#commencer le sport
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 351
Florian contrat (suite) + mon petit beau-frère - 2
Dimanche matin
Je me réveille le premier comme d'habitude. Alors que le reste du lit (PH et Ludovic) dort encore, je fais défiler sur l'écran de la TV les différentes caméras du blockhaus. Je commence par la chambre de João. Elle est vide ! Je m'attendais à la trouver peut être surchargée mais vide, surement pas ! Je bascule directement sur la chambre type refuge de montagne (deux supports de matelas superposés de 6m de long sur 2m de profondeur). Je les trouve tous les 7 (Second, Julien, João, Romain et Florian, Max et Enguerrand) endormis les uns sur les autres. Du coup je recherche le fichier de l'enregistrement de cette chambre (ils se déclenchent automatiquement quand une personne y séjourne, détection de chaleur). Je passe en accéléré. Après notre fin de soirée chaude, je vois João entrer avec mes deux amis et les deux gymnastes tous encore humides et le drap de bain autour des reins en provenance de la salle de bain. Puis je vois l'arrivée des deux gamins. Ils en font un tas (des draps de bain) et envahissent le niveau du bas. Je les vois se câliner gentiment mais sans sexe. Il faut dire que notre séance digestive nous a mis les couilles à plat. Et ils s'endorment plus ou moins collés.
Il est 8h30. Je pénètre la chambre et silencieusement réveille Julien. Comme je vais pour faire de même avec Second, il me dit tout bas de le laisser dormir, il viendra le rechercher ce midi. On glisse hors de la chambre et je l'accompagne à la salle de bain. Petite douche pour achever le réveil et nous montons prendre un café avant qu'il ne parte vite à sa boutique. Comme il monte en voiture, je lui propose, si son apprenti est libre, de revenir avec pour déjeuner. Ce serait un bon moyen de connaitre son " ouverture d'esprit " et puis avec les jeunes qui sont là ce WE, ça fera moins piège. Il part en me disant qu'il allait y réfléchir. Vers 10h les autres sortent des bras de Morphée. Second me reproche de ne pas l'avoir réveillé en même temps que son mec. Mais quand je lui dis que peut être Julien nous rejoindra pour déjeuner avec son apprenti, il me dit que j'ai fait fort s'il le ramène. Petit déjeuner et matinée de sport. Alors que nous sommes quelques-uns à aligner des longueurs, Second et les deux gymnastes regardent comment ils pourraient intégrer leurs agrès sans prendre plus de place que nécessaire. Quand je sors de l'eau, ils ont des idées à me proposer. Les barres parallèles peuvent prendre place au bout du tatami coté sortie du garage. L'élément pourra toujours être déplacé dans le cas où un Fenwick serait nécessaire pour déplacer les arbres en bac. Quant aux anneaux, comme leur support doit être spité au Blockhaus, c'est à l'opposé par rapport au bassin qu'ils seraient les moins gênants. Je valide et il ne reste plus qu'à attendre les livraisons. Romain et Florian travaillent leur souplesse au sol alors que nous autres on pousse un peu de fonte, juste histoire de gonfler légèrement nos muscles. 12h30 : je pousse le groupe à aller se doucher et se vêtir un minimum au cas où l'apprenti serait des nôtres. Ça se limite quand même à un short + un t-shirt ou un marcel selon. Evidemment Max et Enguerrand enfilent leurs shorts hyper moulants, véritables appels au viol ! 13h15 : nous sommes prêts et attendons avec impatience le retour de Julien. 13h30 : sonnette, Julien est à la porte. J'ouvre qu'il puisse entrer la voiture. J'ai vu que la place du mort était occupée mais je ne dis rien aux autres. Ce n'est que quand le monte-charge s'ouvre que mes comparses voient qu'il est accompagné. Le jeune homme est encore mieux en vrai qu'en photos. Il est intimidé et ses yeux tournent pour ne pas se fixer sur quelque chose ou quelqu'un en particulier. Jusqu'à ce qu'il voit la piscine au-dessus de la cuisine.
Julien lui prend le bras et le pousse en avant pour présenter Nathan à ceux qui ne le connaissent pas. Les plus âgés (dont je fais partie) lui claquent une bise sur la joue comme mes escorts. Par contre Max et Enguerrand ne se gênent pas et directs posent leurs lèvres sur les siennes. Je ne sais si c'est à cause de la surprise ou s'il aime ça mais il ne recule pas en hurlant au viol. Très naturellement nous embrayons sur les clients de la matinée. Julien nous demande ce que nous avions fait en les attendant. Pendant ces échanges, je mate son apprenti. Pour son âge, il est déjà bien bâti. Un petit mètre 80, larges épaules, petit cul mais cuisses épaisses qui remplissent son jeans slim. Tête avec cheveux blond coupés footeux, ses lèvres rose vif sont pulpeuses sans tomber dans le vulgaire. Comme je sers les apéros, Max et Enguerrand le prennent en charge et je tends l'oreille pour saisir leur aparté.
Ils lui demandent dans quel lycée professionnel il est, pourquoi il avait changé de maître d'apprentissage, s'il se sentait bien chez Julien. Il n'a pas le temps de répondre qu'une autre question arrive. Il demande un temps mort et commence à répondre. Il cite un lycée qui n'est pas très éloigné de celui de Max, la raison de son changement est que son ancien patron lui avait fait des avances mais qu'il était vieux et vraiment repoussant pour qu'il accepte. Oui il était bien chez Julien, le travail est très intéressant et il apprend beaucoup en technique. Julien lui demande aussi de travailler sa créativité et ça il aime, même s'il se plante régulièrement. C'est Enguerrand qui relance le côté " sexe ". Il lui dit qu'en plus, contrairement à son ancien patron, Julien est jeune et suffisamment canon pour... il laisse la phrase mourir.  C'est Nathan qui conclut en leur disant que oui mais il est casé avec Dorian. Max et Enguerrand sont surpris, c'est vrai qu'ils ne le connaissent que sous le surnom de Second. Ils mettent un peu de temps à réagir jusqu'à ce que Nathan leur montre l'ancien apprenti maçon. En attendant ça sent bon tout ça ! Je finis de servir les verres, il accepte un petit Martini avec plein de glaçon, comme les garçons. PH lui demande d'où lui est venue la vocation. Il se dévoile un peu et nous dit que sa mère est cuisinière et à la maison il l'aide depuis qu'il peut tenir un bol. Moi je lui demande ce qu'il a fait pour avoir cette carrure à son âge. Il me sourit (et il a un très beau sourire) et me dit que depuis tout petit il fait du foot en club mais que depuis son début d'apprentissage il a du mal à en faire régulièrement. Alors, si c'est pour rendre service ! Je n'attends pas l'accord de Julien et lui dis que s'il le veut il pourrait venir faire du sport avec nous tous dans la mesure où ses horaires le permettraient. Ce qu'il y a de bien avec nous c'est que les entrainements se font plutôt en début de soirée qu'en fin d'après-midi. Là je me tourne vers Julien et lui demande si ça pourrait le faire qu'il s'entraine avec Max et Enguerrand. Sans m'engueuler il me dit que je ne perds pas de temps. Je fais l'innocent et lui dis que c'est juste pour rendre service. Il en est content de son apprenti, donc il peut lui faciliter la vie aussi. Il convient qu'il a trouvé avec lui, un futur bon second. Le rouge monte aux joues de notre jeune invité !
