#dysmorphophobie
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fell-for-it · 2 years ago
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Heute ist wieder so ein Tag an dem ich in Spiegel schaue diese Person angucke und mir denke wer bist du ?
Gestern wurden Videos und Fotos von mir gemacht und ich erkenne mich einfach nicht wieder
Wieso sehe ich im Spiegel aus wie ein anderer Mensch?
Wer ist diese Person die mich da anstart auf den Fotos?
Wer bin ich ?
Wie sehe ich wirklich aus ?
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chifourmi · 11 months ago
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⚠️ TW : TCA, dysmorphophobie. On va parler de mon corps alors les gens sensibles à ce niveau là ne lisez pas svp ⚠️
Et svp les hommes ne commentez pas ce post même si vous voulez être bienveillants et respectueux 🫶🏻 Je voulais partager ma joie de me sentir bien dans mon corps pour celles qui peuvent l'entendre.
Depuis que je prends la pilule, j'ai grossi et j'adore mon corps. J'ai une plus grosse poitrine, elle reste petite mais elle est plus grosse qu'avant. J'ai un peu plus de ventre aussi. J'ai toujours détesté mon buste que je trouvais trop chétif. Ça ne me convenait pas parce que j'avais l'impression que mon buste ne "s'affirmait pas", je ne sais pas comment expliquer. Ce n'était pas vraiment un problème physique mais plutôt psychologique.
Quand je prenais du poids, je prenais tout dans les jambes, les fesses, les hanches. Là j'ai encore pris des hanches mais j'aime bien. J'accepte même mes hip dips. Je ne pensais pas pouvoir dire ça un jour.
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(24/02/2024)
Et je me rends compte que tous les corps sont beaux quand la personne se sent bien dedans. C'est trop beau d'assumer son corps.
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bibli0phile · 3 months ago
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Cette photo, Arms Embrace, fait partie du recueil photographique de Marna Clarke, photographe Américaine, dont le titre est Time As We Know It. Provoquée par un coup d'oeil dans le miroir, Clarke vise à capturer son propre vieillissement avec les photos. Selon Clarke, elle s'est déshabillée immédiatement et a commencé de se photographier, sans filtres et sans poses. D'après Clarke, sa photographie lui permet de « lâcher prise » de la dysmorphophobie qu'elle a subit pendant toute sa vie et ses craintes qu'elle étaient « trop grosse. » Incroyablement inspirée, elle a commencé de capturer non seulement des photos de son corps, mais les anecdotes et les moments quotidiens de la vie, ainsi que des photos de son conjoint, Igor (c'est lui qu'elle embrasse dans cette photo).
Peu après le début du projet photographique de Clarke, Igor a atteint un cancer et a pris la décision de refuser la chimiothérapie. Malheureusement, il est mort peu de temps après. Clarke a documenté ainsi ce processus douloureux du deuil. Le but de son recueil, initialement conçu pour illustrer son acceptation de sa taille, a changé : non seulement de documenter son propre vieillissement, mais de capturer les moments intimes et tout à fait quotidiens du couple, malgré le vieillissement et la maladie, et de vraiment mettre en illustration l'acceptation de son avenir inexorable, la mort.
Comme Clarke, Michel Rabagliati s'intéresse à la représentation visuelle de la maladie et la mort à travers des images intimes du quotidien. Il explore ce qui vient avec le vieillissement dans sa bande dessinée touchante Paul à Québec en dépeignant la maladie de Roman Beaulieu et son réaction, ainsi que celle de sa famille.
