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#coude douleur
fitnessmith · 2 years
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Mal au coude, comment s'entrainer ?
NOUVEAU 👉 Mal au coude, comment s'entrainer ?
Avec une douleur au coude, vous pensez que vos entrainements sont terminĂ©s ? Pas sĂ»r, et nous allons voir pourquoi. Avant toute dĂ©cision, allez voir votre mĂ©decin et votre kinĂ©, mais prĂ©cisez-leur que vous ne souhaitez pas arrĂȘter le sport, car les approchent s’adapteront Ă  vous. Je dois ĂȘtre honnĂȘte, quand j’ai mal quelque part, j’ai tendance Ă  minimiser ma douleur en pensant que cela va passer

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coachantidouleur · 4 months
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Comment soulager et traiter les douleurs du coude
Le choix du traitement pour les pathologies du coude dĂ©pend de la nature et de la gravitĂ© de la maladie. Les traitements conservateurs comme la thĂ©rapie SEREQUI sont souvent suffisants. MalgrĂ© tout, dans certains cas trĂšs rares, une intervention chirurgicale peut ĂȘtre nĂ©cessaire. Une prise en charge prĂ©coce et adaptĂ©e est essentielle pour une rĂ©cupĂ©ration efficace et pour prĂ©venir les

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deescontinuity · 2 months
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J'ai Ă©tĂ© dĂ©bile aujourd'hui, je m'ennuyais, j'avais personne avec qui passer du temps, donc j'ai dĂ©cidĂ© de partir Ă  vĂ©lo, et en recherche de sensations fortes, j'ai voulu descendre une pente que j'ai dĂ©jĂ  fait, mais j'ai mal maĂźtriser la vitesse, j'ai voulu aller trop vite, et rĂ©sultats j'ai Ă©corchĂ© mes coudes, mes jambes, et coupĂ© ma lĂšvre infĂ©rieure. Heureusement rien de sĂ©rieux (normalement), un gars m'a aidĂ© Ă  monter mon vĂ©lo et mon frĂšre est venu me chercher, mais je me demande pourquoi j'ai fait ça, alors que je savais que je risquais de tomber, et que j'avais d'autres pentes que je pouvais descendre. Et lĂ , j'ai du coup mĂȘme pas ressenti de joie, juste de la peur, du regret et juste aprĂšs de la douleur et de la honte.
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rayondelun3 · 3 months
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Je pleure. Mon corps me fait mal parce que j'ai bu tout la journĂ©e et toute la nuit hier et mĂȘme si je n'Ă©tais pas complĂštement ivre je n'avais plus d'Ă©quilibre pendant plusieurs heures, mon corps se heurtait au sol, aux murs, mais ce qui m'a fait bizarre ce soir lĂ  c'est quand je suis allĂ©e dans un buisson, volontairement ; en fait je me suis allongĂ© dans un buisson d'Ă©pines... et je sentais la douleur, ça me faisait mal, mais je ne voulais pas sortir c'Ă©tait comme si ça ne me dĂ©rangeait pas. Je me suis tellement blessĂ©e pendant ces heures lĂ  et celles d'aprĂšs surtout, quand je n'Ă©tais plus saoule. Je n'Ă©tais plus saoule quand je suis allĂ©e dans le buisson d'Ă©pines, je me sentais m'enfoncer dedans, j'avais mal, ça me griffait, je continuais de m'enfoncer, j'avais pleinement conscience que plus j'allais m'enfoncer dans ce buisson plus j'allais avoir mal. Je suis restĂ©e plusieurs minutes Ă  me laisser tomber dans ce buisson. A un moment je ne m'enfonçais plus, j'Ă©tais dans un nid d'Ă©pines ; j'ai mis du temps Ă  me dĂ©cider d'essayer d'en sortir. Et aprĂšs j'ai frappĂ© dans des poteaux, tellement fort que je me suis ouverte Ă  nouveau les poings. Et tout mon corps me fait mal, je suis couverte de griffures, d'ecchymoses (j'aime ce mot, ecchymose et j'aime voir toutes ses plaies sur mon corps). Je dois garder espoir, continuer d'ĂȘtre forte, remonter la pente petit Ă  petit comme j'essaie de le faire depuis des semaines mais ça ne prend pas enfin ils disent que ça prend du temps... Tout mon corps me fait mal, mais j'allais me scarifier. J'ai essayĂ© d'attraper le couteau pour le faire mais mon dos, mes mains, mes Ă©paules, mes coudes, me faisaient si mal qu'il a glissĂ© de ma main et est tombĂ© par terre. Je me suis penchĂ©e pour le ramasser mais j'avais encore plus mal et je suis tombĂ©e. J'ai perdu connaissance. Quand j'ai repris mes esprits tout Ă©tait bleu noir - ça me rappelle la chanson de MylĂšne Farmer, et mon bras Ă©tait tendu vers le couteau... Je le touchais du bout des doigts et la douleur a empirĂ©. J'ai fini par abandonner. Je suis encore par terre, la douleur me paralyse. J'essaie de me convaincre de ne pas me faire plus de mal, de ne pas cĂ©der Ă  l'appel de l'acier sur ma chair, les perles de sang... Je l'avais dĂ©jĂ  fait avant hier. Je crois que cette fois celles-ci ne partiront pas. Je vais continuer Ă  porter des manches longues. Je vois le verre de gaspacho et le petit verre de Yop vides. Le Yop c'est difficile Ă  boire. Je l'ai dit Ă  l'infirmiĂšre. Que c'Ă©tait trop Ă©pais, trop consistant... Elle m'a dit que c'Ă©tait le but.
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les-portes-du-sud · 1 year
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Dix Sept. 26.08.2023
Dix-sept marches et il est Ă  l'autel. Dix-sept seulement. La mairie est inondĂ©e de soleil, de fleurs et de rubans partout, et d’une lueur insupportable. Le cƓur bat dans la poitrine jusqu'Ă  devenir assourdissant, comme si le son interne des tambours coupait tous les sons externes. Un piano Ă  queue se dresse Ă  droite de la salle de cĂ©rĂ©monie, ses cĂŽtĂ©s laquĂ©s blancs Ă©tincelants. Le couvercle est ouvert et son ventre sans fond scintille, il est plein de roses. Une jeune fille en robe de mariĂ©e blanche est assise sur une chaise prĂšs du piano : le satin et la dentelle luisent, soulignant les dĂ©bordements nacrĂ©s de la peau dĂ©licate, sa fragilitĂ© et son impuissance. Une coiffure haute s'Ă©lĂšve en vagues sombres sur un cou fin, comme un nuage d'orage sur un tronc de bouleau. Il ne voit pas son visage, car il s'approche de la pianiste par derriĂšre. Il ne voit jamais son visage.
2. Dix pas, le piano se rapproche, invitĂ©s et tĂ©moins se figĂšrent d'anticipation. Peut-ĂȘtre que la musique est bonne. Elle a dĂ» les Ă©mouvoir, rĂ©veiller des prĂ©monitions et des souvenirs dans leurs Ăąmes. Amira Ă©tait une merveilleuse pianiste. Le soleil perce les Ă©paisses baies vitrĂ©es en les irisant. Ici, ils sont allongĂ©s sur le piano avec deux bandes Ă©carlates, le barrant, les notes posĂ©es sur le pupitre, les touches se rapprochant des doigts fins en gants de mariage blancs. Il aimerait entendre ce qu'elle joue, mais son cƓur continue de s'Ă©tourdir, Ă©clatant de temps en temps de douleur. Il arrive.
Cinq pas et il sursaute sous le tonnerre des applaudissements. Le jeu est terminĂ© et la mariĂ©e se lĂšve du piano, repousse maladroitement la chaise, redressant sa jupe trop longue, dĂ©nouant la traĂźne sous ses pieds. Elle se tient face Ă  ceux qui sont assis et debout, et les boucles de sa coiffure qui encadrent son visage le cachent complĂštement de son regard. BientĂŽt.... Il reste un pas et il tend la main pour lui toucher lĂ©gĂšrement le coude, elle commence Ă  se retourner dans sa direction. Lentement, comme Ă  travers l'eau, comme Ă  travers un verre visqueux, il voit comment une volĂ©e de colombes arrive, battant de maniĂšre assourdissante leurs ailes blanches, mĂȘme s'il n'est pas encore temps de les relĂącher. Des pĂ©tales et des plumes remplissent l'air, clignotant devant ses yeux... l'empĂȘchant de voir son visage, il ne la voit jamais .
Il passe ses mains sur son visage et sent de la sueur mĂȘlĂ©e de larmes sur ses doigts. Le cƓur bat toujours de façon assourdissante. Mais non, on dirait que les voisins frappent au mur. Il devait encore crier dans son sommeil. Il crie toujours quand il rĂȘve d'elle. Et il ne voit jamais son visage. Il ne voit pas dans son sommeil.
Il quitta son lit et entra dans la cuisine, fume et essaie de se calmer... Une autre nuit d'insomnie.
Les-portes-du-sud
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malevolat · 1 year
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Elle était allongée sur le cÎté, les jambes repliées et épilées. Sa jupe à longueur de genoux recouvrait ses cuisses musclées sans faire le moindre pli comme si, malgré la chute sur la route, malgré la douleur de son ventre déchiré par le métal et la panique probable de ces instants d'agonie, elle avait tiré sur le tissu. Son sac de Skaï marron avait glissé sur un amas de détritus. Sa main distinguée portait une bague de perle de famille et une autre de pacotille. La plaie de son ventre se devinait sous la large tache couleur brique qui maculait son corsage blanc. Un fragment de fer était encore accroché au tissu de Nylon.
Il y avait une autre tache, violette, sur le gravier. Son sang avait séché, mais pas son mystÚre. Sa bouche légÚrement ouverte, ses yeux enfouis dans le doux de son bras au niveau du coude, l'éternisaient en un songe. Elle avait la trentaine, n'en paraissait pas plus. Son visage démaquillé par la poussiÚre conservait, malgré sa pùleur, la grùce d'une personne joyeuse. Elle portait d'élégantes chaussures en cuir véritable à talons plats, un ruban noir et bleu nuit pour retenir des boucles chùtain. Elle faisait partie d'un groupe de trois ou quatre autres personnes surprises par l'explosion d'une roquette. On en avait parlé la veille. Elle avait été oubliée, paisiblement dissimulée par les décombres.
Jean Hatzfeld - L’air de la guerre Sur les routes de Croatie et de Bosnie-HerzĂ©govine
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sophietdbquebec · 2 years
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21 février - Marché Jean-Talon et patin
Nous avons pris notre temps ce matin, et nous sommes allĂ©s faire des courses au marchĂ© Jean-Talon en fin de matinĂ©e. Nous avons achetĂ© de quoi manger pour ce midi, et nous y avons aussi fait le plein de sirop d’érable. Nous avons dĂ©gustĂ© un cĂŽne au sirop d’érable, trĂšs sucrĂ© mais dĂ©licieux! Nous nous sommes promenĂ©s dans le quartier et nous sommes tombĂ©s sur une petite boutique de crĂ©ateurs trĂšs cool, oĂč j’ai achetĂ© une super paire de boucles d’oreilles. Comme nous avons un peu traĂźnĂ© lĂ -bas, nous ne sommes rentrĂ©s Ă  l’appartement qu’en dĂ©but d’aprĂšs-midi.
AprĂšs manger, nous avons organisĂ© notre journĂ©e de demain, Ă  la station de ski de Owl’s Head, dans les cantons de l’Est.
En fin de journĂ©e, quand Adrien avait fini de travailler, nous sommes allĂ©s en centre-ville pour faire du patin Ă  la patinoire du quartier des spectacles. Alix, Romain et moi n’avions qu’à louer des patins, l’accĂšs Ă  la glace est gratuit. La plupart des quĂ©bĂ©cois ont leurs propres patins. Les 2 premiers tours m’ont permis de me remettre en jambe, puis j’ai pris la confiance, et en essayant de patiner en marche arriĂšre, je suis tombĂ©e. Au premier abord, rien de trĂšs grave, mais je n’étais plus trĂšs sereine, et je suis restĂ©e plutĂŽt sage.
Quand nous commencions Ă  avoir un peu froid, et surtout faim, nous avons enlevĂ© nos patins et nous sommes allĂ©s manger au PoincarrĂ©, un bar/resto dans le quartier chinois qui propose pleins de plats Ă  base d’aliments fermentĂ©s. Deux amis français de Blandine et Adrien nous y ont rejoint.
La douleur dans mon coude ne va pas en s’arrangeant, donc il y a une trĂšs forte probabilitĂ© que la sortie ski de demain soit annulĂ©e, Ă  mon trĂšs grand regret

