#eT MERDRE
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hacheptsou · 17 days ago
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Pour ceux qui n'auraient
Pas compris
Ce n'est pas avec mon amant
Que je me suis fâchée
Mais une amie
Qui veut se taper
L'incruste chez moi
Je n'auserais jamais
M'incruster chez les gens
Plus d'une semaine
Aussi, au bout de
Plus de 12 jours
Quand je demande
Quand tu pars ?
À quelqu'un
J'estime que j'en ai le droit
Je suis chez moi merdre
Et j'ai besoin d'un peu
D'intimité 😂
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johnzenko-bandicootcn · 1 year ago
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youtube
Bienvenue dans la société pyramide.
Bienvenue dans la société des paymobiles ou le monde se préoccupe de sont pouvoir du chat à marchander la vie pendant que d'autres en crèvent.
Le monde normal, ou la vie, la dignité et les besoin fondamentaux sont négocier car tout travail mérite salaire.
Le monde ou revendiquer de vivre en humanité gratuitement, intelligemment, en don de soi et en partage, relève de l'utopie paracerque le monde préfère la Dystopie payante.
Chut, faut pas dire au gens qu'ils ont le choix de renoncer à un monde de merdre qui ne manquera pas à nos gosses, ça ferait un Error404 du programme auto-esclavage non obligatoire.
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puutterings · 1 year ago
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I’ve left
                                                        and his Fuck off! to puttering poetry, I’ve left
February ’98   Six months later than the wild geese and a hundred-twenty-nine years after the ace of fugitives from the Ardennes and his Fuck off! to puttering poetry, I’ve left Charleville and the stranger across the street whose lacy underwear festooned with frost beat with my heart against the window-pane. I waved good-bye to the Meuse as she bathed in her green lechery, and said Let’s go! but on two feet, the devil take genius.
/   Février ’98   Avec six mois de retard sur les oies sauvages, cent vingt-neuf ans après l’as des fugueurs ardennais et son merdre à la poisseuse poésie, j’ai quitté Charleville et l’inconnue d’en face don't les dentelles festonnées de givre battaient avec mon coeur contre la vitre. J’ai fait un signe à la Meuse baignant dans sa luxure, verte, et dit Allons, mais sur deux jambes, au diable le génie.
ex Guy Goffette, Charlestown Blues : Selected Poems, a bilingual edition (Marilyn Hacker, translator; U Chicago Press, 2007) : 14-15 : link
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from the promotional blurb-erature —       “Readers who denounce most contemporary French poetry as self-referential experimentation, word games, exercises in deconstruction, or other kinds of incomprehensible writing disconnected from everyday life — brace yourselves for a revelation. Erotic and urbane, distinguished by formal skill yet marked by the subtlest shades of feeling, Guy Goffette’s unabashedly lyrical poems pay homage to both Verlaine and Rimbaud, whom he counts as his important forbears, with echoes of Auden and Pound, Pavese and Borges.       In Charlestown Blues, poet and translator Marilyn Hacker has chosen a tightly thematic selection of poems, all centering around the notion of ‘blue’ — the color and the emotion, as well as that quintessentially American style of musical performance.”
      review of the translation (and the poetry) by Christina Pugh, entitled “Accessibility Blues” at Poetry (May 2008) : link
Guy Goffette (1947-) wikipedia : link
Marilyn Hacker (1942- ), poet, translator and critic wikipedia : link
considering concluding this project with this post.  
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helshades · 5 years ago
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Il y a des fois j'ai envie d'entrer dans le cerveau des gens juste pour.... essayer de comprendre
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lecoque · 3 years ago
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******* INFO-POÉTIC *******
******* PHRANCOPHONÉC *******
******* B U T *******
----------------------- HÉLAS ----------------------
Mais J on est plut le temp encor a perdre
Avec ses perdent que je ne suis leur pondre
Ni je veut les guider vere une terre de merdre
Ni de les suivre sur une route qui mène à londre
Ma route a paris qui a des compt a me rendre
De se que je suis sans ces mensonges a fondre
Si je fond cette glace qui conjel mes foudre
Au fond de moi dans man volcan qu a etaindre
Par ses responsables qui gouverne nos moudre
De notre moulain qui ne s arete pas a tendre
Le blé de leur pain pour leur fain a resoudre
Leur besoin du quotidien qui n arive a joindre
Les deux bout du jour que la nuit calondre
Ils se sont laisser fair par ces mauvais cadre
Qui les mène vere l enfre non au paradis verdre
Qui idol lusifre radicalis et invers leur coudre
Au lieut de les attacher ils déchirent leur ordre
Il devienes anarchiec commander par le lourdre
Au lieut d unnir ils separe et devises leur gendre
on petit group on solitair et indeveduel sedre
Au lieut de les maîtres dans le même sac soudre
Partages on les demenage a louer et a vendre
Au lieut de les rasenbler il éparpille leur poudre
Dans le vent omporter on pouciere leur cendre
les casser morceaux par morceaux on desordre
Irrécupérable ses gents ni hame et ni concordre
Avec persone comme des démons à denonbre
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Laisse tomber ces gent je ne peut comprendre
******* D A V I N C H I *******
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roger-rockette-remixes · 5 years ago
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Roger Rockette, le cow-boy mort Dessin numérique / digital drawing, 2017 123 x 88 cm – (48 x 34’’) (catalogue n° : RR 17.53) ©RGV 2013–2017
[Petit hommage à Glen Baxter…]
Merdre, je ne verrai pas cette expo de Roger Rockette Magritte  !
Un bon artiste est un cow-boy mort !
