#comment sauver un couple
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comment faire pour sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture? Tous les couples vivent des moments difficiles, qui peuvent parfois aller jusqu’à la séparation. Quand l’amour cède la place à la rancœur, aux ressentiments ou à l’incompréhension, quelles sont les solutions pour raviver la flamme ou sauver son couple au bord de la rupture ? Faut-il se battre pour sauver son couple à tout prix ? Quelles…
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RETOUR AFFECTIF: SORT D'AMOUR PUISSANT AVEC PIQUET MAGIQUE +22994372948
RETOUR AFFECTIF: SORT D'AMOUR PUISSANT AVEC PIQUET MAGIQUE Le rituel de retour affectif: sort d'amour puissant avec piquet magique est un rituel de retour d'affection magique pour le retour de l'être aimer réaliser par le marabout africains spécialiste de retour affectif rapide voyant marabout Professeur ONI KOLEDEHOU pour sauver votre couple en difficultés. NOTA BENE : ● Tous nos rituels de magie blanche ne visent qu'à obtenir du bien pour soi ou pour les autres. Ils ne présentent absolument aucun danger, ni physique ni psychologique et ni spirituel. ● L'efficacité de nos rituels a été amplement reconnue. Mais nous ne saurions vous la garantir si vous ne vous décidez vraiment. En effet, le succès de chaque action en magie dépend étroitement de la conjoncture ; de plus, une adéquate disposition d'esprit du praticien au moment du rituel constitue toujours une condition importante de réussite.
Supports -7 piquet tallé de la branche de Figuier lyre
3 gouttes d'huile essentielle de rose ou de sarriette
Du sucre en poudre
1 coq et une poule
3 colas rouge
1 petit clou de métal argenté
1 bougie rouge ou blanc
1 morceau de tissu de coton rouge ou blanc
Du fil de soie rouge et noir
De la pâte de farine de maïs "bomiwo"
Rituel de retour affectif: sort d'amour puissant avec piquet magique Le rituel de retour affectif: sort d'amour puissant avec piquet magique
● Allumez la bougie. Concentrez-vous, pensez intensément à votre partenaire et prononcez 5 fois à voix haute : "Tu dois être totalement à moi jusqu'à la fin des temps appeler son nom sa date de naissance -S'il est née un lundi il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom -S'il est née un mardi il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom -S'il est née un mercredi il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom -S'il est née un jeudi il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom -S'il est née un vendredi il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom -S'il est née un samedi il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom -S'il est née un dimanche il sera totalement a vous jusqu'a la nuit des temps appelé son nom et prénom
● Puis, avec la pâte, confectionnez une forme humaine. Si votre partenaire est un homme, façonnez bien le pénis en érection ; et si votre partenaire est une femme, faites ressortir les gros seins et la nette fente vulvaire.
● Creusez un trou assez profond à l'endroit de la bouche, versez-y un peu de sucre et les 3 gouttes d'huile essentielle. Puis fermez l'orifice avec un copeau de pâte.
● Entourez les 7 piquet de l'abre de Figuier lyre, faites-les adhérer à la pâte. Puis enfoncez entièrement les piquet l'un après l'autre dans sa poitrine en prononçant 5 fois à voix haute : "De même que cette piquet vient fendre la pâte et la terre pour être solide, ainsi, O mon (son nom), ton coeur soit piquer d'amour pour moi jusqu'à la fin des temps !".
● Enveloppez un bout de papier blanche sur lequel vous aller écris au préalable les noms et prénoms ainsi les date de naissance que vous déposer dans le morceau de tissu et liez le tout de sept noeuds avec le fil de soie.
Commentaires voyant marabout Professeur ONI KOLEDEHOU Le rituel de retour affectif: sort d'amour puissant avec piquet magique
Attention, cette recette agit de façon très spécifique : elle ne produit des effets désirables que si votre partenaire n'entretient pas déjà une relation plus ou moins étroite avec une autre personne que vous. Les énergies invisibles de l'Univers n'étant pas favorables au vol en amour, vous devriez vous renseigner sérieusement sur la situation avant d'exécuter ce rituel. Sinon, risque de peine perdue !
On peut trouver des huiles essentielles en herboristerie, dans les boutiques de diététique ou dans certaines pharmacies.
Il est préférable que les branche l'abre de Figuier lyre sois un peu épais
Si vous n'avez pas de fil de soie, du fil de coton rouge peut faire l'affaire.
Il est fortement conseillé d'avoir un tissu de soie pour envelopper la feuille blanche.
Les couleurs rouge et rose symbolisent la réalité et l'intensité d'un amour.
Préférez du sucre en poudre
Dans votre incantation, vous pouvez appeler votre bien-aimé(e) par son prénom ou son nom de famille.
Dans toute la mesure du possible, ne sortez pas les piquet de l'endroit où vous l'avez tapez et positionné, sinon son pouvoir risque de s'anéantir.
Dans tous les cas, piquet magique placé doit rester dans un endroit absolument secret. Si quelqu'un d'autre que vous la découvre pendant la période de son "incubation", son pouvoir s'en trouvera complètement et définitivement détruit. Le mieux serait donc de le réaliser en un lieu sur bien garder.
A l'issue de la période de son incubation, vous pouvez disposer du tous comme il vous semble. Le rituel de retour affectif: sort d'amour puissant avec piquet magique voyant marabout Professeur ONI KOLEDEHOU pour sauver vos couple
CONTACT: Tel: +229 94372948 Numéro whatssapp: +229 94372948 email: [email protected] SITE WEB: https://voyance-rituel-magie-rouge.com/
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COMMENT UTILISER LA MAGIE POUR RECONQUÉRIR L’ÊTRE AIMER? MEDIUM D'AMOUR ROI ASSOGBA
COMMENT UTILISER LA MAGIE POUR RECONQUÉRIR L’ÊTRE AIMER? MEDIUM D’AMOUR ROI ASSOGBA Retour d’amour / Retour d’affectionVotre conjoint est parti avec un ou une autre ? Je réalise des travaux occultes dans les thèmes suivants : Amour / Retour de l’être aimé – Envoûtement d’Amour – Désenvoûtement – Protection – Chance – Travail.magie retour d’amourDepuis plus de 30 années je réalise des travaux…
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Combien d'hommes ai-je entendu dire qu'ils désirent une « femme intelligente » dans leur vie !
Je les encouragerai à y réfléchir...
Les femmes intelligentes prennent des décisions elles-mêmes, elles ont leurs propres désirs et elles mettent des limites.
Tu ne seras jamais le centre de sa vie parce que celle-ci tourne autour d'elle-même. Une femme intelligente ne se laissera pas manipuler ni faire chanter, elle assume des responsabilités.
Les femmes intelligentes remettent en question, analysent, se disputent, ne se contentent pas et avancent. Ces femmes ont eu une vie avant toi et elles savent qu'elles continueront à l'avoir une fois que tu seras parti. Elle prévient, elle ne demande pas de permission.
Ces femmes ne recherchent pas dans le couple un leader à suivre, un papa qui résout la vie, ni un fils à sauver. Elles ne veulent pas te suivre ni marquer le chemin de personne !
Elles veulent marcher à côté de toi...
Elles savent que la vie sans violence est un droit, pas un luxe ni un privilège.
Elles expriment la colère, la tristesse, la joie et la peur de la même façon, parce qu'elles savent que la peur ne les rend pas faibles de la même façon que la colère ne les rend pas masculines. Ces deux émotions et les autres, toutes ensemble, la rendent humaine c’est tout.
Une femme intelligente est libre car elle s'est battue pour sa liberté. Elle n’est pas une victime, elle a survécu.
N’essaie pas de l'enchaîner car elle saura comment s'échapper. La femme intelligente sait que sa valeur ne réside pas dans l'apparence de son corps.
Penses-y à deux fois avant de la juger pour son âge, sa taille, son volume ou son comportement sexuel, car c'est de la violence émotionnelle et elle le sait.
Donc avant de dire que tu souhaites une femme intelligente dans ta vie, demande-toi si tu es vraiment prêt à t'intégrer dans la sienne...!!!
Gabriel Garcia Marquez
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Sir Crocodile et cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée
On Ao3
18+ MDNI
Translated into French by the incredible @amandine-rustal
The original in English
Couple : Crocodile x Lectrice
Avertissements : Lemon sur la dernière partie.
Résumé : Crocodile redoute le seul jour de l'année où tu ne travailles pas : ton anniversaire. En tant qu'assistante personnelle incroyable, il dépend de toi pour presque tout. Comme chaque année, cette journée sans toi est un désastre complet. Mais peut-être qu'il peut sauver quelque chose des décombres. Quelque chose ou quelqu'un qu'il désire depuis très longtemps.
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Sir Crocodile tapota du plat de son crochet la date entourée sur son calendrier de bureau. Demain était son jour le moins préféré de toute l'année. Tu ne prenais qu'un seul jour de congé par an, ton anniversaire. Bien sûr, tu avais aussi théoriquement des week-ends de libres. Mais il y avait toujours un imprévu et tu passais au moins une demi-journée à gérer ses affaires ou ses problèmes personnels chaque week-end.
Il ne t'en voulait pas d'avoir ton anniversaire pour toi, tu étais incroyablement assidue et tu le méritais. Mais sans toi à ses côtés, tout semblait s'écrouler en quelques minutes. Tu étais de loin la meilleure assistante personnelle qu'il ait jamais eue. Peut-être même la meilleure employée qu'il ait jamais eue, surpassant même sa cohorte d'hommes de mains, dotée de fruit du démon, qui tuait pour lui sans discernement.
Bien sûr, il savait que s'il t'appelait sur ton baby den den mushi, tu répondrais et ferais tout ce qu'il voulait. Mais il se sentirait coupable de te déranger. Et la culpabilité était une émotion que Crocodile avait ressentie qu'une seule fois et qu'il ne voulait plus jamais ressentir. Non, il se débrouillerait sans toi demain et te laisserait profiter de ton jour de congé.
Bien qu'il n'ait pas été avenant avec ses hommes du Baroque Works, Crocodile était considéré comme un employeur de premier plan à Rainbase. Une fois qu'il avait trouvé quelqu'un qui était bon dans sa profession, il faisait de son mieux pour le garder à son service. Il traitait son personnel avec respect, le payait très bien et avait établi des directives à suivre pour les employés. Les hommes de mains pouvaient être remplacés, les pirates sanguinaires étaient monnaie courante. Des femmes de ménage, des chefs et des assistants fiables et de haute qualité ? Inestimable.
Et tu étais l'employée la plus fiable, la plus organisée, la plus équilibrée, la plus méticuleuse et la plus travailleuse qu'il n’avait jamais eu.
Au début, il te soupçonnait d'être une utilisatrice de fruit du démon. Cela aurait expliqué comment tu parvenais à tout faire correctement, à temps et si facilement.
Cependant, il s'est vite rendu compte que tu étais juste excellente.
Tu ne suivais pas ses ordres à la lettre, comme certains de ses complices. Tu n'attendais pas qu'il te dise ce dont il avait besoin ou les tâches qu'il voulait faire, tu pensais par toi-même et tu anticipais ses besoins.
Tu n'étais pas une personne qui disait oui à tout, tu exprimais ton opinion s'il te le demandait. Il appréciait ta perspicacité et ton esprit vif. En fait, pendant les années où tu avais travaillé pour Crocodile, tu ne t'étais disputée qu'une seule fois. Et ce n'était même pas une dispute, en fait. Crocodile avait commencé à se laisser pousser une moustache, il pensait que cela ajoutait un peu de royauté à son visage. Tu la détestais et tu lui as dit que cela ne convenait pas à ses traits. Tu avais raison, bien sûr. Il t'avait permis de la raser toi-même, pour ton plus grand plaisir.
Même si ce n'était pas ton jour de congé, Crocodile se souvenait toujours de ton anniversaire. Le tien était le seul, en dehors du sien, dont il avait pris la peine de se souvenir.
Il avait beaucoup d'amantes qui pensaient que les cadeaux attentionnés et romantiques qu'elles recevaient pour leurs anniversaires, leurs anniversaires de mariages ou « juste comme ça » venaient de lui. Mais la vérité était que toutes ses amantes étaient « en couple » avec toi. Tu te souvenais de tous les détails et tu arrangeais tout selon les goûts de ses amantes.
