de retrouver Julie.
J’ouvrais la porte de la chambre en disant 
- Me revoilà avec le champagne Julie ! Je marquais un temps d’arrêt en découvrant la pénombre dans la chambre. Les rideaux étaient tirés au 3/4, laissaient passer un puit de lumière jusqu’au pied du lit, je pouvais sentir un filet d’air provenant de la fenêtre restée ouverte. Je pouvais reconnaitre sa robe jetée nonchalamment sur le fauteuil, le soutien-gorge en dentelle qui formait l’ensemble avec sa culotte bleu pétrole qu’elle avait retiré sur la terrasse quelques minutes plus tôt était posé à califourchon sur le bras du fauteuil. Elle était visiblement nue sous sa couette. Julie était dans son lit, son bras replié soutenait sa tête dans sa main, la couette remontée sous l’aisselle de l’autre bras recouvrait sa poitrine dont le volume formait un gonflement d’où émergeait un sillon remontant vers son cou. Elle me regardait, un sourire légèrement crispé, son expression était presque inquiète, je pouvais deviner son émotion dans son regard. Elle ne disait rien, je restais planté à l’entrée de la chambre, la bouteille de champagne dans une main, les flûtes dans l’autre, je la regardais avec émotion et délicatesse comme si la fragilité de l’instant pouvait se rompre. Son visage se décrispait, laissant place à un sourire chaleureux et plein de connivence, sa main agrippa le bord de la couette et l’écarta d’un coup jusqu’à découvrir ses chevilles, son bras venait se replacer le long de son corps, la main posée sur sa hanche comme si elle m’offrait sa nudité à contempler. Mon regard s’arrêta sur sa poitrine qui s’écrasait sur le matelas laissant apparaitre ses mamelons larges d’un rose foncé, la peau blanche et laiteuse captivait mon regard. Ses seins écrasés l’un contre l’autre laissaient un sillon sinueux remonter à la base de son cou, la rondeur de son ventre blanc dessinait une courbe arrondie sur le drap donnant l’impression d’un coussin de chaire moelleuse et douillette. L’orifice sombre de son nombril tranchait avec la blancheur de son ventre en marquant son centre de gravité, en dessous un large bourrelet courbe marquait une ligne uniforme surplombant la pilosité de sa toison formant un triangle noir enfoui entre les plis de so ventre et ses cuisses charnues reposant l’un sur l’autre. Ses jambes hâlées et étendues dessinaient une sinusoïde partant de l’arrondi volumineux de sa hanche jusqu’a sa cheville. Je me délectais de ce tableau restant sans voix, sentant l’effet procuré par le corps mature et nu de Julie. Oh oui ! Mon sexe tentait de se déployer dans mon jean, je sentais mon gland commençant à se décalotter rien qu’avec le frottement de mes vêtements. Julie interrompait cet instant magique, qui je le savais déjà animerait mes pensées et mes fantasmes
- A toi maintenant ! Soufflait-elle tout simplement en me regardant
Je restais un instant immobile, encore ébahi par la vue gracieuse de son corps, allongé sur son lit, ses formes découvertes. Je regardais autour de moi pour libérer mes mains et poser champagne et flûtes sur la commode, remarquant dans le psyché que Julie n’avait pas bougé, elle me regardait dans tout mes gestes. Je me retournais vers elle, presque hésitant je finissais de déboutonner les quelques boutons fermés de ma chemise avant de l’enlever le plus naturellement possible, dévoilant mon torse. Son regard ne me quittait pas, elle souriait en profitant à son tour de cette exhibition complice qui excitait nos sens. D’un geste lent et inconscient sa main venait se nicher dans le creux de ses cuisses et son ventre rond. Je souriais d’un air gêné en la regardant, je n’avais jamais été scruté de la sorte dans ces moments, l’intimité était à son comble quand je libérais mon jean en le faisant glisser sur mes jambes en même temps que mon boxer, laissant mon sexe émergé d’un trait en se tendant droit comme dard, il se dressait fièrement, droit comme un bâton au moment où Julie lâchait un « oh ! » de surprise. Je finissais de retirer mon jean et mon boxer pour libérer mes jambes et chevilles quand elle enchaina en chuchotant 
- Viens ! » Elle tendait ses bras vers moi pour m’inviter à la rejoindre et me serrer contre elle
