Tumgik
#contredires
thriller-addict · 1 month
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"Mesures désespérées" de Katee Robert
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tealviscaria · 7 months
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J'ai toujours cette partie en tête :
T'as rien dans la tête T'as trop fait la fête Trop smoké la moquette Djahyef, s'te plaît, arrête
Alors je me suis amusée à faire cette traduction :
Sis hlavu vymet' Z párty kulhal v pět Takhle se zase sjet... Djahyefe, uber, zpět
J'ai essayé de conserver les rimes et le nombre de syllabes, et j'ai donc dû modifier un peu le contenu. C'est difficile à traduire, mais ça devrait signifier quelque chose comme ça:
T'as la tête balayée (mít hlavu vymetenou = avoir la tête complètement vide, i.e. no thoughts, head empty. C'est marrant parce que quand j'ai mis ma traduction dans Deepl, ça m'a offert "tu t'es fait exploser la tête") Tu as quitté la fête en boitant à cinq heures Se défoncer comme ça encore... Djahyef, ralentis, reprends-toi (zpět veut dire "en arrière")
Si je voulais être plus fidèle aux paroles qu'à la forme, je le traduirais ainsi:
Máš hlavu úplně prázdnou Moc jsi kalil Moc jsi kouřil Djahyefe, prosimtě, přestaň
C'est fascinant. les langues, non? :D
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bon j'ai pu retrouver le wip d'une fanfic kaamelott que j'écrivais, peut-être que je vis l reprendre
si possible au moins finir l'intro avant que le deuxième volet ne sorte
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girafeduvexin · 9 days
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Si vous êtes prof de français et que vous en avez marre de voir des manuels de grammaire se contredire, il y a la grammaire officielle de l'éducation nationale qui me sauve régulièrement la vie. On peut pas la donner comme ça aux élèves parce qu'elle est pas fun du tout mais elle est très claire.
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rollinginthedeep-swan · 7 months
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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ekman · 1 month
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Le mensonge a cessé d’être un vice moral et intellectuel pour devenir un système de gouvernement. C’est un progrès considérable pour les mondialistes, car il a pour première vertu de faire disparaître toute notion d’éthique dans les sociétés dites “avancées”. Comment le mensonge généralisé – statistique, médiatique, étatique – est-il parvenu à effacer non une quelconque vérité, notion fumeuse et très discutable, mais plus radicalement, à escamoter la réalité toute entière ?
Première mise au point, indispensable : qu’est-ce que la réalité aujourd’hui ? Est-elle seulement définissable ? Fait vérifié : la réalité n’est plus le produit de l’observation individuelle, mais celui du discours collectif. D’où l’importance du contrôle permanent et méticuleux des médias classiques, à l’exclusion (très provisoire) des canaux présents sur Internet. Le discours collectif donc, est souvent résumé par l’appellation anglicisante de “narratif”. Les narratifs qui se succèdent, s’enchainent et parfois se chevauchent, ont pour fonction d’installer un climat dans l’opinion publique – euphorisant, anxyogène, consensuel, solidaire, etc. Les problèmes sont créés, les réactions contrôlées, les réflexions orientées, les solutions suggérées. Cela fait partie de l’ingénierie du “soft power”, concept  directement sorti de l’esprit des publicitaires américains... et c’est ainsi que la réalité devient une vérité, celle de “On” qui prospère ainsi sous mille visages. C’est le consensus majoritaire : Monsieur Moyen et Madame Tout-le-Monde, qui ont du bon sens, adorent tout ce qui est très équilibré, donc central, et ne supportent pas les à-coups suggérés par les opinions radicales, trop réactives. L’affect collectif balance du paradis sucré des bons sentiments à l’entêtant pizzicato des situations stressantes. Des Jeux Olympiques à la variole du singe, si vous me suivez.
