#coup de cœur littéraire
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La Reine du noir, Julia Bartz
Pour beaucoup, Roza Vallo est une autrice extraordinaire, qui a révolutionné la littérature. À seulement 16 ans, elle publie le cruel, trash et sensuel roman La Langue du Démon, et bouleverse des générations de lectrices. Depuis plusieurs années, elle vit recluse dans le domaine de Blackbriar, loin de tout… et pour la première fois, elle a décidé d’ouvrir ses portes, et de proposer à 5 talentueuses, jeunes et inconnues autrices un mois entier de retraite d’écriture. Quand elle est sélectionnée, Alex, éditrice et fan de Roza, n’en revient pas. Mais très vite, l’ambiance au manoir se fait tendue… surtout quand l’une des participantes disparaît.
J’ai ADORÉ. Pour un premier roman, c’est un presque sans faute ! Je suis rentrée dedans hyper facilement, et l’ambiance était tout de suite posée et maîtrisée : gothique, sombre, un peu macabre même, un huis-clos haletant et féministe. Je savais que ça allait me plaire, mais je ne savais pas que ça allait autant me plaire ! Le personnage d’Alex m’a un peu dérangée par moments, mais celui de Roza est GÉNIAL, et j’ai beaucoup apprécié la place centrale de l’écriture. J’ai envie de parler de ce livre à tout le monde ! La deuxième moitié du roman m’a passionnée, je ne pouvais plus le lâcher, je devais savoir où ça allait aller, comment ça allait se terminer. Un énorme, ÉNORME coup de cœur !
12/11/2023-26/11/2023
#livres#books#livre#book#littérature#littérature américaine#polar#éditions sonatine#la reine du noir#julia bartz#coup de cœur littéraire
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Ha le dernier Julia Deck dans la sélection pour le prix Décembre
#c'est mon coup de ❤ de la rentrée littéraire#bon c'est pas vraiment niche mais j'étais quand même déçue qu'elle ne soit nominnée pour rien#par contre mon autre coup de cœur 'les vérités parallèles'#de marie mangez personne n'en parle 🥲
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Aujourd'hui, on va parler de plagiat.
Au sens d’une définition pure, voici ce que le dictionnaire dit au sujet du plagiat.
Plagiat : acte de quelqu'un qui, dans le domaine artistique ou littéraire, donne pour sien ce qu'il a pris à l'œuvre d'un autre. Action de plagier, de copier l'œuvre de quelqu'un d'autre en la faisant passer pour sienne.
C’est quelque chose de malheureusement très répandu maintenant, il existe beaucoup de gens qui, sur les forums, se permettent de ne pas créditer les créations de ceux dont ils empruntent le travail pour la construction de leur forum, personnage, partenariat, etc. Cela vaut aussi bien pour le code que pour le graphisme car si les forums sont légions, les plagiats le sont tout autant.
Bien souvent, l’on oublie que derrière l’écran, il y a des gens qui donnent de leur temps personnel entre deux heures de travail ou à la fin d’une longue journée pour créer du contenu gratuit qui ne demande pas la moindre compensation pour être librement utilisé. Ces codes et ces graphismes-là sont en circulation depuis des années, qu’ils viennent de forums d’entraide qui réunissent tous ces créateurices, de Tumblr ou même de forums de libre-service qui en ont fait leur tête de proue. Il est également important de rappeler que si ces créations sont faites avec passion; que ça soit pour le code, le graphisme ou simplement l’envie de créer en général, ça ne rend pas moins légitime le vol de contenu. Au contraire, l’on prendra bien plus à cœur une création volée dont on y aura insufflé une certaine passion et un certain nombre d’heures.
Pourquoi plagier, c’est mal ?
Il y a, à mon sens, plusieurs façons de plagier et elles sont à différencier bien que menant à la même constatation.
Il y a tout d’abord ceux qui ne créditent tout simplement pas le travail emprunté, laissant ainsi penser que le travail est le leur. Le sujet de crédit n’existe pas, il n’y aucune mention de crédit ou que ce soit, qu’il n’ait pas été rajouté ou simplement retiré. C’est de l’appropriation pure et simple, c’est faire passer les créations volées comme siennes; alors que ça n’est pas le cas. Afficher un code après un simple copier/coller; afficher fièrement un avatar après un simple copier/coller ne fait pas de ces personnes-là les créateurices du contenu. Ça fait simplement d’eux des voleurs de contenu, des plagieurs.
Il y a également ceux qui créditent mais en leur propre nom, comme s’ils étaient les créateurs des codes empruntés. Ce sont des personnes qui se créditent en tant que créateurices pour avoir modifié quelques couleurs ou quelques tailles de texte; ce sont ces fameux “code modifié par : [PSEUDO]” sans aucune mention des créateurices de ce contenu. Ce sont des forums que l’on remarque tout de suite; car c’est quelque chose de tellement récurrent que c’est identifiable au premier coup d'œil.
Il y a ceux qui se permettent de réécrire un code tout entier, visuellement à l’identique, pour les en faire siens. C'est-à-dire qu’ils trouvent un code à leur goût, le reproduisent parfaitement ligne par ligne en changeant les balises et quelques couleurs pour ensuite s’auto-créditer. Il y a également ceux qui changent du tout au tout un code tout en gardant la structure de base identique ainsi que des éléments parfaitement identifiables par le ou la créatrice du contenu. Il en va de même tant pour les codes que les graphismes; un avatar reproduit à l’identique en changeant quelques placements ou couleurs ne rend pas caduc le plagiat pour autant.
Il y a, pour finir et c’est un avis personnel qui peut ou ne pas être populaire; ceux qui prennent un code en libre service, en changent toutes les balises tout en créditant la bonne personne. En soi, ça n’est pas si grave; le code est tout de même crédité me direz-vous, et puis quel mal cela peut faire de changer quelques balises que l’on ne remarquera qu’en y regardant de plus près ? Cela reste de l’appropriation de travail. Les IA sont basées sur ce principe, à voler du contenu déjà existant pour les réutiliser sous leur pâte. Si l’on reconnaît la base du travail volé, ça n’en reste pas moins un vol pour autant. Ce fait peut néanmoins porter à débat; si le crédit ou l’inspiration est clairement établi en soi, c’est bien moins grave -voire presque pas- par rapport à un code qui a tout simplement été volé.
Car oui, les plagieurs sont partout et c’est ce qui peut faire peur à toute personne voulant créer du contenu dans le domaine du code et du graphisme. Par exemple, certains forums très connus d’entraide ont au sein de leur staff des plagieurs avérés qui pourtant, restent impuni.es. Et pourquoi cela ? Parce que Forumactif est une plateforme qui se targue de posséder un pôle judiciaire alors qu’il ne s’agit en réalité que de la possibilité d’envoyer un message au fondateur/à la fondatrice de la plateforme concernée (notons ici qu’il s’agit d’une médiation à sens unique et non de régler un litige). Ainsi, les plagieurs se permettent de continuer leur œuvre; malgré que leurs pseudos soient connus, malgré que les codeurs s’échangent les personnes à ne pas croiser; malgré les bannissements intempestifs de ces personnes-là.
