#avion français
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conatic · 1 year ago
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Source: lavenir.net
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francepittoresque · 10 months ago
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1er avril 1921 : âgée de 24 ans, Adrienne Bolland est la première aviatrice à survoler la Cordillère des Andes ➽ http://bit.ly/Bolland-Cordillere Quelques semaines après l’exploit d’Adrienne Bolland, première aviatrice à traverser la Cordillère des Andes en avion, un Caudron G-3 construit en bois et toile, un élogieux article lui est consacré au sein des Annales politiques et littéraires
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defenderoftheearth · 5 months ago
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Le « scénario de cauchemar » redouté par la Maison Blanche suit rapidement l’avertissement de Trump sur la Troisième Guerre mondiale
  Un nouveau rapport inquiétant du Conseil de sécurité ( CS ) circulant aujourd’hui au Kremlin note pour la première fois que le président Poutine a lancé un avertissement lors de son discours aux marins lors du défilé de la Journée de la Marine à Saint-Pétersbourg à propos du placement d’armes nucléaires par l’Amérique en Allemagne : « Cette situation rappelle la événements de la guerre froide…
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camisoledadparis · 11 days ago
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saga: Soumission & Domination 365
Yago en France
Yago débarque à l'avion une semaine après notre retour. On prend la 300C pour aller le chercher. Il va passer son premier WE chez nous et je lui présenterai Olivier et Pierre lundi. On le voit nous chercher des yeux et être soulagé quand il nous trouve. Alors qu'il allait nous serrer la main, nous l'accueillons tous les trois d'une bonne pelle. Dans la voiture, il nous raconte sa semaine, ses doutes à venir, car finalement il ne nous connait quand même pas depuis longtemps ! Quand on arrive à la maison, il est surpris, surtout par Samir et Ammed. La maison et la piscine fait aussi son petit effet. Nous sommes rapidement en maillot sur la terrasse à prendre une bière. Evidement ça dégénère vite en minitouze. Nous ne cessons qu'après que chacun se soit pris les autres dans son cul et plus.
Il nous dit que nous lui avions manqué même si les copains de son frère avaient essayés de le baiser à leur tour. Il nous dit qu'il ne leur avait pas donné sa rondelle même si le passage de nos bites lui avaient terriblement manqué.
La soirée est agréable et bien sûr il dort (façon de dire) avec nous.
Dimanche : Olivier et Pierre, impatients de connaitre leur futur " aide ", arrivent pour le café avec un framboisier du meilleur pâtissier du coin. Je fais les présentations. Les nouveaux venus se mettent aussi en maillot alors que Samir met le gâteau sur un plat. Eux aussi sont bien bronzés et malgré son grand âge (33 ans), Olivier reste pas mal ! Il ne fait pas les 10 ans d'écart qu'il a avec Pierre. Comme Yago parle aussi bien le français qu'Ernesto, la compréhension est totale. Olivier et Pierre discutent avec lui de ce qu'il va faire dans le cabinet d'architecture. Evidemment pas mal de tri et classement de dossiers mais aussi des visites de chantiers, il accompagnera même Pierre à Paris pour aller voir le fondeur d'Alban qui doit leur préparer une de ses oeuvres pour un de leur très bon client.
Il est content et se tourne vers moi pour me remercier.
L'après-midi se passe à peaufiner notre bronzage. Le soir c'est moi qui conduis Yago chez mes architectes. Il trouve la maison superbe (création originale d'Olivier). Pierre lui fait faire le tour alors qu'avec Olivier je sors dans le jardin.
Ce dernier me remercie pour mon stagiaire. Il le trouve canon et est sûr que Pierre est en train de lui faire sa fête dans la chambre qu'ils lui ont réservée.
Il est vrai que quand nous rentrons dans le salon, après une bonne demi-heure à faire le tour du jardin, il n'y a personne. Nous enfilons un grand couloir et tout de suite nous entendons des gémissements significatifs.  On suit le son et nous les trouvons nus sur un grand lit, Pierre à 4 pattes et Yago bien enfoncé dans son cul. Avec Olivier, je reste à la porte et nous les matons en train de se donner du plaisir. Pierre est assez loquace et réclame " met la moi bien profond" dès que Yago se retire. Je tends le bras en arrière et ma main trouve les 19x6 d'Olivier, bien raides et serrés par le jeans. Quand je l'ai en main, il m'approche et me chuchote qu'on pourrait peut-être se joindre à eux ?! Doucement j'entre dans la pièce. Les protagonistes n'entendent rien, focalisés sur leur plaisir. Quand j'enlace Yago, il sursaute et défonce Pierre brutalement alors qu'il veut s'écarter de moi. Il se calme dès qu'il voit que c'est seulement nous. Il essaye quand même de sortir du cul de Pierre croyant quand même avoir fait une bêtise. Ce n'est qu'avec le déshabillage d'Olivier qu'il comprend qu'il n'y a aucun problème.
Leur petite baise perso s'étoffe de notre présence. Je laisse Olivier jauger de son stagiaire. Pour cela il utilise l'outil que lui a fournis la nature et en même temps il vérifie que le jeune homme est chaud ! Moi, je me contente des trois bouches à ma disposition. Comme les 3 sont suffisamment profondes pour mes 20cm, je me fais quand même plaisir. Yago fait le jambon d'un sandwich d'Architectes ! Et d'après les sons qu'il émet, il apprécie la position. La bouche de pierre est trop bonne et je ne peux me retenir de juter. Mon sperme fuse entre son dos et les pecs de Yago où il se fait écraser/étaler. Le trio emmanché prend son pied et les kpotes se remplissent !
Etalés sur le dos à reprendre leurs souffles je vois trois mecs contents !! Quand je demande à Yago s'il pense pouvoir rester quelques semaines chez eux, il me répond avec un grand sourire que ça devrait le faire. Je leur fais à chacun un bisou sur les lèvres et m'éclipse sachant que nous le reverrons chaque WE et qu'entre-temps Pierre me dira comment ça va. La semaine se partage entre la vérification que tous mes escorts sont bien où et avec qui ils doivent être, la ferme des parents de Ludovic et une visite chez Emma qui elle aussi est rentrée de Grèce.
Bien que bronzée, le dragon (tatouage) est encore très visible. Elle me dit qu'avec lui, heureusement que les garçons (Jona et François) étaient là, sinon elle aurait succombée sous le nombre des prétendants ! Elle a passée trois semaines de plaisir au soleil et les garçons que lui ont ramené mes escorts ont été toujours judicieusement choisis et tous très bon au lit, même s'ils étaient tous bi.
Il n'empêche que malgré les réserves de plaisir qu'elle avait accumulée, nous n'avons pas chômé et à 4 (Ludovic, PH, Ernesto et moi) nous l'avons emmené plusieurs fois de suite au nirvana des femmes qui n'ont pas peur de leurs désirs ! Elle a eu la gentillesse de nous dire qu'avec nous c'était quand même meilleur. Il est vrai que nous connaissons chaque cm² de son corps. Nous savons où appuyer pour donner telle ou telle sensation et quand multiplier les excitations (vaginales, anales...). Le soir on se skype avec la triplette. Ils sont bavards, c'est pas possible ! Ils parlent tous en même temps, pour nous raconter en détail leur journée. Qui a fait quoi pour aider à la ferme mais surtout ils y vont en surenchère de sexe. Il n'y a pas un jour où ils n'ont pas testé une position ou un lieu de baise nouveau !! Ludovic a beau les mettre en garde de ne pas se faire attraper par le paternel, rien n'y fait !!