Crocodile n'essayait même pas de se souvenir de leurs noms, les appelant toutes « Poupée » pour s'épargner des ennuis. Il les considérait même comme des jouets interchangeables, facilement remplaçables, stupides, puis finalement sans valeur.
Cependant, tu pouvais lui dire leurs fleurs préférées, leurs pierres précieuses préférées, leurs styles vestimentaires, leurs pointures et toutes autres informations dont il avait besoin. Tu leurs avais envoyé des centaines de cadeaux, sans aucune faute de goût.
En conséquence, Crocodile avait la réputation d'être un vrai romantique, quelqu'un qui écoutait quand ses amantes leurs racontaient des détails personnels. Or, il s'en fichait complètement.
Il s'est arrêté à ton bureau alors que tu terminais ta journée, apportant avec lui un petit sac cadeau accroché à son crochet.
- Joyeux anniversaire, dit-il à voix basse en te tendant son cadeau.
- Quelle agréable surprise Monsieur, dis-tu en le retirant et en l’ouvrant immédiatement.
C’était une succulente agave White Rhino en pot qu’il avait achetée sans ton aide. Elle était chère et rare, mais tu valais chaque centime qu’il avait dépensé pour toi.
- Oh quelle délicate attention ! Merci beaucoup Monsieur !
Tu lui as souri.
Pour certains, cela aurait pu ressembler à un cadeau de piètre qualité, mais Crocodile te connaissait bien. Tu n'aimais pas les fleurs coupées, ni la plupart des bibelots.
Tu étais passionnée par les cactus et les plantes grasses, et tu passais une partie de ton temps, loin de lui, à t'occuper des plantes. Tu avais une collection impressionnante, que Crocodile complétait au fur et à mesure que l'occasion se présentait. Tu t'es levée de derrière ton bureau, l’a contourné et tu t'es mise sur la pointe des pieds. Crocodile s'est mis à ta hauteur et tu l'as embrassé sur la joue en signe de gratitude.
- Quelle merveille avant mon départ Monsieur. Je vous verrai après-demain. S’il y a une urgence, n’hésitez pas à m’appeler.
Crocodile te sourit et s’appuya contre ton bureau. Crocodile savait que tu n’avais aucune intention malveillante en l’embrassant, c’était de l’affection platonique. Mais il appréciait néanmoins cette sensation. Il attendait ce moment avec impatience chaque année.
- Profitez de votre jour de congé.
Il ne le pensait pas, mais il n'allait pas te le dire.
- Merci Monsieur.
Sur ce, tu as soigneusement porté ta plante et tu as quitté le bureau. Crocodile t'a regardé sortir puis a fait la grimace une fois que tu es partie. Ce seraient de longues 24 heures sans toi.
~~~
Le lendemain matin commença mal dès le début.
Crocodile se réveilla tard, son réveil n'avait pas sonné. Il le jeta avec du sable, le détruisant complètement. Il était déjà agacé. Normalement, tu le réveillais doucement avant que son réveil ne le fasse, mais tu n'étais pas là aujourd'hui. Il trouvait que se réveiller au son de ta voix douce et de ton visage calme était une façon apaisante de commencer sa journée.
Crocodile se leva de son lit et se dirigea vers son valet de chambre, pour le trouver vide. Il voulait aussi le détruire, mais il décida qu'il ne devait pas démolir tout ce qui l'irritait aujourd'hui. Il n'aurait plus rien et de plus, ce serait plus de travail pour toi de tout remplacer.
Tu accrochais généralement ses vêtements pour lui après les avoir repassés toi-même, et il voyait rarement la nécessité d'ajuster tes choix. Tu savais ce qu'il aimait et comment il aimait se présenter jusqu'aux boutons de manchette de ses chemise. Crocodile se dirigea vers son grand dressing et regarda les étagères bien organisées de vêtements. Cela faisait un an qu'il n'avait pas eu à le faire lui-même et cette corvée ne lui avait pas manqué.
Il choisit une tenue et se regarda dans le miroir. La tenue manquait d'une certaine élégance que tu pouvais assembler sans effort.
Il ajusta son crochet, il avait l'air terne. Tu le polissais toujours pour lui jusqu'à ce qu'il brille. Il fallait s'en contenter, il était déjà en retard pour une réunion qu'il avait convoquée. Il quitta sa chambre pour la salle à manger, à la recherche de son café corto. Il y avait une carafe de café filtre qui l'attendait sur la table, mais pas d'espresso. Il y avait aussi un impressionnant plateau de pâtisseries sucrées. Tu savais que Crocodile voulait d'abord un café corto, puis du café filtre, un cigare et pas de nourriture.
Était-ce si difficile de reproduire tout ce que tu faisais en une seule journée ? Aucun membre du personnel ne pouvait rivaliser face à cette petite femme ?
Crocodile sonna un domestique et demanda l'espresso. On lui apporta un americano. Il soupira et se frotta les tempes avec sa main.
La journée s'est ensuite dégradée.
Tu avais préparé ton absence la veille, en laissant des notes et en organisant ce que tu pouvais anticiper. Crocodile avait un autre membre du personnel sur place, qui répondait aux appels que tu aurais normalement pris. Mais même sans ton aide, ce fut un désastre complet. Crocodile était habitué à ce que tu prennes des notes pour lui pendant les réunions et il avait oublié d'apporter un stylo et du papier. À la fin de la réunion, il avait oublié la moitié des chiffres de la présentation trimestrielle. Tout semblait avoir besoin de ta touche, de ton aide, de ta prévoyance pour se dérouler sans problème.
Les choses allèrent de mal en pis.
Les réunions dévièrent du sujet, les rapports contenaient des données incorrectes, les ennemis n'étaient pas torturés et il avait oublié de nourrir les bananawanis à temps.
La nouvelle se répandit rapidement que Crocodile était de mauvaise humeur. Tout le monde connaissait la raison, mais personne n'osait en souffler mot. Malgré ses vœux pieux, la table de la salle de réunion avait maintenant plusieurs trous de la taille de son crochet et son bureau était recouvert de sable. Il se pencha en arrière sur sa chaise et tira une longue bouffée de son cigare. Tu aurais déjà tout arrangé pour apaiser sa colère.
Ce n'était même pas toutes les petites choses de la journée de travail que tu organisais. Tu étais experte dans l'art d'anticiper ses besoins avant même qu'il ne se rende compte qu'il voulait quelque chose, et d'organiser sa vie de manière à ce qu'elle convienne à quelqu'un de sa condition. Tu le comprenais mieux que quiconque. Oui, Miss All Sunday s'occupait de Rain Dinners, mais tu gérais Crocodile.
Il s'assit et se rappela l'une des fois où il t'avait appelé au milieu de la nuit. Il essayait de ne pas perturber ton sommeil, mais parfois il fallait le faire. Une de ces occasions s'était produite lorsqu'il avait invité Dracule Mihawk chez lui. Ils avaient discuté et bu, jusqu’à tard dans la nuit. Aux premières heures du matin, il t'avait appelé pour te demander de la nourriture pour accompagner leur vin.
- Bonjour Monsieur, comment puis-je vous aider ?
Ta voix était endormie, il vit son escargot répondre les yeux embrumés mais toujours avec un sourire.
- Je m'excuse pour cet appel tardif. J'aimerais avoir des rafraîchissements.
- Bien sûr Monsieur, l'escargot regarda quelque chose. Il est 2 h 50. J'avais prévu que vos rafraîchissements préférés soient livrés à 3 h. Préférez-vous attendre dix minutes ou préférez-vous que je vous apporte quelque chose immédiatement ?
Tu n'étais pas facétieuse, Crocodile savait que s'il te le demandait, tu aurais de la nourriture pour lui à 2 h 59, quoi qu'il arrive.
- 3 h, c'est bien, merci.
- J'espère que vous pourrez pardonner mon impertinence Monsieur. J'ai également inclus quelques rafraîchissements qui pourraient être plus au goût de votre invité.
Mihawk haussa un sourcil.
- Très attentionnée. Bonne nuit.
- Bonne nuit Monsieur.
Et bien sûr, à 3 heures du matin pile, un plateau de plats préférés de Crocodile, accompagnée d'une importante quantité d'alcool, lui a été livré par un serveur à l'air fatigué. Crocodile s'est servi des raviolis frais et a offert le plateau à Mihawk. Mihawk a refusé, car il dégustait les gambas à l'ail et du jambon.
- Tu as une assistante formidable, dit Mihawk une lueur d’intrigue sur le visage. Les plats sont excellents, transmets-lui mes remerciements.
Mihawk inclina la tête vers Crocodile. Crocodile sourit, tu l’avais rendu fier.
En interrompant son voyage dans le passé, il entendit le téléphone sonner pour ce qui lui sembla être la millionième fois ce jour-là. Miss Merry Christmas décrocha le combiné. Il pouvait entendre la moitié de la conversation.
- Allo ? Non, elle n'est pas là aujourd'hui, c'est son anniversaire. Je ne pense pas que vous vouliez… êtes-vous sûr… laissez-moi voir.
Miss Merry Christmas regarda Crocodile dans son bureau et cria à travers la porte ouverte :
- C'est Doflamingo, voulez-vous le prendre ?
Crocodile voulait la tuer sur le champ. Son sable tourbillonnait déjà derrière lui. Elle avait dit à Doflamingo que c'était ton anniversaire.
Après que Crocodile avait eu commencé à t'emmener aux réunions des grands corsaires, l'idiot tape-à-l'œil avait essayé de te faire déménager à Dressrosa et de travailler pour lui.
Crocodile ne s'inquiétait pas de te voir le quitter pour un autre employeur. Par contre, cette pensée pesait lourdement sur son esprit et lui causait une immense colère lorsqu'il t'imaginait passer du temps avec Doflamingo. Mais ce n’était pas de la jalousie, Crocodile ne serait jamais jaloux d'un employeur qui recruterait une personne aussi intelligente et lucide que toi.
De plus, « Mademoiselle Sur Le Point D'Être Empalée » lui avait demandé s'il voulait prendre l'appel. Maintenant, Doflamingo savait qu'il était là et il devait prendre l'appel sinon il risquait une crise de colère de la part de ce roi gâté. Il se dirigea vers le den den mushi, qui avait l'air plutôt satisfait.
- Quoi ?
- Alors c'est son anniversaire aujourd'hui, hum ? Je vais devoir lui envoyer quelque chose de sympa, peut-être de la lingerie... tu en veux aussi ? Fufufufufufufu.
Crocodile espérait que Vegapunk inventerait bientôt un moyen de tuer quelqu'un grâce à un den den mushi. Il s'occuperait de Doflamingo plus tard, il n'était pas d'humeur à accepter les quêtes amoureuses idiotes du roi de Dressrosa. Il raccrocha délicatement, tapotant doucement l'escargot dans le dos avec sa main. L'escargot avait survécu parce qu'il en avait tué un, une fois par colère, après un appel similaire et cela t'avait bouleversé. Crocodile n'aimait pas quand tu étais bouleversé. Tu avais même pleuré à cause de l'escargot et Crocodile s'était senti coupable. Il avait encore moins aimé ça.
Il avait besoin d'un verre.
~~~
Crocodile quitta son bureau pour se rendre au restaurant de Rain Dinners. Il avait un mal de tête épouvantable et il a failli crier ton nom pour te demander de l'aide. Chaque année, ton anniversaire lui faisait réaliser à quel point il dépendait de toi, alors chaque année, il augmentait ton salaire le lendemain. Il se fit une note mentale pour faire la même chose demain.
Crocodile était assis à sa place préférée, fumait son cigare et buvait son whisky pur. Les barmans étaient compétents et n'avaient pas besoin qu'on leur dise ce qu'il voulait boire. Il réfléchissait à certains des rapports que lui avaient communiqués ses sbires lorsqu'il t’aperçut, seule, en train de boire un verre de vin au bar. Crocodile fut surpris, boire seule, en ce grand jour ?
Crocodile savait que tu avais une relation amoureuse antérieure à ton embauche. Crocodile n'avait jamais aimé ton partenaire, mais tu semblais assez heureuse. Il ne comprenait pas pourquoi quelqu'un de ton calibre, de ton intelligence et de ta beauté était avec un tel perdant, mais pour ton bien, il ne l'avait pas tué.
