#cristalline
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Limpide comme l'eau
Limpide comme l'eau...
Je rêve d'être sous cette chute d'eau...
Nager sous l'eau,
Jouer comme un poisson dans l'eau...
C'est si beau,
Que j'en perds mes mots...
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Check out this listing I just added to my Poshmark closet: Set Of 8 Cristalline Bohemia Czech Crystalex Glasses Gold Rim 1970s Vintage
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Nombreux Sont Ceux qui Auront Quitté la Planète
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Je suis KaRa. Je viens pour être avec vous en ce moment, ces temps tout à fait propices dans lesquels vous êtes maintenant, des temps pour lesquels vous vous êtes préparés, depuis très, très longtemps, même avant de venir dans ces vies, ces vies que vous avez préparées. Vous saviez qu’un jour, un jour dans un futur très…
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Muriel Odoyer - Aux limbes du matin
Un bruit, un sonUn effleurement cristallinA l’aube de la conscienceLe vertige d’une nuitS’échappant du silenceEt, sous le grand pignonLes mots, en graines de chagrinsDans le vent, ensemencentLe champ de l’oubli Un songe, une imageUne photographie enfouieSous le verbe intransigeantQuémandant le passageL’ouverture au tempsLa puissance de l’ancrageLa colline éblouiePar le soleil trop grandOù…
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île tropicale paradisiaque
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île tropicale paradisiaque
Découvrez l’évasion ultime vers une île tropicale paradisiaque, où le sable d’un blanc éclatant rencontre les eaux cristallines d’un bleu azur. Laissez-vous emporter par la beauté naturelle de cet endroit idyllique, où les palmiers majestueux se balancent doucement sous la caresse d’une brise tropicale apaisante.
Plongez dans un paradis préservé, où chaque coin de l’île révèle une nouvelle merveille de la nature. Les couchers de soleil embrasent le ciel de teintes chaudes et éblouissantes, créant une toile de fond spectaculaire pour des journées remplies d’aventures ou de détente sur des plages désertes.
Explorez les récifs coralliens aux couleurs éclatantes, peuplés d’une vie marine foisonnante. Laissez-vous émerveiller par la richesse de la biodiversité marine qui fait de cette île tropicale un sanctuaire préservé pour les amoureux de la nature.
Que ce soit pour une escapade romantique, des vacances en famille inoubliables ou simplement pour retrouver l’harmonie avec la nature, cette île tropicale paradisiaque offre une expérience unique et authentique. Profitez d’une évasion tropicale inoubliable, où le luxe rencontre la simplicité, et où chaque moment devient un souvenir à chérir.
Rejoignez-nous pour une aventure exotique au cœur de cette île paradisiaque, où le bonheur se trouve dans chaque grain de sable et chaque vague qui caresse la plage. Bienvenue dans votre paradis tropical, où l’émerveillement devient une réalité.
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Dopo il tramonto, a settembre, sono lunghissime le ore, prima che sopraggiunga il buio. Profumano più forte, i fiori: sempre così, quelli che la sera si chiudono. Eppure all'alba si riapriranno. Di tanto in tanto, la frusta moveva l'aria per allegria. La polvere della strada, ingrigiva. E un pettegolezzo, un vero battibecco, i passeri, prima di infrascarsi, un suono di minuscole nacchere senza brio. Succedette una calma innaturale, come imposta. Neppure una crespa nell'aria. Del cane che non c'era non udivo più il respiro, poco prima spinto fino all'ansimo dallo stupore delle carezee. Il babbo aveva allentato le briglie. Inerte, la frusta issata nel cannello. A sorvegliare l'imminenza d'un oscuro avvenimento aspettato col fiato mozzo, l'occhio stentava. Lunghissima pausa; e alla fine un uccello notturno, solitario, d'un grigio fangoso, esce alla nostra destra da un'alta siepe; ma con meno rumore d'un sospiro, in segreto. Ha un volo pesante, opaco. Remigano adagio le goffe ali ovattate. Con anziana sicurezza, sale bassi gradini di cielo, via via estinguendo voci e luce. Confitti nella testa massiccia, gli occhi gialli sacrificano faville, allo stesso modo che il volo tacita l'avaro e controllato sbattio delle ali. Nessun colore poteva resistere accostato all'ardente voragine di quelle iridi. La faccia appare dunque smorta, pallida, di certo devastata da quell'implacabile determinato avanzare, polverizzando gli ultimi residui del giorno. Allo scoperto, attraversando diagonalmente la strada, alzandosi di poco, ha segnato nell'aria una bruna traccia ondulata come una serranda. È scomparso. Ed è stato come chiudere un cancello.
Gianna Manzini, Ritratto in piedi
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Paradis Tropical : Un Petit Îlot et Son Palmier Solitaire" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
#findyourthing#redbubble#îlot eaux cristallines lumière éblouissante palmier solitaire paysage paradisiaque
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Tra di noi è tutto sospeso... È passato un bel po' di tempo... Sono sicura che ci parleremo ancora... Ci sono ancora un sacco di cose da chiarire tra noi... Ma non adesso... Quando non lo so, ma ora non ho voglia di spiegare... E tu di capire... Dobbiamo lasciare che il tempo renda più chiari i pensieri... Dobbiamo decantare entrambi... Come un buon vino... Dobbiamo ossigenare... Rimpiangere il nostro sapore... Capire cosa siamo stati uno per l'altra... Sarà il tempo a chiarire le cose e quando saranno cristalline, sarà il momento di parlarci per un ultima volta...
~ Virginia ~
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La vraie beauté d'une femme est suspendue entre féminité et sensualité.
Ce n'est pas dans un corps parfait, ni dans une robe provocante, mais dans l'énergie qui émane, ce rare ouragan de sourires et de passions qui transforme en beauté tout défaut humain.
Des femmes qui, même amoureuses, sentent la liberté.
Des femmes qui font de la fragilité leur force.
Des femmes qui font bien l'amour parce qu'elles ont l'âme attachée à leur corps et ainsi..... elles jouissent double.
Des femmes qui, après chaque instant partagé, tu les vois de plus en plus belles.
Qui vous coincent avec des mots. Qui t'emportent de passion.
Qui vous émerveillent avec des gestes tendres.
Qui s'offrent en rires cristallins..... qui font trembler le monde entier.
Les femmes comme ça n'ont besoin de personne et aiment en toute liberté de sentiment. Indomptables, mais fidèles à leur coeur et à elles-mêmes.
Capables de solitude et donc irremplaçables compagnes d'intimité.
Si vous rencontrez une femme comme ça, donnez vous le courage de la vivre, de la respirez même pour un instant.
Elle vous enseignera la vraie beauté et la joie d'être complices, la forme la plus intense de l'amour.
Auteur: Letizia Cherubino.
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Check out this listing I just added to my Poshmark closet: Set Of 8 Cristalline Bohemia Czech Crystalex Glasses Gold Rim 1970s Vintage
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Ton rire cristallin est comme une fontaine d’eau fraiche et pure à laquelle je viens boire avec délectation…
V. H. SCORP
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ÉTAPE DE LIBÉRATION DES ÉMOTIONS ET KARMAS INTÉRIEURS ET EXTÉRIEURS
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Vous vous demandez s’il y aura un jour un changement permanent dans votre monde. Vous vous demandez quand les choses vont arriver. Vous vous demandez quand vos rêves se réaliseront. Vous avez le profond honneur de créer vos rêves, de créer les éléments constitutifs du nouveau monde, brique par brique, et vous le faites. De…
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#de nombreux changements sont en train de se ^produire#la matrice cristalline#le temps des révélations#les choses cachées sortent
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Enchanted Ice Caverns
Dans les profondeurs d'une caverne gelée, la lumière danse sur les parois scintillantes. Les arches de cristal forment des rêves glacés, chuchotant des secrets au murmure de l'eau.
Sous le voile mystérieux de la glace, les stalactites comme des larmes cristallines, éclairées par une lueur douce et magique, où les reflets dessinent des contours subtils.
