#depuis un moment me le disent
Explore tagged Tumblr posts
gay-impressionist · 5 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
🤡
9 notes · View notes
camisoledadparis · 2 months ago
Text
saga: Soumission & Domination 332
Nouvel an 2015
Depuis deux jours, Samir et Ammed ne quittent pas la cuisine ; ils font les plats que nous consommerons pendant le " WE " qui arrive. Ce matin, sont arrivés les plats préparés de Julien (des terrines de poisson, de gibier, du saumon fumé maison et autres pains surprises) il nous laisse sa voiture frigo. Le pâtissier est passé livrer notre commande. La chambre froide est pleine à craquer mais dimanche soir ce ne sera plus le cas !
Depuis ce matin, les invités arrivent. Kevin est dans les premiers, Henri est invité au réveillon d'Emma et ils ont des affaires à voir avant. Il me remercie pour Sosthène et me demande si exceptionnellement je ne l'aurais pas invité. Il avait bien kiffé sa nuit avec lui. Je lui dis qu'il est invité comme tous mes autres escorts ce qui le surprend car il pensait encore que j'avais gardé bien séparés mes deux mondes. Je lui annonce la mauvaise nouvelle qu'il sera avec son mec, un canon de mécano ! Il me demande si je blague, que lui un lettré soit avec un manuel, très manuel, il n'en revient pas. Je lui dis que j'avais exagéré car c'est aussi le fils de mon concessionnaire Peugeot.
Ric arrive sur ses talons. Il m'annonce qu'Alban descend avec Bo-gosse et moitié. Mais ils ne seront pas là de bonne heure. Je lui passe les clés de la 300C pour qu'il l'a sorte et que ça fasse de la place pour les motos des invités. Je préfère ne pas les laisser dehors durant plusieurs jours. C'est moins grave pour les caisses (hormis nos deux Mercédès). Les aquitains arrivent en groupe les internes me disent qu'ils avaient dû échanger leur garde du 31 par 3 WE complets mais ils étaient sûr de ne pas le regretter. Les 3 " étalons " du club hippique suivent. Jules, lui, a préféré faire le voyage sur la selle d'un de mes deux Motards. Ils sont chauds bien que rafraichis par le climat hivernal.
A midi nous sommes déjà plus de 20. Pour ne pas entamer les préparations de Samir et Ammed, nous sortons en ville. Un " steak house " nous apporte notre content de protéines. Evidemment nous ne sommes pas à la même table mais quand certains veulent régler, je prends le tout sur ma carte. Nous trainons en peu en ville et squattons la quasi-totalité du bar où nous prenons notre café. A notre retour, nous trouvons quelques invités supplémentaires déjà dispersé entre les différents points de sport. Je fais le tour du blockhaus, les sacs et valises commencent à s'entasser dans les chambres. Bientôt il ne nous manque plus que nos commerçants, Julien, Daniel et les parisiens. Mes escorts qui apparaissent pour la première fois pour beaucoup de mes amis (sauf les plus proches qui les ont croisés à mon chevet lors de mon accident) font leur petit effet ! Kev est ravi de revoir Sosthène et je sais que ce n'est pas la présence de Justin qui va l'empêcher de conclure à nouveau avec lui. Ce dernier, Justin, se demande un peu quand même dans quel monde de fou il était tombé.      En tant qu'hôte, je le prends en charge et lui explique un peu comment marche la maison et les êtres qui actuellement l'occupent. Il sait que Sosthène travaille pour moi et connait tous mes escorts puisqu'il est chargé depuis le départ de l'entretien de ma flotte de RCZ. Du coup, il est surpris des autres mecs qui sont là. Façon idiote (dixit lui), de généraliser à partir de l'échantillon de mes relations qu'il connaissait. Il me demande qui est le mec qui colle aux basques de son Sosthène. Je lui dis que c'est un ami et lui demande si Sosthène lui avait expliqué la fête du nouvel an chez moi. Le " en gros " qu'il me répond me fait penser que mon escort à du édulcorer !
Je lui explique que nous serons 80 en tout et que des hommes chauds/bouillants avec des hormones en surdosages. Tous homo ou bi, ça va rapidement déraper en partouze où tous et chacun vont papillonner de l'un à l'autre en fonction des affinités et envies du moment. Il me regarde un peu effrayé et me dit qu'il avait pensé que Sosthène blaguait quand il le lui avait dit.
Je le laisse réfléchir et attend qu'il me dise quelque chose. Comme il reste coi, je lui dis qu'il peut, s'il le désire, nous quitter mais que je crois bien que Sosthène avait envie de rester. Je glisse que d'après le peu que ce dernier m'avait confié, lui-même ne déparerai pas parmi mes autres amis. Il me confie qu'il n'a que peu d'expérience et que Sosthène n'est que son 3ème mec. Je ris et lui dis qu'il va vite combler son retard ce WE. Il continue ses confidences et me dit craindre pour sa virginité anale lui qui n'est qu'actif. Je l'assure qu'il ne la perdra que volontairement. Personne ne se fait forcer chez moi sauf dans des scénarii mutuellement consentis. De plus il sera toujours libre de partir quand il veut.
Comme je lui fais visiter les différents niveaux, il kiffe la serre où maintenant une salle de muscu entoure la piscine de 25m. Après avoir vu le second étage, il me demande pourquoi j'ai autant d'installations. Entre mes 25 escorts et la maison plus quelques amis qui passent de temps à autre, il faut bien tout ça pour ne pas refroidir entre 2 séries. Quand Sosthène lui en avait parlé, il n'avait pas imaginé que nous nous retrouvions quasiment tous ensemble pour le sport.
Les Parisiens arrivent enfin avec une glacière. Interrogation : réponse " caviar " ! Ils avaient eu Samir au téléphone et me disent que les blinis doivent nous attendre.
Nous sommes tous réunis au 4ème pour l'apéritif. Le champagne est à bonne température et tout le monde apprécie la cuvée Cristal 2002 de Roederer. Tous aussi nous dégustons le caviar de nos Parisiens. Je profite de ce moment-là pour distribuer mes petits cadeaux. Avec l'aide d'Ernesto, PH et Ludovic, nous donnons à chacun son petit paquet. Je me suis gardé la distribution de celui de Côme et Justin entre autre. Le premier parce que c'est mon " beau-frère " et le second parce qu'il est nouveau dans mon monde. J'ai bien fait parce que Justin veut refuser dans un premier temps. Il argumente qu'il n'est là que par Sosthène. Je lui dis que si Sosthène et lui sont ensemble, c'est qu'il a surement des qualités cachées, je laisse un blanc, enfin pour quelques minutes encore. Eclat de rire général. Côme est venu à ma demande et celle de Ludovic. Il n'est pas très chaud d'être entouré de gays en chaleur puisqu'il ne kiffe que Jona et François. Mais, entre mon désir qu'il soit avec nous, celui de Ludovic et les arguments de ses deux Pd préféré, il a accepté de venir.
A mon top tout le monde ouvre. Marc et Hervé, tenus dans l'ignorance, sont surpris en bien. Connaissant l'oiseau, il s'étaient attendu à quelque chose de plus voyant. Merci pour la confiance !!
Ils sont tous content. Même mes deux gendarmes. Les anneaux sont suffisamment discrets pour être portés en service et l'inscription suffisamment absconse pour ne pas révéler une homosexualité non affichée. Ils sont suffisamment précieux pour les pétasses Parisiennes (que j'adore au demeurant). Seul le choix de l'or rose en surprend certains mais une fois mis aux doigts, le ton reste discret. Alors qu'on lève nos flutes pour l'occasion, c'est Ludovic qui me donne à son tour un petit paquet. Comme je m'interroge, il me dit que c'est de la part des 79 participants à cette soirée du nouvel an. Je les traite d'imbéciles ce qui les fait rire une nouvelle fois. J'ouvre. Ils savent tous ce que c'est et ça m'énerve, j'aime bien être celui qui sait tout !! Je découvre une tête de tigre en diamants avec les bandes en saphirs noirs réalisé par Van Cleef & Arpel, en pendentif pour mon oreille. Elle reprend le dessin de la tête que j'ai utilisée pour mon piercing, l'ensemble est raccord. Pour une fois je reste muet. Ils ont beau être nombreux, ça quand même du leur coûter un max à chacun. Je les remercie tous pour ce geste. Franck me dit que son grand père a participé aussi. PH me rassure aussi pour ceux qui n'ont pas nos moyens, chacun y a été selon ses possibilités. Tous voulaient participer. Je remplace le diamant d'Emma par cette nouvelle " breloque ". Et c'est le signal de départ. Il n'est que 22h30 et à 22h35 tout le monde est à poil ! A part Samir et Ammed passant dans les différents étages pour nous signifier le passage à 2015, je n'ai pas vu grand-chose de la soirée. Je me souviens m'être fait baiser par les étalons du club hippique mais pas que. J'ai aussi enculé pas mal de mecs. Un des moments mémorables a été le dépucelage de Justin, à sa demande, pour connaitre ce que ressentait Sosthène. Après s'être fait bien préparé la rondelle par son petit copain, il était venu vers moi pour que je sois le premier à l'enculer. Je ne demande qu'une fois " pourquoi pas Sosthène ? ". Réponse : " avant lui c'est toi qui me faisait bander ". Ça le mérite d'être clair. Sosthène est d'accord donc je m'enfonce en lui. Ça faisait longtemps que je ne m'étais fait un puceau et c'est vraiment trop bon. Je prends mon temps pour bien apprécier et qu'il prenne son pied lui aussi. Tout pendant que je l'encule, Sosthène lui tient la tête et alterne encouragements et roulage de pelle. Justin est courageux et tient à faire plaisir à Sosthène. Passés les trois/quatre premiers va et vient, il se détend brusquement et commence à apprécier ma présence. Il a un dos bien large et j'ai de quoi m'accrocher à ses épaules. Son petit cul commence à bien réagir à l'envahissement de sa pastille centrale il en vient à reculer tout seul sur ma bite quand je mets un peu trop de temps à le réenfiler. Il avoue à Sosthène que c'est finalement très bon de se faire enculer aussi. J'entends ce dernier lui répondre qu'avec lui, il aurait eu beaucoup de mal à se retenir. Il avait préféré que ça se passe mal avec moi ! Je le remercie en riant. Il s'excuse que ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire. Je me retire avant d'avoir jouit et lui passe le relais. Maintenant que le chemin est fait, il pouvait y aller. Alors que Sosthène s'enfonce délicatement, sa bite est quand même la taille au-dessus de la mienne, Justin m'appelle. J'approche ma tête de la sienne. Il m'attrape par le cou et me roule une pelle avec un grand merci de les avoir aidés.
