#en vrai j’aime beaucoup parler de ça ici
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bon. bah voilà. la session #prépa talk numéro 1 se finit. rendez-vous cet été, déjà. pour m’entendre me plaindre de mon travail. et ensuite bah on ouvrira la session #prépa talk 2025 en septembre !
#en vrai j’aime beaucoup parler de ça ici#ça me fait une base de données pour mes souvenirs#des petits moments que je chéris quoi#je pourrais revoir ça dans quelques années et sourire#hopefully next year je pourrais vraiment befriend b. (on est déjà en très bonne voie)#je crois avoir compris que c’est un habitué de l’aumônerie#moi qui veut renouer avec une pratique depuis trois ans maintenant mais qui a eu ni l’endroit ni le temps ni le bon environnement pour#ça me parait être 1. cool parce que cette fois j’ai le temps et les bonnes personnes autour#2. bah je pourrais voir plein de copains plus mon prof chouchou quoi c’est trop bien#bref. une fois de plus bref#prépa talk#la complainte de julot
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Automne 1921 - Champs-les-Sims
3/10
Mais pour autant, elle ne se perd pas dans cette vocation. Elle qui a toujours été discrète et renfermée m'a avoué qu'elle avait ramené un ami à la maison à plusieurs reprises au nez et à la barbe de tous les adultes présents, même si Sélène semblait être au courant. C'est un jeune homme de son âge, un certain Kleber. D'après certaines de mes connaissances, c'est un garçon très bien et très simple, qui n'a pas fait d'études très poussées contrairement à ses frères, mais qui lit beaucoup et rêve de reprendre la petite épicerie de la place. Ce n'est pas exactement le genre de parti que Madame Eugénie souhaite pour Noé, mais il est encore un peu tôt pour parler de mariage. D'autant plus que même si elle semble assez éprise de lui, ce n'est pas encore si sérieux que cela.
Transcription :
Arsinoé « Bienvenue chez moi. Ici, c’est le hall. »
Kleber « Et bien… On dirait une sorte de musée. Ce vase derrière moi, c’est un vrai ? ET c’est… un œuf de Fabergé ? »
Arsinoé « Non, bien sûr que non. Ils sont bien trop chers. C’est la reproduction d’un des œufs de la famille impériale, mais je ne sais plus vraiment lequel. C’est un cadeau d’oncle Adelphe pour Grand-Mère. Quand à savoir pour quelle occasion… Et n’appelle pas cela un vase devant mon père, tu ne rentrerai qu’à l’aube. »
Kleber « D’accord… Alors comment dois-je appeler ça ? »
Arsinoé « Un vase canope. Il servait à conserver les viscères des momies. Celui-ci contenait les poumons… à moins que ce ne soit les intestins... »
Kleber « Pouah ! J’ai du mal à imaginer ça, ce n’est pas très ragoutant. »
Arsinoé « Non, pas vraiment, mais avec un père comme le mien, c’est le genre de chose que l’on apprend au berceau. »
Kleber « Et ces photographies ? »
Arsinoé « Ce sont celles de ma mère. »
Kleber « Elles sont magnifiques. »
Arsinoé « Merci. Enfin, merci pour elle je veux dire ! »
Kleber « Bon, j’imagine que si tu m’as proposé de te rejoindre ici, ce n’est pas pour me montrer des vases à viscères. »
Arsinoé « Non… enfin tu as dit que tu aimerais voir des objets d’Egypte alors… Et puis, j’aime bien être… enfin, passer du temps avec toi. »
Kleber « Je sais bien, je te taquines. Tu es adorable quand tu es confuse. Moi aussi j’aime passer du temps avec toi. J’admets que cette histoire d’antiquités, c’était surtout un prétexte. »
Arsinoé « Un prétexte ? »
Kleber « Pour te voir. Mais aussi pour éloigner tes sœurs. Sélène est encore assez discrète, mais je ne tiens pas à avoir Cléo comme chaperon, nous ne pourrions pas parler sans qu’elle se mêle de tout. Et c’est difficile de courtiser quelqu’un avec elle dans les parages, elle le prendrais comme un crime de lèse-majesté. »
Arsinoé « Tu me courtise ? Vraiment ? »
Kleber « Oui, si ça ne te dérange pas bien entendu. »
Arsinoé « Pas du tout… En fait, cela me flatte et comme je suis bien avec toi, pourquoi pas. Mais tâchons de rester discrets. »
Kleber « Il y a pire trouble-fête que Cléo ? »
Arsinoé « Tout dépend de ce que tu entends pas trouble-fête. Mais je t’assures que si ma Grand-Mère te prend à conter fleurette, tu te retrouveras devant l’autel avant même de comprendre ce qui t’arrive. »
Kleber « Ah, la redoutable Madame Le Bris… Il paraît qu’elle veille toujours au grain quand il s’agit de sa descendance, et que de nombreux couples du village lui doivent leur union. »
Arsinoé « Si tu veux savoir, bon nombre de ces histoires sont vraies ! Attention à ne pas te retrouver sur son tableau de chasse. »
Kleber « Si c’est pour t’épouser, je ne me plaindrai pas tant que ça. »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Arsinoé Le Bris#Kleber Musclet#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Constantin Le Bris
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Je vais répondre à mon propre ask meme parce que j’ai dix minutes à tuer pendant que mon téléphone charge avant d’aller dans un bar lesbien berlinois (j’ai aimé écrire cette phrase - btw Air France m’a ENFIN renvoyé ma valise)
1) Ton/tes persos préférés ?
PERCEVAL, bien évidemment. Ce qui est très fort, c’est qu’il est à la fois hilarant, touchant et narrativement fascinant. Il dépasse de loin le comic relief et en même temps ses épisodes sont les plus hilarants. Je le trouve extraordinairement bien écrit et je ne vois personne que Franck Pitiot pour le jouer (Franck, si tu passes par là, keur keur). C’est le personnage qui illustre le mieux l’ironie dramatique inhérente à Kaamelott : ce sont des personnages de légende, donc nous savons ce qui va leur arriver. Dès le début, nous savons que Lancelot aime Guenièvre, comme nous savons que Perceval va trouver le Graal. Il faudrait que je fasse une compilation de toutes les fois où la série blague là-dessus. C’est certainement le personnage sur lequel j’ai le plus d’attentes pour la suite.
Sinon, j’aime beaucoup Arthur, même si les premières saisons m’ont bien rappelé qu’il pouvait être un vrai connard et Léodagan est très haut dans mon coeur car je le trouve tout simplement hilarant. Mention spéciale aux Orcaniens, Gauvain parce que c’est un sucre et qu’il est très drôle, Loth parce que Rollin est excellent et je connais la moitié de ses répliques par coeur.
2) Ton/tes perso que tu détestes ?
Hm, détester est un peu fort (oui c’est mon ask meme but still). Je trouve que les love interest d’Arthur sont mal écrits, en particulier Mevanwi et Aconia.
Mevanwi passe de “femme frustée dans son couple et amoureuse du roi” à “sorcière diabolique prête à commettre un crime” un peu trop rapidement pour moi et je n’ai jamais pu m’attacher à Aconia : ça m’embête beaucoup qu’elle soit seulement mentionnée au Livre VI et qu’on en entende jamais parler avant. Du coup, j’arrive pas à croire à leur histoire. En règle générale, les femmes 'amoureuses’ d’Arthur, à l’exception de Guenièvre, sont pas hyper bien écrites selon moi, les maîtresses sont un peu des clichés de femmes ambitieuses, prêtes à tout pour avoir le pouvoir.
Sinon, je supporte de moins en moins Karadoc, comme tout le monde.
4) Ton otp ?
ArthurxPerceval, j’assume à 1000%, j’ai jamais changé. LéoxBohort, très haut dans mon kokoro aussi, comme Yvain et Gauvain. J’ai une certaine affection pour LancelotxArthur parce que : le drama.
5) Brotp ?
Arthur et Léodagan, un peu Lancelot et Arthur aussi, Arthur et Bohort, en fait Arthur et ses amis, ça fait toujours plaisir. Aussi, j’aime beaucoup voir Guenièvre et Yvain interagir. Séli et Léodagan, mais je les kiffe aussi en OTP.
6) Notp ?
Pas vraiment, à part Galessin/Gauvain à cause de la différence d’âge.
7) T'as aimé le film ? Pourquoi ?
En vrai oui, même si je conserve des réserves. Je trouve que y a des gags qui sont pas si drôles, que les flashbacks sont franchement ennuyeux et je m’attendais à plus d’émotion pour certaines retrouvailles. Mais ça fait quand même plaisir d’avoir un film Kaamelott au cinéma et j’ai quand même bien apprécié : j’ai hâte de l’avoir en DVD pour le décortiquer.
8) entre nous, les fans de Kaamelott, y sont relous ou pas ?
OUI, surtout sur Twitter, mais tous les fans hardcore sont relous, c’est le principe. Ici, ça va, en tout cas, on m’embête pas trop donc ça va.
9) un Headcanon que tu adores
Perceval a pratiquement éduqué les enfants de Karadoc en l’absence de Mevanwi.
Aussi, Perceval et Lancelot sont gays tous les deux.
J’aime aussi beaucoup l’idée que Galessin a élevé ou participé à l’éducation de Gauvain.
Perceval est TDAH.
10) un Headcanon adopté par le fandom que tu n'aimes pas
Pas vraiment un headcanon, plutôt une perception générale. Perceval est trop infantilisé et est beaucoup moins innocent qu’il le prétend. Je crois que ça me touche parce qu’étant TDAH moi-même, on m’infantilise aussi pas mal et ça m’énerve. Je me reconnais beaucoup dans Perceval, je le trouve chou et je le trouve aussi intelligent, maladroit, rigolo, like yeah hes cute mais c’est aussi un adulte, et il a aussi des défauts, dans lesquels je me reconnais aussi : il est trop impulsif et il ne considère pas toujours les autres, pas volontairement, mais tout de même. Il a du mal à se mettre au boulot (cough cough TDAH cough cough), il est un peu trop influençable etc. C’est pas un être de lumière pur et bienveillant, c’est un super personnage complexe et fouillé.
11) musique préférée ?
Les ravins de la mort, la musique des pupi, et la musique du générique livres V et VI.
12) ta blague préférée de Kaamelott ?
“Vous avez failli avoir le mors au dent !”
“Faut une dose de cheval”
*tarte d’Arthur*
13) épisode.s préféré.s ?
“La vie est belle”, “Le tourment II”, “La délégation maure”, “la sonde”, les deux épisodes sur les tartes, “la baliste”.
14) Unpopular opinion
Hm, j’en ai pas en tête.
15) Tu espères quoi pour la suite ?
PERCEVAL ET LE GRAAL, PERCEVAL ET LE GRAAL, PERCEVAL ET LE GRAAL
16) une chanson qui te fait penser à Kaamelott ?
“Les gens qui doutent” d’Anne Sylvestre :
J'aime ceux qui paniquent, ceux qui sont pas logiques, enfin, pas "comme il faut"
Ceux qui, avec leurs chaînes pour pas que ça nous gêne font un bruit de grelot
Ceux qui n'auront pas honte de n'être au bout du compte que des ratés du cœur
Pour n'avoir pas su dire "délivrez-nous du pire et gardez le meilleur"
J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons
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Petit coup de gueule perso
Hello bonjour salut !
J’avoue tout de suite, ce post n’a pas vraiment d’autre but que de me servir de catharsis ! Y’a quelques trucs que j’ai besoin de dire (donc ça va parler de moi de moi et de moi vous êtes prévenu.e.s).
BREF, je suis sur les mêmes forums depuis plusieurs mois maintenant et il y a quelques temps, jeune naïf que j’étais, je succombe au pelage soyeux d’un nouveau projet qui avait l’air super prometteur. Le forum ouvert depuis une bonne semaine environ, j’y débarque avec un scenario d’un membre. Tout se passe bien, les membres sont sympas, le staff est sympa mais ça se voyait ou du moins ça se ressentait que les membres du staff souhaitaient mettre de la distance entre eux et les membres. Je parle pas bien entendu de familiarité, on ne se connait pas et on est bien évidemment pas obligé de devenir pote y’a aucun souci là-dessus, par contre, ce petit ton condescendant en répondant aux questions des membres m’a un peu fait tiquer (si seulement ça avait pu me mettre la puce à l’oreille je serai parti plus tôt).
Je suis tout à fait d’accord avec le fait que le rp ce n’est pas « qu’un jeu », jsuis une personne racisée et même un aveugle aurait vu que ça a JAMAIS été un truc safe pour les personnes racisées (je parle ici du rp francophone) mais bon... Un peu de « pocwashing » mais franchement j’avais pas la santé mentale de faire ma fine bouche et j’en suis sincèrement désolé mais j’ai laissé coulé.
Je ne vous ferai pas toute la liste des trucs problématiques que le forum réunissait parce que ce n’est pas le but de ce message. Je veux me concentrer sur le problème suivant : le plagiat.
Premièrement, sur ce forum PERSONNE, je dis bien PERSONNE (ou genre, 3 ou 4 personnes sur une 50aine de membres) ne rajoutait le crédit à son avatar. Du coup, je tentais d’envoyer des mps en demandant justement de le rajouter et j’avais toujours la même réponse ou le même genre de réponses, quelques exemples :
« Ouais mais je savais pas lequel choisir du coup j’avais mis celui là en attendant et finalement je l’ai gardé »
« Ouais mais je suis sur tel là mais je le fais dès que je rentre » (donc on essayait de me faire croire que bon, on pouvait poster/remplir sa fiche ET son profil mais pas le champ crédit de l’avatar… Trop compliqué).
Mais c’est pas le pire.
Comme vous le savez – ou, si vous ne le savez pas, sachez que vous allez le savoir, je titille un peu le graph quand j’ai le temps et du coup, en bon pigeon que j’étais, je poste mes créas dans la partie galerie prévue à cet effet. Très vite, le staff me contacte me demandant si j’étais intéressé par faire un design pour leur prochaine version en collab avec la personne qui devait le faire de base, moi tout content, j’accepte et très vite, cette personne m’envoie des essais de design par mp.
Très sincèrement, je n’aimais pas du tout son style. Pas de soucis, ça veut pas dire que ses créas étaient moches (on parle quand même ici de l’avis d’une seule personne -moi- dont on s’en branle, je suis pas le décideur de la beauté ou non d’une créa) et du coup, quand on me demande de mettre ma patte au design, forcément, je change beaucoup de choses ce qui donne un design TOTALEMENT différent, et cette partie a son importance. Totalement différent dans le sens où j’ai tout refait moi-même en essayant de m’inspirer du style de la graphiste.
Je me rappelle également avoir eu la boule au ventre en lui renvoyant mon essai, j’avais même rédigé tout un texte pour lui expliquer que c’était pas que je trouvais ses créas moches, c’était tout simplement que ce n’était pas mon style et que j’étais plus parti dans cette direction là. Décision du staff, mon design est l’heureux élu, donc je suis content mais aussi un peu désolé pour la personne qui s’était fait chier à grapher avant moi. Et c’est là que les emmerdes ont commencé !
Je sais pas si c’est par jalousie ou pas, mais la graphiste a commencé à m’ignorer, le staff ne voulait plus trop répondre à mes questions (style « est-ce que je dois faire telle ou telle partie du design ? Est-ce que vous avez des critiques ? »), elle m’avait même demandé de passer par elle pour parler au staff, comme si je devais patiemment attendre dans la salle d’attente d’un éditeur et que la secrétaire allait d’abord juger de si j’étais apte à rencontrer son patron. Quand je proposais des trucs c’était toujours « euh ok, je transmets et on revient vers toi ! », « non t’inquiète on fait le reste avec ce que tu as fait ! »
Ce qui voulait dire que non seulement ils allaient utiliser les bouts de design que j’avais fait et qu’en plus je savais même pas pour quoi faire. Du coup, petit coup de gueule de ma part (jme la jouais dur à l’époque mais j’étais mal, l’histoire nous a appris que dès qu’on gueule les personnes racisées on est tout de suite catégorisés comme des harceleur et c’est la déferlante des « ouais mais tu gueules, comment tu veux qu’on t’écoute ? » ou encore « non mais elle peut arrêter de faire du whitewhashing mais si on l’engueule comme ça ça va pas la motiver à changer son coloring » mais je disgresse, gresse)
DONC petit coup de gueule de ma part qui me permet AU MOINS d’obtenir le discord d’une admin qui me permet de discuter un peu avec elle. Elle m’explique que vu que mon design a été « choisi » il faudrait que je fasse ça et ça et ça, pas de soucis, je m’exécute et je rajoute même des trucs qui me paraissaient aesthetic (en précisant que bien évidemment ce n’était que des idées… Jme serai giflé à avoir peur de les déranger dans leur sacrosainte organisation avec mes idées, sans dire qu’elles étaient forcément bonnes, la moindre des choses auraient été de me remercier).
Vous l’aurez deviné (ou pas), mais jamais on ne m’a remercié pour le design. Jamais. Et pire encore, je n’ai été crédité qu’à moitié. J’ai été crédité pour le header mais pas pour le reste (donc image de l’entête, des catégories, du QEEL, BREF la totale), ET EN PLUS, j’avais réalisé les avatars invités et ceux des PNJ, 0 crédit, nulle part. Ou alors ceux des anciens graphistes qui avaient réalisés ses avatars (Olympia, Anthereisawoman vraiment désolé, des gens ont vraiment cru que mes bouses étaient de vous)
BREF, deuxième coup de gueule, moi tout tremblotant : « eh… Eh les amis, vraiment si ça vous dérange pas… Vous pourrez mettre mes crédits ? »
(vous comprenez, je voulais pas qu’on pense que je prenais le rp trop au sérieux parce qu’au fond C’eSt QuE dU rP)
On me répond « ok ». Littéralement. Deux lettres. « o » et « k ». Et bien évidemment, mes crédits n’ont JAMAIS été rajouté.
Dernière chose et après j’arrête de râler, en me baladant un peu sur le forum je découvre quoi ? Que la graphiste fait des « cadeaux » aux membres, vous savez, les avatars qui « vont » avec la MAJ qu’on fait parfois à quelques membres, mais, AVEC LE PSD de mon header. Donc mon header en fond (enfin des bouts de mon header pour rentrer dans le format avatar) et par-dessus un png du perso + deux trois merdes par-dessus (j’aurais pu ne pas être vulgaire ouais, on aurait pu ne pas me voler mon design aussi, deso pas deso.)
Bien évidemment, depuis, le forum a changé de design (réalisé à 100% par la graphiste attitrée cette fois-ci, et bien évidemment, ses crédits ont été placés partout sans avoir besoin de demander)
BREF LE PLAGIAT, C’EST CACA, SÉRIEUX LES GARS, ARRÊTEZ FAUT PAS FAIRE CA.
Ps : Je terminerai ce pavé en disant tout simplement que j’ai été viré du forum. Pas explicitement mais quand du jour au lendemain plus personne ne te répond que ce soit sur le flood, en rp ou même dans les bienvenus de fiches de présa… BON jsuis pas Sherlock mais je pense que là…
PS2 : je terminerai(vraiment cette fois) sur une note positive. C’est sur ce forum que j’ai rencontré la personne avec qui rp rime avec bonheur (ouais on dirait une quote de poster d’adolescente de 15ans mais still) avec qui je m’éclate, avec qui je discute h24 et que j’aime plus que tout et de qui je suis teeellement redevable parce que sans elle pour bitcher j’aurais clairement pété un plomb. Heureusement qu’elle était là, heureusement qu’elle est toujours là, heureusement que j’ai osé lui envoyé ce mp pour lui proposer un lien. Je pourrais faire tout un pavé pour lui expliquer à quel point sa seule existence est bénéfique pour le monde du rp à vrai dire…
Et désolé s’il y a des fautes dans mon texte je n’ai pas relu et je ne vais certainement pas le faire mais il fallait que ça sorte.
Des bisous si consentis
Gérard
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MCL LL Chapter 10 Answers/Walkthrough
Here are my answers (in French, but Google translation works wonders for this) for chapter 10 with how much love increased/decreased, where to find Auntie and the outfits for the 3 illustrations. Everything is under the cut, I hope it can help ♥
UPDATED ! All good answers have their lovo next to it now. Have fun !
Cost : 1156 APs (1106 APs if you refuse to see Marina)
LI : Nathaniel
Auntie seen : Yes.
Outfits :
Stripped shirt : Nina
Black outftif : Dan
Purple top : Eric
ROSALYA
Qu’est-ce que c’est que ce plan… ? J’espère que… Oui, j’espère qu’il n’a rien fait de trop impulsif… Il avait pourtant l’air d’aller bien, la dernière fois que je l’ai vu. -5 avec Alexy Ne t’en fais pas, je suis sûre que tout va bien. Il y a sûrement une bonne explication à tout ça. +5 avec Alexy
ALEXY
Vous seriez surprises du nombre de rencontres qu’on peut faire en un mois, avec cette appli… Ça ne tourne pas trop en rond ? Je ne doute pas que c’est amusant, mais une vraie relation ne te manque pas ? -5 Du moment que vous êtes tous clairs sur le fait que vous n’êtes pas exclusifs, tu as bien raison de t’amuser un peu. +5
... Mais je ne serais pas surprise que Rayan ait quelque chose à se reprocher. Je ne suis pas certaine qu’il connaisse les limites… Parce que, pour l'instant je n’en sais rien du tout ! Comment je pourrais me permettre de juger alors que je n’étais pas là ? +10 Mais je ne peux pas croire que Rayan soit coupable de ce dont on l’accuse. -5 Rosalya
RAYAN
"Si ça t’agrée, passe quand tu veux, je ne bouge pas de chez moi, de toute façon. Rayan" (Le pauvre, il doit être au trente-sixième dessous. J’aurais dû l’appeler moi-même. Mais je n’osais pas…) → Aller chez lui. (Je n’ai pas forcément envie de le voir en ce moment… Et puis qu’est-ce que c’est que cette histoire de service ?) → Passe la scène.
