#faut-il se battre pour sauver son couple
Explore tagged Tumblr posts
Text
RETOUR D’AFFECTION DE L’ÊTRE AIMÉ RAPIDE EN 24H
RETOUR D’AFFECTION DE L’ÊTRE AIMÉ RAPIDE EN 24H RETOUR D’AFFECTION VOTRE RELATION BAT DE L’AILE , VOUS NE VOUS SUPPORTEZ PLUS ,VOUS VOULEZ QUE TOUT REDEVIENNE COMME AVANT VOUS POUVEZ DEMANDER À VOTRE MAITRE MARABOUT GOTTA DE VOUS AIDER AVEC SES PUISSANTS RITUELS À STOPPER UN DIVORCE IMM��DIATEMENT SOIT D’UN PROCHE OU DE VOUS-MÊME. AVEC LE TEMPS, DES ONDES NÉGATIVES VIENNENT GÂCHER TOUTE…
#10 erreurs éviter pour sauver son couple#35 règles pour sauver son couple#comment briser un couple à distance#Comment faire renaître l’amour dans un couple ?#Comment faire repartir un couple ?#comment faire revenir son ex rapidement.#Comment récupérer son ex en couple#Comment récupérer son ex.#comment redonner un second souffle à son couple#Comment repartir à zéro dans le couple ?#comment repartir à zéro dans son couple#comment réussir le retour d&039;affection#Comment sauver son couple après séparation ?#Comment sauver son couple au bord de la rupture ?#comment sauver son couple du divorce#Comment sauver son couple et éviter la rupture amoureuse#Comment sauver son couple quand tout semble perdu ?#comment sauver son couple quand tout va mal#Comment savoir si on peut sauver son couple ?#Est-il possible de sauver son couple ?#Expert marabout réputé#faire revenir l&039;etre aimé avec photo.#faire revenir l&039;etre aimé par la pensée#faut-il se battre pour sauver son couple#GRAND MAITRE MEDIUM VOYANT#Grand voyant medium africain#J’ai Perdu L’amour De Ma Vie Par Ma Faute#j’ai sauvé mon couple#JE VEUX UN BON RETOUR AFFECTIF#Je voulais sauver mon couple
0 notes
Text
Comment améliorer son couple?, Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE
Comment améliorer son couple?, Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE
Booster sa vie amoureuse grâce au voyant africain HOUNKPE Vouloir trouver l’amour ou améliorer sa vie sentimentale est l’une des raisons premières qui motivent de nombreuses personnes à opter pour une consultation en voyance de l’amour. Celle-ci leur permet en effet de résoudre un certain nombre de problèmes et de trouver plus facilement l’âme sœur. Elle est notamment pratiquée par des voyants…
View On WordPress
#améliorer la confiance en soi#améliorer son couple#comment améliorer son couple#comment faire pour sauver son couple#comment sauver son couple#comment sauver son couple au bord de la rupture#comment sauver son couple à distance#comment sauver son couple quand tout va mal#faut il se battre pour sauver son couple#récupérer son ex#sauver son couple#sauver son couple au bord de la rupture#sauver son couple ou partir#sauver son couple quand tout semble perdu
0 notes
Text
Kahei - Le petit Seigneur
Alors oui, je sais, 6 mois sans grande nouvelle sous le soleil, mais mettons de côté ses absurdités personnelles pour revenir sur ce qu’il nous intéresse vraiment. Le jeu de rôle, les OC’s, comment on en est arrivé là. (Je t’ai entendu le petit malin du fond dire “ Ah bon, je me suis abonné à ce blog pour ça ? “ sache que oui, j’parle beaucoup, explique des trucs qui t’intéresse pas forcement parce que ma vie n’est pas OUFFISIME, mais j’ose espérer que tu comprendras ce que j’essaye de te faire partager et que tu en tireras quelque chose également). Comme dit précédemment, mon premier OC’s était un Personna du nom de Kitsune que je ne peux omettre, quand bien même j’en ai honte, car elle a été la base qui m’a permit de donner naissance à moult autre personnage dont je peux être fière aujourd’hui et le premier dont je vais vous parler c’est mon petit Kahei.
Il faut savoir que Kitsune à cette époque était présente uniquement dans l’univers de Yuyu Hakusho dans lequel il y avait un personnage, Yoko Kurama, duquel j’était tomber très amoureuse. Je songe que tomber amoureux d’un personnage fictif peut vous paraître très étrange, mais se reconnaîtrons ceux aillant eut un crush pour un perso cool de leur série d’enfance. D’autant plus qu’à l’époque j’était très seul, je n’avait pas d’amis, et les mangas était, pour ainsi dire, mes seuls liens sociaux.
Kitsune était donc une Yoko (ou un démon renard argenté) ou une change forme qui avait rejoins le groupe de bandit de Yoko Kurama. J’avait peu de variante à l’époque, c’était soit un hasard, soit parce qu’elle était le petit chien de compagnie d’un démon plus fort qui l’avait prise en affection, mais dans tout les cas Kitsune se révélait être une groupie/ Object sexuel pour le démon Kurama. Outre le fait que ce statue n’était pas très glorieux déjà à l’époque, tout ce qui comptait pour moi était que Kurama et Kitsune finissent ensemble et ceux malgré le dénouement de l’histoire originale du manga (que je vous conseil de lire ou de voir d’ailleurs, c’est une série de mon enfance que je trouve bien faire malgré les doublages français bancals). Une fois devenu adulte, aillant majoritairement résolu mes problèmes de sociabilités et trouver l’homme de ma vie, je suis revenu sur ce personnage et autant vous dire que j’en ai presque pleurer ! Voir ce personnage qui était mon personna à l’époque dans une condition aussi précaire et honteuse, un démon prétendu fort devenu femme au foyer et un vulgaire objet me dégouttait, j’ai décidé de la reprendre pour au moins lui donner une fin digne de ce nom.
Autant dire que, après quelque recherche, je me suis très vite rendu compte que Kitsune (qui est devenu Paru à ce moment-là) ne pouvait tout simplement pas se mettre en couple avec Kurama et ceux pour plusieurs raisons : Yoko Kurama, à l’époque, ne se serait pas encombrer d’une femme comme elle (pot-de-colle, violente et enfantin) alors qu’il était un démon dont la puissance et le nom grandissait, qu’il était antipathique, cruel et calculateur. Les deux personnalités n’aurait pas matcher. Alors pourquoi je n’ai pas adapter Paru ?
Il faut se dire qu’un personnage, qu’il soit un OC, un personnage de fiction ou un personnage de roman, n’a pas besoin d’être en couple pour exister. Ainsi, si je voyait mieux Paru comme un monstre brutal et immature alors pourquoi pas la laisser ainsi et modifier sa relation avec Kurama ? Cela m’a paru beaucoup plus sain et respectueux vis-à-vis du personnage de Kurama qui, dans le manga, à une personnalité travaillé et qui évolue avec son histoire.
Bon, je vous avoue, j’ai quand même retravaillé un peu Kitsune/Paru. Déjà parce qu’une démone renarde argenté avec des cheveux brun c’était méga gringe, mais aussi parce qu’il fallait que je lui donne une identité ce que je n’avait jamais faire avant. Comme pour relier des univers de mon enfance, mes premiers essai de RolePlay notamment, j’ai choisit de lui donner une forme draconique (mon premier vrai personnage de RP étant un dragon). Pour la forme, je lui ait donner une couleur noire et pour que les interactions soit possible je lui ait donner le pouvoir de prendre une forme humanoïde. A partir de là, Paru avait déjà une forme, il ne me restait plus qu’à lui crée une histoire qui était totalement détacher de Kurama et de provoquer leurs rencontres.