Je m’approchais, posant un genoux sur le matelas avant de me laisser aller dans ses bras ouverts et me nicher dans ses seins, ses pointes étaient dressées et ses aréoles couvertes de frissons. Elle resserait ses bras sur moi en m’étouffant presque dans sa poitrine généreuse, je pouvais sentir la douceur douillette de ses mamelles qui contrastait avec la fermeté et la sensation fraiche de ses tétons sur mes lèvres. Elle se collait contre moi, ouvrant ses cuisses en passant sa jambe par dessus ma hanche, mon sexe dur comme un bout de bois venait glisser sur l’intérieur de sa cuisse. Je pouvais sentir mon gland recouvert de viscosité glisser sur sa peau, signe de mon excitation depuis ce moment dans le canapé. Je sentais ces baisers qui recouvraient bruyamment ma tête, mes tempes, mon crâne. Ses lèvres aimantes et sensuelles appelaient ma bouche, je levais la tête, tendant le cou pour chercher ses lèvres avant de mêler nos langues et notre salive dans un baiser amoureux des plus sensuels
Mon main droite, prenait son sein écrasé contre le matelas, mon bras replié sous mon torse ne laissait que ma main libre pour venir caresser puis pétrir en douceur ce sein maternel, mes doigts butaient sur son téton érigé, je pouvais sentir la peau frissonnante de son aréole. Je l’entourais de mon bras libre, ma main rencontrait le galbe si féminin de sa hanche et poursuivait ses courbes jusqu’au creux de ses cuisses largement ouvertes pour rencontrer son intimité. Mes doigts pouvaient sentir pour la première ses poils pubiens, la sensation excitante de sa toison recouvrant son mont de vénus charnu, le pressant dans ma main avant de sentir ses lèvres humides aux abords et de plus en plus mouillées au fur et à mesure que mon index venait appuyer et pénétrer sa vulve.
Tout en gardant nos lèvres collées dans ce baiser animal et frénétique, je pouvais entendre ses « humm » profond, comme le ferai un gourmet qui déguste un met en le savourant. Elle gesticulait lentement au rythme de ma main et mon bras tendu vers sa chatte ouverte. Ce baiser amoureux paraissait durer une éternité, tous nos sens étaient en éveil, je sentais toute sa sensualité mature contre mon corps, elle était vivante lâchant ses gémissements de contentement, profitant de mes caresses intimes. Sa main qui accompagnait notre baiser depuis le début, quittait mon visage pour glisser vers mon bas ventre, prenant ma queue tendue dans sa main, elle la galbait d’abord avant de caresser et masser mes testicules allant de mes bourses et mon dard en le frottant et le caressant de sa main, du dos de la main, des doigts jusqu’à son poignet, elle découvrait et prenait mon sexe pour le sentir comme un objet précieux et convoité. 
Excités par nos caresses, mes doigts sentaient sa sécrétion vaginale, sa cyprine au point de laisser aller mon majeur s’enfouir entre ses lèvres charnues en même que ma main paume se plaquait sur sa toison en la massant. Je ne résistais pas à l’envie de découvrir ses lèvres, celles de son intimité. Je me redressais sur les genoux sans rien dire, je reculais jusqu’à ses cuisses qu’elle ouvrait largement comme d’un commun accord, en se mettant sur le dos et m’installait à genoux entre ses cuisses ouvertes. Ce moment de communion m’offrait la vue de son intimité mature, j’approchais ma bouche en restant à genoux entre ses cuisses avant de m’allonger en passant mon bras sous ses fesses. Julie m’accompagnait dans tout mes gestes, elle relevait  légèrement son bassin pour laisser ma main venir soutenir ses fesses pendant que ma bouche, ma langue mon nez venaient désirer ses lèvres. Elle remuait en même temps que ma langue léchait son intimité, venant s’enfoncer par moment avant de la satisfaire selon ses réactions, je m’appliquais comme si je tenais sur mes lèvres un précieux présent à déguster. Durant ces caresses buccales, elle se cambrait par moment, par à-coups, soulevait son bassin laissant ma main, mes doigts être plus intrusifs, ses gémissements se prolongeant en longs « Hummm ! ». Elle s’offrait à mes caresses intimes, sans la moindre résistance, avec docilité pendant quelques minutes. Mon visage tout entier s’imprégnait de son intimité, mon nez venant s’enfoncer entre ses lèvres, mon front s’écrasant sur sa chatte trempée. Ce cunnilyngus l’amènait à l’orgasme qu’elle concluait en comprimant ma tête entre ses cuisses, accompagné d’un cri strident et aigu, ces mains venant s’agripper dans mes cheveux je pouvais sentir son ventre et son vagin bouger en saccades avant de se relâcher d’un coup en sanglotant. Je pouvais voir son ventre bouger au rythme de ses sanglots, j’étais désarmé en la regardant je n’avais encore jamais vu une femme sangloter quand elle avait un orgasme.