1/ (Optionnel) Va retrouver Rayan chez lui : Aller dans la Rue des Magasins.
RAYAN
"Si ça t’agrée, passe quand tu veux, je ne bouge pas de chez moi, de toute façon. Rayan" (Le pauvre, il doit être au trente-sixième dessous. J’aurais dû l’appeler moi-même. Mais je n’osais pas…) → Aller chez lui. (Je n’ai pas forcément envie de le voir en ce moment… Et puis qu’est-ce que c’est que cette histoire de service ?) → Passe la scène.
Elle ne recule vraiment devant rien… Et elle est en train de réussir son coup, je dois dire… Ce n’était pas exactement ça. En fait, elle voulait que je témoigne contre toi, lors de ton futur procès. → Neutre. Oh… Rien de précis… Elle voulait juste me mettre au courant avant tout le monde, étant donné qu’on se connaît. → Neutre.
Est ce que tu t’es déjà sentie agressé par mon attitude ? Rayan… Je crois que tu ne te rends pas compte de certaines choses. Tu ne vois peut-être pas le problème… -10 Non. Certes, tu n’avais rien d’un prof… conventionnel. Mais personnellement, je n’ai jamais eu de problème avec ça. +10
Non le pire, c’est les gens que tu pensais être des amis et qui ne veulent plus t’adresser la parole. Murielle, par exemple… Rayan… il faut que je sache. Et sois franc avec moi. On est d’accord que tu n’as rien à te reprocher, hein… ? Mon pauvre… Tu ne mérites pas ce qui t’arrive ! Tu n’es pas un pervers, je le sais. → Neutre.
Et je ne l’ai pas vue depuis… C’est Culann qui m’a mis au courant de l’accusation plus tard… Je… je ne comprends pas… Rayan, tu m’as aussi dit que tu allais "régler ça à ta manière"… Je t’avoue que je ne suis pas sûre de vouloir comprendre ce que ça impliquait… -5 Hum, oui, pourquoi pas témoigner, après tout. C’est vrai que je peux attester que tu n’avais même pas réalisé ses sentiments. +5 Rayan… Je ne peux pas juger ce qu’il s’est passé… Je n’étais pas dans ton bureau avec vous… → Neutre.
Je reste persuadé que ses avocates lui ont monté la tête. C’est tellement un beau coup de pub, pour elles ! Non, Priya n’est pas comme ça ! Tu l’as bien vu quand on a aidé Castiel… elle veut faire les choses bien. → Choix additionnel. C’est… une accusation assez lourde. Mais c’est vrai que, pour elles, c’est une aubaine, cette affaire… → Neutre.
Choix additionnel : Non, non... bien sûr. Ce n'est pas ce que je voulais dire. Mais sa patronne... Cette Renata Dautzenberg... Hum, c'est vrai qu'à moi non plus, Renata ne m'inspire pas trop confiance. J'ai du mal avec elle. Non, je ne crois pas non plus. Elle est dure. Mais Priya l'admire pour son intégrité. Et moi, je crois Priya.
Je ne peux plus mettre les pieds sur le campus, et comme elle te connaît, peut-être qu’elle t’écoutera. Je suis désolée, mais il n’est pas question que je me mêle de ça. Tu m’en demandes trop, là. Et c’est vraiment une très mauvaise idée. → Passer la scène. Hum… Je vois ce que tu veux dire. Et si tu dis vrai, ça permettrait peut-être de mettre fin à tout ça sans heurts. Je vais essayer. → Voir Marina.
2/ (Optionnel) Trouver Marina sur le campus : Aller à la bibliothèque universitaire.
MARINA
Et je ne tiens pas plus que ça à revenir sur ce qui s’est passé. Ce n’est pas facile. Ça ne t’a pourtant pas gêné, quand il s’agissait de faire suspendre Rayan, non ? Et je pense qu’on sait toutes les deux pourquoi… Je comprends… Et je ne veux surtout pas remuer le couteau dans la plaie… +5
Crois-moi, moi aussi j’aurais voulu que les choses se passent autrement. J’imagine bien que tout ça ne doit pas être facile à vivre. Je sais très bien comment peut être Rayan. Mais je sais aussi qu’il n’a pas mérité ça. -10
Je voudrais qu’on arrête cette conversation ici. J’ai du travail… et beaucoup de mal à me concentrer. Il voulait seulement parler en terrain neutre. Il est complètement détruit, et il aimerait comprendre d’où viennent ces accusations. Oui, je comprends. Je voulais simplement tenter de comprendre et aider d’une façon ou d’une autre. → Neutre.
NINA
Disons que c’est mon interprétation. En tout cas, tu es courageuse de t’être lancée comme ça. +10 Je comprends que ce soit douloureux, mais tu ne te sens pas un peu soulagée, quand même ? → Neutre Il aurait pu avoir plus de tact quand même ! J’ai bien envie d’aller lui dire deux mots…
3/ Va au magasin de vêtements de Leigh.
NINA
Tu crois que je retrouverai l’amour un jour ? Mais bien sûr ! Raphaël ne te méritait pas, voilà tout. Tu l’oublieras plus vite que tu crois. -10 Mais, Nina… ce n’était pas de l’amour, ça. C’était un coup de cœur à sens unique. Ça n’a rien à voir. +10
=> ILLUSTRATION NINA.
→ Tata est au studio d'enregistrement après avoir validé l'objectif.
4/ Rentre au Cosy Bear Café.
5/ Rentre chez toi.
NATHANIEL
Et tu es toujours aussi magnifique, avec toutes ces rides ! J’en ai, de la chance. Tu crois vraiment que c’est le moment de plaisanter ? Je n’ai pas envie de rire, moi ! Je suis tellement heureuse de te retrouver que je veux même bien faire semblant de trouver ça drôle… → Neutre ou Positif.
... Je te préviens, je ne suis pas certaine d’être là à ton retour, la prochaine fois que tu me fais un coup pareil… -10 Je ne veux pas que tu y retournes. J’ai eu bien assez peur pour toute une vie !
6/ Rentre dans le café.
7/ Va retrouver Dan dans la rue générale.
DAN
À ce sujet, dites-moi… Vous ne vous sentez pas à l’étroit, parfois, entre les murs de votre café ? Non, le Cosy Bear me va bien comme il est. Je ne l’imagine pas autrement. C’est vrai que c’est un peu petit. Mais j’aime à penser que ça fait partie du charme. +5
Vous savez que, dans les affaires, j’accorde beaucoup d’importance à l’instinct ! Je suis désolée, Dan… mais c’est un peu soudain. Et je crois que les choses me vont bien comme elles sont. -20 Et bien… OK, bingo ! Allons-y, Dan ! Vous avez raison : ce monde nous appartient, prenons-le ! +20
=> ILLUSTRATION DAN
8/ Retourne au Cosy Bear Café.
NATHANIEL
J’aurai assez de preuves pour le foutre à l’ombre pendant quelques siècles… Je serai contente de savoir que tu en as fini avec toute cette histoire, en tout cas… -5 Et qui te dit que ce n’est pas toi qui vas tomber dans un piège ? Je n’aime pas ça…
... Sans compter que le timing n’aurait pas pu être pire… Je me réjouissais vraiment de notre sortie de ce soir. Enfin… tu as intérêt à me revenir entier, parce que je n’ai pas renoncé à notre soirée spéciale ! +10
9/ Va au restaurant avec Eric.
ERIC
... Et j’essaie de me mettre en retrait parce que je sais que, lui comme toi, vous ne ménagez pas votre peine. Mais ce n’est pas toujours facile. +10
Mais tu peux comprendre que parfois, j’en ai assez et je voudrais avoir la priorité, non ?
De fait… ça fait des années que je n’avais pas honoré un resto chicos de ma présence… Je suis désolée pour toi… Je comprends, c’est pareil pour moi, toutes mes pensées sont fixées sur quelqu’un d’autre ce soir. Je vois… En tout cas, je suis bien contente que notre soirée ait pris ce tournant surprenant. Profiter du présent, c’est ce qu’il y a de plus important, non ? +10
=> ILLUSTRATION ERIC
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Eldarya, A New Era - Episode 3
Originellement publié ici le 23 janvier 2021.
Bien le bonjour, c’est avec joie que je vous annonce que j’ai survécu à cet épisode, et que je suis donc à mesure de vous en parler, même si je ne garantis pas de pouvoir coller aux valeurs de l’épisode concernant la restriction d’émotions essentielles.
Depuis les six années que le jeu existe et depuis les six années où je suis inscrite dessus, c’est probablement l’épisode qui m’a été le plus PÉNIBLE à jouer. Vraiment. J’avais râlé sur l’épisode 18 de TO où il se passait quasiment rien, mais comparé à cet épisode c’était une fresque épique. Et pourtant, dans le peu de contenu que vous nous proposez, vous avez quand même réussi à nous servir vos valeurs douteuses pendant toute la partie à peu près intéressante de l’épisode. Du coup ce sera quand même un avis fourni. J’ai dépensé à peu près 2860 maanas. 2860 MAANAS. Qu’est-ce qui passe par la tête des joueurs/euses déjà en train de dire que « ça va c’est correct, » j’en sais rien, parce qu’il se passe RIEN dans cet épisode. Pas assez en tout cas pour justifier quasiment 3000 maanas, alors que, pour rappel encore une fois, 3000 maanas c’était ce à quoi on arrivait après l’épisode 20, quand l’histoire décollait vraiment. A l’épisode 2 on était à 2500, là on est à +2800, vous croyez que ça va être quoi, à l’épisode 20, quand y’aura vraiment de l’action et de l’avancement de l’histoire dans tout l’épisode, sérieux ? Le nouveau système il est avantageux uniquement pour The Origins, le reste c’est de la poudre aux yeux. Oups, je commence à être colère, et c’est pas bien d’être colère >w<
Je vous avoue que la scène d’intro avec Erika qui fait des papouilles pendant 3 ans à son familier ça m’a pas spécialement mise dans de bonnes dispositions mais bon, restons courtoise pour le moment et allons parler à Jamon. L’entraînement se passe, jusqu’à ce qu’Erika ressente les effets de la morsure du Warrifang (bien qu’il faille attendre un moment avant qu’elle fasse le lien entre son bras qui la démange et ses malaises car Erikonne). Comme toute personne sensée le ferait, Jamon la traîne à l’infirmerie… Et elle est pas contente. Alors ok y’a le poison qui joue sur son humeur mais quand même, quand quelqu’un s’évanouit c’est un peu normal de l’emmener à l’infirmerie, calme-toi >_> Du coup après elle passe ses nerfs sur Nevra. Alors dans cette scène, c’est vrai qu’elle s’énerve pour rien, même si Nevra n’arrange rien en la provocant volontairement, mais gardons ce passage en tête pour plus tard, surtout quand elle suggère à Nevra d’arrêter de lui dire ce qu’elle doit ressentir. Après ça m’énerve parce qu’elle a clairement conscience que quelque chose tourne pas rond, entre ses accès de colère, le fait qu’elle ait aussi chaud et autant de vertiges, mais sûrement à cause d’une espèce de vieille fierté mal placée, Madame refuse de retourner encore à l’infirmerie. Je déteste tellement quand les gens savent pertinemment qu’ils ont un problème qui nécessite d’aller voir un médecin mais refusent de le faire parce que « nan tkt ça va passer »
« Jour de colère, » on disait donc.
Adalric (je l’avais appelé Edelric dans l’épisode 2 parce que c’était la seule façon que j’avais trouvé de retenir l’ordre des lettres de son nom mais comme je l’aime bien et que j’ai fini par retenir je lui rends son vrai prénom mdr) (même si le fait qu’il parle d’alchimie juste après j’ai trouvé ça rigolo du coup) vient nous rendre visite pour nous informer que Huang Chù lui a demandé d’aller faire des courses au marché et de nous y emmener. Tout à fait entre nous, moi ça me va très bien parce que je suis dans la garde Absynthe, et j’aimerais bien que ça ait un peu de sens pour une fois dans l’histoire, du coup nous renseigner sur l’alchimie ça tombe sous le sens, mais pour les gardien-ne-s dans l’Ombre ou l’Obsidienne c’est pas super justifié (à moins que les dialogues soient différents mais du coup je sais pas ce qui est dit). Enfin ça peut être utile j’dis pas, mais j’espère juste que de temps en temps ça ressortira dans l’histoire, parce que dans les 30 épisodes de TO, on n’a eu qu’une seule scène spécifique aux gardes, et je trouve ça un peu maigrichon pour un concept qui, même s’il ne signifie plus grand-chose sur le jeu à part sur le forum, a quand même son importance au sein de l’histoire. J’en demande pas une par épisode parce que je comprends bien que c’est chiant à mettre en place (j’ai une idée réduisez le nombres de dialogues inutiles ça laissera plus de temps pour faire des scènes intéressantes AHEM), mais de temps en temps ça changerait. EDIT : On vient de me confirmer que l'objet des emplettes et la personne avec qui on y va diffère selon la garde, du coup c'est cool ! Après je maintiens, j'espère qu'on retrouvera ça de temps en temps, plus que dans TO. Cela dit j’ai bien aimé le fait qu’on ait dû se souvenir de ce que nous avait appris Adalric pour choisir les herbes acides. Quand soudain, malheur, une nouvelle crise du poison, sauf que celle-ci est couplée à une vision d’horreur pour Erika… Lance !!! Que personne n’avait vu venir !!!!!!! D’ailleurs ouais pourquoi elle s’étonne de le voir en vie elle l’a pas vu mourir à la bataille ?_? Ou alors elle s’était mis en tête qu’il avait été exécuté ? x) Bref Erika pète son câble face à Lance, elle est traînée à l’infirmerie, le poison est drainé de son corps, elle aura donc toute sa tête pour toute la partie qui suit, et qui concentre les gros problèmes de cet épisode et de ce début de saison 2, sur lesquels je vais devoir m’attarder plus longuement. (Par contre mdr dire qu’Erika a vu Ewe le matin même après son malaise et Chù qui nous dit l’après-midi qu’Ewe est sur les Terres de Jade la meuf elle s’est TP ou quoi XD)
Ça non plus, vous l’aviez pas vu venir, n’est-ce pas ? :’) Avant toute chose, le nouveau design de Lance : en vrai j’aime pas trop mdr. L’armure est plutôt cool (à part la vieille ceinture à cordes vert fluo là), mais je sais pas, la queue de cheval un peu ridicule, la vague barbe de trois jours, les yeux un peu grands pour le visage, avec les cheveux blanc en plus on dirait un peu un Geralt de Riv du pauvre mdr
J’ai pas joué aux jeux alors ce sera un gif de la série.
Après c’est purement un goût personnel, même pas lié à mon appréciation ou non du personnage, hein, donc tant mieux pour celleux qui aiment bien, moi c’est juste pas mon cas ¯\_(ツ)_/¯ Bon, attaquons maintenant le gros morceau. Je l’ai déjà dit dans d’autres avis, je l’ai déjà dit dans le topic de discussion, mon problème avec Lance, c’est pas que ce soit un méchant, c’est que ce soit un méchant hyper mal foutu. Je serais partie direct avec s’il était pas passé de personnage mystérieux et charismatique à gromeychan pakontent qui tue parce qu’il est pakontent. Déjà, ça, c’est le premier problème, le gros problème de TO, et qui a fait perdre tout son sel à l’un des persos les plus intéressants de la saison 1 (mais a augmenté le mien, de taux de sel). Et maintenant qu’on arrive dans la saison 2, la conséquence c’est qu’on passe sans transition de « Gromeychan boss de fin de la saison 1 » à « Chef de la garde obsidienne si t’es pas contente c’est pareil. » C’est juste pas possible. C’est d’une incroyable paresse, et ça pourrit l’immersion pour les lecteurs/trices. Que la transition soit brutale pour Erika, c’est logique, mais pas pour nous. C’est pas comme ça qu’on décrit les personnages qui font un tel revirement. On a finalement eu le droit à ce que je craignais, Huang Chù et d’autres qui nous font simplement un vague récit de comment il s’est racheté pour la Garde (et quelques mois voire un an de prison déso mais non c’est loin d’être « beaucoup » ptdr), et c’est marre, t’acceptes ou tu la fermes (Erika comme nous lol). On avait déjà eu le problème avec Leiftan : le problème c’est pas que le perso passe de méchant à gentil, le problème c’est que ça soit fait SANS rédemption. Et le plus frustrant, c’est que autant Leiftan c’était vraiment fichu n’importe comment, en mode « j’me suis fait griller j’ai plus qu’à les caresser dans les sens du poil et être sympa avec Erika pour qu’elle m’aime bien » et bam là d’un coup magie il est devenu Jonti, ce qui n’a aucun sens dans aucune partie de l’univers, autant Lance, il a effectivement fait un effort pour se racheter (toutes proportions gardées parce que bon on se rachète pas d’une tentative de génocide comme ça lol hein). (Ouais parce que déjà de base, la rédemption par la mort et le sacrifice c’est le paroxysme de la flemme, et j’aurai bien plus d’intérêt pour un personnage qui se rachète en faisant des vrais trucs utiles et tangibles pour les gens qu’il a blessés.) Sauf que du coup ben y’a pas de rédemption quand même, c’est juste « il a été sympa du coup maintenant c’est un gentil, à plus. » Ça suffit pas. Je vais faire une comparaison avec un personnage dont j’ai bien aimé la rédemption : Gaara dans Naruto. On m’a dit que celle de Zuko dans Avatar, le Dernier Maître de l’Air était super aussi, j’ai pas vu la série alors j’en parlerai pas, mais du coup voilà c’est aussi, à ce qu’il paraît, un bon exemple d’arc de rédemption réussi. Gaara pour résumer c’est donc un perso d’abord introduit comme un antagoniste pakontent lui aussi et qui tue ceux qui le regardent de travers, le héros lui met un coup de tatane et lui infuse le Pouvoir de l’Amitié™, Gaara réalise qu’il était dans l’erreur, il vient en aide à d’autres personnages principaux, et après une ellipse de trois ans il devient chef de village et sera dorénavant dans le clan des Gentils. Pas mal de similitudes avec l’histoire de Lance, donc. Quelles sont les différences dans le traitement de ces deux personnages ? Ben déjà, Gaara est beaucoup plus kiki.
GOUZI GOUZI LE FUTUR TUEUR EN SÉRIE !!! >w<
AHEM. Je disais donc. Le point vraiment important quand on cherche à donner une rédemption à un méchant, c’est : l’empathie. Il faut créer de l’empathie avec le personnage qui doit se repentir, sinon ce sera juste pas possible d’accepter son revirement. Et avec Lance, il n’y a rien. Pour Gaara, ça commence lorsqu’il explique un peu son passé, les tentatives d’assassinat de son père sur lui, c’est franchement pas une scène propice à le trouver aimable parce qu’il pète son câble et voulait tuer un autre perso mdr mais déjà le héros lui-même se prend d’empathie pour lui à ce moment-là, puisqu’il se dit qu’il aurait carrément pu devenir pareil si les circonstances avaient été différentes pour lui, vu qu’ils ont tous les deux un démon en eux machin. Ensuite y’a la scène flashback où on voit l’enfance de Gaara, comment il a été traité, comment il essayait d’être gentil mais on le rejetait quand même de toute part, sa relation avec son oncle qui est à peu près la seule personne qui lui donne de l’affection, et enfin quand son oncle le trahit en essayant de le tuer et en lui disant des trucs horribles, on voit son point de bascule, pourquoi il est devenu méchant, ça donne l’explication. Pour Lance, c’est à peine si on connaît son point de bascule : un personnage nous dit vite fait en coup de vent qu’il a lu des trucs sur le Sacrifice Bleu un beau matin de printemps et PAF il est devenu berserk. Même dans l’épisode 26 on en apprend pas beaucoup plus, il fait que gueuler que les faëries sont des assassins qui ont laissé le peuple des dragons se sacrifier, on sait même pas ce qu’il ressent lui, en tant que personne, c’est à peine plus élaboré que « grougrou ça m’énerve è_é » Quant à l’empathie, la seule empathie que j’ai eue c’était avec le Ashkore du début, celui qui avait des motivations douteuses mais nous donnait des raisons de nous méfier de la Garde et nous faisait miroiter son aide future. Pour le reste, dès l’épisode 15, c’est agrougrou colère, il faut attendre genre 5 ou 6 épisodes avant la fin pour que Valkyon nous parle vaguement de leur enfance, quelques élans de sympathie dans l’épisode 26 entre deux tentatives de meurtre, on a Miiko qui nous sort entre la poire et le fromage qu’elle était amoureuse de lui puis on en reparle plus jamais du coup on sait pas si elle le trouvait juste méga-beau ou si ça voulait dire qu’il a été assez sympa pour que Miiko tombe amoureuse lol. Si on avait eu un aperçu de leur relation quand il était encore dans la Garde, ça aurait permis de savoir à peu près qui il était avant de devenir Ashkore. Pareil si on avait eu un vrai aperçu de sa relation avec Valkyon, pas seulement une narration après coup. Puis c’est con mais, si je reprends ma comparaison : Gaara n’a pas tué de personnage important. Les seuls qu’on le voit tuer c’est des randoms qui ont même pas de nom ou un perso lui-même classé antagoniste (Dosu). Lance, lui, a tué Valkyon, l’un des protagonistes, et qui plus est le potentiel amoureux du perso principal, qu’on est censé incarner, en plus de ça. Ça aura été le point de non-retour pour beaucoup de joueurs/euses, et honnêtement on peut comprendre pourquoi celleux qui avaient Valkyon en CDC (moi incluse après un replay) seraient mal à l’aise de pouvoir se mettre en couple avec l’assassin de leur ancien crush, sur le principe c’est un peu craignos, quoi. Il a aussi potentiellement tué Papi Kappa, même s’il est pas directement responsable (c’était les marids dont il a perdu le contrôle), mais ça a pas vraiment l’air de l’avoir dérangé… Et aussi Lance avait quand même prévu de génocider l’entièreté d’Eldarya mdr. C’est quand même légèrement élevé sur l’échelle de méchantitude.
