#cellule T
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Interleuchina-1: l'attore doppia faccia che invece di aiutare l'immunità antitumorale le mette i bastoni fra le ruote
Un nuovo studio ha scoperto un modo inaspettato in cui le cellule tumorali possono sfuggire al sistema immunitario, rendendo più difficile l’efficacia dei trattamenti. Lo studio, pubblicato su Cancer Cell, spiega come un tipo di morte delle cellule tumorali possa effettivamente far crescere i tumori più velocemente, disattivando la capacità del sistema immunitario di combattere il cancro. I…
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👨⚕💉💊🩺 Le coût de la thérapie cellulaire CAR-T en Inde est généralement plus abordable que dans de nombreux pays occidentaux, principalement en raison de la réduction des dépenses opérationnelles, notamment des coûts de main-d'œuvre et d'infrastructure.👨⚕💉💊🩺
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 14 : Le prix final
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Le sort les avait projetés dans un paysage lugubre et inquiétant. Le ciel était d'un noir d'encre, strié de brumes grisâtres qui semblaient danser comme des ombres vivantes. Le sol sous leurs pieds était froid et craquelé, comme si la vie avait déserté ce lieu depuis des millénaires. Aucun son ne résonnait, pas même un souffle de vent ou le cri d'une créature. C'était un silence oppressant, comme si le monde entier retenait son souffle.
Regina fit un pas en avant, plissant les yeux pour scruter les environs. « Alors c'est ça, le grand royaume de Hela ? Sérieusement ? On dirait une vieille scène de théâtre abandonnée. » Elle se retourna vers Gold avec un sourire sarcastique. « Je crois que tu as flippé pour rien. »
Gold fronça les sourcils, mais avant qu'il ne puisse répondre, un grondement sourd fit vibrer l'air autour d'eux. Le sol se mit à trembler légèrement sous leurs pieds, et une fumée noire jaillit brusquement du sol, s'élevant comme une vague menaçante. Elle les enveloppa en un instant, froide et suffocante, rendant leur vision floue.
« Génial, vraiment génial, » murmura Agatha d'un ton sec, avant d'ajouter avec un sourire narquois : « Merci, Regina, de nous avoir porté l'œil. »
Regina ouvrit la bouche pour répliquer, mais avant qu'elle ne puisse prononcer un mot, la fumée noire se resserra autour d'eux, plus dense et oppressante. En un instant, ils disparurent du lieu où ils se tenaient.
Quand la fumée se dissipa, chacun d'eux se retrouva isolé, enfermé dans une cellule étroite et sinistre. Les murs, faits de pierres noires luisantes, semblaient suinter une énergie sombre et glaciale. Une faible lumière verdâtre émanait du plafond, éclairant à peine leur environnement.
Agatha regarda autour d'elle, frappant les barreaux de sa cellule. « Sérieusement ? Une prison ? Ils n'ont pas plus original ? »
Regina, dans la cellule voisine, posa ses mains sur les barreaux, son regard furieux. « C'est sûrement une autre des brillantes idées de Gold ! » Elle tourna la tête pour essayer d'apercevoir les autres.
« Moi ? » répondit Gold, dans une cellule à quelques mètres, son ton sec. « Peut-être que si tu parlais moins, nous ne serions pas ici. »
Ivana, quant à elle, resta calme, analysant les détails de sa cellule. « Il doit y avoir un moyen de sortir d'ici. Rien n'est inviolable. »
Agatha se laissa tomber contre le mur, soupirant. « Génial, vraiment. La prochaine fois, on fait une croisière plutôt qu'un voyage au royaume des morts. »
Ivana regarda la scène devant elle, le visage empreint d'une lassitude palpable, avant de lâcher un soupir d'exaspération. Elle croisa les bras, scrutant les autres avec un mélange de frustration et de résignation.
« Je préférerais être enfermée avec des scorpions plutôt qu'avec vous trois réunis, » grogna-t-elle.
Regina, adossée nonchalamment contre les barreaux de sa cellule, arqua un sourcil et esquissa un sourire en coin. « Oh, on dirait que mademoiselle n'est pas de bonne humeur ce matin. »
Avant qu'Ivana ne réplique, Rumple intervint avec son ton mielleux habituel, une étincelle malicieuse dans le regard. « Peut-être que quelqu'un ici ne s'est pas bien occupé d'elle cette nuit. » Il adressa un regard appuyé à Agatha, un sourire narquois sur les lèvres.
Agatha, qui jusque-là observait la scène avec une relative patience, se raidit immédiatement. Ses yeux lancèrent des éclairs dans la direction de Rumple. « Tu ferais mieux de te taire, Rumple, avant que je ne te montre à quel point je peux m'occuper de toi. »
Ivana leva les mains comme pour calmer le jeu, mais son soupir s'échappa avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit. Sans un mot, elle s'approcha du mur de sa cellule et y appuya doucement son front.
« Vous savez quoi ? Continuez. Allez-y. C'est pas comme si je pouvais m'échapper, » marmonna-t-elle avant de se cogner doucement la tête contre le mur.
Une fois. Deux fois. Comme pour faire sortir les voix de sa tête.Regina éclata de rire, clairement amusée.
« Oh, Ivana, tu fais ma journée. Je te remercie de ce spectacle. »
Agatha, visiblement contrariée par les insinuations de Rumple, ignora Regina et s'approcha des barreaux. « Ivana, chérie, ignore-les. C'est pas bon pour ton sang-froid. »
« Mon sang-froid ? » répliqua Ivana en tournant légèrement la tête vers elle. « Tu veux dire celui que vous avez tous collectivement détruit ? Non, tout va très bien, Agatha. Parfait même. »
Agatha esquissa un sourire en coin, amusée malgré elle. « Oh, tu es tellement mignonne quand tu es en colère. »
Ivana ferma les yeux, murmurant pour elle-même : « Les scorpions. Je veux des scorpions. »
Rumple croisa les bras, l'air faussement innocent. « Voyons, Ivana, il faut apprendre à apprécier les bonnes conversations entre amis. »
« Amis ? » grogna Ivana en pivotant pour les regarder. « Si c'est ça vos définitions de l'amitié, je préfère encore un cercle de flammes. »
Regina haussa un sourcil et éclata d'un rire retenu. « Alors ça, c'était presque un compliment, venant de toi. »
Ivana grogna de plus belle et retourna s'appuyer contre le mur, visiblement résignée. Quant à Agatha, elle fixa Rumple avec un regard qui promettait des représailles à la première occasion.
Le silence s'installa, tendu mais teinté d'un certain amusement. Ivana, toujours adossée au mur, prenait de longues inspirations pour éviter de perdre définitivement patience. Agatha, de son côté, ne quittait pas Rumple des yeux, comme si elle calculait le moment parfait pour lui rendre la monnaie de sa pièce.
Regina, qui semblait se délecter du chaos ambiant, rompit finalement le silence. « Alors, Ivana, dis-nous... qu'est-ce qui est pire ? Ma compagnie ou celle de Rumple ? »
Ivana se tourna lentement vers elle, une lueur d'irritation dans le regard. « Honnêtement ? Vous êtes à égalité. Félicitations, c'est un exploit. »
Regina fit mine d'être profondément offensée, portant une main à son cœur. « Aïe. Tu sais vraiment comment flatter une femme, toi. »
Rumple, visiblement amusé, reprit la parole. « Voyons, Ivana, tu devrais être plus reconnaissante. Après tout, sans nous, tu n'aurais pas cette charmante ambiance de réunion de famille. »
Ivana leva les yeux au ciel et se cogna une nouvelle fois doucement la tête contre le mur. « Si quelqu'un a une idée brillante pour qu'on sorte d'ici, je suis toute ouïe. Sinon, je vous en prie, continuez de parler. Je suis sûre que je finirai par m'assommer. »
Agatha, un sourire en coin, s'approcha des barreaux de sa propre cellule.
« Hé, » appela doucement Agatha, sa voix adoucie par une pointe de tendresse. « Tu sais qu'on va s'en sortir, non ? Ensemble. »
Ivana tourna la tête vers elle, ses yeux rencontrant ceux d'Agatha à travers les barreaux. Elle tenta de garder son masque d'agacement, mais la douceur dans le regard d'Agatha l'ébranla légèrement.
« Tu dis ça comme si c'était une certitude, » répliqua-t-elle, sa voix un peu plus faible qu'elle ne l'aurait voulu.
Agatha sourit doucement, un sourire qui ne lui était réservé qu'à elle. « Parce que c'en est une. Je crois en toi, Ivana. Je crois en nous. »
Regina, qui avait observé la scène avec un mélange d'amusement et de scepticisme, leva soudain les yeux au ciel. « Bon sang, vous deux. C'est adorable, vraiment. Mais on est dans le royaume des morts, pas dans une comédie romantique. Vous êtes adorables. C'est presque dégoûtant. »
Agatha haussa un sourcil et se tourna vers Regina, croisant les bras. « Et toi, qu'est-ce que tu ferais si tu étais enfermée ici avec quelqu'un que tu aimes ? Oh, attends... c'est vrai, tu n'as personne. »
Le sourire narquois de Regina vacilla un instant, mais elle récupéra rapidement. « Touché, mais pas coulé. »
Rumple applaudit doucement, l'air faussement impressionné. « Bravo, Agatha. Tu viens de prouver que l'amour rend vraiment les gens insupportables. »
Ivana, exaspérée, se tourna vers eux tous, levant les bras. « Sérieusement, vous trois êtes comme un trio infernal. La prochaine fois, je fais équipe avec un escargot. Ce sera plus rapide, et beaucoup moins agaçant. »
Agatha ne put s'empêcher de sourire davantage, amusée par la colère d'Ivana. Elle observa sa compagne quelques instants, puis murmura doucement :
« Tu es magnifique quand tu es en colère, tu sais ça ? »
Ivana la fixa, l'expression mi-irritée, mi-amusée. « Agatha, je t'aime, mais si tu ne m'aides pas à sortir de là tout de suite, je vais t'enfermer dans une cellule avec eux la prochaine fois. »
Agatha éclata de rire, un son clair et chaleureux qui résonna dans la pièce sombre. « Très bien, chérie. Mais on sait tous que tu finirais par venir me chercher. »
Ivana grogna à nouveau, mais cette fois, un sourire discret s'esquissa sur ses lèvres. Même dans cette situation absurde, il était impossible de rester en colère contre Agatha trop longtemps.
Alors que les échanges continuaient, une présence oppressante envahit la pièce, faisant taire tout le monde. Une brume verte ondula dans l'air, et un froid glacial s'installa, forçant chacun à frissonner. Puis, une silhouette élégante, imposante, et auréolée d'une aura sombre, apparut devant leurs cellules. Héla, majestueuse et terrifiante, leur faisait face.
Son regard acéré balaya l'assemblée, s'attardant sur chacun d'eux. Sa voix, grave et teintée de mélancolie, résonna dans l'espace confiné.
« Ainsi, vous osez pénétrer mon royaume pour récupérer ma fille ? »
Rumple s'approcha des barreaux de sa cellule, la colère dans ses yeux dépassant sa peur. « Elle n'est pas ta fille ! Tu l'as abandonnée, comme tu abandonnes tout ce que tu touches ! »
Héla plissa légèrement les yeux, son visage restant pourtant impassible. « Je ne l'ai pas abandonnée, Rumple. Je l'ai envoyée dans un monde où elle aurait une chance d'être heureuse, loin des ténèbres de ce royaume. Crois-moi, je l'ai aimée plus que ma propre vie. »
« Alors pourquoi est-elle morte ? » répliqua Rumple, sa voix grondante.
Héla ferma brièvement les yeux, une douleur sincère traversant son visage. « Parce que je n'ai pas su la protéger. » Elle ouvrit les yeux, un éclat de détermination remplaçant sa tristesse. « Et c'est précisément pour cela que je suis ici. Je vais la ramener, quoi qu'il m'en coûte. »
Ivana, qui était restée silencieuse jusque-là, s'avança vers les barreaux de sa propre cellule. « On veut la même chose, » déclara-t-elle fermement, ses yeux plantés dans ceux d'Héla. « On veut tous la sauver. Ce n'est pas toi contre nous. C'est toi avec nous. »
Héla la fixa, son expression indéchiffrable. Puis, lentement, un sourire fin se dessina sur ses lèvres. « Si seulement c'était si simple. »
Agatha, qui observait attentivement, fronça les sourcils. « Et pourquoi pas ? On veut tous la même chose. Libère-nous et travaillons ensemble. »
Héla secoua doucement la tête, un soupir s'échappant de ses lèvres. « Sauver une âme, surtout une âme comme celle de ma fille, n'est pas un acte qui peut être accompli à la légère. Vous devez prouver que vous en êtes dignes. »
Regina croisa les bras, son ton empreint de scepticisme. « Et comment exactement ? En jouant à tes petits jeux ? »
Héla lui adressa un regard perçant. « Vous affronterez des épreuves. Chacune conçue pour tester votre force, votre loyauté, et votre détermination. »
Ivana arqua un sourcil. « Et si on échoue ? »
Héla sourit, mais il n'y avait rien de chaleureux dans cette expression. « Alors, vous resterez ici. À jamais. »
Un silence glacé tomba sur le groupe. Agatha jeta un coup d'œil à Ivana, puis à Regina, avant de murmurer : « Ça promet. »
Ivana soupira profondément et se passa une main sur le visage. « Génial. Des épreuves. Parce que notre vie n'était pas déjà assez compliquée. »
Ivana soupira longuement, croisant les bras avec exaspération. « Je suis déjà restée enfermée ici avec le trio infernal. J'ai fait preuve de patience. Je n'ai tué ni Regina ni Rumple. Franchement, je mérite une médaille. »
Agatha ne put s'empêcher de rire doucement, son regard amusé glissant vers sa compagne. « Pas mal pour quelqu'un qui, il y a une heure, menaçait de nous ligoter tous pour avoir la paix. »
Regina leva un sourcil, un sourire narquois étirant ses lèvres. « Oh, vraiment ? Je ne savais pas que j'étais une telle épreuve. Peut-être que tu devrais te poser des questions sur ta tolérance, Ivana. »
Rumple, dans son coin, répliqua sèchement mais sans animosité. « Vous devriez peut-être remercier ma sagesse infinie. Si je n'étais pas ici, croyez-moi, vous seriez déjà en train de vous entre-déchirer. »
Ivana roula des yeux, puis fixa Regina et Rumple tour à tour. « C'est ça. Si quelqu'un mérite des remerciements, c'est Agatha pour m'avoir empêchée de vous étrangler dans votre sommeil. »
Regina, visiblement amusée par la conversation, lança alors une remarque à la limite du filtre. « Peut-être que si tu étais plus occupée la nuit, tu n'aurais pas toute cette frustration à décharger sur nous. »
Agatha, instantanément, tourna la tête vers Regina avec un regard fulgurant. « Regina, je te conseille de surveiller ton langage. Vraiment. »
Le silence fut brisé par un éclat de rire provenant d'Héla, qui observait la scène avec un sourire en coin. Elle croisa les bras, son regard pétillant de malice. « Vous me faites rire, tous. Mais, Ivana, chérie... » Elle s'approcha légèrement, inclinant la tête d'un air faussement désolé. « Si tu veux parler de patience, sache que j'ai été en couple avec Rumple. Alors, crois-moi, je sais exactement ce que c'est que d'endurer. »
Agatha éclata d'un rire franc, tandis qu'Ivana écarquillait légèrement les yeux, son expression un mélange d'incrédulité et d'amusement.
« Attendez, quoi ? » finit par lâcher Ivana.
Rumple, visiblement agacé, réagit d'un ton brusque. « Ce genre de commentaire est totalement inutile, Héla. »
Héla haussa un sourcil, le sourire toujours aux lèvres. « Inutile ? Peut-être. Mais ça reste vrai. Et honnêtement, ça rend tout ça beaucoup plus amusant. »
Ivana soupira à nouveau, posant une main sur son visage. « Génial. Non seulement on doit passer des épreuves, mais en plus, on a droit à des confessions dignes d'une télé-réalité. »
Héla claqua des doigts, attirant leur attention. « Bien, maintenant que tout le monde s'est exprimé... Il est temps de voir si vous méritez réellement de repartir avec ce que vous cherchez. »
Avant que quiconque ne puisse répliquer, une fumée noire les enveloppa, les séparant instantanément.
☆○o。 。o○☆
Regina se réveilla dans une pièce sombre, froide et oppressante. Le décor ressemblait étrangement à son ancienne salle du trône dans la Forêt Enchantée, mais les couleurs y étaient plus sombres, presque suffocantes, et les murs semblaient respirer de l'énergie maléfique.
Assise sur le trône, avec un sourire cruel, se trouvait la Méchante Reine, sa partie maléfique. Regina se figea en voyant ce reflet vivant de son passé, vêtu de la robe noire qu'elle portait autrefois, un sceptre scintillant de magie noire en main.