Alors alors ... qu’est-ce qu’elle est devenue ?
Il faut savoir que le monde des ténèbres où vivait Yoko Kurama est un monde très profond qui s’étend sur des milliers de kilomètres, il n’est donc pas rare que certains démon ne mettent jamais les pieds sur un territoire ou qu’un autre reste inconnu à la majorité de la communauté démoniaque. L’un d’entre eux est le territoire des Dragons Astraux une espèce en voie de disparition qui on la capacité de prendre une forme humanoïde en gardant ailes, cornes, queue et pattes arrières sous leur formes reptiliennes, mais cela reste tout de même un exploit pour se type de démon. Cette espèce fait partie d’une des deux rares à pouvoir prendre ce genre de forme, de pouvoir s’accoupler avec n’importe quel espèce pour pouvoir continuer à perduré malgré leur danger d’extinction, mais aussi de manier l’énergie astrale qui les rend dangereux pour les autres démons. Les dragons astraux vivent en communautés d’une vingtaine d’individu et détermine leurs chefs par la force lors d’un combat “officiel” devant toute la communauté qui n’a pas le droit d’intervenir dans le combat. Les chefs sont en général des mâles, bien que si une femelle gagne elle puisse prendre sa place. Même s’ils ont la capacité de se reproduire avec les membres d’une autre espèces le petit, qui sera forcement un dragon, est juger et souvent considérer comme un bâtard à sa propre espèce.
Ce préambule étant fait, il faut se dire que lors d’une de ses “missions” de pillage pour se faire connaitre dans les ténèbres, Yoko Kurama et son groupe vont tomber sur un repère de Dragon Astraux. Naturellement, les dragons vont vouloir les exécutés pour ne pas qu’ils révèlent leur positions, mais Paru, une jeune dragon, effronté va leur proposer de les utiliser pour abattre des expéditions ennemis qui leur fond du mal. Elle devra se battre pour réussir à convaincre ses opposants, mais grâce à sa longue queue en fouet elle déstabilisera son adversaire et permettra à Kurama et à son groupe de repartir. Mais bien entendu, pour s’assurer qu’il s’occuperait bien des monstres qui mettait en difficulté les siens elle le suivit. Kurama n’appréciera pas vraiment sa présence, Yomi, son bras-droit, non plus, mais Paru va se moquer de leurs état d’âme car, après tout, elle est l’une des espèces les plus puissantes des ténèbres. Ils vont combattre ensemble, Kurama réfléchissant à un plan tout en intégrant sa force draconique et ses pouvoirs, puis au moment de repartir de la région elle va demander à se joindre à eux alors que les siens lui promettait l’exil si jamais elle quittait les cavernes où elle était née. Voyant là une allié de choix dans sa quête de puissance, Kurama accepta.
Le reste de l’histoire de Paru est similaire à celle prévu initialement. Il n’y a pas d’amour entre elle et Kurama, même s’ils ont des relations sexuelle, même si elle ronronne à son approche, Paru à une affection grandissant en une dévotion amoureuse au fur et à mesure des années, mais ce n’est pas le cas de Kurama qui la considère comme un de ses bons éléments (sa forme de dragon aidant beaucoup dans les raids mener avec ses hommes). Alors quand viendra les chasseurs de l’au-délà qui essayeront de le supprimer à cause de sa puissance grandissante autant vous dire qu’il l’abandonnera sans mal pour sauver sa peau.
Paru, éploré, rentrera sur le territoire où réside le reste de sa troupe avec sous le bras un oeuf sous le point d’éclore. Elle attendra qu’un petit dragonneau en soit sorti avant de se présenter dans les cavernes où le dragon qu’elle avait affronter des années auparavent avait pris la place de chef et l’affrontera en duel officiel pour prendre sa place et assurer à son fils un lieu sûr où il pourrait grandir. Paru, qui avait vécu des années au grand air à se battre, vaincue et deviens la Reine Noire.
Elle règne pas mal d’année et elle disparu vers “l’affrontement final avec Toguro” dans le manga et ce fut son fils qui prendra sa place : Le petit Kahei.
Maintenant on peut l’oublier, parce que tout ça n’avait pour but que de vous présenter Kahei. Alors oui, on est sur le fils de Paru et Kurama, mais Kurama ne connais pas son existence jusqu’à bien plus tard dans une fanfiction que j’ai essayer de relier au manga et encore, et Paru s’éclipse pour pouvoir le voir grandir.
Kahei est un bâtard, un dragon né grâce au sang d’un démon, et cela va beaucoup le peser lors de son enfance. C’est un petit garçon au cheveux argenté (donc aux écailles) qui essaye de grandir en suivant la dirigeante de sa troupe plus que sa mère elle-même et qui, en grandissant dans la troupe, va se faire quelques amitiés qui l’accompagneront. Il rencontrera Siuil, une jeune femelle aux écailles vertes qui va rapidement laisser tomber les préjuger des adultes pour apprendre à le connaitre. Elle sera sa première amie. Puis Raska, un jeune mâle rouge qui va être très influencer par la haine de son père, l’ancien chef que Paru à détrôner, et sa soeur. Il va beaucoup lui jeter la pierre, l’insulté et même chercher à se battre avec lui alors que Kahei, de nature passive, va se sentir mal à l’aise face à cette recherche de conflit. Cependant, alors que Raska fut un jour en danger contre un groupe de démon belliqueux, Kahei essaya de le sauver et découvrir son pouvoir astral qui sera de crée un bouclier avec ses ailes. Depuis ce moment Raska changea peu à peu d’avis sur le petit bâtard qu’il reconnaîtra avec le temps comme son ami.
Il grandit ainsi, entouré de deux amis proches qui l’aideront à se faire accepter parmi les autres dragons et prouvant sa puissance par sa force de caractère, bien plus réfléchit que celle de ses pairs né pur, que par son esprit de communauté prononcer. Kahei devint grand, l’un des plus grands dragons de sa troupe, mais restera connu sous le surnom de “petit prince” ou “ petit seigneur” grâce à ses amitiés qu’il s’était fait étant plus jeune et à son statue de fils de la Reine Noire.
Quand cette dernière disparaît, Kahei est élue par la majorité de ses pairs pour son courage, son esprit de stratège et surtout l’importance qu’il a à protéger les siens. Pour la première fois dans le monde des Dragons Astraux, un chef avait été élue pour protéger les autres dragons.
Je suis très fière de Kahei. Parce qu’en naissant il m’a aider à faire un trait sur Paru qui n’existera plus à partir de là ou si elle reviens c’est pour signer sa fin, mais aussi parce qu’il est l’un des premiers à être un personnage aussi intégré au contexte (après Liba, dont je vous parlerai plus tard). Kahei peut existé dans le monde de Yuyu Hakusho sans que l’univers ou l’histoire n’en soit changer et c’est ce qui, à mon sens, en fait un bon personnage.
Je ne sais pas trop dire quoi d’autre sur Kahei. Je pense qu’en dire d’avantage me vaudrait bien une petite fiction pour vous le faire paraître dans sa forme la plus belle et spectaculaire d’autant plus que la fanfic dont j’ai l’idée met en avant Kuwabara, un personnage secondaire de l’oeuvre auquel je me suis attacher en travaillant Kahei, mais... J’ai tellement d’autre personnage dont je voudrait vous parler et je préférait vous laisser le choix de savoir si, oui ou non, ça vous intéresserai d’en apprendre plus sur Kahei, le petit Seigneur.