Faites pas gaffe j’aère juste le texte lol
C’est d’ailleurs un autre point qui nous manque chez Lance : l’expression du remord. Pour Gaara, lorsqu’il se bat contre Naruto, ce dernier lui fait tout son speech sur le Pouvoir de l’Amitié™ et comment il comprend sa douleur mais que c’est pas comme ça qu’on gère machin, et on est alors témoin du deuxième point de bascule de Gaara : on voit le déclic se faire alors qu’il est à terre, on le voit comprendre qu’il y a un truc qui va pas dans sa vision du monde, on le voit présenter ses excuses à son frère et sa sœur. Puis, plus tard dans l’histoire, on le voit venir en aide à Lee, un autre personnage important, et on le voit discuter avec lui et expliquer comment il a compris ses erreurs et comment il est en train de se racheter, en plus du fait qu’il vient de l’aider (c’est particulièrement marquant qu’il aide ce personnage-là puisqu’il avait failli le tuer plus tôt). Il est encore en plein dans son arc de rédemption, c’est pas fini, ça continue après l’ellipse où il devient chef de village, qu’il protège son peuple d’une attaque des Gromeychan et tout le village finit par venir à sa rescousse lol (ses actions pour se repentir sont encore plus développées dans les épisodes filler de l’anime mais bon qui a le temps pour des épisodes filler) (t’façon les seuls que j’ai regardés c’est ceux avec Gaara). Bref c’est assez graduel, et surtout on est témoins de gros points clés de sa rédemption, ce qui permet, encore une fois, de développer de l’empathie pour le personnage, et mieux accepter son revirement. Pour Lance, on a… Rien. Lorsqu’il tue Valkyon, on ne voit qu’Erika le projeter au sol et l’assommer, puis on ne le revoit plus avant cet épisode. On a juste Valkyon qui nous dit « nan mais tkt il a regretté dès qu’il m’a tué !! » Ah bah heureusement que tu l’dis !! On aurait pu au moins le voir avoir l’air horrifié, le voir dire « qu’est-ce que j’ai fait » ou j’en sais rien, tout ce qu’on a c’est des récits d’autres personnages, sept ans après les faits, tout est balayé d’un vieux « non mais il regrette » et c’est marre, tout le monde avale sans broncher quand l’autre nouille de Hua dit que ça va après lui avoir sondé l’esprit parce que t’façon elle sait lire dans le cœur des gens. Ben dis donc elle aurait mieux fait de chausser ses lunettes de lecture quand elle s’est approchée de Leiftan dès l’épisode 11, hein… En tant que lecteurs/trices, on est juste obligé-e-s de faire confiance aux autres personnages sur la transition, parce que vous n’avez même pas pris la peine de l’écrire, de nous la faire vivre, de même nous faire accepter qu’elle était possible en nous montrant des faces positives du personnage, comment voulez-vous que les gens qui n’aimaient pas Lance dans TO pour ce qu’il était se mettent à l’apprécier d’un coup d’un seul dans ANE ? C’est facile d’écrire des personnages assez cons pour pardonner des meurtriers comme Leiftan en trois coups de cuillère à pot parce qu’il fait un joli sourire et que Mâdâme Hua a décrété que ça allait, mais votre commu c’est pas des abrutis comme vos persos, on va pas se mettre à apprécier Lance si on le détestait parce que c’était un meurtrier ou un méchant mal foutu, juste parce que vous faites dire à vos persos « c’est bon maintenant il est de notre côté. » Là la seule réaction que vous nous laissez avoir, c’est « Bon bah si c’est vous qui le dites, écoutez, apparemment on ne peut que faire avec… » Du coup voilà, on passe de Gromeychan unilatéral dont on n’a vu QUE le côté méchant durant TOUTE la saison 1, à Grand Chef Charismatique de l’Obsidienne que tout le monde a plus ou moins accepté, sans transition, sans aucun effort de votre part dans l’écriture. Après, de manière générale, même si un arc de rédemption est réussi, ça oblige toujours pas à aimer le personnage, hein, qu’on soit bien d’accord. Maintenant qu’on a parlé meta, voyons un peu l’autre problème que pose votre « gestion » de la rédemption de Lance.
Ouais parce que bon c’est fun de se moquer d’Erikonne, mais clairement vos persos ils ont zéro considération pour elle. Chù elle est très terre à terre, j’ai l’impression que c’est sa façon de communiquer, juste énoncer des faits, au risque de paraître un peu à côté de la plaque (pas envie de me rappeler ce dialogue abscons de l’épisode 2 bruh), mais du coup au moins elle nous le dit : elle ne fait qu’énoncer des faits. Même si c’est de la couardise de refuser de prendre position sur la question. Hua, elle, c’est une autre histoire. Quand on est allée la confronter, j’ai décidé d’être très mal élevée lol. Parce que ça va bien deux minutes, les âneries. Évidemment qu’Erika est en colère. Évidemment que c’est normal. Il faut absolument écouter Hua quand elle décrète que tout va bien après avoir sondé l’esprit de Lance, mais pour prendre en compte le fait que, effectivement, comme elle le rappelle elle-même, ce qui est arrivé avec Lance pour Erika c’était la semaine passée, là y’a plus personne. Là faut appliquer « la tolérance et le pardon » si chers à la Garde, sans se poser de questions. Alors que merde, y’a personne dans cette baraque pour réaliser que oui, pour Erika c’est une torture de voir cet homme soudainement adopté par tout le monde, alors qu’il y a si peu de temps pour elle, c’était l’ennemi numéro un, celui qui a tué Valkyon, l’homme de sa vie. Tout le monde s’en fout, en particulier la Grande et Belle Hua, celle qui Sait, mais qui s’en Branle comme de sa première chemise. Elle nous reproche de voir Lance comme un ennemi alors que : c’en est un pour Erika, elle nous reproche de nous énerver alors que : meuf c’est toi qui as décidé de cacher une info aussi importante, et maintenant, comme depuis toujours dans cette foutue histoire, elle nous enjoint à pardonner. (D’ailleurs elle nous dit : « tu as bien pardonné à Leiftan » alors non déso c’est vous qui avez décidé pour nous, moi j’ai pardonné que dalle mais bon Hua et les autres ils avaient dit que alors il a fallu faire comme ce que les autres avaient dit que…) Karuto, lui, est dubitatif, mais « préfère la rédemption au châtiment, quand c’est possible »… Spoiler, on peut conjuguer les deux, en fait. C’est pas inconcevable. Karenn pense qu’ostraciser Lance n’aurait aucun sens. Alors en fait si, ça peut en avoir dans l’absolu, empêcher un criminel d’être mis en avant dans le groupe dans lequel il a sévi c’est pas une mauvaise idée en soi. Après elle nous accuse de pas vouloir faire d’efforts pour comprendre qu’il a changé, mais y’a qui pour faire des efforts pour comprendre qu’elle peut pas accepter en deux semaines ? Certainement pas Karenn en tout cas, mais j’attends rien de cette cruche de toute façon. Chrome cherche des excuses pour n’avoir rien dit à Erika, et si on fait pas confiance au Jugement Divin de Hua, alors c’est qu’on la traite de menteuse, et c pas bien. Punaise je vais finir par la détester comme Miiko là.
Je pensais avoir gagné au change, moi >_>
Chrome finit par lui aussi nous reprocher de nous énerver. Et c’est bien le problème. Personne n’accepte qu’Erika soit en colère. Oh ça vient bien sortir des « je comprends que ça te plaise pas » puis 10 secondes après ça lui reproche de s’énerver et de pas accepter TOUT D’SUITE que Lance n’est plus le même et qu’il est accepté dans la Garde. Il faut qu’elle se calme, qu’elle arrête de ruminer, qu’elle discute calmement, qu’elle respire un bon coup, elle est énervante à s’énerver… Il n’y a aucune place pour sa colère. Et même Jamon, qui était pourtant bien parti, finit par lui dire que la colère est mauvaise conseillère. Alors oui, c’est vrai… Quand elle nous aveugle. La colère en soi est loin d’être une mauvaise chose, arrêtez de nous coller vos morales à deux ronds complètement en dehors des réalités. Toutes les émotions sont importantes, toutes sont des signaux du cerveau qui nous indique une réaction à avoir. Bien sûr que quand on les laisse nous envahir trop longtemps ça cause des problèmes, mais quand on les réprime ou qu’on nous force à les réprimer ça cause des problèmes aussi, croyez-moi. La colère c’est un moteur. Si y’avait pas eu des meufs qui s’étaient mises en colère hier et d’autres qui continuent de se mettre en colère aujourd’hui, la plupart d’entre nous qui jouons à ce jeu n’auraient probablement même pas le droit d’accéder à un ordinateur, et c’est comme ça pour toutes les luttes sociales, nos droits ont pas été acquis en demandant poliment et en proposant des petits gâteaux. Et à l’échelle individuelle, c’est pareil : la colère, c’est notre cerveau qui nous dit, « je suis pas d’accord avec ça, je veux qu’on me respecte, moi et mes valeurs. » Et ça, tous les personnages veulent le retirer à Erika sans même prendre 2 secondes pour se mettre à sa place. Erika a le DROIT d’être en colère. Erika DOIT être en colère. Ça rejoint la scène avec Nevra où elle lui dit qu’il peut bien la laisser s’énerver si elle en a besoin, et lui dire d’arrêter ce qu’elle doit ressentir. Parce qu’en cet instant c’est ce qu’il lui faut. Et je rejoins une personne plus haut qui disait que le poison était un peu la vieille excuse pour qu’Erika soit en colère, mais elle a toutes les raisons du monde de l’être, pirouette scénaristique du poison ou non. La discussion avec Jamon se poursuit, et Erika finit par se souvenir de ce que Valkyon lui avait dit avant qu’elle entre dans le Cristal : « Stp sois pas trop dure avec mon frère qui m’a tué et a voulu trucider la planète Eldarya, il s’en veut :’( » Et là d’un coup, magie, la colère d’Erika disparaît et se transforme en tristesse. Alors d’une part c’est pas comme ça que ça fonctionne, déjà, mais on a bien intégré que vous aviez rien compris au fonctionnement des émotions. Un traumatisme comme ça, la colère elle va pas s’évaporer deux heures après parce que tu t’es souvenu d’un conseil particulièrement pourri (oui c’est très pourri ce qu’a dit Valkyon). D’autre part… Jamon nous sort maintenant que la tristesse aussi est mauvaise conseillère. Je suis fatiguée de devoir écrire que bon sang de bois, c’est hyper important de pouvoir exprimer sa tristesse sans que des glandus viennent se plaindre que ça les énerve parce que c’est la BASE. Et c’est pareil pour la colère !!! J’sais pas y’a un milliard de fois plus de bon sens dans le Disney Vice Versa dans la description des émotions que dans tout Eldarya réuni.
Sans doute parce que c’est écrit par des gens qui savent de quoi ils parlent.
Si vous voulez, >une vidéo< de deux psys qui réagissent à Vice Versa et parlent de l'importance des émotions. Bien sûr, je crois pas avoir besoin de vous dire ce que je pense du fait qu’Erika veuille présenter des excuses à Chrome et Karenn, alors que clairement, c’est ces deux abrutis qui lui doivent des excuses. Ainsi que Hua, tant qu’on y est. Ils ont tous les trois agi de manière méprisable, et c’est pas à Erika de faire des excuses. Je terminerai cette partie en disant que le dernier truc qui m’horripile depuis l’épisode 1, et que je continuerai d’aborder à chaque satané épisode tant que ça sera pas réglé, c’est la façon dont Erika oublie TOTALEMENT Valkyon, à part un sursaut de bon sens quand on se rappelle que Lance l’a tué, alors que dans ma partie c’était l’homme de sa vie, et quand c’était pas notre CDC c’était censé être son ami proche. On nous parle enfin un peu du fait qu’il a été enterré dans cet épisode, et même pas elle se pose la question de savoir où il est. Pour nous montrer sa colère (légitime !!!) face à Lance et nous rappeler comment pour elle c’était tout récent, ça c’est ok, par contre ses sentiments envers Valkyon ils sont passés dans le trou interdimensionnel du scénario, hein. Je pourrais entendre que pour elle ce soit trop tôt pour se rendre sur sa tombe, mais ne même pas se demander où ils l’ont mis ?! Ne même pas envisager, dans un futur plus ou moins proche, de s’y rendre ?! On a compris que vous faites tout pour que la saison 2 soit jouable sans avoir joué la saison 1, mais vous partez pas sur les bonnes bases. La saison 1 a un impact considérable, rien que dans la mémoire des personnages encore là, on peut pas faire comme si la saison 1 n’existait pas, c’est pas possible. C’est pas comme dans AS. Les souvenirs de Lance et de la guerre c’est ok c’est frais, par contre son mec décédé ou parti à l’autre bout du continent ça va elle passe à autre chose et va draguer Mathieu dès son réveil limite. Vous voyez pas que y’a un truc qui va pas, là ?
Ouais alors non pas question que je détaille le reste parce que pour la première fois depuis le début du jeu, j’ai fini par cliquer sur les dialogues par automatisme sans vraiment les lire tellement je me suis fait CHIER. J’aime pas utiliser des mots aussi forts mais vraiment j’en pouvais plus, c’était à la limite de l’insupportable. Alors c’est bien que les personnages soient beaucoup plus vivants que dans la saison 1 où on connaissait rien d’eux, mais là sérieux on aurait coupé la moitié des dialogues que j’en aurais quand même appris autant sur eux, et en prime, j’aurais pas eu autant envie de ragequit. J’vous jure que j’étais tellement en train de supplier les personnages de fermer leur boîte à camembert à travers mon écran, j’avais l’impression de m’adresser à un congrès de tyrosémiophiles. Je regardais sur mon enregistrement de l’épisode (ui hein tant que je le diffuse pas j’espère bien qu’il y a rien qui m’interdit d’enregistrer ma partie pour mes archives personnelles pour pouvoir y revenir quand j’ai besoin de revérifier un truc d’un épisode précédent quand je rédige ces avis), le moment où Karenn toque à la porte pour nous inviter à sa soirée là c’est vers 42 minutes, sur 77 d’enregistrement, sachant que j’ai cliqué beaucoup plus vite sur les dialogues lors des défis parce que j’en pouvais plus, c’est à dire que cette soirée prend un peu moins de la moitié de l’épisode. C’est énorme, surtout pour un truc qui s’appelle « Jour de colère » où on est en colère quelques heures et après ça va mieux parce qu’on nous dit d’arrêter d’être en colère et qu’on fait une pyjama-party. Les seuls bons points que je relèverai c’est le fait que Koori a été beaucoup moins relou que dans l’épisode 2, qu’on en apprend un peu sur ses pouvoirs et qu’Adalric est vraiment un personnage attachant. J’espère juste que vous allez pas le gâcher avec une relation pédo comme vous aviez commencé avec Jamon en saison 1, mais maintenant faut s’attendre à tout (et surtout n’importe quoi) ici. C’est bien que Koori ait mis sur la table le sujet de Lance, parce que oui, faut en parler. Faire l’autruche et faire comme si y’avait pas eu de problème, ça n’a jamais aidé qui que ce soit (et ça marche aussi pour les entreprises de jeux en ligne qui ne reviennent jamais sur les shitstorms qu’ils provoquent N’EST-CE PAS). J’aime pas qu’Adalric parle de « dédramatiser » la situation avec Lance, si vous avez pas compris pourquoi je peux rien pour vous. Je note la remarque de Karenn « ça va on a pas trop d’hommes de pouvoir au QG en fait… » Si c’est pour sous-entendre que votre jeu se veut féministe parce que plus de meufs au pouvoir vous inquiétez pas c’est quand même toujours aussi mal barré niveau féminisme rassurez-vous. Quant aux pouvoirs d’Erika, m’est avis que si elle s’était un peu plus bougé les fesses en saison 1 pour les maîtriser, p’t’être qu’elle aurait pas autant de mal aujourd’hui pour les faire « revenir. » Je mets des guillemets parce que je sais pas si on peut parler de retour pour des pouvoirs qu’elle n’a jamais utilisés que genre trois fois et toujours par un pur hasard. Maintenant on espère juste que c’est pas lié à L’AmûûÛÛûÛr comme le laisse suggérer la scène de fin (que j’ai eue avec Mathieu, super gênant surtout alors qu’elle a déjà oublié Valkyon tout comme le pôle scénario de Beemoov). Pour la mission à Genkaku, j’attends le moment où Lance va nous sauver d’une mort certaine et qu’on va être là « oooooooh il a vraiment changé il m’a sauvé la vie je me sens toute chamboulée >w< » et ça va m’énerver mais bon faut pas s’énerver la colère est mauvaise conseillère.
- « Jamon t’as forgé une épée » -> t’a - « Un familier enragé t’as mordue » -> t’a - « Vous en êtes vraiment sûrs ? » (à Adalric seul) -> sûr - « Il y a eu un moment où tu n'avais pas l'air à ce que tu faisais » -> Clairement il manque un bout de phrase, là J’ai pas relevé d’autres trucs mais c’est pas impossible que j’en aie loupés. Je pense arrêter de relever les erreurs, t’façon ça sert pas à grand-chose puisque le topic dédié vous l’utilisez même pas. Mais je note qu’il y en a beaucoup moins qu’avant, c’est toujours ça de pris. La rédaction semble déjà bien plus agréable à lire qu’en saison 1, heureusement pour nous vu la tétrachiée de dialogues supplémentaires qu’on se coltine. C’est bien on voit que vous ouvrez des dictionnaires spécialisés pour mettre des termes spécifiques à un domaine (le coup de téléphoner et la fente, où je croyais que vous confondiez avec feinte mais deux fois ça me paraissait suspect), mais c’est pas non plus la peine d’en faire des caisses. Par contre stop le capslock, la police d’écriture est super désagréable à lire quand tout est en majuscules.
C’était long. Il se passe pas grand-chose : l’empoisonnement, le retour de Lance, la pyjama-party, un vague retour de pouvoirs et l’annonce du prochain épisode. Avec la pyjama-party qui bouffe quasiment la moitié du temps de jeu. Moi ça m’amuse pas de dépenser 2900 maanas pour ça. Vous tirez sur la corde sans même vous cacher, avec les boîtes de récit deux fois plus petites, l’abandon des bulles multiples et l’ajout de platitudes inutiles. Vraiment, non, « une soirée à assister aux chamailleries de Koori et Mathieu » est TOUT SAUF LE SIGNE D’UNE BONNE SOIRÉE. C’est bon, on a pigé que vous alliez nous faire des scènes chiantes comme la pluie qui vont durer trois heures pour nous faire raquer pour rien, et ce jusqu’à la fin du jeu, mais bon tant que y’a des « ça va c’est un prix correct » pourquoi remettre en cause le procédé, hein ? Si on peut saluer l’effort pour développer les personnages secondaires comme Adalric et Koori (je compte pas Chrome et Karenn parce que ces deux-là peuvent bien aller se faire cuire le popotin pour ce que ça m’intéresse), c’est quand même regrettable d’avoir jamais pris le temps de le faire en saison 1 et d’avoir attendu « l’excuse » du paiement au dialogue pour le faire ici. J’ose espérer que dans les épisodes suivants, les platitudes seront remplacées par des trucs qui feront vraiment avancer l’histoire ou les relations entre personnages, histoire que ni vous ni nous ne perdions de temps en blablas inutiles, surtout qu’on ressent bien plus la longueur de ces dialogues quand on sait que nos maanas s’envolent petit à petit quand on peut rien faire d’autre que cliquer pour voir la trentième insulte que Mathieu va balancer à Koori dans la même scène. Moi je veux bien payer 3000 maanas l’épisode si le contenu en vaut la peine, et là clairement c’était pas le cas. J’attends beaucoup du traitement de Lance et de la réaction d’Erika. Je veux qu’on puisse ne pas le pardonner si on le souhaite. Et par pitié faites qu’elle se souvienne de Valkyon et cherche au moins à savoir où il est enterré, bon sang de bon soir !!! Je pense pas avoir quoi que ce soit à dire de plus, je pose ça là comme on dit, un peu à l’arrache mais ça m’a éreintée et j’veux juste en être débarrassée et j’ai d’autres trucs à faire mdr
En attendant d’être vieille demain.
#eldarya#eldarya a new era#eldarya a new era episode 3#mes avis#jour de colère more like jour d'épuisement mental lol#sachez que j'avais pour défi de caser le mot tyrosémiophile dans cet avis#je suis particulièrement fière de la façon dont je l'ai fait#je pensais que ce serait impossible mais en fait c'était évident#sachez aussi que c'est mon anniversaire aujourd'hui voilà#mais bon qui lit les tags
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Ca faisait un bail non?
Putain, 10 années sont passées depuis la folie Tumblr. 10 années que j’ai posté mon dernier billet, 10 années...
Durant ces dix ans, j’ai changé, beaucoup d’évolution, des régressions, pas mal de déceptions, un lot de douleurs, des rires, des doutes, des décisions.
D’abord, et pour boucler la boucle, le p’tit mec qui m’avait posé 4 lapins, je l’ai rencontré. On s’est vu, on s’est aimé instantanément, on a passé un merveilleux été puis on a emménagé ensemble au bout de 3 mois de relation. Ca a duré 5 ans bordel. Cinq ans d’amour, de changements, où on a grandi, évolué, et puis où nos routes ont fini par se séparer. Je crois qu’à l’heure actuelle et compte tenu de ma vie à ce jour, c’est ce que je retiendrai de notre histoire. Elle a été belle, puissante, et elle m’a permis de me découvrir. J’suis passée de l’ado à la femme pendant cette relation, parfois dans la douleur, souvent dans l’amour, et toujours avec un fond de soutien.