Mais surtout, le plagiat porte préjudice non seulement à des créateurs de contenus déjà bien installés dans le domaine des forums mais peut aussi effrayer les futurs créateurices qui pourraient ne pas vouloir se lancer par peur de ce qui pourrait être fait de leurs créations.
Le plagiat est sanctionnable au niveau de la loi seulement, les codes étant postés sur Forumactif, la responsabilité leur revient quant aux litiges qui peuvent arriver autour de cela. Ce n’est que très rarement voire jamais que l’on obtient juste cause, ce qui laisse malheureusement le soin à chaque communauté de rejeter ou non les personnes responsables -à raison et avec preuves- d’un plagiat.
Pour conclure, je dirais simplement ceci : ne plagiez pas. La plupart des codeurs sont des personnes parfaitement ouvertes à la discussion quant à une modification de leur code et s’ils ou elles le refusent, alors il faut simplement respecter le travail d’autrui. Venir demander un code exclusif qui n’est rien d’autre qu’un screen venant d’un autre forum (oui ça m'est arrivé), d’une commande réalisée ou d’un libre-service; ce sont des choses inacceptables; parce que oui, les codeurs.euses le verront quoi qu’il arrive.
C’est peut-être une façon trop rose de voir des choses, un peu trop utopistes, mais j’ai pour ma part décidé d’afficher publiquement les forums qui ne créditent pas mes codes. Force est de constater qu’en trois ans, les mentions ont largement diminué.
• Non, ça n’est pas au créateur d’aller directement demander d’être crédité, ça devrait être quelque chose de normal. Comprenez que personne sur cette planète n’a le temps de traquer tous les forums existants et d’aller mettre un petit mot en invité (lorsque c’est possible) pour demander ne serait-ce qu’une petite phrase qui prend quelques secondes à écrire dans le sujet de vos crédits. Quand le dit-sujet existe.
Non, les codeurs n’acceptent pas l’excuse de “c’est un oublie” quand un crédit n’est pas mis. Si le crédit n’est pas mis, c’est parfaitement volontaire et nous le savons. C’est une excuse que nous avons entendue des milliers de fois; c’est une excuse à laquelle nous ne croyons plus.
Non, un code que vous avez modifié ne vous appartient pas pour autant et cela ne vous donne pas le droit de vous désigner comme la personne qui l’a créé. Vous prétendre créateurice d’un contenu modifié donne simplement l’impression que vous espérez ne pas vous faire attraper et vous catalogue immédiatement comme plagieur.
Oui, il faut créditer ne serait-ce qu’un membre qui vous code une signature, qui vous graph’ un avatar; qui créé quoi que ce soit pour vous et uniquement pour vous. Que le code ait été fait la journée même ou dans l’année. Une fiche créée rien que pour vous doit garder son crédit quoi qu’il arrive. Une fiche modifiée sans consentement par un membre qui la clame pour la sienne ne vous donne pas le droit de réutiliser ce plagiat.
Oui, un.e codeur.euse est en droit de ne pas vouloir qu’une personne utilise ou non ses codes. Veillez à respecter cette décision, il y a sans doute une bonne raison à cela. Refuser de retirer un code que vous n’avez plus le droit d’utiliser ou X ou Y raison fait de vous des plagieurs.
Et enfin, oui, vous devez demander au codeur/à la codeuse si vous souhaitez réutiliser un contenu exclusif ailleurs s’il a été créé pour une plateforme. Le faire sans le consentement express du créateur ou de la créatrice, c’est tout simplement de l’appropriation de contenu. Surtout quand les fiches ne sont pas créditées puisque créés pour une plateforme en particulier de laquelle elles n’auraient jamais dû sortir.
Non, l’excuse de “ça va, c’est ton travail tu le reconnais pas besoin de le créditer” ne passe pas.
Et tout ceci fonctionne bien évidemment pour le graphisme. Il est beaucoup plus difficile d’aller vérifier que des avatars sont bien crédités, surtout sur des gros forums, mais ce sont des “oublis” encore trop répandus dans la communauté des forums RPG.
#forumactif#forumrpg#forum rpg#plagiat#svp arrêtez de plagier#c'est un truc contre lequel j'me bat depuis trop longtemps#soyez sympas avec ce texte aussi svp#thanks for coming to my ted talk#oui y'a des balles perdues dedans c'est volontaire#p't'être qu'un jour on me rendra des codes retenus en otage
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Zadie Smith est presque trop brillante.
Quand la semaine dernière j’ai appris qu’elle avait sorti un roman, se déroulant à l’ère victorienne, j’ai failli m’évanouir de joie. Je me suis précipitée dessus évidemment.
J’en ressors un peu déçue, je ne sais pas trop bien pourquoi puisque je n’ai pas de reproches à lui faire.
Elle nous mène tambour battant à travers l’Angleterre du XIXe, avec de courts chapitres enlevés, à travers la conscience d’Eliza Touchet, femme ayant réellement existé, au statut bancal, pourvue d’une famille étrange et d’un esprit drôlement affuté.
Le style est lumineux mais très sec. On sent que l’autrice s’est voulue exigeante, pas de sentimentalisme, des faits, un œil acéré sur l’époque. Roman victorien, non. Pas de narration linéaire, pas d’effusion, pas de chichis.
Eliza Touchet a été mariée et a eu un fils. Les deux sont morts tôt. Désargentée, elle a rendu service en vivant avec son cousin, un écrivain populaire (lui aussi réel mais aujourd’hui oublié), étant à la fois sa relectrice, sa gouvernante, son amante, sa confidente. Ça n’a pas empêché ledit cousin de se marier deux fois, ainsi la maisonnée, souvent délocalisée suite au déclin du succès des romans de William, est devenue un genre de microcosme composite : une épouse officielle (la deuxième) issue des bas quartiers, leur jeune fille, les trois filles de William de son premier mariage (avec Frances, avec laquelle Eliza a vraiment connu l’amour), et Eliza, qui gère tout ce beau monde et essaie de comprendre sa place dans cette maison, dans ce pays, dans cette époque.
Justement, le pays se passionne pour un procès célèbre. L’histoire d’un imposteur qui voudrait bien croquer une part des restes de l’argent généré par l’esclavage en Jamaïque, à peine aboli. Cette idée est très forte dans le livre et elle en est le cœur. A travers ce personnage et son domestique Bogle, un noir remarquablement stoïque, le pays se déchire. Eliza se passionne pour Bogle et sa conscience catholique abolitionniste s’en trouve renforcée.
Mais c’est là que cela s’est corsé pour moi : je n’avais pas les connaissances suffisantes pour comprendre toutes les subtilités économiques et politiques que soulevaient ce procès. La mort d’une époque, la fin de certains privilèges, je ne les ai compris que péniblement car Zadie Smith est plus ironique que pédagogue (et elle a raison !) ; n’empêche que c’est dur de suivre. Avec les sauts dans le temps aussi. La navigation d’une époque à une autre. Je n’aurais pas craché sur un poil plus d’explications contextuelles.
