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Suivi du colloque: 1926-2026, cent ans d'occupation par Alcan et Rio Tinto: le bilan s'impose
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Arrêt de la Cour suprême des États-Unis : les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus d'appel et toutes les voies d'appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT de passer jusqu'à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations.
L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de cent autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d'une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l'hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d'avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
Vérification sur le lien suivant :
Arrêt de la Cour suprême des États-Unis : les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus d'appel et toutes les voies d'appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT de passer jusqu'à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations.
L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de cent autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d'une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l'hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d'avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.
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Automne 1927 - Champs-les-Sims
5/5
Quand tu me parles de tes séjours à Kingston puis de ta visite de Montréal, j'ai l'impression que tu as une sorte de vie mondaine. J'aimerai bien voyager un peu un jour. Le nom de Montréal a quelque chose de très évocateur pour moi et j'ai demandé à Ange de me ramener un livre illustré de Paris la prochaine fois qu'il ira y faire un séjour. Pour revenir sur la question du français au Canada, j'en ai discuté avec Grand-Mère, et elle m'assure que c'est déjà un sujet qu'évoquait ton grand-père autrefois avec ma grand-tante Lucrèce. Je pense qu'il devait être aussi révolté que toi. Je suis assez surprise de toutes ces règles, mais étant française et francophone, je ne sais pas ce que c'est que de parler une langue minoritaire dans son propre pays.
Je suis également surprise que Grand-Mère se rappelle du contenu d'une lettre vieille de plus de trente ans. Je pense qu'étant donné son âge, c'est une sorte de miracle que cela arrive si tard, mais elle montre de plus en plus de problèmes de mémoire et elle est parfois désorientée. Oncle Adelphe a voulu se montrer rassurant, mais je vois bien qu'il est aussi inquiet que moi. Il lui arrive même de descendre en chemise de nuit à présent. Tante Rose m'a bien assuré que la Eugénie Le Bris d'autrefois se serait coupé un bras plutôt que de franchir le seuil de sa chambre ainsi vêtue et elle se souvient bien des remontrances quand elle faisait de même. Grand-Mère va avoir cent-sept ans cette année. En revanche, elle n'a rien perdu de son caractère opiniâtre ni de son sens aigu de l'observation.
J'espère que tes affaires se porteront comme tu le souhaites. Je voulais simplement que tu saches que je suis là pour t'aider au besoin.
Avec mon amitié,
Noé
P.S. Je viens de relire la première question que tu me poses. Non, ma cousine n'a pas la moindre idée de ce qui m'est arrivé. Comme tout le monde, elle croit que les jumelles sont d'Ange. Anna est rousse, mais c'est un trait commun chez les Le Bris. Je ne pense pas que ça vaille le coup de briser sa propre vie en lui en parlant, sachant qu'elle attend leur premier enfant (il s'agissait alors d'une fausse alerte). Oncle Adelphe veille au grain, le faire suivre partout où il va, afin d'épargner à sa fille la moindre infidélité. Je sais que tu ne penses pas à mal, mais j'aimerais à l'avenir que tu évites de parler de lui, car c'est une blessure qui me fait toujours atrocement souffrir et que je préférerais oublier une bonne fois pour toutes pour me consacrer à mon entreprise, mon mari et mes filles.
Transcription :
Eugénie « Qu’attends-tu mon garçon ? »
Marc-Antoine « Rien de particulier. Vous ne deviez pas aller vous reposer ? »
Eugénie « C’est ce que j’ai dit oui. Mais je me disais peut-être que tu pourrais monter avec moi et me faire la lecture pendant que je me repose. Tu es désœuvré et tu erres sans but depuis un moment, au moins tu seras occupé. »
Marc-Antoine « Vous avez peur que je m’ennuie ? »
Eugénie « Non, tu as toujours trouvé de quoi occuper tes mains et ton esprit. Mais ces derniers temps, j’ai remarqué que tu importunais souvent Mademoiselle Laroche. Elle a son travail à accomplir et tu lui fais perdre du temps. »
Marc-Antoine « Je n’avais pas l’impression d’être à ce point dans ses pattes. »
Eugénie « Et pourtant si, alors tu vas monter avec moi et me lire quelques chapitres du livre de ta sœur. Et quand tu auras fini, nous lirons un peu la Bible tous les deux. »
Marc-Antoine « La Bible ? »
Eugénie « Oui, le Chant de Salomon. Cela fait longtemps que je ne l’ai lu et je pense que tu pourrais en tirer quelques enseignements fort à propos. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Ange de Chastel#Jules Le Bris#Lucrèce Le Bris#Adelphe Barbois#Rose Le Bris#Anne Barbois#Jean Davires#Anna Le Bris de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel
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Le petit lutin charmant s'en est allé…
La nouvelle est tombée jeudi, sèche, glaciale comme seule peut et sait l'être une “brève” d'Agence : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”. Voilà. Un point, c'est tout : Il est mort. Pourquoi s'étaler, n'est-ce pas ? Ceux qui croient utile de verser une petite larme en parlant d'une chose aussi triste que “nous ne verrons plus jamais ce vrai jeune homme qui semblait éternel, ce gentil clown qui bondissait et rebondissait, si sympathique”… peuvent le faire, bien sûr. Mais ce n'est pas notre boulot : une Agence, c'est là pour énoncer un truc aussi routinier que tous les autres : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”.
C'est étrange, cette manière qu'a le ciel de se vider brutalement : rien n'a changé, mais tout est différent. Ce Jeudi soir, venant juste de l'apprendre, je traversais Paris sur ma moto sous une pluie battante, zigzaguant dans les embouteillages, mouillé comme un explorateur des chutes de Niagara… et je pensais à Marcel Amont, en souriant sous la flotte : c'est lui que le ciel pleurait… NDLR - Comme je vous en ai parlé, un petit ‘’suivi’’, parce que “la vie continue” : j'allais à la Librairie Eyrolles pour la première d'une longue série de “signatures” de “Les Apprentis sorciers”, sujet de mon ‘’édito’’ il y a 48 heures, et qui bat tous les records de vente : jamais, dit Albin Michel, un livre scientifique n'a “fait” une telle explosion, qui met en furie ceux qui tirent à 350 ex … Et les vomissures a-scientifiques du pauvre Alain Fischer (je le cite, car il le mérite : ce soi-disant scientifique, qui se débine de toute confrontation –comme tous ceux qui font passer leur image avant les enjeux de cette bataille planétaire du Bien contre leur Mal– a osé écrire : “Je vous dirai pas qui, mais un ami m'a dit qu’elle…”) donnent envie de l'acheter : les français, maltraités, ulcérés, ont compris que le clan des “périmés” –ce qu'il est– ne peut, à jamais, plus rien leur proposer de bon. En plus, tout ce qu'il en dit prouve qu'il n’a même pas lu ce livre, comme Laurent Alexandre, un autre ’‘has been’’ . Passons : ce n'est pas le sujet.
Le ciel, donc, pleurait. Pour lui ? Sans doute pas, car il n'y croyait pas trop, à tout ça, le ciel, ses occupants, des trucs compliqués : je n'ai pas réussi à le convaincre ! Il était juste un peu ironique, par fidélité filiale : il ne savait pas être méchant. Et à part ce dernier point, peut-être, rien, dans nos deux existences, n'aurait dû nous rapprocher, ni nos carrières, ni notre monde de référence, ni nos histoires telles qu'elles se sont déroulées, la sienne sans moi, bien sûr, la mienne “sans lui, quoi que…”. Son histoire ? Les médias vont vous la raconter, cent fois. Moi, j'ai envie d'effleurer pudiquement celle de notre amitié. Car le destin se moque de la logique des hommes et de leurs mauvaises “bonnes raisons” de ceci ou de ne pas cela…
Arrivé à Paris tout début octobre 1955, sortant de mon “bled” natal, je n'étais même pas un de ces lourds provinciaux dont les impairs faisaient les délices des habitués des “Rallyes”, qui se croyaient délurés et n’étaient qu’un peu plus blasés que les gens normaux : j'étais à l'étage inférieur, celui des Ploucs chroniques… et des noms comme “Marcel Amont” ne risquaient pas d'avoir une place dans mon petit panthéon personnel –alors assez “plein de vide”, je dois l'avouer. Un ami, étudiant à “Sup de Co”, m'a entraîné dans un petit boui-boui pas très loin de la place de la République où sa Promo’ fêtait quelque chose… Et là, j'ai eu un choc, devant un inconnu qui venait d'arriver de son Bordeaux natal, et qui, en plus, ne connaissait pas le seul bordelais que moi je connaissais : mon camarade de promo’ Philippe Joyaux, qui allait bientôt connaître une gloire littéraire méritée puis la faute politique (il fut un chantre ardent du “maoïsme mondain” des années 65-70) sous le nom de Philippe Sollers, avec son superbe roman “Une curieuse solitude” : son univers, à lui aussi, était à des lieues de celui de Marcel Amont… On s’est dit ‘’Au revoir’’....
Puis le temps a passé, trop vite et si lentement comme toujours. Lui m'avait tout naturellement oublié et moi je me souvenais de cette bombe de talent, de finesse et de drôlerie vraie. Je “suivais” sa carrière dans la presse, et je travaillais (guitare, piano et chant, comme toujours) chacun de ses succès… qui font toujours partie de mes “morceaux de bravoure”. Nos chemins se sont brièvement croisés deux ans plus tard, lorsque j'ai eu l'occasion de remplacer, pour quelques mois, “Schubert” (mais oui… Manque de pot, ce n'était pas Franz. Le “mien”, pianiste, n'était pas très connu mais s'était cassé le poignet : à moi de jouer !) comme accompagnateur de Jean-Claude Darnal, un chanteur “rive gauche”, ami de Marcel Amont. Rien à dire sur ces non-retrouvailles : il était devenu “Monsieur” Amont… et moi, j'étais resté un étudiant qui “se faisait” un peu d'argent de poche en pianotant à travers le Quartier Latin… Il y a des âges où 5 ans d'écart pèsent lourd et créent une vraie différence.
Il a fallu un demi-siècle et l'aube des années 2000 pour que, par un hasard trop grand pour être dû… au hasard, ma Maman et Mme Laborde –la Maman de son adorable épouse Marlène– se cassent le même jour le col du fémur (chacune le sien, évidemment !), et aillent se faire rééduquer à la clinique “de la Porte Verte”, à Versailles… où nous nous sommes vus, revus, découverts, appréciés, trouvés… C'est là que j'ai découvert les mille et une richesses de cet archétype de “mec talentueux”. Je me suis mis à faire partie des habitués de sa belle maison de St Cloud, et je suis devenu un des utilisateurs patentés (et très tentés, en même temps) de son piano noir… où nous faisions des “quizz’’ : ’'Et celle-là, tu la connais ?” – un jour, il était arrivé tout content d'avoir “découvert” Connaissez-vous la Touraine, de Francis Linel. Manque de bol, je la connaissais, il en était tout déçu !).
Souvenirs : leur panique à tous deux (Marcel et Marlène) lorsque leur ravissante fille Romélie –comme sa grand-mère !– en vacances à Phuket, a été frappée par le tsunami du 26 décembre 2004, laissant ses pauvres parents sans aucune nouvelle pendant plusieurs jour alors que circulaient des images d'horreurs et de morts. Elle fut sauvée, ainsi que Alain Chabat, mais ils ont mis très longtemps à reprendre leur souffle… Ou encore, leur joie lorsque leur fils Mathias Miramont a “intégré” la même grande Ecole que moi –ce dont lui se foutait totalement, sa vocation était ailleurs.
Et le temps passait, apparemment sans laisser de traces sur le corps sec et souple de cet ancien ‘’prof de gym’’ qui, à 90 ans bien sonnés, refaisait son “gag-exploit” consistant à marcher… se trouver arrêté par une chaise, continuer à marcher en montant d'abord sur l'assise, puis sur le dossier… La chaise se renversait sous son poids… et lui continuait sa ‘’marche’’, sans le moindre changement de rythme ou d'allure… Je n'ai jamais osé essayer… et je mourrai en l'enviant d'avoir su faire ça !