 Après quelques secondes elle leva la tête vers moi les yeux embrumés et brillants
- Oh mon prince mais qu’est-ce que tu m’as fait !
Je me contentais de lui demander un peu inquiet 
- Tout va bien Julie ? 
Elle me rassurait, me disant que ça ne lui été pas arrivé depuis si longtemps mais que c’était une émotion de plaisir qui la faisait sangloter et qu’elle avait oublié ses sensations aussi forte. Elle tendait les bras vers moi pour me couvrir de baiser. Je sentais son coeur battre contre mon torse, elle avait besoin de récupérer j’en profitais pour déboucher la bouteille de champagne et revenir à ses côtés, assis sur le lit en lui tendant sa flûte remplie. Elle se redressa, les cheveux défaits, sa poitrine lourde bougeait en mouvement quand elle se redressa pour s’adosser et trinquer en buvant son champagne
- Merci mon prince d’amour ! Je crois que je n’avais pas jouis aussi fort depuis très très longtemps ! Me confiait-elle après avoir bu une bonne gorgée de champagne
Un sourire de fierté illuminait mon visage en l’entendant, je me sentais rassuré et heureux d’avoir pu lui donner autant de plaisir
- C’est moi qui remercie Julie ! Qui te remercie pour tout ce que tu me procures ! Je la tutoyais naturellement, maintenant que j’avais gouté à son intimité, je partageais son lit, c’était étrange de la vouvoyer après autant d’intimité, je pouvais la tutoyer
On échangeait tout en se caressant, tout en profitant de ce moment sensuel, je la regardais allant de son visage à sa nudité offerte devant moi. L’instant était d’une douceur et connivence extrême, je ressentais avec émotion sa féminité, ses gestes, sa voix apaisée et reconnaissante, son attitude enveloppante et maternante par moment, je vivais un instant de bonheur intense. Après l’avoir resservie de champagne elle s’approcha de moi en posant sa flûté et prenant la mienne en disant
- Allonge toi Titouan ! Se reculant pour me laisser la place et s’agenouillant pour installer les oreillers comme pour m’inviter à m’installer sur le dos
Je m’allongeais sans résistance, je la regardais sentant son désir dans ses yeux et sa douceur attendrissante. Elle restait assise les fesses sur ses chevilles, commençant à caresser mon torse, mon ventre sans toucher mon sexe en légère érection qui retombait sur mon bas ventre. Elle se penchait sur moi embrassant mon visage de petits baisers laissant ses seins pendre en effleurant mon épaule. Elle parcourait mon visage, mon cou, mon torse de baisers accompagnés de petits bruits de claquement, tout en me caressant avec ses seins lourds, les faisant glisser sur mon corps. Elle passait ses bras de l’autre côté de mon torse, sur le côté, l’image de la femme à 4 pattes, sa poitrine pendante venait me caresser comme un massage sur tout le corps. Je fermais les yeux, les ouvrais pour profiter de son corps sensuel, elle évoluait lentement en accompagnant ses caresses maméliques de baisers furtifs. Je ressentais une telle sensualité dans ces caresses, un tel désir de me donner du plaisir. Je pouvais voir son fessier onduler au rythme de ses caresses, ma main remontait sur l’arrière de ses cuisses allant jusqu’à dessiner le galbe de ses fesses, suivant la ligne de sa raie des fesses sur toute sa longueur. Ses caresses descendaient petit à petit sur mon bas ventre faisant redresser mon sexe qui butait contre ses seins. Elle ondulait encore plus comme pour commencer à me masturber avec ses seins jusqu’a laisser sa poitrine enfourcher mon sexe en déposant ses lèvres sur ma hampe. Elle ouvrait ses lèvres les faisant coulisser le long de ma queue qui se dressait en durcissant à nouveau comme une hampe. La sensation de ses lèvres, de ses seins me faisait planait au point de ne plus