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zeroducklings · 2 years
Note
Here's what I already got before I go to bed (have to get up early unfortunately đŸ˜©):
"Tu pars déjà?" Dick demanda, se levant sur son coude.
Slade se rhabillait, remettant tel un artisan expérimenté chaque piÚce d'armure avec une facilité trompeuse.
"J'ai un contrat," dit-il.
"On vient à peine de faire l'amour, ça te tuerait de ne pas partir comme un voleur?"
Slade se tourna, une cuirasse à la main, un sourcil levé.
"Quoi?"
"Quoi, quoi?" se défendit Dick, sentant confusément qu'il avait fait un faux pas.
Être avec le mercenaire revenait souvent Ă  marcher sur du verre brisĂ© en tout petit morceaux: seule la douleur signalait le malheureux faux pas. Dick avait parfois l'impression qu'il couchait avec une huĂźtre.
"Faire l'amour? SĂ©rieusement, Grayson? T'appelles ce qu'on fait faire l'amour?"
OUIII Slade, "l'amour" est exactement ce que vous avez fait alors!
J'aime que Dick ne veut pas que Slade "part comme un voleur" haha, leur conversation est adorable. Dick est vraiment chou quand il est gĂȘnĂ©e :3 ♄ tu devrais Ă©crire en français plus souvent, j’ai aimĂ© le style! Et enfin pardonne mon terrible français, je comprends facilement mais quand je dois ecrire je suis vraiment rouillĂ©e :>
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philoursmars · 2 years
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Je passe mes vacances de Toussaint Ă  Marseille. Evidemment, je suis allĂ© Ă  “ma” plage des Sablettes. Quel plaisir !
Des anĂ©mones de mer et mes horribles pieds gonflĂ©s et, pour l’un, blessĂ© sur un rocher (en plus de mes saloperies de genoux et des douleurs dans les Ă©paules et les coudes, ça commence Ă  faire beaucoup !)
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yes-bernie-stuff · 16 days
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◀ 11 SEPTEMBRE ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui. 1 Corinthiens 12.26
Je souffres, tu souffres, nous souffrons L’image du corps, que Paul utilise pour parler de l’Église, a toujours Ă©tĂ© une illustration forte !
Il est bien vrai que si une partie de votre corps vous fait mal, cette douleur irradie l’ensemble de celui-ci. De mĂȘme, quand un de vos membres ressent un soulagement, vous ressentez un bien-ĂȘtre dans tout votre corps. Paul nous dit qu’il devrait en ĂȘtre ainsi dans le Corps de Christ, l’Église, mais nous avons de sĂ©rieux efforts Ă  faire, vous ne trouvez pas ? Quand un membre souffre, l’attitude gĂ©nĂ©rale est plus Ă  la critique et au blĂąme qu’à la compassion (qui est de souffrir avec). De mĂȘme, quand un membre est honorĂ©, cela provoque plus souvent de l’envie et de la jalousie que de l’enthousiasme, non ? L’Église n’est pas « encore » parfaite, il nous faut tendre vers cette perfection et le but Ă  atteindre est tracĂ© ! Si le corps n’est pas uni, si les membres ne se soudent pas les coudes, nous resterons sans force face aux dĂ©fis que nous sommes amenĂ©s Ă  relever. Mes bien-aimĂ©s, prenons conscience que nous avons besoin les uns des autres, notre « prospĂ©ritĂ© » spirituelle en dĂ©pend ! L’apĂŽtre Jean nous dit : « Je souhaite que tu prospĂšres Ă  tous Ă©gards et sois en bonne santĂ©, comme prospĂšre l’état de ton Ăąme » (3 Jean 2). Si « l’ñme » de l’Église manifeste l’amour en son sein, cette mĂȘme Église sera en bonne santĂ©. Elle pourra affronter toutes les attaques des « microbes » de la puissance des tĂ©nĂšbres et elle donnera envie Ă  ce monde qui se perd. ArrĂȘtons de nous disputer, de nous quereller et de nous blesser les uns les autres. Prenons la ferme dĂ©cision de supporter, soutenir, encourager le membre qui souffre ! Prenons la mĂȘme dĂ©cision ferme de nous rĂ©jouir sans arriĂšre-pensĂ©e quand un membre est mis Ă  l’honneur par Dieu ! Repentons-nous sincĂšrement de notre propension Ă  l’individualisme pour ne faire qu’un avec nos frĂšres et sƓurs. - Lire plus ici :
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miroir-de-sports · 3 months
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Anatomie d'une chute
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Le 29 mai, Ă  trois mois de porter la torche au relais de la flamme paralympique de ChĂątillon-sur-Seine, un chat sans clochette et en fuite, a eu l'idĂ©e de traverser la voie bleue sans retenue au moment oĂč je circulais Ă  vĂ©lo quai de SaĂŽne Ă  Saint Symphorien sur SaĂŽne. Le temps d'une demi-seconde, j'ai bien senti l'animal sous la roue avant, avec la sensation d'une poussĂ©e de sa hanche qui rĂ©sistait Ă  l'Ă©crabouillement. La chute fut inĂ©luctable. Le casque a fait son travail de pare-choc, mĂȘme si j'ai bien ressenti l'onde de choc ; une douleur Ă  l'Ă©paule, des Ă©cchymoses au coude et au genou, m'ont probablement dĂ©livrĂ© d'une syncope. Je fus vite sur pied pour faire l'inventaire des blessures, tout en me rendant compte que le fĂ©lin avait disparu.
Si ce genre d'accident est plutĂŽt commun, on dĂ©nombre tout de mĂȘme au moins un cas d'un animal rĂ©gicide.
L'histoire nous enseigne que le 13 octobre 1131, Philippe De France, héritier du trÎne, fils ainé de Louis le Gros (Louis VI) et d'Adelaide de Maurienne, meurt à 15 ans des suites d'une chute de cheval, provoquée par un cochon errant rue Saint Antoine à Paris. A partir de là, les cochons qui divaguaient ont porté des clochettes.
Il faudrait sans doute en faire porter aux porcs, en Corse et ailleurs, lĂ  oĂč la prĂ©sence d'animaux domestiques vagabonds est rĂ©vĂ©lĂ©e, mĂȘme si toutes ces sonnailes causeraient du tintamarre et du chahut.
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secretsofniflheim · 3 months
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A chaque fois que j’essaye de rĂ©flĂ©chir Ă  comment faire, je pense toujours Ă  la mĂȘme fin mais au tout dĂ©but de la rĂ©flexion. C’est trĂšs frustrant.
DĂšs que j’essaye de me « masturber » l’esprit sur ma vengeance, je ne pense qu’au soulagement que ça m’apportera(is).
Je m’imagine trĂšs clairement au volant d’une voiture arrĂȘtĂ©e, il pleut, les essuies glaces sont trĂšs actifs. Je respire fort, j’ai du sang partout, les mains, les cheveux, le visage. Pas le mien bien sĂ»r, le sien, que j’ai tant dĂ©sirĂ© et auquel je continue de rĂȘver.
Je ne sais pas comment je le retrouverait, mais je le retrouverait. Je le piĂ©gerais aussi sournoisement qu’il m’a piĂ©gĂ©. Je lui retournerais le cerveau comme il me l’a fait. Pour toutes les fois oĂč de par ses manipulations, j’ai du ĂȘtre internĂ©e et pas toujours de mon plein grĂ©. Pour tous les fois oĂč il a adorĂ© me voir virtuellement Ă  ses pieds, prĂȘte Ă  en finir pour lui.
C’était de l’amour mais pas que. C’était pire. Ça faisait trĂšs trĂšs mal. Il n’y avait aucune douceur dans ses paroles, son ton peut-ĂȘtre mais c’est tout. Il m’a eu trĂšs vite.
Trop vite.
Mais il m’a gardĂ© sous le coude pendant trĂšs longtemps. 2017-2019/20 environ. Puis 2021 je suis revenue vers lui, juste pour me faire du mal mais aussi pour voir jusqu’oĂč j’irais cette fois. J’étais en pleine conscience cette fois, j’étais en contrĂŽle de la situation. Je n’étais plus gavĂ©e de mĂ©dicaments donc entiĂšrement lucide. Il a du voir Ă  quel point j’avais changĂ©, je pense que ça lui a plu.
Mais pour celle qu’il a tuĂ©e tant de fois de 2017 a 2020, il faut que je le trouve, que je l’attrape.
Je veux absolument voir son sang, la terreur dans ses yeux, je veux connaütre son odeur quand il comprend que c’est fini pour lui. Je veux le traquer et l’attaquer à la gorge quand il s’y attend le moins.
Quand j’ai vu l’épisode de Handmaid’s Tale oĂč June tue Fred, une partie de moi s’est dit « incroyable, je veux faire ça avec lui. »
Je veux le mordre, le dĂ©chiqueter, le soumettre Ă  tous mes dĂ©sirs charnels, mais surtout celui de l’éteindre. Je veux le manger cru et cuit. Je veux Ă©plucher son intimitĂ© et l’exposer comme une bĂȘte de foire, ma bĂȘte a moi.
Je veux qu’il ait mal et je veux que ce soit Ă  cause de moi. Et je veux qu’il en redemande, qu’il quĂ©mande, qu’il me supplie de respirer le mĂȘme air que lui. De lui jeter ne serait-ce qu’un regard ou un crachat.
Je veux qu’il soit mon jouet comme j’ai Ă©tĂ© le sien, je veux le sentir entre mes dents et mes mains. Ses cheveux enroulĂ©s autour de chacun de mes doigts. Je veux que chacun de ses mouvements soient dictĂ©s par moi. Je veux qu’il soit dans la douleur constante comme celle qu’il m’a infligĂ© toutes ces annĂ©es.
Ça a du ĂȘtre bien drĂŽle pour lui de me voir tomber de plus en plus bas chaque jour, de me voir Ă  l’hĂŽpital, de me voir en sang, dans le coma, en clinique. Il s’en foutait royalement et ça m’a rendue folle. Je voulais qu’il s’en fasse, qu’il m’aime, qu’il vienne, qu’il me prenne, qu’on s’en aille. Je l’aurais suivi de mon plein grĂ©.
Mais il n’est jamais venu. Je ne l’ai jamais vu, ni en photo ni nulle part. Son odeur, ses cheveux, son sourire, sa taille, sa corpulence, son goĂ»t. Tout Ă©tait et reste un mystĂšre.
Seule la douleur qu’il m’infligeait Ă©tait rĂ©elle, c’est comme ça que je savais qu’il existait. Pendant plusieurs semaines ou j’ai dĂ» ĂȘtre hospitalisĂ©e, je ne savais plus ce qui Ă©tait rĂ©el. A cause de lui.
« Je n’ai jamais dit ça. »
« Je te faisais confiance »
« a cause de toi, je me suis fait du mal »
« Si tu m’envoies encore des photos/vidĂ©os de toi, je reprendrais confiance et contrĂŽle de mon corps. On pourra se voir et on sera un couple normal et heureux »
« Je ne t’ai jamais forcĂ©e Ă  m’envoyer quoi que ce soit, tu me fait passer pour quelqu’un que je ne suis pas. »
Il m’appñtait avec de l’amour et de l’attention, mais je n’ai eu que des promesses de cet amour et cet attention. Jamais de preuves palpable. Rien.
Le deuil de Jayden ou du moins de son personnage s’est fait lorsque j’ai connu mon fiancĂ©. Jayden tentait de me garder sous le coude encore quelque temps pour du fap material mais clairement je tombais amoureuse de B. au fil des jours, donc je ne lui donnait plus aucune attention. Il essayait de feindre la tristesse, c’est un trĂšs mauvais acteur d’ailleurs.
J’espùre qu’il saura jouer l’effroi quand je mettrai la main sur lui.
#j.
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albert-prous · 3 months
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ACT218
Ă©picondyle coude limite canopĂ©e douleur tĂȘte palmier royal aigrette dessus grandes plumes aux pieds le lion des plages des regards palmier royal cheveux Ă  histoires aigrette noire son nid dans les palmes royales entre les trois le soir oĂč il n'y a plus de jour prous
