#arbre nu
Explore tagged Tumblr posts
toutplacid · 5 months ago
Text
Tumblr media
MĂšre et fille Ă  Champcevinel (Dordogne) — stylo-bille 8 couleurs, carnet nÂș 135, 1er mars 2023.
21 notes · View notes
brilag · 8 months ago
Video
Le printemps est là, on attend les feuilles ! par brigitte lagravaire Via Flickr : 2019-13-21-Monflanquin
0 notes
esoterique-fr · 2 months ago
Text
Pleine Lune Novembre 2024
La #PleineLune du mois de #Novembre est bientĂŽt Ă  son apogĂ©e 🌕 DĂ©couvrez dans l'article, la signification complĂšte de la #LuneDuCastor, l'influence du signe astrologique #Taureau ainsi que les activitĂ©s recommandĂ©es pour profiter au maximum des Ă©nergies de cette magnifique #Lune qui sera accompagnĂ©e d'une #Eclipse lunaire totale 👍
La Pleine lune Novembre 2024 vous intĂ©resse et vous souhaitez en savoir plus sur son influence ainsi que ses significations Ă©sotĂ©riques? Si vous avez un intĂ©rĂȘt prononcĂ© pour l’astrologie ou que vous ĂȘtes simplement curieux(se) de la nature et de la spiritualitĂ©, cette lune ne passera pas inaperçue. Ici, nous vous rĂ©vĂ©lons la date de cette pleine lune, le signe astrologique qui lui est associĂ©,

0 notes
mrsines · 1 month ago
Text
Destinée Ensorcelée
Chapitre 6 : The Power
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Toutes les sorciÚres étaient profondément plongées dans un sommeil paisible, leurs visages illuminés par la lueur des flammes.
Soudain, un bruit Ă©trange rĂ©sonna dans la nuit, comme un chuchotement lointain mĂȘlĂ© Ă  un souffle de vent. Lilia, les sens en alerte, ouvrit les yeux. Son cƓur s'emballa alors qu'elle reconnaissait ce son. Les histoires de sa grand-mĂšre lui revinrent en mĂ©moire : les sorciĂšres de Salem, rĂ©putĂ©es pour leur pouvoir et leur mystĂšre, approchaient.
Elle se leva d'un bond, ses pieds nus glissant sur le sol froid. Les autres sorciĂšres, dĂ©rangĂ©es par le tumulte, commencĂšrent Ă  se rĂ©veiller, leurs expressions d'inquiĂ©tude se mĂȘlant Ă  la curiositĂ©.
« Elles arrivent ! » cria Lilia, sa voix résonnant comme un écho dans la piÚce sombre.
Les sorciÚres se redressÚrent, échangeant des regards alarmés.
« Qu'est-ce que tu veux dire, Lilia ? » demanda Alice, la, en frottant ses yeux ensommeillés.
« Je l'ai entendu, je le sais ! Les sorciÚres de Salem sont là,» répondit Lilia, le souffle court, les yeux brillants d'une détermination nouvelle.
Les murmures commencÚrent à circuler parmi les membres du coven, chacun réalisant la gravité de la situation.Ivana, avec un froncement de sourcils marqué, s'approcha du groupe, son regard perçant scrutant les visages inquiets de ses compagnes.
« Pourquoi ĂȘtes-vous toutes si tendues ? » demanda-t-elle, la voix empreinte d'une autoritĂ© naturelle.
Lilia, le cƓur battant, prit une profonde inspiration avant de rĂ©pondre. « C'est Ă  cause d'Agatha. Les sorciĂšres de Salem viennent pour se venger d'elle. » Son ton Ă©tait grave, et l'atmosphĂšre se chargea d'une tension palpable.
Les autres sorciÚres échangÚrent des regards perplexes. « Venger d' Agatha ? Pourquoi ? » s'interrogea Lucillia, perplexe.
« Agatha a tué son coven, » expliqua Lilia, la voix tremblante. « Elle a laissé les enfants vivants, et maintenant, ces enfants sont là pour se venger. »
Juste Ă  ce moment-lĂ , une voix rĂ©sonna, froide et calculatrice. C'Ă©tait Agatha elle-mĂȘme, qui venait d'entrer dans la salle, un sourire Ă©nigmatique sur les lĂšvres. « MoralitĂ© de l'histoire, mes chĂšres, ne jamais avoir de clĂ©mence et toujours finir son travail, » dit-elle d'un ton presque amusĂ©.
Les sorciĂšres, figĂ©es par la surprise, ne purent que la regarder, l'angoisse se mĂȘlant Ă  la confusion.
« Alors, que faisons-nous maintenant ? » demanda Alice, une lueur d'inquiétude dans les yeux.
Agatha balaya la piÚce du regard, son assurance évidente. « Allons, nous devons y aller. »
Les sorciĂšres, hĂ©sitantes mais dĂ©terminĂ©es, se prĂ©parĂšrent Ă  suivre Agatha, conscientes que le destin de leur coven Ă©tait en jeu.Les sorciĂšres couraient Ă  travers la forĂȘt, les arbres, hauts et sombres, semblaient se pencher sur leur passage, Ă©coutant le murmure de leurs voix paniquĂ©es. La peur Ă©tait palpable, chaque craquement de branche rĂ©sonnant comme une menace.
« Nous ne pouvons pas Ă©chapper Ă  ces sorciĂšres ! » s'Ă©cria Jen, haletante, ses yeux Ă©carquillĂ©s de terreur. Elle s'arrĂȘta un instant, le souffle court, puis ajouta avec dĂ©termination : « Il faut qu'on s'envole ! »
Lilia, qui peinait à suivre le rythme, comprit immédiatement à quoi Jen faisait allusion. « Tu veux dire... sur un balai ? Non, hors de question ! » s'exclama-t-elle, une lueur de défi dans ses yeux. « C'est péjoratif ! »
Ivana, qui les observait avec un mélange d'incrédulité et de frustration, leva les yeux au ciel. « C'est une blague ? » dit-elle, sa voix tranchante comme une lame. « Je ne suis pas la méchante sorciÚre de l'Ouest pour monter sur un balai comme une gamine ! »
Agatha Ă©clata de rire aux paroles d'Ivana, un son cristallin qui rĂ©sonnait dans l'air tendu de la forĂȘt. « Tu es sĂ©rieuse ? Tu ne vas pas vraiment refuser de monter sur un balai, n'est-ce pas ? » dit-elle en essuyant une larme de rire au coin de son Ɠil.
Jen, impatiente et anxieuse, intervint : « Écoutez, on n'a pas le choix ! » Sa voix Ă©tait ferme, mais une lĂ©gĂšre tremblement trahissait son inquiĂ©tude. « Si on veut Ă©chapper aux sorciĂšres, il faut agir vite. »
À ce moment-lĂ , un groupe de sorciĂšres Ă©mergea des ombres des arbres, leurs visages dĂ©terminĂ©s. Elles prirent de gros morceaux de bois, des branches Ă©paisses et noueuses, et commencĂšrent Ă  les transformer en balais. Le bruit du bois craquant sous leurs mains Ă©tait Ă  la fois fascinant et terrifiant.Alice, qui observait la scĂšne avec un sourire malicieux, se tourna vers Ivana. « Tu peux monter avec moi si tu veux, » proposa-t-elle, ses yeux pĂ©tillants d'excitation.
Ivana, d'abord hésitante, sentit une montée d'adrénaline. « Oui, pourquoi pas ! » répondit-elle, un sourire se dessinant sur son visage.
