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saga: Soumission & Domination 356
24h du Mans moto-2
17-04, soir : Comme nous arrivons dans la cour du château, nous rejoignent les derniers motards du groupe. Marc arrive avec Éric et Cédric en passager et Daniel. L'écurie s'étoffe d'une CBR1000RR, du GSX R1000 que j'ai offert à Éric et du GSX R 750 de Daniel. Juste avant la pluie !
Ils ont fait la route ensemble et nous disent avoir rencontré beaucoup d'autre moto allant vers le circuit et pas mal de collègues de nos deux gendarmes.
Je fais la présentation de notre logement du WE et de ses commodités. On se met à l'aise. Les combis sont suspendues un peu partout et comme les autres nous restons en shorty, boxer ou slip selon les préférences de chacun.
De la piscine nous arrivent des cris et des hurlements. Quand on arrive, c'est pour tomber sur une bataille dans l'eau. Bien sûr tout le monde est à poil. Le temps de laisser le peu qui nous restait sur le corps et nous nous joignons à l'échauffourée.
Ça passe au stade " sexe " alors même que personne n'a encore gagné. Les nouveaux n'ont plus l'air d'être fatigués. Ils se lancent dans la mêlée. PH et Ludovic reviennent des chambres avec les kpotes, le gel et du poppers.
Je me régale avec les 23x6.5 du Lad motard. Les gendarmes sont appréciés aussi tout comme Éric et son black mamba.
La partouze bat son plein quand Nicolas (notre hôte) arrive voir si nous avons besoin de rien et vers quelle heure nous comptions dîner. Vu le bruit qu'on fait, il ne pouvait se tromper sur nos activités, donc il devait vouloir participer ! C'est d'ailleurs ce qui lui arrive. Près de l'entrée, Frank était en train d'enculer Jules aux côtés d'un " médecin " en train de démonter le cul de Kamal et d'un de ses confrères celui d'Arnaud. Ils se sont décollés le temps de l'attraper et de l'envoyer tout nu au centre de la mêlée. Sa grosse bite attire Cédric habitué aux gros calibre (rappel : c'est le régulier d'Éric). Il se fait donc bouffer la queue jusqu'à l'os, Cédric en mode " garçon en manque ".
Je me reconcentre sur mon cavalier. Quand il n'est pas en train de chevaucher un étalon, ce sont les 184CV de son ZX10R débridé. Il sait maitriser sa monture et quand il enfonce la totalité de sa bite, il obtient mon obéissance totale !
Ludovic passe me voir entre deux plans. Il me roule une pelle et me dit de bien profiter avant de trouver Marc sur son chemin. Il se fait bloquer, retourner et enculer tout en se faisant pousser sous moi (je suis en levrette). Il embouche ma bite raide et est excité de l'intérieur alors que j'embouche son gland.
Pas besoin de bouger pour nous deux. Ce sont les coups de rein de nos deux enculeurs qui activent nos pipes. Quand Marc tire les jambes de Ludovic pour mettre ses chevilles sur ses épaules, il m'enfonce plus profond sa queue au fond de ma gorge. Trop bon ! Nous nous régalons de nos glands respectifs et de la mouille qui en coule. Quand on se met à juter c'est l'apothéose. C'est je pense aussi ce que pense nos enculeurs que l'on sent se libérer dans nos entrailles (enfin kpote chez moi).
Quelques minutes pour retomber sur terre.
Petit coup d'oeil panoramique. Certains ont déjà juté comme nous mais il reste un petit groupe qui n'en a pas terminé. Je m'approche alors que mes comparses prennent la direction des douches. En fait c'est un mini gang-bang. Nicolas est sur le dos en train d'attendre les jets de spermes des 6 mecs debout au-dessus de lui.
Il ferme les yeux quand ça se met à pleuvoir sur lui. Il reste quelques minutes sous cette couverture avant que les participants l'aident à se relever sans glisser. Il reçoit autant de tape dans le dos que de mecs encore présent. Il apprécie le respect que ça sous-entend. Ce n'est pas parce qu'il s'est fait couvrir de sperme après s'être pris plusieurs mecs dans le cul qu'il n'est pas estimable pour autant.
Il nous accompagne aux douches puis nous précède à la salle à manger. Quand nous y arrivons, il a organisé un grand buffet avec plats chauds.
Dans une ambiance assez bruyante, nous commençons à nous restaurer. Les entrées sont simples et bonnes, principalement constituées de crudités et de charcuteries locales. Les rillettes du Mans sont délicieuses !
Nous voyons pour la première fois son cuisinier alors qu'avec lui Nicolas amène les plats chauds. Je comprends pourquoi il nous l'avait caché ! Le mec doit avoir dans les 20/25 ans, carré de gueule et d'épaules, ses cheveux courts et ses boucles d'oreilles et surtout son cul rebondi moulé dans un jeans trop petit, attirent sur lui les sifflets de ma petite troupe.
Ils nous présentent des cotes de boeufs de 6 ou 7 cm d'épaisseur, grillée sur le dessus embaumant les herbes. Une pierre chaude est là pour recuire si quelques un le préféreraient.
Quand il tranche, l'eau nous coule de la bouche. Elles sont grillées en extérieur et le centre est bleu mais chaud. A part Kamal qui lui demande de passer sa tranche sur la pierre, nous nous régalons de sa cuisson parfaite. Là aussi notre hôte privilégie les élevages locaux. Les 6 cotes disparaissent et il ne reste plus que les os ! Le cuisinier est un peu scié. Il y avait presque 4 kg de viande ! Ça n'empêche pas le plateau de fromages de se faire dévaster à son tour.
Il est évident que l'aide culinaire de Nicolas a reçu plus d'une invitation pour le reste de la soirée. Il nous éconduit gentiment arguant du fait qu'il était hétéro et qu'il avait une copine. Evidemment sa sortie soulève un tollé général. Comme si le fait d'avoir une amie, de lui faire l'amour pouvait l'empêcher de prendre du plaisir avec nous.
Entre notre journée sur le circuit à piétiner, les trajets en moto de certains, la touze et le repas, nous sommes morts de fatigue. On se répartit dans les chambres et les lits au petit bonheur la chance.
18-04 :
Je me réveille dans les bras d'un des gendarmes. Je ne suis pas seul puisqu'avec nous dans ce grand lit dort encore Ludovic.
Je le réveille et nous prenons une douche vite fait. Descendus dans la salle commune nous retrouvons la moitié du groupe en train de petit déjeuner. Ils sont déjà bien réveillés et jouent un peu à chauffer le cuisinier.
Nous ne sommes pas pressés puisque le départ n'a lieu qu'à 15h et que le ciel a du mal à se dégager. On discute avec Nicolas pour savoir si nous rentrons diner ou pas.
Après échanges d'avis, il est décidé que non mais qu'ils nous préparent un en-cas froid pour dans la nuit.
Habitués à des invités anglais, le petit déjeuner est conséquent et nous permettra sans problème d'attendre le soir. Avec un sandwich quand même entre temps !
La deuxième moitié du groupe arrive, les yeux encore collés de sommeil. Certains sont encore en boxer et ils sont bandants mal réveillés comme ça. Ils sont condamnés à faire le tour de la table pour les bisous. Quelques langues fraîches approfondissent ces baisers. Mal réveillés mais les dents brossées quand même ! Cédric retrouve les genoux de son Éric, tout comme Arnaud qui se colle à son Léo.
On discute de la journée à venir. Les plus impatients d'y aller sont évidemment ceux qui n'y sont jamais venus. Ils veulent voir les courses qui précédent le départ. Donc on presse un peu le mouvement.
Douches rapides pour ceux qui en ont besoin. On se glisse dans nos combis. Éric me fait la réflexion qu'on va encore attirer des remarques homophobes. Je nous regarde avec plus d'attention. Effectivement, on est quelques-uns peut être un peu trop " moulés " par le cuir. Tant pis pour les cons.
On quitte nos hôtes et fonçons vers le circuit. Notre petite troupe conflue avec d'autres motards en provenance de Paris. Pour plus de pratique et de sécurité, j'ai pris pour tous des entrées pour un parking gardé à l'intérieur du circuit. Du coup on y laisse les motos et les casques.
Il fait suffisamment chaud pour ouvrir nos combis. Ludovic retire même son t-shirt et réenfile son blouson. Il donne des idées à d'autre et on est la moitié à laisser deviner nos pecs et nos abdos sculpturaux. Comme pas un n'arbore de pilosité, ��a attirera encore plus les remarques " déplacées ". On se faufile jusqu'en face des stands pour voir le départ des side-cars. On y reste le temps de les voir passer plusieurs fois puis nous déambulons le long du circuit.
Les néophytes sont surpris de voir que certains motards dorment sur les talus qui bordent la piste. En fait la plupart cuvent déjà l'alcool qu'ils ont ingurgité sans modération.
Après la coupe des 125cc, Marc nous offre à boire. Piétiner pendant 2h30 ça donne soif ! On commence gentiment avec des demis. On partage quelques barquettes de frites en attendant de manger plus tard.
A partir de là, on se disperse. De toutes les façons tous nos smartphones contiennent la totalité des numéros de téléphone des mecs présents et puis on se donne un rendez-vous pour diner ensemble. Marc part avec Éric et Cédric. Je reste avec PH, Ludovic les 2 gendarmes et Jules. On traine dans le village en attendant le départ. Du coup quand il faut se placer, les abords du circuit sont blindés. Moi perso je m'en fous un peu mais Jules et Ludovic sont un peu déçus. En haut des escaliers, entre deux tribunes sur la ligne des stands, des spectateurs devant nous nous bouchent la vue.
G1 attrape Jules et le balance sur les épaules de G2. Je m'accroupi et dis à Ludovic de faire pareil. Il faut que PH le pousse mais une fois que je suis redressé, il domine la foule et voit la piste. Heureusement qu'il n'a pris que 5Kg depuis qu'on s'entraine ! Je peux tenir un bon moment ses 80Kg sur mes épaules. Il reste perché le temps du tour de chauffe et du départ puis glisse au sol. Instinctivement quand il est à terre, il me tourne et me roule une pelle, juste pour me remercier. Evidemment ça déclenche une remarque homophobe. Je me tourne pour voir de qui elle émane.
Un mec 30/35ans moche comme un cul ! La réponse est rapide : " rassure toi, avec ta tête tu n'as aucune chance de m'attirer ". Eclats de rires des mecs qui nous entourent, le pauvre type part plus gêné que nous. Un " mon héros " de la part de Ludovic qui me tombe dans les bras sur un registre mélodramatique achève l'entourage.
Je commence à avoir faim et je ne suis pas le seul. On s'appelle et nous déjeunons tous ensemble. Hot-dogs frites, nous callent pour quelques heures.
Puis on repart dispersés après avoir confronté notre début d'après-midi. Marc, au récit de notre mésaventure, nous dit d'être plus discrets quand même.
Refus de notre part, on ne va pas donner raison aux cons quand même ! Et puis ce n'est pas comme si nous ne savions pas nous défendre.
Avec PH je recherche un petit moment la chapelle. Alban nous a signalé qu'un sculpteur du milieu 20ème en avait réalisé les piliers. On rame un peu car cette dernière n'est plus à l'endroit originel justement nommé " virage de la chapelle ". Elle a été reconstruite de l'autre côté du circuit. Photos, vues générales puis en détails et envoie à l'artiste.
Remerciements immédiats avec demande de prise en gros plan de certains détails particuliers. On passe bien 1h à ces bêtises mais ça fait plaisir à Alban.
Retour dans la foule, et oui la chapelle n'attire pas beaucoup de motards !
On retrouve sur la passerelle Dunlop Frank, Louis, Arnaud et son Léo qui viennent en sens inverse. On se joint à eux et on va trainer les " boutiques ". Les " cuirs " sont de qualité médiocre. On regarde beaucoup mais il n'y a pas grand-chose qui retient mon attention.
Je m'arrête dans l'une d'elle plus pour son vendeur que pour sa marchandise. Le mec est mignon, un peu petit mais une bonne tête, boucle d'oreille à droite comme moi et un torse large mis en valeur par un t-shirt deux tailles trop petites.
Il me demande ce que je cherche et, avant que je n'aie eu le temps de répondre, m'assure qu'il a surement ça en boutique. Je le prends au mot et lui dis que c'est le cas puisque son petit cul outrageusement serré dans son jeans était dans la boutique. Il rit jaune mais entre dans le jeu.
Lui : " désolé vous êtes tombé sur le seul article qui n'est pas à vendre car déjà vendu ".
Moi : " ce doit être négociable si le montant de mes achats est conséquent ? "
Lui : il me déshabille du regard, j'ai toujours le haut de ma combi ouverte sur mon torse musclé et glabre et me sort un " faut voir ".
Je fais le tour de la boutique les autres sont entrés aussi et encombrent les deux allées.
J'avise un T-shirt noir logoté -24h du Mans moto 2015-. Je lui demande conseil pour la taille et lui demande si ça se porte aussi près du corps que le sien.