« Eh bien, bien, bien. » La Méchante Reine applaudit lentement, son sourire glacial. « Regarde qui a osé revenir dans les ombres. La reine repentie, la petite héroïne de Storybrooke, la reine sans royaume... »
Regina croisa les bras, se tenant droite malgré le poids des mots. « Je n'ai pas besoin de toi pour me rappeler qui j'étais. »
« Oh, mais je ne suis pas là pour te rappeler qui tu étais. Je suis ici pour te montrer ce que tu as abandonné, » ricana la Méchante Reine en se levant. « Tout ce pouvoir, toute cette force, sacrifiés pour quoi ? Une illusion de rédemption ? »
Regina détourna le regard, refusant de montrer la moindre faiblesse. « J'ai trouvé autre chose. Quelque chose que tu n'as jamais compris : l'amour, la famille, la paix intérieure. »
La Méchante Reine éclata d'un rire glacial. « La paix intérieure ? Oh, chérie, tu peux te mentir autant que tu veux, mais on sait toutes les deux que les ténèbres dans ton cœur ne disparaîtront jamais complètement. »
Soudain, une lumière vive illumina la pièce, et au centre apparut une silhouette familière : Henry Sr., son père. Il était agenouillé, les mains liées, le visage empreint de douleur et d'incompréhension. Regina sentit un poids écrasant sur sa poitrine en le voyant.
« Père ? » murmura-t-elle en s'approchant de lui, mais la Méchante Reine s'interposa.
« Pas si vite, ma douce. Voici l'épreuve : tu peux le sauver, lui redonner la vie et effacer ton crime. Mais pour cela, tu dois m'embrasser. Embrasser ton vrai moi, reprendre le sceptre, redevenir... moi. »
Regina sentit la panique monter. « Et si je refuse ? »
La Méchante Reine sourit, dévoilant des dents blanches et acérées. « Alors son âme restera enfermée ici pour l'éternité, hurlant dans les ténèbres. »
Un silence oppressant s'installa. Regina fixa son père, puis son propre reflet maléfique. Chaque fibre de son être criait de ne pas céder, mais le poids de la culpabilité pesait lourd.
« Ce choix est simple, Regina, » ajouta la Méchante Reine en tournant autour d'elle. « Tu regagnes tout ce que tu as perdu : pouvoir, vengeance, contrôle. Et en échange, tu sauves ton père. N'est-ce pas ce que tu veux ? Ne pas être une faible héroïne, mais une reine ? »
Regina ferma les yeux, des larmes silencieuses roulant sur ses joues. Elle entendit la voix douce de son père résonner. « Ma fille, tu as fait un long chemin. Tu n'as plus besoin de ce pouvoir pour réparer le passé. Je suis fier de toi, quoi que tu choisisses. »
Inspirant profondément, Regina ouvrit les yeux, ses pupilles brûlant de détermination. Elle se tourna vers la Méchante Reine. « Tu ne me possèdes plus. Je suis plus forte que toi. Et je trouverai une autre façon de le sauver. Mais jamais, jamais, je ne redeviendrai toi. »
La Méchante Reine rugit de frustration, et la pièce commença à s'effondrer autour d'eux. Henry Sr. sourit doucement avant de disparaître dans un nuage de lumière, emportant avec lui un éclat d'espoir.
Regina se retrouva seule, respirant difficilement. Les ténèbres s'étaient dissipées, et malgré la douleur de l'épreuve, elle sentit un poids se lever. Elle avait choisi le chemin le plus difficile, mais elle était prête à affronter les conséquences.
Regina se tenait dans la pièce dévastée, les décombres tombant autour d'elle comme les vestiges de son passé. Son cœur battait fort, l'adrénaline de l'épreuve encore présente en elle. Les ténèbres avaient disparu, mais l'écho de la Méchante Reine résonnait encore dans son esprit. Elle savait que sa victoire sur elle-même ne signifiait pas la fin de sa bataille intérieure. Mais au moins, elle était libre, libre de ses choix et de son destin.
C'est alors qu'une présence apparut dans l'ombre des ruines. Héla, majestueuse et impassible, se materialisa dans un nuage de brume verte. Ses yeux d'un vert intense se posèrent sur Regina, comme si elle observait la profondeur de son âme.
« Vous avez fait un choix difficile, » dit-elle d'une voix calme, mais autoritaire. « Et pourtant, vous avez réussi. »
Regina tourna son regard vers Héla, un mélange de fatigue et de détermination dans les yeux. Elle avait tout risqué pour sauver son père, pour s'affirmer, mais aussi pour accepter la part d'elle-même qu'elle avait tant de fois cherchée à fuir.
« C'était le seul choix possible, » répondit-elle avec une conviction tranquille. « Je ne pouvais pas redevenir ce que j'étais. »
Héla la regarda longuement, ses lèvres esquissant un léger sourire. « C'est ce que je pensais. Vous avez prouvé que vous êtes plus forte que vous ne l'imaginiez. Vous avez renoncé à l'appel du pouvoir pour protéger ce qui vous est cher. »
Regina sentit un frisson courir dans son dos, une émotion qu'elle n'avait pas anticipée : de la fierté, mais aussi une forme de gratitude envers elle-même, une reconnaissance pour avoir survécu à son propre combat.
« Vous êtes digne, » dit Héla, ses yeux brillant d'une lueur approbatrice. « Vous avez passé l'épreuve. »
Regina se sentit soudainement plus légère, comme si un poids invisible venait de se soulever. « Merci... » murmura-t-elle.
Héla s'avança lentement, son regard toujours fixé sur elle. « Vous avez prouvé que vous étiez plus que l'héritière du pouvoir. Vous avez prouvé que la rédemption est possible, même pour ceux qui ont été engloutis par les ténèbres. »
Regina se redressa, un léger sourire se formant sur ses lèvres. « Ce n'était pas pour la rédemption que je l'ai fait, mais pour ceux que j'aime. »
Un silence s'installa entre elles, et Héla, dans une dernière caresse de son pouvoir, fit apparaître une porte lumineuse, flottant juste devant Regina. « Vous avez choisi le bon chemin. Vous êtes prête. »
Regina hocha la tête, sachant que son voyage n'était pas encore terminé. Il y avait encore tant à réparer, tant à découvrir sur elle-même, mais elle se sentait prête à affronter ce qui viendrait ensuite. Elle s'approcha de la porte lumineuse, ses pas déterminés, et avant de la franchir, elle se tourna une dernière fois vers Héla.
« Merci. »
Et avec un dernier regard d'approbation, Héla s'effaça dans les ténèbres, laissant Regina avancer vers la lumière.
☆○o。 。o○☆
Agatha se tenait devant une porte immense, une porte mystérieuse qui semblait ne mener nulle part. L'air autour d'elle était lourd, rempli de tension, comme si l'univers tout entier attendait sa décision. De chaque côté de la porte, deux visions s'offraient à elle.
D'un côté, un monde où elle avait un contrôle absolu. Elle serait reine de cet univers, dictant les règles, imposant sa volonté sur chaque créature vivante. Tout serait à sa mesure, chaque geste, chaque mouvement soumis à son pouvoir. Mais alors qu'elle contemplait cette réalité, elle ressentait une profonde solitude. Elle était seule. L'amour, les amis, la famille — tout cela avait disparu dans cette version de l'avenir. Aucun lien humain, aucune chaleur, aucune affection. Elle serait une souveraine, mais une souveraine sans cœur.
De l'autre côté de la porte, un monde tout aussi séduisant. Un monde où elle n'avait aucun contrôle. Où les choses se déroulaient sans sa permission, où la magie et le pouvoir lui échappaient. Mais en contrepartie, elle était entourée de ceux qu'elle aimait, des gens qui l'aimaient en retour. Elle pourrait se retrouver avec ceux qu'elle avait toujours cherché à protéger, se retrouver dans un monde où les relations humaines avaient plus de valeur que la domination. Où les rires, les sourires et les étreintes étaient plus importants que la conquête du pouvoir.
Agatha ferma les yeux, ses pensées tourbillonnant dans sa tête. Elle savait, au fond d'elle-même, que la décision qu'elle allait prendre changerait tout. Elle ne pouvait pas avoir les deux. Si elle choisissait le pouvoir, elle perdrait tout ce qu'elle avait cherché à protéger. Si elle choisissait l'amour, elle perdrait sa place en tant que maîtresse de son propre destin.
Elle pensa à Ivana, à leur relation fragile mais sincère. Elle pensa à la famille qu'elle avait laissée derrière elle, à l'humanité qu'elle avait sacrifiée pour s'élever. Et pourtant, à cet instant précis, un élan d'amour traversa son cœur. Elle avait vu dans les yeux d'Ivana et des autres qu'il y avait plus que de la magie, plus que du pouvoir — il y avait des liens indestructibles. Des liens qu'elle n'aurait jamais trouvés dans la solitude de sa domination.
Les larmes aux yeux, Agatha se tourna vers la porte. Elle savait ce qu'elle devait faire. L'illusion du pouvoir n'était rien comparée à l'amour véritable.
Elle posa la main sur la poignée et se résolut à choisir. "Je choisis l'amour", murmura-t-elle, plus à elle-même qu'à qui que ce soit. Elle savait que le chemin ne serait pas facile, mais au moins, elle ne serait pas seule. Elle l'espérait.
Agatha se tenait là, face à la porte, les mains tremblantes mais déterminées. Elle avait pris sa décision. Elle savait que ce choix allait tout changer, que ce n'était pas un chemin facile, mais elle sentait au fond d'elle que c'était ce qu'elle devait faire. Ce n'était pas la quête du pouvoir qui la définirait, mais sa capacité à choisir l'amour, à accepter la vulnérabilité, à vivre entourée des personnes qu'elle chérissait.
Soudain, la porte s'ouvrit doucement. Un murmure dans l'air attira son attention. Elle tourna lentement la tête et aperçut une silhouette familière se détacher dans l'obscurité.
Héla apparut, sa silhouette imposante et presque irréelle dans l'atmosphère, ses yeux perçants fixant Agatha. Elle s'avança d'un pas sûr, son regard perçant qui semblait sonder son âme.
« Tu l'as fait. Tu l'as réussi, Agatha. » La voix d'Héla résonna dans l'air comme un écho, pleine de gravité mais aussi d'une forme de respect inattendu.
Agatha se redressa, ses mains toujours légèrement tremblantes, mais un léger sourire apparut sur son visage. Elle savait qu'Héla l'observait attentivement, mais ce qui la surprit le plus, c'était la douceur dans les mots de la déesse. Héla était rarement pleine de compliments, mais là, quelque chose dans sa voix trahissait une certaine admiration.
« Je suis surprise, » répondit Agatha, la voix calme mais pleine d'émotion. « Je pensais que ce serait beaucoup plus difficile de laisser tout ça derrière moi. »
Héla s'approcha d'Agatha, un sourire presque imperceptible effleurant ses lèvres. « Ce n'est pas facile pour quelqu'un comme toi. Mais tu as réussi, tout comme Regina l'a fait avant toi. Tu as trouvé ce qui compte vraiment. »
Agatha ne savait pas si elle devait être flattée ou si elle se sentait encore plus perdue. Elle avait toujours cru que le pouvoir était la clé de tout. Mais, face à l'étreinte silencieuse de la vérité, elle savait maintenant que la véritable force résidait dans la capacité à laisser aller, à aimer, à se laisser vulnérabiliser sans perdre de vue ce qui compte réellement.
Elle fixa Héla, ressentant une étrange forme de sérénité dans la présence de cette déesse qui avait elle-même connu tant de luttes.
« Et toi, » commença Agatha, « tu crois que ce sera assez pour tout effacer, pour réparer ce qui est brisé ? »
Héla se tenait devant elle, ses yeux sombres et insondables. « Il n'y a pas de retour en arrière, Agatha. Mais il y a toujours un chemin à suivre, si tu choisis de t'engager pleinement dans ce que tu veux vraiment. Et ce que tu veux, tu l'as déjà choisi. »
Agatha se tourna alors légèrement, observant le vide autour d'elle. Puis, avec une détermination nouvelle, elle hocha la tête.
« Alors, je vais m'engager, » dit-elle.
Héla acquiesça lentement, un sourire en coin, comme si elle savait déjà que cette décision allait marquer le début de quelque chose de plus grand pour Agatha.
« Je suis contente que tu aies trouvé ta voie, Agatha. Tu l'as méritée. » Héla tourna les talons et se dirigea vers la sortie, mais avant de partir, elle se tourna une dernière fois. « Tu as réussi, comme Regina. Tu as prouvé que tu étais capable de plus. »
Et avec ces mots, elle disparut dans l'ombre, laissant Agatha seule, mais plus forte que jamais, prête à affronter son avenir, enfin libre du poids de ses anciennes ambitions.
☆○o。 。o○☆
Rumple se tenait dans une pièce sombre, la dague du Ténébreux toujours dans sa main. Chaque fibre de son être se rebellait contre l'idée de s'en séparer, contre l'idée de perdre le pouvoir qui lui avait permis de tout contrôler, de tout manipuler. Mais alors qu'il contemplait la lame, une silhouette familière apparut devant lui. Il la reconnaît immédiatement : son fils, Baelfire.
Baelfire le regardait, une douleur évidente dans ses yeux, mais aussi une sorte de détermination. Il s'avança doucement, son regard ne quittant pas celui de Rumple.
"Tu as tout sacrifié pour ce pouvoir", dit-il, sa voix remplie de tristesse. "Tu as tout perdu. Et maintenant, tu es prêt à tout sacrifier à nouveau ?"
Rumple sentit son cœur se serrer. Baelfire avait raison. Le pouvoir, qu'il avait si longtemps désiré, l'avait conduit à perdre tout ce qui comptait pour lui. Sa famille. Son fils. Et maintenant, Belle. Il se demandait s'il était prêt à faire le sacrifice ultime.
Baelfire leva une main, désignant la dague. "Si tu veux sauver Belle, tu dois choisir. Soit tu détruis cette dague et renonces à ton pouvoir, soit tu perds à jamais celle que tu aimes."
Le silence s'installa entre eux, lourd et pesant. Rumple savait qu'il était à un carrefour. D'un côté, la dague représentait tout ce qu'il avait connu, tout ce qui lui avait donné la force de survivre. De l'autre, il y avait Belle, la femme qu'il aimait plus que tout. Mais pouvait-il vraiment renoncer à ce pouvoir pour elle ? Avait-il la force de le faire ?
Les mots de Baelfire résonnaient dans sa tête. "Prouve-le, père. Prouve que tu as changé. Prouve que tu es prêt à faire ce sacrifice."
Rumple leva les yeux vers la dague, son poing serré autour de la poignée. Il pouvait sentir la magie de la dague pulser, l'appel du pouvoir qui ne voulait pas le laisser partir. Mais alors, il pensa à Belle. À tout ce qu'il avait fait pour elle, à tout ce qu'il était prêt à sacrifier pour la sauver.
Avec un soupir lourd, Rumple leva la dague au-dessus de sa tête. Il savait ce qu'il devait faire. Il n'était pas encore sûr qu'il en avait la force, mais il savait qu'il devait essayer.
"Je choisis de te sauver, Belle", murmura-t-il.
Et dans un geste final, il brisa la dague, détruisant ainsi une partie de lui-même, mais ouvrant la porte à la possibilité de retrouver l'amour qu'il avait presque perdu à tout jamais.
Alors que la dague se brisait en morceaux sous ses mains, une vague de soulagement envahit Rumple. Il savait qu'il venait de faire quelque chose qu'il n'aurait jamais cru possible : il venait de renoncer à son pouvoir pour sauver celle qu'il aimait. Avant même qu'il ne puisse pleinement réaliser la portée de son choix, une ombre se forma devant lui, et Héla fit son entrée, ses yeux brillants d'une lueur malicieuse.
Elle le regarda, un sourire curieux sur ses lèvres. "Alors, tu as finalement fait le choix, Gold. Un choix que je n'aurais pas cru que tu ferais. C'est Belle qui te tient vraiment." Elle s'approcha, son regard passant de la dague brisée aux yeux de Rumple. "Je dois admettre que je suis surprise. Je ne pensais pas que tu avais encore cette capacité en toi."
Rumple se redressa lentement, sentant un mélange d'émotions en lui. "Tu n'es pas la seule à être surprise, Hela", répondit-il, une lueur de défi dans ses yeux. "Je suppose qu'il est encore possible de changer, même pour quelqu'un comme moi."
Héla hocha la tête, un sourire qui frôlait la moquerie. "C'est bien. Tu as choisi l'amour, mais ne pense pas que tout est aussi simple. Il y a toujours un prix à payer." Elle marqua une pause, puis ajouta en le taquinant : "Mais bon, si tu veux vraiment jouer le héros, tu devras me prouver que tu peux tenir ta parole, Rumple."