Nous passons à table. La vue de Samir et Ammed trouble un peu plus Nathan. Et si je me fie au gonflement de sa braguette, le trouble est plutôt positif pour nous ! On fait tous semblant de ne pas s'en apercevoir pour ne pas le mettre mal à l'aise. Si la conversation commence sur son cursus théorique et pratique, nous passons vite à un sujet plus intéressant lui. Après deux verres de vin, il se lâche un peu plus. Surtout on en apprend plus sur son année passée. Il commence soft mais fini par tout nous raconter. Je pense qu'il avait gardé cela en lui jusqu'à aujourd'hui. Au début son maître d'apprentissage paraissait bien. Bonne boutique avec une réputation de qualité, la sélection avait été dure pour obtenir le poste. Mais cela s'était vite dégradé. En fait le type voulait plus un esclave qu'un apprenti. Il l'avait logé dans un taudis plus qu'une chambre, avec juste un lavabo et l'eau froide. Il ne lui laissait qu'un WE sur deux, une véritable exploitation ! Il avait eu du mal à en parler à son professeur principal et c'est après qu'il avait débarqué chez Julien. Le prof principal étant un ami de ce dernier. Julien comprend mieux le comportement du " petit " dans les premières semaines. Mais comme cela s'était " normalisé " il n'en avait plus fait cas. Comme il est à coté de Nathan, il passe son bras derrière son cou et l'attire vers lui pour lui ébouriffer les cheveux et lui claquer un gros bisou sur la joue. Nathan se laisse faire et nous dit que c'est bon maintenant. Son nouveau patron est trop bien et en plus qu'il soit homo le rassurait lui. Max et Enguerrand sortent de table et vont l'entourer. Il craque et, avec quelques larmes aux yeux, il les serre contre lui. Pas de gêne entre nous. Si pour moi le passage à l'état de PD s'était super bien passé avec Marc, je sais que ce n'est pas le cas de tous. PH à morflé lui aussi ! Quand ils se décollent, Ludovic lui prend le bras et lui dit " bienvenue parmi nous ! ". Un petit sourire contrit lui répond. Puisque ça part comme ça je prends les choses en main. J'impose à Julien de libérer Nathan pour les deux séances de sport hebdomadaires. Florian qui n'avait jusque-là rien dit me propose de le véhiculer les soirs en question. Julien le remercie mais nous dit que cela ne leur fera pas de mal à lui et à Dorian (Second) de reprendre le sport un peu plus sérieusement. Il m'assure qu'il y aura toujours l'un deux pour faire les conduites. Florian m'a l'air un peu déçu. Je le chauffe en lui disant qu'il le retrouvera sur le tatami notre nouvel ami. Du coup c'est lui qui pique un fard ! Le déjeuner se termine dans la bonne humeur et le café pareil. Alors qu'on discute entre nous, Max et Enguerrand me demande l'autorisation de faire visiter les installations sportives à leur nouveau copain.
Ils disparaissent plus d'une heure et nous reviennent tous les trois un peu, non franchement rouges. Florian fait la gueule ! En attendant il est décoincé notre Nathan. Il est beaucoup plus bavard et déjà il est en train de planifier son programme avec nos deux jeunes. Je l'attrape par le cou, le fait venir jusqu'en face de moi et lui demande ce qu'il croit. Qu'il va peut-être faire ce qui lui chante ? Il ne comprend pas. Quand je lui explique qu'on a plusieurs coaches sportifs qui vont s'occuper de lui, il commence à saisir. Julien rit devant sa tête effarée. Il lui dit de se préparer à des journées doubles s'il veut suivre ses nouveaux copains. Le dimanche se fini dans la bonne humeur et quand ils repartent tous, je vais dans notre chambre trouver l'enregistrement qui devrait me renseigner sur l'heure manquante. Je repère le trio dans la cour puis au second dans la salle de sport. Mais c'est dans les douches, en revenant de lui avoir montré la piscine que mes deux jeunes l'on coincé/entrepris. Le dos bloqué par Max, Nathan s'est laissé embrasser par Enguerrand. Puis j'ai vu mes deux gamins lui faire la totale. Alors qu'Enguerrand soulevait son T-shirt pour lui manger les tétons, Max embrassait son cou et lui mordillait les oreilles. Puis ils l'ont coincé contre le mur carrelé avec toujours Max à lui rouler un patin et Enguerrand à descendre d'un étage de plaisir. Sans dégager plus que son service trois pièces, je le vois entamer une pipe de pro. Le sexe du petit nouveau disparait totalement dans la bouche de mon petit beau-frère. Mais comme il sait faire des gorges profondes, ça ne m'indique pas la taille de Nathan. Ils en resteront là pour cette fois, amenant leur nouveau camarade de jeu à l'éjaculation totale.
Et malgré le coup d'eau sur leurs figures, ils avaient encore chaud quand ils nous avaient rejoints. Je remonte au 4ème et attrape les deux " fautifs ". Ils avouent sans que je leur demande que, oui, ils n'avaient pu se retenir de voir s'ils pouvaient décoincer un peu Nathan. Et Max de me rappeler qu'à leur retour, ce dernier était beaucoup plus disert. Je demande à Enguerrand, puisque c'est lui qui avait eu le " matériel " de Nathan en bouche de me l'estimer. Réponse : 18/19 x 4,5/5 avec de belles couilles même si elles étaient invisible sous les poils. Ça promet, même si sa croissance est quasiment terminée. Julien m'appelle quand ils sont arrivés chez eux. Dans la voiture, ils ont beaucoup discutés avec Nathan. Il leur a avoué qu'il s'était laissé sucer par Enguerrand et que s'ils étaient d'accord, il aimerait bien les revoir lui et Max. Je l'annonce à nos deux gamins que je n'ai pas encore raccompagnés. Ils sautent de joie, Nathan leur plait beaucoup. Je reprends ma conversation avec Julien. Il me dit que Nathan était entré dans les détails de son apprentissage précédent et qu'il le comprenait bien mieux maintenant. Son ancien patron était un gros porc d'hétéro qui avait deviné que Nathan était homo et avait voulu en profiter. Il lui faisait du chantage pour ses évaluations, il le coinçait régulièrement dans le labo et frottait son sexe contre son cul. Enfin l'enfer quoi ! Et ç'avait été jusqu'au viol. Je lui dis que Nathan avait dû apprécier le respect avec lequel il l'avait traité. Puisque sans se cacher qu'il vivait avec Second et qu'il n'avait jamais eu un geste déplacé. Il me répond que c'est justement ce qui l'avait fait accepter mon invitation à déjeuner. Mais il craignait maintenant qu'il soit pris pour une salope d'avoir cédé aussi vite à mes deux petits. Comme je lui dis que j'espère qu'il l'a détrompé sur ce dernier point, il me dit que oui, qu'il l'avait assuré qu'il n'avait choqué personne chez nous. J'ajoute que nos cours de self défense devraient lui donner de l'assurance et surtout il saura après mettre KO le moindre mec qui voudrait profiter de lui. Là-dessus, Julien est d'accord que ça ne lui fera pas de mal.
