#conflit de lois
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dalilamadjid · 2 years ago
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Episode #24 : Quelle loi applicable à un contrat de travail international ?
Podcast Endroit Ecoutez le 24e épisode : https://audio.ausha.co/ykWxVTwmmRly.mp3 Dans le cadre d’un contrat de travail international, l’employeur et le salarié font parfois face à un conflit de lois. A savoir, ils sont amenés à se poser la question de savoir quelle est la loi applicable à leur relation de travail. Cette problématique se pose notamment à l’occasion d’une expatriation, d’un…
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nfavocats · 2 months ago
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Divorce par consentement mutuel : comment éviter les conflits autour du partage des biens ?
Divorce par consentement mutuel : comment éviter les conflits autour du partage des biens ?
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https://nf-avocats.fr/divorce-par-consentement-mutuel-comment-eviter-les-conflits-autour-du-partage-des-biens/
#AccordAmiable, #BienÊtreFamilial, #Conflits, #ConseilsJuridiques, #ConsentementMutuel, #Divorce, #DivorcePacifique, #DroitsFamiliaux, #GestionDesBiens, #LoiSurLeDivorce, #Médiation, #PartageDesBiens, #RelationsFamiliales, #RésolutionDeConflits, #Séparation
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dandanjean · 11 months ago
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Les voies de ce blog
Les textes sur cet espace sont des invitations à réfléchir sur notre vie et à explorer différentes voies de passage, ces quelques voies que différents auteurs ont mises à jour. D’une manière ou d’une autre, ils illustrent les expériences et l’existence des différentes voies possibles. Certaines voies sont plus accessibles que d’autres. Il n’y a pas de meilleure voie, il n’y a qu’une voie, qui…
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kilfeur · 5 months ago
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Quand je regarde mes séries j'entends souvent dire "Si ils parlaient correctement de ce qu'ils ressentaient, y aura pas de conflit ou de problème dans leur relation". Et en soit c'est vrai, dans une relation il est important de communiquer. En revanche ce qui se passe dans maws ne peut pas se résoudre simplement par de la communication. Pendant cette saison 2, le trio a commencé a avoir leurs propres choses concernant leurs vies. Jimmy est devenu Flamebird pour le Daily Planet et a une équipe. Lois a le choix de booster sa carrière. Mais Clark ? Il n'a que sa vie Superman, on voit qu'il aime bien son boulot au Daily Planet. Mais je trouve pas que ça le passionne autant que Lois.
Sans compter que Lois a aussi ses problèmes, son père, le fait que ses problèmes de confiance et d'abandon reviennent à la surface dans les récents épisodes. Elle aime Clark mais ne sait pas comment correctement entretenir cette relation pareil pour Clark. Avant Jimmy et Lois, il s'était isolé des autres et du coup ça lui arrive d'être un peu ignorant concernant les signes et les relations sociales. Leur manque de communication n'est pas dû à un manque de confiance l'un envers l'autre. Mais parce qu'ils craignent la réaction de l'autre si ils l'apprennent. Mais aussi par le fait qu'en ce moment, des évènements les dépassent complètement et n'ont pas pu trouver ne serait ce qu'un moment pour se poser et parler seul à seul. Clark et Lois sont tellement focalisés sur leurs problèmes qu'ils se négligent l'un à l'autre, voir même être distant sans même le vouloir. Au bout d'un moment, ça finit par craquer comme on a pu le voir avec Lois par exemple.
C'est pour ça que j'avais pas mal apprécié Jimmy dans cet épisode, car il sait pas comment parler à Clark suite à ce qui s'est passé au Star Lab. Ce qui est assez compréhensible ! Mais en parlant avec Kara qui le comprend à une certaine mesure, il arrive à retrouver le courage nécessaire pour pouvoir lui parler !
Oui il faut parler dans une relation mais parfois il arrive que même parler avec son ami ou son partenaire, ça peut aggraver les choses. Je sais que les gens n'aiment pas les clichés du manque de communication, le malentendu etc... mais en soit c'est quelque chose d'assez réaliste dans les relations qu'elles soient romantiques ou platoniques. Ce que traverse le trio est en soit réaliste et je pense que c'est pour ça que ça rend leur relation triste en soi !
When I watch my series, I often hear people say "If they talked properly about how they felt, there wouldn't be any conflict or problems in their relationship". And in itself it's true, in a relationship it's important to communicate. But what's happening in maws can't be solved simply by communication. In season 2, the trio began to do their own thing with their lives. Jimmy has become Flamebird for the Daily Planet and has a team. Lois has the choice of boosting her career. But Clark? He's only got his Superman life, and you can tell he likes his job at the Daily Planet. But I don't think he's as passionate about it as Lois is.
Not to mention that Lois also has her own problems, her father, the fact that her trust and abandonment issues come to the surface in recent episodes. She loves Clark but doesn't know how to properly nurture that relationship, and the same goes for Clark. Before Jimmy and Lois, he'd isolated himself from others, so he's sometimes a bit clueless about signs and social relationships. Their lack of communication isn't because they don't trust each other. It's because they're afraid of how the other will react if they find out. But also because, at the moment, events are completely out of their control and they haven't been able to find even a moment to sit down and talk to each other alone. Clark and Lois are so focused on their problems that they neglect each other, even being distant without meaning to be. And after a while, it just snaps, as we saw with Lois, for example.
That's why I liked Jimmy in this episode, because he doesn't know how to talk to Clark after what happened at Star Lab. Which is quite understandable! But by talking to Kara, who understands him to a certain extent, he manages to find the courage he needs to talk to him!
Yes, you have to talk in a relationship, but sometimes even talking to your friend or partner can make things worse. I know people don't like the clichés of lack of communication, misunderstanding etc… but in itself it's something quite realistic in relationships whether romantic or platonic. What the trio is going through is in itself realistic, and I think that's what makes their relationship sad in itself!
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aurevoirmonty · 3 months ago
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« La possession de la Connaissance, à moins qu'elle ne soit accompagnée d'une manifestation et d'une expression en Action, est comme l'accumulation de métaux précieux - une chose vaine et insensée.
La Connaissance, comme la richesse, est destinée à être utilisée. La Loi de l'Usage est Universelle, et celui qui la viole souffre en raison de son conflit avec les forces naturelles. »
Le Kybalion
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megaverserpg · 6 months ago
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Terre-1, l'île d'Elysium
La magie, masquée au grand jour, évolue en parallèle de moldu·e·s joyeusement inconscient·e·s de son existence. Ces deux mondes (sorcier et moldu) se chevauchent, se croisent, s’entremêlent en un équilibre délicat dont la responsabilité du maintien revient tant au Magisterium qu’à chaque individu doué de magie.
À Elysium, les espaces magiques éclosent même dans les lieux les plus inattendus, apanage d’une liberté dont les sorcier·e·s jouissent avec délice. Si ce mode de vie semi-caché ne fait pas l’unanimité et est régulièrement remis en question par certain·e·s, il demeure l’alternative la plus adaptée aux yeux de la majorité, secret magique international soigneusement tissé des siècles plus tôt par nécessité d’échapper aux chasses aux sorcières qui menaçaient de décimer tant des mages que des innocent·e·s. Déchiré par des guerres jusqu’à il y a 26 ans, le monde magique connaît actuellement une ère de paix et de prospérité que beaucoup qualifient d’âge d’or. Mais celleux qui ont combattu portent encore les stigmates des conflits et peuvent se sentir en marge de la félicité ambiante.
Très ancrée dans les traditions et soucieuse de l’harmonie avec la nature, Elysium ne s’ouvre réellement au modernisme que depuis qu’elle côtoie les sorcier·e·s de l’autre dimension Terre, et plus spécifiquement Neferis. Les elysien·ne·s ressentent les différences générationnelles et s’en amusent : les un·e·s sont allergiques à la technomagie, les autres y sont accro et tentent de les aider de leur mieux à naviguer à travers les nouveautés qui bouleversent leur fonctionnement.
La faune et la flore s’épanouissent en symbiose avec la communauté et les créatures magiques sillonnent quotidiennement les rues d’Elysium. Ainsi, lorsque l’explosion d’un laboratoire, en l’an 2000, a dénoncé des expérimentations illégales, cruelles et inacceptables sur des créatures de cette dimension et d’autres, les mesures punitives se sont faites drastiques. Depuis, le trafic d’animaux fantastiques est plus fermement réprimé que jamais, les peines peuvent s’avérer excessivement lourdes et toustes s’accordent à dire ce changement justifié.