Au revoir, cher “Mexicain basané”. Ou plutôt… A Dieu. Tu es dans ce ciel que tu voyais “Bleu, Blanc, Blond”, et tu sais, maintenant, s'il est occupé ou désertique…
Ton ami Claude, qui te pleure…
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Les événements culturels de septembre 2024 à Montbéliard
Le Pôle culturel de la Ville de Montbéliard, regroupant Musées, Médiathèque, Archives, CCSV (Centre Culturel Simone Veil), vous présente les événements culturels de septembre 2024 à Montbéliard : ESCAPE GAME "HÉRITAGE ET CONVOITISES" >Musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel Le musée d’Art et d’Histoire occupe un ancien hôtel particulier, bijou d’architecture à la française, construit au 18e siècle. Plusieurs générations des familles Beurnier et Rossel, parmi les plus influentes de la bourgeoisie montbéliardaise, ont cohabité dans cette vénérable demeure avant qu’elle ne soit léguée à la ville pour devenir un musée. Dans cette exploration passionnante et amusante venez découvrir les mystères autour de ce lieu et de son histoire. Suivez le guide et découvrez les indices, décryptez les énigmes pour révéler au grand jour les secrets de cette saga familiale. Conception : le Pacte • Sur inscription au 03 81 99 22 57 • Tarif : 60 € (de 2 à 6 personnes), 30 € sur présentation du coupon avantage jeune • À partir de 13 ans ou 6 ans accompagné d’un adulte EXPOSITION "EXTRA ET ORDINAIRES " JUSQU’AU 21 SEPTEMBRE >Médiathèque Exposition photographique sur le thème du handisport. EXPOSITION "ÉTIENNE OEHMICHEN ET LA NATURE" JUSQU’AU 22 SEPTEMBRE 2024 >Esplanade du château 2024 marque le centenaire du vol historique réalisé par Étienne Œhmichen : le premier kilomètre en boucle au monde parcouru par un hélicoptère. Découvrez, au gré de votre promenade sur l’esplanade du château, ce personnage inventif et ses travaux qui combinent Nature et Technique. EXPOSITION DE SCULPTURES DE SABLE ET DE PAILLE JUSQU’AU 22 SEPTEMBRE >Esplanade du château Découvrez les sculptures de paille et de sable inspirées des travaux et inventions d'Étienne OEhmichen qui viennent illustrer les propos de l’exposition. À travers le regard des artistes Benoit Dutherage et Camille Bernard. ARTOTHÈQUE HORS LES MURS >Médiathèque MERCREDIS 11 ET 18 SEPTEMBRE DE 15H À 17H Retrouvez et empruntez les œuvres de l’Artothèque Ascap. • Modalités de prêt au 03 81 95 52 75. RENCONTRE-MÉTIER : RESTAURATEUR DU PATRIMOINE MERCREDI 11 SEPTEMBRE À 18H >Musée d'Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel La restauration et la conservation de deux costumes du 18e siècle par Célia Thibaud, restaurateur du patrimoine – spécialité textiles. Identifier, diagnostiquer, prévenir et restaurer, voici les actions menées par les conservateurs-restaurateurs. De la connaissance des matériaux, aux études de datation et histoire des objets, leur expertise est globale. Ces médecins de l’art assurent la préservation d’objets, tableaux, livres, mobiliers, tapisseries, sculptures, vitraux…selon leur spécialité. • Inscription au 03 81 99 22 57 MIDI DU MUSÉE "ÉTIENNE OEHMICHEN ET LA NATURE " >Esplanade du château JEUDI 12 SEPTEMBRE DE 12H30 À 13H30 • Gratuit. • Inscriptions au 03 81 99 22 57 ATELIER ENFANT-PARENT AUTOUR DU KAMISHIBAÏ SAMEDI 14 SEPTEMBRE À 15H >Médiathèque MA Scène nationale et la compagnie MELAMPO proposent un atelier enfant parent autour du spectacle Les Forces Rondes qui sera en tournée sur le Pays de Montbéliard du 11 au 14 septembre dans le cadre de la Capitale Française de la Culture. Lors de ce temps pratique, les familles pourront s’initier à l’illustration (technique du collage) grâce à une intervention plastique autour du Kamishibaï (petit théâtre japonais). • Durée 1 heure • À partir de 6 ans • Places limitées. Réservation au 03 81 99 24 24 FESTIVAL LES QUATRE SAISONS DU 18 AU 20 SEPTEMBRE 2024 >Les Bains Douches – La Scène Avec Karim Mendil, Les Hommes du Président et Christian Legal. • Tarif : 12€ par spectacle Renseignements au 03 81 99 20 19 • Réservations : Info Jeunes Montbéliard au 03 81 99 24 15 ou sur www.montbeliard.fr/quatresaisons / www.ticketmaster.fr / www.francebillet.com JOURNÉES EUROPÉENNES DU PATRIMOINE 21 ET 22 SEPTEMBRE Le programme proposé par les musées, la médiathèque, les Archives, au théâtre, au Centre culturel Simone Veil est consultable ici. L'ENVOL 21 SEPTEMBRE À 20H30 >Esplanade du château Performance dansée et mapping. Telle une femme-oiseau, la danseuse Jeanne Morel invite le spectateur à un instant de légèreté rêvée, intégrée dans un mapping monumental de Paul Marlier. Par Jeanne Morel et Paul Marlier, inspirée des travaux d’Étienne OEhmichen et de Léonard de Vinci. JOURNÉES GOURMANDES 21 ET 22 SEPTEMBRE >Parc du Près-la-Rose Au détour des lieux incontournables et historiques de la ville, régalez-vous avec les spécialités gastronomiques locales du pays de Montbéliard et de la région sur le marché du terroir dans les allées du parc du Près-la-Rose ou encore grâce à la marche gourmande à travers la cité des Princes. Un événement organisé par la Ville de Montbéliard, le Collectif Manifest et l'Office de tourisme du pays de Montbéliard. • Programme et renseignements sur www.montbeliard.fr MIDI DE LA MÉDIATHÈQUE JEUDI 26 SEPT DE 12H15 À 13H15 >Médiathèque OUVERTURES MUSICALES SAMEDI 28 SEPTEMBRE Une journée autour de la musique symphonique, afin de la découvrir ou la redécouvrir autrement en déambulant dans le centre-ville de Montbéliard, au musée du château des ducs de Wurtemberg. FABRIQUEZ & JOUEZ À 11H30 Centre culturel Simone Veil Durant cet atelier, les enfants fabriqueront leurs propres percussions qui serviront à donner vie aux personnages du Conte musical participatif qui sera donné l’après-midi. • Durée 1h • Pour les 6-10 ans CONTE MUSICAL PARTICIPATIF À 14H Centre culturel Simone Veil Deux musiciens de l’Orchestre Victor Hugo et un conteur se joignent aux enfants de l’atelier Fabriquez & Jouez pour vous raconter une histoire en musique. • Durée 1h • à partir de 6 ans CONTE MUSICAL – THANH LAN À 10H Médiathèque Créé en mai 2024 sur une musique de François Pernel pour et avec les jeunes élèves du Conservatoire aux harpes celtiques, ce conte musical en cinq fables nous raconte en texte et en musique les aventures de Thanh Lan. • Durée 30 min SA MAJESTÉ LA HARPE À 14H30 Médiathèque Stéphanie Manzo, artiste enseignante du Conservatoire, nous propose un mini récital à travers le répertoire enchanteur de la harpe où se côtoient des compositeurs de toutes les époques. • Durée 30 min JEU ÉCOUTEZ–VOIR À 14H30, 15H30 ET 16H15 Musée d'Art et d'Histoire Hôtel Beurnier-Rossel Sauriez-vous retrouver quelle peinture, décor ou objet du musée est évoqué en musique ? Un petit jeu proposé par deux musiciens de l’Orchestre Victor Hugo et la médiatrice du musée pour découvrir le patrimoine autrement. • Durée 30 min infos > www.montbeliard.fr Read the full article
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Ondes sidérales
Onde sidérale de l'Antiquité
Printemps (Grèce antique) : philosophie, développement des sciences, mythologie, théâtre Été (Rome antique) : empire, puissance, politique Automne (Rome chrétienne) : culpabilité, persécution des chrétiens puis christianisation de l'Empire Hiver (chute de l'Empire romain) : invasions barbares
(VIIIe siècle : invasions arabes)
Onde sidérale du Moyen-Age
Printemps (Haut Moyen-Age) : christianisation lente et progressive de l'Europe, reconstitution d’États forts Été (Moyen-Age classique) : Louis IX, croisades, chevaliers, autorité totale de l’Église (du pape) Automne (Moyen-Age tardif) : invasions mongoles, guerre de Cent Ans Hiver (fin du Moyen-Age) : guerre de Cent Ans, peste noire, memento mori, danses macabres
« L'omniprésence de la mort souligne la brièveté et la fragilité de la vie, thème traité par des poètes comme Eustache Deschamps, Charles Chastellain, Pierre Michault… jusqu'à François Villon. La poésie amoureuse insiste sur la mort de l'être aimé et le deuil inconsolable. »
(1453 : chute de Constantinople et invasions ottomanes)
Onde sidérale de la Renaissance et de l'ère classique
Printemps (Renaissance) : redécouverte du patrimoine antique, humanisme, art et littérature (De Vinci) ; découverte du Nouveau Monde Été (Classicisme) : Louis XIV, absolutisme royal, ascendant du temporel (roi) sur le spirituel (pape) Automne (Printemps inversé) (Lumières) : la raison l'emporte sur l'obscurantisme, Voltaire, Rousseau, l'Encyclopédie Hiver (Révolution française) : le roi est guillotiné, Dieu est mort
Onde sidérale de l'ère moderne
Printemps (Révolution) : révolution américaine, révolution française (Dieu est mort), la France envahit l'Europe mais échoue en Russie Été (Puissance et colonisation) : guerre de sécession aux États-Unis, abolition de l'esclavage ; guerre contre la Prusse en France, fondation de la IIIe République ; le Royaume-Uni (et la France) envahit (colonise) le monde sans complexe (Dieu est mort) Automne (Fascisme) : fascisme en Italie, nazisme en Allemagne ; camps de concentration et d'extermination, Shoah (Dieu est mort), l'Allemagne envahit l'Europe mais échoue en Russie Hiver (Fin du monde) : Dieu est mort, mais seul l'Homme peut écrire son Histoire. À suivre...
Onde sidérale millénaire
Printemps (Antiquité) : Dieu est multiple Été (Moyen-Age) : Dieu est unique Automne (Ère moderne) : Dieu est mort, et c'est nous qui l'avons tué (Révolution française, Nietzsche, nazisme) Hiver (Fin du monde) : Dieu est mort, mais seul l'Homme peut écrire son Histoire. À suivre...
« Un hiver nucléaire est un phénomène climatique hypothétique de baisse globale des températures de surface, prédit comme pouvant être le résultat d’une guerre nucléaire massive. Il serait analogue à l’hiver volcanique ou à l'hiver d'impact. »
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⛔ OÙ PASSEREZ-VOUS VOTRE ÉTERNITÉ ?❓⛔
Cher ami, EST-CE UTILE DE SE CONVERTIR ?❓
S'il s'agissait d'un détail, vous vous tireriez facilement d'affaire s'il s'avérait ultérieurement que vous aviez tort. Et vous seriez sur vos gardes pour la fois suivante. Mais quant à la conversion il s'agit de savoir où vous passerez l'éternité. C'est si important, qu'il vous faut être au clair à ce sujet.
Avez-vous déjà pensé à l'éternité ? Je vous accorde que nous ne pourrons jamais comprendre ce qu'elle est avant d'y être. Mais il vaut bien la peine d'y penser une fois sérieusement, pour en avoir au moins une petite idée, n'est-ce pas ?
Que sont dix, cinquante, quatre-vingts ou même cent ans, en face de l'éternité ? N'importe-t-il pas alors de savoir où et comment nous la passerons ?
Vous êtes allé pendant plus de dix ans à l'école ; vous travaillez toute la journée et le soir vous étudiez encore pour améliorer votre position.