La meilleure idée du livre selon moi, celle que j’ai pleinement comprise et aimée, en riant souvent, c’est de placer au cœur de cette société patriarcale et raciste une femme intelligente et sarcastique, qui observe tout et a pris l’habitude de tout cacher pour sa sécurité et sa tranquillité. Eliza voit tout, observe tout, juge tout et tous, même Dickens en personne (et il n’est pas épargné par sa sagacité). Elle comprime ses pensées car une femme n’est pas censée penser ni parler politique. Elle supporte en serrant les dents les discussions des littéraires plus ou moins avisés ou alcoolisés, essaie de naviguer dans le petit sillon qui est le sien, se faire sa propre conscience, et agir selon ses convictions. Elle n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, mais elle s’y tient. Cette droiture va de pair avec une immense solitude. Solitude que j’ai pleinement ressentie quand elle pose des questions existentielles en son for intérieur, questions qui comptent, cruciales, qu’elle ne peut poser à personne et qui résonnent dans le livre comme autant de coups contre une boîte dans laquelle les femmes et les noirs étaient enfermés en ces temps qu’on voudrait résolument révolus…
Peut-être faudrait-il que je relise ce livre, un jour, en ayant pris les informations nécessaires, en ayant bossé en quelque sorte ! Je crains d’être passé un peu à c��té du bijou que ce doit être. Je vous dit, Zadie Smith est plus intelligente que nous. Enfin moi. Mais bon, franchement, elle est au-dessus du lot, largement.
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Une échappée littéraire au cœur du jardin
intimité familiale 7.5
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM
Dans le décor verdoyant du jardin de la résidence, une silhouette familière attire mon regard. C'est mon ami Henri, assis sur l'un des bancs en bois qui jalonnent le sentier.
Son visage est presque entièrement dissimulé derrière les pages d'un livre imposant, ne laissant apercevoir que son chapeau. Un simple coup d'œil sur la couverture suffit à identifier l'ouvrage : Ramsès, La Dame d'Abou Simbel de Christian Jacq, un voyage littéraire au cœur de l'Égypte antique.
Autour de lui, la nature semble avoir tissé une bulle de quiétude, un cocon propice à l'évasion. Les bruits de la ville s'estompent, remplacés par le doux bruissement des feuilles et les trilles mélodieux des oiseaux. C'est comme si Henri avait trouvé le cadre idéal pour se plonger corps et âme dans cette épopée pharaonique.
Ses mains tiennent précieusement le livre, ses doigts caressant presque la couverture avec révérence. On devine aisément son immersion totale dans cette intrigue séculaire.
À cet instant précis, Henri n'est plus un simple jeune étudiant, mais un explorateur des temps anciens, un voyageur transcendant les frontières de l'espace et du temps. Son imagination s'envole au pays des pyramides et des hiéroglyphes, guidée par la plume talentueuse de Christian Jacq.
Cette scène est un rappel apaisant de la puissance de la littérature et de la capacité de l'être humain à s'évader, ne serait-ce que l'espace d'un instant. Un simple livre suffit à ouvrir les portes d'univers insoupçonnés, offrant une échappatoire bienvenue au tumulte du quotidien.
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Mes lectures : Malgré Ma Mort
Titre livre/saga : Malgré Ma Mort
Autrice : Onir Ynao
Numéro : Unique
Édition : Le Labyrinthe de Théia
Genre : Novella, Fantasy
Illustration : Cyrielle Foucher
Parution : 2023
Note : 4.5/5
CW/TW : Indiqués dans le livre. 💗 : Coup de cœur
Résumé : Depuis ses seize ans, Alexandra a perdu toute envie de vivre. Depuis ses seize ans, Alexandra rêve du jour où elle va mourir. Des rêves précis, parfois changeants. Quelques détails, une ambiance… Depuis le premier jour, elle cherche à disparaître le plus discrètement possible pour protéger ses proches, persuadée de son destin funeste. Mais ses certitudes vont être bousculées par deux rencontres inattendues. Deux rencontres qui, malgré sa mort annoncée, vont lui redonner de l’espoir. Malgré Ma Mort est la porte d’entrée d’un univers plus large : Dwergenh. Il ne tient qu’à vous de la pousser pour découvrir les merveilles de ce monde.
Avis
Ce petit bijou littéraire a été une de mes meilleures lectures de ces dernières années. Une ambiance étouffante est dépeinte à travers le quotidien d'Alexandra, le tout dans un style agréable et immersif qui permet aux lecteurices de plonger aisément au cœur de ses pensées, ses craintes et ses ressentis. C'est un personnage très complet dont les troubles décrits permettent de mettre en avant, au-delà de l'intrigue, un sujet qui prend, fort heureusement, plus de place dans le discours publique : la santé mentale, et plus précisément la dépression. Celle d'Alexandra est amenée avec beaucoup de réalisme, le tout dans un doute constant : sa mort prochaine est-elle certaine ou est-ce son mal-être qui lui fait perdre tout espoir de vivre ? La tension ne cesse d'être intense à mesure que l'on avance dans le récit, au cœur d'un univers de fantasy à la fois sombre et mystérieux. Je ne peux que vous recommander la lecture de cette novella !
Liens de l'autrice
Où trouver l'illustratrice
Liens de la Maison d'Édition : Le Labyrinthe de Théia
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0️⃣ La lettre d’infO (la quotidienne annécienne) 🤍
Sélection journalière à destination de 12 réseaux sociaux et de 3 messageries instantanées en provenance directe de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées (j’adOre) 💛
Aujourd’hui, mardi 05/11/24, Journée annuelle des parents au bureau (depuis 2013) 👌Journée mondiale de la langue Romani 🗣 et Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis 🌊
2️⃣ L’actu (point trop n’en faut) 🧡
Prix littéraire : le prix Goncourt 2024 a été attribué hier à Kamel Daoud pour « Houris ». Le roman de l'auteur franco-algérien évoque les massacres de la "décennie noire" algérienne (1992-2002) 📚
Prix littéraire bis : Gaël Faye a remporté hier le prix Renaudot 2024 pour son roman « Jacaranda ». À la fois chanteur et romancier, l'artiste aux multiples talents a été récompensé pour son roman qui revient sur la reconstruction du Rwanda après le génocide de 1994 📚
Suite à un appel à témoins (la sacoche du défunt avait été accrochée à une barrière par une main anonyme), le corps de l'octogénaire Albert M., disparu depuis un mois, a été découvert hier matin à Annecy-le-Vieux. C'est dans ce quartier d'Annecy que ce témoin a conduit les enquêteurs à la triste découverte 😢
Annecy : deuxième date ce soir de l’évènement Meythet Z'en Scène 2024. Chaque premier mardi du mois, découvrez une pièce de théâtre jouée par une compagnie locale. Une soirée idéale pour plonger dans l'univers du théâtre et soutenir nos artistes 😍
3️⃣ L’agenda (l’agendalp pour les ancien·nes) 🩷
🖼️ Deuxième jour❗️ExpO : Enfance(s) de Gilles Camillieri ➡️ Photographe voyageur, passionné par l'ailleurs, qui nous offre, au travers de cette exposition, un regard curieux sur l’enfance dans d’autres cultures ℹ️ Jusqu’au ven. 29/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 7h-21h 📍 Centre Bonlieu (1 rue Jean Jaurès) 📷