La force du discours collectif ne tient pas au fait qu’il soit collectif, c’est à dire reçu et relayé par la masse, mais plus par sa capacité de diffusion et de répétition. Ici aussi, on est dans la pure technique publicitaire. On comprend mieux la prise en charge, par l’État, de la santé financière des organes de Presse qui, dès lors, lui sont durablement redevables. Je dis bien “l’État” et non le “gouvernement”, ce qui souligne que le premier est l’expression directe du système qui désormais le contrôle, alors que le second n’a qu’un rôle illustratif, cosmétique.
Que reste-t-il alors de l’observation individuelle ? Eh bien elle ne puise sa valeur que dans celle des individus eux-mêmes. Celui qui ne veut pas voir ne verra pas, ni n’entendra, ni ne réfléchira. Celui qui constate que ce qu’il voit n’est pas ce qu’on lui raconte – pour peu qu’il ait un peu d’instruction et de courage – se sentira tenu de dire et de contredire, surtout. Très vite il deviendra l’emmerdeur, le facho, le complotiste, le parano... autant d’insultes qui deviendront des médailles. Celui qui s’isole dans sa bulle afin d’échapper au bruit ambiant, celui qui a renoncé au succès d’apparence, à l’audience, aux soutiens et aux relais, celui-là souffrira de la solitude et de l’incompréhension. Mais si un seul concitoyen peut, au final, être convaincu d’ouvrir les yeux, alors la journée se soldera par une victoire de plus puisque le discours collectif comptera une paire d’oreilles en moins.
J.-M. M.
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lounesdarbois · 5 months
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"Article intéressant mais je vous promets que nombre de nationalistes français métissés ne trouvent pas vos propos de nationalisme racial pan-européen, poivré dans quelques articles ici et là, drôle. Ce sont des gens qui se savent trahi. C’est la trahison qui leur incite le plus et quand ils voient qu’après avoir été trahi par les réseaux vétérotestamentaires cosmopolites à la Kalergi, puis par la nouvelle gauche, puis par des influenceurs du nationalisme auparavant français mais finalement racialiste pan-européen, ce seront ces derniers qui se prendront des bombes, innovatrices, mais nuisibles et violentes, des nationalistes français trahis. L’élément est dorénavant planté. Les bombes et autres armes de vengeance commencent déjà à se faire contempler. Ca va finir très mal."
Cher "anonyme".
Le ton de demi-menace et les termes "inciter", "bombes", "armes de vengeance" rendent votre démarche curieuse. Cette équivoque est le privilège des anonymes et la pente naturelle des lettres anonymes.
Est-ce que vous suivez mon parcours? E&R est composé pour 1/3 de banlieusards et métis patriotes comme moi. Depuis 15 ans j'espère en l'avènement d'une classe "racailles patriotes" pour simplifier, comme le furent autrefois corsaires et flibustiers sur les mers pour le compte du Roi. Hommes durs, fraternels, collectifs, et par-dessus tout LOYAUX envers le pays. Ni ratonneurs ni racailles. Loyauté envers le pays c'est loyauté envers les lignées patrilin��aires des hommes de la souche du pays, qui nous ont précédé, qui ont façonné le pays, qui en ont fait ce merveilleux potentiel, cette table toute prête à laquelle nous venons nous asseoir. Les Desouche ont la préséance dans un ordonnancement national. C'est normal. Nul ne récuse la préséance des Desouche en Italie, Tunisie, Thaïlande etc. Voyez comme la Tunisie a expulsé sa 1ère invasion de migrants en 2023! Patriotisme = loyauté = gratitude. Tout le reste est idéologie, névrose, manipulation.