Chaque pas résonne comme un écho singulier, révélant les mystères d'un monde figé. Un voyage au cœur des cavernes enchantées, où chaque éclat promet une beauté cachée.
English translation :
In the depths of a frozen cavern, light dances on the shimmering walls. Crystal arches form frozen dreams, whispering secrets to the murmur of water.
Beneath the mysterious veil of ice, stalactites like crystalline tears, illuminated by a soft and magical glow, where reflections sketch subtle outlines.
Each step echoes with a singular sound, revealing the mysteries of a frozen world. A journey to the heart of enchanted caverns, where every glimmer promises hidden beauty.
#Cassiopeapoetry
#illustration#photography#digital art#inspiration#nature#landscape#alaska#artists on tumblr#poésie#french poetry#visualpoetry#mywriting#mycreation
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Meet again
Renjun x fem!reader
Categories: chubby reader, use of alcohol (no one gets drunk), smut, making out, penetrative sex, unprotected sex (always use protection!), fingering, squirting, creampie, cockwarming (kinda?), MDNI, 18+
A.N. Sorry this took forever, I just lost inspiration about writing and also have no time to balance work, friends, family, hobbies, stuff and life in general 🥲 I guess I felt overwhelmed but I still felt sorry for the anons who requested some fics from me so I managed to write this, hope it turned out somewhat good! I still have to write some other stuff, I need to be more consistent, again I'm sorry! Finally, enjoy and give me feedback, thanks!
~♡~
You were having a pretty decent day, unusual for you since for the last few weeks you were struggling with university, grades and your part-time job.
You were quite suspicious of this anomalously sunny, relaxed, uneventful day, until dinner with your parents when they announced the most horrendous thing you could think of: a double family vacation with your long time enemy, Renjun and his parents, to revive the old times when you all used to hang out together.
You tried to escape from your fate lying to your parents about having to work, but they remembered well the time when you told them about you asking your employer a week off. You couldn't back out now making up more excuses without looking suspicious so you finished your food and sadly paced to your room in silence.
You remembered the time when you and Renjun used to play together all the time and went along quite well, but that was before puberty, before he started to mock everything about you, from your voice, to your hair, to your clothes: growing up you felt insecure about your body and your curves, so you started hiding under oversized clothes. Your voice finally changed for the better, and you learned how to style your hair nicely, but you still hid your body in baggy clothes. You just hoped that Renjun was a bit more mature now that he wasn't a kid anymore.
Fast forward, it was finally time to meet Renjun and his parents at the house on the seaside you all rented. He greeted you politely in front of his parents and hadn't stopped eyeing you from head to toes in a strange way since. It was kinda annoying actually and you wondered when his real self will show up and start teasing you. The rest of the day passed with you trying to avoid him and ignore his staring.
The next day you still avoided Renjun by skipping breakfast at the table where he was sat at and you went directly to the beach without sparing him a single glance and putting your headphones on, starting your favorite song right away. Little did you know he tried to call your name and started following you.
You stopped on your tracks when you caught a shadow with the corner of your eye and nearly screeched in fear when you saw Renjun so close to you. Your reaction startled him but at the same time he was amused and to your disdain he started laughing, his cristalline voice finally reaching your ears as you took off your headphones. You almost started laughing with him, but you masked it with a fake cough, 'that was close', you mentally reprimanded yourself.
You removed your headphones and crossed your arms waiting for him to stop laughing, a slight scowl on your face.
"Sorry," he finally caught his breath "I tried to call you to go to the beach together since I was coming anyway, didn't mean to scare you".
He joined you on your walk after you replied a quick "Fine, let's go then". You felt stiff in his presence, your memories about middle school when he started to nag you at every occasion, when you finally cut him off your life after growing apart made you uncomfortable. The fact that he grew to be such a good looking young man wasn't helping you feel more at ease, you had to admit.
You finally reached your destination, Renjun occasionally trying to make small talk, you replying shortly, until you picked your spot on the warm sand, laid your towel and sat on it.
Renjun laid his own next to yours, ignoring the dirty look you gave it noticing the closeness, and removed his clothes until he was in his swimsuit. You immediately diverted your eyes, not wanting to be caught staring.
He took his sunscreen from the small bag he brought and started applying it on his body, until he stopped, struggling a bit to reach his back and finally giving up.
"Could you help me with my back?"
"Why didn't you ask your mom before coming?"
"Well, I didn't. Now please help me, or do you want me tu get a sunburn?"
"What if I draw a dick on your back with sunscreen?" You smiled at him apparently joking, but you thought you could actually do it.
Renjun smiled back, confused "Why would you do that? Come on, just help meeee"
You scoffed, why would he pretend to not remember the kind of moron he was back then? He probably still was a moron, right? Who cares if he looks good and his face shines when he smiles, you wouldn't be fooled!
You finally gave in, just to stop his insisting laments. You started rubbing the cream on his skin, noticing how smooth and good it felt under your fingers, wait, were you actually enjoying it?
A sudden moan broke your train of thoughts, was it you? You realized it was Renjun when he opened his mouth again "Can you massage a bit right there? It feels goo- OWW!", you slapped the spot between his shoulders "All done, now leave me alone".
You fixed the hat on your head and started searching for a book in your bag. Renjun observed you making yourself comfortable, using your bag as a pillow to rest your head on while opening your book at the new chapter you were gonna read. He pondered if continuing to annoy you just to have you talk to him or let you read in peace and opted for the latter, taking a mental note not to piss you off beyond your limits.
And so a couple days passed like that, everywhere you went, Renjun followed, resulting in constant banter between the two of you. You wondered why he kept sticking to you if all he was gonna do was piss you off. Or was it just you being salty about the younger Renjun you knew so you didn't wanna give a chance to the present him? Was he really that annoying or were you distorting his personality in your head because you thought it was more convenient like that?
You started questioning yourself on the fourth day when he told off a guy who was trying to get your number at the snack bar next to the beach. You initially got angry at Renjun "Did you just cockblock me?", you glared at him, was he trying to sabotage your chance at getting laid?
Renjun looked took off guard by your tone and look in the eyes "Of course not, I was just trying to save you from a dickhead".
"A dickhead? You're failing 'cause you're still here" you bitterly spat out.
Renjun opened his mouth to reply, no sound coming out for a second, stuttering at first "I heard him talking to his friend right now, they were making fun of you".
You didn't know if you felt more offended about the possibility of some random guy making fun of you for whatever reason, or the fact that you didn't notice and Renjun had to step in like a knight in shining armor, which obviously he wasn't in your eyes. You stood up and started leaving, Renjun catching up right away, walking silently behind you, overthinking about what happened and why you looked so mad and hurt.
The next day you decided to confront him. You were confused about him, was he still the same kind of person he was back in middle school? Were you just projecting the bad memories on him? What really happened at the bar? Was it all true? Why did he defend you if he was still the obnoxious kid you used to know?
You couldn't face him about your concerns without some help though, so you decided to do that in front of some alcohol to ease a bit of tension.
It was evening, after dinner, you and Renjun were left alone at the house, your parents heard there was some over fifty club in town and went to have some fun.
You took some beer, soda and lemons out the fridge and called for Renjun to help you make some drinks. They turned out pretty good so you sat on the front porch, stars shining on you and music from the radio in the living room coming through the open window. Renjun sat next to you on the wicker sofa sipping his drink, waiting for you to say something.
"Renjun, I'm just curious, what did that guy say yesterday?", you asked directly, not wanting to waste time beating around the bush.
He sighed a little, talking slowly, like if measuring his words "He told his friend something about you being more approachable because you don't look that good, his friend thought he wouldn't be able to get your number anyway so they bet on it, that's what I heard".
Renjun glanced at you "You know, not to try and make tou happier, but I think you would look better with more fitting clothes, to show your curves instead of hiding them..."
You blushed turning slightly away from him to hide it "Why do you care, you used to mock me when we were kids because I was chubby, that's why I didn't want to be friends anymore".