Pierre m'appel pour me dire que Yago n'est pas seulement bon au lit mais qu'il leur abat un travail phénoménal. Après avoir capté le système de tri et rangement, il leur avait quasiment tout rangé en une semaine. Les visites de chantier le passionnent et ses questions sont toujours pertinentes !
Quand ils nous le déposent le vendredi soir (ils partent en WE en amoureux sur la cote), nous nous retrouvons avec un gamin renforcé sur sa vocation et épanoui. Et quand Ludovic revient avec la triplette (Enguerrand, Max et Nathan), c'est la fête à la maison.
Le premier WE, nous avons vu débarquer par la porte du fond du jardin Arnaud et Léopold. Ils nous avaient entendus nous battre dans la piscine et venaient voir s'il ne restait pas une petite place pour eux. Frank et Louis débarquent à leur tour tout comme les Jumeaux (Tic et Tac) avec Théo bien sûr. Si la soirée commence couverte (en maillots de bain), elle dégénère vite et c'est à poil que se termine l'apéritif ! A poil et les queues bandantes ! Yago est content de voir que personne ne fait de différence avec lui. Les jumeaux sont ravis de voir une nouvelle tête et ils n'ont de cesse que d'avoir mis Théo sur sa bite. Si Yago n'osait pas y aller trop fort avec notre jeunot, après quelques va et vient et la démonstration de maitrise de la rondelle du petit enculé, il s'est déchainé et a bien pris son pieds en lui labourant le cul comme à la salope qu'il est ! Théo a beau avoir grandi, il reste toujours avec sa tête de jeune homme et un corps plus élancé que musclé. Par contre sa rondelle, elle est très musclée faut dire que l'usage journalier qu'en font les jumeaux l'a rendue souple mais forte aussi. La dernière fois que j'ai mis un doigt dedans, il en a bloqué la progression fermement ! Là, c'est Yago qui profite du massage anal de Théo ! Je m'approche de lui. Je lui dis d'apprécier le tonus musculaire de la rondelle qu'il perfore. C'est le type de performance que j'attends de mes Escorts. Il rit et dit me comprendre c'est réellement trop bon. Je le laisse savourer le petit mec des jumeaux. De mon côté, je vais prendre mon plaisir dans le cul de Léo qui ne le prête pas à tout le monde. Depuis que je l'ai dépucelé à la hussarde sur une aire de repos d'autoroute alors que je l'avais laissé enculer Baz, il accepte que je recommence ! C'est trop bon. Sa rondelle est très serrée et je dois appuyer fort pour rentrer toute ma bite. Arnaud, devant son mec, lui conseille de se détendre et finalement, devant ses grimaces, lui passe le flacon de poppers sous le nez. Bonne initiative, il se détend et, sans flotter, je coulisse plus facilement et le plaisir monte dans nos deux corps emboités. Quand nous terminons notre " petite affaire ", nous prenons conscience des odeurs de viandes grillées qui émanent du BBQ lancé par mes hommes de service. Les autres aussi sont purgés où remplis (enfin les kpotes surtout).
Yago s'est complètement fondu dans mon petit groupe. Quand je le retrouve, le bras d'Ernesto est sur ses épaules et les jumeaux discutent avec lui. Nous prenons notre temps et le diner traine en longueur. Les bières se succèdent et nous sommes très fatigués au moment d'aller nous coucher. Même les voisins (Arnaud et Léo) restent dormir ! La répartition dans les différentes chambres se fait plus selon les forces de chacun à faire quelques mètres de plus que l'autre ! Je vois Yago entrer avec la triplette dans le baisodrome du premier. Avec Mes 3 amours, nous restons entre nous dans notre chambre.
Samedi : Je me réveille un troupeau de bison traverse mon cerveau avec les indiens qui courent derrière !! Il est déjà 10h mais je suis le premier debout (après Samir et Ammed !). Un café et je me plonge dans l'eau. Nage à contre-courant mise, je crawl une bonne demi-heure avant de voir apparaitre de nouvelles têtes. Ernesto me rejoint dans l'eau alors que les autres apportent de quoi démarrer la journée.
Quand on sort de l'eau, tout le monde est réveillé. Je propose un décrassage de 5Km et leur dit de ne pas trop manger.
Equipements au sous-sol. On opte tous pour des cyclistes et quand on voit Yago rouler les jambes jusqu'au bas de ses fesses, nous l'imitons tous ! Comme il fait chaud, les marcels sont passés dans les ceintures. Je prends juste ma carte bancaire et mon i phone. Rapidement le groupe se scinde en deux selon nos vitesses de course. Je suis dans le premier groupe avec mes amours plus Yago et Léo. Les autres trainent derrière nous ! Arnaud est avec et ils ne risquent pas de se perdre.
On trotte gentiment. Je suis content de voir que Yago ne fait pas que soulever de la fonte. Nous faisons une pause dans le bar de l'oncle de Louis. Quand les trainards arrivent nous sommes servis des rafraichissements que nous avions commandés pour tous. En terrasse, nos physiques attirent le regard des passants et touristes. Ça et les rires qui nous échappent.
Avant qu'on soit trop refroidis, on retourne à la maison.
A l'arrivée les douches du sous-sol saturent mais nous nous serrons et du coup le gel douche est étalé par frottements entre nous !! Puis détente dans la piscine ou sur la terrasse jusqu'au déjeuner.     L'après-midi suit le même programme sauf pour certains qui comme moi soulèvent de la fonte. Installée au sous-sol, la salle reste fraiche même à la fin d'un été chaud. J'alterne avec Ernesto et Yago. Ludovic et PH le font entre eux, leurs barres sont plus légères ! Yago est content car il n'y a pas d'installation chez Olivier et Pierre, juste une piscine.
Du coup le midi nous faisons le plein de protéines (Samir ajoute du tofu à nos salades de légumes). Sieste au soleil pour ne pas perdre nos bronzages. Et ça redémarre après un petit tour dans l'eau. La terrasse est grande et heureusement car quand nous sommes tous allongés, on en couvre une bonne part. Cette fois la triplette a décidé que cela faisait longtemps qu'on en s'était pas retrouvé et sans nous isoler des autres, nous nous retrouvons quand même seuls (enfin façon de dire quand on est 7 !!). Max et Enguerrand se battent pour être le premier à couvrir ma bite ! Ernesto attrape Max par le cou et le détourne vers sa propre bite et lui clos le bec en s'enfonçant loin entre ses amygdales. Nathan cherche et trouve PH. Ludovic me rejoint et à nous deux nous faisons décoller son petit frère. Je ne ressens plus aucun blocage ni aucune réticence alors que je fais l'amour avec Enguerrand. Je pense que maintenant l'épisode " XX de XXX " est vraiment terminé. Je crois que sa nouvelle vie avec Max et Nathan lui a redonné l'équilibre d'un mec bien dans sa peau. Les parents exceptionnels (concernant leurs réactions lorsqu'ils ont appris la chose) qu'il a y est aussi pour beaucoup.