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e642 · 1 year ago
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Les troubles alimentaires
J'en ai souffert pendant longtemps. J'en souffre encore. En revenant chez mes parents, j'ai relu des vieux écrits et je suis tombée sur plein de mesures: ma masse, la circonférence de mes cuisses, ma taille, même mes bras. Et j'en ai conclu que ça avait commencé bien plus tôt. Au collège. Mais ça a été réellement significatif en terminale, où j'ai été sondée à 39kg. Puis j'ai pris 20kg avec les anxiolytiques, la contraception, les neuroleptiques ect. Que j'ai reperdu en première année de fac. Jusqu'à, à nouveau atteindre 40/41 kg. Puis j'ai stagné, en me privant volontairement puis après juste en mangeant mal, en ayant pas les moyens jusqu'en seconde année de fac. J'alternais beaucoup avec de l'hyperplagie. Mais je faisais pas mal de sport à côté. Puis en L3 j'ai essayé de moins faire attention, de me détacher de ça. J'ai repris quelques kilos, jusqu'à être à 45/46 en moyenne. Encore aujourd'hui. Même si maintenant, quand je rate un repas, c'est plus par flemme/manque d'appétit/problème d'argent que de la privation pure. Je garde des séquelles, des petites voix dans ma tête, des petites règles. Celle de ne plus dépasser 50kg. Celle de pas prendre de dessert. Celle de ne pas petit déjeuner. Celle de prendre le moins dans mon assiette quand je mange avec quelqu'un. Celle d'avoir toujours une inquiétude latente de me dire "je me pèse plus mais comment je sais que je fais pas plus de 50 kg ?, que j'ai pas grossi ?". Et le truc le plus frustrant c'est que la dysmorphophobie ne me quitte pas. À l'instant t je me vois toujours obèse. Énorme. Puis quand je revois les mêmes photos, des mois après, je me dis "en fait j'étais pas si grosse, ça allait, je préférais avant à maintenant". Alors que j'ai sans doute pas pris plus de 500g entre les deux. J'ai toujours eu du mal à me situer et à faire correspondre la masse ressentie, et la masse avérée par un instrument de mesure. Et je pense que ça restera toujours dans ma façon de faire, j'aime pas manger parce que c'est signe de problème, je ne sais pas manger correctement. J'ai jamais su. Soit c'est trop, soit c'est pas assez mais c'est jamais régulier. C'est sur que maintenant ça se voit plus physiquement, j'ai une masse normale, je suis ni mince, ni grosse, mais dans ma tête c'est toujours la guerre. Ya pas un repas simple, toujours mal au ventre à la fin d'un repas, souvent la nausée. Cette impression d'être lourde, que je vais éclater mes habits, que je vais finir par plus jamais perdre de poids et ne jamais réussir à avoir une relation saine avec la nourriture. Je dis plus rien maintenant, je mange quand il faut que je mange et je me plains pas, je fais genre que j'ai zéro problème alors que.. bah en vrai, si. Clairement, je suis pas à l'aise. Juste je suis passive, mais dans ma tête c'est pas clair
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psychopute · 1 year ago
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Archive n°5
" je sais que mes cuisses sont massives, désolée "MAIS PTDR CA VA PAS LA TETE PAUVRE FOLLE ???? J'étais complètement ravagée puréééééée
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terriblesecretdefamille · 2 months ago
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Aujourd'hui samedi 2 novembre 2024, je suis allé à ma deuxième réunion SIIA. Encore une fois c'était difficile d'y aller, mais c'était bien d'y aller. Le matin j'étais stressée et en y allant j'étais vraiment à fleur de peau. Et maintenant je me sens un peu validé.
Ce qui m'a marqué cette fois, c'est que déjà le lien était plus facile on se sentait plus proche plus vite. Mais il y avait quand même des moments awkward. Mais ça va. Moi j'ai dit que c'était mon anniversaire il y a deux jours et j'ai parlé du fait que seul ma mère m'a envoyé un message, et que j'ai ressenti un peu de colère au fait que mon frère fasse comme si je n'existais plus, et en même temps c'est un peu bizarre parce que je suis content d'avoir cette Espace, mais je n'ai pas demandé cette distance, j'ai un peu l'impression que la moindre des choses qu'il puisse faire ce serait s'assurer que je vais bien, après ce qu'il a fait, et en même temps c'est sans doute tellement mieux que j'ai de la distance avec ce monstre, et je parlais un peu de l'ambivalence de cette situation. Et ce qui a été super c'est que les deux personnes qui ont pris la parole juste après moi ont validé en s'adressant directement à moi (même si c'est interdit) en me disant que c'est normal d'avoir un rapport compliqué à l'intimité et aux relations fraternelles quand on a vécu l'inceste, c'est normal d'être fâché de se sentir abandonné, c'est normal. Et ben ça m'a fait un bien fou.
Aussi on était pas mal à ramener la problématique de dynamique de pouvoir, d'intimité, d'addiction que ce soit au sexe à la drogue à la dépendance affective.