Je viens de Grenoble ultra-gauchiste bordéleux corrompu, j'y ai appris la vie. Je ne suis pas un Français de souche et rallie la France car je n'ai qu'elle, cela par gratitude, par souvenir de tout ce qu'elle m'a donné de Charité, de Beauté, de grandeur et j'aimerais que nos "nationalistes français métissés" dont je fais partie, s'occupent, dans un contexte de racisme anti-Blanc banalisé, de modérer les invectives de certains "métis" attentistes. Les diatribes des Noah, Booba sont des appels à la destruction par métissage et agression et sont i-nac-cep-tables. Le discours de haine de soi de certains bobos Blancs comme Sylvie Laurent, Molard etc doit être critiqué par les Blancs ET les métis unis. "L'humoriste en paix", je ne l'aime pas. Dans les moments cruciaux il a toujours pris la voie facile. L'affaire Obono… Assez de ce "métissage" qui ne tolère les Blancs de France que comme corvéables, métissables dociles réceptacles.
Cher "anonyme" seuls des métis patriotes loyaux (comme vous et moi), sont opportuns pour contredire durement de tels propos. Quand des Blancs le font, le mot magique "raciste" met fin au débat. Nous les métis devront faire face à une autre mise en danger qui sont les références à la "harka" et au "bountisme", j'y reviendrai en détail c'est important.
Je ne suis pas moi un de ces types qui chie sur les Blancs ou au contraire qui appelle à la violence contre tel ou tel autre en restant en retrait.
Nous sommes Français par la bonté des Français qui ne le savent même pas et se croient coupables de tous les maux. Il faut répondre au bien par le bien. Nous ne devons AUCUNE LOYAUTÉ à des partis communautaires quels qu'ils soient: ni chinois du 13e ni LFI ni likoudnik ni antillais ni espagnol ni franmac ni rien de tout ça. Ils n'ont rien fait pour nous, ils sont incapables par eux-mêmes de produire, de servir, d'ordonner, d'apaiser. Quand il y arrivent c'est par la souche française pré-existante. Ils ne sont pas la vraie substance qui souffre, qui paie, qui porte le pays. Par exemple qui en France produit la nourriture ? Les 1% d'agriculteurs blancs persécutés, suicidés de désespoir sans personne pour les aider, accablés de moqueries, d'impôts et d'ingratitude alors qu'ils sont les plus utiles, les plus bosseurs, les moins payés, et pourtant les plus directement issus des plus anciennes lignées populaires françaises.
J'aime Bassem. Et des gars, des bons gars, maghrébins bac+5 m'ont dit "Mais pourquoi tu le relaies c'est une caillera il nous enfonce". Ce n'est pas ainsi qu'il convient de regarder les choses leur ai-je dit. Il faut pour le pays des bac+5 spécialisés et précis oui mais aussi des patriotes de rue, ouvriers, avec émotion directe. J'espère que Bassem fasse un jour de la politique car c'est sa vocation profonde: passer de blogueur "leader d'opinion" à "Grand frère des Français patriotes et traditionnels d'origine immigrée". Mais je prends mes distances quand soudain malgré 10 ans de d'expérience il dit soudain à un gars assez connu "sale gw** de merde". La voie facile du racisme anti-Blanc dans un contexte d'invasion massive constitue une aggravation du déséquilibre. Je suis pour l'équilibre, l'ordre, la tranquillité de l'ordre qui est la définition même de la Paix. Quand on est immigré, écraser les Français de souche conduit par Justice Immanente à se faire ensuite écraser par d'autres immigrés plus récents, ça se vérifie à chaque génération depuis les premiers Italiens de 1960. Aimer les Français de souche rendra la paix au pays et à tous les hommes dans le pays. Les Français de souche doivent sortir de la haine de soi vendue par la Canaille au pouvoir. Et les non-Blancs comme vous et moi doivent aider ces Blancs à s'aimer eux-mêmes. Et nous le faisons non servilement dans un esprit mondain mais pour le pays, pour la "chose en soi" comme disait Kant.
À bien y réfléchir je vous remercie de votre message et des menaces voilées qui s'y trouvent car je dois dévoiler un manifeste qui s'appelle "Vous avez dit bounty?" que j'ai en réserve depuis longtemps et vous m'en rappelez l'urgence.
Cordialement,
Lounès Darbois
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ascle · 3 months
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La lettre O
Obstineux
Personne qui aime contredire, s’obstiner.
