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Nos Cours d'Ingénierie du Son sont conçus pour vous fournir les connaissances complètes et l'expérience pratique nécessaires pour exceller dans l'industrie de l'audio. Ces cours couvrent des sujets essentiels en ingénierie sonore, tels que les techniques d'enregistrement, le mixage, le mastering, l'acoustique, le son en direct et le design sonore. Que vous soyez débutant ou professionnel de l'audio expérimenté, nos cours d'ingénierie du son vous aideront à développer l'expertise nécessaire pour réussir. Apprenez auprès d'experts du secteur et acquérez des compétences pratiques avec du matériel de pointe pour lancer votre carrière en ingénierie du son.
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#Master#master marketing et stratégies commerciales#cours#techniques d'enquêtes et analyse des données
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you can tell most people tell jokes about the digressions without reading the book because they complain about Waterloo, which has battles and plot-essential character development and obvious themes, and not Argot, which has , uh this:
“My shooting-iron,” the cavalry-man who says: “My turkey-cock,” the fencing-master who says: “Tierce, quarte, break,” the printer who says: “My shooting-stick and galley,”—all, printer, fencing-master, cavalry dragoon, infantry-man, phrenologist, huntsman, philosopher, comedian, playwright, sheriff, gambler, stock-broker, and merchant, speak slang. The painter who says: “My grinder,” the notary who says: “My Skip-the-Gutter,” the hairdresser who says: “My mealyback,” the cobbler who says: “My cub,” talks slang. Strictly speaking, if one absolutely insists on the point, all the different fashions of saying the right and the left, the sailor’s port and starboard, the scene-shifter’s court-side, and garden-side, the beadle’s Gospel-side and Epistle-side, are slang. There is the slang of the affected lady as well as of the précieuses. The Hotel Rambouillet nearly adjoins the Cour des Miracles. There is a slang of duchesses, witness this phrase contained in a love-letter from a very great lady and a very pretty woman of the Restoration: “You will find in this gossip a fultitude of reasons why I should libertize.” Diplomatic ciphers are slang; the pontifical chancellery by using 26 for Rome, grkztntgzyal for despatch, and abfxustgrnogrkzu tu XI. for the Duc de Modena, speaks slang. The physicians of the Middle Ages who, for carrot, radish, and turnip, said Opoponach, perfroschinum, reptitalmus, dracatholicum, angelorum, postmegorum, talked slang. The sugar-manufacturer who says: “Loaf, clarified, lumps, bastard, common, burnt,”—this honest manufacturer talks slang. A certain school of criticism twenty years ago, which used to say: “Half of the works of Shakespeare consists of plays upon words and puns,”—talked slang.
yeah it's about slang
the whole chapter
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"...we found...Maria Feodorovna, the kindest and the most charming. When this princess became czarina, she had my father make a magnificent manteau de cour for her of pink velvet entirely embroidered with silver. This splendid mantle became one of the mainstays of her official wardrobe, and she wore it upon more than one great occasion. When her son Nicholas became czar, she had the pattern of its silver embroidery restitched at a convent on a purple velvet more in keeping with her age and title of Queen Mother. The model for this and all other manteaux de cour worn at the Russian court was the one approved by the Master of Robes. The only deviation allowed was the length of the train, and even this was limited by the position at court of the wearer. For instance, if the train worn by the czarina was four meters long, those of the grand duchesses had to be three meters and seventy-five centimeters, those of the princesses three meters and fifty centimeters, and so on".
Jean-Philippe Worth "A century of fashion"
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C'est bientôt la rentrée et comme je suis dans un gouffre sans fond de désespoir et de mollesse, je vais dresser une liste de choses qu'il faut que je fasse avant l'entrée en 2025, dans l'ordre chronologique (bon ya des trucs qui sont pas faciles à situer donc je vais voir où les mettre):
- Tout bien refaire mes fiches d'organisation et trier mon ordinateur (mon côté psychorigide revient au galop après 3 mois de déchéance)
- Rappeler tous les cons qui veulent pas répondre à mes demande de stages (ça fait bcp d'appels pour quelqu'un qui déteste appeler même ses parents, son mec ou ses potes, d'ailleurs ça fait qq années que j'ai instauré un safe word d'appel, si quelqu'un m'envoie un message où il y a écrit "courgette" c'est que l'appel est important et mérite que je le prenne, mais si c'est pas une urgence vitale en général ça m'énerve)
- Avoir mon permis (je suis à 2 ans de conduite, 2000€ de dépensé, des litres de larmes et de mascara, il est temps que ça cesse ce calvaire)
- Donner mon sang tous les deux mois et donc prendre rdv prochainement en septembre (faut que je reprenne du poids du coup parce qu'à 43kg je doute de survivre même si j'ai pu montrer une certaine résistance à la perte de sang dans mes années mutilation)
- Prendre rdv chez le médecin (que je comprenne pourquoi j'ai envie de vomir tout le temps, pourquoi j'ai mal aux reins, pourquoi je suis fatiguée, pourquoi je saigne pas pendant 2 mois puis après 6L en 2 jours et un petit test IST pour voir s'il reste une once de respect de mon mec à mon égard)
- Trouver un stage (par pitié acceptez-moi en stage que je ne sois pas obligée de demander les EHPAD, jme sens déjà bien trop en fin de vie pour faire un stage en soins palliatifs)
- Essayer d'instaurer des repas variés, à intervalles réguliers et un petit dej solide (non parce que c plus possible de manger un bout de salade par jour quand je suis stressée)
- Diminuer le RedBull (passer de 1/j à 1 tous les deux jours, on en est à ce stade d'addiction oui)
- Essayer de diminuer la clope (pas de volonté réelle pour le moment donc ça m'étonnerait)
- Faire du Yoga 1x par jour ou tous les deux jours et peut-être reprendre la course, ou m'inscrire à l'escalade (par contre 250€ une licence, pour ce prix, j'espère que le massage des mollets est inclus)
- Manquer le moins de cours possible et essayer de maintenir un 13.5 de moyenne, c'est le dernier semestre faut se bouger le fion
- Aller au cinéma au moins 2 fois par mois au.pire et 1 fois par semaine au mieux (pour maintenir la culture cinématographique que je Fake depuis des mois)
- Me séparer de mon copain (à moins d'un miracle et d'une prise de conscience rapide et profonde, ça me paraît malheureusement inévitable, ce qui veut dire me préparer à une rupture...)