Crocodile se ressaisit et se dirigea droit vers toi au bar. La foule s'écarta facilement pour lui, beaucoup essayant d'attirer son attention. Certaines de ses poupées essayèrent de lui toucher le bras ou de lui parler, mais il ne leur accorda même pas un regard. En venant à tes côtés, tu levas les yeux vers lui et lui souris faiblement.
- Bonsoir Monsieur.
Tu étais absolument ravissante, aussi belle que le jour où il t’avait rencontrée. Normalement, tu portais des vêtements simples, mais bien coupés au travail. Cela n’avait pas empêché son imagination de s’emballer lorsque tu portais tes jupes crayons ou tes hauts légèrement décolletés.
Il ne comptait plus le nombre de fois où il avait voulu détacher tes cheveux de leur coiffure et y passer ses doigts. Ou le nombre de fois où il avait voulu déchirer ta jupe et de te posséder lorsque tu te penchais sur son bureau.
Il avait envisagé à maintes reprises de te séduire, mais au final, il te respectait trop pour le faire. Il ne voulait pas interférer si tu étais déjà en couple, aussi pathétique que soit ton choix. De plus, il ne savait pas ce qu’il ferait sans toi si son intérêt n’était pas réciproque et que tu partais. Il ne voulait même pas envisager cette possibilité.
Aujourd'hui, tu étais habillée de façon plus chic que d'habitude, ta silhouette saisissante se parait d’une élégante robe noire qui dévoilait ton dos de manière provocante. Il réprima son envie de passer son crochet le long de ta colonne vertébrale pour voir si cela te faisait frissonner. En repensant à toi, il remarqua que tes yeux étaient légèrement rouges et gonflés. Il posa sa grande main sur ton épaule.
- Qu'est-il arrivé à cette… personne … avec qui vous passez habituellement du temps ?
Il ne pouvait pas appeler ce garçon un homme, encore moins un petit ami. Il avait de la chance que Crocodile se souvienne de son existence. Et qu'il continue à le lui permettre.
- Nous ne sommes plus ensemble Monsieur.
Tes yeux se remplirent de larmes. Crocodile était assis sur le siège à côté du tien.
- Vous avez rompu aujourd’hui ? Demanda doucement Crocodile ne voulant pas t’embarrasser ou te contrarier davantage.
- Oui Monsieur.
Tu as regardé ton verre de vin, faisant tournoyer doucement la boisson.
- Voulez-vous qu’il soit mort ?
Crocodile aurait juré que son crochet tremblait. Il ne pouvait imaginer de meilleure fin pour la soirée. Peut-être que cela sauverait cette terrible journée.
- Non merci Monsieur.
Tu n’avais pas le même penchant pour la violence et la soif de sang que lui. Crocodile ne s’en souciait pas. Il n’aimait pas tellement les plantes grasses. Vous pouviez tous les deux avoir des passe-temps différents et arriver à bien travailler ensemble.
- Vous n’avez pas besoin de perdre votre temps à me consoler Monsieur. J’aimerais que vous profitiez de votre soirée. Quelques-unes de vos amantes sont ici, si vous voulez que je vous rappelle leurs noms.
Crocodile s’en moqua.
- Comme vous le savez, je fais toujours exactement ce que je veux.
Tu hochas la tête. Comme s’il allait renoncer à passer du temps avec toi pour une femme sans nom.
- Où travaillait-il déjà ?
Crocodile allait le faire traquer, juste pour… s’amuser.
- C'est le directeur général de Fantasia, répondis-tu les sourcils froncés.
C'était un casino concurrent, il n’était même pas dans le top trois de Rainbase.
- Il a dit que je suis trop impliquée dans ma carrière, que je ne passe pas assez de temps loin du travail. Que ma vie tourne autour de la vôtre.
Tu levas les yeux, déjà repentante :
- Je m'excuse Monsieur. Vous n'avez pas demandé de détails.
Crocodile balaya tes inquiétudes d'un geste de la main. Il aimait que tu lui fasses part de tes sentiments et de tes opinions. Crocodile prit le plat de son crochet et le plaça sous ton menton, levant ton visage pour regarder le sien. Une larme coula sur ton visage.
- Certaines personnes ne comprennent pas le dévouement. La loyauté. Le devoir. La passion.
- Passion Monsieur ?
Ton visage rougit légèrement à cause du vin… ou peut-être du contact intime. Crocodile réalisa tardivement son faux pas. Il n'avait pas eu l'intention de révéler son désir, surtout quand tu étais déjà si bouleversée. Il retira à contrecœur son crochet de dessous ton joli visage.
- Voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ?
Crocodile changea de conversation au cas où tu te sentirais mal à l'aise.
- Oui, merci Monsieur, tu sembles surprise de son offre et de l’avoir acceptée.
Naturellement, il voulait s’assurer que son employée préférée était chez elle en toute sécurité. Il n’avait jamais fait ça pour quelqu’un d’autre, mais cela ne voulait rien dire. Cela n’avait certainement rien à voir avec ta tristesse et ta vulnérabilité. Il t’a tendu la main et tu as descendu avec précaution de ton tabouret de bar. Crocodile t’a guidé jusqu’à la porte avec son crochet sur ton dos nu. Il a regardé attentivement et s’est rendu compte qu’il avait raison, tu avais la chair de poule.
Vous avez tous les deux traversé la ville plongée dans l'obscurité en silence, profitant du beau temps. C'était une autre chose que Crocodile appréciait chez toi : tu ne ressentais pas le besoin de remplir le silence avec des bavardages insignifiants.
Plus la promenade durait, moins Crocodile était content. Il te payait très bien, pourquoi ne vivais-tu pas dans la partie luxueuse de la ville ?
Tu avais tourné au coin des rues de bas quartiers, jusqu'à ce que vous arriviez à un immeuble d'appartements à l'aspect miteux et vous vous êtes arrêtés sur le pas de la porte. Crocodile aurait préféré le brûler que d'y mettre les pieds.
- C'est ici que j'habite Monsieur, merci de m’avoir raccompagné.
Crocodile regarda une fois de plus le bâtiment en briques qui s'effondrait.
- Pourquoi ? S’exclama Crocodile.
Il avait presque coupé son cigare en deux.
- Je vous demande pardon Monsieur ? Confuse face à sa question.
- Pourquoi vivez-vous ici ? Je vous paie bien, je sais que vous pouvez vous permettre de meilleures conditions de vie.
Ton visage rougit.
- Ne vous inquiétez pas Monsieur. La situation s'est résolue d'elle-même.
Crocodile plissa les yeux. Cela avait donc un rapport avec ce garçon. Avais-tu remboursé une partie de ses dettes de jeu ? Il allait garder un œil sur lui. Crocodile le savait bien, il possédait un casino et avait vu ce genre d'idiot des milliers de fois. Cela ne marcherait pas et ta situation de vie actuelle non plus.
- En effet. Vous allez emménager dans mon manoir.
Crocodile était ravi de ce résultat. Il n'avait pas aimé que tu vives si loin de lui. Il avait toujours un service de sécurité qui te suivait quand tu n'étais pas avec lui, mais ça ne lui semblait jamais suffisant. Avec le niveau de connaissance intime que tu avais de lui et de ses affaires, il était toujours inquiet que tu sois kidnappée ou torturée.
Honnêtement, s'il l'admettait à lui-même, il s'inquiétait. Un autre sentiment qu'il n'aimait pas.
Non, cela fonctionnerait parfaitement. Il n'aurait pas à être distrait par des pensées concernant ton bien-être et tu serais plus proche de lui à tout moment.
- Monsieur, ce n'est pas… approprié, as-tu rétorqué.
Il n'avait pas pensé aux implications de te faire venir, mais dans ce cas précis il ne pensait pas avec son entrejambe.
- N'importe quoi. Vous aurez toute l'aile Est pour vous. Décorez-la comme vous le souhaitez, je vous fournirai une allocation logement. Je vous attendrai ici cinq minutes. Rassemblez ce dont vous aurez besoin pour la nuit. Daz viendra chercher le reste de vos affaires demain.
- Monsieur, est-ce vraiment…
Tu avais croisé les bras sur ta jolie poitrine.
- Le compte à rebours a commencé.
Sa volonté était gravée dans la pierre, même ton agacement ne pouvait l’en dissuader. Tu as soupiré, levé les yeux au ciel et tu es entrée rapidement dans le bâtiment. Peut-être qu’une bonne chose était ressortie de cette terrible, horrible, mauvaise, très mauvaise journée.
~~~
Crocodile était extrêmement heureux du résultat de sa décision. Il se sentait en paix en sachant qu'il pouvait te protéger et te garder à l'abri de ceux qui chercheraient à prendre le pouvoir sur lui. Ou pire encore, d'autres magnats essayant de recruter tes services pour les leurs. Il avait surpris Mihawk en train de te parler tranquillement après la dernière réunion des grands corsaires, et tu avais ri de quelque chose qu'il avait dit.
Il ne t'empêcherait pas d'avoir une conversation avec l'épéiste, mais il n'aimait pas ça. Il savait que même Sengoku avait essayé de te recruter comme Marine. Tu as refusé toutes les offres et tu es restée avec Crocodile. Il ne s'inquiétait pas de ta loyauté, mais Crocodile n'aimait pas l'attention que tu recevais des autres. Tu étais son assistante personnelle et Crocodile n’aimait pas partager.
Il a essayé de te donner ton espace et de te permettre d'avoir ta propre vie personnelle au sein du manoir. Il ne voulait pas te contrôler, il savait que tu étais indépendante. Mais comme vous partagiez désormais le même manoir (gigantesque), il te voyait parfois en dehors de tes heures de travail. Il te voyait flâner dans les jardins, à t'occuper de tes plantes, regarder les étoiles depuis le balcon.
Quand tu ne travaillais pas, tu t'habillais de manière plus décontractée, permettant à Crocodile de voir davantage ton corps. Le fait que tu ne l'appelais que « Monsieur », même en dehors du travail n'aidait pas. Il avait longtemps fantasmé sur ta voix sensuelle disant « Oui Monsieur » et « Non Monsieur » dans un cadre plus intime. Il avait essayé avec plusieurs de ses poupées, mais aucune d'entre elles n'y parvenait. Seul ton « Oui Monsieur » faisait battre son cœur.
~~~
Plus tu vivais dans son manoir, plus Crocodile devenait méfiant quant à la nature de tes sentiments à son égard. Crocodile n'était pas du genre à demander directement, mais tu semblais avoir des sentiments qui surgissaient de temps en temps.
Une fois, il t'avait demandé d'aider une poupée à partir le lendemain matin, après une nuit dans sa chambre et tu avais catégoriquement refusé.
C'était la première fois que tu refusais une tâche qu'il te demandait. Et tu n'avais pas reculé. Tu as dit que cela dépassait le cadre de tes fonctions, mais que tu enverrais une femme de ménage.
Si Crocodile avait dû mettre une émotion dans ton ton, cela aurait été de la jalousie.
D'autres fois, il t'avait surprise en train de le fixer, de rougir et de détourner le regard quand il l'avait surpris. Vous travailliez ensemble depuis des années, mais avec la proximité et ton nouveau statut de célibataire, peut-être que tes sentiments étaient en train de changer.
Crocodile voulait tester sa théorie. Un jour, alors que ta jupe crayon était particulièrement serrée, il t'a appelée dans son bureau �� domicile. Il était adossé à sa chaise, fumant un cigare comme d'habitude, des papiers sur son bureau.
- Oui Monsieur ?
Tu te tenais à l’entrée du bureau.
- Entres, je ne mords pas.
Tu t’es immédiatement rapprochée de son bureau, une légère confusion sur le visage. Normalement, il essayait de te parler de la manière la plus professionnelle possible, et tu avais immédiatement remarqué le changement dans son langage.
- Jettes un œil aux derniers chiffres de Rain Dinners. Je sais que les calculs sont corrects, mais il manque quelque chose.
Tu t’es approchée à côté de lui et tu t’es penchée pour lire, comme tu l'avais fait tant de fois auparavant. Mais cette fois, il a posé sa main sur le bas de ton dos. Tu n'as rien dit, mais il t’a entendu inspirer. Intéressant.
