#ca reste une bonne journée !
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5h45 et ça fait 1h que je suis réveillée pcq Nougat s'est réveillé dans la pièce d'à côté, il en a marre d'être seul. Alors pour lui c'est suffisant de dire "chuuuttt nougat encore dodo" mais ça réveille les deux autres qui voient ça comme un "go la journée peut commencer", qui commencent à courir partout, se battre etc. et moi je ne sais pas me rendormir bien sûr. Et c'est comme ça que toutes les journées commencent depuis qu'il fait clair un peu plus tôt, j'en suis à espérer la fin de la saison.
Lundi il y a eu le briefing pour la semaine de stage de cirque en camping. Je me disais "une semaine sans chat whouhou" bah on se lève à 6h, un peu plus tôt si on veut une douche tranquille, et le feed back de la journée est à 23h. Alors moi je ne vais pas faire de cirque cette semaine là, j'y vais dans l'équipe d'intendance, qui est en fait l'équipe de profs dans l'école de cirque où je jongle. On va faire les courses et les repas pour les 130 jeunes et animateurs du camp. Ça va être une semaine de dingue et c'est assez bien payé. L'ado participe au stage chez les jongleurs mais on ne se croisera pas beaucoup en journée, et les nuits, il a une tente avec ses potes.
Les examens continuent, il en reste trois. Pour l'instant ça va mais on sent la fatigue et les erreurs d'inattention qui arrivent. Je continue de trouver cette période de l'année totalement inutile. Les remplir comme des seaux et les faire vomir le tout en fin d'année au lieu de fonctionner avec des bilans. Mon amie, qui est prof en supérieur, trouve que c'est important de pouvoir ingurgiter des grosses quantités comme ça. Ça les prépare aux études supérieures. Je trouve qu'il n'y a pas de rapport entre faire son boulot convenablement dans sa vie professionnelle et utiliser sa mémoire de manière aussi intensive et endurante, jusqu'à la nausée. Les études supérieures aussi pourraient segmenter la matière et leur éviter cette période de stress. Elle a utilisé comme argument "si je devais me faire opérer, j'aimerais que le chirurgien soit assez endurant au cas où" et je n'ai quand même pas vu le rapport avec la gestion d'une session d'examens du coup je trouve cet argument complètement claqué.
Il y a une psy de l'un des centres pluridisciplinaires où je bosse qui est partie récemment, il y a aussi l'animateur des ateliers BD et là c'est une logopède qui quitte bientôt l'équipe. A chaque fois c'est parce qu'iels ont trouvé une place comme salarié.e.s. Ce centre était déjà en questionnement, par rapport au fait que beaucoup d'indépendants partent (ça coûte très cher d'être indépendant en Belgique) et donc il n'y a pas suffisamment de loyers qui rentrent pour les bureaux et ça se pourrait que le centre ferme bientôt. Pour moi ça ne représente qu'une petite aprèm mais l'amie qui a ouvert ce centre et qui y met énormément d'énergie depuis des années est dévastée. On est en juin, les nouveaux professionnels sont diplômés et vont chercher une patientèle, j'essaie de la rassurer comme je peux mais on verra. Ce soir on a une réunion-barbec justement avec toute cette équipe, l'ambiance va être bizarre.
Je suis moi aussi dans une remise en question, une impression de ne pas être bonne dans mon job en ce moment. Les examens de l'ado me stressent et me font faire le taxi et j'ai l'impression que mon cerveau est totalement absorbé par ça , je n'ai pas de longue période "pour moi" dans la journée du coup mes factures ne sont pas envoyées, mes bilans ne sont pas faits, je n'ai pas harcelé les médecins pour avoir mes prescriptions signées. J'ai été absente 3 semaines en mai, j'ai l'impression d'avoir abandonné mes patients à un moment où ils avaient besoin de moi. Et il y a ce petit bonhomme dont le bégaiement revient alors que d'autres choses se règlent.
Et mon alarme sonne dans 2 minutes.
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Aujourd'hui, on va parler de plagiat.
Au sens d’une définition pure, voici ce que le dictionnaire dit au sujet du plagiat.
Plagiat : acte de quelqu'un qui, dans le domaine artistique ou littéraire, donne pour sien ce qu'il a pris à l'œuvre d'un autre. Action de plagier, de copier l'œuvre de quelqu'un d'autre en la faisant passer pour sienne.
C’est quelque chose de malheureusement très répandu maintenant, il existe beaucoup de gens qui, sur les forums, se permettent de ne pas créditer les créations de ceux dont ils empruntent le travail pour la construction de leur forum, personnage, partenariat, etc. Cela vaut aussi bien pour le code que pour le graphisme car si les forums sont légions, les plagiats le sont tout autant.
Bien souvent, l’on oublie que derrière l’écran, il y a des gens qui donnent de leur temps personnel entre deux heures de travail ou à la fin d’une longue journée pour créer du contenu gratuit qui ne demande pas la moindre compensation pour être librement utilisé. Ces codes et ces graphismes-là sont en circulation depuis des années, qu’ils viennent de forums d’entraide qui réunissent tous ces créateurices, de Tumblr ou même de forums de libre-service qui en ont fait leur tête de proue. Il est également important de rappeler que si ces créations sont faites avec passion; que ça soit pour le code, le graphisme ou simplement l’envie de créer en général, ça ne rend pas moins légitime le vol de contenu. Au contraire, l’on prendra bien plus à cœur une création volée dont on y aura insufflé une certaine passion et un certain nombre d’heures.
Pourquoi plagier, c’est mal ?
Il y a, à mon sens, plusieurs façons de plagier et elles sont à différencier bien que menant à la même constatation.
Il y a tout d’abord ceux qui ne créditent tout simplement pas le travail emprunté, laissant ainsi penser que le travail est le leur. Le sujet de crédit n’existe pas, il n’y aucune mention de crédit ou que ce soit, qu’il n’ait pas été rajouté ou simplement retiré. C’est de l’appropriation pure et simple, c’est faire passer les créations volées comme siennes; alors que ça n’est pas le cas. Afficher un code après un simple copier/coller; afficher fièrement un avatar après un simple copier/coller ne fait pas de ces personnes-là les créateurices du contenu. Ça fait simplement d’eux des voleurs de contenu, des plagieurs.
Il y a également ceux qui créditent mais en leur propre nom, comme s’ils étaient les créateurs des codes empruntés. Ce sont des personnes qui se créditent en tant que créateurices pour avoir modifié quelques couleurs ou quelques tailles de texte; ce sont ces fameux “code modifié par : [PSEUDO]” sans aucune mention des créateurices de ce contenu. Ce sont des forums que l’on remarque tout de suite; car c’est quelque chose de tellement récurrent que c’est identifiable au premier coup d'œil.
Il y a ceux qui se permettent de réécrire un code tout entier, visuellement à l’identique, pour les en faire siens. C'est-à-dire qu’ils trouvent un code à leur goût, le reproduisent parfaitement ligne par ligne en changeant les balises et quelques couleurs pour ensuite s’auto-créditer. Il y a également ceux qui changent du tout au tout un code tout en gardant la structure de base identique ainsi que des éléments parfaitement identifiables par le ou la créatrice du contenu. Il en va de même tant pour les codes que les graphismes; un avatar reproduit à l’identique en changeant quelques placements ou couleurs ne rend pas caduc le plagiat pour autant.
Il y a, pour finir et c’est un avis personnel qui peut ou ne pas être populaire; ceux qui prennent un code en libre service, en changent toutes les balises tout en créditant la bonne personne. En soi, ça n’est pas si grave; le code est tout de même crédité me direz-vous, et puis quel mal cela peut faire de changer quelques balises que l’on ne remarquera qu’en y regardant de plus près ? Cela reste de l’appropriation de travail. Les IA sont basées sur ce principe, à voler du contenu déjà existant pour les réutiliser sous leur pâte. Si l’on reconnaît la base du travail volé, ça n’en reste pas moins un vol pour autant. Ce fait peut néanmoins porter à débat; si le crédit ou l’inspiration est clairement établi en soi, c’est bien moins grave -voire presque pas- par rapport à un code qui a tout simplement été volé.