Je travaille en fermant les yeux… RR to Glen Baxter
«La première statue évoquait un homme atteint mortellement par une arme enfoncée dans son cœur. Instinctivement les deux mains se portaient vers la blessure, pendant que les jambes fléchissaient sous le poids du corps rejeté en arrière et prêt à s’effondrer. La statue semblait, au premier coup d’œil, faite d’un seul bloc ; mais le regard, peu à peu, découvrait une foule de rainures tracées en tous sens et formant généralement de nombreux groupes parallèles. L’œuvre, en réalité, se trouvait composée uniquement d’innombrables (…)
La figure elle-même, avec tous ses détails d’expression douloureuse et angoissée, n’était faite que de tronçons bien ajustés reproduisant fidèlement la forme du nez, des lèvres, des arcades sourcilières et du globe oculaire.»  
Raymond Roussel, Impressions d'Afrique, 1910
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madamecercle · 5 years ago
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Et je ne sais plus ce qui se passe Av
[1/2] — et je ne peux plus rien voir — MERDRE ! [3/4] — et je ne peux plus rien entendre — MERDRE MERDRE ! [5/6] — et je ne sais plus ce qui se passe — MERDRE MERDRE MERDRE !
=== note informative et péremptoire à l'usage du striplecteur === — Ce personnage étant tout à fait grossier, ce passage de l'histoire [Av] est interdit aux enfants qui savent lire et aux personnes qui se savent délicates. Veuillez retourner regarder votre télé ou, tiens, allez donc faire un petit tour. (P. Léo)
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tymauteemarshall · 6 years ago
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Betrayal
Une soirée banale, de l'acool coulant abondamment, des couples s'embrassant. Une soirée banale.
Je l'appelle pour savoir si elle veut que je lui resserve quelque chose, mais son état me permet de voir que non, elle n'a plus besoin d'un verre. Elle a l'air heureuse, elle semble s'amuser. La voir épanouie à ce point me surprend, cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un tel sourire sur son visage. Seul son bonheur m'importe, et cela depuis quelques années déjà. Je me sers un premier verre même si la soirée a apparemment commencé depuis pas mal de temps et vais m'allumer une clope sur le balcon. J'ai du mal à me mettre dans l'ambiance, à croire que mon sixième est bien actif. Une latte, une deuxième, une troisième, j'en ai déjà marre d'être ici. Je me retourne, mon verre à la main et ma cigarette en bouche, pour t'apercevoir mais tu n'es plus là. Merde, j'avais quelque chose à te dire mais je viens d'oublier. Ah oui c'est vrai... Je ne dois plus mélanger l'alcool et la fatigue. Je termine ma cigarette et écrase le mégot dans le cendrier bleu posé sur une table basse. Une fois de retour dans le salon, je pose mon verre et te cherche dans l'appartement. Dans la cuisine ? Non. Dans la salle-de-bain peut-être ? Non plus. Ah mais oui, aux toilettes ? Idem.
Je pousse alors une porte que je n'avais pas encore vue, au fond du couloir. Mon cœur rate un battement. Tout s'effondre. Mes genoux crient au désespoir et je me retiens de m'écrouler. Mon cœur semble s'être arrêter de battre comme mon cerveau semble s'être arrêter de réfléchir et même de fonctionner. J'ai mal. J'ai mal... Toutes ces années anéanties après un stupide baiser amoureux. Pris en flagrant délit, ils décident de s'éloigner, aussi troublés que moi, et pourtant, pourtant... Il s'approche de moi pour s'excuser. Elle... Elle reste plantée là, le regard maintenant vide. Elle ne sait que faire, et pour être honnête, moi n9n pkus. Je ne suid ppus capable de faure quoique ce sout et mon corps me hurlr de bouget, de pattir, oui, de me barrer d'ici. Maus rien ne bougr, pas méme un sourcik. Lui, s'appriche toujourd de moi et pout la première fous vraimebt, j"ai l'impressuon de vivre au ralentu. Aprèd de nombreuses seconded me paraissabt être buen plus qu'unr éternité, min poing s'élève jusqu'à sin visage et le sang coulabt de son nex tombe au sol.
Merdr... Je mr suis encore réveillé eb sueur.
Tymautée.
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darkpalmor · 6 years ago
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5 JUIN 2019
Programme superflu (Merdre 19 – Se Fétatoire, super)
Échauffement (2 minutes) : Dicton inachevé. À la saint Igor, …
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À la saint Igor, arrête le sport. À la saint Igor, dors la tête au nord. À la saint Igor, évite les films gore. À la saint Igor, la neige s’endort. À la saint Igor, les radis sont forts. À la saint Igor, marmotte en plein effort. À la saint Igor, on peut manger dehors. À la saint Igor, plantez le raifort. À la saint Igor, tout le monde s’endort.
Décryptage de proverbes (10 minutes maximum) : Qu’est-ce que cela signifie ? On expliquera cet adage venu d’une sagesse populaire sans doute perdue : « Trois enfants, un placard ; quatre enfants, un brancard ».
« Trois enfants, un placard ; quatre enfants, un brancard ». Ce proverbe venu de la Bresse profonde, dans les environs de Bourg, vers 1900, servait de mot de ralliement aux nourrices chargées de faire téter les enfants des bourgeoises bressanes. Elles étaient bien rémunérées, à condition d’être bonnes laitières et de savoir faire aussi la toilette et la promenade des plus grands, et un peu de couture, et éventuellement du repassage, et pourquoi pas la cuisine. Dans certaines familles, on les surchargeait d’allaitement, en leur collant une bouche à nourrir à chaque sein. Le proverbe laisse comprendre qu’une troisième bouche n’était jamais la bienvenue, ne recevait pas sa dose de bon lait blanc, et que la nourrice l’aurait volontiers confiée à la lingère, pour la garer entre deux piles de draps, parce que deux, c’est déjà beaucoup. « Quatre enfants, un brancard », cela signifiait la mort en vue, l’impossible, l’épuisement mammaire, ou le gardiennage à devenir folle, et l’on se disait qu’il valait mieux démissionner, planter là les marmots, le gros salaire et les mains du fils du patron, et retourner faire téter les petits veaux à la ferme familiale.
