Tumgik
#depuis un moment me le disent
gay-impressionist · 25 days
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e642 · 4 months
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En ce moment, j'ai beaucoup de mal Ă  me trouver jolie. En fait, je suis frustrĂ©e de me gĂącher seule l'opportunitĂ© de pouvoir l'ĂȘtre depuis des annĂ©es. Si je n'avais pas autant eu et aggravĂ© mon acnĂ© sĂ»rement que je serai plus jolie parce que le reste ça va. J'ai un visage banal mais symĂ©trique et correct. C'est vraiment ma peau. J'ai du mal Ă  me regarder dans le miroir et Ă  ne pas me dĂ©tester viscĂ©ralement d'avoir Ă©tĂ© une merde et d'avoir fait ça. Le seul qui soutient que je suis jolie, que c'est rien et que ça finira par passer, c'est mon copain. J'arrive pas bien Ă  lire ce qu'il pense vraiment. Évidemment, il ne va pas me lĂącher que je suis dĂ©gueulasse et qu'il prĂ©fĂ©rerait qu'on finisse notre vie dans le noir et en levrette pour Ă©viter d'avoir Ă  me regarder trop longtemps mais de lĂ  Ă  me trouver belle, hm. Je pourrais me comparer Ă  d'autres meufs et me dire que j'ai pas les yeux bleus, que j'ai pas les jambes Ă©lancĂ©es, que j'ai plein de cicatrices partout, que j'ai pas un gros cul, ou de gros sein mais en vĂ©ritĂ©, la seule chose que je regarde, c'est leur peau. La nettetĂ©, la texture, les tĂąches de rousseur, et ça, ça me fait du mal. Je ne peux plus passer devant quelqu'un sans avoir analyser l'Ă©tat de sa peau, en Ă©tant jalouse que la mienne soit si infĂąme ou Ă  l'inverse soulagĂ©e qu'il existe d'autres prototypes. Et le truc qui m'agace c'est que les personnes qui ont de l'acnĂ©, en gĂ©nĂ©ral, bah je les trouve jolie avec. J'ai pas de soucis avec ça. Je leur trouve du charme. Moi impossible. C'est toujours comme ça les complexes vous me direz. Mais vraiment quelle tristesse. Je crois que je suis inatteignable, on peut me quitter, me critiquer, mal me parler, piquer n'importe quel pan de ma vie, sauf la peau. La peau je me vexe. C'est le seul truc qui me blesse. Donc soit je n'ai qu'un seul complexe soit il est tellement Ă©norme qu'Ă  cĂŽtĂ© les autres sont rationalisables. Bref, jme dis que jsuis passĂ©e vraiment Ă  cĂŽtĂ© d'ĂȘtre une personne mignonne. Maintenant, ma seule prĂ©occupation c'est de rationaliser le regarder des gens car j'ai l'impression que les gens regardent ma peau et se disent "omg elle est hideuse".
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icariebzh · 6 months
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 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, ChĂšre Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginĂ© parler un jour Ă  une IsraĂ©lienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposĂ© de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayĂ©e par l’idĂ©e de coopĂ©rer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tuĂ© le 14 octobre par une bombe israĂ©lienne. Il n’avait que 20 ans et rĂȘvait de devenir thĂ©rapeute. C’était mon camarade d’universitĂ©. Nous nous retrouvions rĂ©guliĂšrement devant l’hĂŽpital Al-Shifa pour aller ensemble Ă  l’universitĂ©.  
Je suis nĂ©e Ă  Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quittĂ© l’enclave, qui est une vraie prison Ă  ciel ouvert, tu sais. A l’universitĂ©, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothĂšque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentrĂ©echez moi, j’adorais dĂ©vorer un Ă©niĂšme livre de ma bibliothĂšque tout en buvant du thĂ© vert, ma boisson prĂ©fĂ©rĂ©e. Je pourrais te parler des heures de mon universitĂ©. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agrĂ©ables oĂč se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passĂ©. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant Ă  mon diplĂŽme, que j’étais censĂ©e obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le dĂ©crocher.
DĂ©sormais, je suis rĂ©fugiĂ©e Ă  Deir al-Balah, aprĂšs avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan YounĂšs, oĂč je suis restĂ©e quarante jours sans mes parents et mes petites sƓurs, qui Ă©taient restĂ©s dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvĂ©s en dĂ©cembre. Nous avons la chance d’avoir trouvĂ© un abri, un toit, des murs. MĂȘme s’il me paraĂźt toujours Ă©trange d’appeler ça un abri, Ă©tant donnĂ© que nous ne sommes protĂ©gĂ©s ni des bombes ni d’une famine ou d’une Ă©pidĂ©mie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une IsraĂ©lienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des IsraĂ©liens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est Ă©levĂ©s pour vous haĂŻr. Vous n’ĂȘtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent Ă  nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout rĂ©soudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre Ă  connaĂźtre les personnes qui revendiquent leur droit Ă  cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu acceptĂ© d’entamer cette conversation avec moi ?
MalgrĂ© notre adversitĂ©, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-ĂȘtre que nous ne pensons pas si diffĂ©remment finalement, et que nous avons mĂȘme des choses en commun. OĂč habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai Ă©tĂ© incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence mĂȘme Ă  me dĂ©sintĂ©resser de mes activitĂ©s favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal Ă  trouver des lĂ©gumes, tout est cher ou inexistant. Je dĂ©teste voir les rues inondĂ©es d’ordures et d’eau sale, les Ă©coles et universitĂ©s bombardĂ©es ou fermĂ©es. Je suis fatiguĂ©e de sentir la fumĂ©e de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vĂȘtements. Et de devoir me dĂ©placer en Ăąne ou en charrette. La ville oĂč j’ai grandi a Ă©tĂ© ravagĂ©e. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothĂšque aussi. J’ai vu une photo de ma rue Ă  Gaza City, elle est mĂ©connaissable. C’est devenue une ville fantĂŽme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensĂ©e. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons dĂ©truites. TrĂšs peu de centres de santĂ© peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmentĂ©, tout comme les accouchements prĂ©coces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dĂšs qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as dĂ©jĂ  questionnĂ© la lĂ©gitimitĂ© de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face Ă  l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’IsraĂ«l peut-il se qualifier d’Etat dĂ©mocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sĂ»re que tu es, comme tous les ĂȘtres humains, dotĂ©e de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colĂšre, la compassion. S’il te plaĂźt, prends pitiĂ© de nous. Dis Ă  ton peuple de cesser de nous priver de notre humanitĂ©. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
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 « Zoran, centre d’IsraĂ«l, 25 mars 2024, ChĂšre Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomĂštres de Gaza, je n’ai jamais parlĂ© Ă  quelqu’un de lĂ -bas. PremiĂšrement, je souhaiterais te dire que je suis dĂ©solĂ©e de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincĂšres condolĂ©ances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mĂ©moire soit honorĂ©e.
 Permets-moi tout d’abord de me prĂ©senter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis Ă©tudiante en droit. Je m’intĂ©resse au droit pĂ©nal et au droit international. J’aime Ă©galement faire du bĂ©nĂ©volat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financiĂšre de la part de l’Etat. DĂ©sormais, ma ville, SdĂ©rot, comme toute la rĂ©gion limitrophe de Gaza, s’est vidĂ©e de ses habitants. 
 J’ai quittĂ© ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hĂ©bergĂ©e par la famille de mon petit ami Ă  Zoran, dans le centre d’IsraĂ«l. C’est plus calme ici, contrairement Ă  ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancĂ©s quotidiennement de Gaza sur le sud d’IsraĂ«l dĂ©truisent tout ce que j’ai. Mon universitĂ© est fermĂ©e, mais nous pouvons suivre nos cours Ă  distance, en visio. 
Je suis nĂ©e et j’ai grandi Ă  JĂ©rusalem. J’étais scolarisĂ©e Ă  l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], oĂč la moitiĂ© des Ă©lĂšves sont des IsraĂ©liens juifs et l’autre moitiĂ© des Palestiniens citoyens d’IsraĂ«l ou rĂ©sidents de JĂ©rusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai frĂ©quentĂ© cet Ă©tablissement jusqu’à la fin des Ă©tudes secondaires. C’est le seul lycĂ©e mixte en IsraĂ«l oĂč enfants juifs et palestiniens Ă©tudient ensemble.
Mon Ă©ducation Ă©tait donc trĂšs diffĂ©rente des autres enfants de JĂ©rusalem. Je parlais quotidiennement Ă  des Palestiniens, des Arabes. Les mĂȘmes que la sociĂ©tĂ© nous apprend Ă  haĂŻr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me frĂ©quenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprĂ©macistes israĂ©liens ont mĂȘme mis le feu Ă  mon Ă©cole. Ces annĂ©es ont fait Ă©voluer ma vision de la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrĂ©s en IsraĂ«l. Avec mon petit ami, nous nous sommes prĂ©cipitĂ©s dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restĂ©s enfermĂ©s pendant prĂšs de deux jours, sans Ă©lectricitĂ© ni rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes Ă  l’extĂ©rieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le pĂšre et la sƓur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sĂ©curitĂ©, dans le centre d’IsraĂ«l. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiĂ©e. As-tu entendu parler de ce qui s’est passĂ© en IsraĂ«l ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des IsraĂ©liens ont terriblement souffert ce jour-lĂ . Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont Ă©tĂ© brutalement tuĂ©es, kidnappĂ©es. Et il y a encore des otages israĂ©liens Ă  Gaza dont on ne connaĂźt pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore dĂ©tenues Ă  Gaza, selon les autoritĂ©s israĂ©liennes]. Dans mon quartier, les premiĂšres victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes ĂągĂ©es d’une maison de retraite. PrĂšs de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui Ă©tait pourtant une militante pacifiste de longue date, a Ă©tĂ© tuĂ©e. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les dĂ©cisions du gouvernement israĂ©lien pour justifier la violence Ă  l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut ĂȘtre une rĂ©ponse Ă  l’occupation. Si je comprends la nĂ©cessitĂ© de la rĂ©sistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en IsraĂ«l sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delĂ  de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe Ă  Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout aprĂšs avoir vu des vidĂ©os dans lesquelles des Palestiniens cĂ©lĂ©braient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours Ă  la violence et Ă  la cruautĂ©, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocitĂ©s commises par IsraĂ«l contre les Palestiniens au fil des annĂ©es, de mĂȘme que la violence subie par les IsraĂ©liens, sont Ă©galement condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menĂ©e actuellement par l’armĂ©e israĂ©lienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes Ă  Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandĂ© si j’avais dĂ©jĂ  remis en question la lĂ©gitimitĂ© de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persĂ©cution Ă  travers le monde. Que ce soit les ancĂȘtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mĂšre au Maroc, ils ont Ă©tĂ© persĂ©cutĂ©s parce qu’ils Ă©taient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, dĂ©signant l’exode en 1948, Ă  la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsĂ©s par les nouvelles autoritĂ©s]. Mais il est important pour moi de te rappeler le dĂ©sir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivĂ© de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontrĂ© un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de dĂ©fense israĂ©liennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’IsraĂ«l tentait de les assimiler pour les affaiblir et les sĂ©parer des autres Arabes israĂ©liens. Ça m’a fait rĂ©flĂ©chir. Personnellement, j’ai eu la chance d’ĂȘtre exemptĂ©e de service militaire pour raison mĂ©dicale, mais mon petit ami, qui a refusĂ© de servir, a passĂ© six mois dans une prison militaire israĂ©lienne.
