#des oreilles dans babylone
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LA PIERRE ANGULAIRE FIABLE
[GENÈSE 28 :10-19]
Les pierres angulaires sont des morceaux de roche solides et détachés. Elles sont principalement utilisées pour construire des tours et des bâtiments. Il est surprenant que Jacob ait pu utiliser des pierres pour son oreiller. Il s’enfuyait, craignait pour sa vie et avait besoin de quelque chose de solide pour se reposer. Il reçut l’assurance nécessaire lorsque Dieu Tout-Puissant parla pour le réconforter. Nebucadnetsar, le roi de Babylone, fit lui aussi l’expérience d’un rêve au sujet d’une pierre. Cette pierre avait été taillée sans main, ce qui est inhabituel car la plupart des pierres sont extraites de rochers. La pierre de ce rêve, taillée sans main, est Jésus. Sa naissance s’est faite sans intervention humaine ; il a vécu une vie surnaturelle ; sa résurrection s’est faite sans aide humaine ; son ascension au ciel s’est faite sans aide humaine. Son retour lors de l’enlèvement se fera également sans intervention humaine.
Jacob fuyait la menace de mort de son frère jumeau, Ésaü. En route vers Charan, il s’arrêta pour se reposer au coucher du soleil et utilisa des pierres comme oreillers. Alors qu’il s’assoupissait, il tomba dans un rêve où il voyait des anges de Dieu monter et descendre sur une échelle menant au ciel. Au-dessus de l’échelle se tenait le Dieu Tout-Puissant, qui lui réaffirma l’alliance conclue avec Abraham et Isaac, leur donnant, à eux et à leur descendance, le pays de Canaan. Dieu lui promit également de le bénir et d’être avec lui partout où il ira.
Jésus est la pierre angulaire solide sur laquelle le croyant peut s’appuyer dans toutes les situations. Il garde l’alliance et les promesses. Les promesses de Dieu sont aussi nombreuses que les besoins de l’homme. Elles sont aussi fermes que la parole de Dieu ; elles sont éternelles, elles sont aussi établies, fraîches et fiables qu’elles l’ont toujours été. Il n’y a pas de possibilité d’échec parce que Dieu est fidèle et plus puissant que toute force contraire. Dieu est immuable et inébranlable ; rien ne peut changer Ses paroles ou Ses proclamations ; Il est toujours à l’heure ; Il est omniprésent, omnipotent ; Il n’y a personne comme Lui revêtu de puissance et d’autorité.
Nous pouvons trouver le Seigneur fort et fiable à tout moment. Le Seigneur a la solution à tous les défis, qu’il s’agisse de péchés, de maladies, d’afflictions de Satan, de stérilité, de chômage, de retard ou d’échec. Lorsque vous priez le Seigneur, faites-Lui confiance pour qu’Il vous aide à traverser cette épreuve, et Il le fera.
Dieu est immuable et sa puissance reste inchangée.
Que l'Éternel le Dieu Tout-Puissant nous protège et nous accorde la grâce de mettre toute notre confiance en Lui quelles que soient les circonstances de nos vies au nom puissant de Jésus-Christ 🙏🙏
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Les Catholiques Face à la Bible : La vierge Marie
Les catholiques appellent Marie “La reine du Ciel”. Mais selon la bible, la reine du ciel est une puissance démoniaque appelée : Astarté, Ishtar, Isis, Lilith, Diane, etc... dont le culte consistait en des pratiques sexuelles obscènes et dégradantes. (Nombres 25:1)
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Bientôt le 15 août, jour de la “fête de l’Assomption de Marie”, voici un rappel biblique faisant la différence entre :
. “Religiosité” : les hommes ont pris une partie d’un texte biblique et lui ont ajouté des histoires, des fêtes, des croyances, etc... C’est ainsi que sont nées les religions.
. L’Ecriture seule : texte tel qu’il l’est dans la Bible à respecter.
Et alors que la France a célébré un culte, effectués des rituels des invocations, messes noires lors des Jeux Olympiques, et que le diable va bientôt refermer son piège sur l’humanité, il est essentiel de rappeler que la « Reine des Cieux » de l’Église Catholique provient de la Babylone païenne.
[Texte] - Un point de vue d’un internaute parmi d’autres suite à la cérémonie de clôture des JO.
Rome, le plus grand empire ayant dominé le monde humain avec la durée de vie la plus longue, a assimilé les religions de ses nombreux territoires conquis. Toutes ces religions ont des points communs, parce qu’elles proviennent toutes de Babylone. Ces pratiques ont infiltré et ont surmonté les doctrines de l’Église Chrétienne, qui a été plus tard dominée par Rome elle-même.
Beaucoup de religions païennes pratiquaient le culte de la mère et l’enfant, que ce soit :
- Devaki et Krishna (Inde), - Isis et Horus (Égypte), - Vénus ou Fortuna, - Jupiter (Rome), et ainsi de suite.
Les traditions catholiques romaines de la « Madone et l’Enfant » ont commencé dans la Babylone païenne avec les histoires de Nimrod, de Sémiramis et du bébé Tammuz.
« Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d’autres dieux, afin de m’irriter. » (Jérémie 7:18)
Pas de “Médiatrice”, ni de “Co-Rédemptrice”, Marie du Catholicisme N'EXISTE PAS dans la Bible. Pas de récitation du rosaire non plus, ni de prières qui lui sont dédiées.
[Vidéo : 0′11] - Les catholiques prient le rosaire à genoux en guise de pénitence au sanctuaire de Fatima au Portugal. (Ce n’est pas biblique. Oui à la repentance auprès de Dieu, non à la pénitence, aux flagellations, etc... dans un lieu déterminé par les hommes. Jamais Dieu ne demandera de faire cela. C’est dans la même lignée que les aberrations pendant la période du confinement Covid avec les auto-attestations, les cafés “debout - assis - couchés”, etc..., c’est le diable qui s’amuse à humilier et à égarer. La récitation du rosaire n’est pas biblique).
Marie ne guérit pas : attention aux faux miracles en son nom.
“ Leurs idoles, ce n'est que de l'argent et de l'or ; Elles sont faites par la main des hommes. Elles ont une bouche mais ne parlent pas. Elles ont des yeux, mais ne voient pas, Elles ont des oreilles, mais n'entendent pas, Elles ont un nez, mais ne sentent pas, Elles ont des mains, mais ne touchent pas, Des pieds, mais ne marchent pas Leur gosier ne produit aucun son. Ils leur ressemblent, ceux qui les fabriquent, tous ceux qui se confient en elles. Israël, confie-toi en l'Eternel ! Leur secours et leur bouche, c'est lui ! ” (Psaume 115:4-9 + Psaume 135:15-18)
“La mère de Jésus” a comme d'autres personnages de la Bible (Noé, Moïse…) eu une mission particulière pour la gloire de Dieu - porter en son sein le Sauveur de l'humanité - à un moment donné de sa vie. La conception de Jésus a été surnaturelle (par l'esprit de Dieu), Marie était vierge car il fallait un “vase” (corps) pur. Elle a eu ensuite avec Joseph d'autres enfants et a continué sa vie.
La Bible nous dit que Jésus avait quatre frères : Jacques, Joseph, Simon et Jude (Matthieu 13:55). Elle nous parle aussi de ses sœurs, mais sans les nommer ni dire combien elles étaient (Matthieu 13:56). Beaucoup ont une idée préconçue de sa virginité perpétuelle, ce qui n'est pas biblique. Elle n'a pas été enlevée au ciel à sa mort d'où elle délivre des messages, ce qui est pure diablerie.
Apparitions de “la Vierge Marie” ou apparitions des Ovnis, c’est pareil ! C’est l’œuvre de Satan, son meilleur déguisement pour tromper, égarer.
Si “Marie” a du succès, c’est aussi pour remettre en question le fait que nous ayons été créés par YHWH : un Dieu masculin, mais sa nature divine est à la fois masculine et féminine (El Shaddaï signifie “Dieu Tout Puissant” et Shad en hébreu signifie poitrine / seins de femmes ou mamelles, c’est un Dieu qui pourvoit, qui nourrit).
Beaucoup de gens ne comprennent pas l’absence d’un être féminin dans la Création, d’où cette exagération sentimentale pour Marie, “la maman que tout le monde aimerait avoir !”
Il faut oublier le “Jésus occidentalisé” féminisé qui ramollit, aveugle et paralyse le chrétien religieux et avancer avec un Yahshua / Jésus hébreu, Celui qui est La Torah accomplie, Puissance de vie et Créateur du ciel et de la terre, le Logos.
On change de dimension pour retrouver toute l'essence messianique du Roi des rois et Seigneur des seigneurs !
Une fois rachetés, nous avons besoin d’être formés, façonnés, affermis par la Parole de Dieu et ses enseignements sur les racines hébraïques de la foi.
Le Shabbat (sabbat) et plus particulièrement les 7 Fêtes de l’Eternel sont des points de passage clé dans l’année car elles ont toutes une portée prophétique et messianique, temps que nous vivons actuellement ! Dieu nous soupèse spirituellement pour évaluer nos progrès par rapport aux années précédentes : obéissance, sanctification, avancée dans les enseignements.
Il y a une seule Torah pour les juifs et les non-juifs.
Les promesses se réaliseront au travers de Yahshua / Jésus qui est venu en tant qu’homme, a souffert et est mort à la croix pour expier nos péchés.
Il est notre rançon à tous (juifs et non-juifs) afin de nous enseigner sur ce qui est péché, transgression, iniquité et les expulser de notre vie, de notre corps.
Si nous refusons d’apprendre et d’appliquer (notre part à faire) afin d’être transformés, cela correspond à un aveuglement et à un endurcissement spirituel des yeux et du coeur.
Il est temps de se repentir et de s’humilier devant Notre Père chez soi dans sa chambre, lui demander pardon et de décider que dorénavant nous serons dans l’obéissance et la soumission pour écouter et pratiquer ses enseignements afin de marcher par la foi vers les promesses qu’il a pour chacun de nous.
Il n’y a pas d’excuse, de justification, de critique à formuler pour détourner et contourner, nous sommes tous passés par là : l’abandon total de notre être à Celui qui règne à jamais et qui est le seul et unique chemin, Yahshua / Jésus !
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A) Il est nécessaire de savoir que Dieu a défendu d’ajouter ou de soustraire à ses prescriptions :
“Toute la parole d’Elohim est épurée; il est un bouclier pour ceux qui ont en lui leur refuge. N’ajoute rien à ses paroles, de peur qu’il ne te reprenne, et que tu ne sois trouvé menteur.” (Proverbe 30:5-6)
“Je proteste à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre que si quelqu’un y ajoute, Elohim fera tomber sur lui les plaies écrites dans ce livre; Et si quelqu’un retranche des paroles du livre de cette prophétie, Elohim retranchera sa part du livre de vie, et de la sainte cité, et des choses qui sont écrites dans ce livre.” (Apocalypse 22:18)
B) Les écritures nous annoncent bien qu’il n’y a pas d’intermédiaire entre Elohim et les hommes, sinon Yahshua lui-même !
“Yahshua lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie; personne ne vient au Père que par moi.” (Jean 14:6)
“Car il y a un seul Elohim, et un seul Médiateur entre Elohim et les hommes : Yahshua, un homme qui s’est donné lui-même en rançon pour tous.” (1Timothée 2:5)
C) Marie n’est pas divine !
“C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici, la vierge sera enceinte ; elle enfantera un fils, et lui donnera le nom d’Emmanuel (le Seigneur est avec nous).” (Esaïe 7:14)
“Alors Marie (Myriam) dit : Mon âme magnifie le Seigneur, Et mon esprit se réjouit en Elohim mon Sauveur ; Parce qu’il a regardé la bassesse de sa servante. Et voici désormais tous les âges me diront bienheureuse.” (Luc 1:46-48)
D) La bible ne donne aucune indication ou verset qui nous permette de proposer à qui que ce soit la position de divinité des hommes que nous sommes tous !
Même dans un lointain passé de l’Ancien Testament, les hommes se sentant poussés par la recherche du plus grand qu’eux, se sont créés des « Reines du Ciel »
“Ne vois-tu pas ce qu’ils font dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem ? Les fils ramassent le bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour faire des gâteaux à la reine des cieux et des libations à d’autres dieux, afin de m’offenser.” (Jérémie 7:17-18)
E) Le 1er commandement de Dieu nous interdit d’adorer, d’honorer comme tel, ou de donner à toute autre personne que le Père un statut divin !
Toute organisation qui enseigne autre chose est “danger public”, impie. Yahshua a dit : “Si la tête est malade, tout le corps le deviendra …”
La dernière question à poser est : “Que nous demandent les écritures au sujet des religions païennes ?”
La réponse est claire :
“Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez du milieu d’elle, mon peuple; de peur que participant à ses péchés, vous n’ayez aussi part à ses plaies.” (Apocalypse 18:4)
“Ne vous mettez pas sous un même joug avec les infidèles ; car qu’y a-t-il de commun entre la justice et l’iniquité ? Et quelle union y a-t-il entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord entre Yahshua et Bélial ? Ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? Et quel rapport entre le temple d’Elohim et les idoles ? Car vous êtes le temple du Elohim vivant, comme Elohim l’a dit : J’habiterai au milieu d’eux et j’y marcherai ; je serai leur Elohim, et ils seront mon peuple.” (2 Corinthiens 6:14)
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Florence Quentin : « Isis l’Eternelle » [Les Racines du Ciel]
France Culture, émission "Les Racines du Ciel" par Frédéric Lenoir, émission avec Florence Quentin. Egyptologue, journaliste, rédactrice en chef du magazine Ultreïa, elle collabore régulièrement au Monde des religions et a notamment publié « Isis l’Eternelle » aux éditions Albin Michel.
La Reine de Rome, la Reine de l’Islam, la Reine de tous ; Les apparitions mariales tentent d’unir toutes les religions sous l’Église Catholique Romaine.
Un phénomène d’ampleur...