En attendant il se donne à fond avec moi et son frère. Il tourne entre nous deux. Quand je ne suis pas dans son cul, je l'ai dans mes bras et on se roule des pelles, juste secoués par les va et vient de Ludo dans son cul. Si c'est pas ça c'est qu'on est en 69. Puis Ludovic nous quitte et nous terminons tous les deux seuls.
Repus, moi sur le dos vidé, Enguerrand la tête sur mon épaule, nous nous faisons écraser par Max et Nathan jaloux de lui. Je me retrouve enfoui sous les 180Kg des 3 jeunes mecs cherchant tous à me rouler un patin ! Je suis sauvé par l'intervention d'Ernesto et Yago qui me dégagent en envoyant mes " agresseurs " se rafraichir les idées dans la piscine.
Petit WE banal de vacances d'été en France !!
Jardinier
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the sin perfume
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the firework burnt their clothes
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ready to scream and jump for the New Year
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majorleagueupdates · 11 months ago
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DERNIÈRES NOUVELLES : Les Expos de Montréal sont sortis du trou diabolique dans lequel nous les avions mis après 2004 et ont jeté une malédiction sur la Ligue Majeure de Baseball qui fait que tout le monde parle français. OH MERDE ils m'ont maudit, merde merde merde merde ça fait tellement mal AIDEZ-MOI ! !!!
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transparentgentlemenmarker · 7 months ago
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Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
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Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
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Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
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Aussi vrai que je suis un compte officiel, voici la liste des décorations/performances pour l'ouverture des JO :
Macron arrivera avec une toque de cuisinier
Amaury Guichon reproduira la patrouille de france (avec échappememnt tricolore) à taille réelle en dessert (pour la gastronomie française)
Jean Dujardin sortira de la Seine en combinaison de plongée (pour le cinéma français)
Les athlètes français défileront non pas avec leur drapeau mais avec une pointe avec une fausse tête dessus (pour l'Histoire française)
L'assemblée nationale chantera la VF de One Day More puis montera une barricade en plein milieu des champs élysées (pour la littérature française)
Macron enlèvera sa toque et révèlera qu'il est contrôlé par Rémi de Ratatouille.
Amaury Guichon montera dans l'un des avions en chocolat et s'envolera
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thebusylilbee · 1 month ago
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Le poète Mosab Abu Toha, qui a pu fuir Gaza quelques semaines après le début de l’anéantissement du territoire palestinien, publie un saisissant recueil de textes à la résonance aujourd’hui décuplée. Entretien.
« Dans le ventre de nos mères / Nous sommes hantés par la peur / De mourir / Avant de vivre »
Bien qu’écrit avant le carnage sans fin à Gaza, le recueil de poésie du poète palestinien Mosab Abu Toha, Ce que vous trouverez caché dans mon oreille (Éditions Julliard, traduit par Ève de Dampierre-Noiray), qui vient de paraître en français, résonne aujourd’hui avec une force décuplée.
Il montre la continuité entre le martyre inhumain que subit aujourd’hui la bande de Gaza, et les violences des années précédentes, que le jeune écrivain a vécues dans son être et dans sa chair, comme le montre encore la cicatrice d’un éclat de schrapnel qui l’a blessé à la base du cou.
Ayant pu fuir Gaza en décembre 2023, après les premières semaines de bombardement qui ont suivi le 7-Octobre, Mosab Abu Toha était récemment de passage en France. Entretien.
Mediapart. Un de vos poèmes s’intitule « Where is home ? ». Comment répondriez-vous à cette question aujourd’hui ?
Mosab Abu Toha. Lorsque j’ai écrit ce poème en 2022, ma maison était encore debout. Aujourd’hui, elle n’est plus qu’un tas de décombres. Et elle est située dans un lieu occupé par l’armée israélienne, et donc inaccessible. Non seulement ma maison n’existe plus, mais même l’accès aux décombres est interdit.
Nous avons perdu tant de lieux, tant de proches, dont nous ne savons même pas ce qu’ils sont devenus. Le mari de ma sœur a été enlevé alors qu’il se déplaçait du nord de Gaza vers le sud avec ses enfants, et nous n’avons aucune idée de l’endroit où il se trouve.
Le cousin de ma femme a été enlevé alors qu’il se trouvait dans un convoi d’ambulances, après avoir été blessé lors d’un bombardement qui avait tué son père, sa mère et ses trois sœurs. Aux pertes réelles s’ajoute le fait que nous ne savons rien.
Quand on lit aujourd’hui votre livre, on a l’impression qu’il parle de Gaza maintenant, alors qu’il a été écrit avant le 7-Octobre et le carnage infligé à l’enclave palestinienne…
En tant que poète palestinien, je ne considère pas les poèmes comme un groupe de mots fixés sur la page, mais comme des choses qui se produisent au présent. Certains de mes poèmes écrits il y a plusieurs années, comme celui sur cette famille entière éliminée par Israël le 14 mai 2021, s’actualisent avec la disparition totale de milliers de familles depuis le 7-Octobre. Certaines des personnes dont je parle dans ce livre et qui étaient encore vivantes alors ne sont plus parmi nous, comme mes trois cousines germaines.
Si mon livre peut donner l’impression que c’est la même chose qui se passe aujourd’hui comme hier, c’est parce que je parle du même assassin – Israël – et de ses complices : les États-Unis et les pays européens qui arment et soutiennent Israël.
"Les Gazaouis n’attendent plus rien des Occidentaux ; ils ne s’inquiètent plus des frappes aériennes nocturnes ; ils attendent la mort."
Mais combien de fois les Nations unies ont-elles averti que Gaza était devenu, avant le 7-Octobre, un territoire invivable ? Qu’est-ce que le monde attendait des Palestiniens ? Sommes-nous destinés à vivre dans une cage et sous siège ? Nous ne sommes pourtant pas des animaux sauvages. La paix signifie-t-elle que nous devons juste accepter notre sort inhumain ?
Moi, j’ai 32 ans, je n’ai jamais vu un avion civil voler au-dessus de mon pays, puisque nous n’avons pas d’aéroport. Dans ma génération, je suis un des seuls à avoir trouvé du travail. Nous demandons juste à pouvoir vivre dans notre pays, à pouvoir en sortir parfois, à pouvoir y revenir, à pouvoir voyager, à pouvoir construire une maison, se marier, avoir des enfants…
Face à la masse de témoignages, visuels comme écrits, que nous avons sur la destruction de Gaza, sans que cela permette d’arrêter les massacres, comment continuer à écrire ?
C’est vrai que j’ai parfois envie d’abandonner. Je parle à tellement de gens à Gaza qui me disent qu’ils préfèrent aujourd’hui mourir que de continuer à vivre comme cela, en étant déplacés cinq fois, dix fois, vingt fois, et en étant privés de tout.