Nous sommes une minoritĂ© en IsraĂ«l Ă  questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s pour avoir manifestĂ© ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose Ă  faire serait de partir, d’aller quelque part oĂč des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait Ă©goĂŻste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiĂšte de ce qu’IsraĂ«l deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vĂ©cu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses gĂ©nĂ©rations avant la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l. J’espĂšre que nous pourrons un jour ĂȘtre tous Ă©gaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussĂ©e Ă  Ă©tudier le droit international : ne plus ĂȘtre impuissante face Ă  l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littĂ©rature russe classique, comme DostoĂŻevski ou TolstoĂŻ. Mon livre prĂ©fĂ©rĂ© est “Anna KarĂ©nine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussĂ©e Ă  Ă©tudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment Ă©tait ta vie avant la guerre ? OĂč vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine Ă  quel point cela doit ĂȘtre difficile pour toi. Je me rĂ©jouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
SincÚrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
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claudehenrion · 7 months
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Macron va stériliser (sic !) l'infertilité...( I )
Dans le tas de mauvaises nouvelles dont aucune ne donne envie de savoir quelle sera la suivante dans la liste, une lueur d'espoir, tout de mĂȘme : il Ă©tait temps ! A cause de (ou grĂące Ă ) un effondrement historique (et pas moins catastrophique pour autant) de notre natalitĂ©, le''plus jeune prĂ©sident de l'histoire de la rĂ©publique et son plus jeune premier ministre depuis la nuit des temps'' (il paraĂźt que ce serait un compliment, pour eux... alors que tout le monde --sauf eux-- sait que la valeur des annĂ©es –comme celle des damnĂ©s-- n'a pas de corrĂ©lation avec la longueur du la barbe du capitaine) vont rĂ©soudre le problĂšme de la fertilitĂ©... dont la leur dĂ©montre qu'ils ne dominent pas vraiment le problĂšme !
Mais comme rien n'est jamais simple dans la vie (et encore moins simple dans notre ''Etat dont le roi est un enfant''(pour rendre hommage Ă  l'EcclĂ©siaste qui voyait dans ce seul manque de pot complet la source de tous les malheurs possibles), il a fallu que nos jeunes immatures s'amusent Ă  faire une chose et son contraire, comme ils adorent le faire pour ''emmerder'' (c'est eux qui le disent) les adultes : au moment oĂč notre prĂ©sident prend enfin conscience que notre dĂ©mographie plonge sans espoir (au moins, tant qu'il s'entĂȘtera Ă  ne pas prendre les 3 mesures simples qui rĂ©soudraient le problĂšme ''pour de bon'')... il faut qu'il aille, allez savoir pourquoi, relancer un combat mortel entre le Bien et le Mal et entre le Vrai et le Faux, qui ne peut que nous faire plonger encore plus profondĂ©ment dans ce mal irrĂ©mĂ©diable : une nĂ©faste ''constitutionnalisation'' (un mot affreux pour une chose encore plus affreuse) : on panthĂ©onise --c'est une idĂ©e fixe, chez Macron-- l'abandon de facto du serment d'Hippocrate (''Tu ne tueras pas'') et de la libertĂ© de conscience –et de parole, tant qu'on y est : on est progressiste, ou on ne l'est pas !
(NDLR : il faut vite que j'Ă©crive ces mots ''Ă  ne jamais oublier et Ă  soigneusement conserver dans nos mĂ©moires'' : dĂšs demain, il sera interdit d'Ă©mettre la moindre vĂ©ritĂ© non con-forme Ă  l'assassinat ''dans les rĂšgles'' de bĂ©bĂ©s Ă  la veille de naĂźtre. Notre sociĂ©tĂ© cannibale ignore ceux qui ne peuvent pas descendre dans la rue et tout casser (les trĂšs vieux et les trop jeunes). Rappel : pour avorter Ă  14 semaines, il faut Ă©craser le crĂąne du bĂ©bĂ©-Ă -naĂźtre (eux disent ''fƓtus'' : ils croient ainsi n'assassiner personne, ce qui est le plus gros mensonge de l'histoire de la science).
Vous me direz que, aprĂšs les immenses conneries qui ont escortĂ© le covid, toutes sirĂšnes hurlantes, vers une cata XXL dont on commence Ă  peine Ă  apercevoir les limites illimitĂ©es... on aurait dĂ» savoir que la seule chose Ă  laquelle il faut s'attendre, c'est ''le pire'', avec les gangs de clowns tristes qui ne nous mĂšnent que ''nulle part''. Mais l'Ăąme humaine, que quelques uns croient ''faite Ă  l'image de Dieu'' –NB : ce qui ne veut pas dire que Dieu, lui, soit ''Ă  l'image de l'homme'' et ressemble Ă  Macron : Ă  la rigueur, certains l'ont comparĂ© Ă  Jupiter, les pauvres. Mais Ă  Dieu... Ah ! ça... non, Dieu merci, si j'ose !-- est pleine de ressources, et refuse ce qui serait trop lourd pour elle Ă  supporter... Un faible espoir pour une catastrophe irrĂ©mĂ©diable... dont personne n'avait besoin.
Mais revenons Ă  l'infertilitĂ©, promue ''grande cause nationale'', ce qui veut dire qu'on va nommer, Ă  grands frais pour changer, un ''comitĂ© d'experts'' (comme les mĂ©dicastres qui ont menti et/ou se sont trompĂ©s sur tout, Ă  propos du covid –-- ou, Ă  propos de l'Ukraine, ces gĂ©nĂ©raux dont pas un seul n'a imaginĂ© ce qui s'est passĂ©, et qui continuent Ă  refuser de voir ce qui crĂšve les yeux : ils ont eu tout faux depuis le dĂ©but !) qui vont aligner poncifs, fausses Ă©vidences et lieux communs sur un sujet sur lequel ils sont
 puceaux ! Ce comitĂ© ne sera certainement pas ''ThĂ©odule'' --ce qui veut dire, Ă©tymologiquement : ''qui est au service de Dieu !''--, mais plutĂŽt ''thĂ©oclaste'' (= qui brise Dieu) ou thĂ©ophage (= qui bouffe du dieu)... mais son inefficacitĂ© coĂ»teuse, fonciĂšre, incontournable n'est dĂ©jĂ  plus Ă  dĂ©montrer (elle est ''de systĂšme').
GrĂące aux crĂ©tineries XXL de hollande, et par la faute des faux-prophĂštes d'un rĂ©chauffement gĂ©nĂ©ral (qui rendent les avions, les SUV et les bagnoles au diesel responsables de la sĂ©cheresse au Sahara !), la France, cette ex-bonne Ă©lĂšve de la dĂ©mographie, rentre dans le rang et n'assure plus le fameux ''remplacement des gĂ©nĂ©rations'', ce qui justifie le vent de panique chez nos pseudo-Ă©lites –qui tremblent Ă  l'idĂ©e qu'il y ait moins de con-tribuables pour leurs fins de mois-- et les poncifs idiots de nos puceaux Ăšs-gauloiseries (alors qu'il suffirait, lĂ  comme ailleurs, de simplement annuler toutes les mesures stupides prises par hollande, responsable et coupable).
Mais manque de pot, c'est sur la terre entiĂšre que ce phĂ©nomĂšne est perceptible. Les gĂ©ographes de l'UniversitĂ© de Bruxelles viennent de terminer une Ă©tude qui dĂ©montre que –tenez-vous bien !- 64,4 % de la population mondiale se situe sous le seuil du simple renouvellement des gĂ©nĂ©rations. Pour l'Institut dĂ©mographique de Vienne (en Autriche, pas dans le DauphinĂ© !), 1/3 des femmes d'Asie (Japon, Sud CorĂ©e, Singapour, TaĂŻwan...) n'auront pas d'enfant... Et les chiffres officiels de l'ONU (pour ce que vaut cette source empoisonnĂ©e !) s'inquiĂštent (se rĂ©jouissent, plus souvent !) d'une ''Baisse massive de la fĂ©conditĂ© de 2000 Ă  2020''. Nos auto-prĂ©posĂ©s Ă  la gaudriole ont du pain sur la planche ! Et s'ils n'Ă©taient pas aussi infatuĂ©s, prĂ©tentieux et incultes, ils connaĂźtraient la suite de la triste vĂ©rité :
Le ''taux de fĂ©conditĂ©'' Ă©tait , mondialement, de 4,8 enfants par femme en 1970, tombait Ă  3,7 en 1980, puis Ă  3,3 en 1990, Ă  2,8 en 2000 avant de se ramasser Ă  2,3 en 2021 –dernier chiffre disponible. ''Ça, Madame, c'est de la chute... ou je m'y connais pas'', dirait mon amie Madame Michu ! Et comme pour compliquer la tache tĂąche de notre ComitĂ© thĂ©ophobe en gestation, on apprend que les zones oĂč la fĂ©conditĂ© est ''trĂšs faible'' (c'est-Ă -dire infĂ©rieure Ă  1,7 enfant par femme) reprĂ©sentent 40,8 % de la Terre, dont toute l'Europe. C'est dans ce club de 3Ăšme division que la France vient de faire son entrĂ©e : premiĂšre en con-FISC-ation, mais derniĂšre pour la bagatelle (prĂ©sentĂ© comme ça... on commence Ă  comprendre : le lemme n°2 est une consĂ©quence du lemme n°1, CQFD !). Mais mĂȘme les rĂ©gions ''Ă  forte natalitĂ©'' (> 3,5 enfants par femme), concentrĂ©es en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud-est, ont commencĂ© une forte dĂ©crue (elles viennent de 5, voire 7, en moyenne !) grĂące Ă  ou Ă  cause des Ă©tudes des filles et (donc) de l'Ăąge au premier enfant... et de la contraception, mĂȘme pas con-stitutionnelle, lĂ -bas. Ils vont avoir du bouleau, nos puceaux !
Le monde actuel, dans le fond, est beaucoup plus rigolo que nous, ses utilisateurs / usagers, ne le vivons : il se complaĂźt Ă  nous faire des niches perpĂ©tuelles, et Ă  peine les plus prĂ©tentieux d'entre nous ont-ils la vague impression qu'ils commencent Ă  piger un truc (ce qu'ils transforment aussitĂŽt en ''programmes absurdes'' s'ils sont dĂ©putĂ©s europĂ©ens ou –et c'est pire !-- membres de la grosse Commission qui assassine l'Europe sous ses mauvaises idĂ©es... C'est simple : entre eux et nos ministres, on ne peut dire qui est le plus pervers, le plus vicelard, le plus nocif, le plus mortifĂšre...