C’était long, mais j’espère que ça vous à plus ! Des bisous astraux, Lay.
#dragon#yu yu hakusho#Paru#kitsune#personna#Perso de la honte#Kahei#Le petit seigneur#petit prince#dragon d'argent#silverdragon#démon renard#chronologie du personnage#yoko kurama#original character#début de l'évolution#perso de la fierté#bébé kahei#Raska#Siuil#Reine Noire#Dragon astraux#Monde des ténèbres
3 notes
·
View notes
Text
comment faire pour sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture? Tous les couples vivent des moments difficiles, qui peuvent parfois aller jusqu’à la séparation. Quand l’amour cède la place à la rancœur, aux ressentiments ou à l’incompréhension, quelles sont les solutions pour raviver la flamme ou sauver son couple au bord de la rupture ? Faut-il se battre pour sauver son couple à tout prix ? Quelles…
View On WordPress
#astuce pour sauver son couple#comment faire pour récupérer son homme#comment faire pour récupérer son mari#comment faire pour sauver son couple de la rupture?#comment faire pour surmonter une rupture amoureuse#comment sauver son couple au bord de la rupture#comment sauver son couple de la rupture#comment sauver un couple#sauver son couple au bord de la rupture#sauver son couple de la rupture#sauver un couple de la rupture
0 notes
Text
ok uhm donc il y a trèèèès longtemps j’avais pensé écrire une fic où Emile se trouve un bf stable et tout hé bien my incoherent romantic ass a décidé qu’il fallait qu’il soit EXTRAORDINAIRE. parce que mon fils Emile Lampion ne se contentera pas du péquenot du coin ok. DONC laissez-moi vous présenter Valentine Attwater (sjfhsdkf pardon c’est devenu un roman donc c’est sous un cut) :
Le père de Valentine est le troisième fils d’une famille d’aristocrates anglais vénérable. Etant le troisième fils, il n’hérite donc pas du titre et du domaine et s’engage dans le service civil. Il a monté les échelons de l’administration coloniale en Inde jusqu’à devenir une figure locale influente dans sa région.
La mère de Valentine est la fille d’un rahj. Elle rencontre son mari lorsque celui-ci est muté dans la région. C’est le coup de foudre et les deux se marient rapidement malgré la désapprobation des deux côtés. À l’époque, voir le fils d’un lord épouser une indigène, fût-elle fille d’un roi, ne se faisait pas. En plus, elle est musulmane.
Le couple a cinq enfants: Richard, Henry, Valentine, Anna et Elizabeth (les deux dernières étant des jumelles).
Valentine grandit en Inde dans sa famille maternelle. Il est élevé avec le reste de ses cousins et cousines, dans l’ombre bienveillante de son royal grand-père.
Valentine a les yeux vairons. Son père et sa mère ont tous deux les yeux clairs (ils ont les yeux bleu chez son père, et plutôt les yeux verts chez sa mère). Deux de ses cousins et cousines ont aussi les yeux vairons. Ils ont hérité leurs yeux de leur grand-père, dont le regard est fameux dans toute la région. On susurre d’ailleurs que c’est pour cela que ces trois petits-enfants en particulier sont ses favoris.
Comme la plupart de sa famille, Valentine part faire ses études en Angleterre. Bien qu’il n’aille pas à Eton comme son père et ses frère aînés Richard et Henry, il est admis à l’université d’Oxford. Son grand-père maternel a aussi fait ses études là-bas pendant quelques années, avant d’étudier à la Sorbonne.
Plus attiré par les mathématiques et l’astronomie, Valentine est néanmoins contraint de suivre un cursus plus “classique” centré sur les sciences humaines. Il réussit tout de même à avoir plusieurs diplômes en astronomie.
Valentine parle anglais et le dialecte de sa région natale/l’hindi (j’ai pas encore décidé exactement où en Inde Valentine est né, d’où le flou pour l’instant, j’ai besoin de faire des recherches sur les dialectes, tout ça) couramment vu que ce sont ses langues maternelles, le français (de manière excellente mais avec un accent), le latin, le grec ancien, l’italien et l’allemand.
Valentine est un charmeur. Il aime profiter de la vie et est enjoué. Il est espiègle et vif d’esprit. Il aime les belles voitures et les fêtes endiablées. Il est dévoué aux gens qui compte le plus pour lui.
Il est bisexuel. La plupart de ses relations stables étaient avec des hommes qui fréquentaient les mêmes cercles universitaires que lui. Après la fin de ses études, il a commencé à fréquenter des gens d’origines sociales plus diverses et ses amant(e)s se sont diversifiés.
Valentine est en froid avec son père. Ses parents ne se sont jamais vraiment occupé de la fratrie. Ses frères et sœurs craignent leur père, mais Valentine est terrifié par lui. Par le passé il a découvert plusieurs de ses liaisons homosexuelles et s’est fait battre à ces occasions.
Pendant sa première année d’université, sa copine est morte de la tuberculose. Sa mort a été très dure pour Valentine qui a eu un épisode dépressif. Quand son père l’a appris, il l’a fait admettre de force dans un sanatorium avec la complicité de Richard, l’aîné de la famille. Valentine ne leur a jamais pardonné.
Valentine obéit à son père parce qu’il a peur; il obéit à son grand-père parce qu’il l’admire. Bien qu’il ait été une figure distante, il a beaucoup d’affection et d’admiration pour son grand-père. Il a toujours eu très peur de le décevoir.
Lorsque Valentine arrive dans le nord de la France, il s’agit d’une petite retraite de quelques mois dans le manoir qu’ils ont loué. Il s’agit de se retrouver entre frères et sœurs une dernière fois avant le départ d’Henry pour Londres, fraîchement marié et nouvel employé d’une prestigieuse banque de la City.
Leur arrivée cause une sensation: on n’a jamais vu une bande pareille.
Valentine et ses sœurs n’apprécient pas leur belle-sœur, qui le leur rend bien.
Le séjour est malheureusement gâché par le meurtre du majordome.
Larosière déteste tout de suite la bande: les jumelles ne parlent pas assez bien français pour être sensible à son charme, Valentine est un fils à papa qui fait joujou avec ses voitures de luxe et Henry est le snob anglais par excellence. Seul la femme de ce dernier trouve grâce à ses yeux.
Emile, lui, craque tout de suite sur Valentine avec ses beaux yeux vairons et son sourire charmeur.
Valentine le trouve très mignon, et il a une intuition mais il préfère être sûr. Alors il prend son temps.
De fil en aiguille, Emile et Valentine sont amenés à se croiser durant l’enquête et fatalement, ils commencent à discuter.
Puis Valentine propose gentiment de le ramener au poste avec sa voiture, ce serait bête de le laisser retourner à vélo alors qu’il pleut des cordes.
Et puis le manoir est tellement éloigné, il peut bien le ramener de temps en temps, non? Il faut bien aider la police de temps à autre...
Larosière voit tout cela d’un très mauvais œil et ne se prive pas de le faire savoir.
Les choses se refroidissent quelque peu quand il s’avère que Valentine avait une liaison avec le majordome, liaison qu’il n’a jamais mentionné à Emile, et qu’il a donc un excellent mobile.
Quand Emile l’interroge durant sa garde à vue, il découvre un autre Valentine, un Valentine qu’il déteste: arrogant, condescendant, mesquin, superficiel. Emile a le cœur brisé.