Un autre moment de pur plaisir : me faire prendre en sandwich, ma queue dans le petit Théo (le frère d'Ed) gentiment prêté par Tic et Tac qui vient de fêter ses 18ans et le cul défoncé par les 24x5.5 de Bo-gosse. La première fois de la soirée où je me suis laissé aller à jouir totalement. Son gros gland et sa façon particulière de donner une petite rotation à sa queue lors des pénétrations sont diablement efficaces ! Ça plus la rondelle de Théo qui pulsait autour de ma propre bite m'a fait craquer.
J'ai fait une pause après cela. J'avais un peu faim. Je m'aperçois que je ne suis pas le seul. Un bon tiers des participants est autour du buffet à se raconter les premiers plans. Ric me dit que mes deux Lads avaient fait merveille pour satisfaire son appétit. Mes deux motards de la gendarmerie nous rejoignent. Ils m'encadrent et je me retrouve avec un bras de chaque autour de mon cou. Ils sont ravis de leur 31. Ils trouvent ça encore plus démentiel qu'à leur dernier passage. Je leur dis que j'espère qu'ils n'avaient pas fait de folie pour leur participation à ça (en secouant la tête pour faire briller les diamants et saphirs noirs de mon oreille). En rigolant le plus balaise me dit qu'ils avaient rackettés quelques grands excès de vitesses en liquide (Joke bien sûr). Ils me disent que j'ai une équipe d'escorts qui tient la route. Ils se sont fait en parallèle mes deux vietnamiens. C'était leurs premiers et ils avaient kiffé leur douceur même au milieu de l'ambiance hyper chaude (pour rester corrects) qui régnait dans la serre. Ils rappellent à ceux qui sont autour de moi la surprise qu'ils avaient eu à nous contrôler sur l'autoroute, entre nos physiques moulés dans nos combis en cuir qui auraient fait bander un eunuque et l'arrivée d'Ernesto dans la Mercédès. Ils s'étaient demandé un moment sur quel monde ils étaient tombés.
Marc qui nous rejoint à la fin de leur récit, nous dit que c'est pas étonnant. Ce n'était pas la première fois que j'allumais la maréchaussée ! Et, à son tour, il raconte les deux fois où je suis passé à la " casserole " pour éviter le retrait de permis (cf. épisodes D-mot6 et D-mot7). Autour de nous ceux qui ne savaient pas me traitent de véritable obsédé. Je me défends que je n'avais pas eu le choix. Je venais d'avoir mon permis et à 18ans sur une X11 débridée, c'était le retrait de permis définitif au bas mot pour m'être fait contrôler à 210 !
Petit à petit on se retrouve tous au 4ème à reprendre des forces. Ça discute dans tous les coins. Mes escorts sont interrogés sur leur cursus...d'études pas de performances sexuelles !! Bande d'obsédés ! Alban tient dans ses bras Ric. Comme ils sont contre le bar/séparation de la cuisine, les quelques qui avaient encore des doutes quant au modèle qui lui avait servi pour les cariatides, sont confortés dans leur idée. Pour rire, il prend la pose et là c'est une évidence.
Il est 2h30, nous fêtons enfin le passage de l'année quand Xavier nous rejoint. Il ne pouvait pas abandonner sa femme un tel soir mais avait négocié pour pouvoir nous rejoindre au retour de la fête qu'ils avaient fait avec des amis. Depuis que j'ai "arrangé " leur petit problème de couple (elle n'arrivait pas à se faire pénétrer par les 26x6.5 de son mari), elle est très compréhensive et comme c'est chez moi, elle accepte qu'il vienne se défouler. Il ne reste pas habillé très longtemps. Les quelques escorts (c'est le seul client que j'invite à mes touzes) qui le connaissent le mettent à poil. Et ses 26cm déployés font envie à plus d'un. C'est d'ailleurs ce qui la relance !
Moitié (le mec de Bo-gosse) se jette le premier dessus. Habitué aux 24cm de son mec et un peu entrainé par les queues qu'il s'était mangé depuis le début de la soirée, nous l'avons vu se les prendre en entier, menton sur les couilles et nez contre le pubis. Les participants se trouvent à nouveau, ils s'écartent par 2, 3 ou même 4 et s'égaillent entre la terrasse, et les autres niveaux. Je monte avec Alban et Ric. Le sculpteur voulait voir le vieillissement de son " baiser ". La patine est brillante à certains endroits, ceux qui attirent le plus les caresses. Dans quelques années, la patine noire sera usée laissant paraitre le doré du bronze. Des gémissements nous attire de l'autre côté. Les mains accrochées aux hanches d'un des protagonistes de l'oeuvre, les jambes écartées, nous trouvons louis, le petit mec de Franck, en train de se faire littéralement défoncer par le Lad motard et ses 24x7. Les yeux fermé, il savoure le moment. Je lui caresse la tête, il ouvre les yeux. Je lui demande si Franck sait qu'il se fait emmancher par un tel engin. Il me sourit déjà bien parti entre le poppers et la saillie qu'il subit. Il me répond de descendre, je le trouverais sûrement en train d'enculer un de mes escorts et probablement Max (le petit mec à qui je donne des cours de français) ou Kamal.
Je descends au 3ème. Je vérifie que notre chambre est bien fermée et parcours avec Alban et Ric les autres chambres. Ça baise partout ! Au second chaque banc de muscu supporte un mec en train de se faire sodomiser. Ric nous abandonne et je pousse vers le fond. Sous les douches 4 mecs se font du bien et pas en se savonnant ! Dans la piscine les deux mecs qui y sont se roulent des pelles. Je leur rappelle que je ne veux pas de sperme dans l'eau. Ils secouent la tête pour me signifier qu'ils ont entendu mais ne se décollent pas pour autant. Au premier mon bureau sert aussi de support à un couple qui fait l'amour. Je descends directement au sous-sol. Le donjon est plein, au moins 15 mecs y baisent. Jimmy se faite enculer par la bite d'un des gendarmes accolée à un gode de bonne dimension. Arnaud se fait préparer par Léopold en vue d'une profonde saillie. Je le vois faire plusieurs allers et retours de la douche où il se plante un embout à lavement dans le cul et les WC à côté.
Dans le Jardin qui n'est plus que la moitié de lui-même depuis l'implantation de la seconde salle de sport, je vois Anthony faire des longueurs. Je l'arrête et il me dit se détendre un peu avant de retourner dans l'arène. Dans les palmiers,  Viktor et Nicolaï en 69 se font ramoner par Marc et Pablo.
Plus loin je tombe sur Ludovic et Côme en recherche de partenaire, enfin en ce qui concerne Ludovic. Côme, lui, s'est contenté jusque-là de faire l'amour à ses deux amis Jona et François. Je les prends par les bras et m'enfonce entre les arbres. Contre le mur du fond, la luminosité est faible. J'attire leurs têtes vers la mienne et je leur roule des pelles alternativement pour commencer puis tous les trois ensembles. Dans l'euphorie du moment, ils ne se reculent pas et leurs langues se trouvent et se touchent pour se battent avec la mienne. Mes mains caressent leurs deux corps musclés, je sens les leurs sur moi. Nos bites raidissent et nous les écrasons contre les hanches des autres. Côme est très excité. Ludovic me semble bien chaud lui aussi. De fil en aiguille, je me retrouve en train d'enculer mon Ludovic tout en me faisant moi-même sauter par son grand frère. J'adore ! A l'occasion d'un changement de position, je provoque la sodomie de Ludovic par son frère. Au départ je suis sûr que chacun pense que son frère s'est éclipsé et qu'ils font l'amour avec moi. Je les regarde. Ils sont superbes ! A part la barbe de 3 jours et ses épaules plus larges, on pourrait croire à des jumeaux. C'est d'ailleurs c'est elle (la barbe) qui trahi l'accouplement. Quand Ludovic sent les poils raides piquer son cou, il comprend que ce n'est pas moi qui lui lime le cul mais son frère. Avant qu'il ne le repousse, je prends sa tête entre mes mains, lui roule une pelle et lui dit de laisser faire et de prendre son pied. Je me redresse et fait de même avec Côme. Comme je suis en roulage de pelle avec lui, je sens mon Ludovic pomper ma bite qui, tout naturellement, était venue de placer devant sa bouche.