Au moment oĂč ils racontent qu'il voudraient lutter contre le refroidissement dĂ©mographique ambiant (= la fin, Ă  terme, de toute humanitĂ©), ils n'ont rien trouvĂ© de plus contre-performant que de ''sanctifier'' un faux principe dĂ©moniaque... Toutes les donnĂ©es vont ĂȘtre bouleversĂ©es et mises cul par dessus tĂȘte, nos Nuls n'ayant, Ă©videmment, rien vu venir des catastrophes immenses que ce vote (que je me dĂ©pĂȘche de dire criminel avant le ''saut vers la mort''--et non pas ''de la mort''-- qui entrera en vigueur demain), va –et ne peut que-- entraĂźner... Encore eĂ»t-il fallu qu'ils sachent (NDLR-2 : je prĂ©fĂšre cette forme Ă  ''sussent'', grammaticalement plus correct mais qui peut prĂȘter Ă  sourire, le monde et nos politiciens Ă©tant... ce que nous savons !) ''de quoi ils blatĂšrent''...
H-Cl.
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muzukashiidesune · 2 months
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æœŹèȘžèƒœćŠ›è©Šéš“ (JLPT)
Dans la salle oĂč a lieu l’examen, trois boules disco pendent du plafond. Touche festive qui se marie mal au silence prĂ©cĂ©dant la remise des copies. Tout le monde fixe le vide.
Salle de bal, moquette, vague odeur de cigarette. Longueur et lenteur. Trente minutes avant l’heure.
Ryan et moi nous sommes inscrits sur un coup de tĂȘte au JLPT, ce test de langue standardisĂ© qui dĂ©termine l’avenir de beaucoup d’immigrants au Japon. Une idĂ©e que nous avons eue en mars, lors des vacances scolaires, quelque part au milieu de ces journĂ©es sans Ă©cole qui s’éternisent et se confondent maintenant dans ma mĂ©moire. Un dĂ©fi, s’était-on dit, pourquoi pas.
À la reprise des cours, cette idĂ©e fut vite Ă©cartĂ©e. Puis, retour en flĂšche tout juste un mois avant l’examen. Constat inquiet: on aurait dĂ» s’y mettre il y a longtemps.
Ryan m’a dĂ©posĂ©e beaucoup trop tĂŽt. Inquiet de l’état des parkings dans ce coin de Kƍchi-centre. Impossible de le raisonner — toujours Ă  son rythme.
Je regarde mon tĂ©lĂ©phone; vingt-huit minutes avant le dĂ©but de l’examen.
Un message de Juliette sur mon Ă©cran. Elle fera le mĂȘme examen que moi, Ă  des kilomĂštres de lĂ , au pied du Mont Fuji oĂč elle habite.
đŸȘ©đŸ’ƒđŸ•ș — sa rĂ©ponse Ă  ma photo des boules disco.
Nous avons toutes deux une confiance trĂšs moyenne en nos habiletĂ©s. Il y a quelques semaines, en annonçant Ă  Maryko, une partenaire de taiko, le niveau pour lequel j’avais optĂ© — coup de grĂące.
« N4? » s’était-elle exclamĂ©e. Le bout de ses doigts couvraient le trait inquiet de sa bouche. « N’est-ce pas un peu trop ambitieux? »
Le JLPT se mesure sur cinq; de N5 Ă  N1, en ordre croissant de difficultĂ©. Le N4 a une valeur nulle. Il n’est mĂȘme pas remboursĂ© par notre employeur. À peine une stepping stone vers les niveaux les plus importants, de N3 Ă  N1.
L’expression consternĂ©e de Maryko, piqĂ»re.
J’en parle Ă  Kusumoto le lundi, tĂąchant de ne pas laisser le dĂ©couragement m’atteindre.
« Ah, » me dit-il, vague relent de pitiĂ© au fond des yeux. Sur son Ă©cran de tĂ©lĂ©phone, traduction, et revers de la gifle: « Mais tu as payĂ© pour le prendre, cet examen. Vaut mieux y aller tout de mĂȘme. »
Peu de réconfort à puiser auprÚs de lui.
Je me rĂ©-attelle Ă  mon Ă©tude de kanji, wanikani, comme chaque jour depuis mon arrivĂ©e au Japon. L’impression de le faire pour rien. À quoi bon, avec ma mĂ©moire de carpe. Tous les mots se ressemblent; variations autour du kyo, kyƍ, ko, kou, kyu, kyĆ«. Et les kanji qui font presque douter de notre luciditĂ©, 怫, 末, 怩.
La honte, la lenteur.
L’air doux-amer des gens qui me disent sur le mĂȘme ton que mon japonais est bon depuis le dĂ©but — compliment qui tourne Ă  la farce plus le temps passe. Nihongo jƍzu desu ne.
Se faire rĂ©-expliquer le sens du mĂȘme mot plus de cinq fois d’affilĂ©e. Kusumoto, forcĂ© d’apprendre l’anglais pour palier Ă  mes lacunes. Tax. License. Pay. No pay.
La rangĂ©e des liquides Ă  l’épicerie. Huile, vinaigre, mirin, sake — liquide clair dans une bouteille illisible, aux kanji stylisĂ©s et intraduisibles.
Terminer une conversation, et se rendre compte du ridicule de mes erreurs aprÚs coup. Front pressé sur le volant de ma voiture.
Mon pĂšre, au tĂ©lĂ©phone. À quoi ça pourra bien te servir, tout ça. MĂȘme rĂ©flexion que lorsque je lui avais annoncĂ© mon dĂ©part.
Toutefois, ces moments.
Dans la toile opaque de la langue, le flou sombre du quotidien — un Ă©clat de lumiĂšre. Quelque chose, saisi, enfin.
Kihon, foundation.
Souzou suru, to imagine.
Kekkyoku, in the end.
Modoru, to return.
Trou d’aiguille dans la toile, Ă  la clartĂ© si fine qu’on en doute presque. Scintillement lointain, qui peu Ă  peu se rassure, se concrĂ©tise, se joint Ă  ceux des autres. TracĂ©, tapisserie.
Quand je rentre au soir, aprĂšs ma pratique de taiko, le ciel noir de Muroto s’éclaircit. Fil des saisons. Nous sommes loins des lumiĂšres de la ville, et loin des profondeurs de l’hiver.
AprĂšs un an Ă  en faire l’ascension tous les jours, depuis peu, je monte les escaliers de mon bloc appartement sans avoir Ă  m’aider du flash de mon tĂ©lĂ©phone.
Sur ma copie d’examen, des petits reflets de lumiùres tournent, lents.
Je lĂšve les yeux vers les boules disco, et me sens sourire.
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rayondelun3 · 3 months
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Je pleure. Mon corps me fait mal parce que j'ai bu tout la journĂ©e et toute la nuit hier et mĂȘme si je n'Ă©tais pas complĂštement ivre je n'avais plus d'Ă©quilibre pendant plusieurs heures, mon corps se heurtait au sol, aux murs, mais ce qui m'a fait bizarre ce soir lĂ  c'est quand je suis allĂ©e dans un buisson, volontairement ; en fait je me suis allongĂ© dans un buisson d'Ă©pines... et je sentais la douleur, ça me faisait mal, mais je ne voulais pas sortir c'Ă©tait comme si ça ne me dĂ©rangeait pas. Je me suis tellement blessĂ©e pendant ces heures lĂ  et celles d'aprĂšs surtout, quand je n'Ă©tais plus saoule. Je n'Ă©tais plus saoule quand je suis allĂ©e dans le buisson d'Ă©pines, je me sentais m'enfoncer dedans, j'avais mal, ça me griffait, je continuais de m'enfoncer, j'avais pleinement conscience que plus j'allais m'enfoncer dans ce buisson plus j'allais avoir mal. Je suis restĂ©e plusieurs minutes Ă  me laisser tomber dans ce buisson. A un moment je ne m'enfonçais plus, j'Ă©tais dans un nid d'Ă©pines ; j'ai mis du temps Ă  me dĂ©cider d'essayer d'en sortir. Et aprĂšs j'ai frappĂ© dans des poteaux, tellement fort que je me suis ouverte Ă  nouveau les poings. Et tout mon corps me fait mal, je suis couverte de griffures, d'ecchymoses (j'aime ce mot, ecchymose et j'aime voir toutes ses plaies sur mon corps). Je dois garder espoir, continuer d'ĂȘtre forte, remonter la pente petit Ă  petit comme j'essaie de le faire depuis des semaines mais ça ne prend pas enfin ils disent que ça prend du temps... Tout mon corps me fait mal, mais j'allais me scarifier. J'ai essayĂ© d'attraper le couteau pour le faire mais mon dos, mes mains, mes Ă©paules, mes coudes, me faisaient si mal qu'il a glissĂ© de ma main et est tombĂ© par terre. Je me suis penchĂ©e pour le ramasser mais j'avais encore plus mal et je suis tombĂ©e. J'ai perdu connaissance. Quand j'ai repris mes esprits tout Ă©tait bleu noir - ça me rappelle la chanson de MylĂšne Farmer, et mon bras Ă©tait tendu vers le couteau... Je le touchais du bout des doigts et la douleur a empirĂ©. J'ai fini par abandonner. Je suis encore par terre, la douleur me paralyse. J'essaie de me convaincre de ne pas me faire plus de mal, de ne pas cĂ©der Ă  l'appel de l'acier sur ma chair, les perles de sang... Je l'avais dĂ©jĂ  fait avant hier. Je crois que cette fois celles-ci ne partiront pas. Je vais continuer Ă  porter des manches longues. Je vois le verre de gaspacho et le petit verre de Yop vides. Le Yop c'est difficile Ă  boire. Je l'ai dit Ă  l'infirmiĂšre. Que c'Ă©tait trop Ă©pais, trop consistant... Elle m'a dit que c'Ă©tait le but.
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crazy-hanji · 3 months
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Je ne peux pas me sentir triste pour le couple Stolitz , je m'explique ;
Sur les deux derniers épisode de la série beaucoup disent avoir pleurer lors des épisode mais moi non car le dénouement était trop prévisible car Vizie nous emmener clairement sur cette voix là
La relation puait déjà depuis la fin de la saison 1 on a eut un petit espoir du cÎtés de stolas à l'épisode 2 de la saison 2 mais c'est vite retombé.
A l'heure actuelle Stolas et BlitzĂž sont mauvais l'un pour l'autre donc une rupture mĂȘme temporaire est pas plus mal . Histoire que les deux prenne du recule et se remettent en questions . AprĂšs pour l'incube je pense que c'est qu'un coup d'un soir c'est ce que je dirais pour rassurĂ© Blitzo . Qu'il faut vous laisser papillonner et si vos sentiments sont assez fort votre couple aura droit Ă  une seconde chance .