Il la fixa intensément, un éclat de défi dans les yeux. "Ne t'inquiète pas, Hela, je suis tout à fait capable de tenir ma parole."
Elle le dévisagea un moment, avant de sourire d'un air satisfait. "Bien. C'est rare de voir quelqu'un faire un tel sacrifice pour l'amour. Je suppose que tu mérites un peu de crédit." Puis, en un clin d'œil, elle le toisa de haut. "Mais ne crois pas que je vais te laisser partir sans un petit pique. Rappelle-toi, tu n'es plus celui que tu étais, et tu dois apprendre à vivre avec ça. C'est plus difficile que tu ne le crois."
Rumple, toujours aussi fier et un peu agacé, répondit avec un sourire sarcastique. "Je m'en sortirai. Comme je l'ai toujours fait. Mais toi, Hela, tu m'as toujours sous-estimé. Ce n'est pas un jeu que tu peux contrôler à ton rythme."
Héla éclata de rire, un rire de défi, mais aussi un peu de respect. "Peut-être que tu as raison, Gold. Mais tu sais, j'aime voir ceux qui, comme toi, croient avoir tout compris finir par se rendre compte qu'ils ne maîtrisent rien."
Elle le fixa une dernière fois, ses yeux pétillant de malice. "Mais pour l'instant, je vais te laisser tranquille. J'ai déjà vu bien plus que ce à quoi je m'attendais de ta part. Mais n'oublie pas, le chemin que tu as choisi n'est pas sans sacrifices."
Et avant qu'il ne puisse répondre, elle se tourna et disparut dans les ombres, comme si elle n'était jamais apparue.
Rumple resta là un moment, les morceaux de la dague brisée à ses pieds. Il avait fait le bon choix, mais il savait que les défis ne faisaient que commencer. Mais pour la première fois depuis longtemps, il se sentait prêt à les affronter. Et, plus important encore, il savait que Belle était l'élément qui le rendait vraiment humain, et il était prêt à tout pour la protéger.
☆○o。 。o○☆
Ivana se tenait seule, dans l'obscurité d'une pièce qu'elle ne reconnaissait pas. Autour d'elle, des ombres dansaient comme des spectres, et une lourde sensation de malaise s'empara d'elle. Elle ferma les yeux un instant, essayant de retrouver son calme, mais lorsque ses paupières s'ouvrirent à nouveau, elle ne se trouvait plus dans l'espace familier qu'elle avait connu. À la place, un paysage apocalyptique se déployait devant elle, un monde dévasté, comme si tout avait été réduit en cendres.
Le vent soufflait avec une violence inouïe, emportant des morceaux d'immeubles, des débris de ce qui semblait être un ancien monde. Un sol fissuré, presque incandescent, recouvrait la terre, créant une ambiance de fin du monde. Ivana se tourna autour, cherchant à comprendre ce qui se passait, mais chaque direction qu'elle prenait la conduisait au même spectacle de destruction.
Puis, une silhouette se dessina à l'horizon. Ivana s'élança vers elle, espérant apercevoir une personne familière, quelqu'un qu'elle pourrait sauver. Lorsqu'elle s'approcha, la silhouette se révéla être celle de la personne qu'elle aimait le plus, un être cher qu'elle avait toujours protégé. Mais ce qu'elle vit la fit s'arrêter net dans son élan.
La personne était là, figée dans une expression de souffrance intense, une blessure mortelle à la poitrine. Son regard était vide, comme si la vie elle-même l'avait quitté. Une douleur profonde se saisit du cœur d'Ivana. Elle voulait courir vers cette personne, la sauver, mais chaque pas semblait plus lourd que le précédent, et une force invisible la retenait.
Une voix familière résonna dans l'air, glaciale, lointaine, mais pourtant si proche. Une illusion, une projection de son propre esprit, peut-être, mais la voix de son propre doute.
"Tu vois ce que ton pouvoir a fait ?" La voix résonna, pleine de mépris. "C'est toi qui as causé cela. Tu n'as pas su contrôler ce que tu étais. Tu as détruit tout ce que tu aimais."
Ivana tenta de crier, de se libérer, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle se baissa auprès de la personne qu'elle aimait, les mains tremblantes, impuissantes. Un souffle lourd monta de sa poitrine, une sensation de culpabilité écrasante la paralysant.
Elle ferma les yeux un instant, une vague de chaleur passant dans tout son corps. Quand elle les ouvrit à nouveau, la scène changea. Elle se retrouvait cette fois dans une pièce sombre, où seule une faible lumière émanait d'un objet posé sur une table au centre. Il s'agissait de la dague, la fameuse dague de l'ombre qui était à la fois sa force et sa malédiction. Ses doigts s'en approchèrent lentement, attirés par l'énergie qu'elle dégageait. Mais un avertissement lourd de sens résonna dans son esprit : Si tu choisis cette dague, tu choisis l'obscurité à jamais. Si tu l'abandonnes, tu renonces à tout ce que tu es...
Les voix dans sa tête se faisaient de plus en plus pressantes. L'une d'elles, celle qu'elle reconnaissait comme étant la sienne, la suppliant de choisir la lumière, de se libérer de l'emprise de son héritage. Une autre voix, plus ancienne, plus sombre, murmurait que tout avait un prix et qu'il était peut-être temps de l'accepter, de prendre le contrôle sur la terreur qu'elle portait en elle.
"Tu veux sauver ce monde, n'est-ce pas ?" murmura une voix qui n'était pas la sienne, mais qui portait une familiarité étrange, comme un écho de ses propres pensées les plus sombres. "Tu veux que tout revienne à la normalité, mais tu sais au fond de toi que tu n'as jamais été faite pour cette normalité. Tu as toujours été celle qui détruit... ou celle qui crée."
Ivana se laissa tomber à genoux, le poids de la décision écrasant son âme. Elle avait toujours cru pouvoir contrôler la puissance qu'elle portait en elle, mais à chaque tournant, elle voyait des vies brisées, des innocents détruits par ses choix. Le monde qu'elle aimait se réduisait à des cendres sous son propre pouvoir incontrôlable. C'était son héritage, une malédiction qui s'était transmise à travers les générations, et elle en était la gardienne.
Elle fixa la dague, sa lame brillante dans la pénombre, attirant son regard comme un chant envoûtant. Il suffisait d'un geste pour tout changer, pour tout effacer. Mais cela ne suffirait pas. Un acte d'une telle envergure n'effacerait pas la douleur, ni la culpabilité. Elle ferma les yeux, une larme perlant sur sa joue.
La voix résonna à nouveau, plus douce, presque douce, mais pleine de menace. "Alors, choisis. Le contrôle ou l'amour. Le pouvoir ou la paix."
Ivana prit une profonde inspiration. L'illusion de ce futur dévasté, de la souffrance de ses proches, la douleur de l'abandon, tout cela l'écrasait. Et au-delà de la dague, une autre image se dessina dans son esprit — celle d'un avenir possible, où elle ne porterait plus le fardeau du pouvoir, où elle pourrait vraiment être avec ceux qu'elle aimait sans que ce fardeau ne les consume.
Elle se leva, résolue, et d'un geste brusque, repoussa la dague hors de sa portée. La lumière dans la pièce sembla vaciller un instant, mais elle resta là, calme et forte. Ivana n'était plus prête à sacrifier son âme pour des illusions de grandeur. Le pouvoir ne serait plus son maître.
"Je choisis," murmura-t-elle, à peine audible. "Je choisis ce qui compte vraiment."
La pièce se dissipa autour d'elle, et alors qu'elle sentait les échos de ses pouvoirs résonner encore dans son corps, une nouvelle détermination grandit en elle. Elle avait fait son choix. Et ce choix était la rédemption, pas pour le monde, mais pour elle-même.
Ivana se tenait là, le cœur battant encore plus fort qu'auparavant, mais avec une sensation étrange de soulagement. Elle avait renoncé à l'héritage qui l'avait façonnée, à ce pouvoir destructeur qui l'avait toujours effrayée. Ce fardeau, ce poids qui pesait sur ses épaules depuis tant d'années, n'était plus le sien. Elle n'avait pas seulement renoncé à la dague, mais aussi à l'illusion que le pouvoir pouvait apporter la paix. Elle l'avait laissé derrière elle, choisissant la vie, l'amour, plutôt que la domination.
La pièce s'assombrit un instant, et une silhouette familière se matérialisa devant elle. Héla, l'entité qui était venue la tester, se tenait là, son regard perçant observant Ivana avec une intensité nouvelle. Ivana se tendit, une appréhension qui n'avait pas disparu, mais elle ne recula pas. Elle n'avait pas à avoir peur, pas cette fois.
Héla s'approcha, un léger sourire sur ses lèvres, mais il était différent, comme si elle voyait enfin Ivana sous un jour nouveau. Elle posa sa main sur l'épaule de la jeune femme, un geste de reconnaissance.
"Tu l'as fait," dit-elle d'une voix calme, mais profonde. "Tu as fait le bon choix."
Ivana baissa les yeux un instant, son souffle plus régulier, comme si un poids s'était soudainement évaporé de son être. Elle avait eu peur de perdre tout ce qu'elle connaissait, de perdre sa place, mais elle avait choisi l'essentiel. Elle avait choisi de se libérer du pouvoir pour conserver son humanité.
Héla observa Ivana un moment, ses yeux évaluaient les profondeurs de son âme. Puis, dans un sourire presque mystérieux, elle ajouta : "Tu avais plus de force en toi que tu ne le pensais. Tu as abandonné ce que d'autres auraient saisi avec avidité. Ce n'était pas facile, mais tu l'as fait."
Ivana, les yeux brillants d'une nouvelle détermination, répondit : "Je ne voulais pas être ce que mon héritage me destinait à devenir. Il y a des choses plus importantes que le pouvoir."
Héla hocha la tête, comme si elle avait prévu cette réponse, mais il y avait quelque chose de neuf dans son regard. Elle ne s'attendait peut-être pas à cela, mais Ivana avait prouvé qu'elle ne se laisserait plus définir par son passé.
"Tu as choisi la voie la plus difficile," dit Héla, sa voix devenant plus douce, presque respectueuse. "Et tu l'as accomplie. C'est rare, même pour les plus puissants."
"Alors... c'est la fin des épreuves ?"
"Pas tout à fait," répondit Héla avec un léger sourire, "Mais tu as franchi la plus grande. Tu as prouvé que tu n'as pas besoin du pouvoir pour être forte. C'est ça, ta véritable victoire."
Ivana sentit un calme s'installer en elle, un sentiment de paix qu'elle n'avait jamais connu, mais qui était pourtant la clé de sa rédemption. Héla se détourna lentement, prête à la laisser partir, mais avant de disparaître, elle ajouta :
"Tu as un avenir à façonner maintenant. Un avenir sans chaînes."
Ivana la regarda s'éloigner, son cœur léger. Elle n'était plus cette jeune femme tourmentée par son héritage. Elle était une nouvelle Ivana, prête à vivre selon ses propres termes. Elle avait fait le bon choix, et c'était tout ce qui comptait.
☆○o。 。o○☆
Les retrouvailles étaient pleines de tensions et de sourires nerveux. Le groupe, après tout ce qu'ils avaient traversé, était enfin réuni dans un même espace, mais les émotions étaient à fleur de peau.
Regina, d'un ton plus léger, s'approcha d'Ivana. "Tu sais, Ivana," dit-elle, un sourire espiègle sur les lèvres, "tu es vraiment plus impressionnante que je ne l'avais imaginé. Tu ne sembles jamais faiblir."
Ivana rougit légèrement, se sentant à la fois flattée et gênée. "Je fais juste de mon mieux," répondit-elle, mais le sourire qu'elle arborait trahissait une certaine fierté.
Agatha, qui observait la scène d'un œil attentif, sentit une vague de possessivité l'envahir. Elle s'approcha de Regina d'un pas décidé et dit, sur un ton à la fois calme et ferme :
"Tu sais, Regina, il n'y a vraiment pas besoin de surenchérir. Ivana n'a pas besoin de tes compliments."
Regina, bien consciente de la dynamique qui se jouait entre elles, haussait un sourcil en réponse, mais son ton demeura léger. "Détends-toi, Agatha."
Un sourire en coin étira ses lèvres, presque provocateur, tandis qu'elle jetait un regard complice à Ivana, mais toujours sous l'œil vigilant d'Agatha.
Agatha, toujours sur ses gardes, croisa les bras, une légère tension se lisant sur son visage. "Je sais ce que je fais, et je n'ai pas besoin que tu lui fasses oublier ce qui est important pour elle," répliqua-t-elle, sa voix devenant plus douce mais toujours empreinte de fermeté.
À cet instant, Rumple, qui observait discrètement la scène, tourna son regard vers Hela, ou plutôt, vers le vide où elle se trouvait. Il était à la fois frustré et inquiet. "Où est-elle, Hela ?" murmura-t-il entre ses dents, sa voix tremblant de colère et d'angoisse. "Pourquoi elle ne répond pas ?"
Les autres, qui avaient été absorbés par l'échange tendu entre Agatha et Regina, se retournèrent, constatant que Hela n'était pas dans les parages. Rumple, perdant patience, s'avança, son regard noir et sa posture menaçant.
"Qu'est-ce qu'elle manigance encore ?" se demanda-t-il, la rage brûlant dans ses yeux. Mais aucun d'eux ne savait réellement où Hela se trouvait.
Agatha, tout en surveillant toujours Ivana du coin de l'œil, tourna une oreille attentive vers Rumple. Elle n'avait aucune intention de laisser une autre crise éclater, mais elle ne pouvait pas ignorer l'agitation qui montait chez lui.
"Calme-toi, Rumple," dit-elle, d'un ton sec, mais avec un semblant de préoccupation. "On doit rester unis, pas se laisser emporter par nos peurs."
Regina, elle, se recula un peu, un sourire toujours présent sur ses lèvres, mais la situation devenait de plus en plus difficile à gérer. Elle n'était pas étrangère à la dynamique tendue entre elle et Agatha, mais elle avait l'impression que les choses devenaient encore plus compliquées que prévu.
La tension entre les deux femmes était palpable, et Rumple, qui ne trouvait pas la réponse qu'il espérait, faisait preuve d'impatience. Les regards échangés, l'angoisse et la peur d'une nouvelle perte se lisaient sur leurs visages. La situation semblait presque insoutenable, et à cet instant, chaque parole, chaque geste prenait plus de poids qu'il n'en paraissait.
"Tu sais, Agatha, je n'ai pas l'intention de prendre Ivana," dit Regina d'une voix plus calme, cherchant à apaiser la situation.
Mais Agatha, bien que consciente que les tensions entre elles étaient fortes, se contenta de la fixer d'un air déterminé. "De toute façon je ne te le permets pas."
Rumple, toujours tendu, n'écoutait déjà plus, son regard fixé dans l'espoir d'un signe de la part de Hela, sans se rendre compte du poids de ce qu'il venait de créer autour de lui.
Le groupe arriva dans la pièce, leurs pas lourds résonnant dans l'espace silencieux, mais l'atmosphère était déjà tendue. Ils virent Hela, les bras levés, un sort sombre et puissant flottant autour d'elle, visant Lucillia. Cependant, rien ne se produisit.
Hela fronça les sourcils, visiblement surprise et frustrée. Elle jeta un regard noir sur Lucillia, son sort ayant échoué à la toucher.
"Pourquoi cela ne fonctionne-t-il pas ?!" lança-t-elle, sa voix emplie d'un mélange de colère et de confusion.
Rumple, déjà sur les nerfs, s'avança, sa silhouette menaçant. "Qu'est-ce que tu as fait, Hela ?" gronda-t-il, sa voix tremblant d'une colère contenue. "Tu as dit que tu pouvais la sauver, mais je vois bien que tu n'as rien fait. Encore un de tes tours ?" Il avançait à grands pas, se rapprochant dangereusement de la déesse, les yeux emplis d'une rage contrôlée.
Hela se tourna lentement vers lui, son regard froid comme de la glace. "Ne me parle pas de mes pouvoirs, Rumple," répliqua-t-elle, une pointe d'agacement dans sa voix. "Je n'ai pas fait tout ça pour échouer, tu crois que je ne le sais pas ? Mais ce n'est pas aussi simple que tu le penses."
Le tension monta d'un cran, et le groupe observa en silence, conscient que la situation était sur le point de déraper.
"Tu crois que je ne sais pas ce que tu ressens ?!" répliqua Rumple, un éclat furieux dans ses yeux. "Tu nous as manipulés tous, une fois de plus ! J'ai tout sacrifié pour elle, et toi, tu ne fais rien, absolument rien pour la sauver !" Il n'arrivait plus à contrôler ses émotions, le vent de frustration soufflant plus fort en lui.