Écriture longue (20-25 minutes) : Un récit à chute dramatique. On mettra en place les personnages imposés suivants : un porteur d’uniforme, une femme lisant un livre, un conducteur de voiture à l’arrêt, une jeune fille dans le genre lycéenne ou collégienne. L’action se situera dans un décor qui contiendra nécessairement une barrière, de l’eau courante, des oiseaux, des portes d’entrée de maison ou d’immeuble. On pourra bien entendu ajouter d’autres personnages, d’autres objets. Contrainte légère : un début de phrase est imposé pour commencer le récit. « Sur l’autre trottoir, les lampadaires… »
Sur l’autre trottoir, les lampadaires commençaient à clignoter, signe d’éclairage lent et laborieux, avant même que la nuit fût vraiment tombée. Gaspillage scandaleux, se disait le gendarme de faction devant la sous-préfecture. Mais en fonctionnaire obéissant et sans idées complexes, il n’allait pas faire la révolution pour si peu. Son travail, c’était de guetter le retour de Madame Durand, partie vers quinze heures, sans doute pour acheter quelques robes de soirée, ou des macarons, ou prendre le thé avec une chère amie quelconque. En attendant, il relevait et abaissait la barrière pour laisser partir en week-end les derniers employés de bureau, ceux qui faisaient du zèle. Le glou-glou de la fontaine lui parvenait, à une vingtaine de pas, et c’était un bruit réconfortant. Les merles du jardin préfectoral faisaient leur petit concert. Bref, une fin d’après-midi sans rien d’anormal, et plutôt reposante. Cependant, il y avait bien cette voiture foncée, garée juste devant la porte du 21, presque en face de la grille en bronze doré. Quelqu’un se tenait au volant, immobile, moteur arrêté. C’était bizarre. De la porte du 23 sortit en courant une grande gamine en blue-jeans troués au genou, à la mode, habillée n’importe comment, se disait ce père de famille rigoriste. Quelle tenue ! Est-ce qu’elle va comme ça au lycée, celle-ci ? Et qu’est-ce qu’elle fabrique ? En passant devant la voiture arrêtée, elle se pencha comme pour vérifier ce que faisait l’homme au volant. Elle toqua contre la vitre et lui fit signe de l’abaisser. Ils eurent une discussion très brève, à voix basse, l’homme lui glissa quelque chose dans la main, et la fille retourna dans son immeuble en secouant ses couettes brunes. Le gendarme sentait que quelque chose n’allait pas. Que faire ? La voiture ne démarrait pas, le conducteur avait remonté sa vitre. Lorsqu’une femme sortit du 23, discrètement, un livre ouvert devant le visage comme une myope entrain de lire un roman, le gendarme se prépara au pire : il avait reconnu la Durand. Et le conducteur de la voiture avait un appareil photo en mains, et il mitraillait sans interruption l’épouse du Sous-préfet. Pas de flash, pas de bruit. Elle traversa la rue juste en face de la grille, passa devant le planton au garde-à-vous en lui souhaitant le bonsoir, et tout sembla fini. La voiture démarra très vite. Il n’avait pas relevé son numéro… Le lundi matin, toute la sous-préfecture bruissait de rumeurs folles à voix basse : le Sous-préfet allait divorcer, il y avait eu des cris, de la vaisselle cassée, un scandale d’État se préparait. Sa femme allait voir un amant, juste de l’autre côté de la rue, et un détective privé en avait fourni les preuves photographiques, avec la complicité d’une copine de classe de leur fils.
Une p’tite poésie de hasard (15 minutes) : Bouts-rimés à choisir individuellement dans un lot de 18. Âge/Nage Amérique/République Ange/Étrange Bleus/Lieux Catins/Lointains Courber/Tomber Estimer/Aimer Femmes/Flammes Froids/Crois Lime/Crime Magnifique/Ésotérique Papillons/Tourbillons Peine/Plaine Rébellion/Lion Respectée/Sculptée Suffrage/Ouvrage Thèmes/Aimes Trésor/Mort. On choisira cinq paires de rimes, et on écrira un dizain sur l’idée de jour férié.
Trop de vacances tue les vacances Encore un jour férié ? Vive la République ! Trump n’en a pas autant dans sa belle Amérique. Au mois de mai, chez nous, on donne son suffrage, Et pendant douze jours on reste sans ouvrage. En plein mois de juillet, fêter la rébellion, C’est pour se préparer au zodiaque du Lion. Quand vient la mi-août, on file aux papillons, On taquine la truite au gré des tourbillons. Et quand vient la Toussaint, les jours deviennent froids, Mais si c’est un mardi, on fait le pont, tu crois ?
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acribologue · 6 years ago
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Clarténèbres
Tu sais, j'ai bataillé pour affronter la mort
Et quand je vois ma vie, je me battrai encore
Pour décrocher la Lune, aussi perchée soit-elle
Pour absorber l'écume, et son grain, et son sel.
Tu sais, il faut du temps pour tuer les remords
Et leur tordre le cou dans les plus vils décors
Car, lorsque la nuit tombe et que sombre est le ciel
Il est bien trop aisé de céder à son fiel.
Écoute, j'ai lutté, je sais que j'ai eu tort
De combattre le bien à coups d'épée dans l'or
Et de l'affrontement et de ces noirs duels
J'ai trouvé la réponse aux doutes éternels.
Je suis ici pour vivre, aimer, voguer, me perdre
Et si c'est sur ta peau, alors je dirai "merdre"
Oui, j'oserai me voir tel que je suis vraiment
Un homme intègre et fort, amant du firmament.
Si je vis aujourd'hui, c'est que la mort m'a pris
Toutes mes illusions, mes bonheurs, mes envies
Depuis mon plus jeune âge. Puis, un jour, on grandit
Et l'ombre qui pesait devient lumière inouïe.
Si je vis aujourd'hui, c'est parce que j'ai souffert
Des trous noirs infinis, des océans d'Enfer
Où je me suis appris. Sais-tu que de l'Éther
J'ai façonné ma vie et me suis rendu fier ?