D'un cĂŽtĂ© tu as un rĂȘveur qui a pleins de comĂ©die , roman et chanson d'amour en tĂȘte. Qui attend que quelqu'un lui donne la mĂȘme chose que dans ses Ɠuvre fictive et c'est pas un mal . Car il est en manque affectif . Il n'a jamais connu l'amour car Stella ne lui a donnĂ© que du mĂ©pris . Il connaĂźt que l'amour via ses livres. Bien qu'au dĂ©but se fut que sexuel et les sentiments ont dĂ©barquĂ©s .Stolas a cru Ă  une Idylle Ă  sens unique Ă  cause des livres . Pour lui il le baise bien et fait gaffe Ă  son plaisir donc pour lui tout les faits sont au vert . Alors que du point de vue de Blitzo le fait de pas se louper permet de pas perdre son investissement . En gros Stolas est assez fragile et naĂŻf sentimentalement parlant
Blitzo pour commencĂ© dans l'Ă©pisode 8 de la saison 2 . Ce dernier dit qu'il aime pas les trucs compliquĂ© et les sentiments font malheureusement partie des trucs compliquĂ© . Donc pour lui se tenir sur une relation exclusivement sĂ©quelle c'Ă©tait parfait . On me dit que Blitzo Ă  des trouble borderline. Peut ĂȘtre mais ça excuse pas tout et ne doit pas en devenir une. Pour moi il est pas Borderline mais encore bien IMMATURE et instable Ă©motionnellement . Justement parce que il a peur de ses sentiments ou ne veut pas se pencher dessus . CouplĂ© Ă  une faible estime de lui . La preuve c'est qu'il a beaucoup trop d'ex soulignant le fait que le mec s'aime pas et il peut pas s'imaginer que l'autre partie peut l'aimer et s'imaginer ĂȘtre Ă  ses cĂŽtĂ©s. Et ça montre aussi son cĂŽtĂ© Immature emotionnellement
Comme je dis c'est Ă  cause de ça que je dis une rupture mĂȘme temporaire c'est pas plus mal . Car ils se font du mal l'un l'autre . Et c'est parce que je voyais les choses venir que j'ai pas pu lĂącher de larmes comme Ă  l'Ă©pisode prĂ©cĂ©dent. J'ai connu des situations comme ça Irl est dans un sens c'est mieux que ça se soit terminĂ©e de la sorte
J'ai oublié d'ajouter à tout cela le manque IMPORTANT de communication des deux . Le plus triste pour Blitzy c'est qu'il envie le couple MOOXIE ET MILLIE . Au fond de lui c'est ce qui veut ne souhaitant pas crever seul . Mais il est pas fichu de voir que la personne en face de lui peut lui offrir tout cela et de bon coeur
I can't feel sad for the Stolitz couple, let me explain; On the last two episodes of the series, a lot of people say they cried during the episodes but I don't because the outcome was too predictable because Vizie clearly takes us to that voice. The relationship could already since the end of season 1 we had a little hope on Stolas's side in episode 2 of season 2 but it quickly faded away. At the moment Stolas and BlitzĂž are bad for each other so even a temporary breakup is no worse. History that the two take a step back and question themselves. Afterwards for the incubus I think it's just a one night stand that's what I would say to reassure Blitzo. That you have to let yourself flutter and if your feelings are strong enough your couple will be entitled to a second chance. On the one hand you have a dreamer who has lots of comedies, novels and love songs in mind. Who expects someone to give him the same thing as in his fictional work and that's not a bad thing. Because he is emotionally lacking. He never knew love because Stella gave him nothing but contempt. He only knows love through his books. Although at first it was only sexual and the feelings landed. Stolas believed in a one-sided romance because of the books. For him he fucks him well and takes care of his pleasure so for him everything is green. Whereas from Blitzo's point of view, not missing out allows you not to lose your investment. Basically Stolas is quite fragile and emotionally naive
Blitzo started in episode 8 of season 2. The latter says that he doesn't like complicated things and feelings are unfortunately part of complicated things. So for him to stay in an exclusively sequel relationship it was perfect. I'm told that Blitzo has borderline disorder. Maybe, but that doesn't excuse everything and shouldn't become one. For me he is not Borderline but still very IMMATURE and emotionally unstable. Precisely because he is afraid of his feelings or does not want to look into them. Coupled with low self-esteem. The proof is that he has too many exes emphasizing the fact that the guy doesn't love himself and he can't imagine that the other party can love him and imagine being by his side. And it also shows his emotionally immature side As I say, it's because of that that I say a breakup, even temporary, isn't any worse. Because they hurt each other. And it's because I saw things coming that I couldn't let go of tears like in the previous episode. I've experienced situations like that Irl in a way it's better that it ended like that I forgot to add to all this the IMPORTANT lack of communication between the two. The saddest thing for Blitzy is that he envies the couple MOOXIE AND MILLIE. Deep down it's what he wants, not wanting to die alone. But he can't help but see that the person in front of him can offer him all this and with a good heart.
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urween · 4 months
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"Bon acteur"
Jake Gyllenhaal x GNreader
note : j'ai fais un rĂȘve rĂ©cemment avec ce contexte alors je me suis dis pourquoi pas Ă©crire dessus ;)
résumé : tu effectues un stage d'observation aux cÎtés de journalistes spécialisés dans le contenu digital, et il se trouve qu'aujourd'hui vous devez faire une interview de Jake Gyllenhaal.
! warnings : aucuns
2 363 mots
Description Ă  la deuxiĂšme personne
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Tu as choisi ce stage parmi beaucoup d’autres, parce qu’il avait l'air intĂ©ressant et mouvementĂ©. Sur le papier, tu dois simplement suivre ta rĂ©fĂ©rente Ă  chaque endroit oĂč elle va, tu ne dois pas intervenir sur place, seulement observer et prendre des notes pour tes rapports. La plupart du temps ce sont des interviews, pour la sortie d’un film, d’un livre ou un album, mais parfois tu assistes Ă  des rĂ©unions de direction ou la mise en place des plateaux. C’est aussi pour ça que tu as postulĂ© pour ce stage, parce que le monde du cinĂ©ma t'intĂ©resse depuis ta plus petite enfance, et que lorsque tu as vu cette opportunitĂ© tu n’as pas hĂ©sitĂ© une seule seconde. De plus, tu aimes prendre des notes, observer c’est ta passion et ce stage est l’endroit idĂ©al pour ça. Tu peux analyser les personnes et leurs mimiques, dĂ©couvrir les Ă©quipes techniques ou mĂȘme parler avec certains hĂŽtes. Cette partie est merveilleuse, car tu rencontres des personnes cĂ©lĂšbres plusieurs fois par semaine et parfois tu peux voir comment ils sont en tant qu’ĂȘtres humains, derriĂšre le masque d’actrice ou d’auteur. Tu as d’ailleurs eu de nombreuses dĂ©ceptions, certains acteurs ne sont pas aussi accessibles et gentils qu’ils y paraissent, tu le savais mais le voir de tes propres yeux est toujours dĂ©rangeant pour toi. À ce propos, tu as dĂ» signer un contrat trĂšs strict sur le droit Ă  la parole, tu n’es pas autorisĂ© Ă  raconter ce que tu vois ou entends lors des interviews tant qu’ils ne sont pas sortis ou si des moments sont coupĂ©s. Quelquefois, tu dois te mordre la langue pour ne pas cracher sur le dos d’un acteur ou chanteur que tout le monde glorifie, mais ça fait partie du stage.
D’ailleurs, ce stage a une durĂ©e de trois mois, et tu en es dĂ©jĂ  Ă  la moitiĂ©.
Ton regard se pose sur ton carnet de notes presque rempli, tu fais dĂ©filer les pages pleines d’encre, souriant en voyant quelques autographes que tu as rĂ©ussi Ă  rĂ©colter. Aujourd’hui tu as une seule interview, ce qui est assez rare, mais elle sera rĂ©partie en plusieurs parties. Sasha, ta rĂ©fĂ©rente, t’a demandĂ© d’aller chercher cinq boissons diffĂ©rentes dans le cafĂ© Ă  quelques rues d’ici. La premiĂšre fois tu avais renversĂ© un verre, mais maintenant tu arrives Ă  faire tenir les cinqs dans tes deux mains sans en renverser une seule goutte. Dans ses boissons il y a toujours un cafĂ© noir avec surplu de crĂšme pour Sasha, un matcha latte pour Amber, un cappuccino pour Erwan, un frappĂ© chocolat pour toi et enfin la boisson surprise pour l’invitĂ© du jour. Aujourd’hui, c’est un smoothie kiwi-banane pour Jake Gyllenhaal.
« Ok je suis comment ? »
Devant toi, Sasha, faisant rebondir frĂ©nĂ©tiquement ses longs cheveux teints en blond. Objectivement, Sasha est trĂšs belle, mais elle a cette manie de vouloir mettre trop de maquillage et de bijoux lorsque l’hĂŽte est Ă  son goĂ»t, comme aujourd’hui.
« Magnifique comme d’habitude, tu rĂ©ponds, forçant un petit sourire pour appuyer tes mots »
Sasha murmure des remerciements vagues tout en remplaçant ses bagues dans le bon sens. Autour de vous, l’équipe habituelle s’occupe de terminer l’installation pour les tournages de la journĂ©e. Seulement trois siĂšges, deux pour vous et un pour l’invitĂ©, une petite table haute Ă  cĂŽtĂ© de chaque chaise et des fleurs posĂ©es dessus pour ajouter de la couleur. C’est toujours toi qui te charge des fleurs, parce que personne n’aime le faire, ils disent que c’est du temps perdu. Personnellement, tu prends tout ton temps pour choisir chaque composition florale, tu aimes ajuster les couleurs et senteurs en fonction des hĂŽtes. Pour aujourd’hui, tu as choisi des myosotis bleues accompagnĂ©s d’achillĂ©es blanches, pour diverses raisons qui te sont propres.
Tout le monde court de partout, c’est toujours comme ça avant l’arrivĂ©e d’un hĂŽte, mais tu ne peux t’empĂȘcher de rire en voyant Erwan et Sasha se rassurer mutuellement sur leurs apparences actuelles. Pour ta part, tu ne te prends pas autant la tĂȘte, tu t’habilles normalement, que ce soit pour rencontrer Chris Evans ou prendre des notes durant une rĂ©union. Au dĂ©but tu avais tendance Ă  ajuster tes tenues en fonctions des invitĂ©s, en espĂ©rant qu’ils te remarquent, mais tu as bien vite pris conscience qu’ils regardaient Ă  peine les personnes autour d’eux. De toute maniĂšre, la plupart prĂ©fĂšre sortir avec d’autres personnes connues, pas des stagiaires encore dans la vingtaine.
« Oh mon dieu il arrive ! Tu souris, tu dis oui Ă  tout ce qu’il dit et surtout tu ne le regardes pas plus de quatre secondes dans les yeux, compris ? »
Ces rĂšgles, tu les connais par cƓur, on te les a fourrĂ©es dans la tĂȘte dĂšs ton premier jour, alors tu hoches la tĂȘte, de toute façon tu n’as jamais l’occasion de parler autant que Sasha.
Erwan passe en trottinant devant toi, Sasha le suit de prĂšs et bientĂŽt tu entends leurs voix stupidement aiguĂ«s saluer l’invitĂ©. Tu te lĂšves de ta chaise haute et avance vers le couloir, deux femmes te passent devant sans un sourire et dĂ©posent des sacs dans un coin de la piĂšce, ce sont sĂ»rement les maquilleuses ou manageurs. Tu prends une grande inspiration, prĂ©parant ton plus beau faux sourire. À l’autre bout du couloir, tu peux entendre une voix masculine saluer toute l’équipe, tu te dis qu’au moins il sait dire bonjour. Les gens commencent Ă  se disperser, tu avances donc encore un peu et tu peux voir une silhouette Ă©lĂ©gante s’approcher. La lumiĂšre arrive rapidement sur lui et tu as un mouvement de recul, tu ne t’attendais pas Ă  le trouver aussi sĂ©duisant.