Réponse du vendeur " bien sûr ". À mon " OK je veux voir ", il n'hésite pas retire le sien et enfile celui que j'ai repéré. Il reste suffisamment longtemps torse nu pour que j'admire son torse large et imberbe aux pecs terminés de deux gros tétons dont un percé d'un anneau inox. Une fois qu'il a enfilé le nouveau T-shirt, je m'approche et passe la main sur le tissu " pour me rendre compte ". Il me laisse faire. En essayant de tester l'épaisseur du tissu, je le pince avec difficulté (il est sec le mec !) et du coup attrape un morceau de chair entre mes doigts. Frisson du propriétaire et en baissant les yeux, je vois sa braguette bien gonflée.
Il s'écarte et fouille pour me chercher un exemplaire et me dit de l'essayer. Je me défais du haut de ma combi qui tombe bas sur mes hanches dévoilant la totalité de mon torse nu et la ceinture d'un bottomless de chez Addicted. Quand je lève les bras pour enfiler le vêtement trop petit, ma combi descend un peu plus dévoilant cette spécificité de mon shorty. Il me dit que je suis bien foutu et à son tour il essaye d'attraper le tissu et pince mon téton libre (de piercing). Je ne peux que laisser échapper un gémissement compromettant. Il tire un peu le bas du t-shirt pour l'amener à ma ceinture et ce faisant touche mon sexe remonté vers mon nombril. Il ne peut plus douter que je bande ! Les copains bouchent toujours les entrées et font que nous sommes tranquilles au fond de l'échoppe. J'attrape son petit cul de mes deux mains et le plaque contre moi en cherchant ses lèvres. Il se laisse faire et je peux malaxer son boule. Je sens au comportement de sa langue dans ma bouche qu'il est prêt à aller plus loin. Je lui dis que c'est cool et que les mecs qui remplissent ses allées sont des potes.
Je m'arrange de sa boucle de ceinture et des boutons du jeans pour pouvoir le descendre sous ses fesses. Mes doigts s'aventurent alors entre les deux masses musculaires et trouve une rondelle accueillante. Chaud le mec, pas de slip ! Je me kpote et dans le même mouvement, je le retourne et enfonce ma bite entre elles, puis dans son cul. Là, c'est son tour de gémir. Heureusement que les motos tournent sur le circuit tout près.
J'entends plusieurs fois " le vendeur est pris, vous pouvez revenir plus tard ? ". J'accélère le tempo tout en faisant attention qu'il " monte " en même temps que moi.
Je le fais juter contre la toile du fond et moi, sous la contrainte des spasmes de sa rondelle, je rempli ma kpote.
Réajustement. Je lui dis que je garde le t-shirt mais qu'il m'en faut 22 autres avant de corriger le chiffre à 24 en pensant à notre hôte et son cuisinier.
PH me rejoint et on se roule un patin. Je vois les yeux du vendeur s'ouvrir tout grand. PH le rassure et lui dit qu'il n'est pas jaloux et que j'ai eu la chance d'être le premier à le voir. Sous-entendu, ç'aurait pu être lui.
Avec mes amis présents, nous estimons les différentes tailles à approvisionner. Comme je ne veux pas m'embarrasser, il nous garde le paquet jusqu'à sa fermeture.
Quand nous viendront le chercher, on trouvera nos achats mis dans un petit sac à dos offert par la maison. Bon, c'est vrai qu'après l'avoir défoncé, je n'avais pas eu le coeur de lui demander une ristourne.
Jardinier
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Ugly Sweater
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Statement by HIH, Imperial Prince Henri de Francesim, Head of the Household of the Imperial Prince, at the press conference on the Marriage of King Philippe to Queen Viviana II of Ionian Union
👉🏻 Follow Philippe's wedding on the blog of my friend @funkyllama
Frenchmen, Frenchwomen, and also to you, subjects of Queen Viviana II and King Consort Philippe, Greetings. It is with great honor that I address you today to clarify the current situation concerning the order of succession to the imperial throne of Francesim, in light of the recent marriage of His Imperial Highness Prince Philippe, now King Consort Philippe, with Her Illustrious Majesty, Queen Viviana II of the Ionian Union.
First of all, I cannot help but express, as a father, the immense pride I feel for my son, Philippe. He has always shown great sensitivity to international challenges, and I am certain that, alongside Queen Viviana II, our nations will continue to prosper together. By virtue of the constitutional prerogatives and fundamental laws of the Empire, it is decreed that the lineage stemming from our house, represented by our son and his descendants, is eligible for the hereditary succession to the Imperial Crown of Francesim. Should it come to pass that His Imperial Majesty, Emperor Napoléon V, finds himself without direct offspring, the Emperor may, in accordance with imperial laws, adopt a legitimate heir from our lineage, to ensure the continuity of the dynasty and the stability of the Empire. It is evident that adoption would only be considered in exceptional circumstances. We sincerely hope that His Imperial Majesty, Emperor Napoléon V, will be able to produce a direct heir, thus ensuring the continuity of the lineage. Nevertheless, should the necessity arise, we will do what is required for the good of the Empire and our peoples. In the event of adoption by the Emperor, both parties will agree that the adoption would not compromise the sovereign interests of the Ionian Union, while ensuring the stability and continuity of the imperial dynasty of Francesim. Meanwhile, King Consort Philippe and his descendants are, of course, an integral part of the Imperial Family of Francesim. Thank you for your attention.
⚜ Traduction française
Françaises, Français, mais aussi, à vous, sujets de la reine Viviana II et du roi consort Philippe, Salut. C'est avec un grand honneur que je m'adresse à vous aujourd'hui pour clarifier la situation actuelle concernant l'ordre de succession au trône impérial de Francesim, à la lumière du récent mariage de Son Altesse Impériale le prince Philippe, désormais le roi consort Philippe, avec Son Illustre Majesté, la reine Viviana II de l'Union Ionienne. Tout d'abord, je ne peux m'empêcher d'exprimer, en tant que père, la fierté immense que je ressens envers mon fils, Philippe. Il a toujours montré une grande sensibilité aux défis internationaux, et je suis certain que, aux côtés de la reine Viviana II, nos nations ne cesseront de prospérer ensemble. En vertu des prérogatives constitutionnelles et des lois fondamentales de l'Empire, il est décrété que la lignée issue de notre maison, représentée par notre fils et ses descendants, est appelée à l'hérédité de la Couronne impériale de Francesim. Si, par le cours des événements, Sa Majesté Impériale l'Empereur Napoléon V venait à se trouver sans postérité directe, l'Empereur pourra, conformément aux lois impériales, adopter un héritier légitime issu de notre lignée, afin d'assurer la continuité de la dynastie et la stabilité de l'Empire. Il est évident que l'adoption ne serait envisagée que dans des circonstances exceptionnelles. Nous espérons de tout cœur que Sa Majesté Impériale, l'Empereur Napoléon V, pourra produire un héritier direct, assurant ainsi la continuité de la lignée. Néanmoins, si la nécessité devait se présenter, nous ferons ce qui est requis pour le bien de l'Empire et de nos peuples. En cas d'adoption par l'Empereur, les deux parties s'accorderont sur le fait que l'adoption ne compromettrait pas les intérêts souverains de l'Union Ionienne, tout en assurant la stabilité et la continuité de la dynastie impériale de Francesim. En attendant, le roi consort Philippe ainsi que ses descendants font, évidemment, partie intégrante de la famille impériale de Francesim. Je vous remercie pour votre attention.
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Quelques trucs bien. Octobre 2024
Ces “Quelques trucs bien” s'inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, ou des "Notes de chevet" de Seï Shonagon.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d'optimisme.
Aller au musée des femmes artistes avec mon amie Béa. Profiter du soleil d’automne en terrasse et prendre soin de notre amitié
Avoir la visite d’une bergeronnette printanière
Jouer à cache-cache avec mon petit Mateo. Rire ensemble
M’inscrire sur un groupe de rencontres
Être honorée d’être sélectionnée sur la liste des jurés titulaires pour l’année prochaine
Jouer aux cartes avec mon fils. Gagner à être perdante
Prévoir un week-end d’escapade chez mon amie Monique
Me rappeler que ma sœur et moi avions souhaité élever et faire grandir nos enfants ensemble. Suppléer son absence quand elle est en vacances, c’est à dire faire le taxi pour mes nièces
Me faire draguer par un charmant sportif de plus de 10 ans de moins que moi lors du rdv pour test d’effort en cardiologie. Remercier en moi-même ma fille de m’avoir prêté un legging. Épreuve réussie à 100%
M’essayer au caviardage en poésie. Tenter de relancer la créativité
Chanter l’hymne à l’amour dans ma voiture... et pleurer
Faire la sieste pour récupérer le manque de sommeil
Partager une pizza duo avec mon collègue de travail
Réfléchir encore et en équipe à une bonne pratique professionnelle. Entre intuition et philosophie
Avaler des kilomètres pour essayer de laisser derrière moi le quotidien. Faire une halte chez mon amie Lauriane
Recevoir un cadeau de ma nièce de retour de son voyage scolaire à Venise
Profiter de l’alerte météo pour laisser libre cours à la créativité
Avoir une pensée émue pour mon ami Vincent qui manque toujours, même après de 14 ans de deuil
Féliciter Mateo qui s’enhardit à se lâcher pour avancer debout vers un autre appui
Tenir la petite main de Mateo pour l’accompagner dans ses premiers pas debout. Verbaliser pour lui que son regard sur le monde est désormais différent
Porter du jaune quand j’ai besoin de soleil
Participer à une réunion d’équipe de scolarisation. Sentir que je suis un vrai soutien pour ma collègue, la maîtresse et la maman
Avoir la surprise d’un arc en ciel après l’alerte météo pour pluies et inondations
Aller au cinéma pour voir un film érotique. Regretter l’absence de désir
Saluer le retour du berger et de son troupeau sur le terrain. L’automne est lui aussi de retour
Sentir venir le fou rire en entendant maman évoquer l’idée d’héberger tatie Lulu, 88 ans pour ne pas qu’elle soit seule
Aller au Festival du livre où ma nièce tient le stand de l’atelier d’écriture de son lycée. Me faire dédicacer le bouquin par une troupe d’ados. Savoir que la relève est assurée
Lire Mona Chollet et me sentir « sorcière » moi aussi
Rencontrer un jeune adulte venu donner de ses nouvelles à l’équipe qui l’a accompagné. L’entendre raconter son parcours avec gratitude et maturité puis dire que son handicap (TDAH) est aujourd’hui une force. Comprendre ce ressenti et avoir de l’espoir pour les enfants que j’accompagne aujourd’hui
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14 et 15 mai 2024
Je venais de quitter ma mère au téléphone lui disant que j'allais certainement rentrer à l'auberge ou bien me faire un trajet de métro et rentrer à pieds (j'adore me faire des tours de métro sachez-le).
Dans la station, je remarque un garçon qui m'a interpellé : son charme, ses nombreux tatouages et ce qu'il dégageait. J'écris directement à une amie "Je viens de trouver l'amour de ma vie, il est juste à coter de moi". Le métro arrive, peu de place on se serre tous, lui et moi comprit. Deux stations plus loin le métro se vide un peu, je savais que j'avais beaucoup de temps devant moi avant le terminus alors je décide de sortir mon livre "Rêveries du promeneur solitaire" de Rousseau. Je le vois se pencher, tentant de lire le titre. Alors, tout naturellement je lui montre ce que je lis. Puis il me dit "Tu lis ça pour la fac ou pour les cours" EN FRANÇAIS ? Je lui réponds que c'est pour le plaisir, lui me dit que personne ne lit du Rousseau pour le plaisir, que ce n'est pas possible.
On commence désormais à faire connaissance, me demandant qu'est-ce que je fais dans un métro à Vienne et à cette heure-ci (il devait être 21h30). On discute pendant deux trois arrêts jusqu'à que le chauffeur annonce que le métro a un soucis et que nous sommes tous obligés de descendre à la prochaine station. On se dit que c'est le destin, qu'on doit continuer cette conversation. Alors, on marche, on parle de nos vies, de nos auteurs préférés, de nos lectures.
On tombe sur un bar, par chance il fermait dans 30 min mais on a pu quand même commander. Heureusement, cet inconnu parle français car sa mère est née en France, qu'il a été au lycée français à Vienne et qu'il avait fait deux ans de prépa à Paris. Mais ce qui voulait dire qu'il était bilingue allemand (merci la vie j'en pouvais plus de commander et de commander en anglais surtout). Dès qu'on s'assoit, il sort son carnet et écrit directement la date du jour, mon prénom, la ligne de métro où on s'est rencontrés et écrit "couleur de cheveux inconnu" (nous n'avions pas réussit à déterminer si j'étais rousse ou si j'avais les cheveux rouges).
