#ensemble enfants perdus
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ekman · 21 days ago
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– “Prends-moi la main, Martial. Je sens qu’elle arrive... Elle est déjà là.” Émile était devenu pâle comme un enfant fiévreux, le teint cireux et le regard de moins en moins mobile. Martial l’avait soulagé de son bardas, puis défait les boutons de sa gabardine. Derrière le tissu percé, son gilet et sa chemise étaient rendus poisseux d’un sang épais. Il respirait très mal, mais ça ne s’épanchait plus.
– “Ça va aller mon Émile, n’aies pas peur.” À genoux dans ce trou de mortier, hors de vue des tireurs allemands, Martial était perdu. Une minute plus tôt, Émile, qui cheminait devant lui, s’était effondré comme un sac de linge, pile quand la détonation d’un Mauser avait claqué sèchement au loin, là-bas vers l’Est, du côté des barbelés fridolins. Plaqué au sol, il avait tout juste eu le temps de le prendre par les brêlages pour le tirer dans un trou d’obus. Que faire si loin des lignes ? Pas la peine de gueuler au secours. À un mètre de profondeur, derrière la terre retournée, personne n’entendrait. Et pas de fusée dans la musette. “Pas la peine, y se passe plus rien ici”, lui avait asséné l’adjudant Bollard avant le départ vers l’avant-poste du Lieutenant Dutray, avec des instructions écrites et un sac de ravitaillement. Mais pourquoi un de ces crétins de Boche avait fait feu ? Des jours que la pétarade avait cessé ! Merde, pourquoi ?! Merde, merde et re-merde !
– “Martial, t’es toujours là hein ?” Martial savait que sa voix allait flancher. Sa vue était entrain de se troubler. C’est que dans sa grosse pogne si froide de boue et de pluie, il sentait la fine main d’Émile plus froide encore. Il se racla la gorge. “T’inquiète, j’ai envoyé une fusée, les secours vont arriver. Ça va aller vite, ils ne tirent plus en face.” La tête d’Émile glissait doucement sur le côté. Martial la redressa et se pencha sur son jeune copain de tranchée. “Merde, Émile, tu vas pas lâcher maintenant. Six mois qu’on traine ensemble ici à déjouer tous les mauvais sorts. Partout on raconte que ça va se terminer, tout ce tintouin, ce merdier. Si c’est pas aujourd’hui, ce sera demain, ou la semaine prochaine, mais guère plus je te dis...” Émile esquissa un sourire. “C’est bête ça, alors. On devait rentrer ensemble pour que je te présente ma sœur.” Il y eut un temps. “Elle est jolie, tu sais, la petite Charlotte.” Martial sentait les larmes creuser leur chemin le long de ses joues, inondant chaque contour de sa barbe sale. ”Oui, elle est gironde ta frangine, mon Émile.” Sa respiration s’arrêta d’un coup. Martial eut le réflexe de secouer le tirailleur de seconde classe Émile Gandin, mortellement blessé d’une balle au poumon.
– “Tu dois pas partir, Émile ! J’entends les gars de la Santé qui arrivent, dis donc ! Respire, bon sang !” Émile eut une inspiration brève et un peu de lumière revint dans son regard. “... et mes parents, Martial. Je suis sûr que tu plairas à mon père,. C’est un dur à cuire, comme toi…”
– “Arrête de causer. Repose-toi, là. Fais pas d’effort, respire bien.” Martial plongea son regard dans celui d’Émile, 22 ans. Il s’imprégna de l’image de son jeune visage, si affreusement pâle. 
Il vit assez nettement l’instant où le dernier souffle de vie passa entre les lèvres du mourant, faisant gonfler quelques petites bulles de salive rosâtres. Un très léger voile apparut à la surface des yeux d’Émile, quelque chose de ténu mais de définitif pourtant. Le signe qu’il venait de partir, de quitter ce trou de terre molle qui mêlait la chair des soldats, l’acier des obus et toutes les larmes de toutes les douleurs. C’était le 10 novembre 1918, quelque part dans le Nord de la France.
J.-M. M.
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chifourmi · 4 months ago
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Du coup maintenant que j'ai un peu de temps, c'est parti pour faire un petit récapitulatif de ces 3 dernières semaines!
Il s'est passé énooormément de choses pendant ma semaine au camp pour enfants avec handicap. Je vais faire des chapitres carrément.
1. L'enfant que je suivais
Il a la maladie de Duchenne. En gros des tissus adipeux se mettent autour de ses muscles. Il a du mal à se déplacer, il doit marcher lentement sinon il tombe facilement. Il peut se déplacer en chaise roulante. C'est une maladie chronique. Il a aussi un léger retard mental. Il a 11 ans.
Je me suis trop bien entendue avec lui. J'ai vu la vie complètement autrement parce que j'ai compris ce qu'était un monde pas adapté à toi. Les jeux où on devait courir c'était mort, les jeux de parcours c'était mort, le château gonflable c'était ultra difficile, rien que traverser le terrain c'était une épreuve,... Bon sinon tout le monde disait qu'il était amoureux de moi, trop chou. Il m'appelait tout le temps en criant avec sa voix aiguë. Tout le monde s'y était habitué. C'était un enfant roi, il piquait facilement des crises. Mais j'arrivais à le calmer. Sauf une fois où j'ai perdu patience et j'ai juste laisser les autres m'aider. D'ailleurs les accompagnants s'entraidaient souvent c'était trop chouette. L'année prochaine, il ne reviendra pas. Il passe au camp des plus grands. Ça va faire bizarre d'avoir un autre enfant que lui. J'imagine pas trop l'expérience avec un autre. Ça me fait un pincement au cœur rien que d'y penser.
2. Les accompagnants
Beaucoup venaient pour la première fois donc il n'y avait pas déjà des groupes partout. C'était tellement plus facile de s'intégrer du coup. C'était génial, je me suis trop bien entendue avec tous les gens. Surtout Cam, le feeling est direct passé avec elle. On se racontait tous les ragots, on restait souvent ensemble. Je me suis trop bien entendue avec son pote Pi aussi. Il est trop bonne ambi en soirée. Il est iconique, c'est un peu une chipie mais dans le sens positif. Je sais pas comment expliquer mais J'ADORE. À la fin ils m'ont dit de revenir l'année prochaine pour être le trio de pestes MDR. Puis y a Alby aussi, j'avais du mal avec elle au début parce qu'elle était toute blasée et j'avais envie de la secouer ahah mais après j'ai appris à la connaître et énorme coup de cœur. Elle est du genre à te poser une question philosophique à un moment hyper random. Elle est super spontanée et vraie. Puis un de mes coups de cœur c'était aussi PW. C'est très bizarre pcq à la base c'est le genre de gars qui m'in-su-pporte pcq il fait des blagues beaufs. Mais on est passés de ennemies to friends et au final c'est peut-être lui qui m'a le plus marqué positivement. En fait je crois qu'au début il me voyait juste comme une belle cruche et moi je le voyais juste comme un beau crétin. Au début il me taquinait, faisait des blagues sexistes, etc. Puis quand on a vraiment parlé j'ai capté que c'était juste un gars pas très fort pour montrer ses émotions, un peu maladroit avec les filles. Je lui ai dit que je détestais son côté beauf et après je ne l'ai plus jamais entendu faire de blagues sexistes. Je me suis trop attachée à lui. Nos moments à deux étaient tellement touchants. Mais ce qui m'a fait trop mal au cœur c'est que c'était son tout dernier camp. Il ne reviendra pas les prochaines années. Ça va être tellement différent sans lui.
Sinon y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec physiquement et qui m'a perturbé. Je ne l'ai pas calculé le premier jour parce que je voulais me tenir loin de lui mais il est venu vers moi de lui-même le deuxième jour. On a parlé petit à petit durant la journée. Et en fait chaque soir, une fois que les enfants dorment, on fait un débrief entre tous les accompagnants puis on fait une soirée. Et on est restés ensemble toute la soirée. Il était tellement intéressant, il voyage en solo depuis qu'il a 14 ans et ça se voit qu'il en a appris des choses. Puis j'adore son caractère. C'est la définition de la force tranquille. Mais après cette soirée, quand on s'est retrouvés à deux, il m'a embrassé sur la joue. Je m'y attendais pas, c'est arrivé d'un coup. Je ne comprends pas comment les mecs peuvent se permettre d'envahir l'espace personnel de quelqu'un comme si c'était rien. Ça m'a énervée et je l'ai stoppé direct en disant que j'étais en train de construire quelque chose avec le musicien et que du coup je n'étais pas intéressée. Il a compris et a réagit normalement. Après ça, on s'est posés au coin du feu et on a continué à parler. Heureusement, y avait pas de gêne. Il m'a dit qu'il serait content qu'on reste amis maiiiis après il m'a quand-même précisé que si jamais je n'avais plus rien avec qui que ce soit, il était là. MDR. Amis mais pas trop? Par contre cette nuit était trop belle, les étoiles se voyaient parfaitement, y avait des étoiles filantes et même des lucioles. Ce que j'aimais trop aussi avec lui c'est qu'en soirée il était toujours partant pour tout, il était trop bonne ambi. C'était un peu mon pote de soirée quoi. Mais je ne l'ai vu que 3 soirs parce qu'il est parti plus tôt que tout le monde. Mais revenons un peu en arrière. Après le soir où il m'a fait un bisou sur la joue, la grosse gaffe que j'ai faite pcq je suis TROP CONNE, c'est qu'avec encore de l'alcool dans le sang j'ai envoyé un message au musicien pour lui dire que y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec et que ça me perturbait et qu'il m'a embrassé sur la joue et blablabla. Je lui ai tout expliqué de la pire manière possible comme si c'était juste un pote et que ça n'allait pas avoir de conséquences. Le lendemain, le musicien était trop saoulé mais on s'est appelés et on a tout mis au clair et il m'a demandé de ne plus parler à ce gars. Ce que j'ai donc voulu faire. SAUF QU'IL ME COLLAIT TOUT LE TEMPS. Du coup on a quand-même continué à parler et je l'ai dit après au musicien. J'aime trop qu'on puisse tout se dire et qu'on puisse tout résoudre en communiquant calmement. Ça me met tellement en confiance. Je me sens vraiment en sécurité dans notre relation. Je suis trop heureuse de l'avoir rencontré purée.
Bon je vais m'arrêter là pour le récap du camp en tout cas.
(23/07/2024)
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jamie-007 · 6 months ago
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Fréquente une fille qui lit. Fréquente une fille qui dépense son argent dans les livres au lieu des habits, dont les placards débordent parce qu’elle a trop de livres.
Aime une fille qui possède une liste de livres à lire et une carte de bibliothèque depuis l’âge de douze ans. Trouve-toi une fille qui lit. Tu la reconnaîtras parce qu’elle a toujours un livre à lire dans son sac. Elle regarde avec admiration les livres rangés sur les étagères des librairies, s’émeut discrètement quand elle a trouvé le livre qu’elle cherchait.
Tu vois cette fille bizarre qui respire les pages des vieux livres dans les librairies d’occasion ? C’est elle, la lectrice.
Elle ne peut pas s’empêcher de respirer les pages des livres, surtout quand celles-ci sont jaunies et usées.