 Elle n'avait jamais pensé qu'elle volerait sur un balai, mais la situation l'exigeait. Lilia, voyant la détermination d'Ivana, se tourna vers Lucillia. 
« Et toi, tu veux monter avec moi ? » demanda-t-elle, pleine d'enthousiasme.
Lucillia hocha la tĂȘte avec un grand sourire. « Bien sĂ»r, je ne vais pas rater ça ! » s'exclama-t-elle, impatiente de s'envoler.
Les sorciĂšres, maintenant prĂȘtes avec leurs balais improvisĂ©s, se regroupĂšrent, prĂȘtes Ă  affronter l'inconnu. L'excitation et la peur se mĂȘlaient dans l'air, mais une chose Ă©tait claire : elles allaient s'envoler ensemble, unies par leur courage et leur dĂ©termination.
Agatha observait la scÚne avec une moue contrariée. Elle n'aimait pas vraiment que Ivana monte avec Alice, mais elle garda le silence, serrant les poings pour ne pas laisser échapper ses pensées. Son regard se déplaçait entre les deux filles, une lueur de jalousie dans ses yeux, bien qu'elle ne veuille pas créer de tensions.
Lucillia, pleine d'assurance, se tourna vers Lili et posa ses mains sur ses hanches pour se stabiliser. « PrĂȘte Ă  dĂ©coller ? » demanda-t-elle avec un sourire complice.
« PrĂȘte comme jamais ! » rĂ©pondit Lilia, son cƓur battant la chamade. 
Les deux femmes Ă©changĂšrent un regard complice, savourant ce moment d'amitiĂ© et d'excitation. La tension de l'instant Ă©tait palpable, mais elles trouvaient du rĂ©confort l'une dans l'autre. Alors que la tension montait, elles se prĂ©parĂšrent Ă  s'envoler, prĂȘtes Ă  affronter l'inconnu ensemble. Ce moment partagĂ©, cette complicitĂ©, rendait l'aventure d'autant plus prĂ©cieuse.
☆○o。  。o○☆
Les sorciÚres avaient atterri avec grùce devant une imposante bùtisse, qui ne ressemblait pas vraiment à une maison ordinaire. En s'approchant, elles réalisÚrent qu'il s'agissait plutÎt d'un chùteau majestueux, dont les tours s'élevaient vers le ciel, comme des doigts pointés vers le ciel.
Les murs Ă©taient en pierre grise, marquĂ©s par le temps, et couverts de lierre verdoyant qui semblait vouloir les envelopper. De grandes fenĂȘtres Ă  vitraux colorĂ©s, reprĂ©sentant des scĂšnes de magie ancienne, laissaient filtrer une lumiĂšre tamisĂ©e, crĂ©ant des reflets dansants sur le sol pavĂ©.
L'entrĂ©e principale Ă©tait ornĂ©e d'une porte massive en chĂȘne, sculptĂ©e de motifs mystiques et de runes anciennes. Les sorciĂšres Ă©changĂšrent un regard complice, sachant que cette porte marquait le dĂ©but d'une nouvelle Ă©preuve.
En poussant la porte, un grincement résonna dans l'air, révélant un hall d'entrée vaste et sombre. Les murs étaient décorés de tapisseries représentant des batailles épiques et des sorciÚres en plein vol, tandis que des chandeliers en fer forgé, suspendus au plafond, projetaient une lumiÚre vacillante.
L'atmosphÚre était chargée de mystÚre, presque palpable. Un parfum d'herbes et de potions flottait dans l'air, évoquant les souvenirs de rituels passés. Au fond du hall, un grand escalier en colimaçon menait à des étages supérieurs, tandis qu'une porte en bois massif, ornée de symboles magiques, attirait leur attention.
Les sorciĂšres savaient qu'elles Ă©taient sur le point de dĂ©couvrir des secrets enfouis et de relever des dĂ©fis qui mettraient Ă  l'Ă©preuve non seulement leurs pouvoirs, mais aussi leur amitiĂ©. L'excitation et l'apprĂ©hension se mĂȘlaient alors qu'elles faisaient un pas en avant, prĂȘtes Ă  affronter ce qui les attendait dans ce chĂąteau mystĂ©rieux.
Cette fois-ci, l'indice qu'elles devaient trouver n'était pas simple. Agatha, Ivana, Lucillia, Lilia, Alice et Jen étaient toutes réunies dans une piÚce sombre et mystérieuse, leurs visages éclairés par la lueur vacillante d'une bougie posée sur une table en bois usé.
Les six sorciÚres fouillaient la piÚce avec une détermination palpable. Agatha, scrutait chaque recoin, tandis qu'Ivana, plus pragmatique, examinait minutieusement les étagÚres chargées de livres anciens. Lucillia, avec son sourire contagieux, tentait de garder le moral en lançant des blagues, mais la tension était palpable.
Lilia, quant à elle, se penchait sur une vieille carte accrochée au mur, ses doigts glissant sur les lignes jaunies. Alice et Jen, les plus jeunes du groupe, se concentraient sur un coffre en bois, en essayant de déchiffrer un mécanisme complexe qui semblait verrouiller son ouverture.
"Regardez ici," s'exclama Lilia en dĂ©signant un symbole Ă©trange gravĂ© sur le mur, "peut-ĂȘtre que ça a un rapport avec l'indice !"
Les autres se regroupÚrent autour d'elle, leurs visages illuminés par l'espoir. Elles savaient que la solution se trouvait quelque part dans cette piÚce, mais chaque minute qui passait ajoutait à leur frustration.
La tension montait alors qu'elles cherchaient frĂ©nĂ©tiquement, leurs cƓurs battant Ă  l'unisson. Chaque objet, chaque dĂ©tail, pouvait ĂȘtre la clĂ© pour les libĂ©rer de cet endroit mystĂ©rieux. Elles Ă©taient dĂ©terminĂ©es Ă  ne pas abandonner, unies par leur dĂ©sir de dĂ©couvrir le secret qui les aiderait Ă  s'Ă©chapper.Ivana s'approcha du coffre avec dĂ©termination, ses mains tremblantes d'excitation. Elle tenta de soulever le couvercle, mais il ne bougea pas d'un pouce.
"Allez, ouvre-toi !" murmura-t-elle, frustrée.
Alice, voyant l'échec d'Ivana, prit le relais. "Laisse-moi essayer," dit-elle, en s'agenouillant devant le coffre. 
Elle força le couvercle, mais rien n'y fit. "C'est vraiment verrouillé," soupira-t-elle.
Agatha, impatiente, ne put contenir sa colÚre. "Mais c'est quoi ce truc ?!" s'exclama-t-elle en arrachant le coffre des mains d'Alice. 
Dans un geste brusque, elle le jeta au sol avec fracas. Le bruit résonna dans la piÚce, mais le coffre resta intact.
"Non mais je rĂȘve," dit Agatha, les poings serrĂ©s. Elle se mit Ă  frapper le coffre avec ses pieds, mais il ne cĂ©da toujours pas. "C'est quoi ce matĂ©riau ?"
Jen, observant la scĂšne avec un sourcil levĂ©, s'approcha. "Tu sais, Agatha, peut-ĂȘtre que la force brute n'est pas la meilleure solution," dit-elle avec un sourire ironique. Elle prit le coffre et le posa calmement sur la table.
"Il faut rĂ©flĂ©chir avant d'agir," poursuivit-elle, son ton sĂ©rieux. "On ne veut pas risquer nos vies pour un coffre, mĂȘme si ça semble frustrant."
