#c'est moi je suis l'enfant
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"Mon enfant est tout à fait normal" ton enfant a écrit une fanfiction sur Naruto inspirée d'une chanson de Goldman.
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En Temps et en Étoiles - À la belle étoile
A fun little challenge I gave myself! Translating an In Stars and Time scene (Stargazing with Isabeau) in French! I don't know if something similar already exists..? But hey! It was a funny frenchifying exercise, so I hope you guys will enjoy =v= And to @insertdisc5 J'espère que j'aurai fait honneur à ton superbe jeu et à cette fantastique scène :3
Oh! And if it's enjoyable to anyone else, please send me other scenes you'd like to read in my French way!
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(Tu lèves les yeux vers les étoiles.)
(Tu n'en reconnais aucune.)
Siffrin: "Non, je n'en connais pas."
Isabeau: "Oh."
"... Tu dis que je n'ai pas mis les pieds dans le plat, mais…"
"Sif…"
Siffrin: (Change le sujet.) "Non, non, c'est bon, hahaha !"
"Raconte-moi quelque chose ?"
Isabeau: "Quelque chose ?"
Siffrin: "Quelque chose sur toi."
Isabeau: "Oh, ok! Hm…"
"..."
"Bon, ok, tu sais que je suis de Jouvente, pas vrai ?"
"J'y ai vécu toooooute ma vie !"
"C'est une chouette, grande ville. Avec plus qu'une seule Maison, aussi. Bieeeeen plus grande que Dormont."
"Assez grande pour ne pas connaître la vie entière de chaque personne que tu croises, haha."
"... Bref, tu vas peut-être trouver ça surprenant, j'sais pas…
"Mais quand j'avais l'âge de Bonnie, j'étais genre, le PLUS INTELLIGENT des surdoués du coin."
"Pas légèrement intelligent, ou quoi…
"Mais genre, le gamin le PLUS INTELLO que tu puisses imaginer."
(Oh.)
(Tu as du mal à imaginer Isabeau autrement que comme l'homme exubérant qu'il est.)
Isabeau: "Hah, vraiment imagine ça !"
"Grosses lunettes. Tresses super soignées. Connaissant toujours la réponse aux questions du professeur. Toujours de bonnes notes."
"Toujours trop timide et concentré sur les notes pour savoir comment se faire un ami dans la cour de récréation."
"Ca c'était moi !"
"Et, euh, je ne m'aimais pas vraiment."
"Parce que, et bien j'étais intelligent, mais… Je détestais vraiment être timide. Etre seul. Même pas capable de demander un crayon à un camarade, parce que j'étais trop paralysé par la peur."
"Et j'étais prêt à passer le reste de ma vie comme ça."
"Mais un jour, après des années à vivre comme ça, je me suis regardé, comment j'étais, la façon dont j'existais dans ce monde…"
"J'ai regardé à ce gamin dans le miroir, et je me suis dit…"
"Est-ce que c'est ça ?"
"Est-ce que c'est vraiment qui je veux être ?"
"Est-ce que je ne pourrais pas être quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui peut se faire des amis, quelqu'un que les autres pourraient aimer ? Quelqu'un'un que je pourrais aimer ?
"Quelqu'un que je n'aurais pas honte d'être ?"
"Ne pourrais-je pas juste… Changer ?"
"Et, c'est une des raisons pour lesquelles les gens vont dans les Maisons, tu sais ? Pour apprendre des choses, s'entraîner, pour faire du Façonnement Corporel sur soi…"
"Pour Changer !"
"Et tu peux y rester pendant un moment, et revenir Changé, et personne ne dirait quoi que ce soit. Ils accepteraient simplement la nouvelle personne que tu es devenu."
"Alors je suis allé à une des Maisons de Jouvente et je me suis jeté à l'eau ! Pour essayer d'être la personne la plus cool, forte et fiable qui soit !"
"Soulever des poids ! Entraîner ma voix à être plus grave, plus puissante ! Façonner mon propre corps pour qu'il soit plus cool, plus fort !"
"Me regarder dans le miroir tous les matins et hurler "Je suis le plus cool !!!" !"
"... Le Changement est destruction, tu sais ?"
"Pour initier le Changement, tu dois savoir que tu risques de blesser des gens. Te blesser toi-même, peut-être."
"Donc tu dois toujours être prudent, et te demander si la destruction que tu apportes en vaut le coût."
"J'ai décidé que c'était le cas."
"Alors la personne que j'étais avant…"
"Je l'ai faite disparaître."
"Tuée de mes propres mains."
"Fait en sorte qu'elle ne revienne plus jamais."
"Pour que je puisse vivre."
"..."
"Ah, ça sonne si terrible, quand je le dis comme ça !!!"
"L'enfant que j'étais avant est toujours là ! J'ai juste, euh, grandi autour de lui ? Pour le protéger ?"
"Construire une armure, jusqu'à ce qu'elle devienne réalité ?"
"Pour que je puisse devenir quelqu'un de fort, quelqu'un d'extraverti… Quelqu'un de réconfortant à côtoyer."
"Quelqu'un que j'aurais aimé connaître, avant."
"..."
"Bah. C'est pas si important."
"Je suis là, c'est ce que je veux dire ! Et je m'aime tellement plus qu'avant !"
"Mais même la personne que je suis maintenant est un projet en cours. Je veux toujours Changer."
"Je suis devenu un mec grand, fort, fiable et optimiste, parce que c'est ce que j'avais besoin d'être."
"Mais récemment, je me suis senti comme si j'avais besoin… De laisser tomber un peu la façade d'écervelé ? D'agir moins bêtement, ce genre de truc."
"C'est pas très agréable, quand les gens pensent que je suis stupide, juste parce que j'agis d'une certaine manière."
"Alors, je pourrais peut-être Changer encore bientôt ! Et devenir quelqu'un de légèrement nouveau !"
"Ca sonne cool, hein ?"
(Oh…)
(Tu l'ignorais.)
(Isabeau voulait changer, devenir quelqu'un d'autre, et il l'a fait.)
(Il a dû travailler pendant si longtemps, pour faire de son souhait une réalité…)
Isabeau : "Ha… Je pourrais changer pour être un mélange entre un sportif et un intello."
"Equilibrer les deux, tu vois ?"
Siffrin : (Ha.) "Alors tu vas te changer en intellortif ?"
Isabeau : "Plutôt en sportello ! Ca sonne mieux, non ? Meilleure sensation en bouche."
Siffrin : "Les deux sonnent mal, Isa."
Isabeau : "Nooooon, dis pas ça ! Hahaha !"
Siffrin : "Tu peux être un sportif intelligent."
Isabeau : "Un sportif intelligent… Plutôt avant-gardiste, pas vrai ?"
Isabeau : "E-en tout cas, une fois qu'on aura battu le Roi demain, et qu'on partira chacun de notre côté, je vais juste changer en quelqu'un d'autre !"
"Quelqu'un qui peut être à la fois fort ET intelligent !"
"Les deux à la fois ! Quel concept ! Est-ce que ça ne donne pas l'impression de quelqu'un de cool ?"
"Est-ce que cela ne ressemble pas à quelqu'un que tu n'aurais pas honte de connaître ?"
(Est-ce que c'est ce qu'il pense..?)
Siffrin : "Isa…"
Isabeau : "... Ouais, Sif ?"
Siffrin : "Je n'ai jamais eu honte de te connaître."
"Même pas un petit peu."
Isabeau : "..."
"Ha, tu vas me faire rougir, Sif..!"
"Et… Ben, tu sais que je pense pareil, pas vrai ? Tu es genre, peut-être la personne la plus cool que je connaisse… Tu le sais, non ?"
"Et j'aime vraiment passer du temps avec toi ! Quand on traîne ensemble, je découvre toujours de nouvelles choses, comme des trucs cools sur le théâtre, ou même juste quelque chose de nouveau sur toi,"
"Et j'aime le fait que tu aies toujours un jeu de mots prêt pour n'importe quelle situation,"
"Comment tu respires d'une manière particulière parfois, et j'aimerais pouvoir respirer avec toi pour que tu te sentes mieux,"
"Et j'aime comment ton visage change quand tu manges tes plats préférés,"
"Et je veux te connaître plus,"
"Parler plus avec toi,"
"Rire plus avec toi,"
"Et… Et je…"
"..."