Le mardi suivant ils sont tous les trois pas trop en retard. Par contre ils sont les derniers et le blockhaus bruisse de toute l'activité d'une bonne 20aine de mecs en tenue de sport (enfin la mienne) ! Max et Enguerrand prennent Nathan en charge. Ils lui passent un short complet aussi étroit que les leurs. Quand ils nous le ramènent il se fait siffler par tous les mecs présents. Quand il arrive devant moi, il est tout rouge. J'appelle Jona et lui présente le dernier arrivé. Il devine que c'est un footeux et pas à sa tête mais à ses cuisses puissantes. Il tourne autour de lui, passe ses mains sur son torse, ses bras et lui dit qu'il va falloir travailler tout ça. Il le questionne sur sa pratique sportive at pousse Clem du banc de développé couché pour le tester. Il note les poids soulevés et le fait passer sur plusieurs postes avant qu'Anthony le prenne en charge. Max cours lui chercher un maillot et le fait se changer au pied du bassin. Ses petites fesses blanches provoquent de nouveau sifflets admiratifs. Dans l'eau il se débrouille bien en brasse et crawl. Quand il entend notre maitre-nageur l'informer qu'il va devoir se mettre au papillon, car ça développe bien le torse, il se demande où il est tombé. Je le sort de l'eau et le pousse vers le tatami. João est en train de s'entrainer avec François. Nathan est fasciné par les mouvements des combattants. Je lui prends le bras et à l'oreille lui glisse que quand il aura appris à se défendre comme nous tous, il sera à l'abri de tous les cons de la terre. Il comprend que Julien m'a parlé. Il se tourne vers moi et je vois ses yeux légèrement humides. Je passe mon bras sur ses épaules, le serre contre moi et lui dit qu'avec nous, il est en sécurité. J'ajoute en riant que le seul risque c'est qu'il se laisse séduire par mes amis. Je vois apparaitre un sourire et il m'assure qu'heureusement qu'il est stressé sinon il banderait comme un chien en rut. J'arrête les combattants et leur pousse Nathan. J'avise João que c'est un béotien question sport de combat. Je reste à mater l'entrainement. João lui apprend à tomber sans se faire mal. Pendant 3/4 d'heure, il tombe, tombe et retombe jusqu'à ce qu'il prenne le pli. Avant la fin, Max et Enguerrand sont arrivé voir les progrès. Ils le félicitent et l'embarquent pour aller se doucher. Je vais me doucher à mon tour mais ne les trouve nulle part. Ils reviennent tous sourires et tous propres du 3ème. Florian fait encore une fois la gueule !    
Jardinier
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ironfistred · 15 days ago
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Bonjour, je vais commencer par publier ma première histoire sur la croissance. Je tiens à préciser que je suis débutant en matière d'histoire donc elle risque d'être assez courte et peut-être pas aussi excitante que mes prédécesseur.
Alan était un jeune homme très fin, sans charisme et peu viril. Il aimait les hommes et les femmes mais personne le remarquait. Il passait inaperçu et avait peu d'ami. Il se sentait faible et manquait d'assurance. Il décida de prendre de se prendre en main. Alors, Alan s'inscrit à la salle de sport à côté de chez lui pour devenir plus fort et plus musclé.
Alan était trop timide et peureux pour partir à la salle de sport. Il avait peur du regard des autres et il était agoraphobe. Alan se mit en tête de partir à la salle de sport 1h avant la fermeture. Il se dit qu'il aurait le temps de faire sa séance et qu'il y'aurait peu de personne à cette heure-ci.
Le premier jour à la salle, il était perdu. Il ne savait pas quel exercices il devait faire. Il y avait quasiment personne. Les quelques personnes présentes était concentrées sur leurs exercices. Donc personne ne pouvait l'aider et le conseiller. Il essaya les différentes machines de musculation mais les charges étaient trop lourde pour lui. Il n'arrivait à rien. Il se sentait frustré de ne pas réussir à soulever des poids. Il commença à rassembler ces affaires pour rentrer chez lui. Mais juste avant de partir, il vit un bel homme musclé, viril et transpirant rentrer dans les vestiaires. Il devait avoir finis sa séance de musculation. Alan décida finalement de suivre ce bel homme dans les vestiaires. Il fit semblant d'avoir oublié quelque chose dans les vestiaires. Il voulait absolument se rincer l'œil discrètement sur ce bel étalon. Dès qu'Alan rentra dans les vestiaires il sentit une forte de transpiration et de pieds. Il reconnu l'odeur de ce mâle. Malheureusement pour lui, il n'y avait personne dans les vestiaires, aucun bruit. Alan était persuadé avoir vu cet homme rentrer dans les vestiaires mais il n'y avait rien en dehors d'un short blanc posé sur le banc. Ce short blanc n'avait rien de spécial mais Alan était étrangement attirer par ce short. L'odeur était de plus en plus forte près du banc. Alan se rendait compte que l'odeur émanait du short blanc. Il se rapprocha du short, puis de manière inexpliqué il le prenait dans ces mains. Il était hypnotisé par le short. Il sentit le short blanc. L'odeur était incroyable pour Alan. Le short sentait la transpiration, le musc et étonnamment les pieds. L'odeur était tellement enivrante qu'il commença à bander. Alan voulait absolument porter ce short, il était obnubilé par le short et ces odeurs. Son rêve était de garder ces odeurs sur lui, toute la journée. Il s'enferma dans les douches, il s'est mit tous nu. Il commença à enfiler le short au niveau de ces jambes. Ces jambes grandirent. Il senta ces pieds grandirent et grossirent. Ces pieds sentait le musc et la transpiration. Alan n'était pas horrifié, il aimait cette sensation de chaleur et cette odeur le parcourir.