Ainsi, pendant une vingtaine d'années, vous travaillez d'arrache-pied, pour gagner ensuite largement votre vie pendant une quarantaine d'années et pour vivre peut-être de votre retraite ou de vos économies pendant dix ans, ou, si vous parvenez à un âge avancé, pendant quelque vingt ans.
Que penseriez-vous de parents qui n'enverraient pas leurs enfants à l'école et ne leur feraient pas apprendre de métier, arguant : « qu'ils jouent tranquillement sans penser à l'avenir ! Lorsqu'ils auront atteint l'âge de pourvoir eux-mêmes à leurs besoins, ils sauront bien se débrouiller seuls » ?
Si donc vous prenez tant de peine et sacrifiez tant d'années de votre vie pour avoir de quoi vivre confortablement cinquante ou soixante ans au plus, n'êtes-vous pas inexcusable de ne pas penser à l'éternité et de ne pas vous occuper de cette question : Où passerai-je l'éternité ? D'autant plus que vous ne pouvez absolument pas savoir si vous obtiendrez une bonne place, si vous ne tomberez pas malade ou ne mourrez pas avant d'y parvenir. Mais vous savez parfaitement que l'éternité est devant vous.
« IL EST RÉSERVÉ AUX HOMMES de MOURIR UNE fois. » Cette affirmation de la Bible (Hébreux 9:27) n'a encore jamais été mise en doute, pas même par les plus grands moqueurs et les athées les plus endurcis. Ils n'osent pas y toucher : on se moquerait d'eux ; car qui n'a pas encore vu la mort frapper dans son entourage ?
Mais comment continue ce verset ? « ET APRÈS CELA LE JUGEMENT ». N'est-ce pas une folie impardonnable que de ne se préoccuper de rien et de laisser les choses suivre leur cours ?
Certes, une fois vous verrez vous-même où vous passerez l'éternité. Mais… alors il n'y aura plus moyen de changer pour toute l'éternité. Car « A l'endroit où l'arbre sera tombé, là il sera » (Ecclésiaste 11:3).
Vous direz peut-être : Rien ne presse ! J'ai de toute façon déjà tant à faire. Et vous ne voulez pas consacrer vos heures de détente à des sujets aussi sinistres que la mort. Vous croyez que vous aurez encore le temps de penser à ces choses lorsque vous serez un peu plus âgé, que vous aurez joui de la vie et que vous aurez davantage de loisirs.
🌟 Etes-vous sûr de vivre encore cinquante ans ? ou trente ans ? ou seulement dix ? ou encore douze mois ? douze heures même ?
Et même si vous deviez vivre encore longtemps, voudriez-vous faire ce qui vous plaît tant que vous serez jeune et en bonne santé, et ne laisser à Dieu que le reste ? Si vous choisissez de vivre ainsi (et que vous restiez en vie), Dieu vous acceptera-t-il encore ?
Certes, « DIEU… VEUT QUE TOUS LES HOMMES SOIENT SAUVÉS » (1 Timothée. 2:4) ; à tous les hommes il dit : « SOYEZ RÉCONCILIÉS AVEC DIEU » (2 Corinthiens 5:20). Il a reçu le brigand de la croix et des milliers d'autres qui se sont tournés vers Lui sur leur lit de mort. J'ai connu une dame qui était âgée de quatre-vingt-cinq ans lorsqu'elle s'est convertie.
En Job 33, nous voyons que Dieu parle une fois, et deux fois à l'homme, et si celui-ci n'y prend pas garde, il « scelle l'instruction qu'il leur donne ». Lorsque le Pharaon eut refusé plusieurs fois d'obéir, Dieu endurcit son coeur, de sorte qu'il ne put plus se convertir (Exode 11:10) .
Après l'enlèvement de l'Église, Dieu enverra à tous ceux qui auront entendu l'Évangile mais qui n'auront pas cru, « une énergie d'erreur… afin que tous ceux-là soient jugés qui n'ont pas cru la vérité » (2 Thessaloniciens. 2:11, 12).
Dieu peut aussi agir ainsi à votre égard si vous persistez à repousser son invitation à vous CONVERTIR.
« Dieu donc, ayant passé par-dessus les temps de l'ignorance, ordonne maintenant aux hommes que tous, en tous lieux, ils se repentent ; parce qu'il a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée, par l'homme qu'il a destiné à cela, de quoi il a donné une preuve certaine à tous, l'ayant ressuscité d'entre les morts » (Actes 17:30, 31).
Ne voulez-vous donc pas considérer la chose avec sérieux et venir maintenant à Dieu, pour Lui confesser vos péchés et Lui demander de vous recevoir ?
« Nous sommes donc ambassadeurs pour Christ, - Dieu, pour ainsi dire, exhortant par notre moyen ; NOUS SUPPLIONS pour Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait péché pour nous, afin que nous devinssions justice de Dieu en Lui » (2 Corinthiens 5:20, 21).
Jésus dit... je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. (Jean 6:37).
*REPENTEZ-VOUS DONC ET CONVERTISSEZ-VOUS, POUR QUE VOS PÉCHÉS SOIENT EFFACÉS.* (Actes 3:19)
« Celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en JUGEMENT, mais il est passé de la mort à la vie.» (Jean 5:24)
«Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.» (Jean 3:36)
COMMENT ÉCHAPPEREZ-VOUS AU TOURMENTS ÉTERNEL SI VOUS MOUREZ SANS CHRIST ?
AVEZ-VOUS DÉJÀ PENSÉ À L'ÉTERNITÉ❓
« AUJOURD'HUI, SI VOUS ENTENDEZ SA VOIX, N'ENDURCISSEZ PAS VOS COEURS » (Hébreux. 4:7) !
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Votre frère Didier Ahogbedji
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📌[LIVRE] Dans le numéro 11, le journal Embarquements innove. La rubrique « La petite librairie » 📚 s’agrandit et occupe une pleine page. Le fruit des lectures et de la plume ✒️ de Magali Brieussel de @La Géosphère, librairie de voyage à Montpellier.
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LE TON 🐌 ÉLOGE DE LA LENTEUR 🍃 Partir loin – ou pas. Mais partir lentement. Voilà une idée qui, de plus en plus, fait son chemin. Que ce soit au sein des frontières de nos régions françaises ou à travers les immensités d’Asie centrale, les livres de notre sélection invitent à prendre le temps. Le temps de la contemplation… ou celui de la vengeance ! Premier ouvrage de sa sélection.
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LA CHRONIQUE 🔖 Elle a cent six ans et elle raconte. Aysuun, femme touvine, s’adresse à un jeune Mongol d’aujourd’hui, dont elle doute qu’il ait connu les bivouacs en pleine steppe ou la saveur du thé au beurre de yak.
Au-delà du témoignage d’un mode de vie révolu, il s’agit pour elle de dévoiler l’histoire de sa vengeance. Violée à l’âge de treize ans par un colonel de l’armée soviétique, elle a retrouvé ce dernier un quart de siècle plus tard, par hasard. Et elle l’a défié.
Lui qui, secondé d’une trentaine d’hommes armés, croyait ne faire (…)
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📕 LE LIVRE
Aysuun d’Ian Manook, 336 pages - 21,90 €, Éditions Albin Michel.
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🎶 𝗩𝗼𝗶𝘅 𝗲́𝗰𝗹𝗶𝗽𝘀𝗲́𝗲𝘀 - 𝗔̀ 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹'𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 🎵
🎹 𝗔𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶 : 𝗠𝗲𝗹 𝗕𝗼𝗻𝗶𝘀 (𝟭𝟴𝟱𝟴-𝟭𝟵𝟯𝟳) 🎹
Née dans une époque où les femmes étaient souvent reléguées au second plan, Mélanie Hélène Bonis, connue sous le pseudonyme de Mel Bonis, brava courageusement les obstacles pour se frayer un chemin dans le sanctuaire musical, alors jalousement gardé par la gent masculine. Ignorant les ardeurs de son cœur passionné, ses parents la contraignirent à épouser un homme d'affaires fortuné et plus âgé. Mais elle ne renonça pas à ses élans du cœur et partagea en secret des moments précieux de sa vie et de sa création musicale avec Amédée Hettich, poète et musicien de son état. Ensemble, ils tissèrent des liens artistiques intenses : elle effleurait les touches du piano pour donner vie à des mélodies et des chœurs, tandis qu’il insufflait la poésie de ses vers dans les compositions de sa bien-aimée. Il ne se contenta pas de cela et lui ouvrit même les portes des grandes maisons d'édition parisiennes. Figure discrète mais résolue, Mel s'inscrivit dans les annales de la Société nationale de musique et y gravit les échelons jusqu'à devenir secrétaire en 1910 – une révolution féminine en soi puisqu’elle fut la première femme à occuper ce poste.
Mel Bonis n'était pas seulement une artiste talentueuse, elle était aussi une pionnière, une femme de caractère qui a su s'imposer dans le monde de la musique classique. Son héritage musical est vaste, avec environ deux cents pièces à son actif, la plupart composées entre 1892 et 1914. 🎶
🔗 Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mel_Bonis
🎧 Écouter : https://youtu.be/97GV1eLuS5Q?si=cQb4viC6NTbCImp6
🖼️ Illustration : Mel Bonis à 19 ans par Charles-Auguste Corbineau, 1877.
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L’Ordre de Raava
Présentation du mouvement
L’Ordre de Raava a été fondé en 1502, peu de temps après la fin de la Guerre des Dragons. Pendant les cent ans durant lesquels les fae se sont livrés des conflits acharnés, le monde a été mis à feu et à sang. Les pertes ont été innombrables, tant en termes de vies fae qu’en termes de patrimoine. Des sites archéologiques d’une valeur inestimable ont été détruits, la nature a été ravagée et des tas de créatures en ont souffert. A l’époque, nombre de fae ont vu leurs membres périr dans les combats et plusieurs tribus ne s’en sont jamais relevées, des civilisations entières ont disparu. Lorsque les traités de paix ont été signés, il a été décidé qu’une telle tragédie ne devrait plus jamais se reproduire. C’est dans ce but que l’Ordre a été fondé, afin de préserver l’Harmonie d’Eyora et de se remémorer leur promesse à Raava de protéger le monde qu’elle leur avait offert.
Depuis sa création, les objectifs de l’Ordre sont restés à peu près les mêmes. Les membres de l’organisation veillent à préserver l’équilibre, tant entre les nations qu’entre les peuples, afin d’éviter à tout prix qu’une nouvelle guerre n’éclate. On s’assure également que les fae continuent d’évoluer en respectant la nature qui les entoure, l’importance de protéger la faune et la flore et de coexister avec elles étant primordiale pour l’Ordre. Et si cela ne veut pas dire pour autant que la progression des technologies en Eyora s’en trouve freinée, celle-ci doit se faire dans le but de servir les fae sans porter préjudice à la nature.
En revanche, la philosophie de l’Ordre, elle, a beaucoup évolué au fil du temps. Au départ, pour les adeptes du mouvement, tout était une question d’équilibre, et de trouver sa juste place dans le grand écosystème du monde. On pensait que chaque être, chaque plante, chaque action, avait un rôle précis à jouer, un grand dessein à accomplir. Mais cette spiritualité sous-jacente n’a pas fait le poids face à l’ampleur des défis qui attendaient l’Ordre, qui a peu à peu été forcé de durcir son système pour réussir à se faire respecter. Le mouvement a été façonné par la multitude de personnalités marquantes qui ont traversé ses rangs, jusqu’à devenir la véritable institution qu’il est aujourd’hui. Organisation bien huilée, rien ne se passe en Eyora sans que l’Ordre ne soit au courant. Si on lui reproche souvent son ingérence, il faut bien admettre que ses actions ont souvent permis d’éviter de nouveaux conflits. L’Ordre possède une vaste étendue de connaissances sur le monde d’Eyora, qu’il a passé des siècles à étudier, ainsi que sur les quatre nations. Ce qui en fait une institution puissante, que l’on respecte autant qu'on la redoute.