(Tu ne peux pas détourner ton regard de lui.)
Isabeau : "Je…"
"..."
"W-wouah, est ce que c'est une étoile filante ?! Hé, regarde là-haut ! C'est pas génial ?"
(Tu détournes le regard, et tu lèves les yeux vers le ciel étoilé.)
(Il n'y a pas d'étoile filante.)
(Mais ça ne te dérange pas.)
#in stars and time#isat#writing#translation#isat spoilers#french in stars and time#en temps et en étoiles#khanart#isat siffrin#isat isabeau#isat isafrin#the fuck do I tag this
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Jeudi
Je suis effarée de voir que j'ai eu 140 réponse sur Threads au sujet de mon role de mamie qui ne respecte pas toutes les règles et interdiction que mon petit-fils doit respecter chez lui ! Pauvre génération qui croit tout savoir mieux que ses ainés. Les parents qui répondent que si leur parents ne respectent pas les règles qu'ils imposent, alors les grands-parents ne verront plus les petits, vous êtes des bâtards ! Ou vous n'avez pas d'enfant ! Car croyez moi, vous serez bien content d'avoir une mamie disponible pour vous soulager un peu. Surtout que quand je parle de "chez mamie, on fait ce qu'on veut" cela ne veut pas dire qu'on ne va pas respecter les règles de politesse ou de respect. Ni qu'on va se coucher quand on veut ! Ni manger ou boire des choses qui ne sont pas adapter à l'age ou à l'état de santé de l'enfant . Mais bordel !!!! Qu'ils réfléchissent un peu avant de balancer leur fiel sur le post d'une mamie qui dit à quelle point elle est heureuse d'avoir son petit fils, de lui faire des crêpes au nutella (sacrilège, le nutella c'est mauvais pour blalallalalala ). J'en ai même un qui m'a demandé pourquoi je parlais de ça, ça n'intéresse personne..... 140 réponses, moi je crois que ça intéresse les gens, même lui vu qu'il a prit le temps de répondre. En tout cas, mon post a explosé ! Des centaines de vues, des commentaire gentils aussi et ça c'est rassurant, surtout quand ça vient de parents. En tout cas moi aujourd'hui, je garde encore mon petit-fils car ma belle-fille est malade et il faut qu'elle se repose. Et elle est vraiment heureuse que son fils ait une mamie telle que moi, qui répond toujours présente quand elle a besoin de moi, et qui aime son petit fils plus que sa propre vie .
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C'est quand même assez rare que je me sente si vide. L'impression, comme je disais dans un billet précédent, que c'est parce que tout va bien, que les choses sont en ordre. Et l'impression inverse aussi. Que c'est tellement le foutoir que je me suis mise en sécurité, en "ne pas déranger sous peine de débordement".
Et c'est cette hypothèse qui finit par me convaincre parce qu'il faut dire ce qui est, si j'ai les larmes qui montent en constatant qu'une petite souris est considérée comme nuisible et fait l'objet de plus d'informations pour s'en débarrasser que pour la connaître (cf le billet d'hier), c'est probablement parce que je ne suis pas loin du débordement malgré ma sensation que "tout va bien".
Mes pistes de réflexion sur l'origine de cet état :
- Le boulot est plutôt chill au niveau de la charge de travail à abattre mais reste aussi intense au niveau de la responsabilité que j'ai vis-à-vis des patients. Bon je suis habituée à cette pression mais c'est peut-être une goutte en trop.
- Le monde va très mal, j'ai déjà eu des angoisses pour moins que ça.
- Je reste fâchée sur cet homme qui était précieux depuis plus de 20 ans et avec qui j'ai coupé les ponts. Je suis fâchée et je me sens libérée d'un poids et donc son absence n'est pas du tout un problème mais la symbolique derrière cette rupture est pesante.
- J'ai passé trop de temps sans aller marcher, et les quelques dernières occasions n'étaient pas vraiment ressourçantes, j'ai l'impression de ne plus ressentir de connexion avec la nature. Il faut que je prenne un temps pour marcher ce jeudi.
- L'hiver m'emmerde. Je n'y vois rien de positif. Le feu de bois me casse les couilles parce que ce n'est pas le petit feu sympa de fin de soirée, qui crépite et qui met l'ambiance, c'est un feu fonctionnel, rapide et vif, pour chauffer les pierres réfractaires de l'immense-poêle-malgré-tout-trop-petit pour la maison parce que quand il y a 21° dans le salon, il y a 18 dans la cuisine. Je bois du thé bien chaud quand je veux, je mange des crêpes ou de la raclette quand je veux, qu'on ne vienne pas m'avancer ces arguments calqués pour vanter le plaisir de l'hiver.
- J'ai l'impression d'être un bon petit soldat en ce moment et je déteste ça mais ça se fait tout seul. Je cuisine des trucs équilibrés, je pense à prendre mon sac réutilisable quand je vais faire les courses, je le remets dans le coffre quand les courses sont rangées, je suis en ordre dans le linge, la vaisselle, l'ordre, ma paperasse, je dors un peu plus tôt (sauf aujourd'hui parce que je suis tracassée avec l'ado), je respecte les engagements que j'ai pris vis-à-vis de moi comme la régularité dans la lecture et dans les cours de japonais. J'ai même programmé un ordre permanent pour payer le loyer du bureau. Je déteste cette sensation d'être adulte. Et en plus ça ne me demande pas vraiment d'effort. J'ai envie d'avoir la flemme, de faire uniquement des trucs chouettes, d'être mue par le plaisir des petites choses ni nécessaires ni fonctionnelles.
Oh je crois que c'est ça ! Je suis vide de l'enfant intérieur qui est censé orienter ma vie et m'apporter de la gaité dans des petits trucs inutiles (et donc nécessaires pour ne pas déborder). Je dois voir comment remédier à ça.
Je déborde d'être adulte et quand je relis le début de ce billet, les pistes de réflexion et les questionnements que j'avais, ça fait totalement sens. L'impression que tout est en ordre, et en même temps l'impression de déborder.
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Automne 1933 - Champs-les-Sims
3/4
Je n'ai jamais eu moi-même de réels amis d'école, ni même de rivaux. Je suis surtout restée avec mes soeurs et mon frère. Alors j'avoue avoir été totalement désarmée en entendant de la bouche d'Antoine qu'Anna avait des problèmes avec ses camarades de classe, et plus précisément avec sa cousine Elise de Chastel (par le frère d'Ange, Emilien). Anna est une petite fille fière, et il a fallut que sa soeur moucharde pour que j'en entende parler. Et impossible de vraiment savoir les raisons de cette brouille, cela aurait été trop facile !
Quand Ange est allé en parler à son frère, j'avoue que j'avais quelques craintes. Il faut dire qu'ils sont en froid depuis des années, et s'en gardent aux carte de vœux pour les fêtes et les anniversaires. J'avais bien raison, car Ange est revenu rouge de colère en me disant que le ton était monté très rapidement, en même temps que les vieilles rancoeurs, et qu'Emilien a simplement accusé Ange d'essayer de l'atteindre en utilisant sa fille. J'ai été parler à l'institutrice, une jeune femme venue d'Alsace (avec un accent à couper au couteau !) appelée Mademoiselle Yvain, qui m'a assuré qu'elle tiendrai la petite Elise à l'oeil. Nous avons également décidé que quelqu'un irait chercher Anna et Elisabeth à la sortie de l'école tous les soirs, afin d'éviter que la situation ne s'aggrave loin du regard des adultes. Ange et moi-même nous relayons, avec parfois Oncle Adelphe, Aurore, ou même Jean-François quand il est à la maison (inutile de préciser que cela ne l'enchante pas particulièrement).
La naissance de l'enfant de Sélène et Gilberto est imminente, et je pense qu'il sera né avant même ta réponse. Sélène s'est d'ailleurs plutôt bien classé au Grand Chelem cet été, et ce malgré sa grossesse. Le nouveau roman de Cléo sera publié d'ici quelques mois et elle te fait dire que tu en recevras un exemplaire dédicacé.
Je suis très contente d'apprendre que c'est au tour d'Agathon de trouver le bonheur, mais comme tu le soulignes, il est sans doute plus prudent de garder les encouragements et les félicitations pour les noces.