« Enchanté, te sourit-il »
« Bonjour, ta voix tremblante réponds »
Ses yeux sont hypnotisants, tu n’arrives pas à le lñcher du regard, oubliant cette foutue rùgle des quatre secondes.
« Jake va t’asseoir sur le premier siĂšge, ordonne au loin une des femmes »
Il obĂ©it, tu ne le quittes toujours pas des yeux. Son pull vert accentue la couleur de ses yeux, les rendant presque de la mĂȘme couleur, et ses cheveux semblent si doux. Tu dĂ©cides de partir chercher Sasha, te servant principalement de cette excuse pour ne pas avoir Ă  le fixer davantage, car il est vraiment attirant, tu dois l’avouer.
Quelques minutes plus tard, tu es de nouveau sur ta chaise haute, aux cĂŽtĂ©s de Sasha. L’interview a dĂ©jĂ  commencĂ© depuis environ cinq minutes mais c’était majoritairement pour faire les derniers rĂ©glages de son et lumiĂšres. Jake a toujours un sourire sur les lĂšvres, il a bu quelques gorgĂ©es de smoothie et tu as vu ses sourcils se lever en signe d’apprĂ©ciation, tu as aussi remarquĂ© que ses doigts jouent beaucoup avec le bord de ses manches. En le regardant, on pourrait se dire qu’il est serein et Ă  l’aise, mais tu as soulignĂ© des signes de stress chez lui et tu te sens un peu mal d’ĂȘtre la seule personne dans la piĂšce Ă  y prĂȘter attention. Tout le monde lui sourit, le complimente et l’observe mais personne ne voit ses doigts agitĂ©s, ses jambes nerveuses et sa maniĂšre de dĂ©glutir. 
« Je veux dire, c’est toujours formidable de travailler avec Denis, ses idĂ©es me fascinent toujours autant mĂȘme aprĂšs toutes ces annĂ©es »
Sasha hoche vivement la tĂȘte, tu te retiens de lever des yeux parce qu’elle fait tout le temps ça pour faire croire que quelque chose l’intĂ©resse.
« Mh mh je comprends, elle Ă©mit une courte pause avant de reprendre sur un ton plus haut, et Anne Hathaway ? Comment est ce que c’était de travailler avec une actrice comme elle ? »
Le regard de Jake passe du mur derriĂšre vous Ă  Sasha, et tu comprends qu’il n’apprĂ©cie pas la question, tout comme toi. Sasha est la spĂ©cialiste pour rediriger les questions vers le plan personnel des cĂ©lĂ©britĂ©s, mĂȘme si ça peut ĂȘtre gĂȘnant pour ces derniĂšres, elle sait que le public aime voir ce genre de choses.
« C’est une artiste que j’admire profondĂ©ment, elle est extraordinaire dans ce qu’elle fait »
Ses mots sont bien choisis, il a l’habitude de ce genre de questions.
« Vous Ă©tiez tous les deux incroyables dans Love and Other Drugs, ça doit ĂȘtre compliquĂ© de garder son sĂ©rieux face Ă  une femme comme Hathaway, non ? »
Tu fronces les sourcils en regardant Sasha, elle n’essaie mĂȘme plus d’ĂȘtre discrĂšte. Jake entrouvre les lĂšvres, tu vois qu’il cherche une rĂ©ponse, et il sait que cette derniĂšre va ĂȘtre utilisĂ©e ailleurs en fonction de ce qu’il dit. Sans pouvoir le contrĂŽler, tu prends la parole.
« Je pense qu’il Ă©tait plus dur de garder son sĂ©rieux en compagnie de Tom Holland, il se dĂ©crit lui mĂȘme comme Ă©tant aussi maladroit que Peter Parker »
Le sourire dans ta voix fait baisser la pression. Tu peux voir les ongles de Sasha se resserrer sur son genoux, mais tu oublies trĂšs vite ce dĂ©tail lorsque Jake t’envoie un regard, qui dit “merci”. Cette fois, il prend directement la parole, profitant de la perche que tu lui envoies pour changer de sujet.
« C’est un vrai gosse, il rit constamment et entraĂźne tout le monde avec lui, son regard s’accroche davantage Ă  toi qu’à Sasha, il te rĂ©ponds, on a dĂ» raccourcir un scĂšne Ă  cause de lui d’ailleurs »
Tu ne peux empĂȘcher le sourire sur tes lĂšvres, tu sais qu’il parle de la scĂšne de prĂ©sentation entre son personnage et celui de Tom et mĂȘme toi tu as ri en regardant les images.
« On le remarque à peine dans le film en tout cas, ton regard ne le lùche plus »
Sasha reprend juste aprÚs la direction des questions, mais Jake continue de te regarder en répondant, et tu rougis trÚs certainement. 
Une pause est annoncĂ©e, une des femmes de toute Ă  l’heure vient inspecter Jake, remettre en place son pull et ses cheveux. Sasha se lĂšve et quitte le plateau pour partir vers les toilettes. Toi, tu bois tranquillement ton frappĂ© en relisant tes notes, tu te rends d’ailleurs compte que tu n’en as pas pris beaucoup.
« Quelle est la conclusion ? »
La voix de jake te fait relever la tĂȘte, tu le regardes pendant quelques instants sans savoir quoi rĂ©pondre, te demandant s’il s’adresse vraiment Ă  toi.
« C’est comme si tu prenais des notes durant un rendez-vous psychologique, alors quel est mon diagnostic ? »
En voyant son sourire, le tien apparaßt par réflexe. Tu reposes ton verre presque vide et regarde encore une fois ta page peu remplie.
« Je pense que vous ĂȘtes un trĂšs bon acteur, il laisse Ă©chapper un souffle amusĂ© Ă  tes mots, j’aurais presque pĂ» ne pas voir que vous ĂȘtes quelqu’un d’anxieux »
La femme repart, ne faisant absolument pas attention Ă  votre discussion. Jake fronce lĂ©gĂšrement les sourcils, gardant un sourire qui cette fois semble diffĂ©rent, un peu plus sincĂšre peut-ĂȘtre. Son genoux arrĂȘte lentement de sautiller, tu refermes ton carnet et le pose sur la petite table.
« J’ai vu beaucoup de vos films, vous jouez vraiment bien, mais j’ai l’impression que les gens oublient qu’acteur n’est que vĂŽtre mĂ©tier, ses mains se croisent contre sa cuisse, en tout cas moi je ne l’oublie pas si ça peut vous rassurer »
Sasha arrive à ce moment-là, elle laisse une odeur de parfum derriùre elle. Jake se repositionne correctement dans son siùge, un petit sourire sur ses lùvres alors qu’il semble regarder dans le vide. Une voix annonce la reprise du tournage, Sasha reprend son grand sourire et toi ton carnet.
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La nuit commence Ă  tomber, tu es dans les derniĂšres personnes qui restent, tu aimes aider Ă  ranger aprĂšs les tournages, l’ambiance est souvent calme et douce. Le reste de l’interview s’est bien passĂ©, Jake semblait plus serein et tu as recommencĂ© Ă  prendre des notes. Vous avez ensuite enchaĂźnĂ© avec une sĂ©ance photo, de Jake bien sĂ»r, et enfin un deuxiĂšme interview dirigĂ© par Amber. Le temps est passĂ© plus vite que tu ne l’aurais imaginĂ©, en fait tu regrettes mĂȘme un peu de ne pas avoir pu parler davantage avec Jake. Mais il est dĂ©jĂ  parti, tu as cru entendre parler d’un rendez-vous avec sa sƓur.
« Tu peux y aller si tu veux, on finira demain, te dit Tommy avec un sourire de remerciement »
Tu lui rĂ©ponds de la mĂȘme maniĂšre, lui souhaitant une bonne soirĂ©e. Tu ne sais pas vraiment quoi faire de ta soirĂ©e d'ailleurs, peut-ĂȘtre regarder un film ou une sĂ©rie avant de dormir.
Lorsque tu ouvres ton casier dans les vestiaires, ton sac tombe dans un bruit sourd, tu te penches pour le ramasser mais quelque chose t'interpelle, il manque ton carnet. Pourtant tu l’as pris avec toi il te semble, ou alors peut-ĂȘtre que tu l'as laissĂ© sur la table, tu ne te souviens plus vraiment. Tu arrives sur le plateau, Tommy est toujours lĂ  en train de prendre les fleurs pour les jeter, et ton carnet est lĂ , sur la table. Tu souffles de soulagement, le perdre te ferait vraiment mal au cƓur.
Ton tĂ©lĂ©phone vibre, un message de ta mĂšre, elle te rappelle de lui envoyer une photo de l’orthographe de DiCaprio. Tu ris, ouvrant les pages de ton carnet pour rĂ©pondre Ă  sa demande. Une fois la photo envoyĂ©e, tu regardes rapidement les autres pages, un sourire aux lĂšvres comme Ă  chaque fois. Les pages s’arrĂȘtent sur celle d’aujourd'hui, pas des plus remplies, enfin, dans ton souvenir elle Ă©tait moins remplie, mais lĂ  l'encre la recouvre. Tu t'assois sur la chaise et commence Ă  lire tes notes.
"Enemy ; complicité avec Denis V, intéressant à ses yeux, araignées importantes
Donnie Darko ; meilleur ami français fait sur le tournage, Patrick S adorable, beaucoup de fou rires
Tom H -> belle amitié, tient à lui, drÎle/maladroit
J.G ; autodérision, stress, beaucoup mimiques faciales, rire ++, yeux bleus"
Tu pensais n'avoir écrit que ça, mais une écriture plus grosse au feutre s'ajoute à tes notes.
" merci de ne pas oublier
j'ai dĂ» partir vite, j'espĂšre pouvoir te recroiser, et cette fois ĂȘtre seul Ă  seul avec toi pour une interview, ou face Ă  un verre peut-ĂȘtre, si tu es d'accord ?
- celui avec un rire ++ et des yeux bleus "
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selidren · 2 years
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Eté 1895 - Champs-les-Sims
3/5
Je me sens tellement en harmonie avec Marie, et cela n’a rien Ă  voir avec le fait que c’est une cousine que je connais depuis toujours. Elle est plus ĂągĂ©e que moi, c’est vrai, mais cela lui donne justement un regard et une expĂ©rience qui me font encore dĂ©faut. La savoir avec cet homme me rongeait de jalousie sans que je n’en admette vraiment la raison, mais l'annonce de la rupture des voeux, la voir libĂ©rĂ©e et de nouveau Ă  mĂȘme de me parler m’a rempli de joie. C’est ainsi que j’ai compris que je l’aimais. 
Elle lit en moi comme dans un livre ouvert, trouve une explication rationnelle et humaine Ă  mes rĂ©flexions encore un peu gamines, tout en me faisant me sentir digne de mon travail et de mes efforts. Si mon passĂ© n’a rien Ă  envier Ă  un roman dramatique, le sien n’a rien d’enviable pour autant, et c’est en discutant avec elle que j’ai compris Ă  quel point j’ai Ă©tĂ© chanceux, malgrĂ© tout, d’ĂȘtre Ă©levĂ© par un homme comme Oncle Maximilien.