Fier de vivre en ce monde et de vous côtoyer
Moi qui me sentais vide et me laissais couler
Dans des eaux de malheur, où je n'avais plus pied
Dans des visions d'horreur où j'étais fou à lier.
Tu sais, j'ai tant lutté pour placer le Soleil
Au fin fond de l'abîme aux nuitées sans sommeil
J'ai lancé mon grappin sur l'étoile et son centre
Et j'ai tiré si fort qu'elle a chu en mon ventre.
J'ai mangé les rayons, dévoré les éclats
En ai fait des millions, ai répandu leur voix
Et sans parcimonie, l'ai portée aussi loin
Que le pouvait mon corps : elle a fait son chemin.
Aujourd'hui, si je brille et chasse les mille ombres
Qui ont hanté mes nuits dans l'antre des décombres
C'est que j'ai survécu aux démons insatiables
Qui ont piqué ma peau de leurs tridents minables.
Si je m'ouvre à présent aux lueurs anodines
Qui caressent ma peau en brûlures bénignes
C'est que j'ai arpenté les chemins les plus noirs
Et les ai assortis des plus puissants bougeoirs.
Maintenant, j’en suis sûr, mon sentier de lumière
Saura guider mes pas vers d’ivres atmosphères
Et en veilleur du ciel, j’éteindrai les étoiles
Pour peindre dans la nuit mes oniriques toiles.
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chaize · 7 years ago
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Encore le tag des 11 !
Taguée 3 fois par @tael-la​ !
Je met toutes les questions en vrac :)
Pourquoi es-tu là ?
Il y a 4-5 ans je voyais quasi tous mes amis et blogs d internet virer sur tumblr. Du coup j’ai craqué et m’y suis inscrite.
Quel est ton juron préféré ?
Je dis souvent “putain”. Mais a entendre c’est les célèbres jurons “Vrout de merdre !” du père Ubu.
Aimes-tu la politesse ?
Oui, du moins le minimum à avoir dans la rue, envers les personnes qu’on ne connait pas. Respecter l’autre et sa zone de confort/inconfort
Et la galanterie ?
J’avoue ça me fait plaisir quand ça m’arrive. Mais quand c’est tout le temps, ça devient assez gênant pour moi, j’ai l’impression que l’on pense que je suis incapable de quoi que ce soit, alors que ce n’est que bonnes intentions.
Passes-tu de bonnes nuits ?
Je dors assez bien. Malgré mes insomnies et que je dorme peu.
Te rappelles-tu de tes rêves, bons et mauvais ?
Assez souvent oui, mais pas plus de deux jours sauf s’il m’a marqué.
As-tu des soucis avec la nourriture ?
Je suis assez chiante on va dire. Je ne supporte pas les légumes orange (oui oui), que ce soit les carottes, patates douces, courges je n’y arrive pas. Leurs odeurs me donnent envie de vomir. La carotte, j’y arrive uniquement si elle sert a une sauce, mais je ne la mangerai pas. Les autres légumes, ça dépend comment c’est cuisiné (ex: epinards que sous la forme de purée avec beaucoup de patates et un autre aliment, sous une autre forme j’ai du mal)
Et j’oublie de me nourrir aussi, car je n’ai pas forcément faim le soir :/
Comment est ton lit ?
Lit deux places. J’y accumule un bordel pas possible au bout et sur le coté de jours en jours.
Plutôt en avance, en retard ou à l'heure ?
En avance.
Ton expression favorite ?
Je n’y ai jamais réfléchis jusque la :’)
Quelque chose que tu aimerais apprendre ?
A jouer de l’accordéon. Mais c’est très cher, peu communs, peu de cours et je n’ai pas le temps pendant mes études.
Ton premier réflexe dans tu rencontres un problème ?
Ça fait très “error 404, try again” quelques secondes ou minutes. Puis je réflchis à d’éventuelles solutions.
Dis-tu la vérité, toute la vérité, seulement la vérité, sur Tumblr ?
Soit je la dis, soit je n’écris rien.
De quelle couleur est l'appareil que tu utilises (tel, ordi, etc.) ?
Ordi : écran et touches noir avec le socle du clavier gris. Telephone portable Gold.
As-tu Netflix ?
Non, mais j’aimerais bien (même si quasi tous les dessins animés que je veux regarder n’y sont pas :’C )
Y a-t-il des jouets de ton enfance que tu as encore, même si tu n'y joues pas ?
Les poupées Dorémi Magique et presque une cinquantaine de figurines hamtaro (pour un noel, mes parents avaient trouvé un lot d’une quarantaine de figurines hamtaro venant du japon, j’ai pu voir en avance des hamsters qui apparaissent dans le dessin animé plus tard que l’adaptation française)
Comment es-tu par rapport aux enfants ?
Je ne sais pas comment me comporter. Déja je fais HYPER ATTENTION a comment je parle et ne pas dire de “gros mots”. Je n’ai pas d’autorité du tout. Je ne sais pas comment les occuper (a part dessiner de les voir s’extasier, mais parfois ça ne dure pas longtemps). Pour faire simple, je ne suis pas DU TOUT maternelle.
Combien de couches sur ton corps pour dormir ?
Il me faut au minimum une culotte ou un bas de pyjama (ou les deux). après un t-shirt/haut de pyjama ou chemise de nuit par dessus.
La nuit, les volets sont ouverts, fermés, à moitié ?
Fermés en général. J’aime bien légèrement ouvert pour avoir un minimum de lumière pour m’orienter le matin.
Une citation que tu affectionnes particulièrement ?
Ce n’est pas une citation philosophique ou qui donne à réfléchir. Mais une qui vient de la pièce “Elle voit des nains partout” parce qu’a chaque fois je rigole.
“C’est intéressant ce que tu dis. Il y a de l”idée. Mais c’est pas la bonne.”