Alors qu'on reprend nos souffles Côme et moi, ce dernier, sans pour autant cesser d'enculer son frère, me traite de salaud. Je me recule et leur demande à tous les deux s'ils n'étaient pas en train de prendre un pied géant. Pour preuve Côme ne cessait de pilonner son frère et celui-ci, tout bandant, ne se sauvait pas à toutes jambes mais était plutôt enclin à reculer sur la bite qui le défonçait.
Ludovic se retourne sur le dos pour voir la tête de son frère en train de jouir de son corps. Je suis ravi quand Côme se penche et qu'ils se roulent un patin tout sauf fraternel ! Je rentre alors dans le jeu. Je me colle au dos de Côme et lui met mes 20cm. Ludovic m'aide en ouvrant les fesses de son frère avec ses mains. Nous nous éclatons dans cet échange à en partie incestueux. Côme est le premier à partir. Il accentue en violence ses coups de rein et s'immobilise, son gland au plus loin dans son frère, qui pulse au rythme de ses éjaculations. Il m'entraine avec lui. Ma bite a toujours du mal à résister aux compressions spasmodiques d'une jouissance extrême et je rempli ma kpote. Ludovic est le dernier à juter et se répand entres leurs abdos collés. Break, on se décolle et, avant que les deux frères se séparent et se retrouvent sur le dos côte à côte, je les entends se dire qu'ils s'aiment ! Avant que le sperme soit trop froid, je lèche leurs abdos. Et nous nous roulons de nouveau une méga pelle. C'est Côme qui me dira merci le premier pour ce plan qui a dégénéré. Ludovic me demande si cela ne me gêne pas qu'il aime son frère aussi. Je leur souris et leur dis qu'il n'était pas question pour moi de le séparer de ses frères ni même de ses parents. Et ce n'est pas moi qui vais avoir du mal à comprendre qu'on puisse aimer plus d'une personne !!
Nous nous endormons dans notre coin, isolé de la furie ambiante.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
5 notes · View notes
selidren · 4 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Eté 1926 - Champs-les-Sims
2/10
Ce que je vais t'écrire, je te supplie de ne pas en parler à ta famille, car j'ai déjà suffisamment honte.
Tu disais que je devrais davantage me fier à ce que Antoine et Ange m'ont dit au sujet de Jean. Après tout c'est vrai, ils tiennent à moi, et ils ne disent rien par malveillance, juste dans mon intérêt. Mais parfois, je suis complètement stupide ! Franchement, tout le monde sait qu'Antoine est brillant, et je ne compte plus le nombre de fois où Ange m'a dit (avec un certain orgueil quand même il faut le préciser) qu'il avait appris très tôt à scruter les visages et les attitudes pour y déceler les gens qui lui voudraient du mal de ceux qui lui voudraient du bien. Alors quoi ? Moi, bêtement vexée par ta remarque, je décide de ne pas y faire attention.
Tout a commencé lors d'une conversation avec Oncle Adelphe un soir. Je lui dit tout, ou presque. Il ne savait pas pour Jean. Mais quand j'ai un doute, c'est lui que je vais voir. Sur de nombreux aspects de ma vie, il est bien plus paternel que mon propre père. Bref, une chose en entrainant une autre, j'ai fini par lui parler de ma vie amoureuse, l'air de rien, sans jamais trahir Jean, car j'avais peur qu'il ne se rappelle de lui.
Transcription :
Adelphe « Alors, comment avance ta réponse à Cousin Lucien ? »
Arsinoé « Raaaaah, ça n’avance pas. Je n’ai aucune idée de ce que je peux bien lui raconter. J’en ai assez de ne lui parler que d’Ange ou d’Antoine. Mais c’est un homme qui travaille en ville, je pense que ça doit davantage l’intéresser d’entendre parler de la vie trépidante de mon cousin ou histoires marrante de Cléo à la faculté de lettres. »
Adelphe « Pourquoi ne lui parles-tu pas de ce que nous faisons ici ? »
Arsinoé « Vous croyez ? Dès que j’en parle à quelqu’un, j’ai l’impression de le voir retenir un bâillement. »
Adelphe « Il est peut-être différent. »
Arsinoé « Oh, je ne sais pas. Heureusement, d’ici peu, j’aurai enfin quelque chose d’intéressant à lui dire. »
Adelphe « Vraiment ? A ce point ? »
Arsinoé « Oui, enfin. Il va sans doute se passer quelque chose d’intéressant ici sous peu. Tu as bien vu que Antoine et Mademoiselle Laroche s’écrivent des lettres à présent non ? »
Adelphe « Noé, c’est supposé être un secret. Pour Grand-Mère uniquement, mais restons prudents. Et cesse de noyer le poisson, tu ne parlais pas des amours de ton frère. De toute façon, tu n’as jamais pu garder un secret. »
Arsinoé « Pardon ? Mais, bien sur que si ! »
Adelphe « Je sais ! Il y a un garçon qui te plaît ! »
Arsinoé « Oui, j’avoue, c’est vrai. »
Adelphe « Je le connais ? »
Arsinoé « Peut-être… Dites-donc, vous êtes bien curieux aujourd’hui. Dire que je ne parle même pas de cela avec ma propre mère… »
Adelphe « Alors personne n’est au courant ? »
Arsinoé « Si, Cléo. Et Sélène. Et Antoine. Et puis Lucien. »
Adelphe « Ange aussi j’imagine dans ce cas. C’est de longue date donc. »
Arsinoé « Assez, oui. En fait, j’avais envie de vous en parler depuis un moment, mais j’avais peur que vous n’approuviez pas. »
Adelphe « Je comprends. Mais tu dois savoir que peu importe ton choix, si c’est sérieux, tu as tout mon soutient. J’irai parler à Grand-Mère si jamais tu en ressens le besoin. Elle a beau paraître très rigide, mais elle finira bien par se plier à ton choix. »
Arsinoé « Merci mon oncle. Je suis touchée. »
8 notes · View notes
vy-as-vybz · 3 months ago
Text
Depuis que j’existe, le sentiment de solitude est l’ombre de ma vie. Aussi loin que je me souvienne, ça a toujours été comme ça. Heureusement, les moments où j’ai pu oublier cette ombre ont été nombreux et appréciables, mais ces derniers temps cette ombre est de plus en plus présente.
« Non, moi je ne ressens pas ça comme ça » qu’ils me disent. « Oh, c’est bizarre, tu devrais t’habituer à aller au cinéma seule, à apprécier ta propre solitude. »
Mais…Il ne s’agit pas de ça. Je sais dans mon cœur que ça n’a rien à voir.
J’ai fait mon premier weekend seule dans un pays étranger. Ok, j’ai un peu déprimé en soirée dans mon hôtel, mais je suis quand même allée à la mer seule et c’était fantastique. Je le referai. Pour autant, elle, elle est encore bien là mon ombre, et je ne l’oublie pas. Je rêve d’étreintes, et à la place je me retrouve à attendre des messages qui n’arrivent pas.
Tumblr media
6 notes · View notes
icariebzh · 10 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, Chère Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginé parler un jour à une Israélienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposé de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayée par l’idée de coopérer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand même décidé de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tué le 14 octobre par une bombe israélienne. Il n’avait que 20 ans et rêvait de devenir thérapeute. C’était mon camarade d’université. Nous nous retrouvions régulièrement devant l��hôpital Al-Shifa pour aller ensemble à l’université.  
Je suis née à Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quitté l’enclave, qui est une vraie prison à ciel ouvert, tu sais. A l’université, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothèque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentréechez moi, j’adorais dévorer un énième livre de ma bibliothèque tout en buvant du thé vert, ma boisson préférée. Je pourrais te parler des heures de mon université. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agréables où se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passé. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant à mon diplôme, que j’étais censée obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le décrocher.
Désormais, je suis réfugiée à Deir al-Balah, après avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan Younès, où je suis restée quarante jours sans mes parents et mes petites sœurs, qui étaient restés dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvés en décembre. Nous avons la chance d’avoir trouvé un abri, un toit, des murs. Même s’il me paraît toujours étrange d’appeler ça un abri, étant donné que nous ne sommes protégés ni des bombes ni d’une famine ou d’une épidémie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une Israélienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des Israéliens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est élevés pour vous haïr. Vous n’êtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent à nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout résoudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre à connaître les personnes qui revendiquent leur droit à cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu accepté d’entamer cette conversation avec moi ?
Malgré notre adversité, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-être que nous ne pensons pas si différemment finalement, et que nous avons même des choses en commun. Où habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai été incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence même à me désintéresser de mes activités favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal à trouver des légumes, tout est cher ou inexistant. Je déteste voir les rues inondées d’ordures et d’eau sale, les écoles et universités bombardées ou fermées. Je suis fatiguée de sentir la fumée de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vêtements. Et de devoir me déplacer en âne ou en charrette. La ville où j’ai grandi a été ravagée. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothèque aussi. J’ai vu une photo de ma rue à Gaza City, elle est méconnaissable. C’est devenue une ville fantôme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensée. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons détruites. Très peu de centres de santé peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmenté, tout comme les accouchements précoces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dès qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as déjà questionné la légitimité de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face à l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’Israël peut-il se qualifier d’Etat démocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sûre que tu es, comme tous les êtres humains, dotée de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colère, la compassion. S’il te plaît, prends pitié de nous. Dis à ton peuple de cesser de nous priver de notre humanité. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
Tumblr media
 « Zoran, centre d’Israël, 25 mars 2024, Chère Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomètres de Gaza, je n’ai jamais parlé à quelqu’un de là-bas. Premièrement, je souhaiterais te dire que je suis désolée de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincères condoléances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mémoire soit honorée.