Agatha, toujours en colÚre, croisa les bras. "Mais qu'est-ce qu'on fait alors ? On attend que ça s'ouvre tout seul ?"
"Non," rĂ©pondit Jen, "mais on doit analyser ce coffre. Peut-ĂȘtre qu'il y a un mĂ©canisme ou un indice cachĂ©. Ne laissons pas notre impatience nous mener Ă  notre perte."
Lorsque le coffre fut enfin posĂ© sur la table, Lucillia s'approcha lentement, son regard captivĂ© par l'objet mystĂ©rieux. La lumiĂšre dans la piĂšce se reflĂ©tait sur le bois ancien du coffre, accentuant l’aura de mystĂšre qui l’entourait. Elle se pencha, observant attentivement l'ouverture qui semblait l'inviter Ă  dĂ©couvrir ses secrets.
AprÚs quelques instants de contemplation, son regard se fixa sur la serrure. Une idée germa dans son esprit. La forme délicate de la cérure du coffre correspondait parfaitement à celle de son pendentif en argent.
"Attendez," dit-elle, la voix tremblante d'excitation. "Regardez ça ! La serrure, elle
 elle ressemble à mon collier !"
Les autres filles se tournÚrent vers elle, intriguées.
"Tu es sûre ?" demanda Alice, plissant les yeux pour mieux voir.
"Oui, c'est comme si ce coffre m'attendait," répondit Lucillia, un sourire se dessinant sur ses lÚvres. "C'est mon épreuve. Je dois l'ouvrir."
Agatha, toujours impatiente, croisa les bras. "Alors, qu'est-ce que tu attends ? Utilise-le !"
Lucillia Ă©tait en panique, son cƓur battant la chamade, mĂȘme si elle faisait de son mieux pour cacher ses Ă©motions. Ses mains tremblaient lĂ©gĂšrement, et elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre. Lilia, observant son amie avec une attention bienveillante, comprit rapidement la gravitĂ© de la situation.Sans hĂ©siter, elle s'approcha de Lucillia et se mit Ă  cĂŽtĂ© d'elle. 
"Hey, calme-toi," murmura-t-elle d'une voix douce, essayant de lui transmettre un peu de réconfort.
Lilia posa sa main sur le dos de Lucillia, caressant délicatement sa peau, comme pour apaiser ses inquiétudes. "Tu es plus forte que tu ne le penses. Je suis là avec toi," ajouta-t-elle, son ton encourageant.
Lucillia, bien que troublée, se laissa porter par les paroles réconfortantes de son amie. Elle prit une profonde inspiration, essayant de canaliser son anxiété. 
"Merci, Lilia," murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Avec détermination, elle défait son collier, ses doigts agiles s'attaquant au fermoir. Elle écoutait attentivement chaque mot de Lilia, qui continuait à l'encourager.
 "Tu peux le faire. Pense à ce que cela signifie pour toi. C'est ton moment," dit Lilia, son regard plein de soutien.
Lucillia ferma les yeux un instant, se concentrant sur sa respiration. Puis, avec une résolution nouvelle, elle enfonça son collier dans la serrure du coffre. Un frisson d'excitation parcourut son corps.Soudain, un léger clic retentit, et le coffre s'ouvrit lentement, révélant un intérieur obscur mais prometteur. Les yeux de Lucillia s'illuminÚrent, et elle se tourna vers Lilia, un sourire de soulagement sur le visage. 
"Ça a marchĂ© !" s'exclama-t-elle, la panique laissant place Ă  une vague de joie.
Lilia sourit en retour, fiÚre de son amie. "Je savais que tu pouvais le faire," répondit-elle, partageant ce moment de triomphe avec Lucillia.
L'intérieur du coffre était sombre et poussiéreux, mais une lueur mystérieuse émanait d'un livre posé au fond. Lucillia, fascinée, s'approcha et le prit délicatement. En l'ouvrant, elle découvrit que la couverture était vierge, sans aucune inscription. Un frisson d'excitation parcourut son échine.
Jen, curieuse, s'approcha d'un pas hésitant. Elle plissa les sourcils, perplexe. "Qu'est-ce que c'est que ça ? Pourquoi rien n'est écrit ?"
Alice, qui observait la scÚne avec un air pensif, se tourna vers elles. "J'ai déjà vu ça dans un ancien grimoire. Il faut avouer à haute voix qui nous sommes pour que le livre révÚle ses secrets."
Lucillia, dĂ©terminĂ©e, se redressa et dĂ©clara avec assurance : "Je suis Lucillia Martin." Mais rien ne se produisit. Elle fronça les sourcils, dĂ©concertĂ©e. "Ça ne fonctionne pas... Pourquoi ?"
Agatha, qui avait assistĂ© Ă  la scĂšne avec une moue amusĂ©e, soupira. "On pourrait peut-ĂȘtre faire couler de son sang sur le livre, non ?"
Ivana, choquĂ©e, s'exclama : "Mais ça va pas la tĂȘte ! On ne va pas la saigner !"
Agatha éclata de rire, un éclat de malice dans les yeux. "Je pensais à une légÚre coupure chérie, juste pour voir si ça fonctionne."
Lilia, toujours protectrice, intervint : "Alors tu rĂȘve Agatha tu ne la touche pas."
Lucillia,  acquiesça d'un geste rĂ©solu et n'Ă©couta pas Lilia elle plongea son regard dans celui d'Agatha et dit :. "D'accord, faisons-le. Je suis prĂȘte Ă  tout pour dĂ©couvrir ce que ce livre cache."
L'atmosphÚre est chargée d'une tension palpable. Agatha, avec un sourire radieux, montre sa satisfaction que Lucillia ait accepté de participer à ce rituel. Son bonheur est contagieux, et cela crée une ambiance à la fois excitante et inquiétante.Elle se penche alors pour saisir un couteau brillant, qu'elle garde toujours à sa ceinture. Ce geste est à la fois déterminé et solennel, marquant le début d'un acte symbolique. Le couteau, en acier poli, reflÚte la lumiÚre tamisée de la piÚce, ajoutant une touche de mystÚre à la scÚne.
Agatha prend délicatement la main de Lucillia dans la sienne, elle coupe légÚrement la paume de Lucillia. Le mouvement est précis, presque cérémonial, soulignant l'importance de ce moment.
Le sang commence Ă  s'Ă©couler lentement de la plaie, crĂ©ant un contraste frappant avec la peau de Lucillia. Ce sang, symbole de vie et de sacrifice, tombe sur le livre, un ancien grimoire aux pages jaunies. La couleur rouge vif se mĂȘle au page comme si le livre absorbait cette essence vitale, prĂȘte Ă  libĂ©rer ses secrets.
L'air est chargĂ© d'une tension Ă©lectrique alors que le groupe observe, partagĂ© entre la fascination et l'apprĂ©hension. Ce geste, bien que simple en apparence, est porteur d'une signification profonde, marquant le dĂ©but d'une exploration des mystĂšres qui les attendent. Dans ce moment, le lien entre les personnages se renforce, mĂȘlant leur destin Ă  celui du livre et Ă  l'inconnu qui les entoure.
Lucillia, plongée dans ses pensées, sentit son regard se fixer sur les écrits qui commençaient à émerger lentement sur la page, comme si les mots prenaient vie sous ses yeux. L'encre, encore fraßche, brillait légÚrement à la lumiÚre ambiante, créant une atmosphÚre presque magique autour d'elle.