Avec toute mon affection,
Noé
Transcription :
Marc-Antoine « Bonjour mesdemoiselles. Vous avez bien dormi ? Oh, tu n’as pas l’air bien Anna. »
Anna « En fait... »
Elisabeth « Anna veut faire semblant d’être malade pour pas aller à l’école, car elle en a assez qu’Elise l’embête, mais elle n’a pas envie de vous en parler. »
Anna « Elisabeth ! »
Marc-Antoine « On t’embête à l’école ? »
Elisabeth « Oui, Elise se moque d’elle tout le temps. Elle lui dit qu’elle est bête à manger du foin, qu’elle est laide, et elle essaie de lui faire des crocs en jambe dans la cour de récréation quand Mademoiselle Yvain ne regarde pas. Et quand on rentre de l’école à pied, Elise la suit pour l���insulter.»
Marc-Antoine « C’est vrai tout ça Anna ? »
Anna « Heu… oui. »
Marc-Antoine « Et tu n’as rien fait pour susciter un tel comportement ? »
Anna « Mais non ! »
Marc-Antoine « Ce n’est pas normal. Je dois en parler à ta Maman et ton Papa, tu comprends ? »
Anna « Non, je n’ai pas envie. »
Elisabeth « Anna, arrête ! Et si elle te frappe ? »
Marc-Antoine « Elise est votre cousine. Je suis sure que votre Papa peut aller parler au sien, histoire de comprendre ce qu’il se passe. En attendant, je vais m’arranger pour qu’on vienne vous chercher tous les soirs à l’école. »
Anna « Non Oncle Antoine, pas ça ! Elle va me traiter de bébé ! »
Marc-Antoine « Pas après que son père l’ai grondée, crois moi ! Allez, à l’école maintenant ! »
Anna « Traîtresse... »
Elisabeth « J’allais quand même pas la laisser faire ! »
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Malleus fait sa promenade nocturne en passant par le dortoir de Ramshackle qu'il croyait inhabitable mais il a remarqué qu'il y a des lumières sur les fenêtres, en face du grillage de ce dortoir il y a une jeune fille regardant vers le ciel. Par curiosité Malleus avance de plus près et pour la première fois qu'il a vu une humaine avec des cheveux bruns, yeux bleus, deux cicatrices une sur la joue et sur le coup et uniforme bleu.
??? : Que c'est joli cette lumière verte. On dirait des feux feu follet ! *Se retourner* Hum ? Oh bon soir !
Malleus : Oh bon soir, je t'ai jamais vu ici ?
??? : Oh parce que ma grande sœur et moi on est apparue il y a quelques jours et on cherche un moyen pour rentrer dans notre monde !
Malleus : Dans votre mode ?
??? : C'est un peu compliqué, ma sœur et moi même on est téléporté dans ce monde, ma sœur Zafira croyait que le directeur de ce collège nous a kidnappés. Hé hé ^w^'
Malleus : Je vois... Et comment t'appelles-tu ?
??? : Je... je m'appelle Yuri ! Et toi comment tu t'appelles ?
Malleus : Moi je suis... non attend je préfère que tu restes sur l'ignorance !
Yuri : Hein pourquoi ?
Malleus : C'est pour ton bien je t'assure, à la place je te donne la permission de me donner par le nom ce que tu désires !
Yuri : Oh d'accord je vais réfléchir un peu... bon sens bon soir ça va être compliqué...
Zafira : Yuri ! Rentre il est tard !
Yuri : Ah désolé on se verra peut-être demain ou pendant les cours.
Malleus : Alors je te dire à très bientôt l'enfant l'homme.*se téléporté*
Yuri : *Pense : l'enfant l'homme ?* Oui bonne nuit.
#malleus draconia#twisted wonderland malleus#Malleus#malleus x reader#twisted wonderland#malleus x yuu#malleyuu#twst malleus
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Du coup maintenant que j'ai un peu de temps, c'est parti pour faire un petit récapitulatif de ces 3 dernières semaines!
Il s'est passé énooormément de choses pendant ma semaine au camp pour enfants avec handicap. Je vais faire des chapitres carrément.
1. L'enfant que je suivais
Il a la maladie de Duchenne. En gros des tissus adipeux se mettent autour de ses muscles. Il a du mal à se déplacer, il doit marcher lentement sinon il tombe facilement. Il peut se déplacer en chaise roulante. C'est une maladie chronique. Il a aussi un léger retard mental. Il a 11 ans.
Je me suis trop bien entendue avec lui. J'ai vu la vie complètement autrement parce que j'ai compris ce qu'était un monde pas adapté à toi. Les jeux où on devait courir c'était mort, les jeux de parcours c'était mort, le château gonflable c'était ultra difficile, rien que traverser le terrain c'était une épreuve,... Bon sinon tout le monde disait qu'il était amoureux de moi, trop chou. Il m'appelait tout le temps en criant avec sa voix aiguë. Tout le monde s'y était habitué. C'était un enfant roi, il piquait facilement des crises. Mais j'arrivais à le calmer. Sauf une fois où j'ai perdu patience et j'ai juste laisser les autres m'aider. D'ailleurs les accompagnants s'entraidaient souvent c'était trop chouette. L'année prochaine, il ne reviendra pas. Il passe au camp des plus grands. Ça va faire bizarre d'avoir un autre enfant que lui. J'imagine pas trop l'expérience avec un autre. Ça me fait un pincement au cœur rien que d'y penser.
2. Les accompagnants
Beaucoup venaient pour la première fois donc il n'y avait pas déjà des groupes partout. C'était tellement plus facile de s'intégrer du coup. C'était génial, je me suis trop bien entendue avec tous les gens. Surtout Cam, le feeling est direct passé avec elle. On se racontait tous les ragots, on restait souvent ensemble. Je me suis trop bien entendue avec son pote Pi aussi. Il est trop bonne ambi en soirée. Il est iconique, c'est un peu une chipie mais dans le sens positif. Je sais pas comment expliquer mais J'ADORE. À la fin ils m'ont dit de revenir l'année prochaine pour être le trio de pestes MDR. Puis y a Alby aussi, j'avais du mal avec elle au début parce qu'elle était toute blasée et j'avais envie de la secouer ahah mais après j'ai appris à la connaître et énorme coup de cœur. Elle est du genre à te poser une question philosophique à un moment hyper random. Elle est super spontanée et vraie. Puis un de mes coups de cœur c'était aussi PW. C'est très bizarre pcq à la base c'est le genre de gars qui m'in-su-pporte pcq il fait des blagues beaufs. Mais on est passés de ennemies to friends et au final c'est peut-être lui qui m'a le plus marqué positivement. En fait je crois qu'au début il me voyait juste comme une belle cruche et moi je le voyais juste comme un beau crétin. Au début il me taquinait, faisait des blagues sexistes, etc. Puis quand on a vraiment parlé j'ai capté que c'était juste un gars pas très fort pour montrer ses émotions, un peu maladroit avec les filles. Je lui ai dit que je détestais son côté beauf et après je ne l'ai plus jamais entendu faire de blagues sexistes. Je me suis trop attachée à lui. Nos moments à deux étaient tellement touchants. Mais ce qui m'a fait trop mal au cœur c'est que c'était son tout dernier camp. Il ne reviendra pas les prochaines années. Ça va être tellement différent sans lui.