Car oui, les plagieurs sont partout et c’est ce qui peut faire peur à toute personne voulant créer du contenu dans le domaine du code et du graphisme. Par exemple, certains forums très connus d’entraide ont au sein de leur staff des plagieurs avérés qui pourtant, restent impuni.es. Et pourquoi cela ? Parce que Forumactif est une plateforme qui se targue de posséder un pôle judiciaire alors qu’il ne s’agit en réalité que de la possibilité d’envoyer un message au fondateur/à la fondatrice de la plateforme concernée (notons ici qu’il s’agit d’une médiation à sens unique et non de régler un litige). Ainsi, les plagieurs se permettent de continuer leur œuvre; malgré que leurs pseudos soient connus, malgré que les codeurs s’échangent les personnes à ne pas croiser; malgré les bannissements intempestifs de ces personnes-là.
Mais surtout, le plagiat porte préjudice non seulement à des créateurs de contenus déjà bien installés dans le domaine des forums mais peut aussi effrayer les futurs créateurices qui pourraient ne pas vouloir se lancer par peur de ce qui pourrait être fait de leurs créations.
Le plagiat est sanctionnable au niveau de la loi seulement, les codes étant postés sur Forumactif, la responsabilité leur revient quant aux litiges qui peuvent arriver autour de cela. Ce n’est que très rarement voire jamais que l’on obtient juste cause, ce qui laisse malheureusement le soin à chaque communauté de rejeter ou non les personnes responsables -à raison et avec preuves- d’un plagiat.
Pour conclure, je dirais simplement ceci : ne plagiez pas. La plupart des codeurs sont des personnes parfaitement ouvertes à la discussion quant à une modification de leur code et s’ils ou elles le refusent, alors il faut simplement respecter le travail d’autrui. Venir demander un code exclusif qui n’est rien d’autre qu’un screen venant d’un autre forum (oui ça m'est arrivé), d’une commande réalisée ou d’un libre-service; ce sont des choses inacceptables; parce que oui, les codeurs.euses le verront quoi qu’il arrive.
C’est peut-être une façon trop rose de voir des choses, un peu trop utopistes, mais j’ai pour ma part décidé d’afficher publiquement les forums qui ne créditent pas mes codes. Force est de constater qu’en trois ans, les mentions ont largement diminué.
• Non, ça n’est pas au créateur d’aller directement demander d’être crédité, ça devrait être quelque chose de normal. Comprenez que personne sur cette planète n’a le temps de traquer tous les forums existants et d’aller mettre un petit mot en invité (lorsque c’est possible) pour demander ne serait-ce qu’une petite phrase qui prend quelques secondes à écrire dans le sujet de vos crédits. Quand le dit-sujet existe.
Non, les codeurs n’acceptent pas l’excuse de “c’est un oublie” quand un crédit n’est pas mis. Si le crédit n’est pas mis, c’est parfaitement volontaire et nous le savons. C’est une excuse que nous avons entendue des milliers de fois; c’est une excuse à laquelle nous ne croyons plus.
Non, un code que vous avez modifié ne vous appartient pas pour autant et cela ne vous donne pas le droit de vous désigner comme la personne qui l’a créé. Vous prétendre créateurice d’un contenu modifié donne simplement l’impression que vous espérez ne pas vous faire attraper et vous catalogue immédiatement comme plagieur.
Oui, il faut créditer ne serait-ce qu’un membre qui vous code une signature, qui vous graph’ un avatar; qui créé quoi que ce soit pour vous et uniquement pour vous. Que le code ait été fait la journée même ou dans l’année. Une fiche créée rien que pour vous doit garder son crédit quoi qu’il arrive. Une fiche modifiée sans consentement par un membre qui la clame pour la sienne ne vous donne pas le droit de réutiliser ce plagiat.
Oui, un.e codeur.euse est en droit de ne pas vouloir qu’une personne utilise ou non ses codes. Veillez à respecter cette décision, il y a sans doute une bonne raison à cela. Refuser de retirer un code que vous n’avez plus le droit d’utiliser ou X ou Y raison fait de vous des plagieurs.
Et enfin, oui, vous devez demander au codeur/à la codeuse si vous souhaitez réutiliser un contenu exclusif ailleurs s’il a été créé pour une plateforme. Le faire sans le consentement express du créateur ou de la créatrice, c’est tout simplement de l’appropriation de contenu. Surtout quand les fiches ne sont pas créditées puisque créés pour une plateforme en particulier de laquelle elles n’auraient jamais dû sortir.
Non, l’excuse de “ça va, c’est ton travail tu le reconnais pas besoin de le créditer” ne passe pas.
Et tout ceci fonctionne bien évidemment pour le graphisme. Il est beaucoup plus difficile d’aller vérifier que des avatars sont bien crédités, surtout sur des gros forums, mais ce sont des “oublis” encore trop répandus dans la communauté des forums RPG.
#forumactif#forumrpg#forum rpg#plagiat#svp arrêtez de plagier#c'est un truc contre lequel j'me bat depuis trop longtemps#soyez sympas avec ce texte aussi svp#thanks for coming to my ted talk#oui y'a des balles perdues dedans c'est volontaire#p't'être qu'un jour on me rendra des codes retenus en otage
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Aujourd’hui, jeudi 11/07/24, Journée mondiale de la population 👥 À un an du 30e anniversaire du massacre, première « Journée internationale de réflexion et de commémoration du génocide commis à Srebrenica en 1995 » ce 11 juillet 2024 🙏
Dans le cadre des Jeudis d’été du Rucher (du 11/07 au 29/08/24), invitation de l'équipe du Rucher des Forges à rencontrer et découvrir le monde des pollinisateurs, des abeilles et de la biodiversité : ce jeudi 11 juillet au jardin du Manoir de Novel de 10h à 13h 🐝
Pour les amateurs et amatrices de parquet, bal et soirée dansante en accès libre, annulé en cas de mauvais temps ➡️ Ce jeudi 11/07/24 de 18h à 22h à l’espace guinguette des Jardins de l'Europe : tango argentin avec Tango Velours 💃
Dans le cadre du festival Ah ! La belle saison qui a lieu jusqu’au jeudi 25/07/24 : H.Y.L. (Rap Groove) de 19h30 à 20h30 puis Balaphonics & Mary May (Afro brass band) de 20h45 à 22h15 ce jeudi 11 juillet au square Jean Chamey (3 avenue du Stade) 🎶
L’opération Vital’été a repris du service dans la cité lacustre le lundi 8 juillet (jusqu’au samedi 24/08/24) : aujourd’hui (jeudi 11 juillet), natation, Taiji Quan et “Savoir rouler à vélo en sécurité” 👌 Activités gratuites et ouvertes aux adultes, profitez-en 🤩
Qualité de l’air dans la cité lacustre : sur la partie Est du territoire, la formation d’ozone sera plus active avec des conditions plus favorables 🌡 Les indices ATMO pourraient être dégradés à mauvais 💨
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen, au niveau 2 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 6 au vendredi 12/07/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : n'étendez pas votre linge à l'extérieur car les pollens se déposent sur le linge humide 😷
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « À la saint Benoît, le coucou chante dans les bons endroits ou il est mort de froid. » 🐦 « À la saint Benoît, le vent reste six semaines où il se trouve ce jour-là. » 🌬️
Et trois autres dictons du jour pour la route : « S'il pleut le jour de saint Benoît, il pleut trente-sept jours plus trois. » 🌧 « Rosée du jour de saint Benoît est rosée de vin si tu m'en crois. » 🍷 « Saint Benoît arrivé, c’est du blé dans les greniers. » 🌾
Bon quatrième jour de la semaine à tous et à toutes 💐
Bonne fête aux Benoît (sauf, en ce qui me concerne, à un Benoît en particulier qui habitait Annecy à l’origine mais qui a déménagé à Aix-les-Bains et qui est un véritable enfoiré) et demain aux Olivier 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le mardi 09/07/24 📸
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
J’espère que tu ne m’en voudras pas d’être un peu méditative aujourd’hui. Il ne reste plus personne à Blackthorn Hall à part Julian et moi, et une sorte de paisible silence règne sur la maison. Jules est à l’étage dans son studio et je suis assise sur le lit, en train d’écrire et de repenser à ces derniers mois.
