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Les conséquences fiscales d’un divorce par consentement mutuel sur l’impôt sur le revenu
Les conséquences fiscales d’un divorce par consentement mutuel sur l’impôt sur le revenu
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Histoire du droit des obligations : Cours complet et explication claire et concise pour tous les notions et chapitres du cours
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Harrow et Viren : analyse
Viren, depuis sa résurrection en saison 4, est mis en parallèle avec Harrow.
"Beaucoup de temps a passé. Le royaume est prospère. Mes garçons grandissent sereinement. Nous vivons en paix. Il vaut mieux peut-être se concentrer sur le bonheur que nous avons" (Harrow).
"Toute ma vie, j'ai couru après ce que je n'avais pas. Maintenant que je suis ici et qu'il ne me reste que trente jours à vivre, ai-je vraiment envie de passer ce temps à poursuivre cette quête ? Peut-être est-il temps pour moi de profiter de ce que j'ai, un mois entier avec ma fille. D'accepter que je suis simplement qui je suis. Et quand le moment sera venu, je serai en paix, et il sera temps de me laisser partir." (Viren)
Tous deux réévaluent leurs vies, remettent en question les crimes qu'ils ont laissé dans leur sillage. Ils ont le sentiment d'avoir échappé à la justice. Leurs proches les encouragent à continuer de vivre, bien sûr, mais ils en sont venus à la conclusion que si leur vie a laissé une telle traînée de sang, la prolonger ne ferait qu'en répandre encore davantage.
Qu'à ce stade, la seule chose juste qu'ils pouvaient faire pour le monde, c'était de le quitter.
Pour leur proches, qui se sont décarcassés pour eux, ce revirement est incompréhensible et même... franchement ingrat. "Vous -vous faites preuve d'obstination et... d'ingratitude !"/"Non. Non, papa, tu -tu n'as pas le droit. C'est moi qui t'ai sauvé ! Tu me dois la vie ! Il faut que tu restes !"
Pour citer Guenièvre, "vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j'avais moi-même fait couler."
Surtout qu'Harrow et Viren sont tous deux incapables de formuler leur point de vue plus clairement que "Non, évidemment, vous ne comprenez pas. Veuillez me laisser" et "je dois trouver le chemin de la vérité et de la liberté."
Regardez-moi ça. Deux rois pris dans des vendettas de lignage, poussés par leurs âmes damnées à prolonger une existence dont ils ne veulent plus, même au prix de deux être créés pour être des sacrifices : un soldat, payé pour ça (contrairement au Haut Mage, hein Harrow), et... cet homonculus.
D'ailleurs, tous deux renoncent ainsi à la magie noire en, comme le dit Harrow, "appelant un chat un chat" pour la première fois; et non plus "une solution créative pour régler ça" comme dit Viren.
Et tout comme Harrow avait écrit une lettre à son fils Callum pour le libérer des torts de la génération précédente, Viren tente de faire la même chose.
A Callum, Harrow a tenté d'expliquer que le passé, que l'on doit cependant chercher à comprendre, ne devrait pas définir l'avenir; que sa mort doit clôturer le cycle de vengeance qu'il a initié par l'assassinat du Titan et pour lequel il assume toute la responsabilité; et que ses fils doivent assurer une nouvelle ère de paix.
Il ne s'est cependant pas avisé de nommer officiellement un régent (Viren, Amaya ou Opélie), ce qui oblige le pauvre Ezran à assumer un rôle pour lequel, à huit ans, il n'est évidemment absolument pas préparé, et met du même coup son royaume dans le caca.
A Soren, Viren fait moins de belles phrases. Il est très litéral. Il veut que Soren le juge, mais qu'il ait pour cela tous les éléments nécessaires; que Soren comprenne pourquoi il a commis toutes ces erreurs. Viren dit à Soren que toute la souffrance qu'il a ressentie n'a jamais été de sa faute, mais de la sienne à lui (c'est là qu'on regrette que le français n'ait pas de système de cas/déclinaisons).
C'est Viren et Viren seul qui a choisi de devenir un monstre en violentant Kppar puis Lissa, provoquant ainsi son départ, puis en le faisant payer à Soren tout au long de son enfance. La lettre avait pour but de libérer Soren de toute culpabilité. Parce que, quand tu te fais battre froid par ton père pendant toute ton enfance, tu te dis confusément que c'est de ta faute. Et de toutes façons, c'est bien connu, tous les enfants d'un divorce pensent que c'est de leur faute.
Le problème, c'est que lire la vérité pourrait tout aussi bien faire sentir Soren encore plus mal. Parce que cette lettre confirme que c'est bien pour le sauver lui que Viren a détruit la famille, même si c'était un choix que Viren a fait. Si on se fie à Puzzle House, Soren se souvient qu'il était malade, que son grand-père a disparu, que son père l'a sauvé et que sa mère est partie, mais il n'a jamais pu faire le rapprochement entre tous ces événements.
Cette lettre veut dire que le simple fait que Soren soit vivant a bel et bien été la première fissure qui a fini par faire s'écrouler toute la maison.
Viren a donc choisi de brûler la lettre, espérant épargner à son fils un tel fardeau.
Les morts de Viren et d'Harrow ont toutes les deux quelque chose du suicide, et pas seulement par les lettres qu'ils laissent derrière eux.
Vous vous souvenez de mon post comparant leurs actes à la citation de Kaamelott ? "Qu'est-ce que c'est quelqu'un qui souffre et qui fait couler son sang par terre pour que tout le monde soit coupable ? Tous les suicidés sont le Christ. Toutes les baignoires sont le Graal."
En résumé, j'essayais d'expliquer que leur masochisme faisait aussi souffrir les autres.