Valentine finit par avouer à demi-mot qu’il a bel et bien assassiné le majordome et défie Larosière de le faire condamner. Larosière, malgré tout, sent que quelque chose ne colle pas dans son histoire et finit par découvrir qu’il avait raison. Valentine protège sa sœur Anna, qui a été vue quittant le lieu du crime peu après la mort de la victime.
Quand Valentine se pointe chez Emile à quatre heures du matin pratiquement en larmes pour le supplier de prouver l’innocence de sa sœur, Emile se dit qu’il l’a peut-être jugé un peu trop vite.
Ils se retrouvent à faire équipe pour retrouver le vrai meurtrier, et ils ne tardent pas à retomber sous le charme de l’un et de l’autre.
Au final, ils démasquent la bonne.
Tout aurait pu finir bien dans le meilleur des mondes si le père de Valentine ne s’était pas pointé inopinément au manoir trois jours plus tard. Il est furieux.
Valentine est celui qui s’en prend le plus dans la gueule: son père sait pour sa liaison avec le majordome mort, pour sa garde vue, et aussi pour sa nouvelle liaison. Valentine soupçonne sa belle-sœur d’avoir voulu se venger de lui. Heureusement, seules ses sœurs connaissent l’identité de son amant.
Son père tente de lui faire avouer le nom de son amant mystère, mais Valentine résiste. Malgré la terreur qu’il ressent et la furie de son père, il ne cède pas. Même quand les coups se mettent à pleuvoir, il est hors de question de mêler Emile à tout ça. Son seul et unique tort a été de tomber sous le charme de Valentine.
Son père finit par laisser tomber. Ce n’est pas si important au final. Il est grand temps que Valentine commence à se comporter correctement. Il compte l’envoyer en Angleterre se faire oublier un temps, très probablement dans un sanatorium, le connaissant.
Elizabeth prévient secrètement Emile de la situation et le supplie de sauver son frère. Emile n’hésite pas une seconde.
L’évasion de Valentine semble tout droit sortie d’un roman d’aventure, mais ça marche: Emile peut enfin serrer son chéri dans ses bras. Il décide de le cacher chez lui.
Larosière se fait aboyer dessus pendant 20 minutes par le père de Valentine avec ordre de le retrouver s’il ne veut pas se retrouver sans travail.
Il lui faut une semaine avant de découvrir que Valentine vit chez Emile. Larosière a beau ne pas l’apprécier, il a des principes. Il laisse Valentine partir à condition qu’il se mette en route de suite et n’implique pas Emile s’il devait être découvert.
Avec l’aide de son frère Henry, Valentine retourne incognito en Inde chez son grand-père, la seule personne que son père craigne.
Le reste de la famille ne tarde pas non plus à s’en aller et Emile reprend sa petite vie, même s’il a beaucoup de mal à faire son deuil de sa relation avec Valentine. Il l’aime. L’idée de ne plus le revoir le tue.
Quatre mois plus tard, Emile reçoit une lettre avec de bien étranges timbres. Son cœur manque de s’arrêter quand il voit qu’elle vient d’Inde.
Valentine lui écrit qu’il est arrivé sans encombre chez lui, mais qu’il a dû essuyer la colère de son grand-père et du reste de sa famille. À son grand désarroi, son grand-père ne veut plus le voir jusqu’à nouvel ordre. Il ne peut plus trop approcher ses cousins et cousines dont il est proche. Il est virtuellement assigné à résidence, bien que la résidence soit gigantesque et que Valentine pourrait très bien partir s’il le voulait. Henry a pris son poste à Londres, Richard est comme toujours à Bombay (il travaille dans l’administration coloniale, comme son père) et ses deux sœurs restent en Italie jusqu’à la fin de l’année. Au moins Valentine n’a plus à voir son père.
Valentine passe ses journées à écrire à Emile et la nuit à attendre la réponse. Jusque-là toutes ses lettres sont restées sans réponse. Valentine craint qu’il n’écrit qu’à un fantôme, à un amour qu’il a gâché par sa faute, et il est persuadé qu’il pourrait en mourir de chagrin.
En attendant une telle mort, Valentine fume et boit pour passer le temps et apaiser un peu sa douleur. Il observe les étoiles quand il n’arrive pas à dormir (c’est-à-dire tout le temps) et lit les dernières recherches et avancées en astronomie quand son poignet lui fait trop mal pour écrire.
Ses yeux s’éteignent, ses joues se creusent, sa joie disparaît. Il se mure dans le silence.
À leur retour, les jumelles sont très inquiètes pour lui et elles ne sont pas les seules dans la famille. Leur grand-père n’est plus en colère contre Valentine et son affection est toujours intacte. Valentine semble visiblement soulagé, pourtant sa joie de vivre ne revient pas.
Même son grand-père est inquiet et lui demande ce qui se passe, mais Valentine continue à insister que tout va bien.
Quand un domestique lui donne une lettre avec un timbre français dessus un beau matin, Valentine fait tomber sa tasse de café. Quand il reconnaît l’écriture d’Emile dessus, il se rue s’enfermer dans sa chambre sans un mot pour son grand-père et le reste de la famille attablée.
Valentine a les mains tremblantes quand il déplie enfin la lettre. Emile lui écrit qu’il a bien reçu ses lettres et qu’il est heureux qu’il aille bien (Valentine ne pouvait pas lui dire la vérité, il ne pouvait pas lui décrire le désespoir qui le rongeait). Il s’excuse longuement de ne pas avoir répondu plus tôt car il avait été très occupé. Emile lui raconte ses enquêtes sur des pages et des pages et Valentine a l’impression de respirer à nouveau depuis son départ de France. Quand Emile lui écrit à la fin qu’il l’aime et qu’il lui manque terriblement, Valentine se met à pleurer.
Valentine et Emile commencent une correspondance régulière. Fondamentalement, Valentine ne change pas tant ses habitudes: il passe toujours ses journées à écrire. Mais il fume moins, boit moins, se remet à manger, ses yeux brillent à nouveau, il sourit à nouveau, il rit à nouveau. Valentine redevient lui-même, sauf qu’il rayonne de joie.
Tout le monde est très surpris mais Valentine assure qu’il ne se passe rien de particulier. Ses sœurs ne sont pas dupes.
Un jour Valentine écrit à Emile qu’il voudrait qu’il vienne auprès de lui en Inde. Emile lui répond très sérieusement que le voyage est au-dessus de ses moyens. Valentine lui écrit fébrilement qu’il lui paiera volontiers l’aller, mais qu’il devra se débrouiller pour le retour. Emile lui répond qu’il prendra ses vacances au printemps.
Malgré tous les efforts de Larosière pour l’en dissuader, Emile prend toutes ses semaines de congé à l’arrivée du printemps. Larosière sent confusément qu’il se passe quelque chose avec son protégé, mais il n’arrive pas à dire quoi.
Emile part promptement avec ses valises le soir de son dernier jour sans prendre la peine d’informer Larosière de sa destination. Il se contente de lui laisser une adresse à Londres si jamais il avait besoin de le joindre.
Après une absence bien trop longue au goût de Larosière, Emile retourne au commissariat. Il rayonne de bonheur et il a pris des couleurs, mais surtout il se fait déposer devant le poste par Valentine au volant d’une voiture coûteuse.
La tête de Larosière valait à elle seule le retour en France durable de Valentine.