C’est celle qui lit en passant le temps dans le café au coin de la rue.
Si tu regardes sa tasse, tu remarqueras que la crème a complètement fondu, parce qu’elle est déjà complètement absorbée par son livre. Perdue dans le monde imaginé par l’auteur.
Assieds-toi. Peut-être te lancera-t-elle un regard, car la plupart des filles qui lisent n’aiment pas être dérangées. Demande-lui si elle aime son livre.
Propose-lui une nouvelle tasse de café. Dis-lui ce que tu penses vraiment de Murakami.
Demande-lui si elle a dépassé le premier chapitre de Fellowship. Comprends bien que si elle te dit qu’elle a compris Ulysses de James Joyce, elle dit ça juste pour avoir l’air intelligente. Demande-lui si elle aime Alice ou voudrait être Alice.
C’est facile de fréquenter une fille qui lit.
Offre-lui des livres pour son anniversaire, Noël et toutes les autres fêtes.
Offre-lui des mots, en poème et en chansons.
Offre-lui Neruda, Pound, Sexton et Cummings. Montre-lui que tu as compris que les mots sont de l’amour. Sache qu’elle connait la différence entre les livres et la réalité, mais que malgré tout, elle essayera quand même de faire que sa vie ressemble un peu à son livre préféré. Ce ne sera jamais de ta faute si elle le fait. Il faut qu’elle essaie. Mens-lui. Si elle comprend la syntaxe, elle comprendra que tu as besoin de mentir. Derrière les mots se cachent d’autres choses : des raisons, des valeurs, des nuances et des dialogues. Ça ne sera pas la fin du monde. Déçois-la. Parce qu’une fille qui lit sait que les déceptions précèdent toujours des sommets d’émotions. Parce qu’une fille qui lit comprend que toutes les choses ont une fin, mais qu’on peut toujours écrire une suite. Qu’on peut recommencer encore et encore, et rester le héros. Que dans la vie, il y a toujours un ou deux méchants. Pourquoi avoir peur de tout ce que tu n’es pas ? Les filles qui lisent comprennent que les gens, comme les personnages, peuvent évoluer. Sauf dans Twilight. Si tu trouves une fille qui lit, ne la laisse pas t’échapper. Si tu la retrouves à 2 heures du matin, serrant un livre contre elle et pleurant, prépare-lui une tasse de thé et prends-la dans tes bras. Tu la perdras sûrement pour quelques heures, mais à la fin, elle reviendra toujours. Elle parlera comme si les personnages du livre existaient vraiment, parce qu’ils existent toujours, l’espace d’un instant. Tu la demanderas en mariage dans une montgolfière. Ou à un concert de rock. Ou l’air de rien, la prochaine fois qu’elle sera malade. Par Skype. Tu souriras tellement que tu te demanderas pourquoi ton cœur n’a pas encore éclaté dans ta poitrine. Tu écriras l’histoire de vos vies, vous aurez des enfants avec des noms étranges et des goûts encore plus étranges. Elle fera découvrir le Chat Potté et Aslan à vos enfants, peut-être même les deux dans la même journée. Vous passerez l’hiver de votre vie en vous promenant ensemble, et elle récitera doucement Keats pendant que tu feras tomber la neige de tes bottes. Fréquente une fille qui lit, parce que tu le mérites.
Tu mérites une fille qui peut, par son imagination, parer ta vie de mille couleurs.
Si tu n’es capable de lui offrir que de la monotonie, des idées ternes et des demi-mesures, mieux vaut rester seul.
Si tu veux le monde entier, et tout ce qui se cache derrière, fréquente une fille qui lit.
Encore mieux, fréquente une fille qui écrit.
Rosemarie Urquico
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transparentgentlemenmarker · 6 months ago
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Elle s'est mariée à l'âge de 14 ans, et à l'age de 20 ans, elle devient mère. La première femme millionnaire qui a fait fortune avec ses 10 doigts.
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Elle est entrée dans le Guinness Book of Records en tant que première femme à devenir millionnaire indépendamment, sans argent hérité. Sara Breedlove est née en 1867 dans le sud des États-Unis, dans l'État de Louisiane. Ses parents, ses frères aînés et sa sœur étaient esclaves dans les champs de coton. Mais Sara est née libre. À 7 ans, elle a perdu ses parents. Après la mort de ses parents, elle a emménagé chez sa sœur et son mari. Enfant, Sara travaillait comme femme de ménage et n'avait pas le temps de scolariser. Elle a plus tard indiqué qu'elle n'avait eu que 3 mois d'éducation formelle lorsqu'elle a fréquenté. Elle n'avait que 14 ans quand elle a épousé Moses McWilliams. Elle ne l'a pas fait parce qu'elle l'aimait la vérité était que le mari de sa sœur était un homme très violent, et le mariage était le seul moyen pour Sara de s'échapper de cette famille. 4 ans plus tard Sarah et Moïse avaient une fille ensemble. Son mari décédé elle est donc devenue veuve à l'âge de vingt ans. En 1888, Sara déménage à St. Louis. Ses frères y travaillaient comme coiffeurs. Elle a commencé à travailler dans une laverie et comme cuisinière pour payer les études de sa fille dans une école publique. Sara gagnait environ 1,50 $ par jour. Comme tous les travailleurs de la blanchisserie, Sara est tombée malade à cause de produits chimiques, maladie de la peau, manque d'eau et chauffage dans la maison ont fait que Sara à perdu ses cheveux. Grâce à ses frères, elle a appris les bases des soins capillaires. Eni Malon des produits capillaires, et la rencontrera plus tard en personne, elle commence à vendre ses produits dans la rue. Travaillant toujours pour Malon à 37 ans, elle déménage à Denver avec sa fille et commence à penser à sa propre gamme de cosmétiques pour les femmes afro-américaines. Après de nombreuses expériences, elle réussit et elle commence à construire sa propre entreprise. En 1906, Sara épousa Charles J. Walker est devenu plus tard célèbre sous son nom de famille.
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Charles devient son partenaire commercial, il a fait de la publicité et a aidé sa femme avec la promotion. Sara a fait du porte à porte en essayant de vendre ses produits, mais aussi pour apprendre aux femmes comment prendre soin de leurs cheveux et coiffer. La même année, elle a décidé d'agrandir son entreprise, alors elle et son mari ont voyagé en Amérique. Sa fille a obtenu son diplôme d'école, alors elle a aidé sa mère. Deux ans plus tard, Sara déménage à Pittsburgh, la famille ouvre un salon de beauté, mais aussi une école qui forme les gens sur les soins capillaires afin qu'ils puissent appliquer les produits. En 1910, Sara déménage à Indianapolis, où elle ouvre le siège de la compagnie Madame C. J. Walker. Elle construisit une usine, un laboratoire, un salon de coiffure et une école de beauté où elle forme ses agents commerciaux. En 1917 elle employait 20 000 femmes. Ses agents gagnaient de 5 à 15 dollars par jour. Sara voulait que les femmes afro-américaines soient financièrement indépendantes, alors elle a encouragé les femmes à ouvrir leur propre entreprise et leur a appris à gérer l'argent. Plus elle devenait riche, plus elle passait du temps à des œuvres de bienfaisance elle a donné des conférences, s'est battue contre l'injustice sociale. Avant de mourir, elle a fait don de plus de 100 000 dollars aux pauvres et à diverses organisations et institutions sociales. Dans son testament, elle a déclaré que les 2/3 de ses futurs bénéfices devraient être reversés à une œuvre de bienfaisance. Elle est morte à l'âge de 51 ans. Elle était considérée comme la femme afro-américaine la plus riche. Quand elle est morte, on pensait que sa fortune se situait entre 500 000 et 1 million de dollars. Au cours de sa vie, Sara n'était pas millionnaire, seulement 2 ans après sa mort, sa richesse a augmenté, mais pendant qu'elle était en vie, elle voulait faire plus de bonnes actions.
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claudehenrion · 2 months ago
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Le compte à rebours
Je vous parlais il y a peu (c'était à propos de ''Thorin'', notre cousin-néandertal redécouvert il y a peu dans la Drôme) du retour des guerres tribales, du ''moi seul contre tous'' et, d'une violence diffuse mais aux relents préhistoriques... Et voilà que, comme un contre-point de ce constat, Monsieur (j'y tiens !) Bouallem Sansal écrit un ''Vivre, le compte à rebours'', qu'il faut lire –comme tout ce qu'écrit ce géant de la pensée, orgueil de la francophonie : il fourmille d'idées brillantes... mais parfois si tristes, à la fois.
Une phrase, je crois, résume tout et justifie le livre ''Notre époque –écrit Sansal-- pense petit et bête, et ne pense même plus, enfermée dans sa nullité. Ecoutez et regardez les politiciens, et vous comprendrez tout''. Dans les années 1960-1970, l'humanité insouciante et arrogante s'était laissée prendre dans la folie du consumérisme et du ''toujours plus'' à l'américaine. Mauvaise idée ! Elle a alors découvert brutalement que notre pauvre planète, surpeuplée et surexploitée, se mourait sous nos yeux et qu'il n'y avait pas de solution à long terme. En se donnant un mal fou, on a réussi à étirer ce délai un siècle plus loin. Le compte à rebours a commencé et tous les narratifs religieux, philosophiques et politiques qui fournissaient des schémas rassurants se sont effondrés ou sont en train de le faire. ''Dieu lui-même n'y peut rien, ajoute Sansal : la vie est mortelle !''.
Le constat suivant porte sur notre monde, ultra mécanisé, hypra standardisé, qui est devenu trop triste, trop pauvre : il ne propose plus que du normatif, du ''contre nature'', de l'abrutissement, et de faux échappatoires pour mourir sans douleur. Il existait un moyen qui pouvait permettre de nous rendre globalement plus intelligents et plus inventifs, c'était l'école... et à voir l'état du monde, elle n'a pas été à la hauteur : non seulement nous avons perdu le sens de l'histoire et notre intimité avec la Nature, mais nous avons tué nos deux seuls nids protecteurs : la famille et son intrication avec et dans la société. Hélas la France, conclut Sansal, s'est disqualifiée elle-même.
L'homme, comme toute théorie (car ce que nous appelons ''Homme'' est lui-même une théorie, dont la ''définition'' a souvent changé, au cours des âges) ne peut se construire que sur quelques axiomes de base qui vont former un ''credo'' lui permettant de gouverner sa vie. Dans ce sens, précise Sansal, qui est musulman, le concept de ''Trinité'' a été un merveilleux credo ''qui a permis au catholicisme de bâtir une merveilleuse civilisation apostolique et romaine qui a illuminé le monde pendant près de deux millénaires'' et a été remplacée par un pseudo-pacifisme-pour-enfants, et l'amour-du-prochain'', si porteur de progrès, s'est ratatiné en un ''vivre ensemble'' aussi impossible que mensonger). La magie catholique s'est éteinte, et on a alors prétendu qu'il existerait d' autres ''trinités'', toutes fausses, pour faire tourner la Terre. (NDLR : on aurait du mal à trouver un européen, aujourd'hui, qui oserait affirmer de telles vérités).