Oreilles de criss
Couenne de lard frites servir sous forme de chips épaisses. Se mange presqu’exclusivement à la cabane à sucre.
Orignal
Élan 🫎
Ouaouaron
Une espèce de grenouille. 🐸 Une grosse grenouille (grenouille-mugissante). Tire son origine d’un mot wendate.
Oupelaï
Oups! Zut! Oh la la! Interjection qui exprime la surprise et l’étonnement.
Expressions
S’t’ordinaire
- C’est pas top. Décevant.
Exemple: As-tu vu le dernier film de Gilles Lellouche? Oui pis s’t’ordinaire.
OPC
« Au plus criss ». L’équivalent de l’anglais « ASAP » (as soon as possible). Ça urge. C’est pressant.
Exemple: Tu vas ranger ta chambre OPC.
Oreilles en porte de grange
Oreilles décollées.
Organiser le portrait
Se battre avec quelqu’un.
Exemple: mon osti m’a t’organiser le portrait tu vas voir.
Osti d’toasté des deux bords
Juron. Superlatif d’osti. Peu utilisé de nos jours et c’est bien dommage parce que je trouve cette expression géniale. Provient de la série « L’héritage » de Victor Lévy-Beaulieu.
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où s’éparpillent les ombres règne la lumière d’une main de fer ; son talent d’oratrice rend muet toutes les actions qui pourraient la contredire ; le pouvoir absolu croit toujours mieux s’exercer sur le fragile alors qu'il est par définition ce qui lui échappe
© Pierre Cressant
(mardi 13 septembre 2022)
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lisaalmeida · 1 year
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Ma chérie,
je n'ai pas plus de mérite à t'aimer, que les rivières n'en ont à couler,
où le feu à brûler :
c'est ma nature,
c'est mon essence :
Je t'aime parce que je t'aime.
Je t' adorerais encore,
même s'il me serait libre de choisir l'indifférence ou l'amour,
la constance ou l'inconstance,
mais cela ne l'est pas,
ne pouvant contredire mon cœur qui t'aime : Je t'aime.
Aime-moi de même, quand un cœur d'amour est brûlant, il ne sent pas ce qui est tiède.
Dis-le-moi souvent,
dis-moi que tu n'as jamais aimé comme tu m'aimes,
que je sois le seul que tu puisses aimer ainsi.
Dis-le-moi encore,
dis-le-moi toujours.
Mirabeau
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mariepierrard · 7 months
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#Jardins
Qu'étais-je en train de chercher ? Moi aussi, je gardais, au fond de mes souvenirs, parmi les objects les plus précieux, les moments où, dans mon enfance, je jardinais. Je revis le potager de mon père, à l'ombre d'un immeuble communiste de vingt étages, dans la banlieue de Sarajevo, où j'avais appris à tailler, à semer, à observer la manière dont les plantes sortent de terre et poussent insolemment vers le ciel. Oui, je me dis - et la mer de plomb me regardait muette, sans contredire ni approuver - cela vaut toujours la peine de planter un jardin. Si nous n'avons plus que peu de temps, si le monde autour de nous vacille et que la mort, sous toutes ses formes, avance, il ne nous reste qu'à faire d'un coin de terre, peu importe lequel, un endroit accueillant, un lieu pour plus de vie.
Teodor Ceric, Jardins en temps de guerre, 2014.
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selidren · 7 months
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
12/15
Voyez, je ne serai pas étonnée que Juliette, d'ici quelques années et le deuil de son époux fait, ne s'éprenne d'un jeune homme rencontré là-bas. Peut-être un homme qui ferai figure de père pour le jeune Félix. Mais elle a encore besoin de temps, et surtout de retrouver son fils avant toute chose.
