#comment se protéger
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DÉSENVOÛTEMENT COMMENT SE DÉSENVOÛTER ET SE PROTÉGER ?
Désenvoûtement : Comment se désenvoûter et se protéger grâce au puissant et grand marabout Gotta Le désenvoûtement est un processus qui vise à se libérer des influences néfastes et des énergies négatives qui peuvent nous entourer. C’est une pratique courante dans certaines cultures et traditions spirituelles, et de nombreuses personnes font appel à des spécialistes pour les aider dans ce…
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Alerte ! Usurpation d'identité
L’usurpation de votre identité est un cauchemar. Vos comptes bancaires sont débités, vous avez des amendes de la police . Et prouver que cela n’est pas vous est un enfer juridique. Ces attaques contre vous sont appelées les attaques de social engeneering. Comment les éviter ? Continue reading Untitled
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#comment se protéger contre le phishing#comment vaincre le phishin#cybersécurité#phishing#usurpation d&039;identité
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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J’ai appris qu’on ne peut pas forcer quelqu’un à nous aimer. Tout ce que l’on peut faire, c’est être quelqu’un qui peut être aimé. Le reste leur appartient. J’ai appris que peu importe à quel point je me soucie de quelqu’un, certaines personnes ne s'en soucient pas en retour. J’ai appris qu’il faut des années pour établir la confiance et seulement quelques secondes pour la détruire. J’ai appris qu’on peut se débrouiller grâce au charme, pendant environ quinze minutes. Après cela, il vaut mieux que tu saches quelque chose. J’ai appris que soit tu contrôles ton attitude, soit elle te contrôle. J’ai appris que peu importe à quel point une relation est chaude et torride au début, la passion s’estompe et il vaut mieux qu’il y ait quelque chose d’autre pour la remplacer. J’ai appris que parfois, les personnes dont on s’attend à ce qu’elles te donnent un coup de pied quand tu es en bas sont celles qui t’aident à te relever. J’ai appris que parfois, quand je suis en colère, j’ai le droit d’être en colère. J’ai appris que la véritable amitié continue de grandir, même sur la plus longue distance. Il en va de même pour le véritable amour. J’ai appris que ce n’est pas parce que quelqu’un ne vous aime pas comme vous le souhaitez qu’il ne vous aime pas de tout son cœur. J’ai appris que la maturité dépendait davantage des expériences que vous avez vécues et de ce que vous en avez appris qu’elle dépendait moins du nombre d’anniversaires que vous avez célébrés. J’ai appris que votre famille ne sera pas toujours là pour vous. J’ai appris que peu importe la qualité d’un ami, il vous fera du mal de temps en temps. J’ai appris qu’il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres. Parfois, il faut se pardonner à soi-même. J’ai appris que peu importe à quel point votre cœur est brisé, le monde ne s’arrête pas pour votre chagrin. J’ai appris que notre passé et nos circonstances peuvent avoir influencé qui nous sommes, mais nous sommes responsables de ce que nous devenons. J’ai appris que ce n’est pas parce que deux personnes se disputent qu’elles ne s’aiment pas. Et ce n’est pas parce qu’elles ne se disputent pas qu’elles s’aiment. J’ai appris que nous n’avons pas besoin de changer d’amis si nous comprenons que les amis changent. J’ai appris que deux personnes peuvent regarder exactement la même chose et voir quelque chose de totalement différent. J’ai appris que peu importe comment vous essayez de protéger vos enfants, ils finiront par être blessés et vous le serez aussi dans le processus. J’ai appris que votre vie peut être changée en quelques heures par des personnes qui ne vous connaissent même pas. J’ai appris qu’il est difficile de déterminer où tracer la ligne entre être gentil et ne pas blesser les sentiments des autres et défendre ses convictions.
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En Temps et en Étoiles - À la belle étoile
A fun little challenge I gave myself! Translating an In Stars and Time scene (Stargazing with Isabeau) in French! I don't know if something similar already exists..? But hey! It was a funny frenchifying exercise, so I hope you guys will enjoy =v= And to @insertdisc5 J'espère que j'aurai fait honneur à ton superbe jeu et à cette fantastique scène :3
Oh! And if it's enjoyable to anyone else, please send me other scenes you'd like to read in my French way!
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(Tu lèves les yeux vers les étoiles.)
(Tu n'en reconnais aucune.)
Siffrin: "Non, je n'en connais pas."
Isabeau: "Oh."
"... Tu dis que je n'ai pas mis les pieds dans le plat, mais…"
"Sif…"
Siffrin: (Change le sujet.) "Non, non, c'est bon, hahaha !"
"Raconte-moi quelque chose ?"
Isabeau: "Quelque chose ?"
Siffrin: "Quelque chose sur toi."
Isabeau: "Oh, ok! Hm…"
"..."
"Bon, ok, tu sais que je suis de Jouvente, pas vrai ?"
"J'y ai vécu toooooute ma vie !"
"C'est une chouette, grande ville. Avec plus qu'une seule Maison, aussi. Bieeeeen plus grande que Dormont."
"Assez grande pour ne pas connaître la vie entière de chaque personne que tu croises, haha."
"... Bref, tu vas peut-être trouver ça surprenant, j'sais pas…
"Mais quand j'avais l'âge de Bonnie, j'étais genre, le PLUS INTELLIGENT des surdoués du coin."
"Pas légèrement intelligent, ou quoi…
"Mais genre, le gamin le PLUS INTELLO que tu puisses imaginer."
(Oh.)
(Tu as du mal à imaginer Isabeau autrement que comme l'homme exubérant qu'il est.)
Isabeau: "Hah, vraiment imagine ça !"
"Grosses lunettes. Tresses super soignées. Connaissant toujours la réponse aux questions du professeur. Toujours de bonnes notes."
"Toujours trop timide et concentré sur les notes pour savoir comment se faire un ami dans la cour de récréation."
"Ca c'était moi !"
"Et, euh, je ne m'aimais pas vraiment."
"Parce que, et bien j'étais intelligent, mais… Je détestais vraiment être timide. Etre seul. Même pas capable de demander un crayon à un camarade, parce que j'étais trop paralysé par la peur."
"Et j'étais prêt à passer le reste de ma vie comme ça."
"Mais un jour, après des années à vivre comme ça, je me suis regardé, comment j'étais, la façon dont j'existais dans ce monde…"
"J'ai regardé à ce gamin dans le miroir, et je me suis dit…"
"Est-ce que c'est ça ?"
"Est-ce que c'est vraiment qui je veux être ?"
"Est-ce que je ne pourrais pas être quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui peut se faire des amis, quelqu'un que les autres pourraient aimer ? Quelqu'un'un que je pourrais aimer ?
"Quelqu'un que je n'aurais pas honte d'être ?"
"Ne pourrais-je pas juste… Changer ?"
"Et, c'est une des raisons pour lesquelles les gens vont dans les Maisons, tu sais ? Pour apprendre des choses, s'entraîner, pour faire du Façonnement Corporel sur soi…"
"Pour Changer !"
"Et tu peux y rester pendant un moment, et revenir Changé, et personne ne dirait quoi que ce soit. Ils accepteraient simplement la nouvelle personne que tu es devenu."
"Alors je suis allé à une des Maisons de Jouvente et je me suis jeté à l'eau ! Pour essayer d'être la personne la plus cool, forte et fiable qui soit !"
"Soulever des poids ! Entraîner ma voix à être plus grave, plus puissante ! Façonner mon propre corps pour qu'il soit plus cool, plus fort !"
"Me regarder dans le miroir tous les matins et hurler "Je suis le plus cool !!!" !"
"... Le Changement est destruction, tu sais ?"
"Pour initier le Changement, tu dois savoir que tu risques de blesser des gens. Te blesser toi-même, peut-être."
"Donc tu dois toujours être prudent, et te demander si la destruction que tu apportes en vaut le coût."
"J'ai décidé que c'était le cas."
"Alors la personne que j'étais avant…"
"Je l'ai faite disparaître."
"Tuée de mes propres mains."
"Fait en sorte qu'elle ne revienne plus jamais."
"Pour que je puisse vivre."
"..."
"Ah, ça sonne si terrible, quand je le dis comme ça !!!"
"L'enfant que j'étais avant est toujours là ! J'ai juste, euh, grandi autour de lui ? Pour le protéger ?"
"Construire une armure, jusqu'à ce qu'elle devienne réalité ?"
"Pour que je puisse devenir quelqu'un de fort, quelqu'un d'extraverti… Quelqu'un de réconfortant à côtoyer."
"Quelqu'un que j'aurais aimé connaître, avant."
"..."
"Bah. C'est pas si important."
"Je suis là, c'est ce que je veux dire ! Et je m'aime tellement plus qu'avant !"
"Mais même la personne que je suis maintenant est un projet en cours. Je veux toujours Changer."
"Je suis devenu un mec grand, fort, fiable et optimiste, parce que c'est ce que j'avais besoin d'être."
"Mais récemment, je me suis senti comme si j'avais besoin… De laisser tomber un peu la façade d'écervelé ? D'agir moins bêtement, ce genre de truc."
"C'est pas très agréable, quand les gens pensent que je suis stupide, juste parce que j'agis d'une certaine manière."
"Alors, je pourrais peut-être Changer encore bientôt ! Et devenir quelqu'un de légèrement nouveau !"
"Ca sonne cool, hein ?"
(Oh…)
(Tu l'ignorais.)
(Isabeau voulait changer, devenir quelqu'un d'autre, et il l'a fait.)
(Il a dû travailler pendant si longtemps, pour faire de son souhait une réalité…)
Isabeau : "Ha… Je pourrais changer pour être un mélange entre un sportif et un intello."
"Equilibrer les deux, tu vois ?"
Siffrin : (Ha.) "Alors tu vas te changer en intellortif ?"
Isabeau : "Plutôt en sportello ! Ca sonne mieux, non ? Meilleure sensation en bouche."
Siffrin : "Les deux sonnent mal, Isa."
Isabeau : "Nooooon, dis pas ça ! Hahaha !"
Siffrin : "Tu peux être un sportif intelligent."
Isabeau : "Un sportif intelligent… Plutôt avant-gardiste, pas vrai ?"
Isabeau : "E-en tout cas, une fois qu'on aura battu le Roi demain, et qu'on partira chacun de notre côté, je vais juste changer en quelqu'un d'autre !"
"Quelqu'un qui peut être à la fois fort ET intelligent !"