Marie (Myriam)… des millions de catholiques voyagent vers des lieux saints pour prier devant son image. Mais, ce qui n’est pas connu généralement, c’est que les musulmans également la tiennent en haute estime, et, même parmi les hindous et les bouddhistes, il existe des cultes de déesses qui ressemblent étrangement à la Marie catholique.
Apparitions !
Elle apparaît comme une Dame vivante, en trois dimensions, enveloppée d’une lumière exquise. Les voyants et les médiums la décrivent comme une belle jeune femme, rayonnante d’une splendeur radieuse. Les voyants, tout en décrivant sa brillance et présentant toutes les splendeurs, disent que la « Reine des Cieux » transcende toute description humaine.
Les adeptes mariaux rapportent également avoir vu d’étranges lumières et des visions glorieuses qui accompagnent souvent une apparition. Des visions d’anges, des orbes lumineux, des langues de feu, de mystérieux phénomènes solaires et des nuages particulièrement lumineux ont été aperçus.
En raison de l’immense plaisir et de la joie vécue par les visionnaires lors d’une apparition, le terme extase est le mot le plus souvent utilisé pour décrire cet événement. Ceux qui ont été témoins, admettent avoir été paralysés et enchantés par sa beauté et son charme.
De nombreuses guérisons et de nombreux miracles ont été signalés sur les sites des apparitions dans le monde entier.
En outre, les apparitions de la Sainte Vierge Bénie ont annoncé à plusieurs reprises que ses principaux signes et prodiges sont encore à venir ! Elle admet qu’elle n’a pas encore révélé sa pleine gloire dans le monde. Elle a prédit des signes célestes et des prodiges que tout le monde verra bientôt.
Examinez les messages suivants, reçus par trois visionnaires distincts :
« Mes signes font leur apparition. Dieu le veut ainsi. Seulement mes enfants les reconnaissent, car ils sont révélés dans le secret, et ils louent l’Éternel pour eux. Aujourd’hui, je ne peux pas révéler mon pouvoir dans le monde entier. Je dois me retirer avec mes enfants. En secret, j’accomplirai des miracles sur les âmes jusqu’à ce que le nombre de sacrifices soit devenu complet. Alors, je pourrai me révéler au monde entier. »
« Bientôt, je viendrai, mes enfants ! Bientôt, je serai parmi vous avec une grande lumière. Je vais éclairer le monde entier. Beaucoup d’âmes vont pleurer parce qu’ils n’ont pas écouté mon appel. Je vais passer au-dessus de tout le monde dans un nuage et tout le monde me verra. Qu’adviendra-t-il de ceux qui m’ont insultée et se sont moqués de moi ? Je viendrai bientôt, mes fils, pour voyager à travers le monde entier. Je vais vous donner un grand signe dans le ciel pour ceux qui ne veulent toujours pas être sauvés. Tous ceux qui ont recours à moi, qui ont un semblant de repentance, cela sera suffisant pour les sauver. »
« Je voudrais aussi vous dire qu’avant la fin complète de mes apparitions, je vais être vue par chaque confession et chaque religion dans ce monde. Je serai vue parmi tous les peuples, pas pour un instant, mais, tout le monde aura une chance de me voir. Comme je suis apparue à Zeitoun, je vais réapparaître afin que chacun puisse me voir. Priez et aidez à la réalisation de mes plans, pas seulement ici, mais, dans le monde entier. »
Le nombre est stupéfiant
Considérez que 15 à 20 millions d’adeptes mariaux visitent un sanctuaire unique à Guadalupe au Mexique, chaque année !
Le sanctuaire est dédié à Notre Dame de Guadalupe, qui est apparue en 1531 au voyant Juan Diego. Le 12 décembre 1999, l’anniversaire de l’apparition de la Vierge Marie, 5 millions de pèlerins ont visité le sanctuaire pour honorer Notre Dame.
En outre, 1999 a marqué la première fois dans l’histoire de l’église que la fête de l’apparition de Notre Dame de Guadalupe a été célébrée par tous les évêques et les prêtres dans l’hémisphère occidental.
Dans une exhortation apostolique délivrée au cours de sa visite au Mexique en 1999, le Pape Jean Paul II a élevé le 12 décembre comme un Jour Saint pour l’Église Catholique.
Dans la Bosnie déchirée par la guerre, une estimation de 30 millions de pèlerins ont visité Medjugorje depuis le commencement des apparitions de la Vierge Marie en 1981. En plus des six visionnaires qui reçoivent régulièrement des messages de la Vierge, des milliers de pèlerins affirment avoir vu des signes et des prodiges, avoir expérimenté des guérisons, et avoir entendu la voix de Marie à Medjugorje.
Visiter Medjugorje est une tâche laborieuse impliquant plusieurs heures de voyages sur des routes dévastées par la guerre. Les millions de pèlerins qui s’aventurent à Medjugorje le font en sachant que leur pèlerinage sera difficile et dangereux ; Pourtant, ils continuent à affluer en masse.
À Conyers, en Géorgie, la voyante Nancy Fowler a reçu jusqu’à 100.000 visiteurs à sa ferme en une seule journée.
Les pèlerins viennent de partout, beaucoup parcourant de grandes distances pour entendre le message le plus récent de la Sainte Vierge.
Au sanctuaire national de la grotte de Notre Dame de Lourdes, à Emmitsburg, dans le Maryland, les assistances ont augmenté à 500.000 par an.
Des apparitions mariales partout
Des apparitions mariales dans presque tous les états en Amérique sont rapportées, beaucoup de ces sites attirent des milliers de pèlerins. De New York à San Francisco, de nombreuses visites déclarées de la Reine des Cieux ont été documentées.
Le nombre d’adeptes de la Vierge et leur détermination à entendre parler la Vierge révèlent que ces personnes ne sont pas de simples voyants curieux, mais, plutôt un énorme troupeau en augmentation de disciples de la Vierge Marie.
Chaque année, cinq millions et demi de pèlerins visitent le site des apparitions de Lourdes, en France.
Le sanctuaire marial de la Pologne, Notre Dame de Czestochowa, un favori du Pape Jean Paul II, attire une estimation de 5 millions de pèlerins par année.
Le site unique d’apparitions, à Knock, en Irlande, a attiré des millions de personnes qui viennent pour prier Notre Dame de Knock et visitez le site des apparitions. Ce sanctuaire marial a été honoré par quatre Papes au cours du vingtième siècle, y compris le Pape Jean Paul II, qui est allé en pèlerinage à Knock, en Irlande, en 1979.
A Sabana Grande, à Puerto Rico, un endroit où la Vierge Marie serait apparue il y a plus de 50 ans, plusieurs milliers de dévots religieux y viennent de partout dans le monde.
Le site est devenu si populaire que des préparatifs sont en cours pour construire une statue de la Vierge deux fois aussi haute que la Statue de la Liberté de New York. (Notes : Statue de la Liberté = Lucifer)
Un journal local rapporte que : « La statue héroïque de grande échelle de Notre Dame du Rosaire, partie du complexe projeté de 500 acres de Mystical City, s’élèvera à 1.500 pieds. Il y aura à l’intérieur pour contenir des stations de radio et de TV, différentes chapelles, des appartements, une aire de restauration, des salles de conférence et une plate-forme d’observation. »
Sur le célèbre site des apparitions de Fatima, au Portugal, plus d’un million de pèlerins sont présents pendant l’anniversaire du 13 octobre de l’apparition de 1917. La fréquentation annuelle totale de Fatima est estimée à 4,5 millions de personnes et est en pleine croissance. La liste des sites majeurs d’apparitions se poursuit indéfiniment. [Notes : En 2023, lors des JMJ, le Pape François est allé prier à Fatima qui n'est nul part dans la Bible !]
Des milliers de personnes se rassemblent chaque année à Amsterdam pour célébrer la journée mondiale de prière de la Dame et Mère de Toutes les Nations. Un grand nombre de prêtres, d’évêques et de cardinaux président l’événement, où des milliers de participants provenant de plus de 70 pays et de six continents convergent pour honorer la Dame de Tous les Peuples.
La Vierge Marie serait apparue à la voyante Ida Peerdeman plusieurs fois. Son principal message était qu’elle veut l’unité.
Cette unité viendra seulement lorsque l’Église et le Pape proclameront officiellement la Dame de Tous les Peuples comme étant la Co-Rédemptrice. A ce jour, des millions de fidèles partisans de la Vierge Marie ont officiellement demandé à Rome de la nommer Co-Rédemptrice.
Popularité croissante dans le monde
La popularité des apparitions et de ses messages ont pris des proportions gigantesques. Les historiens de la Vierge Marie sont prompts à souligner que les apparitions de Marie ont été enregistrées au cours des siècles, mais, jamais dans l’histoire des apparitions mariales, elle n’est apparue avec une telle consistance et une telle fréquence que présentement.
En 1997, Newsweek a publié un article sur la Vierge Marie. Dans l’article, ils écrivent : « À bien des égards, le vingtième siècle a appartenu à Marie. Sur presque tous les continents, des visionnaires ont signalé plus de 400 apparitions de la Vierge, plus que dans les trois siècles précédents combinés… Pris ensemble, ces visions pointent à ce que le Mouvement Marial croit être le millénaire de « l’Age de Marie ». »
Nous pourrions nous attendre à ce que ces phénomènes se produisent dans les pays qui sont majoritairement catholiques, mais, des apparitions sont rapportées du Japon à l’Afrique, de la Corée à l’Australie, de l’Iraq à Israël, de l’Égypte à la Syrie.
Que vous regardiez profondément dans l’ex-Union Soviétique ou parmi les peuples de l’Inde, une chose reste en commun, ils sont tous allègrement visités par une femme qui s’appelle Marie, la Reine du Ciel, Notre Dame.
Le Père Robert Faricy, cité dans le livre Reine du Cosmos, déclare : « Jamais dans l’histoire du Christianisme, la Sainte Vierge Marie n’est apparue à un si grand nombre de personnes pendant une aussi longue période de temps avec autant de régularité. En outre, il semble que les apparitions à Medjugorje ont marqué le début d’un nouvel Age Marial. Ses apparitions sont signalées un peu partout. »
Dans son livre, Appel des Ages, l’auteur Thomas W. Petrisko écrit : « Des millions et des millions de gens sur tous les continents du globe ont entendu et ont répondu aux messages et aux apparitions de la Vierge Marie. En effet, il y a une amélioration significative dans la fréquentation des sanctuaires mariaux partout. »
Le révérend Charles Dickson, Ph.d., un ministre luthérien, a signalé cette tendance dans Queen Magazine : « Des populations de partout dans le monde parcourent des distances énormes pour démontrer en personne leur vénération à la Mère de Notre Seigneur. »
Il poursuit en affirmant que la France à elle seule possède 937 sanctuaires de pèlerinage et, qu’au sanctuaire marial le plus populaire en France, la fréquentation a augmenté de dix pour cent en deux ans.
Il y a plus de 1500 sanctuaires mariaux de pèlerinage en Italie, ce qui représente 85% de tous leurs sanctuaires. Il ne s’agit pas de simples ghettos de basse-cour, mais, de sanctuaires assez importants où les adeptes de la Vierge Marie y font des pèlerinages ! Et, tandis que la dévotion à Marie est plus visible dans les pays catholiques, la dévotion mariale attire une énorme quantité de partisans de chaque religion, de chaque race et de chaque nation.
En ce qui concerne le nombre croissant d’apparitions dans le monde entier, l’auteur catholique Michael Brown a écrit : « Au cours de la seconde moitié du 20ème siècle, les apparitions mariales ont augmenté d’une manière remarquable. Si chaque apparition quotidienne ou hebdomadaire était comptée dans les cas où un voyant a eu plus d’une vision, le nombre ne serait pas calculable… Le périodique français, Le Monde, a déjà estimé à vingt et un mille apparitions entre 1976 et 1986 ! »
Le plan de paix œcuménique de Notre Dame
Un message cohérent donné par les milliers d’apparitions se manifestant actuellement dans le monde est celui de la paix, de l’unité et de la tolérance. A Medjugorje, l’apparition de Marie a déclaré :
« Chers enfants, aujourd’hui je vous invite à la paix. Je suis venue ici en tant que Reine de la Paix et je veux vous enrichir de ma Paix Maternelle… Je vous invite à devenir des porteurs et des témoins de ma paix dans ce monde sans paix. Que la paix règne dans le monde entier. »
Dans un autre message, Marie a dit aux voyants : « Dites ceci aux prêtres, dites-le à tous, que c’est vous qui êtes divisés sur la terre. Les musulmans et les orthodoxes, pour la même raison que pour les catholiques, sont égaux devant mon Fils et devant moi. Vous êtes tous mes enfants. » Le message de Marie de paix, d’unité et de tolérance est celui auquel un monde en détresse et perplexe aspire.
Ses messages rapportés à Betania, au Venezuela, caractérisent ses paroles d’espoir données dans le monde entier : « Mes enfants, je vous donne un morceau de ciel… Betania, Venezuela. Il est pour tout le monde, pas seulement pour les catholiques… Mon message est un message de foi, d’amour et d’espoir. Plus que tout, il apporte la réconciliation entre les peuples et les nations. C’est la seule chose qui peut sauver ce siècle de la guerre et de la mort éternelle. »
Selon Charles Dickson, auteur de Regard d’un Pasteur Protestant sur Marie, Marie transcende nos frontières culturelles et même religieuses :
. Un étudiant musulman qui visite Rome veut surtout voir l’église de Santa Maria Maggiore. Surpris ? . La poésie d’une mystique syrienne est pleine de la dévotion mariale. Surpris ? . Martin Luther recommande la prière à Marie. Surpris ? . Un ministre pentecôtiste américain commence à visiter les sanctuaires des apparitions mariales. Surpris ? . Les musulmans se réfèrent à Marie comme il-Sittneh, ou Notre-Dame. Surpris ? . Un chapitre du Coran est nommé d’après elle. Surpris ? . La profonde bonté de Marie comme mère est dépeinte dans l’art chinois. Surpris ? . Et maintenant, un ministre presbytérien a écrit un livre recommandant la prière du Rosaire. Encore surpris ?