Quelque chose prend fin, Bruce. Il se passe encore beaucoup de choses qui ne sont pas résolues, bien sûr : Kit qui est menacé par le Royaume des Fées, et ce qu’il peut bien se passer avec la Cohorte à Idris. Alec a établi un contact restreint avec eux, mais qui sait comment ça va évoluer. Néanmoins, au milieu de tout ça, quelque chose prend fin pour Julian et moi, et je ne sais pas ce qui va suivre.
(Ah, donc on fait dans le dramatique, Emma ? J’ai une petite idée. Lis la suite.)
Peut-être que c’est simplement parce que les entrepreneurs sont partis alors que je m’étais habituée à les entendre s’affairer toute la journée. Round Tom nous a fait un discours d’adieu lyrique qui (a) a duré cinq bonnes minutes, ce qui est très long pour que quelqu’un dise au revoir, et (b) était à la fois très aimable et incluait la phrase : « La passion et l’aventure vous accompagnent toujours, et je ne suis qu’un modeste constructeur d’habitations, j’espère donc ne jamais revoir aucun d’entre vous de toute ma vie. »
Ça a contrarié Julian. Je lui ai fait remarquer que les elfes ne pouvaient pas mentir, et il m’a fait remarquer que Round Tom n’avait pas du tout besoin de mentionner ça. Très juste. Julian a ajouté que ce n’était pas comme si le travail habituel de Tom pour les membres des Cours était dénué de rebondissements. Un autre bon point pour Jules. Les elfes sont les Créatures Obscures les plus mélodramatiques. En tout cas, plus dramatiques que les vampires, et ils passent leur temps à dire « oh je suis un mort-vivant, oh je suis maudit, que je mette plus d’eyeliner ».
Enfin bref, nous ne cherchions à devenir des amis proches de Round Tom. Il a fait du bon travail, et il s’est montré poli concernant la joie qu’il avait de quitter cette maison.
Une fois que lui et ses ouvriers étaient tous partis, nous nous sommes baladés un peu dans les jardins, mais Julian avait l’impression que chaque détail de la maison et du terrain était gravé dans son cerveau. Nous avons quitté la maison un moment pour aller le long du fleuve.
Il y a un petit parc en face de Chiswick de l’autre côté de la Tamise : c’est un réservoir naturel qui s’appelle le Leg O’ Mutton Reservoir, entouré d’une jolie promenade. (D’ailleurs, n’est-ce pas le nom le plus anglais que tu aies jamais entendu ? Pourquoi y a-t-il tant de trucs aussi charmants dans Londres ?) C’est un peu pénible parce que nous devons marcher plus d’un kilomètre et demi jusqu’au Barnes Bridge juste pour aller sur l’autre rive, mais c’était une agréable chaude soirée et c’était sympa de marcher, Julian et moi nous baladant tranquillement, l’une des choses que je préfère.
Julian avait préparé des sandwiches au poulet, et nous avions aussi emmené de la limonade. (Bruce, il se peut que j’aie développé une dangereuse addiction à la limonade britannique. Je suis certaine que c’est possible d’en trouver à Los Angeles, non ? C’est possible ?!) Nous nous sommes assis sur une petite couverture à côté du réservoir et avons regardé les cormorans qui pêchaient.
J’étais sereine, paisible, alors bien évidemment c’était le moment idéal pour tout gâcher en abordant un sujet désagréable. J’étais trop détendue pour me souvenir de m’en inquiéter.
- C’est tellement beau ici, ai-je commencé. Mais…
Julian s’est tourné vers moi, pas soucieux, simplement curieux, alors j’ai continué :
- Je ne suis pas sûre de vouloir vivre à plein temps à Londres. Je sais que nous venons de passer du temps, de faire des efforts et de dépenser de l’argent pour rénover le manoir de ta famille et tout ça.
J’ai cru que Julian allait être en colère, ou triste, alors je ne m’attendais pas vraiment à sa véritable réaction, que je décrirais comme un air « dérouté ».
- Je n’ai jamais pensé que nous vivrions ici à plein temps, a-t-il admis, comme si cette idée ne lui était jamais passée par la tête. J’ai supposé que nous partagerions notre temps entre LA et ici. Mais seulement si c’était ce que tu voulais.
Je ne sais pas pourquoi il a dit cette dernière phrase, mais il voyait certainement que je n’étais plus inquiète mais plutôt sur le point de l’embrasser.
- C’est-à-dire, moitié-moitié ?
- Peu importe, ce qui nous conviendra, a-t-il répondu avec un haussement d’épaules. Los Angeles quand il fait froid et qu’il pleut ici, Londres quand le soleil est brulant là-bas.
Et je l’ai embrassé à ce moment-là, alors je vais faire une ellipse sur les cinq minutes qui ont suivi, qui ne t’intéressent sûrement pas, Bruce. Il y a eu beaucoup de baisers au gout de limonade puis Jules m’a embrassé l’oreille (ce qui crée à chaque fois un feu d’artifice le long de ma colonne vertébrale) en disant :
- Chez moi, c’est là où tu es, tu le sais, ça ?
- Bien sûr.
C’était mignon et romantique de sa part de dire ça, mais il avait l’air plus sérieux.
- Non, je veux dire… a-t-il lâché en secouant la tête. Ce n’est pas comme si nous allions partager notre temps entre ma maison ici à Londres et ta maison là-bas à Los Angeles. J’ai aussi une maison à Los Angeles. Et tu as une maison ici. Blackthorn Hall appartient à ma famille et toi, Emma, tu es ma famille. Et nous serons toujours ensemble, a-t-il ajouté avec un regard intense. Sauf si ce n’est pas ce que tu souhaites. Tu es la seule personne pour qui j’aie jamais eu des sentiments, Emma. Et je veux que ça soit vrai pour le reste de ma vie.
Je n’ai pas eu à prendre le temps de réfléchir à ce que j’allais dire.
- Moi aussi.
J’avais déjà pensé à ce que ça signifierait pour nous de nous fiancer, mais j’ai l’impression que c’est trop tôt. Ce genre d’engagements, ces promesses, me semblent justes.
Il a souri et expiré, comme s’il avait été un peu nerveux. Puis il s’est levé et m’a tendu la main pour m’aider à me relever.
- Rentrons à la maison. J’ai quelque chose à te montrer, a-t-il annoncé.
- Je n’en doute pas.
D’habitude, quand je dis quelque chose comme ça, sur ce ton-là, ça nous mène à cinq autres minutes que je ne vais pas détailler ici. Mais tu sais, c’est Julian, il était obnubilé par cette idée, et nous sommes rentrés à la maison un peu plus vite qu’à l’aller.
Une fois arrivés, il est tout de suite monté dans la salle de bal. Je savais ce qu’il tramait, bien sûr : son projet secret sur lequel il travaillait depuis que nous sommes ici. Je l’avais un peu oublié, entre le fantôme, la malédiction et tout le reste, et je ne m’étais pas rendu compte qu’il avait continué pendant tout ce temps. Certainement tôt le matin avant que quiconque (ou le soleil) ne soit levé.
Il avait accroché un grand rideau devant, le blaireau, et j’allais me moquer de lui quand il l’a décroché, et j’ai vu la fresque en entier. Ça recouvre l’intégralité du mur et c’est magnifique. Toute la famille est là, tous les Blackthorn. Chacun est…
Non, ce n’est pas exact.
Parce que je suis aussi dans la fresque. Je suis juste là avec le reste de la famille, entourée. Chacun d’entre nous est au milieu de fleurs. Des fleurs blanches pour tous ceux qui ont disparu. Même Rupert est là, et les parents de Julian, dans un cercle de pétales blancs. Et Livvy tout en haut, enveloppée dans des ailes blanches.
Et des fleurs rouges pour ceux qui sont toujours là. Helen et Aline, Mark, Ty, Dru et Tavvy…
Je me suis mise à pleurer presque instantanément, tu vois, ces pleurs de joies, d’amour et d’émerveillement quand on est submergé par l’émotion.
- Ça te plait ? a demandé Julian.