De l’explosion est née la brèche, à travers laquelle des individus ont été aspirés à l’époque sans certitude de retour. C’est cinq ans plus tard qu’elle a été stabilisée en portail, situé dans les sous-sol du laboratoire en ruine à Shadowvale ; dans ce laps de temps, des lois ont été établies entre les sorcier·e·s des deux dimensions, à l’insu des moldu·e·s, pour favoriser l’entente, le partage et le respect. Elles continuent encore aujourd’hui d’être ajustées à mesure que les défis se présentent.
La contamination des moldu·e·s (cf. annexe fléaux) s’est quant à elle révélée plus tard, de façon progressive et aléatoire : leurs dons ne sont apparus ni simultanément ni sous la même forme, complexifiant la problématique qu’était leur existence. Dans l’urgence, le métier de Traceur·se a été créé pour les repérer, les marquer (on les nomme alors « Tracé·e·s ») et intervenir à chaque fois qu’iels perdent le contrôle de cette magie naissante. Soutien ou ingérence, bienfait ou déshumanisation ? L’idée est débattable, elle divise. Dans ce climat, les contaminé·e·s non tracé·e·s (celleux tardant à se découvrir ou à être débusqué·e·s) réagissent de manières très différentes aux manifestations de leurs nouvelles aptitudes. Entre panique et émerveillement, en passant par la peur de l’inconnu, iels se voient ouvrir les portes d’un monde magique dont iels avaient toujours rêvé… ou non.
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claudehenrion · 8 months ago
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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aurianneor · 1 month ago
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Ecologie efficace
Nous entendons de nombreuses mesures pour l’écologie.
Il faut acheter des produits d’entretiens écologiques, isoler thermiquement les maisons, changer les chaudières et avoir un puit canadien, acheter moins de plastique, rouler dans des voitures écologiques, limiter sa vitesse sur les routes, limiter la consommation d’eau quand on se douche ou quand on utilise la chasse d’eau, limiter la consommation de béton, avoir un compost dans son jardin, limiter sa consommation de viande, utiliser du savon d’Alep et limiter sa consommation de crèmes solaires, utiliser un four solaire, investir dans de l’énergie écologique (éoliennes, panneaux photovoltaïques, usines hydroélectriques), acheter de la seconde main. Le prix de l’électricité, du pétrole et de l’alimentation s’envolent sous prétexte d’écologie.
Les mines, l'extraction du lithium, les déchets liés aux centrales nucléaires, les grosses usines, la construction, le pétrole, l'agriculture intensive (pollution des sols, consommation exhorbitante d'eau). Les multinationales polluent bien d'avantage que les particuliers et ne subissent aucune mesure écologique pour limiter ces pollutions. Les plus riches, avec les multinationales notamment, sont responsables des plus gros écocides dans le monde: ils détruisent les forêts dont la forêt amazonienne, polluent les rivières, détruisent les fonds marins, imposent des conditions telles aux agriculteurs qu’ils détruisent les terres, qui, à force de produits chimiques, risquent fort de devenir stériles, et maltraitent les animaux. De plus, les produits chimiques comme les pesticides causent l’extinction d’espèces entières d’animaux. Ils devraient être jugés internationalement, et pas selon les lois dont ils décident dans les pays.
Certaines comme l’agriculture ou la construction sont même subventionnées. D’autres reçoivent même la légion d’honneur (par exemple Total).
Revealed: the 20 firms behind a third of all carbon emissions – The Guardian: https://www.theguardian.com/environment/2019/oct/09/revealed-20-firms-third-carbon-emissions
90% de la pollution industrielle vient du fait de fabriquer des choses: un logement, un véhicule ou des vêtements. L’obsolescence, le changement des normes qui force les gens à s’équiper ou l’usage de la consommation comme objet de statut social sont très néfastes.
How Buying Stuff Drives Climate Change – Columbia University – Columbia Climate School: https://news.climate.columbia.edu/2020/12/16/buying-stuff-drives-climate-change/
Les mesures citées au début sont bien utiles pour préserver l’environnement et limiter la consommation mais ce sont de mesurettes comparées aux mesures qui devraient être prises à l’échelle mondiale.
How companies blame you for climate change – BBC: https://www.bbc.com/future/article/20220504-why-the-wrong-people-are-blamed-for-climate-change
Mais le gros de la pollution est encore à venir. Les pays en voie de développement veulent des usines, de l’énergie, des voitures et de la viande. Si on ne les aide pas, cela va se faire avec des usines à charbon très polluantes, du pétrole et de l’agriculture intensive (effectuée parfois dans des déserts, ce qui pompe toute l’eau dont la population a besoin). Il faut voir l’écologie à l’échelle mondiale et ne pas prendre des mesures que dans les pays développés sans quoi la couche d’ozone va en pâtir et l’air va devenir irrespirable.
“Si rien n’est fait, les changements climatiques entraîneront une augmentation de la température moyenne de la planète de plus de 3 °c et auront des effets néfastes sur tous les écosystèmes. Nous sommes déjà témoins de la façon dont les changements climatiques peuvent exacerber les tempêtes et les catastrophes, ainsi que les menaces telles que la pénurie de nourriture et d’eau, qui peuvent être source de conflits. L’inaction finira par nous coûter beaucoup plus cher que si nous agissons maintenant.” Objectif 13 : Prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions – ONU: https://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/climate-change-2/
Il faut aider les pays en voie de développement pour qu’ils se développent de manière saine pour l’humanité.
Cela est difficile. Il ne s’agit pas d’envoyer de l’argent car l’expérience montre que l’argent serait détourné au profit de personnes corrompues. Il faut du monde sur place pour vérifier que les travaux en faveur de l’écologie sont effectués. Il faut éduquer les populations à l’écologie et leur donner les moyens de mettre des mesures en place. Pour que les pays en développement deviennent des pays à faible émission comme les pays d’Europe, il faudrait 2 400 milliards de dollars par an. Actuellement, les subventions aux énergies fossiles totalisent 5 000 milliards de dollars par an. Cela coûterait deux fois moins de passer aux énergies renouvelables que de maintenir les énergies fossiles. António Guterres, a attaqué l’utilisation des subventions en mai 2024, déclarant : "Ce que nous faisons, c'est utiliser l'argent des contribuables - c'est-à-dire notre argent - pour favoriser les ouragans, étendre les sécheresses, faire fondre les glaciers, blanchir les coraux. En un mot, pour détruire le monde". ("What we are doing is using taxpayers’ money – which means our money – to boost hurricanes, to spread droughts, to melt glaciers, to bleach corals. In one word – to destroy the world.”) Les impôts subventionnent la destruction de la planète au lieu de la sauver. C'est un des sujets qui sera discuté à la COP 29 du 11 au 22 novembre 2024.
Money, money, money: Financing plans for the climate transition – i4ce: https://www.i4ce.org/en/publication/financing-transition-multi-scale-challenge-climate/
After Bonn and towards COP 29: the battle on finance and the role of financing plans for the transition – i4ce: https://www.i4ce.org/en/after-bonn-towards-cop29-battle-finance-role-financing-plans-transition-climate/
How do we rein in the fossil fuel industry? Here are eight ideas – The Guardian: https://www.theguardian.com/environment/2019/oct/14/how-rein-in-fossil-fuel-industry-eight-ideas
Global Fossil Fuel Subsidies Remain Large: An Update Based on Country-Level Estimates – IMF: https://www.imf.org/en/Publications/WP/Issues/2019/05/02/Global-Fossil-Fuel-Subsidies-Remain-Large-An-Update-Based-on-Country-Level-Estimates-46509
La Chine et la Russie investissent dans les pays en voie de développement sans aucune conscience écologique. Il faut faire de la diplomatie envers ces pays pour qu’ils intègrent l’écologie.