 Permets-moi tout d’abord de me présenter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis étudiante en droit. Je m’intéresse au droit pénal et au droit international. J’aime également faire du bénévolat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financière de la part de l’Etat. Désormais, ma ville, Sdérot, comme toute la région limitrophe de Gaza, s’est vidée de ses habitants. 
 J’ai quitté ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hébergée par la famille de mon petit ami à Zoran, dans le centre d’Israël. C’est plus calme ici, contrairement à ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancés quotidiennement de Gaza sur le sud d’Israël détruisent tout ce que j’ai. Mon université est fermée, mais nous pouvons suivre nos cours à distance, en visio. 
Je suis née et j’ai grandi à Jérusalem. J’étais scolarisée à l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], où la moitié des élèves sont des Israéliens juifs et l’autre moitié des Palestiniens citoyens d’Israël ou résidents de Jérusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai fréquenté cet établissement jusqu’à la fin des études secondaires. C’est le seul lycée mixte en Israël où enfants juifs et palestiniens étudient ensemble.
Mon éducation était donc très différente des autres enfants de Jérusalem. Je parlais quotidiennement à des Palestiniens, des Arabes. Les mêmes que la société nous apprend à haïr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me fréquenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprémacistes israéliens ont même mis le feu à mon école. Ces années ont fait évoluer ma vision de la société israélienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrés en Israël. Avec mon petit ami, nous nous sommes précipités dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restés enfermés pendant près de deux jours, sans électricité ni réseau téléphonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes à l’extérieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le père et la sœur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sécurité, dans le centre d’Israël. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiée. As-tu entendu parler de ce qui s’est passé en Israël ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des Israéliens ont terriblement souffert ce jour-là. Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont été brutalement tuées, kidnappées. Et il y a encore des otages israéliens à Gaza dont on ne connaît pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore détenues à Gaza, selon les autorités israéliennes]. Dans mon quartier, les premières victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes âgées d’une maison de retraite. Près de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui était pourtant une militante pacifiste de longue date, a été tuée. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les décisions du gouvernement israélien pour justifier la violence à l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut être une réponse à l’occupation. Si je comprends la nécessité de la résistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en Israël sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delà de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe à Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout après avoir vu des vidéos dans lesquelles des Palestiniens célébraient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours à la violence et à la cruauté, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocités commises par Israël contre les Palestiniens au fil des années, de même que la violence subie par les Israéliens, sont également condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menée actuellement par l’armée israélienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes à Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandé si j’avais déjà remis en question la légitimité de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persécution à travers le monde. Que ce soit les ancêtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mère au Maroc, ils ont été persécutés parce qu’ils étaient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, désignant l’exode en 1948, à la création de l’Etat d’Israël, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsés par les nouvelles autorités]. Mais il est important pour moi de te rappeler le désir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivé de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontré un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de défense israéliennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’Israël tentait de les assimiler pour les affaiblir et les séparer des autres Arabes israéliens. Ça m’a fait réfléchir. Personnellement, j’ai eu la chance d’être exemptée de service militaire pour raison médicale, mais mon petit ami, qui a refusé de servir, a passé six mois dans une prison militaire israélienne.
Nous sommes une minorité en Israël à questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont été arrêtés pour avoir manifesté ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose à faire serait de partir, d’aller quelque part où des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait égoïste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiète de ce qu’Israël deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vécu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses générations avant la création de l’Etat d’Israël. J’espère que nous pourrons un jour être tous égaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à étudier le droit international : ne plus être impuissante face à l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littérature russe classique, comme Dostoïevski ou Tolstoï. Mon livre préféré est “Anna Karénine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussée à étudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment était ta vie avant la guerre ? Où vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine à quel point cela doit être difficile pour toi. Je me réjouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
Sincèrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
youtube
12 notes · View notes
microcosmes-litteraires · 6 days ago
Text
The End in a Few Words
Tumblr media Tumblr media
Gif : @harleystuff
EN :
They’re sitting across from each other, a cup of coffee between them. The kind of café where they’ve spent hours talking, laughing, fixing the world. But this morning, there’s silence. It’s been there since they sat down, heavy, suffocating. “I think we don’t want the same thing anymore,” one of them murmurs. The other doesn’t reply right away. She grips her cup tighter, as if the warmth might ground her. “What do you mean?” she finally asks. The other sighs, looks down. She knows exactly what it means. It’s not about fights or dramatic scenes. It’s something quieter, sadder. A distance that crept in without warning. “When you come home late, I don’t miss you,” she admits. The other looks up. Maybe that’s the most painful thing. No anger, just the raw truth. She opens her mouth, then closes it again. “And you?” the first one asks. A pause. Then a sad smile. “Me neither.” They stay there for a little longer. Because leaving someone you once loved is hard, even when you know it’s time. Then, almost at the same moment, they stand up. They walk out of the café, side by side, all the way to the metro station—like always. But when they say goodbye this time, they both know it’s not a “see you later.” Just one last glance, one last tired smile.
FR:
Tumblr media Tumblr media
Gif : @harleystuff
Elles sont assises face à face, un café entre elles. Le genre de café où elles ont passé des heures à parler, à rire, à refaire le monde. Mais ce matin, il y a ce silence. Il est là depuis qu’elles se sont installées, lourd, étouffant. — Je crois qu’on ne veut plus la même chose, murmure l’une. L’autre ne répond pas tout de suite. Elle serre les doigts autour de sa tasse, comme si la chaleur pouvait l’ancrer. — C’est-à-dire ? demande-t-elle finalement. L’autre soupire, baisse les yeux. Elle sait très bien ce que ça veut dire. Ce n’est pas un problème de disputes, ni de grandes scènes. C’est plus insidieux, plus triste. Une distance qui s’est installée sans prévenir. — Quand tu rentres tard, tu ne me manques pas, avoue-t-elle. L’autre lève les yeux. C’est peut-être la phrase la plus douloureuse. Pas de colère, juste ce constat brut. Elle ouvre la bouche, puis la referme. — Et toi ? demande celle qui vient de parler. Un silence. Puis un sourire triste. — Moi non plus. Elles restent là encore un instant. Parce qu’il est difficile de quitter quelqu’un qu’on a aimé, même quand on sait qu’il faut le faire. Puis, presque en même temps, elles se lèvent. Elles sortent du café, marchent ensemble jusqu’à la station de métro, comme toujours. Mais quand elles se disent au revoir, cette fois, elles savent que ce n’est pas un « à plus tard ». Juste un dernier regard, un dernier sourire fatigué.
2 notes · View notes
yaminahsaini · 9 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Vendredi 17 janvier 2025: Ce jour-là j’ai fais une prise de sang de contrôle. J’ai aussi récupérée au laboratoire des pots pour faire des analyses de selles afin de re contrôler si au niveau des intestins cela va mieux suite aux traitements que j’ai eu il y’a quelques mois (pour ceux qui s’en souviennent). Je ferais les analyses sur 3 jours dès lundi. En ce qui concerne la sonde: j’arrive à survivre avec la SNG mais j’ai eu des vomissements et toujours des symptômes quotidien.. pas de nouvelles pour quand la SNJ va être reposé au bloc mais l’hôpital me dit que ça se fera en février. Des personnes me disent avoir une SNJ sans subir d’endoscopies, ni d’anesthésie générale. Je me suis renseignée auprès d’autres hôpitaux mais on me dit que c’est impossible dans mon cas à placer sans endoscopie car avec ma gastroparésie sévère car le passage de la sonde entre l’estomac et l’intestin est difficile d’accès. Pour l’anesthésie générale, ils me disent que c’est trop compliqué sans. Alors je ne sais pas pour les autres mais ça doit sûrement dépendre des cas et des hôpitaux.. Et sinon entre-temps j’ai eu les résultats de la prise de sang, résultat : un marqueur est sous la norme et est normalement dû à ma maladie auto-immune. Ensuite j’ai comme depuis des années, mes globules blancs élevés qui prouvent toujours que mon corps se bas de façon chronique contre une infection.. du coup sûrement tout ce qui concerne Lyme comme à l’époque.. alors qu’à un moment ça ne semblait plus le cas.. Bref tout est toujours compliqué niveau santé..