- M'inscrire dans une association (parce que c'est intéressant mais surtout parce que je vais pouvoir dire dans mes lettres aux masters "eh regardez jsuis peut-être une merde en cours mais j'aide les enfants qui se font harceler a l'école prenez moi")
- Restée moins confinée dans mon appartement (aller respirer, marcher, chier, peu importe mais dehors, comme ça ça réduit les moments de vide et de grattage compulsif)
Bon déjà ce sera pas mal ça en vrai, je rajouterai bien trouver une manière de me faire de l'argent facilement mais à moins de dealer, ça me paraît pas très faisable, après pas vu pas pris comme on dit hm
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Du coup j'ai enfin tout compris sur mes droits en tant que jeune diplômée et en fait bahhh j'en ai pas mdr. Les étudiants diplômés en juin peuvent encore avoir un job étudiant jusqu'au 30 septembre donc encore 3 mois après l'obtention de leur diplôme, tandis que les étudiants diplômés à la suite d'une seconde sess peuvent aller se faire foutre, ils perdent ce droit dès qu'ils reçoivent leurs résultats.
Actuellement si je veux gagner de l'argent, je suis obligée de commencer un vrai métier en CDD ou CDI. Y a pas d'autres possibilités avec des petites formations ou quoi, comme j'avais cru comprendre.
Et aussi, j'ai perdu mon droit aux allocations familiales dès le lendemain de mon dernier examen. Tandis que les étudiants diplômés en juin y ont encore droit 2 mois après l'obtention de leur diplôme mdr. Du coup aujourd'hui je me suis inscrite au Forem pour de nouveau avoir les allocations familiales. J'ai donc un statut de demandeuse d'emploi mdr?? Je vais avoir un accompagnateur qui va me faire des propositions de jobs alors que je ne veux même pas et que j'attends juste septembre pour commencer mon Master. C'est vraiment n'importe quoi cette vie. Et le pire c'est que j'ai des obligations, genre passer les entretiens qu'on me propose, montrer que je cherche un emploi, etc, sinon on peut me retirer les allocs ✌🏻
Morale de l'histoire : t'es baisé si tu réussi pas tous tes cours du premier coup donc t'as intérêt à être studieux.
(02/02/2024)
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Considered one of the greatest skating pairs of all time, Tessa Virtue and Scott Moir spent nearly a decade at the top of their sport to become the most decorated ice dancers in the world. Over more than two decades of extraordinary athletic partnership, Tessa and Scott became the first and only ice dance team to win every major international junior and senior skating competition. At the height of their success between 2008 and 2019 they took home a record-setting five Olympic medals, three World Championships, eight Canadian National Championships and won the Four Continents Championship three times. The pair first skated into the hearts of Canadians at the Olympic Winter Games in 2010, thrilling crowds in Vancouver as they became the youngest athletes and first North Americans to win Olympic Gold in ice dancing. Nearly a decade later Tessa and Scott secured their iconic status with a beguiling Gold medal performance that smashed the world record for overall score in free dance at the 2018 Olympic Winter Games in Pyeongchang.
Growing up in London, Ontario, Tessa took to the ice at the age of six after deciding she didn’t want to be the only student in her class who couldn’t skate during a school field trip. Raised in a figure skating family in nearby Ilderton, Ontario, Scott had been skating since he was three years old, coached by his mother Alma and his aunt Carol. First collaborating in 1997 when Tessa was seven years old and Scott was nine, the pair were initially so shy they could barely talk to each other. Building confidence while developing undeniable on-ice chemistry, Tessa and Scott shared a commitment to excellence that continually helped them overcome adversity. The two made enormous sacrifices to hone their craft, embracing success and failure as equal opportunities for growth and turning vulnerability into compelling artistry. Training rigorously to perfect innovative choreography, they pushed boundaries by approaching ice dancing as both creative expression and high performance sport, skating with an emotional sincerity that captivated audiences around the world.
After raising the profile of ice dancing to breathtaking new heights, Tessa and Scott retired from competitive skating in 2019. Since then, Scott has served as head coach and managing director of the Ice Academy of Montreal’s satellite program in London, Ontario. He has also been a vocal advocate for diversity and inclusivity in skating. Tessa completed both an MBA from the Smith School of Business, and a Master of Applied Positive Psychology from the University of Pennsylvania. Tessa is an executive advisor at Deloitte, where she helps to unlock the potential of the Canadian workforce in the realm of high performance and wellbeing. She also serves on the board for Her Mark, a charity that empowers young girls through the power of sport, and Motionball, an organization that fundraises for Special Olympics athletes.