Harrow prétend se considérer comme un serviteur, et il est certainement sincère. Il est humble et a un grand sens de l'honneur, n'hésitant pas à défier certaines traditions -en partageant son portrait officiel avec Viren, et à mettre en jeu sa propre vie. Mais quand, par exemple, il ne trouve rien de mieux à faire que de priver son peuple de nourriture simplement pour honorer une promesse, ça fait doucement rigoler. Lui-même, assez hors-sol pour ne pas connaître l'état de son royaume, n'aura certainement pas à voir sa propre famille mourir de faim. Mais il semble considérer qu'en sacrifiant le royaume, c'est lui-même qu'il sacrifie. Et lors de sa mort héroïque, qu'en se sacrifiant, il sauvera le royaume au lieu de le plonger dans le chaos.
Viren, très probablement en partie à cause de ses origines sociales qu'on ne cesse de lui rappeler (et d'une enfance pas très marrante, vu que le mec s'insulte devant le miroir jusqu'à craquer en pleurs et dévalorise sans cesse son fils) est hanté par le sentiment d'être inférieur aux autres. D'être inutile. Il a un besoin maladif de gratitude. Dans l'espoir de compter, de compter à leurs yeux, il a passé des années à s'auto-détruire par la magie noire, à se mettre constamment en danger, à se ruiner la santé, à payer les pots cassés du roi, puis à laisser Aaravos exploiter son corps de façon de plus en plus abjecte, bref, à ne se voir que comme un moyen en vue d'une fin.
Ce sentiment n'est d'ailleurs pas sans fondement : non seulement le roi est effectivement assez incompétent pour n'avoir pas la moindre idée de l'état des ressources de son royaume, mais en plus, là où n'importe quel épéiste arborerait avec fierté les cicatrices de son art, Viren est forcé de dissimuler son visage tuméfié -c'est même en partie la raison pour laquelle sa femme l'a quitté.
Le problème, c'est qu'il a cru que ça lui donnait le droit d'instrumentaliser les autres : sa femme, Sarai, Harrow, les princes, Soren, et quelques milliers d'autres, j'en oublie sûrement. Que puisque sacrifier les autres lui était difficile, cela faisait de lui le héros.
Viren souffre (comme Lancelot dans Kaamelott, ainsi parla Sy Play qui a inspiré genre 99% de la présente analyse) d'un énorme syndrome du sauveur : ne pouvant exister que par la gratitude des autres, il se met à prendre en charge tous leurs problèmes, même si on ne lui a rien demandé, et quitte à en crééer d'autres au passage. Comme il est compétent, vif, pragmatique, réaliste et ingénieux, et littéralement magique, il finit par se rendre absolument indispensable. Personne d'autre que lui ne pouvait sauver deux royaumes d'une famine. D'autant plus Sarai, l'épouse d'Harrow, s'est sacrifiée pour le sauver parce qu'il était un mage. Cette culpabilité du survivant peut avoir aggravé ce problème.
Sa mentalité, qu'il a résumée en un "ressaisis-toi, bon sang," à un Terry traumatisé, a aussi probablement joué un rôle dans la dégradation de sa relation avec Harrow. Après la mort de Sarai, Viren a probablement pensé qu'il devait être le pillier inamovible et inébranlable sur lequel Harrow devait pouvoir se reposer. Que s'il montrait le moindre doute, la moindre faiblesse, Harrow, et avec lui, le royaume, s'effondrerait. Alors que si Viren avait été moins constipé, Harrow se serait sans doute senti moins seul, et aurait été moins susceptible de mettre fin à ses jours comme il l'a fait.
Viren est le cerveau du coeur. Il fournit un garde-fou à Harrow, dont le sens de la justice l'aveugle. Harrow a, après tout, bel et bien choisi le Bandeau dans son rêve, bandeau qui devrait le pousser à imaginer un système visant à protéger tout le monde de la même façon. Un idéal, irréaliste et inconsidéré. Viren est plutôt la Balance, à mon avis : il compare les coûts de ses actions aux conséquences positives qui en découleront.
Là, il est temps que je parle du Triangle dramatique, théorisé par le psychiatre Stephen Karpman dans son article Fairy Tales and script drama analysis. Il applique d'abord ce schéma aux contes de fées : Le Joueur de Flûte de Hamelin sauve les villageois, victimes des rats qui les persécutent; mais au lieu de le remercier, les villageois lui jettent des pierres et le bannissent sans payer leur d��; ce qui pousse le joueur de flûte à se venger, devenant persécuteur, en faisant disparaître tous les enfants du village.
Mais ce Triangle, comme Karpman l'explique, est aussi un jeu psychologique inconscient, un schéma relationnel typique entre victime, persécuteur et sauveur qui ne peut être appliqué à une situation d'urgence. Il n'est pas nécessaire que les trois instances du triangle soient présentes, mais il suffit souvent à une personne de jouer le jeu pour que les autres embrayent. Stephen Karpman ajoute que plus les rôles s'inversent au cours d'une seule scène, plus elle est intense en émotions et en conflit.
La victime est isolée, passive et est incapable de prendre des décisions pour résoudre ses problèmes. Le persécuteur la rabaisse, minimise ses souffrances et se moque d'elle en espérant la faire réagir. Le sauveur prend sa défense, se sent obligé de résoudre les problèmes de la victime à sa place même si elle ne lui a rien demandé, ce qui est très valorisant pour lui mais maintient la victime dans un état de dépendance.
Le problème, vous le sentez venir, c'est qu'au fil des années, Harrow est devenu complètement dépendant de Viren pour mettre ses trop grandes idées en pratique, et donc des crimes "nécessaires" que Viren alignait comme des perles sur un collier. Non seulement c'est sale, mais c'est en plus infantilisant. Viren agit constemment en sauveur, ce qui place Harrow dans un rôle de victime, peu habitué à remettre en cause les décisions de Viren même quand il se trompe.
Harrow n'en pouvait plus.
Il a eu tellement assez de sa dépendance à l'égard de Viren qu'il en a conclu que la seule façon de s'en débarrasser, c'était de mourir.
Harrow aurait pu se cacher avec les princes, ou virer toute sa garde et assumer seul les conséquences de ses actes, mais il juste a saisi l'occasion de vendre chèrement sa peau et de mourir en héros. J'irais même jusqu'à dire que pour Harrow, sa propre mort servait trois objectifs :
Retrouver Sarai sans qui sa vie n'a plus de sens
Recevoir enfin son juste châtiment et mettre fin à son propre sentiment de culpabilité ainsi qu'au cycle de vengeance
Faire en sorte que Viren se sente enfin coupable de quelque chose, fut-ce son suicide.