Beaucoup de personnes qui ont obéi aux ordres de se déplacer ont vu que cela n’empêchait nullement d’être tué et refusent de bouger à nouveau. Pourquoi courir en espérant sauver sa vie si, finalement, il n’y a que la mort devant ? Les Gazaouis n’attendent plus rien des Occidentaux ; ils ne s’inquiètent plus des frappes aériennes nocturnes ; ils attendent la mort.
Mais si je continue à écrire, c’est parce que je veux honorer toutes ces personnes dont l’histoire n’est pas racontée, dont les visages ne sont pas connus. C’est vrai qu’il est difficile d’écrire aujourd’hui, comme les survivants de l’Holocauste ou du génocide arménien, qui espéraient que leurs témoignages empêcheraient l’horreur de se reproduire. On voit ce qu’est devenu l’espoir du « plus jamais ça ». Mais cela fait maintenant quatorze mois qu’Israël est engagé dans un génocide, et comme poète, je me sens tenu de montrer ce que cela signifie.
Comment expliquez-vous l’inaction de la communauté internationale ?
Je pense que cela vient du racisme enraciné dans les cœurs et les esprits. Pourquoi l’Occident a-t-il de l’empathie pour certaines personnes et pas pour d’autres ? Pourquoi êtes-vous solidaires de certaines personnes et pas d’autres ? Comment pouvez-vous continuer à alimenter la propagande israélienne ? À parler encore et encore de bébés décapités ? Et pourquoi parler autant des victimes israéliennes et si peu des Palestiniens qui, même avant le 7-Octobre, ont été enterrés et décapités par des bombes israéliennes ? Les Palestiniens ne sont tout simplement pas perçus comme des êtres humains.
Et, en dépit du fait qu’une grande partie du monde ne nous considère pas comme étant des êtres humains, nous ne perdons pas notre humanité. Ce sont les Israéliens qui perdent leur humanité lorsqu’ils nous tuent comme cela, lorsqu’ils font exploser nos maisons, lorsqu’ils se filment en train de porter les sous-vêtements de nos sœurs et de nos mères, ou lorsqu’ils filment des vidéos où on les voit rire devant nos vies détruites.
"Je n’ai jamais rien vu de tel. Cela se passe en direct. Personne ne pourra dire qu’il ne savait pas."
Que tout cela se produise est une chose, mais que cela continue en est une autre. Pourquoi l’Occident continue-t-il de soutenir des personnes qui se comportent comme cela ? Je peux comprendre que des alliés d’Israël comme le sont les États-Unis affirment le droit de leur allié à se défendre.
Mais là nous parlons de personnes affamées, d’hôpitaux bombardés, d’abris scolaires anéantis, de gens assassinés seulement parce qu’ils se trouvaient dans la rue, et sur les corps desquels des chars roulent. Je n’ai jamais rien vu de tel. Cela se passe en direct. Personne ne pourra dire qu’il ne savait pas.
Au Cambodge, au Kurdistan, il y a eu des tentatives de dissimuler la volonté génocidaire. Mais là, les habitants de Gaza ont tout fait – ont fait l’impossible – pour montrer ce qui se passait, en dépit des coupures d’électricité, du réseau internet ou du téléphone.
Quand les habitants de Gaza réussissent à se connecter à certains réseaux, ils témoignent immédiatement de l’attaque aérienne qu’ils ont subie, ils consacrent l’énergie qui leur reste à télécharger une vidéo pour que des personnes à l’extérieur puissent la voir. C’est inimaginable.
Pensez-vous que la culpabilité occidentale vis-à-vis de la Shoah puisse expliquer le soutien sans faille aux actions criminelles d’Israël ?
L’Holocauste n’est pas mon problème en tant que Palestinien. Je n’ai tué aucun juif en Europe. Je suis solidaire de ce qu’a vécu le peuple juif. Mais lorsque mes parents ont été expulsés de leur terre en 1948, ils n’avaient ni radio ni télévision, ils ne lisaient pas les journaux, ils savaient à peine ce qui était arrivé aux Juifs d’Europe. Ils s’occupaient de leurs champs et allaient parfois nager dans la mer.
Si l’Occident se sent coupable vis-à-vis des Juifs, il a des responsabilités vis-à-vis des Palestiniens. Encouragez donc les Israéliens à faire la paix plutôt qu’à continuer de nous tuer par milliers. À chaque fois que j’entends un gouvernement occidental expliquer qu’Israël a le droit de se défendre, je me demande pourquoi on n’entend pas affirmer aussi que le peuple palestinien a le droit de vivre.
« À Gaza, on ne sait pas de quoi on est coupable », écriviez-vous. Jusqu’où peut aller selon vous la punition collective engagée par Israël au lendemain du 7-Octobre ?
Vivre à Gaza, c’est comme vivre dans un roman de Kafka. Je suis né dans un camp de réfugiés en 1992, mais je ne savais pas ce que cela signifiait, à savoir que je serais un réfugié à vie. Je ne pouvais pas imaginer que je serais blessé dans une frappe aérienne israélienne parce que l’Occident a persécuté les Juifs d’Europe.
Et c’est ce même Occident, et particulièrement les États-Unis, qui est complice de génocide, puisque lorsqu’on fournit des armes plutôt que d’exiger un cessez-le-feu, en réalité, vous êtes davantage qu’un complice, vous êtes aussi auteur de ce génocide.
La punition collective des Palestiniens a débuté en 1948 et continue donc de s’exercer depuis des décennies, il est donc difficile de s’imaginer jusqu’où elle peut aller.
"Célébrer notre résilience et notre capacité à endurer le pire ne nous est d’aucune aide."
La « somoud », cette « résistance-résilience » qui désigne la manière des Palestiniens et Palestiniennes de tenir à sa terre et de refuser l’occupation israélienne, en dépit d’un rapport de forces inégal, peut-elle persister, vu l’échelle des deuils et des destructions ?
Quand j’affirme que mon peuple tient bon et n’abandonne pas, même dans les circonstances les plus sombres, c’est pour désigner la manière dont les Palestiniens et les Palestiniennes sont capables de créer de la vie à partir de rien, même sous les décombres de leur maison.
Mais c’est vrai que les habitants de Gaza ont une limite, que la manière dont ils sont célébrés comme des héros peut masquer. Célébrer notre résilience, le fait que nous serions inébranlables, notre capacité à endurer le pire, et nous glorifier, ne nous est d’aucune aide.
Je n’écris pas pour qu’on me dise que ma voix est importante, que mes mots permettent de dire l’horreur, mais pour que vous fassiez quelque chose pour moi et mon peuple. Pour moi la langue est un outil, pas une fin. Ce serait peut-être différent si j’écrivais sur les animaux, les arbres, les oiseaux, les plantes, mais j’écris sur Gaza.
Je vous conjure ainsi de changer le monde, d’apporter la paix et la dignité à mon peuple. Nous n’en pouvons plus d’être réduits à la survie. Nous voulons vivre, aller au restaurant avec des amis, prendre un petit-déjeuner, regarder un match de football, emmener nos enfants au zoo. Je rêve de pouvoir attendre ma valise sur le carrousel d’un aéroport à Gaza, comme le font des millions de voyageurs dans le monde chaque jour.