15 notes
·
View notes
Text
comment sauver son couple de la rupture?
comment sauver son couple de la rupture?
comment faire pour sauver son couple de la rupture? Tous les couples vivent des moments difficiles, qui peuvent parfois aller jusqu’à la séparation. Quand l’amour cède la place à la rancœur, aux ressentiments ou à l’incompréhension, quelles sont les solutions pour raviver la flamme ou sauver son couple au bord de la rupture ? Faut-il se battre pour sauver son couple à tout prix ? Quelles…
View On WordPress
#comment sauver son couple après rupture#comment sauver son couple au bord de la rupture#comment sauver son couple au bord du divorce amoureux#comment sauver son couple au bord du divorce au maroc#comment sauver son couple de la rupture#comment sauver son couple de la rupture à son conjoint#comment sauver son couple de la rupture âme#comment sauver son couple de la rupture?
0 notes
Text
G comme groupie (I could have kissed a girl and liked it)
Je suis tombée amoureuse de Carrie Brownstein au premier regard. Et si ça avait été dans la vraie vie, je suis persuadée que ça se serait passé comme dans cet épisode de Broad City où Ilana rencontre son doppelgänger dans la rue. Enfin, disons que j’aime bien m’en persuader. Et aussi que j’espère que vous regardez Broad City. Si vous ne le faites pas, sachez simplement que vous avez un sacré train de retard. Sur quoi ? Sur beaucoup trop de choses pour que je m’amuse à les lister ici. Mais la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez toujours vous rattraper, magie du monde globalisé… Et enchaîner dans la foulée avec l’excellent Transparent. C’est là qu’elle était lorsque je l’ai rencontrée. Dans son rôle de Syd Feldman, probablement nonchalamment assise sur un canapé, sarcastique, pertinente, un rien cynique, élégante, lumineuse, séduisante… Désirable. Et je dois bien avouer que je n’avais jamais ressenti ça comme ça pour un personnage féminin au préalable.
L’homme, qui prend un malin et malsain plaisir à entretenir mes lubies de groupie pour que je le laisse vivre en paix avec les siennes, m’a alors procuré toutes les saisons de Portlandia et a déposé au pied de la Luxman tous les LP de Sleater-Kinney. Résultat : cela fait maintenant un petit moment que j’écoute No Cities To Love deux fois d’affilée deux fois par semaine minimum (dix morceaux, dix tubes massifs et fragiles à la fois, bouleversant) et que j’accepte de regarder tous les films avec Michael Shannon – le cinécrush de Monsieur – sans exception et sans poser de questions. Et si je devais faire le bilan (calmement) de ce tacite arrangement, je dirais que, petit 1., contrairement à la légende urbaine initiée par une personne très peu objective dont je tairai ici le nom, la simple présence de Michael Shannon au casting n’est pas capable de sauver n’importe quel scénario (cf. le mollasson Frank & Lola) et que, petit 2., contrairement à d’autres (et la liste est longue, croyez-moi), plus j’en apprends sur Carrie Brownstein, la femme, plus je me dis que j’ai raison de l’aimer.
Il y a quelques mois, entre un film où Michael Shannon livre des colis et un autre où il ouvre des portes, l’homme – toujours à la manœuvre – m’a offert Hunger Makes Me a Modern Girl, les mémoires écrites par ma Carrie chérie. Google Alert et Instagram m’avaient bien entendu dit depuis longtemps qu’il était sorti, mais moi, j’hésitais encore à aller l’acheter… Pouvait-elle raisonnablement, en plus d’être si sexy et so preppy, s’avérer douée pour la musique, la comédie ET l’écriture ? La peur de la déception tant redoutée m’envahissait. Cependant, Internet semblait répondre par l’affirmative à ma question : oui, la belle savait écrire comme elle savait jouer, avec talent et générosité. J’entamais alors l’ouvrage rassurée mais néanmoins fébrile… Et je le reposais quelques jours plus tard, exactement dans le même état. Mais pour d’autres raisons, manifestement. Et principalement parce que ce livre m’a soufflée par son incroyable honnêteté. Il ne dit certainement pas tout, mais tout ce qu’il dit est impitoyablement exposé et décrypté. Carrie Brownstein n’y cache rien de ses fêlures ou faiblesses, et évoque la création, l’évolution et la désintégration de Sleater-Kinney sous une lumière peu flatteuse, celle de la vérité violente et toute crue, offrant au passage une vue plongeante sur les méandres de sa complexe personnalité.
Ses mots m’ont touchée, aussi. Comme mon instinct pouvait me le laisser imaginer, on partage certaines similarités. Pas forcément des plus jolies à regarder. En face, du moins. Pas les plus inavouables non plus, faut pas exagérer. Mais (attention, soft spoiler alert) cette façon qu’elle a d’abord d’identifier puis d’accepter les traits les plus sombres de sa nature profonde m’a méchamment secouée. Ouais, c’est tout con et ça peut paraître plutôt obscur dis comme ça, mais c’est vrai : il est des vérités contre lesquelles il est inutile de lutter. Je sais pas, c’est peut-être l’âge qui fait ça… On a à peu près le même, Carrie et moi (argh, « Carrie et moi », c’est fort probablement la seule et unique fois que j’aurais l’occasion d’écrire ça), et depuis que j’approche de la quarantaine, force est de le constater, je m’efforce plus que jamais à faire preuve d’honnêteté. Envers les autres, bien sûr, même si le nouveau reflet que je renvoie au monde n’est pas forcément reluisant, puis envers moi, surtout. C’est désagréable, c’est éprouvant ; cependant, charité bien ordonnée commence par soi-même, la sagesse populaire a raison. Mais enfin, ça, c’est la partie émergée de l’iceberg, hein ! Parce qu’après, plus moyen de faire machine arrière ! Une fois que l’on sait qui on est, comment continuer à faire des choix de vie malhonnêtes ? Foutu casse-tête…
En plus ou moins trois ans, tous ceux que j’ai pris ont été radicaux. Certains ont été faciles à opérer, d’autres plus douloureux et compliqués à gérer. Et comme pour l’Américaine qui fait battre mon cœur (de rocker), c’est souvent mon corps qui a capitulé avant mon cerveau. D’ailleurs, avec un peu de recul, je suis ébahie par tout ce que j’ai pu psychosomatiser et aussi stupéfaite de la ténacité avec laquelle j’ai pu me mentir à moi-même sur différents sujets pendant de longues années. Le livre de Carrie Brownstein, quant à lui, est décidément arrivé au bon moment : celui d’entériner certaines décisions. Pas comme hésiter entre un film où Michael Shannon porte une valise et un autre où il lèche des timbres… Non, plutôt du genre choix cruciaux. Mais loin de moi l’idée de vouloir noircir le tableau ; depuis que j’ai entamé cette longue introspection, une chose est certaine : plus le temps passe, plus je vis facilement avec moi. Et notamment avec deux ou trois spécificités que j’ai trop longtemps essayé de réprimer ou de nier. Serait-ce ce qu’on appelle la midlife crisis ? Peu importe le nom qu’on veut bien donner à tout ça, Carrie et moi (*soupir*), finalement, on s’en sort pas si mal que ça.