Renjun chuckled "Yeah I was a moron back then, I'm sorry... Actually as a kid I didn't know how to tell someone I liked them so instead I tried to get their attention the wrong way. Maybe that's a skill I still lack..."
"Did you just tell me you used to like me?", you were astonished.
"Well yeah..." he scratched his head, making eye contact with you "and after I met you again I think I still like you... and I still don't know the right way to get your attention, I guess".
After a moment of silence you rested your face in your hands, suddenly snorting and starting to laugh, startling Renjun who thought you were crying and internally panicked, not knowing what to say. You finally showed your face, a beaming smile after realizing the stupid misunderstandings that led to you and Renjun being enemies, while it was just a terrible approach from the kid you liked and that actually liked you back.
That finally cleared up your mind, Renjun was just immature back then, like every single kid that age. And obviously growing up he matured, he was actually nice to have around once you let go of the image of him you painted in your mind.
"Hold on, is it the alcohol or did you just say you still like me?"
"Yeah I said just that, I think you're pretty hot and it's a shame you never strip in your swimsuit when we go to the beach" Renjun playfully replied.
You were shocked but interested by his sudden confession "Are you really that horny?", you teased him.
"Only if it's you I'm thinking about, I realized these days"
"What do you mean? Please, elaborate" you turned to face him, your elbow resting on the back of the sofa, your other hand holding the glass, sipping your drink, eyeing Renjun up and down.
Renjun smirked "What if I told you these nights I often thought about you, and touched myself imagining it was your hand..." his voice was low, enciting you to get closer to hear his dirty words.
"What if I told you I wish I could see what you hide under those baggy clothes?" he slowly approached you, his hand now resting on your thigh, slightly pressing his fingers in your clothed flesh.
His face now was much more closer, you could sense his breath on your lips, and you realized you were leaning in to meet him halfway. Your lips finally met and pressed together, moving against eachother experimentally.
The thrilling sensation you felt in your spine when he caressed your lips with his warm tongue had you shivering despite the hot weather, and a hand came up to your neck to deepen the kiss.
Renjun started kissing you like he was hungry, licking and softly biting, slowly starting to move his lips across your jaw to your neck, not caring about possibly leaving a mark on your skin, his hands roamed around your body, pressing and sqeezing on your soft skin, eventually landing on your plush butt.
Your hands grabbed on his hair, wanting him to continue his attack on your neck but at the same time getting impatient because you wanted more.
"Renjun" you tried to call his name but he just groaned in response, sucking your neck more harshly.
"Renjun, wait... Stop!" you finally caught his attention and he raised his head to look at you, concern in his eyes.
"Is something wrong? Is it too much? If you wanna stop I-"
You interrupted him with your fingers on his lips "Let's go upstairs."
He smiled and followed you without being told twice.
You pushed him on your bed and started lifting your t-shirt, Renjun resting his weight on his elbows anticipating what you were going to reveal, and he was beyond extatic, wanting nothing more than to have you in his arms and hug your pretty curves.
He noticed your apprehension though, a part of you still insecure about revealing yourself, even though he made clear that he liked you and your body, so he scurried to remove his own shirt and pants, and like that he encouraged you to strip out of your pants too and join him on the bed.
He immediately pushed you on your back and hovered above you, keeping your thighs open with his knees and with one hand he started caressing your cheeks, neck, chest, squeezing your plush breasts between his fingers, grazing on your nipples while doing so, a soft gasp leaving your lips.
That sound made him dive in to kiss you, devouring your lips and sucking on your tongue, swallowing every little moan and whimper you let out while his hand traveled lower and lower, reaching your panties and moving the hem to the side.
Renjun couldn't help his own moan escaping his lips when he felt your arousal on his fingers. He started softly rubbing your clit, spreading your wetness on it to heighten your pleasure, occasionally slipping the tip of his middle finger into your hole, to then come back to your clit and tease you some more.
Your breath was becoming labored, you liked everything he was doing but every time you felt like you were getting closer and started clenching on his finger he slowed his pace. You felt like he was doing it on purpose so involuntarily you let out a frustrated whine.
Renjun kept slowly fucking his finger into you and coming back to your clit, chuckling at your little outburst "Is everything ok? You're so wet, don't you like it?" he punctuated his last words pushing a second finger in and curling upward, hitting your sweet spot just once.
You moaned loudly, slapping a hand on your mouth, but still managing to form a sentence and say it without thinking "Please, please, stop teasing and fuck me already, please make me come!"
"Alright, I'll make you come" Renjun smiled down at you, kissing you with fervor once again, slipping his fingers out of your dripping pussy. He used the slick on his fingers to pump his cock a few times before pushing your panties aside once again and finally pushing it inside of you with a groan.
You felt heavenly, the perfect girth to stretch you nicely without hurting, reaching your sweet spot just right, making you moan with every thrust of his hips against your thighs, the sound of skin slapping skin soon filling the room with the rough pace he was setting.
The pleasure was so much you barely could stand it, you started sobbing and tearing up, Renjun reaching a hand to wipe a tear from the corner of your eye.
He slowed down, seeing your state "Do I have to stop?" he was a bit concerned despite the lust filling his mind in that moment.
"Don't you dare to stop, Renjun!" your voice coming out harsher than you expected.
Renjun smirked and started pounding into you harder than before, squelching sounds filling his ears and moans of pleasure and effort tumbling out of his mouth one after the other.
You felt your whole body starting to tense up and burn until you finally snapped and with a last whimper you came hard around his cock, squirting a bit (which you didn't even know you were capable of) and wetting his pelvis and the sheets underneath you.
"Fuck..." he gasped at the sensation of your pussy convulsing on his cock and the feeling and sight of you squirting around him, and that sent him over the edge, coming inside of your spent hole with a few shallow thrusts, splurting his seed deep inside of you with one last satisfied moan.
He collapsed on top of you, careful not to hurt you, still keeping his cock inside you, both of you catching your breaths. He squeezed you tight, loving the feeling of your soft curves between his arms.
"Let's stay like this forever" Renjun lazily said in your ear, making you giggle.
"We have to get presentable before our parents come back"
He groaned "Right, but let's do this again, and maybe we could also date sometimes, you know..."
You smiled at him, eyes sparkling. "That's a nice idea, let's do that sometimes!"
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Esitai. Mi tirai un poco su, come per un colpo leggero alle reni, appena barcollando. Di molte piante, lui avrebbe saputo il nome; e non gli sarebbe piaciuto che si dicesse "erbacce". "Erbacce, perché non servono a te? Perché non ti piacciono? Perché t'intralciano?" Sicuro, che me lo sussurrava all'orecchio. Ma io non potevo fare diversamente. Almeno ripulire, diamine. Alcune si raggruppavano in una famiglia ispida: sdegno o difesa, sembravano costringerle a una vicinanza serrata. Conro quelle mi accanivo, scalzando intorno con le dita, e piegandomi tutta da un fianco, dato che si trovavano in fondo, dal lato opposto della lapide. E lui, il babbo, amorosamente contrastandomi: "Erbacce perché non rientrano in un certo schema?" Forse mi burlava; e questo avrebbe potuto offendermi; ma sentivo d'aver tutti dalla mia, specie la mamma ("Un orrore, una vergogna. Simile invasione di erbacce ti accusa") sì che insistevo fra gramigne e gambi fibrosi con foglie lanceolate e bizzarre. Di una vidi il fiore o il frutto che fosse, non so: una nappina compatta, color bronzo. Non la risparmiai. Più basso, più penetrante, e tuttavia appena ironico, lui: "Erbacce perché l'uso vuole che si distruggano? Nascono condannate, le erbacce". Ero soltanto in grado di ascoltare. Trattenuta ogni fibra entro un fermo tessuto di rispetto e di timore, sussistevo in un'inerzia fragile. "Perché ti umilia quest'eccesso gratuito di impulso vitale?" Gratuito: voleva alludere al fatto che, fra gente meschina come "noi", è apprezzabile soltanto ciò che costa? Insisteva dolcemente: "Esuberanza povera povera". (Qui la voce si faceva struggente: appena il soffio di un caldo festeggiare, proteggendo.) "Povera: e per ciò, vedu, com'è pietoso questo far gruppo, questo avvincere..." Ma di che cosa mi parlava, dunque? Dove sconfinava il suo sussurro? Infine, una segreta, fioca esclamazione: "È vita, Gianna; è vita!"