J’ai appris que ma mère trompait mon père pendant cette relation. J’ai fait une dépression, j’suis tombée dans le cercle vicieux du joint, ses méandres, ses fou-rires, son addiction. J’ai mis du temps à me sortir de tout ça. Beaucoup de passages à vide, pas mal de remises en question, des “mais putain regarde c’que t’es devenue!” et puis bon, un jour, une page se tourne, et faut suivre le mouvement. J’pense pas être guérie de ce qu’il se passe entre mes parents, j’le serai probablement jamais. Mais j’y travaille encore aujourd’hui, et clairement ça va bien mieux, je prends du recul quand c’est nécessaire et j’apprends que les choix de tes parents ne reflètent pas forcément ce que tu vas vivre dans ta vie. J’ai eu peur de ça, longtemps. Peur de pas pouvoir avoir une vie fonctionnelle alors que clairement ma systémie familiale est “malade”. Mais j’ai espoir de m’offrir autre chose, de plus sain, de plus chouette.
La weed et moi c’est terminé depuis un an maintenant, ça a mis du temps ouais, beaucoup d’aller-retours, trop. Jusqu’au jour où c’était fini, juste comme ça, j’en avais plus envie. J’voulais autre chose pour moi, me prendre en main, me faire du bien, m’en donner les moyens. Dans les mois qui ont suivi j’me suis remise au sport, j’ai commencé à faire attention à moi, pour de vrai. J’ai arrêté la viande by the way et j’m’en porte pas plus mal ! Par contre, l’histoire d’amour que je vis avec le fromage est éternelle, sorry not sorry. Bon clairement en dix ans y’a quelque chose qui n’a pas changé, je me déteste toujours autant. Y’a eu du mieux fut un temps, puis à nouveaud du moins bien. Faut dire que depuis mes derniers mots ici j’ai perdu plus de 30kg donc forcément y’a eu du mieux ! Mais bon j’crois que mon image et moi y’a rien à faire on s’entend pas. J’crois que j’accepte pas que j’aurais jamais le corps de mes rêves. Je ressemblerais jamais à celle que j’aimerais être et faut que je m’en contente... Y’a encore du taf mais j’y arriverai. D’ailleurs tant que j’en suis à parler de mon corps, il s’est rebellé le con ! Nalouche (mon chat depuis 5 ans, y’en a eu du changement!!!) m’a probablement sauvé la vie (c’est comme ça que j’ai décidé de le prendre faut pas chercher) en me sautant dessus un beau matin ! Résultat découverte d’un kyste ovarien suite à des douleurs impossibles. Retrait de ce vilain garçon la semaine prochaine, wish me luck wherever you are.
Du coup Nala... Ben c’est ma pepette, ma princesse, mon royaume. J’aime cette boule de poil comme mon enfant, j’la chérie, et elle me le rend bien. Pas de panique Havane est chez les vieux, il était pas fait pour la vie en appart et m’a détruit tous les papiers peint qu’il a pu le bougre. Du coup il vit sa meilleure vie avec ma mère qui avait réellement besoin d’un “p’tit garçon” quand elle nous a vu partir définitivement mon frère et moi.
En parlant de maison, j’en ai acheté une ! Bon clairement je passe les détails mais c’est ma plus grosse connerie. A peine deux mois après l’achat je la remettais en vente, et maintenant y’a plus qu’à s’en donner à coeur joie pour la rendre attractive auprès des potentiels futurs acquéreurs. Je l’aimais bien, pas trop grande, du charme, fonctionnelle, récente, tout confort. Mais trop grande, trop de terrain, trop d’entretien... Bref... Une plaie ! Je rêve d’un studio cosy (à 26 ans t’as pas honte KK?) avec juste ce qu’il faut pour me sentir bien chez moi, faire ma petite vie, inviter mes potes, me reposer et surtout, me recentrer sur moi.
C’est le bilan d’ma vie ça, durant ces 10 dernières années, je n’ai fait que me précipiter dans des cul-de-sacs ! Tantôt pour éviter la réalité, tantôt parce que clairement j’y croyais mais j’étais trop inconsciente pour réaliser le merdier dans lequel je me lançais ! J’ai eu deux “grandes” relations amoureuses, bon clairement la deuxième était vouée à l’échec et j’éprouvais pas grand chose de positif. Voyons cette parenthèse comme un moyen de me punir, ça a très bien fonctionné ! J’ai déménagé à plusieurs reprises, vécu à Dijon, puis à Louhans, et à Beaune (j’te raconterai pourquoi juste après!). Après j’ai fait le grand saut j’suis partie à Bordeaux ! C’était au moment de ma rupture avec “celui aux 4 lapins”, fallait que je change d’air. J’suis finalement retournée chez mes parents genre 2 semaines avant de revenir en Bourgogne, près de Chalon. C’est là qu’est ma vie aujourd’hui, le boulot, les potes, les repères.
Le boulot du coup, parlons-en ! Parce que j’me suis bien cherchée de ce côté là aussi ! Lors de mes derniers billets, j’partais pour devenir psychologue, j’voulais faire ma fac à Dijon et poursuivre sur un master après ma licence. Bon clairement, entre la vie d’indépendance, la rencontre avec Mme Weedas et mon histoire d’amour, la fac... C’était pas le bon bail ! J’ai validé ma première année, c’était cool, intéressant, j’ai fait de super rencontres! Puis la deuxième année autant dire que j’allais pas suffisamment en cours et que mon attrait s’était amoindri... En plus ces cons nous ont introduit la deuxième année en nous disant que tout ce qu’on avait appris en première était faux, pas le genre de truc qui me plaît beaucoup...! On a eu un chien aussi cette année là, Janka. Je passe un peu parce que finalement c’est une histoire habituelle, c’est ton p’tit bébé au début, tu l’éduques, lui apprend plein de trucs, c’est la prunelle de tes yeux... Puis comme tout animal que tu prends dans un refuge elle a ses “vices” et tu finis par juste galérer pour mener ta vie avec cet être à 4 pattes qui te contraint beaucoup. J’l’aimais beaucoup cette cocotte, mais clairement j’étais pas sa maîtresse et c’est bien mieux comme ça. Bref la fac mauvais bail, du coup j’ai bossé d’abord à Roissy comme agent PHMR (pas une bonne expérience du tout bordel) puis à l’usine pendant un an, histoire d’avoir des thunes en attendant d’me trouver. Et c’est ce qu’il s’est passé, un soir, alors que je zonais sur le net pour me donner des idées de “carrières”, je tombe sur ce taf là, infirmière, qui m’avait l’air cool et en plus y’avait ce qui m’avait manqué durant mes deux ans à la fac, le “contact” avec l’humain. Me v’là donc en train de passer mes concours pour finalement être prise à l’IFSI de Beaune. De belles années, de belles rencontres. Devenue infirmière à Bordeaux, j’ai compris par la force des choses (on y reviendra) que ces années de psychologie m’avaient laissé des traces, et que maintenant c’était dans mon ADN. Je serai infirmière en psychiatrie !
Une belle année d’intérim à Bordeaux, encore des rencontres, un premier taf en or. Puis COVID toussa toussa... Inutile de dresser le tableau d’une période inachevée qui restera dans la mémoire de tous. Retour en Saône-et-Loire, le lieu où j’avais finalement bâti ma vie. Toujours IDE psy, j’adore mon boulot, mes collègues, la route que je prends.
J’ai vécu des périodes difficiles durant ces 10 dernières années. Fin de 3ème année d’école d’inf, j’ai souhaité me foutre sous les roues d’un camion sur l’autoroute. J’étais mal dans mes bask’, prise au piège dans une relation qui ne m’avait jamais convenue, dans une ville que je connaissais mal, où d’ailleurs je ne côtoyais quasiment personne. Ma vie me manquait et je ne vivais que pour le boulot. J’ai vu une psychologue. Putain c’que tu m’as aidé Audrey. Tu sauras sûrement jamais à quel point dans ma p’tite vie à moi, ta rencontre a eu de l’influence. Les mots qu’il fallait au moment où j’en avais le plus besoin. Une bienveillance sans faille, une capacité d’écoute à toute épreuve. J’me souviens de ton regard à la fin de la première séance et de ton “vous êtes une guerrière, vous en avez vécu des choses” “ça fait beaucoup pour une personne”. Quand j’suis dans la panade ou que j’me sens pas bien, y’a plusieurs moments de ma vie qui résonnent en moi, celui là en fait parti. Lui, et mon frère qui m’serre si fort dans ses bras que j’aurais pu en crever, un jour où j’avais envie de crever. Le jour où j’me suis faite cracher dessus par mon premier “amour” aussi. Les moments où la vie a pris le pas sur la mort. Les moments où la résilience a fait son taf avec moi. Les moments où j’ai grandi.
Si j’dois faire un bilan de ces dix dernières années, il faut que j’te parle de ce qu’il s’est passé avant, de ce que j’avais pas mûri y’a dix ans. T’sais les douleurs qui font de toi ce que tu es aujourd’hui.
Julien
Gilian
Andréa
J’vous déteste.
Non on ne trifouille pas dans la culotte de sa petite voisine à l’occasion d’un apéritif entre les parents. J’ai rien à dire de plus, t’es rien ni personne à part le p’tit bâtard mal éduqué des voisins. Même me traumatiser t’as pas réussi à l’faire du con.
Non on ne joue pas au docteur avec sa petite cousine pendant les vacances. Et putain ça me revient que maintenant mais tu m’as pas touché qu’une fois ! J’avais que le souvenir de nous deux dans ma chambre sur le lit, toi qui fais le médecin et moi la patiente. Non non non. Y’a aussi eu le coup où j’étais chez vous dans le sud, j’étais plus vieille putain. Il faisait noir, ta soeur dormait sur le lit “du dessus”, toi sur celui du bas, et moi sur un matelas par terre. J’me souviens de ta main qui se balade dans ma culotte, du noir de la chambre, et de moi qui ne dit rien. Putain mais c’est quoi cette temporalité ? Qu’est-ce que ça signifie ? Tu l’as refait une fois que ça avait éclaté dans la famille ? Tu l’as refait après être allé voir la psy ? Est-ce que même tu as vu une psy toi ? Est-ce que t’as du mentir devant les tests de Rorschach ? Est-ce que t’as senti le regard de tes parents changer en te regardant ? Est-ce que t’as entendu ta famille sous-entendre que t’étais un menteur ? Est-ce que si on échangeait les rôles, t’aurais été suffisamment fort pour prétendre que t’avais menti juste parce que tu comprenais à quel point ça mettait tout le monde dans l’embarras ? Et maintenant ? T’es quel genre de personne ? J’me suis toujours demandé si t’avais pas choisi cette carrière parce que c’était plus simple de vivre dans un sous-marin plutôt que sur la terre ferme avec tes démons. Non, j’irai pas à ton putain de mariage, non, j’te souhaiterai pas tout le meilleur et non, j’veux pas avoir à faire à toi. Si tu savais ce que je m’en veux d’avoir été si bonne menteuse, si bonne actrice, pour qu’aujourd’hui ma propre famille ne comprenne pas ma détresse quand on me parle de toi. Est-ce que j’dois me sentir coupable aujourd’hui ? Est-ce que tu vas faire des enfants ? Est-ce que tu vas les toucher ? Les pénétrer ? Dans ton regard j’vois du vice, dans ton sourire j’vois ce dont tu étais capable quand t’étais encore qu’un gamin. Tu me répugnes.
Et enfin, non, on ne viole pas à répétition sa petite copine sous prétexte d’un manque de confiance tel qu’on a besoin de ça pour se sentir exister. Un an et sept mois. Tu m’auras fait vivre dans une cage dorée pendant dix-neuf putain de mois. Et j’étais amoureuse, et je pensais même être foncièrement heureuse au début. J’me souviens des bleus, j’me souviens des mots, j’me souviens de tout. Ton pyjama de daron blanc cassé, ton “j’t’ai pris une taille XXL, j’voulais être sûr que ça t’aille”, tes “je t’aime” “je sais plus” “j’t’ai jamais aimé connasse”. J’me souviens me remettre en question, tenter de comprendre pourquoi tu me disais que j’étais si jalouse. J’me souviens le regard des autres qui changent autour de moi au fil des mois. J’me souviens faire tes devoirs pour que tu m’aimes, pendant que tu jouais à PES sur PSP. J’me souviens ta moustache naissante, ton regard noisette foncé, ton rire machiavélique et ta poigne sur mon visage. J’me souviens être devenue folle. De tes silences, de tes non-dits, de ma bêtise. J’ai encore en tête ce jour où tu m’as craché dessus devant tout le lycée, celui du déclic, celui où tout a changé. Comment j’ai pu accepté ça si longtemps pour que les 200 personnes autour de moi ne réagissent même pas ? Comment j’ai pu être si seule pendant si longtemps pour devenir invisible à ce point là ? Ce soir là, j’ai pris MON bus. Les jours qui ont suivi, j’me suis soignée, j’ai pansé mes blessures et j’ai compris ce que j’avais subi. J’me souviens de ton dos qui en paie les pots cassés lors d’un cours. Mon crayon de papier qui s’enfonçait, et toi qui bronchait pas. T’as pas émis un son, et t’as bien fait sinon t’aurais du t’expliquer. T’aurais pas pu passer pour la victime ce coup-ci. Ah papa si tu savais à quel point tu n’aurais jamais pu avoir si tort que le jour où je t’ai dit que c’était fini avec lui et que tu m’as répondu que j’étais une salope.
J’ai survécu. J’suis une putain de guerrière.
Sans soutien, sans même que qui que ce soit ne sache. J’ai continué ma p’tite vie, bâti mes armures, sorti les rames, et j’y suis parvenue. Bon du coup forcément ma psy s’est pris tout ça dans la gueule. Y’avait les histoires de parents nocifs qui vont finir dans les faits divers du journal, le fait que j’me sois toujours occupée de moi toute seule depuis si longtemps, que j’ai clairement été la cendrillon de mes parents pendant des années, qu’on m’ait longtemps rejetée dans mes cercles amicaux, que j’ai été “bully” pendant quelques années d’ailleurs par ces “amis”, que j’ai toujours eu du mal à trouver ma place et que je fasse passer la douleur des autres avant la mienne. Les nombreuses années à taire mes envies d’en finir, à culpabiliser de pas comprendre ce qui n’allait pas chez moi... Bref, Audrey, t’as accueilli tout ça comme une chef et je ne t’en serai jamais suffisamment reconnaissante.
C’est du passé, j’suis guérie. Y’aura toujours des p’tites failles, des moments de doute, des flashs de ce que j’ai été et aurais pu être. Mais grosso merdo, j’suis guérie. Et tous les jours j’essaye d’être une personne meilleure que la veille, espérant dans plusieurs années regarder en arrière et être fière de ce que je vois.
Ah et clairement, celle que j’appelais ma “meilleure amie” y’a 10 ans ne l’était clairement pas! Bordel si à l’époque j’avais su ce que je sais aujourd’hui ! Mes aïeux ! Maintenant j’ai des amis, des vrais, des personnes sur lesquelles je peux compter. J’ai un p’tit neveu aussi, que j’ai toujours pas rencontré mais qui est gravé dans ma peau. Oui parce que je me suis faite tatouer et percer ! Depuis le temps que j’en rêvais. A ce jour, 7 tatouages... Ouais je crois que le regard de mes parents quand ils ont vu tout ça restera à jamais gravé dans ma mémoire ! J’ai un septum aussi, et j’ai eu les cheveux rouges pendant 5 ans ! Mon père en PLS...
Ah et ta cousine est toujours ta soeur, seulement avec le p’tit bout les choses évoluent ! Un jour peut-être que je comprendrais, mais j’en suis pas là. Les engagements décidément c’est pas ma tasse de thé, j’attendrai d’être prête, avec la “bonne” personne. Ca m’fait penser, un truc qui n’a pas changé en 10 ans, j’adoooore toujours autant regarder des séries ! J’ai eu une période où clairement je ne faisais que ça, et maintenant l’âge adulte fait que ça a nettement diminué. J’ai plus besoin de chercher pendant des heures, tenir un calendrier.. Ca me manque. Mais y’a eu de véritables belles créations ! J’ai fini TBBT, HIMYM et un tas d’autres séries que je suivais à 16 ans... Une page s’est tournée putain. Je rêve plus de ce dont je rêvais à cette époque, je crains plus ce que je craignais à cette époque. En revanche, certaines choses n’ont pas changé pour un pouce. Je déteste toujours autant les injustices et toute forme de discrimination sociale, j’aime aider les autres, user de mon humour pour me sortir de toute situation, voyager. Mes playlists se sont étoffées mais je me surprends à écouter des titres que j’écoutais déjà à l’époque ! J’aime toujours autant les bonbons même si j’en abuse moins, j’ai appris à cuisiner ! J’ai sauvé des vies, perdu des patients, su réconforter, pleuré de fatigue, rigolé nerveusement (beaucoup), fait du hockey, vu Muse et Orelsan en concert... Le film Kaamelott est enfin sorti et c’était une tuerie ! J’ai toujours le frisson de regarder un dessin animé et je bois nettement moins de coca mais plus de café !
J’en oublie probablement beaucoup, mais je tenais à terminer par l’évocation d’un évènement marquant cette année. Voire même l’évènement le plus marquant de cette année...
J’ai rencontré quelqu’un. Hâte de découvrir si cette personne aura sa place dans un billet dans 10 ans.
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@mysterious-corvidae
A mon tour de présenter six de mes personnages actuel, je ne suis pas forcément très doué pour en parler. Je ne sais pas ce que vous allez penser de mes personnages, mais j’aime beaucoup le concept. Ce sont des avatars assez simple, j’aime la simplicité.
Il s’agit de Rafael, Leonardo, Valentina, Adelina, Claire (qui est un personnage de jeux vidéo), et enfin un futur personnage Edaline.
Rafael Adamo feat Arthur Darvill - City.
Rafael, c’est un trentenaire vivant à Naples en Italie, il faut savoir qu’il a des origines françaises, il va de temps en temps en France, il est bilingue. Il a perdu ses parents dans un accident de voir, c’était encore un enfant, d’ailleurs, il a eu du mal à passer son permis de conduire par la suite, même s’il a fini par le faire. Il faut savoir qu’il adore les livres, pour lui lire un livre, c’est un très bon loisir, ça lui permet de s’évader. Il a été à l’orphelinat jusqu’à sa majorité, il n’a jamais été adopté. Une fois qu’il a pris son indépendance, il s’est senti plus libre, il aimait s’amuser. Il a rencontré une femme de son âge, la première qu’il a aimé, mais il s’est rendu compte au fil du temps qu’elle le trompait. Cela lui a fichu un coup, il l’a quitté et s’est barré quelques temps en France. Il a fini par revenir à Naples et a ouvert sa propre librairie, il a rencontré Camilla, une jeune écrivaine prometteuse avec qui il va se lier d’amitié. Entre temps, il va découvrir le décès de son ex petite amie et qu’il a une fille, une sacrée surprise. Les premiers temps vont être compliqué, il va aussi développé une relation amoureuse avec Camilla qui aura des hauts et des bas, ils auront un fils Osvaldo et finalement ils vont habiter tous les quatre sous le même toit. La relation avec sa fille Elora s’est amélioré et il espère que ça va continuer.
Adelina Alma feat Louise Brealey - City
Adelina a toujours vécu à Naples, trentenaire, elle a toujours vu ses parents comme le couple parfait, mais une fois adulte, elle va découvrir que ce n’était qu’une façade, la pauvre va tomber de haut. Remontons un peu à son enfance, la pauvre quand elle était gamine avait des soucis au niveau de son poids, on se moquait d’elle, elle le vivait mal. Heureusement pour elle, un jour Celian, un garçon qui avait un an de plus qu’elle l’a défendu et elle s’est lié d’amitié avec lui. Elle n’avait pas beaucoup d’ami, mais elle l’avait lui. Puis au lycée, on l’a humilié on lui faisait croire quelque chose qui n’est pas vrai Celian l’avait averti, mais elle l’avait ignoré du coup, il l’a mal pris et il a fait la sourde oreille. Se sentant complètement délaissé, elle a fait la pire bêtise de sa vie et a tenté de mettre fin à ses jours. Heureusement Celian est arrivé à temps et elle s’en est sorti. Quand il a du partir à Londres, elle a beaucoup souffert, surtout qu’il a coupé les ponts avec elle. Avec les années, elle a décidé de s’en prendre en main, elle a notamment été dans un établissement pour perdre du poids et elle a réussi à atteindre son objectif. Elle n’a pas cherché à faire d’études et elle est devenue animatrice, elle qui adore les enfants. Puis avec les années, elle est devenue directrice d’un centre de loisirs. Il a fréquenté un type qui était extrêmement jaloux et qui a levé la main sur elle, elle a fini par le quitter, mais elle a jamais parlé de cette histoire. Elle avait tendance à s’inquiéter à cause de son horloge biologique, puis vingt ans après qui revient, Celian, son meilleur ami et au fond celui qu’elle a toujours aimé. Ils se sont rapprochés et ont fini par se mettre en couple, aujourd’hui, ils sont parents de jumeaux.
Leonardo Bellini feat Cole Sprouse - City
Leonardo est un trentenaire, oui j’en ai beaucoup des trentenaires, il vient d’une famille qui a mauvaise réputation, chaque membre a un talent particulier, lui c’est un hacker, même s’il ne s’en sert pas pour faire du mal. Il a un frère aîné et une petite sœur, d’ailleurs il est très proche d’elle. Il a été à l’école avec un certain Ruben Del Duca. Ce qu’il faut savoir c’est que les Del Duca et les Bellini sont des familles ennemis, donc autant dire que les deux ne peuvent pas s’encadrer. Leonardo de base n’est pas très sociable, il n’aime pas la foule même si ça s’améliore avec les années, il sait être drôle aussi. Puis un jour, une jeune femme du nom de Cassandra l’aborde, elle n’est autre que la petite sœur de Ruben. Apparemment elle voulait le connaître, même si c’était un Bellini, puis ils sont tombés amoureux, une espèce de Romeo et Juliette. Pendant cinq années, ils ont cachés leur relation, mais un jour ils ont été découvert. Leonardo lui a proposé de fuir Naples et d’aller vivre ailleurs. Alors qu’ils étaient sur la moto, ils ont eu une accident, ils découvriront qu’en fait c’était une tentative pour éliminer Leonardo, orchestré par les parents de Cassandra. Leonardo s’en sortira avec une jambe endommagé et sa petite amie finira dans la coma. Il sera horrifié de découvrir qu’elle est amnésique quand elle se réveillera pas. Cependant le destin n’est pas si cruel et ils se recroiseront petit à petit les sentiments referont surface et ils recommenceront leur histoire. Cassandra retrouvera même la mémoire. Ils n’ont plus à se cacher et ils ont eu une fille, petite anecdote, le pauvre Leonardo a même fait une couvade. Il espère que les ennuis sont loin cependant, il pense éventuellement à reprendre contact avec ses parents et son frère.