Transcription :
Adelphe : Sans j’ai l’air d’un gamin. Je veux qu’on me prenne au sĂ©rieux ! J’en ai assez que tous les hommes avec qui je dois traiter me regardent de haut. Mes propres oncles essaient de m’apprendre mon mĂ©tier ou de me convaincre de leur laisser la main sur nos affaires ! En permanence ! Je dois sans arrĂȘt me contenir tant j’ai parfois envie de leur coller mon poing dans la figure !
Marie : Je sais ce que tu ressens. Mon pĂšre ne cesse de reprocher Ă  ma mĂšre de ne pas lui avoir donnĂ© un fils, et plutĂŽt que de se contenter de m’apprendre, il a tentĂ© de me vendre Ă  une espĂšce de vieux commissaire au prĂ©texte qu’il aurait enfin quelqu’un Ă  qui parler des affaires de la famille. Mais me coller une moustache sur le visage ne rĂ©glera pas le problĂšme, et c’est pareil pour toi.
Adelphe : Ce n’est pas comparable. Tu n’es pas une bĂątarde. Je sais ce que les gens disent dans mon dos. Ta mĂšre n’est pas une travestie libertine qui s’est donnĂ© la mort en prison.
Marie : Je le sais. Mais ce que toi tu sais, c’est qu’un bĂątard vaudra toujours mieux qu’une femme aux yeux de nos pĂšres et grands-pĂšres. Nous avons eu la chance tous les deux d’ĂȘtre Ă©levĂ©s par des grand-mĂšres formidables qui ont tout fait pour nous distribuer de meilleures cartes. Tu n’as pas besoin de cette chose ridicule pour t’affirmer, pas plus que moi.
Marie : Mais je comprends tu sais. Pendant longtemps, j’étais obsĂ©dĂ©e par ce que les autres pensaient de moi. Je voulais absolument qu’ils m’apprĂ©cient, alors j’ai Ă©tĂ© une gentille fille, coquette, polie, obĂ©issante. Et pour me remercier mon idiot de pĂšre m’a trouvĂ© un affreux fiancĂ© et a poussĂ© ma grande soeur Ă  rejoindre les ordres. C’est Ă  ce moment lĂ  que j’ai compris que ça ne me mĂšnerai nulle part. Et j’ai finalement rĂ©ussi Ă  me dĂ©barrasser du pĂšre Malet.
Adelphe : Tu as sans doute raison. Mais tu ne l’aime pas un petit peu ma moustache ?
Marie : Pas du tout. C’est hideux, et pour le coup ça te donne vraiment l’air d’un gamin. Si je pouvais, je te la tondrai moi-mĂȘme, et immĂ©diatement.
Adelphe : Ah qu’est-ce que je suis content que tu te sois dĂ©lestĂ©e du commissaire !
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bourbon-ontherocks · 2 years
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À cause de House je suis en mode #angst donc imagine un Ă©pisode de HPI oĂč Karadec est blessĂ© - je sais pas, peut-ĂȘtre qu'il poursuivait un suspect et que ce dernier dĂ©gaine un flingue ou un couteau - et il finit Ă  l'hĂŽpital. Et quand il se rĂ©veille Morgane est Ă  ses cĂŽtĂ©s et ça se voit qu'elle a pas/mal dormi depuis 3 jours, avec les vĂȘtements froissĂ©s, les traces de mascara sous ses yeux, le chignon dĂ©fait. Et il dit "Hey" et elle est lĂ  en mode "EspĂšce d'idiot" et il est juste content de voir que, finalement, elle ressent la mĂȘme chose que lui, mĂȘme s'ils ont tous les deux fait semblant d'oublier le baiser, mĂȘme s'ils se sont enfermĂ© dans le dĂ©ni, mĂȘme s'ils ont soigneusement Ă©vitĂ© de reparler de leurs sentiments.
(ok, on va passer sur le fait que je rĂ©alise seulement maintenant que House MD en fait c’est Dr. House... 😂)
Est-ce que c’est un prompt ? Non parce que j’avais dĂ©jĂ  imaginĂ© une situation oĂč Karadec est blessĂ© et dans le coma Ă  cause d’une intervention qui a mal tournĂ© (bonus points s’il s’est pris une balle en protĂ©geant Morgane đŸ„Č), et du coup elle passe tout son temps Ă  son chevet Ă  lui parler, elle se met Ă  le tutoyer, et au bout d’un moment elle commence Ă  l’engueuler en lui disant qu’il a pas intĂ©rĂȘt Ă  crever parce que “j’en peux plus de parler Ă  des pierres tombales, moi, tu comprends ?”
VoilĂ  voilĂ , ça c’était gratuit, mais du coup, on peut tout Ă  fait envisager d’ajouter le rĂ©veil que tu dĂ©cris (les gens qui disent “Hey” en se rĂ©veillant Ă  l’hosto dans la fiction me font toujours beaucoup rire, qui fait ça dans la vraie vie ?).
Par contre, dans ce scĂ©nario... oĂč est passĂ©e Roxane ?
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e642 · 2 years
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Paradoxalement, le seul vrai moment oĂč personne ne peut me voir c'est lorsque je suis en ""vacances"" chez mes parents. Je vis vraiment comme un ermite et ils sont dĂ©sespĂ©rĂ©s mais c'est le seul moment oĂč je suis loin de certaines personnes qui veulent me voir et proches de certaines personnes pour qui je ne fais pas d'effort. En fait, quand je suis chez eux, je vis pleinement mon anxiĂ©tĂ© sociale et j'essaie de recharger mes batteries sociales. Donc en fait, Ă  moins qu'une sortie n'implique que moi d'un point A Ă  un point B, je ne sors pas. Les gens en ont marre d'entendre que je suis trop angoissĂ©e pour sortir mais c'est la vĂ©ritĂ©. Je sors Ă  peine de mon lit, lĂ  je rĂ©vise depuis hier comme une malade mentale parce que j'ai Ă©tĂ© incapable de le faire avant, j'ai dormi toutes les aprem pour Ă©viter les problĂšmes, j'ai soigneusement trouvĂ© des excuses pour repousser chaque rencontre avec l'autre, je ne me suis pas maquillĂ©e une seule fois, je ne me suis quasiment pas habillĂ©e, j'ai affrontĂ© les remarques de mes parents et j'ai Ă©tĂ© solidement cramponnĂ©e dans mon silence. Et lĂ  par exemple, dans ma journĂ©e type (que j'ai aussi Ă  mon appart) je me lĂšve, je mange en vitesse et trois fois rien le midi, j'ouvre mĂȘme pas les volets, je ne sors mĂȘme pas dans le jardin, je ne touche Ă  rien et je vois que mon pĂšre est exaspĂ©rĂ© et qu'il imagine que ça doit ĂȘtre pareil Ă  mon appart et que je suis un dĂ©chet. Oui je peux rester statique des heures, je peux dormir des heures la journĂ©e, je peux laisser aucune trace de mon passage ni de mon existence. Je sais que ça fait peur Ă  mes parents parce qu'ils rĂ©alisent que je ne mens pas, quand je dis que je ne fais rien, je ne fais rien. Quand je dis que j'arrive pas Ă  travailler c'est pas que je suis une feignasse. Quand je dis que je suis fatiguĂ©e c'est pas que j'exagĂšre. Tout ça pour dire que j'ai vu personne en 1 semaine (sauf ma meilleure pote et je me suis fait violence et c'Ă©tait nul en plus) et que je sais pas comment faire pour retourner Ă  la vie rĂ©elle. Mes parents disent souvent que je n'ai pas une vie de jeune adulte, c'est sĂ»rement vrai mais c'est ma zone de confort (pas chez eux hein, juste le fait d'ĂȘtre quasi inexistante).
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lilias42 · 1 year
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Meet the writer / rencontre de l'Ă©crivain
rules: use this picrew to make yourself and answer the questions! / rÚgles : utilise cette picrew pour te fabriquer et répondre aux questions !
tagged by / taggué par : @ladyniniane Merci de m'avoir taggué ! C'était amusant à faire !
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3 Choses amusantes sur moi :
-Je suis horriblement frileuse alors, j'ai toujours au moins un pull, une veste, un chùle ou une écharpe jusqu'à 30 degrés, et aprÚs 30 degrés, j'ai toujours des manches longues mais, c'est une chemise, avec un foulard.
-MĂȘme si j'aime beaucoup Ă©crire, j'ai les cours de français en horreur. C'est le meilleur moyen pour faire dĂ©tester la lecture et l'Ă©criture Ă  des gens Ă  mon avis (beaucoup trop culpabilisant quand juste, t'as du mal Ă  retenir les 4000 rĂšgles d'orthographe et de grammaire).
-Mes premiĂšres histoires n'Ă©taient pas des romans, mais des BD. ça a commencĂ© en primaire oĂč je dessinais des sortes de fanfics de FE Radiant Dawn auquel ma grande soeur jouait, puis surtout du dessin avec des personnages rĂ©current pendant longtemps Ă  cause d'une copine qui avait commencĂ© sa BD en 5e et qui voulait faire que les persos. L'Ă©criture de roman, c'est vraiment venu en 2onde en fait et depuis, j'ai jamais arrĂȘtĂ©.
Saison prĂ©fĂ©rĂ© : le printemps ! Il recommence Ă  faire beau alors, on peut enlever une couche, et tout se rĂ©veille avec plein de couleurs. C'est quasi Ă  Ă©galitĂ© avec l'automne oĂč il y a beaucoup de vent mais, vu qu'il recommence Ă  faire froid, c'est moins bien. Par contre, je dĂ©teste l'hiver, il fait bien trop froid ! (c'est juste sauvĂ© par toutes les fĂȘtes de cette saison)
Continent oĂč je vis : Europe
Comment je passe le temps : écrire surtout, un peu de couture, lecture (surtout manga et BD ou des livres scientifiques et des fanfics courtes, assez peu de roman), discuter avec des amis sur Discord, montez à la ville voisine pour voir les copains de l'assoc', regarder Tumblr et tous les fanarts dessus, tenter de me remettre au dessin (et surtout tenter de trouver du boulot en ce moment sans trop déprimée dessus [surtout que je passe tout le temps de 0 à 100 et de 100 à 0 pour la positivité / négativité], heureusement que les copains sont là)
Êtes vous publiĂ©e ? Non, surtout que je ne fais que de la fanfic en ce moment. Mes parents me disent de reprendre l'Ă©criture d'histoires "originales" (terme que je n'aime pas, toutes les histoires ont une part de fanfic dedans, et inversement, toutes les fanfics ont une partie d'originale) justement pour tenter d'ĂȘtre publiĂ©e mais, j'ai pas encore la bonne idĂ©e pour ça (plus un bourgeon d'idĂ©e alors, on verra le moment venu)
Introvertie ou extravertie ? Introvertie de trÚÚÚÚÚs loin ! Je suis trĂšs timide, assez silencieuse et sensible au bruit alors, j'aime les endroits calmes et mĂȘme si je peux travailler en Ă©tant en contact avec le public ou dans de grands groupes, Ă  la fin de la journĂ©e, j'ai vu assez d'humains et je reste souvent seule avec juste ma famille et mes copains. LĂ , quand c'est avec des personnes de confiance, je suis plus extravertie et dĂ©monstrative dans le fait que je les adore (de nouveau le cĂŽtĂ© 0 et 100, j'ai du mal avec les entre-deux).