Au moment où semble parfois s'approcher le terme de notre aventure humaine sur la Terre (ou en tout cas, de clore un énorme chapitre... ça, c'est certain), la ''trinité'' qui semble avoir le vent en poupe est le ''wokisme'', une théorie de Blancs, faite par des Blancs, soi-disant pour les Noirs, qui repose sur 'la culpabilité, la repentance, et le désordre général'', ce qui en fait, dit Sansal, ''plus de la fumisterie et de la coquetterie sado-maso mal placée qu'autre chose''. Mais tout est punitif, aujourd'hui.
Un bel exemple de cette déviance forcenée réside dans ce qu'est devenue l'écologie, qui n'est plus que le laboratoire du développement de la folie destructrice et du châtiment à bon droit dans tous les domaines : la justice, l'économie,la gouvernance, la culture, et même la science... sont pourries et viciées par la ''pensée'' (?) écolo. ''L'écologie n'est plus qu'une formidable machine à offrir à chacun le droit de punir n'importe qui sur de mauvais motifs et pour de mauvaises raisons... mais en invoquant le ''bon droit'' (sic !), précise Sansal. De manière difficilement explicable tant cette évolution est porteuse de malheur, la Foi a été remplacée par ''le Droit'' comme ''ultima ratio'', et c'est cet abandon de la Foi de nos Pères, seule source d'existence et de possibilité de durée qui est le signe le plus inquiétant de notre engagement sur la route de la fin.
Et puisque nous parlons de religion (via la Foi), reconnaissons que ''les musulmans, en déclarant unilatéralement que Dieu –Allah dans leur cas-- parle arabe ''puisqu'il est arabe'' (c'est l'intangible Coran qui le dit), ''se sont auto-attribué un pouvoir absolu et un droit d'usage préférentiel sur tout l'univers''. (NDLR : et à en juger par le résultat à cet instant, ils ont du faire une erreur de traduction ou d'interprétation quelque part : d'un côte ''un monde musulman dans un état de folie infinie'' –dixit Sansal !-- et de l'autre une hostilité universelle qui se développe sans possibilité apparente de rémission.
L'idéologie du moment, ''le matérialisme le plus sordide qui puisse être, axé sur la possession de biens matériels et les compétitions qui découlent de ce désir mortifère'' éteignent en nous les lumières de l'esprit et et ferment toute porte à la transcendance –dont nous avons besoin plus que jamais. Est-ce la fin du monde qui se prépare devant nous... ou la fin de l'humanité ? Je parierais plus certainement pour la fin de l'Homme dans ce qu'il avait, précisément, de grand, de beau ou de transcendantal. Toujours est-il que la voie que nous avons librement choisie ne nous parle que de guerres (Rappel : 59 officiellement reconnues aujourd'hui, donc sans doute davantage...), et nous reparle périodiquement de nucléaire, ici ou là... Il y a de quoi s'inquiéter, non ? Le compte à rebours aurait-il déjà commencé, à l'insu de notre plein gré 
Un dernier point, qui doit être ''fait'' : un mois après ces réflexions tellement douloureuses pour nous (mais qui peuvent être les dernières à pouvoir nous réveiller), Boualem Sansal est revenu à l'assaut de la forteresse de notre aveuglement : ''La France est en train de mourir sans le savoir... ou peut-être sans vouloir le savoir''. Que de regrets nous allons avoir, pour avoir tant et tant de fois refusé de voir ce qui nous crevait, littéralement, les yeux !
H-Cl.
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lounesdarbois · 1 year ago
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il  est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
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Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel,  au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
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L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation",  considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
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Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
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La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté,  la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ?  "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
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Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
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Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ?  Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière",  de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
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Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
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Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas". 
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
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Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce  trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports  au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
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1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de  l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite. 
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire. 
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
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PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
38 notes · View notes
kelthoumrambles · 17 days ago
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De mardi soir à aujourd'hui, j'ai perdu totalement la notion du temps. Ça faisait un moment que ça ne m'était plus arrivé et honnêtement, ça ne m'avait pas manqué. J'essaye de mettre des mots sur ce que je ressens mais c'est complexe. Une certaine colère, une tristesse aussi. Un ras le bol avec une touche d'espoir. Une fatigue mais aussi quelque chose d'autre, comme de la rassurance. Et un peu de la peur.
La colère, elle vient du fait que ces dernières semaines, je tenais bon. Je ne buvais pas et n'en avait pas tellement envie. Puis, la semaine dernière, j'ai bu 3 verres, un soir, avec mon père et je me suis dit "pas grave, je gère". Sauf que mardi, j'étais cool, en train de faire mes petites courses en ville et là, j'ai mon pote gay (on va l'appeler le russe) (celui qui sort avec son mec anticaire de 50 piges) et avec qui tout est mega drama h24 me contacte. Je lui dit que je suis en ville mais que je ne vais pas tarder (j'avais un sac de course mega lourd) mais le mec, il comprend PAS "NON", il insiste toujours comme un dingue, il me dit "allé on se voit juste un peu, j'ai plein de trucs à te dire blablabla", j'ai cédé (faut savoir que mes dernières grosses cuites étaient avec lui). Il me rejoint et voilà direct ça commence à picoler. C'est comme si j'avais perdu toute force d'esprit. On a bu toute l'après-midi. Puis, ça va vite, il me demande pour que je soupe avec eux et dans ma tête je me dis "bha oui je suis trop pompette pour cuisiner de tte façon", alors je rentre avec, et ça continue à picoler et à picoler et à picoler pfff c'est ridicule. Je n'apprécie même plus l'ivresse ! Mais le pire, et ma colère vient bien de là, c'est que lorsque je disais non, il insistait et ce qui me fout encore plus le sum, c'est que sur le moment, je n'arrivais pas à réagir. Et là, il m'a lâché une de ces putain de bombe, j'arrive pas à m'en remettre, ça manquait tellement de tacte. Il me lâche "t as envie d'avoir des enfants toi, einh oui?" Ce à quoi je lui réponds ce que je lui ai déjà expliqué 14millions de fois que "oui, j'ai toujours voulu avoir des enfants mais si je n'en ai pas, bha c'est comme ça! Ma quête ultime n'est pas d'avoir des enfants. Je ferrai pas tout pour en avoir et encore moins, avec n'importe qui, juste pour avoir des enfants" (traduction = moi, ce que je veux, c'est fondé une famille ou rien, et si c'est rien, bha la vie continue quoi), est-ce qu'il répond pas un truc du style "bha oui, tu as quand même 30 ans déjà et tu n'es avec personne. Tu sais, moi aussi je veux des enfants et il y a des manières moins conventionnelles, franchement tu n'es pas obligée d'être en couple, tu pourrais porter mon enfant" like wtffffffffffff mais il m'a prise pour une poule pondeuse ou quoi wesh???? Mais il se prend pour qui mais d'où il pense que j'aimerais qu'on ait un enfant ensemble in the first place???? Prq c'est mon pote? Mais allô quoi?? Il pense que je vais lui pondre un mioche gratuitement comme ça, un truc qui sort de ma chatte juste prq jsuis célibat à TRENTE ans et qu'il veut un gosse MDR. 10 minutes plus tard, jsuis partie de chez eux. J'ai coupé court "ça va? Ça va ?" "Euh ouais ça va jvais y aller!" Et sur le moment, j'arrivais pas à articuler qu'en fait, le nouveau moi "sobre" ne le supporte pas, ne le supporte plus. J'ai alors réalisé qu'à chaque fois qu'on est ensemble, c'est la défonce et qu'il n'accepte pas que je n'en ai plus envie! C'était la goute de trop et cela, sans mentionner ses discours parfois sans queue ni tête que j'ai toujours justifié en mode "ouais c'est l'alcool qui lui fait dire des trucs comme ça..." mais non, il sait très bien ce qu'il dit et cest trop controversé pour que je l'explique ici. Et la colère vient de la aussi, du fait que j'ai pas réussi à lui dire NON et à me faire respecter et le fait qu'il insiste et insiste et insiste tout le temps comme un vieux con... mon pote c'est un vampire. Vraiment c'est un vampire énergétique et ça me mets en colère. Ça me rend un peu triste aussi, je crois.
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la-isla-blanca · 7 months ago
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien big brother is watching you
tw - mention de fausse couche, maladie (cancer), décès, deuil, prise de substances / comportement autodestructeur (naia)
kenan, c'est l'aîné de la famille, ce grand frère avec qui naïa n'a que trois années d'écart. à la fois partenaire de bêtises, confident et protecteur, il est devenu un véritable pilier de son existence, kenan. tous les deux ont noué au fil des années cette relation privilégiée qu'ils ont réussi à préserver, à cultiver même. parce que même si les années passent et ne se ressemblent pas, il est toujours la première personne auprès duquel elle se réfugie quand elle va mal, quand elle a besoin de réconfort. du moins, c'est ce qu'elle faisait jusqu'au décès de maman, naïa. parce que depuis le décès de maman, elle a changé du tout au tout. un changement radical qui lui fait peur à kenan parce qu'il ne reconnaît plus sa petite sœur, parce qu'il voit bien également qu'il n'arrive pas à honorer cette promesse faite à leur mère - celle de prendre soin de sa petite sœur.
les dolan, c'est une famille originaire de barcelone qui est formée autour du couple de sully et summer. un couple partageant le même amour doux et sincère depuis de nombreuses années. un couple ayant réussi à passer à travers les hauts, mais aussi les bas ensemble. c'est presque naturellement qu'ils ont souhaité agrandir leur famille. et c'est ce qu'ils ont réussi à faire en accueillant leur premier enfant, kenan. rapidement après la naissance de kenan, summer est tombé à nouveau enceinte d'une petite fille, ena. une petite fille qui n'aura jamais eu l'occasion de pousser ses premiers cris. deux années à pleurer la perte de ce petit ange qu'ils n'auront jamais eu l'occasion de côtoyer, deux années à espérer et également se battre pour parvenir à agrandir de nouveau leur famille. et c'est chose faite avec celle qu'ils voient comme leur petit miracle, naïa. (...) et alors qu'ils semblent tout pour être heureux, tout bouscule en mai 2022 - ce fameux jour où maman leur a appris souffrir d'un cancer du sein. et si maman a peur, elle ne leur montre rien. elle reste cette femme digne et forte qui décide de faire de son mieux pour se battre pour son mari, pour ses deux enfants qu'elle a tant désiré. et si elle est affaiblie par les chimiothérapies, elle ne montre rien et demeure cette femme joviale et blagueuse qu'ils ont toujours connu. jusqu'à que tout s'effondre une seconde fois en octobre 2023. parce que summer a perdu son combat face à la maladie. et sans elle, rien ne semble plus avoir de sens. parce que sans summer il y a ce fossé qui se creuse chaque jour un peu plus au sein de la famille dolan. une famille où chacun semble dépérir à sa manière.
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anae-leone · 4 months ago
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La Marque Sanglante - Lei & Calaen
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J'avais rapidement présenté leur histoire la dernière fois, voilà les personnages principaux de La Marque Sanglante ! À gauche, Lei d'Ombre, à droite Calaen DeArtire. Présentation détaillée en dessous pour éviter d'innonder les écrans des gens.
Lei
Lei d'Ombre est l'une des deux protagonistes de La Marque Sanglante, elle est celle avec qui on a le plus de chapitres de point de vue.