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Eficiencia ecológica: https://www.aurianneor.org/eficiencia-ecologica/
Useful Ecology: https://www.aurianneor.org/useful-ecology/
Fund: https://www.aurianneor.org/fund-selon-le-dernier-rapport-du-fonds-monetaire/
L’écoterrorisme: https://www.aurianneor.org/lecoterrorisme/
Consumption: Dream & Reality: https://www.aurianneor.org/consumption-dream-realitymore-love/
Mes hormones veulent de l’admiration: https://www.aurianneor.org/mes-hormones-veulent-de-ladmiration-je-veux/
Idée lumineuse du siècle: https://www.aurianneor.org/idee-lumineuse-du-siecle-the-light-bulb/
Les 1% les plus riches sont en guerre contre le reste du monde: https://www.aurianneor.org/les-1-les-plus-riches-sont-en-guerre-contre-le-reste/
You can’t get enough… Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Idée lumineuse du siècle: https://www.aurianneor.org/idee-lumineuse-du-siecle-the-light-bulb/
Le Pérou, la biodiversité en danger: https://www.aurianneor.org/le-perou-la-biodiversite-en-danger/
Juste une question de culture; et de politique…: https://www.aurianneor.org/juste-une-question-de-culture-et-de-politique/
Solar Oven: https://www.aurianneor.org/solar-oven/
Stop au tout-béton: https://www.aurianneor.org/stop-au-tout-beton/
Préserver l’eau: https://www.aurianneor.org/preserver-leau/
Viande et environnement, est-ce possible?: https://www.aurianneor.org/viande-et-environnement-est-ce-possible-non-si/
Clean Clothes: https://www.aurianneor.org/clean-clothes-shirt-on-your-back/
Demain – Chapitre 1 – L’Agriculture: https://www.aurianneor.org/demain-chapitre-1-lagriculture-demainlefilm/
Nano Confiance: https://www.aurianneor.org/nano-confiance-affaire-des-oeufs-contamines-les/
Commerce équitable et bio: https://www.aurianneor.org/commerce-equitable-et-bio/
Tomorrow – Chap 2: L’énergie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-2-lenergie-demainlefilm/
40 ans, un risque maîtrisé?: https://www.aurianneor.org/40-ans-un-risque-maitrise-votez-pour-defendre/
Le flou artistique des voitures écologiques: https://www.aurianneor.org/le-flou-artistique-des-voitures-ecologiques-i/
Le transport zéro émission: https://www.aurianneor.org/le-transport-zero-emission/
Les transports en commun gratuits: https://www.aurianneor.org/wp-admin/post.php?post=7022&action=edit
L’avion à l’hydrogène: https://www.aurianneor.org/lavion-a-lhydrogene/
Healthy Road: https://www.aurianneor.org/healthy-road-etre-en-meilleure-sante-etre-plus-a/
Piste scooter / Moto: https://www.aurianneor.org/piste-scooter-moto-healthy/
Le Paon Scooter: https://www.aurianneor.org/le-paon-scooter-econoniques-par-rapport-a-une/
L’écolo confort, un mode de vie: https://www.aurianneor.org/lecolo-confort-un-mode-de-vie-comment-utiliser/
Crèmes solaires: https://www.aurianneor.org/cremes-solaires-differences-entre-ecran-solaire/
Healthy Bronzage: https://www.aurianneor.org/healthy-bronzage-aller-progressivement-au-soleil/
Healthy Skin: https://www.aurianneor.org/healthy-skin-wikipedia-savon-dalep/
Healthy Hair, Les conseils d’une Wookie pour cheveux: https://www.aurianneor.org/healthy-hair-les-conseils-dune-wookie-pour/
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lupitovi · 2 years ago
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Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ? 
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histoire-glitchienne · 1 year ago
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Bienvenue chez Les Warren… Un couple diablement controversé
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 Bienvenue chez les Warren « chasseurs de fantômes ». Ed se présente comme étant démonologue autodidacte, safemme quant à elle, se dit médium et claire-voyante, capable de communiquer avec les esprits. Le couple n’a jamaisdemandé d’honoraires pour leur travail. Néanmoins, leurs publications, leurs conférences ainsi que les consultations surdes films relatant leurs expériences paranormales leur a apporté un franc succès financier[1].
 Il existe un certain nombre d’articles et d’ouvrages retraçant le parcours professionnel des Warren ; la plupartd’entre eux sont élogieux et ne remettent pas en question la sincérité et l’honnêteté du couple ceci en ce qui concernecertains faits qu’ils relatent et qui seront repris au cinéma, notamment dans Amityville et The Conjuring. Notons quel’activité du couple Warren, à ma connaissance, n’a jamais été le sujet d’étude sérieuse mis à part, peut-être, l’article surlequel je me suis basée pour écrire cette chronique. En effet, les faits qui y sont relatés semblent beaucoup plus objectifsque le reste de la bibliographie qui leur est consacrée. L’un des principaux « problèmes » à souligner est le fait que laplupart des ouvrages ont été écrits par des proches des Warren, Gérald Brittle, par exemple. De ce fait, les propos sontsouvent élogieux et ne remettent rien en question, ni la vie « pieuse » des Warren ni la véracité des expériencesparanormales du couple.
Il en est de même pour les ouvrages publiés de manière plus tardive, comme c’est le cas pour Les dossiers Warren 1 et 2écrits par Marie Alsina, « blogueuse réputée » dans le monde francophone. Je pense qu’un bouledogue français, enadmettant qu’il puisse écrire, aurait une syntaxe et un style bien plus léger et agréable. En outre, à l’instar des «biographes » précédents, elle dépeint Ed et Lorraine Warren comme étant un couple « pieux », volant au secours des genspar pure bonté d’âme. À aucun moment, elle ne sous-entend que les faits rapportés par les Warren aient pu être exagérésvoire manipulés.
Néanmoins, les journalistes Kim Masters et Ashley Cullins travaillant pour The Hollywood Reporter[2] ont écrit un articleintitulé :  War Over « The Conjuring » : The Disturbing Claims Behind A Billion-dollar Franchise. Il s’agit sans doute del’un des articles les plus pertinents qui aient été écrits à ce sujet. De ce fait, à défaut de pouvoir effectuer une rechercheacadémique, par manque de sources et de ressources fiables, je proposerai ici, de retranscrire l’article dans les grandeslignes. Je me baserai également sur d’autres articles critiques majoritairement américains et anglais…
Les films “basés sur des faits réels… »
 Les spécialistes en marketing ont souvent trouvé pertinent et vendeur d’indiquer que le film d’horreur que l’ons’apprête à visionner est, soi-disant, « basé sur des faits réels ». Toutefois, il n’existe ni loi ni règle explicite réglementantl’usage de ce terme. De ce fait, les cinéastes sont absolument libres d’exagérer les faits prétendument « vrais » sansrisquer quoique ce soit. Il y a eu, dans le passé, des contestations en ce qui concerne certains faits dits «réels » rapportésdans les films tels que The Hurricane de Norman Jewison et Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow mais les tribunaux ontfait preuve d’indulgence. Remarquons tout de même que ces deux derniers films relatent davantage de « faits réels » queThe Conjuring. En considérant tous les faits surnaturels contenus dans les scénarios de cette série de films, il était évident,pour les réalisateurs et la production, que les spectateurs n’interprèteraient pas l’histoire au premier degré. Quoiqu’il ensoit, tant les crédules que les sceptiques se sont rués sur The Conjuring permettant à Warner d’engendrer un bénéfice d’1.2milliard de dollars. Ces profits ont été à la source d’une longue série de conflits et de controverses à propos des histoiresdu couple Warren.
Le couple Warren au cinéma versus dans la réalité…
 Le premier film The Conjuring, tourné au début des années 70, relate l’histoire d’une famille vivant dans uneferme du Rhode Island. Cette bâtisse serait hantée par l’esprit d’une sorcière. Ed et Lorraine, interprétés respectivementpar Patrick Wilson et Vera Farmiga, interviennent alors afin de libérer l’endroit de l’esprit maléfique. Le scénario n’est pasdénué de romantisme puisqu’à un moment donné Lorraine s’adresse à Ed en lui demandant : « Vous souvenez-vous de ceque m’avez dit lors de la nuit de noce ?» et à Ed de lui répondre : «  Vous avez dit que Dieu nous a réunis pour une raison.» Toutefois, comme nous l’avons souligné auparavant, leur couple n’était ni pieux ni idyllique puisqu’Ed entretenait une «relation » avec une fille de 15 ans et, d’après ce que l’on sait, Lorraine ne s’y est jamais opposée.
