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#énergies fossiles
chinemagazine · 1 year
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Les pays riches et la Chine priés par l'AIE d’accélérer la course à la neutralité carbone
Les pays riches comme les économies en développement vont devoir avancer leurs objectifs de neutralité carbone pourtant déjà ambitieux
“Les pays riches comme les économies en développement vont devoir considérablement avancer leurs objectifs de neutralité carbone pourtant déjà ambitieux”, a affirmé l’agence internationale de l’énergie (AIE). Cette dernière a souligné que l’essor des “énergies propres” constituait le principal levier pour maintenir à portée de main les objectifs climatiques. Les “économies avancées” telles que…
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mithridas · 2 years
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Que ressentent les employés du secteur pétrolier ou gazier ? Les « petites mains du changement climatique » témoignent.
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savantefolle · 10 months
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Un dessin pour la Cop28
Les gens (et une planète viable) compte plus que l'argent
Le dessin original date un peu, car je l’avait créé pour souligner la semaine de l’environnement en…. 1992. Merci à St-Ex pour l’inspiration. Avec un peu de couleurs, le dessin reste d’actualité… hélas. Ce n’est pas la première fois qu’une conférence internationale s’embourbe à la suite d’une collision frontale entre deux visions opposées de l’humanité et de la planète. L’argent (“l’économie”)…
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mirrorontheworld · 1 year
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Des dizaines de milliers de manifestants d’Extinction Rebellion bloquent une autoroute, «porte d’entrée» de La Haye ce samedi 9 septembre, pour demander la fin des subventions aux énergies fossiles. Ils prévoient de revenir tous les jours jusqu’à obtenir gain de cause.
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mongolitofragola · 10 months
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Maintenant, Une Fracture Riche/Pauvres A La COP28
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lepartidelamort · 7 months
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Déjà, il faut savoir qui produit cette « étude ». Ou plutôt qui finance quoi.
Sur 1 847 105 €, le réseau « Action Climat » est financé à hauteur de 1% par ses adhérents, mais à plus de 50% des fonds privés. Le gouvernement ajoute 31% du total.
Voici la liste des financeurs ayant soutenu le Réseau Action Climat en 2022 :
Agence française de Développement (AFD) Agence de la Transition Écologique (ADEME) Climate Works Commission Européenne (Programme LIFE) ECOS EUKI Feedback Fondation Carasso Fondation Européenne pour le Climat (ECF) Fondation pour le Progrès de l’Homme (FPH) Fondation Oak Mairie de Paris Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires
Dès lors que l’on trouve la Commission Européenne, on sait à quoi s’en tenir. La municipalité écolo-socialiste de Paris est du même calibre.
Le plus intéressant est toutefois l’identité des fondations privées, car nous parlons nécessairement de fonds issus du monde des affaires, pas des impôts.
La fondation Feedback a été créé par Hal Harvey, un agent des familles Rockefeller et Hewlett qui a été chargé d’infiltrer les bureaucraties gouvernementales de nombreux pays.
Il a été baptisé « l’écologiste le plus puissant du monde » par le journal allemand Die Zeit. Disposant de fonds illimités pour recruter, former et soudoyer, il a méthodiquement pris le contrôle du ministère de l’économie allemand après une décennie d’infiltration. C’est lui qui a nommé l’un de ses associés à la tête du ministère, l’écologiste de gauche radical Robert Habeck.
Vu de France, personne ne comprend l’acharnement du gouvernement allemand à poursuivre une politique anti-nucléaire tout en s’alignant sur Washington qui mène une guerre contre l’alliance énergétique germano-russe. Sans le gaz russe, l’industrie allemande est condamnée à moyen terme face aux concurrents mondiaux.
Les Allemands ne le comprennent pas davantage. Une enquête de novembre dernier indique que 73% de l’opinion allemande désapprouve l’action du gouvernement Scholz. Les écologistes sont à 12% d’intentions de vote. Il faut préciser qu’en plus de Habeck, l’écologiste Annalena Baerbock occupe le ministère des Affaires étrangères où elle impose les vues des juifs de Washington, tant sur l’Ukraine que la Palestine.
Une autre fondation citée est la fondation Carasso, de son nom complet Fondation Nina et Daniel Carasso. Daniel Carasso est le juif séfarade qui a fondé Danone. La fondation est dirigée par leur fille, Marina Nahmias.
La Fondation Européenne pour le Climat est une organisation fondée en 2008 qui est présidée depuis 2017 par la juive séfarade Laurence Tubiana. C’est elle qu’Emmanuel Macron avait mandaté pour circonscrire la crise des Gilets Jaunes via la Convention citoyenne pour le climat.
La crise avait été déclenchée par la hausse mécanique des taxes sur le carburant votée par la majorité socialiste sous la présidence Hollande, première étape vers le rationnement de la consommation de la classe moyenne maquillée en « écologie ».
La fondation Oak, quoique officiellement située en Suisse, est une structure légalement basée dans l’île anglo-normande de Jersey, un paradis fiscal d’où elle gère une fortune colossale. Rien qu’en 2018, elle a accordé 350 millions de dollars de dons à diverses initiatives, notamment contre l’utilisation des énergies fossiles. Après des recherches poussées, la presse américaine a découvert qu’elle était indirectement contrôlée par la Banque Royale du Canada via une filiale, la RBC Trust Company Jersey Limited.
La Banque Royale du Canada n’est pas détenue par l’État Canadien, mais par des actionnaires, dont le groupe Vanguard qui gère plus de 7,000 milliards de dollars d’actifs dans le monde.
Personne ne va jamais voir qui finance ces coquilles vides écolo-réchauffistes qui payent des provocateurs pour bloquer les routes ou saccager les musées.
De bout en bout, la finance internationale est le commanditaire et cette finance veut que la plèbe intègre l’idée qu’elle ne pourra plus manger de viande, ni rouler en voiture.
Le discours sur l’apocalypse climatique ne sert qu’à faire accepter une baisse drastique du niveau de vie, baisse devenue inévitable avec l’énorme masse de dettes qui écrase les états occidentaux.
« Les résultats montrent qu’il est possible de réduire de 50% la consommation de viande tout en satisfaisant l’adéquation nutritionnelle et sans avoir recours à des produits enrichis ou à des supplémentations », ce qui « conduirait à une réduction de l’impact carbone de l’alimentation comprise entre -20% et -50% selon le type de changements alimentaires associés ». L’alimentation représente 22% de l’empreinte carbone de la France, et « 60% de ces émissions proviennent de la production, au niveau agricole, des aliments que nous consommons ». L’étude souligne qu’en France, « après deux décennies de baisse entre 1990 et 2012, la consommation de viande par habitant affiche une légère hausse depuis une dizaine d’années ». « La consommation de poulet par habitant en France a en effet plus que doublé entre 2000 et 2022 », ajoute l’étude. Plus généralement, « la quantité de viande consommée par habitant en France est aujourd’hui deux fois supérieure à la moyenne mondiale ».
La moyenne mondiale est notamment calculée en intégrant ce que mangent les noirs et les indiens tous les jours.
Tant que vous mangerez à votre faim, les financiers internationaux estimeront que vous vous gavez, vous et vos enfants, et ils voudront vous enlevez le pain de la bouche pour vous ramener dans le rang.
Le réseau Action climat, qui fédère une trentaine d’associations, et la Société française de nutrition, ont effectué « un travail de modélisation de régimes alimentaires durables » avec le bureau d’études MS Nutrition. L’étude prend comme référence les engagements pris par la France dans le cadre de sa 2e Stratégie bas carbone, qui vise notamment une réduction des gaz à effet de serre de son secteur agricole de 46% d’ici 2050.
Ce sont aussi ces financiers qui éradiquent les agriculteurs avec un mécanisme de concentration des fermes. L’accumulation de normes pseudo écologiques visent à éliminer d’office les agriculteurs qui ne peuvent pas suivre. L’objectif est de détruire la capacité de production.
Si vous vous demandez pourquoi ces financiers planifient cette liquidation des koulaks, c’est très simple : pourquoi attendre une dépression sans précédent, avec son lot de révolutions et de violences, si l’on peut ajuster la demande en compressant l’offre autoritairement ?
Pas d’offre, pas demande, c’est facile.
Dans l’esprit des financiers internationaux, il faut vider les étalages avant que les plébéiens ne soient trop pauvres pour se payer quoi que ce soit et ne demandent des comptes.
En leur disant que s’il n’y a rien dans les magasins, c’est pour survivre à la fin du monde, les affamés sont censés avoir l’impression d’être des ascètes, pas des gueux.
C’est un pari risqué, mais les banquiers juifs sont décidés à le tenter.
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claudehenrion · 8 months
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L'Europe n'est plus l'Europe, il s'en faut de beaucoup !
