#bébé kahei
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laylucifer · 5 years ago
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Kahei - Le petit Seigneur
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Alors oui, je sais, 6 mois sans grande nouvelle sous le soleil, mais mettons de côté ses absurdités personnelles pour revenir sur ce qu’il nous intéresse vraiment. Le jeu de rôle, les OC’s, comment on en est arrivé là.  (Je t’ai entendu le petit malin du fond dire “ Ah bon, je me suis abonné à ce blog pour ça ? “ sache que oui, j’parle beaucoup, explique des trucs qui t’intéresse pas forcement parce que ma vie n’est pas OUFFISIME, mais j’ose espérer que tu comprendras ce que j’essaye de te faire partager et que tu en tireras quelque chose également).  Comme dit précédemment, mon premier OC’s était un Personna du nom de Kitsune que je ne peux omettre, quand bien même j’en ai honte, car elle a été la base qui m’a permit de donner naissance à moult autre personnage dont je peux être fière aujourd’hui et le premier dont je vais vous parler c’est mon petit Kahei. 
Il faut savoir que Kitsune à cette époque était présente uniquement dans l’univers de Yuyu Hakusho dans lequel il y avait un personnage, Yoko Kurama, duquel j’était tomber très amoureuse. Je songe que tomber amoureux d’un personnage fictif peut vous paraître très étrange, mais se reconnaîtrons ceux aillant eut un crush pour un perso cool de leur série d’enfance. D’autant plus qu’à l’époque j’était très seul, je n’avait pas d’amis, et les mangas était, pour ainsi dire, mes seuls liens sociaux. 
Kitsune était donc une Yoko (ou un démon renard argenté) ou une change forme qui avait rejoins le groupe de bandit de Yoko Kurama. J’avait peu de variante à l’époque, c’était soit un hasard, soit parce qu’elle était le petit chien de compagnie d’un démon plus fort qui l’avait prise en affection, mais dans tout les cas Kitsune se révélait être une groupie/ Object sexuel pour le démon Kurama. Outre le fait que ce statue n’était pas très glorieux déjà à l’époque, tout ce qui comptait pour moi était que Kurama et Kitsune finissent ensemble et ceux malgré le dénouement de l’histoire originale du manga (que je vous conseil de lire ou de voir d’ailleurs, c’est une série de mon enfance que je trouve bien faire malgré les doublages français bancals). Une fois devenu adulte, aillant majoritairement résolu mes problèmes de sociabilités et trouver l’homme de ma vie, je suis revenu sur ce personnage et autant vous dire que j’en ai presque pleurer ! Voir ce personnage qui était mon personna à l’époque dans une condition aussi précaire et honteuse, un démon prétendu fort devenu femme au foyer et un vulgaire objet me dégouttait, j’ai décidé de la reprendre pour au moins lui donner une fin digne de ce nom. 
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 Autant dire que, après quelque recherche, je me suis très vite rendu compte que Kitsune (qui est devenu Paru à ce moment-là) ne pouvait tout simplement pas se mettre en couple avec Kurama et ceux pour plusieurs raisons : Yoko Kurama, à l’époque, ne se serait pas encombrer d’une femme comme elle (pot-de-colle, violente et enfantin) alors qu’il était un démon dont la puissance et le nom grandissait, qu’il était antipathique, cruel et calculateur. Les deux personnalités n’aurait pas matcher. Alors pourquoi je n’ai pas adapter Paru ? 
Il faut se dire qu’un personnage, qu’il soit un OC, un personnage de fiction ou un personnage de roman, n’a pas besoin d’être en couple pour exister. Ainsi, si je voyait mieux Paru comme un monstre brutal et immature alors pourquoi pas la laisser ainsi et modifier sa relation avec Kurama ? Cela m’a paru beaucoup plus sain et respectueux vis-à-vis du personnage de Kurama qui, dans le manga, à une personnalité travaillé et qui évolue avec son histoire. 
Bon, je vous avoue, j’ai quand même retravaillé un peu Kitsune/Paru. Déjà parce qu’une démone renarde argenté avec des cheveux brun c’était méga gringe, mais aussi parce qu’il fallait que je lui donne une identité ce que je n’avait jamais faire avant. Comme pour relier des univers de mon enfance, mes premiers essai de RolePlay notamment, j’ai choisit de lui donner une forme draconique (mon premier vrai personnage de RP étant un dragon). Pour la forme, je lui ait donner une couleur noire et pour que les interactions soit possible je lui ait donner le pouvoir de prendre une forme humanoïde. A partir de là, Paru avait déjà une forme, il ne me restait plus qu’à lui crée une histoire qui était totalement détacher de Kurama et de provoquer leurs rencontres. 