Un examen plus approfondi des événements actuels et de l’histoire passée souligne que Marie a un attrait universel qui transcende nos frontières géographiques, culturelles et même religieuses.
Que les murs tombent
En 2005, Time Magazine a présenté une image de Marie comme la Mère de Dieu sur la couverture avec le titre. « Saluez Marie que les catholiques ont longtemps vénérée, mais maintenant, les protestants trouvent leurs propres raisons pour célébrer la mère de Jésus. » L’article explique la tendance étonnante croissante pour la dévotion mariale dans les Églises Protestantes :
« Dans un virage idéologique dont la largeur est inhabituelle dans le monde protestant fragmenté, un mur de longue date autour de Marie semble s’éroder. Marie gagne aussi en popularité dans les écoles de théologie protestante, où ses icônes ornent les murs des futurs pasteurs. »
L’article cite des exemples qui étaient auparavant inimaginables. Par exemple, dans une Église Méthodiste du South Side de Chicago, à côté de l’autel, il y a deux statues de Marie avec des roses fraîches à ses pieds, et un chapelet descend des mains de l’Enfant Jésus. La nappe de l’autel présente l’image la plus étonnante de l’église : Marie, encore une fois, totalement entourée par un halo multicolore.
R. Albert Mohler, Jr., président de la Southern Baptist Theological Seminary, fait les commentaires suivants sur l’article du Time Magazine sur Marie :
« L’histoire du Time Magazine fait partie d’un phénomène plus large, avec plusieurs grandes lignes protestantes se tournant vers une reconsidération de Marie et en incorporant la vénération de Marie dans les dévotions personnelles et le culte corporatif. Certains vont même jusqu’à reconnaître Marie comme un intercesseur, en lui adressant des prières, ainsi qu’à d’autres saints. D’une manière assez curieuse, certains protestants font maintenant valoir que les croyants doivent prier Marie, et devraient demander son intercession. »
La Reine promet l’unité
Presque toutes les apparitions ont déclaré que Marie va inaugurer une nouvelle ère de paix et d’unité. Sous son manteau, tous les gens se réuniront en paix pour résoudre les problèmes qui accablent le monde. Son accent sur l’unité et l’œcuménisme a beaucoup attiré l’attention des médias. Le Los Angeles Times a rapporté dans un article intitulé, « La hausse de popularité de Marie va au-delà de la foi », que :
« Un nombre croissant d’Américains de toutes les confessions chrétiennes se tournent vers la Vierge Marie comme un conduit réconfortant de spiritualité et un symbole de paix dans ces temps troublés… Des observations rapportées de Marie ont augmenté de façon constante à travers le monde au cours des dernières années… Son regard maternel semble avoir un appel œcuménique… Ce ne sont pas seulement les catholiques romains qui s’intéressent à Marie et qui suivent ses apparitions… Chaque jour, des milliers de gens apportent leurs problèmes vers les sites où la Vierge aurait fait son apparition. »
Une des meilleures séries documentées d’apparitions a eu lieu dans une église orthodoxe copte de Zeitoun, en Égypte, une banlieue du Caire. Des gens de beaucoup de pays et de milieux religieux variés ont été témoins des apparitions de 1968 à 1973. On estime que le nombre total de témoins s’élève à des millions !
Des musulmans, des coptes, des catholiques, des protestants, et d’autres ont été unis dans leur adoration de la Dame qui semblait être composée de lumière. Les musulmans scandaient à partir du Coran : « Marie, Dieu t’a choisie ; Et Il t’a purifiée ; Il t’a élue au-dessus de toutes les femmes. » A Zeitoun, comme dans d’innombrables autres sites dans le monde, le phénomène rassemble des gens de tous les milieux imaginables.
Le message suivant de la « Dame et Mère de toutes les nations » déclare sa mission claire :
« Essayez de comprendre la raison de ma venue en ce jour. Le Seigneur Jésus-Christ a choisi cette belle journée pour « la Dame de tous les Peuples ». Sa mission est d’établir l’unité entre ses nations. Elle est envoyée à faire une seule grande communauté de Ses nations. Pour rassembler toutes les nations en une seule communauté, c’est la tâche fixée devant le monde dans le temps présent, que j’ai annoncée à plusieurs reprises. »
L’appel de la Reine
En 1996, Life Magazine mettait en vedette Marie sur la couverture et posait ces questions :
« Pourquoi deux milliards de personnes disent Je vous salue Marie tous les jours ? Pourquoi cinq millions de personnes, beaucoup étant des non-chrétiens, visitent-ils Lourdes chaque année pour boire les eaux curatives ? Pourquoi plus de 10 millions de personnes ont-elles voyagé à Guadalupe afin de prier Notre-Dame ? Pourquoi les apparitions ? Pourquoi les hymnes à Marie se glissent-ils dans des recueils de chansons méthodistes ? Que se passe-t-il avec Marie ? »
L’article de Life Magazine continue en énumérant de nombreuses apparitions et cite diverses statistiques. Par exemple, Life Magazine note que, « En Italie, 50 statues de la Madone en pleurs ont été signalées dans les deux dernières années. »
Life Magazine explique que la popularité de Marie n’est pas seulement chez les catholiques : « Un des aspects intéressants de la dernière montée de Marie est la suivante : Le besoin émotionnel pour elle est si irrésistible pour un monde troublé que les gens sans aucun lien évident avec la Vierge sont attirés vers elle. Ce n’est pas nouveau que les musulmans vénèrent Marie comme une sainte pure, elle est mentionnée 34 fois dans le Coran, mais, de voir un grand nombre de musulmans en pèlerinage aux sanctuaires chrétiens de la Vierge Marie est une chose remarquable. Des groupes de prières mariales interconfessionnels surgissent partout à travers le monde. »
Il ne fait aucun doute que ses messages œcuméniques et ses apparitions maternelles attirent des multitudes. En outre, il y a un autre aspect aux apparitions qui attire aussi beaucoup de personnes. Des miracles rapportés, des signes et des prodiges, ont fortement augmenté au cours des dernières décennies. Dans un monde qui cherche une interaction avec le surnaturel, il n’est pas surprenant que de nombreuses personnes se précipitent vers le miraculeux.
Ces miracles, s’ils sont vrais, pourraient rivaliser avec les miracles accomplis à l’époque de Moïse.
Examinons le phénomène connu comme « Le Miracle du Soleil » fréquemment rapporté dans les sites autour du globe.
Miracle du Soleil
Sur le site des apparitions de Fatima, le 13 octobre 1917, 70.000 personnes ont assisté à la chute du soleil du ciel. Ces témoins ont déclaré qu’ils regardaient le soleil tomber du ciel vers la foule et puis revenir à sa position normale dans le ciel. Beaucoup pensaient que ceci signalait la fin du monde et étaient certains de périr.
Voici un bref récit des événements de Fatima :
« Juste quand il semblait que la boule de feu tomberait sur eux et les détruirait tous, le miracle a cessé et le soleil a repris sa place normale dans le ciel, en brillant tout aussi pacifiquement que jamais. Quand la population s’est relevée du sol, des cris d’étonnement étaient entendus de tous les côtés. Or, leurs vêtements, qui avaient été trempés et boueux, étaient maintenant propres et secs. Beaucoup de malades et d’infirmes avaient été guéris de leurs afflictions. »
Le Miracle du Soleil est un événement commun, quoique fantastique, sur de nombreux sites d’apparitions. Sur des dizaines de sites, des millions de personnes ont littéralement rapporté avoir assisté au miracle du soleil. C’est arrivé devant une foule de 100.000 personnes à Porto Rico, le 23 avril 1991, qui était le 38ème anniversaire des apparitions.
C’est arrivé encore une fois aux Philippines, le 5 mars 1993, devant une foule de 300.000 personnes.
A El Cajas, en Équateur, plus de 120.000 pèlerins étaient présents lorsque le miracle du soleil s’est produit, à la fin des années 1980.
Des manifestations similaires ont été enregistrées sur des sites d’apparitions comme à Medjugorje, en Bosnie ; à Denver, au Colorado ; à Lubbock, au Texas ; et à Conyers, en Géorgie.
Le Miracle du Soleil est une des nombreuses merveilles surnaturelles signalées sur les sites d’apparitions dans le monde entier.
Voici un résumé abrégé des miracles rapportés sur juste un site d’apparitions :
« Les apparitions de la Mère de Dieu à Medjugorje ont été accompagnées d’un certain nombre de miracles, y compris des guérisons physiques (maintenant estimées à 360), des rapports du soleil dansant ou tournoyant dans le ciel, des rosaires et des médailles en argent qui apparemment se changent en or et autres phénomènes… Tout comme le Christ a fait des miracles durant sa vie terrestre pour authentifier ses enseignements et son ministère, Notre Dame de Medjugorje semble donc les utiliser pour valider sa présence et ses messages qui, comme toujours, nous redirigent vers son fils. »
Reine de tous
Alors que le titre de cet article peut paraître présomptueux, alors que nous continuons à documenter, il deviendra clair que la Reine du Ciel rassemble vraiment un massif troupeau global de toutes les races ou religions.
Les nombreux livres sur les apparitions mariales expriment qu’il y a un consensus croissant que le monde est à la recherche d’une Mère Céleste, une qui est tendre, miséricordieuse et sans jugement, avec le pouvoir et l’influence pour résoudre nos problèmes.
La tolérance, l’unité et la paix mondiale sont à plusieurs reprises annoncées par la Reine de la Paix, comme on l’appelle souvent. Il s’agit d’un motif fréquent pour les apparitions mariales.
La Dame et la Mère de toutes les Nations, un titre qu’elle s’attribue elle-même sur un site populaire d’apparitions, se présente elle-même comme aimable et accessible, tout en prétendant avoir un pouvoir et un accès céleste.
En plus du charme maternel, les apparitions attirent des millions à cause des nombreux signes, merveilles et miracles signalés. Les témoignages de pèlerins au sujet de guérisons physiques ou émotionnelles se sont avérés irrésistibles pour des personnes de tous les horizons. Cette combinaison de qualités que les apparitions mettent en avant, une mère bienveillante, un puissant intercesseur, un constructeur de pont et un faiseur de miracles, a fait ses preuves en réunissant des multitudes de gens qui ne se réuniraient pas habituellement.
En ces jours difficiles, quand nos problèmes mondiaux semblent insurmontables, un nombre croissant de personnes se tournent vers la Reine de Tous comme étant peut-être le meilleur défenseur de la planète.
Tout ceci est pure diablerie !
“ Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. “ (Jean 14:6-7)
L’objectif, c’est Père Céleste. Le chemin, c’est Yahshua / Jésus.
On s’adresse à Dieu directement au nom de Yahshua / Jésus.
Rien de plus : pas de vierge Marie, pas de saints, ni d’anges, ni autre chose (objet, statue, etc...).
Source : Juda & Ephraïm
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Il tape fort le bélier qui ne vit sur pour abattre les portes de Babylone la Grande !
Et plus grandit l'armée des porteurs de lumière, plus sont nombreux les assaillants de la mère des perditions,
et plus il se fait entendre le vacarme assourdissant de la tête de l'engin.
Boom, boom. Boom, boom. Boom, boom...
Et comme ils tremblent les mages démoniaques qui sont les vampires et maîtres de la ville.
Et jusqu'au bout ils complotent, et jusqu'au bout ils susurrent aux oreilles de leurs âmes esclaves, soumises et sangsufiées. Pour des tentatives alambiquées d'évitement de l'inévitable, pour des manœuvres tordues de retournement de ce qui est prévu.
Boom, boom. Boom, boom. Boom, boom...
Ils paraissent pourtant bien peu nombreux ceux qui entreprennent ce siège prophétique ! Mais une seule de ces âmes armées en vaut dix-mille de l'autre côté.
Et ceux dans la ville qui ne sont pas prêts pour la fin des ténèbres seront emportés avec leurs enfers bien aimés.
Et ceux en qui reste une mèche de bougie tout au fond de leur regard, par-delà les ronces épaisses et ancrées de la fausseté, tapie quelque part dans un recoin de leur cœur,
ils seront allumés avec l'implacable incendie de la ville ancienne.
Boom, boom. Boom, boom. Boom, boom...
Le bélier de Kalki.
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Psaumes 116
Il m’a sauvé
1 J’aime l’Éternel, Car il entend ma voix, mes supplications, 2 Car il a incliné son oreille vers moi, Aussi, je l’invoquerai durant mes jours. 3 Les liens de la mort m’avaient enveloppé, Et les détresses du sépulcre m’avaient rencontré ; J’avais rencontré la détresse et la douleur ; 4 Et j’invoquai le nom de l’Éternel : Je te prie, Éternel, délivre mon âme ! 5 L’Éternel est miséricordieux et juste, Et notre Dieu est riche en compassions. 6 L’Éternel garde les simples. J’étais devenu misérable, et il m’a sauvé. 7 Retourne, mon âme, en ton repos, Car l’Éternel t’a fait du bien. 8 Oui, tu as délivré mon âme de la mort, Mes yeux de pleurs, mes pieds de chute. 9 Je marcherai en présence de l’Éternel, Sur la terre des vivants. 10 J’ai cru, car j’ai parlé. J’étais extrêmement affligé. 11 Je disais, dans ma précipitation : Tout homme est menteur. 12 Que rendrai-je à l’Éternel ? Tous ses bienfaits sont sur moi. 13 J’élèverai la coupe des délivrances, Et j’invoquerai le nom de l’Éternel. 14 Je m’acquitterai de mes vœux envers l’Éternel En présence de tout son peuple. 15 Elle coûte à l’Éternel, La mort de ses bien-aimés. 16 Oui, ô Éternel ! Je suis ton serviteur, Je suis ton serviteur, le fils de ta servante ; Tu as délié mes liens. 17 Je te sacrifierai un sacrifice de louange, Et j’invoquerai le nom de l’Éternel. 18 Je m’acquitterai de mes vœux envers l’Éternel En présence de tout son peuple, 19 Dans les parvis de la maison de l’Éternel, Au milieu de toi, Jérusalem ! Louez l’Éternel !