Bref, d'enfin reprendre le contrôle en plaçant Viren dans un rôle de victime, tout en devenant le persécuteur.
Viren, tout au long de la saison 1 et 2, payant les pots cassés d'Harrow et voyant inconsciemment une occasion de prouver sa valeur, a tenté de se placer en sauveur des royaumes humains faisant alors face à une situation de crise : il s'est retrouvé rejeté, complètement isolé, condamné à mort pour trahison et en totale incapacité de résoudre ses problèmes. Bref, une victime. Et qui c'est qui le "sauve" ?
Aaravos, en se présentant comme le "serviteur" de Viren, flatte son ego et lui désigne des persécuteurs à blâmer. Cependant, Viren n'est pas un imbécile : il est conscient d'être manipulé. Il sait qu'Aaravos lui dissimule délibérément de nombreuses informations. Mais il s'y jette de son plein gré. Il est au pied du mur : pour ce qu'il en sait, il n'a fait que prendre une série de décisions inévitables, qui lui ont fermé portes après portes, le plongeant de plus en plus dans les ténèbres. Jusqu'à ce que le couteau devienne la frontière entre deux mondes, le sépare de l'unique source de lumière, blafarde, venant de "pire que la mort" : Aaravos.
Oui, c'est fait pour avoir toutes les allures du suicide.
Viren (croyant bien faire) a tiré le pire d'Harrow, tout comme Aaravos (voulant foutre la merde) a tiré le pire de Viren.
Autrement dit, comme pour Harrow, la seule façon pour Viren de se débarasser de son âme damnée, c'était de mourir.
Et quant à la troisième mort de Viren dans la sixième saison, héroïque s'il en est (sur le balcon même où il a regardé son poignet dans la saison 2), ce n'est pas non plus un hasard s'il répète les derniers mots que lui a addressés Harrow afin de l'humilier : "Je suis un serviteur."
Ce terme porte une ambivalence : la noblesse de l'abnégation et l'humiliation de la soumission.
Harrow avait beau se considérer lui-même comme un serviteur du royaume et promouvoir l'égalité dans ses réformes et ses symboles, il en a fini par en avoir marre. Il sacrifie certes sa propre vie pour mettre fin au cycle de la vengeance, mais comme il ne se donne absolument pas la peine de préparer sa succession, ne serait-ce qu'en s'assurant que les princes sont en sécurité, le résultat une catastrophe. Il consacre également les dernières minutes de son existence à se montrer d'une cruauté parfaitement injustifiée envers Viren. Cependant, lors de sa seule interaction avec son héritier de la série qui ne soit pas une analepse, Harrow ne dit rien d'alarmant à Ezran. Harrow se prépare à enfin affronter la justice, il se prépare à mourir et fait tout pour qu'Ezran ait, pour dernier souvenir de son père, une conversation anodine. Afin d'éviter qu'Ezran croie qu'il l'a abandonné. Il est trop tard pour lui, mais il veut que ses enfants écrivent une nouvelle histoire, où les conflits millénaires laissent enfin place à la paix.
Viren, blessé qu'Harrow le rabaisse plus bas que terre, prenne son abnégation pour de l'arrogance et le laisse encore une fois payer les pots cassés de ses décisions, a fait de ce terme la justification pour ses crimes... confondant, dans ses bonnes intentions, "servir le peuple" et "se servir du peuple". Viren était tout à fait prêt à se sacrifier pour sauver Harrow dans la saison 1, mais Harrow, décidé à reprendre le contrôle, ne l'a même pas écouté; et Viren s'est immédiatement rétracté quand Harrow a refusé de le reconnaître en égal. Bien qu'on ne peut plus sincère, le sacrifice de sa vie a alors été rejeté par le scénario car fait sans humilité.
(ou alors, Harrow a immédiatement compris ce que Viren comptait faire et l'a pourri pour l'en dissuader)
Aujourd'hui, Viren, hanté par la vision du sang d'Harrow par terre, choisit donc de se sacrifier, sauvant ainsi la population de Katolis face au feu des dragons, de se sacrifier lui seul et personne d'autre; mais honni, haï et incompris. Le portrait officiel de lui et d'Harrow, symbolisant ses nobles actions et le bien qu'ils ont pu faire, a brûlé dans l'incendie du château. Aux yeux de l'histoire, Viren restera le traître. Le Méchant Conseiller, le Jafar, le Richard III, le Iago, le Scar.
Personne ne verra son sang qu'il fait couler sur le sol de la chambre d'Harrow.
"En tant que roi", dit Harrow, "j'ai essayé d'être altruiste. Mais en tant que père, j'ai un souhait très égoïste." Et il est mort de façon égoïste.
Viren a passé sa vie à être égoiste sans même le savoir. Pour la première fois, il est altruiste. Il meurt non en habits de cour mais en haillons, non en héros porté aux nues mais en traître. Soren ne saura jamais ce qu'il a fait pour lui enfant, il ne veut pas que sa mort le hante.
Servants of the realm indeed.
Pour conclure, une citation de Kaamelott :
"Je pars pas sans bandages ! Si on croise un gamin, j'veux pas qu'il tombe dessus. Je suis le Roi Arthur. Jamais je perds courage. Je suis un exemple pour les enfants."