Tu as passé un moment à feuilleter les pages.
- Je vois le problème Monsieur, dis-tu toujours penchée.
Crocodile se leva et se pencha à côté de toi, t’emprisonnant d’un bras.
- Je m’excuse. Il vous manque une page du rapport.
Tu rougissais furieusement, mais tu continuas :
- Je vais vous en procurer une copie.
Tu étais énervée.
- Merci, c’était tout, souffla Crocodile dans le creux de ton oreille.
Tu frissonnas sous le contact rapproché. Crocodile se rassit dans son fauteuil, te libérant. Tu courus pratiquement hors de la pièce, le visage aussi rouge que si tu avais passé toute ta vie dans le désert d'Alabasta. Très intéressant.
~~~
Crocodile voulait fixer des limites claires et obtenir ton consentement avant de faire quoi que ce soit. Il te respectait en tant que personne et si tu devais refuser, il voudrait quand même te garder comme employée.
Il t’a appelé un soir.
Tu es arrivée rapidement, mais dans des vêtements plus décontractés car c'était en dehors de tes heures de travail. Tu portais une robe d'été mi-longue avec un motif à fleurs bleues. Elle accentuait tout ce que Crocodile aimait dans ta silhouette : la perfection.
- Comment puis-je vous aider Monsieur ?
Polie comme toujours.
- Viens ici.
Crocodile t’a fait signe d’un doigt tendu. Tu t’es placée devant lui comme attendu. Il a soigneusement enroulé son crochet autour de ta taille et t’a tirée plus près, juste devant sa silhouette assise.
- C’est mieux.
Il a retiré son crochet.
- Est-ce que ça te plaît de travailler pour moi ?
Tes sourcils se sont levés de surprise.
- Bien sûr Monsieur. C'est le meilleur travail que j'ai jamais eu.
- Te souviens-tu du jour où je t’ai embauché ?
Crocodile tirait sur son cigare, laissant la fumée s’échapper de sa bouche. En même temps, il polissait son hameçon avec un chiffon. Il savait qu’il avait une silhouette imposante.
- Oui Monsieur.
Tu étais fascinée par la vue du crochet doré, brillant dans la lumière tamisée.
- Tu te souviens de notre conversation à propos des bananawanis ?
Tu détournas les yeux de son crochet.
- Oui Monsieur. L’une des conditions d’embauche était d’être à l’aise avec les bananawanis. Vous m’avez demandé si j’avais des inquiétudes quant à la façon de m’occuper d’eux.
Tu devenais nerveuse, incertaine du but de la conversation.
- Tu te souviens de ce que tu m'as dit ? Sourit Crocodile d'un air troublant.
- Oui Monsieur. Ce sont des prédateurs de premier plan, il faut les traiter avec soin et respect. Si vous acceptez votre place sous eux, ils peuvent être affectueux et doux. En cela…
Tu l’as regardé dans les yeux :
- … je doutais qu’ils soient les créatures les plus dangereuses de la propriété.
- Tu crois toujours que c'est vrai ?
Crocodile se redressa de toute sa hauteur, te dominant. Tu levas les yeux vers lui. Tu semblais nerveuse mais pas effrayée.
- Oui Monsieur.
- Et que dirais-tu d'une créature plus dangereuse ?
Il parla à voix basse, regardant ton visage rougir. Il enroula lentement son crochet autour de ta nuque, te laissant le temps de t'éloigner. Tu ne bougeas pas, sauf pour frissonner.
- Ah, probablement la même chose Monsieur. Si j'acceptais ma position de subordonnée, je pense que la plupart des créatures fortes… euh… seraient réceptives.
Crocodile tira doucement sur son crochet, dévoilant ton cou à lui. Il se pencha à ta hauteur, caressant de ses lèvres la partie exposée de ton cou.
- Parles maintenant de tes objections.
Il disait la vérité, la moindre hésitation de ta part et il s’arrêterait immédiatement. Il s’intéressait à la soumission volontaire, rien d’autre.
- Monsieur, je… j'avoue que j'en ai envie, mais je crains de mélanger affaires et passion.
Crocodile sourit à ta déclaration, faisant écho à ses paroles prononcées le jour de ton anniversaire. Tu avais donc été affectée également.
- Si quelque chose de désagréable se produit entre nous, maintenant ou plus tard, je t’assure que nous reviendrons à notre arrangement précédent. Tu ne seras pas renvoyée et ne subiras aucune sanction. Trouves-tu cela acceptable ?
Il préférait perdre son autre main que toi. Tu as hoché la tête.
- Oui Monsieur.
Tu le regardas avec des étoiles dans les yeux.
- Si je fais quelque chose et que tu souhaites mettre un terme à l’expérience, dis « non ». Si tu dis « arrêtez », je ne le ferai pas. Si tu dis « je vous en supplie », cela ne m’émeut pas, pas plus que les larmes. Si tu dis « non », je cesserai immédiatement mes actions. Tu comprends ?
Tu déglutis.
- Oui Monsieur.
- Quel mot mettra fin à quelque chose que tu ne souhaites pas voir arriver ?
- Je vous dis non, Monsieur.
- Très bien. Enlève ta robe.
Tu avais l’air nerveuse, mais tes lèvres se relevèrent aux coins sous son léger compliment. Il savait que tu faisais de ton mieux quand on t’approuvait.
Il se rassit sur sa chaise et admira ton élégance. Tu abaissas lentement les bretelles de ta robe, puis tu en retiras tes bras. Tu ne portais pas de soutien-gorge, tu avais jugé que la robe suffisait. Il avait vu de nombreux strip-teases de ses poupées, tous parfaitement conçus et pratiqués pour enflammer le désir d’un homme. Le tien n’avait aucun artifice, aucune ruse, rien de calculé. Et pourtant, il trouvait ta performance bien plus sensuelle et séduisante.
Il sentit sa verge se raidir davantage à chaque seconde qui passait. Lorsque tes bras furent libres, tu laissas ta robe s’accumuler à tes pieds et tu en sortis. Tu restas immobile, attendant son jugement.
- Absolument magnifique.
Il se releva, tourna lentement autour de toi, laissant le métal de son crochet glisser sur ta peau nue. Il le fit glisser sur ton dos, sur l’arrière de tes bras, sur tes clavicules en faisant le tour de toi. Partout où il le faisait glisser, ta chair se colorait de chair de poule.
- Tu es encore plus belle que je ne l’aurais jamais imaginé.
Tu te figes à ses mots. Il continua à te taquiner avec son crochet.
- Est-ce que ça te rend nerveuse quand je contemple ta beauté ?
- Non Monsieur.
Il finit de te boire et se rassit, écartant les jambes.
- Viens t’asseoir, dit-il d’une voix douce comme de la soie.
Tu t’approchas de lui sans hésiter, tes seins rebondissant doucement tandis que tu marchais. Tu te perchas gracieusement sur le côté de sa cuisse puissante, attendant son prochain ordre. Tu suivais toujours si bien ses ordres, après tout. Il posa son cigare et posa sa main sur ton flanc, te rapprochant de lui.
- Exquise au-delà de toute comparaison.
Rapprochant son visage du tien, il enroula sa main dans tes cheveux, à l’arrière de ta tête. Il tira, inclinant ton visage vers le haut. Tu haletais doucement. Il chercha sur ton visage le moindre soupçon de doute persistant, mais il ne vit que du désir brut.
Il approcha ses lèvres des tiennes très lentement, rampant centimètre par centimètre, sans encore t’embrasser, mais oh si près. Tu essayas de l’atteindre avec ta bouche, mais sa main t’en empêcha.
- Pas besoin de te précipiter, je ne vais nulle part, dit-il en mordant doucement le lobe de ton oreille.
Crocodile n’avait pas en lui la force d’attendre plus longtemps pour t’embrasser. Il approcha ses lèvres des tiennes, ouvrant la bouche. Tu le laissas entrer tandis que sa langue explorait la tienne. Il t’embrassa à son rythme tranquille, te montrant qui avait le contrôle. Il était exigeant et dominant et tu aimais chaque instant.
- Dis-moi, si je te touchais entre tes jambes, est-ce que tu serais mouillée pour moi ? Demanda-t-il en embrassant ta mâchoire.
Tu devins rouge cramoisie, mais sa main dans tes cheveux t'empêcha d'éviter son regard.
- Oui Monsieur.
- Montre-moi.
- Oui Monsieur.
Tu écartas tes cuisses tremblantes pour lui, révélant ta culotte trempée. Il dénoua sa main de tes cheveux et fit glisser un doigt le long de ton bras, de ton ventre, jusqu'à tes cuisses. Il passa la main autour de toi et déchira les côtés de ta culotte, la détruisant et révélant ton entrejambe luisante. Tu haletas mais ne bougeas pas. Il fit glisser un doigt le long de ta fente, sans séparer tes lèvres inférieures, mais les doigts revenant toujours brillants.
- Est-ce que ça fait du bien quand je te touche comme ça ?
- Ou…oui Monsieur, as-tu répondu en retenant un gémissement.
- Tu en veux plus ?
- Oui Monsieur. S'il vous plaît.
Oh, tu n'avais jamais ajouté cette petite supplication auparavant. Crocodile se sentit devenir encore plus dur. Peut-être qu'un jour il te ferait supplier. Mais pas aujourd'hui.
- Monte sur ma cuisse, c'est comme ça que tu vas jouir ce soir.
Il voulait regarder ton visage et profiter du désordre que tu avais fait sur son pantalon. Il aurait tout le temps pour d’autres moments de plaisir. Il t'a déplacée pour que tu sois à califourchon sur sa cuisse.
- Oui Monsieur.
Il était content que tu n’aies pas hésité, que tu sois aussi intéressée à obéir, que lui l’était à commander. Tu as commencé à tournoyer sur son énorme cuisse, émettant de petits gémissements, tes mains sur ses épaules pour plus de stabilité.
Il en a profité pour prendre ta poitrine en coupe, pétrissant le monticule entre ses doigts. Parfois, il regrettait sa deuxième main. C’était l’un de ces moments où il aurait aimé pouvoir sentir tes deux seins en même temps.
Au lieu de cela, il a soulevé sa cuisse pour que tu sois plus près de lui et a penché sa tête pour lécher et taquiner tes mamelons. Tes gémissements n’ont fait qu’augmenter. Il a embrassé toute ta poitrine et ton cou, en s’assurant de laisser quelques marques. Ta tête était rejetée en arrière, tes yeux vitreux alors que tu cherchais ton plaisir. Tes gémissements augmentaient en rythme et en intensité, tu étais proche.
- Demande-moi la permission de jouir, dit Crocodile d’une voix lente.
- S’il vous plaît Monsieur, puis-je jouir ? Répondis-tu rapidement sans arrêter tes mouvements.
Il voulait te récompenser ce soir.
- Oui, tu peux.
Tu gémissais et tu te cabrais plus vite contre sa cuisse, balançant tes hanches en petits cercles. Il pouvait dire au moment où tu succombas, il sentit ton sexe spasmer à travers son pantalon. Il te regardait sortir de l'euphorie, le visage déformé par le plaisir. Il était proche lui aussi, mais ce soir n'était pas pour lui.
Après avoir fini, tu avais besoin d'un moment de repos. Tu appuyais ton front contre sa poitrine, respirant lourdement. Un instant plus tard, il te souleva et t'installa sur son autre cuisse.
- Bonne fille, comme tu as si bien obéi. Regarde le désordre que tu as fait sur moi, dit-il en désignant la tache humide sur son pantalon.
Tu rougis, mais tu lui souris toujours alors qu'il te ceinturait de ses bras. Il t'enveloppa dans une couverture à proximité de son canapé, te permettant de t'effondrer contre sa large poitrine. Il ralluma son cigare et s'assit paisiblement en fumant. Sa verge dure comme du roc attendrait plus tard.
- Merci Monsieur. Puis-je vous poser une question ?
- Bien sûr.
- Est-ce qu’on pourrait… refaire ça un jour ?
Tu avais l’air peu sûre de toi, mais Crocodile t’a souri gentiment.
- Ma chère, libère ton emploi du temps pour ce soir. Et pour le lendemain. Et pour l’avenir proche. Après tout, je ne suis rien d’autre qu’une créature affectueuse et douce.