Les nuls endoctrinés qui sont aux manettes ont baptisé "populistes" tous ceux qui sont pour la souveraineté des peuples et la civilisation occidentale et contre les folies de Bruxelles et l'immigration incontrôlée. Les partis qui gouvernent l'Europe depuis 30 ou 40 ans ont obtenu des résultats objectivement ''même pas médiocres'' (mais ne jetons pas d'huile sur le feu : les paysans nous donnent de jolies leçons de modération). Pour notre malheur, ces néfastes continuent de dominer l'Union européenne, ce qui est un drame et... la cause de tous nos drames..
Les programmes prétendus ''verts'' sont en vérité rouges, mais cachés sous des masques verts, d'où leur nom (comme ''les gilets jaunes'' ou ''les bonnets rouges'' !). Les Verts, d'une manière inexplicable compte tenu de leur vacuité propre et de celle et de leurs programmes, exercent sur les instances dites européennes (qui ne sont que mondialistes, ce qui a l'air idiot, puisque, à l'expérience, ''ça ne marche pas du tout !) une influence disproportionnée dont les conséquences ne peuvent être que néfastes. Ils soutiennent tous l'immigration sans restriction jusqu'au remplacement (mot dont ils interdisent l'usage, car cela révélerait leurs intentions profondes) et prônent le multiculturalisme (dont la définition est secrète : elle exige une extinction de la race blanche --qu'ils haïssent).
Ils sont tous résolument hostiles à toute défense de la civilisation occidentale, à la libre entreprise, au libre marché... et, de manière plus générale, à tout ce qui ressemble à de la liberté. Ils sont en faveur d'une croissance zéro (sans dire ce que cela peut bien vouloir dire !), et ils se sont laissé fourguer une vision apocalyptique du changement climatique : pour eux, la survie de l'humanité est en jeu si l'Europe ne s'autodétruit pas dans une croisade suicidaire pour "sauver la planète"... ''quoi qu'il (lui) en coûte''. Tous se disent démocrates ''au point d'être favorables à des décisions autoritaires imposées depuis Bruxelles à toute l'Europe''.
Un parlement européen qui s'est soumis à l'influence des Verts a accéléré dangereusement le glissement vers le pouvoir sans limite, sans droit, sans textes et sans justification et vraiment sans raison autre que mortelle, que se sont attribués les membres de la Commission européenne (NDLR - vous avez remarqué, édito après édito, que pour moi, seul le nom de ''grosse commission'' décrit les performances mortifères permanentes de cet organisme cancériforme), provoquant la farce interminable (un peu ''inter'' et surtout ''minable''), honteuse, humiliante, et indigne, que des politicards sans envergure ni colonne vertébrale nous ont forcés à ingurgiter, jour après jour, en parlant d'une pandémie de covid --qui n'était ni l'une ni l'autre, mais une invention diabolique que des scientifiques véreux ont prétendue vraie.
Ces folies coûteuses ont escorté un ridicule renoncement progressif à l'énergie nucléaire et aux énergies fossiles, au nom d'un besoin d'énergies soi-disant ''renouvelables'', qui ne sont et seront jamais capables que de répondre, au mieux, qu'à une petite fraction de nos besoins déjà connus.... Il en va de même pour tout ce qui concerne les politiques favorables à davantage d'immigration, sensées (de manière insensée !) remplacer des naissances rendues problématiques par le même système mortifère : nos ''instances suprêmes'' semblent n'être capables d'être intéressées que et exclusivement que par … tout ce qui est catastrophique. Mais où vont-ils chercher un tel masochisme ?
l'Europe est probablement tout au bord d'un déclin irréversible. L'écrivain Renaud Camus écrit dans son journal que ''les Européens semblent choisir l'euthanasie''. Dans les premiers paragraphes de L'étrange suicide de l'Europe, Douglas Murray précise : "quand disparaîtront les gens actuellement en vie, l'Europe ne sera plus l'Europe". Les poussées éventuelles des mouvements "populistes" aux élections à venir suffiront-ils à arrêter le déclin de l'Europe ? Si rien ne change, la doctrine d'un ''mondialisme-seule-solution'' (cf. les bobards tels que ''la France est trop petite pour etc...'') pourrait tuer tout ce que nous aimons, devant des inepties non-désirées : vaut-il mieux ''ramer'' pour obtenir ce qui nous était offert gratuitement au temps de la grandeur française … ou disparaître en se faisant attribuer des tas de faux avantages dont on ne veut pas, dont on n'a pas besoin, et qui, en dernier ressort, ne sont pas des avantages ? (exemple : 9 milliards de vaccins covid, qui ne soignent ni ne protègent, pour 450 millions d'européens !)
J'ai été très frappé, ce matin, en lisant le mail d'une fidèle lectrice et amie qui répondait à mon éditorial d'hier (''Et la France, dans tout ça ?'') en ces termes : ''Tu peux être sévère et même dur avec ceux qui méritent si fort d'être condamnés (et même damnés !) : tous ceux qui ont été et sont au pouvoir n'ont jamais été à la hauteur, ils n'ont jamais su construire quoi que ce soit ni ''avoir une vista'', comme tu le dis souvent. Ils signent sans relire –pour que de soi-disant ''Sages'' (MDR !) retoquent tout ce qui ne va pas dans leur mauvais sens à eux--, ils nous dirigent vers des lendemains garantis sans espoir, et surtout ils font tout ce ''n'importe quoi''... sans se soucier, dans la poursuite de leurs rêves cauchemardesques, des conséquences de leurs mauvaises décisions... A force d'être mauvais, ils sont désespérants !
''Et en face de cette nullité infinie, on trouve soudain nos pauvres agriculteurs, qui dressent leur courage, leur abnégation, leur allocentrisme et leur foi en leur mission (nourrir, malgré les textes, les interdits et les normes pourries). La réalité qui vient de surgir devant nos yeux qui la voyaient sans la voir est terrible : si tous les nuisibles se mettaient à leur ressembler, à être aussi courageux, travailleurs, passionnés, fonceurs, et entrepreneurs qu'eux, la France se remettrait à tourner rond dans la seconde, de l'école aux hôpitaux.. Tout irait mieux, tout marcherait...
''Nos paysans sont des seigneurs : ce sont les nouveaux aristocrates ! Pour eux, comme me le répétait mon père (NB - Son père était un paysan, vrai, authentique, à l'ancienne... comme il en faudrait des millions dans les ministères, dans la fonction publique, dans l'enseignement), on n'arrête de travailler que parce qu'on a parfaitement terminé tout ce qu'on avait à faire. Mais pas parce qu'on est fatigué (ou parce qu'on a droit à un congé négocié par des syndicats qui se fichent pas mal de l'intérêt commun et de la Nation)''. (Rappel : et le mien disait ''Je dois'' est toujours prioritaire sur ''j'ai envie''. C'est la même chose !)
Le face-à-face dont nos petits écrans nous rendent témoins obligatoires est à la fois terrifiant et … à l'image du temps : un combat à mort entre une armée de Goliaths qui n'ont jamais su produire quoi que ce soit en dehors de ''tonnes d'emmerdes'' pour leurs malheureux ''administrés'', et de rouleaux de papier (que je ne qualifierai pas ici : c'est ''limite hors-sujet'' !), normatifs, tatillons, redondants, tatasses… et inutiles, d'une part,... et, d'autre part, la fine-fleur de l'Humanité, de vrais ''Hommes'' au sens plein du terme, qui luttent pour une survie que les malfaisants ont décidé, sans la moindre raison valable et défendable, de leur interdire, au nom de leurs théories assassines --qui n'ont jamais marche, nulle part.
Puisse David l'emporter, dans cette lutte millénaire entre le Mal et le Bien, comme il l'a souvent fait dans l'Histoire, dit-on... Mais c'était en des temps où Dieu, aimé, craint et respecté, protégeait Sa Créature. Dans le cas présent, le Mal (c'est-à-dire l'idéologie perverse de la mondialisation, qui préfère importer des raisins du Chili par avion (Bonjour, leur ridicule ''bilan carbone''!) que de remercier nos paysans, a eu le temps de préparer ses armes, et la victoire du Bien est plus incertaine : il y a de quoi ''avoir les boules'' ! Il nous reste l'espoir : il fait vivre, affirme la sagesse des Nations ! On peut toutefois redouter que le dialogue entre un ''condamné-à-mort par un système a-humain'' et un technocrate pour qui le comble de l'action se résume à ''pondre une n-ième norme perverse ou à réunir un n-ième comité inutile'' ne mène pas à grand chose ! Et dans ce cas... Les jours à venir vont être passionnants à suivre !
H-Cl.