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"Pour la chevalerie, les bases de cette race sont un ensemble de normes spécifiques agissant comme autant de forces psychiques et psychologiques qui "obligent", créent une tension interne et donnent forme, parfois sur le plan somatique, a un type humain particulier, le chevalier, lequel, par leur activation au sein d'une "voie", cesse d'être un individu indifférencié pour devenir une personne différenciée par ses qualités, sa nature propre et une série d'attributs s’articulant en fonction de la nature de la "voie" et de ses choix personnels. Ces forces sont l'honneur, la fidélité – la fides - le courage, l’abnégation, l'amour du combat, valeurs relevant d'un ethos héroïco-viril païens, auxquelles l'Eglise ajouta la pitié, le désir de paix, l'amour du prochain, la protection d’autrui, la charité, etc., idées envers lesquelles le chevalier n'offrait bien souvent qu'une obéissance formelle. Joint à un mode de vie profane commun à tous les chevaliers, tout cela créa un "style" se caractérisant par des rapports clairs et ouverts d'homme à homme, l'affirmation d'une personnalité active allant jusqu'au sacrifice de ses intérêts et de sa vie de façon anonyme, le goût de la hiérarchisation et des rapports de commandement/obéissance, le tout s'organisant dans un ordre organique tissé de multiples liens réciproques s'articulant verticalement. Ces spécificités, admirablement mises en forme au Moyen Age, sont d’ailleurs celles de toute "société d’hommes" à quoi se résume, in fine, la chevalerie. Ce "style" généra divers comportements qui, par exemple, faisaient mettre en parallèle la claire conscience d'une nette supériorité sur les non-chevaliers envers lesquels les chevaliers admettaient avoir des droits et des devoirs, et un amour farouche pour la distance aristocratique, le rejet de toute familiarité, même envers les autres chevaliers pourtant perçus comme des égaux. Ce "style", maintenu par une tension psychique permanente, la peur de "mal faire", de faillir ou de déchoir – principes que l’on retrouve dans le Japon des samuraï -, implique un comportement psychologique bien particulier face aux aléas de la vie. Le plus caractéristique est celui représenté par cette alternance qui faisait passer le chevalier d'un enthousiasme total à un abattement complet. Cette attitude se vérifie surtout lors des combats : enthousiastes avant l'engagement, les menant à se ruer impétueusement et sans ordre sur l'ennemi, les chevaliers, s’ils perdent la bataille, tombent dans une complète désespérance pour laisser place, en peu de temps, à un nouvel enthousiasme, et ainsi de suite. Cette alternance agissait en fait comme une catharsis permettant d'épurer et d’équilibrer le psychisme de l'homme afin de lui permettre de suivre de manière cohérente la "voie" choisie."
Bernard Marillier, B.A.-BA Chevalerie, 1998.
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«Etes-vous devenus complètement fous?» : à l’aube d’une escalade majeure du conflit, Poutine fait passer des messages aux Occidentaux
En marge du forum de Saint-Petersbourg, le président russe a organisé une discussion avec les agences de presse internationales, espérant faire entendre la position de Moscou au delà de l'épais brouillard de propagande. Les points clés:
Sur les discours alarmistes des Occidentaux quant à un attaque russe contre l’OTAN:
«Qui a inventé cette connerie ? Ce serait absurde s'il n'y avait pas derrière l'idée de tromper leur propre population.»
«A quoi cela sert-il vraiment ? A maintenir leur propre position impériale.»
Sur les causes du conflit:
«Personne en Occident ne veut se rappeler comment cette tragédie a commencé. Cela a commencé par un coup d’Etat en Ukraine.»
«Pourquoi [la France et l'Allemagne] ont-ils négligé leurs obligations de garants des accords entre l’opposition et le gouvernement en vigueur à l’époque ?»
«Ils sont donc responsables de ce qui s'est passé. A égalité avec les forces américaines qui ont provoqué la prise du pouvoir par des moyens anticonstitutionnels.»
Sur les intentions de Washington:
«Personne aux Etats-Unis ne s'intéresse à l'Ukraine, ils s'intéressent à la grandeur des Etats-Unis, qui ne se battent pas pour l'Ukraine ni pour le peuple ukrainien, mais pour sa grandeur et son leadership dans le monde.»
Sur les frappes en territoire russe avec des armes occidentales:
«Alors pourquoi n'avons-nous pas le droit fournir nos armes de la même classe aux régions du monde où des frappes seront menées sur des cibles sensibles?»
Sur l'utilisation de l'arme nucléaire:
«Si les actions de quelqu'un menacent notre souveraineté et notre intégrité territoriale, nous considérons qu'il est possible d'utiliser tous les moyens à notre disposition.»
«Vous ne pouvez pas prendre cela à la légère.»
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Du coup j'ai enfin tout compris sur mes droits en tant que jeune diplômée et en fait bahhh j'en ai pas mdr. Les étudiants diplômés en juin peuvent encore avoir un job étudiant jusqu'au 30 septembre donc encore 3 mois après l'obtention de leur diplôme, tandis que les étudiants diplômés à la suite d'une seconde sess peuvent aller se faire foutre, ils perdent ce droit dès qu'ils reçoivent leurs résultats.
Actuellement si je veux gagner de l'argent, je suis obligée de commencer un vrai métier en CDD ou CDI. Y a pas d'autres possibilités avec des petites formations ou quoi, comme j'avais cru comprendre.
Et aussi, j'ai perdu mon droit aux allocations familiales dès le lendemain de mon dernier examen. Tandis que les étudiants diplômés en juin y ont encore droit 2 mois après l'obtention de leur diplôme mdr. Du coup aujourd'hui je me suis inscrite au Forem pour de nouveau avoir les allocations familiales. J'ai donc un statut de demandeuse d'emploi mdr?? Je vais avoir un accompagnateur qui va me faire des propositions de jobs alors que je ne veux même pas et que j'attends juste septembre pour commencer mon Master. C'est vraiment n'importe quoi cette vie. Et le pire c'est que j'ai des obligations, genre passer les entretiens qu'on me propose, montrer que je cherche un emploi, etc, sinon on peut me retirer les allocs ✌🏻
Morale de l'histoire : t'es baisé si tu réussi pas tous tes cours du premier coup donc t'as intérêt à être studieux.