Lei est conseillère royale depuis longtemps, mais après avoir abusé de ses Arts Sanglants, elle a été alitée de force pendant des années et doit maintenant de nouveau naviguer dans une Cour où tous ses plus proches alliés sont morts. De plus, elle est maintenant incapable d'utiliser les Arts Sanglants, ce qui signifie qu'elle se sent profondément inutile.
Intransigeante, sévère, colérique, orgueilleuse, têtue et du genre à juger les autres, elle est néanmoins également respectueuse, travailleuse, courageuse et juste.
Elle est l'une des rares personnes en qui le Prince Sarian a confiance, même si elle était bien plus proche de son père, le Roi Irvis.
Son mentor était Moran DeArtire, le père de Calaen, notre second protagoniste. Mais semblerait-il qu'il l'a bien plus traitée comme son enfant que son propre fils... Cela expliquerait-il l'animosité qu'il a envers elle ? En tout cas l'animosité qu'elle même a envers lui s'explique bien plus simplement : il marche avec son cœur alors qu'elle fonctionne avec sa tête.
Calaen
Calaen DeArtire est le deuxième protagoniste de La Marque Sanglante, il a moins de chapitres de son point de vue, mais est au cœur-même du mystère.
Bras droit et meilleur ami du prince Sarian, il est devenu conseiller royal après plusieurs mois en tant que mercenaire. C'est un héros de guerre craint de tous à cause des malédictions de sa famille qui lui donnent une puissance démesurée et parfois incontrôlable.
Ce jeune homme strict est à la fois imprudent et défaitiste, mais il est également dévoué, sensible, intègre et surprenamment compréhensif envers les autres.
Il est la personne en qui Sarian a le plus confiance, mais il lui cache énormément de choses. Ils ont vécu leurs tragédies ensemble et Calaen tente désespérément de ne pas ajouter à son fardeau, même si ça implique de porter les siens tout seul.
Il était bien plus proche de ses sœurs, décédées, que de son père quand celui-ci était vivant, mais avoir vu son père mourir et avoir perdu son fiancé en ont fait quelqu'un de renfermé sur lui-même. Cependant, ça n'explique pas sa rancœur envers Lei d'Ombre, dont personne à part lui ne connaît la raison.
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epopoiia-leblog · 5 months ago
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Trois grains de riz
Il était une fois trois grains de riz. Dans un bol, tout au fond, c’est tout ce qui lui reste. Pour lui, sa femme, son bébé, et rien d’autre pour se nourrir. Rien d’autre pour vivre. Sur la ferraille, leur lit, sa femme dort. Elle essaie. À côté, le voisin n’en finit plus de crier. Colère et indignation. Lui aussi vient de se faire licencier. Leur faute à tous les deux ? Dans la rue, leur révolte portée à nue. Ils sont descendus, ensemble, avec leurs camarades, avec les autres ouvriers de l’usine, pour demander un salaire plus équitable, un salaire plus humain. Justice et dignité, voilà ce qu’ils désirent. Nobles revendications estimaient-ils. Pour leur patron, ce fut la porte. Prix à payer de celui qui ne sait pas rester à sa place. Mais comment faire à présent ? Comment faire sans argent, sans ressources, seul avec ces trois grains de riz ? Minuscules et ridicules semences perdues au fond d’un bol, ébréché lui aussi. Les contes nous racontent que quelques graines extraordinaires savent déjouer les pièges des géants, quand la vie leur répond qu’il n’est pas bon de croire à toutes ces fantaisies. Lui n’y croit déjà plus, mais le sourire de son enfant, cette magie -là, il peut encore la voir. Dans la nuit, dans le noir, après le chaos du jour, sur les lèvres du bébé, des rêves paisibles s’annoncent, protègent encore un peu l’innocence de celui qui, son père l’espère, ne connaîtra pas une telle misère.
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Texte inspiré de la révolte au Bangladesh des ouvriers du textile pour un salaire digne.
Articles de référence : https://www.google.com/url?q=https://fr.fashionnetwork.com/news/Au-bangladesh-le-combat-des-ouvriers-du-textile-pour-un-salaire-digne,1589119.html?nl%3D259341%26uc%3D3963081&sa=D&source=docs&ust=1708416516318329&usg=AOvVaw2BPKuqbchzRd0-96ljVeLh
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anticia24 · 7 months ago
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Tao Plènozas
Statut: Marié à Queenie Plènozas Enfant: Nancy Plénozas Traits de caractères: Malveillant, Sang Chaud, Kleptomane, Observateur, Manipulateur, Oiseau de Nuit, Savant, Enclin au Conflit, Bien Elevé, Modèle, Résistant à la Chaleur
Plus jeune, il réussit de brillantes études d'Infamie à l'université de Foxbury et par la suite, il commença à travailler dans l'empire familial. Même si ses méthodes étaient moralement et légalement répréhensible, elles permirent à l'empire de sa famille de connaître une heure de gloire sans précédent. Grâce à ses nombreux exploits, il sera désigné comme nouveau chef de famille à la place de son frère aîné, Christophe Rapat-Sité. C'était durant ces années de faste qu'il rencontra alors soûl et perdue la femme de sa vie Queenie Plènozas.
Ils auront ensemble une fille qu'ils prénommèrent, Nancy Plènozas. Tout le long de son enfance Tao enseignera à son héritière les ficelles du métier. Mais un jours tout bascula pour leur foyer. Malgré tout son amour pour sa fille "l'incident" avait bien faillit faire plonger le nom Plènozas dans le déshonneur chose qu'il ne pouvait pas accepter. Après une nuit sanglante, Tao imposa à Nancy de se marier pour sauver le nom de Plènozas qu'elle avait souillé, ce qu'elle fit à contrecœur.
Aujourd'hui, c'est une senior respectée et même craint. Passant ses journées à s'occuper de son barbecue et veiller sur son petit fils turbulent Malcom Plènozas.
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jpbjazz · 7 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
CLORA BRYANT, ‘’THE WOMAN WITH THE HORN’’
“Those male trumpet players guard those positions like a bulldog on a bone. We got a tough row to hoe with the trumpet.”
- Clora Bryant
Née le 30 mai 1927 à  Denison, au Texas, Clora Larea Bryant était la plus jeune des trois enfants de Charles et Eulila Bryant. Bryant avait deux frères, Frederick et Melvin. Le père de Bryant était manoeuvre et sa mère était maîtresse de maison. Bryant avait seulement trois ans lorsqu’elle avait perdu sa mère.
Bryant avait d’abord commencé à apprendre le piano avec son frère Melvin. Bryant avait adopté la trompette après que son high school ait décidé d’établir un orchestre et un ensemble de cors et clairons. Durant son enfance, Bryant avait aussi été membre de la chorale de l’église baptiste locale. Même s’il était peu fortuné, le père de Bryan l’avait toujours encouragée à devenir musicienne et lui avait même payé des cours privés. Comme Bryant l’avait expliqué plusieurs années plus tard, "Nobody ever told me, 'You can't play the trumpet, you're a girl.' Not when I got started in high school and not when I came out to L.A. My father told me, 'It's going to be a challenge, but if you're going to do it, I'm behind you all the way.' And he was."
Lorsque son frère Fred s’était joint à l’armée, il avait laissé sa trompette derrière lui, et Bryant en avait profité pour apprendre à jouer. Durant ses études au high school, fascinée par la musique de jazz qu’elle entendait à la radio, Bryant avait d’ailleurs joué de la trompette avec l’ensemble de cors et clairons de l’école.
Après avoir refusé des bourses pour aller étudier dans les meilleures écoles musicales au pays dont le Oberlin Conservatory et le Bennett College, Bryant avait commencé à fréquenter le Prairie View College de Houston en 1943. Fondée en 1876, Prairie View était la première école entièrement réservée aux étudiants de couleur à avoir été reconnue par l’État du Texas. Bryant avait choisi Prairie View parce que le collège avoir avait un groupe de jazz féminin de seize membres, les Prairie View Co-eds. Comme Bryant l’avait précisé plus tard:  “When I found out they had an all-girl band there, that’s where I was going.”
Devenue membre du groupe, Bryant avait fait le tour du Texas, avant de se produire au célèbre  Apollo de Harlem en 1944. Après que son père ait décroché un emploi dans un chantier naval de Los Angeles, Bryant avait été transférée à UCLA en 1945. Après avoir entendu le trompettiste Howard McGhee jouer au club Down Beat de la Central Avenue, Bryant était immédiatement tombée amoureuse du bebop.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
En 1946, Bryant s’était jointe aux International Sweethearts of Rhythm, un big band qui avait été fondé deux ans auparavant par Clarence Love et qui était alors le groupe de swing féminin le plus important au pays. Après avoir obtenu sa carte de l’Union des musiciens, Bryant avait finalement décidé d’abandonner l’université.
Fascinée par le bebop, Bryant avait laissé tomber les International Sweethearts of Rhythm pour se joindre à des jam sessions dans des clubs de Central Avenue comme le Club Alabam, The Downbeat et The Bird in the Basket (aussi connu sous le nom de Jack’s Basket Room). Comme Bryant l’avait expliqué des années plus tard dans le cadre d’une entrevue d’histoire orale: “I would not go without my horn. If I knew there was going to be somebody there, I’d have my horn with me, because I wanted to be a part of it. I wanted to try to learn something.” Un jour, Bryant se produisait dans un club d’Hermosa Beach lorsque Charlie Parker était monté sur scène avec un saxophone qu’il avait emprunté. Pour la mettre en confiance, Parker lui avait alors chuchoté à l’oreille: “Stick to what you can do. And know what you can’t.” “I almost wet my pants”, avait déclaré plus tard Bryant.
Par la suite, Bryant était entrée dans le groupe Queens of Swing (comme batteuse) et était partie en tournée avec la formation. En 1951, le groupe, qui comprenait la saxophoniste Minnie Hightower, s’était produit à la télévision sous le nom des Hollywood Sepia Tones dans le cadre d’une émission de variétés d’une demi-heure diffusée sur les ondes de la station KTLA. La formation était ainsi devenue le groupe de jazz féminin à faire une apparition à la télévision. L’émission avait finalement été annulée auprès six semaines faute de commanditaires. À l’époque du tournage de l’émission, Bryant était enceinte de sept ou huit mois. Après la naissance de sa fille, Bryant s’était jointe à la revue entièrement féminine d’Ada Leonard. Malheureusement, Bryant avait dû quitter la revue après seulement une semaine après que la direction ait reçu des plaintes des spectateurs réclamant son congédiement en raison de la couleur de sa peau...
Durant la majeure partie des années 1950, Bryant avait dirigé régulièrement des jam sessions dans les environs de Los Angeles. En 1951, Bryant avait fait partie du groupe-maison du club Alabam, ce qui lui avait permis d’accompagner des chanteuses comme Josephine Baker et Billie Holiday. Toujours en 1951, Bryant avait été membre d’un sextet entièrement féminin dirigé par Ginger Smock avec lequel elle avait joué, non de la trompette, mais du violon. Le groupe, qui s’était produit durant six semaines dans le cadre d’une émission diffusée sur le réseau CBS, était ainsi devenu le premier groupe entièrement de couleur à animer une émission de télévision.