Donnes-tu des noms aux objets, aux plantes, etc. ?
Objets non (a part mon ordi que j’aime bien nommer “Lapsus”). Aux plantes oui,les peluches ce n’est pas très automatique.
Quelle est ta période historique préférée ?
J’aime beaucoup le moyen age (oui oui c’est vaste). Mais également la période Arts nouveaux. :)
 Pourquoi ?
Aucune idée. Il faut accepter qu’il y a des choses inexplicables.
 Personne à chapeaux, à sacs, ou à carnets ?
A carnets. Entre mes deux carnets de croquis perso, celui pour les cours, mon bullet journal, mon carnet de notes et astuces/règles de dessin, celui pour écrire, celui pour un projet de Visual Novel ou d’apprentissage du japonais. Ça commence à peser lourd dans mon sac. (et je trouve que j’ai trop de sacs alors qu’en vrai ça va)
Ton ambiance préférée ?
Automne-Hiver, froid (bonus neige), moi dans un fauteuil confortable, avec un chocolat chaud, un livre-film devant une cheminée où brule un feu.
Ton/tes guide/s ou modèle/s dans la vie ?
Il y a mon prof de dessin que j’ai eu sur mes 2 dernières années de lycée qui m’a beaucoup apporté.
Laetitia de la chaine Youtube “Le Corps, La Maison, L’Esprit”. Pour sa joie de vie, la prise de décision et son mode de vie minimaliste.
Un camarade de classe que je trouve hyper badass (fait du parcours, grimpe aux murs plats, sait tailler le cuir et forger, se fiche des préjugés et est comme il est)
La famille zéro dechet, qui en 2-3 ans de travail et d’erreurs a réussit a passer d’une poubelle de déchets à 1 bocal d’un litre de détritus non recyclables.
Solange te parle, j’aime toujours ses vidéos et le contenu qu’elle propose.
Ta réplique préférée ?
“A défaut de rester sur le carreau, tu resteras sous le carrelage !” CDZA episode 2 (je n’ai pas de grosses références intellectuelle haha)
Plutôt artiste ou sportif.ve ?
Artiste (etudiante en art bonjour). J’aimerai bien être plus sportive, ou faire au minimum 30 minutes d’étirements/échauffement par jour. (j’ai acheté un petit tapis de sol avant hier, je n’ai plus d’excuses une fois rentrée sur Nantes)
Quels sont les 3 anecdotes positives d’aujourd’hui pour toi ?
(a part ce qui va être en premier j’ai pas trop d’idées :/)
Avoir coché “option théâtre” dans le dossier d’adhésion au lycée. Depuis, moins timide, à l’aise pour les entretiens lors des concours, libération, amis et confiance en soi et en les autres.
Ne pas avoir épilé/rasé mes jambes depuis presque deux ans maintenant. Le regard des gens sur ma pilosité à cet endroit ne me gêne plus du tout :) (c’est pas encore ça au niveau des aisselles, je verrais dans 1 mois quand je mettrais de nouveau des t shirts ou débardeurs sans pulls/gilets par dessus)
M’être énormément renseignée sur la sexualité sous toutes ses formes vers mes 13 ans environs. Des mangas (pas forcément hentai), quelques pornos, les sites de sextoys, Wikipédia, les sites médicaux, etc... Cela m’a valu d’être surnommée Sekusu-sensei (Professeur sexe en français) par un de mes groupes d’amis, c’est toujours vers moi qu’ils me posent des questions :) (j’aime bien me sentir supérieur sur certains sujets hihi)
Si tu pouvais avoir la queue de n’importe quel animal, lequel ?
Je peux me transformer en sirene une fois dans l’eau ? (avec de quoi respirer t voir sous l’eau aussi)
Peux-tu inventer un exercice, y répondre toi-même, et te corriger ?
La comme ça non. Mais ça pourrait être intéressant.
Penses-tu que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt ?
Faisant des insomnies (et étant en vacance). Oui, ça te permet au moins d’avoir une demi journée pour travailler, l’autre pour sortir/voir des amis et le soir pour te reposer/penser à toi. La je rush et stress car j’ai un temps plus limiter pour avancer ne serait-ce que mes devoirs ou sur le plan personnel.
Si t’étais président.e tu voudrais faire quoi ?
Très utopique, et je ne m’y connais pas assez en politique/comment gerer des lois, ça risque d’être peu réalisable.
Déjà, que mon programme soit axé écologie, renouvelable, gestion des déchets. Mettre plus de budget dans l’éducation et la santé. Arrêter, ou au moins atténuer les conflits. Inciter au dialogue, partage, l’interaction et l’entraide au lieu de la concurrence. Accepter les différences, ne pas mettre des cases partout. Faire des stages obligatoires dans des métiers manuels/artisanat (travail du bois, pierre, pourquoi pas dans l’électricité et la mécanique) afin que chacun puisse avoir des bases pour se débrouiller.