Gianna Manzini, Ritratto in piedi
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 6 : The Power
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Toutes les sorcières étaient profondément plongées dans un sommeil paisible, leurs visages illuminés par la lueur des flammes.
Soudain, un bruit étrange résonna dans la nuit, comme un chuchotement lointain mêlé à un souffle de vent. Lilia, les sens en alerte, ouvrit les yeux. Son cœur s'emballa alors qu'elle reconnaissait ce son. Les histoires de sa grand-mère lui revinrent en mémoire : les sorcières de Salem, réputées pour leur pouvoir et leur mystère, approchaient.
Elle se leva d'un bond, ses pieds nus glissant sur le sol froid. Les autres sorcières, dérangées par le tumulte, commencèrent à se réveiller, leurs expressions d'inquiétude se mêlant à la curiosité.
« Elles arrivent ! » cria Lilia, sa voix résonnant comme un écho dans la pièce sombre.
Les sorcières se redressèrent, échangeant des regards alarmés.
« Qu'est-ce que tu veux dire, Lilia ? » demanda Alice, la, en frottant ses yeux ensommeillés.
« Je l'ai entendu, je le sais ! Les sorcières de Salem sont là,» répondit Lilia, le souffle court, les yeux brillants d'une détermination nouvelle.
Les murmures commencèrent à circuler parmi les membres du coven, chacun réalisant la gravité de la situation.Ivana, avec un froncement de sourcils marqué, s'approcha du groupe, son regard perçant scrutant les visages inquiets de ses compagnes.
« Pourquoi êtes-vous toutes si tendues ? » demanda-t-elle, la voix empreinte d'une autorité naturelle.
Lilia, le cœur battant, prit une profonde inspiration avant de répondre. « C'est à cause d'Agatha. Les sorcières de Salem viennent pour se venger d'elle. » Son ton était grave, et l'atmosphère se chargea d'une tension palpable.
Les autres sorcières échangèrent des regards perplexes. « Venger d' Agatha ? Pourquoi ? » s'interrogea Lucillia, perplexe.
« Agatha a tué son coven, » expliqua Lilia, la voix tremblante. « Elle a laissé les enfants vivants, et maintenant, ces enfants sont là pour se venger. »
Juste à ce moment-là, une voix résonna, froide et calculatrice. C'était Agatha elle-même, qui venait d'entrer dans la salle, un sourire énigmatique sur les lèvres. « Moralité de l'histoire, mes chères, ne jamais avoir de clémence et toujours finir son travail, » dit-elle d'un ton presque amusé.
Les sorcières, figées par la surprise, ne purent que la regarder, l'angoisse se mêlant à la confusion.
« Alors, que faisons-nous maintenant ? » demanda Alice, une lueur d'inquiétude dans les yeux.
Agatha balaya la pièce du regard, son assurance évidente. « Allons, nous devons y aller. »
Les sorcières, hésitantes mais déterminées, se préparèrent à suivre Agatha, conscientes que le destin de leur coven était en jeu.Les sorcières couraient à travers la forêt, les arbres, hauts et sombres, semblaient se pencher sur leur passage, écoutant le murmure de leurs voix paniquées. La peur était palpable, chaque craquement de branche résonnant comme une menace.
« Nous ne pouvons pas échapper à ces sorcières ! » s'écria Jen, haletante, ses yeux écarquillés de terreur. Elle s'arrêta un instant, le souffle court, puis ajouta avec détermination : « Il faut qu'on s'envole ! »
Lilia, qui peinait à suivre le rythme, comprit immédiatement à quoi Jen faisait allusion. « Tu veux dire... sur un balai ? Non, hors de question ! » s'exclama-t-elle, une lueur de défi dans ses yeux. « C'est péjoratif ! »
Ivana, qui les observait avec un mélange d'incrédulité et de frustration, leva les yeux au ciel. « C'est une blague ? » dit-elle, sa voix tranchante comme une lame. « Je ne suis pas la méchante sorcière de l'Ouest pour monter sur un balai comme une gamine ! »
Agatha éclata de rire aux paroles d'Ivana, un son cristallin qui résonnait dans l'air tendu de la forêt. « Tu es sérieuse ? Tu ne vas pas vraiment refuser de monter sur un balai, n'est-ce pas ? » dit-elle en essuyant une larme de rire au coin de son œil.
Jen, impatiente et anxieuse, intervint : « Écoutez, on n'a pas le choix ! » Sa voix était ferme, mais une légère tremblement trahissait son inquiétude. « Si on veut échapper aux sorcières, il faut agir vite. »
À ce moment-là, un groupe de sorcières émergea des ombres des arbres, leurs visages déterminés. Elles prirent de gros morceaux de bois, des branches épaisses et noueuses, et commencèrent à les transformer en balais. Le bruit du bois craquant sous leurs mains était à la fois fascinant et terrifiant.Alice, qui observait la scène avec un sourire malicieux, se tourna vers Ivana. « Tu peux monter avec moi si tu veux, » proposa-t-elle, ses yeux pétillants d'excitation.
Ivana, d'abord hésitante, sentit une montée d'adrénaline. « Oui, pourquoi pas ! » répondit-elle, un sourire se dessinant sur son visage.
Elle n'avait jamais pensé qu'elle volerait sur un balai, mais la situation l'exigeait. Lilia, voyant la détermination d'Ivana, se tourna vers Lucillia.
« Et toi, tu veux monter avec moi ? » demanda-t-elle, pleine d'enthousiasme.
Lucillia hocha la tête avec un grand sourire. « Bien sûr, je ne vais pas rater ça ! » s'exclama-t-elle, impatiente de s'envoler.
Les sorcières, maintenant prêtes avec leurs balais improvisés, se regroupèrent, prêtes à affronter l'inconnu. L'excitation et la peur se mêlaient dans l'air, mais une chose était claire : elles allaient s'envoler ensemble, unies par leur courage et leur détermination.
Agatha observait la scène avec une moue contrariée. Elle n'aimait pas vraiment que Ivana monte avec Alice, mais elle garda le silence, serrant les poings pour ne pas laisser échapper ses pensées. Son regard se déplaçait entre les deux filles, une lueur de jalousie dans ses yeux, bien qu'elle ne veuille pas créer de tensions.
Lucillia, pleine d'assurance, se tourna vers Lili et posa ses mains sur ses hanches pour se stabiliser. « Prête à décoller ? » demanda-t-elle avec un sourire complice.
« Prête comme jamais ! » répondit Lilia, son cœur battant la chamade.
Les deux femmes échangèrent un regard complice, savourant ce moment d'amitié et d'excitation. La tension de l'instant était palpable, mais elles trouvaient du réconfort l'une dans l'autre. Alors que la tension montait, elles se préparèrent à s'envoler, prêtes à affronter l'inconnu ensemble. Ce moment partagé, cette complicité, rendait l'aventure d'autant plus précieuse.
☆○o。 。o○☆
Les sorcières avaient atterri avec grâce devant une imposante bâtisse, qui ne ressemblait pas vraiment à une maison ordinaire. En s'approchant, elles réalisèrent qu'il s'agissait plutôt d'un château majestueux, dont les tours s'élevaient vers le ciel, comme des doigts pointés vers le ciel.
Les murs étaient en pierre grise, marqués par le temps, et couverts de lierre verdoyant qui semblait vouloir les envelopper. De grandes fenêtres à vitraux colorés, représentant des scènes de magie ancienne, laissaient filtrer une lumière tamisée, créant des reflets dansants sur le sol pavé.