Alors alors ... qu’est-ce qu’elle est devenue ?
Il faut savoir que le monde des ténèbres où vivait Yoko Kurama est un monde très profond qui s’étend sur des milliers de kilomètres, il n’est donc pas rare que certains démon ne mettent jamais les pieds sur un territoire ou qu’un autre reste inconnu à la majorité de la communauté démoniaque. L’un d’entre eux est le territoire des Dragons Astraux une espèce en voie de disparition qui on la capacité de prendre une forme humanoïde en gardant ailes, cornes, queue et pattes arrières sous leur formes reptiliennes, mais cela reste tout de même un exploit pour se type de démon. Cette espèce fait partie d’une des deux rares à pouvoir prendre ce genre de forme, de pouvoir s’accoupler avec n’importe quel espèce pour pouvoir continuer à perduré malgré leur danger d’extinction, mais aussi de manier l’énergie astrale qui les rend dangereux pour les autres démons.  Les dragons astraux vivent en communautés d’une vingtaine d’individu et détermine leurs chefs par la force lors d’un combat “officiel” devant toute la communauté qui n’a pas le droit d’intervenir dans le combat. Les chefs sont en général des mâles, bien que si une femelle gagne elle puisse prendre sa place. Même s’ils ont la capacité de se reproduire avec les membres d’une autre espèces le petit, qui sera forcement un dragon, est juger et souvent considérer comme un bâtard à sa propre espèce. 
Ce préambule étant fait, il faut se dire que lors d’une de ses “missions” de pillage pour se faire connaitre dans les ténèbres, Yoko Kurama et son groupe vont tomber sur un repère de Dragon Astraux. Naturellement, les dragons vont vouloir les exécutés pour ne pas qu’ils révèlent leur positions, mais Paru, une jeune dragon, effronté va leur proposer de les utiliser pour abattre des expéditions ennemis qui leur fond du mal. Elle devra se battre pour réussir à convaincre ses opposants, mais grâce à sa longue queue en fouet elle déstabilisera son adversaire et permettra à Kurama et à son groupe de repartir. Mais bien entendu, pour s’assurer qu’il s’occuperait bien des monstres qui mettait en difficulté les siens elle le suivit. Kurama n’appréciera pas vraiment sa présence, Yomi, son bras-droit, non plus, mais Paru va se moquer de leurs état d’âme car, après tout, elle est l’une des espèces les plus puissantes des ténèbres. Ils vont combattre ensemble, Kurama réfléchissant à un plan tout en intégrant sa force draconique et ses pouvoirs, puis au moment de repartir de la région elle va demander à se joindre à eux alors que les siens lui promettait l’exil si jamais elle quittait les cavernes où elle était née. Voyant là une allié de choix dans sa quête de puissance, Kurama accepta. 
Le reste de l’histoire de Paru est similaire à celle prévu initialement. Il n’y a pas d’amour entre elle et Kurama, même s’ils ont des relations sexuelle, même si elle ronronne à son approche, Paru à une affection grandissant en une dévotion amoureuse au fur et à mesure des années, mais ce n’est pas le cas de Kurama qui la considère comme un de ses bons éléments (sa forme de dragon aidant beaucoup dans les raids mener avec ses hommes). Alors quand viendra les chasseurs de l’au-délà qui essayeront de le supprimer à cause de sa puissance grandissante autant vous dire qu’il l’abandonnera sans mal pour sauver sa peau. 
Paru, éploré, rentrera sur le territoire où réside le reste de sa troupe avec sous le bras un oeuf sous le point d’éclore. Elle attendra qu’un petit dragonneau en soit sorti avant de se présenter dans les cavernes où le dragon qu’elle avait affronter des années auparavent avait pris la place de chef et l’affrontera en duel officiel pour prendre sa place et assurer à son fils un lieu sûr où il pourrait grandir. Paru, qui avait vécu des années au grand air à se battre, vaincue et deviens la Reine Noire. 