🧺 Deux marchés le mardi à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ⌚️ 7h-13h ➡️ Marché de la place des Romains (marché alimentaire le matin et produits divers toute la journée) ⌚️ 7h-19h ℹ️ Carré des Producteurs 📍 Saint-Jorioz, Grand Annecy ⌚️ 16h30-19h30 🍴
🖼️ Dernière semaine❗️ExpO de l'association Artistique de Meythet ➡️ Exposition de dessins et de peintures ℹ️ Jusqu’au lun. 11/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar.05/11/24 ⌚️ 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Meythet (rue de l'Hôtel de Ville) 🎨
🖼️ Première semaine❗️ExpO : Julia Blachère et Sylvain Ceroni ➡️ Exposition de peintures et de sculptures ℹ️ Jusqu’au ven. 29/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (place Gabriel Fauré) 👨🎨
🖼️Derniers jours❗️ExpO : Réparer le futur ➡️ La prospective ou l'art d'imaginer demain : quel est l'avenir de notre ville et comment penser cette ville de demain pour tous ? ℹ️ Jusqu'au jeu. 07/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Seynod (1 place de l'Hôtel de ville) 👨🎨
🖼️ ExpO : Tous unis pour Octobre Rose et Movember ➡️ Plusieurs artistes s'unissent pour la même cause, la santé des Femmes et des Hommes ℹ️ Jusqu’au ven. 22/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 9h-12h & 14h-18h30 📍 Le Polyèdre (4 impasse Saint-Jean) 🤗
🖼️ Deuxième semaine❗️ExpO d'aquarelles : Méandres et détours ➡️ Passionnée de découvertes, Martiosh découvre l’aquarelle dans le but de peindre ses carnets de voyages : elle combine ainsi sa passion pour les sports nautiques avec des séries d’aquarelles sur ce thème, apaisantes, fidèle au style « carnets » ℹ️ Jusqu’au ven. 20/12/24 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 9h-16h30 📍 Alliance Française Annecy (12 boulevard du Lycée) 👩🎨
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (après-midi jeux de société) 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 10h-12h & 14h30-16h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) 😍
🖼️ ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h30 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) 😍
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 10h-18h45 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨🎨
🗣 Renc'Art : Destruction = création ➡️ Le travail d’Arman a toujours été empreint de colère et de violence : brûlage, casse, découpage. Ses œuvres sont les histoires des relations que l'homme entretient avec l'objet : parfois fétichiste, parfois dévastatrice, ordonnée ou colérique. Dans la série “Résister colère”, composée autour du rouge, du noir et du blanc, Arman propose une esthétisation de la colère et de l’agressivité. C’est ainsi que dans la destruction peut naître la création, à travers l’expression de sentiments primaires ℹ️ Des artistes à la médiathèque ? Tous les premiers mardis du mois, les bibliothécaires proposent de partir à la découverte d'une œuvre choisie dans les collections de l'artothèque ⏱️ 1h 🎫 0€ 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 12h30 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 📷
🖼️ ExpO BibliO : Japon - Lecture ordinaire de Martinet&Texereau ➡️ L'artothèque présente les derniers dessins du duo d’artiste réalisés à leur retour de résidence au Japon : ces dessins de façades, pensés comme une promenade, nous invitent à suivre les artistes dans leurs explorations de Takasaki (leur travail évoque ici le monde globalisé dans lequel nous habitons) ℹ️ Jusqu’au sam. 21/12/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 12h30-19h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 🎎
👨👩👧👦 À toi de jouer : la visite de l’expO Martinet&Texereau devient un jeu d’enfant ➡️ Profitez autrement de l'exposition du duo d'artiste grâce au Carnet et à la Boîte de découverte : spécialement pensés pour les tout-petits, les enfants et/ou les grands curieux pour une approche tout en plaisir du monde de l'art ℹ️ Jusqu’au sam. 21/12/24 🎫 0€ 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 12h30-19h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 🧒
🖼️ ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 12h30-19h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
🖼️ ExpO : Salon des artistes peintres d'Annecy ➡️ Évènement qui célèbre la créativité et le talent des artistes de notre territoire ℹ️ Jusqu’au ven. 22/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu (1 rue Jean Jaurès) 🎨
🖼️ Dernière semaine❗️ExpO BibliO : La route des épices ➡️ Couleurs, saveurs, odeurs, laissez exprimer vos sens et partez sur la route des épices ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 13h30-18h30 📍 Médiathèque Seynod (1 place de l'Hôtel de ville) 🫚
🎲 Dernière semaine❗️Le coffre aux épices ➡️ Carnets de voyage, outils de dessin, quiz Genially, amusez-vous en voyageant sur la route des épices évoquée par l'expO dédiée à ce jeu ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 13h30-18h30 📍 Médiathèque Seynod (1 place de l'Hôtel de ville) 🫚
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩🎨
🖼️ ExpO : Les Temps changent ➡️ Lauréats de la commande nationale d'estampes initiée par le Centre National des Arts Plastiques (CNAP) en partenariat avec l'Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA) ℹ️ Jusqu’au sam. 30/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) 🎨
🖼️ Dernière semaine❗️ExpO : Portraits de Martine Richard, une artiste pour qui la peinture est une véritable évasion ➡️ Passionnée par la magie de l'aquarelle, elle explore la fusion des couleurs et de l'eau, créant des œuvres où l'émotion guide chaque coup de pinceau ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 14h-19h 📍 Le Mikado Novel (2 place de l'Annapurna) 👩🎨
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) ⏱️ 2h 🎫 5€, 3€ & 0€ (-12 ans) 🎟️ Réserv. en ligne 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 16h-18h 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🧠
🗣 Temps d'échange : le sommeil de l'enfant ➡️ Atelier animé par Marie-France Coyen, puéricultrice, consultante en sommeil et en allaitement maternel ℹ️ Places limitées ⏱️ 1h30 🎫 10€ 🎟️ Inscr. au 07 68 39 43 88 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 18h 📍 L'escale - Café des familles (3 boulevard de la Rocade) 🧒
🗣 Conférence de Benoît Dusart ➡️ Il arrive que les privilèges de la fortune accompagnent l’éclosion d’une authentique passion pour l’art. Le magnat du charbon et de l’acier Henry Clay Frick (1849-1919) appartient à ce monde fermé des grands collectionneurs. Ses préférences pour l’art ancien et le mobilier du XVIIIe siècle le conduisirent à faire bâtir, le long de la Ve Avenue, un palais néo-classique. Ouvert au public en 1935, entièrement rénové et agrandi en 2024, il abrite le plus merveilleux des musées new-yorkais : la Frick Collection 🎫 13€ 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 18h 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🪙
🎶 Concert de l'orchestre des jeunes de l’Arc Alpin ➡️ Atteindre un résultat impressionnant grâce à l’énergie de jeunes musiciens issus des Conservatoires d’Annecy, Bourgoin-Jallieu, Chambéry et Grenoble ℹ️ Durant une semaine, ces jeunes artistes répètent main dans la main avec les musiciens de l’Orchestre des Pays de Savoie en vue de quatre concerts. L’occasion pour eux d’entrer dans un orchestre professionnel, de découvrir le plaisir de jouer ensemble ⏱️ 1h15 🎫 0€ 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 20h 📍 Église Sainte-Bernadette (39 avenue d'Albigny) ⛪