Et enfin je dirais que ce qui m'a le plus marqué c'est un truc avec lequel je lutte mais que je ne m'avoue pas souvent souvent que je lutte, c'est la question de la légitimité. Toutes les personnes sans exception ont partagé ne pas se sentir légitime d'avoir vécu l'inceste alors que clairement c'est le cas. Tout le monde a dit pourquoi pourquoi je suis comme ça. Tout le monde a hoché la tête quand j à parler de dysmorphophobie et de pas savoir à quoi elle ressemble et d'être étonné quand les gens la reconnaissent parce que elle m'aime ne sait pas à quoi elle ressemble. J'ai Struggle avec ça toute ma vie et c'était hyper libérateur d'entendre ça de la bouche de personnes, et qui font un lien direct avec l'inceste. Life changing. Et moi aussi souvent je me dis mais en fait est-ce que c'était vraiment de l'inceste, est-ce que je suis légitime à en parler avec ce nom-là, est-ce que je m'inventerai pas des trucs, alors que mes souvenirs sont très net et que la violence de mon frère et bien réel et que les conséquences de ses comportements sur moi sont réelles. Du coup c'était validant, inattendu, un soulagement.
C'est moi qui modère la prochaine, je suis un peu stressé, un peu excité, un peu content.
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theoriedelesthetique · 4 months ago
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𝐡 𝐢 𝐬 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Daehyun, bien plus souvent appelé Dae, voit le jour à Séoul. Il est le deuxième enfant de la famille Han, enfant du milieu, donc, avec un grand frère, Kirby, et une petite sœur qui naît alors qu’il a huit ans. Daehyun est très proche de son frère - tout du moins, il pense l’être. Ça n’est pas exactement la vision des choses qu’a Kirby. Kirby trouve Daehyun pénible, collant, une véritable plaie. Parce que Kirby, lui, attire les regards partout où il passe, et ce depuis qu’il est enfant. Tout le monde veut être son ami, tout le monde veut être invité à son goûter d’anniversaire. Mais pour l’anniversaire de Daehyun, ça se bouscule beaucoup moins. Daehyun est moins beau, moins intelligent, moins gentil, moins intéressant. Alors, forcément, Daehyun commence à intégrer ce discours. Plus introverti que son frère, ça ne s’arrange pas en grandissant : Daehyun considère comme un modèle, quelqu’un qu’il envie, en tout point. Et surtout, Daehyun voudrait que Kirby le laisse entrer dans sa bulle. Déjà enfant, il est celui qui tire constamment sur la main de son grand frère, pour attirer son attention, récoltant simplement des regards froids. 
Mais le favoritisme, il n’est pas qu’à l’école. Les propres parents des garçons sont davantage préoccupés par la réussite de Kirby que par les états d’âme de Daehyun. Alors, rapidement, Daehyun apprend à faire passer ses besoins après ceux de son frère. Il veut aller à la librairie? Il doit attendre que Kirby rentre de son après-midi avec ses copains. Il a besoin de faire signer un papier pour l’école? Plus tard, parce que Kirby a un match. Alors, pour essayer d’exister dans le même univers que lui, Daehyun essaye de suivre les traces de son frère. Le sport, l’attitude… tout y passe. Mais ça n’est pas Daehyun. Lui qui est déjà franchement introverti voit encore moins les choses s’arranger quand il vit une poussée de croissance assez soudaine. C’est la dysmorphophobie qui prend le dessus, parce qu’il ne reconnaît plus son corps, n’est plus à l’aise avec ce dernier, qui est trop grand, trop étiré.
Au lycée, Daehyun finit par intégrer l’équipe de basket, plus ou moins sur ordre de Kirby. Mais le garçon est de toute façon incapable de dire non à son frère. Et Dieu qu’il déteste le basket. Il n’est pas foutu de se servir de ses dix doigts correctement, il est médiocre tout au plus, et il déteste courir pour rien. Mais c’est avec le sourire qu’il se retrouve sur le terrain. Parce que pour la première fois, il a l’impression de pouvoir partager un moment avec son frère. Il a l’impression que ça lui fait plaisir - et s’ensuivent deux ans où Kirby ne cesse de crier sur Daehyun, qui n’est pas assez bien, pas assez bon, un frère dont il a honte. Et Daehyun encaisse, en souriant. Parce que s’il sourit, s’il ne laisse pas les choses l’atteindre, alors tout va bien. Tout va bien aussi, quand sous la rumeur qu’un membre de l’équipe est homosexuel. Kirby et ses amis s’en prennent ouvertement à un innocent. Daehyun est profondément traumatisé : il connaissait le peu de tolérance de son frère, mais de le voir passer à tabac un membre de l’équipe, sous prétexte de son homosexualité. Ça lui retourne l’estomac. C’est probablement parce qu’il sait très bien que ça aurait pu être lui.