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Transylvanie express (Épilogue)
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Audrey sortit rapidement de la gare. Elle attendit avec patience tout en observant les alentours. Elle cherchait du regard quelque-chose de précis. Et ce quelque-chose était un homme, celui qu’elle avait aperçu sur le précédent quai. Il marchait portant un sac à dos, ses mains tenaient les bretelles à hauteur de la poitrine. Il avait un peu moins de quarante ans, elle avait un but.
Elle savait comment faire pour ne pas être repérée, se fondant littéralement dans les murs. Elle n’était plus qu’une ombre se baladant à la vue du soleil et de tous. Aussi, personne ne réalisa que la silhouette noire n’avait pas de propriétaire. Elle suivit le quarantenaire content de rentrer chez lui. Il sifflotait gentiment.
Le reste de la journée se passa sans qu’il n’aperçoive la jeune femme. Elle resta cachée dans une armoire puis dans un coin de la chambre. Elle attendit patiemment, écoutant les discussions plus ou moins personnelles. Elle s’imprégna de sa vie, de sa famille. Il était marié et avait deux beaux et jeunes enfants. Lorsque son épouse partit coucher les petits, elle approcha avec subtilité, sans faire de bruit. Confortablement installé dans son canapé, il était passionné par le film, une vieille série noire déjà vu maintes fois.
Lentement, elle se positionna dans son dos. Puis elle approcha la tête afin d’humer le parfum de sa prochaine victime. Soudain, le froid l’envahit. Dès lors, il tourna la tête pour vérifier que la porte-fenêtre du balcon était bien fermée. Il entendit sa femme raconter une histoire aux enfants avant de se reconcentrer sur la télévision. Elle s’imprégna de son odeur. Alors, elle comprit pourquoi il était si attirant. Puis, elle retourna dans la chambre du couple.
La patience demeurait être son fort. Elle attendit qu’il se couche. Il embrassa sa femme puis il s’endormit. Elle maudit l’épouse pendant sa lecture, laissant logiquement la lumière allumée. Elle attendit une petite demi-heure, le temps d’un chapitre ou deux. Enfin, la nuit entra dans la pièce. Aussitôt, elle sortit bien qu’elle savait que la rivale ne dormait pas encore. Mais ce n’était pas grave. Elle approcha doucement de l’homme, absorba de nouveau son odeur. Et assurée qu’il était dans un profond sommeil, elle s’allongea lentement contre lui, pour entrer dans son rêve…plus précisément, pour diriger son rêve.
Il savait que le château était ensorcelé ; il était là pour vaincre une malédiction. Il marcha dans les couloirs à la recherche d’un démon. Juste avant, il avait ordonné à ses hommes d’occuper les lieux. Certains surveillaient les jardins pendant que d’autres inspectaient les salles. Il se retrouva seul après avoir grimpé des escaliers. Une porte l’intrigua car il ne l’avait pas vu durant son dernier passage. Du coup, il l’ouvrit rapidement s’engouffrant brutalement dans une chambre.
Il n’y avait rien de dangereux. C’était une banale pièce comme on en trouvait dans les musées. Quelques tableaux accrochés aux murs décoraient l’endroit. Une jeune femme dormait sur un lit, tournant le dos au visiteur. Il approcha, admira ses cheveux bouclés. La couleur châtain, l’odeur de lilas et de caramel n’étaient pas commune. Au contraire, elles ravivèrent de vieux souvenirs. Alors, il se permit d’admirer le visage de la dormeuse. Il resta stupéfait en reconnaissant une amie d’enfance.
- Marina ? C’est bien toi ? s’exclama-t-il.
Elle ouvrit lentement les paupières, puis elle releva la tête. Un sourire éclatant se figea sur son visage blanc. Il avait toujours aimé ses yeux bleus. Il avait craqué pour elle à cause d’eux quand ils étaient au collège. Elle tendit les bras pour réclamer un câlin.
- C’est toi, Maël ? Tu es venu me sauver ? demanda-telle avant d’ajouter : Serre-moi dans tes bras, j’ai si froid !
Dès lors, il s’exécuta constatant que sa peau était glacée. Ils restèrent enlacés pendant un long moment. Elle sanglotait, murmurait des mots doux. Elle se confiait en parlant de ses inquiétudes. Il répondait qu’elle n’avait rien à craindre. Alors, elle l’embrassa, d’abord sur l’épaule, puis sur maladroitement sur le menton. Son geste rappela à Maël un souvenir égaré dans sa mémoire tout en réveillant le désir.
Désormais, il était à sa merci. Elle avait déjà oublié Yannick Ridel. Il n’avait été qu’un moment, une victime qui s’en est sorti. Parce qu’elle a voulu l’épargner. Il n’avait pas été le premier pour qui, elle ressentit de l’amour. Et il sera vite oublié dès qu’elle aura goûté à cet homme.
Lentement, elle déshabilla Maël, tâtant ses muscles, écoutant les battements de son cœur, et frôlant du bout des doigts les principales veines de son cou, la partie la plus sensible et la plus charnelle. Elle embrassa son amant qui s’évanouit de plaisir. Elle le caressait, le suçait, elle jouait avec lui de haut en bas.
On ne voyait rien dans l’obscurité. La femme de Maël s’endormit sans remarquer la présence fantomatique d’un succube. Le monstre grimpa sur son mari. Elle le caressa du bout de ses griffes, elle avança la bouche faisant sortir une langue de serpent. Tout –à-coup, elle s’étendit entièrement sur son buste pressant ainsi ses poumons. Il n’arrivait plus à respirer. Alors, elle ouvrit la bouche pour aspirer lentement la petite flamme à l’origine de son âme.
Dans son rêve, l’amour se déchainait dans une passion torride. Maël réalisait qu’il était encore amoureux de Marina, et enfin, il pouvait l’aimer. Tantôt, elle le dominait, tantôt c’était lui qui gérait les ébats. La passion dictait le songe jusqu’à ce qu’il découvre qu’il n’avait plus de jambe. Son corps avait fusionné avec celui de Marina ! Immédiatement, il hurla cherchant à se débarrasser d’elle. Mais elle riait, continuant à le baiser. La peau de la jeune femme s’écailla, une odeur putride remplaça le parfum de lilas et caramel. Il hurla, hélas, rien de sortit de sa bouche. Plus il paniquait, plus il criait et plus il suffoquait. Il chercha un peu d’air, écartant les lèvres. Il exposa son cou, elle en profita de suite.
Ses dents déformées et pointues arrachèrent la gorge du malheureux. Le sang gicla sur le lit, sur le visage du monstre et sur les murs. Elle se délectait de cette vie prise. Il n’était pas question qu’il résiste ni qu’elle le prenne en affection. Il était question de faire son job ; il était condamné, et elle était venue pour la sentence.
Maël ne bougea pas, il ne sentit pas le poids du succube sur son ventre. Elle inspira la dernière étincelle de vie. Il mourut enfermé dans son cauchemar. Elle resta encore quelques instants allongée sur le corps encore chaud de sa proie. Audrey reprit lentement forme humaine tout en restant invisible aux yeux de la femme qui dormait toujours. Elle l’observa un peu.
- Tu vivras encore longtemps, susurra-t-elle.
En réponse, la veuve soupira tout en restant endormie. Alors, le succube se releva et glissa jusqu’à la porte. Elle traversa l’appartement et sortit, pleine d’énergie, heureuse d’avoir le goût de la vie sur le palais. Elle marcha dans la rue. Curieusement, son ombre n’apparut pas sous la lumière d’un lampadaire. Elle regarda le ciel. Elle sourit, elle avait oublié Yannick qui lui avait donné tant de mal et tant de plaisir. Elle s’éloigna du lieu de son crime. Étrangement, elle n’aimait pas voir les cadavres froids au matin. Plus tard, Maël sera déclaré décédé à cause d’une embolie pulmonaire.
Pendant ce temps, notre héros éteignait la lumière de son nouveau logement. C’était une chambre dans un dortoir. Il venait d’écrire le premier chapitre d’une nouvelle sur son ordinateur : Ses mémoires de voyage à bord de l’express du Transylvanie.
Fin
Alex@r60 – février 2023
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Fics in Other Languages - French Masterlist
Could you whisper in my ear the things you wanna feel? (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton NR, 3k
Summary: Retour en Australie pour une petite tournée de promo. Après 6 ans de relation cachée, Michael ne sait pas comment gérer le changement et l'évolution.
Luke ne voit rien venir et Michael sent tout se défaire.
Quelle force peut encore les sauver?!
Holding on for dear life. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton N/R, 51k
Summary: [Michael est en pleine dépression et lutte vaillamment. Luke s'attache à lui avant de découvrir qu'aimer Michael n'est pas aussi que ce qu'il y paraît.]
I don't know what it is but your heart feels like home. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 4k
Summary: [Luke rentre seul en Australie et Michael le rejoint. Ils ont des choses à se dire, un amour à confesser.]
I hear your voice in my sleep at night. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Luke/OFC, Calum/Ashton G, 33k
Summary: Michael doit bien faire face aux choses maintenant : il est amoureux de Luke, son meilleur ami et colocataire.
Sauf que Luke est déjà en couple.
Est-ce que leur amitié pourrait suffire à Michael? Est-ce que Luke va se rendre compte de quelque chose avant que le coeur de Michael ne se brise? Tout reste encore à faire.
I'll build you a house from a broken home. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 1k
Summary: « Oui, je sais. ». Il n'y avait rien d'autre à ajouter parce que c'était une vérité connue de tous : quand il s'agissait de Luke, Michael connaissait absolument tout. Le bien mais surtout le mal. Il était le seul à connaître les idées les plus noires et les plus sombres que Luke avait pu nourrir. Ils avaient été amis si longtemps qu'ils n'avaient aucun secret l'un pour l'autre.
[Michael se sent mélancolique et Luke a besoin de comprendre pourquoi.]
The Boy Who Fight (ao3) - Chagri OT4 N/R, 58k
Summary: " S'éprend-on de ceux pour qui l'on a du goût ? Impensable. On tombe amoureux de ceux que l'on ne supporte pas, de ceux qui représentent un danger insoutenable." -Amélie Nothomb
Septembre 2013
Luke Hemmings remontait les voies 9 et 10 de la gare de King's Cross, les yeux rivés sur son smartphone qu'il tenait dans une main, poussant son chariot à bagages de l'autre. Il ne remarqua pas les quelques personnes qui se retournèrent sur son passage. Le jeune homme de 15 ans avait l'habitude qu'on regarde avec des yeux ronds, sa splendide chouette effraie.
Bien qu'apprendre qu'il était le premier sorcier d'une famille de moldues avait été un choc, Luke s'été assez vite adapté à son nouveau monde, grâce à une bande d'amis. Mais il ne reniait pas ses origines moldues, comme en témoignait l'iPhone qui avait toute son attention.
Alors qu'il arrivait près de l'entrée de la voie 9 ¾, il éteignit l'appareil, pour éviter qu'il ne se détraque à cause de la magie. Il s'appuya nonchalamment contre un pilier massif en brique et il fut instantanément propulsé sur le quai 9 ¾. Luke sourit à pleines dents : il allait enfin rejoindre son second foyer.
Those wounds you made are gone. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton G, 8k
Summary: Luke demande à Michael de partir et ne plus jamais revenir. Il lui dit qu'il ne veut plus jamais le revoir. Michael obéit.
Sauf que Luke a menti.
Il a simplement besoin de repos, besoin de souffler. Besoin de ressentir.
True Colours (ao3) - orphan_account Michael/Luke G, 5k
Summary: Trad Muke. Tout le monde sait bien qu'au moment où on tombe amoureux, nos cheveux font ce truc.
C'est à dire qu'ils commencent à changer de couleur, chaque couleur représentant des émotions différentes qu'on ressent. Tout le monde connait quelqu'un qui a déjà eu ses ''Couleurs'', et tout le monde sait comment ça marche.
Cependant, quand Michael se lève un matin avec des cheveux roses vif, il n'a vraiment aucune idée de ce qu'il se passe.
Vraiment, Michael n'avait pas compris qu'il était tombé amoureux.