Hela, bien que d'apparence calme, se raidit à ses mots. "Je fais ce que je peux, Rumple ! Mais cette situation est bien plus compliquée que tu ne l'imagines. Si c'était aussi simple, croyez-moi, Lucillia serait déjà sauvée !"
À ce moment, Agatha intervint, le regard perçant, les bras croisés. "Tu crois vraiment que tu peux justifier tout cela avec des excuses, Hela ? Si tu n'as pas pu, alors peut-être qu'il est temps d'admettre que tu n'as pas les réponses et que ça n'a rien à voir avec ton soi-disant 'pouvoir'."
Le regard d'Hela se durcit davantage, mais avant qu'elle ne puisse répliquer, Ivana, qui jusque-là était restée silencieuse, intervint à son tour, sa voix calme mais déterminée. "Arrêtez tous. Disons qu'on essaie de comprendre ce qui se passe au lieu de s'agresser mutuellement."
Mais le climat était déjà trop tendu. Rumple, désormais plus calme mais tout aussi empli de colère, se tourna vers Hela. "Tu nous as trompés. Tu as dit que tu pouvais l'aider. Alors maintenant, sois un peu plus claire et arrête de nous donner des promesses vides."
Hela, le regard sombre, se tourna vers Lucillia, son visage se durcissant alors qu'elle réalisait que même elle n'avait pas toutes les réponses. "Tu veux des réponses ? Très bien. Mais sache que ce que je fais, ce n'est pas juste pour jouer. Lucillia est dans un état où même moi, je suis limitée. Mais ne crois pas que je vais laisser tomber."
L'air dans la pièce était presque électrique. Chacun des membres du groupe ressentait la lourdeur du poids des promesses non tenues, des désirs non réalisés. Mais au milieu de cette dispute intense, un point demeurait inébranlable : Lucillia n'était toujours pas sauvée, et tout le monde, même Hela, le savait.
Regina, qui jusque-là observait la scène, se tourna vers Ivana et murmura d'un ton bas, mais audible : "Nous devons nous concentrer. Se disputer ici ne va rien changer."
Les cris et les tensions qui régnaient dans la pièce s'intensifièrent encore, les voix s'élevant et les accusations fusant dans toutes les directions. À cet instant précis, un silence profond se fit soudainement. La pièce, qui semblait bouillonner de colère, se figea d'un coup.
Lucillia, allongée sur la table, bougea lentement. Ses paupières se soulevèrent avec hésitation, et ses yeux s'ouvrirent progressivement. Un air confus traversa son visage alors qu'elle fronce les sourcils, comme si elle peinait à comprendre ce qui se passait autour d'elle.
"Seigneur, arrêtez de crier," dit-elle d'une voix brisée, mais forte, s'élevant contre la tempête de hurlements. "Tout le multiverse vous entend."
La pièce se figea totalement à ces mots. Le groupe, figé dans un mélange de stupéfaction et de soulagement, observa Lucillia qui semblait se retrouver dans un état étrange, comme si elle n'arrivait pas à saisir pleinement ce qui venait de se passer.
Les visages de tous les membres du groupe changèrent. Les yeux d'Agatha s'agrandirent d'incrédulité, tandis que Rumple, qui avait passé toute cette épreuve dans un tourbillon de frustration et d'impuissance, laissa échapper un souffle de soulagement.
"Lucillia ?" murmura Agatha, se rapprochant précautionneusement, les mains tremblantes. "Est-ce vraiment toi ?"
Lucillia tourna lentement la tête, son regard encore flou, se posant sur la scène étrange devant elle. Elle n'avait pas l'air d'être totalement consciente de la situation. "Qu'est-ce... qu'est-ce qui se passe ici ?" Sa voix était faible, mais on pouvait y déceler un certain mécontentement face à la scène chaotique qui se déroulait autour d'elle.
"Tu es vivante," dit Rumple, à la fois choqué et soulagé. "Tu... Tu es revenue."
"Oui," répondit Lucillia, sa voix devenant plus forte et plus claire. Elle se redressa lentement, prenant une profonde inspiration. "Mais sérieusement, vous devriez vraiment apprendre à discuter sans hurler. C'est épuisant à entendre."
Hela, jusque-là silencieuse, s'approcha d'un pas, les bras croisés, observant la scène avec une attention scrupuleuse. "Il semble que nous ayons eu des réactions très... intenses pour rien," dit-elle, son ton légèrement moqueur. "Mais Lucillia, tu sais que ce n'est pas aussi simple. Même les dieux ne sont pas toujours à la hauteur des attentes."
"Je comprends," répondit Lucillia, secouant la tête. "Mais... ce n'est pas le moment de nous déchirer. Je suis de retour. C'est ce qui compte. Et vous avez bien assez de problèmes à résoudre que de continuer à vous chamailler."
Il y eut un moment de silence avant qu'Agatha, avec un sourire, ne se précipite vers elle et la serre dans ses bras. "Tu es là... Je ne pensais pas que ce moment arriverait..."
Lucillia la regarda un instant, un peu surprise par l'élan d'affection, mais un sourire fragile se dessina sur ses lèvres. "Je suis là," murmura-t-elle avant de s'éloigner légèrement pour mieux regarder tout le monde autour d'elle. "Maintenant, peut-on enfin commencer à réparer tout ça ?"
Les autres, enfin réceptifs à la situation, firent un pas en avant, l'atmosphère plus calme, mais toujours tendue. Les voix se baissèrent peu à peu alors que chacun, dans son coin, réalisait que la guerre intérieure n'était pas encore terminée, mais qu'un début de paix semblait enfin possible.
Hela, les yeux brillants d'émotion, s'approcha lentement de sa fille, son visage marqué par un mélange de soulagement et d'amour. Elle tendit les bras, l'air presque hésitant, comme si elle ne pouvait pas croire que Lucillia était réellement revenue. Lucillia, cependant, se tendit légèrement, un frisson traversant son corps alors que la proximité de sa mère la mettait mal à l'aise.
Elle se recula instinctivement d'un pas, observant Hela avec une certaine méfiance. "Euh..." La voix de Lucillia était douce mais remplie de confusion. "Je ne sais pas si je suis prête pour ça."
Hela, surprise, s'arrêta et la regarda avec une intensité qui traduisait une compréhension immédiate de la situation. Elle baissa la tête un instant, comme si elle pesait ses mots avant de répondre calmement : "Je comprends, ma fille. Je ne te forcerai pas." Elle recula alors lentement, respectant le désir de Lucillia d'avoir un peu d'espace.
Rumple, qui jusque-là observait en silence, semblait partagé entre le soulagement de retrouver Lucillia et l'incompréhension face à la tension qui se dégageait entre mère et fille. Il ne savait pas trop comment réagir, son regard se baladant entre les deux, avant qu'il ne se tourne finalement vers Lucillia.
"Et si nous rentrions à Storybrooke ?" proposa Lucillia, brisant la tension dans l'air. "Là-bas, on pourra enfin parler de tout ça, sans tout ce... bruit autour de nous."
Les autres restèrent silencieux un instant, prenant la suggestion en considération. C'était une solution raisonnable. Loin des regards et des jugements, peut-être que là-bas, chacun pourrait trouver un peu de paix et de clarté.
"Je suis d'accord," répondit Agatha après un moment, son regard restant doux mais soucieux. "Storybrooke semble être un endroit plus calme pour commencer à tout mettre à plat."
"Rentrons à la maison," ajouta Rumple, son ton plus calme que précédemment. Il semblait prêt à tout laisser derrière lui pour cette chance de reconstruire et de rétablir l'équilibre.
"Bien," dit Hela en soupirant, une certaine tristesse dans ses yeux. "Je vais préparer le portail. Mais avant de partir, Lucillia, sache que je n'ai jamais voulu te faire du mal... je voulais te protéger." Elle baissa les yeux, plus sincère que jamais.
Lucillia la regarda, un léger sourire apparut sur ses lèvres. "Je sais. Mais parfois, même les bonnes intentions mènent à des chemins douloureux." Elle tourna alors son regard vers le reste du groupe. "Allons-y. On a assez d'histoires à rattraper."
Le groupe se mit en mouvement, l'atmosphère devenue un peu plus légère, bien que l'ombre du passé planait encore au-dessus d'eux. Tous, en silence, se dirigèrent vers le portail qui les mènerait à Storybrooke, prêts à repartir de zéro, avec la promesse que, cette fois, ils feraient les choses différemment.
Ivana sourit largement, son ton léger et espiègle. "Oui ! J'aurai enfin du café ! Non parce que c'est un très beau royaume, mais il manque cruellement de café." Elle leva les yeux au ciel, feignant une exagération dramatique, mais un éclat de rire sincère brillait dans ses yeux.
Agatha, toujours un peu plus sérieuse mais amusée par la remarque, la taquina doucement. "Je vais me faire pardonner, ne t'inquiète pas. Je suis prête à tout pour que tu sois contente, même à te chercher du café." Elle ajouta un clin d'œil, avant de poser une main sur l'épaule d'Ivana avec affection.
Ivana rit, touchée par la tendresse dans la voix d'Agatha. "Tu sais que tu n'as pas besoin de te faire pardonner, n'est-ce pas ? Mais je ne vais pas dire non à un bon café." Elle se pencha légèrement vers Agatha, un sourire malicieux sur les lèvres. "Après tout, tu me connais, c'est ma plus grande faiblesse."
Lucillia, qui avait observé la scène avec une certaine douceur, lança avec une touche de malice : "Sérieusement, vous pouvez penser à autre chose qu'à du café ?"
Les deux femmes échangèrent un regard complice et rirent à l'unisson, partageant un instant de complicité rare. À cet instant, tout semblait un peu plus léger, un peu moins lourd, comme si l'on avait enfin retrouvé un peu de normalité après tant d'épreuves.
"Eh bien, un peu de café, et le monde sera plus facile à affronter," répondit Ivana avec un sourire radieux. "On va profiter de ce répit, ne vous inquiétez pas."
Le groupe se mit en marche, mais l'ambiance avait définitivement changé. La camaraderie, le soutien et les petites blagues étaient là, et l'espoir d'un avenir plus serein était tangible dans l'air.
☆○o。 。o○☆
Le groupe arriva enfin à Storybrooke, le cœur léger après tout ce qu'ils avaient traversé. Lucillia, encore un peu perdue dans le décalage entre le royaume des morts et la réalité, se redressa lentement, ses yeux cherchant à comprendre ce qui se passait autour d'elle. Hela, bien qu'un peu distante, ne la quittait pas des yeux, prête à la soutenir à chaque instant.
Alors que la tension se dissipait enfin, Belle, submergée par l'émotion, se jeta dans les bras de Rumple. Il la serra tendrement contre lui, murmurant des mots de réconfort. "Je suis tellement heureux de te revoir," dit-il, son ton empreint de soulagement. Belle le regarda avec amour, son sourire éclatant éclairant son visage. "Je savais que tu reviendrais," répondit-elle, les yeux remplis de gratitude.
Emma, qui observait la scène avec un sourire doux, se tourna vers Regina et la prit dans ses bras. "Je suis tellement contente que tu sois là," dit-elle, son cœur s'allégeant alors qu'elle sentait la chaleur de Regina contre elle. Regina la serra un peu plus fort, son regard se radoucissant. "Je suis désolée pour tout ce que j'ai fait," murmura-t-elle. Emma la détacha légèrement et lui sourit. "Tu es ici maintenant, c'est ce qui compte."
Agatha, un peu en retrait, observa les retrouvailles avec un léger sourire. Elle se tourna vers Ivana, qui lui renvoya un regard complice. Agatha s'approcha d'elle et dit doucement,
"Tu sais, malgré tout ce qui s'est passé, je suis contente de t'avoir à mes côtés."
Ivana hocha la tête, son sourire espiègle brillant dans ses yeux. "Je suis bien contente de t'avoir à mes côtés aussi, même si tu as passé plus de temps à me taquiner qu'autre chose."
Hela, qui était restée plus silencieuse, observa la scène, les bras croisés, mais une lueur d'émotion dans ses yeux. Elle n'était pas du genre à se laisser aller à des démonstrations d'affection, mais la situation semblait différente, plus calme, plus apaisée.
"Je suppose qu'il est temps de rentrer à la maison," dit-elle d'un ton qui laissait entendre qu'elle était prête à s'adapter à la nouvelle dynamique qui s'installait.
"Oui, je pense qu'il est temps," répondit Regina, son regard se posant sur chacun des membres du groupe, s'attardant particulièrement sur Agatha et Ivana. "Il y a encore beaucoup de choses à discuter, mais nous avons le temps."
Tous ensemble, ils se dirigèrent vers le centre de Storybrooke. Le monde semblait plus calme, et bien qu'ils aient encore des défis à affronter, cette réunion, cette réconciliation, marquait un nouveau départ. Un moment où ils pouvaient enfin respirer, après tant d'épreuves.
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Lucillia, après avoir pris un moment pour se retrouver dans cet étrange nouvel environnement, se dirigea vers la chambre de Lilia, son cœur battant la chamade. Elle savait que retrouver Lilia après tout ce temps serait intense, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de ressentir une vague d'émotions contradictoires.
Elle toqua doucement à la porte de la chambre de Lilia, attendant une réponse. Lorsqu'elle entendit un léger "Entre", elle poussa lentement la porte et aperçut Lilia, assise sur le lit, l'air songeur, plongée dans ses pensées. Mais à la vue de Lucillia, ses yeux s'illuminèrent instantanément.
Lilia se leva précipitamment, comme si elle n'en croyait pas ses yeux. Elle s'approcha de Lucillia avec un regard rempli d'incrédulité, puis, sans un mot de plus, la prit dans ses bras avec une douceur infinie, comme si elle avait peur qu'elle disparaisse à nouveau.
"Lucillia... tu... tu es là. C'est réel ? Je ne rêve pas ?" murmura-t-elle, sa voix brisée par l'émotion, ses mains serrant un peu plus la silhouette familière devant elle.
Lucillia, le cœur serré, répondit en souriant légèrement, "Je suis là, Lilia. Je suis là et je ne compte pas partir cette fois."
Les deux femmes restèrent ainsi un moment, dans une étreinte silencieuse. Puis, Lilia se recula légèrement, ses mains toujours posées sur les épaules de Lucillia, son regard inondé de larmes.
"Je... je suis tellement désolée pour tout ce qui est arrivé," dit Lilia d'une voix tremblante. "Je pensais que tout était fini, que je ne te reverrais jamais..."
Lucillia posa une main douce sur le visage de Lilia, essuyant les larmes qui coulaient le long de ses joues. "Rien de tout cela n'est de ta faute, Lilia," dit-elle doucement. "Tu n'as rien à te reprocher. Nous avons survécu à tout ça, et c'est ce qui compte."
Lilia hocha la tête, essayant de retenir un sanglot, avant de prendre une profonde inspiration. "Je suis tellement soulagée que tu sois là... plus rien n'a d'importance si on est ensemble."
Lucillia sourit tendrement, posant une main sur le cœur de Lilia. "Nous sommes ensemble, Lilia. C'est tout ce qui compte maintenant. On va avancer, main dans la main."
Les deux femmes restèrent un moment, un silence réconfortant les enveloppant, se savourant cette nouvelle chance qu'elles avaient de se retrouver.
Dans la douceur de la pièce, alors que le silence régnait, Lucillia et Lilia se regardèrent intensément, comme si le temps s'était suspendu autour d'elles. Lilia, toujours un peu tremblante, effleura délicatement la joue de Lucillia, ses doigts caressant doucement la peau douce, encore marquée par le passage du temps.
"Je n'arrive pas à croire que tu sois vraiment là..." murmura Lilia, sa voix presque un souffle, une légère tension dans l'air.
Lucillia, touchée par la douceur de ce geste, se pencha légèrement en avant, les yeux rivés dans ceux de Lilia. Elle frôla ses lèvres, presque comme un défi silencieux, avant de chuchoter
: "Je suis ici, Lilia. Pour de bon."
Leurs corps se rapprochèrent encore, l'attraction invisible entre elles devenant de plus en plus palpable. Lilia se laissa guider par cette envie qui bouillonnait en elle, son cœur battant fort dans sa poitrine. Elle laissa ses mains se poser lentement sur les hanches de Lucillia, ses doigts effleurant la peau chaude et douce sous la tenue de la jeune femme, provoquant une chaleur instantanée.
Lucillia, d'un mouvement lent et décidé, passa une main dans les cheveux de Lilia, les écartant doucement, puis la rapprocha, effleurant à peine ses lèvres avant de les poser enfin sur les siennes. C'était un baiser léger au départ, doux, timide, mais chaque mouvement se faisait de plus en plus pressant, chaque contact plus intense. Les lèvres de Lucillia, toujours aussi familières, enflammaient celles de Lilia avec une tendresse qui semblait transcender le temps.