Transcription :
John « En réalité… juste réussir à vous le dire, c’est déjà dépasser mes espérances. »
Juliette « Je n’en reste pas moins touchée. »
John « C’est si gentil, je... »
Juliette « Néanmoins, il faut que vous sachiez quelque chose sur moi. Je suis une jeune veuve. Mon mari est décédé au début de l’année, et notre fils m’attend à la maison. »
John « Oh… je suis navré. Souhaitez vous que je... »
Juliette « Vos mots maladroits m’ont apporté un peu de réconfort, et c’est déjà beaucoup au milieu de tout cela. »
Juliette « Et vous ? Êtes vous… ?"
John « Marié ? Ou veuf ? Ni l’un ni l’autre en fait… J’ai peut-être un joli visage, ou j’avais en l’occurrence, mais dès que j’ouvrais la bouche... Et bien dîtes vous que toutes les jeunes filles que j’ai jamais eu le loisir de courtiser s’enfuyaient bien vite. »
Juliette « Je ne vais pas vous contredire, tous ces beaux mots grandiloquents étaient un peu effrayants. »
John « Je sais, mais je perds sans cesse mes moyens ! Heureusement, vous avez un peu de patience avec moi alors… aurai-je au moins une petite chance ? »
Juliette « Si vous venez à la séance de rééducation, nous pourrions avoir l’occasion d’évoquer la chose. »
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cellobis · 1 year
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Pq Gay?
Sur la question du genre, il est svt dit qu’il est déterminé à la naissance, qu’il s’affirme à la puberté. Les choses ne sont pas si simplistes. Dans son fameux rapport, Kinsey est clair, considérant qu’une grande part de la population même « normalement » hétérosexuelle est en fait sinon homo, au moins bisexuelle, et si pas dans son comportement, certainement dans ses fantasmes les plus profonds. Faut pas non plus oublier que l’emprise judéo-chrétienne a été castratrice concernant la sexualité au point de la diaboliser, ne lui donnant que deux solutions compatibles avec le sacro-saint salut : soit l’abstinence absolue (pour les célibataires cléricaux ou laïcs), soit le contrôle régulé par le mariage ne permettant à l’acte sexuel de n’avoir lieu rien que dans un but procréatif. Tout le reste ne pouvait qu’être voué aux gémonies, et à l'enfer éternel. Cette hypocrisie a permis pendant des siècles aux religieux de s’acoquiner avec la puissance des États pour contrôler tous les individus au sein des familles, ce afin de légiférer le monde. Attitude pernicieusement mensongère, car il ne faut pas être médecin pour savoir que les corps ont cet impérieux besoin d’exulter par le sexe, très régulièrement tout comme ils ont besoin de respirer, pour vivre et de faire pulser le sang par un cœur battant. L’abstinence n’est pas possible sur toute une vie et provoque toutes les déviances, abus et vices que les autorités ecclésiastiques ont caché sous cape pendant des siècles, enterrant des fœtus sous le sol des basiliques et des couvents, sacrifiant des foultitudes de nones et d’enfants de coeur. Pour s’évader des carcans sociétaux et familiaux, il y avait depuis que le monde existe des maisons des bordels, avec des filles et des garçons, des marins et des poètes, mais comme les Américains aux temps de la prohibition, nos sociétés ont prohibé ces échappatoires, notamment au prétexte du respect hypocrite de la condition féminine qu’il ne fallait plus ni exploiter. Il n’y aura donc plus de « P. respectueuse », J.P. Sartre n’est plus là pour le contredire. Alors le porno a pu s’épanouir sur les sites internet, ouvrant un marché juteux (sans jeu de mots) en enrichissant une maffia sans scrupule, en avilissant bien souvent les corps féminins devenus marchandise. La condition féminine y est avilie, soumise, infériorisée par des tas de mâles dominants qui la pénètrent par tous les orifices, la sodomisant pas que dans le cul , car en plus du sens propre, celui du figuré, l’aspergeant de façon systématiquement dégradante. C’est souvent  à vomir. De façon paradoxale, les sites lesbiens ou gay