Plan du commentaire biblique Il m’a sauvé C’est ici par excellence le cantique d’un homme que Dieu vient de retirer d’un grand danger. Le ton de ce psaume n’a pas la majesté du Psaume 103, qui est aussi un chant de reconnaissance ; la pensée de notre psalmiste ne se porte pas avec la même sérénité sur les richesses de l’amour de Dieu, pour en explorer les profondeurs. Son âme est encore trop frémissante, pour pouvoir faire entendre autre chose qu’un cri de gratitude et d’amour, qui revient sous différentes formes, à mesure que reparaît le souvenir d’une mort imminente. Le psaume est anonyme ; les formes chaldéennes de plusieurs mots font supposer qu’il a été composé à Babylone ou en tout cas après le retour de la captivité. S’il se rapporte à la délivrance nationale du peuple captif, plutôt qu’à un exaucement tout personnel, il est permis de supposer que nous avons ici le cri de reconnaissance d’un Israélite pieux, au moment où fut promulgué l’édit de Cyrus. L’émotion du psalmiste est visible ; des phrases entrecoupées et des pensées inachevées font saisir sur le vif l’agitation d’une âme à peine sortie d’une crise redoutable. Ce psaume, qui parle de ce qu’est pour l’Éternel la mort de ses bien-aimés (verset 15), acquiert, pour le chrétien, une valeur spéciale par le fait de l’encouragement qu’il apporta au Sauveur peu avant sa mort, puisqu’il fut de ceux que Jésus chanta avec ses disciples à son dernier repas (voir introduction au Psaume 113). On ne saurait s’attendre, en un psaume pareil, à un enchaînement très rigoureux des pensées. Pourtant, on peut donner aux quatre strophes les titres suivants : les liens de la mort, versets 1 à 4 le salut, versets 5 à 9 l’homme menteur et le Dieu fidèle, versets 10 à 14 les vœux du fidèle délivré, versets 15 à 19.
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J’ai détesté un film que mes amis ont adoré. Pourquoi ? Souvent on a les mêmes gouts et on partage des avis plutôt similaires. On s’entend quoi. Là, c’était diamétralement opposé, le jour et la nuit. Ils ont trouvé l’expérience incroyable, fabuleuse, moi j’ai complètement déchanté. Je ne suis jamais rentré dans le film, je l’ai trouvé long, grossier, sans intérêt. Tout simplement, rien ne m’a inspiré. Et ça, je l’ai senti dès les premières scènes, comme une atmosphère dans la salle de cinéma en mode « Jules, tu ne vas pas passer un très bon quart d’heure ». Je suis passé outre et me suis même déplacé de quelques sièges pour ne pas être dérangé par des ados abrutis, arrivés très en retard et bruyamment, sinon c’est pas drôle, assis devant. Bref, j’ai fait un effort quoi, j’ai pas fait l’con qui s’ferme à la première occasion. Je me suis donné les chances de pouvoir rentrer dans le film. Et ce moment n’est jamais arrivé. Au bout de 2H30, tendu, l’impression d’avoir perdu mon temps, je regarde Léna et j’lui dis : « on s’casse ? ». Bien d’accord, je la voyais gigotter depuis une bonne heure, elle n’a pas hésité. On prend nos affaires, on sort, enfin c’est fini. Soulagé. Qu’une envie ; rentrer dormir, au chaud, sous la couette, avec un livre, le chat et ma copine. Téléphone en flight mode à 20h30, je n’ai plus rien à donner, laissez-moi tranquille, je veux me reposer. Demain sera un autre jour, tout sera pardonné. Je connais la musique, quelques heures de sommeil et on peut recommencer l'air de rien, sans rancune. Faut pas hein, ça sert à rien d's'énerver ou d'en vouloir.
Sinon, pour vous en dire plus, essayer de comprendre ce qu’il s’est passé, je me suis senti embarqué dans quelque chose qui ne m’allait pas. Après quelques minutes de sons, de bruits, de couleurs et de personnages, j’ai senti l’indigestion arriver. C’était trop, tout le temps, dès le début. De la merde, des corps nus, de la drogue, du sang, la vulgarité, mais pour rien derrière, au service de rien du tout, enfin pas à mon sens. Aucun vent de fraicheur, si ce n’est quelques rires et de l’humour sale, bien noir. Je suis bon public, je rigole quand c’est crade et quand c’est trash. Mais trois heures, quatre heures même si on prend le temps d’attente, les pubs etc…c’est trop pour moi. Mon temps vaut plus, je n’ai pas du tout apprécié de la consacrer à ça : Babylon. En plus, les dialogues, les mises en scène pour rappeler ce que c’est le cinéma, les excès, la richesse et le pathétique de ses acteurs, sur la scène comme derrière la caméra, y’a rien qui m’a ému. Sauf deux fois où on voit Robbie jouer, pour sa première fois tout court et la première fois avec du son, c’était caricatural, forcé. Et pourtant, ce mec, Damien Chazelle m’a séduit avec ses deux premiers films. L’intensité de Whiplash et la magie de Lalaland m’ont accompagné du début à la fin du visionnage. Je n’ai jamais regretté d’être allé les voir. Même si Lalaland n’est pas mon style et que je ne l’ai jamais revu, j’en garde un bon souvenir.
Mais là, bordel, sur le papier, tout était fait pour que j’kiffe. Ce film, ça devait être l’apothéose, une œuvre géniale et complète qui inspire, qui rappelle, ce que c’est le cinéma et ce que ça a été, ce que c’est devenu, comment ça a évolué, les écueils, les victoires, la tristesse, le vide et le renouveau. J'ai presque été emballé quand le cafard fait la leçon à Brad Pitt, sur le fait qu'il n'est pas unique, qu'il y a que les films et ce qu'on laisse qui dure, la magie de la transmission et de la redécouverte, des années plus tard, par d'autres, bien après sa mort. A part ça et encore, j’y ai vu que des redites, des clowns d’eux même, du réchauffé avec plein de couleurs et de paillettes, des moyens quoi...au service d’un spectacle qui ne m’a jamais subjugué. Il a voulu en mettre plein les yeux, les oreilles et plein la tête. En soi, il a réussi. Mes amis, pour la plupart, ont été comblé, ébahi. Moi j’ai eu envie d’partir, très vite, comme si on avait « sucked my brain », volé mon énergie, ma liberté. Je sentais comme une tension du corps, électrique, qui me disait "aller vieux, t’en as assez vu, c’est pas pour toi, prends tes clics et tes clacs et casse toi d’ici." C’est quelque chose, partir en plein milieu d’un film, que je ne m’étais jamais autorisé. Mais je crois qu’il faut une première à tout. Comme en pari ou en investissement, il faut savoir vendre, racheter. Ou avec un livre, le fermer pour passer à autre chose, quitte à y retourner quand ce sera le moment propice, opportun. Avec les gens faut faire pareil aussi, savoir dire aurevoir, pour se respecter, quand on en a fini avec eux. C’est pas une honte de devoir partir dans la vie, bien au contraire, c’est un besoin, une nécessité, un luxe que peu de gens se permettent alors qu’il est vital, nécessaire. D’ailleurs, Aurélien, a été très intelligent et m’a dit, suite à un message où je m’excuse en disant qu’il n’y avait rien de personnel à ma sortie prématurée, « t’inquiètes, je comprends tout à fait, en plus c’était complètement l’objet du film. »
Et c’est vrai, je n’y avais pas pensé du tout. Margot Robbie, dans le film, connait une trajectoire un peu trop pentue, dans le mauvais sens du terme. Elle n’a plus la côte, sa voix passe mal avec le non muet. L’Amérique redevient puritaine, moraliste, elle ne veut plus de personnages incontr��lables, ni de femmes libres, dénudées, qui poussent à la pornographie et aux pensées impies. Ainsi, si Margot veut redécoller, elle doit s’acheter une conduite, se montrer chez les gens qui comptent et jouer à ce qu’elle n’est pas, une lèche cul bien gentille, correctement éduquée, qui fait des baises moins pour être reconnue, adoubée, et par extension, acceptée dans un monde de faux semblants, pince cul, qu’elle exècre et qu’elle déteste. Elle aime les excès, elle aime briller, même si elle est un peu dépravée, et le plus important, elle fait ce qu’il lui plait. C’est pour ça qu’elle a réussi à un moment, et qu’elle est allée quelque part. Au lieu de chasser son naturel, elle l’a écouté. Bon, le film, là-dessus, n’est pas du tout mal fait, au contraire, plein de nuance, la fille fantasque est victime de cette liberté qu’elle ne sait pas maitrisée, car elle est abusive, addicte, elle ne sait jamais s’arrêter. Mais rebelle et fière, à un moment du film, après avoir joué de longues minutes à la fifille de la haute dans un repas avec toutes les huiles de la société, parfaite, guindée, alors qu’elle voyait très bien comment les autres la jugeaient, la singeaient et la défiaient mesquinement pour la piéger à coup de questions sur la culture proute proute à l’européenne, elle finit par péter un câble et vomir littéralement sur tous ces gens qu’elle déteste. Parce qu’ils se mentent tous et qu’au fond ils ne savent même pas s’amuser, ni jouir ne serait-ce qu’une seconde. Pour elle ils sont dégoutants, moches, puants, c’est tout sauf l’humanité. C’est des gros pourris avec un balai dans l’cul, en représentation, qui font vivre ce théâtre de riches, pompeux, où tous les gros cons et les pétasses de la haute piaillent et se montrent sautement, pour faire bonne impression.
Voilà, elle n’était pas à sa place, et elle est partie, fuck. Et aujourd’hui, dans une moindre mesure, sans haine ni rien, si ce n'est peut-être pour l'inéducation des gens présents tout autour, bruyants, envahissants, indiscrets, et face à un spectacle qui ne m'a confus, égaré, ce fut le cas pour moi aussi. Y’a des moments, parfois, on mord à l’hameçon et on s’fait trainer, sur des heures, dans la joie et la bonne humeur, par un réalisateur. Et pas forcément de bon gout, il suffit juste que les planètes soient alignées, l’ambiance propice. Ce jour-là j’étais fermé, insensible, gavé. Comme quand t’arrives à une soirée et qu'les visages te disent rien, la musique non plus. Tu peux essayer, ça coute rien, et ça peut marcher. Mais là, nan. Est-ce parce que le film était mauvais ? Non, je ne me permettrai jamais. Je sais pas. Tout est très relatif, les gouts et les couleurs, tout ça…C’est juste qu’aujourd’hui ça n'm’a pas plu, et j’suis content d’être parti, pour aller lire un livre qui lui me passionne. Etre passé à autre chose, tout simplement. Y’a plein d’solution, on peut sortir à tout moment de c'qui ‘nous va pas. Personne vous oblige au fond, y'a q'vous et vous-même. Libre, responsable de vos choix, de faire ce qu’il vous plait. Mais pas trop, attention, tout a un prix. Et Robbie alias DelaRoy l’a payé.
Tiens, ça m'a presque donné envie d'le revoir ce film. Peut être que j'vais aimer tout compte fait.
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Lift To Experience - The Texas Jerusalem Crossroads (2001)
Il y a toujours des groupes que l’on regrette d’avoir découvert sur le tard. Moi-même il y a quelques années je me souviens avoir reproché à mon grand frère de ne pas m’avoir fait écouter Elliott Smith plus tôt. Des artistes dont on sait immédiatement qu’ils auraient pu nous accompagner et nous aider à concevoir la bande originale de notre vie. Comme il n’est jamais trop tard, c’est en tombant par hasard sur une rare interview de John T. Pearson c hez Pinkushion (un grand merci à eux) que j’ai basculé dans l’univers des Texans Lift To Experience.
Un personnage à la Jeff Mangum, qui après avoir composé cette unique œuvre long format, mit fin à jamais à son groupe pour disparaître du grand public si jamais il y était déjà rentré. On croise aujourd’hui ce barbu énigmatique entre Austin et Paris où il aime jouer acoustique et solo. Et cette œuvre en question rentre complètement dans cette catégorie d’album insurpassé, comme Pet Sounds, Loveless ou In The Aeroplane Over The Sea. Un album qui c’est évident ne peut que remporter ses cinq étoiles à la fin, désolé pour le spoiler.
Le contexte : John T. Person est un fils de Pasteur, né dans un Etat dont on connait tous les travers politiques. Ami de Trail Of Dead…, il s’entoure sobrement d’Andy Young à la batterie et de Josh Browning à la basse. John, lui, s’arme d’une seule et unique Fender Jazzmaster pour tout l’album, la guitare de Jay Mascis de Dinosaur Jr par exemple, mais aussi celle de Lovelessjustement des Bloody Valentines. Dans son esprit à lui, le Texas est au centre du monde, et c’est l’heure de l’apocalypse. Nait alors un concept album effrayant, où chaque parole est biblique ou mystique, jusqu’à cet enchaînement génial de titres liés à la suite sur la tracklist, jugez du peu : "Just as was told, Down came the angels," "Falling from cloud 9", "With crippled wings", "Waiting to hit", "The grounds so soft". Ca n’est que le premier cd, oui parce que l’on parle bien de double album Monsieur ! Quant au format : 2 disques, 11 titres entre 5 et 9 minutes pour au final plus d’une heure et quart de morceaux qui semblent n’en faire qu’un.
Evidemment la grande force de ce disque, c’est la voix de John. Lyrique, pénétrante, sobre, poétique et souvent rapprochée de Jeff Buckley. C’est indéniable, il y a un élément commun entre ces deux là, mais attention on ne se retrouve pas face à une pâle copie de l’auteur de Grace. Ici il n’y a que des "Grace" puissance mille pour vous dire. Et il se tient donc là, avec ses psaumes incantatoires, tel un évangéliste convaincu (pléonasme), et il nous fait voyager dans des terres arides que Mogwaï n’aurait pas reniées. C’est en fait un mal contagieux imparable. Pas forcément gai (euphémisme), John porte en lui un vague à l’âme qu’il exorcise à chaque instant, en spoken words ou en gueulant. Un western musical éprouvant. "Just as was told" est la première pierre de l’édifice, l’ambiance est posée, ça secoue. Des montées, des descentes, des breaks, une guitare qui en vaut douze, un texte biblique prêché par quelqu’un qui semble pousser son dernier souffle à chaque instant.