L'entrée principale était ornée d'une porte massive en chêne, sculptée de motifs mystiques et de runes anciennes. Les sorcières échangèrent un regard complice, sachant que cette porte marquait le début d'une nouvelle épreuve.
En poussant la porte, un grincement résonna dans l'air, révélant un hall d'entrée vaste et sombre. Les murs étaient décorés de tapisseries représentant des batailles épiques et des sorcières en plein vol, tandis que des chandeliers en fer forgé, suspendus au plafond, projetaient une lumière vacillante.
L'atmosphère était chargée de mystère, presque palpable. Un parfum d'herbes et de potions flottait dans l'air, évoquant les souvenirs de rituels passés. Au fond du hall, un grand escalier en colimaçon menait à des étages supérieurs, tandis qu'une porte en bois massif, ornée de symboles magiques, attirait leur attention.
Les sorcières savaient qu'elles étaient sur le point de découvrir des secrets enfouis et de relever des défis qui mettraient à l'épreuve non seulement leurs pouvoirs, mais aussi leur amitié. L'excitation et l'appréhension se mêlaient alors qu'elles faisaient un pas en avant, prêtes à affronter ce qui les attendait dans ce château mystérieux.
Cette fois-ci, l'indice qu'elles devaient trouver n'était pas simple. Agatha, Ivana, Lucillia, Lilia, Alice et Jen étaient toutes réunies dans une pièce sombre et mystérieuse, leurs visages éclairés par la lueur vacillante d'une bougie posée sur une table en bois usé.
Les six sorcières fouillaient la pièce avec une détermination palpable. Agatha, scrutait chaque recoin, tandis qu'Ivana, plus pragmatique, examinait minutieusement les étagères chargées de livres anciens. Lucillia, avec son sourire contagieux, tentait de garder le moral en lançant des blagues, mais la tension était palpable.
Lilia, quant à elle, se penchait sur une vieille carte accrochée au mur, ses doigts glissant sur les lignes jaunies. Alice et Jen, les plus jeunes du groupe, se concentraient sur un coffre en bois, en essayant de déchiffrer un mécanisme complexe qui semblait verrouiller son ouverture.
"Regardez ici," s'exclama Lilia en désignant un symbole étrange gravé sur le mur, "peut-être que ça a un rapport avec l'indice !"
Les autres se regroupèrent autour d'elle, leurs visages illuminés par l'espoir. Elles savaient que la solution se trouvait quelque part dans cette pièce, mais chaque minute qui passait ajoutait à leur frustration.
La tension montait alors qu'elles cherchaient frénétiquement, leurs cœurs battant à l'unisson. Chaque objet, chaque détail, pouvait être la clé pour les libérer de cet endroit mystérieux. Elles étaient déterminées à ne pas abandonner, unies par leur désir de découvrir le secret qui les aiderait à s'échapper.Ivana s'approcha du coffre avec détermination, ses mains tremblantes d'excitation. Elle tenta de soulever le couvercle, mais il ne bougea pas d'un pouce.
"Allez, ouvre-toi !" murmura-t-elle, frustrée.
Alice, voyant l'échec d'Ivana, prit le relais. "Laisse-moi essayer," dit-elle, en s'agenouillant devant le coffre.
Elle força le couvercle, mais rien n'y fit. "C'est vraiment verrouillé," soupira-t-elle.
Agatha, impatiente, ne put contenir sa colère. "Mais c'est quoi ce truc ?!" s'exclama-t-elle en arrachant le coffre des mains d'Alice.
Dans un geste brusque, elle le jeta au sol avec fracas. Le bruit résonna dans la pièce, mais le coffre resta intact.
"Non mais je rêve," dit Agatha, les poings serrés. Elle se mit à frapper le coffre avec ses pieds, mais il ne céda toujours pas. "C'est quoi ce matériau ?"
Jen, observant la scène avec un sourcil levé, s'approcha. "Tu sais, Agatha, peut-être que la force brute n'est pas la meilleure solution," dit-elle avec un sourire ironique. Elle prit le coffre et le posa calmement sur la table.
"Il faut réfléchir avant d'agir," poursuivit-elle, son ton sérieux. "On ne veut pas risquer nos vies pour un coffre, même si ça semble frustrant."
Agatha, toujours en colère, croisa les bras. "Mais qu'est-ce qu'on fait alors ? On attend que ça s'ouvre tout seul ?"
"Non," répondit Jen, "mais on doit analyser ce coffre. Peut-être qu'il y a un mécanisme ou un indice caché. Ne laissons pas notre impatience nous mener à notre perte."
Lorsque le coffre fut enfin posé sur la table, Lucillia s'approcha lentement, son regard captivé par l'objet mystérieux. La lumière dans la pièce se reflétait sur le bois ancien du coffre, accentuant l’aura de mystère qui l’entourait. Elle se pencha, observant attentivement l'ouverture qui semblait l'inviter à découvrir ses secrets.
Après quelques instants de contemplation, son regard se fixa sur la serrure. Une idée germa dans son esprit. La forme délicate de la cérure du coffre correspondait parfaitement à celle de son pendentif en argent.
"Attendez," dit-elle, la voix tremblante d'excitation. "Regardez ça ! La serrure, elle… elle ressemble à mon collier !"
Les autres filles se tournèrent vers elle, intriguées.
"Tu es sûre ?" demanda Alice, plissant les yeux pour mieux voir.
"Oui, c'est comme si ce coffre m'attendait," répondit Lucillia, un sourire se dessinant sur ses lèvres. "C'est mon épreuve. Je dois l'ouvrir."
Agatha, toujours impatiente, croisa les bras. "Alors, qu'est-ce que tu attends ? Utilise-le !"
Lucillia était en panique, son cœur battant la chamade, même si elle faisait de son mieux pour cacher ses émotions. Ses mains tremblaient légèrement, et elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre. Lilia, observant son amie avec une attention bienveillante, comprit rapidement la gravité de la situation.Sans hésiter, elle s'approcha de Lucillia et se mit à côté d'elle.
"Hey, calme-toi," murmura-t-elle d'une voix douce, essayant de lui transmettre un peu de réconfort.
Lilia posa sa main sur le dos de Lucillia, caressant délicatement sa peau, comme pour apaiser ses inquiétudes. "Tu es plus forte que tu ne le penses. Je suis là avec toi," ajouta-t-elle, son ton encourageant.
Lucillia, bien que troublée, se laissa porter par les paroles réconfortantes de son amie. Elle prit une profonde inspiration, essayant de canaliser son anxiété.
"Merci, Lilia," murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Avec détermination, elle défait son collier, ses doigts agiles s'attaquant au fermoir. Elle écoutait attentivement chaque mot de Lilia, qui continuait à l'encourager.
"Tu peux le faire. Pense à ce que cela signifie pour toi. C'est ton moment," dit Lilia, son regard plein de soutien.
Lucillia ferma les yeux un instant, se concentrant sur sa respiration. Puis, avec une résolution nouvelle, elle enfonça son collier dans la serrure du coffre. Un frisson d'excitation parcourut son corps.Soudain, un léger clic retentit, et le coffre s'ouvrit lentement, révélant un intérieur obscur mais prometteur. Les yeux de Lucillia s'illuminèrent, et elle se tourna vers Lilia, un sourire de soulagement sur le visage.
"Ça a marché !" s'exclama-t-elle, la panique laissant place à une vague de joie.
Lilia sourit en retour, fière de son amie. "Je savais que tu pouvais le faire," répondit-elle, partageant ce moment de triomphe avec Lucillia.
L'intérieur du coffre était sombre et poussiéreux, mais une lueur mystérieuse émanait d'un livre posé au fond. Lucillia, fascinée, s'approcha et le prit délicatement. En l'ouvrant, elle découvrit que la couverture était vierge, sans aucune inscription. Un frisson d'excitation parcourut son échine.
Jen, curieuse, s'approcha d'un pas hésitant. Elle plissa les sourcils, perplexe. "Qu'est-ce que c'est que ça ? Pourquoi rien n'est écrit ?"