Valentina Basini feat Courtney Ford - City
Valentina, sans surprise une trentenaire, qui a toujours vécu à Naples. Enfant, on pouvait la considérer comme pourrie gâtée. Elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait et ne fréquentait que les les enfants de son rang quitte à repousser les autres. Puis vint l’adolescence, un soir, elle est sortie dans un bar et d’autres jeunes, ce sont dit que ce serait amusant de faire boire la gosse de riche. Ils ont réussi et puis elle s’est laissé séduire par un des gars à peine plus vieux qu’elle. Elle s’est réveillé le lendemain dans un lit inconnu et elle a vite pris la fuite. Quelques temps après, elle a découvert qu’elle était enceinte et quand ses parents l’ont su, ils n’ont pensé qu’à leur réputation. Vu qu’elle voulait garder l’enfant, ils l’ont renié et ils l’ont jeté à la rue. Tout ses soi disant amis lui ont tourné le dos, heureusement elle a pu compter sur quelques personnes, mais la vie a été dur. Elle a du arrêter le lycée, se trouver des petits boulots pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille. Valentina a appris ce que c’était la vie, sa fille, c’est ce qui compte le plus pour elle, elle ferait n’importe quoi pour elle. Valentina ne supporte plus les gens riches, elle se méfie, puis finalement après le décès de ses parents, elle fut surprise d’hériter de tout, cela incluait la maison familial. Aujourd’hui, elle ne manque plus de rien, elle fréquente même son voisin qui en réalité était un camarade de classe qu’elle avait ignoré à l’époque à cause de son rang social. La vie semble s’améliorer, mais voila que le père de sa fille débarque sans prévenir après vingt ans.
Claire Redfield feat Kristin Kreuk - crossover
Je pense que certains connaissent le personnage qui vient des jeux Resident Evil. Bah j’ai décidé de la jouer, pour résumé, c’est une survivante de Raccoon City, elle a combattu les armes biologiques au fil des années, comme son frère, même si de base, elle n’a pas rejoint la même organisation. Ces événements l’ont marqué, mais c’est une femme forte, elle veut juste avancer et ne pas vivre dans le passé. Suite à une lune rouge, elle se retrouver dans un nouveau monde, qu’elle ne connait pas. Elle devenu agent de police, mais elle espère passé lieutenant. Il ne semble pas avoir de menace terroriste ici, mais des choses étranges semblent s’y passer.
Edaline Elendil feat Lili Reinhart - elfe - Fantasy
Alors c’est particulier, car c’est un futur personnage que j’ai déjà joué par le passé, mais cette fois quelques modifications sont apportés. Edaline est une jeune elfe début vingtaine, dans sa famille, ils ont un élevage, ils s’occupent des animaux et c’est dans la famille depuis des générations. A l’âge de cinq ans, elle découvre son pouvoir de télékinésie orbing. Elle a un meilleur ami que l’ont va appelé Elwyn, d’ailleurs elle est aussi ami avec le jumeau de celui ci. Edaline, c’est une aventurière, elle est assez agile et il n’est pas rare qu’elle saute d’un arbre pour atterrir sur quelqu’un, son meilleur ami en fait les frais. Elle est amoureuse de lui, même si c’est un sans talent. Comme tous les elfes à l’âge de seize ans, elle répondre à des questions, la concernant, concernant sa famille, le but est de trouver les elfes avec qui elle sera bien assorti. Quand à dix huit ans, elle a les résultats, elle se rend compte que son meilleur ami n’est pas sur sa liste, mais par contre qu’elle est bien assorti avec le frère de celui ci. Il faut savoir que être avec un elfe avec qui on est mal assorti est assez mal vu. Edaline s’en fiche et les années suivantes, ça semble pas trop avoir des conséquences. Sauf qu’elle essaye de faire comprendre à son meilleur ami ce qu’elle ressent pour lui, mais ça ne marche pas et il choisi une autre elfe avec qui il est bien assorti. Elle en a le cœur brisé et un soir, elle prends la fuite, décidant de s’éloigner de chez elle pour oublier.
Voila je ne sais pas ce que vous penserez de mes personnages, peut être qu’ils sont banals ou pas, en tout cas moi, j’adore les jouer.
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🍊 Oh la chance ! La vue sur le showroom doit être magnifique. 😍 Je suis super contente pour toi que tu aie trouvé le stage idéal. Du coup, tu le finiras quand ton stage ? Je ne suis pas sûre si tu avais déjà mentionné la durée du stage. Mais franchement, chapeau bas ! Tu as tenu le coup malgré le contexte actuel et tu as trouvé un super stage. Bravo. 👏
Si on peut appeler ça un avantage, tu as eu la chance incroyable de faire un voyage dans le temps. Être plongée dans l'ambiance XIXe siècle en 2021 n'est pas donné à tout le monde. La chance que tu as eue. 😆 Je déconne, bien évidemment. Et ta voisine est super sympa. La solidarité féminine, il n'y a rien de mieux. 🤜🤛 J'aimerais tellement savoir coudre. Ça a l'air d'être une activité apaisante. 😌 En plus, j'aime bien les activités manuelles (même si je ne suis pas si douée que ça). Ton écharpe doit être super belle. J'en suis sûre et certaine.
Merci beaucoup pour tes encouragements. Ça fait chaud au cœur ❤ Pour les résultats, je devrais les recevoir début de semaine prochaine vu que ça commence le 1er mars. 😊🤞
Ps: tu me donnes envie de regarder run on. Tout tes gifs et les petits textes que tu écris avec montrent à quel point tu aimes ce show et c'est super mignon. 🥰🤭 Du coup, est-ce que ça te tenterait de me donner un top 5/10 (tu choisis) des raisons pour lesquelles je devrais regarder run on ? 😊
Passe une super belle journée et prends bien soin de toi (maintenant que tu as le temps) 💟
Ta chère 🍊 anon
oui! et l’intérieur est trop mignon avec du rose/orange, du blanc et des jolis meubles (bon et aussi pas mal de bazar parce que bien sûr des vêtements partout haha) et oui je crois que je l’ai pas dit, je finis début août, c’est un stage de 6 mois! ce sera le plus long que j’ai fait d’ailleurs, la dernière fois c’était 4 donc je me demande ce que ça va donner de rester aussi longtemps dans une même entreprise
oh oui vive le voyage dans le temps haha et oui j’ai de la chance d’avoir cette voisine (surtout pendant le confinement c’était vraiment sympa d’avoir quelqu’un que je voyais régulièrement), la pauvre elle est anglaise et donc coincée ici, elle a dû chercher un nouveau stage à cause du covid et du brexit parce qu’elle pouvait plus aller en espagne pour celui qu’elle avait du coup heureusement pour elle aussi que je suis là, nous nous sommes bien trouvées! 👭 ooh je te conseille vraiment le tricot c’est très sympa et c’est beaucoup plus simple pour se lancer que la couture, pas besoin de machine ou de beaucoup de fourniture, juste des pelotes et les aiguilles, et en plus contrairement à la couture tu peux défaire et recommencer à l’infini si tu te trompe et aussi tu peux regarder des séries ou un film en tricotant une fois que ça devient un peu automatique, c’est super relaxant! la couture c’est un peu moins relaxant mais c’est plus rapide et tu peux faire plein de formes et d’effets de volume différents c’est trop cool, là j’ai pleiiiin de projets de couture en attente avec tous mes tissus donc il va falloir que je m’y remette, je sens que j’ai un peu perdu la main 😅
oooh c’est rapide ça! bon alors vraiment j’espère que tu l’auras, j’ai hâte de savoir!
ah trop bien!!! contente d’avoir attiré ton attention sur le drama, c’est vraiment un petit bijou! je sais pas si tu regarde beaucoup de dramas coréens et si oui lesquels? parce que c’est un très bon “premier” drama si t’en as jamais vu mais aussi c’est super intéressant à regarder en connaissant un peu les clichés et les archétypes courants des productions coréennes! alors moi déjà je l’ai commencé complétement par hasard parce que je savais pas quoi faire un soir et que j’ai reconnu l’actrice principale (qui est l’héroïne d’un autre drama que j’aime beaucoup : rookie historian goo hae ryung!)
1) dès le premier épisode j’ai accroché grâce aux personnages et aux dialogues tout d’abord, il n’y a pas d’archétypes (voir souvent des renversements de clichés entre les genres) et le dialogue est vraiment si bien écrit, c’est plein d’humour, de sagesse, de remarques sur le milieu du cinéma et du sport (parce que les personnages principaux travaillent là-dedans), du coup c’est tour à tour très touchant et ça fait beaucoup réfléchir, il y a des répliques vraiment mais j’avais envie de les applaudir mdr mais c’est aussi très très drôle et chaque personnage a vraiment sa façon de parler et le drama aborde très joliment notre capacité à communiquer, à comprendre ou non les autres et à se faire comprendre!
2) c’est un peu comme une lettre d’amour au métier de traducteur qui est celui de l’héroïne et qui sert aussi de figure narrative pour ce thème de la communication, de la parole de chacun et de sa valeur (ce qui est dommage parce que la traduction netflix et sa taille limitée par phrase n’est pas au top) et aussi au monde du cinéma et à la fantaisie des films (même si l’industrie du cinéma en elle-même n’est pas présentée de manière très glamour haha)
3) Tu sens que la scénariste aime ses personnages, vraiment beaucoup et qu’elle a prit soin de leurs histoire, de leurs actions et qu’ils sont complets mais aussi en apprentissage et du coup tout au long de la série tu les découvre au fur et à mesure avec un vrai plaisir de les sentir si humains (et c’est le cas même pour les personnages secondaires ou tertiaires même qui ont chacun le droit à leur histoire sans pour autant détourner des personnages principaux ce qui fait que l’ensemble des personnages sont liés de manière naturelle et renforce l’ensemble de l’histoire, tu te retrouves investies dans l’amitié entre deux personnages secondaires mais aussi dans les histoires d’amours principales, les personnages parlent pas mal de leur carrière parce que forcément c’est très important dans leur vie et c’est super passionnant), tous te touchent à un moment et surtout se “touchent” les uns les autres dans le sens où en interagissant ils changent et ils apprennent et il y a un apprentissage mutuel et un partage d’affection, de message d’amour de soi, de confiance, de réflexion personnelle très puissant mais c’est toujours très délicat (et le couple de personnages principaux sont vraiment des personnages en or, pas parfaits mais si si bons et bien écrits - notamment mijoo queen of the world and queen of self-love and care).
4) C’est une histoire très juste sur la question du pouvoir au sein de l’industrie du cinéma, du sport mais aussi au sein même d’une famille, qui a le pouvoir? qui doit être puni? comment combattre l’injustice? comment rendre justice? mais aussi comment écouter sa propre peine pour sortir d’une situation douloureuse? comment aider quelqu’un? comment (re)prendre le pouvoir sur sa propre vie et décider par soi-même de son chemin? c’est très moderne sur ces points là
5) The romance!!!!!!!!! J’avoue que je regarde surtout des dramas pour le côté romantique et là vraiment c’est juste le top, le rythme du drama est “lent” dans le sens où il n’y a pas de rebondissements toutes les 30 minutes mais c’est top parce que ils apprennent vraiment à se connaître, à se parler, à se comprendre, à prendre soin l’un de l’autre malgré leurs énormes différences (de milieu social, professionnel, d’intérêts...) et les obstacles qu’ils rencontrent (en eux-mêmes ou dans les autres) même si dès le début il y a une connexion immédiate entre eux, il y a vraiment une bienveillance et une intelligence dans leur relation et en même temps toujours plein d’humour (dans le couple secondaire aussi qui prend plus d’importance dans la deuxième partie) et du coup il y a un très beau message qui souligne l’importance d’être bien entouré, de se faire sa “propre” famille en grandissant pour être fort mais aussi l’importance de s’aimer soi-même, de s’écouter et de prendre soin de soi (et du coup chacun à son histoire perso entrelacée avec l’histoire d’amour) 💜
5 bis) tu sens vraiment que le cast a apprécié de jouer dans cette série et que l’ensemble de l’équipe s’est donné à fond, s’est amusé, vraiment!
j’espère que tout ça t’as convaincu haha je me suis laissée un peu emporter
#bon bien sûr j'ai écrit un roman mdr#c'est le genre d'histoire qui fait du bien à regarder#même si tout n'est pas heureux#tu sens que les persos font des efforts#ont surmonté des obstacles#avancent et trouvent leur palce#trouvent ou ont trouvé la vie qui leur convient et ça fait du bien#run on#et pour l'écharpe je vais poster une photo mais à part du coup parce que là je suis sur l'ordi!#Anonymous#I've got mail
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Auto-édition
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« Qui veut un roman ? J’ai ici un excellent roman à vendre ! Science-fiction, relations familiales complexes, géopolitique, réflexions sur l’humanité ! Seulement 2€99 pour l’ebook !
— Rah, vous êtes chiants les auteurs, toujours en train de nous solliciter, et achetez ci, et payez pour ça… On n’a pas un budget infini !
— Alors est-ce que je peux vous proposer une série de fictions et des fanfictions publiées gratuitement ? Disponibles sur la plate-forme…
— Ah non, je déteste lire sur écran ça me donne mal aux yeux. Et puis les plates-formes amateures, j’ai essayé, mais j’ai laissé tomber. C’est fouillis, c’est mal agencé, on trouve des textes vraiment pas terribles, et je ne veux même pas parler de l’orthographe. Moi je n’y vais plus.
— Oui, mais c’est le meilleur moyen pour proposer ses textes gratuitement, qu’est-ce que je peux faire de plus…
— De toutes façons, je n’ai pas le temps. J’aime lire, hein, pas de soucis, mais entre le travail, la maison, le sport, les séries, les jeux vidéos… J’ai déjà une dizaine de bouquins qui s’entassent sur ma pile à lire, même les nouveaux tomes des séries que j’adore je ne les ai pas encore ouverts, on m’en offre, on m’en recommande, et plus je lis, plus j’ai des auteurs préférés à suivre… Donc désolé, mais ce n’est pas possible.
— Ah. Oui, j’imagine…
— Enfin… je ne voulais pas vous déprimer ! Déjà, je n’ai rien contre les auto-édités. On entend souvent dire que si aucune maison d’édition n’a voulu d’un auteur, c’est qu’il est nul. Moi je suis plus modéré, je sais que les maisons d’édition sont obligées d’être rentables, et qu’elles ne peuvent pas se permettre de porter tous les projets de niche… Je suis sûr qu’on peut trouver des choses très bien en auto-édition. C’est juste qu’il faut chercher.
— Vous avez déjà acheté un livre auto-édité ?
— Heu, non, mais je ne suis pas contre, sur le principe…
— … On va dire que c’est déjà ça. Très bien, j’imagine que je vous ai assez fait perdre de temps, vous pouvez y aller. Moi j’y retourne, à force je vais bien réussir à convaincre quelqu’un !
— Honnêtement, ce n’était pas un très bon discours d’accroche…
— Peut-être, mais justement c’était honnête. Les thèmes importants de mon roman. Je le sais, c’est moi qui l’ai écrit.
— Oui, mais… il y a des personnages, dans ce roman ?
— Ben oui.
— Ils sont sympathiques ? Charismatiques ? Perdus ? Ecorchés vifs ? Ignobles ? Un peu bâtards sur les bords mais cool quand même ?
— Ҫa… dépend lesquels ?
— Le personnage principal, au moins, comment il est ?
— Il y en a sept, qui s’appellent par des numéros, et…
— Ah ouais quand même. C’est expérimental.
— Ҫa peut paraitre étrange comme ça, mais ça a du sens dans l’histoire ! Et puis…
— Et est-ce qu’il y a de l’action ? Du suspens ? Du déchirement ?
— Oui, oui, ça j’ai !
— Et de la romance ? Des scènes de sexe ?
— Heu, non, ça j’ai pas.
— Un combat du bien contre le mal ?
— C’est plus complexe que ça. Plutôt un équilibre entre le contrôle et le chaos ?
— … Je ne sais pas comment dire ça de façon bienveillante, parce que vraiment je ne veux pas être méchant, mais vous êtes la preuve que le marketing est un métier à part entière et que les auteurs ne devraient pas être autorisés à y toucher.
— Oui, ben j’ai déjà expliqué tout ce que je voulais dire bien en détail, et ça a donné un roman de 200 000 mots ! Je ne peux pas le résumer correctement en deux phrases !
— Il est beaucoup trop long, ce roman ! Un éditeur aurait coupé ça en deux, c’est plus digeste pour les lecteurs !
— Et bien les éditeurs n’avaient qu’à le faire quand je leur ai proposé. En attendant, l’histoire est complète comme ça !
— Et vous avez beaucoup de lecteurs ?
— Quelques uns… Mais ceux qui l’ont fini l’ont beaucoup aimé !
— Et les autres ?
— Ils sont juste passé à autre chose. Ce n’est pas grave, c’est leur droit. Je suis déjà heureuse qu’ils aient essayé.
— Mais avec une présentation comme ça, il n’y a personne qui va essayer…
— Vous m’avez fait tout un speech sur le fait que les gens n’ont pas le temps ni l’envie de lire des livres inconnus de toutes façons, plus tous les préjugés sur les auto-édités. Et je sais que c’est vrai. Je vais juste rester modeste dans mes ambitions, et continuer à présenter honnêtement ce que j’ai écrit, pour attirer ceux que ça pourrait vraiment intéresser.
— Vous ne voulez pas faire une bande-annonce, avec des dessins, de la musique punchy et des phrases d’accroche ? Ҫa ça marche bien ! Et être plus présente sur les réseaux sociaux ! Vous faire connaitre et apprécier pour tenter les lecteurs !
— J’ai essayé, je suis vraiment nulle à ça… Et faire une bande-annonce, c’est largement au-dessus de mes capacités !
— Alors il faut peut-être changer de sujet ? Ecrire des livres qui auront plus de chance de trouver un éditeur, ou qui auront plus de lecteurs potentiels, comme du YA ou…
— Non.
— Quoi, non ?
— Non, c’est tout. Ecoutez, c’est gentil d’essayer de m’aider, mais le but, c’est d’avoir des lecteurs sur mes histoires. Si ce ne sont plus mes histoires mais des ersatz, ça n’a aucun intérêt de les écrire, à par être une concurrence médiocre à des écrivains qui ont déjà plein d’idées à écrire sur ces sujets.
— Mais il y a déjà beaucoup trop de monde qui écrit ! Regardez la rentrée littéraire, c’est une catastrophe ! On a quasiment plus de livres à lire que de lecteurs ! Soit vous attirez l’attention, soit vous rentrez dans le moule, il n’y a pas d’autre moyen de survivre !
— Oui, oui, je connais la chanson. C’est marrant, on parle toujours du fait qu’il y ait trop de livres, de la « surproduction », mais on passe élégamment sous silence sa conséquence logique : pour résoudre le problème, il y a des auteurs qui doivent dégager. Parce que admettre ça, c’est mettre le doigt dans le très douloureux débat du « si quelqu’un doit dégager, qui ce sera ? ». Certains mettent les pieds dans le plat, mais la plupart n’ont aucune envie d’en discuter, parce qu’ils ont tous peur que ce « qui », ce soit eux. On se sent tous illégitimes à un degré ou à un autre. Alors on essaye de se rassurer, on conchie tel ou tel groupe qui n’a aucune originalité ou une orthographe horrible ou une mentalité malsaine ou qui serait trop mercantile, en essayant de se convaincre que c’est une vraie bonne raison. Parce que tout ce qui compte, c’est que celui qui dégage, ce soit l’autre. Alors qu’en réalité, en tant que lecteur, soit on a vraiment envie de tenter, soit on passe son chemin, on n’a pas besoin de faire un procès d’intention à telle ou telle façon d’écrire. C’est entre auteurs qu’on montre les crocs, parce qu’on se sent menacés. Mais c’est un débat stérile. Qu’ils soient publiés ou non, qu’ils soient mis sur les étalages des librairies ou dans les dossiers oubliés d’un site obscurs, les auteurs continueront à écrire et à vouloir partager avec le plus de monde possible. Et si certains renoncent parce qu’on leur a rentré dans le crâne qu’ils ne seraient pas à la hauteur, pour moi c’est une tragédie.
— Donc… Tout le monde écrit ce qui lui chante et racole le lecteur comme il peut. C’est bien ça, votre philosophie ?
— C’est à peu près ça.
— Vous êtes perdante à ce jeu là, et franchement ça fait mal au cœur de voir ça. Abandonner quand ça ne marche pas, ce n’est pas une tragédie, c’est aussi se protéger !
— J’ai l’impression que vous ne savez pas ce que c’est, d’avoir des histoires plein la tête et qu’elles ne puissent jamais sortir… Ҫa tourne en rond jusqu’à virer à l’aigre, jusqu’à ce qu’on se demande si tout ce qu’on y a mis a le moindre sens, et surtout, ne jamais les partager, c’est se sentir tellement seul… C’est comme d’être muet et que les gens considèrent qu’on n’avait juste rien à dire. Et bien si. J’ai à dire, je l’ai dit et je continuerais à le dire, à tous ceux que ça intéressera.