Oui, ça me plait. C’est tellement beau et parfait pour ce moment, où des choses prennent fin et de nouvelles choses vont commencer. Et ça fait de cette maison Blackthorn Hall à juste titre… la maison des Blackthorn que je connais, que j’aime, pas les gens bizarres du siècle dernier qui étaient responsables de ce qui est arrivé. Ça me donne l’impression qu’une immense roue a tourné et que nous sommes à la fois au début et à la fin de quelque chose de nouveau et d’exaltant. Pour la première fois depuis que je suis arrivée ici, je suis allée m’assoir dans la chambre pour t���écrire et je me suis dit « Je suis dans notre chambre dans notre maison » et j’en suis contente.
Bonne nuit, Bruce. Je vais te poser sur une étagère quand j’aurai fini, celle de mon côté du lit. Félicitations : maintenant tu fais aussi partie de Blackthorn Hall.
Emma.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration d’Audrey Estok ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/697740081442832384/emma-to-bruce
#secrets of blackthorn hall#cassandra clare#sobh#emma carstairs#julian blackthorn#the shadowhuter chronicles#tsc#emma and julian#the blackthorn family#blackthorn hall#bruce
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Trente balais, ça se fête, non ?
La première année où je fais quelque chose pour moi, sans demander mon reste. Sans me poser de questions. C'est peut être con, vu comme ça, mais c'est libérateur de faire des choses seule, sans avoir besoin de qui que ce soit autour de soi. J'aime mes proches plus que tout, mais je n'ai pas besoin d'eux pour sortir désormais. Je me libère peu a peu de ma dépendance affective, de ma peur de ne pas être assez bien. À trente ans, je prends davantage confiance en moi et je suis apaisée d'aimer et d'être aimée. Oui, apaisée. Ce ne sont plus des montagnes russes qui m'accompagnent, tout au long de la journée, mais une paix intérieure qui me permet de vivre sereinement chaque instant seule ou accompagnée. Cela m'a fait peur, quand je m'en suis réellement aperçue, de cette "victoire". Je suis de nature, de base, à ressentir tellement de choses à la fois, de façon démesurée que ce soit le bon comme le mauvais. Cela m'épuisait et j'en avais marre. Mais désormais, c'est de moins en moins le cas. C'est beaucoup pour moi. Je savoure davantage. La thérapeute m'a dit que j'allais être bouleversée encore par cette prise de conscience. C'est vrai. Mais surtout... Je suis fière de moi. Certes, j'y arrive a trente ans. Je vis réellement depuis six, sept ans et j'ai commencé ma thérapie il y a deux ans et demi. Et en deux ans et demi, je suis à a des années lumières de ce que j'étais il y a six, sept ans. Alors rien que ça, et pour une fois, je suis contente de prendre un an de plus. Je passe un cap qui me rend fière.
Mon amour a fait ce qu'il fallait pour que je n'oublie pas ma journee. Rien qu'avoir le petit déjeuner de fait, une bonne journée avec lui, le repas de préparé, c'était déjà très bien. Il a pris sa journée pour moi, et j'étais contente. Un réel amour, même s'il pense le contraire. Il ne se voit pas. Finalement, on est bien fait pour être ensemble. L'un et l'autre, on ne se voit pas tel que nous sommes, mais nous voyons l'autre comme il devrait se voir. On se complète si bien. ❤️
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Quand je fais un 8h-16h, j'aime bien aller chercher Chéri Chéri au travail à vélo. Étant donné qu'il finit vers 18h, je reste un peu au travail car c'était une bonne journée et on rigolait bien avec les collègues. Quand il est 17h30, je file et je m'arrête en bas du taff de C.C. qui se trouve sur une place et un mec complètement bourré m'accoste. Je fais mine de ne pas comprendre qu'il s'adressait à moi mais le bougre ne se démonte pas et il rapplique devant moi en me disant "Ouais t'es magnifique, et non non je ne suis pas gentil c'est la vérité !" et il commence à me parler de dictat de la minceur, que nous sommes que de passage sur terre, de croire en dieu : "eh tu crois ? Dis-moi que tu crois sinon tu me vexes." ... Pardon ? Il me demande si on peut se faire la bise ?! NON ! ET IL M'EMBRASSE SUR LA MAIN ! J'étais trop gênée et prise au dépourvu pour réagir de façon adéquate ... après bon, un individu imbibé, il fallait mieux se méfier et ne pas le provoquer. Je lui fais comprendre que j'attends Chéri Chéri pensant que ça allait le faire partir : "Aaah bah je veux le rencontrer ce chanceux !" ... HEUREUSEMENT, il était 18h, C.C. sort. Le gars se croit mon pote "allait, à la prochaine ! Ah bah attends je vais dire bonjour à ton mari !". Il s'avance vers lui et lui tend la main que C.C. sert. D'habitude, il partirait au quart de tour mais il était tranquille jusqu'à la deuxième partie du trajet.
Je suis en vélo, je prends de l'avance car la piste cyclable laisse place à la route et pour attendre C.C., je m'arrête sur un trottoir et me cale contre un muret pour ne gêner personne et surtout pour ... me mettre en sécurité ? Et un autre gars qui m'ordonne de me mettre sur la route parce que les trottoirs sont exclusivement pour les piétons ... alors, oui mais je suis à l'arrêt et je ne suis pas en plein milieu du trottoir :'D Il y a énormément de passage sur cette route, et 1) j'ai pas envie de gêner les voitures, 2) je me suis mise dans un coin pour laisser les gens passer et 3) c'est mon droit de me protéger ! Et après que C.C. l'ait alpagué pour me défendre (parce qu'encore une fois, je n'ai pas pu réagir tellement j'étais sur le cul), on continue notre route et on s'aperçoit qu'il nous suivait ! Il a vu qu'on l'avait cramé et il s'est planqué. On a vite bifurqué au cas où. Un truc de zinzin.
Ça faisait beaucoup en une soirée.
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Pour notre dernière journée sur l'île de Chiloé, nous commençons par une activité attendue depuis des semaines par un Dr Rathatton surexcité : les pinguinoooooos !
Sur le site Punihuil, deux espèces différentes : le Humboldt et le Magellan, qui se différencient par ... une bande de couleur noire. Bon, oui, ils ont l'oeil nos guides.
Après être montés sur une charette version taxi VIP 5* et s'être faits pousser à l'eau pour monter sur le bateau sans se mouiller les pieds, c'est parti pour les petits îlots à quelques centaines de mètres de la plage.
On détecte presque immédiatement une petite colonie de pingouins qui observent l'océan du haut de leurs 65cm. En cette période, un des deux parents reste au nid pour couver les oeufs, qui mettent tout de même 45j à éclore, pendant que l'autre part manger 3kg de poisson, soit... la moitié de son poids. Vorace la bestiole.
Alors que nous observons la colonie se coller délicatement au bord d'un rocher, et s'en faire arracher violemment par une grosse vague (*pouf* magie, plus de pingouin), un de leurs collègues décide de désescalader une paroi en patounant de ses pattes palmées. Sacrément efficace pour la taille de la bestiole !
On suit nos chers pingouinos dans les vagues, les regardant sauter tels des dauphins en montant jusqu'à 8km/h, et on fait le tour de l'île. De l'autre côté, une autre bande de palmidés regarde avec circonspection la mer, ne semblant pas très motivés à se mouiller. Notre guide crie alors "Phoqua !", et nous vouons en effet une jolie tête grise en train de se régaler de poissons à quelques mètres de la falaise. On nous explique alors qu'ils ne sont pas exactement meilleurs amis avec les pingouins, puisqu'ils s'en font volontiers un petit snack.
En faisant le tour des îlots, on découvre une belle variété d'oiseaux : des cormorans impériaux ou aux pattes rouges, des genres d'oies, des canards à la vapeur ("ben oui, ils ne peuvent pas voler !" Vous ne comprenez pas le lien ? Nous non plus en fait, vos hypothèses sont les bienvenues), des goélands, ca pioupioute sec, un phoque se prélasse sur des rochers, à peine gêné par les beuglements de notre guide qui essaye d'attirer son attention à coup d'imitations digne d'un Dr Rathatton faisant le mouton, que du bonheur.
Le tour n'est pas très long, mais on a vu plein de pingouins, et on était VIP, seulement tous les 3 dans le bateau !