3 notes · View notes
e642 · 9 months ago
Text
En ce moment, j'ai beaucoup de mal à me trouver jolie. En fait, je suis frustrée de me gâcher seule l'opportunité de pouvoir l'être depuis des années. Si je n'avais pas autant eu et aggravé mon acné sûrement que je serai plus jolie parce que le reste ça va. J'ai un visage banal mais symétrique et correct. C'est vraiment ma peau. J'ai du mal à me regarder dans le miroir et à ne pas me détester viscéralement d'avoir été une merde et d'avoir fait ça. Le seul qui soutient que je suis jolie, que c'est rien et que ça finira par passer, c'est mon copain. J'arrive pas bien à lire ce qu'il pense vraiment. Évidemment, il ne va pas me lâcher que je suis dégueulasse et qu'il préférerait qu'on finisse notre vie dans le noir et en levrette pour éviter d'avoir à me regarder trop longtemps mais de là à me trouver belle, hm. Je pourrais me comparer à d'autres meufs et me dire que j'ai pas les yeux bleus, que j'ai pas les jambes élancées, que j'ai plein de cicatrices partout, que j'ai pas un gros cul, ou de gros sein mais en vérité, la seule chose que je regarde, c'est leur peau. La netteté, la texture, les tâches de rousseur, et ça, ça me fait du mal. Je ne peux plus passer devant quelqu'un sans avoir analyser l'état de sa peau, en étant jalouse que la mienne soit si infâme ou à l'inverse soulagée qu'il existe d'autres prototypes. Et le truc qui m'agace c'est que les personnes qui ont de l'acné, en général, bah je les trouve jolie avec. J'ai pas de soucis avec ça. Je leur trouve du charme. Moi impossible. C'est toujours comme ça les complexes vous me direz. Mais vraiment quelle tristesse. Je crois que je suis inatteignable, on peut me quitter, me critiquer, mal me parler, piquer n'importe quel pan de ma vie, sauf la peau. La peau je me vexe. C'est le seul truc qui me blesse. Donc soit je n'ai qu'un seul complexe soit il est tellement énorme qu'à côté les autres sont rationalisables. Bref, jme dis que jsuis passée vraiment à côté d'être une personne mignonne. Maintenant, ma seule préoccupation c'est de rationaliser le regarder des gens car j'ai l'impression que les gens regardent ma peau et se disent "omg elle est hideuse".
7 notes · View notes
claudehenrion · 2 months ago
Text
Tout change si vite !
Trois ans après que j'aie pris ma retraite (un peu après 61 ans, à cause d'un cancer du foie, mais c'est hors sujet), nous avons entrepris, Evelyne et moi, un ''tour de Chine à bicyclette'' (prélude à une remontée du Nil d'Alexandrie à Assouan par le même moyen, l'année suivante, puis à une traversée à cheval du désert lybio-égyptien, sur les traces de l'Afrika Korps et de la Deuxième DB). Certaines scènes de ces formidables aventures restent plus profondément gravées que d'autres dans ma mémoire --que je sollicite plus souvent, depuis que je suis veuf.
Parmi ces souvenirs de notre ''chevauchée'' sur deux vieilles bécanes pourries louées sur place, un trajet le long du Fleuve Jaune, le Yang-Tsé-Kiang, comme on l'appelait encore. (NB : Il est devenu depuis le Yangzi Jiang --qui s'écrit 扬子江 en chinois, puisque vous me le demandez avec tant d'insistance-- et Yángzǐjiāng, en ''pinyin'' --la manière officielle d'exprimer le chinois en caractères latins au lieu des idéogrammes), entre Shanghaï et Suzhou, l'ancienne Sou-Tchéou impériale, dite ''la Venise chinoise''. En 1997, Shanghaï était une des plus grandes métropoles du monde, avec 16 millions d'âmes. Cela nous paraissait énorme : la population d'une seule ville équivalait à celle, par exemple, du ''Benelux''.
Recherchant hier des informations sur le phénomène d'urbanisation galopante du monde (avec l'intention de préparer un Editorial sur ce sujet, à votre intention, Amis-lecteurs), je suis tombé, avec une certaine crainte (révérencieuse, compte tenu de ce qui précède), sur des chiffres qui ne peuvent que laisser perplexe tout français qui se plaint du gigantisme de Paris avec ses 2,1 millions d'habitants et sa "mé-maire" folle-à-lier. Il y a aujourd'hui 7 villes au monde qui ont plus de 20 millions d'habitants : Tokyo (37,5 millions), Shanghaï (34 millions), Delhi (32), Dacca, au Bangladesh (24), São Paolo et Mexico (21,5) et le Caire (20,1). Je dois avouer que cette géo-arithmétique me donne le tournis, d'autant que, au moment où j'écris ces nombres, Bombay et Pékin sont sans doute en train de franchir ce cap des 20 millions et de s'ajouter à cette liste impressionnante...
Je vous parlais récemment (le 30 septembre) de mon émotion lors de ma première visite sur le site historique d'Ugarit, en Syrie, l'une des toutes premières civilisations dites ''de l'arc méditerranéen'', en des temps où une population de quelques milliers d'âmes donnait une telle supériorité numérique que la ville où ils s'étaient regroupés devenait pour un temps le centre du monde... Que de chemin parcouru ! Peut-on considérer cette évolution comme étant majoritairement bénéfique, comme un reflet de notre ''progrès'' en tant qu'humanité ? Je n'arrive pas à m'en convaincre ! Et il ne doit pas faire de doute que l'exode rural, les modifications du climat et surtout la croissance démographique ne peuvent qu'accélérer ce mouvement.
Je lisais il y a peu une étude expliquant que la population de Delhi et Dacca double tous les 10 ans, que celle de Dakar est multipliée par 14 chaque décennie et celle de Kinshasa (RD-Congo) par 19... ce qui sous entend qu'explose parallèlement le nombre de pauvres gens qui vivent dans des bidon-villes, avec tout ce que cela implique comme atteintes à la dignité humaine. Tout cela m'a remis en mémoire une étude en provenance des dangereux faux intelligents du club de Davos qui ne désespèrent pas de nous faire désespérer, nous, les gens normaux : toute la surface de la Terre devrait --disent-ils-- être occupée, dans un temps non précisé tout de même, par les villes, leurs satellites, leurs zônes dédiées à ceci ou cela, ce qui, avec les réseaux routiers à 4, 6, 8 ou 12 voies, leurs échangeurs et leurs stations-service ''paysagées'' (sic !), couvrirait à peu près toute la surface disponible sur terre, permettant ainsi (le rapport ne disait pas ''enfin...'', mais c'était clairement sous-entendu) de supprimer définitivement la classe paysanne, qui empêche les technocrates de déconner entre eux sans ingérence extérieure. (pour plus de détails sur cette horreur, voyez Macron, Ursula von der trucmuche ou les derniers européistes pathologiques encore vivants).
On suppose que des usines géantes, rêve des ''Big pharma'', reconverties dans ''la nourriture de l'espèce humaine et autres animaux'', vont se substituer à nos bouseux, décidément pas assez progressistes aux yeux de ''ceux-qui-savent'', et remplaceront (?) ce que les anciens champs, devenus bétonnés, ne produiront plus... Ah ! Que de beaux rêves réserve le monde de demain aux 1,5 milliards d'êtres ex-humains qui seront autorisés à survivre par la vision ''made in Davos'' du futur. Et ne me demandez pas où iront les 6,5 milliards actuels d'humains devenus excédentaires, donc indésirables : où ils veulent ! Mais quelques disputes entre puissances nucléaires veilleront au maintien de ratios ''Davos-compatibles'' entre les populations survivantes et les calculs de la poignée de dingos qui se seront emparés des manettes.
Et qu'on ne vienne pas me dire que je suis un affreux pessimiste, propagandiste du pire-à-venir : ouvrez simplement les yeux ! Cela fait 15 ans que cette clique d'irresponsables serine les mêmes prophéties auto-réalisées... et pas un seul signe n'est venu démontrer et nous prévenir qu'ils étaient fous, bien au contraire : le monde qui se dessine ressemble de plus en plus aux anciens cauchemars des vieux auteurs de science-fiction.
Le temps presse. N'oublions pas que l'Horloge de l'Apocalypse nous laisse 90 secondes de son temps à elle, un peu spécial mais compréhensible, avant la Grande catastrophe. Réveillons nous ! Très vite, il sera trop tard !
H-Cl.
4 notes · View notes
lashifteuselibre · 2 months ago
Text
Il est temps de lacher prise.
Source : https://www.reddit.com/r/shiftingrealities/comments/1fpw0bl/motivation_its_time_to_let_go/
C'est ma vérité. Si elle ne résonne pas en vous, laissez-la partir.
Il y a quelques jours, quelqu'un a commenté mon dernier post et m'a dit que c'était très démotivant, parce que tout le monde vous dit tout le temps que "la clé est en vous, ayez la foi, vous devez croire en votre pouvoir parce que vous êtes illimité".
La vérité est que cela a un peu blessé mon ego parce qu'ils me disent toujours : comme c'est motivant, merci. Mais malheureusement, nous avons un ego et tant que nous serons humains, nous continuerons à en avoir un. J'ai décidé de répondre, mais je l'ai supprimé parce que je pense que ce que je veux vraiment dire est quelque Je te comprends parfaitement. Je sais combien cela peut paraître démotivant lorsque tous ceux qui ont réussi à changer leur 3D le disent à leur médecin tout le temps.
Je sais que tu as du mal à gérer ce que tu vois dans ta 3D et avec tes croyances et tes pensées. Je sais exactement ce que tu ressens et il est tout à fait normal que tu ressentes cela. Mais il est temps de laisser tomber ces croyances qui sont là depuis longtemps et auxquelles tu t'es accroché parce que tu as trouvé en elles une sorte d'attachement, de réconfort et de protection. Pour une raison quelconque, ton ego a créé cette croyance et remercie-le parce qu'il a pris soin de toi pendant longtemps, quelle que soit la manière dont il l'a fait, il l'a fait parce qu'il croyait que c'était la bonne façon à ce moment-là.