(02/02/2024)
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Pleurotes et moisissures
Sous l'Ancien Régime, la Toussaint était synonyme pour les gens de justice de repos, de même que la veille, et beaucoup de ses collègues célébraient leurs noces le 30 octobre, le 31 et la Toussaint étaient réservés au jeûn et à la pénitence. Charles-Henri se souvenait que la journée de la Toussaint, après la messe, était presque toujours célébrée d'une récolte de pleurotes, envahissant leurs bouleaux à Brie en automne. Ces champignons à texture de boeuf étaient grillés le jour même. Avec la Révolution, ce n'était plus vraiment le cas. Les jours saints étaient retirés, et le Parlement dissous. Maintenant, il était occupé au tribunal, en trains d'estimer le nombre de future condamnés qu'il aurait à décapiter. Le métier de bourreau exigeait de lui d'assister aux procès, non pas par obligation légale, mais pour pouvoir prendre en avance les mesures nécessaires au bon déroulé des exécutions. En rentrant chez lui, il se rendit immédiatement dans son laboratoire/pharmacie/bureau pour faire ses prières puis après prendre un bref repos. Il allait reposer sa tête, quand soudain…Il apperçue, ce qui ressemblait à une fillette nue aux longues boucles noires, ternes et duveteuses comme la fourrure d'un chat. "Jeune fille…Que faites-vous ici ?" Elle se leva sans la moindre pudeur. Il lui remarqua un teint de porcelaine cendrée avec des yeux très cernés, puis qu'elle n'était pas parfaitement nue, mais qu'elle n'avait qu'un petit pagne de tissus des plus rudes passant directement entre ses jambes. Son apparence n'était pas pleinement humaine…Bien que ses cheveux soient volumineux, ils ne cachaient pas entièrement ses oreilles pointues tant elles étaient larges et son ossature était anormalement gracile et ses grands yeux avaient des iris assez grandes et d'un bleu lavende. Bien que Charles-Henri savait qu'un tel regard était indécent, mais il jeta un coup d'oeil sous son corps. Les jambes étaient entièrement glabre, avec des fesses et des cuisses cadavériques, et l'avant de celle-ci striées d'eccymoses fraîches qui arrivait jusqu'à une ligne trançant les limites des tendons des genous, tracée au charbon et qui commençait à se délaver. Visiblement, elle était habituée à une discipline ferme. Son expression était proche de la panique, et elle s'était recorquevillée dans un coin de la pièce, se faisant aussi petite que possible. "Vous vous êtes enfuie d'une correction ?" demanda-t-il en se penchant à son niveau. Il répéta sa phrase en yéniche, en anglais et en latin, sans être davantage compris. Après un moment d'hésitation, il fit pour eux deux une tasse de tisane de sorbier. "Désolé, mais je ne peux rien vous offrir de plus efficaces pour les bleus. J'ai perdu le droit de fabriquer de l'axonge humaine." Elle attendit qu'il boive la première gorgée (et ils partageaient une théière), soit par politesse, soit par crainte d'être droguée. Elle s'assis en position du W pour la consommer.
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Liste des condamnés et mises en examen dans la macronie:
Laetitia Avia - ex députée et porte parole LREM condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour harcèlement moral.
Anne-Christine Lang - ex députée condamnée à 3 ans d’inéligibilité et 60 000€ d’amende pour détournement de fonds publics.
François Pupponi - condamné à 5000 euros d’amende et 29 000 euros de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux.
Alain Griset - ex ministre délégué condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine
Sira Sylla - ex députée LREM condamnée pour harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos.
Jacques Krabal - ex député LREM condamné pour travail dissimulé et harcèlement moral de son ancien directeur de cabinet.
Pierre Cabaré - ex député LREM condamné pour licenciement sans cause réelle et sérieuse d’un collaborateur. Egalement poursuivi pour harcèlement sexuel et moral et agression sexuel par sa suppléante et assistante parlementaire.
Sandrine Josso - condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne de l’élection municipale dans les temps. Également poursuivi pour abus de confiance pour avoir demandé à son assistante de lui prêter 10 000 euros en contractant un crédit à la consommation qu’elle ne veut pas rembourser.
Benoit Simian - condamné à huit mois de prison avec sursis pour harcèlement moral sur son ex conjointe. Également poursuivi pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.
Jean-Paul Delevoye - condamné à 4 mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique.
Stéphanie Kerbarh - condamnée pour un licenciement sans cause réelle et sérieuse de son assistant.
Alexandre Benalla - condamné à 3 ans de prison, dont 1 an ferme pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel.
Vincent Crase - gendarme réserviste salarié du parti LREM, condamné à 2 ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, interdiction de port d’arme de 10 ans et confiscation de celles qui détient pour « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris.
Jérôme Peyrat - condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis.
Stéphane Trompille - conseiller de Macron condamné pour « harcèlement sexuel » envers une ex-collaboratrice.
Mustapha Laabid - député LREM condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance.
Claire O’Petit - députée LREM condamnée pour des fautes de gestion.
François Bayrou et Sylvie Goulard - poursuivis pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.
Alexis Kohler - mis en examen pour prise illégale d’interêts.
Thierry Solère - mis en examen pour « détournement de fonds publics », « trafic d’influence passif » dans le but de faire « obtenir des marchés » à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »
Éric Dupond-Moretti - mis en examen pour « prise illégale d’intérêts »
Alexandre Nardella - mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ».
Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».
Richard Ferrand - mis en examen pour prise illégale d’intérêts.
(Liste partielle .....)
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Accompagner quelqu'un voter à droite (par obligation) c'est une sacré épreuve psychologique. Toi t'es là, tu es une meuf, et le gars vote pour un parti contre l'IVG mdrr (et si c'était que ça..). C'est une dinguerie n'empêche
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"Vers un bouleversement, mais à petits pas. L’Arcom, l’autorité de régulation de l’audiovisuel, a rendu publique le 18 juillet sa délibération concernant le respect du « pluralisme des courants de pensée et d’opinion ». Désormais, au lieu de contrôler seulement le temps de parole des responsables politiques à la radio et à la télé, afin de s’assurer que les divers courants politiques y ont droit à la parole de manière équitable, le gendarme de l’audiovisuel prendra en compte l’ensemble des participant·es aux programmes.
Objectif : lutter contre l’installation sur les antennes d’un déséquilibre « manifeste et durable » dérogeant aux principes du pluralisme politique, au sens large. Mais sans renouveler fondamentalement la manière dont l’Arcom opère. [...]