Lilia se perdit dans ce baiser, laissant sa main glisser lentement dans le dos de Lucillia, attirant encore plus son corps vers elle. Un frisson parcourut son échine, une chaleur douce envahit chaque parcelle de sa peau. Lucillia, répondant à l'étreinte, se sentit totalement plongée dans l'instant, savourant cette sensation de proximité, ce lien si fort entre elles.
Leurs souffles se mêlèrent, s'entrelacèrent, et dans cette proximité intime, chaque geste semblait parler plus fort que les mots. Lilia ferma les yeux, savourant le moment, la douceur de chaque caresse, le parfum subtil de Lucillia qui envahissait ses sens.
"Tu m'a tellement manqué..." murmura Lilia, son souffle chaud effleurant le cou de Lucillia.
Ses mains glissèrent doucement le long du dos de la jeune femme, marquant chaque courbe avec une douceur infinie.
Lucillia, toujours dans cet instant suspendu, sourit contre la peau de Lilia, sa voix douce mais empreinte de désir : "Tu m'as manqué aussi, Lilia. Bien plus que tu ne le penses."
Les deux femmes restèrent là, perdues dans cette danse silencieuse, se laissant emporter par l'alchimie qui se créait entre elles, sans hâte, comme si le monde autour d'elles n'avait plus d'importance. Seules existaient leurs émotions, leur complicité, leur désir de se retrouver pleinement.
☆○o。 。o○☆
Agatha et Ivana étaient assises sur le lit, la pièce baignait dans une douce lumière tamisée. Le silence qui régnait entre elles était confortable, mais Ivana, les mains nerveusement posées sur ses genoux, brisa ce calme.
"Agatha... Comment tu te sens, après l'épreuve ? Tu sais... tout ça ?" demanda Ivana d'une voix douce, mais avec un regard inquiet, cherchant à comprendre comment Agatha gérait ce qui venait de se passer.
Agatha tourna lentement son regard vers Ivana, un léger sourire aux lèvres. Elle prit une profonde inspiration avant de répondre : "Ça va. Vraiment. Je vais bien." Elle se pencha légèrement en avant, posant une main sur celle d'Ivana. "Tu sais, ce genre de choses peut nous ébranler, mais ça ne m'a pas détruite. Je suis toujours ici, avec toi."
Ivana sembla apaisée par ses mots, mais une trace d'hésitation persistait dans ses yeux. Elle se mordillait la lèvre, comme si une pensée la tourmentait. Finalement, elle laissa échapper un soupir lourd, son regard fuyant.
"Je... j'ai peur", avoua Ivana, sa voix tremblante. "Peur de devenir comme ma mère, de laisser mes pouvoirs me contrôler. De créer des choses, de perdre le contrôle... De tout détruire sans le vouloir."
Agatha la regarda longuement, son cœur se serrant à la vue de la vulnérabilité d'Ivana. Elle s'approcha d'elle, posant une main réconfortante sur son épaule. "Ivana, tu n'es pas comme elle. Tu es forte, et tu choisis chaque jour ce que tu veux devenir." Elle caressa doucement son bras, son ton empli de douceur. "Ne laisse pas ta peur te définir. Ce que tu crains, ce n'est pas toi. Ce n'est qu'une illusion que tes pouvoirs peuvent créer, mais tu as le contrôle. Toujours."
Ivana tourna lentement son visage vers elle, les yeux légèrement embués. "Mais et si je n'étais pas capable de le garder ? Et si je perdais tout, Agatha ?"
"Tu n'es pas seule." Agatha répondit immédiatement, son regard plein de certitude. "Je serai là. Et tu ne seras jamais seule. Nous avons tous nos peurs, mais nous avons aussi la capacité de choisir ce que nous voulons être. Tu as plus de force que tu ne le penses, Ivana."
Les deux femmes se regardèrent un long moment, dans une sorte de connexion silencieuse. Agatha continua, avec tendresse : "Tu as déjà fait un choix important, en abandonnant une partie de ton héritage. Et aujourd'hui, tu choisis de ne pas laisser la peur te contrôler. C'est ce qui fait de toi une personne exceptionnelle."
Ivana ferma les yeux un instant, absorbant chaque mot. Une sensation de chaleur et de calme la parcourut, comme si les doutes qui l'avaient assaillie commençaient à se dissiper peu à peu.
"Merci", murmura-t-elle, sa voix emplie de gratitude. Elle se tourna légèrement vers Agatha, un faible sourire sur ses lèvres. "Je pense que j'ai encore beaucoup à apprendre... mais je sais maintenant que je peux compter sur toi."
Agatha lui rendit son sourire, une lueur de tendresse dans les yeux. "Toujours", répondit-elle simplement, avant de poser une main douce sur la joue d'Ivana, la rapprochant légèrement d'elle. "Tu n'as pas à porter tout ça seule."
Dans cette pièce tranquille, entourées de l'ombre apaisante de la nuit, Ivana se sentit un peu plus légère, plus prête à faire face à ses peurs, avec Agatha à ses côtés.
Agatha et Ivana se perdaient dans la douceur de l'instant, leurs corps proches, leurs mains s'effleurant délicatement. Elles s'embrassaient avec une tendresse infinie, comme si chaque baiser était une promesse de plus. Agatha, son souffle chaud effleurant le cou d'Ivana, murmura doucement, le ton empreint de désir :
« Je pourrais faire ça toute la nuit... »
Ivana frissonna sous ses mots, un sourire malicieux se dessinant sur ses lèvres avant qu'elle ne réponde en l'attirant un peu plus près d'elle.
« Et moi aussi, » répondit-elle dans un souffle, ses mains glissant doucement dans les cheveux d'Agatha.
Leurs gestes devenaient plus lents, plus intenses, chaque baiser un peu plus profond, chaque caresse plus intime, comme si rien d'autre n'existait que ce moment suspendu entre elles.
—Fin—
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COVID = AIDS?
@heresiae mi ha chiesto di commentare QUESTO POST (commentare non del tipo 'Maestro, illuminaci!' ma più tipo '???????') e mi tocca dire che nonostante alcuni punti siano meritevoli di approfondimento (perché, di massima, corretti) le informazioni vengono sparate in stecca con un tono allarmistico e, a mio avviso, esagerato.
In sintesi, nel post linkato si paragona il covid all'aids perché sono venute fuori evidenze (come leggerete, comuni ad altre infezioni virali) che la malattia da Sars-CoV2 abbia un effetto indebolente sul sistema immunitario... senza scendere in spiegazioni dettagliate su cosa siano i Linfociti T (T Cells nell'originale), in sostanza si correla l'infezione con un'aumentata APOPTOSI (morte cellulare programmata, utile al rinnovo) di queste cellule del nostro sistema immunitario, col risultato che dopo la malattia quest'ultimo diventerebbe più 'debole' e quindi più suscettibile ad altre infezioni nonché tumori.
Per amor di precisione, il paragone con l'aids è stato estrapolato da un'osservazione specifica che è stata posta fuori contesto, infatti HIV e il Sars-CoV2 sono due virus COMPLETAMENTE differenti e il Sars-CoV2 NON SI COMPORTA COME L'HIV che invece si aggancia e gemma all'interno dei linfociti CD4, inattivandone completamente la capacità immunitaria; inoltre sono stati riportati solo articoli scientifici che parlano dell'aumentata apoptosi cellulare senza specificare che:
SI TRATTA DI UN FENOMENO TEMPORANEO
E' PROPORZIONALE ALLA GRAVITA' DELL'INFEZIONE
Risultati: L’estesa linfopenia delle cellule T osservata in particolare nei pazienti con COVID-19 grave durante l’infezione acuta si era ripresa 6 mesi dopo l’infezione, accompagnata da una normalizzazione delle risposte funzionali delle cellule T agli antigeni virali comuni. Abbiamo rilevato un’attivazione persistente delle cellule T CD4+ e CD8+ fino a 12 mesi dopo l’infezione, in pazienti con COVID-19 lieve e grave, misurata dall’aumento dell’espressione di HLA-DR e CD38 su queste cellule. L’attivazione persistente delle cellule T dopo COVID-19 era indipendente dalla somministrazione di un vaccino COVID-19 post-infezione. Inoltre, abbiamo identificato un sottogruppo di pazienti con COVID-19 grave che presentava una conta di cellule T CD8+ persistentemente bassa al follow-up e mostrava un fenotipo distinto durante l’infezione acuta costituito da una risposta disfunzionale delle cellule T e segni di eccessivo processo pro-infiammatorio. produzione di citochine. Conclusione: il nostro studio suggerisce che il numero e la funzione delle cellule T si riprendono nella maggior parte dei pazienti dopo COVID-19. Tuttavia, troviamo prove di attivazione persistente delle cellule T fino a 12 mesi dopo l’infezione e descriviamo un sottogruppo di pazienti affetti da COVID-19 grave con conteggi di cellule T CD8+ persistentemente bassi che mostrano una risposta immunitaria disregolata durante l’infezione acuta.
Fonte: [X]
Questi fenomeni non sono dicotomici e irreparabili come nell'infezione da HIV e nell'AIDS (che ricordo essere due cose diverse: si può essere positivi all'HIV e non sviluppare l'aids) e anche se nessuno (che abbia un QI perlomeno a due cifre) nega che ci possano essere queste complicazioni, esse NON SONO LA NORMA e condensare molteplici studi e osservazioni ancora in fieri in un unico post dandogli un taglio così netto e allarmistico a me pare controproducente ed esagerato.
Come avevo accennato all'inizio, sono parecchie le infezioni - spesso ritenute 'innocue' - che nel breve e nel lungo periodo possono potenzialmente dare GROSSI problemi al nostro sistema immunitario e all'organismo più in genere, però non ve le dico tanto non ci potete fare nulla e vivreste in un costante stato di paura che davvero non merita.
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Tanto per non farci mancare niente, ora ci mettiamo pure le malattie autoimmuni letali. Prima di tutto però voglio dire che è una condizione rara, quindi non andate subito in panico. Detto questo, spieghiamo - per come l'ho capita io - che cacchio hanno trovato. La prendo larga.
Esistono diversi meccanismi di difesa contro i patogeni, il più famoso è il sistema immunitario. Esiste anche un sistema di difesa sviluppato dalle singole cellule e quasi esclusivo della lotta contro i virus: l'interferone. Senza entrare nei dettagli dei vari tipi di interferone e di come agisca, il punto saliente è che viene stimolato dalla presenza di un doppio filamento di RNA nel citoplasma. Non è normale avere un doppio filamento di RNA nel citoplasma, generalmente è un filamento singolo che viene riconosciuto dai ribosomi e viene degradato subito dopo aver fatto da modello per la traduzione delle proteine. Molti virus - tra cui SARS-CoV-2 - nel loro ciclo vitale hanno un momento in cui producono un RNA a doppio filamento, e questo fa da trigger per la sintesi di interferone.
Come lo fa? Nella cellula esiste una famiglia di molecole chiamata RLRs che lega l'RNA estraneo (doppio filamento o singolo con alcune caratteristiche precise). Il legame di queste molecole con l'RNA estraneo scatena una cascata di segnale (una serie di reazioni chimiche) che porta alla sintesi di interferone.
Una delle RLRs è la MDA5, che è la protagonista della nostra storia. Esiste infatti una malattia rara, chiamata dermatomiosite, che è una malattia autoimmune in cui gli anticorpi del corpo se la prendono contro la MDA5. Il risultato è una malattia che può manifestarsi in diversi distretti corporei: spesso è cutanea, ma a volte può portare disturbi anche più fastidiosi come fatica e spossatezza ma senza danneggiamento dei muscoli: ecco perché si chiama anche dermatomiosite amiopatica.
Ecco, il punto è che si è scoperto che l'infezione da SARS-CoV-2 può portare, in rari casi, allo sviluppo di una malattia analoga alla dermatomiosite, ma che colpisce i polmoni e risulta essere quindi spesso fatale. L'hanno chiamata MIP-C: MDA5-autoimmunity and Interstitial Pneumonitis Contemporaneous with COVID-19 ovvero: una malattia autoimmune contro MDA5, la dermatomiosite di prima, localizzata nei polmoni e causata dalla CoViD-19.
SARS-CoV-2 stimola, con il suo RNA, MDA5, ma per qualche motivo stimola anche la creazione di anticorpi contro quella molecola. Non è una cosa nuova in generale, si chiama cross-reazione, e a volte succede di vedere che un patogeno stimola una risposta immunitaria contro di sé ma anche contro molecole simili ai suoi bersagli molecolari ma del tutto innocue, anzi utili all'organismo. È una delle cause dell'artrite reumatoide.
Perché? Nelle discussioni dell'articolo (qui il pdf) si fa riferimento al fatto che nei linfonodi l'attivazione di MDA5 può portare anche all'attivazione di alcuni tipi di linfociti, e questo può portare a reazioni autoimmuni. Dato che questi ricercatori hanno dimostrato che questa cosa è causata dall'RNA del virus, non possono escludere che sia anche un possibile - e finora sconosciuto - effetto collaterale anche dei vaccini.
Our finding incriminate MDA5 protein activation, whether linked to natural infection, or vaccination or potentially both as a trigger for MIP-C and that MDA5-mediated sensing (and mounting of an immunophenotype that is comprised of type 1 interferonopathy and antigen-specific CD8+ T cell responses; elaborated below) is a distinct trigger in MIP-C.
Staremo a vedere come si evolve la situazione. Al momento, non ci sono allarmi riguardanti la MIP-C legati alle vaccinazioni, anche perché - a logica - direi che è molto più facile trovare il virus nei linfonodi piuttosto che il vaccino inoculato per via intramuscolare.
Rimaniamo con le antenne dritte.
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𝘼-𝙕 𝙇𝙄𝙎𝙏 𝙊𝙁 𝘿𝙄𝙎𝙀𝘼𝙎𝙀𝙎/𝙄𝙇𝙇𝙉𝙀𝙎𝙎𝙀𝙎 𝙁𝙊𝙍 𝙎𝙄𝘾𝙆𝙁𝙄𝘾/𝙒𝙃𝙐𝙈𝙋
— A
Anemia.
Adenomyosis.
Asthma.
Arterial thrombosis.
Allergies.
Anxiety.
Angel toxicosis ( fictional ).
Acne.
Anorexia nervosa.
Anthrax.
Atma virus ( fictional ).
ADHD.
Agoraphobia.
Astrocytoma.
AIDS.
— B
Breast cancer.
Bunions.
Borderline personality disorder.
Botulism.
Barrett's esophagus.
Bowel polyps.
Brucellosis.
Bipolar disorder.
Bronchitis.
Bacterial vaginosis.
Binge eating disorder.
— C
Crohn's disease.
Conjunctivitis.
Coronavirus disease.
Coeliac disease.
Chronic migranes.
Coup.
Cushing syndrome.
Cystic fibrosis.
Cellulitis.
Coma.
Cooties ( fictional ).
COPD.
Chickenpox.
Cholera.
Cerebral palsy.
Chlamydia.
Constipation.
Cancer.
Common cold.
Chronic pain.
— D
Diabetes.
Dyslexia.
Dissociative identify disorder.
Dengue fever.
Delirium.
Deep vein thrombosis.
Dementia.
Dysthimia.
Diphtheria.
Diarrhoea.
Disruptive mood dysregulation disorder.
Dyspraxia.
Dehydration.
— E
Ebola.
Endometriosis.
Epilepsy.
E-coli.
Ectopic pregnancy.
Enuresis.
Erectile dysfunction.
Exzema.
— F
Fusobacterium infection.
Filariasis.
Fibromyalgia.
Fascioliasis.
Fever.
Food poisoning.
Fatal familial insomnia.
— G
Gonorrhoea.
Ganser syndrome.
Gas gangrene.
Giardiasis.
Gastroesophageal reflux disease.
Gall stones.
Glandular fever.
Greyscale ( fictional ).
Glanders.
— H
Hookworm infection.
Hand, foot and mouth disease.
Hypoglycaemia.
Herpes.
Headache.
Hanahaki disease ( fictional ).
Hyperhidrosis.
Heat stroke.
Heat exhaustion.
Heart failure.
High blood pressure.
Human papillomavirus infection.
Hypersomnia.
HIV.
Heart failure.
Hay fever.
Hepatitis.
Hemorrhoids.
— I
Influenza.
Iron deficiency anemia.
Indigestion.
Inflammatory bowel disease.
Insomnia.
Irritable bowel syndrome.
Intercranial hypertension.
Impetigo.
— K
Keratitis.
Kidney stones.
Kidney infection.
Kawasaki disease.
Kaposi's sarcoma.
— L
Lyme disease.
Lassa fever.
Low blood pressure.
Lupus.
Lactose intolerance.
Lymphatic filariasis.
Leprosy.
— M
Measles.
Mad cow disease.
Mumps.
Major depressive disorder.
Malaria.
Malnutrition.
Motor neurone disease.
Mutism.
Mouth ulcer.