Sinon y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec physiquement et qui m'a perturbé. Je ne l'ai pas calculé le premier jour parce que je voulais me tenir loin de lui mais il est venu vers moi de lui-même le deuxième jour. On a parlé petit à petit durant la journée. Et en fait chaque soir, une fois que les enfants dorment, on fait un débrief entre tous les accompagnants puis on fait une soirée. Et on est restés ensemble toute la soirée. Il était tellement intéressant, il voyage en solo depuis qu'il a 14 ans et ça se voit qu'il en a appris des choses. Puis j'adore son caractère. C'est la définition de la force tranquille. Mais après cette soirée, quand on s'est retrouvés à deux, il m'a embrassé sur la joue. Je m'y attendais pas, c'est arrivé d'un coup. Je ne comprends pas comment les mecs peuvent se permettre d'envahir l'espace personnel de quelqu'un comme si c'était rien. Ça m'a énervée et je l'ai stoppé direct en disant que j'étais en train de construire quelque chose avec le musicien et que du coup je n'étais pas intéressée. Il a compris et a réagit normalement. Après ça, on s'est posés au coin du feu et on a continué à parler. Heureusement, y avait pas de gêne. Il m'a dit qu'il serait content qu'on reste amis maiiiis après il m'a quand-même précisé que si jamais je n'avais plus rien avec qui que ce soit, il était là. MDR. Amis mais pas trop? Par contre cette nuit était trop belle, les étoiles se voyaient parfaitement, y avait des étoiles filantes et même des lucioles. Ce que j'aimais trop aussi avec lui c'est qu'en soirée il était toujours partant pour tout, il était trop bonne ambi. C'était un peu mon pote de soirée quoi. Mais je ne l'ai vu que 3 soirs parce qu'il est parti plus tôt que tout le monde. Mais revenons un peu en arrière. Après le soir où il m'a fait un bisou sur la joue, la grosse gaffe que j'ai faite pcq je suis TROP CONNE, c'est qu'avec encore de l'alcool dans le sang j'ai envoyé un message au musicien pour lui dire que y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec et que ça me perturbait et qu'il m'a embrassé sur la joue et blablabla. Je lui ai tout expliqué de la pire manière possible comme si c'était juste un pote et que ça n'allait pas avoir de conséquences. Le lendemain, le musicien était trop saoulé mais on s'est appelés et on a tout mis au clair et il m'a demandé de ne plus parler à ce gars. Ce que j'ai donc voulu faire. SAUF QU'IL ME COLLAIT TOUT LE TEMPS. Du coup on a quand-même continué à parler et je l'ai dit après au musicien. J'aime trop qu'on puisse tout se dire et qu'on puisse tout résoudre en communiquant calmement. Ça me met tellement en confiance. Je me sens vraiment en sécurité dans notre relation. Je suis trop heureuse de l'avoir rencontré purée.
Bon je vais m'arrêter là pour le récap du camp en tout cas.
(23/07/2024)
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Mon amour,
Tu es tout pour moi.
Je t'aime.
J'aime la personne que tu es.
J'aime qui je suis à tes côtés.
J'aime cette part de folie en toi qui réveille l'enfant en moi.
J'aime quand tu me prends dans tes bras et que j'ai l'impression d'être toute petite et protégé à l'intérieur de toi.
J'aime ton sourire.
J'aime ton rire, il m'emmène loin au-dessus des nuages, là où le soleil brille.
J'aime aussi tes pleurs, parce qu'ils me montrent à quel point tu me fais confiance pour ne pas avoir peur de me montrer tes faiblesses.
J'aime la personne que je devient à tes côtés.
J'aime ta peau et son odeur, il y a quelque chose de rassurant lorsque je te touche ou te sens.
J'aime entendre ton coeur battre, c'est un son mélodieux.
J'aime quand nous ne sommes pas d'accord, cela nous pousse chacun dans nos retranchements et nous montre que l'on est tout de même capable de s'aimer.
J'aime tout de toi. Et je veux pouvoir t'aimer encore longtemps mon amour.
Ton amoureuse éperdument amoureuse de toi.
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Ma mère a beaucoup de rancœur à mon égard. Les années suivants mon hospitalisation, je comprenais. C'est pas facile pour un parent de frôler la perte de son enfant. Je lui ai laissé le temps. J'ai essayé de mieux faire. J'ai banalisé le fait qu'elle soit mal à l'aise avec moi. Qu'elle ait des axés de colère. Qu'elle me pique exprès. Je me suis dit que c'était pas grave car je ne suis pas avec mes parents la plupart du temps. J'ai bien compris que ce que j'avais fait avait au moins changé, à jamais, le regard de ma mère sur moi. Sans compter la maladie qui la ronge et qui lui fait en vouloir à n'importe qui qui ne serait pas malade. Ça peut s'entendre ça aussi. Quoiqu'il en soit, j'ai essayé, depuis 4/5 ans d'être l'enfant sage, ne créant plus de problème, n'inquiétant plus personne. Je demande rarement de l'aide. Je ne demande jamais d'argent. Je leur réponds globalement ce qu'ils veulent entendre. Je suis volontaire. Je réponds chaque jour à 2 appels. Je valide mes années. Je fais en sorte de jamais trop les déranger et pourtant, les rares fois où je reviens, je me sens si peu à ma place. Son manque de moi est rassasié en 1 ou 2 jours, après l'agacement et les reproches reprennent le dessus. Je dis rien parce qu'il n'y a rien à dire, je suis en face d'une maman éplorée, qui s'est convaincue elle-même qu'elle mourrait bientôt, qui n'a de cesse de sous-entendre à mon père et moi que si elle avait pu faire les choses autrement, elle l'aurait fait et que ça aurait été mieux. Le plus dur je crois, c'est que j'ai jamais eu l'impression qu'elle m'aimait vraiment, enfin si, mais il y a eu une coupure. Depuis ce temps, je ne l'ai jamais sentie fière de moi, ou contente que je sois là. Pourtant, j'essaie vraiment d'être présente et de faire en fonction d'elle, l'amener à l'hôpital, réussir mes études, discuter avec elle mais je la sens si distante. Elle m'a souvent répétée que j'étais quelqu'un de froid. Qu'elle ne comprenait pas ce que je pensais. Que j'avais jamais rien à dire ni à faire. Que j'étais pas intéressante. C'est peut-être vrai mais dans ses mots, j'entends du dégoût par moment et un réel regret. Ces 5 dernières années n'ont pas été accomplies dans l'unique but de regagner confiance, reconnaissance et intérêts de mes parents, seulement, je pensais que ça viendrait avec. Mais non. Ça m'affecte qu'elle prenne chaque chose et en fasse une pique acérée. Je trouve ça tellement dommage. Puis, au delà de ma désolation, je vois bien que ça ne changera plus.
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Petite demandes pour un personnage sourd.
Bonjour à tous-tes,
Je me permets de lancer une nouvelle bouteille à la mer, bien différente cette fois. J'espère que la demande ne sera pas mal perçue et maladroite, si c'est le cas, s'il-vous-plaît, dites-le moi et j'apprendrais. Je suis la première à accepter de me remettre en question et à vouloir apprendre. Sachez que mes intentions sont totalement dans une démarche bienveillante et respectueuse. Le but est d'avoir un retour humain, chose que je n'ai pas réussi à trouver pendant mes recherches. Les réponses que je trouve sont souvent assez génériques.
Y a-t-il des personnes malentendantes/sourdes qui accepteraient de me donner quelques conseils afin d'être aussi réaliste que possible ? Ici mon objectif est d'éviter la moindre tuile ou facilité scénaristique pour mon personnage. Mais aussi de contrer les clichés que j'ai pu créer dans mon esprit involontairement à cause de la pop-culture. (C'est humain, on le fait tous-tes. Le tout, c'est de le reconnaître et de ne pas tomber dans le piège trop facilement.) Je viens juste de la créer et elle est à peine lancée dans le RP, c'est donc le moment où jamais.
Ce que je peux en dire :
Il s'agit d'une jeune femme qui n'est pas née sourde.
Elle s'aide des vibrations car elle ne perçoit vraiment aucun son.
Elle ne porte pas d'appareil.
Elle préfère largement l'ASL pour communiquer car la lecture labiale n'est pas assez fiable.
Elle a un TDAH, je ne sais pas si le TDAH peut être vécu différemment, dans le doute, je le précise.
Elle parle de manière fluide car elle a eu le temps de développer sa parole durant les premières années de sa vie. (Je m'y connais au moins plutôt pas trop mal niveau psychomotricité/développement neurologique de l'enfant donc de ce côté là, ça va encore. Mais je ne suis pas spécialiste non plus. La moindre information supplémentaire est bonne à prendre. Ne vous inquiétez donc pas me donner une info que je saurais peut-être déjà.)
Elle sait lire sur les lèvres et ce que j'ai déjà pu apprendre, c'est que la lecture labiale n'est pas à 100% fiable et qu'il peut y avoir des confusions.
Je suis preneuse du moindre conseil, de la moindre information, des petites choses qui peuvent vous agacer de la part des personnes qui entendent correctement et que vous aimeriez ne pas voir personnellement. Si vous plus à l'aise pour en parler en privé, n'hésitez pas à me MP.