"Down came the angels". Minimaliste. Seul au fond de sa grotte, John parle à sa guitare et devient inquiétant. C’est d’autant plus la claque quand commence "Falling from cloud 9", premier morceau immense de cette œuvre. A trois ils organisent ce mur du son à la fois rock et noisy, et donnent de la flamboyance à leurs morceaux. Sans emphase, des classiques instantanés. Inutile de tous les nommer non plus. Même si on trouve grâce et beauté sur "With crippled wings", tension permanente sur "Waiting to hit", trémolos de guitare, explosion puis A Capella miraculeux sur le grandiose "The ground soft". Un dernier pour la route et non des moindres, "These are the days", titre ultime de ce disque, qui part d’arpèges célestes pour accoucher d’un délire noisy dantesque. Est-il besoin d’en rajouter ? En bref : le seul et unique testament d’un groupe étoile filante. Sombre, hypnotique, bouleversant, inoubliable, cet objet est destiné à devenir culte. Ceux qui n’y adhèrent pas seront maudits lors du jugement dernier.
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#the texas jerusalem crossroads#john t. pearson#lift to experience#2001#des oreilles dans babylone#affaires
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Adhelfí Psikhí - αδελφή ψυχή - 02.
02.
Il est maintenant 17 heures et je rentre chez moi. On est en octobre, l’automne est bien là et une nuit particulièrement fraîche commence à tomber. Je rentre dans le métro qui m’emmène chez moi et je mets mes écouteurs afin d’éviter l’atmosphère oppressante. Je déteste ça. Les gens sont en dépression, c’est sale et c’est stressant.
Pour une fois j’ai une place assise. Babylone de Népal joue dans mes oreilles et je ferme les yeux, mes doigts pianotant sur ma cuisse au rythme de la musique. J’ai hâte de rentrer. Je suis resté dans cette position pendant à peu près quatre sons quand je rouvre les yeux. Je penche la tête vers l’intérieur de la rame et balaye la petite foule du regard. La plupart des gens sont sur leur téléphone, certains avec des écouteurs, d’autre en appel, une dame se remaquille.
Mon regard s’arrête sur un jeune homme qui lit debout, le dos contre la paroi du métro. Il a le teint bronzé, j’aperçois ses cheveux foncés malgré la casquette noire qu’il y a par-dessus. Son regard suit les lignes du livre avec concentration. Il passe sa main sur son visage, frotte ses yeux noisette puis retourne à sa lecture. Un air fatigué sur son visage lisse. Je fixais cette main fine aux ongles soignées qui agrippait maintenant la couverture du bouquin. Un petit livre blanc et bleu. Mes yeux s’écarquillent lorsque le rapprochement se fait dans mon cerveau fatigué. J’ai un visage pour être aimé. C’est le garçon de la boutique. Ken. Je ne l’avais jamais vu dans ce métro alors que je prends cette ligne tous les jours. Mon cœur se mis à battre plus vite et je ne peux pas m’empêcher de continuer à le regarder. Il a toujours cet air concentré et semble aspiré par les mots de ce livre. Il est dans son propre monde sans aucune interaction avec l’extérieur. J’ai du mal à imaginer ce qu’il s’y passe. J’ai du mal à percevoir ce qu’il peut ressentir en lisant ces poèmes. J’ai du mal à le cerner. Mais pourquoi je veux le cerner ? Je ne lui ai même pas vraiment parlé et je l’ai même trouvé un peu froid quand il était à la bibliothèque. Et pourtant il a comme une aura qui m’attire, qui m’intrigue.
Je détache enfin mon regard du jeune homme et fixe maintenant la fenêtre du métro. De toute façon en quelle circonstance je pourrai lui parler. Peut-être à la bibliothèque mais il n’a pas l’air vraiment bavard. Je suis à l’aise avec les gens que je connais, plutôt excentrique dans mon genre, mais quand il s’agit d’un premier contact ou d’une rencontre je suis automatiquement timide et silencieuse. Je me vois très mal l’aborder même si j’en ai un peu envie. Attends Luna, tu t’emballes pas un peu là ? Non ça n’arrivera pas. Je ne vois pas comment et c’est mort de toute façon. Je regarde si le métro arrive bientôt et referme les yeux, jugeant que j’ai encore le temps avant mon arrêt, un léger sentiment de tristesse dans mon cœur que j’ai encore réussi à installer toute seule. Mais je suis comme ça et j’ai appris à vivre avec – ou plutôt appris à mettre mes ressentis de côté.
Je me réveille en sursaut au son de mon alarme. Il est 7h du matin et je commence les cours dans une heure. J’aurais pu me lever un peu plus tôt pour être sûr de ne pas arriver en retard mais dormir c’est beaucoup trop précieux dans cette vie. Je ne traine donc et file à la douche. Je relève mes cheveux teintés de pourpre dans un chignon rapidement exécuté et allume l’eau de la douche pour lui permettre de chauffer pendant que je retire mon pyjama. J’entre dans la douche et ferme les yeux pendant que l’eau chaude coule le long de mon corps encore endormi.
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It is now 5 p.m. and I am going home. It is October, autumn is here and a particularly cool night is beginning to fall. I get on the subway that takes me home and put on my headphones to avoid the oppressive atmosphere. I hate that. People are depressed, it’s dirty and it’s stressful.
For once, I have a seat. Babylon by Nepal plays in my ears and I close my eyes, my fingers quivering on my thigh to the beat of the music. I can’t wait to get home. I stayed in this position for about four sounds when I opened my eyes. Likewise, I lean my head inside the oar and sweep the little crowd with my eyes. Most people are on their phones, some with headphones, others on call, a lady making up.
My eyes stop on a young man who reads, standing with his back against the wall of the subway. He has a tan complexion, I see his dark hair despite the black cap on top. His eyes follow the lines of the book with concentration. He puts his hand on his face, rubs his hazel eyes, and then returns to his reading. A tired on his smooth face. I was staring at that fine hand with the neat nails that now grabbed the cover of the book. A little white and blue book. My eyes widen when the connection is making in my tired brain. J’ai un visage pour être aimé. That’s the boy from the library. Ken. I’ve never seen him on that subway before, and I take that line every day. My heart started beating faster, and I can’t help but keep looking at him. He still has this concentrated look and seems fascinated by the words of this book. He is in his own world without any interaction with the outside. I really can't define him. But why do I want to define him?
I didn’t even really talk to him and I even found him a little cold when he was in the library. And yet he has an aura that attracts me, that intrigues me.
I finally took my eyes off the young man and now stared at the subway window. Anyway, under what circumstances I could talk to him. Maybe in the library, but he doesn’t seem very chatty. I am comfortable with the people I know, rather eccentric, but when it comes to a first contact or a meeting I am automatically shy and silent. I don’t think I can handle it very well even if I want to. Wait, Luna, aren’t you getting a little too excited there? No, it won’t happen. I don’t see how and it’s hopeless anyway. I look if the subway is coming soon and close my eyes, thinking that I still have time before my stop, a slight feeling of sadness in my heart that I still managed to install on my own. But I’m like that, and I’ve learned to live with it – or rather, learned to put my feelings aside.
I wake up with a jolt to my alarm. It’s 7:00 in the morning and I start classes in an hour. I could have gotten up a little early to make sure I wasn’t late, but sleeping is way too valuable in this life. So I hurry and go to the bathroom. I pull up my crismon-tinted hair in a quickly executed bun and turn on the shower to allow it to warm up while I remove my pajamas. I enter the shower and close my eyes while the hot water flows down my still sleeping body.
*English is not my first language. I apologize if the sentences are not clear or if there are mistakes. Xoxo
#nekfeu#ken samaras#1995#l'entourage#s-crew seinezoo#romance#fall in love#lovestory#fandom#fanfic#poetry
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Oneohtrix Point Never - Age Of (Warp, 2018)
Je sais pas si vous vous rappelez aussi bien que moi du précédent, Garden Of Delete. De ces intros délicates avec un son rappelant le clavecin. Sur Animals par exemple, ou Sticky Drama. Ce nouvel album commence pareil. Clavecin, juno tubulaire, style baroque du futur. Je vois la tête du François 1er du futur. Qui arrive après le moyen âge du futur, celui que nous sommes en train de mettre en place aujourd'hui, lentement mais avec méthode et application.
Second morceau : c'est presque du Kanye West. Un individu parle à Babylone. Comme si c'était une personne. C'est une chanson étrange, elle est un peu mélancolique, avec une sorte d'autotune, formes mouvantes, ambiance urbaine d'altitude, à la Blade Runner, nuages de pollution, voitures volantes, sérénité maximum. Histoire de dire : c'était ça la civilisation à son apogée, un truc beau mais pollué, et comme pourri de l'intérieur. Un truc qu'on peut aimer et regretter, mais dont la disparition était inéluctable. C'est une tragédie à l'échelle de l'Histoire. Donc au ralenti, pas vraiment de quoi pleurer. C'est comme ça. C'est une mélancolie agréable.
La suite : pas trop de paroles. On est entre les vieux OPN des années 00, et les choses plus plastiques et futuristes d'aujourd'hui. C'est plutôt calme et bref.
Ensuite : encore du Kanye West qui parle d'une station qui brûle suite à une infestation. Un peu de romantisme à bord, de la harpe, des cordes, c'est délicat mais pas trop quand même (c’est de la musique pour les robots hein). Ce disque reste dans la retenue. Le précédent était rebelle, punk, marginal. Celui-ci, c'est l'album moyen tiède, représentatif. Il décrit quelque chose du point de vue de la classe moyenne du futur. Ces gens qui n'aiment pas trop ce qui est rugueux et bruyant. Ils savent apprécier la beauté, mais la beauté douce et consensuelle. Bon ok, les standards auront un peu évolué dans le futur, parce que les gens auront le nez dans la merde, encore plus qu’aujourd’hui, Daniel l'anticipe, c'est pour ça que cette musique peut choquer un peu les oreilles du citoyen moyen version 2018, celui qui écoute Virgin Radio. Mais patientez un peu vous verrez. Lopatin sera sur la FM dans quelques années.
Bref. C'est un disque un peu défaitiste. On ne sent plus l'envie de se battre. Plutôt, la contemplation, teintée de mélancolie, de ce que nous sommes en train de perdre : une belle planète, la richesse et la subtilité des émotions humaines, la vie sans robots. Les machines du futur seront obsédées par les hommes. Elles voudront leur ressembler. De toutes leurs forces. Ce sera leur principale source de névrose robotique, comme la peur de la mort est la nôtre. Eux, c'est la peur d'être déjà mort qui les plongera dans la dépression.
AUtotune encore, la chanson s'appelle Black Snow. Minimaliste : une basse faussement acoustique, des snaps sur les temps pairs, une voix filtrée de toutes ses basses, quelques petits bruits marrants. Du bruit blanc. Cette chanson prend le point de vue d'un témoin de l’holocauste. La neige noire en est le signe visible. On nous intime de mettre tout ce qu'on peut à l'abri : des graines. Pour que les choses puissent repartir ensuite, pour qu"un petit bout de l'ancien monde survive. On en est là. Vous avez déjà entendu parler de la Réserve mondiale de semences du Svalbard ? Il parait qu'elle est déjà en danger, à cause du réchauffement climatique. Autrement dit : il y a du boulot.
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Un instrumental ensuite. Avec des voix hachées, des cris, un peu de saturation, du verre qui se brise. et presque pour unique parole : WARNING WARNING WARNING etc... C'est un avertissement mais pourquoi le placer après Black Snow, qui acte la fin du monde, je sais pas. Peut-être pour nous signifier que c'est déjà trop tard, comme le disent tout un tas d'experts qui me paraissent assez compétents et raisonnables.
Bon la suite, c'est le monde d'après, les ruines, les T-1000 qui avancent lentement mais sûrement parmi les décombres, les tas de crânes qui s'amoncèlent au fond des cratères, la violence, le chaos, l'absence de vie ou presque. Terminator 2, c'est un très grand film.
Ensuite il y a cette chanson un peu plus symphonique qui s'appelle Same. Qui contient les lignes suivantes : "Undo Us", "same above, fool to dream machine to dust". C'est court et je comprends pas exactement mais je crois que c'est Anohni qui chante. D'ailleurs, je crois que cette personne a eu une influence déterminante sur cet album. Son côté désespéré et catastrophiste et inquiet.
Bon, ensuite, des trucs japonais du futur, classique OPN version 2. Très classe. L'équivalent lopatinesque de la fin de Alone in Kyoto du groupe Air. Salon bien rangé, meubles et objets de designers minimalistes, ambiance japonisante, fenêtre qui donne sur l'océan. Vous savez pourquoi les cyber punks et autres futurologues pop s’intéressent autant à l’Asie ? C’est parce que les gens là bas sont plus pragmatiques, s’adaptent mieux au réel et survivront plus longtemps que nous autres occidentaux illuminés. Un jour bientôt, le centre du monde sera la mer de Chine. C’est tout.
Grand blanc, cassure, pause, puis dernier acte, on retourne à la chanson autotunée. Celle ci est un peu jazzy, avec une caisse claire caressée par un balais, et tout. Bon. Ces arpèges de harpe, encore et toujours. Plus le juno en onde carrée. Au moins, on peut dire que le disque est très homogène. C'EST bien ça fait sérieux. Daniel avait un objectif, un programme, il s'y est tenu. C'est un disque d'adulte conscient, concerné et concentré. Il va nous faire une belle carrière à la Peter Gabriel ou toutes ces pop stars très intelligentes qui ont quelque chose à dire sur l'état du monde et qui donnent des concerts où on se sent presque tenu de venir en costume. D'ailleurs, Barak Obama traine souvent dans le coin. Brian Eno, un peu jaloux, se contente de regarder le concert sur Youtube. Comme d'autres ont vu le concert de Jon Hassell au World Trade Center en VHS.