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Un certain nombre d'organes de presse viennent de se faire l'écho d'une lettre signée par un ensemble d'entreprises "représentant environ 1000 milliards de dollars de chiffre d'affaires" et qui, à la veille de la COP 28, réclame aux gouvernements de "s'attaquer aux combustibles fossiles". A première vue, cela semble prometteur : des entreprises qui réclament que l'on s'occupe sérieusement de la question climatique, on se dit que cela peut signifier qu'elles acceptent des contraintes sur le transport routier de marchandises, sur l'emploi de matières premières énergivores (acier, métaux, plastiques, ciment...), sur le prix de l'énergie fossile pour les entreprises et les ménages, sur le transport aérien, voire qu'elles sont prêtes à accepter la sobriété, c'est à dire qu'on achète moins de leurs produits. On pourrait aussi se dire qu'elles acceptent un accès plus difficile aux prêts et au capital pour développer ou même simplement maintenir des activités qui ne sont pas compatibles avec un monde qui voit ses émissions baisser de 5% par an (ce qu'il faut atteindre pour limiter le réchauffement à 2°C). Mais quand on lit la lettre, ce n'est pas vraiment cela que l'on découvre. Ce que souhaitent les signataires, c'est essentiellement que les états développement massivement les ENR, en "faisant ce qu'il faut pour orienter les flux de financement", pour permettre l'accès (aux signataires) à une énergie décarbonée abondante. Il n'est pas fait mention du prix, mais quand on lit dans cette lettre que "The transition to net zero could boost global GDP by 4% by 2030" on comprend que ce n'est pas le sujet : puisque la décarbonation va créer de la croissance verte, il y aura au sein des entreprises en croissance l'argent nécessaire pour payer la transition. En clair, cette lettre réclame surtout des efforts... chez les autres ! Après la COP de Glasgow, c'était le secteur financier qui avait multiplié les effets d'annonce. S'était alors créé le "Glasgow Financial Alliance for Net Zero", regroupant beaucoup de grands noms de la place (https://www.gfanzero.com/ ), au sein desquelles il y avait des sous-alliances sectorielles, comme par exemple la Net Zero Banking Alliance, la Net Zero Asset Manager Initiative, et j'en passe. On pourrait se dire que cela signifie que ces acteurs acceptent que, plus ils financent des activités dépendant des combustibles fossiles, et plus les contraintes réelles (exigence en fonds propres par exemple) sont élevées. Mais là non plus ce n'est pas ce qui s'observe : en pratique il n'y a pas eu de différences significatives sur les process opérationnels internes aux entités signataires entre avant et après. En matière de décarbonation, l'union doit suivre l'action. Ce sont les entreprises qui ont déjà fait la preuve de leur mutation - en ayant des produits, marchés, procédés et chaines de valeur compatibles avec une décarbonation rapide - qui sont fondées à se regrouper pour en réclamer plus aux autres
Que cette masturbation d'esprit s'arrête et place aux actes
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sarahaubel · 11 months
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JUILLET
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“J’ai envie que tu écrives sur moi. Écris sur moi. Dis que je suis génial” / Une rescapée de la Shoah m’a dit : “Les trains me font rêver.” Comme quoi tout passe. / Ma maison a la carrure solide, les épaules larges, le torse poilu et deux tétons ravissants. Il n’y a qu’auprès de toi que je me sente chez moi. / Ce matin je photographie une conférence sur les énergies fossiles ou un truc comme ça. Ça tombe bien de fossile j’en suis un et d’énergie j’en ai pas. Je vais peut-être y trouver mon compte finalement. Un homme à l’énergie inversée parle de batteries au lithium. Possible que ce soit lui qui ait alimenté les batteries en question, ça expliquerait son état de semi-coma vertical. Il parle de discours « touffu » et tout de suite j’ai des images. Son monologue est un murmure de pré-sommeil, celui qui implique des yeux chauds et une langue pâteuse. Vient ensuite un mec qui essaie de nous expliquer qu’on peut décarboner avec du carbone. Vague sensation qu’il essaie de me la faire à l’envers. / “Je t'aime pour aujourd’hui”. Je me dis que c’est déjà pas mal d’être aimée sur une journée. Et pour demain ? Demain on verra. / Mon ami a l’amour humide, comme une plaie qui ne cicatrise jamais. Le cœur pâle et gondolé qui commence à sentir mauvais. / Il m’a dit “Rentre pas, je prépare une fête !”. A son signal j’ai été autorisée à mettre un pied dans la cuisine. Des verres Heineken partout et assez de poudre (d’amande) pour fournir toute une boîte berlinoise. A quel âge dois-je commencer à m’inquiéter ? / J’ai rêvé que Céline Dion s’installait à côté de moi au restaurant. On taillait le bout d’gras toutes les deux puis comme elle me trouvait super sympa (on est dans mon rêve, laissez-moi tranquille, je fais ce que je veux) elle me proposait un duo le soir-même à Bercy. Je vous raconte pas la montée d’adrénaline que je me suis tapée. / 2h du matin sur le balcon. J’entend un voisin gémir de plaisir. Je ne sais pas si je viens de surprendre un coït ou si sa femme vient de le gratter entre les homoplates-non-un-peu-plus-à-gauche-descend-encore-voilà-c’est-bon-oh-oui-t’y-es, pile là où ça le démangeait. L’univers est peuplé de questions sans réponses. / Perdue dans la contemplation du vide je suis passée à un poil de confondre mon gel douche intime et mon dentifrice. La vie ça tient à peu de choses parfois.
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elinaline · 2 years
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Les prix explosent et les fins de mois sont de plus en plus difficiles. Mais le pouvoir macroniste refuse d’augmenter les salaires, de geler les loyers ou de bloquer les prix face à la vie chère. Pire encore, il prévoit de nouvelles attaques contre le régime des retraites et l’assurance-chômage et organise la destruction des services publics, notamment ceux de l’éducation et de la santé.
La planète brûle et l’eau manque. Mais le gouvernement, déjà condamné pour inaction environnementale, poursuit une politique antiécologique qui met en danger l’avenir même de notre écosystème. Il y a urgence à agir pour planifier la transition indispensable face à l’urgence climatique pour en finir avec notre dépendance aux énergies fossiles et aux fluctuations des prix du gaz et du pétrole.
Pendant que le peuple subit et que la planète souffre, Macron protège ses amis les plus fortunés : quelques superprofiteurs continuent à engranger. Les dividendes versés aux actionnaires ont atteint cette année un record historique. Les hyper riches peuvent toujours profiter de leurs jets et yachts super-polluants : les restrictions ne les concernent jamais. La taxe sur les superprofits, pourtant mise en place dans de nombreux pays d’Europe, n’est toujours pas à l’ordre du jour !
Cette situation ne peut plus durer. Nous lançons un appel à une grande marche contre la vie chère et l’inaction climatique à Paris le dimanche 16 octobre, précédée par des initiatives symboliques le samedi 15 octobre.
Cette initiative nationale s’inscrira dans la continuité des mobilisations engagées par les syndicats et associations, dont les journées nationales d’action des 22 et 29 septembre et la mobilisation climat du 23 septembre.
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neverfadeaway-rpg · 2 years
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▬ les corporations de Night City ▬
Considérant le grand nombre de gangs et de corporations, nous en avons défini des majeur·e·s et des mineur·e·s. C'est dans un souci de clarté que nous avons fait ces choix, notamment pour celleux qui ne connaissent pas l'univers, mais nous vous invitons à tout considérer si vous vous sentez à l'aise. Les choix se sont basés sur l'importance dans le jeu et dans le lore de chaque groupuscule.
Pour le contenu teasé ici, nous avons évidemment essayé de condenser un peu, mais si vous avez une question, sentez vous libres de nous la poser !
Pour finir, pour ce qui est des gangs, nous aimerions pouvoir mettre en place un procédé de création par les membres pour avoir des gangs uniques au forum, une fois ce dernier ouvert... Stay tuned pour ça !
CORPORATIONS MAJEURES ▬
ARASAKA ; corporation japonaise longtemps exclue de Night City malgré un rayonnement mondial important ; versée dans la sécurité, la finance et la manufacture en cybernétique et l'armement. MILITECH ; corporation très attachée au gouvernement des NUSA, elle se démarque dans la fabrication d'armes avec un rayonnement mondial, mais aussi dans l'offre de forces militaires privées. KANG-TAO ; compagnie chinoise plutôt récente par rapport à d'autres, elle s'est fait connaître pour ses nombreux vols industriels et la création d'une technologie d'armes intelligentes. ORBITAL AIR ; entreprise portée sur l'espace, ayant un monopole dans le transport et la maintenance des stations orbitales, en plus d'avoir des centres de recherche de pointe sur Terre. BIOTECHNICA ; corporation spécialisée dans tout ce qui touche la biologie ; elle est présente autant sur le domaine alimentaire que la conception d'organes cybernétiques, en passant par la cosmétique ou le tabac. TRAUMA TEAM ; service de choix quand il est question de médical, cette corporation est reconnue autant pour ses services que ses hôpitaux, s'illustrant comme la fournisseuse majoritaire de soins aux NUSA. N54 NEWS ; corporation possédant un quasi-monopole de la télévision sur le sol américain et du divertissement en général, avec des services diversifiés dans les labels de musique et dans la braindance.