Considérés comme l’un des plus grands couples de patinage artistique de tous les temps, Tessa Virtue et Scott Moir ont passé près d’une décennie au sommet de leur sport pour devenir les danseurs sur glace les plus primés du monde. Au cours de leur partenariat sportif extraordinaire qui a duré plus de deux décennies, Tessa et Scott sont devenus la première et la seule équipe de danse sur glace à remporter toutes les compétitions majeures internationales de patinage artistique junior et senior. À l’apogée de leur succès, soit entre 2008 et 2019, ils remportent un nombre record de cinq médailles olympiques, trois Championnats du monde, huit Championnats nationaux canadiens et ils remportent également le Four Continents Championship à trois reprises. Le couple a conquis les cœurs des Canadiens lors des Jeux olympiques d’hiver de 2010, enthousiasmant les foules à Vancouver en devenant les plus jeunes athlètes et les premiers Nord-Américains à remporter l’or olympique en danse sur glace. Près d’une décennie plus tard, aux Jeux olympiques de 2018 à Pyeongchang, Tessa et Scott consolident leur statut emblématique en donnant une performance enlevante qui leur vaudra la médaille d’or et qui pulvérise alors le record du monde pour la note globale obtenue en danse libre.
Tessa a grandi à London, en Ontario et a commencé à patiner à l’âge de six ans après avoir décidé lors d’une sortie scolaire qu’elle ne serait pas la seule élève de sa classe incapable de patiner. Élevé dans une famille de patineurs artistiques, non loin de là, à Ilderton, en Ontario, Scott a commencé à patiner dès l’âge de trois ans. Sa mère Alma et sa tante Carol ont été ses premières entraîneures. La première collaboration du couple survient en 1997 alors que Tessa a sept ans et Scott neuf ans. Ils sont alors si timides qu’ils arrivent à peine à se parler. Gagnant en confiance au fur et à mesure qu’ils développent leur complicité indéniable sur la glace, Tessa et Scott partagent un engagement envers l’excellence qui les a constamment aidés à surmonter l’adversité. Ils ont tous deux fait d’énormes sacrifices pour perfectionner leur art, en embrassant les succès et les échecs comme des opportunités égales de croissance et en transformant la vulnérabilité en un style artistique saisissant. S’entraînant rigoureusement pour perfectionner des chorégraphies innovantes, ils ont repoussé les limites en abordant la danse sur glace à la fois comme une expression créative et un sport de haute performance, patinant avec une sincérité émotionnelle qui a captivé les publics du monde entier.
Après avoir élevé le profil de la danse sur glace à de nouveaux sommets époustouflants, Tessa et Scott ont pris leur retraite de la compétition en 2019. Depuis lors, Scott occupe le poste d’entraîneur en chef et de directeur général du programme satellite de l’Académie de glace de Montréal à London, en Ontario. Il a également été un ardent défenseur de la diversité et de l’inclusivité dans le patinage. Tessa a obtenu un MBA de la Smith School of Business ainsi qu’une maîtrise en psychologie positive appliquée de l’Université de Pennsylvanie. Tessa est conseillère exécutive chez Deloitte, où elle contribue à libérer le potentiel de la main-d’œuvre canadienne dans le domaine de la haute performance et du bien-être. Elle siège également au conseil d’administration de Her Mark, une association caritative qui autonomise les jeunes filles par le biais du sport, et de Motionball, un organisme qui recueille des fonds pour les athlètes d’Olympiques spéciaux.
Canada’s Sports Hall of Fame is honoured to be presenting Tessa Virtue and Scott Moir with the prestigious Order of Sport award on Thursday, October 19, 2023 as a member of the incredible Class of 2023.
—Order of Sport
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De nouveau merci à @ladyniniane pour le tag !
Pourquoi avoir choisi ton url ? J'ai toujours utilisé ce pseudo "Lilias42" où que je sois depuis toute petite alors, j'ai continué. ça vient du pokémon Lilia car je trouvais son nom joli mais, ça devait être déjà pris alors, j'ai rajouté un "S"
Des blogs annexes ? Aucun. J'avais pensé à un moment de m'en créer un pour poster les fiches que j'avais faites pour mon master, ça aurait centralisé toutes les informations en français mais, étant donné que j'ai des photos sous licence, ce serait limite-limite niveau légalité et droit d'auteur et je n'ai plus vraiment l'énergie pour le faire. Un jour peut-être alors.
Depuis combien de temps es-tu sur Tumblr ? D'après mes archives, juillet 2021... nom d'une aile que le temps passe vite !
Avez-vous une balise de file d'attente / queue tag ? J'ai pas mal de brouillons mais, pas de fil d'attente en cours ou de tag spécifique pour ça. Sinon, je note toujours mon travail avec un tag "écriture de curieuse" / "dessin de curieuse" / "[insérer type de sujet de billet possible] de curieuse" ... histoire de retrouver ce que j'ai fait auparavant
Pourquoi as-tu commencé ton blog ? Je crois que je voulais accéder à certains blogs bloquant les anonymes et pour rebloguer des billets que j'aimais bien
Pourquoi as-tu choisi ton icône / pfp ? Il s'agit d'Aura, mon plus vieil OC que j'utilise aussi souvent pour me représenter. Avant, c'était Castti Florenz, mon personnage préféré d'Octopath Traveler II. C'était une image officielle que je trouvais joli, et ça m'évitait d'avoir de potentiels ennuis en reprenant un fanart, hors de question de voler quelqu'un.
Pourquoi avoir choisi ton en-tête ? C'est une image officielle de Sothis dans Fire Emblem Three House. Son personnage a un TAS de problème mais, je trouvais cette image cool, elle est officielle en accès libre et comme mon blog parle surtout de ce jeu et de mes fanfics autour, ceci explique cela !
Quel est ton article avec le plus de notes ? Alors là... aucune maudite idée... peut-être mon billet sur l'origine de Pan vu qu'il a été reblogué par le compte officiel de la semaine spécial OC. Mes dessins semblent plus intéressé que mes écrits en tout cas mais, c'est surement parce que c'est plus facile à comprendre que des billets de plus de 50 pages de Word écrit en français, les dessins sont plus universels...