"Les deux à la fois ! Quel concept ! Est-ce que ça ne donne pas l'impression de quelqu'un de cool ?"
"Est-ce que cela ne ressemble pas à quelqu'un que tu n'aurais pas honte de connaître ?"
(Est-ce que c'est ce qu'il pense..?)
Siffrin : "Isa…"
Isabeau : "... Ouais, Sif ?"
Siffrin : "Je n'ai jamais eu honte de te connaître."
"Même pas un petit peu."
Isabeau : "..."
"Ha, tu vas me faire rougir, Sif..!"
"Et… Ben, tu sais que je pense pareil, pas vrai ? Tu es genre, peut-être la personne la plus cool que je connaisse… Tu le sais, non ?"
"Et j'aime vraiment passer du temps avec toi ! Quand on traîne ensemble, je découvre toujours de nouvelles choses, comme des trucs cools sur le théâtre, ou même juste quelque chose de nouveau sur toi,"
"Et j'aime le fait que tu aies toujours un jeu de mots prêt pour n'importe quelle situation,"
"Comment tu respires d'une manière particulière parfois, et j'aimerais pouvoir respirer avec toi pour que tu te sentes mieux,"
"Et j'aime comment ton visage change quand tu manges tes plats préférés,"
"Et je veux te connaître plus,"
"Parler plus avec toi,"
"Rire plus avec toi,"
"Et… Et je…"
"..."
(Tu ne peux pas détourner ton regard de lui.)
Isabeau : "Je…"
"..."
"W-wouah, est ce que c'est une étoile filante ?! Hé, regarde là-haut ! C'est pas génial ?"
(Tu détournes le regard, et tu lèves les yeux vers le ciel étoilé.)
(Il n'y a pas d'étoile filante.)
(Mais ça ne te dérange pas.)
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La liberté ou la mort, extrait
Robespierre jouait à lancer des branches à Brount avec Elisabeth, à quelques distances devant eux. Il courrait pour entraîner le molosse derrière lui, et jetait le bâton de toutes ses forces, ne se souciant pas de voir s'il risquait de tacher ses bas blancs de boue. Brount partait comme un fou avec ses grandes pattes désordonnées, la langue pendant sur le côté et la queue frétillante. Quand il revenait avec le morceau de bois, Elisabeth et Maximilien devaient s'escrimer à le lui récupérer et tiraient de toutes leurs forces pour le lui arracher de la gueule. Le jeu recommençait ensuite, pour la plus grande joie des trois participants.
Saint-Just marchait les bras croisés dans le dos, au rythme d'Eléonore.
-Eléonore, maintenant que nous sommes bons amis, puis-je me permettre une question?
La jeune fille lui sourit d'un air indulgent.
- Voyons la question.
Saint-Just se racla la gorge et fixa son regard sur la pointe de ses bottes.
- Eh bien... je ne comprends pas que tu ne sois pas amoureuse de lui.
Eléonore laissa échapper un petit rire. Elle ne paraissait pas particulièrement vexée ou embarrassée par cette question indiscrète.
-Et pourquoi cela ? demanda-t-elle.
Saint-Just redressa la tête et fit un geste de la main vague vers Brount qui s'était mis à aboyer joyeusement, et Elisabeth qui faisait semblant de jeter le bâton pour la troisième fois.
- Je ne sais pas, regarde le... Tout à l'heure il faisait un travail de géant pour la patrie, et maintenant il se contente d'une récompense si simple ! Jouer avec son chien, nourrir ses oiseaux, manger le potage de ta mère ce soir, lire quelques pages de Rousseau au coin du feu...
-... quelques oranges, une visite de son cher Saint-Just...
- Si nous parvenons à installer et à protéger notre république, il ne cherchera aucune récompense pour lui même. Il ne faudra pas davantage que ces quelques plaisirs que nous avons évoqués pour faire son bonheur. Quand on en vient à le connaitre, il est si doux, si sincère. Parfois, cela me noue le coeur quand j'y pense.
- Certainement, approuva Eléonore en venant prendre le bras d'Antoine, et c'est pour cela que mes parents le considèrent comme leur fils et moi comme mon frère. Le sang ne me le rendrait pas plus cher.
- Un frère, oui...Mais imagine le comme époux, ne serait-ce pas mieux encore ? La voix de Saint-Just s'était réduite à un murmure rêveur. Il est si loyal, si dévoué. Non vraiment, tu ne trouveras pas mieux que lui.
-Pour ce qui est du physique... commença Eléonore
- Du physique ! répéta-t-il, le cri qu'il ne réussit par à réprimer attirant un instant l'attention de Brount vers lui. Comment peux tu parler du physique face à une telle âme ! Et puis de toute façon la physionomie de Maximilien n'a rien de désagréable, regarde, il est petit certes, mais il a les mollets bien fait, une mine intelligente, des yeux verts, un joli nez...
- Tu ne trouves pas qu'il a un style un peu démodé?
- Maximilien s'en fiche des fariboles de la mode! Il prends soin de ses vêtement et il est toujours bien mis. On ne peut pas en dire autant des trois quarts des députés qui siègent à la Convention avec les cheveux gras et les bottes crottées. Son style est très respectable.
Eléonore se mit à rire de bon coeur devant l'air révolté de Saint-Just.
-Antoine... Si moi je ne suis pas amoureuse de lui, rien ne t'empêche de l'être, toi.
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Pigeon, dans College Au lorsque Cross était en forme de loup, il a attaqué Killer. Mais comment il a réagi quand il l'a appris ? Genre il s'est excusé mille fois, ou alors il a essayé de se séparer de Killer pour le "protéger" ? Ou peut-être même qu'il ne se souvient pas de se moment et que quand Killer a su ça, il a préféré ne rien lui dire ( ╹▽╹ )
Q:When Cross was transformed into a wolf, he attacked Killer. But how did he react when he learned about it? Like he apologized a thousand times, or he tried to separate from Killer to "protect" him? Or maybe he doesn't even remember that moment and when Killer learned that he preferred not to tell him.
A(French):J'allais faire une autre fanfic de la suite de la première mais j'ai eu bcp de mal donc je vais juste expliquer maintenant. Le truc c'est que quand il s'est réveillé chez Killer après avoir été porté jusqu'à chez lui, les autres l'ont harcelé direct. Nightmare —que Cross ne connait pas— le dispute sur son utilisation de L'aconit et à quelle point c'est dangereux (Killer lui a tout dit) et Killer est aussi en train de le faire chier, et en gros tout le monde le dispute. Il à pas eu beaucoup le temps de penser. Il s'est juste fait bombarder dès le matin. Aussi Nightmare le fait un peu flipper et il se sentirait con de s'excuser, il préférait fermer sa gueule. C'est plus tard que ça lui tombe dessus pour de vrai. Et même là il s'excuse pas vraiment. Il sait qu'il à fait du mal à Killer mais il se sent tellement mal qu'il essaye de pas y penser. Si Killer le confrontait il s'excuserait.
TL;PL: Cross à pas vraiment eu le temps de réagir dès le matin. Si Killer le confrontait au sujet il s'excuserait et se sentirait très très coupable.
English Translation under cut
A (english): The aftermath of that first fic was gonna be another fic but I honestly struggled a lot so I'll just explain it here. The thing is, when Cross woke up in Killer's house after Killer carried him there, first thing that happened was the others just hounding him, Nightmare —who he does not know— gets on his case about how dangerous wolfsbane is (he's been filled in by Killer about the whole situation) and Killer's also berating him and basically everybody is on his case. He didn't have much time to think. He was just bombarded first thing in the morning. Also he's pretty afraid of Nightmare so it feels like apologizing would make him seem really really stupid and he'd rather shut up. It's only later that like, it really dawns on him. And he doesn't actually apologize then either. He knows he hurt Killer but he's so ashamed that he just tries not to think about it. If Killer were to confront him about it he would apologize. He'd also go to the bathroom to puke.
So TL;DR: he didn't have time to really react first thing in the morning. But when confronted about it he apologizes and feels very very guilty.
#god that was long#lmaooo#it's always so weird when ppl send asks in french#not that I mind#I just never know how I should answer#I wanted this one to be accessible to most people though#so#translation it is#answered asks#anon ask#college au#college au info#Werewolf Cross Sans#Vampire Killer Sans#Vampire Nightmare Sans
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La scène avec Vaggie avec les résidents de l'hôtel montre que c'est pas que pour Charlie, elle tient à eux à leur manière. Comprenant pourquoi ils partiraient, Vaggie en rencontrant Carmine. Montre encore une fois que Charlie n'est pas prise au sérieuse par les autres démons. Et pourtant Vaggie lui est fidèle car c'est par ses actes qu'elle souhaite se repentir. Ce qui peut faire parallèle avec Camilla qui justement a protéger sa famille contre les anges. Et je la trouvais quand même assez conciliante de l'écouter puis lui apprendre la manière comment affronter les anges par le tabassage. C'est le meilleur moyen d'apprendre ! Et par cet entraînement et cet accord, elle retrouve ses ailes.
The scene with Vaggie with the hotel residents shows that it's not just about Charlie, she cares about them in their own way. Understanding why they would leave, Vaggie meeting Carmine. Shows once again that Charlie isn't taken seriously by the other demons. And yet Vaggie is faithful to her because it is through her actions that she wishes to repent. This could be a parallel with Camilla, who protected her family from the angels. And I found her quite accommodating in listening to her and then teaching her how to deal with the angels by beating them up. It's the best way to learn! And through this training and agreement, she regains her wings.
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À 5 ans, tu dis : " Maman je t'aime..." À 10 ans, tu dis : "Maman je t'aime fort !" À 13 ans, tu dis : " Maman, je peux ?" À 15 ans, tu dis : "Maman, ne m’embête pas." À 20 ans, tu dis : "Je veux quitter cette maison !" À 35 ans, tu dis : "Je veux retourner chez maman." À 50 ans, tu dis : "Ne pars pas maman." À 70 ans, tu dis : "Je donnerais n'importe quoi pour cinq minutes avec ma mère..."
Alors dis-moi, comment se conjugue le verbe "mère" ?? Quoi, n'est-ce pas un verbe ?! Tu en es vraiment sûr ?
Aimer, faire, donner, écouter, consoler, se réjouir, pleurer, embrasser, caresser, sentir, guérir, soutenir, protéger, élever, enseigner, accompagner, se rappeler, étudier, lire, nettoyer, cuisiner, nourrir, veiller, crier, chuchoter, chanter, sourire, courir, sauter, éduquer, comprendre, pardonner, subir, se morfondre, soulever, souffrir, se taire, parler, admirer, chérir...