savoir exactement comment ni de quelle manière elle s’occupait de mon sexe, ses seins me donnaient l’impression d’être des mains, je n’avais jamais ressenti de telles caresses. A mon tour je savourais le plaisir qu’elle me donnait en gémissant tout doucement, fermant les yeux ou profitant de sa croupe à demi tournée vers moi. Je bandais comme un taureau en sentant ses lèvres glisser sur mon sexe, mon index glissait sur son petit orifice appuyant par moment au gré de ses mouvements. Mon doigt se faisait de plus en plus insistant au rythme de sa bouche, elle continuait à caresser et masser mon bas ventre avec sa poitrine tout en me suçant langoureusement. Mes doigts caressant sa raie jusqu’à ses lèvres mouillées d’excitation, petit à petit je la sentais venir s’appuyer sur mon doigt qui glissait tout doucement en elle, jusqu’à la pénétrer entièrement par l’anus
J’étais excité comme jamais, sa bouche me suçant, ses seins me massant, son fessier mature qui s’approchait en se tournant vers moi, je n’en pouvais plus de désir, d’excitation, de frissons. Elle me procurait un plaisir inconnu jusqu’alors, mes fantasmes rejaillissaient en sentant sa croupe onduler sur mon doigt. Je rapprochais ma tête de sa cuisse en glissant ma main entre ses cuisses voulant qu’elle m’enfourche, je l’avais imaginé à maintes reprises assises sur mon visage, ce fantasme qui m’était venu le 1er jour en voyant son fessier quand elle allait se baigner. J’étais sur le point de le réaliser, avoir la sensation de son cul mature recouvrir mon visage et lui donner du plaisir en m’enfouissant dedans. J’essayais de me glisser entre ses cuisses, tout en me concentrant pour ne pas éjaculer tellement sa bouche et ses caresses me procuraient du plaisir, je sentais la jouissance monter mais je voulais à mon tour lui donner du plaisir, peut-être lui faire découvrir cette position qu’elle n’avait jamais osé. Je me contractais en mordant ma lèvre inférieure pour me retenir tout en soulevant sa cuisse qui cédait à mon invitation. Je me faufilais dans son intimité, la tête entourée de ses cuisses charnues, elle en profitait pour lâcher mon sexe et faire glisser ses seins en enfilant ma queue tendue dans le sillon de ses seins, le gardant au chaud sans sa poitrine pendant que mes mains se posaient sur ses hanches en exerçant une pression vers le bas pour l’attirer sur ma bouche. Ses cuisses m’empêchaient de l’entendre mais je sentais les vibrations manifestant sa surprise quand j’enfouissais avec gourmandise mon visage tout entier dans sa chatte ouvertes, ma langue allant et venant lentement entre ses lèvres et son anus dans lequel je m’attardais. Je l’attirais sur moi à m’en étouffer je pouvais ressentir son plaisir quand elle abandonnait mon sexe, lui donnant un temps de répit pour redescendre ma jauge proche de l’éjaculation. Je continuais à l’attirer sur moi jusqu’à ce qu’elle se redresse pour finir assise sur mon visage. Mon nez, ma bouche, mon front tout mon visage était recouvert, son bassin commençait à se frotter sur moi, mes mains lâchaient leur emprise pour la laisser se masturber sur mon visage et remontaient sur ses seins en les agrippant fermement. J’étais dans le noir total, cherchant par moment à reprendre une bouffée d’air à chacun de ses mouvements me laissant un filet d’air, elle ouvrait largement ses cuisses comme pour mieux me sentir, elle se frottait en gémissant plaquant ses mains pour presser ses seins à travers les miennes, ses mouvements s’amplifiaient en s’accélérant, je le sentais proche de l’orgasme, ses cuisses se resserraient sur mes tempes, ses doigts se crispaient sur les miens presque à me griffer et dans un nouveau cri aigu elle se leva en se tordant de jouissance. 