Bon, c’est bien beau tout ça, mais très rapidement, deux nouveaux problèmes se sont posés à moi. Le premier : que lire désormais ? J’en voulais plus et j’avais déjà écumé toutes les interviews données par l’auteure lors de la promotion de ce petit livre déclencheur. Le second : comment écrire maintenant ? Comment reprendre le clavier sans plomber l’ambiance après une telle démonstration d’intégrité ? Ma vie est loin d’être aussi passionnante, c’est un fait et vous l’avez bien entendu déjà remarqué, surtout si c’est le premier post de ce blog que vous lisez, mais – vous l’avez peut-être aussi noté – cela fait maintenant un petit moment que j’ai du mal à traîner par ici. Pas parce que je n’écris pas ou plus, mais parce que j’en arrive invariablement à remiser les textes rédigés, à juger les sujets trop personnels, les points de vue difficilement défendables, le lieu inapproprié. Quand j’écrivais sur mon ancien blog, dans un anonymat quasi parfait, j’avais vingt-cinq lecteurs, dont une grande partie de parfaits inconnus avec lesquels je prenais plaisir à échanger. Depuis que je partage mes billets sur Facebook, la donne a sensiblement changé : j’ai une cinquantaine de lecteurs, mais je ne me suis jamais autant autocensurée. La belle affaire, hein ! N’empêche que, le temps passant, cette histoire a commencé à sérieusement me turlupiner : comment concilier intelligemment intimité et publicité ? J’avais des choses que j’avais envie de raconter, mais aucune envie de devoir crier « MAIS CRÉÉE TON PROPRE BLOG, BORDEL DE MERDE ! » à tous les Leprechaun qui passeraient par là…
La liberté d’expression sur les réseaux sociaux, vaste et vide débat… Mais quoi qu’il en soit, c’est là, alors que je ne m’y attendais absolument pas, que mon premier problème est venu solutionner le second. À la question « Que lire maintenant ? », la faim me tiraillant méchamment, j’ai fini par faire au plus simple et en l’occurrence, à prendre le premier livre sur le haut de la pile en instance, juste là sur ma table de chevet. Le challenger : Le Premier méchant, premier roman de Miranda July (amie de Carrie, tiens donc), lui-même offert pour mon anniversaire par une amie (Laetitia, encore merci !). Je ne veux rien vous spoiler, mais je dois avouer que les premières pages m’ont largement déstabilisée. Puis je me suis laissée faire par cette histoire un peu loufoque avant de me retrouver complètement scotchée, tant l’ouvrage m’est apparu d’une saisissante modernité. D’abord dans la forme (et notamment dans les libertés que prend la narration), puis dans le fond : outre les sujets évoqués (la féminité, la solitude, le couple, le genre, les fantasmes, la maternité…), j’y ai retrouvé cette cruelle et désarmante autant que fascinante acuité envers soi que Carrie Brownstein semblait avoir érigé pour elle et moi (fait chaud d’un coup, là, non ?) au rang de nécessité, bien qu’il s’agisse d’une fiction. Miss July avait peut-être raison, et mon salut pourrait bien passer – pourquoi pas – par un changement radical de format.
Dissimuler l’intime au cœur de la fiction, j’y avais déjà beaucoup pensé, sans jamais réussir à échafauder un plan cohérent, juste quelques idées, quelques fragments, rien de bien convaincant… Mais poussée dans mes retranchements, j’ai fini par décider de me lancer sans filet. Enfin, sans chute, quoi. Une première pour moi. Un peu comme Balzac (toutes proportions gardées, évidemment), sans réellement savoir où cette petite histoire fantaisiste de superstitions et procrastination me mènerait, j’ai rédigé trois chapitres à la troisième personne, laborieusement mais vaillamment… Avant de me retrouver complètement coincée. Puis de commencer un deuxième texte, à la première personne celui-ci, histoire d’évacuer une fois et pour toute une thématique qui me hantait. En tout, une douzaine de pages A4 bien tassées pour ce premier jet. Soit une taille tout à fait acceptable pour une nouvelle (à partir de 7 500 mots environ, à ce qu’il paraît). Et autre nouveauté, je n’avais jamais écrit quelque chose d’aussi développé. Alors, bien entendu, c’est loin d’être terminé ; ce morceau-là me demanderait encore plusieurs relectures et réécritures… Et je ne sais combien de temps pour l’affiner. D’autant plus que depuis, je suis passée à la deuxième mouture de la première histoire commencée. J’ai déjà réécrit la moitié des trois premiers chapitres deux fois, ébauché le suivant, manqué de temps… Écrire au long cours, c’est complètement différent et pour le moment, je n’en suis qu’à prendre la température de l’eau du bout des pieds, timidement. Puis la suite, vous la connaissez : je suis venue m’épancher ici…
Bon, vous voilà bien avancés, hein ! Je vous ai écrit toute une tartine pour vous refiler une piètre excuse quant à mon manque d’investissement en ces pages et vous parler de deux textes pas terminés que vous ne lirez peut-être jamais… Mais si vous avez suivi cette longue digression sans intérêt jusque là, je ne vais pas vous laisser comme ça. Une petite moralité capillo-tractée, ça vous dirait ? Alors, qu’est-ce qu’on a appris aujourd’hui ? Qu’outre m’avoir permis d’accepter ma véritable nature de cheveux (ce qui a littéralement changé ma vie de fille, sans plaisanter), mon obsession pour Carrie Brownstein m’a fait réaliser que : petit 1., j’aurais pu être avec une fille et aimer ça (Sainte Katy, priez pour moi) ; petit 2., il n’est jamais trop tard pour bien faire (si j’ai de la chance, ça me laisse encore une bonne moitié de vie devant moi pour ça) ; petit 3., quand on accepte qui on est, c’est beaucoup plus simple de savoir vers où on veut aller. Est-ce que les coïncidences arrivent par pur hasard ou est-ce qu’on les provoque inconsciemment ? Est-ce que le simple fait d’être fan peut apporter autant de satisfactions ? Carrie Brownstein a écrit de très jolies lignes à ce sujet pour je ne sais plus quel magazine en ligne que je vous encourage néanmoins à chercher à consulter. Pour ma part, je conclurai en vous disant qu’on ne devrait toujours aimer que de cette façon : sans rien attendre en retour et inconditionnellement.
Et puis du coup, j’imagine que je vais voir encore beaucoup de films avec Michael Shannon, fatalement…
#carrie brownstein#girl crush#sleater kinney#portlandia#transparent#hunger makes me a modern girl#instrospection#groupie#abécédaire
3 notes
·
View notes
Text
La crise de nerfs...
Si la ''crise Fillon'' avait frappé ce ''peuple de gauche'' qui a la jalousie du voisin dans ses gènes, j'aurais déjà eu du mal à croire à tant de vilenie : un de mes défauts est la confiance dans le bon sens des français, qui peuvent se tromper par accident mais finissent toujours par se retrouver, comme ils l'ont fait, par exemple, pour les fausses bonnes idées de la Gauche : ils ont compris qu'elles n'étaient que supercheries, mensonges et promesses vides. Mais que des électeurs de Droite aient pu préférer l'anecdotique au fondamental... c'est difficile à comprendre !
Notre pauvre France a été piégée, depuis un mois, dans une situation qui aurait été dite ''de cornecul'' aux temps où le ''politiquement correct'' n'avait pas encore stérilisé la langue française. Les conséquences sont si énormes et leur raison si petite que l'observateur en vient à douter : ''Cela ne se peut pas ! J'aurai oublié quelque chose !''... Mais au bout du compte, il faut se rendre à l'évidence : ce torrent de boue a vraiment été fabriqué à partir d'une absence de délit, sur des accusations qui se discutent ! Petit retour sur ce drame en 4 actes et 5 tableaux :
(1)- L'étau des taux (si j’ose !) va se resserrer sur notre dette sans fond, nous étouffant et nous projetant bientôt dans une situation proche de celles de la Grèce, du Portugal ou du Venezuela, mais il ne se pouvait pas que la France ne soit pas rattrapée par l'incurie des cinq années qui ont vu les socialistes étaler leur nullité abyssale : il arrive toujours un moment où quelqu'un présente l'addition. Mais comme cette catastrophe apocalyptique est absente du programme de tous les autres candidats, qui ne l’évoquent même pas... si Fillon était volé, par cette manœuvre, d'une victoire qui est nécessaire à en être apodictique, ''on serait mal'' !