Monkeypox.
Multiple sclerosis.
Meningitis.
Menopause.
Mycetoma.
— N
Norovirus.
Nipah virus infection.
Narcolepsy.
Nosebleed.
Nocardiosis.
— O
Obsessive-compulsive disorder.
Osteoporosis.
Ovarian cyst.
Overactive thyroid.
Oral thrush.
Otitis externa.
— P
Pancreatic cancer.
Pneumonia.
Pelvic inflammatory disease.
PICA.
Premenstrual dysphoric disorder.
Psoriasis.
Parkinson's disease.
Panic disorder.
Polycystic ovarian syndrome.
Plague.
Postpartum depression.
Pediculosis capitis.
Psychosis.
Post-traumatic stress disorder.
— Q
Q fever.
Quintan fever.
— R
Rubella.
Rabbit fever.
Rotavirus infection.
Ringworm.
Restless legs syndrome.
Rhinovirus infection.
Rosacea.
Relapsing fever.
Rheumatoid arthritis.
Rabies.
— S
Shingles.
Sore throat.
Stutter.
Separation anxiety disorder.
Smallpox.
Scoliosis.
Septic shock.
Shigellosis.
Sepsis.
Social anxiety disorder.
Stroke.
Scarlet fever.
Schizophrenia.
Sleep apnea.
Sun burn.
Syphilis.
Sickle cell disease.
Scabies.
Selective mutism.
Salmonella.
Sensory processing disorder.
— T
Thyroid cancer.
Tuberculosis.
Thirst.
Trichuriasis.
Tinea pedis.
Tourette's syndrome.
Trachoma.
Tetanus.
Toxic shock syndrome.
Tinnitus.
Thyroid disease.
Typhus fever.
Tonsillitis.
Thrush.
— U
Urinary tract infection.
Underactive thyroid.
— V
Valley fever.
Vertigo.
Vomiting.
— W
White piedra.
Withdrawal.
Whooping cough.
West nile fever.
— X
Xerophthalmia.
— Y
Yersiniosis.
Yellow fever.
— Z
Zygomycosis.
Zika fever.
Zeaspora.
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ooo if you do combos - 20 & 45 with some Buck h/c?
thank you for the prompts! I hope you enjoy :)
When Eddie walks into the loft and sees Buck in nothing but a towel at the top of the stairs, he nearly drops his groceries.
But not in a fun way.
“Buck!” he scolds, hurrying to deposit the bags on the kitchen island. “What are you doing up? Why did you have a shower? You’re supposed to keep the stitches clean and dry!”
He catches Buck’s full-body eyeroll as he starts furiously putting things away in the fridge. This is exactly why Eddie dropped Chris off for an impromptu weekend with Pepa – he can’t leave Buck alone for twenty minutes before the man is already ignoring doctor’s orders.
“It’s been forty-eight hours,” Buck calls. “I’m allowed to get them wet now.”
“Forty-two hours!” Eddie shoots back.
Even from down in the kitchen, he can hear Buck’s scoff. “I don’t think six hours is going to make a huge difference, babe.”
Eddie scowls into the fridge as he places Buck’s oat milk on the shelf; he’ll be the judge of that, thank you very much.
It all started two days ago, when Eddie had roped Buck into helping him replace some rotting wood on Pepa’s front porch. The job itself had gone mostly smoothly – thanks in large part to Buck’s previous experience working construction – until the very end. Buck hadn’t been watching where he was walking, texting Bobby about something, and he’d stumbled right into the pile of old, rotten wood that they needed to dispose of. It had almost been hilarious, the cacophony of Buck swearing as the wooden planks bounced hollowly against each other, right up until Eddie had caught sight of the blood.
Buck had added a nasty cut to the collection of scars on his left leg. Eddie had cleaned it and dressed it as best he could in Pepa’s bathroom before taking Buck to the hospital for stitches, but he couldn’t shake the worry from the back of his mind about something nasty lurking on the decaying wood. His fears were proven warranted the next morning when Buck had gone to change the bandages and found the skin around the wound red and swollen.
After that, it was a trip to the doctor’s to confirm what Eddie already suspected: Buck had developed a mild case of cellulitis, because of course he had. Couldn’t just be a simple cut.
The doctor gave him a prescription for antibiotics to kick the infection and a list of at-home care instructions to prevent it from getting worse. Buck hadn’t been worried; Eddie, on the other hand…
Well. There’s a reason he insisted on staying with Buck.
He finishes putting the groceries away just as Buck comes down the stairs in a pair of sweatshorts and a t-shirt – his slight limp not going unnoticed by Eddie. Buck ambles over to the couch while Eddie washes his hands and then gathers the supplies the doctor sent them home with before scuttling over to join him.
When he drops to his knees between Buck’s legs, Buck’s eyebrows shoot up to his hairline. “Well hello,” he drawls.
“Don’t get excited,” Eddie says. “I need to cover your stitches.”
Buck huffs and slouches further into the couch, but obediently props his injured leg up on the coffee table. Eddie knows how irritated Buck can get being fussed over, and the fact that he lets Eddie mother hen him without complaint (mostly) makes Eddie’s insides go all fluttery. But that fluttery feeling flies out the window when Eddie runs his hand over Buck’s shin and finds the skin warm to the touch.
Shit, does Buck have a fever? If he does, that’s bad. That’s really, really bad. Eddie really tries to stop himself spiralling, but his mind can’t help but leap to worst-case scenarios: if Buck has a fever, that could mean sepsis, which could mean septic shock, which could mean organ failure.
Buck must read the panic on his face because suddenly there’s a hand on Eddie’s chin, gently turning him to meet Buck’s gaze.
“Do you feel any body aches or chills?” he blurts.
“Eddie.” Buck smiles softly at him. “I had a hot shower. That’s why I feel warm.”
“Right.” He lets out a long, slow breath, willing his galloping heart to calm down. “Right, yeah, that makes sense. Okay, I’ll bandage your stitches now.”
“Hmm, in a minute.”
Buck leans down, and Eddie pushes up on his knees to meet him in the middle. Their lips slot together gently as Buck’s hand slides around to tangle his fingers in the hair at the back of Eddie’s head, sending shivers cascading down Eddie’s spine. He lets himself get lost in the kiss, relaxing for the first time since he took Buck to the doctor’s.
Eventually, Buck pulls away, but not before planting a quick kiss on Eddie’s nose. “Thank you for taking care of me. But you seriously need to talk to Frank about your tendency to catastrophize.”
Eddie rolls his eyes, but doesn’t argue. Buck might have a point, given that it didn’t take much for Eddie to make the jump from warm skin to organ failure. He carefully covers Buck’s stitches with a new bandage before taping it in place to make sure nothing gets in to contaminate the wound.
“Thank you for letting me take care of you,” Eddie says, getting to his feet. “Now keep that leg elevated while I make us dinner.”
Buck shakes his head in fond disbelief, but reaches for the pillows without protest.
(also on ao3)
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Le rappel de Mai 68 fait remonter à ma mémoire d'autres mois de mai.
Mai 40. Mon père s'évanouit en apprenant les nouvelles terribles de l'avancée allemande. Les premiers réfugiés arrivent. La valse des voitures officielles commence. Le gouvernement se replie sur Bordeaux. C'est l'affolement. Le monde de nos parents s'effondre. Tout ce qui paraissait établi, solide, solennel, respectueux, implose en quelques semaines. Nous avons dix-huit ans et nous apprenons que le pouvoir est mortel et que les puissants sont fragiles !
Mai 45. Dans une baraque d'un camp de concentration, j'agonise parmi les cadavres. Une villageoise allemande entre, puis recule devant le spectacle du charnier. Des insultes l'accueillent. Elle me regarde avec pitié et peut-être une forme d'amour. Je sombre dans le coma. Trois semaines plus tard, je suis autorisé à sortir de l'hôpital pour la première fois. La ville de Magdebourg est défoncée par les bombardements. Cauchemar, étonnement… Sur notre convoi de mille déportés, nous sommes une poignée de rescapés. Où sont les mois de mai de notre enfance, insouciants et gorgés de sève ? Nous avons vingt ans et nous portons déjà trop de morts.
Mai 54. Avec mes camarades, nous suivons avec douleur et colère la chute de Diên Biên Phu. Derrière chaque article, nous voyons un visage, un ami, des souvenirs de parachutage ou d'embuscades à la frontière de la Chine. Je reviens au Tonkin. L'avion atterrit à Hanoï, le temps d'une escale. Je dois prendre le commandement de ce qui reste du 1er BEP. Je marche une soirée et une nuit dans cette ville tant aimée, suspendue entre deux mondes, plus belle encore que dans mon souvenir. C'est la nuit du Vietnam, envoûtante, bruissante, faite de frôlements et de chants murmurés. Une part de nous-mêmes restera là, toujours, je le sais.
Mai 58. Dans le palais du gouverneur à Alger mis à sac par les insurgés, je vois mon patron, le général Massu tenter de contenir la foule. La passion est palpable. La IVe République est à bout de souffle. L'armée est prise dans un terrible engrenage. Je suis inquiet. Le 16 mai, encouragée par les militaires, une manifestation de musulmans s'avance vers le Forum. Des pieds-noirs les attendent. Lorsque les deux cortèges se rencontrent, des clameurs s'élèvent, des accolades sont rendues. Les martinets volent haut dans le ciel pur d'Alger. Je pleure de bonheur. La Résistance, la déportation, trois séjours en Indochine, l'Algérie, Suez… Les épreuves de notre génération semblent soudain justifiées.
Mai 61. Dans une cellule de la prison de la Santé, je prépare mon procès. Lors du putsch d'Alger, j'ai suivi le général Challe et je suis devenu un officier rebelle. Dans les jours suivants, je peux être fusillé ou lourdement condamné. Je ne cesse de faire et refaire l'engrenage des événements, des rencontres et des engagements imbriqués qui m'ont conduit entre ces murs. Alors j'écris, je lis, je fixe des heures durant le mur lépreux, je pense à ces hommes que j'ai entraînés dans la révolte. C'est un mois de mai lourd et sombre. La beauté et le ciel appartiennent à d'autres.
Mai 68. Responsable du personnel de plusieurs usines dans la région lyonnaise, je porte un costume civil après cinq ans et demi de détention criminelle. L'usine est en grève. Comme à Alger dix ans plus tôt, l'esprit de révolution souffle sur les hommes. J'en connais les dangers et les illusions. Mais je comprends en partie cette jeunesse qui porte l'espérance d'un monde meilleur.
Les mois de mai se confondent désormais dans ma mémoire. Comme tous ceux qui ont eu vingt ans, il y a si longtemps, je vois chaque année à cette époque renaître les souvenirs entremêlés. Des ombres nous accompagnent : espérances fracassées, camarades oubliés, engagements incompris, souffrance du corps usé. Mais le chant du monde est là, étranger à la lâcheté et à la cruauté des hommes. La beauté est fragile et mystérieuse. Des enfants passent dans la rue, courent dans le jardin. Tout leur est offert. Qu'en restera-t-il ? Tout nous a été donné. Qu'en reste-t-il ? Peut-être simplement le besoin de la contemplation. C'est l'éblouissement et l'espérance des derniers mois de mai.
Hélie de Saint-Marc . Le Figaro (Mai 2008).
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Eté 1925 - Champs-les-Sims
3/6
Je dois te paraître un peu dure, mais n'y a t-il que moi et Cléo pour nous vexer de nous trouver si bas dans la liste de ses centres d'intérêts majeurs ?
Antoine me dit qu'on ne choisit pas ses parents, et que de toute façon, nous aurions pu tomber sur bien pire, mais tout de même. Et même davantage, nous ne choisissons pas, donc te pourraient-ils pas tolérer un petit effort ? J'ai la maigre consolation de savoir que Jean ne sera jamais ainsi avec nos enfants. Je voix bien que tu te ranges du côté de mon frère et de mon cousin à son sujet d'ailleurs, mais que puis-je espérer de mieux de la solidarité masculine ?
J'ai parlé de toi avec Ange, et il a été surpris que je l'ai évoqué dans notre échange. Il a été curieux de savoir ce que tu avais à dire alors je lui ai montré le passage que tu as écrit à ce sujet un jour où il était en visite. Je n'ai pas compris d'emblée pourquoi, mais il a beaucoup rit. Tant est si bien que Grand-Mère est venu lui demander si il existait un sujet convenable qui puisse susciter tant d'hilarité. Elle est allée bouder quand il lui a fait savoir que cela concernait ses "fréquentations parisiennes". Bref, il m'a dit qu'il ne se trouvait pas lui-même si fascinant et que si vous pensez les gens "de sa sorte" absents du Canada, c'est parce qu'ils n'ont pas pour habitude de le revendiquer en tout lieu et toute heure. Il a aussi remarqué que tsi il semble évident que Hylewood n'abrite pas ce genre de cabaret, il pourrait fort bien en dégotter quelques uns bien dissimulés à Kingston". D'ailleurs, j'ai peut-être laissé entendre qu'Ange "porte" sur lui sa différence et que chaque personne qui le croise le sait tout en acceptant cela chez lui. Ce n'est pas vrai. Chez moi ou même dans cet échange, nous sommes dans l'intimité de la famille alors je n'ai pas vraiment vu ce que cela impliquait de vous en parler sans détour. Mais je sais aussi que mon cousin n'est pas à l'abri d'une descente de police un soir. J'ose à peine imaginer le scandale si le fils aîné de Chastel se retrouvait en cellule au milieu d'autres !
Transcription :
Constantin « Tu sais, je vais t’écrire comme autrefois, autant que possible, et je reviendrai en France une fois l’an au moins. »
Adelphe « Et bien… je suis heureux de voir que ce changement ne te chamboule pas tant que cela. J’avoue que je m’attendais à ce que tu réagisse autrement. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, ni même le jeune premier qui a failli mourir de soif en Égypte à cause de son obstination, j’ai eu bien le temps de peser le pour et le contre. Je m’y suis préparé. »
Adelphe « Mes excuses. Je ne comptais pas te materner. »
Constantin « Mais il est vrai qu’Albertine m’a fait la même remarque. Elle m’a aussi dit que tu allais sans doute vouloir me parler, et elle avait raison. Je suis toujours autant impressionné de voir à quel point elle sait lire les autres alors que j’en suis presque incapable. »
Constantin « Par contre, elle ne m’a pas dit de quoi tu voulais me parler. Alors j’appréhende quelque peu. »
Adelphe « Même elle ne peut pas tout savoir. Je voulais simplement être sûr que tu allais bien et que cette décisions était mûrement réfléchie. »
Constantin « Elle l’est. Nous en parlons depuis plusieurs années déjà. Ce n’est pas que nous ne supportons plus cette maison ou ses occupants, mais que nous avons besoin de notre espace. Tout comme Arsinoé d’ailleurs. Si elle doit faire de cette maison la sienne, il serait sans doute bienvenu qu’elle n’y soit pas coincée avec notre génération vieillissante. »
Adelphe « C’est bien vrai. »
Constantin « Pourtant, tu vis chez ton fils. »
Adelphe « Aussi étonnant que cela soit, c’est à sa demande. Et aussi parce que je n’ai pas vraiment de biens propres, tu t’en souviens ? »
Constantin « Je ne comprendrai définitivement jamais rien à ces histoires. »
Adelphe « Ce n’est pas bien grave, tu ne manque pas grand-chose. Et j’apprécie de vivre avec Alexandre et Sylvette, d’autant plus que je vais pouvoir bientôt rencontrer un nouveau petit-enfant. »
Constantin « C’est si étrange de savoir que tu es grand-père depuis l’année dernière. Quand je pense à toi, je te vois toujours comme autrefois, quand nous étions enfants. »
Adelphe « Je mentirais si je te disais que je ne vois plus le petit garçon que tu étais. Et que cette époque me manque un peu. Des adultes pour s’occuper de nous, pas de responsabilités… »
Constantin « Ma mère me manque Adelphe. »
Adelphe « Je sais Tintin, je sais. »
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 21
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour tout le monde,
La suite du Hateread a pris son temps, mais pour vous récompenser de votre patience, je vous livre la review de trois chapitres courts plutôt qu’un seul. J’espère que ça vous plaira ! Je vais aussi faire un petit sondage (voire plusieurs) pour récolter vos avis sur les articles à venir.
Dans le chapitre précédent, Archange arrivait sur Tadix avec sa suite, un échange de cadeaux s’opérait, Angelica suivait un démon vers une destination inconnue et Tara, au milieu de la nuit, se faisait réveiller par une voix familière.
Une voix dont l’identité n’est pas un mystère, car le chapitre d’aujourd’hui s’intitule « Robin, ou comment l’histoire du concombre prit tout son sens. »
Deux choses à dire sur ce titre :
1/ C’est peut-être la troisième fois dans ce tome qu’un cliffhanger perd sa tension, simplement car le titre du chapitre suivant spoile quel personnage est concerné/que ledit personnage est vivant. Je ne peux pas dire que c’est un défaut, peut-être que madame S.A.M. n’a pas particulièrement envie de laisser le suspense s’attarder. Mais bon, je le relève, vous en faites ce que vous voulez.