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poing-boxe · 3 months
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UDE GATAME : GUIDE COMPLET et Vidéo explicative
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UDE GATAME : GUIDE COMPLET et Vidéo explicative
L'Ude Gatame est une technique que tout bon judoka doit maitriser, mais étrangement, on la pratique assez peu en JJB et en Lutte. C'est pourquoi j'ai décidé de vous faire un tour d'horizon sur cette technique complÚtement sous cotée. On va parler de son exécution, ses origines, ses variations, et comment vous en défendre.
L’Ude Gatame, qu’est-ce que c’est ?
Explication de la technique L’Ude-Gatame, c'est une clĂ© de bras, sur bras tendu. Le but est d'appliquer une pression sur le coude, forçant l'adversaire Ă  abandonner pour Ă©viter une douleur insupportable ou une blessure grave.
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Un judoka pratique l'ude gatame Tout le travail va donc consister Ă  se positionner correctement afin que l'adversaire nous donne sa main. Globalement, on va profiter de chaque occasion de l'adversaire pour saisir son bras et appliquer la pression. Par exemple, lorsqu'il vient nous frapper en direct, nous saisir le kimono ou nous pousser. Elle ressemble au Juji Gatame, mais la position pour la rĂ©aliser n'est pas la mĂȘme. On pourrait dire qu'au lieu de venir appliquer une pression sur l'avant bras ou le poignet en Juji, on va appliquer une pression sur le coude en Ude. Si vous ĂȘtes plutĂŽt visuel, j'ai trouvĂ© une excellent vidĂ©o qui explique la technique et ses quelques variantes, que l'on verra plus bas.   Origine de la technique En japonais, "Ude" signifie "bras" et "Gatame" se traduit par "immobilisation" ou "contrĂŽle".  Cette technique a Ă©tĂ© popularisĂ©e dans le judo et le jiu-jitsu brĂ©silien (JJB), mais ses racines remontent au 19Ăšme siĂšcle. En effet, il a Ă©tĂ© crĂ©e par Jigorƍ Kanƍ, le fondateur du Judo. Beaucoup de techniques de JJB portent d'ailleurs des noms japonais, en rĂ©fĂ©rence Ă  cet art martial. MĂȘme si en France, on pratique peu ce contrĂŽle du coude, elle est au centre de nombreuses disciplines dans beaucoup de pays. Par ailleurs, les frĂšres Gracie, pionniers du JJB, ont popularisĂ© cette technique, notamment avec les Ă©vĂšnements UFC, oĂč Royce a combattu de nombreuses fois.   Les erreurs courantes lors de l’exĂ©cution de l’Ude Gatame MĂȘme les meilleurs peuvent se tromper. Voici quelques erreurs courantes Ă  Ă©viter : - Positionnement Incorrect : Si votre corps n’est pas bien alignĂ© et proche de l'Ă©paule, vous n’appliquerez pas la pression nĂ©cessaire pour faire le levier - Manque de ContrĂŽle : Sans contrĂŽler le corps de votre adversaire, il pourra se libĂ©rer facilement - Application de la Pression : La pression doit ĂȘtre progressive et contrĂŽlĂ©e, tout en maintenant le bras tendu
Les différences entre le judo et le JJB
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Le judo et le JJB (jiu-jitsu brĂ©silien) utilisent tous deux l'Ude, mais avec quelques diffĂ©rences notables. En judo, l'Ude est souvent utilisĂ©e aprĂšs une projection spectaculaire. Une fois que l’adversaire est au sol, on passe rapidement Ă  l’immobilisation du bras.  En JJB, cette technique est utilisĂ©e Ă  partir de diverses positions comme la garde ou la monture. Le JJB met l'accent sur le contrĂŽle constant et les transitions fluides, exploitant chaque opportunitĂ© pour soumettre l'adversaire.
Comment se défendre et contre-carrer un Ude Gatame
Posture Correcte La premiĂšre ligne de dĂ©fense est de maintenir une posture correcte. Ne jamais tendre complĂštement son bras, toujours les garder prĂšs du corps. Si malgrĂ© tout votre adversaire a dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  travailler essayez de vous rapprocher de votre adversaire afin de pouvoir plier votre coude. Pensez globalement Ă  rester compact et bien serrĂ©.  Cette posture empĂȘche votre adversaire d’étendre complĂštement votre bras et de finaliser la soumission. Attraper Votre Propre VĂȘtement Une astuce efficace consiste Ă  attraper son propre gi ou votre autre bras pour empĂȘcher l’extension complĂšte du bras. Cela peut sembler simple, mais cette technique peut vraiment compliquer la vie de votre adversaire. Utilisez votre gi comme une armure protectrice, empĂȘchant ainsi votre bras de se faire totalement immobiliser. Attention cependant Ă  ne pas donner votre dos en saisissant votre bras, c'est une erreur qui revient souvent. Tout est une question de timing. Transition Rapide Une autre mĂ©thode de contre nĂ©cessite d'avoir un peu de bagage technique et une grosse prise de risque. Utilisez la tentative de clĂ© de bras de votre adversaire comme une opportunitĂ© pour passer Ă  une position dominante. En tant que dĂ©butant, vous ne connaitrez pas ses positions, mais vous pouvez faire quelques mouvement basiques comme ponter, balancer votre hanche et tenter des roulades avant ou arriĂšres. Par exemple, si vous sentez que votre adversaire initie un Ude-Gatame, vous pouvez rouler et utiliser cette Ă©nergie pour prendre la monture ou mĂȘme le dos de votre adversaire. Cette transition rapide peut non seulement vous sauver d'une soumission, mais aussi vous mettre en position de contrĂŽler le combat. Lever et EmpĂȘcher la Pression Si votre adversaire a dĂ©jĂ  engagĂ© l’Ude-Gatame, essayez de lever votre bras pour empĂȘcher l’application de la pression. En levant votre bras, vous rĂ©duisez l'effet de levier de votre adversaire, rendant plus difficile pour lui d'appliquer une pression suffisante pour complĂ©ter la soumission. Parfois, un simple mouvement vers le haut peut dĂ©samorcer la technique. Utiliser Vos Jambes Vos jambes peuvent Ă©galement jouer un rĂŽle crucial dans la dĂ©fense contre l’Ude-Gatame. Utilisez-les pour pousser ou dĂ©sĂ©quilibrer votre adversaire. Par exemple, si vous ĂȘtes au sol, vous pouvez utiliser vos jambes pour pousser sur le bassin de votre adversaire et crĂ©er l'espace nĂ©cessaire pour Ă©chapper Ă  la soumission. Rester Calme et Respirer Enfin, le conseil le plus important est de rester calme et de respirer. La panique est votre ennemi dans toute situation de soumission. Prenez une respiration profonde, Ă©valuez votre position et utilisez les techniques apprises pour vous dĂ©fendre. La clĂ© est de rester mĂ©thodique et de ne pas gaspiller d'Ă©nergie inutilement. En rĂ©sumĂ©, contrer un Ude-Gatame nĂ©cessite une combinaison de bonnes postures, de l'utilisation intelligente de votre propre vĂȘtement, de transitions rapides et de techniques de levage et d'utilisation des jambes. En pratiquant rĂ©guliĂšrement ces dĂ©fenses, vous deviendrez de plus en plus confiant pour Ă©chapper Ă  cette redoutable clĂ© de bras.
Les Applications en MMA
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L’Ude-Gatame, comme toutes les techniques de grappling, trouve une place de choix dans le MMA. Prenez des combattants comme Khabib Nurmagomedov, dont le contrĂŽle au sol est lĂ©gendaire. Bien que l’Ude-Gatame ne soit pas sa technique de prĂ©dilection, ses principes de contrĂŽle et de soumission sont les mĂȘmes. Dans le MMA, savoir l'exĂ©cuter peut ĂȘtre la diffĂ©rence entre la victoire et la dĂ©faite.
FAQ
Comment rendre mon Ude-Gatame plus efficace ? Pour rendre votre Ude-Gatame plus efficace, concentrez-vous sur le contrĂŽle de votre adversaire avant d'appliquer la soumission. Assurez-vous que votre corps est bien alignĂ© et que vous appliquez la pression de maniĂšre progressive et contrĂŽlĂ©e. Quelle est la meilleure position pour tenter un Ude Gatame en MMA ? La meilleure position pour tenter un Ude-Gatame en MMA est gĂ©nĂ©ralement Ă  partir de la monture ou de la garde. Cela vous permet de contrĂŽler l’adversaire et de rĂ©duire ses options de fuite. On peut aussi la tenter en Ă©tant debout. Peut-on utiliser l’Ude Gatame en self-defense ? Oui, l’Ude-Gatame peut ĂȘtre utilisĂ© en self-defense, mais avec prĂ©caution. Assurez-vous de bien maĂźtriser la technique et d’ĂȘtre conscient de la force que vous appliquez pour Ă©viter de blesser gravement l’agresseur. Combien de temps faut-il pour maĂźtriser l’Ude Gatame ? La maĂźtrise de l’Ude-Gatame dĂ©pend de la frĂ©quence et de la qualitĂ© de votre entraĂźnement. Avec une pratique rĂ©guliĂšre et des instructions appropriĂ©es, vous pouvez maĂźtriser les bases en quelques mois, voir quelques jours. Cependant, le perfectionnement de la technique prendra des annĂ©es de pratique dĂ©vouĂ©e. Read the full article
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sadistiicangel · 6 months
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‱ SWEET DREAMS BITTER NIGHTMARES ‱
CHAPITRE 3: Attention... Ça tourne !
°°°
Trois jours plus tard
 Trois long jours qui avaient paru une Ă©ternitĂ©.. Syana se rĂ©veilla. Difficilement.. et avec bien des douleurs mais sans aucun "souvenirs" ne lui paraissant “rĂ©els” pour les jours passĂ©s... Et pourtant, son corps lui faisait bien comprendre que tout l'Ă©tait. Mais... Sans comprendre ce qu'elle avait pu vivre, subir. La seule vague de souvenirs qu'elle avait Ă©tait
 ces choses lui Ă©tant arrivĂ©. Ces Ă©trange choses. Ces Ă©vĂ©nements passĂ©s et ce
 monstre?
Cette chose s'en Ă©tant pris Ă  elle.
Mais, Ă©tait-ce rĂ©el ou dans sa tĂȘte ? Son ventre lui faisait si mal au point mĂȘme que bouger trop soudainement ou manger Ă©tait horrible, tout comme pour son bras. Cette sensation, comme s'il avait Ă©tĂ© arrachĂ© puis remis comme Ă  une poupĂ©e. Ou bien mĂȘme sa gorge. Quelle horreur. Une horreur bien trop rĂ©elle pour ĂȘtre imaginĂ©e. Avait-elle fait quelque chose de mal pour avoir aussi mal ? Pour subir autant de choses ? Ou Ă©tait-ce le simple fait d'exister et ĂȘtre comme elle Ă©tait qui lui valait tout cela ?
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Un long soupire passa ses lĂšvres alors qu'elle restait assise, serrant sa peluche requin contre elle, ne sachant que faire de plus. Mais— ah! En plus.. avec tout cela
 elle n'avait en rien pu faire ses courses- Gaah
 La bleutĂ©e baissa la tĂȘte en faisait une petite moue, riant alors nerveusement, en se disant mĂȘme qu'elle Ă©tait
 vĂ©ritablement maudite. Elle qui n'aimait pas sortir, si c'Ă©tait ce qui l'attendait Ă  chaque fois maintenant, elle prĂ©fĂ©rait encore crever de faim. Penser Ă  une chose aussi stupide que ses courses aprĂšs ce qu'elle venait de vivre