Mais aujourd’hui je déteste le mot « paix », parce qu’il est vide de sens. Ce mot n’a plus de sens s’il n’est pas accompagné de justice. La paix sans la justice, ce n’est que de la merde. La « paix » que l’on attend des Palestiniens consiste seulement à mourir en silence, à mourir « pacifiquement », à mourir sans faire de problème.
Comment continuez-vous à écrire sur Gaza depuis que vous en êtes parti ?
Le paradoxe est que j’ai davantage accès à ce qui se passe à Gaza depuis que je suis parti que lorsque je m’y trouvais encore et que je n’avais un accès qu’aléatoire à Internet et au réseau téléphonique. Aujourd’hui, il m’est plus facile d’avoir accès aux nouvelles, de les traduire et de les partager. Il m’arrive d’être informé de nouvelles que les habitants et habitantes de Gaza ignorent. Lorsque j’appelle mon beau-père, qui se trouve dans le nord de la bande de Gaza, il me demande des informations sur ce qui se passe autour de lui. Je lui dis où se trouvent les chars, qui a été tué.
Depuis que je suis hors de Gaza, je ne peux rien faire d’autre qu’écrire. J’aimerais pouvoir protéger ma famille, mon peuple, mais je suis tellement impuissant. Imaginez que vous soyez un journaliste faisant un reportage sur un massacre, mais que vous connaissiez les gens qui sont tués : c’est ce que je vis aujourd’hui. Quand je m’informe sur les personnes qui sont mortes, je vois beaucoup de noms d’anciens élèves, de voisins, de cousins…
Comment avez-vous réussi à partir ?
J’ai quitté Gaza le 2 décembre de l’année dernière par l’intermédiaire de l’ambassade des États-Unis, grâce au fait que mon plus jeune enfant est citoyen américain et possède un passeport. J’ai pu partir avec lui. Ma seule valeur est d’être le père d’un citoyen américain, pas d’être palestinien.
Mais il ne faudrait pas croire que cette évacuation des personnes détenant un passeport occidental s’est faite par générosité ou par souci humanitaire. Cette évacuation n’a été motivée que par la volonté d’Israël de pouvoir massacrer à huis clos, sans risquer que la France, l’Allemagne ou les États-Unis protestent parce qu’il y aurait des morts parmi leurs concitoyens. Cela montre encore une fois que la vie des Palestiniens et des Palestiniennes n’a aucune valeur aux yeux du monde.
Qu’est-ce qu’on trouve aujourd’hui « caché dans votre oreille », maintenant que vous avez pu partir de Gaza et que le bruit des drones et des F16 s’est éloigné ?
J’entends toujours les mêmes sons : le bourdonnement des drones, l’explosion des missiles, le bruit des F-16, les sirènes des ambulances, les pleurs des enfants de Gaza, les cris des habitants. Tout cela je continue à l’avoir dans mon oreille, dès que je parle à ma famille qui est restée à Gaza. Mais s’ajoutent désormais d’autres choses : le bruit du métro à Paris, celui des avions qui décollent et atterrissent à New York, la musique dans un restaurant…
Joseph Confavreux
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carbone14 · 1 year ago
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Porte-avions français La Fayette (ex-USS Langley, CVL-27) – Toulon – 11 septembre 1951
©U.S. Naval History and Heritage Command – NH 81901
Dans le cadre du Mutual Defense Assistance Act, les Etats-Unis transfèrent le porte-avions à la France le 8 janvier 1951. Il est armé par la Marine Nationale le 2 juin 1951 et est rebaptisé La Fayette (R-97). Il sera restitué aux Etats-Unis le 20 mars 1963.
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aisakalegacy · 3 months ago
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Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
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claudehenrion · 7 months ago
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Pour parler d'autre chose... ''Et si on parlait d'autre chose ?''
Un week-end récent, par curiosité et par ennui (les dimanches sont un peu longs, parfois, aux veufs non-encore habitués à la solitude), je feuilletais les pages des bouquins faits de chacune des années regroupant les ''billets'' de ce blog (à raison d'un Tome par année, ça en fait, du volume et des volumes !). Une chose m'a frappé : le nombre de ''billets'' qui parlaient de Syrie, dans les années 2013/2015...
La Syrie fut longtemps un pays que j'ai beaucoup fréquenté et beaucoup aimé. J'y retournais fréquemment, ''par gourmandise'', si l'on peut dire, comme au Liban voisin, mon cher Liban, presque une ''autre patrie''. La vie est ainsi faite –ou est-ce nous qui l'avons détournée de sa vocation ?-- qu'elle nous donne souvent l'impression de se présenter à nous sous la forme étonnante de pages qui se tournent et qui doivent être oubliées. Il en va ainsi des amis qui ont disparu : un être vraiment très cher laisse dans votre mémoire une empreinte ineffaçable, tandis qu'un ami (mais alors : en est-ce un ?) plus ''superficiel'' (''copains'' de promo, fréquentations de travail, anciens voisins, relations de voyage ou de vacances) va se ranger presque naturellement dans les cases d'un pré-oubli, en chemin vers l'effacement total : le temps qui passe crée de grands vides sombres dans les carnets d'adresses, dans les noms sur les photos, et dans les souvenirs...
La Syrie, donc, et le Liban aussi, nous l'avons dit. Mais il y a tant d'autres pays merveilleux, où on se promet de revenir... sans concrétiser jamais cette envie d'un moment. Dans mon Panthéon (puisque la panthéonisation est une idée fixe de notre président), il y a le Maroc de mon enfance, ce petit coin de ''mon éternité'', qui ne disparaîtra qu'avec moi. Mais il y a aussi la Grèce, ce jardin béni de mes premières extases artistiques où, été après été, je retournais retrouver tout ce qui ne se trouve que là, dans ces deux mondes si différents que sont la Grèce continentale et les îles... et retrouver, surtout, la langue grecque, magique, ''mère'' de toutes nos langues, belle, riche, précise, à en être intraduisible...
Et puis, bien sûr, il y a l'Italie, qui a fasciné les jeunes français, génération après génération, depuis ''nos ancêtres les gaulois'', colonisés mais comme ensorcelés –et comme c'était intelligent !-- par leur colonisateur, au point d'abandonner leur civilisation celte pour devenir des ''gallo-romains''... jusqu'à nos romantiques transportés dans leurs rêves de beauté et plus récemment, à certains hommes politiques contemporains (mais pas meilleurs pour autant), qui, au lieu d'étaler sans talent leurs fantasmes pornographiques (n'est-ce pas, Bruno Le Maire ? Avec tes 1800 opuscules péniblement vendus, arrête donc d'écrire : tu ne seras jamais Chateaubriand !), avouent une ''Tentation de Venise''... comme Juppé qui, pour une fois honnête, expliquait que cette escapade lui permettait de mesurer les limites et les insuffisances de sa propre vie … ce que nous avions fait longtemps avant lui. Sans compter que chacun de nous cache un petit ''coin'' secret, à lui tout seul, dont Rimbaud disait : ''Je sais que je serais mieux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs''.