Tu as bien raison, "mère" n’est pas un verbe seulement, mais tous les verbes d'une Vie
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Synopsis : Le lecteur est un garde de Padmé Amidala, il a rencontré Anakin sur Naboo lors d'une promenade près des lacs. Un soir, Anakin reste dormir sur la planète Naboo pour protéger la princesse de potentielle représailles du comte Dooku sur ordre du conseil jedi.
Avertissement : Relation entre hommes (gay), Domination, Dom Anakin, relation sexuelle, contenu +18, sex oral, sex anal, fessée, Cochonneries, langage grossier.
Si quelque chose vous dérange ne lisez pas !
La nuit tombé sur la magnifique planète Naboo, Vous aviez fini de monter la garde auprès de la princesse Amidala, vous rejoigniez les jardins, respirant l'air frais et agréable, les derniers rayons du soleil se reflétant dans le lac situé au pied du palais. Vous sentiez une ombre plané au dessus de vous et saviez de qui il s'agissait.
« Ani ! » il se tenait debout près de la porte d'entrée, sa silhouette grande élancée et sublime, un sourire fier et effronté que vous trouvez tellement sexy et attirant chez lui. Mais vous étiez aussi très inquiet.
« Ani, et si la princesse nous voyait ? Ou que quelqu'un nous voit ensemble ? »
« Tu te fais beaucoup trop de soucis Y/N, je sais que tu a eu envie de moi toute la journée, n'est-ce pas ? » Anakin s'avança dangereusement vers toi, toujours le même sourire aux lèvres, il te regardait te lançant un air de défis. Tu recula l'air gênée, car tu était réellement anxieux par la situation, c'était vraiment grave pour toi, mais mon dieu tu adorais Anakin ! Il était tellement beau, séduisant et fort, comment aurais-tu pu résister face à son charme ? Tu avais essayais mais Anakin t'avais comme ensorcelé !
Anakin leva une main vers toi pour te caresser délicatement la joue droite, le contact de ses long doigts fin contre t'a peau te fit frissonner, tu avais tellement peur que l'ont te surprenne avec lui, mais d'un autres côtes tu avais tellement envie de lui.
Un garde ouvrit la porte et Anakin te chuchota a l'oreille d'une voix grave
« Dans ma chambre, et vite ! »
Anakin partit, et tu reprit alors ton sérieux en franchissant la porte du palais, tu te remémorer l'excitation que tu avais ressentit. Mais tu voulais beaucoup plus, tu voulais être à lui, tu était addicte à lui ! Tu sentais une chaleur montait en toi qui te fit rougir d'excitation et tu te précipita dans les escalier pour le rejoindre. Discrètement tu te faufila dans le couloir des invités, tu arrivas devant la porte de sa chambre mais tu fut surpris de la voir s'ouvrir toute seul, tu pénétra dans la pièce et vit Anakin assit près de la fenêtre au fond de la chambre, sa robe de jedi reposait sur une chaise, le col de son haut blanc était très large, tellement que tu pouvais voir une partie de son torse et tu te senti à l'étroit dans ton pantalon. Tu fut interrompu dans t'es pensées par le claquement de la porte qui te fit sursauter.
« La force. » dit Anakin d'un air presque vantard, mais qui te faisait littéralement fondre et te donner chaud !
« Y/N, enlève t'es vêtements, pose les au pieds du lit » dit Anakin, penchant légèrement la tête sur le côtés gauche pour t'observer. Tu t'exécuta en silence, ton érection ne pouvait être dissimuler.
« Tu as penser à moi toute la journée hein ? Tu n'en pouvais plus d'attendre... »
Il se leva et se tient droit devant toi.
« Met toi à genoux ! » ordonna-t-il simplement.
« Oui Ani !
« Tu es un bon garçon Y/N ! Défait mon pantalon maintenant »
Tu t'exécuta en hochant la tête, et la vis enfin, son énorme bite, dur, dresser devant toi.
« Tu meure d'envie de la goûter n'est-ce pas ? Salope. »
Timidement tu léchais son gland puis toute sa longueur.
« Voilà doucement, maintenant suce là ! »
Tu le fit immédiatement. Sa bite était délicieuse tu te redressa un peu pour le regarder pendant que tu le suçait.
« T'as bouche est tellement chaude. »
Il se retira de t'as bouche, et tu fut surpris. Tu osa prendre la parole.
« Ani ! Pourquoi tu t'éloigne je croyais que tu aimais mon travail ?! »
« Quelle petite salope ! Tu la veux encore tu ne peux pas t'en passer ! »
« Oui Ani ! »
Anakin se détourna de toi pour enlever son pull, et le jeta près de son lit. Tu était toujours à genoux, perplexe. Il revient vers toi te regardant de haut en bas, son torse était incroyable et tu ne pouvais t'empêcher de le contempler.
« Tu en veux plus ? Y/N ? Tu veux ma bite ? Alors approche toi, rampe jusqu'à moi ! »
Tu le rejoignis et tu posa une main sur son torse
« Je t'en supplie Anakin Skywalker ! J'ai envie de toi depuis si longtemps, j'ai pensé à toi toute la journée ! Je te veux en moi, je veux sentir t'a bite en moi, je veux encore la sucer ! »
Anakin se saisit de ton bras secouant la tête.
« Tu es un vilain garçon Y/N ! je vais devoir te corriger... »
Anakin se laissa tomber sur son lit et tapa sur ses genoux.
« Met toi sur mes genoux, que je te corrige ! »
Votre pénis était sur le point d'éjaculer, l'attente était délicieusement insupportable, mais vous lui obéissiez et monter sur ses genoux, le cul bien en l'air. Il effleurait la peau de votre cul, puis, sans prévenir vous mis une grosse fessée.
« Cesse de crier comme ça, Y/N, quelqu'un va t'entendre, notre relation doit rester secrète, non ? »
Il te remit une fessée plus forte encore puis au bout de six ou sept, il te fit signe de t'allonger sur le lit. Il léchait un de ses doigt et l'enfonça à l'intérieur de ton cul.
« Putain Ani ! C'est tellement bon ! »
« Tu aime ça hein ? Ma petite salope »
il se pencha pour t'embrasser sauvagement et continua des vas et vient dans ton cul. T'as bite palpitait, tu était deja au bord de l'orgasme.
Puis il décida d'introduire sa bite dans ton cul.
« Tu la sent bien Y/N »
« Ouais Ani, continu je t'adore tellement »
Il t'a pris en position missionnaire, tu pouvais voir son torse brillant et tonic au dessus de toi, son regard intense transperçait t'es yeux larmoyant.
« Bon garçon ! »
Anakin poussa encore plus fort sa bite à l'intérieur de ton cul, un rythme encore plus rapide et joui en laissant échapper un gémissement de pur plaisir.
Il se saisit de t'as bite et te masturba rapidement.
« Tu peux jouir maintenant Y/N. »
Tu joui dans sa main, et il porta cette dernière à t'as bouche.
« Tu as était un bon garçon, très doué et dévoué »
Il te mit une petite claque sur les fesses puis enfila son pantalon.
« Je vais retourner dans ma chambre discrètement, d'accord ? » Dis-tu.
« Oui tu peux y aller, Ma mission n'est pas encore terminé je vais sûrement rester encore une ou deux semaine sur Naboo. Les séparatistes n'ont qu'un désir c'est de voir Padmé morte, et je ne le permettrais pas ! »
Tu te lève et remet t'es vêtements, tu ne prend même pas la peine de lui parler de Padmé, il était amoureux, et tu savais qu'il la choisirait elle plutôt que toi. Tu préfère juste ne pas y penser, et profiter de ces moment unique de pur luxure que tu avais avec lui.
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DÉSENVOÛTEMENT COMMENT SE DÉSENVOÛTER ET SE PROTÉGER ?
Désenvoûtement : Comment se désenvoûter et se protéger grâce au puissant et grand marabout Gotta Le désenvoûtement est un processus qui vise à se libérer des influences néfastes et des énergies négatives qui peuvent nous entourer. C’est une pratique courante dans certaines cultures et traditions spirituelles, et de nombreuses personnes font appel à des spécialistes pour les aider dans ce…
#auto-désenvoûtement#bain de purification avec du sel et du citron#cérémonie de désenvoûtement#Comment désenvouter soi-même#comment renvoyer le mal a une personne#comportement d une personne envoutée#Désenvoûtement#désenvoûtement amoureux#désenvoûtement avis#DÉSENVOÛTEMENT COMMENT SE DÉSENVOÛTER ET SE PROTÉGER ?#desenvoutement gratuit#désenvoûtement gratuit à distance#désenvoûtement maison#désenvoûtement naturel#désenvoûtement par la bougie#désenvoûtement par le citron#desenvoutement sorcellerie#Désenvouter et être évoluer#Désenvouter et être libéré des mauvais sors#Désenvouter et être libéré des mauvais sort#Désenvouter l&039;envoûtement#Désenvouter son couple#Désenvouter son couple et protéger son couple#eau de desenvoutement#prière de désenvoûtement#prière pour se désenvouter soi-même#recette de désenvoûtement#retour d&039;affection rapide#retour de l&039;être aimé en 24h#rituels de désenvoûtement à distance
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Protégez vos données personnelles !
Vous protégez, se protéger. Petite anti-sèche sur les lois qui nous protègent ! @privacypros @rcalo #RGPD #DataPrivacy
Dans un monde numérique qui capte toutes vos informations , phishing, usurpation d’identité .. Soyez rassurés ou pas. Des lois nous protègent , comme le RGPD ( le règlement européen de la protection des donnes personnelles ). Qui engagent les entreprises à se préoccuper sur vos donnes personnelles. Le sujet n’est pas nouveau. Voici un petit résumé sur les textes de loi depuis la seconde…
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Eté 1932 - Champs-les-Sims
4/6
Il adore ses enfants. Il passe ordinairement beaucoup de temps à visiter tous ses petit-enfants, leur commande toujours des tas de jouets sur les catalogues et il gère plus ou moins la maison de son fils, mon cousin Alexandre, où il habite. Je ne sais pas si je t'en ai déjà parlé en détail, mais mon cousin Alexandre a été volontaire durant la guerre, et si il a miraculeusement évité toute blessure physique, il est revenu un peu comme ton père, "brisé en dedans". Il avait une amoureuse de longue date, mais a refusé pendant longtemps de l'épouser à cause de prodigieuses crises de colères où il perd tout discernement. Grâce à l'intervention de Grand-Mère, il s'est cependant marié au final. Et cela fait neuf ans.