Je pouvais voir son entrecuisse couvert de ma salive, de sa cyprine, ses poils collés et sa raie humide de notre excitation, j’en jouissais presque en vivant cette émotion qui faisait cogner mon coeur dans ma poitrine 
Je ne bougeais pas, je caressais ses flancs, ses fesses comme si je la rassurais, comme si je la remerciais de cette émotion, de ce plaisir qu’elle me procurait à se donner aussi intensément, de ce moment que je découvrais en même qu’elle. Après quelques instants, elle leva sa cuisse pour se laisser tomber sur le dos, épuisée par l’orgasme qu’elle venait de vivre. Son souffle était court, elle tournait la tête vers moi en posant sa main sur front 
- Oh mon bébé d’amour ! Mais qu’est-ce que tu m’as fait ? Comme si elle vivait pour la 1ere fois une telle jouissance
- Tu es sublime Julie, tu m’excites tellement si tu savais ! Répondais-je avec sincérité, j’entendais l’émotion dans ma voix
Elle se tournait vers moi, et plongeait son visage sur moi en le serrant entre ses mains pour m’embrasser avec une gourmandise pleine de passion. Mon sexe était encore dressé, lui aussi sous le coup de l’émotion, il s’était retenu lui aussi. Je sentais ce second souffle comme lorsqu’on sent que l’éjaculation va tenir encore quand Julie entourait mon sexe de sa main pour l’activer, pour continuer cette communion de nos corps, de nos plaisirs, de l’amour qu’on se donnait dans son lit. Elle quitta ma bouche en me regardant attendrie et reprenant son air doux et enveloppant pour me susurrer à l’oreille
- J’ai envie de toi mon bébé ! Sans attendre ma réponse elle m’enfourcha, gardant mon sexe dans ma main et s’asseyait cuisses ouvertes sur mon dard, commençant à se frotter dessus jusqu’à ce que mon gland pénètre ses lèvres lubrifiées par le désir. Elle se penchait sur moi en même temps, m’offrant sa poitrine, elle m’enveloppait de son corps, ses cuisses, je m’enfilais en elle pendant qu’elle me couvrait de baisers en me disant
- Laisse toi faire mon bébé, j’ai envie de te sentir en moi ! 
Comment résister à tant de douceur, tant de sensualité, à sa poitrine qui venait narguer ma bouche, et ses mouvements de bassin qui avalaient ma queue dressée en elle. Je posais mes mains sur ses fesses, accompagnant ses mouvements, mes doigts se crispant dans sa chaire. Tout son corps se mettait à bouger, à balloter au rythme de notre accélération, nous faisions l’amour comme un couple légitime, comme 2 amoureux qui partagent leur intimité. Après moins de 5 minutes de cette copulation, ses seins tressautaient, je secouais ses fesses qui claquaient sur mes cuisses, nos gémissements se mélangeaient et la jouissance montait de plus en plus fort ensemble jusqu’à ce que mon éjaculation explose en elle d’un jet continu provocant un râle bruyant de ma part immédiatement suivi d’un nouvel orgasme.
Fin de l'histoire
Une suite peut-être un jour selon l'inspiration ?!!!
7 notes · View notes
lounesdarbois · 1 year
Text
Chaque été depuis une trentaine d'années la descente graduelle de la Civilisation direction Afrique suit son cours. C'est comme le long déboutonnage d'un homme qui se rend compte peu à peu être un singe et n'y voit aucun problème, et au point où il se trouve cet été, un bouton de plus ou de moins, se dit-il, quelle différence ?
Ainsi nous aurons droit comme chaque année: -  aux clandos psychiatriques déambulant cul nu en hurlant sur le bitume fondu, ne s'arrêtant que pour chier accroupis sur les poubelles publiques (toujours en hurlant). -  à  la stupéfaction des pachas de l'époque ottomane écrasés de chaleur dans leurs chaises de plage sur les seuils, ne parvenant à manier leur éventail qu'à deux mains - aux filles de gauche voix enrouée dans la file d'attente des épiceries de nuit: "mais meuf what deux fuck?" pour faire américaine- canaille toujours trop bronzées, pieds sales, irrécupérables. - aux bandes de cailleras à la recherche de "chose-kek à gratter", blédards à teinture vendeurs de clopes, bonobos vomissant leurs lèvres marchant bras dépliés et mains sous le genou - aux lapeuses de glace au sucre de 40 berges cheveux courts, surpoids, cette fois tout à fait répugnantes, qui ont déjà renoncé à l'effort parce qu'elles ont leur gosse à la maison, leur chose  entièrement en leur pouvoir qu'elles vont malaxer tout leur soûl toute leur vie restante pour se venger de la vie - les bourges-"bohèmes" de plus en plus effeminés chaque année, de plus en.plus ambigus, toujours plus cocufiés, cambriolés, mais c'est justice. - aux transports en commun transformés en zoos roulants, bouillants, puants. - aux "événementiels", aux "fêtes", toujours les mêmes : un étal navrant d'objets à vendre sous une tente en toile cirée, une estrade vide avec des haut-parleurs crachant "du son", des brochures sur une table entourée de panneaux, c'est tout.