Il est temps de remercier ton ego et de laisser tomber ces croyances, car tu en as besoin de nouvelles. Je ne peux pas te dire comment t'en débarrasser correctement ou incorrectement, mais je pense que la meilleure façon dans mon cas était de remercier mon ego et de les laisser partir. Tout d'abord, je veux que tu ne te juges pas toi-même pour la façon dont ton ego a pensé qu'il était juste de te protéger. Nous avons été élevés d'une manière qui nous fait croire en permanence que nous devons survivre et nous défendre avec des ongles et des griffes contre TOUT.
Une fois que vous avez trouvé cette croyance qui, vous le savez, déclenche plus de croyances, essayez des méthodes avec lesquelles vous vous sentez plus à l'aise pour les laisser partir. Le passé peut exister dans d'autres réalités, mais en ce moment pas dans ce que vous percevez dans votre 3D, seulement dans votre esprit et vos souvenirs. Vous ne devriez plus avoir peur et vous cacher, vous êtes belle, gentille et vous méritez le meilleur de l'univers. N'ayez plus peur car ces situations X n'arrivent plus. Vous êtes un enfant de l'univers et il vous aime complètement parce que vous êtes l'univers. Personne ne vous juge ici, personne n'a le droit de le faire car nous sommes tous humains et il est normal de faire des erreurs car nous le faisons tous et nous continuerons à en faire tant que nous serons en vie. J'ai besoin que vous sachiez à quel point vous êtes précieux, même si vous n'y croyez pas, je vous le dis, je sais que vous l'êtes, pour le simple fait d'être ici sur terre dans un monde que nous croyons apparemment physique. Vous êtes très courageux pour tout ce que vous avez dû traverser et pour l'avoir enduré, mais je veux que vous sachiez que tout est fini si vous le décidez maintenant. Vous n'avez plus besoin de ces croyances, il est temps de les laisser partir même si vous sentez qu'elles vous collent beaucoup, il est temps. Il est tout à fait légitime que vous ayez des doutes sur le changement, c'est normal.
Vous avez peur que ce ne soit pas réel et que vous soyez condamné à cette réalité pour le reste de votre vie, n'est-ce pas ? Vous devez quitter le mode victime car personne ni aucune force extérieure ne viendra le faire à votre place.Je vais te gronder un peu : parce qu'au lieu de voir tout le « négatif » que tu as dû traverser dans ton processus, tu ne le vois pas comme : Wow, je suis incroyablement fort pour tout ce qui s'est passé et pourtant je suis toujours là, plus fort, j'ai traversé tant de choses et pourtant je suis toujours là parce que je sais que c'est quelque chose que je veux pour moi-même. Chaque chose que tu as faite était un pas de plus vers la vie que tu veux pour toi-même. Honnêtement, quel sens aurait la vie si nous ne souffrions pas un peu ? Bien sûr, une fois que tu comprends ton pouvoir et que tu redeviens une conscience illimitée, tu arrêtes de le faire, mais c'est précisément pour cela que tu viens ici, pour expérimenter du point de vue d'un esprit humain. Crois-moi, tu finiras par y parvenir car dans un monde où nous sommes illimités, les possibilités sont incroyablement élevées pour y parvenir. J'oserais dire que c'est un retentissant SI TU Y AS RÉUSSI.
Quand votre 3D changera complètement, vous direz : Tout ce que j'ai d�� traverser m'a rendu plus fort et moi seul sais ce que j'ai dû traverser pour arriver à ce moment incroyable, je m'aime. Je peux vous assurer que c'est quelque chose de complètement réel mais sans le montrer. Je ne dis pas cela pour vous motiver, pour essayer de voir au-delà de votre esprit humain. C'EST COMPLÈTEMENT RÉEL et cela continuera de l'être même si vous n'y croyez pas.Un conseil de ma part : arrêtez de voir ce que vous voulez comme quelque chose que « un jour j'aurai ». Vous vous êtes habitué à cette volonté depuis si longtemps, ce n'est pas la mienne, c'est mon souhait que vous exprimez de continuer à regarder la même 3D.
Il est temps de lâcher prise. Êtes-vous totalement prêt à changer votre réalité ? Ou avez-vous simplement trouvé un certain réconfort en vous imaginant dans d'autres réalités ?
Soyez honnête avec vous-même, car vous le méritez. Arrêtez d'essayer de regarder en dehors des publications ou des personnes qui l'ont fait, car votre processus ne sera jamais le même que le leur. Cherchez-vous vraiment et ne faites plus semblant, faites-le pour de vrai. De la manière qui vous convient le mieux.
Bon voyage, rappelez-vous que nous sommes des êtres doubles.
3 notes · View notes
muzukashiidesune · 6 months ago
Text
本語能力試験 (JLPT)
Dans la salle où a lieu l’examen, trois boules disco pendent du plafond. Touche festive qui se marie mal au silence précédant la remise des copies. Tout le monde fixe le vide.
Salle de bal, moquette, vague odeur de cigarette. Longueur et lenteur. Trente minutes avant l’heure.
Ryan et moi nous sommes inscrits sur un coup de tête au JLPT, ce test de langue standardisé qui détermine l’avenir de beaucoup d’immigrants au Japon. Une idée que nous avons eue en mars, lors des vacances scolaires, quelque part au milieu de ces journées sans école qui s’éternisent et se confondent maintenant dans ma mémoire. Un défi, s’était-on dit, pourquoi pas.
À la reprise des cours, cette idée fut vite écartée. Puis, retour en flèche tout juste un mois avant l’examen. Constat inquiet: on aurait dû s’y mettre il y a longtemps.
Ryan m’a déposée beaucoup trop tôt. Inquiet de l’état des parkings dans ce coin de Kōchi-centre. Impossible de le raisonner — toujours à son rythme.
Je regarde mon téléphone; vingt-huit minutes avant le début de l’examen.
Un message de Juliette sur mon écran. Elle fera le même examen que moi, à des kilomètres de là, au pied du Mont Fuji où elle habite.
🪩💃🕺 — sa réponse à ma photo des boules disco.
Nous avons toutes deux une confiance très moyenne en nos habiletés. Il y a quelques semaines, en annonçant à Maryko, une partenaire de taiko, le niveau pour lequel j’avais opté — coup de grâce.
« N4? » s’était-elle exclamée. Le bout de ses doigts couvraient le trait inquiet de sa bouche. « N’est-ce pas un peu trop ambitieux? »
Le JLPT se mesure sur cinq; de N5 à N1, en ordre croissant de difficulté. Le N4 a une valeur nulle. Il n’est même pas remboursé par notre employeur. À peine une stepping stone vers les niveaux les plus importants, de N3 à N1.
L’expression consternée de Maryko, piqûre.
J’en parle à Kusumoto le lundi, tâchant de ne pas laisser le découragement m’atteindre.
« Ah, » me dit-il, vague relent de pitié au fond des yeux. Sur son écran de téléphone, traduction, et revers de la gifle: « Mais tu as payé pour le prendre, cet examen. Vaut mieux y aller tout de même. »
Peu de réconfort à puiser auprès de lui.
Je me ré-attelle à mon étude de kanji, wanikani, comme chaque jour depuis mon arrivée au Japon. L’impression de le faire pour rien. À quoi bon, avec ma mémoire de carpe. Tous les mots se ressemblent; variations autour du kyo, kyō, ko, kou, kyu, kyū. Et les kanji qui font presque douter de notre lucidité, 夫, 末, 天.
La honte, la lenteur.
L’air doux-amer des gens qui me disent sur le même ton que mon japonais est bon depuis le début — compliment qui tourne à la farce plus le temps passe. Nihongo jōzu desu ne.
Se faire ré-expliquer le sens du même mot plus de cinq fois d’affilée. Kusumoto, forcé d’apprendre l’anglais pour palier à mes lacunes. Tax. License. Pay. No pay.
La rangée des liquides à l’épicerie. Huile, vinaigre, mirin, sake — liquide clair dans une bouteille illisible, aux kanji stylisés et intraduisibles.
Terminer une conversation, et se rendre compte du ridicule de mes erreurs après coup. Front pressé sur le volant de ma voiture.
Mon père, au téléphone. À quoi ça pourra bien te servir, tout ça. Même réflexion que lorsque je lui avais annoncé mon départ.
Toutefois, ces moments.
Dans la toile opaque de la langue, le flou sombre du quotidien — un éclat de lumière. Quelque chose, saisi, enfin.
Kihon, foundation.
Souzou suru, to imagine.
Kekkyoku, in the end.
Modoru, to return.
Trou d’aiguille dans la toile, à la clarté si fine qu’on en douterait presque. Scintillement lointain, qui peu à peu se rassure, se concrétise, se joint à ceux des autres. Tracé, tapisserie.
Quand je rentre au soir, après ma pratique de taiko, le ciel noir de Muroto s’éclaircit. Fil des saisons. Nous sommes loins des lumières de la ville, et loin des profondeurs de l’hiver.
Après un an à en faire l’ascension tous les jours, depuis peu, je monte les escaliers de mon bloc appartement sans avoir à m’aider du flash de mon téléphone.
Sur ma copie d’examen, des petits reflets de lumières tournent, lents.
Je lève les yeux vers les boules disco, et me sens sourire.