À ses cĂŽtĂ©s, Lilia, attentive et douce, se rapprocha. Elle prit la main de Lucillia dans la sienne, un geste simple mais chargĂ© de tendresse. Sa paume Ă©tait chaude et rĂ©confortante, une source de soutien silencieuse. Lilia commença alors Ă  caresser dĂ©licatement le dos de la main de Lucillia, ses doigts glissant doucement sur la peau, comme pour apaiser les doutes et les inquiĂ©tudes qui pouvaient l'envahir.
Ce geste Ă©tait un symbole puissant de leur amitiĂ©, un rappel que, mĂȘme dans les moments de solitude ou d'incertitude, Lucillia n'Ă©tait pas seule. Les mots sur la page prenaient forme, mais c'Ă©tait la connexion entre elles qui apportait vĂ©ritablement du rĂ©confort. La piĂšce Ă©tait remplie d'un silence apaisant, oĂč chaque mouvement et chaque souffle semblaient rĂ©sonner avec une profonde comprĂ©hension.
Une fois le texte apparu en latin, Lucillia sentit une vague d'énergie l'envahir. Elle plissa les yeux, déchiffrant les mots mystérieux qui dansaient devant elle. Lilia, toujours à ses cÎtés, remarqua l'intensité qui se dégageait de son amie.
"Lucillia, tu es sĂ»re de vouloir le lire ? Ça a l'air... puissant," murmura Lilia, son regard inquiet se posant sur le texte.
Lucillia, pourtant, n'hésita pas. "Oui, je dois le faire. Je n'ai pas le choix..." répondit-elle, sa voix empreinte de détermination.
Elle inspira profondément, puis commença à lire à voix haute :
"Per astra quae in nocte fulgent,
Ad vires infiniti appello.
Ut magia in me expergiscatur,
Ut potestas mea mirabilia sua recuperet."
À chaque mot prononcĂ©, une lumiĂšre douce semblait Ă©maner de son ĂȘtre. Lilia, fascinĂ©e, ne pouvait dĂ©tacher son regard de Lucillia, qui semblait se transformer sous l'effet des mots.
"Ut omnis verbum sit incantatio,
Ut magia revertatur, potentissime.
Parata sum ad accipiendum,
Potestates meas, volo eas videre."
À mesure qu'elle terminait le dernier vers, une sensation de chaleur enveloppa la piĂšce, comme si l'air lui-mĂȘme vibrait au rythme de la magie qui se rĂ©veillait. 
Lucillia Ă©tait dans un Ă©tat de profonde concentration, ses yeux fermĂ©s comme si elle Ă©tait en train de puiser dans une source intĂ©rieure de force. L'air autour d'elle semblait vibrer d'une Ă©nergie palpable, presque Ă©lectrique, alors qu'elle se nourrissait de ses pouvoirs qui revenaient lentement Ă  elle. On pouvait sentir une aura mystique l'entourer, comme si le temps lui-mĂȘme s'Ă©tait suspendu pour lui permettre de se reconnecter avec ses capacitĂ©s.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux, un spectacle fascinant se dévoila. Ses yeux, d'un mélange envoûtant de vert et de noir, brillaient d'une intensité presque surnaturelle.  Ce mélange était parfait, captivant quiconque croisait son regard. On pouvait presque voir des éclairs de lumiÚre dans ses pupilles, comme si des éclats d'énergie magique dansaient à l'intérieur.
Mais cette transformation ne dura que quelques instants. Peu à peu, la magie qui l'entourait s'estompa, et ses yeux reprirent leur couleur marron naturel.  
Lilia, comme toutes les autres, n'avait pas loupé un seul instant de cette scÚne, mais il y avait quelque chose de différent chez elle. Ses yeux brillaient d'une fascination profonde, capturant chaque détail, chaque mouvement, comme si tout le reste s'était estompé autour d'elle.
Les lumiÚres dansaient autour d'elles, projetant des ombres délicates sur le sol. L'atmosphÚre était chargée d'une énergie palpable, et Lilia se sentait happée par cette magie. Elle observa Lucillia, qui se tenait au centre de l'attention, rayonnante. Ses cheveux brillaient sous les lumiÚres, et sa robe, d'un rouge éclatant, semblait capturer tous les reflets de la scÚne.
Lilia, fascinĂ©e, plongea son regard dans celui de Lucillia. À cet instant, elle la trouva encore plus belle, plus magnifique que d'habitude. Les yeux de Lucillia, d'un vert profond, scintillaient d'une lueur presque surnaturelle, et Lilia ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir une admiration grandissante. Elle Ă©tait impressionnĂ©e par la confiance qui Ă©manait de Lucillia, une fiertĂ© qui illuminait son visage.
« Tu es incroyable, » pensa Lilia, bien que les mots ne sortent pas de sa bouche. Elle se sentait à la fois émerveillée et inspirée par la beauté et la force de la jeune femme. 
Lucillia avait plongé son regard dans celui de Lilia, et elle remarqua immédiatement un changement dans l'expression de son amie. Les yeux de Lilia brillaient d'une lueur particuliÚre, comme si elle voyait quelque chose de profondément beau. Lucillia, intriguée et amusée, esquissa un sourire délicat, ses lÚvres se courbant avec une douceur qui illuminait son visage.
« Pourquoi me regardes-tu comme ça ? » demanda-t-elle, sa voix légÚre et taquine, un éclat de curiosité dans ses yeux.
Lilia, surprise par la question, secoua rapidement la tĂȘte, essayant de masquer la vague d'Ă©motions qui l'envahissait. Elle ne pouvait pas rĂ©vĂ©ler la vĂ©ritĂ© complĂšte, la profondeur de son admiration, alors elle opta pour une rĂ©ponse plus simple.
« Non, rien, » répondit-elle, sa voix légÚrement hésitante, mais elle ajouta avec une fierté palpable, « je suis trÚs fiÚre. »
Lucillia pencha lĂ©gĂšrement la tĂȘte, un sourire complice se dessinant sur ses lĂšvres. « FiĂšre de quoi ? » s'amusa-t-elle, jouant avec l'idĂ©e que Lilia cachait quelque chose.
Lilia, se sentant Ă  la fois gĂȘnĂ©e et heureuse, croisa les bras, un sourire timide sur le visage. « De toi, bien sĂ»r ! Regarde-toi, tu es incroyable ! »
Alice, Jen, Agatha et Ivana observaient attentivement Lilia et Lucillia, Ă©changeant des regards complices. Il Ă©tait Ă©vident pour elles que les deux femmes avaient un faible l'une pour l'autre. Leurs sourires Ă©changĂ©s, les regards furtifs et la façon dont elles se rapprochaient l'une de l'autre ne laissaient aucun doute.Agatha, exaspĂ©rĂ©e par la situation, leva les yeux au ciel avec un soupir exagĂ©rĂ©. Elle ne pouvait pas s'empĂȘcher de trouver cela un peu trop mignon, mais elle savait qu'il Ă©tait temps de briser ce moment. 
« Oui oui, on est tous fiers, » dit-elle d'une voix sarcastique, « allez, on part d'ici. »
Jen et Ivana échangÚrent un regard amusé avant de rire doucement. Leurs rires étaient légers, remplis de complicité face au comportement dramatique d'Agatha.
« Oh, Agatha, tu es vraiment impossible ! » s'exclama Alice, riant à son tour. « Laisse-les un peu, c'est mignonnes. »
« Mignon oui, mais on ne va pas rester ici Ă  les admirer toute la journĂ©e, » rĂ©torqua Agatha en souriant, bien qu'elle ne puisse s'empĂȘcher d'apprĂ©cier le spectacle.