Penney…
 Ed Warren était âgé d’une trentaine d’années lorsqu’il rencontre, pour la première fois, son amante de 15 ans sacadette… Au début des années 60, le couple Warren ne gagnait pas encore des milles et des cents. De ce fait, Ed s’étaitfait embaucher en tant que chauffeur de bus à Monroe (Conneticut) alors que Penney était une lycéenne de la villevoisine. Les deux ont alors entamé une « relation amoureuse ». En 1963, elle emménageait chez le couple… En novembre2014, Penney aurait fait une déclaration évoquant ses souvenirs ; au début, elle dormait dans une chambre située en facede celle du couple. Quelques temps plus tard, un appartement fut construit pour elle, au-dessus de la maison des Warren.Elle partage ses souvenirs en racontant : « Une nuit, il dormait en bas (…) Une nuit, il dormait en haut[3]. »
 Or, même en 1963, une adolescente n’emménageait pas chez un couple sans se faire remarquer. Par ailleurs, levoisinage a dénoncé cette situation graveleuse et indécente. Et surprise…Penney (pas Ed !)[4] a été arrêtée par la policelocale. Selon sa déclaration de 2014, elle a passé une nuit dans la prison de North End à Bridgeport alors que les policierstentaient de la persuader de signer le procès-verbal rapportant l’affaire. Etant donné qu’elle refusait de coopérer, elle a dû,sur ordre du tribunal, se présenter à un bureau pour jeunes délinquants. (Alors qu’Ed n’est pas du tout inquiété…)[5]Penney aurait dit à plusieurs reprises qu’Ed était l’amour de sa vie. De son côté, le couple Warren la présentait tantôtcomme une nièce tantôt comme une pauvre fille recueillie par charité…
 En mai 1978, alors que Penney âgée d’une trentaine d’années tombe enceinte d’Ed. En 2014, elle confessera queLorraine l’a persuadée (forcée ?)[6] d’avorter puisque la naissance d’un bébé pourrait créer rumeurs et scandale au sein del’opinion publique et ainsi ruiner la carrière des Warren. Lorraine, en tant que « fervente catholique » aurait dit à Penney :« le vrai dieu, c’est l’argent [7]». Dans un enregistrement obtenu par The Hollywood Reporter, Penney raconte non sansémotion : « Ils voulaient que je dise à tout le monde que quelqu’un était entré dans mon appartement et m’avait violée, etque je n’avais aucunement l’intention de tomber enceinte. J’avais tellement peur. Je ne savais pas quoi faire, mais j’aiavorté. Le soir, lorsqu’ils sont venus me chercher à l’hôpital, ils sont sortis, m’ont fait la leçon et m’ont laisséetranquille[8]. » Elle a également affirmé qu’Ed pouvait être violent envers Lorraine. Un jour, il l’a frappée si fort qu’elleen a perdu connaissance. D’autres fois, il la giflait pour la faire taire : « Certains soir, je pensais qu’ils allaients’entretuer[9]. »
Néanmoins, Lorraine Warren semble vouloir empêcher que certains aspects sordides et embarrassants de sa vie de couplesoient exposés sur grand écran. Son contrat avec New Line (consultant) comprend des clauses inhabituelles. En effet, lesfilms The Conjuring ne devaient montrer qu’une image positive du couple. Toutes allusions concernant une relationextraconjugale ou une sexualité déviante devaient être exclues du scénario. L’avocate Jill Smith affirme qu’elle n’avaitjamais établi de telles clauses auparavant bien que certaines personnes cédant leurs droits d’auteur restreignent la libertéde représentation. Elle aurait effectué des transactions afin de restreindre de manière drastique certains aspects del’histoire apparaissant comme étant odieux puisqu’ils ne sont aucunement pertinents à la compréhension de l’histoire.Selon elle, le public n’est pas censé être au courant de tels agissements.
En 2013, peu après le lancement du dernier film, le producteur Tony de Rosa-Grund, a envoyé un courriel à la direction deWarners et de New line afin de les informer que l’histoire des Warren avait été fortement enjolivée. Il a déclaré dans soncourriel qu’une femme proche des Warren avait été : « mortifiée quant au portrait inexact de la relation entre Ed etLorraine Warren[10]. »
Nous ne savons pas comment la production a réagi à ces allégations mais ce que l’on sait de manière certaine se trouvedans le fait que l’on a continué à dépeindre les Warren comme étant un couple heureux, pieux et conventionnel. Warners’est refusé à tout commentaire. Ed Warren est décédé en 2006, et l’avocat de Lorraine Warren, Gary Barkin, affirmequ’elle n’a jamais été au courant de rien et que par. Le fait de son âge avancé, 90 ans, elle se trouve dans l’incapacité derépondre à ces allégations. Notons que les avocats des Warren ont souligné qu’il s’agissait d’une vendetta liée à unebataille juridique : Derosa-Grund a affirmé qu’il a été injustement exclu des suites et des retombées que le film a suscité,et plus particulièrement de profits financiers.
De Rosa-Grund écrit : « Ed était un pédophile, un prédateur sexuel et un mari violent[11]. » Lorraine Warren a, en touteconnaissance de cause, couvert ses agissements pendant 40 ans. Selon lui, ils n’ont fait que de mentir au public. Contretoute attente, le scénario de The Conjuring 2, sorti en 2016, ne fait qu’amplifier l’image pieuse et idyllique du coupleWarren. Les experts juridiques affirment que Warners et New Line n’ont pas grand-chose à se reprocher en permettant unereprésentation autant romancée du couple. D’après eux, à la fin de chaque film, Warners inclut un avertissement : « Lesdialogues, ainsi que certains personnages et évènements contenus dans le film relèvent de la fiction[12]».
L’avocat Lincoln Bandlow, spécialisé dans le domaine de la production cinématographique, déclare : « Le film est moinsagréable si les chasseurs de fantômes sont une bande de connards que personne n’aime. Il faut que vos protagonistessoient sympathiques[13]. » Il poursuit en précisant que ces films ne racontent que des histoires de spectres et, de ce fait,ils ne sont pas strictement historiques. La procureure Lisa Callif, conseillère des producteurs indépendants, convient quele problème est davantage une question de relations publiques que de droit. Les cinéastes pourraient facilementargumenter que la version hollywoodienne ne reflète pas la réalité et se justifier en déclarant vouloir s’en tenir à la version« heureuse. »
Quant à Penney, aujourd’hui âgée de 70 ans, il semble qu’elle n’ait jamais reçu un seul centime de la recette des films,bien qu’elle y ait participé à plusieurs reprises. Elle ressent une grande rancœur envers Lorraine mais garde de bonssentiments à l’égard d’Ed. Par ailleurs, ils sont restés en bons termes jusqu’à sa mort, en 2006. Néanmoins, de manièreparadoxale, elle semble davantage en vouloir à Lorraine de ne pas l’avoir aidée à sortir de cette situation aliénante : «Etant plus âgée, je ne comprends pas pourquoi Lorraine m’a laissée vivre avec eux dans cette maison[14]. » D’autres fois,je m’interroge : « Pourquoi ai-je fait cela ? Pourquoi ai-je bousillé ma vie ainsi ? Parfois, je mets en colère en pensant àquel point l’on m’a privée de beaucoup de choses[15]. »
Derrière les phénomènes paranormaux…
 En 1990, Ed a prétendu avoir capturé la « dame blanche » sur une bande magnétique. Ce fantôme hanterait lecimetière Union à Easton, dans le Conneticut. En réalité, il s’agissait de Penney qui s’était fabriqué une robe avec desfeuilles blanches… Son but était évidemment d’aider Ed à maintenir sa réputation de « chasseur de fantôme ». Bien quel’article ne s’attarde pas sur cet aspect, il paraît évident que le couple Warren ait amplifié voire inventé les phénomènesparanormaux bien avant que les réalisateurs de films d’horreur n’entrent en scène.