Depuis une dizaine d'années, un mal puissant s'est imposé à moi et s'est mis à créer des ravages dans l'exercice de ma mémoire : je ne retrouve plus la France... Vous rendez-vous compte de ce que cela veut dire pour l'ancien (lire ici : ''le très ancien''!) enfant de la guerre --je parle de celle de 39-45-- qui avait appris de ses bons maîtres, eux-mêmes gazés et multi-blessés de la précédente (celle de 14-18) que la France (on disait, d'une voix qui avait vite fait de devenir frémissante : ''la Patrie'' !) était une personne de chair et de sang qu'il fallait aimer plus que tout... Sic transit gloria mundi...
Car la savoir défaite, envahie, humiliée, occupée... la rendait encore plus ''désirable'' à nos huit ou dix ans : elle avait besoin de nous, et nous n'avions donc pas le droit de la décevoir ! En ces temps, de nos jours prétendus démodés par ceux qui ne les ont pas connus et n'en savent rien que les quelques éléments négatifs disponibles, ceux que la sale ''propaganda'' de gauche a retenus puisqu'ils étaient ''à charge'', la vérité ne se résumait pas à tricher sur les chiffres et à mentir sur leurs causes –ce à quoi elle ressemble de plus en plus, aujourd'hui-- mais était (n'était que ?) la recherche des devoirs qu'imposait celui de profiter du peu qui nous était laissé... C'était dur ? Non : c'était beau !
Comme les ravageuses et débilitantes méthodes faussement dites ''pédagogiques'' n'avaient pas encore été con-coctées (le choix du tiret est mûrement réfléchi) par les ''pédagos'' criminels qui ont fait du ministère de l'instruction publique (nom qu'il faut reprendre au plus vite) une redoutable machine à décérébrer, à désinformer, à déconstruire et... à déconner, le ''par cœur'' avait conservé le poids qu'il mérite (NDLR : je n'ai jamais compris pourquoi le fait qu'internet permette l'accès à une information plus rapidement que nos anciens dictionnaires... forcerait à ne plus entretenir ce merveilleux outil qu'est notre mémoire, au moment où la ''muscu'' semble chère à notre ''le plus jeune président etc...'' qui s'exhibe en photo, ''photoshoppé'' avec les biceps de Rambo ! NDLR-bis : tout de même.... 'faut oser ! De cette ''gonflette'' de très mauvais goût à sa dissolution au pire moment, il n'en aura pas raté une !). Toujours est-il que le fait de chercher ''ma France'' sans plus être capable d'en retrouver la moindre trace, est vécu, par moi, comme un drame, que j'ai conscience de partager avec nombre d'amis (de ma tranche d'âge, notamment).
Il n'a pas fait beau, aujourd'hui... Cela joue-t-il un rôle dans la nostalgie qui m'étreint, ce soir ? Je me sens apte à rejoindre tous les vieillards de tous les temps, pour murmurer, comme eux... mais sans être entendu (car il est très mal vu de dire la vérité, dans notre pays où la Liberté n'est plus qu'un slogan sans contenu, mais répété ''ad nauseam''), que... ''C'était mieux, avant !'' : les franches horreurs dont la Gauche-en-folie et ''extrême'' en tout nous menace, en cet instant précis, ne semblent pas de nature à me donner envie de changer ce slogan ou de m'écarter de son sens prophétique...
H-Cl.
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leblogdemarinaetjm · 12 days ago
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LUNDI 30 DÉCEMBRE 2024 (Billet 1 / 4)
« SARAH BERNHARDT, LA DIVINE » (1h 38min)
Un film de Guillaume Nicloux, avec Sandrine Kiberlain, Laurent Lafitte, Amira Casar…
Critiques sur le Site AlloCiné / Presse : 3,5 / Spectateurs : 3,2
Au printemps de l’année dernière nous avions vu, lors d’une visite guidée, la très belle Exposition que le Petit Palais lui avait consacrée. Nous connaissions donc sa vie et le « colossal » succès qu’elle a rencontré tout au long de sa (longue) carrière et ce, dans divers pays, dont les Etats Unis où elle a joué, en français, sous d’immenses chapiteaux, devant des milliers et des milliers de spectateurs qui ne comprenaient pas un mot de ce qu’elle disait. C’est pour elle que Jean Cocteau a composé le mot « Monstre Sacré ».
Il aurait fallu un biopic de plus de 3 heures et d’énormes moyens pour retracer son histoire mais ce n’était pas le but de Guillaume Nicloux, le metteur en scène de ce film.
Est-ce à cause de ça, un certain nombre de spectateurs et de critiques de cinéma sont sortis déçus de la projection, sur le Net, les avis sont de fait assez partagés.
Nous vous proposons de lire la critique ci-dessous qui reflète bien par contre ce que nous, nous en avons pensé. Marina est sortie emballée et a tout de suite donné ❤️❤️❤️❤️,5 au film, JM, un petit peu moins (ayant des problèmes d’audition, certains dialogues du film où Sandrine Kiberlain jouait allongée lui ont échappé…), mais lui accorde quand même ❤️❤️❤️,5 sur 5.
Tous les deux, avons énormément apprécié les costumes, les décors, les brillantes répliques des protagonistes principaux (la plupart sont historiques)… et surtout l’interprétation de Sandrine Kiberlain. Nous parions à son sujet qu’elle aura une nomination aux prochains Césars, voire « LE » César de la meilleure interprétation féminine.
A noter que d’avoir vu l’Exposition du Petit Palais nous a permis de ne pas être frustrés…
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Thème
Paris 1915. Atteinte d’une tuberculose osseuse qui lui « dévore » le genou droit et la menace de septicémie, Sarah Bernhardt, l’actrice française la plus connue et adulée du monde, doit se résoudre à se faire amputer. Alors âgée de 75 ans, elle parvient à en plaisanter et à rassurer les amis qui l’entourent… Bien sûr, la « Divine » s’en sort et revient vivre chez elle. Parmi ses visiteurs, le jeune Sacha Guitry. Il va la faire parler de la liaison qu’elle eut vingt ans plus tôt avec son père Lucien, à une époque où, libre, moderne, talentueuse et extravagante, elle, l’Actrice avec un A majuscule, était au faîte de sa gloire… Elle racontera à Sacha les sales coups que son père lui avait joués, la poussant par deux fois au suicide. Sarah la flamboyante avait donc aussi des fragilités…
Points forts
La singularité du projet. Même si, assez étonnamment d’ailleurs, il n’y avait encore jamais eu de « biopic » français sur celle qui fut le premier « monstre sacré » du monde et qui, encore aujourd’hui, reste une icône, il était hors de question pour Guillaume Nicloux de retracer sagement sa carrière sur grand écran. Le cinéaste a choisi de dresser un portrait psychologique de la grande Sarah, et ce, à travers deux périodes clés de sa vie : celle de l’acmé de sa carrière (l’année 1896) où elle est au firmament de tout ce qui la compose (son excentricité, sa démesure, sa liberté, sa modernité, son extravagance, son impertinence, mais aussi, soigneusement dissimulées, ses fragilités…) et celle où, pour ne pas mourir, elle doit se faire amputer d’une jambe, en jouant les bravaches. Cela suffit ? En tous cas, cela a suffi à la réinventer…
Le choix de l’interprète. Trouver une actrice capable de jouer toutes les facettes de la « Divine » sans pour autant la copier, aurait pu relever de la gageure. Dès le départ du projet, il y a cinq ans, Guillaume Nicloux n’en a vu qu’une : Sandrine Kiberlain. La comédienne a d’emblée accepté le défi. « Je ne voulais surtout pas imiter Sarah Bernhardt dit-elle. Avec Guillaume Nicloux, on s’est demandé s’il fallait rendre sa vérité en copiant son jeu et ses intonations, ou s’il fallait se l’approprier autrement. On a choisi la deuxième voie : rendre l’émotion et la puissance qu’elle procurait ». Sandrine Kiberlain ne s’est pas trompée. La Sarah Bernhardt qu’elle propose est tout simplement fascinante. Saluons au passage ce petit rire qu’elle a inventé et qui ponctue presque toutes ses répliques : il semble exprimer à la fois la folie et l’impertinence gouailleuse de la tragédienne qu’elle (ré) incarne. 