☆○o。  。o○☆
La journée était enfin terminée, et une ambiance de soulagement flottait dans l'air. Le groupe avançait sur le chemin, leurs pas résonnant sur le sol. Les rires et les voix des autres résonnaient devant, mais Ivana, pour une fois, se trouvait un peu en retrait, marchant derriÚre le reste du groupe.
Agatha, ne pouvant pas laisser passer cette occasion, dĂ©cida de s'approcher d'elle. Elle savait qu’il Ă©tait crucial d’avoir cette conversation. Elle marchait avec dĂ©termination, ses pensĂ©es tournant autour de ce qu'elle voulait dire.
Ivana marchait lentement, le regard perdu dans le vide, tandis que le groupe continuait d'avancer devant elle. Le poids de ses pensĂ©es l'alourdissait, chaque pas lui semblait plus difficile que le prĂ©cĂ©dent. Elle savait qu'elle avait dĂ©passĂ© les bornes avec Agatha, mais la rancƓur qui l'habitait Ă©tait tenace.
Les souvenirs des mots Ă©changĂ©s rĂ©sonnaient dans son esprit comme des Ă©chos d’une dispute ancienne. Elle se sentait coupable, consciente que sa colĂšre Ă©tait peut-ĂȘtre mal placĂ©e, mais elle ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir une injustice. Agatha, avec son sourire et sa bonne volontĂ©, Ă©tait devenue un point de fixation pour ses frustrations.
Ivana se laissa aller à la contemplation des feuilles qui tombaient, comme des pensées égarées. Elle savait que, malgré sa conscience des défauts d'Agatha, elle ne pouvait pas ignorer la réalité : un jour, elle serait trahie. Cette idée s'était installée dans son esprit comme une vérité inéluctable, une ombre qui planait au-dessus de leur amitié.
Elle se sentait piĂ©gĂ©e dans un tourbillon d'Ă©motions contradictoires. D'un cĂŽtĂ©, l'affection qu'elle avait pour Agatha, et de l'autre, la mĂ©fiance croissante qui s'Ă©tait insidieusement glissĂ©e dans son cƓur. Ivana Ă©tait consciente de cette dualitĂ©, de cette lutte interne qui la rongeait.
Le vent frais qui soufflait à travers les arbres apportait avec lui un parfum de terre humide et de feuilles sÚches, mais rien ne pouvait apaiser le tumulte en elle. Elle continua d'avancer, le regard toujours fixé sur le sol, perdue dans ses pensées sombres, tandis que le groupe s'éloignait un peu plus, laissant derriÚre eux une Ivana tiraillée entre ses sentiments et sa réalité.
Agatha se tenait lĂ , le cƓur battant, consciente du poids de son passĂ©. Elle savait que ses choix, souvent teintĂ©s d'immoralitĂ©, l'avaient marquĂ©e d'une maniĂšre que peu pouvaient comprendre. Les regards des autres, chargĂ©s de mĂ©fiance, l'avaient suivie comme une ombre, et elle en avait souffert.
Pourtant, face Ă  Ivana, une lueur d'espoir brillait en elle. Agatha voulait profondĂ©ment que les choses soit diffĂ©rente. Elle aspirait Ă  la confiance, Ă  cette connexion authentique qui semblait lui Ă©chapper. Les feuilles bruissaient autour d'elle, comme si la nature elle-mĂȘme Ă©coutait ses pensĂ©es. Elle se dĂ©tourna un instant, le regard fixĂ© sur le sol, rĂ©flĂ©chissant Ă  la maniĂšre d'exprimer ses sentiments sans tomber dans le piĂšge de ses anciennes habitudes.
Elle jeta un coup d'Ɠil furtif vers Ivana, observant son visage, ses traits marquĂ©s par l'incertitude. Agatha ressentait une vague de regret pour les blessures qu'elle avait pu causer, mĂȘme sans intention. L'air Ă©tait chargĂ© d'une tension palpable, et chaque seconde semblait s'Ă©tirer, amplifiant son anxiĂ©tĂ©.
Finalement, elle se redressa, prenant une profonde inspiration, le souffle court. Elle s'approcha d'Ivana, déterminée à briser le silence qui les séparait. Dans un murmure sincÚre, elle déclara : 
"Je n'ai jamais eu l'intention de te faire du mal." Ses mots, bien que simples, étaient chargés d'une émotion profonde.
Agatha espĂ©rait que cette dĂ©claration suffirait Ă  apaiser les doutes d'Ivana, Ă  construire un pont entre leur passĂ© tumultueux et un avenir oĂč la confiance pourrait s'Ă©panouir. Elle attendait, le cƓur en suspens, prĂȘte Ă  affronter les consĂ©quences de ses choix, mais dĂ©sireuse de prouver qu'elle pouvait ĂȘtre diffĂ©rente avec Ivana.
Ivana plongea son regard dans celui d’Agatha, ses yeux brillants d’une lueur mĂȘlĂ©e d’espoir et de doute. Elle avait envie de croire en ce que sa mentor lui disait, mais une voix sourde rĂ©sonnait dans sa tĂȘte, lui chuchotant qu'il ne fallait pas se laisser duper. La tension Ă©tait palpable entre elles, comme une corde tendue sur le point de cĂ©der.
Finalement, Ivana ne put contenir sa frustration. D’une voix chargĂ©e d’émotion, elle s’exclama :
"C'est ça, oui... Tu as tué tout ton coven à l'époque de Salem ! Tu as voulu voler les pouvoirs de ma mÚre et tu vas me faire croire que tu ne voulais pas me faire de mal ?"
Agatha, frappĂ©e par la justesse des accusations, prit une grande inspiration. Chaque mot d'Ivana Ă©tait une flĂšche, touchant directement son cƓur. Elle savait que les actes de son passĂ© Ă©taient impardonnables, mais elle ne pouvait pas laisser cette vĂ©ritĂ© la dĂ©finir.
"Tu as raison," commença-t-elle, sa voix tremblante mais dĂ©terminĂ©e. "Je n'ai jamais voulu te laisser livrĂ©e Ă  toi-mĂȘme. J'ai toujours cru que Wanda t'avait emportĂ©e avec tes frĂšres quand elle a dĂ©truit son monde..."
Ivana se tenait lĂ , figĂ©e dans un silence lourd de non-dits. Ses pensĂ©es tourbillonnaient comme une tempĂȘte, chaque idĂ©e se heurtant Ă  une autre sans trouver de sortie. La piĂšce Ă©tait emplie d'une tension palpable, presque Ă©lectrique, et elle pouvait sentir son cƓur battre Ă  tout rompre dans sa poitrine.
Elle regarda Agatha, ses yeux cherchant dĂ©sespĂ©rĂ©ment des rĂ©ponses dans le regard de la femme. Les mots semblaient s'ĂȘtre Ă©vaporĂ©s, laissant place Ă  un vide accablant. Le hochement de tĂȘte qu'elle fit Ă©tait Ă  la fois un acte d'acceptation et de confusion. C'Ă©tait comme si, par ce simple mouvement, elle tentait de donner un sens Ă  ce qu'elle ressentait, mĂȘme si elle ne pouvait pas encore mettre des mots sur ses Ă©motions.
Lilia, Lucillia, Alice, Jen, Ivana et Agatha étaient toutes réunies autour du feu crépitant, leurs visages illuminés par la lueur dansante des flammes. Le bruit du bois qui se consumait ajoutait une mélodie apaisante à leur conversation. Chacune d'elles partageait des anecdotes sur leurs cicatrices, tant physiques qu'émotionnelles, créant un lien intime entre elles.