Alice, qui observait la scène avec un air pensif, se tourna vers elles. "J'ai déjà vu ça dans un ancien grimoire. Il faut avouer à haute voix qui nous sommes pour que le livre révèle ses secrets."
Lucillia, déterminée, se redressa et déclara avec assurance : "Je suis Lucillia Martin." Mais rien ne se produisit. Elle fronça les sourcils, déconcertée. "Ça ne fonctionne pas... Pourquoi ?"
Agatha, qui avait assisté à la scène avec une moue amusée, soupira. "On pourrait peut-être faire couler de son sang sur le livre, non ?"
Ivana, choquée, s'exclama : "Mais ça va pas la tête ! On ne va pas la saigner !"
Agatha éclata de rire, un éclat de malice dans les yeux. "Je pensais �� une légère coupure chérie, juste pour voir si ça fonctionne."
Lilia, toujours protectrice, intervint : "Alors tu rêve Agatha tu ne la touche pas."
Lucillia, acquiesça d'un geste résolu et n'écouta pas Lilia elle plongea son regard dans celui d'Agatha et dit :. "D'accord, faisons-le. Je suis prête à tout pour découvrir ce que ce livre cache."
L'atmosphère est chargée d'une tension palpable. Agatha, avec un sourire radieux, montre sa satisfaction que Lucillia ait accepté de participer à ce rituel. Son bonheur est contagieux, et cela crée une ambiance à la fois excitante et inquiétante.Elle se penche alors pour saisir un couteau brillant, qu'elle garde toujours à sa ceinture. Ce geste est à la fois déterminé et solennel, marquant le début d'un acte symbolique. Le couteau, en acier poli, reflète la lumière tamisée de la pièce, ajoutant une touche de mystère à la scène.
Agatha prend délicatement la main de Lucillia dans la sienne, elle coupe légèrement la paume de Lucillia. Le mouvement est précis, presque cérémonial, soulignant l'importance de ce moment.
Le sang commence à s'écouler lentement de la plaie, créant un contraste frappant avec la peau de Lucillia. Ce sang, symbole de vie et de sacrifice, tombe sur le livre, un ancien grimoire aux pages jaunies. La couleur rouge vif se mêle au page comme si le livre absorbait cette essence vitale, prête à libérer ses secrets.
L'air est chargé d'une tension électrique alors que le groupe observe, partagé entre la fascination et l'appréhension. Ce geste, bien que simple en apparence, est porteur d'une signification profonde, marquant le début d'une exploration des mystères qui les attendent. Dans ce moment, le lien entre les personnages se renforce, mêlant leur destin à celui du livre et à l'inconnu qui les entoure.
Lucillia, plongée dans ses pensées, sentit son regard se fixer sur les écrits qui commençaient à émerger lentement sur la page, comme si les mots prenaient vie sous ses yeux. L'encre, encore fraîche, brillait légèrement à la lumière ambiante, créant une atmosphère presque magique autour d'elle.
À ses côtés, Lilia, attentive et douce, se rapprocha. Elle prit la main de Lucillia dans la sienne, un geste simple mais chargé de tendresse. Sa paume était chaude et réconfortante, une source de soutien silencieuse. Lilia commença alors à caresser délicatement le dos de la main de Lucillia, ses doigts glissant doucement sur la peau, comme pour apaiser les doutes et les inquiétudes qui pouvaient l'envahir.
Ce geste était un symbole puissant de leur amitié, un rappel que, même dans les moments de solitude ou d'incertitude, Lucillia n'était pas seule. Les mots sur la page prenaient forme, mais c'était la connexion entre elles qui apportait véritablement du réconfort. La pièce était remplie d'un silence apaisant, où chaque mouvement et chaque souffle semblaient résonner avec une profonde compréhension.
Une fois le texte apparu en latin, Lucillia sentit une vague d'énergie l'envahir. Elle plissa les yeux, déchiffrant les mots mystérieux qui dansaient devant elle. Lilia, toujours à ses côtés, remarqua l'intensité qui se dégageait de son amie.
"Lucillia, tu es sûre de vouloir le lire ? Ça a l'air... puissant," murmura Lilia, son regard inquiet se posant sur le texte.
Lucillia, pourtant, n'hésita pas. "Oui, je dois le faire. Je n'ai pas le choix..." répondit-elle, sa voix empreinte de détermination.
Elle inspira profondément, puis commença à lire à voix haute :
"Per astra quae in nocte fulgent,
Ad vires infiniti appello.
Ut magia in me expergiscatur,
Ut potestas mea mirabilia sua recuperet."
À chaque mot prononcé, une lumière douce semblait émaner de son être. Lilia, fascinée, ne pouvait détacher son regard de Lucillia, qui semblait se transformer sous l'effet des mots.
"Ut omnis verbum sit incantatio,
Ut magia revertatur, potentissime.
Parata sum ad accipiendum,
Potestates meas, volo eas videre."
À mesure qu'elle terminait le dernier vers, une sensation de chaleur enveloppa la pièce, comme si l'air lui-même vibrait au rythme de la magie qui se réveillait.
Lucillia était dans un état de profonde concentration, ses yeux fermés comme si elle était en train de puiser dans une source intérieure de force. L'air autour d'elle semblait vibrer d'une énergie palpable, presque électrique, alors qu'elle se nourrissait de ses pouvoirs qui revenaient lentement à elle. On pouvait sentir une aura mystique l'entourer, comme si le temps lui-même s'était suspendu pour lui permettre de se reconnecter avec ses capacités.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux, un spectacle fascinant se dévoila. Ses yeux, d'un mélange envoûtant de vert et de noir, brillaient d'une intensité presque surnaturelle. Ce mélange était parfait, captivant quiconque croisait son regard. On pouvait presque voir des éclairs de lumière dans ses pupilles, comme si des éclats d'énergie magique dansaient à l'intérieur.
Mais cette transformation ne dura que quelques instants. Peu à peu, la magie qui l'entourait s'estompa, et ses yeux reprirent leur couleur marron naturel.
Lilia, comme toutes les autres, n'avait pas loupé un seul instant de cette scène, mais il y avait quelque chose de différent chez elle. Ses yeux brillaient d'une fascination profonde, capturant chaque détail, chaque mouvement, comme si tout le reste s'était estompé autour d'elle.
Les lumières dansaient autour d'elles, projetant des ombres délicates sur le sol. L'atmosphère était chargée d'une énergie palpable, et Lilia se sentait happée par cette magie. Elle observa Lucillia, qui se tenait au centre de l'attention, rayonnante. Ses cheveux brillaient sous les lumières, et sa robe, d'un rouge éclatant, semblait capturer tous les reflets de la scène.
Lilia, fascinée, plongea son regard dans celui de Lucillia. À cet instant, elle la trouva encore plus belle, plus magnifique que d'habitude. Les yeux de Lucillia, d'un vert profond, scintillaient d'une lueur presque surnaturelle, et Lilia ne pouvait s'empêcher de ressentir une admiration grandissante. Elle était impressionnée par la confiance qui émanait de Lucillia, une fierté qui illuminait son visage.
« Tu es incroyable, » pensa Lilia, bien que les mots ne sortent pas de sa bouche. Elle se sentait à la fois émerveillée et inspirée par la beauté et la force de la jeune femme.
Lucillia avait plongé son regard dans celui de Lilia, et elle remarqua immédiatement un changement dans l'expression de son amie. Les yeux de Lilia brillaient d'une lueur particulière, comme si elle voyait quelque chose de profondément beau. Lucillia, intriguée et amusée, esquissa un sourire délicat, ses lèvres se courbant avec une douceur qui illuminait son visage.
« Pourquoi me regardes-tu comme ça ? » demanda-t-elle, sa voix légère et taquine, un éclat de curiosité dans ses yeux.
Lilia, surprise par la question, secoua rapidement la tête, essayant de masquer la vague d'émotions qui l'envahissait. Elle ne pouvait pas révéler la vérité complète, la profondeur de son admiration, alors elle opta pour une réponse plus simple.