Seulement, malgré le soutien de son père et de son épouse, il n'est jamais allé mieux, bien au contraire. Il s'est mis à boire il y a quelques années pour tenter d'endiguer sa peine, mais comme tu t'en doute, ce n'est pas la chose à faire. Alcool et violence ne font pas bon ménage. Adelphe n'a pas pu me cacher très longtemps que sa pauvre belle-fille subissait des coups, et je sais que lui aussi en a reçu à quelques occasions. Il est désespéré, il ne sait pas quoi faire, et comme pour tout ce qui lui arrive, mon oncle insiste toujours pour s'en rendre responsable. Je comprends, mais si c'est la guerre qui a détruit à ce point mon cousin, comment pourrait-il ? Même lui ne pouvait pas sauver son fils de la guerre.
Le couple refuse le divorce, et même la séparation. J'ai bien tenté d'aider comme je voulais, mais l'épouse d'Alexandre m'a clairement fait comprendre qu'elle ne voulait pas que je me mêle de mes affaires. Adelphe pare au plus pressé, à savoir protéger ses petits-enfants, dont la petite Eugénie qui est née l'année passée, et il espère leur faire entendre raison au plus vite, mais sans vraiment d'espoir. Mon cousin, qui avait quelques lucidités au sujet de son état il y a des années, a aujourd'hui complètement sombré dans le déni. Nous aimerions tous qu'il aille dans une clinique, mais il refuse toujours, prétextant qu'il n'est pas fou ! Il m'a même lancé qu'il n'était pas comme "ma soeur la tarrée". Adelphe m'assure qu'il n'a pas toujours été ainsi, et c'est vrai qu'il peut se montrer charmant et compréhensif certaines fois, mais je suis en train de les oublier petit à petit.
Transcription :
Adelphe « Tu n’as pas encore déménagé dans la nouvelle aile ? J’avoue qu’elle sent encore beaucoup la peinture mais... »
Arsinoé « Ah si, bien sur. Mais j’aime bien venir ici, c’est une pièce apaisante. »
Adelphe « C’est une pièce vieillotte et poussiéreuse oui ! Elle n’a quasiment pas changé depuis le mariage de tes parents, et pour être parfaitement honnête, j’avais fait aménager cette pièce pour moi et Marie. Ton père s’est contenté de changer les couleurs des tapisseries et du couvre-lit. »
Arsinoé « Il n’a jamais été grand amateur de décoration d’intérieur c’est vrai. Mais malgré tout, je pense que je vais la conserver dans son état actuel. C’est important, je pense, qu’une pièce au moins échappe à cette modernisation forcenée, mis à part la salle à manger et le bureau de Papa bien sur. C’est un petit morceau d’histoire, cette pièce. Beaucoup d’enfants de la famille ont été conçus et sont nés dans ce lit. Moi par exemple, ainsi que les petites. »
Adelphe « Alexandre également… Mais veille quand même à raffraichir les tapisseries, à polir les appliques en laiton et laquer à nouveau le bois, la coiffeuse a connu des jours meilleurs. »
Arsinoé « Dis-moi, Oncle Adelphe. Il est déjà tard. Pourquoi, toi, tu es venu te cacher là ? »
Adelphe « Hum… et bien… C’est compliqué à la maison en ce moment. J’ai peur de lui déclencher une crise en lui imposant ma présence ce soir. »
Arsinoé « C’est si grave ? »
Adelphe « Nous ne sommes pas dans une bonne période disons… Il fait des efforts mais… j’ai envoyé Sylvette et les enfants chez sa sœur Yvonne pour quelques jours. Je crois que ce sont les pleurs du bébé… il ne les supporte pas. »
Arsinoé « Il n’y a rien à faire ? »
Adelphe « J’ai déjà tout essayé. Mais je ne suis que son père, je ne peux pas faire à sa place ce qui devrait être fait. Parfois, j’aimerais prendre sa douleur pour souffrir à sa place, mais ce n’est pas comme cela que ça marche. »
Arsinoé « Je suis tellement désolée… Et… enfin, hum… le divorce ? Ce serait mieux pour tous les deux. »
Adelphe « Oh oui, je regrette chaque jour d’avoir laissé Grand-Mère le convaincre de se marier, mais c’est fait ! Et ils refusent tous les deux ! Lui à cause de sa foutue fierté et elle… J’ai eu beau lui dire que la famille ne trouverait rien à y redire de notre côté, mais tu sais comment peuvent être les Norel. »
Arsinoé « Tu veux que j’aille lui parler ? Peut-être qu’un point de vue féminin pourrait la pousser à reconsidérer la question. Et il y a les enfants… Il n’a jamais... »
Adelphe « Non ! Il n’a jamais levé la main sur eux. Mais hier soir, il m’a tout de même dit qu’il avait peur que cela arrive un jour. Mon fils me fait peur et… je ne sais pas du tout quoi faire. Je suis démuni. Il refuse de voir le moindre médecin, même Rose. Il m’a déjà hurlé à la figure qu’il n’était pas un cinglé ! Va parler à Sylvette, mais je doute qu’elle t’écoute. »
Arsinoé « Je ne comprends pas comment elle peut rester avec lui dans ces conditions. »
Adelphe « Toi et moi avons grandi dans des foyers où ce genre de problème n’existait tout simplement pas. Nos parents nous ont transmis des démons, mais rien à voir avec ceux qui tourmentent Alexandre. Nous ne savons pas tout de ce qu’il se passe quand les portes sont closes. »
Arsinoé « Alors je vais essayer ! Dors ici cette nuit, tu es toujours le bienvenu dans la maison qui nous a vus naître. Et arrête de te flageller, ce n’est pas ta faute. »
Adelphe « C’est mon fils qu’il s’agit ! Bien entendu que c’est de ma faute ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Adelphe Barbois#Alexandre Barbois#Sylvette Norel#Pierre Barbois#Claudius Barbois#Eugénie Barbois#Eugénie Le Bris II#Constantin Le Bris#Anna Le Bris de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel#Yvonne Norel#Rose Le Bris
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Juste moi qui pensait avant de dormir…
-version française-
Wukong n'était pas sûr s'il avait envie de pleurer ou de crier. Son corps tout entier ressemblait à un cœur qui battait trop fort contre sa poitrine.
Il regarda le sol avec rage. Puis, ses mains, ces mains impuissantes qui avaient été dans l'incapacite d'arrêter Macaque.
"C'était stupide, stupide, stupide, stupide, stupide!"
Wukong attrapa chaque côté de sa tête et tira sur ses cheveux. Son corps s'affaissa alors qu'il criait , le front collé à son ombre. C'etait le dernier vestige du portail par lequel son ami venait de le recracher pour échapper à un châtiment qu'il n'aurait jamais vu venir.
Il revoyait encore Macaque le tirer dans le portail au moment où la montagne lui tombait dessus. Il le vit lui sourire si gentiment. Pourtant Wukong pouvait entendre un "Je te l'avais dit" moqueur dans l'arrière de sa tête. Il eu juste le temps d'apercevoir Macaque user de sa magie pour porter un glamour qui changerait le singe de l'ombre, en la personne qu'il avait tenté de protéger.
Wukong ne pouvait oublier comment le noir passait au orange, les six oreilles disparaissaient pour en devenir deux, et les pupilles ressembler aux siennes.
Wukong se maudit.
Qu'est-ce qui l'a poussé à s'opposer à Bouddah ?
Il leva les yeux vers l'endroit ou devrait se trouver la montagne où Macaque devrais certainement être bloqué. Devrait il aller le voir? Macaque lui en voudrait t-il ? Voulait il même le voir ? Le coeur de Wukong se serra. Il ne pouvait pas y retourner. Il n'en avait pas le droit...il...n'était pas prêt pour ça. Il ne supporterait pas la colère de Macaque. Pas après qu'il lui est promis une vie de bonheur.
"Et si il mourrait sous cette montagne? "
Les ongles de Wukong gratèrent la terre de la montagne de fleur et de fruit, et un petit rire bref lui echappa. Non...Macaque avait une longévité demoniaque. Il ne mourra pas...n'est ce pas ?
Wukong reflechit un moment avant de se mordre l'interieur des lèvres. Il allait quand même s'assurer de nourrir Macaque tout les jours...si le singe de l'ombre ne lui en veux pas trop.
#digital art#sketch#just doodlin#lmk macaque#lmk shadowpeach#lmk sun wukong#just writing stuff#just night doodle
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Always And Forever
Chapitre 13 -> La bataille final partit 2
♥*♡∞:。.。 。.。:∞♡*♥ ♥*♡∞:。.。 。.。:∞♡*♥
Agatha était toujours agenouillée au sol, ses mains tremblantes caressant l'endroit où Rosalia avait disparu. Ses larmes coulaient sans retenue, son visage marqué par une douleur brute.
« Je vais la ramener... » déclara soudain Wanda, se tenant un peu en retrait, son regard empli de culpabilité.
Agatha leva la tête, ses yeux rougis fixant Wanda. « Comment tu comptes faire ça ? Tu as déjà détruit assez de vies, Wanda. »
Wanda baissa les yeux, mais elle prit une profonde inspiration et avança d'un pas. « Laisse-moi essayer. Je peux canaliser son essence. Je peux... je peux réparer ça. »
Billy, encore secoué, posa une main hésitante sur l'épaule de sa mère. « Tu es sûre que tu peux le faire ? »
Wanda détourna les yeux, incertaine. « Je dois essayer. Je le dois. »
Elle leva ses mains, qui commencèrent à s'illuminer d'une énergie rouge. Des filaments magiques crépitèrent dans l'air, s'enroulant autour de l'endroit où Rosalia avait été engloutie. Wanda ferma les yeux, concentrant toute sa puissance, son souffle devenant laborieux.
« Ramène-la, ramène-la, ramène-la... » répétait-elle comme une prière désespérée.
Mais alors que l'énergie grandissait, elle se heurta à une barrière invisible. Une onde de choc traversa la crypte, projetant Wanda quelques pas en arrière. L'énergie rouge s'éteignit brutalement, laissant derrière elle un vide oppressant.