Combien de mutuelles avez-vous ? Les mutuels, c'est les gens qui sont abonnés à nous et où on est nous-mêmes abonnés à eux , c'est ça ? Alors... tatata... on est 6 !
Combien d'abonné as-tu ? On est 18 à bord ! Aucune idée de comment on a pu être aussi nombreux sur un blog avec surtout du texte, des dessins de personnes tordues et écrit en français mais, je trouve ça déjà énorme ! Merci beaucoup tout le monde !
Combien de personnes suivez-vous ? 88 abonnement en tout ! J'essaye de ne pas suivre trop de monde afin de ne pas encombré mon fil d'actualité et pouvoir en lire un maximum, d'où le fait que je ne m'abonne pas souvent à ceux qui me suivent.
Avez-vous déjà écrit un shitpost ? Des billets critiques assez énervées au sujet d'une scène ou d'un élément de 3nopes d'une histoire que je trouvais mal fait, oui, c'est déjà arrivé, même si j'argumente toujours et je ne crache pas sans raison sur un truc. Mais écrire quelque chose d'énerver, pour troller gratuitement des gens qui n'ont rien demandé ou juste cracher sur quelque chose sans argument ? Non, et je n'ai pas envie d'en faire, je trouverais ça profondément crétin de juste cracher sur quelque chose sans justifier pourquoi je pense que c'est mauvais, encore plus si c'est juste pour énerver les gens, pour ensuite retomber dessus et me dire que j'ai craché ma haine stupidement juste pour cracher. Je préfère garder mes billets et mon énergie pour des trucs que j'aime ou que je trouve drôle. Quitte à m'énerver, je m'énerve dans mon coin et ça en reste-là, ça reste pas gravé dans les méandres d'internet.
A quelle fréquence utilisez-vous Tumblr chaque jour ? Plusieurs fois par jour, surtout que c'est le seul "réseau social" que j'utilise et où je poste.
Vous êtes-vous déjà disputé avec un autre blogueur ? Non, et je n'espère pas que ça arrivera. De toute façon, dès que je voie certains utilisateurs qui ont l'air d'être nerveux ou juste là pour se battre avec tout le monde, je les bloque à vue histoire de rester tranquille. En plus, la plupart des temps, c'est des anglophones que je bloque alors, se disputer dans deux langues différentes en devant traduire un drama, ce qui apporte toooouuus les risques de mal interprété les choses car, certains mots n'ont pas la même portée en français qu'en anglais... c'est bon, ce serait une pure perte de temps et j'ai des choses plus intéressantes à faire de mon temps que me battre sur internet avec des gens à l'autre bout de la planète que je ne connais même pas, tout en sachant que de toute façon, ça finira avec personne qui ne bouge sur ses positions.
Que pensez-vous des messages du type "tu dois rebloguer ceci" ? Quand c'est des gens que je ne connais pas, c'est de l'eau sur les plumes d'un canard, ça ne me fait ni chaud ni froid et de toute façon, soit j'aurais la flemme d'encombrer mon blog avec, soit j'oublierai. Déjà que je reblogue rarement...
Aimez-vous les jeux de tags ? Oui !
Aimez-vous les jeux de questions ? Evidemment ! Aucune idée où les trouver directement sur Tumblr à part au petit bonheur la chance et quand j'en trouve un, j'oublie souvent de le rebloguer en le mettant dans mes favoris ou en brouillon mais, j'aime bien ça !
Lequel de vos mutuels est célèbre sur Tumblr ? Vu qu'on ne peut pas voir le nombre d'abonné des gens, aucune idée. J'aurais bien ma petite idée sur qui pourrait l'être mais bon, c'est un peu le cadet de mes soucis. En plus, est-ce que c'est si important que ça ? On est là pour s'amuser et parler de fandom, ce n'est pas une course à la popularité.
Vous avez le béguin pour un mutuel ? Non.
Des tags ? Alors... voyons... allez @mwezina , @fuckingferalhawks , @sinniel ! C'est déjà pas mal ! Et évidemment, tout ceux qui ont envie de faire le test, n'hésitez pas !
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Pro-tip pour les etudiants pour s'adresser à un.e bibliothécaire /archiviste /documentaliste :
1. Éviter les adresses mails gênantes, "grenouillette26" , "btslover""naruto678" me font sourire, "beaugossedu77" ou pire "nymphoardentedu44" ne me donne pas envie de vous prendre au sérieux une minute. (Rien que du vécu ).
2. Les bibliothèques, centres d'archives ...ont tous maintenant des catalogues en ligne facile d'utilisation. Essayer de faire votre recherche via les catalogues en ligne avant d'envoyer un mail, vous aurez votre réponse plus rapidement.
3. Spammer ou envoyer des mails passifs-aggressifs est totalement contre-productif (c'est pareil partout...).
4. Les étudiants en master qui nous demandent de faire leur recherches à leur place, arrêtez de tenter votre chance... le but du master en sciences humaines, c'est de montrer vos capacités à... (spoler alert ) faire des recherches, justement. Si je fais vos recherches, je dois figurer comme co-auteur....(réel !)
5. Alors arrêter d'envoyer des mails en demandant : " je fais un master sur tel sujet, qu'est-ce que vous avez ?" ma seule réponse (et celle de mes collègues) : "nous avons un catalogue en ligne, voici son adresse". Imaginez bien que vous n'êtes pas seul à nous envoyer ce genre de mail et personne n'a le temps de faire les recherches de 10 masters par mois puis ce n'est pas notre métier. Notre job (enfin un aspect de notre job) c'est de faire des catalogues simple d'accès et les plus détaillés possible pour faciliter la recherche, pas la faire à votre place.