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Il commença à l'enfiler sur sa queue. Au bout de quelque secondes, il se sentit sa queue croître. Il ressenti un plaisir immense traverser sa queue. Il se mit à gémir. Le plaisir remonta vers ces abdominaux. Ils commençaient à devenir aussi dur que du béton
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Le plaisir monta jusqu'à ces pecs. Ces pecs devenaient proéminent et volumineux. Ces aisselles devenaient poilus et puante. Alan aimait cette odeur sous ces aisselles. Le plaisir monta jusqu'à sa tête. Une barbe commença à pousser sur son visage. Alan était imberbe jusqu'à présent. Son visage se remedola. Alan se mit à se branler. Il toucha sa longue queue sensible. Le plaisir devenait si intense qu'il se mit à éjaculer des flots de sperme sur le sol. Puis Alan s'est évanoui dans la cabine de douche.
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Lorsqu'il se réveilla, il oublia tous ces anciens souvenirs à propos d'Alan. Il s'appelait maintenant Aiden. De nouveau souvenirs commença à émerger. Il se rappelais qu'il était un pratiquant de muscu et un ancien capitaine de l'équipe de lutte au lycée. Il était adulé par tous les garçons de sa classe. Il s'est tapé beaucoup de fille et beaucoup de mecs dans sa vie. La chose qu'il aimait le plus en dehors du sport c'était le sexe. Il aimait qu'on s'occupe de sa queue mais aussi de ces pieds transpirant. Aiden aimait cette odeur après la muscu. Aiden s'est habillé. Il ne voulait pas se doucher après sa séance de musculation car un petit minet l'attendait chez lui. Ce petit minet devait lui décrasser ces pieds de taille 46 et lui pomper tous son jus.
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greenhouse-studies · 7 months ago
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Le premier jour! • 100 jours de Français!
Salut tout le monde! Je m'appelle Ryan Aaron et je commence ce défi aujourd'hui. J’espère pouvoir relever ce défi sans échouer. Mon français n'est pas génial parce que je ne l'ai pas pratiqué. MAIS! Je vais essayer!
J'ai étudié le français au lycée... et, euhhhhh... j'ai vingt ans et je suis à l’université.... oups? Je m'en souviens d'une partie, spécifiquement le grammaire, c'est juste de la vocabulaire que je n'ai pas. Même j'écris ça, c'est difficile.
Si j'ai des erreurs, dis-moi, s'il vous plaît! j'apprends encore. Merci beaucoup!
C'est ce que j'ai fait aujourd'hui:
Faire du sport (je me suis accroupi, j'ai fait le banc de presse, j'ai fais du jogging.)
J'ai dessiné et peint.
J'ai lu.
J'ai étudié le français (évidemment)
C'était une bonne journée <3
🎵 A House in Nebraska - Ethel Cain 🎵
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wheelsgoroundincircles · 1 year ago
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1963 AC SHELBY COBRA
1963 AC SHELBY COBRA 4.7-LITRE MARK II ROADSTER  REGISTRATION NO. OYM 28A CHASSIS NO. CSK2116 ENGINE NO. CSX2116
Footnotes
Rightly regarded as one of the all-time great classic sports cars, the muscular, fire-breathing Cobra succeeded in capturing the hearts of enthusiasts like few of its contemporaries. Only 1,000-or-so Cobras of all types were built between 1962 and 1967, but such was the model's enduring popularity that production was resumed in 1982 under the auspices of Brooklands-based Autokraft. 
Convinced that a market existed for an inexpensive sports car combining European chassis engineering and American V8 power, Le Mans-winning Texan racing driver Carroll Shelby concocted an unlikely alliance between AC Cars and the Ford Motor Company. The former's Ace provided the simple twin-tube chassis frame - designed by John Tojeiro - into which was persuaded one of Ford's lightweight, small-block V8s. It was discovered that the latter was lighter than the six-cylinder Ford Zephyr unit that AC was using, yet with vastly greater potential. To cope with the projected power increase, the Ace chassis was strengthened with heavier gauge tubing and supplied fitted with four-wheel disc brakes. Weighing a mere 1.5cwt more than a Bristol-engined Ace yet endowed with double the power and torque, the Cobra turned in a breathtaking performance, racing to 60mph in 4.4 seconds and reaching the 'ton' in under 12, exceptional figures by early 1960s standards and none too shabby even today.
The 260ci (4.2-litre) prototype first ran in January 1962, with production commencing later that year. Exclusively for the USA initially, Cobras - minus engines - were sent from England to be finished off by Shelby in California, and it was not until late in 1963 that AC Cars in Thames Ditton got around to building the first fully finished cars to European specification. 
After 75 Cobras had been built with the 260ci engine, the more powerful 289ci (4.7-litre) unit was standardised in 1963. Rack-and-pinion steering was the major MkII up-date; then in 1965 a new, stronger, coil-suspended MkIII chassis was introduced to accommodate Ford's 427ci (7.0-litre) V8, an engine that in race trim was capable of producing well in excess of 400bhp. Wider bodywork, extended wheelarch flares and a bigger radiator intake combined to create the definitive - and much copied - Cobra MkIII look. Keeping ahead of the competition on the racetrack had been the spur behind Shelby's adoption of the 427 engine, but some MkIIIs to 'street' specification came with Ford's less powerful 428ci hydraulic-lifter V8. 
But for Brian Angliss, the Cobra story would have ended in 1967. The Autokraft boss had built up a business restoring Cobras and supplying parts, and in the early 1980s acquired the rights to the AC name plus a quantity of jigs and tooling from the old Thames Ditton factory. Keeping the overall style of the MkIII, Autokraft produced the MkIV, which was appropriately updated to meet current legislation and powered by a 'Federalised' Ford 5.0-litre V8 engine. Around 480 were built. 
Chassis number 'CSX2116' was invoiced to Shelby American on 16th April 1963 and shipped to Los Angeles three days later aboard the 'SS Loch Gowan'. Invoiced on 18th June 1963 to Burton Motors of Sacramento, California, the Cobra was sold new to a local doctor who used it for a few years before giving it to his daughter. She used the car as daily transport for several years before the clutch failed, at which time it was sold to Steve Dangremond of Santa Rosa, California. The Cobra was advertised for sale by Mr Dangremond in late 1977 and bought by Dr Grant Hill of Chotoka, Alberta. Dr Hill fitted Weber carburettors and raced 'CSX2116', eventually trading it to Fred Yule in Portland, Oregon. At that time, the car was still finished in its original colour scheme of dark blue and retained its original black leather interior. 
'CSX2116' returned to the UK in the late 1980s and was advertised through Hampson's Ltd, by which time it had been refinished in red and fitted with a full-width roll bar. Subsequent owners in England were Dr Carlos Barbot, Trojan boss Peter Agg and Formula 1 racing driver Rupert Keegan. 'CSX2116' was last restored in 1988, records on file indicating that an extensive mechanical restoration was undertaken at this time. The car still retains its original black leather interior though the Weber carburettors have gone, replaced by an easier to maintain four-barrel Holley. There is considerable additional accompanying documentation including correspondence between previous owners, a copy of the original bill of sale, Shelby American Automobile Club letter of authentication, FIA papers and Swansea V5 registration document. The car has belonged to the current owner since 2006.  Early Cobras are offered for sale only rarely and this example represents a wonderful opportunity to acquire a fine example of this classic of Anglo-American sports car design. 