Elle règne pas mal d’année et elle disparu vers “l’affrontement final avec Toguro” dans le manga et ce fut son fils qui prendra sa place : Le petit Kahei. 
Maintenant on peut l’oublier, parce que tout ça n’avait pour but que de vous présenter Kahei. Alors oui, on est sur le fils de Paru et Kurama, mais Kurama ne connais pas son existence jusqu’à bien plus tard dans une fanfiction que j’ai essayer de relier au manga et encore, et Paru s’éclipse pour pouvoir le voir grandir. 
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Kahei est un bâtard, un dragon né grâce au sang d’un démon, et cela va beaucoup le peser lors de son enfance. C’est un petit garçon au cheveux argenté (donc aux écailles) qui essaye de grandir en suivant la dirigeante de sa troupe plus que sa mère elle-même et qui, en grandissant dans la troupe, va se faire quelques amitiés qui l’accompagneront. Il rencontrera Siuil, une jeune femelle aux écailles vertes qui va rapidement laisser tomber les préjuger des adultes pour apprendre à le connaitre. Elle sera sa première amie. Puis Raska, un jeune mâle rouge qui va être très influencer par la haine de son père, l’ancien chef que Paru à détrôner, et sa soeur. Il va beaucoup lui jeter la pierre, l’insulté et même chercher à se battre avec lui alors que Kahei, de nature passive, va se sentir mal à l’aise face à cette recherche de conflit. Cependant, alors que Raska fut un jour en danger contre un groupe de démon belliqueux, Kahei essaya de le sauver et découvrir son pouvoir astral qui sera de crée un bouclier avec ses ailes. Depuis ce moment Raska changea peu à peu d’avis sur le petit bâtard qu’il reconnaîtra avec le temps comme son ami. 
Il grandit ainsi, entouré de deux amis proches qui l’aideront à se faire accepter parmi les autres dragons et prouvant sa puissance par sa force de caractère, bien plus réfléchit que celle de ses pairs né pur, que par son esprit de communauté prononcer. Kahei devint grand, l’un des plus grands dragons de sa troupe, mais restera connu sous le surnom de “petit prince” ou “ petit seigneur” grâce à ses amitiés qu’il s’était fait étant plus jeune et à son statue de fils de la Reine Noire. 
Quand cette dernière disparaît, Kahei est élue par la majorité de ses pairs pour son courage, son esprit de stratège et surtout l’importance qu’il a à protéger les siens. Pour la première fois dans le monde des Dragons Astraux, un chef avait été élue pour protéger les autres dragons. 
Je suis très fière de Kahei. Parce qu’en naissant il m’a aider à faire un trait sur Paru qui n’existera plus à partir de là ou si elle reviens c’est pour signer sa fin, mais aussi parce qu’il est l’un des premiers à être un personnage aussi intégré au contexte (après Liba, dont je vous parlerai plus tard). Kahei peut existé dans le monde de Yuyu Hakusho sans que l’univers ou l’histoire n’en soit changer et c’est ce qui, à mon sens, en fait un bon personnage. 
Je ne sais pas trop dire quoi d’autre sur Kahei. Je pense qu’en dire d’avantage me vaudrait bien une petite fiction pour vous le faire paraître dans sa forme la plus belle et spectaculaire d’autant plus que la fanfic dont j’ai l’idée met en avant Kuwabara, un personnage secondaire de l’oeuvre auquel je me suis attacher en travaillant Kahei, mais... J’ai tellement d’autre personnage dont je voudrait vous parler et je préférait vous laisser le choix de savoir si, oui ou non, ça vous intéresserai d’en apprendre plus sur Kahei, le petit Seigneur. 
C’était long, mais j’espère que ça vous à plus ! Des bisous astraux, Lay.
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laylucifer · 4 years ago
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Liba - L’esprit du vent
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Je trouve qu’un billet par an c’est un bon rythme, pas vous ? 
Dans la série des “Manga où tu as glissé ton persona de façon cringe”, j’appelle en témoin YuGiOh. (Attend, tu veux pas parler pourquoi t’as été absente pendant 1 an alors que ta résolution c’était justement te d’occuper de ce blog ?). Absolument pas, cependant je peux vous parler de cette merveilleuse amie et collègue qui m’a remotivé à écrire ici. 
Alors, même si je meurt d’envie de vous parler d’énormément de chose (notamment de Kaguya, parce que je l’aime de tout mon coeur), je préfère vous parler de tout les personnages qui ont été aboutis avant elle. 