Si la démarche ne vous semble pas correcte, encore une fois, n’hésitez pas à me le dire, du moment qu'on communique dans la bienveillance, tout me va !
Pour les personnes tentées de me dire que c'est que du RP et 'qu'on s'en fout', ma seule réponse sera : Non, je m'en fous pas. next.
Voilà, des bises sur vos truffes !
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Once upon a time
Je ne savais pas trop par où commencer. J'avais même peur quelque part d'étaler ces quelques mots, ces quelques lignes, sans trop savoir vers où j'irais. Mais je vais tenter. Dans le pire des cas, ça se perdra dans les baffons de l'internet !
Comment arrive-t-on encore à trouver l'envie d'avancer, lorsqu'on ne trouve sa place dans aucune case (famille, travail, politique, religion, etc). Comme si nous étions dans un néant. On se fixe uniquement des "objectifs", on planifie des événements, des voyages, des sorties, on tente de faire de nouvelles rencontres, on change de travail, etc.
Tout cela dans le seul et unique but de trouver un sens à ce qu'on fait, à ce qu'on vit, ce qui nous pousse à nous lever le matin, à ne pas rester léthargique dans notre lit, être productif, avoir un rôle dans la société, ou sans aller jusque là trouver un but à notre existence.
Comment fait-on lorsqu'on est las de tout ça ? Comment fait-on lorsqu'on a conscience de tout cela ? Comment faire, continuer, sans avoir une seule envie que de celle de tout arrêter, de se mettre sur le bas côté et laisser les autres continuer sans nous, continuer à avancer.
Personnellement, ça fait longtemps que j'ai l'impression de regarder le monde s'agiter, les gens se mouvoir, sans réussir à en faire autant. Je pense que je fais bien semblant. Des années d'entraînement, de mimétisme, une éducation qui a aidé je pense aussi. Mais j'ai cette boule dans le ventre, ce poids dans le coeur, ces nuages dans la tête. Toute cette brume en moi, tous ces maux, ces moments de malaise que je ressens depuis que je suis petite, à ne pas comprendre pourquoi les adultes s'agitaient autant, pourquoi tout était une question de temps ...
Aujourd'hui, étant adulte aux yeux des autres, de la société, du travail, de tout le monde, excepté de moi-même (finalement), je tente tant bien que mal de m'agiter aussi. Mais j'ai le sentiment d'être ridicule dans ce rôle. Comme si je n'étais pas fait pour ce costume que je porte. Mon propre déguisement d'adulte, que j'ai élargie en grandissant. Il est tout rapiécé, décousu, usé, alors que je n'ai que 34 ans. Je me suis tant débattu dedans, à essayer de trouver comment le porter sans avoir l'impression d'étouffer.
Il était une fois une jeune femme, perdue dans ce monde d'adultes, dans lequel, il faut apprendre à vivre. Mais qui ne veut pas oublier l'enfant qu'elle était, l'adolescente curieuse, la jeune femme naïve, remplie d'espoir.
Aujourd'hui, j'ai l'impression d'avoir acquis l'aigreur d'une vielle dame, sans la sagesse. Je me sens blasée par les gens, par la foule, par la politique, les médias, la vie. Ce n'est pas une passade, c'est quelque chose qui dure, qui est en moi depuis si longtemps que l'écrire me semble inutile, car évident. Pourtant, lorsqu'on apprend à me connaître, je ne laisse rien paraître.
Mon visage, refuse de montrer qui je suis réellement. J'ai une tête de gentille. On a l'impression que je sais exactement ce que je fais, je suis sérieuse, fiable, loyale, empathique, bienveillante, etc. Cependant, derrière ce masque se cache une toute autre personne.
Il était une fois, une jeune femme de 34 ans complètement perdue dans ses travers, dans son tourbillon d'émotions, de sentiment, dans sa forteresse de solitude. Une hypersensible qui le cache bien.
#hypersensibilité#pensées#inutile#journal intime#diary#hypersensitivity#thoughts#french#texte libre#vie
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salut!!!
je m'appelle eimh (eve), et je suis une étudiante cinè. j'ai 19 ans! je fais une blog fraçais parce que je pense que ça va m'aider. je parle anglaïs, mais j'apprends en français et je veux garder mon niveau òu connaissance. j'aime lire, ecouté à musique (kpop, electronique, numetal, et autres) et j'aime en parler! je aussi aime anime et manga (fate/type moon, jjba, claymore, evangelion, one piece) donc parle avec moi svp!!! si'l y a personnes qui parlent français qui serait aime m'aider, je serait adore savoir tu!!! je vraiment envie s'entraîner parce que j'adore la langue et c'est un de mes objectifs devenir bilingue. desolée pour mon français, je sais que je parle comme l'enfant MDRRR
#français#apprendre le français#parle français#langblr#language#learning french#mutuals#kpop#fate stay night#fate grand order#grimes#one piece#looking for mutuals#sorry for cross tagging ;-;
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(jour 3)
c'est l'italienne la première qui m'a demandé de regarder des photos de moi enfant
classique subterfuge pour tenter de prendre la culpabilité à revers
j'avoue ne pas avoir encore trop pratiqué l'exercice
trop occupée à garder la tête hors de l'eau et à fermer dès que possible les yeux sur mes problèmes
je place sur cette enfant des années de savoir qu'elle ne possède pas encore
je n'arrive pas à me mettre à sa place : cela m'arrache le cœur
comment ai-je pu ne rien dire - oui, tous les jours je me pose la question
mais comment ont-ils pu ne rien voir ?
ceux qui étaient là tout autour
ceux qui ont vu sans comprendre
l'italienne dit qu'on peut tracer sur le visage de l'enfant que j'ai été les violences qu'elles a vécues
ce qui me frappe, c'est que je ne regarde plus l'objectif - mes yeux bleu lagon gardés obstinément baissés
je souris moins à partir de cet âge là
suis toujours plongée dans un livre
à l'écart de la pièce
j'écoute les conversations en catimini
je regarde mes sœurs jouer sans les rejoindre
on a tout mis sur le compte de l'adolescence qui arrivait
j'ai toujours dit que j'avais grandi très vite
que je m'étais retrouvée d'un jour à l'autre avec des hanches, des seins
en réalité j'en ai pris conscience à travers les yeux des hommes
il y avait certainement de ça, oui
l'adolescence
mais peut-être finalement quelque chose d'autre
aussi
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" Wound "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Nanami Kento.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Son entrevue avec Mahito l'ayant laissé quelque peu amoché, Nanami tente tant bien que mal de cacher sa blessure afin que son épouse ne l'apprenne pas. Cependant, lors de l'élaboration de son plan, Nanami n'avait pas pris en compte Gojo Satoru et son désir fou de le nuire.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : spoil de la saison un, Nanami blessé mais rien de méchant.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝟖𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sous mon regard attentif, Satoru entra dans la pièce. Il referma la porte derrière lui d'un simple geste de la main, s'avança nonchalamment dans ma direction, prit place sur le fauteuil devant mon bureau et s'y installa. Il se mouvait avec aise, et n'avait pas spécialement l'air préoccupé par le fait qu'il me dérangeait dans mon travail. J'arquai un sourcil, je me permis même de le zieuter ce qui, aux yeux de plusieurs, aurait pu sembler extrêmement déplacé. Gojo Satoru avait le don de faire comme bon lui semblait, il avait la réputation d'être un petit merdeux, cela lui collait à la peau depuis des années. Et, je me doutais que si il me dérangeait ici et maintenant, c'était qu'il devait y avoir une raison.
Abandonnant le tas de feuilles que j'avais commencé à signer et corriger, je déposai mon stylo feutré sur mon bureau fraîchement vernis. Il était recouvert d'une fine couche de gras. Je frôlai le tout de mon pouce.
« Qu'est-ce qui t'amène ? Je suis occupée. »
Satoru apporta une main outrée dans sa direction.
« Si ça c'est une façon d'accueillir un ami, tu me déçois..! »
« Tu m'en diras tant... »
Je me mis à jouer avec mes talons aiguilles, forçant mes pieds à sortir de mes chaussures, puis les replongeant à l'intérieur. Cela m'amusa le temps que l'enfant prodige ne reprenne enfin la parole. Il titilla ma curiosité, de part son ton étrangement solennel.