Bref. C'est pas ton disque préféré. C'est pas le disque qui te met à genoux en pleurant. C'est le disque que tu vas mettre en fond en faisant la cuisine, ou éventuellement quand tu reçois des amis un peu cultivés et sophistiqués, avec qui tu pourras parler de ce bouquin de Pablo Servigne et Raphael Stevens. Evidemment, tu peux aussi l'écouter lors d'une session champis (ça reste du Dan Lopatin). Personnellement, je regrette le côté cyberpunk adolescent de Garden Of Delete, cette célébration des mutants et des laissés pour compte qui bouillonnait et grouillait d'excroissances crasseuses. Mais bon. L'heure n'est plus à la célébration. Comme je le disais, Daniel a pris conscience des événements catastrophiques qui se profilent pour l'humanité, grâce à son amie Anohni avec qui il a eu de sérieuses discussions sur l'état de la planète. Je le sais parce que je l'ai lu dans une interview. Lisez Noise Magazine, c'est bien. Mais si vous êtes sur mon blog, vous connaissez sûrement Noise. Alors voyez ceci comme un rappel : il faut acheter et lire Noise. (non je ne travaille pas pour ce journal).
Sacré Daniel. C'est un bon gars.
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« Tu m’as brisé, je pensais pas que quelqu’un pourrait être aussi mauvais. C’est trop malsain, je m’en vais avant que ça parte plus en couille. » Putain. Si j’avais su que je venais pour entendre ça, j’aurais déguerpis plus vite (rapidement). J’ai des étoiles dans le ventre et une boule dans les oreilles, enfin je crois. Je sais même plus qui je suis, j’ai l’impression de ne pas me reconnaître : moi j’aurais blessé quelqu’un, que j’aimais et admirais, et volontairement ? Le soir tombe, le vent se lève. Je me demande si j’ai déjà été heureux après tout. Oui, bien sûr, si tu crois que c’est ça être malheureux ; je vois que la voix dans ma tête est toujours vive et alerte, prompte à me signifier mes plus infimes erreurs (mais c’est moi cette voix, pourquoi je suis aussi dure envers moi-même). Je suis la lumière, dans cette ville inconnue : je suis au pays des fantômes et esprits à têtes non plus humaines mais animales, syncrétisme millénaire de formes familières mais pour moi d’autant plus étranges que fascinantes. Je lève les yeux, je suis dans une ruelle qui brille comme en plein jour : mille Ganesh me fixent d’un air doux mais pénétrant (ils lisent en moi ces éléphants ?), j’ai l’impression d’être démasquée de quelque chose que je n’aurais même pas envisagé de faire. Cette sérénité me frustre, soit j’ai perdu mon temps en recherches de bonheur vaines car toujours dirigées vers des objets matériels, soit cette philosophie est détachée de la vie moderne et difficilement applicable : pas de demi-mesure en Occident, si l’un est mal alors l’autre (le sien) sera bon. J’ai besoin de me positionner dans une haute position morale, pourquoi ? Si je juge les autres j’ai beaucoup moins de temps à accorder à mes défauts.
Je suis à Métropolis, il fait chaud mais moins étouffant que Bangkok. En attendant la pluie, les souvenirs de la journée : jardins luxuriants, qu’auraient enviés Babylone, barres lumineuses d’habitations formatées, même la démesure est contrôlée ici. Je me retrouve pourtant dans la seule rue où il y a, je le comprends après quelques jours d’observation, un traffic de clopes. Je sentais que quelqu’un me suivait, mais ici l’atmosphère calme prête à un laisser-aller et un abaissement des réflexes ; j’ai continué à m’enfoncer dans ce parc forêt, en montant d’abord une colline (cette vue de la baie et des immeubles) puis près d’un pavillon, j’ai aperçu un sentier qui avait l’air bien moins emprunté. Un couple qui faisait l’amour, contre le mur qui longeait le sentier : j’étais donc pas la seule à trouver que l’atmosphère répressive de la ville réveillait les mauvais instincts. Perdue dans mes pensées, je venais de remarquer qu’un inconnu était derrière moi et il avait eu le temps de m’attraper les mains et les attachait dans mon dos (qui se promène avec des cordelettes dans ses poches ? C’était prémédité ?). Je voulus crier mais il avait mis une de ses mains sur ma bouche tout en commençant à me caresser les seins. Je commençais à paniquer, car ici on m’aurait arrêtée pour une telle mise en scène sexuelle. Ce n’était pas un inconnu, mais un jeune que j’avais rencontré quelques semaines plus tôt dans mon voyage : depuis combien de temps attendait-il d’accomplir cela ? Il m’avait mise à genoux tout en tenant toujours ma bouche fermée, je sentais ses doigts s’aventurer vers mon clitoris et le masser doucement : je commençais à me détendre car je le trouvais beau, même si m’entraver ressemblait à une prise de sexe sans consentement. Il écarta le tissu léger de mon string et déjà excitée, à la fois par sa traque et la vision du couple, il rentra facilement en moi. Il commença également à enfoncer ses doigts dans ma bouche, je les suçais avidement (j’avais eu raison de mettre une robe). Il me tint les bras pour que je me penche et sois ainsi mieux empalée sur lui, je gémis, il me tira les cheveux et se pencha sur moi « tais toi, tu veux te faire bannir d’ici pour moi ? « . J’essayais de me contenir pendant qu’il me pénétrait profondément, par terre dans un parc à l’autre bout du monde. J’étais sa chose et j’aimais ça.
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Motivé pour l'engagement.
Bien que Daniel vivait en captivité à Babylone, il résolut dans son cœur de ne pas violer la loi de Dieu. Qu’est-ce qui a motivé ce jeune homme à vivre un tel engagement ?
DÉVOTION À DIEU
Daniel a déterminé qu’il ne désobéirait pas à Dieu et ne se souillerait pas. Se consacrer à Dieu signifie choisir de se mettre à part pour l’aimer, l’adorer et lui obéir uniquement. Lorsque nous gardons Jésus-Christ au centre de nos préoccupations, notre cœur déborde d’action de grâce et nous sommes motivés à rester fermes.
DIRECTION CLAIRE
Si Daniel avait catégoriquement refusé de manger la nourriture du roi, il aurait probablement perdu la vie. Le Seigneur lui a donné, ainsi qu’à ses amis, la sagesse dont ils avaient besoin pour élaborer un plan alternatif, puis leur a également donné le courage de demander la permission de le mettre à exécution. Notez qu’il n’y a pas eu de forte demande, d’argumentation ou d’esprit rebelle. Leur comportement était marqué par la confiance en Dieu et la dépendance à son égard.
Grâce à la prière quotidienne et à la méditation de la Parole de Dieu, nous pouvons garder nos yeux centrés sur Christ, nos oreilles attentives à sa voix et notre cœur motivé à obéir. Nous pourrons prendre le même engagement sans réserve que Daniel. Alors, demandez-vous : « à quel point suis-je désireux de faire la volonté de Dieu ? »
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Les Éternels - Bande-annonce officielle (VF) | Marvel (sortie le 03 novembre 2021)
Dieu a ses élus, le diable aussi et cela fait des années que l’industrie cinématographique programme la population mondiale avec ses héros aux super-pouvoirs décrits dans ce film comme étant "Les plus grands guerriers que le monde ait jamais connus."
Leur devise : “Ce qu’on aime, on le protège” en parlant des habitants de la terre “qu’ils ont aimés dès leur arrivée”, sous-entendant qu’ils viennent d’ailleurs, ce sont donc des extraterrestres à visage humain (donc pas de lignée adamique).
On prépare le monde a un prochain “contact” (Blue Beam ou quelque chose de similaire).
Le tout est filmé dans des décors de l’antique Babylone avec “La Porte des Dieux”, The Ishtar Gate.
Images de tsunamis, de volcans en éruption, symbolismes et chiffres subliminaux...
Cela rappelle également la série 4 400 en 2004 dont la diffusion du reboot a débuté le 25 octobre dernier aux Etats-Unis.
Il n’y a pas de hasard, l’agenda de l’adversaire suit son cours.
Répétons-le une nouvelle fois, les films depuis leur début utilisent le Mind Control (MK) pour manipuler les gens afin de banaliser ce qui doit arriver et qui est en train d’arriver à la Fin des Temps.
Résultat, on est habitué, blasé et surtout on a ni le temps de réfléchir, ni l’envie d’approfondir le sujet, y compris parmi les croyants :
“ Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance. Puisque tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai, et tu seras dépouillé de mon sacerdoce; Puisque tu as oublié la loi de ton Dieu, J'oublierai aussi tes enfants. “ (Osée 4:6)
La connaissance, la compréhension et les révélations viennent de la lecture de la Bible et du Ruah Ha Kodesh, et en fait, assez peu de gens sont connectés au “Souffle divin”.
Avant notre conversion, ces super héros nous ont fait rêver avec tout ce qu’ils étaient capables de faire par leurs propres moyens et puis nous avons compris que Satan et son éternel orgueil était derrière tout cela.
Ces personnes existent vraiment et les “capacités” montrées dans ces films sont réelles, mais cela n’impressionne aucunement les Enfants de Dieu.
Ce thème a d’ailleurs été repris par Pzifer afin de vacciner les enfants plus facilement prétendant que cette injection leur permettra d’avoir des super pouvoirs. Une honte quand on voit les effets secondaires graves !
Parents, protégez vos enfants !
Les élus de Dieu, qui sont prédestinés depuis leur naissance, sont l’antithèse des élus du diable.
Ils sont déjà et seront détestés, attaqués et persécutés parce qu’ils annonceront la vérité de ce qui arrive, et auront une odeur de mort pour la majorité des gens qui ne veulent entendre que des fables agréables aux oreilles, y compris parmi le “peuple de Dieu et certains de ses serviteurs”.
Beaucoup confondent SURNATUREL et SPECTACULAIRE.
C’est l’Esprit qui fait la différence d’où l’importance d’être guidé par le Ruah uniquement et pas par la voix des hommes.
Le SURNATUREL est un miracle du fruit de l’Esprit (procure soulagement et paix) alors que le SPECTACULAIRE est le résultat d’une envie charnelle (génère excitation et exacerbation) que l’on pourrait illustrer par le proverbe suivant :
“ Toutes les choses sont difficiles, l’homme ne peut les expliquer par le discours. L’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre. “ (Ecclésiaste 1:8)
On en veut toujours plus alors que ce que l’on reçoit par l’Esprit nous comble.
N’est-ce pas le cas lorsqu’on regarde ces films ? Plus d’effets spéciaux, plus d’explosions, plus de morts, plus de sensations, plus de catastrophes. Il faut qu’on en est pour notre argent et sans s’en rendre compte, on se remplit de morts et de destructions.
Tout l’opposé de Yahshua, Notre Sauveur qui a versé son sang afin que nous ayons une vie abondante (sa présence en nous par son Esprit, vie de sainteté, repentance, pardon, etc...).
Il est important de discerner l’un de l’autre car nous verrons les deux.
Le SURNATUREL est orchestré par Elohim pour ses enfants dans le but de les sauver (exemple de l’ouverture de la Mer Rouge en Exode)
Le SPECTACULAIRE est conçu par Satan dont l’unique objectif est de tromper et de manipuler les masses comme dans ces films.
Soulignons le fait que nous ne vivons pas selon le même tempo, à savoir que les Enfants de Dieu fonctionnent selon le Kaïros du Père et le monde dans le Chronos de Satan.
D’où cette impression de décalage, voire de retard que l’on peut parfois ressentir et qui nous rend impatients.
Avant le refuge physique, il y a le refuge en Esprit auprès de notre Créateur.
Vivre en Esprit (refuge), c’est être dans le Kaïros, peu importe ce qui se passe dans le Chronos. On voit ce qui s’y passe, mais notre objectif est tout autre.
Les événements sont des marqueurs de temps qui nous permettent de nous situer par rapport au Plan du Père et utiles aux Sentinelles de Dieu et également aux Enfants de Dieu car certains doivent entrer en action à un moment précis que Père leur a dévoilé.
Dieu nous a créé pour que nous puissions ressembler et imiter Yahshua et être au service des autres, alors que le diable excite la chair et l’orgueil des gens afin qu’ils se prennent pour des dieux dans le but de les dominer.
On ne s’autoproclame pas “Elu de Dieu”, c’est l’Esprit qui est en chacun qui permet de les reconnaître, comme nous reconnaissons la voix de Dieu quand il nous parle.
C’est un Esprit qui parle à notre Esprit si on marche dans l’obéissance, dans la vérité et l’amour (c’est conditionnel).
“ Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit ET en vérité. “ (Jean 4:24)
Et quand ils se trouvent, ils mettent leurs dons et talents en action dans le mouvement de l’Esprit au service du Plan que Père a prévu pour eux seuls.
Ils s’impulsent mutuellement et s’alignent les uns par rapport aux autres.
Les prières sont plus impactantes et l’effet dans le monde spirituel plus significatif.
Que chacun puisse trouver les membres du corps auquel il appartient, c’est une joie de retrouver celles et ceux qui ont le même appel que soi et il y a une harmonie qui se met en place surnaturellement (après parfois quelques moments compliqués).
C’est la convergence des informations fournies par le Ruah à notre Esprit qui nous guide vers les personnes qui ont reçues cette même information et la connexion s’établie.
Les événements douloureux qui ne sauraient tarder vont aussi faciliter les prises de contact car il y a un immobilisme prégnant.
Comme toujours, nous avons besoin d’être acculés, traqués, persécutés pour bouger.
Nous sommes dans un temps de préparation et de connexion.
Nous ne sommes pas en retard.
Dieu est fidèle, restons fermes dans l’assurance de son intervention prochaine dans nos vies si nous lui obéissons.