Missions et objectifs
La mission première de l’Ordre de Raava est d’assurer la paix entre les quatre nations. Dès lors, il prône le dialogue entre celles-ci et crée des opportunités afin de coopérer ensemble sur plusieurs projets communs, comme par exemple le développement de diverses technologies et industries utiles aux fae à travers le monde. Allant de pair avec ce rôle politique, la justice fait elle aussi partie intégrante des fonctions de l’Ordre, qui s’assure en particulier de l’usage que font les fae de leurs pouvoirs. Il veille également à préserver l’équilibre entre la nature et les fae, et à protéger Eyora et son Histoire dans son ensemble. C’est pourquoi il existe des départements entiers consacrés à l’étude du monde sous divers aspects, et que la recherche occupe une place prépondérante parmi les missions quotidiennes de l’Ordre.
Depuis la montée des Enfants du Chaos, leurs objectifs se sont également concentrés sur l’analyse de cette menace et la lutte contre la propagation de la magie du chaos. Le mouvement, auquel on reprochait déjà un certain extrémisme, s’est davantage radicalisé. La propagande pour décourager à s’adonner à ces nouvelles pratiques est partout, et l’Ordre va jusqu’à utiliser la Voie de la Lumière pour maintenir les foules sous son influence. Plus de poids a été offert à la religion et à l’Oracle, et l’Ordre s’est grandement rapproché du culte ces dernières années.
Plus d’informations
Critiques sur l’Ordre – Depuis plusieurs années déjà, l’Ordre est au coeur d’une polémique, qui se murmure du bout des lèvres et avec mille précautions. On lui reproche de s’éloigner de plus en plus de son idéologie de départ, les intérêts individuels des fae (et en particulier certaines personnalités haut-placées) ayant pris le pas sur la protection d’Eyora et de son équilibre. On dit qu’il est devenu trop influent, et que les départements qui le constituent ont perdu de vue les intentions premières de l’Ordre. Ce qui était au départ une organisation vouée à protéger le monde, s’est changée en un groupuscule qui concentre tous les membres les plus influents dans divers domaines. Les connaissances amassées en des siècles de recherche sont également confinées en ses rangs, et les savoirs les plus secrets de l’Histoire seraient jalousement gardés des griffes d’une poignée d’individus. On lui reproche d’être devenu trop élitiste, prétendant que ses intentions seraient de moins en moins nobles et que le pouvoir est monté à la tête des membres.
Recrutement – N’entre pas au sein de l’organisation qui veut. Il est vrai que le fait d’avoir un parent, même éloigné, faisant partie de l’Ordre favorise grandement les chances d’y être accepté – ainsi que celles d’obtenir de plus hautes responsabilités plus vite par rapport à d’autres. En règle générale, les futur·e·s candidat·e·s sont repéré·e·s sur les bancs de l’Académie, parmi les élèves les plus prometteur·se·s. Il n’est pas rare que l’on propose aux diplômé·e·s sélectionné·e·s de postuler pour rejoindre l’Ordre une fois l’âge minimum atteint (40 ans). Que l’on ait attiré l’attention de celui-ci ou non, la façon de procéder reste la même : il faut passer (et réussir) les concours. Chaque année à la même date, soit de début à fin sarthàs (septembre), s’ouvre la période de recrutement. Tout le monde peut alors demander à participer aux épreuves dédiées au département spécifique que l’on souhaite rejoindre. Les tests sont en lien avec les activités du département en question, et ont pour but de juger les capacités des candidats sur différents aspects de leur futur rôle au sein de l’organisation. Seule une poignée de candidats seront retenus à la suite de ces épreuves pour passer le dernier test du concours : un entretien en tête-à-tête avec un Conseiller, c’est-à-dire la personne qui dirige un département. Chaque année, des centaines de fae s’inscrivent aux concours, pour que seul·e·s deux à quatre d’entre elleux soient retenu·e·s. Iels débuteront alors leur apprentissage, pouvant durer plusieurs années, avant de rejoindre les rangs du département à part entière.
Lieux de rassemblement – Le quartier général de l’Ordre de Raava se trouve en zone neutre, il s’agit d’une île flottant à travers les cieux nommée l’Île de Piltover. Il ne s’agit pas uniquement d’un seul bâtiment, mais plutôt d’une sorte de ville, véritable micro-société suspendue dans les airs. Les entrées et venues étant méticuleusement surveillées, il faut une sorte de badge pour pouvoir y accéder ainsi qu’y avoir déjà voyagé accompagné d’un autre membre, étant donné que l’île n’est accessible qu’en se tamisant jsuqu’à l’un des portails. La ville en elle-même compte plusieurs îlots,, souvent dédiés à un département particulier. Au centre, se trouve la Tour de Raava, où se tiennent les assemblées du Conseil. Outre ce quartier général, l’Ordre est implanté aux quatre coins d’Eyora et possède un pied-à-terre dans chaque nation. Ce sont généralement d’immenses tours que l’on nomme les Grandes Bibliothèques et qui leur servent à la fois de réserve de connaissances où stocker les informations sur les régions environnantes et de bureaux d’étude. On y retrouve différentes salles, y compris des lieux de réunion et même, des salles de repos. Tout membre de l’Ordre de passage dans l’une de ces tours peut d’ailleurs y séjourner. Mais il existe également diverses bases militaires, telles que celle d’Ulensk ou encore, celle au Nord d’Izqara, aux abords de la Brèche.
Marque d’adhésion – Lorsqu’un·e fae intègre l’organisation, on prélève quelques gouttes de son sang que l’on mélange à l’encre servant à tatouer des vallaslins, avant de lui dessiner celle symbolisant l’Ordre (un oeil par-delà un soleil). C’est ce qui sert de “badge” et permet d’identifier les personnes autorisées à entrer dans les lieux réservés à l’Ordre. Ce que l’on ne dit pas, c’est que l’organisation garde quelques gouttes de ce sang pour créer des phylactères. Ce sont des fioles mélangeant ce sang à une potion spéciale, permettant de savoir où se trouve le·a fae si l’on déverse celui-ci sur une carte. Ainsi, tou·te·s les membres de l’Ordre sont surveillé·e·s à leur insu, seuls les Conseillers – et pas même les dirigeants des nations – sont au courant de cette pratique et comptent bien la faire perdurer. Cela permet notamment de retrouver un·e membre que l’on soupçonne de trahison, entre autres sombres secrets qui ne sont pas prêts d’être divulgués de si tôt.
Hiérarchie
Il est à noter que l’Ordre de Raava est une institution supranationale, qui exerce son influence à travers tout Eyora indépendamment des frontières. Les règles qui sont promulguées en son sein se doivent d’être suivies par les quatre nations, sans quoi il se peut que l’Ordre intervienne de façon à imposer le respect de la règle en question. Il n’est cependant pas tout-puissant, et ne peut en aucun cas régir tout ce qui concerne les affaires internes d’une nation. Il existe des limites à ne pas dépasser, son rôle se devant de rester celui d’une organisation visant à guider les états, à les maintenir sur la voie de la paix et de la collaboration.
→ Les Égides
C’est le nom que l’on donnait aux fondateurs de l’Ordre de Raava après la Guerre des Dragons. Dirigeants des quatre nations, ils avaient autrefois bien plus de poids au sein de l’organisation, jusqu’à ce qu’il soit décidé d’un commun accord que de garder tout le pouvoir entre les mains des chefs des nations pouvait s’avérer dangereux. Cela fait des siècles que ce ne sont plus les Égides qui, dans les faits, dirigent l’Ordre, ayant légué leurs obligations au Conseil. Néanmoins, on leur garde une place honorifique au sein de l’organisation, mais pas seulement. Les Égides ont le droit de convoquer des assemblées d’urgence pour discuter d’un problème particulier avec leurs pairs et le Conseil, mais possèdent également un droit de véto lors des assemblées générales. Chaque dirigeant·e ne peut cependant recourir à ce droit qu’une seule fois en deux cent ans, ce qui fait qu’iels privilégient davantage le dialogue avant de décider d’user de ce privilège, au risque d’en faire mauvais usage. Il n’a d’ailleurs été utilisé que deux fois au cours de l’Histoire.
→ Le Conseil
Il s’agit de l’organe décisionnel au sein de l’Ordre, ayant hérité ses pouvoirs des Fondateurs eux-mêmes quelque temps après la création du mouvement. Il est constitué d’un membre représentant chaque groupuscule parmi tous les départements. Ensemble, ils se réunissent tous les premiers lundis du mois à la Tour de Raava pour discuter de leurs observations et se faire part de leurs éventuelles préoccupations. Lors de ces réunions, c’est aussi l’occasion pour chaque partie de présenter de nouveaux projets sur lesquels elle travaille ou qu’elle aimerait mettre en place. Le Conseil peut également convoquer une assemblée, à laquelle doivent assister les Égides. C’est lors de celles-ci que sont prises les décisions importantes pouvant avoir un impact à l’échelle mondiale, telle que l’imposition de règles visant à encadrer l’usage de la magie. Elles servent également à ouvrir un dialogue entre les nations dans le cas où la paix serait fragilisée, ou des tensions commenceraient à naître. Les Conseillers peuvent alors guider les Égides et tenter de trouver des solutions aux problèmes de chaque nation, avant que ceux-ci ne deviennent ingérables.
→ Le Département de la Paix
Département consacré à la justice et à la défense.
Les Larmes de Raava – Il s’agit d’un groupe de soldats d’élite ayant pour but de veiller au maintien de l’ordre et de l’harmonie dans chaque nation. Si ce sont des combattant·e·s, formé·e·s à régler des situations difficiles, leur première approche sera toujours défensive. Iels sont envoyés sur place pour aider à dénouer des conflits avant qu’ils ne dégénèrent, protégeant celleux qui pourraient être des victimes collatérales jusqu’à ce qu’une solution ne soit trouvée. Iels veillent également au bon respect des règles soumises par l’Ordre et recherchent les criminel·le·s ayant commis des actes graves, les soumettant à un jugement qui sera rendu par le Haut Tribunal. Iels se doivent également d’aider les fae en cas de besoin, comme par exemple après une catastrophe naturelle. Depuis peu, les Larmes ne sont plus en charge de traquer les Enfants du Chaos, une division spéciale ayant été créée à cet effet. Ce sont néanmoins toujours eux qui réparent les dégâts causés après l’une de leurs attaques. [Conseiller – Le Général des Larmes]
Structure – Le Général est à la tête de toute la force armée. Sous son commandement, on retrouve les Maréchaux, au nombre de quatre, chacun responsable d’une nation. Ensuite, viennent les Lieutenants, responsables de plus petits groupes, menant des missions là où on a besoin d’eux. Et enfin, les Larmes, que l’on appelle les soldats de la paix.
Les Crocs de Raava – Formé en 2991, le groupe est né d’un besoin de contrer de façon plus offensive la menace représentée par les Enfants du Chaos. Là où la marge de manoeuvre des Larmes était limitée de par leurs fonctions de protecteurs, de défenseurs du peuple, la fonction des Crocs est bien plus agressive : ils traquent tout fae soupçonné d’avoir recours à la magie du chaos. Leurs méthodes ne sont pas tendres, et l’Ordre ne fait pas que les cautionner, puisqu’il les encourage de façon plus ou moins tacite. Il s’agit d’un groupe qui a été soigneusement mis en place, l’Ordre ayant réfléchi à comment faire passer ces soldats ayant très peu d’éthique de façon à ce qu’ils soient perçus de manière positive par le public. Et c’est tout naturellement en s’alliant à l’Oracle qu’une solution fut trouvée, celle de faire des premiers soldats des prêtres et prêtresses du culte. Depuis lors, les Crocs ne sont plus exclusivement recrutés parmi les membres du culte, mais on privilégie celleux venant d’un milieu très religieux. Les coupables sont d’ailleurs toujours emmenés au sein d’un Temple du Soleil, où ils sont interrogés, avant qu’on ne les emmène au Haut Tribunal où ils seront jugés (comprendre : exécutés quoi qu’il advienne), si ils survivent jusque-là. [Consiellère – L’Oracle]
Structure – Celle qui dirige les Crocs de Raava n’est autre que l’Oracle en personne, le groupe étant placé sous sa supervision. Les Suprêmes, quant à elles, occupent le double rôle de serviteuses du culte et de meneuses des divisions de traqueurs. Ce sont elles qui doivent être informées de toute activité suspecte détectée en leur nation, qui ordonnent des fouilles, et qui jouissent, sur autorité de l’Ordre, de tous les droits lorsqu’il s’agit de mener l’enquête visant à faire tomber des suspects, qu’ils soient de haut rang ou non. Sous leur commandement, on retrouve les Crocs, certains ayant été recrutés parmi les Célestes (mais consacrant désormais tout leur temps à leurs nouveaux devoirs sacrés) et d’autres étant des recrues triées sur le volet. Le groupe étant dirigé par l’Oracle, cela lui octroie une place au Conseil, où elle est chargée de représenter la division des Crocs de Raava.