« Une évolution importante », qui était attendue depuis le 13 février dernier, date à laquelle le Conseil d’État, plus haute juridiction administrative, a demandé à l’Arcom de mieux veiller au respect du pluralisme par les médias qu’il contrôle en général, et par CNews en particulier.
Saisi par Reporters sans frontières (RSF) en 2021, qui lui demandait de mettre en demeure la chaîne d’information de Vincent Bolloré pour manquement à ses obligations relatives à l’honnêteté, à l’indépendance et au pluralisme de l’information, le gendarme de l’audiovisuel avait refusé. Début 2023, Roch-Olivier Maistre [président de l'ARCOM] avait même assuré que « CNews respecte strictement le pluralisme politique ».
Le Conseil d’État, pas franchement du même avis, avait donné raison sur presque toute la ligne à RSF, estimant pour la première fois que le respect du pluralisme devait tenir compte de « l’ensemble des participants aux programmes diffusés, y compris les chroniqueurs, animateurs et invités ». À charge pour l’Arcom de trouver, dans les six mois suivant la décision, le moyen de s’assurer du contrôle de cette obligation renforcée. [...]
Roch-Olivier Maistre et ses troupes traqueront désormais, a-t-il indiqué, le « déséquilibre évident ou, pour employer une expression à la mode, systémique, structurel, qui saute aux yeux ». Pour retenir leur attention, il faudra que ce déséquilibre soit aussi durable : il sera scruté sur une durée de trois mois pour les chaînes et radios classiques, et sur un mois pour les chaînes d’info en continu.
Pour se faire son avis, le régulateur s’appuiera sur « un faisceau d’indices » : la diversité des intervenant·es sur les plateaux, la diversité des thématiques faisant l’objet d’émissions, et la pluralité des points de vue exprimés sur chaque thème. « Est-ce qu’on est monocolore, monothématique, mono-intervenant ? », a traduit Roch-Olivier Maistre. [...]
Comme aujourd’hui, le gendarme de l’audiovisuel attendra la plupart du temps d’être saisi par des signalements pour se pencher sur un cas. Son attention se portera principalement sur les émissions d’information et « sur les programmes qui concourent à l’information », comme les débats et autres tablées d’éditorialistes, mais aussi les émissions d’infotainment.
Pas de grande surprise
[...] À vrai dire, on ne voit que les médias de Bolloré pour être gênés par les changements annoncés. Le recours de 2021 de RSF s’appuyait en particulier sur une étude de François Jost, sémiologue et professeur émérite à l’université Sorbonne-Nouvelle, qui avait démontré qu’en une semaine sur CNews, « les invités de droite et d’extrême droite [représentaient] plus des trois quarts des présences en plateau (78 %) ».
Précisément, sur le papier, la chaîne ne franchissait pas la ligne parce que, parmi les fers de lance de l’ultraconservatisme qu’elle promouvait, les journalistes étaient plus nombreux que les représentant·es de parti, et échappaient donc aux décomptes. L’Arcom va bientôt répondre une seconde fois à RSF, sur la base du nouveau cadre qu’elle vient de fixer.
La chaîne d’info a donc du souci à se faire. Tout comme sa petite sœur C8, théâtre des outrances de Cyril Hanouna, de plus en plus droitières au fil des mois, et Europe 1, la radio absorbée en 2020 par Vincent Bolloré, et qui n’a désormais plus rien à envier aux autres médias du groupe en termes de tonalité.
Rappelons que dès l’annonce de la dissolution par Emmanuel Macron, Sophie Davant a été éjectée d’Europe 1 pour faire de la place à Cyril Hanouna, qui a, trois semaines durant dans sa quotidienne d’une heure trente, fustigé l’alliance des partis de gauche et déroulé le tapis rouge aux candidat·es d’extrême droite.
[...]
À elles deux, C8 et CNews ont essuyé depuis 2012 plus de 45 sanctions de l’Arcom et de son ancêtre le CSA, pour un total de 7,5 millions d’euros d’amende (dont plus de 7 millions pour C8). Sans effet aucun sur leur manière de traiter l’actualité et de favoriser les thèmes et les prises de position chères à l’extrême droite.
Et jamais l’Arcom n’est allée jusqu’à prononcer les sanctions les plus sévères que lui autorise la loi, comme la suspension d’une émission ou, en dernier recours, le retrait de l’autorisation d’émettre à la chaîne dans son ensemble.
Avant la fin juillet, l’Arcom devra néanmoins faire un choix décisif, en réattribuant ou non à Bolloré les fréquences des ses deux chaînes controversées. L’autorité doit en effet trancher sur le renouvellement de l’attribution des fréquences des quinze chaînes de la TNT. Les auditions dans ce cadre, qui se sont achevées le 17 juillet, n’ont pas montré que les lieutenants de Bolloré avaient l’intention de changer quoi que ce soit à leurs méthodes.
Quelle que soit sa décision, l’Arcom a d’ores et déjà du pain sur la planche pour appliquer les nouvelles règles, car elles s’appliquent rétroactivement à compter du 13 février dernier, date à laquelle le Conseil d’État a rendu sa décision. Nul doute que l’autorité de régulation aura matière à se pencher de nouveau régulièrement sur les outrances des médias Bolloré.
Roch-Olivier Maistre a indiqué avoir déjà été saisi de plusieurs signalements sur le respect du pluralisme des opinions. « Le régulateur sera très attentif sur ce sujet, qui est central pour notre vitalité démocratique », a-t-il promis."
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Les précautions à prendre lors de la signature d’un bail commercial
Les précautions à prendre lors de la signature d’un bail commercial
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Cours histoire du droit des obligations
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September 16th, 1789: 234 years ago, Jean-Paul Marat published the first issue of L'Ami Du Peuple
L'Ami du Peuple, or, as it was called at the time it was founded, L'Ami Du Peuple ou Le Publiciste Parisien, was an active revolutionary newspaper and also one of the most absolutely fascinating and interesting pieces of the entire French Revolution, created and edited by Marat from September 1789.