CORPORATIONS MINEURES ▬
NIGHT CORP ; Corporation unique à Night City, très dirigée vers l'infrastructure de la ville, elle est également engagée dans l'écologie et les bourses d'étude. KIROSHI OPTICALS ; corporation spécialisée dans la technologie de pointe, notamment dans la fabrication et conception d'implants optiques. KENDACHI ; versée dans l'armement, cette corporation se penche sur la manufacture de gammes d'armes high-tech. ZETATECH ; entreprise spécialisée dans la production avionique avec les aérodynes et autres cargos, son marché s'articule aussi autour de la production de matériel informatique. PETROCHEM ; industrie basée sur l'industrie pétrochimique, avec des recherches sur les huiles et énergies fossiles.
Voici pour la première annexe dévoilée, tournée autour de quelques corporations que l'on peut trouver au sein de Night City. N'hésitez surtout pas si vous avez des questions, notre ASK est ouvert, et vous pouvez également nous retrouver sur notre discord !
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cleopattes · 1 year
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Changer la nature pour la préserver – Elizabeth Kolbert « Under a White Sky – The Nature Of Future »
Avant-propos: je vous partage dans cette série de capsules mes réflexions par rapport à quelques livres et autres lectures exposant une pensée environnementale. Nous y parlerons développement durable, de changements climatiques mais aussi du fonctionnement général de Mère-Nature. Le tout sera agrémenté de données chiffrées et vérifiées, et peut-être aussi d’une touche d’humour.
Je ne présenterai pas une seconde fois Elizabeth Kolbert, l’auteure de ce livre publié en 2021, je vous invite à lire le second paragraphe de ma dernière chronique décrivant cette gagnante du prix Pulitzer. Je ne suis pas sûr qu’il constitue une « lecture d’été », tel que qualifié par Barack Obama ou encore Bill Gates. Pour ma part, j’emploierais une expression du genre « lecture parfaite à emporter dans son abri antiatomique ».
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Depuis 10 000 ans, soit à peu près la fin des dernières glaciations, la stabilité des températures a permis le développement des civilisations. L’illustration ci-dessous dresse l’historique pour le Groenland. Imaginez que cette période ait commencé 20 000 ou 30 000 ans plus tôt, où en serait-on aujourd’hui avec le climat et nos technologies? Quand il fait constamment -20 degrés Celsius en dehors de sa caverne humide, on ne pense pas spontanément à développer l’art de la philosophie pour les intellos ou de la métallurgie pour les manuels…
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Retenons que nos émissions de CO2 depuis 50 ans remettent en cause cet équilibre, en raison de l’utilisation des énergies fossiles. Bon, je dévoile maintenant l’explication du titre « Under A White Sky », qui signifie que la couleur de notre ciel en temps normal va passer du bleu au blanc, en raison de la géo-ingénierie, si ces technologies audacieuses finissent par être déployées. Mais les levers de soleil seront splendides! 
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Mais qu’est-ce donc que la géo-ingénierie? Je le savais, j’ai piqué votre curiosité, cela tombe à point puisque les scientifiques et médias de toute sorte vont introduire le concept à la population dans un futur proche. En guise d’introduction, le volcan Tambora, situé en Indonésie, rentra en éruption en 1815. Il rejeta tellement de cendres, gaz et particules fines dans l’atmosphère que les rayons du soleil furent bloqués et cela conduisit à un refroidissement climatique pour les années suivantes (1816 eut un été glacé). C’est sans compter les centaines de milliers de personnes sur la planète mortes de faim ou déplacées. Vous avez donc compris le principe de la géo-ingénierie avec les aérosols dans la stratosphère! Dans le livre, plusieurs possibilités sont déclinées :
Particules de diamants vaporisées dans la stratosphère;
Sel saupoudré au-dessus de la banquise;
Dioxyde de soufre dans la stratosphère, vraiment charmant;
Acide sulfurique et autres aérosols plus ou moins testés…
Tout cela peut faire peur! Oui, on peut transformer de la grêle en pluie avec un additif relâché par avion très localement, mais on parle ici d’une « solution » globale qui gérerait les conséquences et en aucun cas les causes du haut niveau de CO2 dans l’atmosphère. Plutôt que de vaporiser de la méthadone dans notre air, il paraît préférable d’arrêter de consommer l’opium de la croissance économique, à savoir les énergies fossiles.   
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L’homme, avec sa casquette de scientifique en général, est toujours persuadé de faire la bonne chose au moment où il la fait et avec toutes les connaissances en sa possession, mais les effets collatéraux non prévus peuvent être dévastateurs. Pensons seulement aux DDT, aux CFC, à l’importation d’espèces invasives,… Mentionnons également que ces programmes nécessitent du financement, du matériel (ex : avions capables d’embarquer 20 tonnes d’aérosols à 20 km d’altitude), et la fabrication d’aérosols, mais tout cela pourrait se résoudre avec une volonté politique internationale. Cependant, avant d’entreprendre la géo-ingénierie dont on ne maîtrise pas les possibles effets secondaires, quelques questions et constats s’imposent :
Que se passera-t-il si on commence ces épandages stratosphériques puis qu’on les arrête pour diverses raisons?
Si l’expérience tourne mal, quelles sont les voies de sortie et d’atténuation?
Si elle change les patrons de précipitations (sécheresses en Afrique et en Asie) tel qu’anticipé, que fera-t-on?
Surtout, a-t-on éthiquement le droit de jouer à l’apprenti chimiste avec la planète en lançant des solutions reposant sur notre conviction que tout devrait bien se passer au terme du processus? L’approche est autant empreinte d’espoir que de doutes.
N’oubliez pas que le but demeure de réduire la température ou de freiner sa progression, mais que cela n’implique pas la décarbonation, signifiant que le géo-ingénierie devrait arriver en complément à d’autres actions, centrées sur les causes cette fois-ci.
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Restons dans le contrôle de la nature qui est le fil conducteur du livre, mais cette fois-ci avec un regard sur le passé et le présent. Elizabeth Kolbert prend l’exemple de la Louisiane. En mes propres mots, la fondation de la Nouvelle-Orléans correspond à un entêtement vraiment débile des premiers colons français. C’est quoi l’idée de construire en zone inondable quand on sait pertinemment que la zone est justement très inondable? La solution simple fut de construire des digues sur les « levées » naturelles (Levee en anglais), renforcées au cours de décennies. Rassurez-vous, dirais-je cyniquement, ce travail fut réalisé par des esclaves. Le surnom de la ville devrait même évoluer de « Big Easy » à « Big Shame », selon mes valeurs personnelles. La ville ensuite s’est développée économiquement et humainement, rendant impossible d’un point de vue pratique un retour en arrière. Il s’en est suivi l’édification d’autres digues et systèmes d’ingénierie complexes pour contrôler les eaux du Mississippi… et ses alluvions, dans un processus de fuite en avant. La Louisiane est toutefois condamnée à disparaitre sous la mer, citons un article du Washington Post mentionnant que dans cet état perdrait 8,7% de ses terres d’ici 2050. Ce n’est pas une bonne idée que d’habiter en ce moment l’Isle De Jean Charles! Dans la même rubrique de choix insensés et non pérennes naturellement, mentionnons l’établissement même de Las Vegas, le contrôle du territoire plus qu’extrême aux Pays-Bas, ou encore le récent système de protection de la ville via un mur de portes marines à New York. Aussi admirables et perfectionnés soient les systèmes d’ingénierie mécaniques et hydrauliques, Dame-Nature ne respecte pas toujours les spécifications d’ingénierie! Frida Boccara (‘scusez, la référence n’est pas jeune, mais écoutez la chanson pareil) chantait avec sa voix sublime de profondeur : « Venise va mourir un jour… au fond de l’eau verra passer tous les bateaux ». Vous pouvez échanger le nom de la ville pour Amsterdam s’il vous chante.