Alors Daehyun ne dit rien. Comme d’habitude.
Il ne dit rien, non plus, quand il arrive à l’université. Daehyun a passé trop de temps à cultiver son sentiment d’infériorité. Sa culpabilité. Il a passé trop de temps à chercher à être son frère, puis à ne plus l’être, et il ne sait plus qui il est maintenant. Toujours incapable de briller par lui-même, toujours dans l’ombre de Kirby, c’est ce dernier qui, une nouvelle fois, le force encore à rejoindre l’équipe de basketball. Et puis, l’accident. Il est en voiture, avec son frère, Camille, la capitaine des cheerleaders, et une amie de Kirby, Nari, membre de l’équipe de natation. Ils sont ivres, tous, et Kirby prétend pouvoir conduire - sauf que non, de toute évidence, parce qu’une autre voiture s’enfonce dans la leur, côté passager. Ils vont tous bien, sauf Nari, qui perd tout. Kirby interdit dès lors à son frère de reparler à Nari, maintenant qu’elle est une paria, et une nouvelle fois, c’est la culpabilité qui dévore Daehyun. Comme d’habitude, il est soumis aux demandes de Kirby. Il sait que le peu de vie sociale qu’il a, il la doit principalement à son frère - après tout, c’est la seule raison pour laquelle on lui parle. 
Tout le monde, sauf Byeol. Il est en première année quand il fait sa rencontre, tandis qu’elle est en besoin désespéré d’un colocataire. Byeol est à la fois une mère, une grande sœur, et une meilleure amie pour le garçon, s’occupant plus de lui que ne l’ont jamais fait ses propres parents. Mais ce que Byeol ne sera jamais c’est une copine. Il essaye un soir, ivre, de lui dire qu’il l’aime. Elle lui sourit juste, parce qu’elle sait que non.
Et elle a putain de raison, parce que Daehyun ne sait pas exactement lutter contre son attirance pour les garçons, même s’il sait que ça lui vaudra des problèmes avec Kirby et ses parents. Et c’est putain de problématique, parce qu’il y a Haoyu. Daehyun ne sait même pas s’il est attiré par les garçons, il ne sait même pas si le brun sait qu’il existe, mais il préfère ne pas se faire de faux espoirs, en fuyant systématiquement les vestiaires quand Haoyu s’y trouve. Mais rien ne fait disparaître son crush - quand il parle d’Haoyu à Byeol, elle voit bien qu’il a des cœurs dans les yeux. Et quand la jeune femme lui dit d’aller se confesser, Daehyun fait ce qui lui paraît le plus intelligent : il s’inscrit sur une application de rencontre, parfaitement anonyme, pour enfouir ses sentiments. Il ne s’attend pas, évidemment, à tomber sous le charme d’un parfait inconnu, dont il ne connaît toujours pas l’identité. 
La culpabilité revient, parce que Daehyun est pris entre ses sentiments grandissants pour l’inconnu, et son coup de cœur pour Haoyu qui ne veut pas s’en aller. Si seulement Daehyun savait que ces deux identités n’étaient en réalité qu’une seule personne.
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𝐡 𝐢 𝐬 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Daehyun trouve un vrai plaisir dans sa communication avec Haoyu, même si cette dernière est souvent très embarrassante pour lui, parce que Daehyun ne sait pas ne pas se taper la honte. Il s’amuse donc, tous les jours, à envoyer un selfie extrêmement rapproché à Haoyu en guise de bonjour.
⁕ Daehyun n’est pas du genre à savoir gérer son stress correctement : soit il tresse les cheveux de Byeol en cas de grosses crises de nerfs, ou il joue avec la multitude de bagues qu’il porte toujours. Par ailleurs, plus jeune, sa mère lui répétait toujours qu’on pouvait l’entendre arriver à des kilomètres, avec tout le bruit que ses bijoux font.
⁕ Daehyun est en études de linguistique, mais il sait que son avenir dans le domaine est compromis, parce qu’il s’investit beaucoup trop dans le basket pour faire plaisir à Kirby, et délaisse alors ses études. C’est dommage, parce que ça le passionnait, à l’origine.