Repas prĂ©fĂ©rĂ© : j'aime pas tant manger que ça et j'aime peu d'aliment alors, c'est un gros casse-tĂȘte pour les repas. Enfin, je dirais un combo galette de sarrasin avec un oeuf et une saucisse, plus une crĂȘpe de froment au caramel ou au chocolat (cette recette est juste trop bonne !!!). LĂ , dĂ©jĂ , j'ai de quoi tenir la journĂ©e. Par contre, j'aime bien cuisiner pour les autres, surtout tout ce qui est en pate, c'est agrĂ©able Ă  agglomĂ©rer / mĂ©langer avec les mains.
Bon ! Le tout est fait ! Si quelqu'un veut tenter, qu'il n'hĂ©site pas si ça ne le gĂȘne pas ! :D
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claudehenrion · 7 months
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Macron va stériliser (sic !) l'infertilité...
Dans le tas de mauvaises nouvelles dont aucune ne donne envie de savoir quelle sera la suivante dans la liste, une lueur d'espoir, tout de mĂȘme : il Ă©tait temps ! A cause de (ou grĂące Ă ) un effondrement historique (et pas moins catastrophique pour autant) de notre natalitĂ©, le''plus jeune prĂ©sident de l'histoire de la rĂ©publique et son plus jeune premier ministre depuis la nuit des temps'' (il paraĂźt que ce serait un compliment, pour eux... alors que tout le monde --sauf eux-- sait que la valeur des annĂ©es –comme celle des damnĂ©s-- n'a pas de corrĂ©lation avec la longueur du la barbe du capitaine) vont rĂ©soudre le problĂšme de la fertilitĂ©... dont la leur dĂ©montre qu'ils ne dominent pas vraiment le problĂšme !
Mais comme rien n'est jamais simple dans la vie (et encore moins simple dans notre ''Etat dont le roi est un enfant''(pour rendre hommage Ă  l'EcclĂ©siaste qui voyait dans ce seul manque de pot complet la source de tous les malheurs possibles), il a fallu que nos jeunes immatures s'amusent Ă  faire une chose et son contraire, comme ils adorent le faire pour ''emmerder'' (c'est eux qui le disent) les adultes : au moment oĂč notre prĂ©sident prend enfin conscience que notre dĂ©mographie plonge sans espoir (au moins, tant qu'il s'entĂȘtera Ă  ne pas prendre les 3 mesures simples qui rĂ©soudraient le problĂšme ''pour de bon'')... il faut qu'il aille, allez savoir pourquoi, relancer un combat mortel entre le Bien et le Mal et entre le Vrai et le Faux, qui ne peut que nous faire plonger encore plus profondĂ©ment dans ce mal irrĂ©mĂ©diable : une nĂ©faste ''constitutionnalisation'' (un mot affreux pour une chose encore plus affreuse) : on panthĂ©onise --c'est une idĂ©e fixe, chez Macron-- l'abandon de facto du serment d'Hippocrate (''Tu ne tueras pas'') et de la libertĂ© de conscience –et de parole, tant qu'on y est : on est progressiste, ou on ne l'est pas !
(NDLR : il faut vite que j'Ă©crive ces mots ''Ă  ne jamais oublier et Ă  soigneusement conserver dans nos mĂ©moires'' : dĂšs demain, il sera interdit d'Ă©mettre la moindre vĂ©ritĂ© non con-forme Ă  l'assassinat ''dans les rĂšgles'' de bĂ©bĂ©s Ă  la veille de naĂźtre. Notre sociĂ©tĂ© cannibale ignore ceux qui ne peuvent pas descendre dans la rue et tout casser (les trĂšs vieux et les trop jeunes). Rappel : pour avorter Ă  14 semaines, il faut Ă©craser le crĂąne du bĂ©bĂ©-Ă -naĂźtre (eux disent ''fƓtus'' : ils croient ainsi n'assassiner personne, ce qui est le plus gros mensonge de l'histoire de la science).
Vous me direz que, aprĂšs les immenses conneries qui ont escortĂ© le covid, toutes sirĂšnes hurlantes, vers une cata XXL dont on commence Ă  peine Ă  apercevoir les limites illimitĂ©es... on aurait dĂ» savoir que la seule chose Ă  laquelle il faut s'attendre, c'est ''le pire'', avec les gangs de clowns tristes qui ne nous mĂšnent que ''nulle part''. Mais l'Ăąme humaine, que quelques uns croient ''faite Ă  l'image de Dieu'' –NB : ce qui ne veut pas dire que Dieu, lui, soit ''Ă  l'image de l'homme'' et ressemble Ă  Macron : Ă  la rigueur, certains l'ont comparĂ© Ă  Jupiter, les pauvres. Mais Ă  Dieu... Ah ! ça... non, Dieu merci, si j'ose !-- est pleine de ressources, et refuse ce qui serait trop lourd pour elle Ă  supporter... Un faible espoir pour une catastrophe irrĂ©mĂ©diable... dont personne n'avait besoin.
Mais revenons Ă  l'infertilitĂ©, promue ''grande cause nationale'', ce qui veut dire qu'on va nommer, Ă  grands frais pour changer, un ''comitĂ© d'experts'' (comme les mĂ©dicastres qui ont menti et/ou se sont trompĂ©s sur tout, Ă  propos du covid –-- ou, Ă  propos de l'Ukraine, ces gĂ©nĂ©raux dont pas un seul n'a imaginĂ© ce qui s'est passĂ©, et qui continuent Ă  refuser de voir ce qui crĂšve les yeux : ils ont eu tout faux depuis le dĂ©but !) qui vont aligner poncifs, fausses Ă©vidences et lieux communs sur un sujet sur lequel ils sont
 puceaux ! Ce comitĂ© ne sera certainement pas ''ThĂ©odule'' --ce qui veut dire, Ă©tymologiquement : ''qui est au service de Dieu !''--, mais plutĂŽt ''thĂ©oclaste'' (= qui brise Dieu) ou thĂ©ophage (= qui bouffe du dieu)... mais son inefficacitĂ© coĂ»teuse, fonciĂšre, incontournable n'est dĂ©jĂ  plus Ă  dĂ©montrer (elle est ''de systĂšme').
GrĂące aux crĂ©tineries XXL de hollande, et par la faute des faux-prophĂštes d'un rĂ©chauffement gĂ©nĂ©ral (qui rendent les avions, les SUV et les bagnoles au diesel responsables de la sĂ©cheresse au Sahara !), la France, cette ex-bonne Ă©lĂšve de la dĂ©mographie, rentre dans le rang et n'assure plus le fameux ''remplacement des gĂ©nĂ©rations'', ce qui justifie le vent de panique chez nos pseudo-Ă©lites –qui tremblent Ă  l'idĂ©e qu'il y ait moins de con-tribuables pour leurs fins de mois-- et les poncifs idiots de nos puceaux Ăšs-gauloiseries (alors qu'il suffirait, lĂ  comme ailleurs, de simplement annuler toutes les mesures stupides prises par hollande, responsable et coupable).
Mais manque de pot, c'est sur la terre entiĂšre que ce phĂ©nomĂšne est perceptible. Les gĂ©ographes de l'UniversitĂ© de Bruxelles viennent de terminer une Ă©tude qui dĂ©montre que –tenez-vous bien !- 64,4 % de la population mondiale se situe sous le seuil du simple renouvellement des gĂ©nĂ©rations. Pour l'Institut dĂ©mographique de Vienne (en Autriche, pas dans le DauphinĂ© !), 1/3 des femmes d'Asie (Japon, Sud CorĂ©e, Singapour, TaĂŻwan...) n'auront pas d'enfant... Et les chiffres officiels de l'ONU (pour ce que vaut cette source empoisonnĂ©e !) s'inquiĂštent (se rĂ©jouissent, plus souvent !) d'une ''Baisse massive de la fĂ©conditĂ© de 2000 Ă  2020''. Nos auto-prĂ©posĂ©s Ă  la gaudriole ont du pain sur la planche ! Et s'ils n'Ă©taient pas aussi infatuĂ©s, prĂ©tentieux et incultes, ils connaĂźtraient la suite de la triste vĂ©rité :
Le ''taux de fĂ©conditĂ©'' Ă©tait , mondialement, de 4,8 enfants par femme en 1970, tombait Ă  3,7 en 1980, puis Ă  3,3 en 1990, Ă  2,8 en 2000 avant de se ramasser Ă  2,3 en 2021 –dernier chiffre disponible. ''Ça, Madame, c'est de la chute... ou je m'y connais pas'', dirait mon amie Madame Michu ! Et comme pour compliquer la tache tĂąche de notre ComitĂ© thĂ©ophobe en gestation, on apprend que les zones oĂč la fĂ©conditĂ© est ''trĂšs faible'' (c'est-Ă -dire infĂ©rieure Ă  1,7 enfant par femme) reprĂ©sentent 40,8 % de la Terre, dont toute l'Europe. C'est dans ce club de 3Ăšme division que la France vient de faire son entrĂ©e : premiĂšre en con-FISC-ation, mais derniĂšre pour la bagatelle (prĂ©sentĂ© comme ça... on commence Ă  comprendre : le lemme n°2 est une consĂ©quence du lemme n°1, CQFD !). Mais mĂȘme les rĂ©gions ''Ă  forte natalitĂ©'' (> 3,5 enfants par femme), concentrĂ©es en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud-est, ont commencĂ© une forte dĂ©crue (elles viennent de 5, voire 7, en moyenne !) grĂące Ă  ou Ă  cause des Ă©tudes des filles et (donc) de l'Ăąge au premier enfant... et de la contraception, mĂȘme pas con-stitutionnelle, lĂ -bas. Ils vont avoir du bouleau, nos puceaux !
Le monde actuel, dans le fond, est beaucoup plus rigolo que nous, ses utilisateurs / usagers, ne le vivons : il se complaĂźt Ă  nous faire des niches perpĂ©tuelles, et Ă  peine les plus prĂ©tentieux d'entre nous ont-ils la vague impression qu'ils commencent Ă  piger un truc (ce qu'ils transforment aussitĂŽt en ''programmes absurdes'' s'ils sont dĂ©putĂ©s europĂ©ens ou –et c'est pire !-- membres de la grosse Commission qui assassine l'Europe sous ses mauvaises idĂ©es... C'est simple : entre eux et nos ministres, on ne peut dire qui est le plus pervers, le plus vicelard, le plus nocif, le plus mortifĂšre...
Au moment oĂč ils racontent qu'il voudraient lutter contre le refroidissement dĂ©mographique ambiant (= la fin, Ă  terme, de toute humanitĂ©), ils n'ont rien trouvĂ© de plus contre-performant que de ''sanctifier'' un faux principe dĂ©moniaque... Toutes les donnĂ©es vont ĂȘtre bouleversĂ©es et mises cul par dessus tĂȘte, nos Nuls n'ayant, Ă©videmment, rien vu venir des catastrophes immenses que ce vote (que je me dĂ©pĂȘche de dire criminel avant le ''saut vers la mort''--et non pas ''de la mort''-- qui entrera en vigueur demain), va –et ne peut que-- entraĂźner... Encore eĂ»t-il fallu qu'ils sachent (NDLR-2 : je prĂ©fĂšre cette forme Ă  ''sussent'', grammaticalement plus correct mais qui peut prĂȘter Ă  sourire, le monde et nos politiciens Ă©tant... ce que nous savons !) ''de quoi ils blatĂšrent''...