Encore merci de m’avoir tagué :)
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merzbow-derek · 7 years ago
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POST-SCRIPTUM 903
PIERRE BASTIEN & MÉCANIUM, Musiques machinales (1993)
Parent des sculptures sonores et des machines musicales de Joe Jones et Frédéric Le Junter, l’orchestre mécanique de Pierre Bastien (son Mécanium comme il l’appelle) est peuplé d’automates générant des cycles mélodiques embryonnaires et des polyrythmies répétitives plus ou moins bancales, les unes jouées et les autres frappées sur des instruments souvent issus de traditions millénaires propres aux musiques ethniques – des percussions javanaises en bambou, un luth chinois ou un bendir marocain par exemple. Des poulies, des engrenages, des moteurs de pick-up usagés et des structures héritées des Meccano mettent en mouvement de faux doigts, des baguettes ou des archets – leur inventeur, véritable artisan-horloger des sons, préférant définitivement la bonne vieille mécanique aux technologies sophistiquées. De ce travail amorcé avec Nu Creative Methods (un duo qu’il formait avec Bernard Pruvost) nait une musique délicate et hypnotique aux allures de songe éveillé, sur laquelle Pierre Bastien improvise à la trompette, au trombone ou au violon. Profondément marqué par Don Cherry, l’Art Ensemble Of Chicago (Pierre Bastien reprend sur Musiques machinales leur « People In Sorrow ») et Bernard Vitet (notamment en raison des instruments construits par ce dernier pour Georges Aperghis), cet univers singulier possède un coté « oulipien » et pataphysique évident – Pierre Bastien a d’ailleurs participé à une compilation intitulée Ubu et la Merdre. Dans ce qu’il donne à entendre – c’est-a-dire son processus même de gestation, aussi sonore qu’un vieux 78 tours qui gratte – il y a quelque chose des inventions de Jules Verne, du piano-cocktail de Boris Vian dans L’Écume des jours, comme des merveilles décrites par Raymond Roussel dans Locus Solus. Depuis la première ébauche de Mécanium présentée en 1976 au cours d’une nuit de solos organisée par Jac Berrocal au Théâtre Mouffetard à Paris, Pierre Bastien n’a jamais cessé d’offrir à entendre et à voir ses trouvailles faites de bric et de broc, dignes du concours Lépine et a l’origine d’un folklore imaginaire sans équivalent. Le charme naturel et sans afféterie de ces disques, mais aussi des performances dont ils représentent l’écho, milite pour une certaine conscience artisanale de la fabrication du son. Soit une plongée dans les rouages de l’imaginaire et des cheminements hasardeux qu’emprunte l’inspiration.
( Bernard Vitet, par là )
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berendia · 4 years ago
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Le mot SOC est attesté pour la première fois dans le Roman de Rou, chronique versifiée dans laquelle le poète normand Wace relate non sans piquant les événements historiques de son temps en ajoutant des commentaires sur la vie et le caractère de ses personnages, des anecdotes…Néanmoins, au terme de son Roman de Rou, le poète nous indique que son souverain Henri II d’Angleterre (qui l’avait pourtant commissionné pour écrire cette hagiographie) n'est plus aussi généreux avec lui, et qu’il lui a retiré sa subvention. Ainsi, la revue LE SOC se présente comme un hommage à Wace et à tous les chroniqueurs punis pour avoir raconté leur temps sans concession. Elle vient aussi faire acte de reconnaissance envers ceux qui, comme Wace qui aurait introduit le mot SOC en français, ont contribué à enrichir la langue Le SOC est la pièce travaillante de la charrue. D’abord en bois puis en acier, de forme pointue, il s’élargit vers sa partie postérieure, qui pénètre profondément dans la terre et la fait glisser sur le versoir. Le SOC a sa part de violence, il creuse les sillons, façonne la terre...Mais s’il passe et repasse sur le sol, c’est aussi pour en faire un écrin de fertilité. La revue se propose de venir labourer les esprits en jachère, d’ouvrir de profonds sillons dans notre vision du monde et notre manière de l’exprimer, pour la retourner, l’ameublir et la préparer à la reverdie. Aujourd’hui, par fierté ou aveuglement on ne veut plus se salir les mains. Le rôle des pièces travaillantes s’est entièrement inversé, irremplaçables – elles sont devenues méprisables. Et nous voilà tous à désirer être l’heureux propriétaire d’une charrue, pour s’y reposer pénard, sûr de son pouvoir et de sa gloire, car la farce publicitaire nous garde bien du savoir que sans le labeur du SOC – elle n’est d’aucune utilité. Le SOC est le SOCLE. Certains diront que nous péchons là par orgueil, et pourtant. Cela n’a rien d’excessif que de considérer le SOC pour ce qu’il est : l’un des outils les plus indispensables pour cultiver la vie à même son terreau – le langage (verbal, visuel, plastique, émotif…). Labourer l’énormité devenue normalité pour renverser la norme, débagouler des plaisanteries massives à la face hypocrite des entrepreneurs de bonheur public et sortir de la terre sillonnée par le rire – l’étrange, l’insondable, le repoussant…Bref, frotter l’imagination à l’accident fantasmagorique, à l’abracadabrantesque aventure du SOC qui plonge dans la terre pour faire s’épanouir des cultures, des sensations célestes, des couleurs, des nourritures terrestres, sous la voûte de l’univers. Cette expérience doit avant tout se situer dans le Verbe et l’Image, les deux visages de la représentation du monde qu’il nous faut se réapproprier – en se réappropriant le SOC, c’est-à-dire les parties travaillantes de l’imagination, du langage, pour reprendre le contrôle de cette charrue brinquebalante qu’est notre monde. Nous cherchons ici à ouvrir l’espace verbal et pictural à ce que la langue peut avoir d’incisif, de mordant. Le sol est meuble – profitons-en. Retournons-le, et donnons l’opportunité au dominé de ne plus être étouffé sous la culture du dominant. Les métayers peuvent dire merdre aux bailleurs. Osons sarcler la bien-pensance. Ratiboisons. Ratiboisons. Ratiboisons. Car la jachère, ça rassure, ça réconforte, on se dit que c’est là, toujours prêt à être labouré pour quelques sous mais, soyons honnêtes (pour changer), ça contraint à nouveau à dépendre de celui-qui-voudra-bien-nous-laisser-disposer-de-sa-terre. Or, si l’on se saisissait du SOC et de la charrue, et que l’on y allait nous-mêmes, labourer la terre en jachère, l’ameublir, l’ensemencer, la fleurir, etc. etc. La recueillir nous-mêmes, avec nos mains et nos mains. Alors, on atteindrait quelque chose comme un des définitions impossibles de la liberté. Ou de l’absurde si, arrivé ici, vous ne comprenez plus ce pourquoi vous étiez venu. Peut-être qu’un récapitulatif en cinq points pourra vous remettre sur les rails
du délire : I. Tout Champ (entendons par là toute réalité enclose dans un système) appelle le SOC. II. Le SOC est un instrument mis en branle par l'énergie collective. Le labour du "bon sens" est l'affaire de tous car nous évoluons tous dans l'espace du même Champ. III. L’efficacité du SOC se juge à sa manière d’éprouver les limites : renverser, retourner, bouleverser, creuser au plus profond des apparences pour en remuer le fond. IV. Le SOC n’a aucune prétention à la création originale – il n’est l’outil que de la recréation (et de la récréation). Il propose l'apparition de la vie sous un jour frugal – mais pas amoindri. V. Le mouvement même de l’existence est là, dans le geste d’enfoncement du soc pour rejoindre cœur du sol – le fumier – l'origine même. Mais les résumés trop concis pour être honnêtes trompent et dévoient bien des élans. Le SOC est l’antagoniste des outils fixistes. Il vient essarter la tiédeur, débroussailler l’ordonnance conformiste et défricher la candeur du vouloir-c’est-pouvoir alors même que nous ne faisons l’expérience que de la froideur immuable d’un pouvoir-qui-veut. Vous voulez changer ça ? En vérité-je-vous-le-dit, la formule n’est pas compliquée : Labour, Foire & Beauté Voilà le monde que nous voulons cultiver ; mais comment voulez-vous y arriver en mettant la charrue avant le SOC, merdre !