En réalité, il n’existe que peu de sources soulignant l’exagération des « évènements paranormaux. » évoqués par lecouple. Quelques revues cinématographiques et journalistiques l’ont fait, c’est le cas par exemple de la revue HorreurQuébec. En effet, l’article Le procès du démon : l’histoire derrière « The Conjuring : The devil made me do it[16]»,souligne le fait que le couple semble avoir profité de la maladie mentale de certaines personnes en faisant croire qu’ils’agissait d’une possession démoniaque. En effet, dans The Conjuring 3, il est question d’un meurtre commis sousemprise démoniaque. Gérald Brittle[17], sous la direction à peine dissimulée de Lorraine, prétend retracer la « véritable »histoire de cette famille dans son livre The Devil in Conneticut. Suite à sa republication en 2006, une partie de la familleen question a porté plainte pour « diffamation », « détresse émotionnelle infligée intentionnellement et violation de leurdroit à la vie privée.[18]» Sans surprise, Gérald Brittle et les Warren ont maintenu leur version des faits précisant que si lefils de la famille avait été possédé, c’était uniquement par la faute de la mère et de la fille qui avaient côtoyé une sectesataniste…Rien que ça ![19]
En outre, une enquête menée par la New England Skeptical Society en 1997, a conclu que le couple Warren était, dans lemeilleur des cas, « des conteurs d’histoires de fantômes vides de sens et, au pire de dangereux fraudeurs[20]. »
[1] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [2] Magazine américain consacré à l’industrie du cinéma. [3] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [4] Commentaire personnel [5]Commentaire personnel [6] Hypothèse personnelle [7] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [8] Ibid. [9] Ibid. [10] Ibid. [11] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [12] Ibid. [13] Ibid. [14] Ibid. [15] Ibid. [16] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [17] Gérald Brittle est, en quelque sorte, le biographe attitré des Warren. [18] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [19] Ibid. [20] https://the-line-up.com/ed-and-lorraine-warren#
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a-room-of-my-own · 1 year ago
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J’entends beaucoup l’expression « nettoyage ethnique » en ce moment, avec évidemment personne pour évoquer ce qui est arrivé aux juifs du monde arabe après la création d’Israël
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Des milliers de personnes ont dû fuir leur pays, où ces communautés étaient présentes depuis des siècles, expulsées de facto par la violence des états de leur propres voisins. Ils étaient sensés aller où exactement? Beaucoup sont partis
Là la Tunisie - qui n’a plus qu’une poignée de juifs - veut maintenant criminaliser les relations avec Israël et prévoit des peines de 6 à 12 ans de prison pour toute «communication directe ou indirecte» avec «l’entité sioniste» - dénomination d’Israël dans le texte… qui apparemment est très populaire.
Si ce texte passe, combien d’autres pays vont emboîter le pas? Et combien de juifs devront encore fuir et se réfugier en Israël? Parce que l’Occident n’est plus une terre d’accueil, les manifestations récentes le prouvent.
Donc on expulse les gens de chez eux à coup de persécutions et de lois iniques, ils trouvent refuge sur un tas de pierres qui est un confetti face à la taille du monde arabe, et on applaudit encore quand 1500 d’entres eux sont massacrés.
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uncountry · 6 months ago
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Bonjour, 
Vous avez mal dormi ? Moi aussi. Je me suis demandé pourquoi le président de la République avait fait un pari aussi risqué avec des législatives qui pourraient envoyer Jordan Bardella à Matignon. Puis j’ai compris qu’Emmanuel Macron cherche à provoquer un effet de réel, pour obliger les Français à assumer la responsabilité de voir le RN accéder au pouvoir – ou à refuser nettement cette perspective. Mais son plan comporte un point aveugle et très lourd de conséquences.
La décision solitaire, sidérante et parfaitement contingente de convoquer des élections dans moins de trois semaines est taxée depuis hier soir de coup de poker, de pari à haut risque, voire de coup de folie. Au lieu d’accueillir, sourire aux lèvres, les chaleurs de l’été et la flamme olympique, les Français sont replongés dans une nouvelle réalité fiévreuse et angoissante. Le RN n’a jamais été aussi haut, même dans des régions et parmi des catégories sociales qui ne votaient guère pour lui. Bardella est une idole des jeunes, tandis que Marine Le Penincarne, pour beaucoup, la chaleur populaire contre les manœuvres égoïstes des élites. Emmanuel Macron a-t-il perdu les pédales au point de jouer à quitte ou double l’avenir de la France ?
Il s’agit en réalité d’un calcul. Le président craint par-dessus tout de devoir transmettre le pouvoir à Marine Le Pen en 2027. Il constate que la progression du RN est constante depuis plusieurs décennies, qu’il ne parvient pas à l’enrayer, et que le parti d’extrême droite évite tous les pièges tout en profitant de toutes les crises. Macron sait qu’après les Gilets jaunes, le Covid-19, les manifestations contre la réforme des retraites ou la loi immigration, les émeutes des banlieues, la révolte des agriculteurs, le conflit civil en Nouvelle-Calédonie, de nouvelles convulsions vont advenir. Il tente donc le tout pour le tout. Il prend le RN – et tous les autres partis – de vitesse. Admirateur de Napoléon, il entend, tant qu’il lui reste des forces, briser cette ligne ascendante et enfoncer l’armée adverse alors qu’elle ne s’y attendait pas. Et il est persuadé de gagner à tous les coups. Soit, grâce aux voix modérées de tous bords, face à une gauche divisée, il regagne une majorité absolue. Soit il retrouve une majorité relative et essaie de s’allier à la droite. Soit le RN arrive à passer de 88 à 289 députés et le président appelle Bardella à Matignon. Il cherchera à le pousser à la faute, convaincu que l’extrême droite ne résistera pas à l’épreuve du pouvoir et échouera aux prochaines présidentielles.
Le plan macronien se veut imparable parce qu’il est guidé par un postulat simple : l’effet de réel. Selon le président de la République, le vote RN est surtout l’expression d’une pulsion de transgression, d’un désir d’ailleurs. Mais proposez à une personne qui rêve de vivre dans un pays lointain si elle veut y déménager pour de bon, vous verrez qu’elle y réfléchira à deux fois. C’est ce raisonnement que tient Macron : vous adorez voter RN pour râler et vous défouler, mais avez-vous réellement envie qu’il s’installe au pouvoir ? Il est sûr qu’une majorité de Français ne le souhaite pas. C’est pourquoi il a conclu son annonce hier soir par les mots “C’est maintenant”, supposés monter au cerveau de ses incorrigibles compatriotes incapables de comprendre qu’ils ne vont pas si mal.
Mais – outre que le côté paternaliste et jupitérien du procédé risque d’en incommoder plus d’un – le raisonnement du président pèche sur un point. Il n’est pas du tout impossible qu’une grande partie des électeurs désire la victoire du RN de manière tout à fait réaliste. Le parti de Marine Le Pen, depuis plus de dix ans, cherche à épouser les convictions, les passions et les humeurs populaires, plaçant le “bon sens” au sommet de ses préoccupations. Et ça fonctionne. Le vote RN n’est plus tant un vote protestataire qu’une adhésion totale, un projet assumé de voir le parti gouverner le pays.
C’est plutôt le président qui se place du côté du fantasme. Il se prend pour un personnage de roman, qui accepte le défi lancé par son jeune rival. Emmanuel Macron se voit en d’Artagnan, bretteur qui gagne grâce à son audace. S’il échoue, il se prendra pour Cyrano et perdra, mais avec panache. Et s’il doit cohabiter avec Bardella, il sera un résistant à la Jean Moulin. Or, si le RN gouverne, il se montrera d’abord doux et toujours proche du peuple. Il proposera une contre-réforme des retraites, histoire de cornériser la gauche ; il renverra quelques imams et délinquants étrangers avec l’assentiment général ; il freinera l’aide à l’Ukraine au nom de la vie des jeunes Français. Et préparera tranquillement 2027 pour pouvoir faire adopter par référendum les modifications de la Constitution qui lui permettront d’appliquer son programme sans entraves.
En concluant son discours, Emmanuel Macron déclare qu’il faut “choisir d’écrire l’histoire plutôt que de la subir”. Mais il pense surtout à lui, à la fois auteur et héros du roman national. Finalement, il restera peut-être dans les mémoires comme un autre personnage célèbre : celui d’Érostrate, Grec de l’Antiquité qui incendia le temple d’Artémis afin que personne n’oublie jamais son nom. Il aura alors été le scénariste d’une dystopie française, dont personne ne saura plus comment sortir.
Michel Eltchaninoff
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flokkyn-s-cellar · 9 months ago
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06/03/2024
Après rendez-vous avec ma tutrice il y a de cela 6 jours, nous avons conclu que le plus important à l'heure actuelle était de construire l'univers et pour cela je dois me documenter sur divers dystopies pour créer la mienne. Je vais faire les compte rendu de ce que je lis/vois.
Je commence avec le compte-rendu que je me suis fait du libre "Le Procès" par Franz Kafka. J'ai noté certains passages du livre, je vais les retranscrire et dire ce que j'en pense et/ou comment ça va m'aider pour mon propre projet.