Tumblr media
2 notes · View notes
selidren · 4 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Eté 1926 - Champs-les-Sims
10/10
L'enfant devrait naître au début de l'hiver, même si Grand-Mère a émis des doutes et tiens à me garder au chaud. Adelphe m'a raconté que quand sa tante Clémence (la mère de Papa) attendait Tante Rose, Grand-Mère était persuadée qu'elle était née fille car sa bru adorait se promener dehors durant l'hiver. Je ne savais pas qu'on croyait encore à ce genre de choses par ici, mais Eugénie Le Bris ne fait jamais rien comme tout le monde. En tous cas, je la rejoins sur un point, le bébé est déjà grand, même si je ne le sens pas bouger pour l'instant. Comme je suis moi-même née avec trois autres frères et soeurs et que Maman a eu des jumelles, il est possible que je porte plusieurs enfants en définitive. Il parait que ce genre de choses se transmet dans les familles. Deux enfants, tu imagines ? Je me vois déjà difficilement avec un seul, alors deux ? En tous cas, Ange serait ravi. Il m'a révélé avoir toujours espéré devenir père un jour, même si il ne pensais jamais que ça arriverait concrètement. Si Papa avait mis le dixième de l'entrain d'Ange dans notre éducation, je pense que ma vie serait différente, mais je suis heureuse de voir que je viens d'offrir à mon (mes ?) enfant un père enthousiaste et déjà aimant.
Cela en faisait des choses à raconter. J'espère que tu as pu tout suivre car ma vie ressemble un peu à un roman feuilleton depuis quelques semaines. Je relis le début de ma lettre, et comme tu as sans doute vu la demande que je te fais, voilà ce que tu pourras dire à ta famille : je me suis fiancée à mon cousin, qui est aussi mon ami, et nous allons bientôt nous marier. Pour le bébé, n'en dis rien, je pense que ta famille saura faire la soustraction, et peu importe ce qu'ils en disent à ce moment. Tout sera rentré dans l'ordre. Ma vie a été entièrement bouleversée, mais peut-être qu'au final la résolution est la meilleure qu'on puisse espérer.
Avec mon affection,
Noé Le Bris
P.S. Je viens de réaliser que je mentionne les jumelles et tu te demandes sans doute de quoi je parle. Maman a accouché à Alexandrie au printemps, et j'ai deux nouvelles petites soeurs que je rencontrerai au mariage : Julienne et Jeanne. Ce seront de vraies égyptiennes. Papa a repris ses travaux universitaires, et il parait qu'il trépigne de pouvoir retourner fouiller dans le sud.
Transcription :
Ange « Je veux en être absolument sur avant que nous montions lui annoncer. Tu es sure en ton âme et conscience que tu veux de ce mariage ? »
Arsinoé « Tu m’as ôté un tel poids des épaules ! Je me sens si légère que je pense pouvoir m’envoler. Alors oui, je ne connaîtrai jamais le grand mariage d’amour dont Cléo rêvais pour moi, mais très sincèrement, je suis contente que ce soit toi. A part Antoine, il n’y a personne d’autre à qui je fasse autant confiance. »
Ange « Et tu pourras difficilement épouser ton propre frère jumeau. Outre l’inceste, qui semble être un menu détail pour nos familles respectives, je doute que Mademoiselle Laroche nous laisse faire. »
Arsinoé « C’est exactement à ça que je pensais. Par contre, Antoine ne sera pas vraiment ravi. Tu sais ce qu’il pense des mariages entre cousins. »
Ange « C’est un homme brillant, il comprendra nécessairement tes raisons. J’aimerai te faire une demande un peu… comment dire ? Je ne veux pas te gêner et tu es libre de refuser bien sur mais… J’aimerai… enfin si c’est notre enfant... »
Arsinoé « Oui, tu as ma permission. »
Arsinoé « Il est encore trop petit pour qu’on le sente bouger. »
Ange « Je le trouve déjà grand pour son âge. »
Arsinoé « Non, vraiment ? On voit ma grossesse tant que ça ? »
Ange « Même avec des vêtements amples, n’importe qui ne t’ayant pas vue depuis quelques temps, comme moi, remarqueras la différence. Au jour du mariage... »
Arsinoé « Nos deux familles ne sont plus à un scandale près, surtout si cela se voit à notre mariage. Au moins, dis toi que les rumeurs sur ton compte vont un peu se calmer. Tu les traites par dessus la jambes, mais je sais que cela te blesse qu’on te traite de tous ces nom d’oiseau sur ton passage. »
Ange « C’est triste tout de même de se dire que mettre son amante enceinte par accident pour l’épouser précipitamment fait de moi un homme plus respectable que d’avoir des amants masculins... »
Arsinoé « En d’autres circonstances, je ne t’aurais jamais épousé. Malgré tout, j’aurai aimé que mon mari te ressemble sur le point des convictions, car tu es vraiment quelqu’un de bien. »
6 notes · View notes
rayondelun3 · 7 months ago
Text
Je pleure. Mon corps me fait mal parce que j'ai bu tout la journée et toute la nuit hier et même si je n'étais pas complètement ivre je n'avais plus d'équilibre pendant plusieurs heures, mon corps se heurtait au sol, aux murs, mais ce qui m'a fait bizarre ce soir là c'est quand je suis allée dans un buisson, volontairement ; en fait je me suis allongé dans un buisson d'épines... et je sentais la douleur, ça me faisait mal, mais je ne voulais pas sortir c'était comme si ça ne me dérangeait pas. Je me suis tellement blessée pendant ces heures là et celles d'après surtout, quand je n'étais plus saoule. Je n'étais plus saoule quand je suis allée dans le buisson d'épines, je me sentais m'enfoncer dedans, j'avais mal, ça me griffait, je continuais de m'enfoncer, j'avais pleinement conscience que plus j'allais m'enfoncer dans ce buisson plus j'allais avoir mal. Je suis restée plusieurs minutes à me laisser tomber dans ce buisson. A un moment je ne m'enfonçais plus, j'étais dans un nid d'épines ; j'ai mis du temps à me décider d'essayer d'en sortir. Et après j'ai frappé dans des poteaux, tellement fort que je me suis ouverte à nouveau les poings. Et tout mon corps me fait mal, je suis couverte de griffures, d'ecchymoses (j'aime ce mot, ecchymose et j'aime voir toutes ses plaies sur mon corps). Je dois garder espoir, continuer d'être forte, remonter la pente petit à petit comme j'essaie de le faire depuis des semaines mais ça ne prend pas enfin ils disent que ça prend du temps... Tout mon corps me fait mal, mais j'allais me scarifier. J'ai essayé d'attraper le couteau pour le faire mais mon dos, mes mains, mes épaules, mes coudes, me faisaient si mal qu'il a glissé de ma main et est tombé par terre. Je me suis penchée pour le ramasser mais j'avais encore plus mal et je suis tombée. J'ai perdu connaissance. Quand j'ai repris mes esprits tout était bleu noir - ça me rappelle la chanson de Mylène Farmer, et mon bras était tendu vers le couteau... Je le touchais du bout des doigts et la douleur a empiré. J'ai fini par abandonner. Je suis encore par terre, la douleur me paralyse. J'essaie de me convaincre de ne pas me faire plus de mal, de ne pas céder à l'appel de l'acier sur ma chair, les perles de sang... Je l'avais déjà fait avant hier. Je crois que cette fois celles-ci ne partiront pas. Je vais continuer à porter des manches longues. Je vois le verre de gaspacho et le petit verre de Yop vides. Le Yop c'est difficile à boire. Je l'ai dit à l'infirmière. Que c'était trop épais, trop consistant... Elle m'a dit que c'était le but.
5 notes · View notes
crazy-hanji · 7 months ago
Text
Tumblr media
Je ne peux pas me sentir triste pour le couple Stolitz , je m'explique ;
Sur les deux derniers épisode de la série beaucoup disent avoir pleurer lors des épisode mais moi non car le dénouement était trop prévisible car Vizie nous emmener clairement sur cette voix là
La relation puait déjà depuis la fin de la saison 1 on a eut un petit espoir du côtés de stolas à l'épisode 2 de la saison 2 mais c'est vite retombé.
A l'heure actuelle Stolas et Blitzø sont mauvais l'un pour l'autre donc une rupture même temporaire est pas plus mal . Histoire que les deux prenne du recule et se remettent en questions . Après pour l'incube je pense que c'est qu'un coup d'un soir c'est ce que je dirais pour rassuré Blitzo . Qu'il faut vous laisser papillonner et si vos sentiments sont assez fort votre couple aura droit à une seconde chance .