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Je pense avoir eu la délicatesse de commencer la chronique par le sujet le plus épeurant, celui de la géo-ingénierie qui deviendra peut-être réalité dans les prochaines années. Continuons avec une autre variante se focalisant uniquement sur les causes aussi, celle de la captation du C02 dans l’atmosphère. L’idée devrait ou même devra aller de l’avant, sachant que la température mondiale a déjà augmenté de 1,2 degré Celsius depuis le début de la période de référence et que toutes les prédictions modérées seront fracassées d’ici 2050. Mais comment faire? Elizabeth Kolbert a identifié plusieurs solutions, mais le problème reste toujours le même, celui du volume. À petite échelle, on capte facilement le CO2 pour le neutraliser, mais au niveau de la planète et de son atmosphère, c’est bien plus complexe… Voici donc les initiatives :
Capter le CO2 puis l’envoyer dans la roche en profondeur pour qu’il se minéralise dans le basalte. L’image ci-dessus provient d’un de ce type d’installation actuellement en opérations, le système ORCA de Climeworks dont je vous invite à regarder la vidéo;
Extraire 3 milliards de tonnes de basalte et l’épandre sur des terres agricoles sur la planète;
Dissoudre de l’olivine volcanique dans les océans;
Planter 1 000 milliards d’arbres sur la planète, puis les enterrer dans des tranchées lorsqu’ils seront à maturité, pour éviter que le CO2 ne soit retourné dans l’atmosphère. Ces arbres pourraient être modifiés génétiquement afin de se prévaloir de feuillages plus clairs (avec les OGM, on peut tout réaliser!), favorisant ainsi le rejet des rayons UV;
Construire 100 millions de machines résidant dans des « containers » pour pomper le C02.
Ces projets sont mégalomaniaques à première vue (mais c’est quoi le coût de ne rien faire?), sont très couteux et mobilisent des ressources, générant du CO2 au passage, pour être réalisés. À l’instar de la géo-ingénierie, nous sommes confrontés à une logique possible de 2 pas en arrière pour un en avant. Question subsidiaire : qui acceptera de payer $1 000 ou même $100 US par tonne de CO2 capté et neutralisé? Pour information, l’humanité a produit 36,8 gigatonnes en 2022, en augmentation par rapport à 2021… Sapiens tente de gérer un problème qu’il a lui-même créé et qui semble insoluble vu les proportions prises.
Il est temps maintenant d’accompagner l’auteure en Australie et de parler des OGM (organismes génétiquement modifiés. Disons-le de suite à la défense des promoteurs des OGM, ce n’est pas parce que l’on mange un poulet qu’il va nous pousser un bec et des ailes. Cependant, nous nous en sommes aperçus concernant les DDT et autres produits chimiques, ce qui passe par le foie peut gravement impacter notre santé et nos gènes. On parle encore du principe de précaution.
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Le très charmant crapaud buffle (cane toad pour les anglophones, rhinella marina de son nom scientifique) représenté ci-dessus, fut introduit dans de nombreux pays tropicaux, puis en Australie pour se délecter d’insectes dans les champs de canne à sucre, ce qui se révéla être un échec. Cependant, ces gros batraciens ont progressivement colonisé de nouveaux territoires sur l’île continent. Au fil des décennies, l’évolution a même fait que leurs pattes à l’arrière se sont allongées, leur assurant une invasion encore plus rapide! Le problème demeure qu’ils sont toxiques, la faune locale de prédateurs pouvant en mourir. Le lien avec les OGM? Une équipe de scientifiques a travaillé fort pour altérer leur gène de la toxicité, de manière que les prédateurs tombent seulement malade après un tel repas, les incitant ainsi à ne plus s’en approcher. Personnellement, rien que de voir l’animal, j’ai déjà une indigestion…  
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Toujours en Australie, chacun sait que la barrière de corail est sujette à disparaître complétement (blanchiment, puis mort, puis désintégration physique avec le temps). Près de la moitié de la Grande Barrière a déjà trépassé en 2016 et 2017. La solution scientifique? Changer l’ADN des coraux pour les rendre plus résistants à l’eau trop chaude et en dehors de leurs paramètres optimaux.
La manipulation génétique sur l’ADN du vivant peut aller plus loin encore. D’autres équipes ont travaillé sur un « X-Shredder » pour les souris. Imaginez, les souris femelles ne développent plus le chromosome X et ainsi n’engendrent que des souris mâles. Sur une île du Pacifique dont les populations d’oiseaux marins sont en déclin à cause des rongeurs, on comprend. Imaginez que les mignonnes souris s’échappent et colonisent les différents continents, on peut alors éradiquer des espèces, rien qu’avec le bricolage d’ADN! Capotant, vous dîtes?
Arrêtons ici la revue du livre « Under A White Sky » d’Elizabeth Kolbert, supposée être donc une lecture d’été, peut-être à cause de son nombre de pages. Sapiens a créé un énorme problème, celui des changements climatiques, en raison de sa consommation depuis surtout les 50 dernières années d’énergies fossiles, entraînant une hausse des GES et des températures. Je radote. En attendant une annulation ou réduction très drastique (davantage réaliste) des émissions, la communauté scientifique nous apporte des solutions séduisantes axées sur la gestion des conséquences. Il faudra en passer probablement par là pour ne pas atteindre un réchauffement de 3 ou 4 degrés Celsius ou plus d’ici 2100. Mais appliquons encore le principe de précaution, nous ne sommes pas collectivement forcément plus malins en 2023 qu’on ne l’était il y a 60 ans. Les décisions sont toujours prises selon les connaissances scientifiques disponibles.  Même Rachel Carson trouvait que c’était une fichue bonne idée que d’importer les 4 espèces de carpes chinoises dans nos eaux nord-américaines. Rétrospectivement, ces gros poissons sont devenus une espèce invasive plus que difficile à gérer. Parions que la nature ne demeurera pas encore longtemps naturelle, et qu’elle devra être modifiée par le génie humain pour atténuer les changements climatiques. Évitons cependant toute forme de dérapage, je pense en particulier à la géo-ingénierie.  
Crédits photos :
Géo-ingénierie solaire, géo-ingénierie avec avion, vieux carré de la Nouvelle-Orléans, Climeworks, crapaud buffle, coraux blancs, photos tirées du livre de Elizabeth Kolbert prises par l’appareil téléphonique de l’auteur (Thierry Lagrange)
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louce123 · 2 years
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« On pouvait peut-être voir aussi l’effondrement d’une esthétique en fait ; de ce que j’appelle une esthétique, donc un régime de la sensibilité, comment on perçoit collectivement le monde… puisque l’esthétique, je ne parle pas là uniquement de l’art mais plutôt du régime du sensible. 
Du coup, j’ai senti à un moment donné quand il y a eu l’incendie de Notre-Dame qu’effectivement il y avait cette esthétique —que j’appelle petro-sexo-raciale. Qui dans les modes de production fonctionne par les énergies fossiles et dans les modes de reproduction fonctionne par les binarismes homme/femme, héterosexuel/homosexuel, mais aussi par une taxonomie raciale hierarchisée.
(…) Etait en train quelque part de brûler et de s’effondrer et donc c’est vrai que pour moi c’était presque comique voir la folie que ça a suscité (l’incendie en lui même) et aussi la manière dont les autorités puliques ont voulu tout de suite la reconstruire à l’identique. Alors que justement il y avait dans cet effondrement, dans cette forme de destruction peut-être l’invention d’une nouvelle esthétique qui était plus juste, plus en accord avec notre temps disjoncté.
(…)
Face à cette fragmentation, à l’explosion des formes de connaissance de la modernité, la philosophie ne suffit pas.
En tout cas la philosophie telle qu’on la connaît. Il y a là aussi une débinarisation, c’est à dire une rupture de cette différence traditionnelle entre la théorie/la pratique, le corps/l’esprit, la philosophie et la poésie etc… donc du coup la philosophie devient poésie la poésie devient cinéma le cinéma devient peut-être musique, vous voyez, c’est aussi peut-être comme ça que les artistes contemporains travaillent aujourd’hui. »
Paul B. Preciado — interview sur France Inter à l’occasion de la sortie de Dysphoria Mundi, novembre 2022
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topicsfromatoz · 13 days
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1 HYDROGÈNE, ÉLÉMENT CHIMIQUE CONNECT L'UNIVERS, LA VIE ET LA TECHNOLOGIE #AtoZ_TABLEAU_PERIODIQUE
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L'hydrogène est l'élément chimique le plus léger et le plus abondant dans l'univers, symbolisé par "H" avec un numéro atomique de 1. Il est un composant essentiel de la matière, formant des étoiles et des planètes et jouant un rôle crucial dans les processus vitaux sur Terre. L'hydrogène est incolore, inodore, sans goût et non toxique. Il est hautement inflammable et peut libérer une énergie importante lors de sa combustion, ce qui en fait une source potentielle de carburant propre. Comme solution énergétique verte, l'hydrogène est exploré pour son utilisation dans les piles à combustible pour alimenter les véhicules, générer de l'électricité et réduire les émissions de carbone. Il peut être produit à partir de l'eau par électrolyse ou à partir d'hydrocarbures. Bien qu'il présente un grand potentiel pour réduire la dépendance aux combustibles fossiles, des défis comme le stockage, le transport et les coûts doivent être relevés. L'hydrogène jouera un rôle clé dans l'avenir des énergies renouvelables.