"Le Procès", Franz Kafka, édition Le Livre de Poche
1 ) p59 ligne 11 à 19
" Comment puis-je aller à la banque si je suis en état d'arrestation? - Ah! fit l'inspecteur qui se trouvait déjà près de la porte, vous m'avez mal compris ; vous êtes en état d'arrestation, certes, mais cela ne doit pas vous empêcher d'exercer votre profession. Vous ne devez pas non plus être gêné dans vos habitudes. - Alors ce n'est pas bien méchant, d'être en état d'arrestation, fit K. en s'approchant de l'inspecteur. "
Pour moi c'était le début de l'absurde. Le moment semble drôle parce qu'on dirait que rien ne va vraiment changer dans l'immédiat mais je l'ai aussi trouvé angoissant par la naissance d'une épée de Damoclès au-dessus de la tête de K. Tout doit se faire comme avant, notamment travailler et servir mais n'oublie pas tu es en procès.
2 ) p64 ligne 27 à 34
" Certes vous êtes en état d'arrestation mais pas comme on arrête un voleur. Quand on est arrêté comme un voleur, alors c'est grave, mais cette arrestation… Ça me donne l'impression de quelque chose de savant, pardonnez-moi si je dis des bêtises, ça me donne l'impression de quelque chose de savant, que je ne comprends pas, c'est vrai, mais qu'on n'est pas non plus forcé de comprendre. "
La suite de l'absurde de la situation dans laquelle on n'arrive pas à nommer la situation. C'est comme un voleur mais non. Cela m'a rappelé un sketch du JDG sur les dresseurs pokémon je dois dire. Mais le danger vient de ce gris: la situation est grise donc elle ne peut pas être résolue, donc elle est sujette à des interprétations arbitraires. Dans un sens cela peut faire penser aux zones grises dans les textes de loi, qui deviennent des conflits judiciaires assez souvent. En tout cas, la question de la "zone grise" me semble bien comme base de dystopie parce que cela laisse les personnes qui jouent/lient/regardent dans une forme incapacitante à émettre un jugement et résoudre le conflit.
3 ) p84 ligne 1 à 5
" Donc, fit le juge d'instruction, tout en feuilletant son cahier et en se tournant vers K. d'un ton péremptoire, vous êtes artisan-peintre ? - Non, fit K., je suis administrateur en chef dans une grande banque. "
Ce passage humiliant pour le protagoniste a mis en avant pour moi sa descente de la classe sociale. D'abord à haute responsabilité dans la banque, à un "simple artisan" avant de devenir complètement criminel. Le changement de statut social n'est pas forcément ce qu'il "faut" pour faire une dystopie, néanmoins c'est un procédé qui permet de précipiter les protagonistes dedans. Cela peut uassi être la récompense recherchée (New-York 1997).
4 ) p89-90 ligne 28 à 12
" il ne fait aucun doute que derrière tous les agissements de ce tribunal, donc dans mon cas précis, derrière l'arrestation et la présente instruction, une vaste organisation se dissimule. Une organisation qui non seulement emploie des gardes corrompus, des inspecteurs stupides et des juges d'instruction modestes dans le meilleur des cas, mais qui entretient de surcroît une haute magistrature et une magistrature suprême, avec son incontournable cortège d'huissiers, de greffiers, de gendarmes et autres auxiliaires, peut-être même ses bourreaux, le mot ne me fait pas peur. Et quel est le sens de cette vaste organisation, messieurs? Il consiste à faire arrêter des personnes innocentes et à intenter contre elles des procédures folles et, le plus souvent, comme dans mon cas, sans résultat. Comment, vu l'absurdité de tout cela, éviter les formes les plus graves de corruption des fonctionnaires? C'est impossible, même pour lui-même, le plus haut magistrat n'y parviendrait pas. Voilà pourquoi les gardes cherchent à dépouiller le prévenu de ses vêtements, voilà pourquoi les inspecteurs entrent par effraction dans la demeure d'autrui, voilà pourquoi, au lieu de leur faire subir un interrogatoire, on humilie des innocents devant des assemblées toutes entières. "
Ce passage m'a semblé intéressant parce que c'est le moment où le protagoniste semble être en pleine conscience de tout ce qui se passe. Mais cela a lieu assez tôt dans le livre, de ce fait, même conscient, le personnage est pris dans une spirale dont il ne pourra pas ressortir. Cela peut être aussi un mécanisme de jeu avec les joueureuses. Qu'iels se rendent vite compte du problème mais est ce que je leur laisse la possibilité d'en sortir directement via culture participative ou doivent iels d'abord finir un événement dont iels ne sont pasl es maître.sses?
5 ) p157 ligne 24 à 30
"L'avocat cherchait-il à le réconforter, ou à lui ôter tout espoir? K. l'ignorait, mais il tint bientôt pour acquis que sa défense n'était pas en de bonnes mains. Tout ce que l'avocat racontait pourvait être vrai, même s'il cherchait manifestement par tous les moyens à se mettre en avant "
Je pense que cela n'est pas le cas mais j'interprète ce passage comme K. qui dissocie de ce que lui raconte l'avocat. Il parle mais n'apporte rien et il s'en rend compte sans quitter la scène. J'ai eu l'impression de voir la scène comme au dessus des personnages. Ce que je trouve assez intéressant comme manière d'intégrer le joueur à l'intrigue comme le 3ème oeil, qui est en incapacité.
6 ) p182-183 ligne 35 à ligne 1
" Ces fillettes aussi appartiennent au tribunal. - Comment? demanda K. en écartant la tête pour regarder le peintre. Mais celui-ci se rassit sur son siège et dit, moitié pour plaisanter, moitié en guise d'explication : Tout appartient au tribunal."
Est-ce qu'elles représentent le tribunal comme opinion publique. Est-ce qu'elles représentent le tribunal par extension du fait qu'elles vivent dans un état maintenu par la force policière et qu'alors tous ces membres forment le tribunal? Ce sont mes deux théories et peut-être que les deux sont valides ou aucune des deux. Mais je pense que les deux se nourrissent l'un et l'autre. Dans une dystopie il faut déterminer qui fait la loi?
7 ) p185 ligne ligne 31 à 35
" Vous avez dit aussi tout à l'heure que l'on peut influencer personnellement les juges, mais vous contestez à présent qu'on puisse jamais obtenir le véritable acquittement, comme vous le désignez, en usant d'une influence personnelle"
Pourrait-il être intéressant de laisser les joueureuses sur une fin douce amère? Ou sur une résolution qui ne l'est pas vraiment. Ou pas pour lae protagoniste.
8 ) p191 ligne 8 à 12
" Un jour - sans que personne s'y attende -, un juge quelconque prend en main le dossier pour y regarder de plus près, découvre que dans ce cas précis l'accusation est toujours en vigueur et ordonne l'arrestation immédiate. "
Je me suis dis que cela pouvait être un mécanisme exploitable que le malheur, l'intrigue du de lae protagoniste sorte au milieu de nul part. Un événement en plein milieu de la partie qui chamboule tout?
9 ) p203 ligne 15
" (je suis le négociant en grains) "
Ok j'ai juste bien rigolé en lisant ce titre. Je pense que cela n'était absolument pas son objectif mais cela me fait penser que donner des rôles qui peuvent sembler absurdes aux joueureuses de pratiquer pourrait aussi faire partie de la dystopie? Pourquoi ce rôle, que faire avec, quel est mon but?
10 ) p215 ligne 21 à 28
" Les accusés sont les plus beaux. Ce ne peut être la faute qui les rend beaux, car en réalité - en tant qu'avocat, je dois du moins tenir ce discours - tous ne sont pas coupables ; ce ne peut pas être non plus le châtiment à venir qui les rend déjà beaux, car ils ne sont pas tous châtiés ; cela ne peut donc pas tenir qu'à la procédure entamée contre eux, et qui d'une certaine façon leur colle à la peau. "
L'aventure de l'accusé doit se montrer suffisamment moralement grise point de vue de lae spectateurice car il faut pouvoir avoir une bataille d'opinion à son encontre? (Dans la réalité ce n'est pas toujours le cas, des gens 100% criminels sont quand même appréciés mais point de vue joueureuse je suppose qu'il faudrait que les personnages qu'iels jouent soient très gris).
11 ) p224 ligne 32 à 35
" le client finissait par oublier le reste du monde, dans le seul espoir de se traîner jusqu'au terme du procès en suivant cette voie sans issue. Ce n'était plus un client, c'était le chien de l'avocat. "
Je ne sais pas si je réutiliserais cette idée via mon projet mais il me semble juste de voir une fin qui finit mal pour lae protagoniste comme la seule chose qui lui reste et qui définit son identité à l'instant T (déshumanisant). Néanmoins ce n'est pas une obligation (surtout en fin).