Quand j’était enfant, je l’ai déjà dit, mais j’était une enfant, puis adolescente très seule. Mon père m’a partager ses passions parmi lesquels se trouvait celle des mangas. Je regardait des animé plus jeune sans forcement le savoir (SonicX, Capitain Tsubasa (Olive et Tom pour les puristes), Candy, Goldorak, DragonBall) parce que mes parents avant grandit avec cela et que mon père aimait ça. Et puis, un jour, mon père à trouver un animé trop cool qu’il nous a partager : Naruto. Moi et mes frères ont a adoré. Si bien que quelques années plus tard, mon père et moi avions rendez vous tout les vendredis soir après avoir lu le Scan du dernier chapitre de Naruto (qui était sorti chez Jump au japon, que des braves âmes avaient récupérer, scanner et traduit) pour en discuté. Bref, pendant plus de 12 ans Naruto était mon moment complice avec mon père. 
A partir de là, j’ai fait mes propres recherches et j’ai regarder des oeuvres de mon choix (Je me souviendrais toujours du malaise que j’ai ressentie ne regardant le film Kenshin pour la première fois, des larmes qui coulaient à flot quand j’ai finit Negima et des magazines AnimeLand que j’achetait pour découvrir de nouveaux animés et manga alors que j’avais un ordinateur pour chercher). J’ai découvert Yuyu Hakusho sur la chaine Manga, mais également HunterXHunter, j’ai put regarder les City Hunter aussi et je suis progressivement passé du coté PC de la force pour regarder les animés que je voulais au final. C’est comme cela qu’au collège, bien après la hype de la primaire, que je me suis mise à regarder YuGiOh. Parce que l’effet de mode était passé, parce que je me suis dit que pour la culture ça serait bien que je le regarde, ect... Et finalement, YuGiOh à lui seul (à l’instar de Dragon Ball) c’est franchement pas mal ! 
Autant dire que ça a vite déraper pour Kitsune dans cet univers là. Je ne saurais pas dire si elle était aussi raté que celle dans Yuyu Hakusho, mais disons qu’elle était beaucoup moins travaillé et qu’elle se résumais principalement à faire des bébés pour s’accaparer l’affection des hommes. (Team Atem ou Team Bakura ?)
Comme à chaque fois, il y a eut plusieurs version, mais globalement c’était un esprit qui venait d’Egypte Ancienne (parce que je préfère les univers anciens, médiévaux, ect... Eh oui, Team Héroic Fantaisie ici les gars, l’Urbain Fantasy et les Bit-Lit j’ai du mal) et qui retrouvait ses amants dans le présent en mode groupie ou alors c’était une femme qui épousait le Pharaon Atem, qui avait une fille avec lui (je crois qu’elle s’appelait Yura), mais qui avait des sentiments pour son ennemis juré Bakura et comme elle savait pas qui prendre parce qu’elle ne pouvait épousé les deux se faisait violée par Bakura, avait une fille de lui nommé Ran qui était élever dans le palais (forcément) et voilà. Du coup, elle avait les deux hommes pour elles par l’intermédiaire de ses filles. 
Autant vous dire que c’est la première dans le lot que j’ai retravaillé. Kitsune est née quand j’avais 15 ans et est devenu Liora quand j’avais 18/19 ans.
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A chaque période de ma vie j’ai des grosses inspirations dont je copie au départ le principe, puis en grandissant je m’en éloigne tout en gardant le clin d’oeil. Pour Kahei, sa forme dragonnique m’a été inspiré par l’oeuvre de E.E. Knight : L’âge de Feu, qui sont mes premiers livres de fantaisie que je me suis acheté et qui raconte la vie et l’histoire de Dragon.  Pour Liora, puis Liba, c’est Spirit, l’Etalon des plaines de Dreamworks. Alors oui, vous avez l’impression qu’on régresse, mais attendez que je vous explique.