—Pff… Au final, je vais finir par l’acheter juste parce que je me sens coupable, votre ebook.
— Si c’est pour ne pas le lire, ce n’est pas la peine.
— Hé, pas la peine d’être désagréable, non plus !
— Non, désolée, je ne voulais pas être désagréable, c’est juste ce que je pense. Je n’ai aucune envie de vendre des livres qui ne seront pas lus juste pour le plaisir de faire une vente de plus. Ce n’est pas non plus comme si je gagnais ma vie avec. J’essaye juste de trouver mes lecteurs.
— Je comprends. Je crois. Bonne chance, alors.
— Merci, et bonne journée !
— Mais sérieusement, changez de phrase d’accroche. Celle-ci est horrible.
— Je peux essayer… Roman à vendre ! Découvrez une fratrie d’enfants artificiels sur lesquels pèse le destin du monde ! Complots, trahisons et rebondissements ! Un livre sur l’entraide et la confiance ! 2€99 l’ebook, version gratuite disponible sur PC et smartphone !
— C’est… c’est déjà mieux. Je pense qu’on peut encore affiner, mais c’est mieux. C’est moins pire en tous cas.
— Je continuerais à l’améliorer au fur et à mesure. Merci pour les conseils !
— Bon courage ! »
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Un dernier texte pour le défi qui n’est pas que de la fiction, puisque je suis une romancière auto-éditée. J’en ai donc profité pour mettre en scène les remarques, critiques et arguments que j’ai pu retrouver à droite et à gauche depuis que je m’intéresse au sujet. Le donneur de conseil de l’histoire n’est pas une personne en particulier, il est juste là pour présenter différents arguments pour que je puisse poser les miens.
En version moins romancée, vous pouvez trouver mon avis sur l’auto-édition et les histoires en général ici (oui il faut vraiment que j’organise mieux mes tags pour s’y retrouver sur mon tumblr, mais globalement avec #blog écriture on retrouve mes élucubrations).
Sur la façon dont je me suis lancée dans l’auto-édition et mes conseils pratiques ici (je ne sais pas si ça vaut la peine de mettre ces textes sur tumblr, est-ce que ça intéresserait quelqu’un ?).
Et vous pouvez acheter le tout à fait authentique livre que j’ai extrêmement bien vendu dans cette histoire (lol) sur Amazon, Fnac, Bookeen, ou le trouver en lecture gratuite ici.
Merci à tous !
#30jourspourécrire#jour 30#écrire#bilan du défi#déjà fini#c'était un chouette défi#blog écriture#auto-édition#french#french writer#mes histoires
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(JAYB) INTERVIEW • 2021.04 | ARENA HOMME+
JAY B est libre et repart de zéro. C’est ce que JAY B a à l’esprit. Le leader de GOT7 a annoncé qu’il quitterait la JYPE tout en continuant à faire partie du groupe. JAY B se prépare à débuter en tant que musicien solo tout en prévoyant de sortir aussi des mixtapes et de faire des expositions en tant que Def. Nous avons eu une discussion avec JAY B, qui a gagné plus de liberté et de force, à la piscine, à propos de courage, de dépression, de littérature et d’aspirations.
Tu es venu ici seul ?
Oui. J’ai pris un taxi jusqu’ici. J’étais le genre qui se baladait librement même quand j’étais à la JYPE mais prendre un taxi pour travailler cette fois est un peu nouveau.
Tous les membres de GOT7 ont décidé de quitter JYP mais de rester ensemble en tant que groupe. En tant que leader, tu avais besoin de prendre une décision, n’est-ce pas ?
Même si nous avons fini par quitter JYPE, nous voulions continuer en tant que GOT7. Nous étions tous d’accord pour partir et essayer les choses par nous-même. Le produit qui m’a fait prendre en charge cette responsabilité était le single ‘Encore’ qui est sorti il n’y a pas longtemps. J’ai été impliqué dans tout le processus avec un nouveau label. J’étais heureux de voir une bonne réponse. Il y avait quelques faiblesses dans certains domaines mais j’étais juste très fier d’avoir pu montrer une nouvelle étape. Vu qu’avec ce single, nous avions montré que “nous ne nous séparions pas”, ce qui arrive est plus important. Quand on a quitté JYPE, le Directeur Jung Wook m’a dit “Ton rôle de leader commence maintenant.”, je le réalise maintenant.
“Je voulais tout apprendre à propos du processus de création d’un album et à quel point c’est difficile. Je voulais repartir de zéro.”
Ton rôle en tant que leader commence maintenant.
J’avais l’habitude de trouver que le rôle de leader était pesant mais maintenant, je ressens un plus grand sens des responsabilités. Tout en soutenant le parcours de chacun, j’ai pensé que j’avais besoin d’être celui qui devait se renforcer une fois qu’on serait de retour ensemble. On parle aussi régulièrement sur notre conversation de groupe. Il n’y a pas longtemps, Jackson est retourné en Chine. Quand Mark est parti aux USA, je pouvais le voir partir mais quand Jackson est parti, on ne pouvait pas être ensemble parce que j’avais une activité. Alors je lui ai dit de faire bon voyage, je me suis excusé de ne pas avoir pu lui dire au revoir et je l’ai remercié aussi. Il a répondu en disant qu’il ferait attention et qu’il reviendrait.
Qu’est-ce qui t’a motivé à quitter une grande agence avec qui tu travaillais depuis longtemps ?
La pensée m’est venue à l’esprit subitement pendant qu’on se produisait en tant que GOT7. Est-ce que je tiens pour acquis tous ces avantages ? Quand une activité est prévue je la fais juste et quand ils me demandent de confirmer les choses, je le fais, mais quel long processus a été fait avant d’arriver à moi ? Qui a envoyé la requête et comment ça s’est passé ? Pourquoi j’attends juste que ça vienne à moi et que je regarde simplement se dérouler ? Je voulais être directement impliqué dans ce processus. Je voulais tout apprendre à propos du processus de création d’un album et à quel point c’est difficile. Je veux être humble et recommencer à nouveau depuis le début.
Tu n’as pas eu besoin de courage ?
Bien sûr que si. J’étais effrayé aussi. Ma position s’est élevée jusqu’ici mais quand il s’agit de ma connaissance actuelle, je crois que je ne suis qu’en bas. J’avais peur que la différence soit trop importante une fois que j’aurais quitté la compagnie. Mais je pense que j’avais encore plus peur si je restais à la JYPE. Vu que la différence aurait de plus en plus grossie. Mon vrai moi est là, alors je devais y faire face un peu plus vite. C’est ce que j’ai pensé.
En tant que JAY B ou Def. qui sort des mixtapes et fait des expositions, tu dois avoir le désir de faire quelque chose de nouveau.
Je veux chercher et construire pas à pas sans hâte. JAY B montrera une musique hip-hop et R&B qui attirera le grand public et Def. fera des activités que Def. veut faire. Ça peut être des mixtapes ou des expositions, ou d’autres genres de fictions. Def. est le surnom que j’utilisais en tant que b-boy avant que je ne devienne un trainee. C’est comme de l’air flottant librement. Ça peut être de la house ou de la soul ou de l'acoustique ou même du modern rock. Dans un sens, vous pouvez dire que Def. est proche de mon ‘moi principal’ mais vu que j’ai débuté en tant que JAY B, je montrerai aussi un côté dévoué de moi-même à travers JAY B. Je veux être une personne qui peut faire ce qu’il doit faire et ce qu’il veut faire librement.
En écoutant tes mixtapes et en entendant que tu aimais le style de D’Angelo et Ray Charles, tu sembles attaché à la musique soul et rhythm and blues du sud des USA.
J’aime beaucoup tout ça. J’aime la culture entière hip-hop qui vient de là. Cette culture implique aussi le DJ, le graffiti et même le b-boying. Vu que j’ai commencé en tant que b-boy, je voulais regarder de vieilles vidéos, étudier la culture et aussi voir quels étaient les mouvements de danse qui la symbolisent, avec mon crew de b-boying et c’est comme ça que je suis devenu fasciné. Ce qui m’a captivé le plus était leur obstination. J’ai ressenti le respect à travers la conviction et l’obstination qu’ils portaient avec leur culture.
Est-ce que cet état d’esprit est toujours incorporé dans ta musique et ta danse ?
Oui. Par exemple, je ne pense pas qu’une chorégraphie est de la danse. Je pense que danser, c’est quand une musique est jouée et que tu aimes le rythme et que tu commences à fredonner et bouger la tête et le corps. Je pense que danser est un acte libre que tu fais par plaisir.
Quelle est la raison pour laquelle tu as rejoint un groupe d’idoles après avoir commencé en tant que b-boy ?
J’ai trouvé de l’intérêt dans la musique aussi, pas seulement dans la danse. Quand j’étais jeune, j’écoutais la musique de D’Angelo et je voulais devenir un chanteur comme lui. Mais j’étais rebelle quand j’ai rejoint JYPE. Haha. Une fois, j’ai même été suspendu 1 mois en tant que trainee. J’avais clairement dit bonjour mais ils disaient que non alors ils ont dit “Si tu veux être têtu, alors rentre chez toi.” et moi, avec mon jeune coeur, j’ai répondu “Alors je vais rentrer chez moi.” et je suis parti. Alors j’ai revu mon crew de b-boying après un long moment, et juste en quelques mois, c’est devenu un autre monde. Les membres du crew étaient au-dessus de moi et j’étais inquiet parce que je pouvais sentir moi-même que je m’éloignais. Est-ce que je dois retourner au b-boying ? Est-ce que je dois continuer en tant que trainee ? A la fin, je voulais donner le meilleur dans ce que je choisirai et j’ai décidé de me concentrer à devenir chanteur. Vu que je voulais faire de la musique, c’était un choix que je faisais sans regret.
Tu as commencé en tant que danseur et fini en tant que chanteur principal. Qu’était la musique pour toi à l’époque ?
C’était un challenge. Les trainees sont divisés en chant et en danse. Je suis arrivé en tant que danseur mais ce que je voulais faire, c’était devenir un chanteur et pas seulement faire de la
danse. Mais vu que j’avais été mis dans la division de danse, j’ai travaillé encore plus dur pour briser ce préjudice. Je me suis souvent senti vaincu. Je me sens encore vaincu avec le chant. Haha. Mais la musique est une éternelle recherche. Maintenant, c’est plus de la recherche que de l’étude.
Tu as grandi comme enfant unique avec tes parents agriculteurs ?
J’étais un enfant ordinaire. J’ai aimé L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage de Haruki et je pensais que l’enfant sans couleur était comme moi. J’étais un enfant calme qui aidait ses parents avec leur travail à la ferme. Je ne sais pas si c’est parce que je n’avais pas de grand frère mais ils disaient que j’avais l’habitude de me parler. Ma mère disait que c’était une façon de savoir si j’étais à la maison ou pas. Si j’étais à la maison, elle pouvait m’entendre me parler, du genre “Oh, vraiment ?”, “Oui, vraiment.” Haha.
C’est incroyable de lire Haruki à cet âge-là.
Il y avait un vieil ami que je connaissais et qui était vraiment cool. Il avait l’air vraiment cool à lire dans le bus avec ses jambes croisées. Il a dit “Hey, lis ce livre et construis-toi une connaissance.” Alors que j’essayais d’être cool comme lui, j’ai trouvé un auteur préféré et j’ai commencé à lire plus car j’ai apprécié.
Quel genre de livres aimes-tu ?
Quand j’étais adolescent, j’ai souvent lu Kafka sur le rivage. Je sentais que Kafka était juste comme moi, et en le lisant, j’ai même pleuré. Le style de Murakami Radio est intéressant aussi. La phrase de fin “Mais c’est ce que j’aime le plus…” est très drôle. Je récupère les livres des boutiques de seconde main des auteurs qui ont gagné les récompenses du Jeune Auteur. J’aime l’histoire courte de Lee Jwang Wook, Byeon Hee Bong. Le personnage principal sait qui est l’acteur Byeon Hee Bong mais le monde ne le connaît pas. Il demande “Vous ne connaissez pas Byeon Hee Bong du film The Host ?” Mais personne ne connait. J’aime les histoires qui ne sont pas vouées à être drôles mais qui finissent par me faire rire.
Tu lis quoi en ce moment ?
J’essaie de lire de la poésie. J’ai acheté et lu le premier volume du Recueil de Poésie de Moonji, mais il y a trop de caractères Hanja. Haha. J’ai commencé le Recueil de Poésie de Munhwak. J’ai les volumes 1 à 85. J’ai aussi lu la collection de poèmes du poète Park Joon et Affectionate Name du poète Lee Eun Gyu. Je souligne et réécris même les choses.
Parmi les idoles et musiciens que j’ai rencontré, je pense que tu es le lecteur à la lecture la plus étendue.
On a souvent fait des tournées et on pouvait avoir beaucoup de temps dans la chambre d’hôtel. Quand je sortais, je prenais des photos et quand je restais à l’hôtel, je lisais des livres. Quand je vais en tournée à l’étranger, je mets une trentaine de livres dans ma valise. Ensuite, je ramène ceux qui ont laissé une impression sur moi et ceux dont ce n’était pas le cas, je les laisse là-bas. En ce moment, je cherche aussi des publications indépendantes. Je cherche souvent dans des librairies indépendantes à Nakseongdae ou Haebangchon. Il y a tellement de livres qui contiennent des histoires honnêtes qui ne sont pas affinées et le pouvoir de ces phrases est super.
Comment la lecture influence ton travail ?
Les expressions poétiques avec une ligne poétique aident à l’écriture de paroles. Vous lisez une nouvelle phrase et pensez “Qu’est-ce que ça exprime ?”. Vous recevez l’inspiration de cette image exprimée d’une nouvelle manière. Je vois aussi les paroles comme de la poésie. Il y a des fois où j’écris honnêtement ce que je ressens, mais quand je veux inclure une certaine signification, je vais écrire les paroles comme de la poésie.
Dans ton exposition photo <ALONE> l’année dernière, tu as pris des photos d’objets et de panneaux au milieu de la route.
Est-ce que ça ne fait pas très solitude si vous pensez à ça du point de vue de l’objet ? L’appareil capture juste un instant mais l’objet restera là. Je pense que chaque personne a une insatiable solitude. J’aime le travail de l’artiste Seonglib, et je ressens la solitude dans ses dessins. Je ne sais pas pourquoi je continue de parler de solitude, peut-être parce qu’elle m’est familière.
On dirait que tu prends plus de photos d’objets et de paysages que de gens.
Je n’aime pas vraiment prendre de photos des gens. Vous pouvez clairement voir les émotions d’une personne dans ses yeux. Je préfère cacher les choses plutôt que de trop en révéler. Je préfère les objets, les arrières plans et les objets naturels plutôt que les sujets qui expriment ouvertement un “C’est moi !”. Les choses tranquilles, j’aime quand vous passez devant quelque chose et dites “C’est comme ça que c’était.”. J’essaye de mon mieux vu que mon travail demande d’être présenté aux gens mais c’est aussi comme ça que je suis.
Qui aimes-tu comme réalisateur ?
J’aime la réalisation de Woody Allen. Ma préférée est Match Point. C’est une histoire d’amour qui va au-delà des tabous et c’est électrisant. Le visage de l’acteur qui demande secrètement à celle qu’il aime son numéro reste encore dans ma mémoire. Comment a-t-il pu réaliser un regard aussi réel et brut dans ses yeux ? Quand je faisais des études dans le cinéma, j’avais l’habitude de prendre plutôt des cours de réalisation que de comédie. Si je devais réaliser un film, je voudrais plutôt tourner une comédie romantique pleine d’esprit et excentrique comme Love Fiction réalisé par Jeon Gye Soo.
Es-tu conscient de toi en tant qu’artiste ?
Je suis intéressé par plusieurs genres et j'interagis souvent avec des groupes, mais je pense que glander juste parce que tu es un artiste est une attitude arrogante. Tout le monde est son propre artiste peu importe ce qu’ils font, non ? Je n’essaie pas d’être prétentieux, je pense juste qu’il y a une différence dans la façon de l’exprimer, et les gens qui travaillent dans un bureau font aussi leur propre art. C’est pourquoi je suis un peu timide avec le titre d’artiste. Il y a besoin d’être gonflé avec la fierté parce que je suis un artiste ? Je suis juste une personne.
En tournant “Qu’est-ce qu’il y a dans mon sac ?”, il a été révélé tes médicaments contre la dépression et le trouble panique. Quand as-tu fait face à la dépression ?
Je ne savais pas que je faisais une dépression. Je pensais que j’étais un peu faible depuis un petit moment et j’ai laissé passé. Mais à l’occasion, j’ai été examiné et j’ai découvert que je faisais une dépression. Ils m’ont demandé comment je faisais pour vivre sans aller voir un psychiatre. J’ai dit que je pensais que j’étais juste du genre à avoir le cafard. Haha. Je suis le genre qui ne montre pas mais ils ont dit que j’étais à un stade où j’avais besoin d’un traitement. Après des consultations et la prise de médicaments, je vais mieux maintenant.
“Je voulais juste en parler. Il se peut que ça ne se voie pas, mais la dépression est une maladie aussi commune que dangereuse.”
Je pense que tu es cool d’avoir le courage de parler de ça.
J’ai été diagnostiqué et j’ai regardé les gens autour de moi. Il y a des amis qui en ont honte et essaient de le cacher et il y a des amis qui parlent de ça comme si ce n’était rien. Je voulais juste en parler. Il se peut que ça ne se voie pas, mais la dépression est une maladie aussi commune que dangereuse.Une maladie mentale est aussi une maladie. Parmi mes fans, ou ceux qui lisent cette interview, s’il y a quelqu’un qui se sent déprimé, n’ayez pas honte de ça et j’espère que vous recevrez un traitement et arriverez à le surmonter. Ce n’est pas une chose embarrassante et ça n’a pas besoin d’être cachée. Et je filmais quelque chose qui montrait ce qu’il y avait dans mon sac, je ne peux pas mentir. Je souhaite que tout le monde soit en bonne santé.
Tu es mauvais pour mentir ?
Oui. Si je dois dire un mensonge, je pense que c’est juste mieux de ne rien dire. Vu que je suis du genre à être honnête et franc, je n’aime pas non plus tourner autour du pot.
Tu peux partager une façon de faire un pas vers la guérison de la dépression ?
Regardez le monde d’une vision large. Sachez qu’il y a plein d’endroits où vous n’avez pas encore été et qu’il y a plein de choses que vous n’avez pas encore ressenti. C’est aussi bien d’aller marcher et de sortir de votre chemin habituel et de prendre un chemin que vous n’avez jamais pris. Les petites aventures peuvent aussi être d’une grande aide. Juste en sortant de la maison, vous avez déjà fait la moitié du chemin. Je pense qu’il y a plus de chemins pour vous faire du bien dehors que dedans. Aussi, je pensais que j’étais une honnête personne mais après qu’on m’ait diagnostiqué une dépression, j’ai pensé que je devais être plus honnête avec moi-même et être plus fidèle à moi-même. Dans des moments comme ça, pensez à vous avant les autres.
En quoi tu crois ?
Je crois juste en Dieu. Je n’ai pas de religion. Je ne sais pas quel genre d’existence est dieu mais je crois qu’il y a un dieu. Quand je suis reconnaissant ou que je vis un moment difficile, je prie. “Merci.” “S’il te plaît, laisse-moi traverser ça avec sagesse.”
Quelle est la plus grande motivation qui te fait bouger ?
Tant que je serai en vie, je veux continuer à faire un travail qui laissera un message. Je crois qu’il n’y a pas de vie après. Je pense que je dois vivre ce temps soigneusement au maximum. Pour ne pas avoir de regrets.
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titre.
Parfois, j’ai l’impression que j’étais foutue dès le début de ma vie. Mon corps a voulu mourir, mon coeur s’est décidé de cesser de battre, celui de ma mère a presque suivi. Je n’avais pas encore vu l’extérieur de ma mère, je sentais son corps se contracter pour m’expulser, enfin, accoucher de moi... et j’ai dû voir ce qui allait arriver et j’ai décidé de lâcher prise.
Pour une raison complètement inconnue, mon coeur est reparti. Not your time yet.
Fast forward. Je suis née. Césarienne d’urgence pour me sauver la vie qui serait (au moins entre 6 et 30 ans at least) hard as fuck.
Quand je fais l’inventaire des événements difficiles de ma vie, je ne comprends pas pourquoi je suis toujours ici. Pourquoi je suis encore dans ce monde qui définitivement ne veut pas de moi? Ou est-ce moi qui ne veux pas du monde? Je ne sais pas, je ne sais plus.
Je n’ai aucun souvenir de mes parents ensemble. Actually, j’en ai un : mon père donne des coups de balai dans le plafond parce que les voisins d’en haut font trop de bruit. Ma mère n’est pas d’accord avec sa technique qui, probablement selon elle à l’époque, ne fera qu’empirer les choses. Probablement vrai, mom.
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J’ai 5 ans, on décide de me faire passer des tests d’intelligence. Tu es vraiment très supérieure à la moyenne. Wow, bravo. Super intelligence. Pas de maternelle, on va te faire passer en première. OK. Je sais lire, je sais écrire, je m’ennuie. Ma prof me donne des livres, me fait découvrir des univers incroyables, je capote (positivement).
Ma mère est célibataire, elle en arrache financièrement, mais moi, je ne vois que le positif. Ma mère m’aime, m’aide, elle est là pour moi. Mes grands-parents sont là aussi, déménagent, changent de province pour se rapprocher. Aller à Toronto de Montréal, c’est long et maintenant qu’ils sont à côté, on se voit encore plus. Mon grand-père s’enferme dans la salle de bain pour jouer du xylophone Fisher Price de toute force parce que ma grand-mère trouve que c’est trop bruyant.