#Hydrogène #ÉnergiePropre #CarburantRenouvelable #TechnologieVerte #PilesÀCombustible #AvenirDeLÉnergie #ÉnergieDurable #SolutionsClimatiques #ÉconomieDeLHydrogène #TransitionÉnergétique
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Investir Dans Les Énergies Renouvelables : Guide Pratique
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Dans un monde en pleine transition énergétique, investir dans les énergies renouvelables n'a jamais été aussi pertinent. En tant que passionnés par les finances personnelles et l'investissement, nous devons explorer comment ce secteur peut non seulement générer des rendements attractifs mais aussi contribuer positivement à la planète. Cet article vous guidera à travers les principaux aspects de l'investissement dans les énergies renouvelables, en soulignant les avantages, les technologies disponibles, et les stratégies pour maximiser vos rendements tout en minimisant les risques.
Pourquoi Investir Dans Les Énergies Renouvelables ?
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Les Enjeux Environnementaux Et Leur Impact Sur L'Investissement La lutte contre le changement climatique est devenue un enjeu mondial majeur, et les énergies renouvelables sont au cœur de cette bataille. Contrairement aux énergies fossiles, les énergies renouvelables, telles que l'énergie solaire, l'énergie éolienne et l'hydroélectricité, permettent de produire de l'énergie sans émissions de gaz à effet de serre. Ces technologies jouent un rôle crucial dans la réduction de l'empreinte carbone mondiale. Pour les investisseurs, cela signifie que les projets d’énergies renouvelables sont de plus en plus perçus comme des investissements responsables, alignés avec les principes de l'investissement durable et de l'investissement socialement responsable (ISR). L'impact environnemental des énergies renouvelables est également un facteur clé dans leur adoption croissante par les gouvernements et les entreprises. Les réglementations environnementales, les subventions et les incitations fiscales mises en place pour encourager la transition énergétique offrent des opportunités d'investissement intéressantes. Les subventions pour les énergies renouvelables, telles que les crédits d'impôt pour l'installation de panneaux solaires ou les tarifs de rachat garantis pour l'énergie éolienne, peuvent améliorer significativement le rendement des investissements dans ce secteur. De plus, la conscience environnementale des consommateurs pousse les entreprises à intégrer davantage d'énergies vertes dans leur chaîne d'approvisionnement. Cela crée une demande soutenue pour des solutions durables et stimule l'innovation dans des domaines tels que les énergies décentralisées et les technologies propres. Investir dans les énergies renouvelables via des entreprises ou des projets qui contribuent à la réduction des émissions de CO2 n'est donc pas seulement une décision éthique, mais aussi une stratégie financière judicieuse à long terme. La Croissance Du Marché Des Énergies Vertes Selon de nombreuses études de marché, la croissance des énergies vertes dépasse largement celle des énergies traditionnelles.
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Cela s'explique par l'augmentation de la demande pour des sources d'énergie propres et le besoin de répondre aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre fixés par les gouvernements à travers le monde. Les énergies renouvelables ont gagné en compétitivité au fil des ans, grâce à la baisse des coûts des technologies telles que l'énergie solaire photovoltaïque et l'énergie éolienne offshore. Aujourd'hui, produire de l'électricité à partir de ces sources est souvent moins coûteux que de recourir à des énergies fossiles comme le charbon ou le gaz naturel. Cette évolution a permis à de nombreux projets de développement des énergies renouvelables de devenir économiquement viables, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles opportunités d'investissement. L'un des principaux moteurs de cette croissance durable est l'adoption croissante des énergies vertes dans le mix énergétique mondial. Les grandes économies, telles que l'Union européenne, la Chine et les États-Unis, ont fixé des objectifs ambitieux en matière de transition énergétique. Cela signifie que la part des énergies renouvelables dans la production d'électricité continuera d'augmenter au cours des prochaines décennies, offrant ainsi des perspectives de rendement à long terme pour les investisseurs. Les startups spécialisées dans les énergies renouvelables jouent également un rôle important dans cette croissance. Ces entreprises innovantes, souvent soutenues par des capitaux-risqueurs, développent des solutions de pointe pour améliorer l'efficacité énergétique, réduire les coûts et élargir l'accès aux énergies propres. Pour les investisseurs, cela représente une opportunité unique de soutenir des projets innovants tout en bénéficiant d'un potentiel de rendement élevé. Les Avantages Financiers Et Fiscaux Investir dans les énergies renouvelables n'est pas seulement bon pour la planète ; cela peut aussi être extrêmement bénéfique pour votre portefeuille. En plus de la croissance du marché et des rendements potentiels, il existe plusieurs avantages financiers et fiscaux associés à ce type d'investissement. Premièrement, les subventions gouvernementales et les incitations fiscales rendent les investissements dans les énergies renouvelables particulièrement attractifs. Par exemple, les crédits d'impôt pour l'installation de panneaux solaires ou pour la construction de parcs éoliens peuvent réduire de manière significative le coût initial de l'investissement, améliorant ainsi le retour sur investissement (ROI). Deuxièmement, les investissements dans les énergies renouvelables peuvent offrir une diversification intéressante pour votre portefeuille. Contrairement aux investissements traditionnels dans les secteurs plus volatils, les énergies renouvelables ont tendance à être moins sensibles aux fluctuations du marché. Cela est en partie dû à la nature réglementée de nombreuses énergies vertes, qui bénéficient de contrats à long terme avec des tarifs garantis. Troisièmement, de nombreux produits financiers verts, tels que les obligations vertes et les fonds éthiques, permettent aux investisseurs de soutenir la transition énergétique tout en bénéficiant de rendements attractifs. Ces produits sont souvent conçus pour minimiser les risques tout en maximisant les retours, en particulier dans un contexte où la demande pour des solutions durables ne cesse de croître.
Les Différentes Technologies Des Énergies Renouvelables
Voici un tableau simplifié pour avoir une vue d'ensemble des différentes sources d'énergies renouvelables : TechnologieAvantagesDéfisOpportunités d'InvestissementÉnergie Solaire- Flexibilité d'installation (toits, bâtiments, centrales) - Rendement attractif - Soutien gouvernemental (subventions, incitations fiscales)- Variabilité de production (nécessité de stockage) - Coûts d'entretien - Durée de vie des panneaux- Projets solaires de différentes tailles - Contrats d'achat d'électricité à long terme garantissant des revenus stablesÉnergie Éolienne- Rendements stables et prévisibles - Coût inférieur aux énergies fossiles - Soutien gouvernemental (subventions, incitations fiscales)- Fluctuations des prix de l'énergie - Risques réglementaires - Intégration au réseau électrique- Projets éoliens terrestres et maritimes - Éoliennes plus grandes et efficaces - Croissance spectaculaire de la capacité éolienneHydroélectricité- Longue durée de vie des projets - Coûts d'exploitation bas après amortissement - Source d'énergie stable modulable- Investissements initiaux élevés - Obstacles réglementaires et environnementaux - Impact des changements climatiques- Projets hydroélectriques à long terme - Contribution à l'indépendance énergétique et à la stabilisation des réseaux électriquesBiomasse- Utilisation de ressources locales - Soutien aux économies rurales- Logistique et durabilité de l'approvisionnement en matières premières- Projets utilisant des matières organiques locales pour produire de l'électricité ou de la chaleurGéothermie- Énergie fiable et constante - Faible empreinte carbone- Études et forages coûteux - Adoption limitée à grande échelle- Projets géothermiques dans des régions géothermiquement actives - Opportunités de croissance significativeHydrogène Vert- Solution pour décarboner des secteurs difficiles - Stockage de l'énergie renouvelable excédentaire - Flexibilité d'utilisation- Coûts de production élevés - Besoin d'infrastructures pour le transport et le stockage - Avancées technologiques nécessaires- Investissements dans les infrastructures de production et de distribution - Technologies de pointe associées au marché en pleine expansion
Comment Évaluer La Rentabilité D'Un Investissement Dans Les Énergies Renouvelables ?