Je faisait du jeu de rôle sur un forumRPG de Spirit à l’époque (alors oui, ça a éxisté et c’était très bien pour une ado comme moi \o/ ) et j’avais fait un cheval de guerre indien bai foncé dont la personnalité et le caractère était pas mauvais, sans forcement être le personnage de l’année (l’identification au personnage, Kitsune dérivé sous la forme d’un canaçon, la répétition des caractères et le manque d’originalité, bref...) et étant dans une de mes nombreuses périodes YuGiOh je me suis dit qu’il faudrait que j’adapte les personnages que j’aime pour les intégrés dans le forum. Ce fut une plus ou moins belle réussite. Si c’est resté à l’état de brouillon sur le forum, dans ma tête et sur le papier c’est devenu quelques chose de plus aboutis. 
Petit apparté pour dire qu’à cette époque si j’avais un skyblog (comme beaucoup de gens de mon âge) et que j’ai put découvrir une chouette personne qui m’a fait réalisé qu’adapter son personnage à l’univers c’était mieux, qu’on pouvait écrire une belle histoire sans forcer les personnages à changer de nature. Mille bisous à Yugioh-picture, si un jour tu passes par là, sache que tu m’as aidé à grandir avec ta super fiction que je vous invite à lire. 
Première étape : S’adapter à l’univers. Kitsune n’est pas un nom Egyptien, hors Bakura et Atem vivent en ancienne Egypte. J’ai fouiné sur internet jusqu’à trouver ce site qui me permit de trouver un nom cool à Kitsune. Ainsi, elle est devenu Liora (bien que Liba me plaisait aussi). Deuxième étape : Adapter son caractère aux personnages avec lesquels je veux qu’elle ait des affinités. A cette période, Yugioh-picture et sa fanfiction m’ont beaucoup aider à comprendre cela.  Troisième étape : Se rendre compte que le résultat te plait pas, que c’est pas Kitsune, que ça te gonfle. Tout balancer par la fenêtre, arracher la page et la chiffonner et recommencer.  Quatrième étape : Crée une histoire adapté à l’univers proposer sans la rentre indispensable. C’est ainsi qu’est née Liba. 
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Lors de son combat contre Mahad (qui deviendra par la suite le Magicien des Ténèbres), Bakura se retrouve enfermer dans un tombeau qui s’écroule sur lui, mais arrive à s’enfuir en découvrant un ruisseau qui le guide en dehors du tombeau. Affaiblit, il est récupérer par des habitants des frontières du royaume d’Egypte qui vont prendre soin de lui. Une fois sur pied, le Roi des Voleurs exige un cheval pour quitter l’endroit et retourner au palais. Les villagois acceptent, prétendent même avoir les chevaux les plus rapide du pays, mais lui disent d’aller voir ça avec l’éleveuse de chevaux. Ni une, ni deux, Bakura s’y rend et y trouve une jeune femme souriante, taquine, qui ne prend visiblement pas sa personne au sérieux et qui monte sa jument sans selle, ni bride. Elle s’appelle Liora et lui dit que s’il veut un cheval qu’il s’approche de l’un d’eux et qu’il le monte. Son cheval le plus rapide étant un étalon bai foncé un peu à l’écart du troupeau, Bakura s’en approche et se fait agressé à grand coup de dent et de coup de sabot de l’animal, prénommé Zéphyr, qui refuse de se laisser approcher par lui. 
Alors Bakura devra rester avec ses villageois le temps de dompter l’un des chevaux de Liora. Alors, pourquoi n’a-t-il pas utilisé l’anneau millénaire pour asservir le cheval ? Parce que le village palpite de magie. Bon nombres de ses habitants ont appris à maitriser le pouvoir des éléments qui se sont insuffler en eux à petites doses. Liora maitrise le vent : Elle l’entend chanté à ses oreilles, il la préviens quand un danger l’approche et elle peut apaiser les chevaux qu’elle élève, se faire comprendre plus ou moins d’eux et surtout leurs insufflés la capacité de courir plus vite. C’est pour cela que ses chevaux sont les plus rapide du pays. 