« Non, rien, » répondit-elle, sa voix légèrement hésitante, mais elle ajouta avec une fierté palpable, « je suis très fière. »
Lucillia pencha légèrement la tête, un sourire complice se dessinant sur ses lèvres. « Fière de quoi ? » s'amusa-t-elle, jouant avec l'idée que Lilia cachait quelque chose.
Lilia, se sentant à la fois gênée et heureuse, croisa les bras, un sourire timide sur le visage. « De toi, bien sûr ! Regarde-toi, tu es incroyable ! »
Alice, Jen, Agatha et Ivana observaient attentivement Lilia et Lucillia, échangeant des regards complices. Il était évident pour elles que les deux femmes avaient un faible l'une pour l'autre. Leurs sourires échangés, les regards furtifs et la façon dont elles se rapprochaient l'une de l'autre ne laissaient aucun doute.Agatha, exaspérée par la situation, leva les yeux au ciel avec un soupir exagéré. Elle ne pouvait pas s'empêcher de trouver cela un peu trop mignon, mais elle savait qu'il était temps de briser ce moment.
« Oui oui, on est tous fiers, » dit-elle d'une voix sarcastique, « allez, on part d'ici. »
Jen et Ivana échangèrent un regard amusé avant de rire doucement. Leurs rires étaient légers, remplis de complicité face au comportement dramatique d'Agatha.
« Oh, Agatha, tu es vraiment impossible ! » s'exclama Alice, riant à son tour. « Laisse-les un peu, c'est mignonnes. »
« Mignon oui, mais on ne va pas rester ici à les admirer toute la journée, » rétorqua Agatha en souriant, bien qu'elle ne puisse s'empêcher d'apprécier le spectacle.
☆○o。 。o○☆
La journée était enfin terminée, et une ambiance de soulagement flottait dans l'air. Le groupe avançait sur le chemin, leurs pas résonnant sur le sol. Les rires et les voix des autres résonnaient devant, mais Ivana, pour une fois, se trouvait un peu en retrait, marchant derrière le reste du groupe.
Agatha, ne pouvant pas laisser passer cette occasion, décida de s'approcher d'elle. Elle savait qu’il était crucial d’avoir cette conversation. Elle marchait avec détermination, ses pensées tournant autour de ce qu'elle voulait dire.
Ivana marchait lentement, le regard perdu dans le vide, tandis que le groupe continuait d'avancer devant elle. Le poids de ses pensées l'alourdissait, chaque pas lui semblait plus difficile que le précédent. Elle savait qu'elle avait dépassé les bornes avec Agatha, mais la rancœur qui l'habitait était tenace.
Les souvenirs des mots échangés résonnaient dans son esprit comme des échos d’une dispute ancienne. Elle se sentait coupable, consciente que sa colère était peut-être mal placée, mais elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une injustice. Agatha, avec son sourire et sa bonne volonté, était devenue un point de fixation pour ses frustrations.
Ivana se laissa aller à la contemplation des feuilles qui tombaient, comme des pensées égarées. Elle savait que, malgré sa conscience des défauts d'Agatha, elle ne pouvait pas ignorer la réalité : un jour, elle serait trahie. Cette idée s'était installée dans son esprit comme une vérité inéluctable, une ombre qui planait au-dessus de leur amitié.
Elle se sentait piégée dans un tourbillon d'émotions contradictoires. D'un côté, l'affection qu'elle avait pour Agatha, et de l'autre, la méfiance croissante qui s'était insidieusement glissée dans son cœur. Ivana était consciente de cette dualité, de cette lutte interne qui la rongeait.
Le vent frais qui soufflait à travers les arbres apportait avec lui un parfum de terre humide et de feuilles sèches, mais rien ne pouvait apaiser le tumulte en elle. Elle continua d'avancer, le regard toujours fixé sur le sol, perdue dans ses pensées sombres, tandis que le groupe s'éloignait un peu plus, laissant derrière eux une Ivana tiraillée entre ses sentiments et sa réalité.
Agatha se tenait là, le cœur battant, consciente du poids de son passé. Elle savait que ses choix, souvent teintés d'immoralité, l'avaient marquée d'une manière que peu pouvaient comprendre. Les regards des autres, chargés de méfiance, l'avaient suivie comme une ombre, et elle en avait souffert.
Pourtant, face à Ivana, une lueur d'espoir brillait en elle. Agatha voulait profondément que les choses soit différente. Elle aspirait à la confiance, à cette connexion authentique qui semblait lui échapper. Les feuilles bruissaient autour d'elle, comme si la nature elle-même écoutait ses pensées. Elle se détourna un instant, le regard fixé sur le sol, réfléchissant à la manière d'exprimer ses sentiments sans tomber dans le piège de ses anciennes habitudes.
Elle jeta un coup d'œil furtif vers Ivana, observant son visage, ses traits marqués par l'incertitude. Agatha ressentait une vague de regret pour les blessures qu'elle avait pu causer, même sans intention. L'air était chargé d'une tension palpable, et chaque seconde semblait s'étirer, amplifiant son anxiété.
Finalement, elle se redressa, prenant une profonde inspiration, le souffle court. Elle s'approcha d'Ivana, déterminée à briser le silence qui les séparait. Dans un murmure sincère, elle déclara :
"Je n'ai jamais eu l'intention de te faire du mal." Ses mots, bien que simples, étaient chargés d'une émotion profonde.
Agatha espérait que cette déclaration suffirait à apaiser les doutes d'Ivana, à construire un pont entre leur passé tumultueux et un avenir où la confiance pourrait s'épanouir. Elle attendait, le cœur en suspens, prête à affronter les conséquences de ses choix, mais désireuse de prouver qu'elle pouvait être différente avec Ivana.
Ivana plongea son regard dans celui d’Agatha, ses yeux brillants d’une lueur mêlée d’espoir et de doute. Elle avait envie de croire en ce que sa mentor lui disait, mais une voix sourde résonnait dans sa tête, lui chuchotant qu'il ne fallait pas se laisser duper. La tension était palpable entre elles, comme une corde tendue sur le point de céder.
Finalement, Ivana ne put contenir sa frustration. D’une voix chargée d’émotion, elle s’exclama :
"C'est ça, oui... Tu as tué tout ton coven à l'époque de Salem ! Tu as voulu voler les pouvoirs de ma mère et tu vas me faire croire que tu ne voulais pas me faire de mal ?"
Agatha, frappée par la justesse des accusations, prit une grande inspiration. Chaque mot d'Ivana était une flèche, touchant directement son cœur. Elle savait que les actes de son passé étaient impardonnables, mais elle ne pouvait pas laisser cette vérité la définir.
"Tu as raison," commença-t-elle, sa voix tremblante mais déterminée. "Je n'ai jamais voulu te laisser livrée à toi-même. J'ai toujours cru que Wanda t'avait emportée avec tes frères quand elle a détruit son monde..."
Ivana se tenait là, figée dans un silence lourd de non-dits. Ses pensées tourbillonnaient comme une tempête, chaque idée se heurtant à une autre sans trouver de sortie. La pièce était emplie d'une tension palpable, presque électrique, et elle pouvait sentir son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine.
Elle regarda Agatha, ses yeux cherchant désespérément des réponses dans le regard de la femme. Les mots semblaient s'être évaporés, laissant place à un vide accablant. Le hochement de tête qu'elle fit était à la fois un acte d'acceptation et de confusion. C'était comme si, par ce simple mouvement, elle tentait de donner un sens à ce qu'elle ressentait, même si elle ne pouvait pas encore mettre des mots sur ses émotions.
Lilia, Lucillia, Alice, Jen, Ivana et Agatha étaient toutes réunies autour du feu crépitant, leurs visages illuminés par la lueur dansante des flammes. Le bruit du bois qui se consumait ajoutait une mélodie apaisante à leur conversation. Chacune d'elles partageait des anecdotes sur leurs cicatrices, tant physiques qu'émotionnelles, créant un lien intime entre elles.