« Yuyu
 Dommage que tu peux pas faire les courses Ă  ma place, hein- 
 Oui je sais, "Grunk!" Tu veux ta salade— 
 »
La voix encore cassĂ©e et douloureuse, elle parlait comme elle le pouvait; en de petits soupirs douloureux. Elle regarda son cher lapin vadrouiller ainsi, faire ses zoomies habituels avant de venir flop contre son petit dodo. La vie de lapin comme lui devait ĂȘtre formidable. Un long soupir passa ses lĂšvres, se transformant en un grognements de douleur avant de tousser pĂ©niblement. Elle avait mal, certes, mais elle pouvait le supporter, comme d'habitude. Elle ne savait plus comment ces douleurs Ă©taient “rĂ©ellement” apparues, de façon rĂ©alistes et non aussi stupide comme son esprit le lui disait.., Aka
 avoir Ă©tĂ© maltraitĂ© par une chose inhumaine, mais tout irait bien. Comme d'habitude, n'est-ce pas-?
Se relevant sur ses deux pieds, elle alla se saisir de son sac, Ă©tant Ă  moins d'un mĂštre, sortant alors une petite boĂźte Ă  mĂ©dicaments. Hmm
 un Doliprane suffirait pour le moment, au moins le temps de sortir faire ce qu'elle espĂ©rait ĂȘtre des courses. Elle l'avala en se pinçant le nez, tirant la langue ensuite. DĂ©cidĂ©ment, c'etait toujours chiant Ă  prendre. Dire qu'en Ă  peine quelques semaines et voulant simplement sortir, sa vie entiĂšre Ă©tait passĂ©e de banale Ă  beaucoup trop mouvementĂ©e. C'Ă©tait Ă  peine croyable.. Elle regarda alors son lapin ainsi au sol, un lĂ©ger sourire aux lĂšvres, se dĂ©cidant Ă  aller nourrir son petit gremlin albinos.
Ceci fait et un moment plus tard, ayant attendu que son mĂ©dicament fasse un minimum effet, la voilĂ  chaussures aux pieds, veste mise, et avec un magnifique Ă©cusson au coude, un chat
 elle ne se souvenait pas en avoir mis un Ă  cet endroit, mais ça donnait un certain style! MĂȘme si
 au bras ou elle avait mal, c'Ă©tait une Ă©trange coĂŻncidence mine de rien. Elle souffla lentement, prenant son petit porte-monnaie et son sac, hĂ©sitant un long moment, Ă©tant devant sa porte d'entrĂ©e, les yeux fermĂ©s. Devait-elle
 y aller ? Quelque chose, une soudaine peur, semblait la retenir, l'empĂȘcher
 C'Ă©tait totalement idiot, que pourrait-elle avoir de plus que ce que son esprit lui remĂ©morait inlassablement, comme un rĂȘve lucide. Ce monstre, cette chose, elle avait simplement dĂ» la rĂȘver, l'imaginer de toutes piĂšces depuis son esprit farfelu, oui
 Elle devait simplement ĂȘtre