Je passe les détails sinon ce post ferait 10000 lignes. On finit par partir du bar, on marchait et il me lance un "Mais en fait on est dans Before Sunrise, on vit un rêve Leyan, je suis sûr que demain quand on va se lever rien de tout ça n'aura exister". Je lui avoue que je n'ai jamais vu ce film, film qui raconte l'histoire de deux inconnus qui se rencontrent dans le train et l'américain demande à la française si elle veut rester avec lui à Vienne le temps d'une nuit. C'était totalement nous, sauf que nous, l'amour était platonique. Comme il m'a dit "C'est la rencontre de nos deux âmes, pas de nos deux corps". Et, je pense que c'est la chose la plus merveilleuse que nos corps ne se soit pas rencontrés. De toute façon, on ne c'est pas parler pour se draguer. C'était spéciale.
Finalement, on se décide d'aller regarder le film dans le hall de mon auberge. Trop de bruits. Il réserve une chambre privative juste pour qu'on regarde le film. On a parler durant tout le film, on coupait le film pour se dire que par moment c'était vraiment nous. Après l'avoir vu, on s'est demandés "Et qu'est-ce qu'on fait quand le soleil va se lever ?". On a beaucoup réfléchit, on s'est dit que le meilleur moyen de continuer ce rêve ce n'était pas de prendre nos contacts. Juste un rendez-vous après ses examens de médecine. Il m'a écrit un poème de Pablo Neruda en espagnol, pour me montrer que je n'ai pas rêver de cette rencontre juste spectaculaire. Personnellement, je lui ai laissé une petite lettre, le remerciant d'avoir une âme aussi pure et saine. On avait l'impression de se connaître depuis toujours et en même temps pas du tout c'était très étrange. Je l'ai laissé dormir, je suis partie au lever du soleil. J'espère qu'il a prit mon message, qu'il a prit cette lettre. J'espère qu'il va venir au rendez-vous. Si un de nous deux ne peut pas finalement, on s'est dit qu'on allait se recroiser un jour de façon anodine, c'était sûr et certain. J'ai quand même mit à la fin de ma lettre "Et si on ne se revoit pas, souviens toi que tu as un visage pour être aimé". Car, c'est totalement vrai. Cet inconnu à un visage pour être aimé (et puis aussi lui rappeler qu'il doit lire du Paul Eluard).
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Un autre regard : celui de la vérité brutale.
Avant d'entrer dans le vif de ce sujet, laissez-moi vous rassurer, Amis-lecteurs : je ne suis pas particulièrement royaliste, et c'est un point important, tenu compte de ce qui va suivre. On peut d'ailleurs dire que je ne suis pas républicain non plus, ni rien d'autre : du moment où il est admis que toute structure de rang plus élevé ne peut s'alimenter qu'en ponctionnant celles qui sont ''inférieures '', que ce soit un Roi, un Empereur ou un Macron (NB : sauf un Mélenchon, cas limite : lui, il vole tout !)... peu importe qui me détrousse, pour paraphraser l'âne de la fable d'Esope.
Il est cependant exact que je n'ai jamais supporté l'addiction inexplicable de nos ''élites'' (mais le sont-elles ?) pour la formule ridicule dont aucun de ces prébendiers n'accepterait de se départir : un ''Vive la République'' tonitruant, suivi d'un timide et adjacent ''et vive la France'' vite dit, mezzo (ou mezza) voce pour ne pas déranger les dormeurs durant leur sieste. Pour percer à jour le ridicule de cette formule (surtout dans un pays où rien de sérieux ne menace de près ou de loin la dite république), il suffit de mettre son équivalent dans les bouches de n'importe lequel des autres ''leaders'' à la manœuvre sur notre planète. Imagine-t-on, par exemple, LLMM Charles III d'Angleterre ou Felipe II d'Espagne n'ouvrir leur gueule royale que pour crier ''Vive la Royauté'' ? Voit-on Erdogan psittaciser sans fin ''Vive le Califat''... Xi-Jinping ''Vive mon régime indéfini et pour cause''... Viola Amherd (Présidente de la Confédération helvétique) expliquer sur les ondes les avantages de son système –qui, pourtant, a fait ses preuves, lui... ou, plus grotesque encore, Kim Il Song vociférer ''Vive mon régime, c'est-à-dire vive Moi'' ? Nos Nuls en mourraient de rire... mais leur ridicule à eux ne les tue pas, hélas...
Notre complexe de supériorité (plus con que plexe, si j'ose) trouve sa source principale dans la succession de ''les Lumières + la Révolution française'' qui, par manque de chance, a frappé notre pays plus violemment que beaucoup d'autres. Préparés par le faux brillant du cartésianisme, nos arrière-aïeux ont été tellement éblouis par leur propre intelligence d'avoir trouvé des mots à mettre sur des concepts foireux, qu'ils ont oublié que la seule définition connue d'une Civilisation passait par la fusion de modes de vie avec une religion dominante ou autour d'elle. Vous pouvez chercher : vous ne trouverez pas un seul exemple d'une véritable civilisation qui ne soit la conséquence directe d'une métaphysique pré-existante. La France, seule depuis la naissance du temps humain, a prétendu libérer les peuples de chaînes plus ou moins avérées et a mis l'Europe à feu et à sang pour lui offrir un cadeau empoisonné, dont les dits peuples ont mis pas loin de 2 siècles et demi pour se rendre compte qu'ils n'en voulaient pas.
Car le mal était fait : un appareil administratif alimenté par tous les mécontents du temps, s'est mis en place, faisant parfois regretter certaines des causes qui avaient entraîné LA Cause. L'indéniable grandeur résultant de ce qui a été rebaptisé ''Ancien régime'' avec tout le mépris du monde, a mis ou va mettre 3 siècles à s'éteindre, remplacée peu à peu par... rien –ou par ce que contemplent chaque jour nos yeux désespérés, et qui revient à peu près au même : le néant sous toutes ses formes et dans tous les domaines.
Ceux qui ont cru qu'un système sorti de cerveaux vite devenus ''d'un autre temps'' pouvait avoir une chance d'offrir à l'humanité l'équivalent de ce qu'elle avait mis tant de siècles a grignoter vers un mieux progressif mais régulier, portent donc une lourde responsabilité dans l'effondrement en cours (et qui semble irréversible) de ce qui fut la construction de la Civilisation judéo-chrétienne, de loin la plus réussie qu'ait connue l'Humanité, jusque là en marche vers sa propre grandeur, et depuis peu (à l'échelle de l'Histoire) vers une sale décadence faite –et c'est le plus triste, sans doute- - avec l'assentiment des peuples-victimes, qui mettent joyeusement la main à la pâte pour accélérer la et leur chute finale, France en tête et macronisme oblige !
Il faut vraiment avoir la citoyenneté bien accrochée pour avaler toutes les contre-vérités, les mensonges, le charlataneries qui sont la toile de fond de nos jours depuis, disons, 1981, qui a vu des idées intenables d'abord, puis fatales une fois votées, s'imposer et devenir le nouveau ''petit livre rouge'' d'une anti-religion, finalement mortelle à l'Homme sous de belles idées. La catastrophe avait commencé avec la super connerie giscardo-chiraquienne du ''regroupement familial'', vite suivie par les montagnes de faux humanisme des deux mandats de Mitterrand (leur liste dépasserait les limites de ce blog. Citer les 35 heures ou la redéfinition par le vide du mot ''Justice'' suffira !). On est alors entré dans la création d'une véritable contre-religion reposant sur la folie lâchée en liberté, mais dont les buts étaient doubles : détruire tout ce qui marchait plutôt bien en racontant que c'était mauvais... et remplacer tous les socles millénaires par des catalogues de mesures absurdes ne pouvant servir qu'à accélérer la chute de l'ensemble... Leur hymne ''Internationale'' dirait : ''C'est la chute finale'' !
Ce n'est pas sans raison que la veuve du gendarme assassiné hier à 200 m de chez moi par un multi-récidiviste (qui n'était là que parce que ''le système'' se moque pas mal des gens normaux, braves, gentils honnêtes et travailleurs) a évoqué courageusement ''1981'' comme début des folies permissives, destructrices et mortelles à terme (nous y arrivons !) qui nous assassineront peu à peu : à toujours tout confondre, ils finissent par se fondre eux-mêmes. Nous aurons, hélas, de nombreuses occasions d'approfondir ces idées. Ce soir, le chagrin de cette veuve si forte, si digne, tétanise trop la France (je veux dire : la vraie. Pas ce truc informe que LFI ose affubler de ce beau nom) pour que je puisse continuer : trop, ça devient vraiment beaucoup trop... Affaire à suivre...
H-Cl.
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Bienvenue dans l’univers de Mimbulus Mimbletonia ! Après des mois de travail acharné, d’idées délirantes, de rires et, soyons honnêtes, d’une bonne dose de magie, nous sommes enchantées de vous ouvrir les portes de cette aventure ! Mais Mimbulus Mimbletonia, ce n’est pas juste un projet, c’est un véritable monde que nous avons façonné avec passion et imagination. Un espace où la magie prend vie, où les histoires s’entrelacent, et où votre créativité pourra s’exprimer librement.
Nous avons hâte de vous voir explorer chaque recoin du forum, de plonger dans des RPs mémorables, de tisser des liens entre vos personnages, et de laisser votre imagination éclater dans un univers qui ne demande qu’à grandir avec vous. Soyons clairs : ici, c’est un peu la folie ! Entre l’effervescence du lancement et l’excitation des premiers pas, l’émotion est à son comble. Cela dit, toute grande aventure a ses ajustements : il se peut que quelques petits recoinsnécessitent encore un coup de baguette (ou un bon Reparo). Si vous croisez des coquilles ou des détails à améliorer, vos retours seront les bienvenus pour peaufiner cette expérience magique.
Un immense merci d’être là et de faire partie de cette épopée enchantée. Créez, rêvez, vibrez… et laissez la magie d’Ilvermorny vous emporter ! À vos plumes et baguettes, la grande aventure commence maintenant !
Contexte Rapide. Après la chute de Voldemort, la paix semblait promise, mais l'ombre des Mangemorts continue de planer. La "grande purge" a semé chaos et division, forçant les anciens disciples des ténèbres à fuir vers des terres étrangères, notamment les États-Unis. Pourtant, cette fuite n'a pas éteint les tensions : des groupes comme les mystérieux Veilleurs veillent dans l'ombre, persuadés qu'un nouveau danger se prépare. Au cœur de ce tumulte, Ilvermorny devient un véritable champ de bataille idéologique. L'école, symbole de l'avenir du monde magique, est infiltrée par des ambitions opposées. Sa nouvelle directrice est-elle une alliée de la justice, ou le pion d'une guerre silencieuse ? Rejoignez un univers captivant où chaque décision compte et où les alliances se forgent dans les secrets. Les ténèbres ne sont jamais loin… Quelle sera votre place dans cette histoire ?
Sorcier à Adopter : Trouvez votre Place dans l'Aventure ! Envie d’intégrer l’univers du forum en jouant un personnage déjà enraciné dans les intrigues ? Les scénarios sont là pour vous ! Ces personnages, créés avec soin par nos membres, disposent d’un passé, de liens forts et d’une place clé dans les histoires en cours. Ils n’attendent plus que vous pour leur donner vie et enrichir encore davantage les récits du forum. Chaque scénario est une opportunité de plonger directement dans l’action, avec des relations préétablies et des intrigues prêtes à se développer. Qu’il s’agisse d’un allié loyal, d’un rival redoutable ou d’un amour interdit, ces sorciers n’attendent qu’une chose : vous voir leur prêter vos mots et votre imagination. N’hésitez pas à consulter la liste des scénarios et à poser toutes vos questions aux créateurs. Ils seront ravis de vous guider et de répondre à vos idées. Votre futur personnage vous attend peut-être déjà ici !
Liens vers le forum + Discord. Le forum est lancé et n’attend plus que vous pour y écrire vos plus belles histoires ! Mais l’expérience ne s’arrête pas là… Notre serveur Discord est déjà bien actif, un véritable repaire où les discussions fusent, les idées se partagent et où l’ambiance est toujours au rendez-vous. Que ce soit pour papoter, organiser des RPs ou simplement partager des moments entre sorciers, vous y trouverez forcément votre place !
Le forum :https://mimbletonia.forumactif.com Le Discord :https://discord.gg/QztREyqK
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[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l’ œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
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Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
#s11e07 favorites with a twist#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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5 : en train de faire une activité récréative (spa, cuisine, jardinage, etc…)
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/d7d602ddef96901b8b7165c228af0a4b/c9148c3cd625844b-39/s540x810/a47e38ab994b50d7f3f7691d17bc02664f8acf12.jpg)
Cours de cuisine avec Lamine ! Mercedes est ravi de pouvoir cuisiner avec son ancêtre, et Léonie a réussi à tirer Bernadetta jusqu'au réfectoire, même si cette dernier a peur de la difformité et des serpents de la Brave, surtout vu toutes les histoires qu'on raconte autour d'elle dans l'Empire avant qu'elle ne se fasse convertir qui la décrive comme un monstre empoisonnant tout ce qui l'entoure mais, au fur et à mesure de la leçon, elle arrive à sortir car ce qu'elle raconte l'intéresse et que Lamina est très patiente, même si elle est très stricte sur la sécurité.