We don't know why we feel how we feel inside. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton T, 40k
Summary: Luke est étudiant à l'Académie Hamilton depuis trois ans. Il est en dernière année et pense avoir sa vie tracée devant lui.
Jusqu'à ce qu'il croise la route d'un artiste solitaire qui va changer sa vision du monde, de l'art et de la vie.
Wherever it goes I'm all in. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton G, 12k
Summary: Chaque fois que Michael repartait, une part de lui se brisait. C'était inéluctable. Il voulait plus, il voulait tout mais Michael ne voulait rien donner, ni rien recevoir. C'était à prendre ou à laisser.
Et Luke commençait à se demander s'il n'aurait pas mieux valu tout laisser tomber. Sauf qu'il aimait Michael. Peut-être que c'était pour cette raison qu'il aurait dû abandonner. Pour cette raison qu'il aurait dû s'éloigner : parce qu'il aimait Michael et que cet amour n'était plus un bienfait. Il était lourd, douloureux et malsain.
Will you stand by the phone while I take the long way home? (ao3) - Perfectdream Michael/Luke, Calum/Ashton N/R, 23k
Summary: [Luke est surveillant au lycée et il rencontre Michael au salon de tatouage. Sauf que Michael est élève de ce lycée et qu'il est encore mineur...]
You chose the Rose Garden over Madison Square. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke G, 32k
Summary: Luke le savait, c'était le prix à payer quand on était un acteur gay à Hollywood. Si on voulait s'en sortir et voir son nom sur les grands écrans, il fallait oublier tout le reste. Son passé, ses envies, sa personnalité, sa moralité et surtout, sa sexualité.
You were mine for a night. (ao3) - Perfectdream Michael/Luke N/R, 6k
Summary: Michael et Luke le savent : ils ne peuvent pas être ensemble.
Sauf que ce soir, cette nuit, tout est possible et le monde est leur !
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Après avoir entendu [Apollos], Aquilas et Priscilla le prirent à part et lui expliquèrent plus exactement la voie de Dieu. Actes 18. 26
Saluez Prisca et Aquilas, mes compagnons d’œuvre dans le Christ Jésus (qui, pour sauver ma vie, ont risqué leur propre tête ; et je ne suis pas seul à leur témoigner ma gratitude, mais aussi toutes les assemblées des nations), ainsi que l’assemblée qui se réunit dans leur maison. Romains 16. 3-5
✅ Aquilas et Priscilla, des aides pour Paul
Nous rencontrons pour la première fois ce couple modèle en Actes 18 : Paul, à son arrivée à Corinthe, les trouve là et demeure avec eux (v. 1-3). Comme lui, ils étaient Juifs et fabriquaient des tentes. L’empereur Claude les avaient expulsés de Rome, en même temps que tous les Juifs. Des années plus tard, nous les retrouvons à Rome, dans l’une des assemblées de cette immense métropole, et cette assemblée se réunissait dans leur maison.
Avant de retourner à Rome, ils avaient accompagné Paul à Éphèse, où ils étaient restés pendant que Paul se rendait à Jérusalem. Là, ils avaient entendu prêcher Apollos, un “homme éloquent et puissant dans les Écritures” (v. 24). Cet homme ne connaissait que l’enseignement de Jean le Baptiseur. Plutôt que de discuter avec lui en public ou de faire une scène, ils l’avaient pris chez eux et lui avaient tranquillement expliqué la voie de Dieu de manière plus précise. Fort de cette compréhension, Apollos avait été ensuite une aide précieuse dans les assemblées de la Grèce – l’Achaïe au temps du Nouveau Testament.
Ces époux sont un bel exemple de ce qu’un couple pieux peut faire pour le Seigneur dans le calme de leur demeure. Ensemble, ils peuvent exercer l’hospitalité, ouvrir leur foyer aux enfants de Dieu comme lieu de réunions, étudier la Bible avec des personnes intéressées, inviter des enfants, et plus encore. Bien sûr, cela implique du travail, mais le Seigneur ajoutera sa bénédiction et récompensera à la fin tout ce qui est fait pour lui.
Il ne nous est pas dit quand et comment Aquilas et Priscilla avaient risqué leur vie pour Paul, mais l’apôtre le rappelle avec reconnaissance en écrivant aux Romains. Et, dans sa dernière épître, la salutation qu’il demande à Timothée de leur transmettre indique que ce couple pieux poursuivait fidèlement son service (2 Timothée 4. 19).
⦁ < > E.P. Vedder
⦁ Mardi 27 août 2024
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26.08.24
Im tired. Im exausted. It feels like we're dealing the same shit over and over again. Lightly with different intensity.
J'ai vraiment envie de te croire. J'ai honnêtement envie de te croire quand tu me dit que tu vas changer. Que tu vas prendre le temps de m'écouter et que hopefully ça va changer quelque chose. Dit comme ça, ça l'air con, in a way. J'ai juste l'air de pas y croire pantoute, même pas un peu. je ne sais même pas si j'y crois encore. J'ai été déçu trop souvent, ça fait moins mal de pas avoir d'attentes.
C'est triste parce que j'ai l'impression qu'en faisant ça, je suis en train de tout abandonner. Que toute va s'effondrer et que je ne nous donne même pas une chance. Thing is, ce n'est pas la première que je donne et probablement pas la deuxième non plus.
On m'a déjà dit que j'étais résiliente et que c'était toute à mon honneur. J'essaye de me dire que j'ai le droit de me respecter aussi. C'est beau que j'essaye de sauver mon couple, mais si c'est pour me mettre en péril moi. Je ne sais pas ce que ça vaux. C'est ma santé mental qui écope. Déjà de base, j'étais fragile et pas guérit complètement.
Au début de la relation, j'avais peur de toi. Pi quand je faisais une crise d'anxiété et que je finissais par t'en parler, ça te vexais parce que tu dis que t'es pas violent physiquement. Et même si je t'expliquais que j'ai des antécédents de gens violents avec moi, autant physique que psychologique, je pense pas que tu as déjà compris comment c'est dure pour moi de me sentir à l'aise et en sécurité et même à la limite juste neutre quand quelque chose arrive. Je suis en trauma response automaticly.
Je me sens mal de faire whatever parce que tout peut te déclencher so easly. En 2 ans, j'ai vu une fois un ami et ça fait un chiore incalculable, qui est pas réglé soit dit en passant. parce que j'ai pas l'impression que j'ai le droit de voir mes ami(e.s) sans que ça cause le même genre de problèmes. J'ai éviter de faire des choses pour pas a avoir a vivre les confrontations après. J'ai passé une journée avec ma mère, et je tai précisé que je ne savais pas à quel heure que j'allais rentrer et qu'en plus je ne soupais pas à la maison. Quand toi tu avais un ami avec toi. T'as trouvé le moyen de venir me le mettre dans face. Tu m'as fait de l'attitude à la seconde ou j'ai été rentré. Pour qu'après tu me dises que oui tu boudais parce que t'aurais voulu passé la soirée avec moi pi je suis rentrée trop tard à ton goût. Ça ne me donne pas le goût de passé du temps avec toi. Ça me fait peur honnêtement! Je me sens juste contrôlée et manipulée.
Je pense même que c'est une des choses qui me fait le plus peur. Dans ma première relation de couple. J'ai été pris 3 ans dans une situations abusive ou j'étais pas capable de sortir, brainwasher, coupé de ma famille et des gens qui étaient proche de mo et pire encore. J'avais pas le droit de sortir ni de voir des gens à la maison. Au début, je sortais de la maison familiale donc, c'était les mêmes règles. ce que à l'époque je ne voyais pas que ça ne faisait pas de sens (et de l'abus) que je me fasse dicté quoi faire et quoi pensé vu que jai un libre arbitre. Jamais du positif, toujours des conflits, de la confrontation, un manque de confiance base sur rien parce que j'ai rien, de la manipulation, du chantage. Name it! À la fin, je pensais pour de vrai que j'étais le problème et je croyais toute la marde qu'on me disait parce que j'avais plus de self estime. Cette esti de feeling là! je me sentais tellement impuissante comme un enfant qui est prit chez ses parents contrôlants pi qui peut rien faire parce qui est pas majeur.
Après ces 3 ans là, je me suis jurée que je ne retomberais plus dans une relation ou je me sentais contrôlée/manipulée. Le pire c'est que quand tu situation comme ça arrive, je suis super naïve et je ne le vois pas. On dirait que vu que je ne comprends pas comment on peut être comme ça avec quelqu'un qu'on aime, dans ma tête ça fait juste aucun sens. Y me semble quand t'aime quelqu'un tu veux justement qui soit le mieux possible, qui accomplisse les choses qui désir le plus. Pas du contrôle pour l'empêcher de vivre sa vie comme qui a le goût de la vivre. Me semble que la base de n'importe quel relation, quel qu'elle soit, c'est le respect de l'un l'autre.
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Babydoll,
Happy new year,
Did you hear me ? Happy New Year baby. Another year with you, can you believe ? De mon côté, tout a un goût de nostalgie ce soir. Ce soir, tu entends bien; je voulais t’écrire ce passage il y a quelques jours, pour pouvoir correctement m’étaler, mais finalement? C’est bien mieux de te cracher mes mots, comment ils sortent, quelques minutes avant que l’aiguille hits midnight.
Our year together,
There’s so many things to say, so many things to feel. Thing is: this year with you was the most filled with joy, care and love. Pourtant ce n’était pas forcément la meilleure, mais i would easily trade every good one that happened before you for this one. Car tu le sais — I hope — but as long as I’m with you, everything is and will be okay.
Je suis obligé de me retourner sur nous, sur cette année, sur notre évolution. Comment avons-nous commencer l’année 2023 ? Well… not our best era. But still, là encore, la nostalgie fait son apparition. Parce que j’étais heureux de commencer une nouvelle année avec toi, juste un tantinet (beaucoup) sad, de ne pas savoir si tu allais me vouloir through all of it. Puis fast forward les pires semaines de notre existence as lovers. There is so many things I regret about this time-period, je regrette aussi la colère que j’ai eu envers moi-même, de mes mots maladroits et unfair, de ce personnage monstrueux en lequel je me suis transformé lorsque I thought you broke my heart. I regret not being able to be selfless, not being able to really take a step behind, not take a break and understand you as I should have, sur le moment. But its behind us, and I’m so grateful that you gave me this chance, another one. And I hope that now, you see my love, you see everything I was willing to give you to prove myself to you.
Finally… and end of February; on a passé ces quelques jours en replay, au pinceau fin, so many times. On sait tous : nos retrouvailles made so much sense, en l’espace de quelques jours (devrais-je dire heures) on a pu faire le deuil de ce qui tentait de nous séparer for so long. À ce moment-ci, même si je jouais la cold face pour tenter de sauver le peu de dignité qu’il me restait, je savais pourtant que mon avenir était scellé, et qu’il serait avec toi; sinon, la vie qui m’attendait n’allait pas être très… Fun (pour ne pas dire absolument a WRECK). Je me souviens de cette période comme un rêve; n’y’avait plus rien pour nous séparer, on était redevenu comme avant (si ce n’est, encore « mieux ») et toutes les choses qui semblaient me déranger before, devenaient obsolètes, elles n’avaient plus grand sens. Le peu d’obstacles qu’ils nous restaient n’avaient plus d’importance non-plus, car je savais que ces barrières allaient tomber, qu’il nous fallait du temps ; temps que nous avons prit par les cornes — quite literally — car toutes les choses se sont finalement dénouées en un rien de temps. À partir de l’officialisation, everything was just like I imagined it, mais encore mieux. Aller dormir et se réveiller semblait plus léger, je n’avais plus de poids sur le cœur et que de l’amour à donner. Ça sonne niais mais ain’t all my words rn… Don’t get me wrong, j’ai toujours la peur de te perdre, de me réveiller un beau matin sans toi (…) mais le fait de t’avoir, pour moi, changeait un peu la donne en ce sens. Car je t’avais, je t’ai, right now and right there. We chose each other and I knew you weren’t gonna walk away, I knew I wasn’t gonna let you anymore.