ParanoĂŻaque.
Ahah..
Ces choses qu'elle avait dĂ» imaginer Ă  la place de la rĂ©alitĂ©, pour combler sa peur de la foule ou d'ĂȘtre au contact d'autres gens, sans doute
 Hah.
Enfin, c'est ce qu'elle aurait espĂ©rĂ©. La voilĂ  fuyant Ă  nouveau la rĂ©alitĂ©, espĂ©rant s'en sortir sans dĂ©gĂąt
 Pourquoi toutes ces choses lui arrivaient comme ça, d'un coup, du jour au lendemain -?! Elle n'avait rien demandĂ©, elle n'avait rien souhaitĂ© de tel-...
Elle

Elle avait souhaité.
Ce stupide vƓu fait face Ă  ce magasin. C'Ă©tait
 impossible ! Elle refusait de croire que parmis tous les gens de l'univers, son vƓu avait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©, surtout de cette façon. Elle avait demandĂ© une vie plus "vivante", non de mourir bĂȘtement lors d'une sortie !
Serrant la clanche de sa porte, elle ravala pĂ©niblement sa salive, cette derniĂšre passant bien mal, tout en Ă©tant au bord des larmes. Et si .. si elle Ă©tait comme cette chose qu'elle avait vu-? Elle se cogna la tĂȘte d'un coup, contre sa porte, geignant alors de douleur en se frottant le front avec sa main.
« Mais quel con put- Gaaah
.- AĂŻe aĂŻeuh—
 Pas possible d'ĂȘtre aussi co- Une douleur en plus, trop cool—! Ahah ..»
Ses jérémiades fini, elle regarda par le judas de sa porte, une moue au visage. Personne