⁕ Daehyun n’a pas tellement eu le choix que d’intégrer l’équipe universitaire de basketball puisque Kirby exige sa présence, sûrement pour l’humilier continuellement. Après son expérience au lycée, cela dit, il admet qu’il s’en serait bien passé. Pour parfaire l’humiliation, Daehyun est remplaçant au poste de pivot, le poste de Kirby, donc il ne joue pratiquement jamais. Il préférait largement assister au poste de manager de l’équipe, mais Kirby s’y est toujours refusé. Après la chute de Kirby, Daehyun choisira de quitter l’équipe, en sachant pertinemment qu’il n’allait pas tellement manquer.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, non seulement Daehyun est grand, mais il est aussi sacrément bâti - c’est juste dommage qu’il ait deux mains gauches, et qu’il ne sache rien faire de ses dix doigts. Normalement brun, il est blond depuis son entrée à l’université, et de toute évidence, Byeol ne le laisse plus changer de couleur. De toute l’équipe de basketball, c’est lui qui a la vision la plus désastreuse, et même si pour les matchs, il porte des lentilles, il doit toujours avoir ses lunettes pour éviter les migraines. Il n’a qu’un seul tatouage en commun avec Byeol - il refuse d’en faire d'autres, parce qu’il est terrifié de la douleur. Complexé par son corps, Daehyun a tendance à se tenir plus recroquevillé qu’il ne le devrait, quitte à fracasser sa posture, pour se donner l’impression de prendre moins de place.
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Daehyun est plutôt généreux et se considère comme très ouvert d’esprit. Les autres, eux, le considèrent comme quelqu’un de particulièrement protecteur. Daehyun est terriblement maladroit, et même s’il essaye d’être plutôt discret, il est très observateur, et surtout très honnête. Dans le fond, Daehyun est aussi quelqu’un d’assez jaloux et envieux, et naturellement anxieux. A cause de sa faible estime de lui-même, il est assez collant avec ses proches, surcompensant avec ses proches. 
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lemodelepose · 1 year ago
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Détache-toi des interprétations graphiques de ton corps.
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Non, tu ne ressembles pas à "ça" !
Oui. Je sais. C'est tentant de regarder les productions des personnes qui ont dessiné, peint, sculpté ou encré ton image. Mais voilà. Attends-toi à ce que ton visage et ton corps soient déformés, distendus, vieillis, rajeunis, amaigris, grossis... 🥳 BONNE NOUVELLE 🥳 Cette image, cette sculpture : ce ne sera pas toi. 👉 Ce n'est pas la réalité. Frida Kahlo disait '' je peins ma propre réalité ''. Dis-toi que ça vaut pour tous les artistes, quel que soit leur niveau.
LES DÉBUTANTS, CES KILLERS Sans compter les débutants, qui, en plus d'explorer et de s'approprier de nouveaux médiums, sont en train d'apprendre les règles de la perspective, des ombres, de l'anatomie. Et comme cela peut prendre très longtemps, c'est certain : leurs premières œuvres ne ressembleront à rien. Et c'est normal.
UNE ESTIME ET UNE IMAGE DE SOI CHATOUILLÉES Et il suffit de poser dans un moment où tu te sens déjà pas très fresh pour que la vision de ces œuvres te foutent un putaing de coup au MORAL. Ça peut même mener à la dysmorphophobie, j'y reviendrai dans un prochain post. Dans ta tête, ça va être : '' b0rdel, je ressemble vraiment à ça, moi ? '' 😦 NON. Juste non. Calme-toi. Ce n'est pas toi, ça. Vraiment.
Tu croyais quoi ? Que tout le monde savait dessiner et faire des glowup de dingue ? 👉 HEEE NON.
COMMENT FAIRE POUR ÉVITER LA PLS ? ☝️ Se détacher. c'est du papier, de l'encre ou de la terre. Ce n'est pas toi. CE N'EST PAS TOI. ☝️En rire. se dire '' je vais mettre ça dans mon caviar des pires dessins/modelages de moi''. ☝️ Être indulgent avec les artistes, surtout les débutants. Ne jamais se moquer. Bon ok dans ta tête tu as le droit de penser ce que tu veux.
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Tu veux poser ou accueillir un modèle, mais tu ne sais pas comment faire ? 👉 Pas de panique, Kelly, alias @lemodelepose est là pour tout t'expliquer !
Je t'invite à parcourir les autres posts découvrir les bonnes pratiques à adopter en atelier de modèle vivant et autres tutos pour les gens désirant se lancer dans cette activité.
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stampzt · 1 year ago
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"Illusions": la dysmorphophobie dans l’univers de la mode
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lhirondelle · 2 years ago
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"L'image de soi". Le 17 avril 2023
L'image de soi...