Ma mère rencontre un homme. Il semble gentil, il joue avec moi, me prête son toutou ourson blanc que j’aime bien. Il me garde parfois et j’apporte mon jouet préféré : une réplique miniature de Notre-Dame qui est jaune. Une Esmeralda et un Bossu en figurines.
Je passe beaucoup de temps avec ma grand-mère maternelle aussi. J’aime aller chez elle, je m’endors à ses côtés pendant qu’elle me raconte l’histoire du petit chaperon rouge. Elle a tellement de souliers, un chat que je ne voit jamais. La voisine a une fille de mon âge, on joue ensemble souvent. Ma grand-maman adore le rouge et elle est coiffeuse. Coiffeuse veut dire qu’elle a des têtes de mannequins à la maison et je peux parfois couper leurs cheveux quand ils sont assez courts. C’est le paradis. Partout où je vais, je suis aimée, appréciée et je ne doute pas que la vie deviendra tellement tough que je voudrai me l’enlever à plusieurs reprises, en manquant toujours un peu de gut pour.
Je vois mon papa parfois. On va camper l’été et il pleut TOUJOURS. Aucune idée pourquoi, mais Mère Nature sait pertinemment quand je suis en train de camper avec mon père et ça la fait pleurer for some reason. J’ai assez peu de contact avec mon père, j’y vais environ une fois toutes les deux semaines, mais il m’oublie parfois. Ça fait mal, mais c’est pas la fin du monde non plus.
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J’ai 6 ans. Ma mère est toujours en couple avec cette personne que je crois bonne et gentille à ce moment. Monsieur décide d’acheter une maison, ça veut dire au revoir ami.e.s et quartier, au revoir bien des choses. La maison est grande, neuve, un peu vide. Elle manque de personnalité, c’est peut-être pour ça que ma mère décide de thèmes pour chaque pièce... ou peut-être parce qu’elle a de l’argent pour la première fois de sa vie.
Graduellement, monsieur commence à devenir un asshole et je pèse mes mots. Mes amis le voit, il est violent avec moi, je suis obligé de l’embrasser sur la bouche chaque soir même si je dis que je n’ai pas envie de le faire. Pour me parler de sexualité, ma mère me fait toucher sa dick et puisque ma mère fait du sport du compétition, elle est souvent partie.
Évidemment, lors de ses absences, A. devient beaucoup plus violent. Pas seulement physiquement, mais psychologiquement. À un certain moment, je m’enferme dans la salle de bain d’en bas pendant de nombreuses heures parce que je crois littéralement qu’il va me tuer. Il fait exploser une bouteille de ketchup dans la cuisine, ce qui chie la belle peinture... et il fait passer ça sur mon dos. À 8 ans, ça m’a fait chier comme peu d’autres choses.
C’est un menteur, un manipulateur, il traite ma mère vraiment pas très bien. Il ne la frappe pas, mais il est méchant avec elle, ne lui donne pas d’attention, mais en même temps, dès qu’elle est sortie, il l’appelle de manière excessive. Il est contrôlant sans la frapper. Pas de bleus, pas de problème selon mom.
Moi, mes bleus, ils sont cachés donc meh.
J’écris une lettre à ma mère, car je ne sais pas comment lui en parler, elle vient me voir dans ma chambre, me dit que ce n’est pas vrai qu’il est violent (envers moi, envers elle aussi), ce n’est pas vrai qu’il fait passer des choses sur mon dos.
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Elle le marie, le crisse.
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Je passe beaucoup de temps chez mon père, car sa conjointe a une fille que j’adore. Je la connais maintenant depuis quelques années. Je la considère comme ma soeur, mon amie. On s’appelle des fausses-demi-soeurs. Excusez mon orthographe, je n’irai pas vérifier comment on écrit ça.
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J’ai à peine 12 ans. Je vais dans un party de fête chez ma cousine qui a un an de moins? de plus? je ne me souviens plus. Les amis de ses grands frères décident que ce serait probablement drôle ou fun ou je sais pas quoi de gang rape une fille qui vient de finir son secondaire un. 5 contre une, moi.
Je n’ai personne à qui parler. Je raconte une histoire ridicule pour expliquer mes bleus, ma difficulté à marcher. Je ne parle pas de mon incapacité à aller à la toilette, c’est humiliant. Je me sens dégoûtante, sale, finie. Jamais je ne pourrai me marier. C’est vraiment ça qui me vient en tête. Ridicule, mais j’allais à l’Église à l’époque et la virginité était un concept tellement important. J’ai l’impression (avec raison) qu’on m’a volé mon âme, mon identité, ma vie, mon corps.
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Accident d’auto tragique. Mon père conduit, ma belle-mère est passagère, ses enfants sont en arrière. Ma belle-mère décède, mon père s’en tire avec des blessures physiques et psychologiques profondes. Ma demie-soeur est dans le coma, ensuite en réadaptation pendant plusieurs, plusieurs mois. Mon demi-frère est tout beau, une petite coupure et c’est tout. Je dois annoncer aux amies de ma demi-soeur avec qui j’allais à l’école ce qui s’est passé. Elles rient en croyant que je blague. Je pleure.
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J’essaie de continuer ma vie après le viol, après l’accident. Je tombe amoureuse sans jamais être capable de le laisser trop près de moi, car, dans ma tête, je ne mérite pas que quelqu’un m’aime. J’ai 12 ans, 13 ans. Je suis amoureuse comme je l’ai été une seule fois dans ma vie. On dit qu’un premier amour est intense, c’était le cas pour moi. Il passe à autre chose (après 2 ans, who wouldn’t?), j’ai le coeur brisé, life goes on.
»
15 ans. Je suis vers la fin de mon secondaire. Après plus d’un an avec la même personne que j’aime (je crois à l’époque que je l’aime beaucoup plus que je ne l’aimais finalement), on décide d’avoir des relations sexuelles. Je ne comprends pas parce que j’ai du mal à comprendre que j’ai été violée, j’ai été détruite. Quand on s’aime vraiment, ça ne fait pas mal. C’est actually beau.
»
17 ans. Je suis au Cégep. Je perds connaissance pendant environ 6 heures. Pendant ce temps, ma job s’inquiète, car je suis rentrée pour dîner parce que je me sentais bizarre et que je ne suis jamais revenue. Ma mère est appelée, mon chum est appelé (un autre). Finalement, ma mère conduit jusqu’à chez moi, mon chum quitte son travail chez Omer DeSerres pour venir me voir... on m’amène à l’hôpital.
»
Deux ans plus tard, alors que je suis pas mal à la moitié de mon bac. pour devenir prof, on me trouve une tumeur cérébrale après avoir pensé que j’avais un «foyer épileptique». Anticonvulsants arrêtés. On doit m’opérer. J’ai de bonnes chances de mourir. Je n’en parle à personne. Je décide d’écrire des lettres. C’est tough parler, t’sais. C’est vraiment fucking tough.
I survived. I have no idea how or why, but I fucking did.
»
J’abandonne l’université, je commence un certificat en comm. J’ai des effets secondaires à cause de la tumeur, des douleurs atroces. La vie est dure. Je commence à prendre des médicaments pour gérer la douleur dans le but de retourner étudier et devenir enseignante, rêve un peu poche pour le commun des mortels, mais qui est donc important et précieux pour moi.
Incapable de compléter mes stages parce que j’ai peu d’énergie, beaucoup de douleurs et que je commence à avoir des problèmes d’addiction à mon insu, je suis mise à la porte de mon université. Yay. J’ai manqué une journée de stage et on m’a dit «Bye!».
»
Lors d’une soirée avec une amie, je marche pour entrer chez moi et je rencontre quelqu’un que je connais. Je décide d’aller prendre un verre avec lui chez lui. Il me viole et mon corps n’est aucunement capable de se défendre. Je reste complètement immobile, des larmes coulent sur mes joues pendant qu’il me sodomise violemment. Évidemment, je n’en parle pas.
»
Je reprends le même programme quelques années plus tard, il y a 5 ans, dans une autre université de Montréal. Tout va bien aller, right? Right.... J’ai des problèmes de douleur, des problèmes de gestion de ma douleur, je dois refaire mes 2 premiers stages que j’ai déjà réussis en plus... C’est la galère. J’ai l’impression que je ne serai jamais en santé à nouveau. On me donne un DX de fibromyalgie, ce qui ne veut pas dire grand chose. J’ai mal partout et c’est ça.
Au début, ma famille est compréhensive, mais avec le temps, elle l’est moins.
»
Ma grand-maman maternelle, la personne qui ne m’avait jamais déçue et en qui j’avais tellement confiance m’insulte profondément et j’ai du mal à me refaire. Elle ne sait pas que j’ai eu une tumeur au cerveau.
»
Pour avancer et pour que ma famille m’accepte à nouveau, je leur parle de ma tumeur, de mes viols. Ma mère me fait sentir coupable de ne jamais avoir dit quoi que ce soit. Elle me dit «Bon, là, tu vas faire quoi?» en parlant de poursuites criminelles. Je me sens encore plus comme une marde. J’ai l’impression de m’être laissée violée, j’ai l’impression que j’aurais pu m’enfuir, j’aurais pu partir, me débattre, quelque chose. Je me sens complice et incomprise de tous.
»
Ma grand-mère a plusieurs cancers. Sa mort tue une grosse partie de moi-même. Sa mort tue aussi les réunions de famille à Noël, à Pâques... c’est la fin d’une ère. C’est un moment tellement difficile à vivre. Je l’apprends parce que ma mère a écrit un courriel et elle le termine en écrivant «Je t’aime». Tout de suite, je le sais. Je l’appelle pour confirmer et j’explose en larmes devant les élèves de mon stage.
»
J’ai une dépendance affective intense envers mon chum (avec qui je suis encore). On décide de déménager ensemble, car j’habitais chez ses parents at that point. Il a du mal à quitter le nid familial, je suis incapable de dormir sans lui, je lâche l’école et retourne chez mes beaux-parents.
»
Je sens une bosse dans mon sein droit. Bin oui toé, une autre tumeur. Ça affecte mon humeur, j’ai des nausées constantes, j’ai mal... j’essaie de diminuer mes médicaments, les antidépresseurs comme les antidouleurs et anxiolytiques. Je suis tannée. J’ai un corps défectueux. J’attends mon opération.... et la COVID frappe, ce qui retarde tout.
»
J’apprends (par deux photos Facebook) que ma soeur est enceinte. Genre, vraiment enceinte. Je ne parle à personne, je n’ai pas d’amis, je suis seule. Je le mérite probablement. Je revois ma vie et je n’ai jamais été quelqu’un qui s’ouvre facilement aux autres. On aime ma personnalité habituellement, mais j’ai du mal à garder mes amitiés parce que when shit hits the fan ... and it does constantly, I disappear. Sometimes for months at one time. Qui voudrait être ami.e avec quelqu’un comme ça? Pas toi.
»
J’aurai 30 ans dans un mois. Je capote.
Il manque tellement de points et j’ai écrit ça en 40-45 minutes. Pas de relecture, pas de fioriture, on ne se vérifie pas. J’écris parce que ça fait du bien des fois. Je pense que j’avais besoin de me comprendre. De comprendre pourquoi je n’ai plus de résilience en banque, pourquoi je suis à terre... depuis des années. Pourquoi je ne veux plus de relation avec personne parce que je n’ai que des mauvaises nouvelles à donner.
Toute ma vie, je voulais être maman, aimer ma job de prof. Pas être célèbre, pas être chanteuse ou whatever, juste faire «ce que tout le monde fait».
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Pâtisserie Tristan Le Youdec
Et oui, longue absence de ce blog encore une fois, mais bon j’ai une excuse, j’ai eu une période où je ne pouvais plus écrire ni dessiner à cause de soucis de bras. J’ai pu de nouveau écrire au bout de moins de temps que dessiner, mais j’essaie de mettre au moins un dessin par article donc j’ai du attendre ^^
Donc ! En ce moment il n’y a plus de restaurants, et peu de choix en livraison à l’endroit où j’habite. On peut dire que l’ouverture de la nouvelle pâtisserie de Tristan Le Youdec près de chez moi à Lattes (enfin Maurin) a sauvé mes envies gourmandes !
(Ceci est une illustration d’un très bon chou à la noisette et au caramel)
Avant que la pâtisserie n’ouvre en Septembre, je voyais les travaux des locaux avancer et j’avais vraiment hâte. Pendant mes études à Bordeaux j’avais l’habitude de me faire plaisir de temps en temps avec des pâtisseries (ou des canelés, c’est bon les canelés), mais depuis mon retour vers Montpellier j’étais frustrée de ne pas trouver la même qualité dans les boulangeries du coin. Et vu que je suis assez exigeante, le sucre pour le sucre, ça ne m’intéresse pas !
Je n’ai pas été déçue, et mes attentes ont été remplies ! J’ai trouvé un niveau de qualité même supérieur à mes habitudes bordelaises, à un prix équivalent. Pourtant, les pâtisseries sont aussi travaillées que ce que l’on peut voir dans des vitrines de pâtisseries parisiennes pour parfois le double du prix ! A 3,80 euros la pâtisserie individuelle, c’est un prix raisonnable pour un vrai plaisir qualitatif de temps en temps. De plus, la boutique est très jolie et bien organisée.
On trouve une base de pâtisseries qui reste toujours (la tarte au citron meringuée par exemple), et d’autres créations temporaires adaptées aux produits de saison pour ne pas se lasser le palais. On peut même trouver d’autres choix comme des petits macarons, biscuits sablés ou meringues, pour faire des cadeaux par exemple. ça je n’ai pas encore goûté. Et vu que l’établissement est aussi une chocolaterie, on trouve aussi un grand choix de tablettes de chocolats et autres produits chocolatés. J’ai découvert le chocolat dulce, qui a un délicieux goût biscuité !
Depuis Septembre j’ai eu l’occasion d’y aller un certain nombre de fois, que ce soit juste pour se faire plaisir, prendre un gâteau d’anniversaire ou aller chercher des cadeaux de Noël chocolatés (qui ont à chaque fois beaucoup plu à leurs destinataires). Je vais donc pouvoir vous présenter quelques-unes des créations que j’ai pu goûter.
La première fois que j’ai pu goûter les pâtisseries de Tristan le Youdec, on avait pris des choses différentes avec mes parents pour se les partager et goûter à tout. Vous pouvez voir ici une pâtisserie vanille et noisette, une tout chocolat, et un chou au caramel et à la noisette, ainsi qu’une tablette de chocolat dulce, noix de pécan et crêpe dentelle qui avait attisé notre curiosité.
Tout était délicieux. L’association vanille et noisette pour la première fonctionnait très bien, et on sentait bien les différentes textures. Pour celle au chocolat, elle ressemble à une réinterprétation du Trianon (ou Royal) qui est un de mes gâteaux préférés. Ici la partie au chocolat était divisée en 2 textures, une mousse, et un crémeux au-dessus d’un très bon croustillant. Et ça marche très très bien. Pour le chou, il était également savoureux. Il y avait une crème à la noisette sur le dessus, un caramel coulant au centre et une crème au caramel à l’intérieur du chou.
La vraie surprise pour moi était le chocolat dulce aux noix de pécan et crêpes dentelle. Je ne pensais vraiment pas qu’une tablette de chocolat pouvait égaler le plaisir des pâtisseries. Le goût biscuité du chocolat, mêlé au croquant des morceaux de crêpes dentelle et aux noix de pécan, juste waw. Qu’est-ce que c’était dur de se contenter de déguster petit à petit et ne pas manger tout d’un coup (ce serait dommage quand même). J’ai goûté d’autres tablettes par la suite, toutes très bonnes mais qui n’égalaient pas celle-ci. Je ne l’ai pas vue dernièrement sur les étals. Si vous me lisez, s’il vous plaît, remettez la T_T
Sur la fin de la saison des figues (en octobre), j’ai eu envie de goûter leurs tartes aux figues, pour partir sur quelque chose de plus fruité. J’aime beaucoup les pâtisseries fruitées, généralement plus légères et moins bourratives que tout ce qui est chocolat, caramel… Selon l’humeur je peux préférer un peu d’acidité et un goût moins sucré.
Je crois que l’on peut voir dès la photo qu’elles étaient bien garnies en figues fraiches. Et surtout très goûteuses, ni trop sucrées ni pas assez, acidulées mais pas trop. Il y avait quelques pistaches sur le dessus, et sous les figues une compotée de figues (donc ça ne manquait pas de fruit). En dessous, un genre de crémeux/gâteau à l’amande. Et surtout la pâte était parfaite, croustillante et bien beurrée. Rien à redire donc ! On est loin d’une tarte basique.
Pour l’anniversaire de mon père on a pu tenter un vrai gros gâteau. Déjà la décoration était très jolie, avec des macarons (c’est mon père qui les a mangés, c’était son anniversaire quand même) et des fausses noix de coco en chocolat. Pour une fin de repas d’anniversaire, ce bel entremet aux fruits exotiques passait très bien, léger et acidulé. On a donc une mousse aux fruits exotiques, de la meringue, une compoté de fruits exotiques (il y avait de la mangue, mais je ne sais plus si il y avait autre chose), et du bon gâteau moelleux.
C’était super bon. Le seul reproche que je pourrais faire serait le manque d’un peu de craquant malgré la meringue, mais franchement je chipote. Pour mon propre anniversaire j’ai eu droit à la version gros gâteau du trianon revisité, toujours très bon bien sûr.
Continuons sur d’autres pâtisseries individuelles que j’ai eu l’occasion de tester. Je précise que même si je goûte tout, on partage, je ne garde pas tout pour moi XD On peut voir ici les grands classiques de la tarte au citron meringuée et de la tarte aux pommes. La tarte au citron suit le standard de qualité, la même pâte que pour celle aux figues, un généreux dôme de crémeux citron acidulé juste comme nécessaire, le tout recouvert de meringue à l’italienne et de citron confit. Le fond de tarte est toujours garni de crème d’amandes, ce qui donne un vrai plus.
La tarte aux pommes a un côté breton, avec les pommes bien caramélisées sur une base de palet breton, et surmontée de crème montée à la vanille. Savoureuse et efficace. Et je garde le meilleur pour la fin, ce qui est officiellement pour le moment ma pâtisserie préférée de toutes celles que j’ai goûtés ! Celle à la poire et au chocolat au lait, parfait équilibre d’épices, acidulé et douceur.
Ce que vous pouvez voir sur le dessus est une crème au chocolat au lait et à la fève de tonka. En dessous, une compotée de poire. Encore en dessous, un genre de gâteau bien beurré à la cannelle. Cette partie me faisait penser à un goût connu que j’apprécie beaucoup, celui de la pâte à crumble à la cannelle des crumbles au pomme de ma mère. C’est cette partie qui change tout dans la pâtisserie et lui donne un nouvel équilibre. Et encore en dessous, du brownie. Le tout est entouré de chocolat croquant. Dit comme ça, ça peut paraître pas mal d’éléments, mais tout fonctionne parfaitement ensemble sans effacer les différents goûts. La plus grande réussite selon moi. Un vrai plaisir.
(ça se sont les mini bûches de Noël, très bonne et sympa le design ceintures)
Bon, je pourrais continuer à parler encore, notamment des bûches de Noël (j’ai goûté en portion individuelle celle au marron et à la poire, très bonne encore), ou d’autres pâtisseries (goûté une à la noisette et au citron hier, très bonne association). Mais j’ai déjà beaucoup parlé, bravo aux personnes qui m’ont lue ! Mais bon c’est mon blog, si j’ai envie de blablater pendant des heures je fais ce que je veux ;) Vous aurez compris que pour ceux dans la région de Montpellier ou ceux qui y passent, la pâtisserie de Tristan Le Youdec est une valeur sûre que je recommande à tout le monde !
A bientôt pour de nouvelles aventures gourmandes !
#le carnet culinaire de nayala#Découvertes par ville#montpellier#pâtisserie#chocolaterie#illustration culinaire#chocolat#sucre#gâteaux#dessin#chou#food#lattes
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Alors j’aime bien voir du finnois dans le texte parce que j’aime beaucoup cette langue et que je suis en train d’en reprendre l’apprentissage, mais vraiment c’est comme les paroles de l’Oracle dans Eldarya c’est un peu relou d’en avoir tout le temps alors qu’on comprend pas, ça casse le rythme. Autant les insultes ça se voit que c’est des insultes on pige qu’il jure, ou le “nähdään” parce qu’au début il le disait toujours accompagné de “à plus” donc on peut raisonnablement en déduire que c’est ce que ça veut dire (c’est bien ce que ça veut dire lol), autant dans ce genre de cas :
Après recherche, c’est un proverbe qui veut dire en gros : “Ce qu’on apprend en étant jeune, on le maîtrisera en étant vieux”
J’trouve que ça apporte rien à part, en ce qui me concerne, de la frustration d’avoir une phrase dans une langue que je ne parle pas (ou pas encore très bien). La première chose que je me dis, c’est que je loupe peut-être une info. C’était déjà techniquement le cas dans la toute première scène de sa route : il se présente en tant que “kersantti”, ça veut dire “sergent”, on apprend donc qu’il était militaire. Alors ok c’est pas grand chose mais cacher des infos dans des langues qu’on peut pas comprendre si on les parle pas un minimum ou s’il faut s’emmerder à déchiffrer le code (je repense encore à l’Oracle), j’trouve que c’est pas du jeu.