En 1954, Bryant était retournée à New York, car elle n’avait plus le goût de jouer avec des groupes. Deux ans plus tard, une autre pionnière du jazz féminin, la tromboniste Melba Liston, qui faisait alors partie du groupe de Dizzy Gillespie, l’avait présenté à ce dernier. Ébloui par le talent de Bryant, Gillespie était devenu son mentor et lui avait obtenu du travail. Gillespie avait même fait cadeau à Bryant d’une de ses embouchures qu’elle avait utilisée par la suite durant des années. Comme Gillespie l’avait expliqué en 1989 dans le documentaire “Trumpetistically, Clora Bryant”: “If you close your eyes, you’ll say it’s a man playing. She has the feeling of the trumpet. The feeling, not just the notes.”
En 1957, Bryant avait enregistré son premier et seul album comme leader, ‘’Gal with a Horn’’ À la demande de la compagnie de disques Mode Records, mais contre son gré, Bryant avait chanté sur les huit pièces de l’album, même si c’est son talent à la trompette qui avait surtout impressionné, révélant les influences tant de Louis Armstrong que de pionniers du bebop comme Dizzy Gillespie et Fats Navarro. Pour obtenir plus de contrats, Bryant avait même commencé à imiter la voix d’Armstrong dans le cadre de ses concerts. Et ça avait fonctionné. Comme Bryant l’avait expliqué en 2014 dans le cadre du documentaire The Girls in the Band: “And I was a hit, honey. They loved me!”
Au milieu des années 1950, Bryant était retournée à la vie de musicienne itinérante, se produisant particulièrement dans les clubs de Chicago et de Denver. Bryant s’était également produite à Las Vegas avec Louis Armstrong et Harry James. En fait, Armstrong avait été tellement impressionné après avoir entendu Bryant jouer dans un club qu’il avait insisté pour monter sur scène avec elle dans un club de Las Vegas en 1960. Bryant précisait: “He was in the big room and I was in the lounge, where he’d been catching my act in the back. And one day, here comes Louis with his whole band, coming from the big room, walking through the entire casino and coming up on stage and singing and playing with me!”
À la fin des années 1950 et durant les années 1960, Bryant avait fait la tournée des principales villes américaines, souvent dans le cadre d’un hommage à Louis Armstrong. À Las Vegas, Bryant avait aussi joué avec Damita Jo, Harry James, et Sammy Davis Jr., avec qui elle avait fait une apparition dans le film ‘’Pepe’’ en 1960. Dans les années 1960, Bryant avait également fait un séjour à La Nouvelle-Orléans avec le groupe d’Horace Henderson.
De 1962 à 1964, Bryant avait collaboré avec le chanteur Billy Williams à Las Vegas avec qui elle avait participé au Ed Sullivan Show. Bryant avait même composé une pièce de l’album “The Billy Williams Revue.” De 1964 à 1966, Bryant avait fait équipe avec son frère Melvin, qui était chanteur, acteur et danseur, dans le cadre d’une tournée autour du monde. Ils avaient même eu leur propre émission de télévision en Australie. Après la naissance de son quatrième enfant en 1969, Bryant s’était inscrite à un baccalauréat en musique à UCLA, s’intéressant plus particulièrement à l’histoire de la musique afro-américaine.
À la fin des années 1970, Bryant s’était produite avec différents groupes de Los Angeles, dont le Bill Berry’s LA Band. En 1975, Bryant avait rendu hommage à son idole et mentor Dizzy Gillespie dans le cadre de la suite “To Dizzy with Love”. En 1993, Bryant avait de nouveau rendu hommage à Gillespie en dirigeant le concert Trumpet Summit aux côtés de Clark Terry, Jon Faddis, Freddie Hubbard et plusieurs autres trompettistes. Vers 1980, Bryant avait également assuré la relève de Blue Mitchell dans le big band de Bill Berry.
Souvent victime de discrimination en raison de son sexe et de la couleur de sa peau, Bryant n’avait créé son propre groupe qu’après son retour à Los Angeles en 1979. Tout en dirigeant le groupe Swi-Bop (son fils Kevin avait même été le batteur de la formation à la fin des années 1980), Bryant avait terminé son baccalauréat en musique à UCLA et travaillé avec le sextet du saxophoniste Teddy Edwards. Elle avait aussi joué  du Dixieland avec les New Orleanians de Roger Jamieson. Au cours de la même période, Bryant avait également collaboré avec le big band de Gerald Wilson, tout en travaillant avec Jeannie et Jimmy Cheatham, la chanteuse Nellie Lutcher et le pionnier du rhythm & blues Johnny Otis.
En 1982, Bryant avait enregistré un dernier album avec la chanteuse de blues Linda Hopkins. Parallèlement, Bryant avait continué de se produire sur scène, participant notamment au North Sea Jazz Festival avec le Sweet Baby Blues Band de Jeannie Jeannie et Jimmy Cheatham en 1987 ainsi qu’à plusieurs festivals de Los Angeles.
Loin de se décourager du peu d’occasions qui lui étaient offertes d’enregistrer et de se produire sur scène, Bryant avait même écrit personnellement au président Mikhail Gorbachev en 1989 en lui proposant de devenir “the first lady horn player to be invited to your country to perform”. Sans doute pour plaisanter, Gorbatchev avait fait parvenir à Bryant une invitation formelle de venir jouer en URSS. Prenant Gorbatchev au mot, Bryant avait financé son voyage grâce à l’aide de la communauté musicale de Los Angeles. Un an plus tard, Bryant avait fait la tournée du pays avec ses fils, devenant ainsi la première musicienne de jazz à faire une tournée en URSS.
DERNIÈRES ANNÉES
Au début des années 1990, les contrats étant devenus de plus en plus rares, Bryant avait été contrainte de vivre sur la sécurité sociale. Elle avait même dû céder deux de ses trompettes à un prêteur sur gages afin de pouvoir survivre. La majorité de ses biens avait également brûlé lors des émeutes de Rodney King en 1992 qui avaient emporté la plus grande partie de sa maison.
Après avoir été victime d’une crise cardiaque et avoir fait l’objet d’un quadruple pontage coronarien en 1996, Bryant avait dû cesser de jouer de la trompette. Elle avait cependant continué à chanter. Bryant avait aussi commencé à donner des lectures sur l’histoire du jazz dans les collèges et des universités. Bryant avait également co-dirigé un livre sur l’histoire du jazz à Los Angeles intitulé ‘’Central Avenue Sounds: Jazz In Los Angeles (1921-1956)’’, dans lequel elle avait évoqué la glorieuse époque du jazz sur Central Avenue. Elle avait aussi écrit deux livres pour enfants et travaillé dans les écoles élémentaires de Los Angeles. Une des plus grandes satisfactions de Bryant était cependant d’avoir réussi à obtenir une étoile pour son idole Dizzy Gillespie au Hollywood Walk of Fame en 1991.
Consciente de la nécessité de transmettre ses connaissances aux futures générations, Bryant avait précisé: ‘’When I grew up there were legends everywhere, and now the legends don't make themselves available to young people anymore… these days people just get in their limos and away they go, and it hurts my heart."
Le 6 mai 2002, la carrière de Bryant avait été couronnée par la remise du Mary Lou Williams Women in Jazz Award décerné par le Kennedy Center de Washington, D.C.  C’est le légendaire pianiste Billy Taylor qui lui avait remis son prix. Bryant avait même chanté quelques-unes de ses compositions dans le cadre de l’événement. Le Conseil municipal de la ville de Los Angeles avait également décerné à Bryant le titre de légende du jazz et d’ambassadrice de bonne volonté en 2018. Bryant avait aussi remporté deux prix de composition et de performance de la National Endowment for the Arts.
En 1989, la cinéaste Zeinabu Irene Davis a consacré à Bryant un documentaire intitulé ‘’Trumpetistically, Clora Bryant.’’ En 2014, la trompettiste avait également été en vedette dans le film de  Judy Chaikin intitulé ‘’The Girls in the Band’’
Bryant avait épousé le contrebassiste Joe Stone en 1948. Stone, qui voyageait souvent en tournée avec T-Bone Walker et Jimmy Witherspoon, avait rencontré Bryant alors qu’elle se produisait dans les environs de Los Angeles. Le couple avait eu deux enfants: April et Charles Stone. Le mariage s’était terminé sur un divorce. Bryant avait eu deux autres enfants de sa liaison avec le batteur Leslie Milton, Kevin et Darrin Milton.
Clora Bryant est morte le 25 août 2019 au Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles après avoir été victime d’une crise cardiaque à sa résidence. Elle était âgée de quatre-vingt-douze ans. Ont survécu à Bryant ses quatre enfants, April, Charles, Darrin et Kevin, neuf petits-enfants et cinq arrrière-petits-enfants. Ses frères Frederick et Melvin étaient déjà décédés au moment de sa mort.
Avant même d’amorcer sa carrière, Bryant avait toujours su que le double handicap posé par son sexe et sa couleur serait un obstacle à sa reconnaissance comme trompettiste de jazz. De fait, mis à part la période où elle avait accompagné Billie Holiday au club Alabam de Los Angeles, Bryan avait souvent été reléguée dans des groupes exclusivement féminins comme les Queens of Rhythm avec lesquels elle avait même joué de la trompette et de la batterie simultanément après que la batteuse en titre ait quitté la formation. C’est seulement au milieu de sa carrière que Bryant avait été considérée comme une musicienne à part entière dans les groupes et les big bands de la région de Los Angeles. Faisant référence au peu de reconnaissance dont Bryant avait été l’objet au cours de sa carrière, le saxophoniste Teddy Edwards avait déclaré: “You know, she’s as good as any man. She has range and ideas and enough talent to go to the top.” 
Décrivant le style de Bryant, le journaliste Dick Wagner avait écrit dans le Los Angeles Times en 1992: “When Bryant plays the blues, the sound is low, almost guttural, a smoldering fire. When she plays a fast tune, the sound is piercing — the fire erupts.” 
Consciente de toutes les épreuves qu’elle avait dû traverser au cours de sa carrière, Bryant ne s’était pas gênée pour comparer les trompettistes à un ‘’Boy’s Club’’ au cours d’une entrevue qu’elle avait accordée au réseau NPR en 1993. Bryant avait déclaré: “Those male trumpet players guard those positions like a bulldog on a bone. We got a tough row to hoe with the trumpet.” L’un des fils de Bryant avait confirmé: “It was a man’s world and that made it hard for her. But it only fueled her fire, made her more determined.”
Même si à la fin de sa carrière, les autres musiciens de jazz lui avaient démontré beaucoup plus de respect, tel n’avait pas toujours été le cas des propriétaires de clubs. Comme Bryant l’avait déclaré au cours d’une entrevue qu’elle avait accordée au New York Times en 1998, “When you put that iron in your mouth, you run into problems. The other horn players gave me respect, but the men who ran the clubs considered me a novelty.”
Se considérant simplement fière d’avoir pu jouer la musique qu’elle aimait, Bryant avait ajouté: “I’m sitting here broke as the Ten Commandments, but I’m still rich. With love and friendship and music. And I’m rich in life.” 