Le Haut Tribunal – Là où les Larmes veillent à l’application des directives de l’Ordre afin d’assurer la paix entre les nations, le Haut Tribunal s’occupe de sanctionner tout manquement à celles-ci. Ne sont jugées par cette institution que les personnes coupables de crimes graves, menaçant de rompre l’équilibre du monde et la paix si chère à l’organisation. Le Haut Tribunal est notamment compétent en ce qui concerne les crimes à l’encontre d’un peuple ou d’un groupe particulier, la chasse de créatures protégées, la destruction de biens historiques classés, les assassinats visant à perturber le fonctionnement d’une nation (têtes couronnées, membres d’une famille royale, etc) ou de l’Ordre en lui-même, les fae s’adonnant à la magie du chaos, et tout autre cas similaire visant à nuire à l’harmonie d’Eyora. Depuis peu, les procès se déroulent sous la présence de l’Oracle, qui peut choisir d’intercéder ou non en la faveur de quelqu’un, ou être consultée afin de connaître l’opinion de Raava sur le·a prévenu·e. [Conseiller – Le Haut Juge, présidant à la cour]
→ Le Département de la Recherche
Département de la mémoire, de l’innovation et des recherches.
Les Archivistes – À la fois historiens, explorateurs et archéologues, les Archivistes occupent l’une des fonctions tenues en plus haute estime au sein de l’organisation. Iels regorgent de connaissances sur tout un tas de sujets. Chacun·e a bien souvent son domaine de prédilection, mais iels sont tou·te·s très calé·e·s sur Eyora, son Histoire, ses habitants, et tous les phénomènes que l’on peut y observer. Iels élargissent les recherches sur tel ou tel domaine, ou en inventent parfois de nouveaux ; leur mission étant d’enrichir les Grandes Bibliothèques (où iels travaillent) du fruit de leurs découvertes. Iels écrivent des livres d’histoire, publient des théories, dévoilent d’anciens artefacts qu’iels ont découverts lors de fouilles dans les salles d’exposition dédiées à cet effet. Chaque Grande Bibliothèque est dirigée par un·e Haut-Archiviste, généralement un·e combattant·e hors-pair se devant de protéger la bibliothèque et les savoirs y étant consignés en cas d’assaut. [Conseiller – Le Haut-Archiviste qui dirige la Grande Bibliothèque de Piltover]
Les Inventeurs – Ce sont les individus qui développent de nouvelles technologies ou les perfectionnent sous l’égide de l’Ordre, et sont prêts à les partager à toutes les nations. Il est déjà arrivé que l’organisation rachète des brevets à des entrepreneurs indépendants, généralement à Qiujin où les idées foisonnent. Par exemple, les chemins de fer sont en constante amélioration grâce aux recherches qui ont continué de les faire évoluer, tout comme divers moyens de transport. Iels cherchent également à développer des outils permettant d’aider les fae dans leurs tâches du quotidien. À l’origine, les armes n’étaient pas ce que l’on cherchait à fabriquer ici, à moins qu’il ne s’agisse d’armes servant à éliminer des créatures jugées trop dangereuses, comme celles que combattent les Traqueurs. Mais depuis la création des Crocs de Raava, cela a changé et les Inventeurs conçoivent désormais des armes destinées expressément à entraver les faes du chaos. Cet organe regroupe à la fois des chercheur·se·s et des ingénieur·se·s, collaborant ensemble et cherchant des solutions créatives à toute sorte de problèmes. [Conseiller – On le surnomme l’Innovateur, et il supervise tous les Inventeurs dans leurs bureaux à Piltover]
→ Le Département de la Protection de la Nature
Les Gardiens de la Faune – Ce sont celleux qui étudient les créatures sauvages, leurs comportements, leur nombre, leur dangerosité. Iels consignent leurs travaux dans des registres, et aident notamment à la protection d’espèces menacées. Iels ont fondé de nombreuses réserves naturelles, la plus grandiose se situant sur les terres de Vayuura. Il existe des spécialistes de certaines espèces, s’étant attaché·e·s à un type particulier de créatures. On les appelle aussi des magizoologistes. Certain·e·s sont également soigneur·se·s. [Conseiller – Il est le directeur de la réserve naturelle de l’Ordre à Vayuura]
Les Gardiens de la Flore – Iels recensent toutes les espèces végétales et minérales que l’on retrouve à Eyora, qu’iels étudient et analysent. Leurs recherches sont considérées comme essentielles, car on a toujours pensé que si la terre allait mal, c’était un signe que l’équilibre était menacé. Iels sont aussi celleux qui innovent le plus dans le domaine médical, leurs recherches les amenant parfois à découvrir des remèdes efficaces contre certaines conditions. Iels inventent également diverses potions. [Conseillère – Elle est la directrice du laboratoire des recherches sur la Nature situé à Piltover]
Les Traqueurs – Il s’agit d’un groupe de chasseurs de créatures considérées comme dangereuses et/ou nuisibles au grand écosystème d’Eyora. On fait généralement appel à eux pour se débarrasser de bêtes sauvages qui attaquent un village, ou que l’on aperçoit rôder trop près d’un endroit où elles ne sont pas censées se trouver. Iels sont souvent craint·e·s par les civils car il est de notoriété publique qu’iels s’injectent une drogue spéciale renforçant leur endurance et leur force pendant un bref laps de temps. Cela leur permet notamment de mieux résister aux blessures provoquées par les diverses bêtes qu’ils traquent. Leur mission en elle-même est souvent mal comprise, et ils sont parfois considérés comme barbares là où iels servent, eux aussi, l’équilibre du monde en le protégeant de certains prédateurs. [Conseiller – Le chef des traqueurs]
Structure – Ils sont dirigés par un chef, et il faut dire qu’il s’agit du plus petit département de l’Ordre, comptant le moins de membres, ce qui fait que ceux-ci ne sont pas affectés à une zone en particulier mais sont sans cesse sur les routes, voyageant là où le devoir les appelle. Ils travaillent généralement seuls, mais peuvent être amenés à collaborer à plusieurs si leur chef le juge nécessaire selon la dangerosité de la mission. Il n’y a pas de hiérarchie spécifique, les traqueurs étant comme des sortes de mercenaires, qui peuvent recevoir leurs missions directement via leur chef ou choisir de répondre à une requête spécifique d’un village si une affiche est placardée à leur intention ou si on leur fait part d’un problème en les croisant.
→ Le Département de la Gestion
Le Bureau de la Communication – Situé au coeur de Piltover, il serait mal avisé de croire qu’il s’agit d’une fonction peu reconnue au sein de l’Ordre de Raava. Il est plus connu sous le nom de Bureau de la Propagande, comme on le surnomme entre initiés de l’Ordre, car il s’agit en vérité des faes qui se chargent de renvoyer une image impeccable de la faction et d’encenser les foules pour que l’Ordre soit toujours plus admiré. Ils se chargent de tous les communiqués de presse, et ont d’ailleurs leur propre journal, la Voix de Raava, qui est distribué aux quatre coins d’Eyora. Les journalistes qui y travaillent sont bien entendu au service de l’Ordre et choisissent soigneusement les informations qu’ils écrivent sur papier, les articles étant choisis en fonction du message que veut faire passer le groupe. Outre les journalistes, attachés de presse, et le porte parole de l’Ordre de Raava, on y retrouve également des designers qui conçoivent les tenues des membres selon les différents départements, les tenues officielles à chaque gala, etc, ainsi qu’un groupe d’artistes-imprimeurs qui réalisent toutes les affiches de propagande, les campagnes anti-chaos, etc. [Conseillère – La Porte-Parole de l’Ordre de Raava]
Le Secrétariat Général – C’est le groupe qui a l’oeil partout, et qui sait toujours tout ce qu’il se passe au sein de l’Ordre. Ce sont eux qui sont en charge des concours, qui surveillent les épreuves, mais également qui sont responsables d’élire les quelques chanceux qui seront sélectionnés jusqu’à l’épreuve finale. Outre les évaluations et les recrutements, ils sont ceux qui accueillent les nouveaux membres et dès lors, sont au courant que l’on fabrique des phylactères permettant de les suivre. Il y a d’ailleurs une poignée de membres du secrétariat qui sont affectés “aux archives”, le nom de code utilisé pour signifier qu’ils gardent la salle où se trouvent tous les phylactères. En règle générale, le secrétariat se doit d’afficher un air cordial, de représenter le côté “serviteurs du peuple” de l’Ordre. C’est en effet le premier contact que l’on a généralement avec l’Ordre, et l’image qu’il renvoie compte énormément. Si se charger de toute la paperasse administrative n’est pas vu comme une fonction des plus prestigieuses, c’est toutefois un rôle vital au bon fonctionnement de l’organisation, bien que les faes que l’on y envoie soient souvent les “fils et filles de” que l’on a acceptés pour satisfaire l’égo d’un membre que l’on ne voulait pas perdre. [Conseiller – Le Secrétaire Général]
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SEPTEMBRE 1968. La route des Indes, du Népal en routard. Afghanistan, Iran, Thaïlande, Cambodge, Malaisie… Première publication dans ce journal le 29janvier 2013.
Vendredi 20 septembre 1968. Mon anniversaire et haschich !
Samedi 21. Huit heures du matin. Arrivée à Kaboul.
Je passe plusieurs jours dans « la Mecque des fumeurs. » Puis il y a ce voyage dont je me souviens au travers des photos vers Bamyan et les lacs de Band-I-Amir. Nous sommes plusieurs et partageons le combi Volkswagen d’un réalisateur belge, Maurice Beerblock. Sa compagne, Françoise, travaillait aussi à la télévision belge. Maurice et Françoise faisaient un film sur une jeune droguée qui voyageait avec nous.
Je reverrai Maurice à Paris une dizaine d’années plus tard. Il travaillait à Libération. « Je suis un agitateur professionnel », disait-il. Maurice est mort à Bruxelles d’une crise cardiaque en 1998*.
Je commence vraiment à écrire de manière plus régulière à partir du 5 octobre.
Samedi 5 octobre.
La nuit passée dans ce poste de soldats aura été bonne. Petit déjeuner : un œuf dur pour chacun. Puis on prend la route. Maurice est toujours malade. Françoise le remplace au volant. Elle conduit très bien, mais la route est pénible (on peut plutôt parler de piste). Petit incident lorsque Françoise s’arrête pour prendre des photos de » nomades ». Des enfants nous lancent des pierres. Enfin, au début de la nuit, vers 18 heures, nous atteignons la route bitumée. Nous sommes à 19 heures 30 à Kaboul. Nous déposons Mary** au Noor hotel, qui est fermé, mais on l’accepte. Nous nous précipitons au « Faize » pour manger des hamburgers. Enfin, après huit jours dans la région de Bamyan et band-I-Amir, nous retrouvons la civilisation !! Le bruit, les klaxons des voitures, la musique.
* Libé du 28 janvier 1998
La mort de Maurice Beerblock, par Serge July
Maurice Beerblock a été, jusqu’en 1968-69, réalisateur à la RTBF à Bruxelles où il est mort dimanche d’une crise cardiaque. Il a alors 38 ans et rompt avec la télévision et son métier pour se consacrer à l’action contestatrice et révolutionnaire. Pendant trente ans ce sera sa permanence, sa raison d’être. Il rejoint néanmoins Libération en 1978 où il occupe la fonction de standardiste puis, l’année suivante, il entre aux archives du journal où il travaillera jusqu’à son départ du journal en mai 1996, en préretraite.