12 ) p225 ligne 23 à 28
" Les documents que tu lui as prêtés doivent être difficiles à comprendre. - Oui, dit l'avocat, il est vrai qu'ils le sont. Je ne crois pas non plus qu'il y comprenne grand-chose. Il sont juste censés lui donner une idée de la difficulté du combat que je mène en sa défense. "
Nouveau procédé humiliant utilisé pour parler des victimes du système dans lequel les personnages se trouvent. Même dans leur ultime et personnel défense elles ne peuvent rien faire, tout revient au tribunal de nouveau.
13 ) p241 ligne 11 à 13
" Le verdict ne vient pas en une fois, la procédure se transforme peu à peu en verdict. "
Cela m'a semblé être une remarque très juste et encore plus dans l'idée d'une construction du récit. Il faut que les rôles que les gens s'attribuent au cours du jeu évoluent et deviennent des portraits plus précis qui se sont construits au cours de la partie. Le rôle du ou de la criminel.le et sa gravité prennent sens avec les autres joueureuses.
14 ) p242 ligne 21 à 22
" non comment influencer sur le procès, mais comment en sortie, le contourner, vivre en dehors du procès. "
Dans la continuité du point 12, faire miroiter une porte de sortie ou en rêver. Définir son identité autrement que par l'accusation.
15 ) p256-257 dernière ligne à 2
" K. savait fort bien, à présent, que son devoir eût été de s'emparer du couteau qui passait de main en main au-dessus de lui, et de se transpercer. "
Moment où le protagoniste hésité de manière ultime à s'ôter lui-même la vie pour être le dernier à être le maître de son sort. Cela tient de conserver son humanité. je ne sais pas si cela pourrait être un dilemme intéressant pour la personne accusée au sein du jeu?
16 ) p257 ligne 18 à 21
" La logique a beau être inébranlable, elle ne résiste pas à quelqu'un qui veut vivre. Où était le juge qu'il n'avait jamais vu? Où était le haut tribunal auquel il n'avait jamais accédé? "
C'est la fin du livre avant que K. ne soit exécuté et Kafka met en avant toutes ces questions qui n'ont pas été résolues durant l'intrigue (faisant parti intégrante de la dystopie). Il me semble bien lors d'une dystopie de ne pas répondre à toutes ces questions et de laisser pleins de problèmes non-résolues: néanmoins il faut réussir à mettre en avant el dilemme du problème principal.
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aurevoirmonty · 1 month ago
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Le sommet des BRICS en Russie vient de se terminer.
Le Nouveau Système de paiement BRICS bouleverse l'ordre monétaire et financier mondial : 159 pays sur 195, soit plus des 3/4 du monde, s’adaptent au système de paiement des BRICS… !!!
Le bloc BRICS a annoncé la création d’une plateforme de paiement basée sur la blockchain. Elle devrait redéfinir la position économique globale du groupe. De plus, elle concurrencerait certains des plus grands systèmes de paiement au monde, dont le système SWIFT, dominé par l’Occident.
Le Premier ministre indien a rencontré le nouveau président iranien pour discuter des relations et des affaires mondiales. Cela survient au moment même où l’Inde fournit des drones, des armes et des explosifs à Israël.
Le Premier ministre indien Modi a également rencontré le président russe Poutine. Lors de cette rencontre, il a promis d’aider la Russie à mettre fin à sa guerre avec l’Ukraine.
L’ensemble des BRICS ont collectivement condamné Israël et appelé à un cessez-le-feu.
Pour la première fois depuis cinq ans, l’Inde et la Chine ont tenu une réunion bilatérale. Cette annonce intervient un jour après l'annonce d'un accord historique entre les deux pays, visant à mettre fin à leur conflit frontalier.
Le prince héritier saoudien n’a pas assisté au sommet des BRICS, bien qu’il y ait été invité. Au lieu de cela, il a eu une réunion avec le secrétaire d’État américain, Anthony Blinken.
Poutine a annoncé que l’Iran était « devenu un membre à part entière des BRICS ».
L'un des points les plus importants : Lors du sommet, Poutine s'est vu remettre une maquette du « projet de loi BRICS ».
Les BRICS ont officiellement ajouté 13 nouvelles nations à l’alliance en tant que pays partenaires (pas membres à part entière) :
Algérie
Biélorussie
Cuba
Indonésie
Malaisie
Nigeria
Turquie
Ouganda
Ouzbékistan
Le président russe Poutine propose un plan visant à créer une bourse des céréales basée sur les BRICS. « Plusieurs pays BRICS comptent parmi les plus grands producteurs mondiaux de céréales, de légumes et d’oléagineux. Nous proposons d’ouvrir une bourse aux céréales des BRICS.
Cela permettrait de disposer d’indicateurs de prix prévisibles pour les produits et les matières premières, en tenant compte de leur rôle particulier dans la garantie de la sécurité alimentaire. »
Poutine a annoncé qu’il annulait son voyage au Brésil pour le sommet du G20, le mois prochain.
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Emmanuel Macron ou comment perdre pied.
Sortir du conflit de la réforme des retraites est facile, y entrer fut difficile, E. Macron l'a fait.
L'important est d'en sortir sans perdre la face les uns les autres.
Le président ne peut renoncer à réformer, l'intersyndicale n'acceptera pas un passage en force. Il faut renoncer au 49.3 pas à la réforme.
Le front intersyndical veut la négociation non pas sur des détails mais sur le coeur de la réforme des retraites. En conséquence de quoi le président se doit, au nom de la France, face à l'union européenne, de recevoir les syndicats pour discuter le "morceau" ! Savez- vous négocier plutôt que de poser des ultimatums le pistolet sur la tempe ?...
Il faut dire oui à la France et non à l'Europe.
L'union européenne brutalise la République au nom des critères de Maastricht, des comptes publics, de victime E. Macron devient bourreau et brutalise à son tour la France...
Les monstres sont parmi nous et la fabrique des monstres fonctionne à plein !
Les chiffres c'est bien et nécessaire mais les français ne sont pas des chiffres et ne sont pas bons à chiffrer. A quoi sert de présenter de beaux bilans, de bons comptes de résultats si les populations sont mal heureuses et sous de fortes contraintes ? Le facteur humain compte autant, sinon plus, que de beaux et présentables chiffres comptables...
Si E. Macron a le peuple français avec lui il pourra parler en position de force avec l'union européenne et le monde entier s'il le faut !
Encore une fois la France est prête à avoir raison contre le monde entier s'il le faut, elle l'a déjà faite et elle peut encore le refaire.
La France est le phare du monde, elle ne restera pas à la traîne de ses voisins proches ou lointains !
Lorsqu'une voie de sortie aura été trouvée entre le président, porteur de la réforme, et les syndicats, restera à rendre fonctionnel le parlement, on ne peut gouverner à coups de 49.3 !...
Il faudrait convoquer, une fois la crise résolue, les principaux chefs de partis pour définir des règles du jeu afin de parlementer efficacement et non adopter des postures en ayant en vue les prochaines élections, signifiant ainsi que l'on refuse la volonté populaire exprimée par le dernier scrutin, mais, au cours de cette législature, travailler à servir le pays, tous ensembles, ainsi l'a voulu le peuple souverain dans sa grande sagesse.
Marine Le Pen, Jean Luc Mélenchon, la première des ministres, Élizabeth Borne et Yaël Braun Pivet, première femme présidente de l'assemblée nationale, devraient discuter avec le président de la république des façons de faire fonctionner le parlement sans que le gouvernement ne passe entièrement ses projets de lois en force à coups de 49.3 sans débats ou votes.
Ce gouvernement doit accepter de débattre avec le principal parti de droite, sans ostracisme aucun, le Rassemblement National, ce dernier doit pouvoir débattre, sans ostracisme aucun, avec la France Insoumise, cette dernière doit accepter de débattre avec le gouvernement, sans obstruction aucune, tandis que lui-même doit accepter que tous ses projets de lois n'aboutissent pas obligatoirement ou soient partiellement ou en totalité amendés par les oppositions. Vous devez accepter le parlement tel qu'il est et non tel que vous voudriez qu'il soit. Le principe de réalité doit l'emporter sur le principe de plaisir, vous devez les uns les autres faire preuve de maturité sinon le peuple ne vous le pardonnera pas !