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leschosesetlesfantomes · 8 days ago
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au sport, quand c’est très difficile, les profs disent parfois et on n’oublie pas de sourire ! certains jours, ça m’énerve et j’ai envie de leur balancer une chaise au visage d’autres jours, j’ai le cœur plus docile alors j’obéis  et c’est vrai que ça va mieux les moments difficiles quand on sourit
alors je fais le test dans la vie quotidienne je marche dans la rue et je commence à sourire c’est drôle sourire fait naître une raison de sourire même toute petite je souris et tout à coup oui, c’est vrai, le ciel est bleu, cet oiseau chante, cette écharpe est très douce, quelles excellentes raisons de sourire un peu je souris pour adoucir certaines minutes de ma vie et puis c’est contagieux les personnes que je croise se mettent à sourire également alors souriez il y a des chances pour que vous trouviez une raison de le faire même toute petite et il y a des chances pour que vous transmettiez votre sourire à quelqu’un qui en avait besoin
<3
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raisongardee · 3 months ago
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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je-suis-ronflex · 7 days ago
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Franchement reprendre ma vie en main, faire régulièrement du sport, mieux manger, être épanoui dans mon travail ça commence à vouloir me faire faire des trucs de zinzin comme retenter ma chance à N'oubliez pas les paroles y a pas à vouloir faire des trucs comme ça
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pastelpaillette · 13 days ago
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Ces derniers temps, je suis comme un poisson dans l'eau à la piscine, j'essaie d'améliorer mon cardio, d'optimiser mes mouvements et je commence à apprendre la nage papillon (vole, vole, vole...) !
A contre-courant : dans les magasins de sport, avec mon copain nous passons devant les équipements de ski car nous cherchons plutôt Lycra, combinaison, crème solaire coral safe...
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ernestinee · 11 months ago
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Booooon le jardin commence à reprendre une forme de jardin, les oiseaux font bombance et remplissent tout l'espace auditif disponible et c'est tellement bon. Des fleurs apparaissent par endroits, et des bourgeons déjà ouverts:
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L'origan sort de sa torpeur, les feuilles du cassis sentent déjà divinement bon.
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Un mur de bûches a fait son apparition dans le fond du jardin, pas trop haut parce que je veux profiter de la vue, et d'autres murs apparaîtront, autant cachés que possible. L'un derrière l'abri de jardin où j'ai récupéré la terre en préparation dans les composts, un autre très probablement sur le côté nord du terrain... Il y a encore beaucoup beaucoup beaucoup à faire mais on se voit enfin avancer, j'ai fendu du bois presque tous les jours de cette semaine et c'est fou ce que c'est un sport complet, il n'y a pas un seul muscle de mon corps qui ne me fait pas souffrir. J'ai hâte de mesurer les tas de bois pour calculer combien de stères auront été fendues.
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Et Nougat profite de la vue depuis le toit de l'abri de jardin.
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Nougat en mode badass :
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maximumwobblerbanditdonut · 6 months ago
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In Paradise! 🌊
The Games are also open in Tahiti! 🌸
15,000 kilometers from Paris, a ceremony inaugurated these Paris 2024 Olympic Games near the Teahupo’o iconic site, where the events will start on Saturday. 🏄
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Les Jeux sont aussi ouverts à Tahiti! 🌸
À 15 000 km de celle de Paris, une cérémonie a inauguré ces Jeux Olympiques de Paris 2024, près du mythique site de Teahupo'o où commencent les épreuves samedi.
The surfing competition of the Olympic Games will take place in Tahiti, specifically Teahupo'o, because the Paris committee wanted to spread the 2024 Games beyond France, such as its own overseas territories.
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It was a stunning welcome for the surfing athletes who arrived in Teahupo'o for #Paris2024. The Te T'amu ceremony included a Purification des Lieux, a 'Ava Ceremony, and a Tavai Ceremony to bridge the oncoming competition and the rich culture of Teahupo'o 🏄
If big waves arrive in the South Pacific from July 27 to August 5, expect to see a lot of this spot. It will break the record for the farthest Olympic medal event to be held outside of the host city.
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📹Credit @aj_mccord
📸Getty / Sean M. Haffey
#Olympics | #Paris2024 #surfing #Teahupo'o #Tahiti #SouthPacific #openingceremony #stansport #TheGames #sport🏄
Posted 27th July 2024
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tourneefeeltennis2024 · 7 months ago
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Fin de journée au sporting avec Lucas et Capucine jouant côte à côte !
Ça commence à tirer pour certains mais ils s’accrochent ! Un véritable plaisir à les regarder avec ces attitudes irréprochables depuis une semaine sur le terrain !!
Allez les jeunes on continue
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camisoledadparis · 7 days ago
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saga: Soumission & Domination 381
Dernier trimestre à Berkeley - Marines/2
Je me réveille cette fois ci le premier et avec une belle gaule. Pendant la nuit, nos positions se sont inversées et c'est Chad qui est entre mes bras, les siens entourent Don. J'attrape vite une kpote et du gel sur la table de nuit, enfile le bout de plastique et l'enduit d'une bonne couche de lubrifiant. Je glisse mon gland entre les fesses musclées de Chad et dès que je le sens sur sa rondelle, je donne le coup de rein qui va bien. Contrairement à moi, ça le réveille de suite. J'entends un " bastard " mais il ne se dérobe pas et cambre même les reins pour me faciliter la pénétration.
Pour me faire pardonner, je lui passe une kpote. Il comprend où je veux en venir et s'équipe avant de faire son affaire au dernier occupant du lit. Là, c'est une autre chanson. Le dépucelage a été brutal même si la résistance n'est apparue qu'après la pénétration. Détendue pendant le sommeil, sa rondelle s'était laissée prendre par surprise. Chad bloqué dans Don, j'ai tout le loisir de lui défonce la rondelle.
Même si lui a l'habitude de se faire enculer, j'y suis bien serré. Quand enfin Don se décrispe et accepte la situation, je n'ai plus qu'à laisser faire le jambon (on est en sandwich pour ceux qui ne suivraient pas). Chad fait tout le travail pas toujours pour le plaisir de Don mais ça vient et quand on termine notre " réveil ", Don jute dans les draps sans avoir beaucoup à se branler.
Évidemment on se fait traiter d'obsédés sexuels, de violeur de pauvre petit garçon !! À d'autre ! Avec sa carrure il aurait pu nous éjecter s'il l'avait vraiment voulu. C'est d'ailleurs l'argument que je lui sors, approuvé par Chad qui en rajoute une couche en lui disant que s'il dormait entre ses bras à lui, c'est que lui, Don, espérait bien ce genre de mésaventure au matin.