« Quelque chose s'est produit, aujourd'hui. En début d'après-midi. » se corrigea-t-il.
« Oui. » j'acquiesçai. « Tu es sorti exorciser quelques fléaux, non ? Je t'ai vu traîner avec Kento ces derniers jours, vous bossez ensemble. Rien de grave ? Dis-le moi si il t'embête, que j'en rajoute une couche. »
Sa réaction me mit la puce à l'oreille.
« Justement... »
Dans un tout autre contexte divergeant de celui-ci, il aurait surenchérit, il se serait lamenté d'un tel traitement envers sa personne voire, il m'aurait taquinée. Alors, pourquoi ne faisait-il rien de cela ? Ça portait à confusion. Je le questionnai davantage du regard. Croisant mes bras contre ma poitrine, je sentis les boutons de ma chemise grincer. Mon dos heurta au même moment le dossier de mon fauteuil.
Un mauvais pressentiment me démangeait.
« Kento est mort ? »
« Quoi ? » s'étonna gravement Satoru.
« Quoi ? » répétai-je. « C'est toi qui fais traîner la chose, tu ne peux pas être plus direct et t'exprimer ? »
L'exorciste soupira bruyamment, il accompagna ce geste en levant ses deux mains dans les airs. Son bandeau cachait la fenêtre de son âme, je fus incapable de bien percevoir ce qui se déroulait dans son esprit mais, à l'aide de son langage corporel, je me rassurais, me disant que la situation ne pouvait pas être si grave qu'elle le semblait. Dans le cas contraire, l'atmosphère l'accompagnant aurait été plus sinistre et officielle. Je tentais de m'en persuader.
« C'est Ijichi qui m'a téléphoné. Et comme je sais que la nouvelle te fera pas plaisir, je me suis dis que j'allais pas le laisser se faire manger par le grand méchant loup. »
« Moi étant le grand méchant loup, je présume ? »
Satoru me pointa du doigt.
« Exact'. »
« Kento est en vie, alors ? »
Il acquiesça. Inconsciemment, je poussai un soupir.
« Il a été blessé au combat. »
Sa petite précision, glissée maladroitement comme si il avait espéré que je ne l'entende pas me fit le regarder plus intensément. Désormais, il avait toute mon attention. Mes pieds s'agrippaient au parquet de la pièce et mes paumes fondirent contre la surface boisée de mon bureau. J'étais figée dans le moment. Paralysée par l'incrédulité.
« Je te demande pardon ? »
Satoru écarta les jambes et posa ses poignets sur chacun de ses genoux.
« Un nouveau fléaux l'a attaqué, 'rapiécé' selon sa description. Une sale ordure qui affirme manipuler les âmes des êtres humains. Nanami s'est- »
Je me levai.
« Où est-il ? »
Sans attendre, la chaise roula, elle entra en contact avec la baie vitrée derrière moi et se coinça entre le verre et le grand et épais rideau couleur pistache. Cela attira son attention. Je me redressai sur mes hauts talons aiguilles, mes jambes pressées les unes contre les autres.
« Ne me regarde pas comme ça, Satoru. Où est Kento en ce moment même ? »
Il hésita.
« Avec Shoko. »
« Évidement. » je grinçai entre mes dents.
Je retirai ma veste de costume de mon fauteuil et l'enfilai d'un geste efficace. Mes deux bras y passèrent. Je fis signe à mon collègue de se lever, ainsi, il me suivit hors du bureau. Je glissai un coup d'œil à ma montre, une TAG Heuer. Il était relativement tôt, nous arrivions à la fin de l'après-midi, cela devait faire une petite heure que Kento était revenu. Ça lui correspondait bien. Je marchais vite. Reconnaissante pour la fente derrière ma jupe crayon, j'accélérai le pas.
« Où est Ijichi ? J'ai deux mots à lui dire. »
« Il, hum, il avait autre chose à faire. »
Je le foudroyai du regard.
« Tu ne fais que gagner du temps, tu en es conscient ? » m'emportai-je.
Ijichi n'était qu'un pauvre assistant, il ne savait rien faire d'autre que poser des rideaux. C'était peut-être mieux ainsi, il n'était pas fait pour ce monde cruel composé uniquement de violence et de macabre. Il n'empêche, j'avais remis entre ses mains la vie de Kento. Je me revoyais encore lui parler devant l'école d'exorcisme, le supplier de prendre soin de lui et de me le ramener en un seul morceau. J'avais pensé pouvoir lui faire confiance, qu'elle sombre idiote avais-je été ! Je ne pouvais donc faire personne en ce monde pour me le ramener sain et sauf, pas même Gojo Satoru, l'enfant Prodige, j'imaginais, quel comble ! Cette maigre pensée força mon cœur à se serrer dans ma poitrine. J'en eus les larmes aux yeux.
Si un jour... Si un jour il ne me revenait pas..
« Laisse-moi te dire, Satoru. Dès que je lui mets la main dessus, il passera un sale quart d'heure. » déclarai-je avec conviction. « De même pour toi ! Quelle idée de le laisser sans surveillance ? Tu sais pourtant comment Kento est ! »
Ce fut avec horreur que je m'étais mise à titiller mon annulaire, plus précisément ma bague de marriage.
Je la fis tourner tout autour de mon doigt, submergée par un profond sentiment d'angoisse. Peu m'importait si Shoko s'occupait de lui, je ne pus échapper aux pensées effroyables qui s'emparèrent de mon esprit, j'en fus terriblement ébranlée. Satoru affirmait qu'il était vivant, blessé certes mais le cœur pulsant dans sa poitrine. J'aurais adoré m'en convaincre. Cela aurait été si simple. J'avais.. J'avais simplement le besoin de m'en assurer moi-même, il me fallait plonger mon regard dans ses beaux yeux, toucher son avant-bras, écouter le son de sa voix, me blottir contre lui, et l'entendre me répondre avec chaleur et affection tandis que je le réprimanderais.
« Ce fléau, Kento l'a attrapé ? »
« D'après Ijichi, non. »
« Comment ça ? » m'offusquai-je.
« Tu le connais mieux que moi... »
Satoru me rattrapait, à présent il marchait à côté de moi, les mains dans les poches de son uniforme. Quant à moi, je regardai à nouveau ma montre. Juste après, je retournai titiller ma bague.
« Je vais moi-même me charger de son cas. Il va voir. »
« Le fléau, ou⸺ »
« Kento, bien sûr. Ce fichu fléau m'importe peu ! Quelqu'un finira bien par l'exorciser. C'est lui qui m'inquiète. »
« Je l'ai vu, avant de te rendre visite. » me conta Satoru. « Hormis son flanc gauche, il n'est pas gravement blessé, tu n'as pas trop à t'en faire. Il est solide, mine de rien. »
« Je sais de quel bois est fait mon mari, merci. »
Satoru esquissa un rictus. Il leva les mains en l'air.
« Je disais ça comme ça... »
Nous arrivâmes enfin à destination.
J'ignorai mon ami de longue date pour pousser la porte du bureau de Shoko, pénétrant la première dans la pièce et faisant passer mon regard sur l'endroit à la recherche de Kento. Les bibliothèques contenant des livres de médecine ou de fléaux furent ignorées, tout comme les lampes ou les murs et sol faits de bois, son bureau et Shoko elle-même. Car, presque instantanément, mes yeux s'étaient posés sur lui. J'avais trouvé Kento.
Assis sur un canapé calé contre le mur gauche de la pièce, la brune était accroupie dos à nous, elle se chargeait de trifouiller le flanc de mon mari, mais elle tournait la tête dès qu'elle entendit Satoru refermer la porte.
« Je t'avais dit de garder le silence. »
Les propos de Kento ne me surprirent point, l'enfant prodige leva les mains en l'air en guise de réponse.