Soyez béni(e)s.
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Psaumes 92
Il y a un repos pour le peuple de Dieu !
1 Psaume. Cantique pour le jour du sabbat. 2 C’est une belle chose que de louer l’Éternel Et de psalmodier à ton nom, ô Très-Haut ! 3 D’annoncer le matin ta bonté Et ta fidélité durant les nuits, 4 Sur l’instrument à dix cordes et sur la lyre, Aux accords de la harpe. 5 Car tu me réjouis, ô Éternel, par tes œuvres, Et je célèbre avec transports les ouvrages de tes mains. 6 Que tes œuvres sont grandes, ô Éternel ! Et combien sont profondes tes pensées ! 7 L’homme stupide n’y connaît rien, L’insensé n’y prend point garde : 8 Quand les méchants poussent comme l’herbe, Et que fleurissent tous les ouvriers d’iniquité, C’est pour être détruits à jamais. 9 Mais toi, tu es haut élevé à toujours, ô Éternel, 10 Car voici, tes ennemis, ô Éternel, Car voici, tes ennemis périront ; Ils seront dispersés, tous les ouvriers d’iniquité. 11 Et tu élèves ma corne comme celle du buffle, Je suis oint d’une huile toute fraîche, 12 Et mon œil aime à regarder ceux qui m’épient, Mon oreille à entendre ceux qui s’élèvent méchamment contre moi. 13 Le juste poussera son jet comme la palme, Il s’élèvera comme le cèdre du Liban. 14 Plantés dans la maison de l’Éternel, Ils fleuriront dans les parvis de notre Dieu. 15 Ils porteront encore des fruits dans la blanche vieillesse, Ils seront pleins de sève et verdoyants, 16 Pour annoncer que l’Éternel est droit. Il est mon rocher, et il n’y a point en lui d’iniquité.
Plan du commentaire biblique Il y a un repos pour le peuple de Dieu ! D’après les indications très détaillées de la tradition juive, concernant la célébration du culte, dans la période qui suivit le retour de l’exil de Babylone, ce Psaume était chanté dans le temple le matin et le soir de chaque sabbat. Peut-être avait-il été composé à cet usage. Il est certain que la pensée centrale du Psaume nous transporte à ce grand sabbat, dont le repos hebdomadaire n’est que l’image, où l’humanité renouvelée célébrera la destruction complète du mal et jouira, dans la communion de son Dieu, de toute la plénitude de vie qui lui est destinée. La certitude de ce qu’il y a d’éphémère dans la prospérité des méchants, de durable dans celle des justes, est déjà exprimée, sous forme d’enseignement, dans les Psaumes 37 et 49 ; elle apparaît au Psaume 73 comme le résultat de la lutte douloureuse du croyant contre le doute. Ici c’est en pleine action de grâces et comme en plein sabbat, que nous sommes transportés dès le début. Le psaume comprend cinq strophes, de trois versets chacune.
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Troisième partie | 27 mai 2019
LE SPLEEN
Dans un ciel aux couleurs rococo, les deux cheminées de l’incinérateur percent la brunante. Juché au sommet, Joaquim Ieu-Mieux veille sur l’humanité qui renaît au gré du solstice.
Assis au sommet de sa cheminée, Joaquim balance ses pieds doucement dans le vide. Son regard se perd dans la courtepointe verte et blonde des diamonds. Il contemple de haut ce grouillis de vie et soupire.
Hélas, ce monde ne lui appartient pas. Une brise passe. Son cœur est lourd. Il a le spleen. Toute ça.
Il contemple de haut ce groupuscule de petits animaux beiges qui changent d’allégeance d’une semaine à l’autre : sans foi, deux lois (porter un chapeau, passer à côté du marbre), pas de principe, pas d’écoute. Ce sont, au fond, des mercenaires. Ils sont libres, ils sont vulgaires et ils sont extraordinaires. Joaquim est envieux.
Confiné à ses cieux aériens, Joaquim commence à trouver que sa vie manque de matière. Il avait entendu parler vaguement de la perversité de ce monde, de l’ubiquité du mal qui y régnait. Il paraissait même que ces êtres mangeaient les enfants d’autrui. Mais ce qui se dit entre les nuages finit souvent par passer en vent.
Et pourtant…
La tentation le tenaille.
Il a envie de sentir l’odeur de l’herbe qui s’arrache sous les crampons.
Il a envie de humer l’odeur des soucisses.
Il a envie d’être ébloui par la réalité du soleil.
Il veut savoir ce que l’on ressent lorsqu’une veine de la main éclate en attrapant un relais su’a sauce.
Il a envie de se mettre de la Big League Chew plein la gueule.
Il a envie de manger des graines en courant en avalant un hot dog en buvant une bière.
Il veut connaître ce que l’on ressent quand on frappe une balle au summum de sa vélocité.
Il veut trianguler sa course comme un grand voltigeur.
Il veut toucher ce terrain lisse comme le dos d’une femme.
Il a envie de bummer au parc jusqu’au crépuscule.
Et de ne plus revenir.
En observant plus attentivement le fourmillement du diamond, Joaquim aperçoit tout à coup l’un des joueurs qui se présente au marbre. Dans un cri rauque, la créature dégaine un élan terrible. L’impact du bat contre la balle fait vibrer la stratosphère et le projectile déchire le ciel. Le bleu est scindé par un halo de lumière jaune pâle-blanc qui tourne sur le gold. Une mouette pousse un cri divin. La communauté céleste est flabergastée. Un chœur de jeunes chérubins capote. Joaquim Ieu-Mieux voit alors, comme une rédemption, une brèche s’ouvrir sur le terrain de sa convoitise. Il ouvre grand les bras, se lance et fait un saut magnifique.
LA CHUTE
C’est dans un vêtement synthétique, coiffé de boucles blondes et arborant des écouteurs dans les oreilles que Joaquim Ieu-Mieux se matérialise sur la terre ferme. La chute est brutale : il est en sueur, il a le souffle court et son corps fait des mouvements étranges parmi d’autres corps qui font également des mouvements étranges. Autour de lui, des gens courent (mais que fuient-ils ?), ploient sous le poids de la gravité, s’adonnent à une procession débilisante de gestes répétitifs et douloureux. Ils appellent cela le Crossfit. Il lui semble assister à une orgie de gens qui se font violence, haletant et souffrant dans l’effort d’exister, dans la plus grande indifférence générale.
Puis, il l’aperçoit enfin.
Dans un flare chaud et ondoyant, comme une terre vierge qui fend la brume, son Atlantide, ses jardins de Babylone, son Gibraltar géant : le terrain de balle.
Des clôtures Frost dans le soleil couchant. Des clôtures Frost hautes et d’autres moins hautes sur lesquelles s’accoter. Des coussins. Des coussins qui expirent la poussière sous le poids des spikes, des coussins NEUFS posés par un bonhomme content d’être là. Des bats verts des bats bleus des bats mauves des bats avec une CAPE. Des balles. Des balles denses, des leather core, des 207, des 244, des balles JAUNE FLUO. Des pads des casques des canettes des gourdes des ti-gants. Des estrades. Des photos dans les estrades, des hobos dans les estrades, des drogués dans les estrades, des estrades en MÉTAL et des gens qui tapent dans les mains DEDANS les estrades et des vélos barrés DESSURE les estrades. Du sable blond et du sable blanc placé EN LIGNE. De l’herbe neuve, de l’herbe qui sent bon, de l’herbe fraîche. Des animaux, des animaux muselés, des mustélidés.
C’est comme un poème de baseball. C’est comme une épiphanie du loisir. C’est LA. PLUS BELLE. CHOSE. QU’IL A VUE. DE SA. VIE.
Mais.
Malgré la beauté du spectacle, le rideau se lève sur un cirque humain désolant.
Un premier drame conjugal éclate : deux frères, tels Caïn et Abel, s’invectivent ; trois joueuses se crient leur fiel. Et ils sont pourtant tous coéquipiers. Et il n’y a toujours pas eu de premier lancer.
Les joueurs se garrochent sur les buts comme la misère sur le pauvre monde. Il n’y a pas de soucisses, seulement des bières sans alcool et de la fucken Agostura. Des relais sont lancés dans les jambes des coureurs et le lanceur se pourlèche les babines d’être au centre de ce théâtre de fous où il reçoit en pleine gueule les flèches de ses adversaires et s’en délecte, exhibant derrière le grillage de son masque ses incisives dans un rictus vulgaire. Mais il s’élance toujours. Il n’a pas peur. Il est le seul joueur de cette grande tragédie.
À travers la clôture Frost, Joaquim croise le regard d’un chien muselé.
Ce dernier est triste comme la pluie.
Joaquim Ieu-Mieux commence à avoir la nausée...
Il décide alors de fuir, loin des insultes, loin de cette zizanie. Cherchant son air, il prend appui sur un arbre et baisse la tête. Il ferme les yeux. Il revoit son ciel pastel, ses cumulus duveteux. La brise, l’effleurement des ailes des oiseaux... Son paradis perché lui manque. Il ne sait plus ce qu’il fait ici-bas. L’humanité lui était moins violente lorsqu’elle n’était qu’un murmure sous les cheminées.
Et c’est alors que, Jimbo, le même frappeur ayant déchiré plus tôt le ciel de son circuit, se présente à nouveau au marbre...
BULL’S EYE
Le doigt de Dieu. La puissance divine venue punir Joaquim Ieu-Mieux pour son trip de flanc-mou s’abat sous la forme d’une softball Louisville 207 en plein entre ses deux omoplates et l’envoie direct au tapis.
Dans la confusion de l’impact, Joaquim ne voit plus que du noir. La douleur lui coupe le souffle. Il se roule mollement dans l’herbe en maudissant cet endroit dans lequel il s’est jeté, ce maudit parc de cabochons. En tentant de reprendre ses sens, il se promet de ne plus jamais s’épivarder de la sorte et de se tenir bien tranquille à la cime de ses cheminées. Les joueurs, tout à coup rassemblés autour de lui, le fixent d’un œil hagard et vide. L’un d’eux le poke d’une branche. Un autre se gratte la fourche. Tous sont inutiles. Terrifié, Joaquim Ieu-Mieux se relève laborieusement et prend ses jambes à son cou.
LA FIN
Perché au sommet de sa cheminée de briques tel un Humpty Dumpty penaud, Joaquim n’est jamais revenu entier de sa chute. Il lui arrive souvent d’aller porter sa main entre ses deux omoplates pour aller gosser dans la stigmate laissée par la 207, douloureux souvenir de son passage sur Terre. Il traînera à jamais la trace de son désir coupable pour les sports de balle, mais ne s’y méprendra plus jamais : ce monde n’est pas pour les chochottes.
– Guindon
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S'envolent les colombes Se posent les colombes Prépare-moi la terre, que je me repose Car je t'aime jusqu'à l'épuisement Ton matin est un fruit offert aux chansons Et ce soir est d'or Nous nous appartenons lorsque l'ombre rejoint son ombre dans le marbre Je ressemble à moi-même lorsque je me suspends Au cou qui ne s'abandonne qu'aux étreintes des nuages Tu es l'air se dénudant devant moi comme les larmes du raisin L'origine de l'espèce des vagues quand elles s'agrippent au rivage Et s'expatrient Je t'aime, toi le commencement de mon âme, toi la fin S'envolent les colombes Se posent les colombes Mon aimé et moi sommes deux voix en une seule lèvre Moi, j'appartiens à mon aimé et mon aimé est à son étoile errante Nous entrons dans le rêve mais il s'attarde pour se dérober à notre vue Et quand mon aimé s'endort je me réveille pour protéger le rêve de ce qu'il voit J'éloigne de lui les nuits qui ont passé avant notre rencontre De mes propres mains je choisis nos jours Comme il m'a choisi la rose de la table Dors, ô mon aimé Que la voix des mers monte à genoux Dors, mon aimé Que je descende en toi et sauve ton rêve d'une épine envieuse Dors, mon aimé Sur toi les tresses de ma chevelure. Sur toi la paix S'envolent les colombes Se posent les colombes J'ai vu avril sur la mer J'ai dit : tu as oublié l'attention de tes mains Tu as oublié de prier sur mes blessures Combien de fois pourras-tu naître dans mon sommeil Et me tuer pour que je m'écrie : je t'aime Et que tu retrouves la paix ? Je t'appelle avant la parole Je m'envole avec tes hanches avant de parvenir à toi Combien de fois pourras-tu mettre dans le bec de ces colombes les adresses de mon âme Et disparaître comme l'horizon dans les montées Pour que je me rende compte que tu es Babylone, l’Égypte et Damas ? S'envolent les colombes Se posent les colombes Où m'emportes-tu, ô mon aimé, loin de mes parents De mes arbres, mon petit lit et mon ennui Mes miroirs, ma lune, l'armoire de ma vie Mes veillées, mes habits et ma pudeur ? Où m'emportes-tu, mon aimé, où ? Tu allumes des prairies dans mes oreilles, tu me fais porter deux vagues Tu me casses deux côtes, tu me bois, puis tu t'enflammes Et tu m'abandonnes sur la voie de l'air vers toi C'est injuste… injuste S'envolent les colombes Se posent les colombes Parce que je t'aime, je saigne à la taille Et je cours de douleurs dans des nuits agrandies par la peur de ce dont j'ai peur Viens souvent et absente-toi peu Viens peu et absente-toi souvent Viens et ne t'arrête pas, ah ce pas arrêté ! Je t'aime quand je te désire. Je t'aime quand je te désire Et je puise ce rayon cerné par les abeilles et la rose éblouissante Je t'aime, ô malédiction de la passion J'ai peur de toi pour mon cœur, j'ai peur de l'accomplissement de mon désir Et quand je te désire, je t'aime Je t'aime, corps créant les souvenirs et les étouffant avant qu'ils ne s'accomplissent Je t'aime quand je te désire Je modèle mon âme à l'image des deux pieds, des deux paradis Je frotte mes blessures aux pans de ton silence et de la tempête Je meurs pour que la parole trône sur tes mains S'envolent les colombes Se posent les colombes Parce que je t'aime l'eau me blesse Les chemins vers la mer me blessent Le papillon me blesse L'appel à la prière du jour éclairé par tes bras me blesse Ô mon aimé, je t'appelle durant mon sommeil, j'ai peur que les paroles avisent L'abeille pleurant entre mes cuisses Parce que je t'aime L'ombre sous les lanternes me blesse Un oiseau dans le ciel lointain me blesse Le parfum des violettes me blesse Le commencement de la mer L'aboutissement de la mer Ah, si je pouvais ne pas t'aimer Si je pouvais ne pas aimer Afin que le marbre guérisse S'envolent les colombes Se posent les colombes Je te vois, et j'échappe à la mort. Ton corps est un havre Avec dix lis blancs, dix doigts, le ciel s'en va Vers un bleu qu'il a perdu Et je saisis cette beauté de marbre, une odeur de lait caché Dans deux pêches sur l'albâtre. Puis je me mets à adorer celle qui donne asile à la terre et à la mer Sur la rive du sel et miels originels, je m'abreuverai à ta nuit-caroube Et je m'endormirai sur le froment qui brise le champ Brise jusqu'au sanglot qui se rouille Je te vois, et j'échappe à la mort. Ton corps est un havre Pourquoi la terre me fait-elle errer de par la terre ? S'envolent les colombes Se posent les colombes Mon aimé, j'appréhende le silence de tes mains Frotte mon sang pour que la jument s'endorme Mon aimé, les femelles des oiseaux s'envolent vers toi Prends-moi comme épouse ou souffle Mon aimé, je resterai Pour que les pistaches de ma poitrine grandissent à tes yeux Et que les gardiens m'arrachent à tes pas Mon aimé, je pleurerai sur toi, sur toi Car tu es le toit de mon ciel Mon corps est ta terre sur cette terre Mon corps est ta demeure S'envolent les colombes Se posent les colombes J'ai vu sur le pont L'Andalousie de l'amour et du sixième sens Sur une rose desséchée Il lui a remis son coeur Et a dit : l'amour me coûte ce que je n'aime pas Il me coûte son amour Puis la lune s'est endormie Sur une bague qui se brisait Et les colombes se sont envolées J'ai vu sur le pont L'Andalousie de l'amour et du sixième sens Sur une larme désespérée Elle lui a remis son coeur Et a dit : l'amour me coûte ce que je n'aime pas Il me coûte son amour Puis la lune s'est endormie Sur une bague qui se brisait Et les colombes se sont envolées L'obscurité s'est posée Sur le pont et les amants S'envolent les colombes S'envolent les colombes
Mahmoud Darwich, “S’envolent les colombes” in Blocus pour panégyriques de la mer (traduit par Abdellatif Laâbi)
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Dimanche 13 janvier 2019
En ce temps-là, le peuple venu auprès de Jean le Baptiste était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ.