L'image de moi ?
Celle que je vois dans le miroir ?
Je pourrais dire qu'aujourd'hui c'est plus apaisé, ce que je vois correspond environ à ce que je ressens de mon corps. Je le vis, dans une forme de douceur, déjà parce que je ne porte plus de vêtements qui me serrent. Je ne porte exclusivement que des vêtements dans lesquels je me sens souple et confortable. Ça peut donner une notion de style et de mode un peu alternative mais, ma foi, c'est un sacrifice bien faible par rapport au bénéfice que j'en retire.
L'image du miroir, celle d'hier, celles des années précédentes, a été bien différente. Les troubles du comportement alimentaire se tiraient la bourre avec une dysmorphophobie bien ancrée et m'ont menés la vie dure. Je me souviens écrire dans mon carnet lorsque j'avais environ 22 ans : « si jamais j'avais un jour un.e ennemie, je n'oserais même pas lui souhaiter d'être boulimique ».
Les TCA, comme on dit, car on aime les acronymes, ont commencé d'habiter ma vie à la fin du collège, après la mort de Malibu, ma ponette, épicentre de ma vie et centre de gravité de mon existence, et le déménagement de ma meilleure et seule amie. Cela a commencé par une forme de rigidité qu'on pourrait qualifier d'orthorexie : une obsession des aliments sains.
L'année suivante, en seconde, mon corps a commencé de changer suite à une puberté tardive et il a été très difficile pour moi de ne plus rentrer dans mon jean gris Le temps des cerises taille 34 (enfin, qu'il me serre un peu, pour être précise). J'ai donc commencé de vivre des phases d'anorexie restrictive, où je notais dans un carnet « je dois manger le moins possible, je dois manger le moins possible, je dois manger le moins possible ». Le matin : un thé, un kiwi, une ou deux tartines. Le midi, au self du lycée, jamais de dessert, une salade, un plat chaud avec seulement des légumes, pas de fromage, et une pomme que je gardais pour l'après-midi. Le problème, c'est que mon corps affamé a rué dans les brancards et, à 18h, en rentrant chez mes parents, j'étais affamée et je me jetais sur la nourriture, en cachette. Je suis devenue boulimique. Passer de 48kg à 50kg a été un enfer. Puis 56kg : je me voyais énorme, monstrueuse. Je me détestais, et le mot est faible. Je haïssais mon corps. Je suis petit à petit tombée dans une boulimie vomitive avec phases d'hyperphagie.
Ensuite, j'ai fait mon premier burn-out autistique, en première, qui s'est soldé par plusieurs hospitalisations en terminale, à ma demande (je savais que je pouvais me tuer et je ne voulais pas faire de peine à mes parents). La dernière hospitalisation a eu lieu à la clinique R., service de pédopsychiatrie R.. Là, on m'a sédatée et neuroleptisée à un degré inimaginable. Le psychiatre, Dr S., avec sa petite chemise bleue, pour qui je voue un mépris éternel, avait une orientation bien psychanalytique dans laquelle, évidemment, l'autisme n'existait pas. Sur le compte-rendu d'hospitalisation reçu récemment et relu avec la Dr G. (merci à elle), il note une vraie amélioration de mon comportement suite à l'introduction du traitement. Alors, oui, je n'avais plus de crises de décharge, certes, mais j'étais un zombie, j'avais des montées de lait et me réveillais avec le t-shirt trempé le matin, des triglycérides et du cholestérol. Et j'ai pris 15kg. Pour une jeune femme dont le rapport au corps est déjà extrêmement compliqué, ça a été très dur.
Les TCA m'ont suivie jusqu'à mes 24 ans, année d'une libération progressive que je n'ai pas encore bien comprise.
Il m'est arrivé par la suite de « replonger », d'avoir de nouveaux de grosses phases de fixation sur la nourriture, de me faire vomir, d'avoir la sensation d'avoir un corps obèse alors qu'il était à peine en surpoids.
Cependant, aujourd'hui, je fais petit à petit la paix. Je ne dis pas que c'est gagné, j'ai encore du mal à apprécier réellement mon apparence, cependant cela va beaucoup mieux depuis que je me suis coupé les cheveux. Je me sens beaucoup plus au clair dans mon identité de punk queer, et, face au miroir, je me vois, telle que je suis, et j'aime bien.