Comme vous l'avez sans doute deviner, il s'agit de la Brave de Lamine et l'ancêtre de Mercedes directement arrivé du passé pour découvrir sa descendante, Lamina, Brave de la Guérison !
Pour ceux qui arrive en cours de route, petit point de contexte ! Dans ma fanon, il y a deux générations de Braves : la première génération entièrement composé de sorciers (l'ancêtre de la magie actuelle qui est bien plus puissante mais est aussi très dangereuse et déforme le corps de ceux qui lui survive à vie) venant de peuples différents tout juste arrivé à Fodlan après le Déluge de Sothis pour vaincre les agarthans. Ils sont de très bonnes personnes et qui ont plusieurs miracles à leurs actifs pour aider leur peuple (ex : Lucius Fraldarius Pertinax, Brave de l'eau dont le peuple débarque de Sreng, a rendu l'eau du lac éternellement pure et elle ne peut pas porter de maladie ; Kelon de la tribu Rieganos, venant à l'origine d'une cité des côtes de l'Almyra actuel, a fait en sorte que les vents dans la baie de Derdriu soit toujours favorables...). Ils ont reçu l'emblème de force après avoir été vaincu par Némésis qui les tuent à petits feux, et qui vont être tué par l'armée adrestienne qui pense qu'ils sont des alliés de Némésis par erreur et manipulation des agarthans. La deuxième génération est composée de leurs enfants, des humains normaux mais nés avec un emblème majeur, qui rejoigne Némésis pour se venger des adrestiens qui ont assassinés leurs parents, tout en ayant pour but ensuite de passer Némésis au fil de leurs Reliques étant donné que c'est lui qui a refilé l'emblème qui les empoisonnait lentement à leurs parents. ça permet d'expliquer pourquoi d'un côté, les Braves sont présentés comme ayant rejoints Sothis (1ère génération) avant de la trahir (2e génération), les parents et les enfants ont été fusionnés au fil du temps et de la tradition.
Si le surnom sous lequel elle est le plus connu actuellement est la Voix Guérisseuse, elle n'aime pas tant chanté que ça. Elle peut utiliser sa voix pour guérir les autres grâce à sa sorcellerie mais, elle s'en sert surtout pour attaquer, notamment pour manier son poison. Quand elle chante, le poison qu'elle secrète se disperse dans l'air et va infecter ses ennemis qui meurt souvent très vite à cause de ses toxines très puissantes. Elle ne voulait pas associer quelque chose qu'elle aimait à un outil de mort alors, elle a pris la chanson comme moyen d'atteindre ses cibles (un peu l'inverse de Pertinax : il adore chanter mais quand il se bat, il est très silencieux pour ne pas associer sa voix à la mort). En plus, ça permet de prévenir l'ennemi qu'elle est dans le coin et que s'il veut continuer à vivre, il doit s'enfuir très vite vu qu'il ne survivra pas à sa toxine.
Sa véritable passion, c'est plutôt la cuisine ! Elle adore cuisiner de bons petits plats et tester de nouvelles recettes alors, dans le futur avec autant de nouveaux ingrédients, elle ne va pas se gêner et régaler tout le monde ! En plus, on est vers la fin de sa vie alors, il n'y a plus trop de risque à ce qu'elle s'approche des autres.
En effet, étant donné que sa magie consiste à la base à pouvoir soigner et qu'elle est médecin, elle a aussi dû apprendre tout ce qui avait un lien avec les poisons, n'importe quel remède ayant une part de toxicité s'il est mal utilisé. Elle peut également "absorber" les maladies et les blessures en elle afin de soigner les autres, son immense capacité de régénération lui permettant de guérir extrêmement vite (même une décapitation ne la tuerait pas tellement son corps se régénère vite et s'est renforcé pendant 1000 ans, et il faut passer ses écailles avant). Cependant, à force de travailler là-dessus, une des fiertés qui est apparu en elle est la capacité à produire des toxines qui ne lui font rien à elle mais, qui sont mortels pour à peu près tout ce qui l'entoure. Son sang notamment est un poison mortel pour à peu près n'importe quoi, même d'autres sorciers du même âge qu'elle et même des nabatéens auraient du mal à l'encaisser. Pendant une grande partie de sa vie, elle dégageait ces toxines en permanence et ne pouvait approcher personne par sécurité, à part en utilisant constamment ses pouvoirs pour contenir le poison, ce qu'elle ne peut pas faire en permanence à cause de la concentration que ça demande. Au fil du temps, elle a pu mieux contrôler cette fierté et peut désormais retourner auprès des autres sans risque, sauf si vraiment elle se met dans une colère noire.
Elle profite donc de ça et du voyage dans le temps pour pouvoir s'approcher de sa descendante et de ses amis de Garreg Mach, même si elle est consciente d'être très effrayante mais, c'est une personne gentille et altruiste, même si elle ne plaisante clairement pas sur la sécurité, qui a vite su les mettre (entendez Bernadetta, je voie bien Léonie et Mercedes être très cool avec le fait de parler à une femme serpent, et c'est surtout dans l'empire qu'on efface tout l'aspect difforme qui est censé être la marque de leur barbarie qui disparait une fois convertis, là où dans la tradition faerghienne et leicester, les fiertés restent et sont même des éléments importants dans la représentation des Braves).
Petit point conception :
Brave de la guérison et du poison oblige, j'ai pas mal basé ses fiertés sur un serpent, que ce soit avec ses grosses écailles ventrale sur sa gorge, sa peau recouverte d'écailles plus petites, ou ses iris en amande comme celle d'une vipère (même si ça se voie peu). Elle a aussi deux crochets à venin dans sa bouche qui se rétracte comme ceux d'un serpent. J'avais aussi pensée lui faire avoir un corps de femme jusqu'à la taille puis une long corps de serpent histoire de pousser le délire des fiertés qui vont avec son âge, elle a quand même 1 000 ans... puis j'ai vu la forme lumineuse de la fille bourrée dans FEH et j'ai compris que ce n'était PAS une bonne idée. Elle garde donc ses jambes. Par contre, son nez s'est aplati avec le temps et ses oreilles ont pratiquement disparu, encore une fois comme un reptile.
Elle a aussi des serpents dans les cheveux un peu comme Méduse, même si c'était surtout pour rajouter des fiertés, et renforcer l'aspect effrayant. Ses serpents pouvant être très long, elle s'en sert pour récupérer des objets léger loin d'elle, lui servir d'yeux supplémentaire (même si c'est avec une vision de serpent), tâter l'air grâce à leur organe de Jacobson / voméronasal (organe qu'elle a aussi dans sa bouche avec une langue bifide), et effrayer l'ennemi, encore une fois parce qu'elle n'a pas envie de tuer des gens si elle peut les faire s'enfuir, elle a pas que ça à faire de ses journées et elle veut surtout soigner les gens. Ils n'ont pas d'autonomie propre mais, ils sont utiles, comme dans le dessin où ils restent proches de la nourriture pour vérifier tout le temps si elle ne l'a pas empoisonné par accident.
Pour ses quatre bras, c'est une fierté qui est très pratique : vu qu'elle ne pouvait pas se faire assister dans son travail quotidien à cause des toxines qu'elle dégageait (même quand elle donne une potion à quelqu'un, elle fait toujours attention à purifier tout ça par prudence et ne pas empoisonner les autres, et elle doit aussi y penser quand elle doit faire une chirurgie si ses pouvoirs ne suffisent pas). Elle a donc tenter de développer ses pouvoirs pour avoir des bras en plus et a réussi vu que ça ne se contredisait pas avec sa sorcellerie de base.
Enfin, ses habits sont basés sur cette reconstitution de vêtements féminins daces exposée lors de l'exposition temporaire "La frontière inconnue de Rome : Celtes, Daces, Sarmates et Vandales au nord du bassin des Carpates" en 2012-2013 au musée Musée celto-romain de Manching en Allemagne. Pour son pendentif, je me suis basé sur ce bracelet. Même si ce n'est pas très sérieux de se baser sur Wikipédia, cela m'a un peu dépannée pour le coup, surtout que la photo est plutôt bien sourcée pour une fois. Et pour son nom... comment dire... déjà que c'est la croix et la bannière de trouver un nom thraco-dace masculin vu que la Dacie s'est romanisé très vite (j'utilise cet article comme référence), autant à ce niveau-là que culturellement - vu ce que Trajan leur a mis, tu m'étonnes -, et que je me suis mis à cette évènement assez tard, j'ai pas encore fait beaucoup de recherche sur Lamine... je suis allée au plus simple, le nom de sa famille était son prénom car tout le monde se disait "fille de Lamine" et le nom s'est juste "fodlanisé" en remplaçant le A final par un E.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#jeu de questions#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#HIIIIII !!! J'avais trop hâte de vous la montrer ! Je tenais plus !#Elle est enfin là ! Elle est enfin là ! Elle est... elle est... elle est enfin là !#Les écailles ont été un enfer à faire ^^' Mais bon c'est ses fiertés alors- un porte mine- de la patience- du temps et roule !#Je me dis que ces trois-là serait curieuses de voir sa cuisine#Mercedes car elle partage cette passion avec son ancêtre#Léonie car elle est curieuse et que Lamine a des recettes où elle ne gaspille rien qui peuvent lui servir#(par contre j'ai simplifié sa chemise ça ne rendait pas super bien avec les motifs de l'académie...)#Et Bernadetta a très peur d'elle sur le coup mais vu qu'elle adore cuisiner elle arrive à surmonter sa peur et passe un bon moment#Le repas de Garreg Mach va être délicieux ce soir ! 😋#Mais on ne va pas parler de Jéritza... ou non... on en parlera pas vu que bon... voilà quoi... ça risque de mal tourné s'il tombe sur elle.
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saga: Soumission & Domination 392
Mes nouveaux Escorts-1
Mick : Il est la seconde recrue à s'y mettre. C'est celui dont les finances sont le plus dans le rouge ! Il est à mes côtés quand je lance les enchères. Pas tant pour en connaitre le montant que pour savoir qui va décrocher son pucelage. Question montant, comme j'ai étalé la prestation sur 1 mois et 3 périodes, il y a bagarre et montant excessif. Il est soulagé d'avoir à " travailler " pour un de mes plus anciens clients dont je peux garantir le respect qu'il a envers mes Escorts. En plus il n'est monté que 25x6 !! Le contrat passé avec lui fait bien mention de " circonstances exceptionnelles ". Ils savent tous (mes clients) que mon équipe est aussi solidaire que capable de se défendre, chacun et/ou leurs collègues. Sans que j'aie eu à le dire, ils se doutent de ce qu'un excès sur l'un d'eux aurait comme conséquences, en plus d'être rayé de ma liste de clients.
Première période : Comme c'est une réelle première fois pour Mick, je l'accompagne. Le client nous reçoit. Je fais un point bref avec lui et passe dans son salon pour attendre ma nouvelle recrue. Son majordome me sert un whisky, j'aurais le temps de le digérer totalement avant notre retour. Sur mon PC portable je me plonge dans mes cours. 4 heures plus tard, je récupère un Mick soulagé. Dans la voiture, il me dit que le client avait été très progressif. Il l'avait déshabillé et caressé jusqu'à ce qu'il bande et avait passé la moitié de la prestation à l'embrasser, branler sa tige et à caresser sa rondelle. Pendant la deuxième partie il lui avait bouffé la rondelle et commencé à lui mettre 1 puis 2 doigts seulement. Il s'était surpris à éjaculer sous ces attouchements. Ce qui avait mis fin à la première séance. Je suis étonné qu'il ne lui ait pas demandé de le sucer. Il me dit qu'il est resté habillé toute la séance. Je l'assure que ce ne sera pas le cas la prochaine fois. En arrivant au blockhaus où il va passer la nuit, il me dit que finalement ça va le faire mon job. Heureusement pour lui, car je n'aime pas les mecs qui ne tiennent pas leur parole.
Deuxième période : Je le laisse y aller seul. À son retour il ne tari pas d'éloge envers son initiateur. Cette fois il s'est mis nu lui aussi et il a pu voir de ses yeux ce qu'était réellement un sexe de 25 x 6. De ses yeux et de sa bouche aussi. Le client l'a initié au 69 et tout pendant que Mick le suçait, il lui refaisait une préparation anale. Fièrement il m'annonce qu'il a réussi à faire passer le gland du client derrière sa glotte sans vomir. Comme je lui demande s'il en restait encore dehors, il baisse les yeux et me dit que oui bien 10cm ! Je lui explique que 25/25 c'est possible mais que certaines positions favorisent le passage. Je lui montre, dos sur un lit la tête en dehors du matelas, rejetée en arrière. Comme j'ai la position, je lui propose de tester et comme il bandait déjà, il m'enfonce rapidement ses 19cm entiers. Il sent bien la différence entre la partie qui est dans ma gorge et celle qui est dans ma bouche. Il s'y enfonce plusieurs fois avant de se coucher à mes côtés dans ma position et de de demander d'y aller à mon tour. Moi aussi ma queue est bien raide et je m'enfonce dans sa bouche. Je n'y vais pas direct en fond de gorge mais progressivement jusqu'à ce que son nez soit enfoui dans mes couilles. Pas de réflexe de régurgitation, il accepte sans soucis mon gland et le reste. La démonstration est faite ! Quand je veux me retirer, il attrape mes fesses et m'en empêche. Par respect pour le client qui n'en a pas encore fini avec son dépucelage, je me retire quand même. Mais trop excité, je me branle et couvre son torse de ma crème qui ne tarde pas à être mélangée à la sienne. Une bonne douche qui me permet de vérifier qu'il est toujours nickel de peau et il rentre chez lui.