« C'est rien. » il s'exprima en me regardant. « Je ne suis pas mortellement blessé, juste écorché. »
Sa veste beige était déposée à côté de lui sur le dossier du canapé. Il portait sa fidèle chemise bleue et son affreuse cravate jaune décorée par des coins d'ombre, ainsi que ses bretelle de cuir marron. Il n'avait pas l'air en mauvais point. Shoko me cachait la vue sur sa blessure, mais il n'était pas ensanglanté. Dans le creux de sa main, reposait sa paire de lunettes. Je zieutai un peu les alentours, je tournais la tête et fronçais mes sourcils. Lorsque je trouvai son arme sur le bureau, je me calmai. Satoru dans mon dos s'en alla prendre place sur le fauteuil de Shoko, celle-ci ne répliqua pas, elle terminait de soigner mon mari. Pas même une cigarette dans le bec.
Soudain, elle se redressa.
« C'est par ici que ça se passe. »
« Mhh ? »
Shoko pointa du doigt ce qui restait de Kento.
« L'ignore pas, il s'en est bien sorti. Je t'assure. »
Je déposai mon poing contre ma hanche, furieuse.
« Ça c'est à moi d'en décider. »
J'étais enragée à vrai dire. Je ne pus m'empêcher de le foudroyer du regard.
« Et permets-moi d'en douter. »
« Nanami va se faire réprimander.. » chanta Satoru.
Je me rapprochai de mon mari, Kento étendit son bras sur le dossier du canapé et je pris soin de m'asseoir juste en dessous. Il avait les jambes écartés, la tête penchée en arrière, mais cela ne me gênait pas. Tandis qu'il s'étalait, moi, je me refermais sur moi-même. Après tout, c'était ainsi qu'une femme se devait de se comporter. Les jambes collées les unes contre les autres et mes mains déposées sur mes genoux, je dévisageai mon amant. De leur côté, Shoko et Satoru échangeaient quelques informations, autant sur le fléau que Kento avait combattu que des informations sur Ijichi et où il se trouvait. Cela m'importa rapidement peu, j'avais en effet autre chose à faire que de me préoccuper d'esprits alors que mon âme sœur se trouvait dans un tel état.
« Ne crie pas. »
« Tu as mal à la tête ? » je le questionnai en apportant le dos de mes doigts à son front et joue.
« Affreusement. »
Son grognement me fit froncer les sourcils.
« Comment tu te sens ? »
« Vivant. »
Je me rapprochai de lui, collant ma cuisse à la sienne et pivotant mon torse de manière à être contre lui. Il était chaud. Son flanc gauche était complètement ensanglanté, sa chemise, elle, fichue. Pas même un bon lavage aurait suffit à se débarrasser de la quantité astronomique de liquide qu'elle avait absorbé. Cela me frustra. Je relevai bientôt la tête de manière à planter mon regard dans le sien, mais Kento avait les yeux clos.
« Ce fléau.. Qu'est-ce qu'il t'a fait ? »
« Satoru ne t'a rien dit ? » grogna-t-il.
« Juste que tu as été attaqué par un fléau rapiécé, et qu'il manipule les âmes de ses victimes. » expliquai-je. « Mais c'est ta version que je veux, mon amour. »
Kento ouvrit un œil.
« Il m'a touché. »
Sa main libre effleura certaines parties de son corps.
« J'ai senti quelque chose en moi changer, mais il ne faisait pas le poids. Il n'a pas eu le temps de finir ce qu'il avait commencé. »
« Tu ne l'as pas exorcisé. »
« En effet. »
« Il risque de réapparaître, tu es sûr de toi ? »
« Je suppose. »
Je touchai sa cravate du bout de mes doigts. Elle n'était pas parfaitement nouée, Kento avait dû essayer de la faire lui-même après son combat, mais elle était tortue et penchait sur le côté. Je levai une de mes jambes et la déposai sur sa cuisse de manière à me rapprocher un peu plus de lui, immédiatement, je défis sa cravate et m'attardait à la renouer proprement.
Kento passa son bras autour de mes hanches. Il rouvrit les yeux.
« Merci. »
Je lui souris en retour.
« Je t'en prie. »
Une fois ma tâche exécutée, je me rassis convenablement sur le canapé, la seconde suivante mon mari m'imita. Nous nous retrouvions de cette manière : épaule contre épaule, cuisse contre cuisse, le dos bien droit. Je regardais devant moi, légèrement perturbée.
« Si.. »
J'avais la bouche pâteuse.
Un goût amer présent sur mon palais me répugna.
« Si il arrive que tu perdes la vie au combat, je- »
« Tout ira bien. »
Son ton pourtant convaincant ne sut me convaincre. Ironique. Enrageant. Abominable. Je soupirais bruyamment, ignorant les tremblements que subissait ma gorge.
« J'ai confiance en ta technique. Tu mérites ta position, et jamais je n'oserais douter de toi, Kento. » parlai-je. « J'ai eu peur. »
« Je comprends. Je suis désolé. »
« Merci. »
« Je me suis approché de trop près, il me fallait des informations. J'ai réduit les dégâts du mieux que j'ai pu. »
« Les fléaux s'adaptent. »
Ma référence à Satoru nous fit tout deux tourner la tête dans sa direction. Lui et Shoko continuaient de parler. Ils ne faisaient plus attention à nous, immergé dans un débat apparaissant ma foi assez prenant.
« Il va falloir redoubler d'effort pour les exorciser. »
Je me sentais embarrassée. Furieuse, je l'avais été. Notamment contre Kento. Il n'était pas quelqu'un de stupide, il réfléchissait et agissait en fonction de faits et hypothèses, c'était un homme bon. J'avais été furieuse par la simple idée de le retrouver blessé, et j'aurais adoré le lui reprocher, lui passer un savon qui l'aurait rendu propre comme un sous neuf. Toutefois, alors que je me tenais à côté de lui, qu'il venait de saisir ma main dans la sienne, je n'étais plus très sûre... À présent, je n'étais plus que soulagée. Embarrassée aussi, parce que j'avais pensé que lui crier dessus aurait été une solution idéale. Je me voyais mal me lâcher sur lui de cette manière en cet instant. Je doutais qu'il le mérite.
Tout ce que je fis, finalement, fut entremêler mes doigts aux siens. Mes ongles en acrylique noirs touchèrent et poignardèrent le dos de sa main tandis que ses doigts, lui, me touchèrent gentiment. De plus : son pouce se mettait à me caresser. Je ne résistais pas bien longtemps.
Ma tête tomba sur son épaule.
« J'ai bientôt terminé ma journée de travail, tu veux bien m'attendre ? »
« Je suppose. »
Nos mains étaient déposées sur sa cuisse. La vue était jolie, nos peaux embrassées sur son pantalon couleur crème dont le doux tissu se frottait à mon épiderme. Sans oublier de citer l'agréable odeur qui émanait de lui, de l'eau de Cologne. Kento sentait divinement bon.
Enfin, je me levai.
« Suis-moi. »
Mon mari attrapa sa veste de la même main qui tenait ses lunettes. Il hocha la tête et m'imitait, posant ses pieds au sol et se redressant, au même moment, Satoru et Shoko levèrent la tête dans notre direction.
« Vous partez déjà ? »
« J'ai même pas vu Nanami se faire remonter les bretelles ! »
Je plantai le talon de mon escarpin entre deux planches de bois et plissai les yeux. Kento remit ses lunettes et jeta sa veste de costume sur son épaule -entre temps j'avais aussi récupéré son arme et la lui avait rangé dans le dos-, je l'entendis hisser. Son flanc lui était encore douloureux.
« Merci de t'être occupée de lui, Shoko. Je me charge du reste. »
« Me le renvois pas à moitié mort, je le ferais pas une troisième fois. » m'accusa-t-elle en tirant une taffe.
« C'est compris, encore merci. »
Elle hocha la tête.
« Bon, bah si y'a plus rien à faire ici, moi aussi je m'en vais. » déclara au même moment Satoru. « J'ai des coups de fil à passer. »
Il déposa sa main sur l'épaule de Shoko et nous rejoignit moi et mon mari.
« On va te laisser, passe une bonne soirée. »
Kento, moi-même et Satoru saluâmes une dernière fois la brune, la minute suivante, nous nous retrouvions hors de son bureau. Satoru ferma la porte sur ses pas et nous suivit. Je le sentis se rapprocher de nous. Il avança, avança et, enfin, pencha la tête jusqu'à souffler sur l'oreille de Kento. Le temps que mon mari ne réagisse, il s'était déjà reculé.