Le début de nous-deux made sense. Même si on a eu quelques bickering, quelques petits pépins — et plus de peur que de mal — n’empêche qu’ils nous ont fait grandir. Faut dire les termes… même nos chamailleries étaient des plus sincères et toujours dans la même optique : car we loved each other so much, we wanted to do well, we were scared. En tout cas, toute cette année, mouvementée soit-elle, je la chérie. Première année as a couple, out of many more. Isn’t it crazy, Doll, knowing we are together 24/7? And the fact that we never get enough of each other? Je veux que ça perdure, j’en ai besoin. It can never stop.
Nos un an se rapproche dangereusement et j’ai tellement hâte. Que ce soit symbolique ou non, its still something big to me. Je suis tellement hyper pour ça; puis, ton anniversaire qui approche à grands pas as well ? God, so many things to plan. But I really can’t wait. Je vais radoter, comme pour toute cette entry, mais c’est vrai, je n’aurais jamais pensé vivre ça un jour, je n’aurais jamais pensé être aimé comme ça ? Aimer comme ça. Je ne savais même pas que c’était possible, réalisable, sur de la durée. Tous les jours i want you more, every day i miss you more. I’m so obsessed with you Nereid, and it won’t stop. I can’t help it. Quoi qu’il arrive, je t’ai eu, là, en 2022, 2023 et maintenant 2024. Quoi qu’il arrive, je suis à toi, jusqu’à mon dernier souffle et au delà. I’ve been born to be yours, my life was lacking meaning before you.
For the one to come,
For this year to come, I wish for us to be happy. I wish for us to continue with our little routine, to watch more movies, to date more; to keep being a l’écoute l’un de l’autre, de communiquer, de pleurer, de rire et de faire les gros niais. Je nous souhaite que le meilleur and I can’t wait to spend another one with you. J’ai tellement hâte de voir ce que l’on devient, ce que l’on va devenir. Je suis trop nostalgique Rei, you have no idea. Je suis le plus heureux, pouvoir créer des souvenirs avec toi. En fait, si je reformule, je suis le plus heureux de savoir que désormais, chacun de mes souvenirs te compteront dedans. Tout est avec toi, depuis plus d’un an, et pour une prochaine année désormais.
Puis ce que je souhaite par dessus tout, c’est de continuer à être bon pour toi, de continuer à te rendre heureuse, de continuer à te gâter de petites surprises, de te faire te sentir bien; j’espère te donner tout ce dont tu as besoin. D’être toujours à t’écouter, à te parler, i dont know, i just wish to be the best boyfriend possible to you, and to never lack in anything you might need. Voilà ma resolution 2024 : continuer à être good to you, et être ton plus grand fan et truster. I believe in you, and all my wishes for 2024 go to you.
Thank you, thank you, thank you. Mille fois merci pour tout ce que tu m’apportes au quotidien, merci pour être à mes côtés, merci pour ta patience, pour ton écoute, pour tout ce soutien. Merci pour ta confiance, merci pour me donner ma chance au quotidien. Merci pour m’aimer comme tu le fais, car je me sens aimé, the luckiest boy on earth. That’s how you make me feel. J’aimerai pouvoir te dire merci à chaque attention, à chaque fois que tu me tends la main; mais des fois — et j’espère être better — je passe certainement à côté de détails, de choses que tu fais pour moi. Je ne saurai jamais comment te remercier correctement, les mots ne semblent jamais être assez forts pour t’exprimer toute ma gratitude, toute ma reconnaissance pour toi. Alors juste… I hope you feel it au quotidien, i hope you just know how thankful i am for you, everyday.
I love you,
More than anything and always,
Ton Kier
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Retour d’affection en 24h
Empêcher un risque de divorce, sauver rapidement son coulpe grâce à la magie, médium plus puissant du BENIN pour sauver un couple, comment faire pour arrêter un processus de divorce en cours Le retour émotionnel rapide et efficace est un rituel qui peut être effectué gratuitement sans l’intervention du maître. Le retour émotionnel rapide de la magie blanche s’oppose au sortilège de la magie…
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◀ 26 NOVEMBRE ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
C’est par la foi que Rahab la prostituée ne périt pas avec les rebelles, parce qu’elle avait reçu les espions avec bienveillance. Hébreux 11.31
Analyser la motivation Rahab, la prostituée de Jéricho, fait partie de la liste des héros de la foi d’Hébreux 11.
Elle a caché les espions hébreux et a menti pour leur sauver la vie. Le mensonge étant un péché, comment cette femme a-t-elle pu sauver sa vie, celle de sa famille, faire partie de la lignée du Seigneur Jésus et être « honorée » pour sa foi ? Ananias et Saphira ont aussi menti et ils en sont morts sur-le-champ (cf. Actes 5.1-11). Comment le même péché peut-il avoir deux « issues » aussi différentes ? La seule réponse logique qui me vient à l’esprit, c’est que Dieu n’évalue pas une situation en fonction de l’acte mais de la motivation. Même si l’acte de Rahab et du couple Ananias-Saphira était le même, la motivation était bien différente. Rahab faisait les choses avec foi se séparant de son peuple pour rejoindre le peuple de Dieu. Ananias et Saphira voulaient tromper le Seigneur en se faisant passer pour des chrétiens modèles ! Ne dites pas que j’ai dit que le Seigneur est « tolérant » avec le mensonge. Le péché reste le péché et il a trouvé son châtiment à la croix, un châtiment atroce. Mais, dans sa toute connaissance, le Seigneur sait exactement le pourquoi nous faisons les choses. Il connaît notre degré de connaissance, les sentiments profonds de notre cœur, la mesure de notre faiblesse... Ce qui fait que Dieu est toujours absolument juste dans ses jugements. Mes bien-aimés, nous devrions prendre exemple sur notre Seigneur et ne pas nous positionner face à une situation en nous basant simplement sur les actes d’une personne. Ce que dit ou fait une personne ne révèle pas toujours ce qui se passe dans le cœur de cette personne mais une chose est sûre, ce qu’elle fait ou dit n’est pas ce qu’elle est ! Rahab mentait mais était une femme de foi, Ananias et sa femme donnaient de l’argent mais étaient fourbes et malhonnêtes. Paul lui-même a dit : « Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas » (Romains 7.19). Paul était un enfant de Dieu au service de son Seigneur, ce qu’il faisait ou ce qu’il ne faisait pas ne déterminait pas qui il était. Avant de jeter la pierre, de trancher radicalement, de condamner sans miséricorde, prenons le temps d’envisager la grâce : une porte qui reste toujours ouverte ! - Lire plus ici :
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comment envouter une femme avec sa photo+229 55620277
comment envouter une fille pour coucher avec elle, comment envouter une fille
Le retour affectif efficace par magie blanche est une harmonisation des relations, similaire au processus qu'on appelle «faire tomber amoureux». Ce retour affectif rapide faire partie des plus grand rituel principale demander par l'homme pour sauver son couple .
Bienvenue dans le monde ésotérique du retour affectif rapide. Medium sérieux compétent DOSSOU il est un grand spécialiste du retour d’affection rapide avec une longue expérience certifié sur le plan mondial surtout en Europe et en Afrique .
le retour affectif rapide et immédiat a renforcer les sentiments existants entre lui et moi et surtout renouer le dialogue qui était rompu. Nous nous revoyons maintenant dans de meilleurs augures et essayons de rebâtir une relation stable qui dure dans le temps.
medium sérieux compétent DOSSOU pratique des rituels de retour affectif rapide efficace ou le rituel de retour d’affection rapide, rituel d’amour rapide, ou encore de protection divine . il maîtrise également les forces de l’univers et sais interpréter les messages du passé et du futur . Pour chacun de vos problèmes il saura trouver une solution adapter pour un satisfaction rapide : problèmes de couples, histoires sentimentales, recherche de l’amour ou encore le retour de l’être aimé rapide , ce sont ses spécialités . il est également très doué dans le secteur professionnel, la réussite aux examens, le commerce ainsi que les soucis de la vie quotidienne.
En consultant l’un de ces fétiches vous vous inscrivez dans une longue tradition qui remonte à l’aube de l’humanité dans votre vie amoureuse… Et votre satisfaction totale est garantir car si les fétiches trouvent que votre relations sera ou est danger, ils proposent des solutions adéquates et efficace a utiliser pour sauver infiniment votre relations ou trouver votre âme soeur.
medium sérieux compétent DOSSOU utilise une magie très puissante qui permet de résoudre tous vos problèmes sentimentaux dans Honnêteté, efficacité et rapidité, surtout en discrétion totale , retour de l’être aimé en moins d’une semaine. Il a un taux de réussite proche de 99.9% pour ne pas dire 100%. Quelque soit le problème que vous avez dans votre couple vous aurez la satisfaction avec le Maître Suprême des Marabouts compétent DOSSOU qui est un spécialiste du retour affection rapide reconnu un peu partout Il s’agit d’une Magie très ancienne dont Il est seul qui détiens ces secrets…
VEILLEZ IMMEDIATEMENT PRENDRE RDV OU CONTACT AVEC LE MARABOUT DES TRAVAUX OCCULTES, RETOUR AFFECTIF EFFICACE, VOYANCE SERIEUSE, RITUEL D'ARGENT, RICHESSE IMMEDIATE, ENVOUTEMENT AMOUREUX, RITUEL DE RETOUR D'AFFECTION RAPIDE
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Titrologie du mercredi 13 septembre 2023. Bonjour à tous et bienvenue sur Kafunel, le site d'information qui vous propose chaque jour une revue de presse des principaux titres de la presse écrite sénégalaise. Aujourd'hui, mercredi 13 septembre 2023, voici ce qui fait la une des journaux quotidiens, hebdomadaires et magazines. Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 QUOTIDIENS_1_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog dédié à la titrologie, l'art d'analyser les unes des journaux. Aujourd'hui, je vous propose un tour d'horizon des principaux titres de la presse écrite, qu'il s'agisse des quotidiens, des hebdomadaires ou des magazines. Voici ce qui a retenu mon attention : Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 QUOTIDIENS QUOTIDIENS_2_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - Le Monde : "La crise climatique s'aggrave, l'ONU lance un ultimatum aux pays pollueurs". Le journal de référence fait sa une sur le rapport alarmant du GIEC, le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, qui appelle à des actions urgentes et radicales pour limiter le réchauffement global à 1,5°C. Le Monde souligne les enjeux politiques et économiques de cette bataille pour le climat, qui sera au cœur de la prochaine conférence COP28 à Paris. - Libération : "Macron face à la fronde des régions". Le quotidien de gauche revient sur la grogne des présidents de région, qui dénoncent la recentralisation du pouvoir et la réduction de leurs marges de manœuvre financières. Libération pointe les risques d'une fracture territoriale et d'une montée du populisme, à quelques mois de l'élection présidentielle. QUOTIDIENS_3_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - Le Figaro : "Sécurité : le gouvernement renforce son arsenal". Le journal conservateur se fait l'écho des mesures annoncées par le ministre de l'Intérieur, qui promet plus de policiers, plus de caméras, plus de sanctions et plus de coopération européenne pour lutter contre la délinquance et le terrorisme. Le Figaro salue une "offensive sécuritaire" qui répond aux attentes des Français. HEBDOMADAIRES HEBDOMADAIRES_1_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - L'Express : "Les nouveaux visages de la droite". L'hebdomadaire d'actualité consacre son dossier à la recomposition du paysage politique à droite, où plusieurs personnalités émergent pour tenter de s'imposer comme alternative à Emmanuel Macron. L'Express dresse le portrait de ces "nouveaux challengers", qui vont de Xavier Bertrand à Valérie Pécresse, en passant par Laurent Wauquiez ou Éric Zemmour. - Le Point : "Comment sauver notre patrimoine". L'hebdomadaire d'information se penche sur la situation critique du patrimoine français, menacé par le vieillissement, les intempéries, les incendies ou les pillages. Le Point explore les pistes pour préserver et valoriser ce trésor culturel, qui passe par une mobilisation citoyenne, un mécénat innovant et une politique volontariste. →A lire aussi Cube Maggi, « le poison populaire qui tue rapidement en Afrique » : Histoire de sa création et Conséquences pour la santé - Marianne : "La France malade de son école". L'hebdomadaire d'opinion s'attaque au système éducatif français, qu'il juge en déclin et en décalage avec les besoins du XXIe siècle. Marianne dénonce les maux qui rongent l'école républicaine, comme le nivellement par le bas, l'abandon des savoirs fondamentaux, la perte d'autorité ou la fracture sociale. Il propose des pistes pour réformer en profondeur l'école et la rendre plus performante et plus juste. MAGAZINES MAGAZINES_1_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - Paris Match : "Brigitte Macron, confidences d'une première dame". Le magazine people publie une longue interview exclusive de Brigitte Macron, qui se confie sur son rôle, son couple, sa famille et ses projets. Paris Match brosse un portrait flatteur de la première dame, qu'il présente comme une femme engagée, moderne et proche des
Français. - Elle : "Spécial mode : les tendances de l'automne-hiver 2023-2024". Le magazine féminin consacre son numéro spécial à la mode, avec un décryptage des tendances qui vont marquer la saison froide. Elle présente les pièces incontournables, les couleurs phares, les accessoires indispensables et les conseils pour se créer un look stylé et personnalisé. →A lire aussi Justice pénale internationale et violences électorales : Les enjeux de la CPI au Kenya - Science & Vie : "Les secrets de la matière noire". Le magazine scientifique se plonge dans l'un des plus grands mystères de l'Univers, la matière noire, qui constitue 85% de la masse totale mais qui reste invisible et indétectable. Science & Vie fait le point sur les recherches en cours pour tenter de percer les secrets de cette énigme cosmique, qui pourrait révolutionner notre compréhension de la physique.