Évoquant ses débuts sur la Central Avenue de Los Angeles, qui était un peu l’équivalent de la 52e rue pour New York dans les années 1950, Bryant avait commenté: “When I came out here, there weren’t any girls playing in jam sessions on Central Avenue. Hey, I had nerve! I’d get my horn and just walk up there and start playing. And I was the only female who did that. I had antennae like you wouldn’t believe.”
Un peu comme sa grande amie la tromboniste Melba Liston, Bryant avait servi de modèle à plusieurs musiciennes de jazz qui avaient été trop souvent confinées à un rôle de pianistes et de chanteuses. Comme l’avait déclaré la trompettiste canadienne Rachel Therrien, “Clora Bryant was an unforgettable and powerful role model. She’s inspired me to push forward as a jazz trumpeter and a bandleader. While I never got the opportunity to meet her personally, I am forever grateful for all her hard work, which opened the path for future generations of women like myself.” 
Malheureusement, Bryant n’avait jamais obtenu toute les chances qu’elle méritait, non seulement parce qu’elle était une Noire, mais aussi parce qu’elle était une femme.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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psycause · 10 months ago
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J'ai le cœur lourd, trop de poids sur les épaules. J'ai cette sensation que rien ne vas, tout m'échappe. Ma famille me manque énormément. J'ai l'impression de regarder ma vie et pas de la vivre. J'ai encore deux grands mères, qui elles ont des petits enfants qu'elles ne peuvent pas voir grandir. Ça me brise le cœur. J'arrive pas a passer au dessus de tout ça. J'ai peut être mes parents qui vont se remettre ensemble après 21 ans de séparation, je pourrais même pas être la pour en profiter.
Je passe ma vie a m'occuper de mes enfants, je commence à me noyer, j'ai plus de temps pour moi, pour les choses que j'aime faire, ni même pour mon couple.
J'ai envie de partir mais j'ai tellement peur que tu ne me suives pas que je m'écoute pas. J'attends, je ne sais pas quoi mais j'attends. Un changement, un rayon de soleil, un peu de bonheur. J'aimerais tellement rentrer chez moi, je reconnais rien ici, rien n'est familier.
Je crois que je me suis perdue en essayant de te garder, j'ai pris trop de décisions a la légère en pensant que tu serais capable des mêmes sacrifices pour moi. Mais en même temps je me dis que moi j'en suis malheureuse d'être ici, loin des miens, alors comment je pourrais t'imposer un tel changement ? J'ai pas envie de te rendre malheureux, et je ne peut être dans cette tristesse toute ma vie... qu'est ce que je dois faire ? Comment suis je sensée rendre tout le monde heureux sans me perdre moi même ?
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paulysson1 · 11 months ago
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Je t'aime
Pas la même naissance.
Pas le même caractère.
Pas les mêmes besoins.
L'humanité est vaste et variés ce qui la rend complète et belle.
Pas le même vécu.
Pas les mêmes attentes.
Pas les mêmes souvenirs.
Pourtant nous sommes tous liées et devons avancer ensemble à la fois afin de progresser dans notre existence charnelle mais également psychique et spirituelle afin de nous élever.
Pas les mêmes forces.
Pas les mêmes faiblesses.
Pas les mêmes tords.
Mais cela n'empêche pas les Êtres de s'aimer et de désirer construire à deux.
1- tes colères
Danse du tonerre dans ton esprit,
Décharge électrique qui induit forcément de faire conduire le courant,
Mais je suis épris,
Je me branche et prend l'épanchement.
Comment reflèter ces émotions qui te submerges ?
Créer mentalement des berges,
Te dire que l'avenir n'est pas très éloigné de tes doux rêves...
Si je devrais donner une méthode je dirais qu'il faut tout d'abord que tu te résonne dans le fait que tu es accomplie ==> tes enfants, ta famille, tes amis, ta maison, ta Vie.
2- les pots cassés
Je paie et accepte de recevoir les coups qui ne sont pas portés à ceux qui les ont provoqués,
Comme-ci une averse pouvait arrosé un désert mais faire pousser une fleur à l'autre bout du continent. Et l'inverse.
Mon conseil est de compartimenté chaque seconde,
Exercice mentale de se dire que l'on est qu'une pétale qui se fane mais qu'avant cela croie dans l'évolution,
Sans poison délégué apposé à ceux qui ne l'ont pas mérité.
3- Le deux poids, deux mesures
Banale et non voulu d'imposer à autrui ce que l'on souhaite.
Repprocher ce que l'on se repproche à soi-même tel un miroir sans teint en plein interrogatoire interne o�� l'inspecteur serait son subconscient.
Relativiser, ce dire que la vie est faite pour se tromper et des moments d'égarement,
Que ton conjoint n'a que dans une journée 24h de temps et essai de l'organiser en apaisant,
Souvent maladroitement,
T'es tiraillement,
Te donner le sentiment que lorsque tu fis d'être c'est que je suis,
Ce dire que le produit est finit lorsque la fin est un renouveau se dire qu'il est beau.
Pas la même douleurs.
Pas les mêmes remors.
Pas les mêmes blessures.
Interlude
Dessiner dans tes cheveux de jolies runes qui vont devenir poèmes, des rêves espiègles lorsque tu t'endors et que je veille à garder tes yeux fermés, te dire en te susurrent à l'oreille que tu es étincelle dans le dortoirs de Lucifer le porteur de lumière.
Et pour finaliter simplement dire que parfois écrire les maux, et les mots endormis dans le temps, et les temps s'échange de lendemains en lendemains,
4- Et je te dirais
Que j'appartiens à ceux qui favorise la cicatrisation de l'âme,
Ceux qui balayes,
Ce qu'il y a de plus noirâtre.
Je suis de ceux qui te soulèverons, et t'apaiserons,
Qui te donnera le droit d'être Toi et pas une autre.
D'être épanouie et sans frisson, de revêtir le blouson de la silhouette qui t'habite depuis tout ce temps,
Et un jour,
Si toc le néant,
Je ressortirait du tiroir du diable d'où mes chaînes m'entraves afin de te ramener obligatoirement vers le bonheur escompté.
Je suis damné,
Et je suis perdu,
Mais dans ta non vertue j'ai vu une âme qui abîme ceux qui s'enivrent,
Et j'écrirais toujours sur le sujet de l'avenir,
Et le pire,
C'est que :
Je te Loupic <3
P.amis
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claudehenrion · 7 months ago
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Où avons-nous perdu les pédales ? ( II ): L'islam(isme).
Résumons : La société française s'effondre sous nos yeux, dans un vaste dévoiement injustifiable de forces obscurantistes qui disent trouver dans l'assassinat à coups de couteau un nouveau moyen pour régler tout conflit-dispute-désaccord-regard de travers. La volonté de mensonge de nos gouvernants ne peut escamoter le fait qu'il y a en moyenne 120 attaques au couteau par jour, en France métropolitaine (dont 2 ou 3, au maximum, seront connues). Dans notre recherche des causes réelles de ce drame quotidien, nous avons proposé hier une première piste de réflexion. En voici d'autres.
(2)- Le refus de voir arriver la ''reine'' de batailles –cette ''Uhm el-Herb'' dont rêve l'islam. Il s'agit de lagrande bataille finale entre l'islam, d'un côté... et tout le reste de l'humanité, de l'autre. Au cours d'une longue vie au cours de laquelle mes chemins se sont très souvent croisés avec ceux qu'emprunte l'islam –et, je dois le dire, le plus souvent dans l'harmonie, j'en parle souvent ici-- je n'ai jamais pu comprendre comment toute une tranche de soi-disant ''penseurs'' occidentaux avait pu être aussi aveugle avec ou sur tout ce qui touche à l'islam. C'est bien simple : tout semble se passer comme si ce seul mot éteignait toute intelligence –dans la mesure où ils en avaient une-- chez les intellectuels de gôche.
Le lien entre le sujet que nous survolons depuis 48 heures et ma colère actuelle devant le néant officiel, trouve sa source dans la double volonté, qui n'est plus à démontrer, qu'ont nos gouvernants de supprimer la France en tant que ce qu'elle a été et est encore un peu, et de prétendre faire ''vivre ensemble'' des communautés dont tous les référentiels sont non seulement à l'opposé les uns des autres, mais incompatibles. Et nos nuls-au-pouvoir, qui frôlent sans cesse dangereusement (pour nous plutôt que pour eux, qui se sont fabriqué une fausse impunité), la non-assistance à ''pays en danger'', ont fait le choix de privilégier sans vergogne tout nouvel entrant (NDLR : qu'on pourrait qualifier un tout petit peu de ''envahisseur'', tout de même, non ? Quand c'est si proche de la réalité et même revendiqué clairement, ce n'est plus une insulte de le dire !) au détriment de l'ancien occupant... qui est contraint par un système infâme mais violent de laisser peu à peu sa place.
L'aboulie (du grec a-voulia = indécision) chronique et savamment entretenue qui caractérise les ados prolongés auxquels, de manière inexplicable, nous avons demandé de nous guider (vers des futurs dont ils rêvent mais dont pas un seul n'est souhaitable, ne serait-ce que ''pour de rire''. Les rêves des enfants sont les cauchemars des adultes !) les rend strictement incapables de choisir entre une version américaine des choses, le ''open bar'' où chacun prend ce qu'il veut, à son libre choix, et l'auberge espagnole où chacun amène ce qu'il veut, selon ses goûts. Ils ont inventé une version soi-disant française, le ''ni... ni...'' où chacun serait libre de faire et dire n'importe quoi.
C'est dans ce cadre-qui-n'en-est-pas-un que nous ''importons'' des familles, des villages, voire des tribus entières, dont les cultures, les mœurs, les us et coutumes, les croyances et les motivations sont à l'exact opposé des nôtres... qu'ils rejettent et détestent en bloc. De cette ''confrontation'', dans laquelle un seul des protagonistes a la violence absolue dans son référentiel culturel, et dans laquelle l'autre est non seulement le point d'aboutissement de 20 siècles de ''civilités'' mais où il est accusé par système d'avoir tort par principe, puisqu'il est blanc, pas musulman, et seul vrai ''propriétaire des lieux'' de toute éternité... un seul va finir sous les coups de couteau. Et c'est lui qui sera l'accusé, le coupable n'ayant droit qu'à des excuses... ou à un diagnostic psychédélique...
A leur arrivée, on n'impose aux envahisseurs déclarés (car ils le sont et reconnaissent l'être, sans limite et sans pudeur, avec le culot de celui qui, se sentant protégé, veut imposer à l'autre sa manière de vivre), aucune obligation et aucun engagement. Et même, bien au contraire, quelques esprits malfaisants, qui n'ont rien compris, leur racontent, comme si c'était vrai, que le seul fait qu'ils soient totalement et rigoureusement incompatibles avec tout ce que nous sommes, croyons, pensons, voulons, désirons et aimerions... serait (je cite) : ''un enrichissement pour la France''... ce qu'ils comprennent très vite puisque c'est faux, contrairement à tout le reste, qu'ils rejettent en bloc puisque c'est vrai. Allez être étonnés, ensuite, quand toutes ces folies tournent en eau de boudin, et qu'il ne reste plus que les yeux pour pleurer et des marches blanches stériles et inutiles, pour... aucun résultat autre que la poursuite d'une invasion qui n'est pas ''militaire'', qui ne dit pas son nom (Wokisme ordonne !), mais n'en est pas moins ''de substitution'', à terme !