« Alors, Nanami, comment tu te sens ? »
« Bien. »
« C'est tout ? Je me suis inquiété tu sais. J'étais mort d'inquiétude, tu imagines ! »
« Sans mal. » ironisa mon époux.
J'étouffai un rire.
« Tu rentres te reposer alors ? Mais tu reviens demain j'espère ? L'école sera vide sans toi, sinon ! »
« Par pitié... »
De sa main libre, il se massa la tempe.
« Satoru. » j'appelai mon ami de longue date.
Le concerné leva la tête.
« Je me charge de lui, va passer ton coup de fil. »
« Oh, vous voulez déjà vous débarrasser de moi ? » agonisa-t-il avec exagération.
Je lui offris un gentil sourire, le voyant extirper de son pantalon son téléphone portable. Il tapota dessus sans cesser de s'exclamer pour autant.
« Je vous lâche maintenant mais attention à toi, demain, Nanami ! Je vais faire une inspection intégrale pour m'assurer que- »
Kento se retourna violemment.
Serrant la mâchoire je fis les gros yeux à Satoru et poussa mon mari hors du couloir.
« Je pense qu'il a compris le message, mon amour. Ne le laisse pas gagner, viens. »
De ma main libre, je m'accrochai à son bras. Kento pesta dans sa barbe.
Sa partie droite était entièrement recouverte par moi, sa main par la mienne, son bras par ma main et ma poitrine, nos jambes marchant côte à côte dans un rythme que j'eus été forcée de lui imposer afin de fuir le fléau qu'était Gojo Satoru lui-même. Cela nous amena à quitter les lieux en un temps record. À mon plus grand plaisir. Désormais, Kento se trouvait auprès de moi, nous avions le début de soirée et toute la nuit rien qu'à nous.
« Tu parviens à marcher ? »
Kento baissa la tête, il croisa mon regard.
« Avec ou sans toi, oui. »
J'acquiesçai.
« Je t'embarrasse ? Excuse-moi. »
Je me reculai, cependant, le temps de me décoller de mon époux, il tira sur nos mains enlacées et me renia cet acte. Kento me colla de nouveau à lui, l'expression de son visage voilée par un drap de frustration.
« Reste. »
Il s'accrocha à moi.
« Ne te sépare pas de moi. »
Malgré moi, un sourire prit place sur mes lèvres. Nous continuâmes de marcher, pressés l'un contre l'autre, bientôt, nous arrivâmes à l'extérieur du lieu et vîmes le début d'un coucher de soleil au loin. Kento le regarda un bref instant tandis que moi, il captiva mon attention un peu plus longtemps. Il faisait un peu plus frais. Cela justifia mon acte suivant. Je déposais ma tête sur son épaule.
« Je n'oserais jamais. »
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J'ai échoué.
Une enfance à être sage comme une image, dessiner, lire, étudier, me tenir droite.
Apprendre vite, jamais malade, intéressée, calme au restaurant, me tenir droite, bien droite sur ma chaise, les couverts bien en main, finir mon steak.
Dessiner, colorier, lire, apprendre, bien parler, bien articuler, être polie, soigner mon vocabulaire, être calme, méticuleuse, attentive, arrêter d'être dans la lune. Finir mon assiette même si c'est froid. Me dépêcher.
Arrêter de parler aux animaux, aux fleurs, aux arbres, au ruisseau, arrêter de contempler, arrêter de ramasser des cailloux, des plumes, des coquilles d'escargots, me laver les mains, bien frotter les ongles, me concentrer, me tenir droite, être sage.
Et m'évader parfois, écouter le chuchotement des arbres avec mon grand-père, m'enivrer de l'odeur de ses tomates, mettre une framboise sur chaque doigt, éclater les grosses groseilles blanches entre la langue et le palais, grimper sur le tas de bois avec le coq de la basse-cour et lui raconter ma journée pendant qu'il s'endort sur mes genoux, lire sur une grosse branche, m'endormir dans le poulailler.
Une adolescence à étudier, être bien, savoir bien, expliquer calmement, ne pas crier, pas d'éclat, pas claquer les portes, bien manger, être cartésienne, logique, marcher droit, avancer, me décider, comprendre la politique, connaître l'histoire, m'intéresser à tout pour pouvoir tenir une conversation, étudier beaucoup. Vite et beaucoup.
J'ai passé des années à tenter d'entrer dans le moule prévu pour moi, mais j'ai été régulièrement ramenée à ma propre réalité, comme si un élastique m'empêchait de trop m'éloigner de mon enfant intérieur. Je me suis conformée à ce qu'on attendait de moi, avec parfois quelques éclats plutôt salutaires pour la plupart.
J'ai aiguisé mon libre arbitre sur le tard, une fois lancée dans cette vie que j'ai déjà qualifiée de tunnel, et voilà seulement quelques années que l'enfant intérieur parle plus fort que l'adulte. Il hurle parfois, il me hurle dessus quand je suis trop organisée. Trop rapide, trop concentrée, trop absente de ma vie. J'ai décidé de vivre slow et d'embarquer ma famille là dedans, de réduire presque à néant ma consommation de viande, d'être lente et contemplative sans que ça ne soit péjoratif, d'écouter davantage la nature et ma nature.
Des années à me conformer et avant-hier je parlais à ma mère de l'un de ses voisins, "il est bizarre" me dit-elle "tu t'entendrais bien avec lui". Je questionne d'un regard. "Beh t'es un peu bizarre, comme adulte"
Victoire, j'ai échoué !
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Printemps 1933 - Champs-les-Sims
4/4
Tu seras également heureux de savoir que Sélène et Gilberto se sont mariés au début de l'année, après presque quatre ans de fiançailles. Ils se sont installés au village, même si ils sont rarement à la maison. De ce que j'ai compris, il était au départ question qu'ils s'installent près de Porto, là où vit la famille de Gilberto, mais le couple a finalement refusé. Je crois que, mis à part son beau-père qui a été son professeur, Sélène n'apprécie pas sa belle-famille, elle les trouve trop intrusifs. D'ailleurs, suis bien les journaux, car elle sera présente aux championnats internationaux de Paris le mois prochain, au sein d'un nouveau tournoi appelé Grand Chelem il me semble. Nous avons prévu d'aller la voir jouer. Je suis un peu inquiète pour elle, car elle m'a confié être enceinte. Même si l'enfant n'arrive qu'en fin d'année, j'espère que cela ne sera pas un prolème avec le tournoi. J'espère également qu'elle sera bien classée, car devenir mère va la forcer à rester en dehors du circuit pendant un certain temps.
J'ai également parlé du mot que tu glissais au sujet de Cléo. Elle a été très agréablement surprise de ton retour et l'a commenté à sa façon en statuant que "notre cousin Lucien est donc bel et bien un homme d'un goût sur". Elle promet de t'envoyer un exemplaire du prochain roman sur lequel elle travaille, où son détective ira visiter le Canada pour y résoudre le meurtre d'une gouvernante dans une riche famille.
Adelphe a beaucoup apprécié ta sollicitude. Tu seras au regret d'apprendre que la situation de son fils et de sa belle-fille ne s'est pas améliorée. Alexandre refuse de prendre le moindre médicament et il semblerait que son épouse soit à nouveau enceinte. Nous ne savons pas quoi faire, et la situation semble insoluble. Tout ce que nous pouvons tenter est de rester auprès d'eux en espérant que les choses s'améliorent. Au vu de ce que tu me dis de ton grand-oncle, il se serait sans doute bien entendu avec Grand-Mère sur de nombreux aspects : c'est elle qui a poussé Alexandre au mariage alors qu'il ne s'en sentait pas capable. Je suis navrée, mais au vu de ce qu'il a dit, je dois poser la question : était-il un homme violent ? Il a été marié après tout, et ce genre de réflexion semble si naturel chez lui. Je conçois qu'il s'agisse d'une autre époque, mais comme tu le soulignes toi-même, il était possible pour un couple de coexister sans violence.
J'espère t'apprendre de bonnes nouvelles ainsi que la naissance de mon neveu ou ma nièce dans ma prochaine lettre. Il n'est pas impossible également, au vu du temps qu'ils passent à roucouler comme des pigeons amoureux, qu'Antoine et Aurore aient un autre enfant sous peu.
Je t'embrasse à mon tour et transmet mes amitiés à tous tes proches,
Noé
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