6. Votre sujet est forcément pointu, inédit et défini par votre directeur après discussions. Un.e bibliothécaire ne peut pas d'un claquement de doigt vous trouver tous les documents pertinents pour votre master. Nous n'avons jamais travaillé sur votre sujet, ni suivi les séminaires de votre directeur, comment pourrait-on faire vos recherches efficacement ?
7. Mais après avoir regardé dans nos catalogues, vous pouvez complètement revenir vers nous en nous posant des questions précises sur la nature des documents, leur pertinence, leur disponibilité.... C'est normal qu'on ait pas envie de faire 500 km pour rien quand on est étudiant. Je travaille dans une bibliothèque hyper spécialisée et je réponds très volontiers aux étudiants et autres chercheurs sur des questions d'ordre général sur ce sujet ou je renvoie sur des sites/ouvrages utiles.
Si vous ne comprennez pas comment marche le catalogue, n'hésitez pas à demander, ça m'arrive d'envoyer des copies d'écran à des chercheurs récalcitrants à internet.
Si vous avez des problèmes à chercher (internet très bas débit ...) ou d'autres soucis (vue très basse, dysorthographie...) n'hésitez pas à le mentionner, on sera d'autant plus prévenant et on adaptera nos réponses.
8. Osez venir dans les bibliothèques, centres d'archives, pôles documentaires ...Les étudiants qui viennent dans "ma" bibliothèque sont chouchoutés : j'ai du temps pour répondre à toutes les questions possibles, à les aider dans leurs recherches, à mieux définir leurs sujet... je connais bien "mes" fonds, "mes" lecteurs et les recherches en cours et très souvent je mets des étudiants et des chercheurs en relation ( je n'ai pas de mariage à mon actif, enfin pas à ma connaissance ! mais beaucoup de jurys de thèse !).
(J'ai reçu quelques mails particulièrement désagréables et très limites d'un "batman123" furieux que je ne lui fasse pas toutes ses recherches pour son master sur un sujet que je ne maîtrise absolument pas, sur un détail microscopique d'histoire locale.)
#french stuff#upthebaguette#bibliotheque#sciences humaines#recherches#don't titillate the librarian#master
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Découvrez les Meilleurs Cours de Mixage Musical en Ligne, conçus pour vous aider à maîtriser l'art du mixage et de la production audio. Que vous soyez débutant ou musicien expérimenté, ces cours couvrent tout, des techniques de mixage de base au mastering avancé et à la conception sonore. Apprenez à créer des mixages de qualité professionnelle en utilisant des outils et des logiciels de niveau industriel, guidé par des instructeurs experts. Avec des projets pratiques et des applications réelles, ces cours sont idéaux pour toute personne souhaitant améliorer ses compétences en mixage musical et porter ses productions au niveau supérieur.
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instagram est cassé sur mon téléphone du coup je suis obligée d'envoyer des messages de mon ordi j'ai l'impression d'être au moyen-âge
#ou à la fac quand je faisais genre de noter le cours hihi#peut-être que c'est de bon augure pour les masters#it's a sign
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Bellart on Herault de Sechelles
In my quest to start building some sources, I have translated Nicolas Francois Bellart's anecdote on Herault de Sechelles.
Please note:
The source for this is Oeuvres de N.-F. Bellart, procureur général à la cour royale de Paris. Tome 6, 1827-1828 authored by Billecoq. You can find the original here: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5586566r and it starts on page 124 of the text.
My French is absolute trash. And Bellart's writing does not help. @ans-treasurebox was lovely enough to help me out with a chunk of the translation and I am very grateful. However, any incorrect translation or mistake is entirely on me.
Italics are my own notes.
M. Herault de Sechelles, as everyone knows, was Advocate General in the Paris Parliament. He had wit, a lot of pretensions to the talent of speaking well, which he possessed very little of, a determined taste for metaphysics which ruined him, and above all an unbridled desire to have fame. Moreover, with everyone, and especially with the men whom he believed could serve to propagate his reputation, [he had] the most engaging manners, gentle forms and treated those around him with flattering equality to bolster their self-esteem.
Young lawyers, principally, were the objects of his coquetry. He spied on their forces, and when he thought he had discovered that a beginner was worth winning over, he had no rest until he had attached him to his chariot by his attentions and courtesies.
And to deserve his attention it was not necessary to have brilliant faculties; it was enough to be someone ordinary. I was precisely one of those men. So, I had my turn of seduction with M. Herault de Sechelles. He sought me out, made many advances to me, even coming to see me in a poor little apartment which I occupied at a cork maker. There was indeed, in these kindnesses of a great magistrate, for a poor little lawyer, the son of an artisan, enough to turn my head. So, he turned me around: and frankly, I began to love M. Herault with all my heart, to recommend him, to praise him, to celebrate, in short, as best I could, his fine and good qualities.
He undoubtedly learned about it. He was very grateful to me: and to add to my enthusiasm by his good graces, he invited me with M. Pigeau, then his secretary at the Palace, to go and spend a few days of the holidays at his chateau at Epone*
*Bellart writes Éponne here.
One can judge the eagerness with which I accepted. On one of the first days of September, I therefore went there. I found there, besides the master of the house, a certain Y.....,* his private secretary (1), brother of the conventional of that name; M. de La Salle, the most obscure metaphysician of his time, author of the Desordre Regulier, and finally Vitry, prosecutor in parliament. The revolution had begun. I noticed it in the evening.
*I’m not sure who this is referring to.
(1) The man of whom Bellart spoke here has been, for some years now, by his humility, by his piety, by the practice of all Christian works, the model of the most sincere conversion. Bellart most likely ignored it, since he didn’t comment on it, but I, who know who this man is, I had to say it. (Author's Note) [Billecoq].