2/ Dans le tome précédent, Robin et Tara étaient en froid dans leur relation. En effet, dans le tome 8, Robin avait couché avec une démone qui s’était faite passer pour Tara, ce qui avait indigné notre héroïne quand elle l’avait appris. En discutant avec Cal pour savoir comment il pouvait reconquérir l’amour de sa dulcinée, Robin s’est vu recommander par le Voleur d’inventer un code pour s’assurer que Tara était bien elle-même. Le code en question était « concombre ». Voilà, et comme on a des histoires de changelins et d’apparence copiée dans ce tome, je suppose que c’est vers là que l’intrigue du chapitre se dirige.
« — Robin ?
Le demi-elfe ne lui sourit pas. Il avait l’air fatigué et angoissé.
— Tu cours un terrible danger, lui dit-il. Je dois t’avertir que…
Tara sauta au bas de son lit et se précipita sur lui, l’étreignant avec une force à la mesure de son inquiétude.
Elle faillit le carboniser au passage, parce qu’elle avait oublié d’éteindre sa magie.
Robin la serra brièvement contre lui puis recula. Tara reprit vite ses esprits, même si mille questions se bousculaient dans sa tête :
— Robin ! J’ai eu la peur de… mais comment as-tu fait pour… tu es toujours recherché !
Ça commençait à bien faire tous ses amis qui non seulement ne lui obéissaient pas alors qu’elle essayait de leur sauver la vie, mais en plus s’introduisaient partout comme dans un moulin. Même si, pour une fois, elle était très contente. Et soulagée. »
Je n’ai pas grand-chose à dire, à part que j’aime bien ce début de chapitre.
Robin lui parle ensuite de l’assassin qui est envoyé pour tuer Tara, et du complot qui se prépare contre elle, probablement orchestré par les démons. Il était dans la cellule voisine du type qui avait tenté d’assassiner Mourmur, qui apparemment a beaucoup bavardé sur les contrats les plus juteux du moment.
Mais au fil de la discussion, tout ça ne paraît pas naturel à Tara : Sourv, le Familier de Robin, n’est pas dans les parages, et Robin se comporte bizarrement. L’elfe l’embrasse, et elle décide d’utiliser le safe word, « concombre », dans une de ses phrases ; et comme Robin ne réagit pas, elle l’attaque en le plaquant au mur avec sa magie.
« — Je peux maintenir ma magie indéfiniment, mentionna-t-elle d’un ton détaché. Cela ne me demande aucun effort. Je peux même accentuer la pression, tout aussi indéfiniment.
La cage thoracique de Robin craqua soudain alors que la magie pesait de plus en plus lourd sur lui. Le demi-elfe croisa le regard de Tara. Elle était absolument sûre de ce qu’elle avançait. Il n’y avait aucune faille, rien qui puisse lui permettre de la tromper ou de la faire fléchir. Il s’affaissa un peu, dégoûté. Cela n’allait pas arranger ses affaires.
— Arrête ! cria-t-il, ça va ! Je me rends !
— Excusez-moi, persifla Tara, mais il est inutile de vous rendre, puisque vous êtes déjà mon prisonnier, Monsieur… ?
— Appelle-moi Monsieur X, grogna Robin d’un ton acariâtre. Et réduis ta foutue magie avant que mon corps ne craque. Bon sang, on ne devrait pas laisser autant de pouvoir entre les mains d’une gamine ! »
Donc un type inconnu, qui a pris l’apparence d’un jeune homme et a roulé une pelle à Tara sous cette apparence, la mentionne maintenant comme une « gamine ». Est-ce que le baiser était nécessaire ? Non. Déjà, qu’un inconnu embrasse Tara en déguisant son apparence était franchement dégueu, mais il y a la question de l’écart d’âge qui me débecte d’autant plus. Quand on ajoute ça à la scène avec Chem dans le chapitre 10, je me demande s’il n’y a pas un genre de kink sous-jacent. C’est la deuxième fois dans ce tome qu’un type nettement plus âgé vient sous l’apparence d’un jeune homme dans la suite de Tara quand elle est seule, pour la tromper et la manipuler, et qu’il tente de la séduire. Je ne sais pas vous, mais moi je trouve ça vraiment écœurant.
Le type explique qu’il l’a embrassée car il est télépathe et ça marche pas sur elle du coup peut-être qu’avec un contact physique- non.
Non, ça, c’est un prétexte de madame S.A.M. pour faire de la presse à scandale dans son bouquin. « Tara embrassée par un inconnu qui se faisait passer pour Robin ! Mais non, c’était un malentendu, il ne voulait que fouiller son esprit aha ! ». La plupart des auteurs de fanfictions que je connais sont mille fois plus inventifs pour rendre les kiss entre personnages crédibles. Ou au moins, ils savent assumer leur fétichisme comme tel et mettent des tags appropriés sur leurs histoires. Ou bien, troisième option, ils écrivent la scène comme cringe en assumant qu’elle l’est et en faisant quelque chose avec ça dans la narration.
D’ailleurs, Tara devrait manifester du dégoût à avoir été embrassée par un vieux type déguisé en son ex. Là, je ne parle pas de Tara en tant que personne, mais Tara en tant que personnage : Madame S.A.M. aurait dû lui donner une réaction dégoûtée, mais elle ne l’a pas fait. Je trouve ça frappant.
Monsieur X demande à Tara de le libérer de ses mouvements, en échange de quoi il répondra à ses questions. Elle garde sa magie autour de lui mais le laisse s’asseoir dans un fauteuil, suite à quoi il avoue être l’assassin envoyé pour la tuer. Donc c’est lui, le mec sugar daddied dans le prologue. Je retiens.
Monsieur X informe Tara que Robin est retenu prisonnier dans un lieu qui s’autodétruira d’ici trois jours, si l’assassin n’est pas revenu à temps pour le délivrer. Et comme ces deux passages font l’affront de s’enchaîner presque à la suite, je vais vous les offrir :
« Tara pâlit. Monsieur X n’était pas un idiot. Il venait de lui lier les mains. Que cela soit vrai ou pas, elle ne pouvait plus le tuer. Même si, contrairement aux sanguinaires AutreMondiens, en dépit de sa réputation, Tara ne tuait personne, du moins, pas si elle n’y était pas obligée, en général pour sauver sa vie d’ailleurs. (je relève cette dernière phrase, parce que six virgules c’est toujours trop + on ne comprend pas cette phrase tout de suite parce qu’elle devrait s’enchaîner avec la précédente plutôt que d’être coupée par un point)
Il lui restait une option, très « magisterienne ». Elle resserra le champ sur l’homme qui se figea, apeuré.
— Je ne peux peut-être pas vous tuer, fit la jeune fille d’une voix mortellement douce. Mais je peux vous faire mal. Vous faire tellement mal que vous me supplierez de vous écouter lorsque vous me direz exactement où se trouve Robin et comment le délivrer. Ce champ peut vous écorcher vif, très lentement. Je peux aussi le faire chauffer.
Elle joignit le geste à la parole et la peur envahit le visage de Monsieur X, lorsque, soudain, la température du champ augmenta, tandis qu’il devenait rugueux au point qu’en bougeant légèrement l’homme s’entailla la peau de la main. »
Uiui je suis une petite sainte qui ne tue personne et qui trouve le système carcéral de Tadix affreux, par contre la torture c’est okay uwu slay
La moralité de Tara dans ce tome et les précédents est un métronome qui va full vitesse. Elle est dans un entre-deux dont j’ai du mal à situer la cohérence : parfois on la décrit comme un portrait craché de Lisbeth, prête à tout pour affirmer sa posture d’Héritière quitte à se laisser corrompre par le pouvoir et abuser d’autrui, et puis d’un coup elle désapprouve des politiques dures et refuse de tuer, tout en admettant qu’une lente agonie est un choix moral. Et à aucun moment, ses contradictions internes ne sont l’objet d’une introspection. Ça rend le personnage plutôt dur à suivre, et très infantile.
« — Je ne suis pas votre ennemi, Tara Duncan, dit-il rapidement. Nous libérerons Robin, ensemble, là n’est pas la question. Et il est inutile de me torturer, parce que je suis venu ici pour vous aider. Et vous sauver tous les deux. Et AutreMonde aussi si possible !
Tara relâcha un peu le champ, lui rendit sa forme et sa consistance normales. Elle fixa Monsieur X et celui-ci lut dans le regard bleu impitoyable qui lui faisait face qu’elle n’hésiterait pas une seconde à recommencer si cela était nécessaire. Ignorant le sang qui coulait de sa main, il commença :
— Au début, j’ai cru que le commanditaire était un AutreMondien. Vous avez gêné les plans de nombreuses personnes, et toutes aussi nombreux sont les gens qui ont peur de vous et de votre pouvoir. Mais au fur et à mesure que le commanditaire m’expliquait ce qu’il voulait que je fasse, je commençais à me demander si je ne m’étais pas trompé, si tout ceci était bien plus vaste qu’un simple assassinat. J’ai pensé refuser, mais je ne suis pas le seul assassin sur AutreMonde. Il y en a d’autres. Je ne pouvais pas courir le risque qu’il engage quelqu’un de suffisamment compétent pour vous tuer. J’ai donc accepté le contrat. »
Comment dire… j’aurais parfaitement pu suivre ce retournement de situation, accepter l’espèce d’alliance avec semi méfiance entre Tara et Monsieur X, et même apprécier ce personnage d’assassin semblant jouer sur plusieurs tableaux… mais le baiser entre lui et Tara n’était réellement pas nécessaire. Ce choix de scène cheloue et dégoûtante, non traitée, rend tout investissement caduc de mon côté.
Monsieur X explique ce qu’on a déjà deviné, à savoir qu’il est un changelin. Il décrit le procédé de copie d’un corps, grâce à l’absorption d’un peu d’ADN (cheveux, morceau de peau ou autre). Il explique aussi que les changelins ne montrent jamais leur vrai visage, sauf en famille, et il mentionne qu’il a une femme et un bébé (pourquoi t’embrasses une gosse si tu as une femme espèce de porc putain je te déteste, je déteste que personne ne te mette en face de ça), qu’il a été scripte à une époque, qu’il est ensuite devenu un assassin de la Guilde. Bref, du lore qui serait intéressant si je ne haïssais pas déjà le personnage. Il parle ensuite de la façon dont il s’est évadé de prison, évoquant au passage que c’est un sangrave qui a tenté de récupérer Selenba, prouvant ce qu’on sait déjà : la sincérité de la vampyr quant au fait d’être réhabilitée.
On en vient ensuite à l’origine de la machination : les démons de deux factions n’appartenant pas tout à fait à Archange, et refusant les transactions avec AutreMonde. Bref, tout ce joyeux bordel nous explique enfin ce qu’on fout là, et je pense que le reste des chapitres dépliera lentement les autres questions qu’on se pose.
Tara contacte Lisbeth et lui explique tout ce qu’elle vient d’apprendre. Un concert va bientôt commencer, et elle missionne Monsieur X pour qu’il retrouve son commanditaire. Monsieur X l’avertit que s’il meurt, Robin mourrait dans les trois jours suivants ; bref, ils travaillent ensemble, pour mon plus grand déplaisir, et comme la fin du chapitre a apparemment besoin de me rappeler pourquoi je déteste leur dynamique :
« Tara ordonna à la changeline de lui créer une tenue de cérémonie. La changeline fit disparaître son armure et lui créa une magnifique robe noir et blanc qui lui dénudait le dos et les épaules, sculptant son corps, son ventre plat et ses cuisses fines comme une statue. Monsieur X écarquilla les yeux, siffla doucement, hommage respectueux à la beauté de la jeune fille (PFAHAHA va mourir), puis se transforma lui aussi. L’instant d’après, il était nettement plus petit et vert, s’étant changé en lutin P’abo. »
Allez, tg.
Le chapitre est fini ! Je suis très prise dans l’action, mais cette écriture dégueulasse ne m’avait pas manquée. Dans le prochain chapitre, on se concentrera sur Mara.
J’espère que son PDV sera plus palpitant que la dernière fois.
Portez vous bien et à bientôt !
#tara duncan#french#tara duncan 10#tara duncan critique#upthebaguette#français#book criticism#book critique#critique livre#dragons contre démons
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Rhizopus & Mucor
Both belong under the umbrella term, mucorales. These are bread moulds naturally on fruit and bread that we breathe in and out without much issue particularly if immunocompetent, but in some immunocompromised it causes rapidly fatal and progressive disease: mucormycosis. Due to the weakened immune system.
Spores released either land on skin or into blood via open wounds, then deposit tehre, invading local vessels, thrombosing them and cutting off supply. this rapidly leads to ischaemia and necrosis. Dead tissue.
Now for a Case Report. This one in Frontiers of Medicine. A 35 yo man with diabetes presents with a facial rash, that rapidly progresses to an eschar and ulcer. To note, there are graphic images in the link of his face.
This was initially associated with nasal discharge and epistaxis. Diagnosis was initially a peridontal infection which did not resolve with standard antibiotics for this, similarly he was next diagnosed with uncomplicated, stock standard cellulitis (usually staph or strep pyogenes caused). Both treatments failed.
eventually he was diagnosed with mucormycosis, but by then he had extensive damage to his face, the subcut tissues, muscles and facial bones. He also had significant weight loss, fevers, splenomegaly and thrombosis.
To muddy the waters, he was concurrently diagnosed with a T cell lymphoma but the authors also picked up Rhizopus.
What is Rhizopus? (also related to mucor, another mucorales) It's a fungi, more specifically an opportunistic pathogen commonly associated with diabetics (esp poorly controlled) and the immunocompromised (in particular solid organ transplants, see further case report in resources below, HIV, malnutrition, haematological malignancies - eg leukaemias).
Also associated with steroid use, form of immunosuppression so has been seen in severe COVID patients requiring dexamethasone (Rare though).
As a mould it likes the acidotic states in DKA and iron, so any iron overload states as well.
Why poorly controlled diabetics - it becomes an immunocormposed state in and of itself. The sugars suppress local inflammatory responses like neutrophil chemotaxis or phagocytosis etc. You can however, get chronic forms too. So don't rule it out if it's not wildly acute. These occur over weeks, slowly. Considering it's a mould, it's particularly "prolific" in hot weather and warm/hot climates.
Classically it is an infection that affects the face, parasinuses, nose and even the brain. You'll often hear the term rhinocerebral with it.
Consider it if you see discolouration around the face and definitely if you see a necrotic eschar. Actually, any black spots, fevers, rash, call ID urgently. Unsurprisingly, it is also called the black fungus.
Is also possible to have it affect the skin (particularly in IVDU and in burns), lungs and GI (more rare). IN lung involvement symptoms are typical for the organ - SOB, fevers, chest pain, haemoptysis. in GI: nausea/vomiting/GIB.
Thrombosis can occur as a complication as it invades the blood vessels.
In brain involvement from disseminated disease, expect confusion and altered state if not reduced GCS.
It's also been recently featured in the fungi podcast by the Curbsiders. Which is worth a listen.
It's filamentous and has hyphae.
You'll also hear the term mucormycosis = which just refers to the disease process that is rapidly fatal. Mortality is 30-70% of rhinocerebral cases, 90% in disseminated and 100% in AIDs --numbers from StatPearls. Survival improves with antifungals and surgery to 70%.
Early diagnosis and intervention is essential, as illustrated in the case report above. but is rare, so not infrequently missed.
It's also missed, as early symptoms are very non specific depending on how it affects the host. You can simply get lethargy, headache and eye pain. Blurry vision too, or simply epistaxis and rhinorrhoea.
Image from Wiki
Now that you know the clinical presentation and the increased risk groups to think of this diagnosis in,
How do you confirm your suspicions?
investigations:
It's associated with neutropaenic states and one hypothesis is acidosis in diabetics with poorly managed sugars (so really unwell). No serology (as compared to other bugs), would come up in fungal cultures and on tissue biopsy. key words on biopsy: Ribbon like hyphae branching at 90 degree angles.
Also from wiki, that suggests it looks like Moose antlers.
Pathologists will also note or look for necrosis and haemorrhage.
Blood cultures rarely pick up it, so consider it if they're unwell and culture negative.
On imaging - gold standard in rhino cerebral is MRI but CT is most accessible and fast. Looking for signs of blood vessel invasion and reverse halo or less specific halo sign.
Reverse halo per radiopaedia: ground glass within a consolidated crescent shape.
From radiopaedia:
Okay, this sounds both difficult to pick up and investigate. No magical PCR or serology.