🎭 Théâtre : Embrasse ta mère ! (Cie Les Chitana) ➡️ Comédie sur les relations mère et fille ℹ️ Dans le cadre de Meythet Z’en Scène (jusqu’au 03/06/25) ⏱️ 1h15 🎫 5€ 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 20h📍 MJC Centre Social Victor Hugo (6 rue de l'Aérodrome) 🚘
🎶 Kyle Eastwood - Eastwood by Eastwood ➡️ Les bandes originales des plus grands films de Clint Eastwood revisitées par son fils Kyle et son quintet de jazz. Hommage mélodieux agrémenté d’un affectueux face-à-face vidéo, ce road-movie musical révèle leur complicité artistique ⏱️ 1h30 🎫 De 36 à 8€ 📆 Mar. 05/11/24 ⌚️ 20h30📍 Bonlieu Scène nationale (Grande salle) 🎥
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre) ❤️
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : la qualité de l'air devrait rester bonne à moyenne sur la quasi-totalité de la région sauf dans la vallée du Rhône où elle pourrait être localement dégradée par la présence de particules 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 2 au vendredi 08/11/2024 inclus 🤧
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes) 💚
Tout comme hier, deux dictons du jour : « À la sainte Sylvie, faut pas trop forcer sur l’eau-de-vie. » ⚠️ et « Sainte Sylvie pluvieux, paysan radieux. » 🌧
Et trois autres dictons du jour pour la route : « S’il neige à la saint Sylvie, le laboureur, il rit. » 🌨 « Vent et pluie à la sainte Sylvie, tout va de mal en pis… À moins que saint Martin (11/11) ne sèche le chemin. » 🤔 et « Le cinq tu sauras, quel mois tu auras. » 🧐
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier) 🩵
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bon deuxième jour de la semaine à tous et à toutes ♟
Bonne fête aux Sylvie et demain aux Bertille 😘
7️⃣ Cohérence (simplification) 💜
J’utilise les chiffres 0, 7, 8, 9 et 10 pour rendre plus lisibles les différentes parties de cette sélection (simple utilisation n’ayant absolument aucun rapport avec les parties “officielles”).
JamesO InfO V1 : jusqu’en 2012 (1.000 abonné·es) 🅰️
8️⃣ Migrations (en cours) 🤎
Les parties 7, 8 et 9 ne peuvent pas encore être diffusées totalement pour des raisons techniques. J’y travaille actuellement de manière régulière.
JamesO InfO V2 : de 2013 à 2022 (12.500 abonné·es) 🅱️
9️⃣ Abonnez-vous (augmentation en 2025) 🩶
Les parties 10, 11 et 12 sont exclusivement réservées à mes abonné·es et ne sont plus diffusées sur les réseaux sociaux et autres messageries instantanées.
JamesO InfO V3 : depuis 2023 (15.000 abonné·es) 🆎
🔟 L’ours (je préfère le dahu) 🖤
JamesO InfO La quotidienne
N° 1.179 du mardi 05/11/24 à 3h
L’actu, les infos, les nouvelles…
Par JamesO Média (Presse & Édition)
Responsable éditorial et légal : J.-O. Gallice
📷 JamesO PhotO à Annecy le 29/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
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Lecture [SP] Déviante
Service Presse venant de Simplement.pro Bonjour tout le monde !! Nouvelle journée et... un avis pointe le bout de ses lettres J'espère que vous avez hâte de le découvrir ? Je vous laisse avec le résumé de Déviante avant de vous donner mon avis sur ce dernier. Nous y partons directement ! Dans un monde sombre et impitoyable régi par les Cylites, l’espèce humaine endure les pires atrocités. À vingt-trois ans, Marcy vit sous la coupe du danger. Activiste et fugitive, elle est prête à tout pour retrouver Judith, sa cousine disparue. Lorsqu'elle est capturée, puis vendue aux enchères comme une esclave à forte tête, elle se prépare à vivre un cauchemar éveillé. Pourtant, le Cylite influent qui la recueille semble différent des autres… Mais jusqu'à quel point ? Osera-t-elle se servir de lui pour atteindre son but ? Ou se laissera-t-elle happer par ce qui se dessine entre eux malgré elle ? Entre lutte pour la liberté et quête de vérité, Marcy devra faire face à des choix déchirants afin de survivre dans cette société corrompue. Attention : roman réservé à un public averti. Comment parler de ce one shot réellement sombre ? Bon. Par le début, me direz-vous et c'est logique... L'univers dans lequel je me suis trouvée était oppressant, captivant et la dystopie est bien menée. Les dilemmes sont présents tout le long, les relations ambiguës également. Le tout est bien ficelé, m'ayant entrainée au fil des mots et des pages sans que je n'ai envie de m'en détourner et ce même si je ne savais pas sur quel pied danser avec un certain personnage, ce dernier me laissant perplexe jusqu'à réussir à me toucher. L'héroïne de son côté a un caractère attachant, fort, elle ne se détourne pas de son but et ne perd pas ses convictions. Ce sont des éléments qui m'ont réellement plu parce que malgré les événements, elle restera fidèle à elle-même, ne se perdra pas. Pour ce qui est des thématiques, elles sont fortes, sombres également et pourtant... Elles sont finement dosées, nous permettent de lier chaque éléments présents durant la lecture, de comprendre le fonctionnement ou les raisons des comportements des personnages que l'on découvre et côtoie au fil du temps. On les aime ou les déteste, tout est possible en fonction des protagonistes, de notre affect pour eux. Il y a de nombreux éléments qui se trouvent en arrière-plan, que l'on découvre lors de la lecture et peuvent se comprendre aisément si l'on arrive à les repérer. Racisme et faits divers glaçants y apparaissent. J'ai beaucoup apprécié cela parce que cela rend l'œuvre encore plus saisissante et... en fait, la fin m'aura fait souffrir ! Je ne m'y attendais pas et mon cœur a bien souffert lors de sa découverte... Mais bon sang que j'ai été chamboulée. Certes, elle fait mal, mais elle correspond à merveille à l'œuvre, à ce qu'il s'y passe ! Cette aventure aura été intense, du début à la fin, et riche en découvertes. Le titre est parfait pour la période d'Halloween ou pour ceux appréciant les œuvres littéraires plus sombres. Je n'en ai pas encore parlé, mais les illustrations présentes sont, une nouvelle fois, magnifiques ! Elles suivent le récit, l'illustre en mettant des étoiles dans les yeux tout en accompagnant la plume de l'autrice qui reste d'une fluidité parfaite. Les descriptions permettent de visualiser sans difficulté tout ce qui apparait sous nos yeux pour le plus grand plaisir du lecteur, tout du moins du mien. Vous l'aurez compris, cette lecture a été une belle découverte, même si déchirante, glaçante à certains moments. Je suis heureuse de l'avoir découvert, heureuse de pouvoir vous en parler et j'espère que ce titre plaira aux amateurs du genre. Il ne faut juste pas s'attendre à une lecture légère, cette dernière vous retournera au fil des pages et ne sera pas dans un monde de Bisounours. Et vous, connaissiez-vous le titre ou comptez-vous l'essayer ? Read the full article
#Anne-SophieHennicker#DarkFantasy#DarkRomance#Dystopie#Fantastique#Fantasy#Oneshot#Psychologique#Roman#ServicePresse
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Caryl Férey - Magali - #rl2024
Rentrée littéraire 2024, Caryl Férey propose avec Magali, un voyage au cœur d'une enquête sur un féminicide et d'une autobiographie.