And at supper and after supper the most extraordinary theses were raised. We were discussing them three against three, M. Pigeau, Vitry and myself on one side, M. Herault, Y..... and de La Salle on the other. I heard proposals to make my hair stand on end. God, religion, even the respect due to paternity, everything was called into question, and with a cynicism and freedom of expression that made me wonder more than once if I was not dreaming and if I was really with one of the first magistrates of France. M. Pigeau and I, when we retired to our rooms in the evening, we moaned, about everything we had heard, blaming on Y .... and de La Salle all the odious doctrines that the ease of character of M. Herault had made him welcome. For me, in my real tenderness for the latter, I was truly distressed.
An incident happened the next day to divert me a little from my sad thoughts. Very early in the morning, the famous president of Saint-Fargeau [Lepeletier] arrived at M. Herault's, to whom he told, as he got out of the carriage, that he had spared himself a week to spend it with him. The master received this new guest wonderfully, and the two of them, with M. Pigeau and myself, went for a walk in the park while waiting for lunch. I don't know how it happened that we got together two by two. [Lepeletier] took possession of M. Pigeau for a few moments; I stayed with M. Herault. When we were a little apart from each other:
"You heard,” said M. Herault to me, “[Lepeletier] telling me that he was coming to spend a week here. He won't even stay for dinner.”
“- How! Why?”
“I don't want to tell you that. You'll find out later. But you'll see if I'm prophesying correctly."
He didn't want to go into more explanations then. Soon the lunch bell rang. Everyone from the night before gathered to meet the newcomer in the dining room. He looked rather distant, said little, and went out for a few moments towards the end of lunch, then returned to his place at the table. We chatted; half an hour passed. [Lepeletier]'s valet brought letters to his master, who, to read them, retired to an opening in the window.
Soon he returned to M. Herault, to whom he declared, with great appearances of contradiction, that he was in despair, but that it was necessary to get him post horses without delay, since a matter of the greatest emergency recalled him immediately to Paris. M. Herault seemed to take this speech at face value. The horses came. [Lepeletier] left. When the carriage which carried him left the yard, M. Herault burst out laughing, saying to me:
“Well! Will you now believe my prophecies?” I asked him for the key to the enigma.
“The key to the enigma,” he replied, “is Vitry. "
Everything was explained. Vitry was a prosecutor in parliament. [Lepeletier], such a great zealot of liberty and equality, was the most arrogant man who existed. He considered it a diminution of dignity to go down to dinner with a prosecutor. The prosecutor had put him to flight. This is where this execrable demagogue was then in his republicanism, he who voted for the death of his master.
Rid of him, M. Herault and his guests returned to their ease. Metaphysical controversies resumed. In this cursed castle we only discussed, and God knows what we discussed! The master of the house rested from impieties with obscenities. Finally, in two or three days, I discovered that he was materialistic to the highest degree. My sorrows came back to me. I was losing respect for the master. I couldn't stop myself from retaining my affection for him. I set out to convert him. I clung to him. Several times, tete a tete, while out walking, I employed all my wisdom to combat his deplorable doctrines. I spoke to him with force, with warmth, with interest.
"What a disheartening belief," I said to him one day, grasping his hands warmly, "to have in this world neither the interest to do good, nor a witness to the good one does, nor a goal toward which one strives while doing it. Religious beliefs, the desire to please God through love and charity towards others, the hope of being rewarded by being kind and obliging to others, even at one's own expense, are the foundations of benevolence, friendship, and generosity. In materialism, the universe is empty. Morality is even emptier. There remains no longer a single reason not to sacrifice others to a harsh and cruel selfishness."
As I was uttering these words with great heartfelt enthusiasm, my interlocutor could only discern one notion from it, namely that I feared his opinions might make his willingness to assist me grow colder; thus, seemingly, I was engaging in a dispute with him only for the sake of the safeguarding of his favor that I wished to maintain!
"Don't be afraid," he said to me in a tone that brought tears to my eyes, "even though I am a materialist, I will still take care to serve you if necessary." Ah !
“Advocate General,” I cried to him bitterly, “you are cruelly mistaken, it was not about me: it was only about you, but since we understand each other so little, let's talk about something else. " And we talked about something else. Indeed, this sordid suspicion, thrown on an outpouring of heart which would have made me at that moment almost sacrifice my life to pass into his soul, for his happiness, all the convictions which burned in mine, had the effect on me of icy water falling on hot coals.
I made up my mind from that moment to make a short stay at E, where disgust pursued me all the more invincibly because my friendship, mingled with gratitude for the master, had at first been more exalted, and because the hope of seeing him return to reason and happiness had just died. A discovery which I made two days later made me make up my mind in a hasty manner.*
*I can't believe Bellart doesn't tell us what he saw.
I left the next day. I never saw M. Herault again in my life.
I don't see him again at his house, at least. I contented myself with writing to his door at the times of the year when I could not have omitted this homage without exposing myself to the danger, either of appearing insolent, or of explaining my conduct. I saw him again sometimes, but in public, at the prosecutor's office, where the lawyers used to go before the hearing. I saw him there again to confirm myself in the estrangement which he inspired in me, and to which he added considerably by a story which I heard him tell one day. It was some time after the storming of the Bastille. The unfortunate Berthier had been massacred by the revolutionary cannibals, who paraded his sad remains in the capital. His head, carried on the end of a pike, had reached the top of the Faubourg Saint-Martin. However, M. Foulon, father-in-law of the victim, arrived at the same place, dragged in a cabriolet from which the imperial had been torn off, by another troop of scoundrels, who also demanded with loud cries that they hang him from a lantern. The two bands met. The monster who bore Berthier's head had the ferocity to bring it closer to Foulon's and to force this poor old man, half dead, to kiss it.