Troisième période :
Il nous en revient tout excité. Le client a été très content qu'il lui fasse des gorges profondes totales dès qu'il s'est mis en position sur son lit. Mick lui a juste dit que certains de ses collègues lui avaient expliqué comment progresser dans cette discipline. Il s'était fait préparer la rondelle à la main jusqu'à 4 doigts et seulement après le client l'avait sodomisé. Du coup s'était bien rentré mais il lui avait quand même fallu un bon moment avant d'y mettre ses 25cm de long. Il y avait été doucement et c'était lui (Mick) qui finalement était frustré qu'il n'aille pas plus fort. Il nous explique (à Jona et moi) qu'il s'est fait prendre dans plusieurs positions dont certaines qu'il n'avait même pas testé avec les meufs. Il nous avoue que le sexe entre mec c'est nettement plus " chaud " et imaginatif qu'avec les meufs. Il se ravise et ajoute : " enfin, celles que j'ai pu baiser ". N'ayant eu à faire l'amour qu'a des meufs de son âge, c'est sûr qu'entre missionnaire et levrette pour les plus dégourdies le tour du Kamasoutra est vite fait. Il nous demande si les autres clients c'est pareil. Réponse de Jona : " en gros oui mais certains ont des trips bondage, ou sont obsessionnel d'une position " et de citer un client qui privilégie l'enculage debout de face en supportant tout le poids de l'escort sur ses hanches. Mick nous dit que son client lui avait fait ça quelques minutes et que ça lui avait trop écarté le cul.
En attendant le pur hétéro qu'il était est prêt à recommencer. Il avoue qu'il a pris du plaisir aussi et que son sperme était venu marbrer le noir du torse du client. Ce qui l'avait surpris c'était qu'il ne s'était même pas touché. Comme il suit sans peine son année, il vient deux fois par semaine faire du sport avec nous. Si on l'écoutait, il ne ferait que les séances de combat et s'abstiendrait du reste. Mais le programme de Jona est tout différent. Son évaluation de départ a soulevé le fait que c'est un piètre nageur mais qu'il se défendait au barres de poids. Donc l'accent est en ce moment mis sur la piscine. Il rit avec nous qu'il avait franchement pensé que ces séances étaient surtout un prétexte à des partouzes. Il avait vite déchanté d'autant que lors de ses premières participations, les " troisièmes mi-temps " n'avaient pas eu lieu. Surtout il kiffe l'ambiance de solidarité qui règne entre tous. Il voit que ce n'est pas nécessaire de demander, il y a toujours un collègue pour aider. Pour finir une série de développés-couché, pour se faire reprendre d'une position aléatoire, sans compter bien sur les cours proprement dit (combat, natation). Le fait d'avoir été intégré sans questions sur son parcours, d'être inclus dans les blagues et les conseils qu'on se fait et se donne entre nous le change de son club où c'était plutôt chacun pour soi et même rivalité avec certains jaloux de son niveau en Judo (marron deuxième Dan). Il s'aperçoit qu'au Blockhaus, chacun a à coeur que l'autre progresse et réussisse.
Je lui demande si coté meuf sa vie suit son cours. Il rit franchement et me dit que pour le moment il n'a pas le temps. Il ajoute qu'il est tout à s'améliorer dans ce nouveau taf, car il a entendu que cet été certains allait accompagner des clients pendant leurs vacances et qu'il aimerait en faire partie. Et justement à ce propos, il aimerait savoir s'il pourra taffer pour moi car avec sa fac, ses disponibilités estivales sont grandes. Je cogite qu'un de mes clients m'a demandé justement un escort pour 1 mois (et non 15j habituellement) pour un périple en Amérique du Sud, visite des artéfacts des civilisations disparues mais aussi plages. Je lui demande si ce genre de plan l'intéresserait. Il me saute dans les bras et me promet de revoir toute cette période de l'histoire avant de partir. La perspective de vivre ce voyage en première classe le rend tout joyeux. Il n'aurait jamais imaginé en début d'année ce qui lui arrive maintenant. Il me confirme que d'avoir à donner sa rondelle n'était pas un gros sacrifice.
Gabin Comme il ne souhaitait pas faire état de sa virginité anale, nous nous sommes occupés en interne de son cas. Si le rodage de sa rondelle s'est fait assez rapidement, j'ai préféré assurer son " éducation " avec l'aide de tous. Sa nouveauté et son physique a fait qu'il n'a pas manqué de partenaire pour lui apprendre les " ficelles " du métier. En 1 mois, chaque fois qu'il est venu s'entrainer sportivement, il a fini entre les bras de plusieurs de mes escorts. Pour un pur hétéro, j'estime qu'il a vraiment pris le taureau par les cornes pour devenir un bon escort gay. Comme pour Mick je pense que d'entendre les uns et les autres parler de leur taf avec naturel et même complicité, de les voir physiquement tous plus beaux gosses les uns que les autres et bien dans leurs baskets, a participé à la prise de conscience que c'est finalement un taf comme un autre, juste super mieux payé ! Du coup il est impatient de commencer. Malgré ses bons revenus, André, mon banquier, a rarement les moyens de gagner une enchère. Comme je lui dois beaucoup question tranquillité fiscale et gestion des cagnottes de chacun, je lui offre Gabin. Quand je le préviens, ce qui le coince c'est de connaitre Ric qui régulièrement passe s'entrainer avec nous. J'envoie donc ce dernier lui expliquer les choses. Il revient me voir et là, ce n'est plus de savoir que c'est le père de Ric, mais le fait qu'il le baise depuis des années et qu'il est sûr de ne pas être au niveau du fils. Je lui explique que ce que cherche les clients en changeant d'escort, c'est justement ne pas avoir un copié-collé dans les bras. Je lui demande s'il désirait que Ric soit de la partie, je pouvais organiser ça. Hésitation puis finalement accord pour ça.
Jardinier
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LÉGENDES DU JAZZ
JOE ZAWINUL, DE WEATHER REPORT AUX MUSIQUES DU MONDE
“My dad raised the bar in the music world as a true artist to his profession. As a bandleader, he was able to pull out performances from his bandmates and take them to heights they never knew existed. He never compromised his art. You either liked it or you didn’t. One thing is for sure, though, you always knew it was Joe Zawinul.”
- Anthony Zawinul
Né le 7 juillet 1932 à Vienne, en Autriche, Josef Erich Zawinul était d’origine gitane (par sa grand-mère d’origine hongroise) et avait grandi dans une famille musicale. Son père, qui travaillait comme commis pour une compagnie de gas, jouait de l’harmonica pendant ses temps libres. Sa mère était chanteuse. Zawinul avait un frère jumeau, Erich, qui était mort de pneumonie à l’âge de quatre ans.
Zawinul avait d’abord appris à jouer de l’accordéon à l’âge de six ans, un instrument qu’il avait continué d’apprécier durant toute sa vie. La famille Zawinul étant trop pauvre pour avoir son propre piano, les talents de Josef étaient si remarquables que ses parents lui avaient payé des leçons de piano classique. Le Conservatoire de Vienne (Konservatorium Wien) avait été tellement impressionné par les talents de Zawinul qu’il avait accepté de lui donner des cours gratuits de piano, de clarinette, de violon et de composition. Parmi les camarades de classe de Zawinul, on remarquait le pianiste classique Friedrich Gilda. Zawinul avait également formé un duo avec le futur président autrichien Thomas Lentil.
Une des grandes découvertes de Zawinul durant sa jeunesse était le jazz américain, qui avait été interdit par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale. À la fin de la guerre, Vienne ayant été victime de nombreux bombardement alliés, Zawinul et ses vingt-huit camarades de classe avaient été évacués en Tchécoslovaquie, où ils avaient poursuivi leurs études musicales tout en étant soumis à un entraînement militaire plutôt strict sous la direction d’officiers SS blessés. C’est à cette époque que Zawinul avait entendu du jazz pour la première fois lorsqu’un de ses camarades de classe avait interprété une version improvisée du standard “Honeysuckle Rose” au piano. Parmi les premières influences de Zawinul, on remarquait les pianistes Erroll Garner et George Shearing.
Après la guerre, Zawinul était retourné à Vienne où il avait poursuivi ses études de piano classique tout en gagnant un peu d’argent en jouant de l’accordéon avec de petits groupes de danse. Après la fin des hostilités, lors de l’occupation de Vienne par les Alliés, Zawinul avait commencé à jouer sur des bases militaires américaines, ce qui lui avait permis d’avoir accès à un orgue Hammond, un instrument qui l’avait toujours fasciné.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Il n’avait pas fallu longtemps à Zawinul pour lancer sa carrière musicale. Il expliquait: “I saw what I wanted to do with my life, and that was to play with black musicians.” Après avoir travaillé comme pianiste de studio pour les disques Polydor, Zawinul avait accompagné en 1952 le saxophoniste autrichien Hans Keller. Il avait aussi joué avec les Austrian All Stars, le pianiste classique Friedrich Gulda (avec qui il avait fait ses débuts sur disque en 1953), Karl Drewo et Fatty George. Il avait également fait une tournée en Allemagne et en France avec son propre trio. Convaincu que sa carrière ne pourrait se développer davantage en Autriche, Zawinul était tellement obsédé par l’idée d’aller jouer aux États-Unis que certains de ses amis musiciens avaient arrangé un faux appel téléphonique l’invitant à se joindre au groupe d’Ella Fitzgerald en tournée ! Après avoir découvert la vérité, Zawinul avait par la suite raté une occasion en or en ignorant un autre appel (mai bien réel celui-là) du trompettiste Clark Terry.
Zawinul avait finalement obtenu sa chance après avoir vu une publicité de la Berklee School of Music dans un des rares exemplaires du magazine Down Beat à avoir réussi à se rendre jusqu’à Vienne. Après avoir remporté une bourse pour aller étudier durant un semestre à Berklee, Zawinul s’était embarqué sur un navire le 2 janvier 1959 et avait entrepris la traversée de cinq jours jusqu’aux États-Unis. Avec seulement 800$ en poche, Zawinul savait que sa tâche ne serait pas facile. Comme il l’avait précisé plus tard, “I knew that it wouldn’t be easy, because I had no relatives, didn’t know a single person in America. But when I came over on the boat, I did it with the purpose to kick asses.”
À son arrivée à New York, Zawinul avait fait un de ses premiers arrêts au célèbre club Birdland, où il était entré en contact avec la scène du jazz pour la première fois. C’est d’ailleurs au Birdland que Zawinul avait rencontré sa future épouse Maxine.
Mais les événements n’avaient pas tardé à se bousculer. Quelques semaines après avoir commencé à étudier à Berklee, un des professeurs de Zawinul lui avait proposé d’agir de remplacer un pianiste dans le cadre d’une performance avec le bassiste Gene Cherico et le batteur Jake Hanna. Impressionné par le talent de Zawinul, Hanna l’avait recommandé au trompettiste canadien Maynard Ferguson qui l’avait embauché peu après lui avoir fait passer une brève audition. Ferguson avait aussi auditionné quelques saxophonistes, car son saxophoniste régulier venait de quitter le groupe. Parmi les candidats, on remarquait un jeune saxophoniste appelé Wayne Shorter. C’est ainsi que la longue et fructueuse collaboration de Zawinul et Shorter avait débuté.
Ne pouvant laisser passer cette occasion en or, Zawinul avait fait ses adieux à Berkley et avait joué en tournée durant huit mois avec Ferguson, participant notamment à l’enregistrement de l’album live A Night at Birdland. Après avoir joué brièvement avec le tromboniste Slide Hampton, Zawinul avait accompagné la chanteuse Dinah Washington durant trois ans (1959 à 1961), ce qui lui avait permis de se familiariser avec le blues et de collaborer à l’enregistrement de l’album à succès “What A Diff’rence a Day Makes!” Washington voyageant souvent en tournée avec Ray Charles, Zawinul utilisait souvent le piano électrique Wurlitzer de ce dernier lorsque le piano acoustique des salles dans lesquels il était appelé à jouer n’était pas en parfait état. C’était la première fois de sa carrière que Zawinul se servait d’un piano électrique, mais ce ne serait sûrement pas la dernière. Mais même s’il avait apprécié de jouer avec Washington, accompagner une chanteuse n’était pas vraiment l’objectif de Zawinul dans la vie. Le rêve de Zawinul était de devenir un musicien de jazz à part entière, et il savait que pour réaliser son ambition, il devait passer à autre chose. Après avoir quitté Washington, Zawinul était parti brièvement en tournée avec Harry ‘’Sweets’’ Edison et Joe Williams.