Nous partons ensuite pour la petite ville de Ancud, où nous visitons un musée très intéressant sur l'architecture des églises locales, avec présentation des techniques d'encastrement de poutre, très sympa. Le midi, c'est resto traditionnel à base de fruits de mer (et de viande salée et saucisse en bonus pour Touille, ils sont généreux dans les portions !!), on se régale, puis il est temps de faire nos adieux à Chiloé et de retourner sur le continent.
Une douche bien chaude et les cheveux propres plus tard, nous finissons la journée les fesses dans le sable volcanique, une magnifique vue sur lesdits volcans et le lac géant en premier plan ! Dr Rathatton se fait même des amis poilus quand elle leur donne la fin de sa purée au thon particulièrement pas bonne. "Immonde ? Non destiné à la consommation humaine ?" seront ses mots lorsque je lui demanderai un descriptif de ce thon suspect.
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Je vois...
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 11 août
Thème : Voyance/la vie d’un pigeon
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Ne croyez pas ce que vous disent les films. Une bonne voyante ne commence jamais par « je vois ». D’abord, il faut qu’elle prenne du temps pour connaître son client, ses souhaits, ses résistances. Du temps pour qu’elle se connecte réellement à lui. Puis à son avenir. Alors seulement, si tout se passe bien, elle voit.
Celle-ci n’est clairement pas une très bonne voyante.
« Je vois… je vois…
Ce qu’elle voit, plongée sur sa boule de cristal, c’était sans aucun doute la vie d’un pigeon. Je n’ai jamais nié l’être. Je paye beaucoup pour quelques mots de réconfort. Un peu d’espoir. Et si le message n’est pas assez positif, je change de crèmerie.
Mais est-ce qu’on peut vraiment s’auto-catégoriser pigeon ? Si on sait pourquoi on paye, on n’est pas déçu, non ? Et ça reste moins cher que le téléphone rose. Enfin je crois.
— Je vois… de l’eau.
— De l’eau ? Une île ? Je vais partir en vacance sur une île ?
L’idée me plait bien. Peut-être qu’après tout, j’avais mal jugé la dame. Elle n’a pas assuré en matière de spectacle, mais si on part directement sur les fantasmes de tropiques, ça me va.
Elle a vite douché mon enthousiasme.
— De l’eau stagnante. De la vieille eau. Dans un lieu humide.
Beurk. Ce n’est pas avec ce genre d’avenir qu’elle peut compter me garder comme client. Je tente quand même de la remettre sur les rails.
— Un lieu humide, comme une grotte ? C’est une visite ? Un bel endroit à découvrir ?
— Je vois la mort. Une scie. Une cave.
Ah. Ça, ce n’était pas prévu.
— Je vois une femme terrifiée. Un meurtre. Une valise.
Tsss. Une bonne voyante devrait être capable de prévoir les conséquences de ses visions – et à quel moment elle devrait fermer sa gueule. Je cherche du regard un objet contondant à portée de la main. Tant qu’elle concentrée sur la boule, son crâne est sans défense.
— Je vois du sang. Tellement de sang. Des vêtements brûlés.
Ça va, ça va, pas la peine de me faire un dessin, j’étais là, je m’en souviens très bien. Vieille saloperie. J’avais demandé mon avenir, pas mon passé !
Et puis merde. En terme d’objet contondant, j’ai tout ce qu’il me faut sous la main après tout, et j’attrape la boule….
« Mains en l’air ! Bougez plus ! »
Les flics débarquent, envahissant le petit espace du cabinet de voyance, et je me retrouve menotté avant d’avoir eut le temps de dire ouf. Et alors que les policiers essayent de réconforter ma voyante, qui a l’air d’aller très bien, elle me dit avec calme :
« Une bonne voyante commence par prédire sa propre journée. Ça peut aider quand on croise des cas comme le vôtre… Mais ne vous en faites pas : je vous prédis une très longue vie, dans un environnement pas trop ensoleillé, et aux frais de la princesse ! »
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#11 août#voyance#la vie d’un pigeon#on continue le rattrapage du retard !#au début je voulais vraiment qu’il se fasse arnaquer par les voyantes#puis finalement l’idée du psychopathe m’a paru meilleure#pas très original mais j’aime bien#au final il s’auto-qualifie de pigeon parce que comme beaucoup de psychopathe il se trouve trop gentil#french#french writer#écriture
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Hello !
J’avais un peu envie de discuter ✍🏻
En ce moment je suis chez moi ! Dans mon appartement tout douillet avec mes plantes 🪴 et toutes mes affiches que j’ai collé au mur ! Je me sens apaisée et j’ai envie d’y rester ✨
J’essaye de garder l’appartement rangé 🧹 pour pas que le bazar m’encombre l’esprit, que les idées que j’ai y reste clair et ne soit pas noirci par du glitch 🗑️
Je pense que la tâche ménagère que j’aime le moins c’est passer l’aspirateur !
Je sais pas si c’est parce que je me sens frustrée de pas avoir assez de force musculaire au niveau des bras ou parce que j’ai aussi l’impression que l’aspirateur n’aspire pas ! Alors que GYUS c’est ton job enfaite !
Aniway !
En tout j’aime beaucoup mon coin bureau !!
J’ai d’ailleurs pris des petites photos pour vous le montrer hihi
J’adore vraiment et d’un côté *chuchote* « je suis contente que mon deuxième écran se soit cassé » !
Car oui comme mon appartement est un meublé ! J’ai pas eu le choix que de garder le bureau !
Snifff 😢 mon grand bureau blanc que j’affectionne tant ! Mais ainsi est fait la vie, j’ai plus de place comme ça dans l’appart 😎 !
En tout cas j’aime beaucoup le rendu avec la lampe arc-en-ciel 🌈 et le petit rangement en bois que ma Mamounette m’a donné !
J’espère que mon petit coin bureau vous aura donné de l’inspiration !
Sur ce je vais dodo 🦤
Merci de m’avoir lu, je vous souhaite une bonne soirée, une bonne journée et vous dis à très bientôt ! Bisouuus sur votre petit nez rouge à cause du froid !
Papillon Lune 🦋🌙
#racontage de vie#aspirateur gif#pluiiedelune#journal de la Lune it’s me#c’est quoi ta tâche ménagère que t’aime pas#bureau aesthetic ou de Pinterest comme tu veuux#study desk#kiki la petit sorcière
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Inattendu - 1 (Simon Ghost Riley)
Je tiens à préciser que cette fiction s'inspire de l'idée de départ de SigLoverofWords. Il s'agit d'une rencontre entre Simon et un personnage féminin fondée sur un échange de messages.
Le reste de l'histoire est bien évidemment écrit à ma sauce :) !
[0161765 4321] : Demain, 5h tapantes, ne soit pas en retard.
[Moi] : ?
[0161765 4321] : J’déconne pas Johnny, je t’attendrais pas.
Perplexe, je regarde l’écran en fronçant les sourcils. L’expéditeur de ce message s’est sans doute trompé de numéro. En tout cas, il ne semble pas de très bonne humeur.
[0161765 4321] : J’suis pas ton putain de baby-sitter. Si t’es pas là à l’heure j’te laisse rentrer à pied.
Je réalise qu’il s’agit sans doute de quelque chose d’important. Si ce fameux Johnny ne reçoit pas le message, il risque de passer une sale journée. Je décide alors d’appeler ce fameux numéro afin de prévenir l’expéditeur de ce sms.
L’inconnu décroche dès la première sonnerie, ce qui me prend un peu de court.
"Qu’est-ce que tu veux encore ?!" me répond une voix grave teintée d’un fort accent britannique.
"Euh… Excuse-moi… Je ne suis pas la personne que tu essaies de contacter", je balbutie en jouant nerveusement avec mes doigts, "tu as fait un faux numéro."
L’inconnu ne me répond pas mais il respire avec difficulté, ce qui m’interpelle instantanément.
"Je voulais m’assurer que tu n’attendes pas Johnny pour rien demain matin", je continue la voix tremblante.
"C’est gentil à toi", me répond-il en murmurant d’une voix rauque.
Cet homme ne semble pas aller bien.
"Est-ce que tout va bien ?"
L’inconnu ne répond pas mais je l’entends toujours respirer bruyamment.
"Monsieur ?"
"Oui."
"Je m’appelle Maya", je continue d’une voix qui se veut plus posée.