It was precisely this execrable adventure that M. Herault related. He told it with a kind of naturalness and lightness that made me shiver. He told it almost pleasantly, and as if he had told something that would have been nothing but ridiculous. And when he came to the atrocious act of having wanted the unfortunate father-in-law to lay his lips on this head separated from the trunk of his own son-in-law, he smiled, saying "Just imagine this scene, and this bastard presenting his head to the father-in-law, as if he had said to the son-in-law, kiss dad, kiss dad."* These words froze me. I didn't want to hear any more coming out of that coldly cruel mouth. Never have I seen him since.
*The actual French here has him saying, “Baise papa, Bais papa". You may translate that as you wish.
This man was not a barbarian; he was not even revolutionary. He was so little [a revolutionary] that, when asked which political party he was from, he answered: “the one that doesn’t give a fuck about the two others.” And it was true. He was selfish; he was a philosopher; he was materialistic. He wanted to escape, to live, to live like animals. He was neither good nor bad. He possessed neither virtues nor vices, at least not the kind that harm others; and with all that, either through absolute carelessness, the primary trait of that base soul, or through complete indifference to good and evil, or, finally, due to a crude desire for his own survival, he complied with whatever was desired, took part in crimes, and voted for the death of his king, and perished on a scaffold, in the midst of brigands whom he had made his fellows, his companions and his friends. I dwelt on this man, because I recently read his eulogy, and I felt indignant.
#herault de sechelles#frev#qui posts#tumblr is being an idiot with the formatting - Ill deal with it later
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Dimanche 29 septembre 9h36
Hello, petit update de ma vie bordelaise ;
Je pense beaucoup à petite mc, j'écoute Eres tù de Carla Morrison en l'imaginant faire du vélo près du miroir d'eau. Je ne suis pas retournée où elle a grandi, pas depuis que je suis rentrée. En fait, je n'ai pas encore eu le temps mais j'aimerai bien. Je ne voudrai pas oublier qu'elle a vécu ici avant moi.
C'est miss Alba qui m'a conseill�� cette musique au travail. Elle est très douce, pour moi elle a un goût de "tout est enfin terminé, tu peux souffler".
J'ai doucement commencé à meubler et décorer mon petit 23m2, cette fois-ci en prenant le temps.
Il me faudrait une bibliothèque pour mes livres puis une étagère à mettre au dessus de la cheminée. Je vais aller voir à la brocante ce matin, on sait jamais. Peut être un miroir ? Je ne sais pas trop, j'ai beaucoup d'affaires j'aimerai bien que tout ait sa place.
J'ai finalement rendu mon mémoire sur la céramique et TikTok (tututu tututu). J'ai eu 13/20, c'est pas exceptionnel mais ça me va très bien, j'ai fait au mieux. J'aime beaucoup me dire que je l'ai commencé au Louvre, continué à Antibes, à Berlin, à Paris pour ensuite le terminer à Bordeaux.
Universitätsbibliothek de Berlin
Musée du Louvre, Paris
Musée de la céramique de Vallauris
Rue de la Bidassoa, en plein déménagement avec Domino et ma planche à repasser
J'ai commencé mon nouveau master à l'Université Bordeaux Montaigne, ma classe est très sympa, les cours m'intéressent et j'ai hâte du premier stage.
J'espère que je serai dans un collège ou un lycée pas trop loin de chez moi. Je suis toujours un peu hésitante, je comprends que rien ne m'est destiné, que je dois faire des choix.
En tout cas, je me sens bien ici, c'est ressourçant d'être proche de sa famille. Paris ne me manque pas tant que ça, mes ami·es un peu mais la grande ville, la foule, le bruit, les grandes conversations, l'Histoire écrasante, tout ce qui me plaisait à 18ans, je dirai que ce n'est plus ce dont j'ai besoin. J'ai bien fait de partir. Je prends souvent mes décisions trop vite, de façon impulsive pour garder un peu le contrôle et échapper au quotidien, mais Bordeaux était une évidence je crois. Même les problèmes de tram et les lourdes pluies ne m'en font pas douter...
Mon père et Léa se sont mariés au début du mois dans un très beau château en Gironde, dans les champs de vignes. J'ai trouvé que ça leur allait très bien, que c'était un très beau mariage. Puis j'étais entourée des quelques personnes que j'aime le plus, mes petites soeur, ma tatie, mon oncle, ma grand-mère et mon cousin.
Je trouve que ce premier mois à Bordeaux sonne très Pure Heroine, je colle des photos et de posters que j'aime, j'écoute de la pop, je sors avec des amies, je m'attarde sur des petits bibelots en brocante, je teste des nouveaux maquillages, je me prends en photo un peu tout le temps, j'écris sur tumblr.
J'ai très hâte du nouvel album de Lorde, je m'imagine l'écouter sur mon balcon, dans le tram, sur mon vélo. Ou chez mon père à la campagne. Ou même à l'océan. Il faut que je trouve le temps d'aller voir l'océan, depuis le temps que j'en parle. Je commence un nouveau travail cette semaine. J'ai hâte.
Je vais retourner à ma dissertation sur La Bruyère (parce qu'il le faut) mais je reviens vite avec des updates bordelaises.