Maurice Berblook savait cent mille choses, il accumulait goulûment les connaissances, les unes importantes, les autres qui ressemblaient à d’infimes détails sans importance, mais qui pour lui avaient autant de valeur. Ceux qui l’ont connu au journal se souviennent d’un personnage chaleureux, qui cherchait à s’accomplir dans une quête permanente de révoltes, sans jamais changer de route…
** Mary est la jeune fille filmée par Maurice et Françoise pour leur documentaire.
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Dès que vient un homme qui apporte avec lui quelque chose de primitif, de sorte qu'il ne dise pas: il faut prendre le monde tel qu'il est... mais qui dise: quel que soit le monde, je m'en tiens à une singularité que je n'ai pas l'intention de modifier selon le bon vouloir du monde: au moment même où cette parole est entendue, une transformation s'opère dans toute l'existence. Comme dans les contes de fées - lorsque la parole est prononcée, le château ensorcelé depuis cent ans s'ouvre et tout devient vie: ainsi l'existence devient-elle une attention pure. Les anges sont occupés et regardent avec curiosité ce qui va se passer, car cela les occupe. De l'autre côté, des démons sinistres et inquiétants, qui sont restés longtemps assis sans rien faire et se sont rongé les doigts, se lèvent et s'étirent, car, disent-ils, voici ce qu'ils ont longtemps attendu, il y a quelque chose pour nous... (Kierkegaard)
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Ce n’est pas sans pessimisme que j’envisage la suite (P. Bergounioux)
Ve I.I.2016
Debout à sept heures. La vallée est noyée de brume. Je transcris les quelques lignes où tiennent la journée d’hier et expédie les notes de décembre à Michèle Planel. Ce n’est pas sans pessimisme que j’envisage la suite. Neuf ans que je suis en butte à des troubles cardiovasculaires et cent fois par ans qu’il me semble toucher à mon dernier instant. Mais que me reste-t-il à perdre? Ce qui m’intriguait, me blessait, me passionnait, j’ai pu m’en occuper. Mam n’a plus besoin de moi. Enfin, je ne supporte plus, pour la plupart, mes semblables. Je ferai sans doute de la peine à Cathy mais c’est le temps petit de l’intermède et non pas l’éternité (et un jour) qui nous a été concédé. J’ai croisé son chemin dès le commencement. Elle a illuminé mon existence. J’ai tout eu. Je peux bien m’en aller.
J’ajoute deux pages et demi au décompte des bonnes heures avant de récupérer les petits à la gare. Sarah porte une très jolie robe sombre et de fins souliers noirs vernis. Cathy a accompli des miracles. Traversant la cuisine, je l’ai vue, double décimètre et cutter à la main, découper le couvercle du vol-au-vent qui apparaîtra sur la table de midi.
Soulef est souffrante, toujours, fatiguée. Nous sortirons marcher, en fin d’après-midi. Le brouillard a fini par se dissiper mais la nuit vient déjà et c’est une étrange promenade, dans l’obscurité.
J’ai lu le manuel de métallurgie pour classes de terminales F1 et F3.
Carnet de notes 2016-2020, p.7-8
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One Piece Halloween 2020 scénario : Marco, Ace, Thatch, Barbe Blanche, Garp
VERSION FRANCAISE
Titre: Minuit moins cinq.
Genre: Family/ friendship/ Drama/ Funny. Environ 3 000 mots.
Minuit moins cinq
Trois coups retentirent contre la porte du pirate endormis. Il grogna tout en s’extirpant de son sommeil et mit ses lunettes. Puis, il se frotta le crâne en regardant son horloge : minuit moins cinq. Il souffla, fatigué mais malheureusement habitué à être dérangé en pleine nuit. Trois coups résonnèrent à nouveau et cette fois-ci le pirate put entendre de minuscules griffes lacérer sa porte. Surprit, il utilisa son haki : deux hommes et un chat attendaient derrière sa porte. Mais ce ne fut pas ce qui surprit Marco le plus : tous ses frères dormaient. Absolument aucun n’était réveillé, même l’homme chargé de monter la garde. Ce qui signifiait que les deux hommes derrière sa porte n’étaient pas de son équipage. Son sang ne fit qu’un tour. Il garda cependant son calme et ouvrit la porte, prêt à se battre si nécessaire. La porte laissa entrevoir une mer calme, extrêmement calme. D’épais nuages noirs avaient envahis le ciel et empêchaient presque tous les rayons de la lune de traverser. Il n’entendit pas un seul bruit, pas même le bruit des vagues qui s’écrasaient doucement contre le Moby Dick. Il n’entendait que le chat ronronner devant lui. Marco tomba nez-à-nez avec les deux hommes que son haki avait identifié. Les hommes, à peine plus grands que des enfants de 10 ans, étaient assez ronds. L’un deux, celui qui n’avait pas le chat sur son épaule, était en train de manger une citrouille. Marco resta sur ses gardes. Ils restèrent plusieurs secondes à se regarder droit dans les yeux. Les deux nains n’avaient pas l’air hostiles, mais quelque chose d’anormal était en train de se passer.
- Numéro 8834MF77 ? Demanda celui avec le chat d’une voix grave qui ne correspondait pas trop à sa taille…
Marco resta ébahis, complètement perdu. Il ne décelait aucun pouvoir des deux hommes, et à vrai dire, il ne ressentait aucune trace de vie émaner d’eux. Pourtant, ils se tenaient bien devant lui… Et ses frères qui dormaient toujours.
- 8834MF77, dépêchez-vous, nous avons d’autres arrêts de prévus. Relança le nain tout en consultant un long parchemin remplis de gribouillis. Il pointa du doigt l’extrémité ouest du navire.
Marco pencha la tête et fut ébahis : un petit manoir flottait à quelques mètres seulement du Moby Dick. Quelques lumières permettaient de déceler les fondements de la maison qui devait faire trois étages et à peine trois cents mètres carrés. A l’entrée, une femme âgée était accoudée contre une table où Marco put apercevoir des citrouilles à vendre. Aucune voile, aucune rame ni aucun mécanisme de flottaison ne semblait permettre au manoir de se déplacer. Pourtant, il trônait fièrement au milieu de l’océan et se déplaçait doucement, sans un bruit.
Le deuxième nain tapa son pied contre le sol pour montrer son impatience. Marco se reconcentra sur lui.
-Le nouveau monde… Marmonna-t-il pour lui-même. Ce fut la seule explication qu’il trouva pour comprendre ces étrangetés.
-Numéro 8834MF77, est-ce que vous montez ? Insista le nain. Le chat noir sur son épaule fixait Marco de ses magnifiques yeux verts.
-Non merci… Répondit simplement le pirate, pas réellement sûre de la réponse à donner.
Les deux nains haussèrent les épaules et repartirent le long du Moby Dick rejoindre le manoir. Marco sortit légèrement de sa chambre, pour s’assurer que les deux hommes quittèrent bien le navire. Par sécurité, il utilisa une dernière fois son haki dans l’ensemble du Moby Dick. Aucun autre intru n’était présent.
Les deux hommes sautèrent agilement par-dessus la rampe du navire pirate et atterrirent rapidement sur la terrasse du manoir. L’un des deux piqua une petite citrouille à la vieille qui s’était endormis et tout deux s’engouffrèrent dans le manoir. Aussitôt, Marco put voir le manoir pivoter sur lui-même et avancer tranquillement. L’étrange bâtisse passa ainsi devant ses yeux ahuris. Jamais, en tant d’années de piraterie, il n’avait vu une chose pareille. Il se rapprocha du bord pour mieux apercevoir le « navire ». Le bois craquait à certains endroits et quelques pièces étaient allumées, laissant apercevoir des ombres. Marco utilisa de nouveau son haki de l’observation : aucune trace de vie n’émanait de la bâtisse. Il s’apprêtait à retourner dans sa chambre alors que le manoir commençait à dépasser le Moby Dick dont les voiles étaient rangées, quand son sang se glaça à nouveau. Par-delà l’une des fenêtre, Marco reconnut une ombre. Il hésita un instant. Ce n’était pas possible… Mais pourtant il l’avait vu… Cette ombre ressemblait comme deux gouttes d’eau à celle de son capitaine, mort il y a quelques semaines à peine à Marine Ford. Il resta stoïque quelques secondes et commença à courir le long des couloirs du Moby Dick pour tenter d’atteindre le manoir qui s’éloignait de plus en plus. Alors que le « navire » commençait à lui faire dos, il aperçu grâce à une seconde fenêtre deux autres silhouettes. Son cœur se noua, une vague de tristesse l’envahit. Il reconnut sans difficulté les corps de ses deux défunts frères : Ace et Thatch. Le temps sembla se figer autour de lui. Il ne tenta même pas de comprendre comment, pourquoi ? Il voyait juste les trois êtres qui lui manquait le plus au monde, devant lui, discutant et se chamaillant comme si les derniers mois n’étaient que des mauvais souvenirs. Mais derrière lui se trouvait toujours le Moby Dick endeuillé et ses quelques frères ayant survécu à l’atroce bataille.
Marco n’était pas un homme impulsif. Il était réfléchit, mature, maitre de lui-même. Mais quand la possibilité de retrouver sa famille s’offrit devant lui, il n’hésita même pas une seconde. Quitte à foncer dans un piège, quitte à perdre la vie, ces dernières minutes lui auront permis de se sentir en vie à nouveaux.
Des flammes bleues envahir le pont du Moby Dick et le magnifique phoenix s’envola gracieusement vers le manoir. En quelques battements d’ailes, Marco se retrouva devant la porte d’entrée. La vieille se réveilla doucement quand elle sentit le pirate se poser mais se rendormit immédiatement à côté de ses citrouilles. Marco frappa à la porte. Pas de réponse. Il pouvait entendre de légers bruits derrière la porte. Il frappa une seconde fois, et devant l’absence de réponse, il ouvrit délicatement la porte. Il tomba nez-à-nez avec une réceptionniste.
Le hall d’entrée était minuscule. Seul un guichet trônait au milieu de la pièce. Derrière ce dernier se trouvait une femme, dans la cinquantaine, en train de gribouiller sur du parchemin. Un énorme lustre se balançait au-dessus de la tête du blond, au rythme de la houle. Par la fenêtre, Marco put voir le Moby Dick s’éloigner doucement. Il réprima un soupir. Il avait juré de protéger ce navire et ses occupants, mais la possibilité de retrouver son père, Ace et Thatch lui avait fait perdre la tête.
Il resta ainsi planté devant la réceptionniste pendant quelques minutes, attendant qu’elle note sa présence. Ce qu’elle fit au bout de quelques minutes.
-Numéro 8834MF77 c’est bien ça ? Demanda-t-elle de sa voix abimée par des années de consommation excessive d’alcool.
-Je suppose… Répondit simplement Marco.
La femme soupira, s’empara d’un énorme livre rangé dans le guichet et parcouru les pages en vitesse.
-Marco le phoenix. Second du capitaine du Moby Dick. Vous étiez prévu pour minuit moins cinq, nous n’avons pas que ça à faire… Marmonna la femme en le regardant au-dessus de ses lunettes.
Marco se retourna vers l’immense horloge en forme de hiboux plantée dans le mur : minuit moins cinq.
-J’aurai besoin de votre numéro de sécurité sociale. Reprit-elle en s’emparant d’une plume et d’un encrier.
-Mon numéro de … ? Je n’en ai pas. Répondit Marco en se grattant le crâne. Mais où était-il tombé ? Cet établissement appartenait au gouvernement mondial ?
-Vous n’avez pas du tout de sécurité sociale ? Répéta la femme, montrant clairement son impatience.
-Non, je suis un pirate.
-Et bien mon petit c’est très dangereux ça. Faut pas jouer avec sa santé vous savez.
-Je suis un phoenix… Je me soigne moi-même… Répondit simplement Marco, complètement ébahis par l’échange.
-Mouai, vous faisiez moins le fier à MarineFord. Chuchota la réceptionniste alors qu’elle tirait un grand trait en face du numéro 8334MF77.
Marco patienta encore un peu. Il cherchait du regard ses frères mais le hall ne donnait que sur une pièce sur la gauche et derrière la réceptionniste se trouvait des rails.