Je vous le dis comme ça, c'est assez fou, c'est comme un petit secret : j'ai vu mon grand-père samedi et, dimanche matin, alors que je me réveillais avec une migraine de l'espace (je crois que j'ai trop serré des dents pendant la nuit), on a toqué à ma porte : mes parents. Je les ai accueilli avec un : « nan mais vous êtes sérieux ? ». Ça fait des mois qu'on ne s'est pas vu-es et que je ne le souhaitais absolument pas.
Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'iels n'étaient pas invité-es. Mais je les ai fait entrer et leur ai offert un café. Le sujet sera trop long à aborder mais, juste, iels m'ont dit que cette coupe m'allait bien , qu'elle me ressemblait. Mon papi m'a dit la même chose. Pourtant, c'est elleux qui m'ont martelé les injonctions à la normalité à laquelle je ne parvenais à adhérer. Et depuis l'annonce du diagnostic, iels se renseignent, reconstruisent nos vécus, et, je crois, me comprennent, petit à petit. Mes parents m'ont présenté leurs excuses pour ne pas avoir compris, ne pas avoir su reconnaître mes difficultés et m'en avoir mis plein la face alors que j'étais au plus bas.
Ça mettra du temps, et un jour je sais que je pardonnerai.
Et ce grand pas-là, c'est l'image de moi du dedans : le miroir de l'intérieur. Celui qui ne renvoie que du brouillard et du désordre, parce que je me trouvais trop nulle, à force d'avoir été invalidée, je me trouvais incapable à force d'échecs répétés, et je me trouvais indigne d'intérêt et d'amour, parce que ma famille n'avait pas réussi à m'aimer telle que j'étais. Iels auraient aimé que je sois différente, et mon papi a eu le courage et la sincérité de me dire que, oui, il y a eu du jugement et de l'incompréhension et, oui, ce n'est pas que de ma tête que j'ai été le canard boiteux de la famille.
Aujourd'hui, ces choses sont dites et je sens que pas à pas je me reconstruirai. J'avais besoin que ma famille me demande pardon. J'avais besoin qu'on commence de réparer ces blessures profondes.
Alors, peut-être que l'image de moi sera un jour rien d'autre qu'un reflet, ni plus ni moins que celui que j'ai quand je perçois un-e ami-e que j'aime.
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thinskinned-xxi · 3 years ago
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„once you have acne, you will always have acne.“ (cassandra bankson)
- this is so true. i feel like acne will haunt me for the rest of my life, even though i don‘t suffer from it anymore. i still see it when i look in the mirror. people tell me, they don‘t see anything, but i do. i see my entire face covered in redness, scars and breakouts. and although i‘m so scared of my own appearance, i constantly have to look in every damn mirror or reflecting surface to check the condition of my skin. i can‘t make plans with anyone, since i‘m terrified of my skin looking particularly bad that day. i can‘t eat what i want, because i‘m worried about certain foods causing acne. i can’t talk to people, because i don’t want anyone to look at my face. even my dreams are consumed by my skin and as soon as i wake up in the morning, i feel my anxiety starting. and when i do get bad skin days, i have to close the curtains so that i don‘t have to be confronted with my face in bright daylight, i’m not able to do anything besides crying and i get so depressed that i truly would rather be dead than to keep on living with my face.
i live in my own illusion that holds me captive and i’m trapped in a prison that is my body.
this is not worthy of being called a life anymore. this is hell on earth.
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ladyofdarkness19 · 3 years ago
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Schönheit liegt im Auge des Betrachters sagt man so schön. Die Betrachter in meiner Kindheit waren meine Eltern, für meinen Vater war ich wunderschön aber meine Mutter hatte schon immer was an mir auszusetzen. Es fängt an mit der Friseur die ich als 4 jährige trage die ihr nicht passt oder die "hässlichen" Klamotten die mein Vater mir gekauft hat. Die "hässliche" Brille die ich seit meinem 5 Lebensjahr tragen muss. Gerade meine Brille war ein riesen Problem, meine Mutter hasste es das ich sie trug und im Kindergarten lachten mich alle Kinder aus. Ich war nie in Sicherheit und wurde so oft wegen meines äußeren ausgeschlossen das ich es nicht mehr zählen kann. In der Schule ging es weiter, ich denke jeder dort hatte etwas über mich auszusetzen. Das Mobbing begann, schleichend aber es wurde von Jahr zu Jahr schlimmer. Ich wurde älter und fühlte mich immer hässlicher, also plante ich irgendwann mein Aussehen komplett zu verändern. Ich schloss mich der schwarzen Szene an und dachte das ich mich so endlich akzeptieren würde und somit auch die anderen. Nur leider ist unsere Welt ein furchtbarer Ort, und so wurde das Mobbing aufgrund meines Styles immer schlimmer. Sie nannten mich "Emo Hure", "Hässlichstes Mädchen der Schule" oder "tötet es bevor es Eier legt", wie oft ich diese Worte hörte..