Mata
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j'ai commencé un cours de javascript et genre pendant les exercices je me complique trop la vie et y'a plein de trucs que je comprends po alors je suis triste snirf
faut que j'accepte que je suis en train d'apprendre et que je vais pas master le truc en 5 min mais j'ai perdu l'habitude d'apprendre j'ai l'impression
genre ça fait quand même presque 5 ans que je vais plus à la fac et même à la fac j'apprenais pas grand-chose que je savais pas déjà.................... ça me fait trop bizarre d'être en terrain inconnu breffent
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Je peux plus me voir tous ces petits fils de.. non j'allais pas dire pute. Juste tous ces petits fils de médecin, d'infirmier, de psy qui ont dégoté des stages facilement et qui ont le toupet de te dire "ah mais ne t'inquiète pas trop, tu vas finir par trouver". Bah non. Mon daron n'est pas psy, ma mère non plus, donc à priori tous les stages ont été pris par des gosses de médecins et en soi, c'est très bien, tant mieux pour eux, j'aurais fait pareil mais viens pas me dire que c'est tranquille de trouver. Un peu comme si j'étais rentière et que je te disais que c'est facile d'être riche. Non du coup. Je suis saoulée. Cette année m'emmerde. Ya rien qui va. Je vais à tous les cours à reculons. Tout me paraît intéressant mais personne ne fait rien pour rendre ça accessible ou vraiment bien. 6e année à la fac, et je dois encore en faire deux ? Si je redouble ou que j'ai pas de master, je pourrai pas continuer. Ça me met à bout les études. Puis, quelques WE par ci par là, on ne se voit plus avec mon copain et j'aurais aimé que ça me fasse mal mais à la place, ça me soulage. Je trouve ça tellement triste. J'aurais aimé vouloir le voir mais je sais qu'il va me rendre folle. J'entends beaucoup en psychologie positive que le problème de nombreux couple c'est qu'ils agissent comme des adversaires, que ça sert à rien de reprocher, être incisifs, faut comprendre que l'autre veut la même chose que nous. La vérité, jcrois que lui veut vraiment la guerre, il veut fondamentalement me faire vriller et ça marche, quoique dernièrement ça me touche moins parce que j'en ai marre de me casser le cul pour quelqu'un qui se casse à chaque conflit. Je me demande s'il pense aussi à la rupture qui est inévitable. Je le dis depuis un an mais c'est vrai. Ça me fait bizarre je sens tout s'essouffler autant moi que mes relations. Je suis éreintée, genre vraiment même respirer ça me coûte des efforts. Je rentre chez mes parents ce WE et je sais que j'ai hâte mais une fois que j'y aurai foutu un pied, je regretterai. Je vais conduire avec eux et ça va être encore des larmes alors que j'ai le permis littéralement et j'ai la flemme. J'ai ma place auprès de personne c'est super décourageant en vérité. Je ne me sens bien en présence de personne comment c'est possible. J'arrive à la fac, je parle de cours. Je vois mon mec, je parle dans le vent. Je vois mes parents on parle de cours. Je parle aux autres ils me rac tous leur vie. À part acquiescer je ne fais pas grand chose d'autre. J'ai besoin de renouveau en vrai, je le sais et le sens, j'ai besoin de rencontrer des gens qui vont me faire capter que je me suis mal entourée car visiblement j'ai dû mal à agir seule. Je me sens indésirable, moche, seule et triste. Je percute rien en ce moment, je suis zéro concentrée pour tout, je fais répéter mais j'oublie quand même. Je sais pas quoi faire. Je m'ennuie. À part penser à me faire une artère, tourner les talons dès qu'on me parle et me retenir de gifler les gens, je ne fais rien. Je passe mon temps à contenir des pulsions. Mais s'il pouvait me quitter ça m'enleverait une épine du pied ça c'est vrai j'avoue. On s'apporte rien c'est insupportable. Ça non plus je savais pas que c'était possible. J'ai l'impression d'être une grosse merde à le tailler comme ça mais en même temps, s'il me disait qqc de constructif je serai ok pour l'entendre mais ya rien. Peut-être que je suis le problème je ne sais pas trop. Je ne peux pas être toujours le problème si ? Remarque en vrai si je sais que c'est possible. J'ai essayé avec tellement de gens qui voulaient pas de moi, c'est dingue de s'entêter à penser que ça va coller. Littéralement en train de penser que mettre de l'eau pour coller un verre brisé ça peut fonctionner.
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Je suis allée au CIO vendredi et je suis encore plus perdue qu'avant. Je me suis rendu compte que le Master que je voulais faire ne me convenait pas du tout donc je ne sais pas quoi faire finalement. Le gros problème dans tout ça c'est que j'ai l'impression de m'accrocher aux études parce que je n'ai toujours pas fait le deuil de mes études qui se sont super mal passées. Je n'arrive pas à passer à autre chose. Je crois que j'ai envie de garder un bon souvenir de ce qui est censé "être les plus belles années de notre vie" et pas finir sur cette note amère. Mdr. J'ai l'impression d'être une gosse parce que clairement je veux faire des études pour faire des études. Ça n'a aucun sens. J'ai juste envie de vivre ce que la plupart des gens vivent. Rencontrer des gens, galérer dans les cours mais se soutenir, se demander mutuellement si on va en cours, avoir quelqu'un qui te garde une place en auditoire, se demander si on sort ce soir, étudier ensemble,... J'ai l'impression que j'arriverai jamais à passer à autre chose tant que je le vivrai pas. J'arrive pas à capter que parfois dans la vie ça se passe pas toujours comme on veut. Je veux trop contrôler le truc. Mais peut-être qu'une fois lancée dans le monde du travail, j'y penserai plus? Et en même temps on repense toujours à nos années à l'université pcq c'est quand-même une partie importante de notre vie.
Au moins mon année en infographie, avant le covid, était vraiment géniale. Je vais peut-être juste devoir m'accrocher à ça pour passer à autre chose. J'en reviens pas que les conséquences du covid soient toujours là.
(01/04/2024)
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