Analyser Le Retour Sur Investissement (ROI) Lorsque nous envisageons d'investir dans les énergies renouvelables, l'un des premiers aspects à considérer est le retour sur investissement (ROI). Le ROI mesure la rentabilité d'un investissement en comparant les bénéfices générés à l'investissement initial. C'est un indicateur clé pour évaluer la viabilité financière d'un projet énergétique. Pour calculer le ROI dans les énergies renouvelables, il faut tenir compte de plusieurs facteurs. Tout d'abord, les coûts initiaux d'installation et de développement du projet jouent un rôle crucial. Ces coûts peuvent varier considérablement en fonction de la technologie choisie, de la localisation du projet, et des infrastructures disponibles. Par exemple, les projets solaires ou éoliens nécessitent des investissements initiaux importants, mais une fois ces coûts amortis, les revenus générés peuvent offrir un ROI élevé sur le long terme. Ensuite, les revenus futurs attendus doivent être pris en compte. Ces revenus peuvent provenir de la vente d'électricité, des subventions gouvernementales, ou des certificats d'énergie verte. Il est essentiel d'évaluer les accords d'achat d'électricité (PPA) qui garantissent des revenus stables sur une période donnée. Les incitations fiscales et les aides gouvernementales peuvent également influencer positivement le ROI. Enfin, il est important de considérer les coûts d'exploitation et de maintenance. Les énergies renouvelables, telles que le solaire et l'éolien, sont souvent associées à des coûts d'exploitation relativement faibles, ce qui peut améliorer le ROI à long terme. Cependant, les coûts de maintenance et les risques technologiques doivent être pris en compte pour obtenir une estimation précise du retour sur investissement. Les Coûts Initiaux Et Les Coûts D'Exploitation Ces deux types de coûts jouent un rôle déterminant dans l'évaluation de la rentabilité et du retour sur investissement d'un projet. Les coûts initiaux se réfèrent aux dépenses engagées pour lancer un projet. Cela inclut les coûts de développement, tels que l'achat de terres, la planification, la construction et l'installation des infrastructures nécessaires. Ces coûts peuvent être significativement élevés, surtout pour les grands projets comme les parcs éoliens offshore ou les centrales solaires. Cependant, ces coûts initiaux sont souvent compensés par des subventions et des incitations fiscales offertes par les gouvernements pour encourager le développement des énergies renouvelables. D'autre part, les coûts d'exploitation concernent les dépenses continues nécessaires pour maintenir le projet en fonctionnement. Ces coûts incluent la maintenance des équipements, les coûts de main-d'œuvre, et les frais d'exploitation quotidiens. Les projets d'énergie renouvelable, comme l'énergie solaire et l'énergie éolienne, ont généralement des coûts d'exploitation plus bas par rapport aux énergies fossiles. Cependant, ces coûts doivent être surveillés de près pour assurer la viabilité à long terme du projet. Il est également important de considérer les coûts de financement. Les projets d'énergie renouvelable nécessitent souvent un financement à long terme, ce qui peut entraîner des frais financiers supplémentaires. Le choix d'un modèle de financement approprié, qu'il s'agisse de fonds propres, de financement participatif, ou de dette peut influencer la rentabilité globale du projet. Les Projections De Croissance Et Les Tendances Du Marché Les projections de croissance et les tendances du marché fournissent des indications sur l'évolution future du marché et permettent d'anticiper les opportunités et les défis qui pourraient influencer les retours sur investissement. Les projections de croissance sont souvent basées sur l'analyse des tendances actuelles et des politiques gouvernementales en faveur des énergies renouvelables. Par exemple, la transition vers une économie verte et la réduction des émissions de CO2 sont des moteurs clés de la croissance du secteur. Les objectifs climatiques fixés par divers gouvernements, tels que l'Accord de Paris, ont incité à une augmentation significative des investissements dans les énergies renouvelables. Les prévisions indiquent que le marché des énergies renouvelables continuera de croître à un rythme soutenu au cours des prochaines décennies. Cette croissance est soutenue par plusieurs facteurs, notamment l'amélioration continue des technologies propres, la diminution des coûts de production de l'énergie solaire et éolienne, et l'augmentation de la demande pour des sources d'énergie durable. L'intégration des énergies renouvelables dans les réseaux électriques intelligents et la décentralisation de la production d'énergie sont également des tendances clés à surveiller. Les tendances du marché révèlent également des opportunités d'investissement dans de nouvelles technologies, telles que l'hydrogène vert et les solutions de stockage d'énergie. Ces technologies émergentes pourraient jouer un rôle crucial dans la transition énergétique et offrir des rendements élevés pour les investisseurs pionniers. Cependant, les projections de croissance et les tendances du marché ne sont pas sans risques. Les fluctuations des prix de l'énergie, les changements dans les politiques gouvernementales, et les risques technologiques peuvent affecter la rentabilité des investissements. Il est donc essentiel de rester informé et d'ajuster les stratégies d'investissement en fonction des évolutions du marché.
Identifier Les Meilleurs Acteurs Du Secteur
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Les Leaders Mondiaux Des Énergies Renouvelables Pour réussir dans le domaine des énergies renouvelables, il est crucial d'identifier les leaders mondiaux qui dominent ce marché en pleine croissance. Ces entreprises, souvent à la pointe de l'innovation technologique, jouent un rôle clé dans la transition énergétique mondiale et représentent des opportunités d'investissement attrayantes. Les leaders mondiaux dans le secteur des énergies renouvelables sont principalement des entreprises spécialisées dans la production d'énergie solaire, éolienne, hydroélectrique, ainsi que dans l'hydrogène vert et la biomasse. Ces sociétés se distinguent par leur capacité à développer des projets d'envergure et à intégrer des technologies avancées pour améliorer l'efficacité et la rentabilité de leurs opérations. En tête de liste, nous trouvons des entreprises comme NextEra Energy, qui est un leader mondial dans le domaine de l'énergie solaire et éolienne. Cette société américaine a su s'imposer comme l'un des principaux producteurs d'énergies propres grâce à ses investissements massifs dans des projets renouvelables. Elle bénéficie d'une croissance durable et de rendements stables, ce qui en fait une option intéressante pour les investisseurs. Ensuite, il y a Iberdrola, une entreprise espagnole qui a pris une position dominante dans le secteur des énergies renouvelables en Europe et en Amérique latine. Iberdrola est un acteur majeur dans le développement de parcs éoliens offshore et de projets solaires à grande échelle. Sa stratégie axée sur la diversification énergétique et l'innovation technologique lui permet de rester compétitive sur le marché mondial. Un autre acteur important est Orsted, une entreprise danoise qui est devenue un leader incontesté dans le domaine des énergies renouvelables, notamment grâce à son expertise dans les parcs éoliens offshore. Orsted a transformé son modèle d'affaires pour se concentrer exclusivement sur les énergies vertes, ce qui lui a permis de se positionner comme l'une des entreprises les plus performantes dans ce secteur. Enfin, il est important de mentionner Vestas, un fabricant danois de turbines éoliennes, qui est l'un des principaux fournisseurs de technologies éoliennes au niveau mondial. Vestas a réussi à maintenir sa position de leader grâce à son innovation continue et à sa capacité à répondre à la demande croissante de solutions d'énergie éolienne. Les Startups Innovantes À Suivre Les startups jouent un rôle crucial dans le développement des énergies renouvelables. Ces jeunes entreprises sont souvent à l'avant-garde de l'innovation technologique, apportant des solutions novatrices aux défis énergétiques actuels. Parmi les startups à surveiller, Northvolt est un exemple intéressant. Cette entreprise suédoise, spécialisée dans la production de batteries lithium-ion, est en passe de devenir un leader en Europe, avec un focus sur les batteries durables pour les véhicules électriques et le stockage d'énergie. Un autre exemple est Hyzon Motors, une startup américaine spécialisée dans les camions à hydrogène. L'hydrogène vert, produit à partir d'énergies renouvelables, est considéré comme une solution prometteuse pour décarboner le secteur des transports, ce qui place Hyzon Motors dans une position stratégique pour bénéficier de la transition énergétique. Enphase Read the full article
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claudehenrion · 2 years
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Le super bobard des énergies ''propres''
 Encore un de ces sujets dont il faudrait parler toujours. L'énergie est fondamentale, antérieure à toute activité humaine : elle est, comme dit le ''Credo'' des chrétiens, ''consubstantielle'' à l'existence-même d'une humanité et a fortiori d'une civilisation. Il s'agit pourtant d'une découverte récente : jusqu'au siècle dernier, on parlait de l'énergie, on savait qu'il en fallait, mais ce n'était pas un sujet à part entière... Mais la récente remise de (30c + 20c), qui a été ramenée à (10c + 10c) mérite la ''Une'' de tous nos ''JT'' : enfin quelque chose d'important pour le futur de l'Humanité !