(2)- L'Islam constitue la seconde menace majeure, même si les cuistres nous forcent à faire semblant de croire que ''ce n'est pas ça, l'islam'' (Que les professeurs de ‘’bien-pensance’’ aillent dire aux fous-furieux du Daesh et de al-Qaïda qu'ils ne sont pas de vrais musulmans et que l'islamisme n'est pas le vrai Islam... On leur souhaite bonne chance !). Car même si les promoteurs de cette idée saugrenue avaient raison (des athées intégristes qui pérorent sur une religion dont ils ne savent rien... c'est comme un aveugle qui explique le chemin !), où sont les défilés massifs des prétendus ''bons musulmans’', ceux qui condamneraient sans réserve les agissements de leurs coreligionnaires dévoyés ? Nous en reparlerons...
(3)- Face à ces menaces, un seul de tous les candidats à cette ''présidentielle'' (qui est digne d'une république bananière) a anticipé ce qui doit arriver : seul contre tous, François Fillon a émis le bon diagnostic et eu le courage de proposer les bons remèdes, contre feu les intelligentzias. Un homme d'Etat présidentiable, à Droite, doit battre la Gauche (c’est-à-dire deux militants amis-ennemis embourbés dans leur doctrine dépassée, et un illuminé ringard -soutenu par un benêt chronique). Tous trois sont en pleine panique : tout le système bancal des vieilles utopies et des prébendes fraternelles serait foutu en l'air par celui qui veut (et peut) sauver la France, alors que eux, prisonniers de leur mortifère ''changement'' et de leur ‘’credo laïciste’’, ne savent que répéter les vieilles recettes qui n’ont jamais fonctionné nulle part sur terre... Honnêtement, ‘’y a pas photo’’, et l’affaire devrait être entendue !
(4)– La tentative de déstabilisation du corps électoral, qui est d’une violence jamais vue (même contre Nicolas Sarkozy, victime des basses œuvres de la fameuse ''cellule spécialisée'' de l'Elysée... qui n'existe pas, bien entendu !), invente que Fillon aurait sacrifié son honneur pour quelques milliers d'€uros. N’en doutons pas, cette fois encore, les apprentis sorciers qui tentent de faire avaler ces fariboles vont se prendre les pieds dans leurs stratagèmes de comptoir : ce qu'ils reprochent à Fillon est non seulement légal et courant, mais pleinement justifié : des proches en qui on a confiance sont plus efficaces et ils ont une ‘’courbe d'apprentissage’’ asymptote à zéro. Et cette chose prétendue horrible a surgi ex nihilo et au bon moment (alors que jamais personne n'en avait parlé jusque là), et avec une campagne de presse prête à l’emploi et dont le seul but était de tuer le vainqueur probable. Parmi tous les familiers de ces pratiques (légales et normales, il faut le répéter), un seul devait être jeté aux chiens, pas deux, ni les cent qui font de même. Quant au Parquet financier (comme s'il n'attendait que ça), il s'est rué dans la journée (du jamais vu !) sur cette non-affaire qui est en dehors de ses prérogatives. A vrai dire, si le sens moral des journalistes était aussi grand qu'ils veulent le faire croire, ils ne devraient parler que du ''crime-contre-l'humanité-gate'' de Macron, bien plus grave que le ''Penelope-gate'' dont ils nous rebattent les oreilles du matin au soir : comment se nomme le crime qui consiste, dans un pays étranger et tout sauf bienveillant, à s'affranchir de toute objectivité et de tout respect de l'Histoire (et de sa Patrie, surtout) en une danse du ventre électoraliste destinée à plaire à la francophobie pathologique d'un régime mourant, tyrannique et corrompu ?
(5)- Le 5ème tableau est peut-être le plus minable de tous : Bayrou, l'indécis chronique a, une fois de plus, suivi son tropisme à gauche. Même si c'est idiot, il ne peut pas s’empêcher de se tirer une balle dans notre pied. Et en osant dire que c’est ''dans l'intérêt des français'' (sic !), ce guignol pathétique condamne la France. On peut parier que des expressions comme ''raisonner comme un Bayrou'' vont passer dans la langue populaire. Mais il ne l'emportera pas en Paradis : sa forfaiture va encourager les amoureux de la France à être encore plus efficaces et engagés dans leur action pour faire perdre ce couple pervers de fausses valeurs !
Résumons (si c'est possible!) : une tentative de déstabilisation qui, si elle avait réussi, aurait pu ressembler à un coup d'Etat invisible, est en train de tourner court. Le lancement publicitaire d'une fausse valeur en qui d'autres fausses valeurs et ses frères en nullité voulaient qu'on voie le Messie, va faire long feu. L'intelligence du peuple français va triompher de sa courte crise de nerfs, et les choses devraient, selon toute logique, retrouver le cours normal de l'Histoire. La France va s'en sortir, et ça, c'est une vraie bonne nouvelle !
H-Cl.
2 notes
·
View notes
Text
LE RETOUR D'AFFECTION DANS LE COUPLE: RENFORCER LES LIENS D'ATTACHEMENT
L'affection dans le couple représente une valeur fondamentale à protéger et à entretenir afin de garder ces liens qui unissent spirituellement et sentimentalement les deux personnes composant cette union, laquelle perdure aussi selon une harmonie vitale basée sur une réciprocité à tous les niveaux, tant physique avec la sexualité qu'intellectuelle ou pratique avec cette complémentarité indispensable de compétences et de facultés mises en commun. Alors, lorsque les liens affectifs commencent à se distendre, c'est l'ensemble de cet équilibre qui vacille à la manière d'un tremblement de terre, au début presque imperceptible mais qui petit à petit s'amplifie sans que l'on y prenne vraiment garde avec la routine des années s'accumulant lentement. Pour certains couples la tendresse s'apparente à ce cœur indéfectible qui gardera pour toujours sa puissance et jamais ne faiblira en amour, pour d'autres ce sera au contraire une sorte de long déclin progressif ou parfois même de rupture soudaine à la suite d'un évènement que l'on pourra qualifier de dramatique. Le couple est comme une pièce de théâtre avec ses rebondissements, ses entrées d'acteurs et son intrigue qui peut surprendre ou s'embellir selon les décors et accessoires que la vie mettra à disposition. C'est l'écriture de ce scénario au fil du temps qui apportera les réponses aux protagonistes, lesquels peuvent aussi prendre part à ce travail de création où c'est leur propre réalité qui prend forme…
Comprendre la symbolique intime du couple est primordiale pour en garder à l'esprit l'essentiel de sa substance, cela permet à cette union d'individualités de perdurer sans heurt et sans accroc aux vicissitudes quotidiennes qui viennent inlassablement éroder nos convictions tel le ressac sur la falaise. Par conséquent, nul n'est à l'abri d'une chute ou tout simplement de trébucher sur un obstacle en travers de la route, nul ne peut non plus prévoir avec précision l'avenir de sa relation ou bien les multiples voies à emprunter au détour du chemin principal. Pourtant nous cherchons sans cesse des solutions, que ce soit individuellement dans chaque acte de notre existence ou bien au sein du couple pour que celui-ci avance de concert main dans la main sans jamais relâcher son étreinte. Au début d'une relation amoureuse nous sommes véritablement à l'affût de chaque instant pour créer ou resserrer les liens d'attachements sur tous les fronts de cette bataille dont l'effort de guerre ne travaille heureusement que pour l'amour du partenaire, et s'il faut lever dans l'instant des armées pour soulever des montagnes alors rien n'arrête la volonté de ceux qui s'aiment pour vaincre l'adversité. Puis des années plus tard il est tout aussi vrai qu'il faut compter quelques désertions dans les rangs d'une volonté parfois un peu à court de ressources pour continuer à avancer à vive allure, il est peut-être temps de faire une pause salutaire.