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Titrologie du mercredi 13 septembre 2023. Bonjour à tous et bienvenue sur Kafunel, le site d'information qui vous propose chaque jour une revue de presse des principaux titres de la presse écrite sénégalaise. Aujourd'hui, mercredi 13 septembre 2023, voici ce qui fait la une des journaux quotidiens, hebdomadaires et magazines. Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 QUOTIDIENS_1_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog dédié à la titrologie, l'art d'analyser les unes des journaux. Aujourd'hui, je vous propose un tour d'horizon des principaux titres de la presse écrite, qu'il s'agisse des quotidiens, des hebdomadaires ou des magazines. Voici ce qui a retenu mon attention : Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 QUOTIDIENS QUOTIDIENS_2_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - Le Monde : "La crise climatique s'aggrave, l'ONU lance un ultimatum aux pays pollueurs". Le journal de référence fait sa une sur le rapport alarmant du GIEC, le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, qui appelle à des actions urgentes et radicales pour limiter le réchauffement global à 1,5°C. Le Monde souligne les enjeux politiques et économiques de cette bataille pour le climat, qui sera au cœur de la prochaine conférence COP28 à Paris. - Libération : "Macron face à la fronde des régions". Le quotidien de gauche revient sur la grogne des présidents de région, qui dénoncent la recentralisation du pouvoir et la réduction de leurs marges de manœuvre financières. Libération pointe les risques d'une fracture territoriale et d'une montée du populisme, à quelques mois de l'élection présidentielle. QUOTIDIENS_3_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - Le Figaro : "Sécurité : le gouvernement renforce son arsenal". Le journal conservateur se fait l'écho des mesures annoncées par le ministre de l'Intérieur, qui promet plus de policiers, plus de caméras, plus de sanctions et plus de coopération européenne pour lutter contre la délinquance et le terrorisme. Le Figaro salue une "offensive sécuritaire" qui répond aux attentes des Français. HEBDOMADAIRES HEBDOMADAIRES_1_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - L'Express : "Les nouveaux visages de la droite". L'hebdomadaire d'actualité consacre son dossier à la recomposition du paysage politique à droite, où plusieurs personnalités émergent pour tenter de s'imposer comme alternative à Emmanuel Macron. L'Express dresse le portrait de ces "nouveaux challengers", qui vont de Xavier Bertrand à Valérie Pécresse, en passant par Laurent Wauquiez ou Éric Zemmour. - Le Point : "Comment sauver notre patrimoine". L'hebdomadaire d'information se penche sur la situation critique du patrimoine français, menacé par le vieillissement, les intempéries, les incendies ou les pillages. Le Point explore les pistes pour préserver et valoriser ce trésor culturel, qui passe par une mobilisation citoyenne, un mécénat innovant et une politique volontariste. →A lire aussi Cube Maggi, « le poison populaire qui tue rapidement en Afrique » : Histoire de sa création et Conséquences pour la santé - Marianne : "La France malade de son école". L'hebdomadaire d'opinion s'attaque au système éducatif français, qu'il juge en déclin et en décalage avec les besoins du XXIe siècle. Marianne dénonce les maux qui rongent l'école républicaine, comme le nivellement par le bas, l'abandon des savoirs fondamentaux, la perte d'autorité ou la fracture sociale. Il propose des pistes pour réformer en profondeur l'école et la rendre plus performante et plus juste. MAGAZINES MAGAZINES_1_Titrologie du mercredi 13 septembre 2023 - Paris Match : "Brigitte Macron, confidences d'une première dame". Le magazine people publie une longue interview exclusive de Brigitte Macron, qui se confie sur son rôle, son couple, sa famille et ses projets. Paris Match brosse un portrait flatteur de la première dame, qu'il présente comme une femme engagée, moderne et proche des
Français. - Elle : "Spécial mode : les tendances de l'automne-hiver 2023-2024". Le magazine féminin consacre son numéro spécial à la mode, avec un décryptage des tendances qui vont marquer la saison froide. Elle présente les pièces incontournables, les couleurs phares, les accessoires indispensables et les conseils pour se créer un look stylé et personnalisé. →A lire aussi Justice pénale internationale et violences électorales : Les enjeux de la CPI au Kenya - Science & Vie : "Les secrets de la matière noire". Le magazine scientifique se plonge dans l'un des plus grands mystères de l'Univers, la matière noire, qui constitue 85% de la masse totale mais qui reste invisible et indétectable. Science & Vie fait le point sur les recherches en cours pour tenter de percer les secrets de cette énigme cosmique, qui pourrait révolutionner notre compréhension de la physique.
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Krycek partie 2
- Je n'ai pas grand-chose à vous dire de plus. Tout ce que je sais, c'est que ce fumeur s’intéresse de près aux activités de cette entreprise secrète appelée le Centre. Il voulait que je lui ramène la fille afin de l'interroger sur ce qu'elle sait. Ça vous va ? Je peux partir ? Krycek déclara d’un air las, comme s'il était épuisé par les événements.
Skinner le fixa intensément, sa voix tranchante comme une lame.
- Pas encore. A-t-il parlé de l'agent Mulder ? Y a-t-il un rapport avec les affaires non classées ?
Krycek, l'air renfrogné, répondit d'un ton maussade :
- Je n'en sais rien ! Je ne travaille plus pour lui. Je lui devais une dernière faveur, j'ai rempli la part de mon contrat. C'est fini. J'arrête tout.
Un silence pesant s'installa dans la pièce, chargé de tensions non dites. Parker, le regard perçant, s'approcha de lui.
- Hé ! Surveille tes manières, monsieur le gros dur. J'ai une question pour toi. Pourquoi m'as-tu prise pour cible pour ce poste chez les fédéraux ? Demanda-t-elle, la voix tremblante d’une colère contenue.
Tous les regards se tournèrent vers Parker, leur curiosité piquée au vif. Krycek, amusé par l’attention, laissa échapper un rire nerveux, puis répondit avec un cynisme palpable :
- C'est la grande question, ça. D'après toi, ma belle ? Qui d'autre que la sublime et brillante Andréa Parker pouvait faire ce boulot ? Regarde ce que tu as fait : grâce à toi, l'agent Mulder a perdu toute crédibilité. Sans parler de l'agent Scully, qui a dû risquer sa carrière pour revenir sauver son honneur, et pour finir, ton père que tu as beaucoup déçu…
La colère de Parker explosa alors qu’elle se jeta sur Krycek, sa rage inextinguible prenant le pas sur sa raison. Mulder et Skinner intervinrent immédiatement pour la retenir, leurs mains fermes sur ses bras alors qu’elle se débattait avec une frénésie désespérée.
- Calmez-vous, je vous en prie, Parker ! S’écria Skinner, sa voix résonnant comme un cri d’appel à la raison.
- Laissez-moi ! Laissez-moi lui faire la peau ! Je vais le briser comme il a brisé ma vie ! Cria-t-elle en larmes, sa voix mêlant douleur et fureur.
Mulder, la regardant dans les yeux, tenta de la calmer avec une intensité presque désespérée :
- Parker, écoutez-moi ! Vous n'êtes pas la seule à souffrir ! Ne l'écoutez pas ! Il finira par payer, je vous le promets. S'il vous plaît, reprenez-vous ! Vous valez mieux que lui, vous êtes plus forte que ça !
Skinner relâcha finalement son emprise, et Mulder entraîna Parker un peu plus loin, la serrant dans ses bras dans un geste de protection et de consolation. Il sentit la tension de son corps se relâcher lentement, son souffle s’accélérant dans un mélange de rage et de tristesse.
- Qu'est-ce que vous me voulez, vous ? S’écria Parker, le visage inondé de larmes, son cœur battant la chamade.
À bout de forces, elle se laissa aller contre lui, et Mulder la serra plus fort, comme pour la protéger des démons qui la hantaient. Ses propres émotions bouillonnaient, mais il s’efforça de rester fort pour elle. Parker semblait apaisée, bien que la douleur persistât.
Soudain, Scully entra en catastrophe, son visage marqué par l'inquiétude.
- Tout va bien ? Demanda-t-elle timidement, son regard se posant sur le couple dans la cuisine.
Parker, reprenant lentement ses esprits, se redressa, un peu gênée d'avoir montré sa vulnérabilité.
- C'est bon, vous allez me lâcher maintenant ? Murmura-t-elle, l’angoisse teintant sa voix.
Elle essuya rapidement ses larmes, puis s'éloigna dans un coin de l'appartement, une vague de honte l’envahissant. Mulder et Scully l’observèrent partir, leurs cœurs lourds de compassion et de frustration. Ils savaient que Krycek avait causé plus de dommages qu’il ne pouvait l’imaginer, et ils se jurèrent intérieurement de le faire payer un jour.
- Comment va-t-elle ? Demanda Skinner en se joignant à eux d'un pas rapide, son ton empli d’inquiétude.
- Ça ne va pas fort. Elle a besoin de souffler un peu. Répondit Mulder, la voix tremblante de colère réprimée. - Qu'est-ce que vous comptez faire de ce… de lui ?
Skinner, son expression grave, s’efforça de garder son calme.
- Je sais ce que vous ressentez, mais il va falloir prendre sur vous pour gérer ce problème intelligemment et surtout discrètement. Nous ne devons pas attirer trop l'attention.
- Que proposez-vous, monsieur ? Demanda Scully, son regard déterminé.
- Je me charge de ce type. Vous deux, restez ici avec Parker. Elle ne doit pas être seule, elle pourrait mal tourner. Je veux éviter un incident de plus. C'est bien compris ? Je compte sur vous. Déclara Skinner, son autorité laissant peu de place à la contestation.
Mulder hocha la tête, mais un sentiment d'impuissance l'accablait. Skinner repartit avec Krycek, espérant parvenir à un compromis et, surtout, obtenir des réponses claires.
Encore remonté, Mulder tournait en rond depuis cinq bonnes minutes, sa frustration palpable. Scully, observant son agitation, tenta de le rassurer :
- Écoute, Mulder, ce qui vient de se passer est inacceptable. Mais nous ne devons pas nous laisser submerger par nos émotions. Nous avons Skinner à nos côtés et je pense qu'il maîtrise la situation mieux que nous. Krycek finira par parler. Il ne détient peut-être pas toutes les réponses.
Elle baissa la voix, consciente du poids de ses paroles :
-Ce que je veux dire, c'est que le père de Parker en sait certainement plus que quiconque. Surtout s'il est effectivement en contact avec l'homme à la cigarette.
Mulder soupira, le regard perdu dans le vide.
- Oui, c'est évident. Mais comment pourrons-nous le savoir ? Encore faut-il trouver cet homme. Dit-il, l'air désemparé, s'assoyant lourdement sur le canapé du salon.
À ce moment, Parker réapparut, son visage marqué par la fatigue et l’inquiétude.
- Salut. Je peux vous parler un instant, agent Scully ? J'ai un service à vous demander. Demanda-t-elle, sa voix tremblante mais résolue.
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