sont eux beaucoup plus esthétiques. Il y a là aussi des schémas dominants dominés, mais en cherchant un peu, beaucoup de séquences parmi les gays sont bien davantage érotiques que pornos, mettant en valeur de véritables éphèbes et dieux grecs, avec de surcroit beaucoup de respect égalitaire. C’est beau un 69 bien filmé de deux gays qui s’aiment passionnément. Leurs yeux sont égaux, toutes les parts de leurs corps sont égales, sexes, pieds, mains, bras, épaules, jusqu’à leurs âmes. Quand, sans autre possibilité de choix malgré nos hésitations adolescentes, on a été formaté hétéro au XXème siècle où il a fallu attendre 1982 pour être dépénalisé de ses propres penchants jusqu’alors considérés comme pervers alors qu’ils représentent entre 10 et 15 % de tout le monde vivant, et que l’on vienne à s’évader quelques soirs de solitude sur de tels sites, il arrive qu’on découvre de la beauté, de l’esthétique du réconfort, jusqu’à se rassurer sur ce que l’on est vraiment, en communiquant avec des complices. Et donc le dégueulasse n'est pas là où certains le croient. Et donc, il arrive que l’on vire sa cuti, malgré la révolue et vieille éducation des curés, des mères folcoches, des instituteurs armés de règles pour écraser les doigts des gauchers. Ainsi, on finit par se découvrir tel qu’on est, au propre et au figuré, redevenu pur comme notre peau quelle que soit sa couleur ou son odeur
merci de vous
Cell
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abdou-lorenzo · 1 year
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Pourquoi contredire une femme? Il est tellement plus simple d'attendre qu'elle change d'avis.....!!✨😉
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Jean Anouilh
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loup-venant · 4 months
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Clara s'est arrêtée de compter les nuages. Elle sait qu'elle n'y trouvera aucune réponse. Abattue, la moitié du visage enterrée dans les draps, l'autre sous le sable laissé par ses larmes, elle cherche où poser les yeux. Plus échouée que couchée, son regard n'a de cible que l'invisible qui lui sert le cœur.
Sur le matelas, elle forme avec sa couverture un petit cocon qui semble inspirer par à-coup. Ses gémissements n'émettent plus qu'un léger souffle à présent. Entre ses mains, dans ses bras, un oreiller qu'elle étreint comme elle aimerait l'être lui offre en partie la présence qui lui manque.
C'est pas difficile pourtant. C'est pas difficile, pourtant. Pas difficile pourtant. de faire la vaisselle, C'est pas difficile. Pourtant. de faire les courses Pourtant. pas difficile. C'est pas difficile. de cuisiner. C'est diff... pourtant... pas... C'est pas pourtant. Je l'ai fait ce matin. C'est pas. sortir ? C'est difficile pas de pourtant. et hier. C'est pas. C'est pas. la vaisselle. difficile pourtant. et la semaine passée. Ces pensées s'animent sans la consulter véritablement, et de toute évidence, elle ne possède dans l'instant rien de bien concret pour les contredirent.
Son nez se retrousse. Ses yeux se referment. Sa mâchoire se resserre en même temps que la prise sur l'oreiller. Son menton tremble sous ses lèvres. Elle sert si fort avec les bras que ses mains atteignent ses épaules. Dans un cours sursaut, Clara renifle, se gardant comme elle peut de pleurer à nouveau. Et rouvre les yeux pour regarder dehors. Les nuages sont rose, orange, violet. Elle inspire profondément. Elle en regarde un, tout à gauche. Une larme s'est formée dans le coin droit de son œil, presque contre le lit. Elle expire et relâche un peu la tension dans ses bras. Le nuage n'a pas de forme particulière, mais il semble avancer au ralenti. Un oiseau passe, puis un avion. Il laisse dans son passage, deux petits sillons blanc gris. Inconsciemment, elle s'offre sur l'épaule quelques caresses de la main droite. Quand le nuage disparaît tout à droite, elle regarde le ciel vide un moment.