Les rires éclataient, mélangés à des soupirs de nostalgie alors qu'elles évoquaient des souvenirs parfois douloureux, mais toujours empreints d'une certaine légÚreté. Lucillia racontait comment une chute de vélo lui avait laissé une marque indélébile sur son genou, tandis qu'Alice parlait d'une cicatrice plus profonde, celle laissée par une trahison amicale.
Cependant, malgré la chaleur du feu, une brise froide commençait à s'insinuer dans l'air, rendant l'atmosphÚre un peu plus ùpre. Les frissons parcouraient les bras des filles, mais elles ne semblaient pas s'en soucier, absorbées par la convivialité de l'instant. Ivana, enroulée dans sa veste, se blottissait un peu plus prÚs des autres, cherchant à capter la chaleur humaine qui les entourait.
Agatha, avec son sourire réconfortant, ajoutait des touches d'humour à leurs récits, allégeant les moments les plus sombres. Jen, quant à elle, se contentait d'écouter, ses yeux brillants de compréhension, comme si chaque histoire résonnait en elle.
Le Coven était rassemblé dans leur abri, le froid glacial s'infiltrant par les fissures des murs. Les murmures du vent à l'extérieur ajoutaient une tension palpable à l'atmosphÚre. La fatigue se lisait sur les visages de chacune, mais le besoin de chaleur était plus pressant que jamais.
Alice, frissonnante, brisa le silence. "Je ne suis pas contre l'idée de dormir en duo, mais hors de question que je dorme avec Agatha," déclara-t-elle en croisant les bras, l'air déterminé.
Agatha, amusĂ©e par la rĂ©action d'Alice, rĂ©pliqua avec un sourire moqueur : "Ça va, je ne vais pas te tuer dans ton sommeil. Pas cette nuit, en tout cas."
Jen, toujours prudente, intervint : "On ne sait jamais, Agatha. Peut-ĂȘtre que ce serait mieux de ne pas prendre de risques." Elle lança un regard inquiet vers Agatha, comme si elle pesait le pour et le contre.
Ivana, qui avait écouté la conversation avec un sourire, se leva et déclara d'une voix calme : "C'est bon, je dors avec elle." Elle se dirigea vers Agatha, sa détermination évidente.
Lilia, observant la scÚne, se décala doucement, un sourire aux lÚvres. "Eh bien, je vais dormir avec Lucillia," annonça-t-elle en se rapprochant de la jeune femme.
Les filles commencÚrent alors à s'installer, formant des duos improvisés pour se protéger du froid. Les rires et les taquineries résonnaient dans l'abri, réchauffant l'atmosphÚre malgré le gel qui sévissait à l'extérieur. Chacune trouvait un peu de réconfort dans la proximité de ses amies, le lien du Coven se renforçant dans cette nuit glaciale.
Lucillia s'approcha doucement de Lilia, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle déplia sa veste, la tendant avec délicatesse pour la draper sur les épaules de Lilia. La texture douce et chaude de la veste enveloppa Lilia, lui offrant un répit contre le froid mordant qui régnait à l'extérieur.
AprĂšs avoir ajustĂ© la veste, Lucillia ne put s'empĂȘcher de prendre Lilia dans ses bras. C'Ă©tait un geste tendre et protecteur, comme si elle voulait lui transmettre toute la chaleur qu'elle avait Ă  offrir. Lilia, surprise par cette Ă©treinte, serra doucement Lucillia contre elle. Leurs cƓurs battaient en harmonie, et Lilia ne souhaitait pas relĂącher cette Ă©treinte rĂ©confortante.
Lucillia, ravie par ce moment intime, ferma délicatement les yeux. Elle se laissa porter par la chaleur de Lilia, savourant chaque seconde de cette proximité. Le monde extérieur semblait s'évanouir, et tout ce qui importait, c'était cette connexion spéciale qu'elles partageaient. Dans cette étreinte, elles trouvaient du réconfort et une sensation de sécurité, comme si elles pouvaient affronter n'importe quel défi ensemble.
Lilia, en respirant le parfum doux de Lucillia, se sentait comblĂ©e. C'Ă©tait un moment de pure tendresse, oĂč le temps semblait suspendu, et elles restĂšrent ainsi, blotties l'une contre l'autre, savourant la chaleur de leur amitiĂ©.
Ivana était allongée, perdue dans ses pensées, lorsque Agatha s'approcha silencieusement. Avec une douceur infinie, elle glissa ses bras autour d'Ivana, un bras se posant délicatement sur ses hanches tandis que l'autre soutenait sa nuque. Le contact était chaleureux, et Agatha enfouit son nez dans le creux du cou d'Ivana, respirant son parfum réconfortant.
Ivana, surprise mais ravie par cette Ă©treinte, se laissa aller contre Agatha. Dans un murmure Ă  peine audible, elle chuchota :
 « Si tu avais su que je n'avais pas disparu quand ma mÚre a tout détruit, tu serais venue me rendre visite ? » Sa voix tremblait légÚrement, trahissant une vulnérabilité profonde.
Agatha, ressentant la douleur dans les mots d'Ivana, la serra un peu plus fort contre elle. Elle pouvait sentir le cƓur d'Ivana battre contre son propre corps. Avec une tendresse infinie, elle rĂ©pondit doucement Ă  son oreille : 
« Bien sûr que oui. »
Un sourire se dessina sur le visage d'Ivana, et elle ferma lentement les yeux, savourant ce moment de réconfort.
Agatha et Ivana dormaient paisiblement, enveloppées dans une douce chaleur. Leurs corps étaient étroitement enlacés, créant une harmonie parfaite. Une de leurs mains était entrelacée, les doigts s'imbriquant délicatement comme les piÚces d'un puzzle, symbolisant leur lien indéfectible.
Agatha, plongée dans un sommeil profond, avait sa respiration douce et réguliÚre qui caressait le cou d'Ivana. Chaque inspiration était un murmure, un souffle léger qui faisait frémir la peau d'Ivana. Elle se sentait protégée, comme si rien d'autre n'existait en dehors de cette étreinte.
Ivana, bien que somnolente, ne pouvait s'empĂȘcher de sourire en ressentant la chaleur du corps d'Agatha contre le sien. Elle savait que sa prĂ©sence Ă©tait un refuge, un abri contre le monde extĂ©rieur. Agatha ne voulait pas la lĂącher, et Ivana pouvait sentir la tendresse dans chaque mouvement, chaque souffle.
Dans cette bulle de tranquillitĂ©, le temps semblait s'arrĂȘter. Les bruits du monde extĂ©rieur s'Ă©vanouissaient, laissant place Ă  une douce mĂ©lodie de leurs cƓurs qui battaient Ă  l'unisson. Les lumiĂšres tamisĂ©es de la piĂšce ajoutaient une touche de magie Ă  ce moment, rendant leur sommeil encore plus prĂ©cieux. C'Ă©tait un cocon de paix, oĂč l'amour et l'amitiĂ© se mĂȘlaient dans un silence Ă©loquent.
Lilia Ă©tait allongĂ©e sur le dos, les yeux clos, son visage paisible illuminĂ© par la douce lumiĂšre du matin qui filtrait Ă  travers les rideaux. La tĂȘte de Lucillia reposait dĂ©licatement contre son Ă©paule, ses cheveux Ă©parpillĂ©s comme une cascade sombre autour d'eux. La main de Lucillia, douce et lĂ©gĂšre, Ă©tait posĂ©e sur le ventre de Lilia, presque comme si elle cherchait Ă  ressentir chaque mouvement de sa respiration.