Rentrée littéraire 2024 Voyage au cœur d’une enquête et d’une autobiographie Caryl Férey choisit un fait divers dans le petit village de son enfance pour se raconter. Ainsi, Le meurtre de Magali Blandin qui eut lieu le 11 février 2021 lui sert de prétexte pour parler de lui, de notre époque et de la nostalgie de son enfance et sa coupe de cheveux d’enfant ! Difficile pour un écrivain aussi…
#Billet littéraire#Bric à brac de culture#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Enquête#Enquêtes#Faits-Divers#Féminicide#Littérature contemporaine#littérature française#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Meurtre#roman#Roman policier#Romans policers#True crime
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Rentrée littéraire : nos 8 livres préférés | Beaux Arts
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Les Grandes oubliées. Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes, Titiou Lecocq
Première incursion pour moi dans les sciences-humaines, et DAMN !
« Les femmes ont fait l'histoire, elles ont régné, elles ont gouverné, combattu, elles ont milité, écrit, crié parfois. Elles n'ont jamais été les spectatrices d'un monde que les hommes dirigeaient. Ça, c'est une fable historique. Même quand elles ont été exclues des sphères de pouvoir, elles ont continué à résister. C'est aussi cela, notre histoire commune. Et l'histoire des femmes, ce n'est pas que l'histoire des femmes. C'est également la vôtre, messieurs. Vous êtes, vous aussi, les descendants de ces femmes qu'on a oubliées et réduites au silence. »
Je sors de ma lecture des Grandes oubliées avec le cerveau en compote et un goût d’injustice. Je connaissais Titou Lecocq de nom, je défendais déjà ses ouvrages à la librairie et encore plus celui-ci, et j’ai enfin pris le temps de le lire. Je sais pas pourquoi, je pensais avoir compris qu’on allait nous parler des femmes oubliées, genre les inventeuses, les autrices, etc. (Désol��e !) En fait, pas du tout, enfin, si, mais pas tellement. C’est l’histoire des femmes. Point.
Des femmes dans l’Histoire. Vous saviez que les femmes pendant la Préhistoire n’étaient pas enfermées dans les grottes avec l’éducation des marmots, mais qu’elles chassaient, cueillaient et peignaient aussi ? Et que tout le monde s’occupait des enfants ? Et que les femmes pendant l’Antiquité avaient (aussi) un rite de passage à l’âge adulte qui consistait à se déguiser en ourses, sacrifier une chèvre et courir nues ? Et qu’au Moyen Âge, les femmes régnaient, étaient autrices, enlumineuses, bardes, chevaleresses, bâtisseuses de cathédrales et j’en passe ? Et que la chasse aux sorcières du XVIe siècle vient des hommes du clergé qui… quoi d’ailleurs ? avaient peur des femmes ? Et que c’est sévère parti en cacahouètes avec les Lumières et Napoléon ?
Encore un autre exemple hyper parlant (pour moi), désolée l’extrait est un peu long :
« Il faut également parler d'Émilienne Moreau-Évrard. Sacrée femme, Émilienne. Elle est née en 1898 dans le Pas-de-Calais. Elle habite dans la ville de Loos, près de Lille, et veut être institutrice quand éclate la Première Guerre mondiale. Loos est occupée par les Allemands, et Émilienne décide d'organiser dans une cave une école clandestine pour les enfants. Elle a 17 ans. En septembre 1915, alors que les Écossais attaquent pour reprendre la ville, elle va à leur rencontre pour leur donner les positions des troupes allemandes. Puis, avec un médecin écossais, elle organise dans sa propre maison un poste de secours et y soigne les blessés de l'assaut. Ensuite, je cite sa fiche biographique sur le site de l'ordre du Mérite : ‘‘Pour sauver un soldat anglais pris sous la mitraille, elle n'hésite pas à sortir de chez elle, armée de grenades, et parvient, avec l'aide de quelques soldats anglais, à mettre hors d'état de nuire deux soldats alle-mands, embusqués dans une maison voisine. Un peu plus tard, alors que la maison est cernée, elle se saisit d'un révol ver et abat à travers la porte deux fantassins ennemis.’’ »
Comment diable est-ce qu’après avoir passé 15 ans de ma vie à vivre juste à côté de Loos je n’entends parler de cette femme que maintenant ?????
Bon, je m’arrête là avec les exemples, mais vous voyez le topo : Titiou Lecocq nous invite à nous pencher et à redécouvrir l’Histoire des femmes, et comment on les a invisibilisées, réduites au silence et oubliées. Le tout en s’appuyant sur des exemples concrets et des travaux d’historiennes et de quelques historiens. C’est hyper hyper intéressant, j’ai appris énormément de choses et mon cerveau a surchauffé. J’ai adoré. J’ai mis du temps à me pencher dessus, mais alors je ne regrette absolument pas ! J’avais aussi peur que, étant un ouvrage de sciences-humaines, ce soit incompréhensible et/ou compliqué à lire comme des articles universitaires, mais pas du tout ! C’est hyper fluide, très bien écrit, bien construit, et abordé presque comme une histoire. C’est un grand coup de cœur inattendu ! Et maintenant j’ai très envie de lire son dernier ouvrage Le couple et l’argent 👀
05/11/2023 - 11/11/2023
#livres#books#livre#book#sciences humaines#littérature féministe#féminisme#titiou lecocq#les grandes oubliées#les grandes oubliées pourquoi l’histoire a effacé les femmes#éditions l’iconoclaste#coup de cœur#coup de cœur littéraire
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Robin des bois, héros éternel
« Robin des Bois (en anglais : Robin Hood) est un personnage de fiction britannique, héros légendaire et archétypal du Moyen Âge anglais. D'abord sujet d'une tradition orale, il devient un personnage littéraire au XIVe siècle, avec des œuvres telles que Piers plowman (« Pierre le Laboureur ») de William Langland, puis le héros de diverses gestes du XVe siècle telles que The Lytell Geste of Robin Hood.
Selon la légende telle qu'elle est répandue aujourd’hui, Robin des Bois était un brigand au grand cœur qui vivait caché dans la forêt de Sherwood et de Barnsdale. Habile braconnier, mais aussi défenseur avec ses nombreux compagnons des pauvres et des opprimés, il détroussait les riches au profit des pauvres ou rendait au peuple l'argent des impôts prélevés, selon les idéaux des auteurs.