Pourvu qu'elle ne rencontre personne cette fois. Elle n'avait qu'Ă  passer deux arrĂȘts, et elle pourrait faire des courses, en toute sĂ©curitĂ© ! Syana fit signe Ă  son cher Yuyu, qui devait se poser bien des questions sur la santĂ© mentale de sa maĂźtresse parfois, avant d'y aller. ClĂ©s en poche, la voilĂ  partit, bien rapidement, comme pour Ă©viter quoi que ce soit, Ă©viter tout monde possible

Éviter de revivre ce que son esprit tentait de lui remĂ©morer. Si ces choses Ă©taient vĂ©ritablement
 vraies.
Maintenant en ville, ayant décidé de marcher et de non prendre un quelconque bus ou tram, elle remettait en question son choix.
Pourquoi je suis sortie.
Pourquoi j'suis aussi con.
Pourquoi je suis pas restĂ© bĂȘtement et simplement dans mon lit Ă  la place de me trauma encore plus -?!
Se disait-elle tout en marchant. Se frottant le front dû à son précédent, et idiot, geste.
À son grand malheur, elle fut en plein.. "embouteillage de monde-?", comme elle appelait la chose. Ses Ă©couteurs dans les oreilles, elle regarda Ă  droite, Ă  gauche, agitant ses doigts dans les poches de sa veste comme Ă  son habitude au rythme de ce qui lui passait en tĂȘte, voulant Ă©viter une crise de n'importe quel genre. Panique, peur, Ă©nervement... tout. Mais ĂȘtre dans un tel nƓud de gens, venant de tout les sens, c'Ă©tait impossible d'avancer -?! Impossible. Dire que quelque jours avant, les rues qu'elle prenait quotidiennement Ă©tait littĂ©ralement vide.
Le karma, le monde entier, était contre elle, impossible autrement- elle avança, se faufilant entre les gens, voulant au minimum avancer, ce sortir de cette longue rue.
« 
 Chance sur mille
 un milliard, Sya'... Bordel, pourquoi toujours moi
-? »
Elle chercha alors un potentiel endroit calme, ou elle pourrait se reprendre, se calmer, ĂȘtre un peu hors de cette foule qui lui faisait perdre contrĂŽle de tout en elle
 Mais ĂȘtre bousculĂ© tĂ©l un chiffon, telle une feuille au vent, et rĂ©flĂ©chir en mĂȘme temps n'Ă©taient pas deux choses qui allaient ensemble pour elle. Pris de panique, elle se tourna Ă  mainte reprise, tournant en rond encore et encore... se cognant Ă  plusieurs personnes avant, d'enfin, faire face Ă  un mur. En effet, Ă  force d'ĂȘtre bousculĂ© de la sorte, son chemin avait totalement
 dĂ©viĂ©. Un mur en coin. Elle Ă©tait totalement bloquĂ© Ă  prĂ©sent ! Entre ces murs, et les gens passant en trombes derriĂšre elle. Mais la chose la plus Ă©trange, comme si elle ne semblait pas en avoir eu assez, Ă©tait qu'elle voyait des gens. Non pas derriĂšre elle en tournant la tĂȘte, surtout vu ce Ă  quoi elle faisait face, mais
 derriĂšre ce mur auquel elle faisait face. Des hommes en uniformes blanc, faisant passer des gens sous un Ă©trange
. BĂąton ? Elle ne savait absolument pas ce qu'Ă©tait cette chose, mais quelle qu'elle soit, la plupart des gens semblant y passer .. n'en sortaient pas.
Qu-...
Elle recula alors, prise de peur et semblant se poser bien des questions Ă  nouveau. Voir au travers d'un mur Ă©tait impossible ! Mais.. bien du monde semblaient la fixer Ă  prĂ©sent, ayant reculĂ© au point d'ĂȘtre Ă  nouveau dans la foule, alors que quelque seconde avant, tout le monde l'ignorait tel un fantĂŽme. Se tournant lentement, son regard ambrĂ©e regarda rapidement de droite Ă  gauche, les gens la fixant, elle fut prise de court et d'une panique impossible Ă  exprimer, quand une femme la pointa du doigt tout aussi soudainement, hurlant un;
« Regardez-la ! Elle en fait partie! Sa rĂ©action le prouve– T-Tuez la—!! »
Ne comprenant rien Ă  rien, elle secoua vivement et nĂ©gativement la tĂȘte, disant qu'elle ne faisait partie de rien, elle recula doucement, sa voix se dĂ©chirant en un horrible silence. Les mots restent coincĂ© dans sa gorge alors que les larmes lui venait aux yeux. C'Ă©tait quoi encore, comme histoire -?! Pourquoi devrait-on la tuer en plus de cela-?! Elle partit dans le sens inverse Ă  ces gens, un Ă©trange frisson parcourant son corps, dĂ©rapant comme si le sol glissait, elle jura entre ses dents.
Faire partie de quoi ?
La tuer pour quelle raison ?
Qu'avait elle fait de mal a cet instant ?
Pourquoi et comment avait-elle pu voir
 au travers d'un mur-?!
Dans l'incomprĂ©hension totale de cette suite d'Ă©vĂ©nements, elle sentait que sa tĂȘte n'en pouvait plus, tout comme elle. Son corps Ă©tant dĂ©jĂ  Ă©trangement faible depuis plusieurs jours, elle ne savait que faire, hormis fuir.
Enfin

C'est ce qu'elle aurait aimé faire-
Fuir.
Sa tĂȘte heurta un corps, jurant aussitĂŽt en se mordant la langue, elle recula, prĂȘte Ă  fuir Ă  nouveau, Ă  dĂ©taler au sol s'il le fallait, avant de sentir quelqu'un lui agripper le poignet mais non brutalement, plutĂŽt
 doucement, comme pour lui dire de se tenir en place. Surprise mais aussi effrayĂ© de ce geste, elle tourna doucement la tĂȘte, les yeux rougissant de larmes, tremblante de tout son long, elle osa regarder la personne qui venait de l'arrĂȘter