Le temps est calme, sa tête elle, le devient. Clara a chaud sous son plaid devenu moite mais ne bouge plus. Elle se contente d'avaler sa salive et d'attendre le sommeil. Elle voit mais ne regarde pas. Elle sent sa poitrine qui gonfle et qui dégonfle au rythme de sa respiration. Une migraine entre les tempes et l'arrière du crâne lui fait penser qu'elle devrait s'hydrater. Elle entend mais n'écoute plus. Ses yeux piquent un peu, alors elle les ferment.
Le bruit de la sonnette la réveille. Clara cherche son téléphone du bout des doigts. Elle y voit 19h32, quatre appels manqués. Un second coup de sonnette la sort de son demi sommeil.
"Aurore ! Merde. J'arrive, Aurore !" crie Clara en direction de la porte tout en enfilant le jean qu'elle avait abandonné dans le salon avant de s'enfouir dans sa chambre. "C'est aujourd'hui que tu venais ?" demande-t-elle en ouvrant la porte. "Entre !"
"Non, je devais arriver demain, mais le covoit à annulé au dernier moment et le seul que je pouvais prendre démarrait ce matin. Alors me voilà. Je suis désolée." dit Aurore en posant sa veste sur la poignée de sa valise avant de s'asseoir dans le canapé. Elle regarde Clara et continue en pointant son téléphone du doigt. "J'ai essayé de te prévenir, mais tu ne répondais pas. Ca va toi ?"
Clara rougit surprise. Elle pourrait lui dire ce qu'elle vit. Lui demander de l'aide, peut-être. Elle voudrait tout lui dire. Elle se demande ce qu'Aurore pourrait bien lui dire. Et peut-être qu'elle a déjà bien assez à gérer avec sa vie à elle. Oui, je vais pas la surcharger alors qu'elle vient de faire quatre cents bornes. Ca peut attendre, pense-t-elle.
"Oui oui," finit-elle par répondre, masquée d'un sourire. "Je nous prépare un thé ? J'ai des petits gateaux aussi, ça te dit ?"
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ce-sac-contient · 1 year
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❝ Tant que les hommes n’auront pas pris conscience de leur condition — je ne dis pas seulement de leur condition sociale mais de leur condition en tant qu’hommes et de l’extrême précarité de celle-ci : durée dérisoire par rapport au champ d’action de l’espèce tel que l’esprit croit l’embrasser, soumission plus ou moins en cachette de soi-même à des instincts très simples et très peu nombreux, pouvoir de penser, oui mais d’un ordre infiniment surfait, pouvoir frappé d’ailleurs de routine, que la société veille à canaliser dans des directions déjà définies où sa surveillance peut s’exercer et, de plus, pouvoir sans cesse défaillant en chaque homme et sans cesse équilibré par un pouvoir au moins égal de ne pas penser (par soi-même) ou de penser mal (seul ou, de grande préférence, avec les autres) ; tant que les hommes s’obstineront à se mentir à eux-mêmes ; tant qu’ils ne feront pas la part sensible de l’éphémère et de l’éternel, du déraisonnable et du raisonnable qui les possèdent, de l’unique jalousement préservé en eux et de sa diffusion enthousiaste dans le grégaire ; tant que sera départi aux uns, en Occident, le goût de risquer dans l’espoir d’améliorer, aux autres en Orient la culture de l’indifférence; tant que les uns exploiteront les autres sans même en tirer de jouissance appréciable — l’argent est entre eux en tyran commun — l’argent est entre eux en serpent qui se mord la queue et mèche de bombe — ; tant qu’on ne saura rien en faisant mine de tout savoir, la bible d’une main et Lénine de l’autre ; tant que les voyeurs parviendront à se substituer aux voyants, au cours de la nuit noire, et tant que... (je ne puis non plus le dire, ayant moins que quiconque la prétention de tout savoir; il y a plusieurs autres tant que, énumérables), ce n’est pas la peine de parler, c’est encore moins la peine de s’opposer les uns