D'un côté tu as un rêveur qui a pleins de comédie , roman et chanson d'amour en tête. Qui attend que quelqu'un lui donne la même chose que dans ses œuvre fictive et c'est pas un mal . Car il est en manque affectif . Il n'a jamais connu l'amour car Stella ne lui a donné que du mépris . Il connaît que l'amour via ses livres. Bien qu'au début se fut que sexuel et les sentiments ont débarqués .Stolas a cru à une Idylle à sens unique à cause des livres . Pour lui il le baise bien et fait gaffe à son plaisir donc pour lui tout les faits sont au vert . Alors que du point de vue de Blitzo le fait de pas se louper permet de pas perdre son investissement . En gros Stolas est assez fragile et naïf sentimentalement parlant
Blitzo pour commencé dans l'épisode 8 de la saison 2 . Ce dernier dit qu'il aime pas les trucs compliqué et les sentiments font malheureusement partie des trucs compliqué . Donc pour lui se tenir sur une relation exclusivement séquelle c'était parfait . On me dit que Blitzo à des trouble borderline. Peut être mais ça excuse pas tout et ne doit pas en devenir une. Pour moi il est pas Borderline mais encore bien IMMATURE et instable émotionnellement . Justement parce que il a peur de ses sentiments ou ne veut pas se pencher dessus . Couplé à une faible estime de lui . La preuve c'est qu'il a beaucoup trop d'ex soulignant le fait que le mec s'aime pas et il peut pas s'imaginer que l'autre partie peut l'aimer et s'imaginer être à ses côtés. Et ça montre aussi son côté Immature emotionnellement
Comme je dis c'est à cause de ça que je dis une rupture même temporaire c'est pas plus mal . Car ils se font du mal l'un l'autre . Et c'est parce que je voyais les choses venir que j'ai pas pu lâcher de larmes comme à l'épisode précédent. J'ai connu des situations comme ça Irl est dans un sens c'est mieux que ça se soit terminée de la sorte
J'ai oublié d'ajouter à tout cela le manque IMPORTANT de communication des deux . Le plus triste pour Blitzy c'est qu'il envie le couple MOOXIE ET MILLIE . Au fond de lui c'est ce qui veut ne souhaitant pas crever seul . Mais il est pas fichu de voir que la personne en face de lui peut lui offrir tout cela et de bon coeur
I can't feel sad for the Stolitz couple, let me explain; On the last two episodes of the series, a lot of people say they cried during the episodes but I don't because the outcome was too predictable because Vizie clearly takes us to that voice. The relationship could already since the end of season 1 we had a little hope on Stolas's side in episode 2 of season 2 but it quickly faded away. At the moment Stolas and Blitzø are bad for each other so even a temporary breakup is no worse. History that the two take a step back and question themselves. Afterwards for the incubus I think it's just a one night stand that's what I would say to reassure Blitzo. That you have to let yourself flutter and if your feelings are strong enough your couple will be entitled to a second chance. On the one hand you have a dreamer who has lots of comedies, novels and love songs in mind. Who expects someone to give him the same thing as in his fictional work and that's not a bad thing. Because he is emotionally lacking. He never knew love because Stella gave him nothing but contempt. He only knows love through his books. Although at first it was only sexual and the feelings landed. Stolas believed in a one-sided romance because of the books. For him he fucks him well and takes care of his pleasure so for him everything is green. Whereas from Blitzo's point of view, not missing out allows you not to lose your investment. Basically Stolas is quite fragile and emotionally naive
Blitzo started in episode 8 of season 2. The latter says that he doesn't like complicated things and feelings are unfortunately part of complicated things. So for him to stay in an exclusively sequel relationship it was perfect. I'm told that Blitzo has borderline disorder. Maybe, but that doesn't excuse everything and shouldn't become one. For me he is not Borderline but still very IMMATURE and emotionally unstable. Precisely because he is afraid of his feelings or does not want to look into them. Coupled with low self-esteem. The proof is that he has too many exes emphasizing the fact that the guy doesn't love himself and he can't imagine that the other party can love him and imagine being by his side. And it also shows his emotionally immature side As I say, it's because of that that I say a breakup, even temporary, isn't any worse. Because they hurt each other. And it's because I saw things coming that I couldn't let go of tears like in the previous episode. I've experienced situations like that Irl in a way it's better that it ended like that I forgot to add to all this the IMPORTANT lack of communication between the two. The saddest thing for Blitzy is that he envies the couple MOOXIE AND MILLIE. Deep down it's what he wants, not wanting to die alone. But he can't help but see that the person in front of him can offer him all this and with a good heart.
4 notes · View notes
lilias42 · 2 years ago
Text
Meet the writer / rencontre de l'écrivain
rules: use this picrew to make yourself and answer the questions! / règles : utilise cette picrew pour te fabriquer et répondre aux questions !
tagged by / taggué par : @ladyniniane Merci de m'avoir taggué ! C'était amusant à faire !
Tumblr media
3 Choses amusantes sur moi :
-Je suis horriblement frileuse alors, j'ai toujours au moins un pull, une veste, un châle ou une écharpe jusqu'à 30 degrés, et après 30 degrés, j'ai toujours des manches longues mais, c'est une chemise, avec un foulard.
-Même si j'aime beaucoup écrire, j'ai les cours de français en horreur. C'est le meilleur moyen pour faire détester la lecture et l'écriture à des gens à mon avis (beaucoup trop culpabilisant quand juste, t'as du mal à retenir les 4000 règles d'orthographe et de grammaire).
-Mes premières histoires n'étaient pas des romans, mais des BD. ça a commencé en primaire où je dessinais des sortes de fanfics de FE Radiant Dawn auquel ma grande soeur jouait, puis surtout du dessin avec des personnages récurrent pendant longtemps à cause d'une copine qui avait commencé sa BD en 5e et qui voulait faire que les persos. L'écriture de roman, c'est vraiment venu en 2onde en fait et depuis, j'ai jamais arrêté.
Saison préféré : le printemps ! Il recommence à faire beau alors, on peut enlever une couche, et tout se réveille avec plein de couleurs. C'est quasi à égalité avec l'automne où il y a beaucoup de vent mais, vu qu'il recommence à faire froid, c'est moins bien. Par contre, je déteste l'hiver, il fait bien trop froid ! (c'est juste sauvé par toutes les fêtes de cette saison)
Continent où je vis : Europe
Comment je passe le temps : écrire surtout, un peu de couture, lecture (surtout manga et BD ou des livres scientifiques et des fanfics courtes, assez peu de roman), discuter avec des amis sur Discord, montez à la ville voisine pour voir les copains de l'assoc', regarder Tumblr et tous les fanarts dessus, tenter de me remettre au dessin (et surtout tenter de trouver du boulot en ce moment sans trop déprimée dessus [surtout que je passe tout le temps de 0 à 100 et de 100 à 0 pour la positivité / négativité], heureusement que les copains sont là)
Êtes vous publiée ? Non, surtout que je ne fais que de la fanfic en ce moment. Mes parents me disent de reprendre l'écriture d'histoires "originales" (terme que je n'aime pas, toutes les histoires ont une part de fanfic dedans, et inversement, toutes les fanfics ont une partie d'originale) justement pour tenter d'être publiée mais, j'ai pas encore la bonne idée pour ça (plus un bourgeon d'idée alors, on verra le moment venu)
Introvertie ou extravertie ? Introvertie de trèèèèès loin ! Je suis très timide, assez silencieuse et sensible au bruit alors, j'aime les endroits calmes et même si je peux travailler en étant en contact avec le public ou dans de grands groupes, à la fin de la journée, j'ai vu assez d'humains et je reste souvent seule avec juste ma famille et mes copains. Là, quand c'est avec des personnes de confiance, je suis plus extravertie et démonstrative dans le fait que je les adore (de nouveau le côté 0 et 100, j'ai du mal avec les entre-deux).
Repas préféré : j'aime pas tant manger que ça et j'aime peu d'aliment alors, c'est un gros casse-tête pour les repas. Enfin, je dirais un combo galette de sarrasin avec un oeuf et une saucisse, plus une crêpe de froment au caramel ou au chocolat (cette recette est juste trop bonne !!!). Là, déjà, j'ai de quoi tenir la journée. Par contre, j'aime bien cuisiner pour les autres, surtout tout ce qui est en pate, c'est agréable à agglomérer / mélanger avec les mains.
Bon ! Le tout est fait ! Si quelqu'un veut tenter, qu'il n'hésite pas si ça ne le gêne pas ! :D
4 notes · View notes
valerieshittalking · 2 years ago
Text
Mon problème avec l’image de la «that girl» 
Depuis un bon moment, sur tiktok et maintenant sur instagram (car tout commence sur tiktok aujourd'hui) on retrouve une nouvelle trend appelée «The clean girl aesthetic» et j’en ai déjà marre. On peut voir les mêmes effets avec les «clean girl» et «it girl», mais c’est quoi exactement?
La «that girl» est une fille considérée comme parfaite. Routine qui commence à 6 heures du matin avec un smoothie (qui est bien sûr sponsorisé par la marque connue du moment), du yoga puis du sport, qui ne se maquille pas mais qui fait le «no makeup makeup» puis étudie, puis se cultive… une fille qui est toujours en mouvement pour résumer.
Mais devons nous avoir ce rythme de vie pour réussir? pour se sentir bien avec nous-mêmes? 
En étant une jeune fille sur les réseaux sociaux, j’ai dû être confrontée à cette idée de perfection plusieurs fois dans ma vie. l’idée du style vestimentaire, du maquillage et du comportement. Donc j’ai été attirée par le principe de cette trend qui est de tenir une vie saine.
Cette trend connaît un autre message qui peut nous donner une mauvaise image de nous même. La base de cette trend est alors d’avoir une vie saine, mais pourquoi la perfection toxique doit être le point le plus important?
Ne pas sortir, ne pas manger la mauvaise bouffe, ne pas se reposer,ne pas s’habiller de façon «vulgaire» comme disent elles mêmes et de ne pas utiliser beaucoup de maquillage car cela fait «cheap».Nous devons donc nous sentir inférieurs aux filles qui prennent soin d’elles, et faussement. En créant en nous une culpabilité malheureusement féminine car vous pouvez me dire quel homme souffre de ça?
Il faut donc se détacher de cette idée que toutes ces influenceuses se lèvent à 6h du matin tous les jours, on a le droit d’avoir des mauvaises journées en se levant à 15h, en mangeant ce qu’on veut, en s'habillant comme on veut. Tiktok peut-être un endroit d’inspiration, de relaxation ou juste pour bien rigoler 10 minutes.
Nous devons donc faire abstraction sur la réalité de ce réseau social qui montre ce qu’il en a envie, la perfection et la réussite.
4 notes · View notes