La plupart des couples vivent à un moment ou un autre cette période d'incertitude ou de flottement de leurs sentiments dans ce que je viens de décrire et il n'est pas rare de voir des femmes et des hommes consulter des spécialistes du couple, des "coachs conjugaux", pour justement régler certains problèmes d'usure dans la relation de couple. Ce sont surtout les femmes qui se posent le plus de questions, elles prennent les devants lorsqu'elles sentent d'instinct la situation leur échapper, en d'autres mots lorsque la relation amoureuse commence à battre de l'aile. Les spécialistes du couple sont à l'image de ces théoriciens ou stratèges qui n'ont souvent jamais mis les pieds sur le terrain, ils rabâchent des vérités toutes formatées qui, bien qu'elles soient basiquement utiles, restent de somptueuses généralités à la limite de la futilité pratique… La symbolique intime du couple telle que je la conçois ne passe pas par une psychologie de bas étage trop vague ou trop linéaire, elle entre bien au contraire dans les subtiles fondations des partenaires pour en dévoiler la quintessence qui structure la relation amoureuse et lui apporte sa puissance. Il faut voir le couple comme une source d'énergie vitale partagée avec cette dimension ésotérique qui la protège, et non comme un schéma stéréotypé de clinicien qui répète à tous la même histoire.
Les ressorts subtils des relations amoureuses résident à un niveau de conscience qui dépasse le simple entendement intellectuel pur pour s'inscrire dans une sphère d'interaction que seule saura capter une vision foncièrement élargie ayant une orientation plus ésotérique dans l'interprétation. Cette interprétation passe par de complexes archétypes que C.G Jung a très bien expliqué mais qui ne font pas partie de l'enseignement orthodoxe de la psychologie car elle va beaucoup plus loin en terme de symbolisme pour s'approcher d'un irrationnel proche de la magie et de ses rituels. C'est justement pour bénéficier de cette vision plus complète et plus proche d'une certaine vérité que j'assume utiliser à la fois la psychologie traditionnelle avec une approche moins conventionnelle en utilisant les rituels de magie comme révélateurs de la problématique des couples. Certains diront que la magie n'est qu'une grande imposture orchestrée par des escrocs, ce serait bien mal connaître toutes les ressources mises à disposition par la magie opérative que d'en rejeter d'emblée toutes les possibilités qu'elle recèle et donc se couper de solutions très efficaces. Je précise tout de même que je ne pratique qu'une magie spécifiquement consacrée aux problèmes amoureux, principalement la "magie rouge" pour la citer ici très clairement.
Le retour d'affection dans le couple est une priorité afin d'inverser un processus de destruction ou d'usure de la relation amoureuse, ce qui implique de cibler les liens d'attachement comme autant de points positifs à renforcer ou à réparer, ce que le rituel du même nom, de "retour d'affection", effectue de manière optimum lors de travaux de magie rouge. Il est nécessaire parfois d'expliquer d'où viennent les termes et pourquoi nous les employons, ils ne sortent nullement de l'imagination débridée d'un quelconque romancier mais plutôt d'études ésotériques qui se compilent depuis des décennies en Europe (et des centaines d'années dans des pays comme l'Inde très en avance sur les "choses de l'amour" et leur symbolique ésotérique ainsi que leur application). En occident nous avons la très mauvaise habitude de vouloir tout démontrer avant d'assurer du bien fondé d'une méthode ou d'un fait, ce serait très difficile de démontrer l'Amour par A + B, et les sciences ont encore beaucoup à apprendre sur certaines réalités invisibles et indémontrables qu'elles rejettent avec force et dédain à défaut d'avoir une attitude plus sage et plus spirituelle.
Renforcer les liens d'affection dans le couple n'est pas une impossibilité lorsque ceux-ci commencent à se déliter, au contraire il faut savoir les traiter avec la dimension qui leur convient, prendre en compte toute une symbolique que seuls les rituels de magie rouge peuvent actuellement gérer de manière directe et efficace. Vouloir sauver son couple ou restituer les sentiments comme au premier jour n'est pas une impossible fatalité mais une nécessité qu'il convient d'assumer sans honte dans le cadre de travaux professionnels avec la certitude de comprendre pourquoi la relation de couple en est affectée et comment y remédier! Je reste à votre disposition pour en discuter dans un premier temps. Je vous dis à bientôt et soyez toujours confiant(e) dans l'avenir car l'amour ne disparaît jamais, il faut juste savoir le retenir au moment opportun!
Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com https://grandmaitremediumlaterre.site123.me/ E-Mail: [email protected] Tel: 0022998574889 Whatsapp : 0022998574889
0 notes
Text
Jay-Z : Il livre des confessions sur ses infidélités !
Présents dans les médias à l’approche de la soixantième édition des Grammy Awards, Jay-Z est passé sur le plateau de la prestigieuse chaîne CNN, sur laquelle il a accepté de livrer quelques confessions sur sa vie personnelle.
Interrogé sur la façon dont il était parvenu à surmonter les tensions nées de ses infidélités ,le chanteur a admis que le problème avait dû être affronté en face à face, au risque de voir le couple exploser.
" Nous avons choisi de nous battre pour nous, pour notre famille, pour donner un avenir à nos enfants, pour briser ce cycle " a-t-il indiqué au présentateur Van Jones.
Aux questions " Pourquoi ce mariage est-il si spécial ? Pourquoi vous êtes-vous battu pour le sauver ? ", la star du hip-hop a reconnu que Beyoncé était son " âme sœur ". " C’est la personne que j’aime. Vous pouvez être amoureux de quelqu’un, l’aimer, mais si vous n’avez pas connu l’amour, que vous ne le comprenez pas, que vous n’avez pas les...
Retrouvez cet article sur Public
OJ Simpson père de Khloe Kardashian ? : Il livre enfin une réponse !
Ricky Martin : Il se livre sur sa vie personnelle et dévoile ses grands projets !
#TopNewsPublic : Capucine Anav sort un livre, Rihanna s'installe à Paris !
Livre : Top 10 des romans adaptés au cinéma qu'il faut lire avant de voir !
Vidéo : Zapping TV du 23 janvier : Rita Ora livre ses secrets beauté dans Quotidien
0 notes
Text
Voici comment sauver son couple quand tout semble rerdu
Comment sauver son couple au bord de la rupture ou après une infidélité ? Comment sauver son couple quand tout semble perdu et plus rien ne va plus ? Faut-il vraiment se battre pour sauver son couple ? Autant d'incertitudes, de questions et de doutes légitimes que vous vous posez sûrement si vous lisez cet article. Nous allons vous expliquer ici et maintenant comment et pourquoi sauver son couple, s'il faut se battre ou pas. via Love Coach http://ift.tt/2tpF5gX
0 notes