The year 1789 was a relatively turbulent period for both Marat's career and the history of the Revolution. This can be seen simply by the number of projects that Marat began in a short space of time. In February, just two months after publishing his Offrande à la Patrie (1788), he published the Supplément à l'Offrande (1789). In March, he began to attend the sessions of the electoral assembly of his district, Carmes-Déchaussés, with great assiduity and was soon elected to the electoral committee. In August, he began publishing Le Moniteur Patriote and also published the Projet de déclaration des droits de l'homme et du citoyen suivi d'un Plan de constitution juste, sage et libre. Finally, in September, he published No. 1 of Le Publiciste Parisien, and consequently No. 5 of the then L'Ami Du Peuple ou Le Publiciste Parisien, which marked the birth of the famous Friend of the People, a character Marat would identify with until the last day of his life. It can be said that this newspaper came about when Marat found himself in a situation where he would have to produce and publish newspapers and pamphlets independently and without the approval of his colleagues. He proposed to the committee that it should have a press, which was apparently not accepted by the district.
More than just one of the many periodicals that existed during the course of the revolution, L'Ami du Peuple is a precious historical source of information and there is no doubt that it was important for the unfolding of revolutionary events. Not even Delisle de Sales, in his Essai sur le journalisme depuis 1735 jusqu'à l'an 1800 (1811), a work that expressed the author's deep aversion to the revolutionary process and especially to Marat, denies that L'Ami Du Peuple left a mark on the philosophical memory of the history of French journalism.
Albert Mathiez, in a summary of Gottschalk's Marat in the 1927 AHRF (pp. 599-602), makes an interesting comment on Marat's analysis in the context of revolutionary journalism:
"In my opinion, what makes Marat original among the journalists and statesmen of the Revolution has not been sufficiently appreciated by M. Gottschalk. (...) He was never naïve about the revolution that was taking place. From the first moment, he proclaimed that the proletarians - an expression he had already used in its current sense - would gain nothing. (...) No other revolutionary had the same degree of feeling that the proletariat was a class distinct from the bourgeoisie. (...) What always distinguished Marat, presented as an enlightened man, was the correctness of his vision, the total absence of candor, the profound and even pessimistic realism. Marat was not only one of the most determined and precocious republicans. He also did not conceive of the Republic except in the form of direct rule."
In addition to the abundant and impressive number of issues that were written (L'Ami du Peuple had almost 700 issues in total, not counting the pamphlets and later works), it is even more astonishing when we stop to consider that a large part of all the work produced by Marat during the five years of revolution was almost entirely uninterrupted, but mainly clandestine. He managed not to be prevented even by laws (such as the decree of March 9, 1793, which obliged members of the Convention who were newspaper editors to choose between legislation and journalism) from continuing to produce and publish his writings.
Today's date is important and significant for history - the history of journalism and the revolution, but especially and undoubtedly the history of Marat. L'Ami du Peuple was, above all, a character. He is a truly dedicated patriot, brave and fearless, who cares about his fellow citizens and the people. He is an important character for Marat because the two, at a certain point, become one. L'Ami du Peuple, who initially appears as the construction of a publicity strategy, quickly becomes a kind of romantic hero of the revolution, with whom Marat identifies and whom he also uses to continue ceaselessly defending what was right for him, what fit in with his very well-founded and observed political and social principles. The previous Marat, the Marat Man of the Enlightenment, physicist, doctor and experimenter, had a passion that managed to outshine all his other interests: politics, and of that there is no doubt. Marat found himself moved by this political passion a few times before the Revolution - Chains Of Slavery (1774), for example, which was written incessantly over just three months, with mainly political aims, is living proof of Marat's burning passion in this area - but none of the times he expressed his interest was as strong and as significant for him as the creation of L'Ami du Peuple, which signified Marat's definitive entry into the revolution. L'Ami du Peuple was important to Marat because it was through it that he was able to express and make his politics heard; because L'Ami du Peuple made Marat so passionately committed to a revolution that it gave him, definitively, a homeland: the France.
#l'ami du peuple day!!! 🦦#this is very personal to me sorry for the longmaratposting#marat#l'ami du peuple#jean paul marat#french revolution#my posts
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Cdg contre les membres fantômes.. qui se sauvent à chaque fois des MEDS
On parle toujours que le rp c'est pas une obligation. Non, ça ne l'est pas. On a droit en respectant les règles du forum et la demande d'activité de ce dernier d'être moins présent, moins actif, de poster une absence ou de prévenir qu'on sera au ralenti en privé ou sur le fo. Les gens qui font ce qu'il faut pour prévenir leurs partenaires rp, merci, parce que parfois on doit vous en dire des bêtises concernant votre activité mais vous prévenez et j'ai vraiment l'impression qu'on oublie à quel point c'est TOPISSIME de prévenir.
Mais pour ceux qui préviennent pas... Désolé mais à partir du moment ou on joue un personnage important pour d'autres personnages, qu'on a pleuré pour un lien love avec machin ou machin, prévenir d'une baisse d'activité ou d'une absence devient l'obligation dans le rp, surtout si c'est récurrent. À quel moment c'est devenu normal qu'on doit accepter que son partenaire rp principal donne pas signe de vie pendant 28 - 35 jours? Comme s'iel a disparu de la surface de la terre, plus d'activité sur le forum ou toute autre plateforme, discord, facebook.. On demande pas un compte rendu mais les membres fantômes il y en a partout, donc forcément quand on ne voit plus l'autre joueur se connecter ou répondre sur discord, on se demande ce qu'il se passe. Trop bon.ne, trop c*n.ne, je m'inquiète à chaque fois pour le bien-être de l'autre joueur. Est-ce qu'iel va bien, est-ce que quelque chose de grave s'est produit ? J'angoisse comme un.e vrai.e petit.e idiot.e parce que souvent j'imagine le pire irl, et pas du tout que la personne s'en bat les steaks du forum où iel est absent sans prévenir. Et puis ça débarque tranquille pour se sauver des MED sans même s'excuser ou donner une bonne excuse qui justifie de même pas avoir répondu sur discord (ça prend quoi, 10 secondes !). La claque ! On s'est inquiété pour rien mais limite ça passe ça peut arriver 1x, 2x. Et puis rebelote pour un mois ou + sans nouvelles après chaque sauvetage in extremis des MED. Alors on nous sort que le règlement du forum est respecté.. Oui. Okay. Mais... Les imprévus, ça arrive. Poster en une année le total de 8 réponses rp sur un forum où il faut une activité 1rp/mois, parce qu'on joue avec les règles et le système MED, c'est irrespectueux envers ses partenaires rp et j'ose même dire envers le forum, le staff, les autres membres. Faut bien se dire que s'il n'y a qu'un rp lancé ça nous fait quand même 8 réponses dans le sujet ça passe encore, mais souvent ces mêmes personnes ont plusieurs rp de lancé, donc sur une année un sujet avance de 2 réponses, c'est vraiment se foutre de la gueule des gens. Et que fait le staff? Rien. Le règlement est respecté donc ils ne peuvent rien faire. On ne leur en veut pas pour ça, ils ont un peu les mains liées.