Jean s’adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il vient, celui qui est plus fort que moi. Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. »
Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s’ouvrit. L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus, et il y eut une voix venant du ciel : « Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. »
Saint Luc 3, 15-16 ; 21-22
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Les trois évangiles synoptiques (Matthieu, Marc et Luc) racontent l’événement du Baptême du Christ, chacun à leur manière. Jean, lui, ne le raconte pas, mais il y fait allusion. Luc a ses accents propres et ce sont eux que je vais essayer ici de mettre en lumière. Par exemple, son texte commence par « Comme tout le peuple se faisait baptiser » : Luc est le seul à mentionner que le peuple se faisait baptiser ; il est aussi le seul à mentionner la prière de Jésus : « Comme tout le peuple se faisait baptiser et que Jésus priait » ; ce rapprochement est bien dans la manière de Luc : homme parmi les hommes, Jésus ne cesse pas d’être en même temps uni à son Père.
Luc veut tellement insister sur l’humanité de Jésus que, chez lui et lui seul, curieusement, le récit du Baptême est suivi immédiatement par une généalogie. Contrairement à la généalogie placée tout au début de l’évangile de Matthieu et qui part d’Abraham pour descendre jusqu’à Jésus en passant par David et par Joseph, la généalogie de Jésus chez Luc part de lui pour remonter à ses ancêtres ; il est (croyait-on, dit Luc) fils de Joseph, fils de David, fils d’Abraham… Mais Luc remonte encore bien plus haut : il nous dit que Jésus est « fils d’Adam, fils de Dieu ». Cela veut bien dire qu’au moment où il écrit son évangile, les premiers Chrétiens avaient découvert cette relation privilégiée de Jésus le Nazaréen avec Dieu : il était le Fils de Dieu au vrai sens du terme.
La suite n’est pas propre à Luc : Matthieu et Marc emploient à peu près les mêmes termes. Pendant que Jésus priait, « le ciel s’ouvrit » : en trois mots, un événement décisif ! La communication entre le ciel et la terre est rétablie ; la prière du peuple croyant vient d’être entendue ; depuis des siècles, c’était l’attente du peuple juif. « Ah, si tu déchirais les cieux et si tu descendais, tel que les montagnes soient secouées devant toi, tel un feu qui brûle des taillis, tel un feu qui fait bouillonner les eaux. » disait Isaïe (Is 63, 19 – 64, 1). Les eaux, nous y sommes, puisque ceci se passe au bord du Jourdain ; le feu, le voici : « Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et dans le feu » disait Jean-Baptiste. Et Luc continue : « L’Esprit Saint descendit sur Jésus, sous une apparence corporelle, comme une colombe. » Ici l’Esprit n’est pas associé à la violence du feu, mais à la colombe, symbole de douceur et de fragilité. Ce n’est pas contradictoire : force et violence… douceur et fragilité, tel est l’amour, tel est l’Esprit.
Les quatre évangélistes citent cette manifestation de l’Esprit sous la forme d’une colombe : dans les trois évangiles synoptiques, les expressions sont tout à fait similaires : Matthieu et Marc disent que l’Esprit descend « comme une colombe », chez Luc « L’Esprit Saint descendit sur Jésus, sous une apparence corporelle, comme une colombe. » Dans l’évangile de Jean, c’est Jean-Baptiste qui, après coup, raconte la scène : « J’ai vu l’Esprit, tel une colombe, descendre du ciel et demeurer sur lui. Et je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau, c’est lui qui m’a dit : Celui sur lequel tu verras l’Esprit descendre et demeurer sur lui, c’est lui qui baptise dans l’Esprit Saint. Et moi, j’ai vu et j’atteste qu’il est, lui, le Fils de Dieu. » (Jn 1, 32-34). Cette représentation de la colombe est donc certainement très importante puisque les quatre évangélistes l’ont retenue. Que pouvait-elle évoquer pour eux ? Dans l’Ancien Testament, elle évoque d’abord la Création : le texte de la Genèse ne cite pas la colombe, il dit simplement « le souffle de Dieu planait sur la surface des eaux. » (Gn 1, 2). Mais dans la méditation juive, on avait appris à reconnaître dans ce souffle, l’Esprit même de Dieu ; et un commentaire rabbinique de la Genèse dit « L’Esprit de Dieu planait sur la face des eaux comme une colombe qui plane au-dessus de ses petits, mais ne les touche pas. » (Talmud de Babylone). Ensuite, la colombe évoquait l’Alliance entre Dieu et l’humanité, renouée après le Déluge ; on se souvient du lâcher de colombe de Noé : c’est elle qui a indiqué à Noé que le déluge était fini et que la vie pouvait reprendre. Mieux encore, l’amoureux du Cantique des Cantiques appelle sa bien-aimée « ma colombe au creux d’un rocher… ma soeur, ma compagne, ma colombe, ma parfaite. » Or le peuple juif lit le Cantique des Cantiques comme la déclaration d’amour de Dieu à l’humanité.
Nous sommes donc bien à l’aube d’une ère nouvelle : nouvelle Création, nouvelle Alliance. A ce moment-là, nous dit Luc « Il y eut une voix venant du ciel : Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi je trouve ma joie. » Il ne fait de doute pour personne que cette voix est la voix de Dieu lui-même : depuis bien longtemps, le peuple d’Israël n’avait plus de prophètes, mais les rabbins disaient que rien n’empêche Dieu de se révéler directement et que sa voix, venant des cieux, gémit comme une colombe. Or, cette phrase « Il y eut une voix venant du ciel : Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi je trouve ma joie » n’était pas nouvelle pour des oreilles juives : elle en était d’autant plus grave ; car c’était avec ces mots-là que les prophètes parlaient du Messie. A ce moment-là, Jean-Baptiste a compris : la colombe de l’Esprit désignait le Messie.
Complément Une question nous brûle les lèvres : pourquoi Jésus qui n’est pas pécheur, demande-t-il le Baptême ? A quoi l’on peut répondre que c’est le contraire qui serait surprenant. Comment se désolidariserait-il du grand mouvement des foules avides de conversion qui se pressent autour du Baptiste ? D’autre part, Luc a certainement en tête une fois de plus les Chants du Serviteur du deuxième livre d’Isaïe : « Avec les pécheurs il s’est laissé recenser. » (Is 53, 12). Luc la cite lui-même d’ailleurs au cœur de la Passion (Lc 22, 37).
Marie-Noelle THABUT
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La fin justifie les moyens
Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'une femme scandaleuse. Enfin scandaleuse... Elle ne l'est pas volontairement, en fait. C'est plus parce que comme vous le dit le titre, la fin justifie les moyens. Le nom de cette femme, c'est Judith, fille de Mérari.
Notre histoire commence alors que Israel est bien établi en Judée, et que Nabuchodonosor, roi de Babylone, décide de passer la région au rouleau compresseur pour tout mettre sous sa botte. Comme c'est un roi, il ne va pas aller faire la guerre tout seul, et il envoie à sa place un certain Holopherne, grand général et grand amateur de femmes. Il arrive devant une ville nommée Béthulie qui est sur une colline. C'est une place forte avec plein d'avantages, et un petit défaut. Quel défaut ? Oh, trois fois rien, seulement un petit problème d'approvisionnement en eau, puisque la source la plus proche est en bas de la colline. Donc Holopherne assiège la ville et attend. Ais-je précisé qu'une fois Béthulie prise, presque rien ne lui coupe la route vers Jérusalem ?
Il y avait dans cette ville une jeune femme qu'à priori rien ne destinait à devenir une héroïne. Judith quand Holopherne assiégea la ville était une jeune femme belle, riche, veuve, intelligente, hyper-pieuse et courageuse. Du genre indépendante, en fait. Aussi, quand les Juifs assiégés et assoiffés envisagent très sérieusement de se rendre, Judith ne l'entend pas de cette oreille, et va voir les autorités pour leur reprocher leur manque de foi et leur demander trois jours pour régler cette histoire, puisque les hommes ne sont pas fichu de s'y prendre correctement.
Avec l'accord des juges et des prêtres, Judith rentre donc chez elle, prie longuement, puis se lave, se parfume, met de beaux vêtements qu'elle n'a plus mis depuis la mort de son mari. Puis elle emballe quelques provisions et quitte « discrètement » la ville la nuit même, accompagnée d'une suivante. Elle se rend alors dans le camp d'Holopherne où elle demande à être conduite au général. Elle lui explique ainsi en battant des cils et en révélant innocemment son décolleté plongeant qu'elle se rend bien compte que la ville est perdue, et que quand les troupes d'Holopherne prendront la ville, Judith préférerait être elle-même dans le camp des vainqueurs, surtout s'ils sont menés par un homme aussi beau, aussi grand, aussi fort.
Holopherne, charmé, ordonne à ses hommes de traiter particulièrement bien ces dames. Il accorde même à Judith de ne manger que ce qu'elle a apporté elle-même (oui, parce qu'elle veut bien se compromettre, mais si elle peut éviter d'aller contre absolument tous les préceptes de Moïse, elle aime autant) et d'aller prier en-dehors du camp tous les matins.
Trois jours passent durant lesquels Holopherne se dit que décidément, il a hâte de mettre cette jolie petite juive dans son lit, et durant lesquels il fait donc une cour de plus en plus passionnée à une Judith apparemment de moins en moins farouche. Si bien que le soir du troisième jour, Holopherne convie Judith à un banquet dans sa tente à l'issue duquel il a bien l'intention de la prendre comme maîtresse. Judith, qui visiblement n'en a plus rien à faire de manger cachère, accepte son offre. Le soir, après que les autres officiers les aient quitté, elle reste à flirter et à boire avec le général. Enfin boire avec.... à faire boire le général, plus exactement, parce que Judith, elle, a bien l'intention de garder les idées claires. Est-ce qu'Holopherne parvient à aller au bout de ces intentions lubriques, les traductions ne sont pas très claires. Quoiqu'il en soit, il finit par s'endormir, complètement bourré.
Alors ni une ni deux, Judith s'empare de son épée, et aprés une prière, elle lui tranche proprement la tête de deux coup d'épée dans la nuque. Puis elle saisit la tête, la fourre dans un sac, et à l'aube, à l'heure de ses prières, elle quitte le camp avec sa servante et retourne dans la ville où les Anciens l'attendent. Vite, on sort la tête du sac, et on s'empresse de l'accrocher aux remparts où les Assyriens ne peuvent manquer de la voir en se levant, et en découvrant le corps décapité de leur général.
Pris de panique, ils s'enfuient sans demander leur reste, maquant la victoire d'Israël. La ville est libérée, et Judith finit sa vie riche et honorée.
Moralité : une femme habile est plus efficace qu'une armée au complet.
P.S. : à titre purement indicatif, je trouve ironique que le livre de Judith compte 16 chapitres, mais que la principale intéressée n'est pas mentionnée une seule fois avant le chapitre 8.
PPS:ce qui est casse-pied avec Judith,c’est qu’elle a inspiré une foule de tableau qui représentent tous la décapitation d’Holopherne. Je vous ai mis mon préféré, celui de Trophime Bigot, mais vous en trouverez pléthore sur votre moteur de recherche préféré
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