Et un dernier conseil, mais je laisse un autre le donner (sait-on jamais, je ne veux pas être crucifié pour mes bÔnnes intentions moi) :
Le soc de la charrue n'est pas fait pour le compromis.
H.Michaux, Poteaux d’angle
Pour suivre les aventures rocambolesques de la revue LE SOC, ramène donc ton museau par là : https://lesoc.hotglue.me/
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unpeuchaquejour · 4 years ago
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Dimanche 08 novembre 2020.
Je trouve un portefeuille et un sac rempli de documents. Je regarde dans le portefeuille, il y a de l'argent que je partage avec mon père. On est dans des escalators comme aux halles. Dans le sac il y a plein de photos, des impressions grand format et un petit livret relié en spirale. C'est le mode d'emploi, l'accès à toutes les photos. Je trouve aussi un ticket d'achat. Il a été fait il y a peu. L'auteur des photos explique à une personne les liens entre les photos, les lieux, les périodes et le pourquoi de telle ou telle photo. La personne c'est celle qui à fait l'achat et il n'est pas daté de très tard. Je décide qu'il faut que je retrouve cette personne pour lui rendre les photos.
Au réveil je me dis qu'il faut que je classe les miennes, de photos, que je m'occupe de leur transmission, de leur vie quand je serai mort.
Dessin de expérience photo ratée d'hier. Journal au lit. T dort à coté. Puis on a parlé d'artiste raté. Il n'y a pas d'artiste raté selon lui. Il était étonné que je veuille être publié, connu, reconnu. Étonné aussi que pour moi un artiste qui dessine dans son coin soir un artiste raté. Je me considère comme un artiste raté car je n'ai pas encore été exposé (si, à Tokyo. Merdre) ou publié. Je dessine pour moi bien sur, mais aussi pour être vu et faire plaisir par mon dessin.Je dessine pour noter et garder des traces, mais le plaisir est immense quand tu es apprécié.
Sieste et tu vois la lumière changer. Ensuite temps gris et ciel bas.
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sklstrdsposts · 7 years ago
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dosE perdue dans la culotte de la mendigote parigote junk
La mendigote parigote junk
Camoufle sa cam
En partiE dans sa culotte
Et le gros du stock
Sous une 🏍 💩
Zut flûte poil de couilles de belles-Et-bûtes
On a souvent des trous dans sa culotte
Quand on est mendigote junk
La parigote mendigote junk
A par un trou de sa culotte
Hurluberlûment dosE perdue c fichu merdRe zut
La mendigote parigote junk
S’essouffle La cam
Partie de sa culotte ! Se clame malheureuse puis se ravise se ravigote Ouf que y’a encore s’i faut du stock
Planqué sous la 🏍 💩
La mendigote parigote junk
A l’âme
Qui sanglote
Tout son stock !
Qui a volé la 🏍 💩 ?
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panelun · 7 years ago
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Chapitre 3 : Le camp des roses
Le chapitre 3 commence le plus normalement du monde, quand Christian cherche dans toute la garnison son nouvel ami. Il finit par se rendre au château, auprès d’un camarade alité et reconnait la voix mélodieuse de blondin.
Mais le sentiment de gène, qu’il croyait définitivement éteint, reparut tout d’un coup.
Une sirène, vous dis-je, une sirène… 
Mais Christian qui est un homme, un vrai, refuse d’admettre de si tôt son homosexualité et se dépêche d’entrer dans la pièce pour retrouver blondin et le scout malade. Ce dernier est allongé sur une chaise longue mais Éric, lui, revêt une armure de chevalier.
Quand je parlais de chevalier servant dans mon premier post, je dois reconnaître que je ne m’attendais pas à ce qui va suivre :
Il paraissait si blond, si jeune, si frêle, sous cette gangue d’acier, que l’on pouvait s’empêcher de songer à l’un de ces pages du temps jadis, qui, maniant dès l’âge le plus tendre la lance et l’épée,…
Ce passage pourrait être tellement mal interprétée…
… savait si bien parler aux dames, et déclamer les contes appris des trouvères entre deux chevauchées…
Si tu vois ce que j’veux dire…
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Bref, blondin demande à bellâtre, ébaubi, de l’aider à se déshabiller, soi disant parce que c’est trop lourd. Je me demande comment il a pu la mettre tout seul si c’est le cas. M’est avis qu’il le chauffe encore. 
Toujours est-il qu’après cette simulation de pré-préliminaire, blondin, qui portait sa tenue de scout sous l’armure, est à nouveau sollicité par le scout au seuil de la mort.