Après ça concerne peut-être que moi, j’aime pas interrompre ma partie ou devoir aller chercher après voir ce qui a été dit pour être sûre d’avoir rien loupé, ou juste parce que j’aime pas avoir une partie du texte que je peux pas comprendre. Peut-être que d’autres voient plus ça comme une énigme à résoudre pour avancer et que ça fait une activité en plus pour s’immerger. Moi j’suis de la team “flemme j’veux juste jouer au jeu, pas faire mes devoirs” x)
En vrai ça soulève des questions chez moi cette utilisation du finnois dans les dialogues d’Ethan. Sur les 6 routes, trois sont avec des vampires qui sont d’origine étrangère pour Eloïse (EDIT : ptdr bah non quatre, Raphaël est italien j’suis con lol, bon ça change rien au propos) : Vladimir (nom slave mais élevé par sa mère anglaise donc a priori anglais), Aaron (espagnol) et Ethan (finlandais). Ma question c’est pourquoi Ethan est le seul des trois à exprimer un tel rattachement à sa langue maternelle ? Peut-être la distance temporelle, Aaron est né vers la fin du Moyen-Âge et a parcouru toute l’Europe pendant des siècles, Vladimir est né au début du 19ème (révolution industrielle en Angleterre) et Raphaël durant la Renaissance italienne. Ethan est relativement “jeune”, et je sais pas où il a traîné avant d’arriver au manoir (j’en suis au début du chapitre 8), mais sa transformation date quand même d’il y a 80 ans, s’il n’a pas vécu en Finlande la majorité du temps, il pourrait avoir perdu l’habitude de sa langue maternelle lui aussi. Après je sais pas si dans la suite il montre de la nostalgie sur sa vie en Finlande, un truc qui montrerait qu’il essaie de s’y rattacher, et que la seule façon pour lui de le faire c’est de ne pas oublier sa langue maternelle (surtout qu’il a été transformé loin de chez lui dans un contexte LEGEREMENT traumatisant lol). Du coup si c’est montré plus tard c’est dommage de pas en avoir des aperçus disséminés çà et là tout au long de l’histoire, des instants qui montreraient sa nostalgie, autre chose que des “dégage machine j’ai pas de temps à te consacrer” (parce que je vous avoue que se coltiner ce comportement aussi souvent pendant autant de temps en suivant la route positive c’est gavant lol). Et aussi je comprends toujours pas pourquoi ça n’arrive que dans sa route à lui... Des “A plus ! Nähdään !” dans les autres ça aurait eu le même effet de nous faire comprendre que sa langue maternelle n’était pas celle d’Eloïse, et ça aurait eu le mérite d’apporter un peu de cohérence.
Par contre, d’un point de vue écriture, c’est logique qu’Ethan soit le seul à avoir des répliques dans sa langue maternelle. D’une part, parce que si les langues maternelles d’Aaron et de Vlad sont bel et bien l’espagnol et l’anglais (même si des versions bien différentes de celles qu’on parle aujourd’hui, surtout pour l’espagnol), ben ça aurait posé des problèmes dans les versions anglaises et espagnoles du jeu : si le fait que le personnage parle dans sa langue maternelle qui n’est pas celle de l’héroïne a du sens, comment le retranscrire dans les versions du jeu qui sont dans ces langues ? Alors ça se fait, hein, mais ça demande un travail supplémentaire de rédaction parce que généralement quand on trouve ça dans les romans, on a une note de bas de page pour dire “en français dans le texte original” etc, mais impossible dans ce format de mettre des notes de bas de page, et je pense que déjà qu’ils ont pas eu le temps de relire correctement la version originale en français tellement c’est inondé de fautes, va en plus ajouter des subtilités dans les traductions en anglais et en espagnol mdr. Bon pour l’italien ça aurait pu passer vu que y’a pas de version du jeu en italien mais c’est courant donc ça aurait pu exister/existera peut-être.
Et d’autre part, faire parler Ethan en finnois, ça rajoute au sentiment de distance et d’étrangeté (au sens être étranger à quelqu’un) entre Eloïse et Ethan. Chez Beemoov, on incarne une héroïne qui est parfois confrontée à des langues qu’elle ne parle pas, ça crée de l’incompréhension chez elle, et comme justement on est censé-e être elle, ben c’est plus facile de ressentir ce qu’elle ressent si nous non plus on comprend pas ce qui est dit. Je pense pas qu’on soit beaucoup de joueurs/euses à s’intéresser au finnois, et encore moins à le parler x) Je suis même sûre qu'il y a eu des gens qui ne savaient même pas que c’était du finnois avant de le voir parler d’Helsinki (et en vrai je comprends, c’est pas du tout une langue qu’on a l’habitude de croiser, si on connaît pas on peut pas la reconnaître, moi dès que j’ai vu “kersantti” j’ai tilté mais ça fait des années que je m’intéresse au finnois).
Maintenant, le procédé me pose deux problèmes : le premier, je l’ai déjà dit, c’est qu’on comprend pas. Oui c’est en contradiction avec ce que je viens de dire, mais si je comprends parfaitement l’utilité d’un tel procédé, ça n’empêche pas que je le trouve sur-utilisé et parfois mal utilisé, que ce soit ici ou sur Eldarya : je pars du principe qu’on doit pouvoir comprendre tout ce qui est dit dans une œuvre écrite, d’une manière ou d’une autre, sans cacher des infos derrière la barrière de la langue (même des infos mineures comme un rang dans l’armée ou un proverbe, il aurait pu dire le proverbe en français et rajouter “comme on dit chez moi” après, par exemple). Les jurons on en a eu au moins trois différents, je pense pas que c’était nécessaire, par exemple. On pouvait se contenter d’un seul et c’est facile de repérer que “ah ça c’est le juron”, pas besoin de se vanter d’avoir écumé le dictionnaire des injures en finnois, ça n’apporte rien, ni au perso, ni à l’histoire. Pour le reste, le système du “A plus ! Nähdään !” marche bien, ça allonge un peu le texte de mettre la traduction à côté mais bon ça va avec la politique de rapiat de Beemoov avec le paiement au dialogue, puis au moins ça permet au lecteur de comprendre. Parce que oui on joue un personnage qui comprend pas, mais pour moi ça veut pas dire que le lecteur doit être “privé” de la signification. Et enfin, je pense pas que ce soit utile de faire ça trop souvent non plus.
Mon deuxième problème, c’est qu’il est très probable que la personne qui a écrit la route d’Ethan ne parle pas finnois. Je sens un peu trop l’odeur des traductions mot à mot, et je crains (j’espère me tromper) la présence de la némésis des traducteurs, les outils comme Google Traduction.
Petit aparté de traductrice : globalement, n’utilisez un logiciel de traduction automatique qu’en dernier recours. Si vous devez l’utiliser, faites-le sur des mots plutôt que sur des phrases, à moins que vous ayez assez de connaissances dans la langue étrangère pour pouvoir corriger le logiciel au besoin (si vous voyez que la traduction qu’il propose n’a aucun sens, par exemple, ou que vous avez un doute sur un mot qu’il a utilisé). Mais même pour des mots uniques, privilégiez des dictionnaires, même en ligne il existe aujourd’hui des dictionnaires pour de nombreuses langues, recoupez les sources, ne faites pas aveuglément confiance aux logiciels de traduction automatique.
Je dis ça aussi parce que je suis presque sûre d’avoir repéré une erreur dans une phrase en finnois (même avec mon faible niveau mdr) : [/!\ Léger Spoiler] dans la scène devant le manoir, quand il prend Eloïse pour un jeune enfant qu’il a vu mourir et lui demande pardon [/!\ Fin Léger Spoiler], Eloïse peut lui dire “je ne t’en veux pas”, et Ethan répond “ole niin mukava”, sauf que la traduction littérale donne “sois si gentil”. Je pense qu’il devait vouloir dire “tu es si gentil” vu le contexte, ce qui donne en finnois “olet niin mukava”. Alors c’est très possible que l’autrice ait bien obtenu ce résultat dans ses recherches, et je sais pas le T s’est mal tapé ou un truc du genre, et du coup à la relecture (en imaginant qu’il y ait eu une vraie relecture ptdr), ça n’a pas été relevé, parce que la personne ne savait pas, avait oublié que c’était pas comme ça que ça s’écrivait, et c’est une erreur quand même vite repérable si on connaît un peu la langue, la preuve moi qui ai repris mon apprentissage il y a 6 mois seulement j’ai pu le voir.
Et je pense que si on veut utiliser le procédé du personnage qui case des mots ou des phrases dans sa langue maternelle qui n’est pas celle du récit global, il faut au moins avoir des bases, même très superficielles, dans ladite langue. En tout cas pour les boîtes qui se spécialisent dans l’écriture de romans visuels depuis 10 ans avec des auteurs/trices censément pro à qui on va pas laisser passer autant d’âneries à la minute qu’avec de jeunes auteurs/trices qui débutent.
Voilà merci d’être venu-e-s à mon Ted Talk
#moonlight lovers#moonlight lovers ethan#je devrais peut-être mettre une catégorie 'moonlight lovers' sur l'en-tête de mon tumblr mdr#à force de raconter des trucs dessus#fun fact on pourrait croire que je me suis intéressée au finnois à cause de tolkien#qui a basé la langue quenya dessus#mais pas du tout c'est à cause de nightwish#j'ai appris qu'après pour le quenya car je suis une fake fan#et aussi peut-on parler du fait qu'ethan ça sonne absolument pas finlandais comme nom
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Manon Massé réagit à la musique de Petal Supply, Playboi Carti et Maxime Gervais 👂Écoute ça
Cette semaine pour la chronique Écoute ça, on reçoit la co-porte-parole de Québec Solidaire, Manon Massé. Elle nous a généreusement accordé une quinzaine d’heures de sa journée afin qu’on lui fasse écouter la musique qui nous fait vibrer ces temps-ci. Voici ses réactions suite à l’écoute de chacun de ces morceaux.
Petal Supply - Time (Hyperpop, Electronic)
Manon: « Ça sonne jeune, avec la petite voix aigu on dirait Passe-Partout, c’est cute. La jeune fille qui produit cette musique là crée quelque chose d’inspirant, je pense. Pis avec la pandémie, on a tous besoin d’inspiration en ce moment. Je vous avoue qu’à première écoute, c’est peut-être pas un style de musique auquel je suis habituée... l’ultra pop, c’est ça? »
Colada: « Oui, enfin, hyperpop si veut on être exact. »
Manon: « Hyperpop.. Les jeunes savent vraiment nous inspirer, vous trouvez pas? Bon, la techno a jamais été mon cheval de troie, mais j’suis certaine que Gabriel (Nadeau-Dubois) aimerait ça. »
Colada: « Ah oui? Donc, Petal Supply, vous aimez ça? »
Manon: « Gabriel aimerait ça. »
Dope.Gng - Harakiri (Trap, Rap Keb)
Manon: « Ok, ça ça déménage. La basse est lourde, c’est presque écrasant, hein? Ça nous prend par les trippes. Là, on est en zoom, c’est pas l’idéal. Une chanson comme ça, ça s’écoute dans une voiture ou dans un club. Nous chez Québec Solidaire, on tente toujours de faire justice aux artistes québécois, pis honnêtement cette chanson là, y faudrait qu’on la fasse jouer dans le bus de tournée. (rires) Avec le volume au fond, à 160 km/h! »
Colada: « C’est cool, le beat vous plaît! Et les paroles, vous en pensez quoi? »
Manon: « Écoutez, c’est brute, ça, j’en conviens. Mais avec un groupe qui s’appelle Dope.Gng... la chanson s’appelle Harakiri. Je m’attendais pas à autre chose, pis c’est correct. L’abus de drogue, c’est une réalité pour beaucoup de québécois, on se doit d’en parler. Pis entre vous et moi, prendre une ligne de coke de trop, la puff de trop, comme ils disent, ça nous est tous et toutes déjà arrivé. »
Colada: « Et vous pensez quoi des artistes d’Hochelaga qui... »
Manon: « La peanut de trop. »
Colada: « Hum oui. Les artistes qui contribuent à la réputation.... »
Manon: « Histoire vécue, monsieur Colada. »
Playboi Carti - M3tamorphosis (feat. Kid Cudi) (Trap, Psychedelic Rap)
Manon: « On l’attendait-tu, cet album là, ou on l’attendait pas (Whole Lotta Red) ? »
Colada: « Oh, vous êtes une fan de Playboi Carti? »
Manon: « Non, non. Je dirais pas fan. Mais disons qu’à force d’en entendre parler autour de moi, j’avais hâte de voir la raison de l’engouement. »
Colada: « Et qu’avez vous pensez de l’album? »
Manon: « L’album compte 24 chansons, monsieur Colada, alors excusez-moi, mais avec l’urgence climatique, j’ai préféré investir mon temps ailleurs. J’ai écouté quelques morceaux sur youtube, dont celle là, que vous me présentez (M3tamorphosis). Mais honnêtement, je verrais pas comment prendre plaisir à écouter ça à moins d’être complètement battée. Et comprenez moi bien, je dis pas ça nécessairement comme une mauvaise chose, mais juste en regardant le clip, on voit que ça s’adresse à un public qui est sur le blue dream accoté. »
Colada: « (rires) Le clip vous a pas convaincue? »
Manon: « Convaincue? J’étais endormie autant que Kid Cudi dans le tracteur. Bon sang qu’il a l’air déprimé! (rires) Mais sérieusement, quand on sait qu’au Québec, y se produit trois suicides par jours... Trois par jour, monsieur Colada. Faut pas niaiser avec ça. »
ENTRY - Your Best Interest (Hardcore Punk)
Manon: « Peu de gens savent ça, mais j’ai joué de la basse le temps d’un show pour ENTRY. En 2015 ou 2016, je suis plus certaine. »
Colada: « Wow! C’est vrai? Comment ça s’est produit? »
Manon: « C’était au Bar Le Ritz, y me semble. Je savais pas qui jouait ce soir là, mais j’étais allé avec quelques amis. C’était une bonne soirée, ça brassait pas trop dans le pit. Pis là, ENTRY a monté sur scène, pis la chanteuse a annoncé qu’y aurait pas de basse ce soir là, parce que leur bassiste était malade ou j’sais pas quoi. Faque moi, j’ai deux trois bières dans le corps vous comprendrez, pis je mets à crier à répétition: « I know how to play! I know how to play! ». »
Colada: « Pis ça a marché? J’ignorais que vous saviez jouer de la basse! »
Manon: « Non, je sais pas en jouer le moindrement! (rires) Mais la chanteuse m’a entendu, pis elle m’a fait monter sur scène. Après, j’ai juste fait mon possible. (rires) Je faisais comme monsieur Legault, j’y allais au feeling! »
Colada: « (rires) Wow! Et après avoir jouer avec eux, vous pensez quoi de leur plus récent matériel? »
Manon: « C’est brutal, j’aime ça. Mais si vous voulez mon humble avis, ça manque d’la basse à Manon! (rires) D’ailleurs, je leur ai jamais redonné leur basse, vous savez. »
Kaskade & WILL K - Flip Reset (EDM, House)
Colada: « On sait que vous êtes une joueuse assez sérieuse de Rocket League, alors on se demandait ce que vous pensiez de cette chanson avec laquelle a débuté la saison 2. »
Manon: « Là vous me faites plaisir. J’adore. Juste l’écouter avec vous en ce moment, ça me donne le goût de jouer (rires). Vous savez... Ah, je sais pas si j’ai le droit d’en parler... Mais bon, tant pis, je suis trop excitée! Vous savez que nous, chez Québec Solidaire, on souhaite une réforme électorale? »
Colada: « Oui, absolument. »
Manon: « Et bien, on est en pourparlers avec différents chefs de partis pour voir si les prochaines élections pourraient pas se faire sous forme de tournois. Un tournoi de Rocket League, bien sûr. Vous comprendrez que ça aurait pour but d’avantager le peuple ordinaire, pour une fois, et non les élites de monsieur Legault. »
Colada: « Oh, ok. Et avenant ce cas là, vous auriez confiance en vos chances de gagner? »
Manon: « (rires) Disons que Legault est mieux d’arrêter ses conférences de presse pis qui est mieux de commencer à s’entraîner. »
Maxime Gervais - Je connais des vedettes (Indie Rock)
Manon: « Ouin, je l’ai déjà entendu celle là. »
Colada: « Vous avez pas l’air sûr d’aimer ça. (rires) Pourtant j’avais cru lire que vous aimiez bien Maxime Gervais?»
Manon: « Oui. Oui, j’aime beaucoup Maxime. Je l’ai souvent croisé dans des évènements, ici et là. J’ai même souvent pris la peine d’y dire merci pour sa contribution à la musique québécoise. Parce que, écoutez, qu’on le veuille ou pas, le paysage musical québécois serait pas ce qu’il est sans Maxime. »
Colada: « Ok, mais vous semblez quand même pas trop enthousiaste pour cette chanson là? »
Manon: « J’trouve juste ça bizarre qu’il me nomme pas dans une chanson littéralement dédiée aux vedettes qu’il connaît... Je m’excuse, je veux pas manquer de respect à personne, mais... Sam Breton? Les Deuxluxes? Rosalie Soly? C’est qui ça, cibole? Encore une fois, je tiens à préciser que c’est pas contre eux, mais j’avoue que je suis déçue que Maxime aie pas pensé à moi. »
Colada: « Désolé, j’ignorais que ce serait un sujet sensible pour vous. »
Manon: « Non y’a pas de problème. C’est réglée cette histoire là. Mais entre vous et moi, Maxime s’arrange pas pour se faire subventionner. (rires) »
Pour suivre Manon Massé, rendez-vous sur les comptes officielles de Québec Solidaire sur Facebook, Instagram et Snapchat ainsi que sur son nouveau compte Twitch où elle stream régulièrement ses games de Rocket League et de Fortnite.
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14 décembre 2020
Déjà le 14 décembre ...
Après un réveil difficile (comme tous mes réveils) c’est de bonne humeur que la journée commence ! Oui, car après s’être couchés très tard (vivre cachés oblige... avoir fait l’amour 2 fois, jusqu’à 4h30, et parlé... Il fallait bien se réveiller tôt). Il s’est levé d’un coup sans un dernier câlin alors que j’étais si bien avec lui haha. D’où mon mauvais réveil et ma mauvaise humeur de début de journée, qui font que j’étais énervée et ne me suis pas rendormie. Je me suis donc levée à nouveau vers 9h20 et ai petit déjeuné avec lui, tranquillement, c’était bien. On s’est mis d’accord pour partir se promener ensemble, le temps n’étant pas trop mauvais et sachant qu’on avait du temps devant nous. On est donc partis tous les deux, au lac du paradis faire le tour. On en a fait deux fois le tour, j’ai commencé en glissant au sol sur la boue haha. Arès on a marché et Il m’a dit « tu peux prendre ma main » alors on s’est pris la main. Je n’attendais que ça.
On a un peu parlé, de pas grand chose. Du fait qu’il venait ici quand il était jeune, de la différence de taille dans les couples, de la différence d’âge dans les couples. C’était bien, je suis contente de passer du temps avec lui, de voir qu’il le veut aussi. Même si au début j’admets que j’avais un peu peur, j’ai peur de ne pas savoir quoi dire, quoi faire, c’est vrai que je peux me sentir un peu bizarre. Mais je suis quand même bien avec lui et j’apprécie ce temps ensemble. Ensuite on est partis en centre ville et on a pris des frites et sommes rentrés à la maison.
J’aime le fait d’être ici. D’autant plus que je suis avec lui. Je n’ai plus envie de partir.
Et en même temps ça n’a pas trop de sens. On en a un peu parlé, de la différence d’âge, et puis du fait d’être de la même famille, par rapport aux autres... Je culpabilise beaucoup de ne rien dire, de mentir surtout à S. Pour ça, je crois que je lui dirai bientôt, petit à petit, s’il me pose des questions. Pas de but en blanc... j’ai bien sûr peur de sa réaction, je n’ose pas trop imaginer, je ne sais pas quoi en penser. Mais je trouve ça pire de le trahir.
Je sais que ça paraît déplacé comme relation, que ça l’est certainement. Je me demande tous les jours ce qui ne va pas chez moi. Si vraiment il y a un truc qui cloche et que je devrais régler. Mais je ne sais pas. Pour l’instant je suis bien avec lui, et lui avec moi.
J’en suis au point où je me dis que peut-être que je devrais rester, mener une vie simple comme ceci. Je suis bien ici. J’ai envie de parcourir le monde, ça oui, mais la solitude est là, et que vaut le fait d’avoir une famille à côté ? Même si bien sûr ce n’est pas avec lui que ça se fera...
Avoir un foyer, être entourée des gens qu’on aime et qui nous aiment. Ça, me fait sentir bien, plus qu’autre chose. J’étais heureuse là-bas, en Inde, en Thaïlande, au Sri Lanka, à rencontrer des gens, c’était fantastique, mais un creux était là. Un besoin de stabilité, d’attache émotionnelle plus forte, plus profonde. Je crois me rapprocher un peu de ce que je veux. Peut-être une personne avec qui je voyagerais serait le juste milieu de tout ça. Mais pour l’instant je n’ai même plus envie de rencontrer, de parler à d’autres personnes. Je suis bien avec lui et j’aurais l’impression de le tromper. Ça fait maintenant 15, quasiment 20 jours qu’on se fréquente. Maintenant un petit peu plus qu’au début, grâce aux petites balades qu’on fait ensemble. Celle de ce matin n’était pas une sortie «obligatoire», de nécessité pour les courses. Je suis contente qu’il l’ai proposé et initié. Il a plein de petites attentions. Je devrais en faire un peu plus pour lui. J’irai me chercher un nouvel article de lingerie haha. Il a expressément dit qu’il aimait ça. J’ai déjà sorti l’un de mes body l’autre jour et il a assez aimé.(...) Ça ne me dérange pas de faire des petites choses, c’est un peu le minimum aussi haha. Et j’ai envie de lui plaire. Je prends soin de moi.
J’aime ça, même si je remets en cause le fondement chaque jour. Je me remets en cause, beaucoup. Lui aussi un peu parfois haha. J’ai du mal à prendre du recul sur la situation. Je me demande bien comment je verrai ça dans quelques années / mois...
J’ai tellement l’impression de n’assurer nulle part en ce moment. Le fait de ne pas avoir de travail joue. Et de mentir à S, l’une des personnes qui comptent le plus pour moi. Malgré les conséquences, je pense vraiment lui dire bientôt. J’espère y arriver. J’espère (sans vraiment y croire)... que je pourrai continuer à être avec D. J’avoue. Dans une autre vie.
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