Encore une fois, sa simple sortie finissait ainsi- c'était
 une horrible habitude qu'avait pris sa vie décidément. Mais elle fixa cette main, son regard remontant doucement pour voir cette personne, voyant un homme habillé de noir; un long trench-coat bordeaux sur les épaules, index contre ses lÚvres à lui en signe de ne pas faire de bruits. Il lui fit signe de la suivre, la tirant avec lui, évitant avec brio et aisément tout ce monde. C'était incroyable

L'homme devait avoir
 la vingtaine, qui sait, Ă  vue d'oeil. Les cheveux mi-longs d'un magnifique chĂątain foncĂ©, coiffĂ©s en arriĂšre, une longue tresse Ă  l'avant d'un cĂŽtĂ© de son visage. Les yeux noisette si elle avait vu malgrĂ© la vitesse. Elle ignorait tout de cet homme, mais
 il ne semblait pas avec ceux en blanc ni mĂȘme de l'avis de la tuer comme les autres l'avait si expressĂ©ment hurlĂ©, ceux la poursuivant alors, mais dont le bruit semblait s'Ă©loigner au fut et Ă  mesure que l'inconnu la guidait plus loin. Peut-ĂȘtre aurait-il des rĂ©ponses
Hein ? Peut-ĂȘtre pourrait-il l'aider Ă  comprendre tout celĂ , pourquoi et comment sa vie avait tant changĂ©-? Non .. c'Ă©tait idiot de penser comme ça, de ce dire qu'un simple Inconnu allait avoir les rĂ©ponses Ă  ses stupides questions. Comment ces choses si Ă©tranges n'arrivaient qu'Ă  elle
 RĂ©flĂ©chissant bien trop, elle ne rĂ©alisa pas de suite que leurs fuite Ă©tait finie, et que cet homme l'avait emmenĂ© devant un arbre. Immense. Si grand qu'il Ă©tait digne d'un bĂątiment haut de dix Ă©tages. Enfin
 au minimum. Vu le tournis que celĂ  lui donnait, ce devait mĂȘme ĂȘtre plus ! Elle le regardait, son nƓud en plein milieu lui faisant penser Ă  la façon dont elle les dessinait il y a bien longtemps. Mais le plus surprenant pour le moment Ă©tait ces choses rĂ©partit sur les longues branches. Elle pencha la tĂȘte, tendant son bras libre comme pour les toucher sans y parvenir, n'en revenant pas, avant de voir cet homme, bras croisĂ©s contre son torse, la fixer, l'air sĂ©rieux mais Ă  la fois surpris. AgrĂ©ablement surpris

« Donc tu peux le voir. Bien. Si ces hommes t'auraient attrapé tu aurait pû dire adieu à ta vie. Comme les autres quoi. Heureusement que ma patrouille se faisait à ce moment.
-C
 C'est
 censĂ©e ĂȘtre
 rassurant
?
- Oui. Entre.
- Huh
? S-Stop–! »
Un soupire d'exaspĂ©ration passa les lĂšvres de l'homme au manteau, il la prit par les Ă©paules pour la pousser bien rapidement avant de la faire passer au travers de l'arbre, par ce nƓud. Tout aussi Ă©trange que ces propos, Syana hurla de surprise avec sa voix encore faible, finissant a l'intĂ©rieur, Ă  genoux. Les mains au sol et tremblante de cette surprise. C'Ă©tait
 digne d'un conte de fĂ©e tout ça, c'Ă©tait pas la rĂ©alitĂ© -! Elle regarda autour d'elle, tournant sur elle-mĂȘme tout en tapant le sol rapidement, comme pour s'assurer de la chose, la vue semblant la choquer au point de faire une dizaine de tours sur elle-mĂȘme pour admirer tout cela.
À l'intĂ©rieur, cet "arbre" ressemblait en tout point Ă  un immeuble, oĂč tout du moins, diverses piĂšces reliĂ©es par des escaliers. Des Ă©tagĂšres aux murs les plus proches ainsi que divers livres, des milliers de livres et ce genre...d'aquariums cylindriques, vides, mais bien prĂ©sents dans le fond de la piĂšce. Elle ne savait que dire, hormis
- si
 y avait-il des murs ici-? Ou est-ce que ses yeux lui jouaient encore des tours Ă  ne pas les voir par elle ne sait quelle magie —?!
Son cƓur battant Ă  une vitesse bien trop Ă©levĂ©e, elle crut tomber en arriĂšre, avant de se cogner , Ă  nouveau
 et donc de voir un homme derriĂšre elle, vĂȘtu d'un costume Ă©trangement stylisĂ©, une capuche sur la tĂȘte.Dos Ă  celui-ci et Ă©tant toujours au sol, elle releva la tĂȘte pour le regarder

Cet homme-ci devait avoir sans doute la cinquantaine, ou plus ùgé quoi. Des cheveux courts et blancs cendrés, malgré cette capuche les couvrant. Des yeux d'un magnifique vert pùle, digne de pierre de jade, donnant un magnifique contraste. Le plus surprenant étant cet air si apaisant et réconfortant qu'il affichait et dégageait.
La jeune aux oreilles pointues le regarda, se tournant et relevant aussitĂŽt comme par rĂ©flexe, dĂ©testant ĂȘtre dos aux gens. Qui- Qui Ă©tait-il-..? Pourquoi avait-elle cette impression de l'avoir dĂ©jĂ  vu
 Cette Ă©trange impression alors qu'elle ne le connaissait absolument pas

« Merci, Nathan. Je te suis reconnaissant de ton aide ici. 
Mademoiselle, vous ĂȘtes en sĂ©curitĂ© ici. Puisque cela fait la seconde fois que nous nous rencontrions, je me prĂ©sente
 Je me nomme Garance et je suis celui Ă  la tĂȘte de cette “organisation” dirons-nous. Je vous prie de me suivre..
-Seconde
 fois ? Huh
? -Elle pencha la tĂȘte en haussant un simple sourcil- Et 
Si je
 r
re
refuse
?
- Tu souhaites peut-ĂȘtre retourner dehors et ne rien comprendre ? Comme tu l'as si bien fait jusqu'Ă  maintenant ? Vas-y alors, hop. -Il lui fit un signe de la main- Allez. Nous ne connaissons pas ton rang donc tu as une possibilitĂ© sur trois d'ĂȘtre tuĂ© ou de crever comme un chien coĂ»te que coĂ»te.
- Nathan ! Il suffit. »
Avait fait franchement le dénommé Nathan, avant de se faire réprimander, sa langue étant aussi affûté qu'un couteau, et sa franchise
 digne de la sienne quand elle ne connaissait pas quelqu'un ou qu'elle était dans son dis mauvais "mood".
Hah

Mais, elle regarda l'homme Ă  la capuche, le suivant tout simplement. Mourir-... Ce mot lui rĂ©sonnait Ă  prĂ©sent en tĂȘte. Pourquoi devrait-elle mourir comme un criminel -? Elle n'avait rien fait pourtant ! Rien Ă  avouer ou mĂȘme Ă  culpabiliser. Elle fut conduit face Ă  l'un de ces Ă©tranges aquarium, qui avait attirĂ© son regard peu de temps avant. Regardant ce dernier, elle tourna pourtant la tĂȘte Ă  sa droite, lĂ  oĂč l'homme Ă©tait debout, le fixant dans la plus grande incomprĂ©hension

« Assieds-toi je te prie. Calme toi et imagine toi plonger dans une immense bulle. Une bulle oĂč tu es en sĂ©curitĂ©. Aussi Ă©paisse qu'un char d'assaut et loin de tout
 Peux-tu y arriver ?
-.... Huh-? Hmmh
- Je
 Hmn-
- Doucement, doucement
 parfait-... Maintenant, pose les mains sur la paroi, ton front Ă©galement et
 Ahah— parfait nous y voilĂ , ouvre les yeux, doucement