La beauté des décors et des costumes. Tout chatoie dans ce film magnifiquement cadré et éclairé. On ne devine pas qu’il a été tourné en cinq petites semaines avec un budget modeste.
La richesse du générique. Il offre parmi la crème des comédiens français, dont Laurent Lafitte (formidable dans son personnage de Lucien Guitry), Pauline Etienne, Laurent Stocker, Grégoire Leprince-Ringuet…
L’énergie musicale du film, offerte par les nombreux compositeurs qui l’accompagnent (Reynaldo Hahn, Ravel, Debussy, Chopin, Schubert…)
Quelques réserves
On pourra regretter qu’on voie très peu Sarah Bernhardt dans son rôle d’actrice. 
Encore un mot...
Même s’il n’est pas question à propos de ce long-métrage, visuellement très réussi, de parler de chef-d’oeuvre, au moins pourra-t-on reconnaître à son auteur Guillaume Nicloux d’avoir réussi à cerner une artiste hors norme, dans sa singularité, ses exigences, ses faiblesses et surtout sa liberté, annonciatrice des révolutions féministes du monde d’aujourd’hui. Comment, en outre, ne pas savoir gré au cinéaste d’avoir offert à Sandrine Kiberlain un rôle à la mesure de son immense talent.
(Source : « culture-tops.fr »)
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lespoulesebreizh · 6 months ago
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QUE L'AVENTURE COMMENCE!
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A chaque nouvelle année, c'est le moment de faire ses vœux pour l'année suivante...et le nouvel an 2023, je l'ai fais avec ma poule, (Karine).
C'est autour d'une coupette que l'idée est venue: le GR34 à pied!? 
Puis, concrétisation lors d'une visite en avril de la p'te famille à la maison où Karine me relance, " ma poule, tu me régales !"
1h plus tard, nous avions nos billets: DERMAT CROZON!
Retrouvailles jeudi 25 juillet au soir chez karine pour un dernier check des sacs et pour profiter d'une dernière nuit douillette...
On s'en reparle du sac ma poule 🤣 jamais sans mes crèmes...
Merci Chou d'avoir pris soin de nous et de nous avoir emmenées à 6h du matin à Tourcoing!
Ptite nuit, mais ravies: l'aventure commence!
ET v'la l'aventure...
Un ouigo classique, tu fais la queue, tu t'installes à ta place, tu es heureuse...et 6h03, je dis à karine, c'est pas normal qu'on ne parte pas...
5min plus tard, pti jingle sncf qui nous annonce une heure de retard pour acte malveillant sur voie...on revient vers vous quand on en sait plus...
10 min plus tard, de nouveau ce jingle : "mesdames, messieurs, je ne vais pas vous mentir, c'est la merde."
Rappelons le contexte, journée d'ouverture des JO à Paris et plusieurs sabotages ont eu lieu pendant la nuit un peu partout sur le réseau ferroviaire français entrainant dans un premier temps des retards puis tres vite de nombreuses suppressions de train.
...alors au début tu ris...puis, on te fait sortir du train (remarques, ca te laisse le temps de regler tes dragonnes), on te fait remonter en urgence 😅🤣 cours ma poule//café ou pas café //😅🤣. 
Pour en réalité partir 4h30 en retard, en te disant on va passer par la gare du nord pour changer de conducteur...bref, on arrivera à 15h à Massy TGV... soit 9h depuis notre arrivée à Tourcoing...
On pensait jusque 14h16, qu'on aurait une correspondance pour Rennes ou Brest, mais en vain...plus aucun train?! 
Et c'est à force de fouiller qu'on a trouvé Astrid, qui en galère comme nous, a fait le choix de prendre sa voiture pour aller à Brest.
Parfait!
A peine le temps de boire une bière et voilà notre chauffeur, en route pour 5h et plus de voiture...arrivée prévue 21h...
Cela nous laisse le temps de décaler le bateau à demain matin, et de passer 2, 3 coups de fil pour notre 1ere nuit bretonne et hop, karine nous trouve une pte cousine, Anne Laure qui veut bien venir nous chercher, nous héberger et nous déposer au bateau demain matin pour qu'on rejoigne la presqu'île de Crozon.
Pti apero dînatoire en famille: quel accueil ! Merci à Anne Laure et Julien.
Au top...émotions, sensations et création de souvenirs pour cette 1ere journée bien remplie, mais au final, on attaque comme prévue le Gr demain matin!
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loonymoony6877 · 3 months ago
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Dear Antoine,
After continuous bombing and gunfire, the boche  have driven us from the town of Verdun. The enemy is constantly sending aircraft into flight to scour the ground below for any of our french people. I am glad that you are safe back at Agen. The sound of explosions and gunfire constantly keeps us on edge. You should be glad that you are not here. We suffer sleepless nights that are full of boredom and silence. There are also times when it rains, puddles form in the trenches and soak our boots and prune our feet. We have had 54 cases of trench foot since the battle started. 
The boche likes to sneak up and throw their stick hand grenades at the edge of our defenses, to try and take us by surprise. We easily take out most of the boche with our machine guns. Our troops at Verdun have had many casualties, but we still stand strong and will not give up. We fight for the future of France and its greatness.
My friend, Joseph was sadly taken down by gunfire. He served and fought well for France. He will always be remembered in our hearts, but he is in a better place now. He shot down hundreds of the boche, he was a true hero. Your uncle, Louis, got grazed by a bullet on his left arm. It’s been patched up and is healing quite well. He will be back fighting in no time. 
Do you still have wine in your cellar? I was thinking that when the war is over we could open a few bottles and get drunk together and try to forget about what we went through. I know that fighting for France is necessary, but sometimes I wish this war never happened. It’s been dragging on for 2 years now and will never seem to stop. The trenches are cramped, full of rats, some with water, bullet shells, and corpses. The stench never seems to go away. The other soldiers seem to have gotten used to the smell of death and destruction, but I don’t think I ever will.