H-Cl.
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jezatalks · 2 years
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Depuis que j'ai Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e, tout Ă  changĂ© et en mĂȘme temps rien ?
Ça met en lumiĂšre plusieurs moments de ma vie, surtout les soit disantes "crises d'anxiĂ©tĂ© sociale" alors que je savais qu'au fond, c'Ă©tait pas de Ă  phobie sociale et bien une surcharge de ressentis/hypersensibilitĂ©. La fois oĂč en sortant d'une piĂšce de thĂ©Ăątre oĂč je n'avais aucune Ă©nergie et la boule au ventre, j'ai pleurĂ© UNE HEURE ENTIÈRE Ă  grosses larmes et je savais mĂȘme pas moi mĂȘme ce que je ressentais ??? Et mes parents commençaient Ă  perdre patience/ne plus savoir quoi faire. J'avais 16 ans.
Tout les jours j'ai plein de voix qui me disent "t'es autiste/ c'est de l'autisme/ je suis autiste" ça m'obsÚde. Des déductions et suspicions qui sont en fait réalité.
Ce qui me rassure le plus, c'est que ça rend plus lĂ©gitime mes sensations, Ă©motions et ressentis qui Ă©taient, selon mon entourage "extrĂȘmes". Et ce qui me rend dingue, c'est que maintenant ils acceptent/comprennent mais il fallait vraiment attendre le mot "autiste" pour me croire ??? Ça me rend triste et en colĂšre...
Évidemment j'ai encore Ă©tĂ© fouillĂ© sur internet et dans mes souvenirs, mais ce qui me rend dingue, (probablement comme ma mĂšre, c'est "pourquoi personne ne l'a dĂ©tectĂ© ?" Et je repense au post de quelqu'un sur tumblr/tiktok (je ne me rappelle plus la source dĂ©solĂ©e Ă  toi) qui disait "les mĂ©decins mettent des dĂ©cennies pour poser un diagnostic lĂ  oĂč les bullys de ta classe mettent quelques regards Ă  comprendre".
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valerieshittalking · 2 years
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Mon problĂšme avec l’image de la «that girl» 
Depuis un bon moment, sur tiktok et maintenant sur instagram (car tout commence sur tiktok aujourd'hui) on retrouve une nouvelle trend appelĂ©e «The clean girl aesthetic» et j’en ai dĂ©jĂ  marre. On peut voir les mĂȘmes effets avec les «clean girl» et «it girl», mais c’est quoi exactement?
La «that girl» est une fille considĂ©rĂ©e comme parfaite. Routine qui commence Ă  6 heures du matin avec un smoothie (qui est bien sĂ»r sponsorisĂ© par la marque connue du moment), du yoga puis du sport, qui ne se maquille pas mais qui fait le «no makeup makeup» puis Ă©tudie, puis se cultive
 une fille qui est toujours en mouvement pour rĂ©sumer.
Mais devons nous avoir ce rythme de vie pour rĂ©ussir? pour se sentir bien avec nous-mĂȘmes? 
En Ă©tant une jeune fille sur les rĂ©seaux sociaux, j’ai dĂ» ĂȘtre confrontĂ©e Ă  cette idĂ©e de perfection plusieurs fois dans ma vie. l’idĂ©e du style vestimentaire, du maquillage et du comportement. Donc j’ai Ă©tĂ© attirĂ©e par le principe de cette trend qui est de tenir une vie saine.
Cette trend connaĂźt un autre message qui peut nous donner une mauvaise image de nous mĂȘme. La base de cette trend est alors d’avoir une vie saine, mais pourquoi la perfection toxique doit ĂȘtre le point le plus important?
Ne pas sortir, ne pas manger la mauvaise bouffe, ne pas se reposer,ne pas s’habiller de façon «vulgaire» comme disent elles mĂȘmes et de ne pas utiliser beaucoup de maquillage car cela fait «cheap».Nous devons donc nous sentir infĂ©rieurs aux filles qui prennent soin d’elles, et faussement. En crĂ©ant en nous une culpabilitĂ© malheureusement fĂ©minine car vous pouvez me dire quel homme souffre de ça?
Il faut donc se dĂ©tacher de cette idĂ©e que toutes ces influenceuses se lĂšvent Ă  6h du matin tous les jours, on a le droit d’avoir des mauvaises journĂ©es en se levant Ă  15h, en mangeant ce qu’on veut, en s'habillant comme on veut. Tiktok peut-ĂȘtre un endroit d’inspiration, de relaxation ou juste pour bien rigoler 10 minutes.
Nous devons donc faire abstraction sur la rĂ©alitĂ© de ce rĂ©seau social qui montre ce qu’il en a envie, la perfection et la rĂ©ussite.
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lepartidelamort · 5 days
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Andrew Tate : « Les suprémacistes blancs ont totalement raison »
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Andrew Tate est un influenceur plus ou moins proxénÚte établi en Roumanie
Je ne suis pas particuliĂšrement Andrew Tate.
Je n’aime pas les nĂšgres, encore moins les mulĂątres. Les mulĂątres sont des pervers et des sadiques en plus d’ĂȘtre horriblement arrogants en dĂ©pit (ou Ă  cause) d’un QI catastrophique.
Ceci dit son dernier texte est excellent.
Il est trùs utile pour exploser l’aveuglement volontaire des Blancs qui nient le fait racial et ses dynamiques.
Je suis Ă  moitiĂ© noire et Ă  moitiĂ© blanche. Permettez-moi de confirmer une chose : la race est rĂ©elle. C’est super rĂ©el. Je peux littĂ©ralement activer mon cĂŽtĂ© noir ou mon cĂŽtĂ© blanc, comme si je choisissais un personnage de jeu vidĂ©o diffĂ©rent en fonction de la situation. C’est ce qui est le plus avantageux Ă  ce moment-lĂ . Je peux ĂȘtre blanc dans la salle d’audience. Un nĂšgre en prison. Je suis un hybride, la version ultime de l’homme. Mais la plupart ne sont pas hybrides. La plupart sont l’un ou l’autre. Les suprĂ©macistes blancs qui disent que la race est tout ont totalement raison. C’est vrai. Ignorer la race signifie la fin de l’homme blanc, car ses systĂšmes complexes peuvent facilement ĂȘtre surchargĂ©s par la brutalitĂ©. Les Blancs ne sont pas d’accord ? Le tribunal. Les Noirs ne sont pas d’accord ? Tuez. Il est plus facile de poignarder que de poursuivre en justice. Ce n’est pas « juste », mais c’est rapide. C’est plus rapide et plus efficace. L’efficacitĂ© l’emporte Ă  la fin. Les systĂšmes pour Blancs fonctionnent avec des Blancs. Poursuivre en justice ne fonctionne que lorsque c’est la « seule » option. En rĂ©sumĂ©, ignorer la race est Ă  vos risques et pĂ©rils. L’Inde est l’Inde parce que ce sont des Indiens. La NorvĂšge est la NorvĂšge parce qu’elle est norvĂ©gienne. Vous pouvez discuter toute la journĂ©e de ce qui est mieux et de ce qui ne l’est pas, mais c’est la rĂ©alitĂ©. En tant que Blanc, il doit ĂȘtre brutalement frustrant de voir une grande partie des Blancs trahir leur propre peuple. Il est Ă©galement frustrant de voir des gens venir dans des pays blancs et chier sur les indigĂšnes toute la journĂ©e, mais peut-ĂȘtre que vous, les Blancs, le mĂ©ritez pour avoir permis Ă  tant de traĂźtres blancs de l’encourager. Les traĂźtres sont les pires. Ils inspirent votre ennemi. L’histoire a toujours dĂ©testĂ© les rats et les traĂźtres pour cette raison. Ils sont pires que l’ennemi lui-mĂȘme. Le mot « raciste » a cocufiĂ© l’homme blanc pour qu’il abandonne Ă  jamais ses terres et ses femmes. Le mot « raciste » a transformĂ© une grande majoritĂ© de Blancs en traĂźtres. Le Blanc en moi se sent mal pour vous. Le nĂšgre en moi se promĂšne avec des femmes blanches dans des Lambos. C’est comme ça. Mais
 La race est rĂ©elle. Et les suprĂ©macistes blancs ont totalement raison. Pas de pays rĂ©servĂ© aux Blancs ? TĂŽt ou tard, il n’y aura plus de Blancs. Vous serez exclus de la reproduction. Vous serez dĂ©passĂ©s par la violence. Vous serez cocufiĂ©s par les mots. Vous serez trahis par les vĂŽtres. Et je ne suis pas votre ennemi pour l’avoir soulignĂ©. Je suis en fait votre ami foncĂ©. Ce qui confirme que tu avais raison depuis le dĂ©but, mais que moi, contrairement Ă  toi, je ne peux pas ĂȘtre sĂ©rieusement traitĂ© de raciste.
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I am half black and half white. Let me confirm something: race is real. It’s super real. I can literally turn my black side or white side on like choosing a different video game character depending on the situation. Whatever is more advantageous at the time. I can be white in the court room. A nigger in jail. I’m a hybrid, the ultimate version of human. But most are not hybrid. Most are one or the other. The white supremacists who say race is everything are totally right. It is. Ignoring race spells the end of the white man, as their complex systems can easily be overloaded by brutality. White people disagree? Court. Black people disagree? Kill. Stabbing is easier than suing. It’s not “right” but it is fast. It’s quicker and more efficient. Efficiency wins in the end. White people systems work with white people. Suing only works when suing is the “only” option. Bottom line - ignore race at your peril. India is India because they’re Indians. Norway is Norway because they’re Norwegian. You can argue all day about wheres better and where isn’t, but that’s the facts. As a white person, it must be brutally frustrating to see a huge % of white people betray their own people. Also frustrating to see people come to white countries and shit on the natives all day, but perhaps you white people deserve it for allowing so many white traitors to encourage it. Traitors are the worst. They inspire your enemy. History has always hated rats and traitors for this very reason. They’re worse than the enemy itself. The word “racist” has cucked the white man into surrendering their lands and women forever. The word “racist” has turned a large majority of whites into traitors. The white in me feels bad for you. The nigger in me is riding around with white women in Lambos. It is what it is. But. Race is real. And white supremacists are totally right. No white only country? Sooner or later means no white people. You’ll be out bred. You’ll be out violence’d. You’ll be cucked by words. You’ll be betrayed by your own kind. And I’m not your enemy for pointing this out. I’m actually your brown friend. Confirming you were right all along, but I, unlike you, can’t be called racist to any serious effect.
C’est trĂšs honnĂȘte.
Tate est en guerre contre les juifs et sortir les Blancs de leur lavage de cerveau collectif est un moyen d’affaiblir les juifs.
On peut appeler ça un allié objectif, bien plus utile que ne le sera jamais le dernier des gauchistes blancs qui rampe aux pieds de la juiverie par haine de sa propre race.
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DĂ©mocratie Participative
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