« Non... » murmura Wanda, à bout de souffle. « Pourquoi ça ne marche pas ? »
Agatha se releva lentement, sa colère prenant le dessus sur sa douleur. « Pourquoi ? Parce que c'est toujours pareil avec toi, Wanda ! Tu bricoles avec des forces que tu ne maîtrises pas, et à la fin, c'est toujours quelqu'un d'autre qui paye le prix ! »
Wanda recula, ses yeux s'emplissant de larmes. « Je ne voulais pas ça... Je voulais juste protéger Billy... Je voulais... »
Agatha avança vers elle, sa voix tremblante de rage. « Et maintenant, Rosalia est morte ! Parce que toi, avec ta magie, tu joues à être Dieu ! »
« Je m'en veux ! Tu crois que je ne m'en veux pas ? » hurla Wanda, des larmes roulant sur ses joues. « J'ai tout essayé pour la sauver ! J'ai essayé de réparer mes erreurs, Agatha ! »
Billy se plaça entre elles, les mains levées pour tenter de les calmer. « Arrêtez ! Ça ne ramènera pas Rosalia ! »
Wanda essuya ses larmes, regardant Agatha avec une expression désespérée. « Je... Je vais trouver un autre moyen. Je te le promets. Je trouverai un moyen. »
Agatha détourna les yeux, incapable de répondre, son cœur brisé par l'absence de Rosalia. Elle s'éloigna lentement, les épaules secouées par des sanglots silencieux.
Billy posa une main réconfortante sur l'épaule de sa mère, mais elle semblait perdue dans ses pensées, hantée par l'échec.
Dans la crypte silencieuse, la douleur de la perte résonnait plus fort que les mots. Et même si tous partageaient la même peine, leur unité semblait désormais fracturée par des émotions contradictoires : la colère, la culpabilité, et l'impuissance.
Alors que la tension s'épaississait dans la crypte, Malia s'adossa à un mur, ses mains tremblantes cachant son visage. Elle respirait difficilement, comme si l'air devenait insupportable à chaque seconde qui passait.
« Tout est de ma faute... » murmura-t-elle d'une voix brisée, attirant l'attention de Lilia, qui se tenait près d'elle.
Lilia posa une main réconfortante sur son épaule. « Malia, non... Ce n'est pas— »
« Si, Lilia ! » explosa Malia, se dégageant brusquement. « J'aurais dû lui donner mon sang. Je pouvais la sauver, je le savais au fond de moi. Elle serait devenue comme moi, mais elle serait vivante ! »
Sa voix tremblait de regret, des larmes roulant sur ses joues. « Mais j'ai hésité... J'ai eu peur. Et maintenant... maintenant elle est partie... »
Billy, toujours figé par l'émotion, leva un regard fatigué vers Malia. « Tu crois que c'était une solution ? Faire d'elle un vampire ? Ce n'est pas ce qu'elle aurait voulu. »
« Mais au moins, elle serait encore là ! » hurla Malia, frappant le mur avec sa main. « Je l'ai laissée mourir alors que j'avais le pouvoir de changer les choses. Je l'ai regardée se sacrifier, et je n'ai rien fait. Rien ! »
Lilia, bouleversée, s'approcha et tenta de prendre ses mains. « Malia, écoute-moi. Ce n'est pas ta faute. Elle a pris une décision, et personne n'aurait pu la faire changer d'avis. Pas toi, pas moi, personne. »
Malia secoua la tête, le regard perdu. « Tu ne comprends pas... Elle comptait pour moi. Plus que je ne l'ai jamais avoué. Et je n'ai rien fait. »
Agatha, qui était restée silencieuse jusque-là, releva lentement les yeux, ses propres larmes brillant dans la faible lumière de la crypte. « Rosalia n'aurait jamais accepté que tu fasses ça, Malia. Elle savait ce qu'elle voulait, même si ça nous brise. »
La vampire serra les poings, ses crocs se dévoilant instinctivement sous l'intensité de sa douleur. « Elle méritait de vivre, Agatha. Pas moi. »
Wanda, au bord des larmes, s'approcha maladroitement, sa culpabilité pesant comme une enclume. « Nous avons tous échoué... Mais blâmer chacun ne nous ramènera pas Rosalia. »
Malia tourna un regard glacé vers Wanda, ses yeux flamboyant d'un rouge menaçant. « Ne me parle pas de culpabilité, Wanda. C'est toi qui as attiré cette créature ici avec tes sorts tordus. »
Lilia intervint immédiatement, se plaçant entre elles. « Stop, Malia. Ça suffit. »
Mais l'émotion débordante de Malia était incontrôlable. Elle s'effondra dans les bras de Lilia, sanglotant violemment. Lilia la serra fermement contre elle, ses doigts caressant doucement ses cheveux pour apaiser sa douleur.
La crypte était plongée dans un silence pesant, chacun consumé par sa propre culpabilité et son chagrin.
Billy murmura finalement, brisant la tension : « Elle ne voudrait pas qu'on se déchire comme ça. Elle voudrait qu'on continue... qu'on trouve un moyen de réparer tout ça. Pour elle. »
Agatha hocha lentement la tête, mais son regard vide témoignait de la douleur qu'elle portait. « On va la retrouver, » dit-elle finalement, sa voix un murmure, mais emplie d'une détermination féroce. « Peu importe ce que ça coûte. »
Wanda ferma les yeux, inspirant profondément. « Si elle est toujours quelque part, je trouverai une solution. Je le jure. »
Malia, toujours blottie contre Lilia, serra les dents, un éclat sombre brillant dans ses yeux. « Elle doit revenir. Elle reviendra. »
Et dans la lourdeur de la nuit qui s'approchait, une promesse silencieuse s'éleva parmi eux : ils ne s'arrêteraient pas tant que Rosalia ne serait pas sauvée.
༺♡༻
Dans l'obscurité glaciale de la grotte, Rosalia était allongée, immobile, sur le sol humide et froid. Autour d'elle, l'eau semblait vivante, bougeant doucement comme en réponse à une énergie ancienne. Une lumière bleutée illumina soudain l'espace, et une silhouette majestueuse émergea des ombres : le demi-dieu de l'océan. Son corps scintillait de reflets aquatiques, et son regard brillait d'une sagesse insondable.
Il s'approcha lentement, sa voix résonnant comme un murmure d'écume sur la plage.
« Rosalia... » dit-il avec douceur. « Ton sacrifice, né de l'amour et du courage, a éveillé les forces les plus anciennes des océans. Mais ta destinée ne s'arrête pas ici. »
Il leva une main, et l'eau autour de Rosalia se mit à tourbillonner, l'entourant d'une aura éclatante. Lentement, son corps s'éleva dans les airs, bercé par les flots comme une feuille portée par la marée. Ses yeux s'ouvrirent, remplis d'un éclat azur surnaturel.
« Où... où suis-je ? » murmura-t-elle, désorientée mais étrangement apaisée.
Le demi-dieu répondit avec un sourire doux. « Là où les âmes les plus courageuses viennent pour renaître. »
Il entama alors un chant ancien, une mélodie envoûtante qui fit vibrer l'air et les eaux. Autour d'eux, des images prirent forme dans les flots : le sacrifice de Rosalia pour Billy, son amour pour Agatha, et ses souvenirs de Nicki. Chaque moment brillait d'une intensité poignante, comme des fragments d'étoiles emprisonnés dans l'eau.
« Ton amour inébranlable a touché même les dieux, » déclara-t-il. « Mais le monde a encore besoin de toi. Tu ne peux revenir telle que tu étais. Alors, je t'offre un don. Une nouvelle vie, une nouvelle force. »
L'eau se mit à graviter autour d'elle, formant des motifs marins lumineux sur sa peau, semblables à des tatouages divins. Ses cheveux prirent une teinte irisée, rappelant les vagues sous le clair de lune, et ses yeux brillèrent d'une intensité océanique.
« Je te nomme demi-déesse des marées, Rosalia. Une gardienne des océans et des cœurs. Avec ce pouvoir, tu as la force de protéger et de guider. »
Rosalia, émue mais troublée, posa une main sur sa poitrine. « Pourquoi moi ? » demanda-t-elle, sa voix empreinte de doute.
Le demi-dieu se pencha légèrement. « Parce que, même dans la douleur, tu as choisi l'amour. Mais cette fois, tu n'es pas seule. Et parce que l'amour que tu portes transcende les mondes, je t'offre une récompense. »
Il recula légèrement, les flots s'intensifiant autour de lui. La lumière dans la grotte se fit plus éclatante.
« Tu peux ramener une personne avec toi. Une âme que tu aimes profondément. »
Rosalia, stupéfaite, sentit son cœur se serrer. Une larme roula sur sa joue. Elle savait immédiatement qui choisir.
« Nicki... » murmura-t-elle, sa voix tremblante mais résolue.
Le demi-dieu hocha la tête avec gravité. « Une vie pour une vie. Une décision guidée par l'amour. »
Une vague massive monta soudain, éclatant en une lumière aveuglante. Dans cette lumière, une silhouette familière apparut. Un garçon, avec les traits doux et les yeux vifs de Nicki, se tenait devant elle, confus mais vivant.
« Maman ? » dit-il doucement, tendant une main vers Rosalia.
Rosalia, submergée d'émotion, se précipita pour l'enlacer, des larmes inondant son visage. « Nicki... mon bébé... »
Le demi-dieu les observa, un sourire bienveillant sur les lèvres.
« N'oublie jamais : avec ce pouvoir vient une grande responsabilité. Ton voyage ne fait que commencer. »
Il leva une main, et l'eau forma une spirale qui les enveloppa. Quand la lumière disparut, Rosalia et Nicki se tenaient dans un silence apaisant, encore dans la grotte, mais conscients qu'ils allaient bientôt revenir auprès des leurs.
Rosalia murmura, la voix emplie de gratitude : « Merci... »
Le demi-dieu inclina légèrement la tête avant de disparaître dans une dernière onde de lumière, laissant Rosalia et Nicki prêts à affronter un nouveau chapitre de leur vie.
Dans la grotte, Nicki ne lâchait pas Rosalia, ses bras enroulés autour de sa taille comme s'il avait peur qu'elle disparaisse de nouveau. Il releva la tête pour la regarder, son visage partagé entre émerveillement et confusion.
« Maman, est-ce que toi aussi, tu es... morte ? » demanda-t-il doucement, l'ombre d'une peur enfantine dans sa voix.