Lilia, enveloppĂ©e dans un sommeil profond, avait sa main reposant sur la hanche de Lucillia, un geste instinctif qui tĂ©moignait de leur complicitĂ©. Leurs corps Ă©taient si proches, crĂ©ant une bulle de chaleur et de confort, oĂč le monde extĂ©rieur semblait s'effacer. Leurs respirations s'entremĂȘlaient dans un rythme apaisant, une mĂ©lodie silencieuse qui rĂ©sonnait dans l'air tranquille de la piĂšce.
Leurs visages Ă©taient dĂ©tendus, les traits adoucis par le sommeil. Lilia avait un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, comme si elle rĂȘvait d'un monde paisible, tandis que Lucillia semblait plongĂ©e dans un rĂȘve profond, sa main se dĂ©plaçant lĂ©gĂšrement sur le ventre de Lilia Ă  chaque inspiration.
Le silence Ă©tait presque sacrĂ©, interrompu seulement par le doux bruit de leur respiration. C'Ă©tait un moment de pure intimitĂ©, oĂč le temps semblait s'arrĂȘter, et oĂč rien d'autre n'importait que cette connexion entre elles. Leurs cƓurs battaient Ă  l'unisson, crĂ©ant une atmosphĂšre de sĂ©rĂ©nitĂ© et de confiance, un instant parfait figĂ© dans le temps.
â€żïž”â€żïž”ÊšÉžă€ŽFINă€ÊšÉžâ€żïž”â€żïž”
Merci Ă  tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.
10 notes · View notes
cheminer-poesie-cressant · 12 days ago
Text
Tumblr media
(Thierry Facon, DĂ©-collage - Tuileries)
.
au jardin royal des arbres nus, l’hiver
les oiseaux sont les derniers Ă  profiter du soleil
dévoilés de toute part au sommet.
Les promeneurs qui aiment Ă  le remarquer
tremblent moins au sol du froid des ombres.
.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(samedi 15 octobre 2005, Tuileries)
16 notes · View notes
epopoiia-leblog · 14 days ago
Text
Tombées au sol
TombĂ©es au sol, abandonnĂ©es et dĂ©laissĂ©es des arbres nus, elle les Ă©crase, elle les malmĂšne, ces feuilles mortes de l’automne, elle les traĂźne. Cailloux, pierres et graviers crissent sous ses semelles, et les restes de pluie viennent noyer ses pas. Elle avance trempĂ©e dans le noir de la nuit et pour seul horizon les phares des routards. Les vitrines sont Ă©teintes, les magasins fermĂ©s, les chiens dans leur foyer, ne restent que les rats ; et quelques chats errants, en vagabonds funestes. Elle poursuit son chemin, dans l’ombre de ces rues, sous un ciel sans lune, mais partout le brouillard. Une lueur finit pourtant par Ă©clairer sa route, l’éclat d’un rĂ©verbĂšre ou d’une simple bougie, la flamme d’une prĂ©sence qui l’invite Ă  la suivre. Entre ses doigts gelĂ©s, le fil d’Ariane en main, elle se laisse emmener. C’est un tunnel brumeux mais au bout la lumiĂšre. Sur les rampes des escaliers, les rebords des fenĂȘtres et celui du balcon, des guirlandes tout autour, une illumination. Des lanternes et du houx exposĂ©s sur le porche, une couronne de pin accrochĂ©e Ă  l’entrĂ©e. La voilĂ  sa maison et la porte est ouverte.
Tumblr media
7 notes · View notes
papillondusublime · 3 months ago
Text
Tumblr media
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les Ă©quipages, Porteur de blĂ©s flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissĂ© descendre oĂč je voulais.
Dans les clapotements furieux des marĂ©es, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les PĂ©ninsules dĂ©marrĂ©es N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempĂȘte a bĂ©ni mes Ă©veils maritimes. Plus lĂ©ger qu’un bouchon j’ai dansĂ© sur les flots Qu’on appelle rouleurs Ă©ternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pĂ©nĂ©tra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dĂšs lors, je me suis baignĂ© dans le PoĂšme De la Mer, infusĂ© d’astres, et lactescent, DĂ©vorant les azurs verts ; oĂč, flottaison blĂȘme Et ravie, un noyĂ© pensif parfois descend ;
OĂč, teignant tout Ă  coup les bleuitĂ©s, dĂ©lires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amĂšres de l’amour !
Je sais les cieux crevant en Ă©clairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltĂ©e ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, tachĂ© d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils Ă  des acteurs de drames trĂšs antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rĂȘvĂ© la nuit verte aux neiges Ă©blouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sĂšves inouĂŻes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries HystĂ©riques, la houle Ă  l’assaut des rĂ©cifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux OcĂ©ans poussifs !
J’ai heurtĂ©, savez-vous, d’incroyables Florides MĂȘlant aux fleurs des yeux de panthĂšres Ă  peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, Ă  de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais Ă©normes, nasses OĂč pourrit dans les joncs tout un LĂ©viathan ! Des Ă©croulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns OĂč les serpents gĂ©ants dĂ©vorĂ©s des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des Ă©cumes de fleurs ont bercĂ© mes dĂ©rades Et d’ineffables vents m’ont ailĂ© par instants.
Parfois, martyr lassĂ© des pĂŽles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme Ă  genoux

Presque Ăźle, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frĂȘles Des noyĂ©s descendaient dormir, Ă  reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, JetĂ© par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repĂȘchĂ© la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, montĂ© de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poĂštes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre Ă  cinquante lieues Le rut des BĂ©hĂ©mots et les Maelstroms Ă©pais, Fileur Ă©ternel des immobilitĂ©s bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidĂ©raux ! et des Ăźles Dont les cieux dĂ©lirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ĂŽ future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’ñcre amour m’a gonflĂ© de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille Ă©clate ! Ô que j’aille Ă  la mer !
Si je dĂ©sire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide oĂč vers le crĂ©puscule embaumĂ© Un enfant accroupi plein de tristesse, lĂąche Un bateau frĂȘle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baignĂ© de vos langueurs, ĂŽ lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
10 notes · View notes
jacquesdor-poesie · 1 year ago
Text
J'arrive. Le sommet est une route sans goudron. Je n'ai plus que mes pieds, tout le reste a disparu. Au reste de ma vie, il n'y a plus qu'un minuscule ruisseau de neige fondue, petite fĂ©erie de l'ordinaire. Je suis seul enfin, tous ceux qui refusaient d'ĂȘtre aimĂ©s se sont dissous, comme les nuages qu'un seul maladroit baiser avait suffi Ă  Ă©loigner. Être seul parmi les arbres seuls, les falaises orphelines, l'unicitĂ© de presque tout. Être l'un des solitaires parmi des brassĂ©es de solitudes, je dis "brassĂ©es" parce que ce sont les bras qui manquent le plus aux ĂȘtres humains. Quand ils ne peuvent plus Ă©treindre, ils Ă©treignent encore : des fantĂŽmes de nostalgie, le torse nu du vent ou les paupiĂšres closes d'un silence sans retour.
jacques dor
26 notes · View notes
lesondupapillon · 1 year ago
Text
Tumblr media
Parle.
Dis quelque chose, n'importe quoi.
Mais ne reste pas lĂ  comme une absence en acier.
Choisis ne serait-ce qu'un mot,
qui te liera plus Ă©troitement
à l'indéfini.