« Prochain arrêt, navire du vice-amiral Monkey D Garp, à minuit moins cinq » Beugla l’escargophone accroché au mur.
Marco se retourna, surprit. Selon ses calculs, le navire du vice-amiral se trouvait au moins à trois heures de route du Moby Dick et allait vers le sud. Comment pouvaient-ils déjà être arrivés, alors qu’ils étaient partis il y a moins de dix minutes. Et pourquoi était-il toujours minuit moins cinq alors que cela faisait au moins vingt minutes qu’il était minuit moins cinq ?
-Bon, vous n’allez pas continuer à faire plante verte, si ? On a d’autres clients qui arrivent. Dépêchez vous de vous habiller dans le cagibi et prenez le train. On a pas toute la nuit. Vociféra la femme tout en quittant son guichet.
Un nain déboula brusquement auprès de Marco. Ce n’était pas l’un des deux qu’il avait vu sur le Moby Dick mais celui-ci était au moins aussi petit et aussi gros. Ce dernier fonça dans les jambes de Marco et le prit par la taille pour l’emmener dans le cagibi. Le pirate se trouva projeté dans le cagibi entièrement noir. Il eut à peine le temps de sentir les mains baladeuses du nain qu’il sentit un tissu enserrer son mollet droit. Un foulard rouge. Quelques secondes plus tard, le nain le guida sans délicatesse vers le mini train. Celui-ci était tout simple, noir, mais aucun conducteur n’était visible. Marco s’assit au premier rang de la locomotive qui démarra aussi sec. Le blond fut projeté contre son siège et immédiatement envahit par les ténèbres que le train traversait.
En quelques secondes, le train s’échappa du tunnel et déboula dans une minuscule citée. Les immeubles devaient faire à peine deux fois la taille de Marco et étaient recouverts de briques rouges. De minuscules commerces étaient alignés et quelques nains, des femmes cette fois, se promenaient dans les rues avec leurs enfants. Marco se sentit défaillir. Absolument rien de cette situation n’était normale, logique. Comment un si petit manoir pouvait abriter une ville entière ? Le train continua de sillonner les rues et fonça à pleine vitesse vers une colline parsemée de petits chemins de randonnée.
Marco fut tiré de sa contemplation par une petite tape sur l’épaule. Il fut tellement surprit qu’il fit un énorme bond. Derrière lui se trouvait une enfant, des cheveux roux, faisant à peine un mètre. Il lui souriait de toutes ses dents.
-Bonsoir 8334MF77, qui êtes-vous venu voir ? Demanda-t-elle gentiment.
Marco, toujours surprit, balbutia le nom de ses deux frères et de son père.
-Oïïïï chauffeur, arrête-toi porte 230B ! Hurla-t-elle en direction de l’arrière du train. La machine prit un tournant sec qui propulsa Marco contre la fenêtre. Quand il reprit ses esprits la fillette avait disparus.
De la neige commença à tomber doucement du ciel dont Marco ne parvenait pas à voir la fin. Il était persuadé que ce n’était pas le ciel qu’il apercevait depuis le Moby Dick, et puis ce manoir était censé avoir un toit. Le train s’arrêta brusquement. Marco perdit de nouveau l’équilibre mais resta assit. Il entendit une porte claquer à l’arrière du train et une silhouette, petite et grosse, fonça vers lui à grandes enjambées. Quelques secondes plus tard, le conducteur du train lui attrapa le col de sa chemise et le propulsa à l’extérieur du train. Marco tomba lourdement sur la pelouse enneigée et vit le train repartir à grande vitesse. Il se releva rapidement et scruta l’horizon. Il était face à un mur de bois où étaient alignées des portes numérotées.
-230C c’est ça ? Fit-il pour lui-même, essayant de se rappeler les paroles de la petite fille qui avaient été partiellement couvertes par le bruit du train.
Il s’avança vers la porte 230C mais fut rapidement arrêté par un squelette qui jaillit de l’intérieur du mur.
-Enlève tes chaussures s’il te plait, je viens de passer le balai. Fit-il, ses énormes lunettes pointées vers Marco. Ce dernier n’osa pas lui demander pourquoi un squelette avait besoin de lunettes, il se contenta de déposer ses chaussures à l’entrée.
Il entrouvrit la porte et s’engouffra dans la pièce. Celle-ci était baignée d’une lumière dorée réconfortante. Il put voir dans l’angle une jeune femme assise dans un canapé rouge, un livre dans les mains. Elle était tellement absorbée par sa lecture qu’elle ne remarqua même pas la présence du pirate. Marco eut à peine le temps de détailler les traits du visage de la femme -elle lui disait vaguement quelque chose- qu’il entendit le train s’arrêter de nouveau à quelques mètres derrière la porte qu’il venait de franchir. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit avec fracas, laissant une silhouette s’engouffrer à son tour dans la pièce. Il ne lui fallu que quelques secondes pour reconnaitre l’imposante carrure du vice-amiral Garp. Ce dernier le fixa, surprit de le voir, mais ne dit rien. Marco comprit qu’il n’était pas à sa place et sortit de la pièce sans faire d’histoire, laissant le marine s’engouffrer dans les bras de la femme.
Il referma délicatement la porte derrière lui et retourna auprès du squelette qui ronchonnait après Garp qui n’avait pas enlevé ses chaussures avant d’entrer.
-Dépêches toi le poulet, c’est 230B pas 230C, il va bientôt être minuit. Vociféra le squelette en passant la balayette.
Marco s’exécuta aussitôt et s’engouffra sans frapper dans la pièce 230B.
Il fut d’abord aveuglé par la lumière. Il lui fallut plusieurs secondes avant de pouvoir ouvrir les yeux. Son cœur sembla sortir de sa poitrine.
-Oï ? fit-il d’une voix à peine perceptible.
Les trois autres hommes présents dans la salle se tournèrent vers lui. Ils restèrent tous à se regarder pendant quelques secondes, avant que le brun ne fonce sur le blond et l’enlace de toutes ses forces. Des larmes coulèrent le long des joues de Marco quand il sentit la douceur des cheveux d’Ace chatouiller sa peau, quand il ressentit son parfum si particulier, quand il entendit le rire du brun à son oreille. Ace le libéra enfin et Marco put apercevoir au bout de la pièce son père, assit à table, Thatch à ses côtés en train de couper une dinde avec une précision chirurgicale. Tous deux firent un sourire chaleureux à Marco, complètement déboussolé, qui les rejoignit directement à table. Il s’assit, sentit la main de père déposer une serviette à côté de l’assiette que Thatch s’empressait de remplir. Marco n’arrivait plus à parler, il se contentait de les admirer. Jamais de sa vie il n’avait vu plus beau tableau. Ace s’assit à son tour, à côté du blond, un immense sourire flanqué sur le visage avant d’être prit d’une crise de narcolepsie et de s’effondrer tête la première dans son assiette. Thatch grommela quand il se prit des projections de dinde dans la figure mais tendit son assiette à Marco.
-Tu m’en diras des nouvelles ! Fit le cuisinier avant de s’attabler à son tour et de vider son verre de vin.
Marco s’apprêtait à demander à son père le pourquoi du comment de cette situation surréaliste quand l’énorme horloge en forme de hiboux accrochée au mur sonna d’une forte mélodie envahissant toute le pièce. Les trois hommes réveillés regardèrent l’heure : il était minuit pile. Edward Newgate se tourna vers le blond et dans un chuchotement presque imperceptible, lui dit « Je t’aime mon fils. »
Marco n’eut pas le temps de répondre que l’escargophone accroché au mur brailla à son tour :
« Minuit pile, préparez-vous pour la descente ! ».
Le cœur de Marco s’emballa, quelque chose clochait. Tous ses sens étaient en éveil et lui criaient de regarder par la fenêtre. Il aperçut alors, à quelques mètres devant le manoir, une énorme cascade qui entraînait à vive allure le manoir qui fonçait droit dessus. A peine une minute plus tard, Marco sentit le sol se dérober sous ses pieds : le manoir commençait à plonger, entraîné par les courants de la cascade. Il fut le seul de la pièce à paniquer : Ace dormait toujours comme un enfant, Père continuait de savourer sa dinde et Thatch reposa son verre de vin sur le table, alors que Marco fut projeté contre le mur, entraîné par la chute du manoir. Il se tourna vers Thatch qu’il crut entendre parler « Ne sois pas trop pressé de nous rejoindre l’ananas, chaque chose en son temps… » Marco n’aurait pas su dire s’il s’agissait d’une hallucination ou si son frère lui avait réellement parlé. Une seconde plus tard, Marco ferma les yeux, prêt à subir le choc de la cascade.
Il se releva dans un sursaut, de la transpiration dégoulinant de son front. Par réflexe, il tenta d’avaler de grandes bouffées d’air, comme s’il luttait contre la noyade. Il se ressaisit rapidement quand il comprit qu’il n’était pas au fond de l’océan mais dans son lit, dans la cabine du Moby Dick. Il s’épongea le visage et se rendit compte que quelqu’un toquait à la porte. Il préféra utiliser son haki et reconnut son frère Vista. Il soupira. Il essaya de se rassurer en se répétant que tout cela n’avait été qu’un mauvais rêve, même s’il lui avait semblé être très réaliste. Il se dépêcha de se débarrasser de ses couvertures trempées et se releva rapidement pour aller ouvrir à son frère. Quand il se dirigea vers la porte et l’ouvrit par automatisme, il se figea, ses mains tremblants. Son regard parcouru sa jambe droite : à son mollet était toujours accroché le foulard rouge.
Fin.