« Robin n’est pas un héros au sens propre du terme, il est un homme ordinaire mais il brise toutes les règles et il agit lorsque nous, nous croyons que nous le pouvons pas. Il est le symbole de la résistance en chacun de nous, et nous prenons plaisir à le voir renverser l’ordre établi, rétablir la justice là où les peuples sont asservis, voler aux riches pour donner aux pauvres. Il défend des valeurs intemporelles d’équité, et a pu évoluer pour rester au plus près de la réalité de tous, des siècles durant. C’est l’idée qu’illustre un documentaire produit par Arte et réalisé par Jean-Marie Nizan et Philippe Traversat, « Robin Hood, en vert et contre tous ». Un documentaire qui s’attache à montrer que cette parabole économique et politique semble même on ne peut plus actuelle.
On comprend à travers le documentaire que Robin des Bois incarne autre chose qu’une simple rébellion. S’il se bat contre le pouvoir, rappelons qu’il n’a jamais tenté, dans aucune de ses histoires, de s’en emparer, préférant rester dans la forêt de Sherwood pour y vivre simplement. En revanche, il est l’incarnation du fait que le non respect de la loi peut être justifié. On s’éloigne ici du concept de révolution pour se rapprocher de celui de désobéissance civile. Il est le nom qui sert d’emblème à certains combats militants d’aujourd’hui. François Ruffin, journaliste et auteur du film « Merci Patron ! » illustre parfaitement cette idée dans le documentaire.
« Je suis convaincu qu’il y en a des milliers des Robins des Bois aujourd’hui. Moi je l’ai utilisé dans le film car il y a un principe qui est simple avec Robin des bois, c’est « je prends aux riches pour donner aux pauvres », donc il y a un concept de justice, par le vol, par la ruse, qui est très simple, et qui du coup est très efficace pour l’expliquer aux gamins, et aux spectateurs aussi. », explique-t-il. D’ailleurs, le succès de « Merci Patron ! » (avec 500 000 diffusions en France) est le parfait exemple qui montre que le mythe de Robin des Bois est un véritable modèle. Nouvel ennemi pour Robin ? La mondialisation et le recul du progrès social qu’elle entraîne partout dans le monde au profit d’une minorité de très riches. »
« Une invitation à reconnaitre son pouvoir d’action et réaliser que nous sommes tous, individuellement ou ensemble, partie de la solution. C’est d’ailleurs ce que nous dit aussi François Ruffin dans le documentaire Robin Hood : En vert et contre tous : « ce qui m’intéresse dans le mythe de Robin des Bois c’est qu’il n’est pas tout seul, il arrive à lever les masses derrière lui. S’il était tout seul à aller piquer le pognon au Prince Jean, ça n’aurait pas du tout le même sens. Je trouve que ce qu’il y a de plus beau, ce sont ces moments où on sent qu’il arrive à ranimer quelque chose chez les gens, parce que c’est ça qui est le plus compliqué ». »
« Si d'autres versions, notamment avec Errol Flynn, Russel Crowe ou Kevin Reynolds, ont une place de choix dans le cœur des cinéphiles, la plus célèbre adaptation du mythe est à n'en pas douter celle réalisée par les studios Disney en 1973 dans lequel Robin est un séduisant renard. Le film s'inspire également par ailleurs du célèbre Roman de Renart, un recueil de récits médiévaux français des XIIe et XIIIe siècles. »
« Il y a fort longtemps, dans une contrée lointaine, on racontait une légende de courage et d’amitié. Robin des Bois, avec son fidèle compagnon Petit Jean et sa bande, met à l’épreuve l’avidité du prince Jean pour apporter de la joie aux habitants de la forêt de Sherwood.
Dès le moment où le prince Jean a usurpé le pouvoir, Robin s'est dressé contre la tyrannie en place. Lors d'un tournoi de tir à l'arc organisé par ses ennemis, il est finalement capturé et condamné à être décapité, ce qui attriste Marianne, sa dulcinée. Après bien des péripéties, le retour du roi Richard donnera libre cours à leur mariage. »
Sources : Wikipedia, Mr Mondialisation, Geo.fr, Disney
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Nous n'étions encore que deux enfants Deux cœurs neufs à leur printemps Éclairant mon ciel comme un soleil Il fit naître des merveilles
Si les jours, depuis, ont dû passer Je n'ai pas oublié Et je sais que cet amour Peut durer toujours
Bel amour Tendre amour Oui Tu me suivras toujours
Si les jours, depuis, ont dû passer Je n'ai pas oublié Car je sais que cet amour me suivra toujours
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L'amour Je m'en souviens comme si c'était hier Tu n'étais encore qu'un enfant en plein jeu
Et maintenant tu as grandi en moi Oh, comme ces moments fugaces s'en vont
Nous qui regardions le monde voguer, s'en allant lentement Les jours s'écoulent maintenant si rapidement La vie est brève, mais quand elle est partie L'amour dure toujours
L'amour vit L'amour survit L'amour dure toujours...
Nous qui regardions le monde voguer, s'en allant lentement Les jours s'écoulent maintenant si rapidement La vie est brève, mais quand elle est partie L'amour dure toujours
« Le lotus est une plante à fleurs de la famille des Nélumbonacées originaire d'Eurasie. C'est une plante aquatique d'eau douce reconnaissable à son port en grande partie émergeant de l'eau, ses larges feuilles peltées dont la cuticule est hydrophobe, et à ses très grandes fleurs, à dominante de rose pour les variétés sauvages.
Récolté et cultivé depuis des milliers d'années comme plante alimentaire, médicinale, ornementale mais aussi plus récemment textile, ce lotus est la fleur sacrée dans les religions orientales (bouddhisme, brahmanisme), dans lesquelles les divinités sont représentées sur une fleur (ou un trône en fleur) de lotus. Le lotus sacré est la fleur nationale de l'Inde, du Sri Lanka et du Viet Nam. »
« Les hindous associent la fleur de lotus (Padma) au mythe de la création, et avec les dieux Vishnu et Brahma, ainsi que les déesses Lakshmi et Sarasvati.
Le lotus a toujours été un symbole divin dans la tradition hindouiste. Il est souvent utilisé comme symbole de la beauté divine. Vishnu est souvent décrit comme « celui à l'œil de lotus ». Le déploiement des pétales du lotus suggère l'épanouissement de l'âme. L'émergence de sa pure beauté, la perfection de sa fleur, la propreté immaculée de ses feuilles à partir de ses origines boueuses et malgré cet environnement défavorable, représente une promesse spirituelle bienveillante.
La littérature pouranique et védique fait souvent référence au lotus sacré, par exemple : « Quiconque dans l'action dédie ses œuvres à l'Esprit Suprême, en écartant tout intérêt égoïste dans leur résultat, n'est pas plus atteint par le péché que la feuille de lotus n'est affectée par l'eau. »
Dans le symbolisme bouddhique, le lotus représente la pureté du corps, de la parole et de l'esprit, comme flottant au-dessus des eaux boueuses de l'attachement et du désir. Le Bouddha est souvent représenté assis sur une feuille ou un bouton de lotus géant. Selon la légende, il serait né avec la capacité de marcher et partout où il mettait le pied, des fleurs de lotus s'épanouissaient, c'est donc une fleur emblématique de Bouddha. Dans tout le monde indianisé on compte de très nombreuses peintures, sculptures et représentations de la fleur de lotus. Ceci est dû à la particularité unique du lotus d'être la seule plante aquatique dont la fleur est au-dessus de l'eau contrairement aux nénuphars et autres cousins dont la fleur flotte sur l'eau.