On ne le répétera jamais assez. Le processus d'extermination des Blancs est une guerre qui oppose non pas 2 fronts mais 3.
1/Le front des "vrais" avec les fas, les tras, "les petites gens les braves gens", les Gilets Jaunes, certains droitards, certains bourgeois, certains non-Blancs amis, nous, moi. 2/ le front des clandos, des envahisseurs, des colonisateurs, des métisseurs, des racailles, des profiteurs bien visibles, bien abrutis, identifiables, irréfutables. 3/ le front le plus méchant et le moins visible: bourges-bohèmes, planqués, banques, médias, synas, loges, PàB, boumeurs, antifas, élus, fonctionnaires, agents de l'étranger, bref toute la racaille du haut et de l'intérieur.
Il n'y a rien de pire que le front numéro 3, pas même la racaille même si elle était multipliée par clandestins au carré le tout au maximum de leur crasse en  fermentation sous cagnard dans maillot de foot synthétique. Le grand espoir de ces émeutes de sauvage c'est que ces primitifs une fois rassasiés de leurs bâtonnets de surimi au Capri-Sun chourrés dans les Lidl forcés à la Porsche-bélier s'en aillent demander un supplément d'argent de poche aux bourges-bohèmes du front numéro 2.
Par pitié les fas ne sortez pas du bois alors que la fête bat son plein! Nul ne doit risquer une minute de GAV pour un immeuble de bureau cramé. Je suis sorti du bois en novembre 2005, GAV pour extinction de feux de voiture à Echirolles. La belle affaire... c'est fini ce temps-là. Intervenir signifierait une interruption catastrophique de l'affrontement entre le front numéro 2 et le front numéro 3.
Tumblr media
Une idiote m'a dit que de toute façon tout le monde est bobo. Je lui ai dis non pas, pas les fachos. Et quand les bourges-bohèmes auront été bien détroussés, bien rossés, bien fessés, bien outragés par la racaille peut-être alors voudront-ils devenir des hommes c'est à dire, hélas pour eux, des fachos. "Mais nous on nique les fachos"...  Teu teu teu petites putes, tout beau, tout beau. L'arrêt des hostilités réveille une insolence refoulée ? Qui va niquer qui? Toujours des promesses. On vous renvoie trois mille autres cailleras sur la gueule ou vous avez suffisamment de quoi faire avec les dégâts des dix mille de la semaine dernière ?
Certains ont discerné quelle fabuleuse aubaine offrait le déchaînement de tous ces primitifs: - tout d'abord ces rats se sont donnés à voir au monde tels qu'ils sont vraiment et non tels que le monde voudrait qu'ils fussent. - ils ont cassé les barreaux de la prison des Blancs, ils ont saccagé, ridiculisé, piétiné presque chaque mirador du camp de concentration où nous à jeté le front numéro 3: magasins de vêtements franchisés, panneaux publicitaires, restaurants industriels, écoles publiques, mediathèques de gauchistes, etc. - ils ont menacé physiquement les insolents collabos ordinaires du front numéro 3: boumeurs, gauchistes, "activistes", hurleuses en surpoids, salopards anti-Blanc, insolentes, bouches inutiles de toutes sortes.
Toutefois que ces singes avachis dans leur hamac de sieste perpetuelle ne s'imaginent pas avoir accompli un quelconque travail lucratif. Ces quadrupèdes branlomanes sous shit ont encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent à se faire s'ils veulent bien mettre momentanément en sourdine leur lâcheté de pillards opportunistes de caravanes et tourner leurs groins renifleurs vers les opportunités fabuleuses des segments de marché encore intacts de la société de consommation. "La manière dont tu comptes en dit long sur ce que tu as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que tu as sucé".
29 notes · View notes