Rosalia prit une grande inspiration et posa une main sur sa joue. « C'est... compliqué, mon ange. Disons que je suis différente, maintenant. Je ne suis pas vraiment morte, mais je ne suis plus tout à fait humaine non plus. »
Nicki plissa les yeux, essayant de comprendre. « Alors... tu es quoi ? »
Un léger sourire traversa les lèvres de Rosalia. Elle se redressa légèrement, sa posture irradiant une grâce nouvelle, presque divine. « Je suis une demi-déesse, Nicki. Une gardienne des marées et des océans. »
Nicki cligna des yeux, abasourdi, avant qu'un sourire immense illumine son visage. « Une demi-déesse ?! C'est trop cool, maman ! » Il sauta presque de joie, ses mains serrées sur les siennes. « Ça veut dire que tu as des pouvoirs, non ? Genre, tu peux contrôler l'eau ou appeler des dauphins ?! »
Rosalia rit doucement, touchée par son enthousiasme. Elle serra son fils dans ses bras, laissant son cœur se remplir d'une chaleur qu'elle croyait avoir perdue à jamais. « Oui, quelque chose comme ça... mais ce n'est pas ce qui compte le plus. Ce qui compte, c'est que je t'ai retrouvé. »
Nicki la regarda, rayonnant de bonheur, puis demanda, avec une étincelle d'espoir dans les yeux : « On peut rentrer maintenant ? Je veux voir tout le monde, surtout Agatha ! »
Rosalia sentit son cœur se serrer légèrement. Elle caressa les cheveux de Nicki, un soupir échappant de ses lèvres. « Oui, on rentrera, mon chéri. Mais... je ne sais pas encore comment faire. »
Nicki fronça les sourcils, réfléchissant. « Mais tu es une demi-déesse, non ? Il doit bien y avoir un moyen. Peut-être que... »
Il fut interrompu par une vibration étrange dans l'air, comme un écho lointain d'une voix ancienne. Rosalia tourna la tête, son instinct divin éveillé. Les murs de la grotte semblèrent pulser avec une énergie familière.
« Peut-être que je n'ai pas à le faire seule, » murmura-t-elle, plus pour elle-même.
Nicki tira doucement sur sa main. « Tu crois que c'est le demi-dieu qui revient pour nous aider ? »
Rosalia secoua la tête. « Je ne pense pas. C'est autre chose... une connexion, une force qui m'appelle. »
Elle ferma les yeux, concentrant son énergie nouvellement acquise. Ses doigts effleurèrent l'eau qui ondulait autour d'eux, et un cercle lumineux se forma au sol, semblant réagir à sa volonté.
Nicki l'observa avec émerveillement. « Tu peux le faire, maman. Je crois en toi. »
Encouragée par ses mots, Rosalia se concentra davantage. Une vision fugace d'Agatha, de Malia, de Lilia, et même d'Emma traversa son esprit. Ils l'attendaient, pleins d'espoir et de désespoir mêlés. Une larme roula sur sa joue, mais elle garda sa détermination.
« Accroche-toi bien, Nicki, » dit-elle en serrant son fils contre elle.
L'énergie du cercle s'intensifia, une lumière éblouissante remplissant la grotte. Le chant de l'eau résonna autour d'eux, et en un instant, ils furent enveloppés dans une vague chaude et lumineuse, disparaissant de la grotte magique pour entamer leur retour vers le monde des vivants.
Dans un éclat de lumière aveuglante, Rosalia et Nicki disparurent de la grotte magique. Lorsqu'ils réapparurent, ils se retrouvèrent dans un lieu qu'ils connaissaient bien : le bord de la mer, près de la maison de Malia. Le vent marin caressait doucement leurs visages, et l'écho lointain des vagues semblait saluer leur retour.
Nicki, toujours accroché à Rosalia, regarda autour de lui avec des yeux écarquillés. « On est... de retour ? Vraiment ? »
Rosalia hocha la tête, les émotions se bousculant dans sa poitrine. « Oui, mon ange. On est rentrés. »
Mais avant qu'ils puissent profiter de ce moment, une voix tremblante et incrédule retentit derrière eux.
« Rosalia ? »
Elle se retourna et vit Agatha. Debout à quelques mètres de là, Agatha semblait figée, ses yeux passant de Rosalia à Nicki, sa main tremblant légèrement.
Rosalia sentit son cœur se serrer, mais Nicki, lui, ne perdit pas une seconde. Il se détacha de sa mère et courut vers Agatha.
« Agatha ! » cria-t-il avec enthousiasme, se jetant dans ses bras.
Agatha l'attrapa instinctivement, le serrant contre elle comme si elle craignait qu'il ne disparaisse à nouveau. Elle ferma les yeux, laissant échapper un sanglot qu'elle retenait depuis trop longtemps.
« Nicki... » murmura-t-elle, sa voix brisée par l'émotion.
Rosalia, quant à elle, restait en retrait, les bras croisés, observant la scène. Une vague de soulagement la traversa, mais elle savait que ce n'était que le début.
Nicki se tourna alors vers Rosalia, son visage illuminé par un sourire. « Maman, viens ! »
Rosalia hésita un instant avant d'avancer doucement. Agatha leva les yeux vers elle, ses larmes toujours visibles, mais son regard portait une confusion palpable.
« Comment... ? » murmura Agatha.
« C'est compliqué, » répondit Rosalia doucement. Elle posa une main sur l'épaule de Nicki, puis plongea son regard dans celui d'Agatha. « Mais il est là. On est là. »
Agatha lâcha un rire nerveux, ses doigts caressant machinalement les cheveux de Nicki. « C'est... irréel. »
Nicki, avec son enthousiasme habituel, brisa la tension. « Agatha, maman est une demi-déesse maintenant ! Elle est trop forte ! »
Agatha fronça légèrement les sourcils et regarda Rosalia avec un mélange de surprise et d'inquiétude.
« Une demi-déesse ? » demanda-t-elle, son ton incrédule.
Rosalia haussa les épaules. « C'est une longue histoire, mais oui. Et... ça vient avec des responsabilités. »
Avant qu'Agatha ne puisse répondre, une autre voix se fit entendre depuis la maison.
« C'était quoi cette lumière ? » cria Malia, suivie de Lilia, Emma, et même Wanda.
En un instant, tout le monde fut autour d'eux, les regards oscillant entre Rosalia, Nicki, et l'expression abasourdie d'Agatha.
Malia s'approcha, sa voix tremblante. « Rosalia... c'est toi ? »
Rosalia hocha doucement la tête. « Oui, c'est moi. »
Wanda, quant à elle, resta en retrait, son visage pâle et ses mains tremblantes. Elle n'osait pas s'avancer, son regard rivé sur Rosalia avec une culpabilité dévorante.
Rosalia le remarqua et, après un court silence, s'avança vers elle. « Wanda... »
Wanda secoua la tête, les larmes coulant sur ses joues. « Je suis désolée... Tellement désolée... »
Rosalia posa une main sur son épaule, son regard empreint de compassion. « Ce n'est pas de ta faute. Ce qui est arrivé... c'était bien plus grand que nous. »
Malgré tout, Wanda éclata en sanglots, et Malia la prit dans ses bras pour la réconforter.
Agatha, qui avait observé toute la scène en silence, se racla finalement la gorge. « Alors, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? »
Rosalia se tourna vers elle, un léger sourire sur les lèvres. « Maintenant, on s'assure que cette île ne cache plus de surprises. Et on se bat. Ensemble. »
Tous hochèrent la tête, et pour la première fois depuis longtemps, une lueur d'espoir semblait illuminer le groupe.
Billy bondit de joie, incapable de contenir son excitation. Il attrapa Nicki et le souleva dans les airs. « Petit gars, t'es vraiment revenu, c'est dingue ! » Il le reposa avant de regarder Rosalia. « T'as réussi un vrai miracle, Rosalia. Merci... vraiment. »
Rosalia lui adressa un sourire tendre, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Emma, qui avait les bras croisés et un sourire moqueur, lança une réflexion acerbe.
« Bon, on dirait que mes chances avec Rosalia viennent de se réduire à néant... à moins que quelqu'un change d'avis ? » Elle jeta un regard provocateur à Rosalia, son sourire s'élargissant en voyant l'expression indignée d'Agatha.
Nicki, qui observait la scène, fronça les sourcils. Il lâcha la main de Rosalia, s'avança et posa ses petites mains sur ses hanches, fixant Emma avec une intensité impressionnante pour son âge.
« Je sais pas qui tu es, toi, mais je vais te dire un truc. Mes deux mamans restent ensemble, compris ? Sinon... attention à toi ! »
Un silence stupéfait s'installa pendant une seconde, avant que tout le monde, hormis Emma, n'éclate de rire. Malia dut même se tenir à Lilia pour ne pas perdre l'équilibre.
« T'es un vrai héros, toi, » lança Billy en tapotant affectueusement la tête de Nicki.
Agatha, elle, se pencha pour attraper Nicki et le souleva, un sourire attendri éclairant son visage. « Écoute, petit, tu viens officiellement de devenir mon garde du corps. »
Nicki acquiesça avec sérieux, même si un sourire fier illuminait ses traits. « C'est mon job. »
Rosalia, les bras croisés, secoua la tête, amusée. « Nicki, tu ne devrais pas menacer les gens... même si c'est mérité. »
Emma, qui avait retrouvé un semblant de contenance, haussa un sourcil en fixant Rosalia. « Oh, je vois. Vous êtes une famille soudée. Très bien. Mais vous savez où me trouver si jamais... vous changez d'avis. »
Agatha lança un regard noir à Emma, mais cette fois, elle ne répondit rien. Elle serra Nicki contre elle et posa son front contre celui du garçon. « Merci pour ton soutien, mon champion. »
Nicki sourit fièrement avant de descendre des bras d'Agatha et de revenir auprès de sa mère. Il attrapa la main de Rosalia et leva les yeux vers elle. « Allez, maman. Faut qu'on protège Agatha et qu'on reste une vraie équipe. »
Rosalia échangea un regard complice avec Agatha avant de murmurer à Nicki : « T'as tout compris, mon ange. Toujours une équipe. »
Emma, de son côté, haussa les épaules, l'air faussement indifférent, mais on pouvait voir un soupçon d'agacement dans ses yeux.
Malia, qui n'avait rien raté de l'échange, glissa à Lilia avec un sourire en coin : « On dirait qu'Emma vient de rencontrer son plus grand rival. »
Lilia acquiesça en riant doucement. « Et c'est clairement pas gagné pour elle. »
༺♡༻
L'ambiance dans la maison était plus légère qu'elle ne l'avait été depuis des jours, chacun savourant un rare moment de paix. Mais au fond de leur esprit, ils savaient tous que la bataille n'était pas terminée. Rosalia, désormais demi-déesse, savait qu'elle devait rester forte pour sa famille... et pour tout ce qui allait encore venir.