Ce temps va permettre à Bakura d’apprendre à connaitre ses gens et à les apprécier, reconnaissant en eux l’ambiance communautaire qu’il a connus jadis dans son village de Kul Elna aujourd’hui village fantôme (hachtag le manga) et a force de se rendre au troupeau tout les jours pour essayer de dompter un cheval il va avoir une relation amoureuse avec Liora. Comme Liora est lié au vent, elle ne se voit pas finir sa vie avec quelqu’un. Le village est petit, on a vite fait le tour et elle a déjà reçut de nombreuses demande en mariage qu’elle a éconduit parce qu’elle préférait savouré une liberté que le ciel et la brise lui promettait. Alors, même si réellement le sexe et le rapport à son corps différait de la mentalité de Liora en Egypte ancienne comme elle pensait différemment, que son peuple croyait en des entité divine différentes que celle mise en place (c’est aussi pour cela qu’ils vivaient loin d’autres village, le dernier pharaon à avoir voulu changer la religion à très mal fini (Aller regarder des documentaires sur le Dieu Âmon vous comprendrez)) et Bakura aillant renier les dieux tout simplement leurs relations aussi romantique et éphémère était tout à fait possible. C’est d’ailleurs grâce à elle que Bakura à put finir par acquérir Zéphyr et partir.  Le manga continu, Bakura reprend sa route. On distant le temps pour s’adapter à ce qu’il peut se passé et c’est dans cet instant qu’on met en pause le défilement du manga pour insérer son histoire qui devra se raccorder à l’histoire originale à la fin. 
Liora donne naissance à une petite fille aux cheveux blancs, à la peau tannée et aux grands yeux bleu-acier parcouru d’étoiles qu’elle nomme Liba (dont la signification est Mon Coeur).et dont l’esprit du vent tombe éperdument amoureux. Malheureusement, comme le village de Liora se situe près des frontières il y a peu de garde pour la protéger et elle meurt empaler par des flèches lors d’un tour de garde qu’elle effectuait avec des membres de son village. La moitié de se dernier est d’ailleurs décimé à ce moment là et la petite Liba est élevé par l’un de ses anciens amants. Quand Bakura reviens, qu’il découvre cette petite fille d’à peine deux ans et apprend la mort de Liora, il propose au village de se déplacer dans un lieu plus sûr.  
C’est à partir de là que l’histoire de Liba commence vraiment. On a vu que Liora avait eut sa petite histoire, mais au final elle n’est qu’une passerelle pour introduire sa fille, Liba, qui est plus sympas, plus finit, plus ... plus attachante. 
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Liba c’est donc la fille de Bakura (c’est l’information importante), qui lui a continuer sa petite vie hein, même s’il a invité les habitants de ce village à venir à Kul Elna qui, soit dit en passant, est bourré de fantômes et d’ondes négatives cela ne l’a pas empêcher de continuer à monté son plan pour détruire le pharaon et de faire des rencontres. Il a connus d’autre femmes et a même fait d’autres enfants (petit clin d’oeil à la fiction de Yugioh-Picture ici). Du coup, même si Bakura est son père, qu’il l’aime, Liba est plutôt détacher de lui. Elle grandit surtout entouré d’ami, de chevaux (parce que c’est devenu le fond de commerce des habitants) et surtout avec une rengaine dans la tête qui l’empêche de rester concentré.  
Elle grandit avec Luth (la réplique de Gringoire dans la comédie musicale de NotreDame de Paris) et Khenty sur un fond de “A Nous” de Robin des Bois. Vers ses 15/16 ans, ils vont prendre leurs montures et partir découvrir le désert en volant et se jouer des autorités du pharaon comme leurs à appris à faire Bakura. 
Pour ceux que ça intéresse, j’avais publier à l’époque deux chapitre de ce début d’histoire qui me plaisait énormément mais que je n’ai jamais terminé et que je finirais surement un jour. Vous le retrouverez ici et j’assumerais la honte et la gène de vous partager un post qui date de ... 2013 ! 
Bref, cette troupe de joyeux lurons vaguait à leurs occupations. Liba est devenu une femme que je trouve magnifique. 1m60/1m65, des longs cheveux blancs en crinière, des yeux bleu qui pétilles, un air sauvage et revêche, des cuisses larges et une culotte de cheval à force de monté à cheval, des bras un peu épais dont une décerne pas les muscles, mais de la force dans ses mains, de la souplesse dans son dos. Un caractère indomptable, ferme, sec, une petite bandit qui est proche de ses frères d’armes. Elle maitrise le vent, mieux que personne, mais de façon naturel parce qu’elle est née avec et que le vent l’accompagne partout où elle va. 