Ça se règle par un petit combat ou Chad gagne par 3 mises à terre à 2. Don d'expliquer que c'est bien sûr la sodomie dont il avait été victime qui lui avait sapé les forces. Je lui rappelle alors qu'il avait quand même juté sans quasiment se toucher par l'effet ravageur des 23cm de Chad qui pilonnaient sa prostate. Ça finit en franche rigolade.    
Petit déjeuner et les 2 militaires m'entrainent dans un footing de 15Km. Je tiens le rythme mais en sort plus fatigué qu'eux, habitués à le faire avec une charge de 20 à 30Kg sur le dos !
Quand nous rentrons, nous trouvons Robert ravi de sa soirée et de sa nuit. Quand il nous dit avoir honoré la dame 3 fois, nous éclatons de rire et lui disons que c'est 1 fois de moins que nous. On se douche puis retour dans l'espace de sport pour un entrainement au combat. Robert nous rejoint en short, enfin jusqu'à ce que nous l'attrapions et le lui ôtions. Tous en Jock, on s'échauffe puis on passe au sérieux.
Pendant 2h1/2 je me prends branlées sur branlées. J'arrive quand même à prendre le dessus sur Robert et arrive exceptionnellement à mettre un des " Navy " au sol. Mais c'est jamais bien longtemps ! Il n'empêche que je progresse quand même.
Déjeuner tardif mais bourré de protéines. L'après-midi est plus calme. On sort boire un coup en ville. Le bar est loin d'être gayfriendly ! On se prend deux bières chacun puis on rentre. Robert reste avec nous. La soirée commence par un BBQ où Don fait griller autant de côte de boeuf que nous sommes. Quelques patates dans les braise et on se gave chacun d'un morceau de viande d'environ 300g.
Sans faire attention, je passe la soirée, où nous discutons, au creux des bras de Chad. Faut dire que c'est pas souvent que je trouve un mec capable de me tenir comme ça. Je me sens bien, en sécurité. D'habitude c'est plutôt moi qui m'occupe des autres.
La nuit qui suit ressemble à celle de la veille. Sauf que Don échappe à la sodo. Il nous remercie de lui avoir fait connaitre ça mais nous dit préférer la position active de ce type de relation. Du coup Chad et moi nous nous dévouons pour le plaisir de notre hôte. Pas de double pour moi, non plus. Mais les deux " Navy " me font quand même mon affaire successivement et aussi en alternance j'aime assez la différence de style qu'ils ont à limer un cul. Entre la saillie un peu désordonnée de Don et celle plus méthodique et aussi plus efficace de Chad, je prends encore une fois un pied monstre sous leur domination. J'arrive quand même à sauter Chad qui est franchement recto/verso.
Alors que nous récupérons, couchés sur le dos à regarder le plafond, je demande à Chad comment il vit sa sexualité dans l'armée. Il nous dit ne pas avoir été un des premiers en couple dans leur unité même s'il savait que certains de ses collègues l'était (en couple). Lui, jusqu'au passage de mes deux escorts, faisait plutôt ses " petites affaires " quand il était en permission ce qui parfois entrainait de longues périodes de branlette. Mais il s'était laisser prendre par mes deux experts ce qui l'avait un peu désinhibé et surtout lui avait fait prendre conscience qu'un mec de son unité avait tout : canon, BM, a/p et qu'en plus il en pinçait pour lui. Les touzes déclenchées par Jona et François les avaient rapprochés et surtout lui avait ouvert les yeux sur ce collègue amoureux.
Il est évident que même si le " don't ask, don't tell " est aboli, un minimum de discrétion reste d'actualité et il ne s'en était pas rendu compte !  
Comme ils sont permissionnaires pour une semaine, je reste alors que Robert retourne à Berkeley. Je fais bien car Chad appelle son mec et un autre couple gay de son unité, eux aussi en perm.
Ils arrivent directement de LAX et apprécient le climat comme la piscine que nous n'avions pas encore utilisé nous non plus. Ils s'y détendent de leur vol en classe économique et du trajet en voiture. Je fais donc la connaissance du mec de Chad. Quasiment un clone, tout comme le couple de collègues. Taille identique, musculature idem, je ne parle pas de la coupe de cheveux réglementaire qui gomme tout risque de différenciation par le système pileux, d'autant que pour le reste c'est aussi rasage ou épilation. En attendant son mec est cool et quand Chad lui dit qu'il ne va pas s'ennuyer avec moi, il m'avoue directement être jaloux, mais seulement de son mec qui a pu baiser avec moi.
Ok je ne rougis pas facilement mais là, il me gêne un peu. Il ajoute que Chad lui avait donné un aperçu de mes talents et qu'il était impatient de se faire sa propre opinion.
Les deux autres, en couple depuis plus longtemps lèvent les yeux au ciel en nous disant qu'eux avaient dépassé ce stade de baiser de tous les côtés ! J'espère bien les faire changer d'avais avant leur départ de Californie.
En attendant nous sommes encore en maillot de bain. Ça dure jusqu'au déjeuner BBQ pour changer. Moi, ça me va ! Les 3 nouveaux arrivés me demandent eux aussi de nouvelles de Jona et François. Ils sont surpris mais pas étonnés de leur dernière " aventure ". C'est Chad qui leur explique que je viens de lui apprendre quelques truc du " camp d'en face ". Là ils veullent connaitre tout de suite les clés. On attend un peu que la digestion soit plus avancée et on envahit le garage transformé. Les uns après les autres je les étale grâce à mes dernières connaissances. Comme Chad et Don, ils décortiquent les mouvements qui les ont mis par terre. Ils ne me laissent tranquille que quand ils ont totalement intégré la cinématique des mouvements qui les ont mis au sol. Et là malgré les parades enseignées par Jona, c'est moi qui qui finit le dos. Avant que je me sois relevé, le copain de Chad me couvre de son corps. Il déborde un peu !! Mais sa bouche est au bon niveau et on se roule une méga pelle. Il se décolle de moi pour, la tête tourné vers Chad, lui dire que j'ai déjà un frenchkiss qui déménage.
Je m'aperçois que je lui fais un peu d'effet par sa grosse bite qui déforme son jock. Mon bassin bouge et je me fais traiter de salope !! J'entends Chad au-dessus de nous dire à son mec " vas-y essaye le, il est encore meilleur que Jona et François ".
Moi, je suis partant c'est évident !! Depuis mon dépucelage par une amie de ma mère (cf. les premiers épisodes en 2007), je n'ai jamais refusé une partie de baise. C'est bien à cause ou plutôt grâce à ça que Marc a pu m'initier au plaisir entre mecs et il l'a fait suffisamment bien pour que j'en fasse mon tous les jours.
Bon, en attendant j'ai sur moi un Navy seal tout excité et prêt à faire ma fête. Il est hyper bandant (enfin pour moi). Musclé, et même beaucoup, imberbe, ça j'adore, et très très chaud, ça me fait fondre !!