Dis :
"en vain",
"arbre",
"nu".
Dis :
"on verra",
"impondérable",
"poids".
Il y a tant de mots qui rĂȘvent
d'une vie brĂšve, sans liens, avec ta voix.
/ Kiki Dimoula
28 notes · View notes
artlimited · 7 days ago
Text
Tumblr media
L'arbre Nu by Marie-claude Strausz https://www.artlimited.net/mcstrauszphotographie/art/photographie-l-arbre-nu-numerique-nature-vegetal-foret/en/484161
5 notes · View notes
toutplacid · 2 years ago
Photo
Tumblr media
Arbre nu, la BissoniĂšre, Corbon — stylo-bille 8 couleurs, carnet nÂș 135, 8 fĂ©vrier 2023.
162 notes · View notes
brilag · 9 months ago
Video
Un coin de ferme et son pigeonnier par brigitte lagravaire Via Flickr : 2016-03-08-Prayssas (48)
0 notes
esoterique-fr · 1 year ago
Text
Pleine Lune Octobre 2024
La Pleine lune Octobre 2024 vous intĂ©resse et vous souhaitez en savoir plus sur son influences ainsi que ses significations Ă©sotĂ©riques. Que vous ayez un intĂ©rĂȘt prononcĂ© pour l’astrologie ou que vous soyez simplement curieux de la nature et de la spiritualitĂ©, cette lune ne passera pas inaperçue. Dans ce contenu, nous vous rĂ©vĂ©lerons la date de cette pleine lune, le signe astrologique qui lui

Tumblr media
View On WordPress
0 notes
marianaillust · 1 year ago
Text
Tumblr media
' LĂ -bas habite le peuple de la mer.
N'allez pas croire cependant qu'il n'y a lĂ  que du sable blanc et nu; non, il y pousse des arbres fantastiques et des plantes si souples qu'elles frĂ©missent comme des ĂȘtres vivants au moindre mouvement de l'eau. Tous les poissons, grands et petits, circulent entre les branches, tout Ă  fait comme chez nous les oiseaux dans l'air. '
-La Petite SirĂšne, Contes d'Andersen
I dont usually paint only landscapes ,so not sĂ»re how I feel about how this piĂšce turned...i guess its ok... đŸ€”
22 notes · View notes
transparentgentlemenmarker · 1 year ago
Text
L’effroyable destin de l’arbre de Robin des bois - 28 Minutes (23/10/2023) - Regarder l’émission complĂšte | ARTE
L'arbre Sycamore Gap, isolĂ© au pied de deux collines dans un paysage spectaculaire, se trouvait tout prĂšs du mur d'Hadrien, Ă©rigĂ© Ă  l'Ă©poque romaine pour empĂȘcher l'invasion des barbares, un site classĂ© au patrimoine mondial de l'Unesco. En 2016, il avait Ă©tĂ© Ă©lu «arbre de l'annĂ©e».
Tumblr media
Dans le film Robin des Bois, sorti en 1991, on voyait Kevin Costner et Morgan Freeman marcher devant cet arbre impressionnant, qui faisait le bonheur des randonneurs dans le nord-est de l'Angleterre.
Tumblr media
C'Ă©tait l'un des arbres les plus photographiĂ©s du Royaume-Uni. Mais jeudi 28 septembre 2023, des promeneurs ont dĂ©couvert sa souche Ă  nu. Et le reste de l'arbre couchĂ© sur le mur. Le gestionnaire du parc national a rapidement dĂ©clarĂ© qu'il avait Ă©tĂ© «dĂ©libĂ©rĂ©ment abattu». La police de Northumbria, qui a ouvert une enquĂȘte, a annoncĂ© jeudi aprĂšs-midi l'arrestation d'un adolescent de 16 ans. «Les dommages causĂ©s Ă  l'arbre sont le rĂ©sultat d'un acte de vandalisme dĂ©libĂ©ré», a-t-elle affirmĂ© dans un communiquĂ©. L'adolescent est en garde Ă  vue. Les Ă©vĂšnements d'aujourd'hui ont provoquĂ© le choc, la tristesse et la colĂšre», a soulignĂ© le directeur de la police Kevin Waring. Plusieurs habitants de la rĂ©gion se sont rendus sur les lieux, comme pour rendre hommage au Sycamore Gap. Des fleurs ont mĂȘme Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es prĂšs de la souche, devant le cordon de sĂ©curitĂ© mis en place par la police. «J'Ă©prouve un rĂ©el sentiment de perte», a dit Tony Gates, le directeur de la Northumberland National Park Authority, le gestionnaire du parc national. «Nous avons eu des gens en larmes aujourd'hui», a-t-il ajoutĂ©. «Nous avons Ă©tĂ© submergĂ©s par les messages sur les rĂ©seaux sociaux, sur notre site, de personnes sincĂšrement touchĂ©es par cette perte». L'organisation pour la protection du patrimoine National Trust s'est dite, sur X (ex-Twitter), «choquĂ©e et dĂ©sespĂ©rĂ©ment triste». «Nous savons combien cet arbre est aimĂ© par les locaux, au niveau national, et par tous ceux qui l'ont vu». Cet arbre est «un Ă©lĂ©ment important et emblĂ©matique du paysage depuis prĂšs de 200 ans», a ajoutĂ© le directeur du National Trust, Andrew Poad. De nombreuses personnes, notamment des membres de groupes de randonnĂ©e, ont partagĂ© leur consternation et leurs souvenirs heureux prĂšs de l'arbre, sur place et sur les rĂ©seaux sociaux. «C'est une honte que quelqu'un soit venu pour vandaliser ce beau coin de la nature», a dit Ryan Knotman, un technicien de 40 ans. Au dĂ©but de l'annĂ©e, j'Ă©tais assise en train de faire du crochet au sommet de la colline pendant que mon mari et mon fils grimpaient sur la paroi Ă  cĂŽtĂ© de l'arbre, un homme a expliquĂ© avoir demandĂ© sa femme en mariage au pied du Sycamore Gap. Selon Tony Gates, certains ont mĂȘme dispersĂ© ici les cendres de leur proche dĂ©cĂ©dĂ©. La dĂ©putĂ©e locale Mary Foy a dĂ©noncĂ© un «acte de vandalisme bĂȘte» et «dĂ©chirant» d'un lieu iconique du Nord-Est de l'Angleterre
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
26 notes · View notes
icariebzh · 9 months ago
Text
youtube
"Tous ces mots terribles qui font des chansons Parlant de misĂšre , d'ennui , de prison Ne sont que des leurres chassant nos dĂ©mons BĂąillonnant la peur , pendant un moment Chanter, c'est pas vivre , mais c'est l'espĂ©rer Chanter, c'est survivre , quand on est vidĂ© VidĂ© de ses illusions, tout nu et tout con EssorĂ©, dĂ©boussolĂ©, cassĂ©, piĂ©tinĂ© Je ne suis ni meilleur, ni plus mauvais que vous Contre vents et marĂ©es, envers et contre tout J'ai chevillĂ© dans le cƓur un rĂȘve de bonheur Un jour nouveau qui se lĂšve chasse mon chagrin Un geste, un regard, un mot, un ami qui vient Deux arbres dressĂ©s dans le ciel, la lune et la nuit Deux amoureux dans un champ font comme leurs parents Une fille qui revient d'un voyage trĂšs loin Tous ces mots terribles qui font des chansons Une fille qui revient d'un voyage trĂšs loin."
François Béranger
10 notes · View notes