Dis donc ! Tu deviens exigeant, toi ! Je dois me déguiser en noble chevalier, te chanter des romances…
Et il ne s’en cache même pas ! Sans doute pour rendre jaloux bellâtre… 
…et à peine délivré de ma carcasse, il faut m’atteler au piano ?
Notez la constance dans le champ lexical de l’équitation…
Bref, après avoir râlé pour la forme, il se met au piano et joue, évidement, magnifiquement bien, le tout en prenant un air mélancolique qui transporte Christian. 
Cette scène me rappelle d’ailleurs un autre gay célèbre.
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Avec lui au moins, c’était subtil…
Bellâtre lui demande qui lui a appris à jouer et blondin avoue à demi-mot qu’il s’agit de sa mère.
les pétales d’un rose effeuillée tombaient sur les touches d’ivoires…
On me murmure dans l’oreille que les roses roses sont, dans le langage des fleurs, symbole de beauté et de séduction.
D’ailleurs il y a des roses partout : près du camp, sous un christ… Ça met dans l’ambiance.
De retour au camp, un scouts du Lynx raconte avoir entendu un bruit et ils voient dans la nuit le scout alité faire un SOS en morse depuis sa tour. Ils se précipitent au château mais c’est une fausse alerte : il ne faisait que dire bonsoir. Les autres se gaussent et s’en retournent au camp.
Éric se sent à nouveau mal à la simple évocation de la dame blanche. Christian s’en étonne.
— C’est curieux que tu n’aimes pas les aventures !
— Hélas ! Je suis payé pour ça !
Le twist, mes amis : Le prince EST le gigolo. Pretty woman reversed ! Ce qui explique la scène de fétichisme en armure.
En tout cas Éric n’en dit pas plus pour cultiver le mystère. On nous explique que les garçons sont très proches, et que Christian est même le seul véritable ami d’Éric qui, par sa nature rêveuse et distraite, multiplie les bourdes tandis que son camarade prend sa défense. Christian lui est reconnaissant et fait tout pour lui faire “plaisir”. Ce que j’appelle une tentative de séduction à l’ancienne est interprétée très différemment par l’auteur :
Éric savait pouvoir compter sur Christian, auquel il s’attachait chaque jour davantage, et cette pensée le réconfortait. Il s’ingéniait à lui être agréable et chantait souvent pour son seul plaisir, essayant ainsi de lui faire comprendre combien il était sensible à sa fraternelle sollicitude.
“fraternelle solicitude”
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“No homo bro”
Le temps passe et un mois plus tard, c’est le banquet. Michel, Éric et Patrick font les courses. 
Christian, qui avait été dévolu à des travaux moins délicats, ruisselait de sueur et mouillait ce qu’il lui restait de chemise, en maniant la pelle et la pioche.
Parce que Christian est un homme un vrai, qui manie à la perfection le manche en suant de tout son corps sur sa chemise blanche comme le jardinier d’un film porno.
Je tiens à préciser que j’ai du interrompre ma lecture pour regarder la biographie de Serge Dalens, mais je n’ai trouvé aucune mention d’homosexualité refoulée.
Je suis très confuse…
Mais le soir du banquet, c’est le drame ! Éric fait tomber de la cire dans la crème ce qui la rend immangeable. Le garçon est désespéré. Christian approche et Éric lui explique tout l’affaire, non sans lui faire goûter. Certainement pour cette magnifique illustration où l’on remarque que blondin tient fermement le poignet de bellâtre et le nourrit lui-même à la cuillère…
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Il va falloir m’expliquer comment les catho arrive à trouver ce livre innocent parce que même quand j’avais sept ans je pensais que les fleurs de pistes étaient des romans coquins.
Mais Christian a une idée. Il prétend apporter la crème et se ramasse par terre en s’écorchant le genoux. La scène est tellement pathétique que tout le monde en rit et on oublie bien vite la crème étalée sur le sol et la chemise de Christian. Pierre Joubert a du longtemps hésiter à l’idée de représenter une illustration en noir et blanc d’un scout couvert de substance laiteuse.
À la fin de cette lecture, je veux qu’on m’efface la mémoire.
 Éric est gêné que son ami se fasse rabrouer à sa place et veut tout avouer, mais Christian se fâche :
Je te défends de dire un mot, tu entends, je te le défends ! Tu as promis de te taire, et si tu racontes quoi que ce soit, c’est fini entre nous !
J’ai manqué un passage ? Ils sont déjà ensemble ? C’est ce qui s’est passé pendant le 1 mois et demi d’ellipse ?
Mais le chef, qui défend dur comme fer la loi du don’t ask don’t tell, leur demande de se calmer  et les garçons se séparent. 
Un peu plus tard dans la soirée, Éric retrouve Christian et le remercie, mais Christian a évidement autre chose en tête et lui demande si c’est tout ce qu’il avait à lui dire. Après un silence gênant dans un décor nocturne romantique à souhait ( murmure du vent dans les arbres, rayon de lune qui drape d’or la route, ect.), tout part en cacahuète.
— Christian ? Tu m’as demandé… Je voudrais… Il faut que je t’avoue quelque chose…
Oh…
Les garçons se regardent bien en face, cette fois sans détourner la tête.
OOOOOOOOH…
Christian comprit que s’il ne l’empêchait pas, Éric allait tout lui confier. Ne voulant profiter d’un moment de faiblesse, il l’arrêta :
MAIS LAISSE LUI FAIRE SON COMING OUT BON DIEU DE MERDRE !
Christian demande donc à Éric de lui parler demain car sinon, il ne pourra pas dormir, mais Éric ne dort pas et se retourne toute la nuit, préoccupé sans doute par les sentiments qu’il éprouve pour Christian. Bien sûr, le lendemain, les garçons n’évoquent plus cette histoire. 
Et c’est la fin du chapitre 3.
Ah, et je viens de remarquer un symbole subliminal qui introduit le prologue du roman :
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Le seigneur me met à l’épreuve…
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