"Maya, je suis désolé de t’avoir dérangé."
"Tu ne me déranges pas !" Je m’empresse de répondre. "Comment tu t’appelles ?"
L’inconnu semble hésiter.
"Simon."
"Enchantée Simon ! Alors comme ça, tu fais le taxi ?" Je lance sur un ton plus léger.
Simon ne me répond pas tout de suite. Sa respiration est toutefois moins saccadée.
"Je dois prendre un de mes collègues devant chez lui pour aller au travail demain matin", m’explique-t-il, "sa voiture est au garage."
"Et ça arrive souvent à ton collègue d’être en retard ?" je demande, curieuse.
"Tout le temps, je passe ma vie à l’attendre", râle-t-il.
Je ne peux m’empêcher de retenir un petit rire : "Il a l’air d’être un sacré personnage."
"Ah ça… "soupire-t-il.
"Je peux te demander ce que vous faites tous les deux comme métier ?"
"Oui, tu peux, mais je ne peux pas te répondre."
Surprise, je hausse les sourcils.
"Pas de problème", je réponds rapidement. "Ça fait très James Bond comme réponse."
Simon lâche un ricanement étouffé et je souris, heureuse de voir qu’il semble aller un peu mieux.
"Et toi Maya ? ça t’arrive souvent de discuter avec des inconnus au beau milieu de la nuit ?"
"Eh bien non-figures-toi ! J’étais en train de travailler sur mon TD au moment où j’ai reçu tes messages. J’ai profité de la distraction pour penser à autre chose qu’à mon commentaire d’arrêt."
"Tu es étudiante ?"
"Yep !"
"Qu’est-ce que tu étudies ?" me demande-t-il avec curiosité.
"Le droit pénal et les sciences criminelles", je réponds en m’étirant sur ma chaise, "pour mettre les méchants en prison."
"Oh je vois, une âme de justicière donc", lâche-t-il sur ce que je comprends être un ton de plaisanterie.
"Venant de James Bond lui-même je prends ça pour un compliment", je rétorque en baillant.
"Il est 3h du matin, tu devrais dormir", souligne-t-il d’une voix plus douce.
"Pas de repos pour les justiciers !" Je lance sur un ton faussement enjoué. "J’ai travaillé toute la soirée pour gagner un peu d’argent alors je me retrouve à me pencher sur mes cours un peu tard, je l’admets."
"Qu’est-ce que tu fais comme boulot ?"
"Je travaille dans une station service."
"Je vois."
"Ouais, c’est moins passionnant que ton travail d’agent secret", dis-je en ricanant.
Un silence confortable s’installe, je baille de nouveau.
"Je suis désolée !" je m’exclame en réalisant, je te tiens éveillé !
"C’est pas un souci", me répond Simon.
"Mais tu dois récupérer Johnny à 5h ! Comment tu vas faire ?"
"Je ne vais pas dormir, je dois me lever dans peu de temps."
"Oh, je suis vraiment désolée", je balbutie.
"Ne t’excuse pas. Je vais devoir te laisser Maya. Repose toi bien."
"Merci Simon, bon courage pour ta journée."
Il raccroche.
Je prends le temps d’enregistrer son numéro et j’éteins la lampe qui se trouve à mon chevet.
#call of duty#simon ghost riley x reader#simon riley#simon riley x reader#john soap mactavish#johnny#fanfiction#français
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14 décembre :
Après ce gros saut vers le Sud, le plan était d'enchaîner avec un bus pour le village de Villa Unión pour que je passe 2 jours dans les parcs nationaux du coin. D'après le Routard il y a des bus dès 06h00 (il est 04h30 quand j'arrive), sauf que le seul indiqué est à 18h45. Après hésitations et agacement je décide de supprimer cette région de mon programme (trop chaud, entrée chère, visite en tour guidé obligatoire, accessibilité très compliqué suite au constat des horaires des bus, très en écart avec ceux annoncés dans le Routard...). Ca sera finalement direction Córdoba. Bus à 14h00, ce qui me laisse le temps de me faire un peu chier dans cette ville sans charme. J'arrive tout de même dans la 2e ville d'Argentine pour 21h00, heure de l'apéro. Je trouve une ville qui me rappel beaucoup Athènes (ou de manière général une métropole mediterrerannéene) par son climat, sa vie nocturne et son urbanisme.
15 décembre :
Journée culture à visiter cette ville des Jésuites dont il reste quelques bâtiments du XVIe siècle. Rien d'éblouissant mais ça fait du bien de retrouver des repères occidentaux... ça me rappel l'Europe et j'ai des coups de nostalgies du quotidien en France, surtout quand je traverse de rue remplies de bars... faut vite que je retrouve la montagne et chasser ces envie de retour.
16 décembre :
Petite excursion à Alta Gracia, à 1h de Córdoba, où je visite la Estancia Jesuitica puis le musée de Che Guevara. Le premier site est un ancien "ranch" / "monastère" des Jésuites et le 2e la maison, où a séjourné le petit Ernesto pendant 10 ans pour calmer ses crises d'asthme, reconvertit en musée (un peu trop élogieux à mon gout) retraçant sa vie "hasta la victoria siempre". Puis de retour à Córdoba, je décide sur un coup de folie (c'est la beauté du long backpacking sans trop de contrainte financière), d'aller à Iguazu voir les fameuses chutes. "Coup de folie" parce que c'est tout de même 22h de bus et 75e (l'aller) pour une région qui n'a rien d'autre à offrir (j'en profiterai tout de même pour faire d'autres visites). Départ en bus donc à 16h00 après avoir téléchargé plein de séries.
17 décembre :
Arrivé à 14h à Puerto Iguazu, village à la triple frontière avec le Brésil et le Paraguay. J'enchaîne direct avec les chutes qui ne sont qu'à 10km en navette. Bon, avant de décrire le paysage, plusieurs points un peu décevants (mais prévisibles). Le prix d'entrée (24 000 pesos soit 24 blue euro. Le smic est à 50 000 pour info.), 5000 pour un casier, le monde, la moitié qui est fermée sans alerte à l'achat du billet, une partie détruite par le fleuve et qui donc traîne dans la nature (béton et ferasse), l'hypocrisie des pancartes indiquant que le soucis de l'environnement est une priorité, bref... je m'y attendais un peu. MAIS, aucun regret d'être venu !!! Paysages sortis tout droit d'un film de James Cameron avec des personnages bleus (dont Jessica), c'est incroyable ce que la nature sait faire. Des cascades formant un énorme U sur plusieurs étages, et entre les étages des plateformes avec petits et gros rochers recouverts de mousses et d'arbres, la foret tropicale à perte de vue tout autour, la rivières qui forme un énorme delta à travers les arbres en amont des chutes, des condors en bonus, c'est sublime. Le soir c'est une bonne ambiance au village mais avec des prix quasi européens.
18 décembre :
Visite express au Brésil, pays où j'ai beaucoup de souvenirs mais à 4000km de ma localisation. Je connaissais l'extrémité nord du pays, je vais apercevoir l'extrémité sud. Je réalise que j'ai oublié tout mon portugais et je suis comme un gros touriste qui cherche comment aller aux points de vue des chutes côte brésilien. J'y arrive et les constats sont les mêmes que hier (les positifs, pour les négatifs il n'y en pas excepté la foule). J'arrive même à faire voler mon drone, alors que c'est strictement interdit et rappelé de partout (ce qui est tout à fait normal). Mais les règles ne s'appliquent à moi puisque je ne me compare pas autres touristes. Je trouve donc un fossé près d'une cascade (qui camoufle le bruit des helices) et me fait un kiff. Je visite ensuite le "parque de aves", un zoo d'oiseau. J'avais vu sur internet que les volières sont très grandes et donc respectueuses de leur besoins naturels. Elles ne me semblaient pourtant pas énormes et je regrette un peu d'avoir mis mon argent la dedans. Faudra que je vérifie avec chatgpt si j'ai de quoi me sentir coupable. L'après midi je me fait un énorme buffet à volonté dans une churrascaria; je n'ai pas mangé depuis la veille au soir, les serveurs sont surpris de me voir me reservir autant de fois. Sinon mon corps qui s'était habitué au froid, à l'altitude et au climat sec, souffre dans cette chaleur étouffante. Je suis en compétition avec les chutes d'Iguazu en terme de débit d'eau. Le soir c'est caipirinha et nuitée à Foz do Iguazu au Brésil.