Pro tip from stat pearls: just maintain a high index of suspicion in anyone with increased risk or risk factors. Biopsy tissue quickly particularly if necrosis is apparent. Early detection method is unsurprisngly CT --> we all seem to have a low threshold for this, but looking for hyperdensity (mucosal thickening) and erosion of the facial bones.
Also essential is the age old adage that most clinicians follow --> empirical therapy for the most common organisms, close monitoring/observations. then failing that, broaden the differentials and keep investigating or altering treatment quickly.
Treatment:
The strong stuff. Liposomal Amphotericin B for 4-6 weeks (the long duration) as it is highly invasive/progressive. Alternatives; itraconazole.
You may also hear of hyperbaric O2 therapy, which aids the neutrophils to kill the fungi. Also in stat pearls
Surgical debridement after antifungal therapy with washout depending on extent of damage.
Sources used for post:
Case reports, wiki and radiopaedia as above And largely Statpearls --> there is much more further detail and more to read on differentials and complications.
I'll try to use free resources as much as possible.
Another Case Reports of interest include: NEJM - lengthy one reminding all to consider this diagnosis in an unexplained rash in an immunocompromised host.
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[✎ TESTO ♫ ITA] Hope on the Street Vol.1 - J-Hope⠸ ❛ NEURON ❜⠸ 29.03.2024
[✎ TESTO ♫ ITA]
J-HOPE 📀 Hope On The Street Vol.1
🌟🕺 ❛ NEURON (with Gaeko & Yoon Mirae ❜ 💃💫
~ NEURONE ~
__ 29. 03. 24 | Twitter __
SCRITTA DA: j-hope, Gaeko, Pdogg, Yoon Mirae
PRODOTTA DA: Pdogg
youtube
* Il titolo della canzone, "NEURON" è sì un rif. ai 'neuroni' – cellule specializzate nella ricezione, elaborazione e diffusione delle informazioni e stimoli ricevuti, attraverso segnali elettrici e chimici -, ma anche alla crew di ballo NEURON, di cui faceva parte j-hope prima di debuttare con i BTS, n.d.t.
Lasciate che ve lo ripeta
Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre
Lasciate che ve lo ripeta
Saremo eternamente vivi e in movimento
(il tuo/vostro movimento interiore ha radici profonde
non perderlo/perdetelo mai
perché è più prezioso di ogni altra cosa)
N-E-U-R-O-N, prestate attenzione¹ N-E-W-R-U-N, non è abbastanza Appello a tutti i miei neuroni In piedi, NEU In piedi, RON N-E-U-R-O-N, prestate attenzione N-E-W-R-U-N, non è abbastanza L'inizio di questa mia opportunità inestimabile Meglio NEW (*nuova) Meglio RUN (*corsa)
Neuron, una reazione ai miei pensieri Neuron, una reazione alla mia vita
New run, è di nuovo il mio momento
Uno stimolo per i miei nervi, come quando ero più giovane, mi lancio
Il mio corpo a stile libero, ancora freestyle
Il mio spirito è intramontabile, una cosa prima mai vista
Un albero ben radicato, come l'acqua sorgiva che fluisce in profondità
Perché questi neuroni sono le cellule che mi hanno risvegliato
Lasciate che ve lo ripeta Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre Lasciate che ve lo ripeta Saremo eternamente vivi e in movimento Lasciate che ve lo ripeta Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre Lasciate che ve lo ripeta Saremo eternamente vivi e in movimento
N-E-U-R-O-N, prestate attenzione N-E-W-R-U-N, non è abbastanza Appello a tutti i miei neuroni In piedi, NEU In piedi, RON N-E-U-R-O-N, prestate attenzione N-E-W-R-U-N, non è abbastanza L'inizio di questa mia opportunità inestimabile Meglio NEW Meglio RUN
La vita che ho vissuto mi si legge in viso
Mi guardo allo specchio e ciò che vedo non è niente male
Rilasso le spalle, per essere onesto
Ho dozzine di buone motivazioni
Al crocevia dove si incontrano i neuroni
Cerco con calma di comprendere il significato della vita, le ragioni
Quanto fulminea e distante sarà la traiettoria di lancio
Lunga o breve, dipenderà da ogni singola decisione
Mi sono liberato delle bombe [*dei pesi]
Ho passato la palla alla mia crew
Gioco a catch ball con mio figlio
Prendo la metro dalla periferia
Il metronomo ancora vicino al piano della mia infanzia
Tenere il tempo è diventato il mio lavoro ed i guadagni continuano a salire
Ma la mia vita è ancora precaria
L'ansia del futuro è sempre in agguato sotto-palco come uno spettro
Urlo, faccio casino e poi rientro
Per rilassarmi con un semplice pasto fatto in casa
Giusto per avere del rumore di fondo
Lasciate che ve lo ripeta Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre Lasciate che ve lo ripeta Saremo eternamente vivi e in movimento Lasciate che ve lo ripeta Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre Lasciate che ve lo ripeta Saremo eternamente vivi e in movimento
j-hope x Yoon Mirae, tutto un altro livello
Pace e amore sono le due parole che mi porto nel cuore
Solleva il tuo [segno] peace, due dita verso il cielo
Ma non aspettatevi un okei-doke [*okay], baby T ²è un angelo nero
Una piccola miss dal sorriso impetuoso (Oh no)
Ora j-hope le ha passato il beat drop
Ma guardatevi, lì che rodete, perché s'è presa la parte migliore
Sì, il flow lo puoi imparare
Ma l'ardore non può essere insegnato
Io ho passione per quest'arte
Adrenalina, non mi sono mai fermata
Musica e famiglia, son tutto ciò che conta
Mi danno la forza di continuare giorno dopo giorno
Musica e famiglia, le cose più importanti
La mia motivazioni nei giorni in qui detesto tutto quanto
Mi ricordano che Dio ha creato qualcosa di speciale
Guardatemi, io ce l'ho fatta
Lasciate che ve lo ripeta
Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre
Lasciate che ve lo ripeta
Saremo eternamente vivi e in movimento
Lasciate che ve lo ripeta
Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre
Lasciate che ve lo ripeta
Saremo eternamente vivi e in movimento
N-E-U-R-O-N, prestate attenzione
N-E-W-R-U-N, non è abbastanza
Appello a tutti i miei neuroni
In piedi, NEU
In piedi, RON
N-E-U-R-O-N, prestate attenzione
N-E-W-R-U-N, non è abbastanza
L'inizio di questa mia opportunità inestimabile
Meglio NEW
Meglio RUN
Lasciate che ve lo ripeta
Non ci daremo mai e poi mai per vinti, per sempre
Lasciate che ve lo ripeta
Saremo eternamente vivi e in movimento
Note:
¹gioco di parole con NEURON (neurone) e NEW RUN (nuova corsa/nuovo inizio/nuovo giro), la pronuncia è simile,
² Baby T: la T sta per Tasha (Natasha Shanta Reid), il nome americano di Yoon Mirae, n.d.t.
⠸ Ita : © Seoul_ItalyBTS⠸
youtube
#Seoul_ItalyBTS#TradITA#ITA#Traduzione#Testo#BTS#방탄소년단#J-Hope#JungHoseok#제이홉#HOPE_ON_THE_STREET_VOL_1#NEURON#290324
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The description of the Roman onlookers is rather more picturesque in Buss’s translation than in the older translation:
... une cinquantaine de badauds des États de Sa Sainteté, de ceux-là qui font des ronds en crachant dans le Tibre du haut du pont Saint-Ange, quand le Tibre a de l’eau.
... about fifty little vagabonds from the Papal States, who earned a pittance by diving into the Tiber at high water from the bridge of St. Angelo.
... some fifty idlers from the Papal States, of the sort who make rings in the water by spitting into the Tiber from the Ponte Sant’ Angelo, when there is water in the river.
During the conversation between Peppino and the bank clerk, the older translation skips part of their discussion of the Russian traveller who didn’t have as much money as expected:
—Vous aurez mal cherché. —C’est Luigi Vampa qui a fait la perquisition en personne. —En ce cas, il avait ou payé ses dettes... —Un Russe? —Ou dépensé son argent. —C’est possible, après tout.
“You must have searched badly.” “Luigi Vampa himself searched.”
“You probably didn’t look hard enough.” “Luigi Vampa did the search in person.” “In that case, either he had paid his debts...” “A Russian?” “Or spent the money.” “I suppose that’s possible.”
And also part of their reaction to the amount Danglars has:
—C’est bien lui... Cinq millions. Une jolie somme hein, Peppino? —Oui. —Nous n’en aurons jamais autant. —Au moins, répondit philosophiquement Peppino, en aurons-nous quelques bribes. —Chut! Voici notre homme.»
“Yes, it is indeed he. Five millions—a pretty sum, eh, Peppino?” “Hush—here is our man!”
“It’s him all right. Five million... A fine sum, eh, Peppino?” “Yes.” “We’ll never have as much for ourselves.” “At least we’ll get some crumbs of it,” Peppino said philosophically. “Hush! Here he comes.”
Danglars, when he realises he’s in trouble:
Ses yeux prirent dans les ténèbres ce degré de finesse que communiquent dans le premier moment les émotions fortes, et qui s’émousse plus tard pour avoir été trop exercé. Avant d’avoir peur, on voit juste; pendant qu’on a peur, on voit double, et après qu’on a eu peur, on voit trouble.
His eyes acquired that quality which in the first moment of strong emotion enables them to see distinctly, and which afterwards fails from being too much taxed. Before we are alarmed, we see correctly; when we are alarmed, we see double; and when we have been alarmed, we see nothing but trouble.
In the darkness his eyes took on that degree of acuity that strong emotions tend to give them at first, only for the effect to be reversed later through overuse. Berfore one is afraid, one sees clearly; while one is afraid, one sees double; and after being afraid, one sees dimly.
The older translation is continuing to trim out religious references, with this being one of the larger elisions:
Un lit fait d’herbes sèches, recouvert de peaux de chèvre, était, non pas dressé, mais étendu dans un coin de cette cellule. Danglars, en l’apercevant, crut voir le symbole radieux de son salut. «Oh! Dieu soit loué! murmura-t-il, c’est un vrai lit!» C’était la seconde fois, depuis une heure, qu’il invoquait le nom de Dieu; cela ne lui était pas arrivé depuis dix ans.
A bed of dried grass covered with goat–skins was placed in one corner. Danglars brightened up on beholding it, fancying that it gave some promise of safety. “Oh, God be praised,” he said; “it is a real bed!”
A bed of dry grass, covered with goatskins, was not standing, but spread out in a corner of this cell. Seeing it, Danglars thought he saw the glowing symbol of his salvation. “Oh, God be praised!” he murmured. “It’s a real bed!” This was the second time in the last hour that he had called on the name of God, something that had not happened to him for ten years.
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@cambiarerestareuguale ha chiesto:
Ciao caro Kon,
Qualche tempo fa ti chiesi informazioni riguardo il buco che si era aperto, dopo la rimozione dei punti, in uno dei tagli che mi erano stati fatti per togliere l'appendice in laparoscopia. Ieri sono andata a ritirare il referto dell'esame istologico e la dottoressa che mi ha spiegato tutte le cose strane scritte lì sopra è stata molto gentile e chiara, ho capito che non è nulla di preoccupante e poco altro, perché il mio cervello, ovviamente, pensava solo T U M O R E 🤦
Mi ha prescritto una visita al Sant'Orsola ancora da calendarizzare, specificando che è una prassi e di stare tranquilla, ma senza dare dettagli ulteriori a riguardo (e io non ho pensato di chiedere).
In che cosa può consistere questa visita? Potrebbero essere necessari controlli periodici? È preoccupante che mi si sia formato un tumore di questo tipo, anche se innocuo, a neanche 30 anni? È raro o piuttosto comune trovare questi tumori nell'appendice?
So che potrei cercare alcune risposte su Google, ma so che finirei in un loop infinito di letture preoccupanti.
Grazie mille di nuovo, un abbraccio grande a tutti voi ❤️
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L. sei un tesoro ma ho editato il submit perché si vedevano i tuoi dati e io non potevo nasconderli :)
Comunque, meno male che la tua dottoressa ti ha spiegato l’innocuità di quella neoformazione perché le sigle a un non addetto ai lavori possono sembrare davvero minacciose!
Quel tipo di tumore è piuttosto raro (5 casi annui ogni 100.000 persone e il 70% interessa proprio il tratto gastro-enterico) e colpisce le cellule neuroendocrine presenti in molti organi addominali, la cui funzione è quella di far compiere azioni specifiche all’organo mediante la regolazione degli ormoni da parte dell’ipotalamo (nel caso dell’intestino, motilità e assorbimento).
Come vedi l’Indice Proliferativo Ki67 (una proteina nucleare associata alla proliferazione e quindi utile come marker tumorale) è inferiore all’1% il che posiziona il tuo tumore al grado più basso di rischio perché localizzato a un solo organo (l’appendice... che ti è stata tolta!) senza interessamento di tessuti circostanti o metastasi.
La cosa interessante è che la diagnosi di queste forme tumorali sta crescendo progressivamente negli ultimi anni ma per un semplice motivo...
sono migliorate le tecniche diagnostiche e quindi vengono individuate neoplasie che prima uno si sarebbe portato nella tomba da vecchio
Nel tuo caso, se non avessi avuto una brutta appendicite acuta e non fosse stato fatto l’esame istologico di rito, non te ne saresti mai accorta.
Per rispondere alla tua domanda, probabilmente potresti dover fare ogni 6-12 mesi un esame del sangue per monitorare la CGA (cromogranina A) una glicoproteina che funge da marcatore bioumorale specifico per le neoplasie neuroendocrine e magari una TAC addominale, però non conosco i protocolli specifici e quindi dirti se vale il discorso generico ‘controllo ogni 6 mesi per 5 anni, ogni 12 mesi per altri 5 anni e poi sei considerata guarita’.
Sono sicuro, però, che al S.Orsola ti spiegheranno tutto nel dettaglio ❤️🩹❤️🩹❤️🩹
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Chapters: 1/1 Fandom: Cartouche: Prince des faubourgs | Cartouche: Prince of the Streets (Cartoon) Rating: General Audiences Warnings: No Archive Warnings Apply Characters: Nero Falconi, Philippe II duc d'Orléans Summary:
Les duels étant interdits sur ordre du roi, Falconi paie chèrement son affrontement avec le Lorrain. Abandonné dans une étroite cellule du Grand Châtelet, il attend des jours meilleurs qui, semble-t-il, ne viendront pas. Alors que tout semble sans issue, quelqu'un lui tend la main.
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Ça faisait un moment que je voulais écrire un machin qui se passerait un peu après le duel!
#cartouche prince des faubourgs#je pouvais pas laisser passer l'occasion de mentionner les rumeurs d'empoisonnement même si ça colle pas à la timeline#ça m'amusait d'écrire un truc avec ces deux-là!#je sais pas si je suis exactement arrivée à la vibe que je voulais mais ça m'a amusé alors voilà quoi#flashbic writes stuff#shout out à Jean Leloup pour le titre parce que pour cette fois du Pierre Lapointe ça collait pas du tout
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Lo sapevi che tenere un diario, o scrivere giornalmente comporta dei benefici?
Le evidenze scientifiche affermano che tenere un diario aumenta il numero di particolari cellule immunitarie, chiamate Linfociti T, ed inoltre riduce i sintomi dell'asma e dell'artrite reumatoide.
Lo sapevi che scrivere permette al tuo emisfero cerebrale destro di attivarsi? Se non lo sapevi, l'emisfero destro è quello creativo, sensibile, intuitivo.
Scrivere aiuta a capire meglio te stesso, a comprendere l'intensità dei sentimenti che stai provando, utilizzando il tuo emisfero destro, inoltre, riesci a risolvere in modo più efficace le situazioni, oltre che a capire diversi punti di vista quando hai delle discussioni con qualcuno.
Io ho scoperto ufficialmente tutti questi, e molti altri, benefici da poco. Non ho mai tenuto un diario perché ho sempre creduto che fosse una perdita di tempo, che non mi sarebbe mai interessato rileggere i miei pensieri e i miei eventi.
Eppure mi rendo di come io in realtà abbia sempre utilizzato tumblr con questo scopo. Postare un immagine o scrivere, anche poco, anche in modo sporadico, soprattutto nei periodi negativi, per me è sempre stato catartico.
Mi rendo conto solo ora che io ho sempre avuto un diario segreto, che mi ha sempre aiutato ad alleggerire la mia mente quando i pensieri o il dolore erano troppo invadenti e persistenti. Grazie Tumblr, ti sono sempre stata grata, ma ora più del solito.
#journaling#journal#benefits#writing#write#feeling#feelings#be yourself#treat yourself#take care of myself#take care of your body#caro diario#il mio diario#benefici#te stessa#te stesso#me stessa#me stesso#salvatemi#tumblr#writers on tumblr#prendersi cura#curarsi#grazie#grazie per tutto#thankful
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