Une fois rentrés à la maison, l'ambiance était tendue, mais apaisée par moments. Les rires de Nicki résonnaient dans les pièces, un rappel constant du miracle qui venait de se produire. Pourtant, dans un coin plus isolé, Agatha et Wanda se tenaient face à face, leurs regards lourds de tout ce qui n'avait pas été dit depuis longtemps.
Agatha croisa les bras, sa posture rigide et défensive. « Alors ? Tu veux qu'on parle ? » demanda-t-elle d'un ton presque cassant.
Wanda hésita un instant avant de hocher la tête. « Oui. Je pense qu'on doit le faire. »
Elles s'assirent à la table du salon, chacune de son côté, une distance presque palpable entre elles. Wanda ouvrit la bouche pour parler, mais Agatha leva une main pour l'interrompre.
« Avant que tu dises quoi que ce soit, je veux que tu saches une chose : je ne te pardonne pas, Wanda. »
Le visage de Wanda se crispa, mais elle resta silencieuse.
« Tu as fait des choix... Des choix qui nous ont tous coûté cher. Rosalia a failli mourir par ta faute. Mon fils... » La voix d'Agatha se brisa légèrement, mais elle reprit rapidement. « Mon fils a souffert, et moi aussi. Et tout ça, c'était à cause de toi. »
Wanda baissa les yeux, son visage marqué par la culpabilité. « Je sais, Agatha. Je sais que j'ai fait des erreurs, et je ne m'attends pas à ce que tu me pardonnes. Mais je suis prête à tout pour essayer de réparer ce que j'ai brisé. »
Agatha laissa échapper un rire amer. « Réparer ? Tu crois que c'est possible, ça ? Ramener Nicki et Rosalia n'efface pas ce qui s'est passé. »
Wanda releva la tête, son regard brillant de larmes qu'elle refusait de laisser couler. « Non, ça n'efface rien. Mais je peux essayer d'être meilleure. Pas pour toi, pas pour moi, mais pour Billy. Pour Nicki. Pour eux. »
Agatha l'observa longuement, scrutant chaque expression sur le visage de Wanda. Finalement, elle soupira, passant une main fatiguée dans ses cheveux.
« Écoute, je ne te pardonne pas, et peut-être que je ne le ferai jamais. Mais... je veux bien passer à autre chose. Pour eux. Pour Rosalia, pour Nicki. On a assez de problèmes comme ça sans ajouter nos querelles. »
Wanda hocha la tête, reconnaissante. « Merci. C'est déjà beaucoup. »
Agatha se leva, signalant que la conversation était terminée. Avant de partir, elle s'arrêta et se retourna une dernière fois.
« Si tu fais encore du mal à quelqu'un que j'aime, Wanda... il n'y aura pas de prochaine fois. »
Wanda acquiesça sans un mot, consciente que cette conversation était un fragile premier pas vers une paix incertaine.
La nuit tombait doucement sur la maison, et tout le monde semblait s'être dispersé après les événements intenses de la journée. Malia était assise sur le canapé du salon, le regard perdu dans les flammes dansantes de la cheminée. Lilia entra discrètement dans la pièce, portant une tasse de thé.
« Tu es encore là ? » demanda Lilia, un sourire léger sur le visage.
Malia tourna la tête et haussa les épaules. « Je réfléchissais. Trop de choses se sont passées... J'ai besoin de calme. »
Lilia s'approcha et tendit la tasse. « Tiens, ça t'aidera à te détendre. »
Malia accepta la tasse avec un sourire timide. « Merci, Bambina. Tu es toujours là quand j'en ai besoin. »
Lilia rougit légèrement, mais s'installa à côté de Malia sur le canapé. Les deux femmes restèrent silencieuses un moment, savourant la chaleur du feu. Puis, Lilia brisa le silence.
« Tu sais, tu n'as pas à tout porter seule. Je vois bien que tout ça te pèse... mais tu peux te reposer sur moi. »
Malia tourna les yeux vers elle, touchée par ses mots. « Tu dis ça si facilement, mais c'est pas si simple... »
« Pourquoi ? » insista Lilia doucement.
Malia hésita, cherchant ses mots. « Parce que... tu comptes pour moi. Et je ne veux pas t'entraîner dans ce chaos. »
Lilia sourit et posa une main sur celle de Malia. « Trop tard, Bambina. Je suis déjà là. »
Malia sentit son cœur s'accélérer. Elle baissa les yeux sur leurs mains entrelacées et murmura : « Tu es vraiment spéciale, tu sais ça ? »
Lilia haussa un sourcil, taquine. « Je sais. Mais continue, ça fait toujours plaisir de l'entendre. »
Malia rit doucement, et pour la première fois depuis longtemps, son sourire semblait sincère.
« Sérieusement, Lilia. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi... »
Lilia se pencha légèrement, rapprochant leurs visages. « Tu n'as pas à le savoir. Je suis là. Toujours. »
Leurs regards se croisèrent, et un silence chargé d'émotion s'installa. Lentement, Malia se pencha en avant, ses yeux cherchant une approbation silencieuse. Lilia répondit à son geste, réduisant la distance entre elles jusqu'à ce que leurs lèvres se rencontrent dans un baiser tendre et sincère.
Le monde sembla disparaître autour d'elles, le feu crépitant en arrière-plan. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Malia murmura, un léger sourire sur le visage :
« Je crois que j'avais besoin de ça plus que je ne le pensais. »
Lilia lui caressa doucement la joue. « Moi aussi, Bambina. Moi aussi. »
Elles restèrent enlacées, savourant ce moment de répit et de douceur au milieu du chaos qui les entourait.
La nuit était tombée sur la maison, et tout le monde avait fini par se calmer après une journée mouvementée. Dans la chambre d'Agatha, une scène de tendresse inattendue prenait place. Nicki, épuisé mais rayonnant de bonheur, s'était installé au centre du lit, tenant fermement la main de sa mère, Rosalia, et d'Agatha, qui s'était laissé convaincre de partager ce moment.
Nicki bailla longuement, ses yeux se fermant par à-coups. « Je suis tellement content qu'on soit tous ensemble... Vous savez, je crois que c'est la meilleure nuit de ma vie. »
Rosalia, couchée sur le côté, le regard attendri, passa doucement sa main dans les cheveux de son fils. « Je suis heureuse aussi, mon cœur. Dormir près de toi me rappelle à quel point je t'aime. »
Nicki tourna la tête vers Agatha, qui le regardait avec un mélange d'amusement et de gêne. « Et toi, maman Agatha ? »
Agatha haussa un sourcil en l'entendant l'appeler ainsi, mais elle ne put retenir un sourire sincère. Elle prit une profonde inspiration avant de poser une main sur la couverture. « C'est... agréable, Nicki. Et je crois que tu m'as fait craquer avec ton sourire. »
Nicki éclata de rire, visiblement ravi. « Alors, c'est décidé ! On va dormir comme ça tout le temps ! »
Agatha roula des yeux, mais son sourire restait bien présent. « Ne pousse pas ta chance, jeune homme. Ce n'est qu'une exception. »
Rosalia lui lança un regard espiègle. « Oh, Agatha, tu dis ça maintenant, mais je parie que tu seras la première à demander une autre nuit comme ça. »
Agatha fronça les sourcils, mais ses joues rosirent légèrement, ce qui fit sourire Rosalia.
Nicki, ignorant leur échange, s'étira avant de se blottir contre Rosalia, posant sa tête sur son épaule. « Je vous aime toutes les deux. Vraiment. Je veux que ça reste comme ça pour toujours. »
Rosalia embrassa doucement le sommet de la tête de son fils, les larmes lui montant presque aux yeux. « Nous t'aimons aussi, Nicki. Plus que tout au monde. »
Agatha, un peu mal à l'aise avec tant de démonstrations d'affection, glissa néanmoins une main rassurante sur l'épaule du garçon. « Tu es un sacré gamin, mais... je suis heureuse que tu sois là. »
Nicki bailla à nouveau, ses yeux se fermant doucement. La pièce s'emplit d'un calme réconfortant, ponctué par les respirations lentes de l'enfant endormi.
Rosalia leva les yeux vers Agatha, qui était restée droite, immobile. Elle murmura doucement pour ne pas réveiller Nicki. « Tu peux te détendre, tu sais. Personne ne te jugera. »
Agatha soupira légèrement avant de se glisser un peu plus sous les couvertures. Ses yeux rencontrèrent ceux de Rosalia, et un moment de compréhension silencieuse passa entre elles.
« Merci, » murmura Agatha.
« Pour quoi ? » demanda Rosalia, surprise.
« Pour me laisser une place ici. Avec toi, avec lui. Je ne savais pas à quel point j'avais besoin de ça. »
Rosalia sourit tendrement. « Tu fais partie de cette famille, Agatha. Et ça ne changera jamais. »
Agatha hocha la tête, émue malgré elle, et se laissa aller à poser son front contre celui de Rosalia, un geste doux et intime.
Alors que la nuit avançait, les trois restèrent enlacés dans cette sérénité nouvelle, une famille reconstruite dans l'amour et la complicité.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
#agatha all along#agatha harkness x reader#lilia calderu x reader#agatha x reader#lilia calderu#agatha harkness
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" Puppy Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Arlong The Saw.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré les actes cruels qu'il commettait depuis son retour à la surface, Arlong avait le cœur tendre. Il le cachait, brisé et piétiné par le passé. Cependant, en sa présence, sous son regard d'une innocence pure, il ne savait plus comment taper du pied et s'affirmer. Elle, son amie de longue date, la fille qui avait fait chavirer son cœur et qui continuait de le mener par le bout du nez, malgré les années et les monstruosités dont il avait été témoin.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟏𝟔𝟓.
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Sous les yeux pétillants de Arlong, la jolie sirène gloussa. Elle camouflait son sourire derrière sa main, les yeux clos, et son cœur battant à tout rompre. Elle en sentit chacune de ses palpitations. Arlong, quant à lui, avait les pieds plongés dans l'eau, il était assis sur le bord de sa piscine personnelle donnant accès à la mer, la sirène devant lui étant dans l'incapacité de le rejoindre sur la terre ferme.