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claudehenrion · 1 year ago
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Et tout ça pourquoi, en dernier ressort ?
  Il est difficile d'échapper à cette idée qui se répand ces temps derniers, que tout va mal et de plus en plus mal, que rien de marche comme ça devrait, et que les hommes qui dirigent (tellement mal !) les destinées du monde semblent souvent s'être entendus avant, entre eux, pour détruire tout ce qui fait de l'Homme une race animale différente et supérieure : nos ''leaders'' semblent être prêts à tout pour transformer ce qui fut longtemps ''l'animal le plus intelligent de la Création, souvent dit fait à l'image de Dieu''.... en un ''mammifère social'' (inspiré du modèle des ''insectes sociaux '') qui ne saurait plus que suivre, obéir et subir... sans plus savoir pourquoi...
Il est sans doute tentant de rechercher derrière mon nouvel état civil de ''veuf'' une fâcheuse tendance à ne voir le monde qu'à travers un pessimisme fait de verres déformants, teintés en noir, en plus. Sans doute y a-t-il du vrai dans ce raccourci, mais –je le répète-- il est trop facile de se soumettre et de tout accepter au motif, mille fois répété par ceux qui ont intérêt à ce que leurs mensonges prennent souche (de manière à assurer leur propre pouvoir, évidemment), qu'il n'y aurait pas d'autre chemin vers leur faux Nirvanâ... qui serait non seulement le seul –ce qu'il n'est pas, c'est évident-- mais qu'il serait bon pour l'humanité –ce qu'il n'est pas, tout au contraire... Un nombre croissant de nos contemporains voit là un immense complot planétaire pour asservir l'Homme...
La mafia de ces comploteurs qui ont réussi à s'approprier la grande majorité des leviers de commande dans la plupart des pays ''qui comptent'', s'est trouvée très intelligente en regroupant tous ses ennemis, ses opposants, ses contradicteurs, ses contempteurs et ceux qui dérangent leur ''ronron'' anesthésiant (c'est-à-dire les neuf dixièmes de la population du globe) sous le nom destiné à être infamant de ''complotistes''. Malheureusement pour eux, cette grosse ficelle est devenue visible, et ils se retrouvent dans la situation ridicule de l'arroseur arrosé.
Une des manières de regarder la Terre et ce qui s'y passe, c'est de voir le piège multi-directionnel qu'ils tendent en permanence aux braves gens. Il est fait d'épidémies soi disant ravageuses mais démontrées fausses, de faux vaccins qui n'en sont pas puisqu'ils ne protègent ni ne limitent ni ne guérissent, et pour cause. (NDLR : Alors... à quoi servent-ils ? A soi-disant baisser très légèrement le taux de mortalité –qui n'est que de 0, 03 %, autrement dit : rien-- chez les gens de plus de 90 ans... Ne me faites pas rire : mes amis et moi savons que c'est un gros bobard !). Il est fait, aussi de faux conflits basés sur des mensonges artificiellement enflés à l'infini, de modes assassines pour ceux qu'on dit vouloir protéger (le woke mortel, le racisme haineux, le sexisme venimeux, le faux féminisme pathologique, etc...), d'idées mortifères et criminogènes (la quasi-totalité des lois prétendues ''sociétales'', qui accélèrent l'auto-destruction du monde (Citez moi une seule des ''réformes'' récentes qui aille dans le vrai ''bon sens'' , celui qui assurerait un futur heureux à l'humanité) et vers la fin de l'espèce humaine)...
La décérébration massive des milieux dits ''intellectuels'' qui a précédé l'actuelle phase de ''mise en œuvre'' des solutions finales a été planifiée, organisée et mise en musique depuis plusieurs décennies, ce qui autorise l'emploi du mot ''complot'', qui est d'ailleurs celui que les seuls vrais complotistes qui polluent le monde ont choisi pour ceux qui ne partagent pas leur vision suicidaire de l'humanité : d'abord, supprimer les Nations, éminemment protectrices, puis détruire tout sentiment d'appartenance (famille, race, religion, langue, profession, fraternité... pour mieux asservir ce qui survivra...), au prix de sa liberté, de sa joie de vivre, de sa raison d'être... Puis s'attaquer à la jeunesse (modes, idées, mots, drogues) et à l'enfance (amour, identité, sexe, amour..). C'est horrible... et c'est maintenant !
La preuve ((s'il en fallait!-- d'un tel complot se trouve sans difficulté dans un opuscule disponible partout : ''The great reset'' (en VF. : ''la grande réinitialisation'') publié en juillet 2020 par les progressistes de Davos. Nous en avons souvent parlé ici, car c'est un de ces poisons violents qu'il est utile de dénoncer sans trêve, et et de remettre sans cesse en mémoire des braves gens –car ce n'est évidemment pas la presse-aux-ordres qui va le faire... et pour cause : les grosses subventions qui lui permettent de survivre sont entièrement dépendantes de sa docilité et de sa capacité à défendre et promouvoir les idées les plus insanes, les plus mortifères et les plus néfastes.
Ce n'est donc pas sur les médias qu'il faut compter pour une information digne de ce nom : au mieux, ils accuseront de ''complotisme'' ceux qui ne sont pas partie prenante au seul vrai complot : le leur ! Mais on dirait qu'une majorité de nos contemporains semble être prête à tout pour ne pas sortir des illusions instillées par des ''meneurs'' indignes des responsabilités qu'ils se sont octroyées : dans un syndrome ''Encore 5 minutes, Monsieur le Bourreau'' généralisé, on tient à garder les yeux grands fermés, à refuser de voir et d'entendre ce qui est évident : comme un troupeau destiné à l'abattoir, nous nous laissons entraîner vers notre perte, et ayant l'air, en plus, d'être d'accord, et en votant pour les pires en faisant taire les ''moins pires''...
Et voilà que, dans ce suicide de l'intelligence, SS le Pape François lui-même se met de la partie : en se servant d'un soi-disant ''synode'' dont les conclusions ont été rédigées d'avance (dont nous avons souvent dénoncé ici les dangers et les faux-semblants), il soumet sans en avoir l'air le futur de l'Eglise à des modes inspirées par le progressisme le plus mortifère... c'est-à-dire à son ennemi déclaré. Et pendant que des jeunes chrétiens par million pérégrinent à Lisbonne (par exemple, une de mes petites filles, étudiante en médecine --vue dans Match--, à fait 2600 km sur une grosse moto par 40° C) à la recherche de Dieu,... nos Prélats... se prélassent en élucubrations byzantiformes sur le sexe des anges --ou des prêtres : là où il nous faut une Sainte Jeanne d'Arc qui bouterait hors les ennemis... on nous propose Mac Kinsey, des modifications d'organigramme et des lois faussement ''sociétales''. L'humanité attend des saints, on lui offre des technocrates qu'on qualifie de ''intelligents'' sans dore pourquoi, dans l'espoir de ''faire passer la pilule''. ''Au fou...''.
La question à cent mille dollars est donc, en fin de compte : pourquoi et au nom de quoi tous ces ''grands du monde'' sont-ils, dans leur petitesse, acharnés à détruire et à perdre ce qu'ils sont, ce dont ils viennent, et qu'ils devraient chérir entre tout ? (car il ne se peut pas que des systèmes complexes se développent tout seuls, sans une volonté, fut-elle invisible). Et là, je dois reconnaître que, en l'état actuel des choses et des informations dont je dispose, je suis- ''complètement sec'' ! Il y a bien des bouts d'analyse, ici et là --si on y consacre l'attention qu'ils méritent, le temps de les distinguer, et la volonté de ne pas s'entêter dans une attitude qui a prouvé qu'elle ne peut conduire qu'au pire-- mais ils sont en nombre insuffisant pour en tirer des conclusions qui puissent éclairer la lanterne sourde de notre humanité en grand danger et permettre l'espoir.
Nous tenterons de poursuivre cette réflexion, a la recherche de solutions utilisables... si Dieu le veut : en effet, en ces temps de grande violence (''Dies irae, dies illa''), certains se demandent si Il n'aurait pas un peu abandonné sa Créature, qui l'a tant déçu, cet temps derniers. ''N'ayez pas peur'', répétait un autre Pape, plus pasteur que cliveur, plus vicaire du Christ qu'adorateur du changement pour le changement... ou pour du pire ! (Et pardon, sincèrement, à ceux que de telles analyses choqueront : l'ambition de ce Blog n'est pas la recherche du scandale mais celle de la vérité).
H-Cl.
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