À l’automne 1961, Zawinul avait finalement été invité à se joindre au quintet de Cannonball Adderley, qui était alors un des groupes les plus renommés du jazz. En 1961, Zawinul avait inauguré une collaboration de neuf ans avec Adderley, dont le style de jeu était très influencé par le soul et d’autres formes de musique afro-américaine. Adderley, après avoir remarqué la facilité avec laquelle Zawinul était capable d’absorber ces styles de musique, l’avait encouragé à composer. Devenu progressivement le principal compositeur du groupe, Zawinul, qui avait écrit le grand succès de 1966 “Mercy, Mercy, Mercy” ainsi que d’autres pièces à succès du saxophoniste comme ‘’Walk Tall" et "Country Preacher". C’est à la même époque que Zawinul s’était lié d’amitié avec le pianiste Herbie Hancock. Saluant la remarquable habileté de Zawinul à saisir l’esprit du peuple afro-américain, Hancock avait déclaré plus tard au sujet de Zawinul: "For a white Viennese boy to write a tune that's that black is pretty remarkable. He just captured the essence of the African-American heritage, just the statement of melody and feeling of that song. Clearly, in some past life, Joe must've been black."
Zawinul avait également composé pour Adderley des pièces plutôt innovatrices comme “74 Miles Away” et “Rumpelstiltskin”. En tout et pour tout tout, Adderley avait enregistré une cinquantaine de compositions de Zawinul.
Durant cette période, Zawinul avait également trouvé le temps d’enregistrer deux albums comme leader, Money In the Pocket (1966) et The Rise and Fall Of The Third Stream (1967).
Le solo de Zawinul sur “Mercy, Mercy, Mercy” représentait une des premières utilisations du piano électrique dans un enregistrement de jazz. Zawinul avait écrit la pièce lors de sa collaboration avec la chanteuse de gospel Esther Marrow. Peu avant la session d’enregistrement, Zawinul avait repéré un piano électrique Wurlitzer dans le studio et avait demandé à Adderley s’il pourrait l’utiliser de préférence à un piano acoustique, car il était convaincu que ce changement permettrait de connaître un grand succès. Le flair de Zawinul avait porté fruit, et la pièce s’était hissée à la onzième position du palmarès Billboard. Parallèlement à son séjour avec le groupe d’Adderley, Zawinul avait également accompagné d’autres grands noms du jazz comme le saxophoniste Ben Webster.
Les groupes multi-raciaux n’étant pas encore très nombreux dans le jazz à l’époque, Zawinul devait souvent s’allonger sur le plancher de l’autobus lorsqu’il voyageait en tournée avec le groupe d’Adderley dans les États du Sud. Comme Zawinul l’avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée en 1997, ‘'I often had to sit in the bottom of the car when we drove through certain parts of the South.’’ Mais, malgré tous ces obtacles, Zawinul avait refusé de se laisser intimider et n’avait jamais abandonné son rêve de devenir un musicien de jazz respecté. Il avait ajouté: ‘’Those kinds of things never fazed me; I wanted to play music with the best, and I could play on that level with the best.''
La collaboration de Zawinul avec Adderley avait été significative tant sur le plan musical que personnel. Les membres du groupe d’Adderley passaient énormément de temps ensemble lors des tournées, ce qui leur avait permis de développer de solides amitiés. Comme Zawinul l’avait raconté plus tard, “He was family. He was my best man, my witness, when I got married. He bought bicycles for my kids. He was a great friend. He was like a brother to me.” Des années après la mort d’Adderley en 1975, il était toujours très présent dans la vie de Zaminul. Comme Zawinul l’avait précisé en 2004: “I miss him every day. My wife and I, we talk about him somehow every day.”
Même s’il avait remporté énormément de succès comme musicien, Zawinul craignait d’être considéré comme un simple imitateur du style des autres plutôt qu’un véritable créateur. Les choses avaient atteint un point de rupture lorsque le pianiste Barry Harris lui avait fait remarquer que le son style de jeu ressemblait à s’y méprendre au sien. Flatté au début, Zawinul avait finalement décidé de ranger sa collection de disques de jazz dans une boîte afin de pouvoir prendre une nouvelle direction. En 1966, Zawinul avait pris de nouveaux cours de piano classique avec Raymond Leventhal. Après sept mois de cours, Leventhal avait déclaré qu’il n’avait plus rien à apprendre à Zawinul et lui avait offert un clavier de pratique en cadeau.
À la fin des années 1960, après s’être marié à Maxine, le premier mannequin afro-américain de l’histoire du magazine Playboy, avec qui il avait eu trois enfants, Zawinul avait reçu une offre tentante du producteur Norman Granz, qui lui aurait permis de réaliser son vieux rêve de jouer avec Ella Fitzgerald. Granz avait proposé à Zawinul un salaire de 1400$ par semaine, ce qui représentait une augmentation de 300$ comparativement à ce qu’il gagnait avec Adderley. Mais à l’époque, Zawinul avait déjà commencé à suivre les traces de Miles Davis et tentait de réaliser une sorte de fusion du rock et du jazz, ce qui lui avait enfin permis de trouver son propre son. Après avoir demandé cinq minutes à Granz pour réfléchir, Zawinul était allé consulter son épouse Maxine qui avait répondu: “No. You do what you have to do. I can make do with $300 and I have time to wait until you have your thing.” Zawinul, qui adorait sa femme, lui avait un jour fait le plus beau compliment qu’un homme pouvait faire à son épouse en déclarant : "I have a great wife. And I believe it takes a great wife to become a great man."
Zawinul avait donc décliné l’offre de Granz et avait commencé à travailler sur une nouvelle série de compositions qui témoignaient de son intérêt pour le jazz-fusion. Quant à Davis, il avait été tellement impressionné par le solo de Zawinul sur la pièce “Mercy, Mercy, Mercy” qu’il allait souvent le voir jouer avec le groupe d’Adderley. Il lui avait même proposé de se joindre à son propre groupe. Lorsque Zawinul avait refusé, Davis avait demandé à son pianiste Herbie Hancock de laisser tomber le piano acoustique en faveur du piano électrique. Fasciné par les compositions de Zawinul, Davis avait également invité ce dernier à participer aux sessions qui allaient donner naissance à l’album In A Silent Way (1960), d’après le titre de la composition du même nom de Zawinul. Au cours de l’année suivante, Zawinul avait continué d’enregistrer avec Davis à de nombreuses reprises. D’autres compositions de Zawinul, dont ‘’Pharaoh's Dance” et “Double Image”, avaient aussi été incluses sur des albums de Davis comme Bitches Brew (1970), Live–Evil (1971) et Big Fun (1974).
Zawinul avait d’ailleurs lui-même fait des apparitions sur ces trois albums même s’il ne s’était jamais joint officiellement au groupe de Davis. Lorsque Zawinul avait publié son premier album solo simplement intitulé ‘’Zawinul’’ en 1970, il avait décliné la proposition de Davis de participer à l’enregistrement sous prétexte que la présence du trompettiste ne pouvait que lui faire de l’ombre. Zawinul avait répondu à Davis: "If you're on the record, your presence will be so powerful I cannot find out what I am worth."
Finalement, Davis avait rédigé les notes de pochette de l’album qui avait été décrit par un critique du magazine Down Beat comme ‘’the work of a complete musician who has transcended categories and is certain to have a profound influence on the direction music will take in the ‘70s.” Zawinul avait joué en public avec Davis seulement une fois, peu avant la mort du trompettiste. Le concert avait eu lieu à Paris le 10 juillet 1991. Wayne Shorter participait également au concert.
WEATHER REPORT
À l’époque de sa collaboration avec Miles Davis, le principal saxophoniste du groupe était Wayne Shorter, que Zawinul connaissait depuis sa collaboration avec le trompettiste Maynard Ferguson en 1959. C’est à cette époque que Zawinul et Shorter avaient commencé à parler de la fondation d’un éventuel groupe. Le contrebassiste d’origine tchèque Miroslav Vitous était également impliqué dans le projet. Zawinul avait expliqué plus tard qu’il envisageait de former un groupe aver Shorter depuis qu’il l’avait entendu jouer sur l’album Nefertiti de Miles Davis en 1968.
Connu sous le nom de Weather Report, le groupe avait été officiellement fondé en décembre 1970 et avait enregistré son premier album éponyme l’année suivante. Très influencée par l’Afrique, l’Amérique latine et le Moyen-Orient, la musique du groupe avait été décrite par Jonathan Herrera du magazine Bass Player comme "a free jazz experiment, a world music pioneer, a jazz-pop blockbuster, and a seriously grooving funk band." Sous contrat avec les disques Columbia, le groupe avait remporté un grand succès dès le départ tant auprès des amateurs de jazz que de la critique, même si l’importance accordée aux instruments électroniques avait irrité certain puristes. Décrivant le premier album du groupe, le critique Dan Morgenstern écrivait dans le magazine Down Beat: ‘’The music of Weather Report is beyond category… music unlike any other I’ve heard, music that is very contemporary but also very warm, very human, and very beautiful… The forecast, if there is justice, must be clear skies and sunny days for these four creative men and their associates.” Rapidement devenu le plus populaire groupe de jazz de son époque, Weather Report avait remporté tous les sondages des lecteurs du magazine Down Beat comme meilleur groupe de jazz durant chacune de ses années d’existence (1970 à 1985).
Il faut dire que le groupe était arrivé au bon moment. À l’époque, les progrès technologiques de l’époque avaient grandement favorisé le développement du groupe, notamment en réduisant la taille de synthétiseurs qui étaient devenus plus faciles à transporter, ce qui les avaient rendus accessibles au plus grand nombre, permettant ainsi de les utiliser dans les sessions d’enregistrement et les performances sur scène.
Zawinul avait acquis son premier synthétiseur en 1971, un Arp 2600 qui lui avait été offert par le fabricant de synthétiseurs Arp afin d’augmenter la crédibilité de la compagnie face à la compétition de son puissant compétiteur Moog Music. Zawinul avait utilisé le Arp 2600 pour la première fois sur le second album du groupe intitulé I Sing the Body Electric, un enregistrement d’un concert au Japon en 1972. Une des pièces de l’album était une composition ambitieuse de Zawinul appelée “Unknown Soldier’’, qui relatait sa jeunesse en Autriche durant la Seconde Guerre mondiale. À l’époque, le rôle du synthétiseur Arp était encore très réduit , et se limitait à produire certains effets sonores. Fasciné par la nouvelle technologie, Zawinul avait commencé à enregistrer ses improvisations sur cassette (et plus tard sur MIDI dans son propre studio maison que son épouse avait surnommé “the Music Room”), qu’il utilisait par la suite comme base de ses compositions (comme sur les pièces “Nubian Sundance” et “Jungle Book” tirées de l’album Mysterious Traveler) ou transcrivait note par note afin que le groupe puisse les exécuter de la façon dont il les avait écrites à l’origine. Zawinul avait utilisé cette méthode tout au long de sa carrière. Décrivant son style de composition, Zawinul avait expliqué: “It is all improvisation. All my tunes are improvisations. I’m a formal improviser. Even my symphony I improvised.”
Au cours de ses deux premières années d’existence, le groupe s’était surtout fait connaître par la qualité de ses improvisations. Même si au début le groupe jouait une musique très apparentée à celle de Miles Davis (mais avec une sonorité un peu plus rock), il avait rapidement commencé à bâtir son propre son.
À partir de la publication de l’album Sweetnighter en 1973, le rôle de Zawinul avec le groupe était devenu de plus en plus important. Après être passé progressivement du piano électrique au synthétiseur, Zawinul avait commencé à exploiter pleinement le potentiel d’un instrument qui avait été jusque-là la chasse-gardée de la musique pop. Il avait aussi ajouté des éléments funk en ajoutant des instruments comme la basse électrique et la pédale wah-wah, ce qui avait permis d’introduire de nouvelles couleurs dans le son du groupe. L’ajout d’un bassiste et d’un batteur spécialisés dans le funk avaient également contribué à atteindre cet objectif.
À la suite de la parution du quatrième album du groupe, Mysterious Traveller, en 1974, le virage du groupe vers une sonorité plus funk s’était encore accentué. L’ajout d’éléments inspirés par la musique classique avait également ajouté de nouvelles couleurs sonores. L’addition du bassiste Alphonso Johnson avait aussi favorisé la transition du groupe vers un son qui intégrait des éléments de jazz et de rock de façon très originale. La combinaison des harmonies du jazz et des éléments funk des années 1970 avait également aidé le groupe à connaître sa période la plus lucrative sur le plan commercial. Pour l’album Black Market en 1976, Zawinul avait recruté le phénomène de la basse électrique Jaco Pastorius. Très sûr de ses moyens, Pastorius s’était présenté lui-même à Zawinul comme “the world’s greatest bass player.” Même s’il est toujours considéré de nos jour comme le plus grand innovateur de l’histoire de la basse électrique, Pastorius avait de nombreux problèmes personnels qui l’avaient éventuellement conduit à sa perte.