aux autres, c’est encore moins la peine d’aimer sans contredire à tout ce qui n’est pas l’amour, c’est encore moins la peine de mourir et — printemps à part, je songe toujours à la jeunesse, aux arbres en fleurs, tout cela scandaleusement décrié, décrié par les vieillards — je songe au magnifique hasard des rues, même de New York, c’est encore moins la peine de vivre. Il y a, je songe à cette belle formule optimiste de reconnaissance qui revient dans les derniers poèmes d’Apollinaire : il y a la merveilleuse jeune femme qui tourne en ce moment, toute ombrée de ses cils, autour des grandes boîtes de craie en ruine de l’Amérique du Sud, et dont un regard suspendrait pour chacun le sens même de la belligérance; il y a les Néo-Guinéens, aux premières loges dans cette guerre —  les Néo-Guinéens dont l’art a toujours subjugué tels d’entre nous bien plus que l’art égyptien ou l’art roman — tout au spectacle qui leur est offert dans le ciel — pardonnez-leur, ils n’avaient à eux seuls que les trois cents espèces de paradisiers —  il paraît qu’ils « s’en payent », ayant à peine assez de flèches de curare pour les blancs et les jaunes ; il y a de nouvelles sociétés secrètes qui cherchent à se définir au cours de multiples conciliabules, au crépuscule, dans les ports ; il y a mon ami Aimé Césaire, magnétique et noir, qui, en rupture avec toutes les rengaines, éluardienne et autres, écrit les poèmes qu’il nous faut aujourd’hui, à la Martinique. Il y a aussi les têtes de chefs qui affleurent à peine de la terre et, ne voyant encore que leurs cheveux, chacun se demande quelle est cette herbe qui vaincra, qui aura raison de la sempiternelle « peur de changer pour que ça recommence ». Ces têtes commencent à poindre quelque part dans le monde — tournez-vous sans fatigue et sans cesse de tous les côtés. Nul ne sait avec certitude qui sont ces chefs, d’où ils vont venir, ce qu’historiquement ils signifient — et peut-être serait-il trop beau qu’ils le sachent eux-mêmes. Mais ils ne peuvent manquer d’être déjà : dans la tourmente actuelle, devant la gravité sans précédent de la crise sociale aussi bien que religieuse et économique, l’erreur serait de les concevoir comme produits d’un système que nous connaissons entièrement. Qu’ils viennent de tel horizon conjecturable, nul doute : encore leur aura-t-il fallu faire leurs plusieurs programmes adjacents de revendication dont les partis jusqu’ici ont estimé n’avoir que faire — ou l’on retombera vite dans la barbarie. Il faut, non seulement que cesse l’exploitation de l’homme par l’homme, mais que cesse l’exploitation de l’homme par le prétendu « Dieu », d’absurde et provocante mémoire. Il faut que soit révisé de fond en comble, sans trace d’hypocrisie et d’une manière qui ne peut plus rien avoir de dilatoire, le problème des rapports de l’homme et de la femme. Il faut que l’homme passe, avec armes et bagages, du côté de l’homme. Assez de faiblesses, assez d’enfantillages, assez d’idées d’indignité, assez de torpeurs, assez de badauderie, assez de fleurs sur les tombes, assez d’instruction civique entre deux classes de gymnastique, assez de tolérance, assez de couleuvres ! Les partis : ce qui est, ce qui n’est pas dans la ligne. Mais si ma propre ligne, fort sinueuse, j’en conviens, du moins la mienne, passe par Héraclite, Abélard, Eckhard, Retz, Rousseau, Swift, Sade, Lewis, Arnim, Lautréamont, Engels, Jarry et quelques autres ? Je m’en suis fait un système de coordonnées à mon usage, système qui résiste à mon expérience personnelle et, donc, me paraît inclure quelques-unes des chances de demain.❞
— André Breton, Prolégomènes à un troisième manifeste du surréalisme ou non (1942) in Manifestes du surréalisme
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