A ce moment là, l’Egypte est attaquer par des bandits venus de l’extérieur. Le Pharaon c’est marier à une femme (qui n’est pas sa soeur parce qu’il n’en a pas) et à eut deux enfants Ramsès et Meora (qui eux sont censé se marier et se font très bien à l’idée). Liba et sa troupe sont face à de nombreux bouleversements. Premièrement Luth est amoureux de Liba, n’ose pas lui avouer de peur de brisé leurs amitiés et un soir abuse d’elle. Cela va brisé la confiance de Liba qui va  devenir plus irritable, furieuse contre tout ce que va faire Luth et finalement cela va apporté la zizanie dans sa petite troupe. Si bien que lorsqu’il vont tomber sur une autre bande de bandit et que Khenty va se faire tuer, Liba ne s’en remettra pas et quittera Luth pour faire cavalier seul.
 Les frontières de l’Egypte était menacer, Bakura se voit contraint de se rapprocher du Pharaon, pas par plaisir, mais par nécessité pour les gens et amis qu’il a. Rappelez-vous, ses gens vivent sur les frontières pour fuir les forces armés du Pharaon alors n’ils n’ont personnes pour se protéger et malgré leur magie ils sont face à une véritable armé. Alors Bakura alla demander à Pharaon la protection en échange du pouvoir élémentaires que maitrisait le peuple qui le suivait. Pharaon accepta, mais ses prêtres malins et soucieux de s’assurer la fidélité de cet ennemis qui, par la force, venait leurs demandés asile. Pour tester sa volonté, ils lui demandèrent la main d’un de ses enfants. Si Bakura n’était pas foncièrement d’accord avec l’idée, Liba l’accepta à la grande surprise de tous et surtout de son père, cependant les différents évènements qui formait sa vie et son histoire l’avait poussé au bord de la dépression et elle acceptait sans peine de se sacrifier pour son peuple. Liba épousa Ramsès à la place de Meora et devint Princesse d’Egypte, assurant alors la protection pour son peuple et la paix. 
Cependant, contrairement à Atem dont l’âme et le coeur pur et valeureux tomba peu à peu sous le charme sauvage de Liba, de la magie qui agitait ses cheveux et de sa voix irréelle que lui avait accorder le vent (nul personne ne chantait aussi magnifiquement qu’elle, car elle chantait avec la voix du vent les chansons que la brise avait composé pour elle), ce ne fut pas le cas de son fils qui malgré ses airs bon prince était dévoré par l’égoïsme et la haine. A l’abris des regards, Ramsès se déchaina sur Liba. Accompagner de Meora qui n’acceptait pas qu’elle ait pris sa place au coté de son frère. Il la força à se tenir à ses cotés, muette, la violenta pour la forcer à lui donner un enfant, mais plus Liba restait enfermer entre les murs du palais, plus elle dépérissait. Peu à peu, Ramsès finit par comprendre que Liba était stérile et n’eut plus aucune raison de retenir ses coups. Liba, qui agonissait à cause des portes closes du palais, devait désormais cacher ses bleus. Un soir, alors qu’elle fuyait sa chambre conjugale en se tenant les côtes, elle tomba au pied de Pharaon dont le coeur se serra devant cette scène. Avec le temps, son amour pour elle avait grandit, malgré tout les efforts qu’il avait essayer de faire pour le taire. Il la pris dans ses bras, la ramena à son fils et une violente dispute éclata entre eux. C’était indigne d’un futur roi de se comporté ainsi, mais Ramsès refusa d’entendre qu’il devait avoir du respect pour la fille d’un bandit, l’assassin d’un prête, d’un voleur. Liba voulait fuir, mais si elle le faisait alors l’alliance entre son peuple et Pharaon serait rompue. Elle soupira un voeu las que le vent emporta loin jusqu’au fond de l’Egypte où Luth entendit son appel. 
Par la suite, Luth s’infiltra dans le chateau et enleva Liba qui se trouvait au porte de la mort. Les rumeurs de l’état de Liba montèrent aux oreilles de Bakura qui se rendit dans la salle du trône et exigea des explications. Il fallut tout le calme et la diplomatie possible à Atem pour contenir la rage de Bakura qui avait perdu sa fille et appris de surcroit qu’on lui avait fait du mal sans pour autant savoir que c’était le prince lui-même qui en était responsable. Cependant, l’Egypte se trouvait à ce moment là au plus mal et on ne pouvait se laisser aller à une guerre civile. Liba repris du poil de la bête loin d’eux, en compagnie d’un ami qu’elle pardonna pour ses erreurs passé et qui fit de son mieux pour l’aider. Pendant ses mois d’errance à fuir les gardes de Pharaon, le vent souffla sur le visage de Liba son bonheur de la voir en vie, loin des murs épais de sa prison dorée et fit vibré en elle la magie plus que jamais. 