Avec Pastorius dans l’alignement, Weather Report avait connu le plus grand succès de sa carrière avec l’album Heavy Weather (1977), qui comprenait la plus célèbre composition de Zawinul, ‘’Birdland’’, écrite en hommage au club du même nom sur la 52e rue de New York. La pièce avait remporté un si grand succès qu’elle s’était hissée jusqu’à la 30e position du palmarès Billboard. Le groupe vocal Manhattan Transfer avait par la suite ajouté des paroles sur la pièce, ce qui avait encore accru sa popularité. Zawinul a d’ailleurs ouvert son propre club Birdland dans sa ville natale de Vienne en Autriche en 2004.
Devenue une des compositions de jazz les plus connues des années 1970, la pièce avait permis à Zawinul de remporter trois prix Grammy et avait été reprise par la suite par de nombreux artistes dont Quincy Jones, Maynard Ferguson, le big band de Buddy Rich et même le groupe rock Jefferson Starship. Décrivant l’album Heavy Weather en 2001 dans le cadre de sa rétrospective de l’histoire du groupe, le critique Jossef Woodard écrivait dans le magazine Down Beat: “In 2000, Heavy Weather still sounds like a milestone in the cultural unconscious of jazz history. By some accounts, the album is the crowning achievement of the band’s recorded output, and therefore, by extension, a towering landmark of fusion.”
L’alignement du groupe ayant souvent fluctué avec les années, Zawinul et Shorter étaient progressivement devenus les deux principaux piliers de la formation. Considérés comme de véritables happenings, les concerts du groupe, tels qu’on peut le constater sur l’album live 8:30 (1979), étaient souvent imprévisibles. Les albums I Sing the Body Electric (1971), Mysterious Traveller (1974) et Night Passage (1980) avaient aussi été très populaires sur la radio FM et auprès des amateurs de jazz, de rhythm & blues et de musique pop.
DERNIÈRES ANNÉES
Même si Weather Report avait continué de publier régulièrement des albums au milieu des années 1980, Zawinul et Shorter avaient commencé à s’orienter vers de nouvelles directions musicales après la publication de l’album Sportin' Life en 1984. Zawinul et Shorter se préparaient à mettre fin aux activités du groupe lorsqu’ils s’étaient aperçus qu’il leur restait encore un album à livrer sur leur contrat avec CBS. Le groupe avait finalement été démantelé en 1985 après la publication de l’album This Is This! Le groupe avait publié quinze albums au cours de son histoire, dont le double album live 8:30 qui avait remporté un prix Grammy en 1979.
Après la dissolution du groupe, Zawinul, qui avait commencé à s’intéresser de plus en plus aux musiques du monde, s’était consacré à certains projets personnels qu’il avait longtemps dû remettre à plus tard en raison de son emploi du temps plutôt chargé avec Weather Report. En 1986, Zawinul avait publié son premier album comme leader en quinze ans, Dialects, qu’il avait enregistré pratiquement seul dans son studio-maison de Pasadena, en Californie. Le chanteur virtuose Bobby McFerrin avait également participé à l’album. Dans le cadre de ses albums solo, Zawinul avait continué d’explorer les énormes possibilités des synthétiseurs. Zawinul avait également fait équipe avec son vieil ami, le grand pianiste classisque Friedrich Gulda dans le cadre d’une série de performances en duo. Il avait aussi fait une tournée avec le percussionniste indien Trilok Gurtu.
En 1988, Zawinul avait fondé un nouveau groupe, le Zawinul Syndicate, une formation qui était très influencée par les musiques du monde, et plus particulièrement par la musique autochtone, africaine, asiatique et latino-américaine. Le groupe avait également fait de nombreuses tournées. C’était une période difficile pour le jazz, qui était en train de se redéfinir. Comme l’écrivait le critique John L. Walters, "jazz was about to enter an acoustic neo-classical phase that has dominated the genre for nearly two decades {…} a whole turbulent era seemed to be shutting down."
Un peu comme avec Weather Group, l’alignement du nouveau groupe de Zawinul avait connu de nombreux changements de personnel. Zawinul avait expliqué plus tard qu’il avait appelé le groupe ‘’syndicate’’ parce qu’il ressemblait davantage à une véritable famille qu’à un simple groupe. Zawinul avait déclaré: “When you are in the Syndicate, you are not just in a band, you are in a family.” La première édition du groupe, qui comprenait Gerald Veasley à la basse et Scott Henderson à la guitare, avait enregistré trois albums: The Immigrants (1988), Black Water (1989) et Lost Tribes (1992).
Les membres du groupe provenaient souvent de pays non occidentaux, ce qui réflétait l’intérêt croissant de Zawinul pour la musique d’autres continents. L’influence s’était d’ailleurs faite dans les deux sens. Un jour, Zawinul avait découvert que le pièce “Black Market” de Weather Report avait été utilisée comme musique-thème par Radio Dakar au Sénégal durant vingt ans. Il expliquait: “‘Black Market’ was for 20 years the theme song of the Radio Dakaur jazz hour. They grew up with ‘Black Market,’ ‘Nubian Sundance’ from Mysterious Traveller, all the Weather Report songs.”
Les événements n’avaient pas tardé à se précipiter. En 1991, Zawinul avait produit l’album Amen du célèbre chanteur malien Salif Keita, connu sous le nom de ‘’the Golden Voice of Africa.’’ Wayne Shorter et Carlos Santana participaient également à l’enregistrement. L’album, qui était devenu l’album de world music le plus vendu en 1991, avait éventuellement obtenu une nomination au gala des prix Grammy. Excellent résumé de la carrière de Zawinul, l’album avait été décrit ainsi par le principal intéressé: “I improvised the arrangements from the lead tracks that Salif sent, and then I went to Paris to rehearse it with the band. They loved the music immediately. We had so much fun. That was, for me, the most personal and nicest experience of all the records I’ve made. They were the kindest, the most open people. And I was struck by how well they played the rhythms, because I put my own things in there.’’ Keita avait éventuellement retourné la politesse à Zawinul en participant en 1996 à l’enregistrement de l’album My People, qui comprenait comme musiciens invités le percusionniste arménien Arto Tuncboyaciyan, le Turc Burhan Ocal, le Camerounais Richard Bona et des choristes originaires du Pérou, de la Guinée et de la Côte d’Ivoire.
Par la suite, Zawinul avait recruté des musiciens aux origines aussi diversifiées que les percussionnistes Manolo Badrena et Bobby Thomas Jr., les guitaristes Amit Chatterjee, Gary Poulson et Scott Henderson, les bassistes Linley Marthe, Victor Bailey et Richard Bona, les batteurs Paco Sery et Nathaniel Townsley, et les vocalistes Thania Sanchez et Sabine Kabongo. L’univers de la World Music, qui mettait en vedette différents styles de musique ethnique combinés avec des textures électroniques plutôt complexes, en était alors à ses débuts et Zawinul était à l’avant-garde de ce mouvement, car il avait continué d’expérimenter en tentant de fusionner la musique de différentes cultures.
Parallèlement à son travail avec le groupe, Zawinul avait continué d’être actif dans différents contextes musicaux. À la fin des années 1980 et au début des années 1990, Zawinul s’était produit avec son vieil ami le pianiste classique Friedrich Gulda. Il était aussi retourné vers la musique classique sur une vaste échelle avec la composition symphonique Stories of the Danube en 1993. L’oeuvre était une commande du festival de Brucknerhaus, de Linz, en Autriche. La composition avait été d’abord présentée lors du spectacle d’ouverture du festival en 1993. Oeuvre en six mouvements, la symphonie d’une durée de 63 minutes évoquait le parcours du Danube à travers différents pays et différentes périodes historiques. Enregistrée en 1995 par le Czech State Philharmonic Orchestra de Brno sous la direction de Caspar Richter, la pièce avait été publiée sous forme de CD l’année suivante. L’oeuvre comprenait également une version de la pièce "Unknown Soldier" tirée de l’album I Sing the Body Electric (1972).
En 1994, Zawinul s’était installé à New York, ce qui l’avait contraint à faire de nombreux voyages-éclair en Europe, où il avait conservé de précieux contacts musicaux durant toute sa carrière aux États-Unis. En 1996, Zawinul et son groupe avaient enregistré My People, un album qui avait nécessité plusieurs années de travail et dans lequel Zawinul avait continué de démontrer une remarquable capacité à fusionner ses propres sensibilités musicales avec celles d’autres cultures. Conssidéré comme un des points culminants de la carrière de Zawinul, l’album avait marqué le début sur disque de la nouvelle édition du groupe. Lorsque Richard Bona était devenu le bassiste du groupe en 1997, l’intensité de la formation avait atteint un autre niveau, ce qui avait donné lieu à la publication du double album live World Tour, qui avait également obtenu une nomination au gala des prix Grammy.
Parallèlement à sa collaboration avec le groupe, Zawinul avait continué de travailler sur plussieurs de ses projets personnels. En 1998, il avait notamment été chargé de composer un mémorial musical en hommage aux victimes de la Shoah. Zawinul avait même interprété l’oeuvre lui-même sur la site de l’ancien camp de concentration de Mauthausen dans le cadre du 60e anniversaire de sa construction près de Linz, en Autriche.
Au début des années 2000, Zawinul avait publié d’autres albums solo comme Faces & Places (2002), Midnight Jam (2005) et Brown Street (2007). En 2006, Zawinul avait collaboré avec Vince Mendoza et le WDR Big Band dans le cadre d’une série de performances dans lesquelles il avait revisité les grands classiques du répertoire de Weather Report. La tournée avait éventuellement donné lieu à la publication d’un CD double intitulé Brown Street. L’album avait été enregistré au club Birdland de Vienne.
Le dernier album de Zawinul, 75, avait été enregistré en concert en juillet 2007 à Luzano, en Suisse, à l’occasion de son 75e anniversaire de naissance.
Zawinul complétait une tournée de cinq semaines avec son groupe en 2007 dans le cadre du 20e anniversaire de la formation lorsqu’il avait dû être hospitalisé le 7 août au Wilhelmina Hospital de Vienne. Atteint du carcinome Merkel, une forme plutôt rare du cancer de la peau, Zawinul est décédé dans ce même hôpital le 11 septembre. Il était âgé de soixante-quinze ans. Les cendres de Zawinul ont été enterrées au Vienna Central Cemetery. L’épouse de Zawinul, Maxine, étant décédée un peu plus tôt la même année, ils laissaient comme seuls descendants leurs fils Erich, Ivan et Anthony.
Le Zawinul Syndicate avait présenté son dernier concert à Güssing, en Autriche, le 3 août, six semaines avant la mort de Zawinul.
Considéré comme un des rares prophètes musicaux du 20e siècle, Zawinul avait joué un grand rôle dans la naissance et le développement du jazz-fusion au début des années 1970. Il avait également contribué à faire connaître le jazz auprès d’un nouveau public traditionnellement peu friand de ce genre musical. Pionnier de l’utilisation des instruments électroniques, Zawinul avait été un des musiciens et compositeurs de jazz les plus influents du 20e siècle. Saluant les talents d’innovateur de Zawinul, le critique John L. Walters écrivait: “Many current forms of music, and the myriad sounds, samples and beats that inform them, were influenced or predicted by Zawinul, the grand old man of electronic world jazz fusion.”
Zawinul, qui avait toujours eu un style très personnel, avait inspiré le commentaire suivant à son fils Anthony après sa mort: “My dad raised the bar in the music world as a true artist to his profession. As a bandleader, he was able to pull out performances from his bandmates and take them to heights they never knew existed. He never compromised his art. You either liked it or you didn’t. One thing is for sure, though, you always knew it was Joe Zawinul.” En 2013, Anthony a fondé la Zawinul Foundation for Achievement afin d’honorer la mémoire de son père et d’encourager la carrière de jeunes musiciens prometteurs.
Même s’il n’avait jamais terminé ses études au Berklee College of Music, l’institution lui avait décerné un doctorat honorifique en musique en 1991. Dans le cadre de la cérémonie, Zawinul s’était produit sur scène aux côtés de Matthew Garrison, Torsten de Winkel, Abe Laboriel Jr. et Melvin Butler. Zawinul avait remporté de nombreux autres prix au cours de sa carrière, dont le Hans Koller Austrian State Prize (2000), le Ring of Honor (accordé par la Ville de Vienne en 2002), le premier International Jazz Award (décerné conjointement par la Jazz Festival Organization et la International Association of Jazz Educators en 2002), le North Sea Jazz Festival Bird Award (2002), le Montreal Jazz Festival Miles Davis Award (2003) et la Silver Medal for Meritorious Service to the Republic of Austria (2003). Zawinul a aussi remporté le Amadeus Austrian Music Award à deux reprises.