Les vrais responsables, politicards ou journaleux ancrés à gauche sans plus même s'en rendre compte ni savoir pourquoi, lancent leurs habituels anathèmes menteurs, leurs faux amalgames et leurs récupérations à la gomme contre, en vrac, les réseaux sociaux, la police, et la droite, qui, pour eux, ne peut être que ''extrême''... (NDLR – Lorsque Marion Maréchal ou Eric Zemmour disent être ''contre les coups de couteaux'', c'est de la récupération. En revanche, lorsque la pauvre Maman du pauvre petit Shems ed-dîn est contrainte par des islamistes de dire le contraire exact de tout ce qu'elle a hurlé, dans son désespoir, c'est de la démocratie... et des juges indignes font semblant de croire à ces tissus de bobards ! Et lorsque le Papa du pauvre petit Matisse croit refuser ''la récupération'' au (faux) prétexte que ''tous les musulmans ne sont pas etc...'', il la favorise, au seul profit des assassins de son fils, le pauvre : attendez la vraie confrontation et vous compterez les ''qui... ne sont pas'' sur les doigts d'une seule main ! Mais ce lavage de cerveaux est un autre sujet, dramatique aussi).
(3)- Autres responsables cachés de notre détresse, devenant sans espoir : le monde tel qu'il évolue semble ne vouloir se déplacer, dans tous les domaines, que dans le sens du ''pire'' pour le futur de l'humanité... Un exemple : la très progressiste Ursula von der Leyen (NDLR : ''der Leyen'' pouvant se traduire par ''dans la soie'', Napoléon en aurait sans doute tiré quelque savoureuse pique, comme celle décochée à Talleyrand : ''de... dans un bas de soie'' !), tient le courageux Victor Orban sous le coup d'une condamnation permanente, au prétexte qu'il a compris, lui, que la folie du moment, qui priorise et encourage le changement de sexe des ados, ne peut mener qu'à des tsunamis de suicides, de catastrophes et de drames irréversibles.
Les obscénités dites ''soclétales'' qui sont référencées, dans la doxa officielle, comme étant ''les valeurs de l'Europe'' (Quelle honte ! Pauvre Europe !), ne sont qu'un amas insensé de délires, tous mortels, qui ne visent, en gros, qu'à la promotion déjantée d'expérimentations vouées à l'échec, de perversions ou d'anomalies sexuelles, de pathologies mortelles pour l'avenir de ''nos enfants'' et de comportements répréhensibles au jour-le-jour et sans espoir quel qu'il soit, à terme. Ce sont, malheureusement, les dernières portes qui restent entr'ouvertes... alors que leur seule existence est largement plus dommageable que si elles étaient restées oubliées !
Il en va de même dans tous les domaines, mais il est interdit de le dire : les faux démocrates au pouvoir ont vite fait de transformer leurs contradicteurs en délinquants idéologiques et à les mettre au ban de leur lamentable univers, et je dois donc arrêter de dire la vérité, par crainte des représailles (NDLR... que j'ai fréquentées de près : ma fille Alexandra a eu le tort impardonnable d'avoir eu raison sur absolument tout ce qu'elle avait démontré scientifiquement. Il a fallu sa force de caractère pour transformer leur haine venimeuse en déroute piteuse...).
Mais malgré la violence que met ce troupeau de menteurs malfaisants pour tenter de faire croire à ses mensonges, chacun est encore libre de laisser filer sa pensée vers les drames infinis qui sont les seules portes qui nous restent encore ouvertes vers des futurs qui, tant qu'ils seront au pouvoir, n'en sont plus et ne peuvent en être... (à suivre).
H-Cl.
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marie-swriting · 2 years ago
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Je Te Le Promets - Bucky Barnes
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu es amoureuse de Bucky Barnes, mais la Seconde Guerre Mondiale se met en travers de votre amour.
Warnings : angst, fin triste, mort de personnage, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
N/A : Dans la dernière partie du One Shot, il y a deux temporalités utilisées donc quand s'est écrit en italique, ça signifie que c'est l'autre temporalité qui se passe en 1945.
Nombre de mots : 2.8k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Hurts Like Hell par Fleurie
Perdue dans ton discours, tu ne réalises pas que tu as passé les dix dernières minutes à parler du Hobbit. Bucky avait lancé le sujet, ignorant complètement que tu étais tout autant passionnée par ce livre que lui. On pourrait dire que tu es même plus passionnée que lui. Tu lui expliques des détails précis de l’histoire qu’il n’avait jamais remarqué. Il t’écoute avec attention, ne voulant rien manquer de ta pensée. Alors que tu arrives à la conclusion d’une réflexion, tu réalises que tu ne lui as pas laissé la chance d’ajouter des éléments. Tu te tournes vers lui, une expression gênée sur le visage.
-Désolée, j’ai encore trop parlé. J’ai cette mauvaise habitude. 
-Ne t’arrête pas pour moi. J’adore t’écouter, te rassure-t-il, mais tu es toujours embarrassée. 
-Ne dis pas ça par politesse. Je sais que je peux être agaçante à trop parler. On me le dit tout le temps.
-Les personnes qui te disent ça ne méritent pas que tu perdes ton temps pour eux. Je t’écouterai toujours. 
-Toujours ? Même quand tu seras marié et que tu auras des enfants ? rigoles-tu. 
-Oui, je t’écouterai toujours car je ne serais pas contre l’idée d’être marié avec toi et d’avoir des enfants. J’aimerais être celui qui place une bague sur ce doigt précis, informe-t-il en prenant ta main gauche et montrant ton annulaire. 
-Tu parles d’avenir alors que tu n’as pas encore osé m’embrasser, fais-tu remarquer avec un sourire malicieux. 
-J’attends juste le moment parfait pour te poser la question.
-Quelle question ? demandes-tu en feignant l’ignorance et faisant sourire Bucky. 
-Puis-je t’embrasser ?
-Je n’attends que ça. 
Sans attendre, Bucky pose sa main gauche sur ta joue alors que l’autre tient toujours ta main avant de poser ses lèvres sur les tiennes. Rapidement, ta main de libre se positionne délicatement sur son cou. Vous vous embrassez tendrement alors que Bucky caresse affectueusement ton annulaire, imaginant déjà le jour où il sentira la bague alors qu’il t’embrassera devant vos proches.
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Après un an de relation, Bucky a demandé ta main, ce que tu as accepté sans hésiter. À présent, une jolie bague avec des symboles fleuris et une petite pierre orne ton doigt. Vous n’avez pas encore fixé de date de mariage sachant que Bucky pourrait être appelé à la guerre à n’importe quel moment. Cependant, rien ne vous empêche d'agir déjà comme un jeune couple marié. En effet, il n’est pas rare que vous fassiez des activités chez l’un ou chez l’autre comme si vous viviez dans votre propre maison lorsque vous êtes seuls. 
Ce jour-là, tu es chez Bucky, vous préparez un gâteau. Enfin, tenter de préparer un gâteau serait plus juste. Tu essaies d’être sérieuse, mais ton fiancé fait tout pour te déstabiliser, ce qui fonctionne. À un moment, tu feins l’agacement et décides de le laisser travailler seul. Tu t’assois face à lui. Bucky te regarde, complètement perdu, ne sachant pas comment continuer la recette sans faire d’erreur. 
-Tu es capable de réparer des bateaux, je suis sûre que tu peux suivre une recette.
-Mais on était censés le faire ensemble, boude-t-il. 
-Tu aurais dû réfléchir à deux fois avant de m’embêter.
-Je m’excuse sincèrement, chérie, dit Bucky en prenant avec délicatesse ton visage entre ses mains. Veux-tu bien m’aider avec le gâteau, s’il te plait ?
Tu réfléchis pendant une seconde, voulant camper sur tes positions, mais le regard amoureux de Bucky t’oblige à rendre les armes.
-Très bien. De quoi as-tu besoin ? 
Alors que Bucky retourne lire les instructions, tu prends discrètement une poignée de farine. Il a toujours le nez plongé dans la recette quand tu lui lances l'ingrédient. Bucky ouvre sa bouche, choqué par ton geste. Il relève sa tête vers toi avec un faux regard menaçant.
-Cours.
Il ne t’en faut pas plus avant de fuir hors de la cuisine. Tu cours jusqu’au salon, tentant de trouver une cachette alors que Bucky est derrière toi, farine en main. Tu te tournes pour voir s’il est proche et pour lui, c’est le moment parfait pour te balancer la farine en pleine tête. Par chance, tu as fermé les yeux pile à temps. Bucky profite que tu sois déstabilisée pour te rattraper et entourer ses bras derrière toi. Il serre ta taille alors que tu tentes de te défaire de son emprise en rigolant. Bucky n’attend pas avant de te chatouiller, te faisant rire encore plus. 
-Je continuerai jusqu’à ce que tu t’excuses, t’infome-t-il.
-Tu l’as cherché ! rétorques-tu. 
-Je ne t’avais rien balancé, moi !
-Tu as commencé. 
-Tu ne vas pas t’excuser ? questionne-t-il en calmant sa torture.
Tu fais semblant de réfléchir avant de répondre sérieusement :
-Non.
Bucky te chatouille de plus belle. Tu batailles à respirer comme il faut. Vous restez dans votre bulle, riant à gorge déployée, jusqu’à ce que vous entendez frapper à la porte. 
-Tu attends quelqu’un ?
-C’est sûrement ma soeur, elle a dû finir sa séance shopping plus tôt.
Bucky se dirige vers la porte avant de l’ouvrir et de tomber sur, non pas sa sœur, mais un homme avec un uniforme de l’armée. Rapidement, il tente d’enlever la farine présente sur son visage et se tient droit. L’officier lui donne des informations ainsi qu’une lettre et repart. Bucky fait le salut militaire et referme la porte.
-Qui c’était, Buck ? demandes-tu en devinant que c’était important.
-J’ai reçu mes ordres. Je dois partir à la guerre demain, t’annonce-t-il et tu sens ton cœur louper un battement. 
-Demain ? J'espérais que l’on aurait au moins quelques jours avant ton départ. 
-Ils ont besoin d’hommes le plus tôt possible, répond Bucky avant de voir ton visage triste. Hey, Y/N/N, ça va ?
-Je devrais être celle qui te demande ça. Tu pars pour la guerre.
-Je vais bien, répond Bucky avec un sourire confiant.
-Mais tu n’as pas peur ? Pour ma part, j’ai vraiment peur. J’ai peur pour toi, Bucky, avoues-tu avec une petite voix.
-Tout ira bien, Y/N, assure-t-il en prenant tes mains.
-Tu ne peux pas dire ça. On en sait rien.
-Je te le promets.
-On parle de la guerre, Bucky, répliques-tu en te séparant de lui. Tu sais aussi bien que moi que la guerre est imprévisible. Ton destin n’est plus entre tes mains. On ne sait pas ce qui peut t’arriver.
-Je reviendrai.
-Comment peux-tu être aussi sûr ? 