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Qu’il dorme ou qu’il veille, qu’il courre ou qu’il marche, qu’il utilise un microscope, un télescope ou l’œil nu, l’homme ne découvre jamais rien, ne dépasse jamais rien, ne laisse jamais rien derrière lui, sinon lui-même. Quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse, il ne rend compte que de lui-même. S’il est amoureux, il connaît l’amour, s’il est au Ciel, la félicité, s’il est en Enfer, la souffrance. Son état spécifique détermine sa localisation. La principale, la seule chose qu’un homme puisse façonner est son état, ou encore son destin. Néanmoins, la plupart du temps, il n’en a pas conscience et ne signale pas cette activité au moyen d’un panneau qui dirait : « Ici s’accomplit et se répare ma propre destinée » (et non pas la vôtre). Il est pourtant passé maître dans cette tâche et s’y consacre 24 heures par jour pour la mener à bien. Quand bien même il négligerait ou saboterait tout le reste, on n’a jamais vu personne négliger cet ouvrage-là. Nombreux sont ceux qui prétendent que leur occupation principale consiste à fabriquer des souliers et qui réfuteraient avec mépris l’idée qu’ils ont leur part de responsabilité dans ces temps difficiles qu’ils subissent. Tout effort tendu vers quelque chose, toute aspiration, est un instinct qui reçoit assistance et collaboration de toute la nature et, en cela, il ne saurait être inutile. Hélas, chaque relâchement dans l’effort, chaque marque de désespoir est également un instinct. Il faut un courage exemplaire pour être actif, en bonne condition et heureux. Être prêt à se battre en duel ou à livrer bataille implique du désespoir, ou bien c’est que vous faites peu de cas de votre vie. Si vous considérez votre existence à la façon des vieilles gens religieux (j’entends par là ceux qui ont fait leur temps et qui sont montés en graine au milieu de la sécheresse, de simples galles humaines inoculées jadis par le diable en personne), alors tout ce qu’il y a en vous de joie et de sérénité disparaîtra et vous en serez réduit à faire contre mauvaise fortune bon cœur. Le fait est que vous devez prendre le monde sur vos épaules, comme Atlas, et progresser avec lui. Vous y parviendrez au nom d’une idée et vous y réussirez en proportion de l’attachement que vous portez à celle-ci. Il se peut que de temps à autre votre dos ait à en souffrir mais vous éprouverez en revanche la satisfaction de le suspendre ou de le faire tourner à votre guise. Les lâches souffrent, les héros prennent du plaisir. Lorsque vous aurez marché avec lui pendant une longue journée, installez-le dans un creux, asseyez-vous à côté et mangez votre dîner. Vous verrez qu’à l’improviste vous serez dédommagé de votre effort par quelques pensées d’un genre immortel. Le talus sur lequel vous êtes assis se couvrira de parfums et de fleurs et, dans ce creux, votre monde deviendra une gazelle légère, au pelage luisant. Henry D. Thoreau, Concord, 20 mai 1860
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Un nouveau drama pour ce mois d'octobre (oui ca faisait longtemps que je n'avais pas fait de fiche; beaucoup de choses me sont arrivées dernièrement et je suis épuisée). Voici donc:
Titre: A good day to be a dog / Une bonne journée pour être un chien
Drama Coréen de 14 épisodes de 1H environ
Genre: Comédie, Romance, Surnaturel (Humain-Chien)
Quelques acteurs:
Histoire:
Han Hae Na (Park Gyu Young) est enseignante de littérature coréenne au lycée. Elle souffre d'une malédiction très particulière : si elle embrasse un homme, elle est condamnée à se transformer en chien chaque nuit, bien qu'elle reprenne sa forme humaine le matin. Il n'y a qu'un seul moyen de rompre la malédiction : recevoir un baiser de l'homme qui l'a embrassée... pendant qu'elle est sous sa forme de chien !
Elle a le béguin pour Lee Bo Kyum (Lee Hyun Woo), un collègue qui enseigne l'histoire dans la même école. Elle est éprise de lui, affirmant même qu'il est la seule raison pour laquelle elle veut continuer à venir au travail tous les matins.
Mais un soir, ivre, elle embrasse Jin Seo Won (Cha Eun Woo), un autre collègue masculin, pensant qu'il s'agissait de son coup de cœur.
Malheureusement pour elle, Jin Seo Won est terrifié par les chiens en raison d'un événement traumatisant survenu dans son passé et maintenant Han Hae Na doit trouver un moyen de l'amener à l'embrasser sous sa forme de chien, sous peine de passer le reste de sa vie en tant que chien !
Avis perso: Bon début pour ces 2 premiers épisodes sortis. Une relation inattendu avec des évènements inattendus et cocasses bien sûr, c'est divertissant :)
Trailer:
youtube
youtube
Pour le voir:
Wiki ou Dramacool
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Aujourd’hui, vendredi 05/07/24, une journée sans Journée qui va ravir celles et ceux qui ne les aiment pas, qu’elles soient locales, territoriales, nationales, européennes, internationales ou mondiales 👌
Soirée de lancement du Mikado Plage (de ce vendredi 05/07/24 jusqu’au samedi 24/08/24) au Parc de la Colline (quartier des Teppes) de 16h30 à minuit avec cinéma en plein air à 22h (Le Petit Nicolas - Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux) 📽️
Bal de danse contemporaine (spectacle participatif, performance) avec l’association Améa ce soir (vendredi 05/07/24) de 18h à 22h à l’espace guinguette des Jardins de l'Europe. Accès libre, annulation en cas de mauvais temps 🩰
2e Petit bal de l’été ce soir (vendredi 05/07/24) avec le DJ Tibo Brtz (musique électronique) place Gabriel Fauré (juste à côté de l’église Saint-Laurent d’Annecy-le-Vieux) à partir de 20h30 💃 Soirée festive et dansante (ambiance guinguette, buvette et petite restauration) 🕺
Marinette : ciné en plein air de 22h à 23h40 place de l’Hôtel-de-ville de Seynod. Installez vous et profitez d'une soirée en plein air en famille ou entre amis. Pour votre confort, pensez à apporter vos chaises, plaids et pique nique. Site accessible 30 mn avant la projection 🎬
Qualité de l’air (indices ATMO) : la dégradation entamée la veille devrait se poursuivre. Les concentrations d’ozone devraient augmenter sur une grande partie du centre de la région et du Puy-de-Dôme. La qualité de l’air devrait être moyenne à dégradée 💨
L’indice de risque pollinique à Annecy reste élevé, au niveau 3 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 29 juin au vendredi 05/07/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : lavez-vous régulièrement le nez avec du sérum physiologique pour éliminer les pollens 😷
Trois dictons du jour pour le prix de deux : « À la saint Antoine, toujours du temps doux. » 🌡 « À la saint Antoine, on peut compter son avoine. » 🌾 « Quand il pleut le jour de la saint Antoine, pomme de terre prospère. » 🥔
Trois autres dictons du jour pour la route : « Saint Antoine sec et beau, remplit caves et tonneaux. » 🍷 « Saint Antoine ouvre le derrière des poules. » 🐔 « Saint Antoine au raisin coupe la queue, si ce jour-là il pleut. » 🍇
Pour celles et ceux qui aiment les moines : « Au treize juin, le jour croît du repas d'un moine. » 🌄 « Qui sème sa salade à la saint Antoine en a comme la barbe d'un moine. » 🥬 « Pour la saint Antoine, les jours croissent comme la barbe d'un moine. » 🧔🏻
Bonne fête aux Antoine et demain aux Mariette 😘 À cause ou grâce à Antoine de Padoue les Antoine sont donc fêtés deux fois chaque année, leur précédente fête ayant eu lieu le 13 juin dernier ℹ️
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🎲
📷 JamesO PhotO à Annecy le lundi 01/07/24 📸
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NSBC • Chapitre 29
Aujourd’hui, c’est le grand jour. Enfin, le presque-grand jour, puisque j’ai promis à Gaëlle de rester pour son anniversaire… mais en tout cas, c’est celui de maman.