Quand elle rejoins son peuple qui se tenait au coté de l’armé du roi pour bouté les ennemis hors d’Egypte, Liba avait accepter l’idée de revoir son bourreau. Pharaon, Bakura et Ramsès furent présent. Le prince l’accueillit avec un grand sourire, les bras tendu vers elle, en déclament des paroles fausses, exprimant des sentiments contrefaits. Liba se laissa approcher et, quand il fut assez près, dégêna un poignard qu’elle lui planta dans la gorge. Les généraux furent estomaqués, les prêtes choqués demandèrent des explications, mais d’un geste Pharaon arrêta les soigneurs qui se jetait sur son fils. 
“ Laisser les dieux jugés de ses actions. Seuls eux sont en droit de sauvé son âme et, s’il lui accorde la garce, alors que mon âme soit dévoré quand viendra ma mort.”  Tous le regardèrent, mais Atem n’avait d’yeux que pour Liba sur qui il posa un regard à la fois désolé et distant. Il comprenait en la voyant désormais, qu’elle n’était pas faite pour vivre la même vie que lui et que, s’il l’aimait, elle avait tout les droits de refuser de remettre les pieds dans le palais où il avait été responsable de ses maux. Liba, après un long instant à regarder les yeux du roi, lui sourit et accepta ses excuses muettes. 
La bataille fit rage quelques minutes après, Liba et les siens combattant aux cotés des soldats et monstres d’Egypte. Après de longues heures, l’ennemis commençait à faire marche arrière quand les dernières flèches tirés à la volée, se plantèrent dans le torse de Liba qui tomba de cheval. Son père se jeta à terre et courru la prendre dans ses bras, mais il était déjà trop  tard pour elle. Elle toussotait, la bouche pleine de sang, cherchais en vain à reprendre son souffle alors que ses poumons étaient persé de flèche et mourus à ce moment dans les bras d’un père en larme. Le vent hurla à son tour, de nombreuses rafales se déferlait de façon douloureuse sur le champ de bataille et celui-ci refusa tellement de laisser son seul amour disparaitre qu’il se glissa dans son nez, pénétra son sang et tourbillonna en elle jusqu’à en extraire son âme avec laquelle il fusionna. 
Le vent tel qu’il existait à l’époque disparu pour laisser l’âme libre de Liba qui devint à ce moment l’esprit du vent, l’incarnation de la liberté. 
Par la suite, le corps de Liba fut ramener au château où elle fut embaumé et emmener dans la vallée des reines où elle fut enterrer comme une princesse d’Egypte. Bakura, dévoré par la colère et la haine d’avoir vu Pharaon causé les tourments et la perte de sa première fille décida de renouer avec ses convictions passé et de le détruire lui et tout ce qu’il représentait. 
Ainsi, nous reprenons le manga au moment où Bakura reprend ses vols et son combat contre Pharaon. Par la suite, dans le manga et l’animé, il reviens dans le temps pour essayer de se donner une autre chance. 
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Pour moi, Liba est mon premier vrai personnage abouti. Elle a une vie, une histoire, une entité et finit par mourir. C’est elle qui m’a vraiment donner le gout de ce genre d’histoire. Elle peut existé dans l’univers de YuGiOh sans que l’histoire n’en soit changer. Elle peut rajouter de la profondeur à Bakura dont on ne sait que peu de chose au final. 
Et sur tout : Je l’aime.  Ecrire l’histoire de Liba c’est quelques chose de touchant parce qu’on se met à sa place. J’ai essayer de faire des personnes censé, des possibilités réelles et de rendre logique le déroulement de l’histoire qui, finalement, à pris énormément de place sur ce post alors que ce n’est qu’un résumé. C’est ma première OC à être aussi abouti, terminé. Celle qui mérite la première de voir son histoire écrite. 
Merci à ceux qui ont eut le courage de tout lire et j’espère que Liba, l’esprit du vent, vous à toucher autant qu’elle ne m’a toucher jadis.  On se retrouve vite pour un prochain billet - pas dans un an cette fois. Des bises sur vos joues.  Que l’esprit du vent accompagne vos pas.  Lay’. 
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