Alors faut se rouler les manches et faire soi-même, même quand on déteste le conflit et qu'on a peur de demander que le lien avec son personnage cesse d'être parce qu'iel joue aux abonnés absents h24, 7j/7 jusqu'au MED. J'imagine ma propre tronche sans parler de mon ressenti si je me prends un message pareil alors même si c'est mérité, le faire à quelqu'un ça crève le coeur. Et quand c'est fait on se dit, c'est bon, on souffle. C'est triste mais quand on prend plus plaisir à répondre à deux réponses RP sur l'année, faut se rendre à l'évidence. Et qui passe pour la.e méchant.e aux yeux des autres membres du forum, voire du staff ? Pas la personne qui est jamais là, bien sûr que non. CDG salty parce que me prendre un mp d'un staffien pour me dire que j'ai pas le droit de dire à un autre joueur que je veux plus avoir mon lien PRINCIPAL avec sous prétexte que c'est dégueulasse d'annoncer ça comme ça et de pas vouloir en discuter (j'ai fais que ça, vouloir en parler, pendant 16 mois !), c'est la goutte qui fait déborder le vase. La personne est pas capable de me donner signe de vie pendant 5 semaines, 8 fois de suite, on me fait à peine un coucou en postant pour se sortir des MED mais dès que j'envoie sur discord que notre lien tombe à l'eau, ça va pleurer chez le staff ? La prochaine fois je me casse tout de suite du forum comme beaucoup le font quand les membres fantômes foutent en l'air leur plaisir de rp sur le dit forum. Attendre un an pour deux réponses dans un sujet ou on dépasse pas les 800 mots par rp c'est bon, on finira le sujet dans dix ans. Mais comme d'habitude le Staff veut pas prendre de parti sauf quand même un peu celui de la personne qui va se plaindre en premier, ça aussi ras le bol.
#forum rpg#forum rpg francophone#ras le bol du rp dans de telles conditions#quand les membres fantômes qui préviennent jamais d'une baisse d'activité / d'une absence ont plus de droits que ceux qui le font/sont acti#CDG forum rpg#énervé.e today parce que fuck it vouloir vexer personne c'est joli mais impossible
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LGBT, immigration, Ukraine: en dépit du chantage financier, Orban refuse de céder un pouce au diktat progressiste de l'UE
«Il n'y a pas assez d'argent dans le monde pour nous obliger à laisser entrer des migrants», a déclaré le Premier ministre hongrois.
Et il n'y a pas assez d'argent dans le monde pour lequel nous laisserions nos enfants entre les mains d'activistes LGBT. C'est impossible
Budapest est en conflit ouvert avec Bruxelles, qui vient de geler environ 20 milliards d'euros de fonds destinés à la Hongrie, invoquant «l'Etat de droit» et les «droits de l'homme».
Autant de concepts que l'UE ne manie que pour faire avancer un agenda progressiste, auquel les Hongrois sont hermétiques.
«Nous ne pouvons pas céder sur l'immigration, le genre et la guerre. Ces questions sont plus importantes, plus précieuses dans la vie que l'argent.»
La Hongrie de Viktor Orban, qui bloque (https://t.me/kompromatmedia/4676) par ailleurs toujours l'aide militaire de 50 milliards promise par Bruxelles au régime de Kiev, doit assumer la présidence tournante du Conseil européen en juillet.
Une éventualité qui effraie Bruxelles (https://t.me/kompromatmedia/4728), qui cherche à ouvrir à son encontre une procédure en s'appuyant sur l'article 7 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=celex:12012M007) du Traité sur l'UE.
Jamais utilisé dans l'histoire du bloc, il permet de suspendre un membre pour «violation persistante» des valeurs de l'Union.
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Les caractéristiques d'un génocide à Gaza Le Comité spécial des Nations Unies chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes affectant les droits de l’homme du peuple palestinien conclut que « les méthodes de guerre employées par Israël à Gaza », y compris l’utilisation de la famine comme arme de guerre, la destruction de l’environnement, et les conditions d’existence mortifères imposées aux Palestiniens […] « présentent des éléments caractéristiques d’un génocide ». Le Comité souligne également qu’en Cisjordanie (y compris à Jérusalem-Est), Israël impose un « régime d’apartheid aux Palestiniens », confirmant ainsi les conclusions de la Cour internationale de Justice (CIJ), selon lesquelles « le régime juridique instauré par Israël dans le territoire palestinien occupé contrevient à l’article 3 de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale, qui interdit la ségrégation raciale et l’apartheid ». Le Comité recommande aux États de respecter leurs obligations erga omnes, notamment en matière de prévention et d’interdiction du génocide, de la torture, de la ségrégation raciale et de l’apartheid. Il appelle également les États à s’abstenir de toute complicité dans ces crimes, à cesser de livrer des armes et à poursuivre judiciairement leurs ressortissants et entreprises impliqués ou complices des crimes internationaux commis en Palestine.
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