Es hat sich in meinen Kopf eingebrannt, alle diese Wörter und Sätze sind heute noch in meinem Kopf gespeichert und schreien mich an. Manchmal ist es besser, dann flüstern die Stimmen nur, doch selbst dieses flüstern bringt mich um den Verstand. Manchmal ist es mir egal und ich gehe sogar ungeschminkt aus dem Haus, doch dann kommen wieder die Blicke der anderen Menschen. Es reicht ein kleiner flüchtiger Blick das ich zerbreche und mich verstecken möchte. Ich kann mich nicht lieben, auch nach 10 Jahren Therapie habe ich es nicht geschafft mich wirklich zu lieben. Eine lange Zeit habe ich es jetzt geschafft mich und meinen Körper zu akzeptieren, ihn zu pflegen und meinen Körper gut zu behandeln. Doch zur Zeit fühle ich mich wieder nur noch hässlich und verunstaltet. Am liebsten würde ich mir die Haut vom Gesicht kratzen und eine neue haut drüberziehen um endlich auch Mal schön zu sein. Und nicht nur mein Gesicht, auch meinen Körper würde ich so gerne verändern, ein größerer Po, vielleicht auch ein bisschen größere brüste. Nicht soviele rasier Pickel an den Beinen, dickere arme und endlich lange Haare. Es sind soviele Dinge die mich stören und die ich gerne ändern würde und trotzdem hoffe ich immer wieder das ich mich irgendwann lieben kann. Doch wann wird das sein ? Und vorallem wie kann ich das schaffen wenn ich mich so hässlich fühle. Wie kann ich die Blicke der Menschen ertragen ohne sie auf mein Äußeres zurück zuführen? Ist das überhaupt möglich für mich ? Soviele Fragen die meinen Kopf Löchern, doch am Ende stehe ich wieder vorm Spiegel und könnte kotzen. Also ziehe ich wieder meine weiten Klamotten an und trage mein Make Up wie eine Kriegsbemalung auf um den Kampf gegen mich selbst aufs neue zu beginnen.
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selbstzerstoerun9 · 3 years ago
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Dysmorphophobie
Affected people feel ugly or even disfigured, although objectively they have no noticeable blemishes
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mamiechips · 3 years ago
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Ophelia's still drifting in my mind
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maximilien-minsk · 4 years ago
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Satyrus Pan "Promenons-nous dans les bois..." #cultur_isthme #pan #satyr #mythology #culturisme#muscle #daz3d #dazstudio #bodybuildingaddict #adonis_complex #dysmorphophobie #madewithdaz https://www.instagram.com/p/CLKpVxzFE8o/?igshid=1jo2rnq8f1ypd
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lillahejdo · 5 years ago
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Dimanche 26 avril 2020
Bon, journée pas vraiment super aujourd'hui. J'ai pas arrêté de penser a quel point j'étais grosse et moche? Pourquoi maintenant ? A cause d'un vêtement ? Pourquoi? A cause d'une fille d'une série. Voilà c'est toujours la même chose. Faut que je perde du poids. J'ai pas le temps de faire de l'exercice en dehors de mes périodes de stage et quand j'ai le temps j'en ai pas envie. Du coup il me reste toujours la même solution de moins manger. Mais j'ai pas l'impression de manger si mal!! 😭 Si vous voulez bien, a partir de maintenant je posterai une photo de mes repas et vous me direz ce que vous en pensez ok? Mais honnêtement hein! J'ai déjà sauté le goûter, et demain pas de petit dej vu que je commence un stage j'aurais pas le temps avant de partir. Du coup je reviens ce soir pour le repas!
Voilà donc le repas de ce soir !
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Avec en plus un bout de pain et de fromage (jamais j'aurais dû en acheter...) Et un yaourt au fruit voilà. Ce sera également a peu près mon repas de demain midi. Ah oui et un carré de chocolat aussi, comme tous les soirs..
Bonne soirée à vous! 😘
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