Aujourd'hui, on joue les mêmes partitions qu'avant, mais à rôles renversés : l'énergie, d'abord, et... pour quoi en faire... ensuite ! La crise ukrainienne a mis le prix du litre en tête de nos préoccupations. En réalité, il y était déjà avant ce drame, par la faute des mauvaises analyses de climatologues (?) et d'écologistes (??) qui ne pensent qu'à promouvoir des idéologies incompatibles avec la présence d'humains sur la Terre... De là découlent tous les désordres en cours : il faut (disent-ils) détruire la civilisation occidentale, la seule qui ait un réel impact partout, pour ''sauver'' (tu parles !) une planète qui, sans ses habitants, humains entre autres, ne servirait qu'à... rien ! La guerre russo-ukrainienne n'a fait que préciser ce que les ''gilets jaunes'' savaient (avant que le progressisme des macronistes et des mélenchoniens ne les égare vers des caricatures de leurs raisons d'être initiales). Aujourd'hui, par la faute de jocrisses endoctrinés, il est  impossible d'échapper à la contre-vérité : ''l'énergie est partout, pour tout, mais elle doit (?) être ''propre'' !
Or l'énergie propre mérite mal son nom : c'est un des plus sales trucs parmi les mauvaises idées à la mode et qui sont à l'opposé de tout ce qui pourrait être bon pour l'Homme, pour l'humanité, pour notre civilisation occidentale et pour le futur de nos enfants : toute énergie dite ''propre'' doit utiliser d'énormes quantités de ces ''terres rares'' extraites de mines situées en Chine, où elles empoisonnent des régions entières... Les éoliennes, outre des milliers de tonnes de béton pour tenir debout, exigent d'énormes quantités de balsa, ce qui déboise l'Amazonie... Les turbines et les panneaux solaires étant peu ou pas du tout  récupérables, ils ne sont pas recyclés en fin de vie, et ils finiront tous dans des décharges, en déchets toxiques indestructibles. Et personne ne parle de cet envahissement progressif à venir, alors que respirer de la fibre de verre provenant d'éoliennes mortes ou boire de l'eau contaminée par les métaux lourds de panneaux solaires devrait sonner le tocsin. Même pas ! Nos ''zécolos'', grisés de mots creux, s'en foutent complètement.
Dans le jargon infantilisant officiel (le seul admis), ''propre'' et ''intelligent'' sont des ''musts'', incontournables. Manque de pot, ces 2 qualificatifs sont des mythes. Pour ce qui est de intelligent, passons vite : certaines technologies semblent être ''intelligentes''... juste parce que leur capacité d'envoyer et de recevoir des données les rendent ''plus facilement accessibles pour et par l'homme-utilisateur'' (aux US, ils disent ''user friendly''), mais elles n'ont rien d'intelligent en elles-mêmes : la partie ''intelligente'' de toute technologie est un jugement des humains qui l'utilisent, et l'intelligence artificielle (nous y reviendrons) est bien plus artificielle qu'intelligente !
L'énergie propre, elle, relève encore plus du mythe, sauf que celui-là capte des flux de milliards vers des formes inefficaces de production d'énergie que des gouvernements subventionnent  depuis plus de 50 ans, parce qu'une agence de publicité de Madison Avenue les a qualifiées de "propres"... ce qui était un mensonge. Une énergie est toujours sale : domestiquer les ressources cachées et les forces fondamentales de l'univers nécessite d'extraire du métal, d'abattre des arbres, de boucher les cours d'eaux et de transformer des combustibles fossiles, etc... Une fois le processus lancé, il dégagera de la chaleur, comme le prévoit la 2è loi de la thermodynamique : ''Toute transformation d'un système thermodynamique s'effectue avec une augmentation de l'entropie globale, y compris l’enthropie du système et du milieu extérieur'' : le panneau solaire le plus brillant, les éoliennes les plus élégantes ou la Tesla la plus ronronnante n'empêcheront jamais l'énergie d'être gaspillée quand elle est utilisée, transférée ou stockée, où que ce soit, pour quoi que ce soit. (NDLR : Mises à part les ''mitochondries'' qui  ''énergisent'' nos corps, la seule énergie propre provient des bestioles bioluminescentes comme les lucioles –dont je vous parlais il y a un mois. Mais ces 2 là, pas question de les reproduire !).
La plupart des déchets ''propres'' finissent à la décharge. Ce qui différencie les ordures propres des ordures sales, c’est que nous envoyons une bonne partie des secondes dans des pays du tiers monde où elles sont recyclées dans des conditions honteuses, puis renvoyées chez nous... où personne ne pipe devant le voyage massif de ''blisters'' de pizzas ou de bouteilles de coca à l'autre bout du monde où elles créent ''des zones mortes où le vert a disparu et où des boîtes dégoûtantes, des barils huileux et des flaques géantes de plastic séché sont déchiquetés, versés dans des bacs remplis de liquide caustique, avant que déchets et liquide de nettoyage ne soient jetés dans des fosses, à la périphérie des villes, dans les pays les plus pauvres''. Telle est la réalité que dissimulent toutes les publicités remplies de dessins animés où des produits jetables, nous fait-on croire, ‘’aspirent'' à être recyclés, pour la plus grande joie (?) d’enfants qui croient tout ça...
L'énergie propre ou les déchets propres n'ont de propre que le nom, par un phénomène de perception : un panneau solaire semble toujours plus propre qu'une centrale au charbon... une voiture électrique glisse, avec un bruit artificiel de vaisseau spatial... une éolienne brille dans le ciel d'azur, plus blanche que le blanc. De telles impressions superficielles qui confondent l'apparence et la réalité sont au cœur d'une arnaque à milliers de milliards de dollars. Les énergies éolienne et solaire sont présentées comme plus naturelles que tout autre type d'énergie parce que,  associées au soleil et au vent –qui ne sont que des ''agents''-- elles donnent ainsi le sentiment d'échapper aux sales réalités des lois de la thermodynamique : panneaux solaires et éoliennes ont l'air intrinsèquement propre, et peuvent donc jouer à ''Qui veut gagner des millions ?''. (Un autre ''billet'' parlera de la voiture électrique, un autre des scandales d'Etat qui s'empilent).
L'affreux pseudo-romantisme post-1968 a rejeté la révolution industrielle. Lorsque les ''Flower children'' sont devenus des bourgeois (''de gauche !'') travaillant dans la publicité, la banque, l'administration, ou d'autres jobs aussi inutiles, ils ont réclamé une technologie qui cadrerait avec l'incohérence philosophique de leurs illusions. N'ayant évidemment aucune chance de voir se concrétiser leurs faux principes inapplicables, ils ont réussi à inventer de nouvelles technologies, dites salvatrices donc cataloguées ''propres, moralement et esthétiquement'', comme ces ordures recyclées au Bangladesh qui nous reviennent en jolies bouteilles pleines d'eau purifiée : tout ce qui était dégueulasse a été rendu propre, à l’œil... sauf que l'univers ne produit rien de conforme à toutes les dystopies de la Gauche, qui déchirent la société depuis deux siècles et font le malheur de l'homme. Mais le moment où la vérité éclate arrive toujours... On appelle ça la justice immanente. !
Les soi-disant ‘’principes’’ du faux écologisme à la mode ne sont en fait que les marqueurs esthétiques d'une nouvelle caste, qui se croit supérieure. Ils traduisent une sensibilité culturelle mais non scientifique qui, sous un idéal (?) de technologie intelligente, d'énergie propre et d'informations stockées dans le ''cloud'', n'est qu'un déni des réalités : la technologie n'a rien de magique et elle ne peut pas être ''intelligente'' ; la seule intelligence est humaine ; toute énergie est sale ; le cloud est un ensemble de serveurs alimentés par des centrales au charbon...
Le mythe des énergies prétendues ''propres'' est un déni de la réalité. Au delà des milliards gaspillés et des vies ruinées par cette fausse écologie intellectuelle, une telle évasion a un prix élevé. Mais au fond, toute l'histoire de la gauche n'est qu'un long refus du réel, au profit de la tyrannie d'idées. L'énergie et les poubelles de la gauche ne sont pas plus propres que son idéologie et que son histoire et, sans surprise, les plus sales à l'intérieur ressentent un besoin pathologique d'être propres à l'extérieur. C'est une autre explication, cruelle, de nos difficultés actuelles.
H-Cl.
PS : au moment de signer ce ''billet'', TF1 m'apprend que la ''Cop 27'' vient d'être arrêtée à Charm el-Sheikh, sur une absence de décision, et sur une impression d'échec. La veille de son ouverture, nous écrivions, ici-même le 14 novembre : ''les souhaits sans lendemain qui vont être “égrenés”, à Charm el-Sheikh, dans les comptes-rendus de la COP 27 (dite “de la dernière chance”, comme toutes celles qui l'ont précédée et toutes celles qui la suivront)… resteront lettre morte tant que le problème climatique sera posé d'une manière plus politique (voire ‘’iso-religieuse’’) que scientifique, ce qui le rend insoluble''… Il n'y a pas un mot à changer : vous venez de lire le compte-rendu de la prochaine COP 28, dans un an, à Dubaï !
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