Comme il m'écrase, je ne peux pas bouger. Il me roule un patin de fou. Rien qu'avec sa langue, je m'excite à mort et bande ferme. Mon partenaire aussi. Le couple nous a laissé et est sorti avec Don. Les jocks débordent et mon gland entre en contact avec sa bite. Limite ça me fait une décharge électrique. Quand il se relève, Brad me tire vers lui et je me retrouve coincé entre mes deux Navy.sa queue entre mes cuisses est rejointe par celle de Chad. C'est sans peine qu'ils me tiennent les pieds au-dessus du sol !
Ma tête ballotte d'avant en arrière accompagnée à chaque changement d'une pelle bien profonde.
Chad décide de mener le jeu pour que son mec saisisse plus vite de quoi je suis capable. C'est lui qui m'attrape par les hanches pour me décoller de Brad et me pousser à genoux devant lui.
Automatisme, ma bouche s'ouvre et se fait envahir par le sexe de Brad. Bon format lui aussi. Dans les dimensions de son pote peut être légèrement plus fine, enfin, un bon 23x6 quand même !! Il kiffe lui aussi ma capacité à l'avaler entièrement (je crois savoir que ce n'est pas le cas entre eux deux). Du coup il en profite bien et je suis deux trois fois à la limite de l'étouffement. Bon ça me fait bander encore plus dur mais quand même !
Chad est obligé de l'écarter sinon il m'aurait défoncé la gorge jusqu'à juter. Ma position change !! Je me retrouve soulevé, la tête en bas, mes jambes écartées afin qu'il puisse me bouffer la rondelle. J'ai juste à me stabiliser en m'appuyant sur son bassin. Chad m'aide en tirant ma tête en arrière pour profiter de ma bouche à son tour. Pour pouvoir l'avaler profond j'écarte mon torse de Brad en tendant les bras.
La position ne tient que par la nature musculaire exceptionnelle de mes deux partenaires. C'est très bon. Ma rondelle se détend sous les coups de langues de Brad et ma position facilite la pénétration en profondeur de sa salive.  Quand il m'estime prêt, il me redescend et sans que la queue de Chad quitte ma bouche, il m'enfile ses 23cm dans mon trou. Un " great " ponctue son mouvement qui écrase mes fesses contre lui. Un peu direct mais très bon quand même. Sa bite me remplit bien l'intestin et le passage de son gland au-delà de ma prostate et frappant cette dernière à chacun de ses passages m'envoi très loin dans l'atmosphère !
Chad continu de me prendre la bouche et surtout la gorge. Je me sens un peu comme l'agneau d'un méchoui. Mais c'est très bon quand ce sont deux beaux mecs qui t'embrochent ! Ils sont suffisamment forts pour me retourner sur le dos en me maintenant à 1 m du sol. Brad me soutient à la taille et Chad par les épaules.
Mais la position est quand même hard et ils me posent assez rapidement au sol pour continuer à " abuser " de mon corps. Je les entends au-dessus de moi commenter la baise et le confort que je leur apporte, quand ils ne sont pas à se rouler des patins. La pression monte et, si Brad est couvert, ce n'est pas le cas de Chad. Il se retient un maximum mais mes effets de gorge ont raison de lui et il sort juste au bon moment pour me couvrir le corps de son sperme, jutant même jusque sur Brad. De voir son pote à du provoquer l'étincelle et il me bourrine rapidement avant de se bloquer tout au fond de mon cul me secouant à chacune de ses éjaculations. Ce n'est que quand il sort et que son gland frotte une dernière fois ma prostate que j'éjacule à mon tour, ajoutant mon sperme à celui de Chad. Très bon ce plan pur Navy-Seal. J'en ai les jambes coupées. Ils sont obligés de me tirer par les bras pour me relever et me soutenir jusqu'aux douches.
J'ai encore les jambes en coton quand nous rejoignons les autres qui nous attendaient avec une bonne bière. Brad est plus brut de décoffrage que Chad et c'est sans gants qu'il donne son avis sur moi alors que je suis présent. Il dit au couple de collègues qu'ils ont eu tort de partir qu'à 4 il était sûr que je me serais éclaté encore plus !
Je le remercie et le prévient qu'au prochain round c'est lui qui y aurait droit. Eclats de rires des 4 copains, si Chad est recto/verso, Brad, lui, n'est qu'actif. Et bien il le sera moins en repartant de son séjour chez Don.
En attendant, on passe quelques heures à discuter une bière à la main.
Pour la nuit je choisi de rester avec Chad et Brad. Don nous laisse. Je me réveille en pleine nuit entre mes deux " armoires ". Brad est nu, sur le ventre contrairement à Chad. Un très léger ronflement m'indique qu'il est en sommeil profond. Je bande et me dis que c'est peut-être le moment de le baiser. Je trouve une kpote sur la table de nuit, l'enfile et la graisse copieusement. Doucement je pose une couche épaisse de gel au-dessus de sa rondelle. Je me place au-dessus de lui en position de " pompes ". Doucement je pose mon gland contre sa rosette. Ça ne le réveille pas, bon signe pour la suite. Par des mouvements de bassin, je teste son sphincter. Il me parait souple pour un puceau du cul. J'hésite entre lui mettre tout en 1 coup rapide ou me faufiler comme un voleur sur la pointe des pieds. Dans le premier cas, je suis sûr de le réveiller mais je serai déjà au fond de la place, dans le second, je peux peut être faire partie d'un rêve et réussir mon coup sans rejet.
Je tente ma deuxième idée, au pire je me retrouve plaqué au matelas avec un bras en travers de ma gorge.
J'y vais donc tout doucement. Mes bras écartés, mes mains de chaque côté de ses épaules, mon bassin descend. Je lui donne une rotation alternative. Je sens son anneau me laisser passer. Quand mon gland y est entier et que son sphincter se resserre derrière ma couronne, je ne bouge plus. Brad laisse échapper un gros soupir et remue un peu du bassin, comme s'il voulait se faire à ma présence. Mes bras tétanisent un peu à rester tendus sans bouger mais ce n'est pas le moment de m'écraser sur son dos.
Je continue ma plongée dans son corps. Quand il ne me reste plus qu'un cm à lui mettre, je m'écrase sur lui mes cuisses enserrant les siennes et mes bras ses épaules.
J'ai bien fait de m'accrocher. Car là il se réveille et je me retrouve écrasé contre le matelas ! Puis il réalise que c'est moi et qu'il m'a bien profond dans le cul. J'échappe donc à, au minimum, une épaule déboitée. Comme il gueule contre moi, Chad se réveille et éclate de rire. Il calme son copain en lui demandant si c'était si désagréable que ça, ce n'était qu'un peu plus gros que les deux doigts qu'il acceptait d'avoir dans le cul.