Cette image, connotant la légèreté, de la fleur s'élevant au-dessus de la surface de l'eau rejoint celle de Bouddha si léger qu'il repose comme en lévitation au-dessus du sol.
La symbolique du lotus en bouddhisme relève encore du fait que la graine et la fleur apparaissent ensemble, il s'agit de la simultanéité de la cause (la graine) et de l'effet (la fleur) dans la loi de causalité de l'univers qui est l'un des concepts majeur de la philosophie bouddhique. À cela il faut ajouter que le lotus puise sa substance vitale dans la boue pour s'épanouir au-dessus de l'eau. Ainsi la boue représente les souffrances, les troubles, les désirs qui sont le terreau même de notre épanouissement. Il est donc possible de transformer son karma par l'illumination, l'atteinte de la bouddhéité, grâce à notre éveil à la loi de causalité. »
« Comme elle retourne chaque soir en eaux troubles et ouvre ses pétales graciles à l'aube, la fleur de lotus est dans le langage des fleurs un symbole de force, de résilience et de renaissance. Et parce que cette fleur immaculée émerge d'une eau boueuse, elle est un symbole absolu de pureté. »
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Le choix littéraire de Sab en Live : " Sherlock Holmes et les mystères de Lorraine ” de Jérémy Bouquin aux éditions la geste
Vous avez regardez les vidéos coups de cœur que je réalise depuis le début de l’année et donc vous savez que j’ai une réelle passion pour le travail de Jérémy Bouquin, et que même quand il écrit des livres différents, ses personnages sont du Jeremy Bouquin, super bien campés.Suzanne dans “Sherlock Holmes et les mystères de Lorraine” aux éditions la geste, ne fait pas exception.À vous de…
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Lecteurs engagés
Au cœur de l’ivresse des mots
En lien avec la journée mondiale du livre qui se tiendra mardi 23 avril 2024, la Cène littéraire, le cercle littéraire « Le conceptualiste » et le CERIL ont offert un moment d’ivresse intellectuelle aux étudiants de l’université de Douala samedi dernier au campus 2 dans la salle Madiba.
Il est 11h lorsque l’amphithéâtre « MBAPE MADIBA » de la Faculté de Droit et de Science Politique est comble. L’excitation se lit sur les visages. On se croirait à une séance de distribution de la prime de l’Excellence. Que non ! L’œil curieux est vite attiré par ce livre que chaque étudiant tient fièrement : La danse du vilain, dernier chef-d’œuvre du jeune, et non moins talentueux écrivain congolais, Fiston MWANZA MUJILA. Vous ne rêvez pas. Tous ces jeunes sont bien là pour assister à un café…littéraire ! Ce rendez-vous intellectuel est l’œuvre de la promotrice culturelle Flore ZOA. Son partenaire pour la ville de Douala, Moktar NJUMOUN, tient lieu de modérateur de l’événement. À ses côtés, la représentante de la Faculté de Droit et de Science Juridique (Dr Clémentine KABADIANG Épse ENGONO), le président de l’association J.E.U.N.E.S (M. Joseph MBONE) et un spécialiste de littérature francophone (Dr Albin Nelson HOUACK). Pendant deux heures, ils ont entretenu des étudiants issus de toutes les facultés, des enseignants, des auteurs en herbe et des éditeurs.
Entre impressions de lecture, analyses critiques du roman et quizz littéraire, tous les participants ont découvert et redécouvert la plume alléchante et croustillante de MWANZA MUJILA, Prix littéraire Les Afriques 2021. Et que dire de l’ambroisie communiée à ce rendez-vous du « donner » et du « recevoir » ?
Dans un style empreint de réalisme magique, d’une satire maitrisée et d’une ouverture généreuse aux autres textes et médias, le romancier nous transporte dans le Zaïre du maréchal Mobutu. Entre chaos politique, course au diamant et débauche, trois figures d’adolescents émergent : Sanza, Molakisi et Ngungi. Issus de familles dysfonctionnelles, à l’image des structures sociopolitiques du récit, ils côtoient, progressivement, les arcanes des services de renseignements, les mines de diamants et les cercles magico-religieux, le tout sur un fond de rumba congolaise agrémenté d’un humour corrosif. Et puisque le temps ne suspend jamais son vol, et puisque les belles choses ont toujours une fin, c’est avec la promesse de se retrouver autour d’un autre cocktail de mots que les participants se sont quittés sur les coups de 13 heures. Au Cameroun, il n’y a donc pas que la jeunesse des débits de boissons. Il y a surtout cette jeunesse qui croit en cette pensée de Mongo Béti : « La lecture est le plus grand ferment de l’intelligence ».
Albin Nelson Georges Houack
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Vous pouvez m'aider à gagner des livres ahah c'est le concours Kube
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SÉANCE #5: Bookstagram : la puissance d’une communauté du virtuel au réel
C’est un phénomène qui a connu son essor lors du premier confinement et qui représente désormais une vraie mine d’or pour les maisons d’édition, une communauté dont la puissance est passée du virtuel au réel.
« Bookstagram », contraction de « books », livres en anglais, et Instagram est un mouvement désormais suivi par des milliers de lecteurs, dont les plus connus d’entre eux partagent leurs avis sur leurs coups de cœur livresques du moment. Ces influenceurs littéraires ont permis à toute une génération de redécouvrir le plaisir de la lecture, faisant parfois s’affoler les compteurs de vente de certaines maisons d’édition. Ces dernières n’ont pas mis longtemps à se rendre compte du potentiel que représentait cette tendance, dans notre société où désormais plus de « 90% des livres, numériques ou physiques, sont achetés sur recommandation » (cf : Thomas Chouanière, KoboBlog).
L’industrie littéraire a dû se moderniser pour faire face à la montée de la popularité des différentes sagas sur les réseaux sociaux. Les services de presse se sont donc multipliés afin que ces influenceurs littéraires puissent répandre leurs avis à un plus large public. Ce sont désormais des milliers de chroniques qui sont disponibles sur la plateforme et vantent un large palmarès de livres de tous les genres. Pour continuer de surfer sur cette tendance, certaines maisons d’édition proposent aussi des partenariats avec les influenceurs pour promouvoir les nouvelles sorties littéraires.
Un mouvement qui rapporte, mais surtout qui s’ancre dans le réel. L’engouement est tel que beaucoup de ces influenceurs se voient être invités dans les nombreux salons et Festival du Livres se tenant un peu partout en France chaque année. Citons notamment le Festival New Romance, entièrement consacré à ce genre littéraire, et qui voit réunir chaque année beaucoup d’influenceurs, la romance étant l’une des catégories les plus populaires sur Bookstagram.
Étant une passionnée de lecture depuis mon plus jeune âge, il me tenait à cœur de mettre cette communauté en avant. Voir la lecture passer de « passe-temps d’intello » à un loisir reconnu et qui réunit une communauté fédératrice a été une grande satisfaction. Et surtout, c’est l’un des exemples qui montre la puissance des communautés virtuelles, qui finissent par avoir un impact bien réel sur notre société.
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