Zawinul est également récipiendaire de doctorats honorifiques du Three Town College de New York et de l’Academy of Music de Graz, en Autriche. Le Service autrichien des Postes a aussi émis un timbre spécial en l’honneur de Zawinul en 2004.
En 2006, les disques Sony ont publié un coffret de trois CD intitulé Weather Report—Forecast: Tomorrow, une compilation qui retrace la carrière du groupe de 1971 à 1985. Le coffret comprend également du matériel inédit ainsi qu’un DVD documentant un concert du groupe en 1978.
Le percussionniste Alex Acuna, qui avait fait partie du groupe Weather Report lors de ses premières années d’existence, avait déclaré que Zawinul et Shorter avaient une vision très précise de la direction qu’ils désiraient donner à leur musique. Acuna avait précisé: "The vision was to make a band that makes music with all the sounds that the world generates.’’ Même s’il avait quitté le groupe, Acuna était toujours resté proche de Zawinul. Il avait même été membre de son dernier groupe, le Joe Zawinul Syndicate. Acuna avait ajouté que Zawinul était un grand amateur de sports, et plus particulièrement de boxe. Même si Zawinul avait la réputation d’avoir un caractère un peu tranchant, il était toujours honnête, sincère et très intègre.
Sur le plan musical, Zawinul détestait se répéter et cherchait continuellement à innover. Zawinul avait également été un des premiers pianistes de jazz avec Chick Corea et Herbie Hancock à utiliser le piano électrique et les premiers synthétiseurs (sur l’album Sweetnighter en 1973). Après avoir joué du piano électrique Wurlitzer, Zawinul était passé au clavier Fender-Rhodes, à qui il avait ajouté une pédale wah-wah puis un effet Mutron avec d’obtenir une sonorité plus complexe. La créativité et le souci du détail de Zawinul avait permis de concevoir un son plus contemporain et plus moderne. Zawinul avait aussi joué du kalimba sur les albums de Weather Report, Mysterious Traveller et Mr. Gone.
Plusieurs artistes ont rendu hommage à Zawinul après sa mort, dont Brian Eno (sur la pièce “Zawinul/Lava”), John McLaughlin (“Jozy”), Warren Cuccurullo (“Hey Zawinul”), Bob Baldwin (“Joe Zawinul”), Chucho Valdes (‘’Zawinul’s Mambo’’) et Biréli Lagrène (“Josef”).
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SOURCES:
‘’Joe Zawinul.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Joe Zawinul.’’ Wikipedia, 2023.
WALTERS, John L. ‘’Obituary: Joe Zawinul.’’ The Guardian, 13 septembre 2007.
WAS, David. ‘’A Look at the Life and Work of Joe Zawinul.’’ NPR, 12 septembre 2007.
‘’Zawinul, Joe.’’ Encyclopedia.com, 2023.
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Qu’est ce que vous trouvez à melechon ? Et qu’est ce que vous pouvez critiquer chez lui ? (Ce n’est pas une critique, c’est juste que je suis jeune et que je ne connais pas bien son parcours) qu’est-ce qui fait de lui un grand homme politique ? Merciii
C'est difficile de décrire ce que je pense de Mélenchon sans parler aussi de la dimension émotions plus personnelle 😅 Est-ce que tu étais assez grande en 2012 pour suivre la campagne ?
J'avais 17 ans, mes parents avaient voté Arlette Laguiller toute ma vie sans jamais militer et sans vraiment y croire, ma seule éducation politique c'était mon expérience personnelle de fille d'immigré pauvre et les discussions très générales de ma famille. Quand on a allumé la télé ce printemps là et qu'on a écouté Mélenchon parler avec autant de conviction de ce que pourraient être nos vies, ça a été une révélation. Il y avait quelqu'un, quelqu'un qui était même parfois pris au sérieux, qui dénonçait ce que je haïssais et proposait de le changer. Qui le disait avec passion, sans faire les simagrées du PS, sans refuser de prendre position, en argumentant rigoureusement, parfois avec des références à des livres que je pouvais lire, souvent sans insulter l'intelligence de son public, en faisant des liens que d'autres avaient sans doute fait avant mais jamais là où je pouvais les entendre. J'avais toujours connu la gauche faiblarde, traîtresse, dont on ne pouvait attendre qu'un sursis. Pour moi c'était vote "utile" pour le PS et affiliés, ou vote complètement inutile mais cohérent pour l'extrême-gauche, sans autre possibilité, sans espoir. Et là il y avait autre chose. C'est pas par conviction que l'autre flanby a balbutié son fameux "mon véritable adversaire, c'est la finance" - c'est parce que l'aile gauche de la gauche lui soufflait dans le cou. J'ai entrevu autre chose pour la première fois, et un autre chose qui semblait même assez directement atteignable. J'ai imprimé des tracts en douce avec l'imprimante familiale et séché des cours pour les distribuer - gros acte de rébellion pour moi à l'époque. J'étais sûre que ça allait arriver, en 2012 ou la fois d'après, ça ne pouvait qu'arriver.
Je ne vais pas faire semblant que tout ça n'influence pas mon opinion de Mélenchon. Évidemment que ce souvenir m'encourage toujours à être un peu plus indulgente.
Mais je crois aussi sincèrement que le projet qu'il défend est un projet qui nous rapprocherait d'un monde plus juste.
Impossible de séparer Mélenchon du LFI, alors parlons de ça. Je ne vais pas refaire le programme, mais c'est le seul qui propose une alternative avec un plan d'action concret et plus ou moins immédiat. Et j'ai peut-être tort mais, si LFI ne propose pas en soi de sortir du capitalisme, j'ai toujours pensé que sortir du capitalisme serait plus facile avec le modèle que propose LFI qu'avec le modèle actuel. J'ai parfois même encore la naïveté de penser que c'est le but final, juste à horizon très lointain.
Toutes les critiques que je pourrais faire sur Mélenchon ou LFI, je peux les faire sur la plupart des autres personnalités et partis politiques.
Je trouve leur ligne sur les droits des femmes très faible (mon plus gros problème ; malheureusement pas plus faible qu'ailleurs), j'aimerais qu'ils se battent ouvertement pour la mise à mort du capitalisme (comme je le disais, certaines de leurs positions me laissent penser qu'ils n'y sont pas opposés, mais si c'est le cas il faut être plus clair, et si ce n'est pas le cas c'est une déception ; mais là encore, à moins de regarder vers l'extrême-gauche, ils remettent plus en cause le système capitaliste que les autres partis), et je pense qu'ils passent un peu trop de temps sur certains sujets qui n'ont pas lieu d'être ou qui n'aident pas sur un plan purement stratégique (mais c'est aussi le climat actuel qui veut ça).
En ce qui concerne Mélenchon lui-même, il s'emporte parfois trop. C'est la principale critique qu'on peut lui faire, et qui lui est faite d'ailleurs à longueur de journée. Mais est-ce que c'est le plus important ? Lors de ses interventions, il est la plupart du temps posé malgré les interruptions intempestives et la mauvaise foi chronique de ses interlocuteurs. N'importe qui finirait par s'énerver !
Quant à ses "phrases polémiques", que dire ? On lui a récemment reproché d'avoir dit que l'antisémitisme est résiduel en France. Sans rentrer dans le commentaire de texte, les mots qu'il a employés exactement sont "l'antisémitisme reste résiduel". "Reste" ; or il n'a jamais, à ma connaissance, nié l'Holocauste, donc le sens le plus probable de "résiduel" ici est bien "qui persiste de quelque chose en dépit de tentatives faites pour l'éliminer". Étant donné l'autre sens du mot et la malhonnêteté ambiante, il aurait dû choisir un autre mot, mais de là à utiliser cette phrase comme preuve d'un antisémitisme débridé... On sait tous de toute façon que le problème ici ce n'est pas un quelconque antisémitisme à gauche, mais le refus de LFI de soutenir à 100% le génocide qu'Israël mène contre les Palestiniens.
La vérité c'est que même les sorties les plus stupides de Mélenchon passeraient inaperçues dans la bouche d'une autre personnalité politique. Le problème ce n'est pas vraiment ce qu'il dit, ou comment il le dit, mais c'est qu'il est le chef de file du parti qui a le plus de chances d'ébranler la dictature de la bourgeoisie en France. S'il se retirait, la prochaine tête de liste serait accueillie exactement de la même manière.
Ni LFI ni Mélenchon lui-même ne sont parfaits, mais si l'on admet qu'ils sont généralement de bonne foi, pourquoi ne pas essayer de les pousser à mieux au lieu de tout condamner ? Ils ont déjà changé d'avis sur certains sujets, ils peuvent le faire encore. Il y a des différences entre le monde qu'ils dessinent et celui que je désire, mais ils ne sont pas si incompatibles qu'il faille tout balayer.
Bref, je n'aime pas trop parler de "grand homme politique" pour plein de raisons (ça a aucun sens, on y met tout et rien, etc.), mais on peut lui reconnaître qu'il n'a pas vacillé malgré un acharnement politique et médiatique de plus en plus intolérable, qu'il a redonné de l'espoir à une grande partie des électeurs de gauche qui ne croyaient plus (2012, j'étais loin d'être la seule, et après la catastrophe Hollande encore plus), et qu'il est vraiment très bon orateur.
#après si tu veux son parcours politique c'est grand admirateur de mitterrand au ps (😔) > alliance pcf (avant la saucisse roussel 😔) > lfi#il a beaucoup évolué sur plein de questions et dans l'ensemble pas en se droitisant comme le reste de ces clowns#donc ça aussi c'est un point positif pour moi#(il me semble qu'il est tjrs fan de mitterrand malheureusement mais bon. je choisis de pardonner ce méfait aujourd'hui)#je mets de côté l'extrême-gauche parce qu'ils ont jamais eu aucune chance aux élections+c'est mm pas leur but premier+leur programme est svt#pas assez concret pour que ça donne qqch immédiatement ou en tt cas pour qu'on puisse facilement imaginer sa mise en oeuvre#pr moi l'extrême-gauche c'est les idéaux et lfi c'est une marche vers ces idéaux. encore une fois c'est mon avis naïf lol#ça aide aussi que j'attende rien d'autre que le moins pire de la part des politiciens en ce qui concerne les femmes... :/#french side of tumblr#upthebaguette#mine
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Dos aux images (fragment)
J’écris en tournant le dos aux images. Si je les avais tout le temps sous les yeux, je ne pourrais pas écrire. Et puis, si elles constituent mon environnement immédiat, elles n’entrent pas pour autant directement dans le processus d’écriture. Concrètement, dans la pièce où j’écris, j’ai disposé deux portes sur tréteaux qui m’offrent ainsi un vaste bureau, sur lequel se déposent assez vite livres, cahiers, papiers imprimés, feuilles volantes, phrases recopiées à la main, images découpées, cartons d’invitation, crayons, feutres, stylos… tout un petit bazar dont j’ai besoin pour me sentir chez moi – mon lieu de vie devenant lieu de travail. Cette grande table trônant en plein milieu de la pièce, on peut en faire le tour, elle est décollée du mur où j’ai aimanté une constellation d’images découpées dans la presse, d’images photocopiées – couleur et noir et blanc – d’œuvres d’art qui m’accompagnent depuis longtemps. Un grand nombre représentent des espaces conçus par des artistes : des vues d’installations in situ se mêlent à d’autres, prélevées dans le livre de Bernard Rudofsky – Architecture sans architectes – que j’avais dégoté chez un bouquiniste lorsque j’étais étudiant, en même temps que celui de Georges Perec – Espèces d’espaces. À la question posée par Breton « Qu’est-ce que ton atelier ? », Giacometti répondait : « Ce sont deux petits pieds qui marchent. » Ainsi, je ne cesse d’aller et de venir entre le plan horizontal de la table et le pan de mur sur lequel je déploie mon atlas d’images en mouvement. Mais au moment de commencer un texte, je me saisis plutôt d’une bribe de phrase qui me turlupine que d’une image qui me fait signe. En revanche, par le travail d’écriture, je cherche à construire un espace d’images, en ayant toujours présent à l’esprit l’abri sous roche d’époque magdalénienne qui était dans le fond de la grange de ma grand-mère, à Enval, où des fouilles avaient eu lieu à la fin des années soixante, où ont été prélevés des outils en silex, des objets de parure, des plaquettes gravées, le fragment d’une vénus miniature. Le livre en cours renvoie à cet espace matriciel : terrier, grotte ornée, cavité que l’on creuse dans son propre sous-sol. Reste à savoir si le livre achevé correspond à la chambre excavée, déblayée, mise au jour, ou bien alors au monticule de déblais apparu à la surface, quelques pas plus loin, trié, réagencé, matériau pour un nouvel édifice.
#francoisdurif#abridurif#abridurifàenval#abridurifàparis#espacematriciel#espècesdesspaces#atlaspersonnel
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