A peine rentrée du travail que la voilà obligée de souffler ses bougies… Quel calvaire, quand même, héhé.
« Aïe, tu m’avais pas dis que mon dos me ferait si mal, Edward…
— Si, mais tu ne m’écoutais pas, répond mon père en chantonnant.
— Joyeux anniversaire, maman ! s’exclame-t-on tous ensemble. »
On partage tous ensuite un morceau de gâteau, puis maman va « enfiler quelque chose de moins inconfortable » que son uniforme de travail. Et quand elle revient, Gaëlle lui fait un énorme câlin.
« T’es trop belle maman ! Même avec des cheveux gris !
— Oh, merci ma puce… ! »
Ça me fait bizarre de voir ma mère comme ça… mais elle a l’air en pleine forme ! Pour longtemps encore, j’espère !
Mais… Dans la nuit qui a suivi, nous avons reçu une très mauvaise nouvelle…
Autant vous dire que je ne me suis pas levé de très bonne humeur…
Ma tante Vic’… Et je ne suis pas le pire, papa et maman sont inconsolables…
Et en plus, ça signifie très certainement que mon père n’en a plus pour très longtemps… Ils n’étaient pas jumeaux pour rien, ça je peux vous l’assurer. Il essaie de garder la face et de nous rassurer, surtout Gaëlle, parce que même si c’est son anniversaire aujourd’hui, elle reste une enfant.
Maman a pris la décision de ne plus aller travailler. Elle ne voulait pas prendre sa retraite tout de suite, mais elle a tellement peur de perdre mon père alors qu’elle est au travail qu’elle préfère rester à la maison. Moi aussi, j’ai peur, mais je ne peux pas me permettre de sécher plusieurs journées de travail, ni de prendre des jours de congé à la dernière minute… Alors nous, les trois enfants, avons fait comme d’habitude.
•
Je n’aurai jamais pensé que ça serait aussi dur de perdre Victoria… Je l’aimais énormément, mais on ne peut jamais s’imaginer ce qu’on va ressentir. Là, ça me rappelle aussi que mon mari n’est pas éternel, et qu’il faut que je profite de lui un maximum.
La journée est passée tranquillement, les enfants sont rentrés, Gabriel m’annonce qu’il a (encore) eu une promotion et que, grâce à un de ses anciens collègues qui se retrouve à fuir la prison, il a une place maintenant beaucoup plus importante dans son parti… Extra ! C’est donc dans la joie et la bonne humeur que Gaëlle souffle ses bougies !
Enfin, la joie et la bonne humeur… C’est vite dit. Ma fille est toute jolie, mais cet air triste qu’elle a sur le visage ne lui va pas… Ma pauvre petite… J’espère qu’elle ira vite mieux… Comme nous tous.
… Mais pas aujourd’hui. Au milieu de la nuit, Edward se réveille, prétextant un coup de chaud. Mais à peine debout, il presse ses mains contre sa poitrine. Son cœur lâche.
« Aouch… C’est douloureux… Je vais m’allonger un peu… »
« EDWARD !! »
A mon cri, les enfants descendent de leurs chambres en courant…
« Papa, non !! »
Un être encapuchonné apparaît alors, et le voilà qui fauche mon bien-aimé, sans plus de cérémonie…
Adieu, mon amour…
•
C’est affreux… Parmi les choses que je n’aurais pas souhaité vivre, il y aurait eu « me faire réveiller par le cri glaçant d’horreur de ma propre mère » … Et voilà que mon père n’est plus qu’une urne au pied de la grande et inéluctable mort…
Alors même que ma vie prend un tournant formidable au niveau professionnel, je perds deux être chers en moins de vingt-quatre heures… J’ai l’impression qu’on me fait payer ma chance…
Gaëlle me jette alors un regard, entre la colère et la tristesse.
« Tu vas pas partir dans des circonstances pareilles, si ? »
C’est vrai que j’ai prévu de partir à la première heure demain matin… et les récents évènements ne vont pas me faire changer d’avis, bien au contraire.
« Si. Encore plus, maintenant. Il faut que je parte de cette maison.
— Gabriel… »
Maman… Je m’en veux de la laisser dans un moment pareil, mais elle a Raph’ et Gaëlle pour veiller sur elle, je ne me fais pas de soucis. Moi… J’ai besoin d’un vrai nouveau départ. Et j’en ai un tout prêt.
Gaëlle semble faire la tête quelques secondes, puis elle m’enlace tendrement.
« Reviens vite… »
Au matin, j’ai failli revenir sur ma décision en voyant maman triturer la nourriture dans son assiette avec un air absent et profondément meurtri… Je ne l’ai jamais vu comme ça, elle qui déborde toujours de joie de vivre…
Mais non. Après de longs adieux, je suis finalement parti, et suis arrivée devant mon nouveau chez moi… A nous deux, destin. Tu m’as pris mon père, mais tu ne me prendras pas mon avenir !
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Voyance et Vie d'un pigeon.
11.08.2023
Nous nous asseyons avec Mounir dans un charmant restaurant avec vue panoramique et musique en live. Une soirée merveilleuse, le saxophoniste joue "joyeux anniversaire" à la table voisine, tout les clients du restaurant applaudissent (pour une raison quelconque) , félicitant les étrangers que nous voyons pour la première fois de notre vie. Je ne sais pas si c'est de la bonne humeur! Le ciel est rose-orange, à table près de la fenêtre, il est difficile de détourner le regard de la vue et de commencer à étudier le menu. Nous passions commande auprès du serveur... Le saxophoniste joue à nouveau "joyeux anniversaire", un autre apporte le gâteau, une autre table (un couple assez âgé) est félicitée, nouvelle ovation. En général, il est difficile pour mon ami et moi de planifier quelque chose. Je suis bipolaire, il est psychopathe. Nous sommes meilleurs en improvisation. Une réservation annulée ou reportée n'est jamais évoquée. Alors que lui et moi commençons à nous disputer sur la différence entre une cuillère à dessert et une cuillère à café (et dans ce cas, je vais jusqu'au bout), le musicien relance de plus belle un "happy birthday" à un cinquantenaire, non accompagné, qui s'efforçait de sourire cachant mal sa gêne d'être sous les regards de tous les clients et le personnel, les serveurs sortent un autre gâteau. Revenant à nous pour dire : Se disputer avec Mounir sur l'étiquette et la mise en place de la table, c'est cette vieille blague de pigeon, c'est se disputer avec un imbécile, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon. Il dispersera les pièces, chiera sur l'échiquier et s'envolera pour dire à tout le monde comment il vous a façonné. Alors que ma boule de cristal m'indique qu'il venait juste d'apprendre l'existence de la cuillère à dessert par moi, et l'instrument retentit de plus belle pour le même refrain... J'ai trop de questions sur cette journée et les gens : pourquoi sont-ils tous nés aujourd'hui ? Si j'avais le droit de choisir, je serais née à l'automne. Une nouvelle vie au milieu d'une nature mourante. Tournant, la vie, hélas. J'ai essayé de calculer l'intervalle de temps entre les salutations d'anniversaire, mais je n'ai pas réussi. Cela a dû faire environ dix ou quinze minutes. Quand ils me redemanderont comment ne pas penser à telle ou telle connerie ?! je leur répondrai ainsi : Mon cerveau est occupé par des choses plus importantes : il calcule des intervalles. Il réfléchit comment rattraper un saxophoniste et flatter son jeu, je ne parle pas de "joyeux anniversaire", mais le contenu des pensées est déterminé par les mots pour le reste de la soirée, l'esprit semble être dispersé par une myriade d'impressions et/ou de situations. Et au fait, nous avons laissé tombé le nombre d'intervalles laissé par le musicien à chaque jeu. Nous nous sommes séparés à la sortie .J'ai vraiment aimé que tous les visiteurs applaudissent les anniversaires. Je n'ai pas encore vu ça : pas quatre fois de suite dans le même restaurant, et certainement pas pour des étrangers. Et le ciel est vraiment très beau aujourd'hui. Dimanche dernier m'a rappelé l'importance de collectionner des souvenirs. Cela empêche la tête d'être plus que saturée de mauvaises ondes. Et je continue d'en récolter .
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