Les autres hommes poissons habitants Arlong Park, compagnons et amis de Arlong, avaient depuis longtemps disparu, séparés en plusieurs groupes qui s'en étaient allés récolter leurs dûs dans les villages de l'île Conomi. Une fois le bâtiment vidé, Arlong avait rejoint la sirène et, sans s'en être rendu compte, une heure et demie s'était déjà écoulée. Trop occupé par son rire et son savoir enthousiaste, l'homme poisson requin scie en aurait presque oublié la rage qu'il portait envers le monde des hommes, et, ainsi, il ne songeait qu'à elle. Cela fut la raison pour laquelle Arlong regardait la sirène, ou plutôt : la raison pour laquelle il ne l'a quittait plus du regard.
« Tu es tellement drôle, Arlong. » miaula la demoiselle, des étoiles dans les yeux. « Les garçons dans le district des hommes poissons ne sont pas comme toi. Ils sont ennuyants et si faibles... Il n'y a que toi qui sait te montrer aussi parfait. »
L'ego de Arlong s'en retrouva boosté, l'homme poisson bomba le torse, un sourire carnassier dessiné sur ses lèvres humides. La jolie sirène, elle, occupée à l'admirer, s'accouda contre le bord de la piscine. Elle reposa sa mâchoire contre la paume de sa main et fit parcourir ses pupilles qui brillaient d'admiration sur le splendide visage de Arlong. Elle se mordit la lèvre inférieure à la vue de son fier torse marqué au fer rouge, aucunement tâché par des cicatrices. Car Arlong n'était pas le type d'homme à tomber au combat, il n'était pas le type de garçon à essuyer des coups, il était celui qui les assénait.
« Le district des hommes poissons, ça me rappelle des souvenirs. »
« Oh, tu devrais y revenir un de ces jours ! » s'exclama la sirène. « Je suis sûre que tout le monde serait ravi de te voir ! »
« Après tout ce temps ? J'en doute. »
Arlong déposa une main sur le crâne de la demoiselle, sa paume était si grande et ses doigts si longs que le tout vint presque recouvrir sa tête. La jeune femme gloussa à ce geste, sa queue tressaillit et son cœur bondit dans sa poitrine. Elle serra ses poignets contre sa poitrine. Ses yeux donnèrent l'impression de s'être changés en cœur, Arlong pensa même qu'elle s'était métamorphosée en roc. Cependant, l'intensité avec laquelle elle le regardait lui certifiait le contraire.
« Tu seras accueilli en héros, même le roi Neptune devrait se déplacer ! » affirma-t-elle. « Tu as fait tellement pour nous protéger, jamais nous ne pourrons assez t'être reconnaissant. »
Arlong grinça des dents, il retira sa main d'elle et la plaça ensuite sur le bord de la piscine. Il savait que son admiration avait un côté pervers. L'obsession qu'elle lui vouait était malsaine, Arlong n'était pas quelqu'un de bien. Arlong prenait plaisir à torturer enfants et femmes. Il en avait même tués. Aveuglé par son désir de vengeance, il se savait monstre et non héros. Cependant, être vu de cette manière par la fille dont il était épris depuis l'enfance lui faisait de l'effet. Aussi innocente que splendide, elle lui vouait un amour aveugle auquel il répondait par les mêmes symptômes. Arlong voulait juste profiter de ça, encore un peu plus longtemps, il voulait qu'elle continue à le regarder avec ces gros yeux globuleux semblables à des cœurs qui ne battaient rien que pour lui.
C'était égoïste, mais Arlong l'était, égoïste. Qui avait-il de mal, alors, à profiter de la situation ? C'était tout ce dont il avait toujours rêvé. Il était servi.
« T'es bien gentille, mais ça fait longtemps que l'équipage de Fisher Tiger n'est plus vu en héro. Il faut te faire une raison. »
« Je suis sûre qu'un jour on vous rendra justice. »
Glissant la paume de sa main sur sa joue, la demoiselle pencha la tête sur le côté afin d'avoir accès au profil de Arlong. Elle lui sourit de manière stupide, toujours avec ce regard intense et accompagnée par les battements rythmés de son organe thoracique. Arlong en rougit. Il détourna le regard et se racla la gorge.
« Tu resteras toujours mon héros, moi. » avoua-t-elle. « Après tout c'est toi qui m'as sauvée la vie lorsque ces stupides humains ont cherché à m'enlever. Je m'en souviens comme si c'était hier. »
De cet acte charitable, en était née une obsession. Ce fut une journée banale où un Arlong très jeune, enfant, avait vu la jolie sirène, plus jeune de quelques années que lui, se faire emprisonnée par un groupe de pirates. Elle s'était débattue aussi fort qu'elle avait pu. Elle s'était souvenue de ce que ses parents lui avaient dit à propos des humains, de leur dangerosité et de leur avidité, alors, lorsqu'elle s'était retrouvée face à eux, elle avait immédiatement cherché à s'enfuir. Et si Arlong ne les avait pas sauvagement assassinés ce jour là, elle serait sûrement morte aux mains d'un dragon céleste ou utilisée comme décoration dans un aquarium.
Arlong était devenu bien plus que son sauveur, il était devenu son Dieu.
« C'est rien. J'allais pas les laisser t'emmener. »
Émue, la sirène déposa sa main gauche sur la sienne. De l'eau gouttait de ses doigts, la main de Arlong finit aussi trempée que la sienne. La demoiselle profita de son silence pour entremêler ses doigts aux siens. Arlong déglutit. Il jeta un coup d'œil à sa main et serra ses doigts entre les siens tout en relevant son regard dans le sien. Ce contact physique les reliant fit tambouriner leur deux cœurs à vive allure, Arlong déglutit de nouveau tandis que la jolie jeune sirène, elle, fut incapable de respirer autre chose que son odeur et de contempler autre chose que son faciès.
« Tu as un si grand cœur, pas étonnant que tu sois arrivé à faire tout ça. » songea-t-elle en faisant référence à Arlong Park. « Tu me garderas avec toi lorsque tu auras conquis tout East Blue, n'est-ce pas ? »
« Pourquoi pas. » répondit-il.
« Oh, oh ! Comme c'est excitant ! J'ai hâte de voir à quoi ressemble le reste du monde ! » elle s'enthousiasma. « Est-ce que tu crois qu'il y a des parcs d'attraction comme sur l'archipel Sabaody ? J'aimerais tous les essayer ! »
Arlong sentit ses doigts s'accrocher aux siens, la sirène était si heureuse à l'idée d'enfin pouvoir profiter de la terre ferme qu'elle fut incapable de contrôler sa force. C'était avec des étoiles dans les yeux qu'elle déblatérait son désir de profiter des constructions humaines, et Arlong l'écoutait attentivement. Il tendait l'oreille, hochant la tête lorsqu'elle citait le grand huit, les auto-tamponneuses, la nourriture à base de sucre; tels que la barbe à papa ou la pomme d'amour, et se rapprochait d'elle lorsqu'elle tirait avidement sur son avant-bras de sa main libre.
« C'est réel, Arlong ? Tu vas vraiment faire tout ça ? »
« C'est que justice. » répondit-il.
« C'est fantastique. Tu es fantastique ! »
Elle avait suffisamment approché l'homme poisson requin scie pour que, finalement, elle puisse embrasser son menton. La sirène l'avait attrapé, puis elle remontait sa paire de lèvres jusqu'à la commissure de sa bouche. Et enfin, sa joue. Elle baisa cette partie avec des yeux clos et sa peau poisseuse toute chaude. Arlong rougit face à ce geste. Il la regarda avec surprise, serra sa prise sur sa main un peu trop fort, sentit ses yeux s'écarquiller et son souffle se couper. C'était agréable. Son odeur, sa peau, ses doigts, ses lèvres, tout ce qui se passait autour d'eux, et ce silence aussi... Arlong et la sirène étaient, à s'y méprendre, seuls au monde. Il n'y avait qu'elle et l'amour de sa vie. Lui et la fille de ses rêves.
Et alors qu'elle se recula de manière brusque, le regard fuyant à cause de son geste spontané qu'elle regretta subitement, elle apportait ses mains hésitantes à sa poitrine, et détournait le regard. Ce fut avec une certaine honte qu'elle regarda partout sauf dans la direction de Arlong.
« Pardon. Je n'aurais pas dû. »
« Non. Non, c'est rien. »
Arlong avait avoué cela tout en apportant ses doigts à sa mâchoire, il les avaient ensuite remontés sur sa joue. Sa joue tachée par son rouge à lèvres, sa joue toute rosie par un joli sentiment d'embarras qui s'emparait de lui. Les pupilles de Arlong tremblèrent. L'homme poisson tremblait de tout son être à vrai dire, son cœur fou en était à coup sûr le responsable. Et tandis que la demoiselle fut incapable de regarder son premier amour dans les yeux, ce dernier, quant à lui, fut incapable de cesser de la contempler.
« Je suis heureux de savoir que tu as confiance en moi. »
Arlong déposa de nouveau sa main sur le sommet de son crâne, il força la sirène à planter ses yeux dans les siens et refusa de la laisser partir.
« Tu plaisantes ? » s'étonna celle-ci. « Bien sûr que j'ai confiance en toi, Arlong ! Tu es le futur héros de l'île des hommes poissons, un grand avenir t'es destiné. Et je n'ai pas besoin de voir dans le futur pour le savoir. »
Enroulant ses doigts autour de son poignet, la jeune femme apporta la main de Arlong entre ses seins.
« Mon cœur, c'est lui qui me le dit. Et j'ai autant confiance en lui que toi. »
Un sourire carnassier prit place sur les lèvres de Arlong.
« J'en doute pas. Après tout, y'a qu'un pirate de ma trempe qui régnera sur les quatre mers. C'est mon destin. »
À ces mots, la sirène frémit.
« Oui, c'est ça. »
Apportant le dos de ses doigts contre sa joue, la jolie demoiselle sourit plus fort. Elle sentit le pouce de Arlong caresser sa joue, elle zieuta sa main d'ici et resserra sa prise sur son poignet dans l'optique de le faire continuer. Elle ne voulait plus le lâcher. Et ce n'était pas comme si Arlong désirait le contraire. Il la toisait de toute sa hauteur, contemplant l'état docile et amoureux sans lequel elle se trouvait. Et il la trouva splendide, il la trouva si belle qu'il en terminait bouche bée.
« Il n'y a que toi qui puisse le faire, Arlong. Il n'y a que toi qui puisse tous nous sauver... »
Et ce fut sur ces mots rempli d'espoir, que la demoiselle ferma les yeux et poussa un long soupir. Arlong, quant à lui, resta muré dans un silence dont la jolie sirène ne compris point le sens. Mais il fut si réconfortant qu'elle y porta peu d'importance.
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