When I get home from the war, all I want to do is take a warm bath, have a nice meal, read a book, and sleep. All I really have is a small tin of animal fat, reliance on food and water rations, a few hours of sleep, and some paper. When I get home, I don’t want a job, I don’t want hard work, I only want relaxation and home. 
I hope you are faring well in this war and I look forward to coming home and seeing you again. I look forward to sitting down with some cheese and crackers to eat. I will try and write to you before Christmas and the new years start. I hope to see you soon.
Your cherished friend,
Pierre Blanchet
[FRENCH VERSION]  
Cher Antoine, Après des bombardements et des coups de feu continus, les boches nous ont chassés de la ville de Verdun. L'ennemi envoie constamment des avions en vol pour fouiller le sol en contrebas à la recherche de l'un de nos Français. Je suis content que tu sois en sécurité à Agen. Le bruit des explosions et des coups de feu nous tient constamment en haleine. Tu devrais être content de ne pas être là. Nous subissons des nuits blanches pleines d'ennui et de silence. Il y a aussi des moments où il pleut, des flaques se forment dans les tranchées et trempent nos bottes et taillent nos pieds. Nous avons eu 54 cas de pied de tranchée depuis le début de la bataille. Les Boches aiment se faufiler et lancer leurs grenades à main au bord de nos défenses, pour essayer de nous prendre par surprise. Nous éliminons facilement la plupart des Boches avec nos mitrailleuses. Nos troupes à Verdun ont subi de nombreuses pertes, mais nous tenons bon et n'abandonnerons pas. Nous nous battons pour l'avenir de la France et sa grandeur. Mon ami Joseph a malheureusement été abattu par des coups de feu. Il a bien servi et combattu pour la France. On se souviendra toujours de lui dans nos cœurs, mais il est dans un meilleur endroit maintenant. Il a abattu des centaines de boches, c'était un vrai héros. Ton oncle, Louis, s'est fait effleurer par une balle au bras gauche. Il a été rafistolé et guérit assez bien. Il sera de retour au combat en un rien de temps. Vous avez encore du vin dans votre cave? Je pensais qu'une fois la guerre terminée, nous pourrions ouvrir quelques bouteilles et nous saouler ensemble et essayer d'oublier ce que nous avons vécu. Je sais que se battre pour la France est nécessaire, mais parfois je souhaite que cette guerre n'ait jamais eu lieu. Cela traîne depuis 2 ans maintenant et ne semblera jamais s'arrêter. Les tranchées sont exiguës, pleines de rats, certains avec de l'eau, des balles et des cadavres. La puanteur ne semble jamais s'en aller. Les autres soldats semblent s'être habitués à l'odeur de la mort et de la destruction, mais je ne pense pas que je le ferai jamais. Quand je rentre de la guerre, tout ce que je veux, c'est prendre un bain chaud, prendre un bon repas, lire un livre et dormir. Tout ce que j'ai vraiment, c'est une petite boîte de graisse animale, des rations de nourriture et d'eau, quelques heures de sommeil et du papier. Quand je rentre à la maison, je ne veux pas de travail, je ne veux pas de travail acharné, je ne veux que la détente et la maison. J'espère que vous vous portez bien dans cette guerre et j'ai hâte de rentrer à la maison et de vous revoir. J'ai hâte de m'asseoir avec du fromage et des craquelins à manger. Je vais essayer de vous écrire avant Noël et le début des nouvelles années. J'espère te voir bientôt. Votre cher ami, Pierre Blanchet
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aurevoirmonty · 3 months ago
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Le Hezbollah avait accepté un accord de cessez-le-feu juste avant l’assassinat de Nasrallah, soutient Beyrouth
«Nous en avions informé les Américains et les Français», explique le ministre libanais des Affaires étrangères Abdallah Bou Habib à la télévision américaine.
Ils nous ont dit que monsieur Netanyahou était également d'accord
Et ce alors que le bureau de Netanyahou a publiquement affirmé (https://t.me/kompromatmedia_2/1346) que le Premier ministre n’avait «même pas répondu à la demande de cessez-le-feu de Macron-Biden».
La diplomatie française aurait-elle joué un bien mauvais tour à son allié historique?
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francaistoutsimplement · 4 months ago
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VERY GOOD DEAL , THANKS VLAD !!
MiG30K and Hypersonic russian Kinzhal (F-16 of the left corner)
Reports from a number of European sources have indicated that an attack on an airbase in Ukraine destroyed FOUR newly supplied F-16 fighter aircraft on the ground. The report was followed by reports from Russian sources that Kinzhal ballistic missiles were launched at an airfield in Strakonstantinov in Western Ukraine.
L'OTAN encaisse un coup massif en Ukraine. Le bombardement russe sur la base de Starokonstantinov ne s'est pas contenté de détruire du matériel militaire dont 4 F16. il a aussi frappé au cœur des opérations secrètes de l'Alliance. 9 officiers des forces aériennes de l'OTAN, dont 6 Américains et 3 Français, éliminés, des F-16 réduits en cendres et des missiles Storm Shadow britanniques et SCALP-EG français anéantis. Ces agents opérant depuis l'ombre pensaient pouvoir agir impunément sur le sol ukrainien. Moscou avait prévenu et vient de montrer entre autre à Macron que les renforts de l'OTAN ne sont pas à l'abri.
La distance entre Donetsk et la base bombardée est proche de 800kms donc l'armée russe dispose d'informations très précises très loin de leur zone d'opération.
À Starokonstantinov, 9 officiers du quartier général de l'armée de l'air de l'OTAN arrivés de Rammstein via Chisinau vers l'Ukraine ont été tués dans un bunker de stockage des missiles Storm Shadow et SCULP. Ils ont assuré la coordination et le guidage avec l'aide des avions AWACS de l'OTAN pour le lancement de missiles depuis les combattants des forces armées ukrainiennes. Six des neuf personnes étaient des citoyens américains d'origine ukrainienne et trois étaient FRANÇAIS. Selon les données préliminaires, 7 instructeurs britanniques et 6 spécialistes techniques néerlandais ont été grièvement blessés. Deux missiles hypersoniques russes n'ont pas été détectés par les forces de défense aérienne ukrainiennes, entraînant la destruction de chasseurs F-16 et un SU-24, ainsi qu'au moins 15 missiles SS et Scalp.
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Et voilà et ce n est pas fini. Bravo à la Russie. 3 Français seraient du lot des victimes..............Ils sont allés de leur plein gré défendre les intérêts Américains en Ukraine..
(Premièrement sur les 3 missiles kinzhal les ukrainiens en ont abattus 4 donc il n'y a pas eu d'explosion. Et deuxièmement il n'y a pas de soldats français en Ukraine car le parlement n'a rien vu et c'est Macron qui le dit. C'EST CA LA VÉRITÉ MERCI DE BIEN PENSER!)
Les russes n'ont jamais perdu une guerre ....ce n'est pas face à ces gens qu'ils perdront cette fois ......une réalité est là, Détruire ces malades wokes nazis de l'ouest est une priorité.
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