-Il y a six mois, je t’ai fait une promesse, celle d’être ton mari, commence-t-il en reprenant ta main gauche et caressant ta bague. Je suis un homme honnête. Tu penses vraiment que tu vas te débarrasser de moi avant que j’accomplisse ma promesse ? Je reviendrai à la maison. Je te reviendrai, Y/N. Je te le promets, termine Bucky avant de te serrer contre lui, sa main gauche toujours dans la tienne. 
-Tu as intérêt à tenir cette promesse ou je te fais la promesse que je trouverai un moyen de te botter les fesses, déclares-tu, ton visage contre son torse.
-Je n’en attendais pas moins de toi, rigole-t-il avant de t’embrasser le front. Je t’aime, Y/N/N.
-Je t’aime aussi, Buck. 
-Viens, je dois préparer mon sac et il faut aussi qu’on se nettoie et qu’on lave aussi la cuisine avant de retrouver Steve au cinéma. 
Ta main tenant encore la sienne, tu le suis alors que tu ne peux t’empêcher d’avoir une boule au ventre, craignant le pire pour Bucky.
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Bucky est au front depuis presque deux ans. Chaque jour, tu te forces à rester optimiste, ne voulant pas penser aux pires scénarios. Tu ne peux pas laisser tes peurs parler. Tu tentes de concentrer tes pensées sur la prochaine lettre de Bucky. Tu sais qu’elle peut arriver à n’importe quel moment et tu ignores combien de temps tu devras attendre avant d’en avoir une nouvelle. 
Ces lettres sont devenues ton nouvel espoir. Ce sont ces lettres qui te permettent de tenir bon, car elles sont la preuve qu’il est toujours vivant. Toutefois, quand le temps entre deux lettres se fait long, ton anxiété bat ton espoir un peu plus, ce qui est le cas actuellement. Tu n’as pas reçu de nouvelles de Bucky depuis deux mois. Tu es de plus en plus désemparée à chaque nouvelle journée. 
En temps normal, tes parents font tout pour t’éviter de trop penser à ton fiancé. Malheureusement quand ils ont des choses de prévues, tu ne peux t’empêcher de penser à Bucky. Tu es en train de tricoter quand on frappe à ta porte. Tu poses ton tricot et vas ouvrir. Il te faut une seconde pour reconnaître Steve qui a bien changé depuis la dernière fois que tu l’as vu. Ta peur s'évanouit en un instant et un grand sourire prend place sur ton visage. Tu le prends dans tes bras sans attendre.
-Mon Dieu, Steve ! Ça fait si longtemps ! t’exclames-tu en te séparant légèrement de lui. Même si j’ai vu les affiches, ça fait bizarre de te voir ainsi. Mais je reconnais toujours bien le Steve de Brooklyn, ris-tu en prenant son visage entre tes mains. Tout va bien ? Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je peux rentrer ? Je dois te parler, dit-il, tentant du mieux qu’il peut de cacher sa tristesse. 
-Bien sûr. Allons dans le salon, réponds-tu en l’invitant chez toi. Qu’est-ce qui se passe ? Je n’ai pas attendu parler de la fin de la guerre alors pourquoi es-tu ici ? Bucky n’est pas avec toi ? questionnes-tu, innocemment. 
-Tu devrais t'asseoir, Y/N, suggère Steve et tu sens ta peur revenir aussi vite.
-Pourquoi ? demandes-tu en t’exécutant, anxieuse.
-J’étais en mission et Bucky était avec moi…
-Il est blessé ? l’interromps-tu. Dans quel hôpital est-il ? Steve, dis-moi ! ordonnes-tu, complètement paniquée, mais le visage fermé de ton ami ne te rassure pas.
-Y/N, je… Je suis désolé. Bucky a fait une chute. On n’a pas pu retrouver son corps. Il est décédé, t’annonce Steve et tu as l’impression d’avoir mal entendu. 
-Qu… Comment…, commences-tu en sentant un nœud se former dans ta gorge. Comment peux-tu en être sûr ? Vous n’avez pas retrouvé son corps, il est peut-être quelque part ! t’indignes-tu en te levant du fauteuil.
-Il est tombé de trop haut. Il n’avait aucune chance de survivre, affirme-t-il et tu sens les larmes commencer à couler doucement sur tes joues. 
-Ce… Ce n’est pas…, bégayes-tu, désespérée. Steve, il peut pas être… C’est impossible.
Tu exploses en sanglots quand tu comprends que tu as officiellement perdu Bucky, pour toujours. Ton cri déchire le cœur de Steve. Sachant qu’aucune phrase ne peut t’aider, il se rapproche de toi, tu tentes d’abord de l’éloigner, mais tu n’as pas de force pour le combattre. Steve te serre contre lui, te caressant le dos alors que tu pleures toutes les larmes de ton corps. Tu t’accroches à sa veste comme si c’était ta bouée de sauvetage. Steve savait que t’annoncer la nouvelle serait une épreuve horrible. Il avait tenté de se préparer à te voir te briser devant lui, mais c’est pire que ce qu’il avait imaginé. 
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Malheureusement pour Steve, il n’avait pas eu à annoncer ce genre de nouvelle qu’une seule fois. Après avoir été décongelé, Steve a découvert que Bucky avait, en effet, survécu à la chute, comme tu l’avais suggéré dans un moment de désespoir. 
Quand Bucky a réussi à retrouver un peu son identité, il a tout de suite voulu savoir ce qui t’était arrivé. Il sait que la réponse le brisera plus qu’elle ne le réconfortera. Après tout, soixante-dix ans sont passés. Les chances d’une fin heureuse sont minimes. Mais il a besoin de savoir. Steve a fait des recherches complètes sur toi, voulant pouvoir répondre à toutes les réponses de Bucky. 
-Y/N est décédée il y a deux ans pendant son sommeil. Je suis désolé, Buck, déclare Steve en regardant son meilleur ami tristement.
-Je… J’avais un espoir qu’elle soit encore vivante. Je pensais encore pouvoir tenir ma promesse, dit Bucky en riant jaune.
Des larmes apparaissent dans les yeux de Bucky alors que son espoir disparaît. Il réalise que tout ce qu’il avait souhaité, tout ce qu’il pensait qu’il pouvait encore avoir, n’est plus à sa portée depuis deux ans. 
Quand il lâche un sanglot, Steve prend son meilleur ami dans ses bras. Bucky le serre contre lui, se servant de lui comme d’une bouée de sauvetage, comme tu l’avais fait de nombreuses décennies auparavant. Ses pleurs se font de plus en plus fort alors que Steve tente de le réconforter du mieux qu’il peut. Comme lorsqu’il t’avait annoncé le présumé décès de ton fiancé, son cœur se déchire, se sentant, une nouvelle fois, impuissant. 
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Après s’être calmé, Bucky se rend au cimetière. Tes fleurs préférées en mains, Bucky se tient debout devant ta pierre tombale. Tout comme tu l’as fait lorsque tu as enterré un cercueil vide en 1945. 
A la fin de l'obseque de Bucky, Steve t’a laissé seule pour que tu puisses te recueillir. Dès qu’il n’est plus en vue, tu commences à parler, ayant besoin d’exprimer ce que tu ressens.
-C’est malin, maintenant je dois trouver un moyen de te botter les fesses, comme je te l’avais promis. 
Au moment où tu dis le dernier mot, tu craques à nouveau. Tu tombes à terre, tes joues à nouveau baignés dans les larmes. 
-Tu avais… promis, sanglotes-tu en regardant la terre fraîchement retournée. Tu m’avais promis de revenir à la maison. 
Les yeux déjà larmoyants, Bucky pose le bouquet face à ta pierre tombale. En faisant ceci, il prend réellement conscience de la situation.
-Je suis enfin revenu à la maison, Y/N, annonce Bucky en regardant là où tu es enterrée. Je suis désolé pour mon retard. 
-On était censés avoir un avenir ensemble. On… on devait vivre ensemble… vieillir ensemble, déclares-tu en sanglotant.
Les yeux de Bucky se posent sur ta photo, placée à côté de ta date de naissance et de mort. Malgré les rides, il reconnaît sans effort ton visage.
-J’aurais aimé vivre avec toi, voir ton visage vieillir en même temps que le mien, murmure-t-il en commençant à pleurer. 
-Ce n’est pas juste. Tu méritais de revenir. Tu méritais d’avoir l’avenir dont tu n’arrêtais pas de parler. On méritait de vivre notre histoire comme on le souhaitait, t’exclames-tu avant de reprendre ta respiration. Si je ne peux pas être avec toi, je ne serai avec personne. Tu es la seule personne avec qui je voulais un avenir. Je ne veux personne d’autre que toi. Je ne veux pas d'une autre bague, affirmes-tu en touchant le bijou en question. Je ne veux pas une promesse de la part d’un autre homme. Peut-être que tu aurais voulu que je “refasse ma vie”, mais tu n’as déjà pas tenu ta plus grande promesse, alors permets-moi de ne pas t’écouter sur ce point.
-Steve a dit que tu ne t’es jamais mariée. Je ne t’en aurais pas voulu si ça avait été le cas. Tu avais le droit, avoue Bucky en reniflant. J’espère juste que tu as fini par être heureuse comme tu l’étais quand l’on s’est rencontrés. 
-Je ne serai plus jamais heureuse, Buck, proclames-tu, en tentant de sécher tes larmes, en vain. En tout cas, c’est l’impression que j’ai. Mais je suis sûre d’une chose. Le jour où je rendrai mon dernier souffle, je le serai, car je sais que je serai enfin de nouveau avec toi, dis-tu avec un léger sourire. Peut-être qu’à ce moment-là, on pourra vivre comme on avait voulu le faire, suggères-tu avant de calmer un peu tes sanglots. Je n’arrive pas à croire que… que tu ne sois plus là. J’ai si mal, Buck.
-Je suis désolé que tu aies dû passer le restant de ta vie à croire que j’étais mort alors que j’étais utilisé comme une machine à tuer. Au moins, tu connais seulement l’ancienne version de moi. Tu ignores tout ce que j’ai pu faire, tente de se rassurer Bucky, détournant légèrement le regard. 
-Je ferai en sorte que tout le monde se rappelle de ce que tu as fait durant la guerre, Bucky. Je te le promets. Personne n’oubliera le héros que tu es… étais.
-Steve m’a également dit que tu avais passé ta vie à entretenir notre mémoire, à moi et à lui. Je ne te mérite vraiment pas. Je t’ai trahie et tu as quand même passé ta vie à me commémorer. J’aurais voulu qu’on ait au moins quelques heures ensemble. 
-J’aurais aimé te revoir une dernière fois, au moins durant quelques heures.
-Je t’aime, Y/N Y/L/N. Je t’aimerai toujours, dit Bucky en essuyant ses joues.
-Je t’aimerai toujours, Bucky Barnes. Je te le promets.
Comme pour sceller ta promesse, tu poses délicatement tes lèvres sur ta bague de fiançailles. Ce bijou est désormais la seule preuve de l’amour de Bucky pour toi. Il est ton seul moyen pour l’avoir auprès de toi, pour toujours. 
Bucky, quant à lui, n’a que ses souvenirs, qu’HYDRA lui avait enlevés pendant ces derniers soixante-dix ans et qu’il doit encore totalement récupérer, et le dossier que Steve a fait sur la partie de ta vie qu’il a manquée, car il n’est pas revenu auprès de toi à temps, comme il te l’avait promis.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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