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Les événements culturels de septembre 2024 à Montbéliard
Le Pôle culturel de la Ville de Montbéliard, regroupant Musées, Médiathèque, Archives, CCSV (Centre Culturel Simone Veil), vous présente les événements culturels de septembre 2024 à Montbéliard : ESCAPE GAME "HÉRITAGE ET CONVOITISES" >Musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel Le musée d’Art et d’Histoire occupe un ancien hôtel particulier, bijou d’architecture à la française, construit au 18e siècle. Plusieurs générations des familles Beurnier et Rossel, parmi les plus influentes de la bourgeoisie montbéliardaise, ont cohabité dans cette vénérable demeure avant qu’elle ne soit léguée à la ville pour devenir un musée. Dans cette exploration passionnante et amusante venez découvrir les mystères autour de ce lieu et de son histoire. Suivez le guide et découvrez les indices, décryptez les énigmes pour révéler au grand jour les secrets de cette saga familiale. Conception : le Pacte • Sur inscription au 03 81 99 22 57 • Tarif : 60 € (de 2 à 6 personnes), 30 € sur présentation du coupon avantage jeune • À partir de 13 ans ou 6 ans accompagné d’un adulte EXPOSITION "EXTRA ET ORDINAIRES " JUSQU’AU 21 SEPTEMBRE >Médiathèque Exposition photographique sur le thème du handisport. EXPOSITION "ÉTIENNE OEHMICHEN ET LA NATURE" JUSQU’AU 22 SEPTEMBRE 2024 >Esplanade du château 2024 marque le centenaire du vol historique réalisé par Étienne Œhmichen : le premier kilomètre en boucle au monde parcouru par un hélicoptère. Découvrez, au gré de votre promenade sur l’esplanade du château, ce personnage inventif et ses travaux qui combinent Nature et Technique. EXPOSITION DE SCULPTURES DE SABLE ET DE PAILLE JUSQU’AU 22 SEPTEMBRE >Esplanade du château Découvrez les sculptures de paille et de sable inspirées des travaux et inventions d'Étienne OEhmichen qui viennent illustrer les propos de l’exposition. À travers le regard des artistes Benoit Dutherage et Camille Bernard. ARTOTHÈQUE HORS LES MURS >Médiathèque MERCREDIS 11 ET 18 SEPTEMBRE DE 15H À 17H Retrouvez et empruntez les œuvres de l’Artothèque Ascap. • Modalités de prêt au 03 81 95 52 75. RENCONTRE-MÉTIER : RESTAURATEUR DU PATRIMOINE MERCREDI 11 SEPTEMBRE À 18H >Musée d'Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel La restauration et la conservation de deux costumes du 18e siècle par Célia Thibaud, restaurateur du patrimoine – spécialité textiles. Identifier, diagnostiquer, prévenir et restaurer, voici les actions menées par les conservateurs-restaurateurs. De la connaissance des matériaux, aux études de datation et histoire des objets, leur expertise est globale. Ces médecins de l’art assurent la préservation d’objets, tableaux, livres, mobiliers, tapisseries, sculptures, vitraux…selon leur spécialité. • Inscription au 03 81 99 22 57 MIDI DU MUSÉE "ÉTIENNE OEHMICHEN ET LA NATURE " >Esplanade du château JEUDI 12 SEPTEMBRE DE 12H30 À 13H30 • Gratuit. • Inscriptions au 03 81 99 22 57 ATELIER ENFANT-PARENT AUTOUR DU KAMISHIBAÏ SAMEDI 14 SEPTEMBRE À 15H >Médiathèque MA Scène nationale et la compagnie MELAMPO proposent un atelier enfant parent autour du spectacle Les Forces Rondes qui sera en tournée sur le Pays de Montbéliard du 11 au 14 septembre dans le cadre de la Capitale Française de la Culture. Lors de ce temps pratique, les familles pourront s’initier à l’illustration (technique du collage) grâce à une intervention plastique autour du Kamishibaï (petit théâtre japonais). • Durée 1 heure • À partir de 6 ans • Places limitées. Réservation au 03 81 99 24 24 FESTIVAL LES QUATRE SAISONS DU 18 AU 20 SEPTEMBRE 2024 >Les Bains Douches – La Scène Avec Karim Mendil, Les Hommes du Président et Christian Legal. • Tarif : 12€ par spectacle Renseignements au 03 81 99 20 19 • Réservations : Info Jeunes Montbéliard au 03 81 99 24 15 ou sur www.montbeliard.fr/quatresaisons / www.ticketmaster.fr / www.francebillet.com JOURNÉES EUROPÉENNES DU PATRIMOINE 21 ET 22 SEPTEMBRE Le programme proposé par les musées, la médiathèque, les Archives, au théâtre, au Centre culturel Simone Veil est consultable ici. L'ENVOL 21 SEPTEMBRE À 20H30 >Esplanade du château Performance dansée et mapping. Telle une femme-oiseau, la danseuse Jeanne Morel invite le spectateur à un instant de légèreté rêvée, intégrée dans un mapping monumental de Paul Marlier. Par Jeanne Morel et Paul Marlier, inspirée des travaux d’Étienne OEhmichen et de Léonard de Vinci. JOURNÉES GOURMANDES 21 ET 22 SEPTEMBRE >Parc du Près-la-Rose Au détour des lieux incontournables et historiques de la ville, régalez-vous avec les spécialités gastronomiques locales du pays de Montbéliard et de la région sur le marché du terroir dans les allées du parc du Près-la-Rose ou encore grâce à la marche gourmande à travers la cité des Princes. Un événement organisé par la Ville de Montbéliard, le Collectif Manifest et l'Office de tourisme du pays de Montbéliard. • Programme et renseignements sur www.montbeliard.fr MIDI DE LA MÉDIATHÈQUE JEUDI 26 SEPT DE 12H15 À 13H15 >Médiathèque OUVERTURES MUSICALES SAMEDI 28 SEPTEMBRE Une journée autour de la musique symphonique, afin de la découvrir ou la redécouvrir autrement en déambulant dans le centre-ville de Montbéliard, au musée du château des ducs de Wurtemberg. FABRIQUEZ & JOUEZ À 11H30 Centre culturel Simone Veil Durant cet atelier, les enfants fabriqueront leurs propres percussions qui serviront à donner vie aux personnages du Conte musical participatif qui sera donné l’après-midi. • Durée 1h • Pour les 6-10 ans CONTE MUSICAL PARTICIPATIF À 14H Centre culturel Simone Veil Deux musiciens de l’Orchestre Victor Hugo et un conteur se joignent aux enfants de l’atelier Fabriquez & Jouez pour vous raconter une histoire en musique. • Durée 1h • à partir de 6 ans CONTE MUSICAL – THANH LAN À 10H Médiathèque Créé en mai 2024 sur une musique de François Pernel pour et avec les jeunes élèves du Conservatoire aux harpes celtiques, ce conte musical en cinq fables nous raconte en texte et en musique les aventures de Thanh Lan. • Durée 30 min SA MAJESTÉ LA HARPE À 14H30 Médiathèque Stéphanie Manzo, artiste enseignante du Conservatoire, nous propose un mini récital à travers le répertoire enchanteur de la harpe où se côtoient des compositeurs de toutes les époques. • Durée 30 min JEU ÉCOUTEZ–VOIR À 14H30, 15H30 ET 16H15 Musée d'Art et d'Histoire Hôtel Beurnier-Rossel Sauriez-vous retrouver quelle peinture, décor ou objet du musée est évoqué en musique ? Un petit jeu proposé par deux musiciens de l’Orchestre Victor Hugo et la médiatrice du musée pour découvrir le patrimoine autrement. • Durée 30 min infos > www.montbeliard.fr Read the full article
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Les soldats libres.
La grande aventure des mercenaires.
Entretien avec François-Xavier SIDOS, auteur du livre.
Les mercenaires défrayent régulièrement la chronique, mais qui sont-ils vraiment ? Les soldats libres, de François-Xavier Sidos, fait pour la première fois le point sur la tradition historique dont sont issus ces « soldats sans frontières ». Un ouvrage utile à ceux qui, à l’heure de la privatisation de la guerre, veulent comprendre ce phénomène sans sacrifier à la facilité des idées reçues.
Loin de la présentation négative généralement faite des « affreux » percent des personnalités surprenantes : des grands chefs de guerre, bien sûr, mais aussi des « sans grade » au destin extraordinaire, des écrivains… et même des philosophes.
- Qu’est-ce qu’un mercenaire ?
Les définitions habituelles des mercenaires sont souvent malveillantes, à commencer par celle de l’ONU et de la Convention de Genève dont l’orientation hostile est clairement affichée. Cette connotation négative est récente. Elle date de la levée en masse, s’est ancrée dans les esprits au cours des XIX° et XX° siècles et prend parfois aujourd’hui une forme proche de l’hystérie.
Pourtant, jusqu’à la Révolution française, les mercenaires formaient le gros des forces armées. Le conscrit de l’an II, paysan arraché à sa terre et brutalement transformé en soldat, avait pour mission première de tuer le mercenaire à qui on ne pardonnait pas sa fidélité au roi, tragiquement illustrée par le sacrifice héroïque des Suisses aux Tuileries le 10 août 1792. Mais le crime ne fut pas parfait.
Pour « vendre » le bidasse, pour fabriquer par millions les soldats prolétaires que l’on jeta plus tard dans les tranchées de la Grande Guerre, il fallut alors dévaloriser le mercenaire. On tenta ensuite de lui faire porter le chapeau des excès de la décolonisation. On prétend aujourd’hui que son utilisation « aggrave la violence, déstabilise les Etats et se traduit par des atteintes aux droits de l'homme. » Cette logique, bien qu’elle soit totalement dépassée, prévaut encore dans certains esprits français. Dans le même temps, les Anglo-saxons occupent le « marché » sans le moindre scrupule.
D’un strict point de vue historique, le mercenariat se définit comme la mise à disposition d’une force armée privée auprès de ceux qui en éprouvent le besoin. D’Héraclès à Bob Denard, en passant par Georg von Frundsberg, le Connétable de Bourbon, le maréchal de Saxe et bien d’autres encore, tous les mercenaires célèbres ont pour point commun d’avoir porté les armes pour le compte d’autrui. Choisissant leurs causes et bien souvent leurs chefs, les mercenaires agissent en hommes libres. Ce sont des soldat libres.
- Pourtant la principale motivation des mercenaires n’est-elle pas l’argent ?
Pour résumer le rapport que les mercenaires entretiennent avec l’argent, il faut avoir en mémoire cette méprisante réplique de Surcouf à un officier anglais qui lui reprochait de se battre pour l'argent, alors que lui ne combattait que pour l'honneur et pour la gloire : « Nous combattons chacun pour acquérir ce qui nous manque ! »
Lorsqu'ils attachent une certaine importance à leur salaire, c'est pour prendre la mesure de la considération qui leur est portée. Mais il se trouve toujours des petits malins pour critiquer le prix du sacrifice, comme s'il ne fallait considérer le salaire comme normal que chez ceux qui ne risquent rien pour le gagner.
- On constate dans votre ouvrage que le mercenariat ne date pas d’hier et qu’il a même ses lettres de noblesse.
Les mercenaires existent depuis que les hommes font la guerre, ce qui en fait un des plus vieux métiers du monde et probablement l’activité la plus prometteuse pour l’avenir. Il y eut cependant des époques plus favorables que d’autres, qui se signalèrent par de très gros contrats.
L’histoire de l’Europe fourmille d’exemples. La glorieuse retraite de l’armée des Dix-Mille racontée par Xénophon dans l’Anabase il y a vingt-cinq siècles est connue de tous. Mais sait-on qu’Alexandre le Grand commanda une des plus grandes armées mercenaires jamais rassemblées ? Sait-on qu’Hannibal dut ses succès au moins autant à ses mercenaires qu’à ses éléphants ? Sait-on que le plus grand chef mercenaire de la guerre de Cent ans s’appelait Du Guesclin ? Sait-on que les Sforza, qui régnèrent longtemps à Milan, étaient avant tout des condottieres, ces mercenaires qui contribuèrent tant à la renaissance italienne ?
Les mercenaires de la mer que furent les corsaires ont aussi largement contribué à forger cette tradition. Jean Bart et Robert Surcouf en sont les plus glorieuses illustrations. A côté de ces grands noms, de fabuleux destins se sont accomplis, comme celui du matelot René Madec qui combattit aux Indes à l’époque où Pondichéry était à la France, qui termina Nabab, accumula une fortune considérable et fut anobli par Louis XVI.
Nous sommes loin du Katanga ou des Comores, mais le même esprit subsiste.
- Votre ouvrage n’est pas uniquement un livre d’histoire. Certains engagements récents y sont racontés.
Il fallait rétablir la vérité. Tout et n’importe quoi a été colporté dans la presse, même la plus sérieuse, au sujet des mercenaires contemporains. Ils sont pourtant bien loin de ces prédateurs sans scrupules qu’une certaine historiographie tente de décrire en eux. Leurs sacrifices aux côtés des Karens, leur rôle important et leur comportement exceptionnel dans plusieurs conflits africains, leur façon de voir le monde et d’influer sur le cours des événements méritent largement qu’on s’y attarde.
Mais j’ai surtout voulu établir la filiation avec les grands anciens. Héritiers de la longue tradition mercenaire, ils l’enrichissent de leurs aventures avant de la transmettre à de nouvelles générations de combattants. Encore faut-il pour cela que leur histoire soit connue.
- Plus surprenant, vous consacrez même un chapitre aux mercenaires célèbres pour autre chose.
Ces mercenaires atypiques éclairent en effet le métier d’une lumière plus douce. Citons pêle-mêle Rodrigo Diaz de Vivar plus connu sous le nom du Cid, Benvenuto Cellini célèbre comme orfèvre et sculpteur mais très méconnu comme mercenaire au service du pape, Christophe Colomb, mercenaire génois au service de l’Espagne. Plus près de nous, Lord Byron, Giuseppe Garibaldi, Arthur Rimbaud, André Malraux ou « Che » Guevara, même si ces derniers sont officiellement considérés comme des « volontaires internationaux » - subtilité sémantique pour désigner les mercenaires autorisés - ont laissé leur nom dans l’histoire pour d’autres raisons que leur engagement mercenaire.
Mais le plus surprenant reste René Descartes, mercenaire et philosophe, engagé sous le nom de « Monsieur du Perron » dans l’armé du prince d’Orange et qui en plein cœur de la guerre de Trente Ans, cantonné aux environs d’Ulm, eut la révélation de cette « science admirable » qui préluda au Discours de la méthode.
Comme quoi le mercenariat mène à tout à condition d’en sortir… vivant.
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