Mon bassin, vicieux, entame un pilonnage en profondeur qui doit stimuler ce qu'il faut car il se met à bander. Chad l'embouche et le bascule sur le côté. Ouf, je peux respirer de nouveau ! J'ai accompagné le mouvement et peux donc maintenant limer cette rondelle à demi vierge puisque déjà défloré à la main. J'entame de long (enfin 20cm) va et vient. Ça lui fait plus d'effet que je ne pensais car il ne lui faut pas 5mn pour lâcher la purée dans la bouche de son pote. Il me demande de sortir, ce que je fais bien que pas encore vidé. Il me fait glisser jusqu'à pouvoir me faire une pipe. Une vraie pompe à vide !! J'ai l'impression que sous son aspiration mes couilles vont passer par ma bite pour qu'il les gobe. C'est aussi efficace sur moi que ma bite en a eu dans son cul. En 5mn chrono je sens mon jus sortir de mes boules et remonter mon urètre. Brad se rejette en arrière au moment même où mon sperme explose en l'ai tel un geyser pour retomber sur mes pecs. Il ne reste plus que Chad à purger. C'est chose faite en nous y mettant à 2. En fait Brad n'est pas juste un actif bourrin qui encule seulement les mecs mais un balaise qui prenait jusqu'à présent son pied avec toute la panoplie d'actes sexuels autres que sa sodo.
Avant de se rendormir, il nous explique que la seule fois précédente où il s'était fait sodomiser, il avait aussi éjaculé en quelques minutes. C'est ce qui l'avait porté à être seulement actif pour profiter plus longtemps des plans cul.
Si c'est seulement pour ça, ça peut s'arranger. Et puis, vu comme il bandait encore après avoir juté, ça devrait pas le gêner. Il serait juste plus long à venir la deuxième fois.
Chad est d'accord avec moi et lui dit qu'ils vont s'entrainer pour que Brad progresse en endurance. Venant pour un mec comme Brad le mot " endurance " me fait sourire, il doit physiquement pas en manquer !!
Jardinier
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transparentgentlemenmarker · 7 months ago
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
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Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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e642 · 9 days ago
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Je suis au bout du rouleau. Aujourd'hui c'était mon dernier partiel. Je me suis bien fait enfler ce semestre n'empêche. Ça me travaille beaucoup parce que je me sais médiocre. Je vais avoir du mal à passer à autre chose quand j'aurai pas de master à nouveau. Je suis fatiguée, je cours partout et je ne sais pas comment je peux avoir encore de l'énergie, ni même comment je vais faire pour la prolonger jusqu'à mai. J'ai la sensation que je vais craquer avant, il va falloir que je fasse des efforts exagérés pour surmonter ce qui m'attend. Je passe mon temps à dissocier, ne pas me sentir là, c'est extrêmement désagréable. Tout est fait automatiquement parce qu'il y a trop de choses à traiter pour mon cerveau. J'oublie tout, si j'ai mangé, si j'ai émargé au partiel, si j'ai fermé mon appartement, si on est bien le jour que je pense qu'on est, si j'ai bien fait ce que je devais faire.. Je me sens perdue. Complètement paumée en fait. Ça ne va pas avec mon mec. Je fais des allers retours partout pour le voir, en même temps faire mes partiels, en même temps aller au stage, en même temps commencer un nouveau semestre, en même temps aller courir pour la prépa 10km, en même temps faire les deux sports à la fac pour les points. Aucun de ces endroits n'est au même endroit. Ça tient à pas beaucoup. Je me sens sur le point d'exploser. J'ai lâché tout le monde, les messages, les embrouilles, les sorties, les groupes. Je suis incapable de tout réussir. Je me sens terriblement lamentable et surtout privilégiée parce que je le suis. Et que j'ai honte de me plaindre alors que je le suis. J'ai une envie démentielle de chialer, j'en ai mal au crâne. Je suis à côté de la plaque mais les autres aussi, je me suis rarement sentie si peu connectée au monde, à mes proches, à la nature, à ce qu'on me demande. Tout ça, ce quotidien, cette vie, ça fabrique de la colère. Parce qu'au final, la seule chose que je ressens vraiment c'est de la haine pure. J'ai besoin d'un temps mort sinon je vais péter un plomb et me refaire l'avant bras avant la fin de l'année. Je ne fais qu'y penser.
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bitakubic · 20 days ago
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L'art du choix : Slip, caleçon ou boxer ?
À treize ans, voilà la grande question, Un dilemme quotidien, une vraie réflexion : Slip, caleçon, ou boxer bien serré, Quel vêtement choisir pour bien commencer la journée ?
Le slip, petit, discret, si près de la peau, Il offre une promesse de confort, tout de go. Avec lui, tout est net, tout est simple, Mais faut-il oser, à cet âge si ample ?
Le caleçon, plus grand, libre comme l’air, Avec lui, on se sent presque sans frontière. Il flotte un peu, comme un nuage léger, Mais parfois trop large, il peut déranger.
Et puis il y a le boxer, celui du futur, Tenu juste, moderne, un peu plus sûr. Il est là, mi-sport, mi-confort, Un équilibre parfait, sans aucun effort.
Le matin, face au tiroir, le cœur bat fort, Quel choix faire pour ce jour encore ? Est-ce le slip qui me donne cette assurance ? Ou le caleçon, pour un peu plus de distance ?
Peut-être le boxer, entre les deux mondes, Un compromis doux, une solution ronde. Pas trop près, ni trop loin, juste comme il faut, Pour traverser la journée, tout en héros.
Mais au fond, ce n’est qu’une petite bataille, Le choix de ce qu’on porte n’est qu’un détail. Car au-delà des tissus, c’est l’âme qui compte, Un adolescent, c’est son cœur qui raconte.
(Janvier 2025)
"The Art of Choice: Briefs, Boxers, or Boxer Shorts?"
At thirteen, here’s the big question, A daily dilemma, a real reflection: Briefs, boxers, or snug-fitting boxer shorts, Which garment to choose to start the day off right?
The brief, small, discreet, so close to the skin, It promises comfort, straight from within. With it, everything is neat, everything is simple, But should I dare, at this age so ample?
The boxer, larger, free as the air, With it, you feel almost without a care. It floats a bit, like a light cloud, But sometimes too loose, it can be too loud.
Then there’s the boxer short, the one from the future, Held just right, modern, a bit more secure. It’s there, half-sport, half-comfort, A perfect balance, no effort to abort.
In the morning, facing the drawer, my heart beats fast, What choice to make for this day, will it last? Is it the briefs that give me this confidence? Or the boxers, for a little more distance?
Maybe the boxer shorts, between both worlds, A sweet compromise, a round solution unfurled. Not too tight, nor too loose, just as it should be, To get through the day, like a hero, carefree.
But deep down, it’s just a small fight, The choice of what to wear is just a slight. For beyond the fabric, it’s the soul that counts, An adolescent, it’s his heart that amounts.
(January 2025)
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claudehenrion · 10 months ago
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque d��pravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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