Les rires éclataient, mélangés à des soupirs de nostalgie alors qu'elles évoquaient des souvenirs parfois douloureux, mais toujours empreints d'une certaine légèreté. Lucillia racontait comment une chute de vélo lui avait laissé une marque indélébile sur son genou, tandis qu'Alice parlait d'une cicatrice plus profonde, celle laissée par une trahison amicale.
Cependant, malgré la chaleur du feu, une brise froide commençait à s'insinuer dans l'air, rendant l'atmosphère un peu plus âpre. Les frissons parcouraient les bras des filles, mais elles ne semblaient pas s'en soucier, absorbées par la convivialité de l'instant. Ivana, enroulée dans sa veste, se blottissait un peu plus près des autres, cherchant à capter la chaleur humaine qui les entourait.
Agatha, avec son sourire réconfortant, ajoutait des touches d'humour à leurs récits, allégeant les moments les plus sombres. Jen, quant à elle, se contentait d'écouter, ses yeux brillants de compréhension, comme si chaque histoire résonnait en elle.
Le Coven était rassemblé dans leur abri, le froid glacial s'infiltrant par les fissures des murs. Les murmures du vent à l'extérieur ajoutaient une tension palpable à l'atmosphère. La fatigue se lisait sur les visages de chacune, mais le besoin de chaleur était plus pressant que jamais.
Alice, frissonnante, brisa le silence. "Je ne suis pas contre l'idée de dormir en duo, mais hors de question que je dorme avec Agatha," déclara-t-elle en croisant les bras, l'air déterminé.
Agatha, amusée par la réaction d'Alice, répliqua avec un sourire moqueur : "Ça va, je ne vais pas te tuer dans ton sommeil. Pas cette nuit, en tout cas."
Jen, toujours prudente, intervint : "On ne sait jamais, Agatha. Peut-être que ce serait mieux de ne pas prendre de risques." Elle lança un regard inquiet vers Agatha, comme si elle pesait le pour et le contre.
Ivana, qui avait écouté la conversation avec un sourire, se leva et déclara d'une voix calme : "C'est bon, je dors avec elle." Elle se dirigea vers Agatha, sa détermination évidente.
Lilia, observant la scène, se décala doucement, un sourire aux lèvres. "Eh bien, je vais dormir avec Lucillia," annonça-t-elle en se rapprochant de la jeune femme.
Les filles commencèrent alors à s'installer, formant des duos improvisés pour se protéger du froid. Les rires et les taquineries résonnaient dans l'abri, réchauffant l'atmosphère malgré le gel qui sévissait à l'extérieur. Chacune trouvait un peu de réconfort dans la proximité de ses amies, le lien du Coven se renforçant dans cette nuit glaciale.
Lucillia s'approcha doucement de Lilia, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle déplia sa veste, la tendant avec délicatesse pour la draper sur les épaules de Lilia. La texture douce et chaude de la veste enveloppa Lilia, lui offrant un répit contre le froid mordant qui régnait à l'extérieur.
Après avoir ajusté la veste, Lucillia ne put s'empêcher de prendre Lilia dans ses bras. C'était un geste tendre et protecteur, comme si elle voulait lui transmettre toute la chaleur qu'elle avait à offrir. Lilia, surprise par cette étreinte, serra doucement Lucillia contre elle. Leurs cœurs battaient en harmonie, et Lilia ne souhaitait pas relâcher cette étreinte réconfortante.
Lucillia, ravie par ce moment intime, ferma délicatement les yeux. Elle se laissa porter par la chaleur de Lilia, savourant chaque seconde de cette proximité. Le monde extérieur semblait s'évanouir, et tout ce qui importait, c'était cette connexion spéciale qu'elles partageaient. Dans cette étreinte, elles trouvaient du réconfort et une sensation de sécurité, comme si elles pouvaient affronter n'importe quel défi ensemble.
Lilia, en respirant le parfum doux de Lucillia, se sentait comblée. C'était un moment de pure tendresse, où le temps semblait suspendu, et elles restèrent ainsi, blotties l'une contre l'autre, savourant la chaleur de leur amitié.
Ivana était allongée, perdue dans ses pensées, lorsque Agatha s'approcha silencieusement. Avec une douceur infinie, elle glissa ses bras autour d'Ivana, un bras se posant délicatement sur ses hanches tandis que l'autre soutenait sa nuque. Le contact était chaleureux, et Agatha enfouit son nez dans le creux du cou d'Ivana, respirant son parfum réconfortant.
Ivana, surprise mais ravie par cette étreinte, se laissa aller contre Agatha. Dans un murmure à peine audible, elle chuchota :
« Si tu avais su que je n'avais pas disparu quand ma mère a tout détruit, tu serais venue me rendre visite ? » Sa voix tremblait légèrement, trahissant une vulnérabilité profonde.
Agatha, ressentant la douleur dans les mots d'Ivana, la serra un peu plus fort contre elle. Elle pouvait sentir le cœur d'Ivana battre contre son propre corps. Avec une tendresse infinie, elle répondit doucement à son oreille :
« Bien sûr que oui. »
Un sourire se dessina sur le visage d'Ivana, et elle ferma lentement les yeux, savourant ce moment de réconfort.
Agatha et Ivana dormaient paisiblement, enveloppées dans une douce chaleur. Leurs corps étaient étroitement enlacés, créant une harmonie parfaite. Une de leurs mains était entrelacée, les doigts s'imbriquant délicatement comme les pièces d'un puzzle, symbolisant leur lien indéfectible.
Agatha, plongée dans un sommeil profond, avait sa respiration douce et régulière qui caressait le cou d'Ivana. Chaque inspiration était un murmure, un souffle léger qui faisait frémir la peau d'Ivana. Elle se sentait protégée, comme si rien d'autre n'existait en dehors de cette étreinte.
Ivana, bien que somnolente, ne pouvait s'empêcher de sourire en ressentant la chaleur du corps d'Agatha contre le sien. Elle savait que sa présence était un refuge, un abri contre le monde extérieur. Agatha ne voulait pas la lâcher, et Ivana pouvait sentir la tendresse dans chaque mouvement, chaque souffle.
Dans cette bulle de tranquillité, le temps semblait s'arrêter. Les bruits du monde extérieur s'évanouissaient, laissant place à une douce mélodie de leurs cœurs qui battaient à l'unisson. Les lumières tamisées de la pièce ajoutaient une touche de magie à ce moment, rendant leur sommeil encore plus précieux. C'était un cocon de paix, où l'amour et l'amitié se mêlaient dans un silence éloquent.
Lilia était allongée sur le dos, les yeux clos, son visage paisible illuminé par la douce lumière du matin qui filtrait à travers les rideaux. La tête de Lucillia reposait délicatement contre son épaule, ses cheveux éparpillés comme une cascade sombre autour d'eux. La main de Lucillia, douce et légère, était posée sur le ventre de Lilia, presque comme si elle cherchait à ressentir chaque mouvement de sa respiration.
Lilia, enveloppée dans un sommeil profond, avait sa main reposant sur la hanche de Lucillia, un geste instinctif qui témoignait de leur complicité. Leurs corps étaient si proches, créant une bulle de chaleur et de confort, où le monde extérieur semblait s'effacer. Leurs respirations s'entremêlaient dans un rythme apaisant, une mélodie silencieuse qui résonnait dans l'air tranquille de la pièce.
Leurs visages étaient détendus, les traits adoucis par le sommeil. Lilia avait un léger sourire sur les lèvres, comme si elle rêvait d'un monde paisible, tandis que Lucillia semblait plongée dans un rêve profond, sa main se déplaçant légèrement sur le ventre de Lilia à chaque inspiration.
Le silence était presque sacré, interrompu seulement par le doux bruit de leur respiration. C'était un moment de pure intimité, où le temps semblait s'arrêter, et où rien d'autre n'importait que cette connexion entre elles. Leurs cœurs battaient à l'unisson, créant une atmosphère de sérénité et de confiance, un instant parfait figé dans le temps.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.
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