- 
Qu- Ah-! HAH— QU-?! »
Écoutant cet homme Ă  la voix douce, mais semblant se mĂ©fier de lui malgrĂ© cela, elle fit comme indiquer, mais au moment mĂȘme ou son front toucha cette parois... elle eut l'impression de fondre au travers, d'entrer dans quelque chose de si confortable et apaisant. Ce qui se confirma quand elle ouvrit Ă  nouveau les yeux sous la demande de ce Garance, voyant une douce lumiĂšre Ă©manant tout autour de l'aquarium. Prise de surprise, elle hoqueta Ă  nouveau, regardant autour d'elle, ses cheveux flottant comme dans de l'eau, alors qu'aucun liquide n'Ă©tait prĂ©sent Ă  l'intĂ©rieur, d'autant plus qu'elle pouvait respirer Ă  plein poumons
surprenant, fascinant
 le calme se faisant sentir ainsi, elle souffla, de bonheur, les yeux brillants. OĂč qu'elle soit, elle aurait bien voulu avoir la mĂȘme chose chez elle! MĂȘme si son tout petit appartement n'aurait sans doute pas la place. Du coin de l'oeil, elle pu apercevoir les deux hommes parler, se signer plusieurs gestes, le calme aux visages, avant que le plus ĂągĂ©, celui Ă  la capuche, ne lui tapote l'Ă©paule, signe de sortir. Ce qu'elle fit, Ă  contrecoeur, face Ă  cette sĂ©rĂ©nitĂ© qu'elle avait pu ressentir..
« Puis-je savoir ton prénom ?
-
.. -Elle recula de quelques pas, serrant son haut à elle-
- N'aie crainte, allons... S'il te plaĂźt— Nous ne te feront rien de mal, au contraire... Nous allons t'aider et rĂ©pondre Ă  ce que tu souhaites. Nous sommes tous similaires ici, et tu es des "nĂŽtres" si je peux me permettre de te dire.
- 
.. Syana-... Syana Rheim

- Syana
 Merci. Ton rang est le cinq, tu semble détenir un pouvoir te permettant de voir au travers de tout; Humains, murs, portes, qu'importent les choses. Un pouvoir impressionnant je dois l'avouer... Mais, je suppose que tu n'en avais pas conscience... N'est-ce pas ?
- 
. N
 Non- c'est
 impossi- C-Comment
–?
- Je vois
 toutes ces choses Ă©tranges y sont liĂ©s et ces "hommes en blancs" que tu as dĂ» voir sont ceux devant arrĂȘter les gens comme nous, ceux Ă  "pouvoirs". Je sais que cette histoire doit te paraĂźtre folle et irrĂ©elle, digne d'un rĂȘve, mais je peux t'assurer que ce n'est que la vĂ©ritĂ©. Alors 
 je t'Ă©coute; as-tu des questions ?
- P
Pourquoi tout ça est apparus d'un coup
 ? Pourquoi moi...? Un jour j'Ă©tais normale et tranquille .. et a-aprĂšs
 tout Ă©tait comme ça, je pouvais voir ces
. Ces horreurs, au travers des murs, et des choses bizarres arrĂȘtent pas de m'arriver.. tout les jours- je
 je comprends rien-! J'ai l'impression de devenir folle-
- Malheureusement tout est rĂ©el
. Tout. Ce monde, ces choses, nous
 tout existe. Je suppose Ă©galement que tu as dĂ» avoir un Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur, quelque chose qui t'as fait sortir de ton quotidien. Ou bien mĂȘme un dĂ©sir. Quelque chose aussi petit et impossible soit-il, non
 ?
- Uh
 Je
 voulais simplement une vie moins ennuyeuse- ĂȘtre un peu plus
 normale— et quand je suis passĂ© devant ce magasin, je l'ai souhaitĂ© et le jour d'aprĂšs
 BAM ! J.. J'ai rien fait de mal, je vous promets monsieur Garance ! Je
 je voulais pas, je- J—
- 
 Je vois. -Garence pencha la tĂȘte tout en se tenant le menton- Je vois Syana, calme toi ma chĂšre
 nous t'aideront, je te le promets. Nathan, je compte sur toi pour l'aider. Ton pouvoir est de loin le plus utile de tous les membres ici et tu es l'un des plus informĂ©s et fort ici-mĂȘme.
- 
 Je n'ai de toute façon pas le choix hein, alors soit. J'accepte.
- Je
 je veux rentrer, ça recommenc— 
 mal
 Ă  la tĂȘt-... »
Mais la pauvre bleutĂ©e n'avait pas pu en dire d'avantage ni entendre plus, son mal de tĂȘte revenant ainsi que ses douleurs, elle ne rĂ©alisa que trop tard qu'elle venait de tomber au sol, ou sur quelqu'un... Comment pouvait-elle le savoir dans cet Ă©tat, un malaise. Toutes ces choses
 tant de nouvelles choses
. Pouvait-elle vĂ©ritablement compter sur ces gens ? Contrairement aux autres, elle n'avait pas eu cet Ă©trange sentiment de malaise, de mal ĂȘtre. Cette envie de fuir et de se cacher loin
 ces gens semblaient
 diffĂ©rents, et ils l'Ă©taient, en soit. Oui. Tout comme elle, elle n'Ă©tait pas si
 normale, banale, bien que toujours digne d'un fantĂŽme par moment

Peut-ĂȘtre que ces gens pourraient l'aider, en tout, et ne pas rester dans l'incomprĂ©hension.
Elle espérait

Ce tournant était quelque chose qu'elle n'aurait jamais prévu, et qu'elle n'avait pas su gérer

.
.
.
FIN DU CHAPITRE 3.
© sadistiicangel – 2024. All art and writting by sadistiicangel ! Do not copy / steal / trace/ repost anything please. Thx.
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greendaxcat · 8 months
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Le Nova Scotia Retriever est un chien actif de taille moyenne avec un mouvement de queue distinctif et des pattes palmées
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Leur coloration varie dans toutes les nuances de rouge ou d'orange, avec les parchos sous la queue plus clairs, et certains ont une coloration blanche sur le bout de la queue, les pattes et la poitrine.  Les chiens adultes mesurent entre 48 et 51 cm et les chiennes adultes entre 45 et 48 cm et pÚsent entre 17 et 23 kg.
Le Nova Scotia Retriever (ou « Toller ») a Ă©tĂ© Ă©levĂ© au dĂ©but du XXe siĂšcle pour dĂ©tecter, attirer et rĂ©cupĂ©rer les chasseurs de sauvagine.  On pense qu'ils sont le rĂ©sultat de plusieurs croisements impliquant le Golden Retriever, le Chesapeake Bay Retriever, le Labrador Retriever et le Straight-Coated Retriever.  Ils peuvent Ă©galement avoir une petite quantitĂ© de gïżœïżœnes Cocker Spaniel, Irish Setter et Working Collie, ainsi que plusieurs variĂ©tĂ©s de races Spitz.  Ils s'appelaient autrefois Little River Duck Dog ou Yarmouth Toller.
Le Nova Scotia Retriever aime passer du temps à l'extérieur et est idéal pour une famille active qui vit à l'extérieur de la ville.  Il adore faire de l'exercice et peut exceller dans les sports canins comme le flyball, l'agility, etc.  Il est joueur et énergique.
Comme de nombreuses autres races, le Nova Scotia Retriever peut souffrir de diverses affections oculaires hĂ©rĂ©ditaires, ainsi que de dysplasie de la hanche et du coude (affections articulaires pouvant causer des douleurs intenses et entraĂźner des problĂšmes de mobilitĂ©).  Par consĂ©quent, avant la reproduction, les yeux et les hanches doivent ĂȘtre examinĂ©s.
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