#années folles
Explore tagged Tumblr posts
Text
Années tolles
For a future project I needed to get some faces down
#I have to sketch more than just these guys but this is a good start#1920s Paris my beloved#années folles#avant garde movement#I’m tagging them for the sake of it#luis buñuel#claude cahun#djuna barnes#f scott fitzgerald#ernest hemingway#gertrude stein#Pablo Picasso#man ray
44 notes
·
View notes
Text
Inktober 2024 no.30 - “Violin” 🎻
My tribute to ‘Le Violon d'Ingres’ by Man Ray. It’s been a while since I got to draw Kiki De Montparnasse - a great muse to so many great artists.
#inktober#inktober2024#ink#inktoberday30#inktoberViolin#pen and ink#traditional art#black and white#Violin#Kiki De Montparnasse#Alice Prin#Man Ray#french#france#parisian#vintage#Queen of Montparnasse#Alice Ernestine Prin#Années Folles#avant garde#1920s
10 notes
·
View notes
Text
#1926s#1900s#paper#old paper#vintage illustration#vintage paper#journal#woman#mode#années folles#vintage art#vintage print#artists on tumblr#judge
10 notes
·
View notes
Text
CANADA DEPARTMENT OF INDIAN AFFAIRS CIRCULAR OTTAWA, 15th December, 1921. It is observed with alarm that the holding of dances by the Indians on their reserves is on the increase, and that these practices tend to disorganize the efforts which the Department is putting forth to make then self-supporting. I have, therefore, to direct you to use your utmost endeavours to dissuade the Indians from excessive indulgence in the practice of dancing. You should suppress any dances which cause waste of time, interfere with the occupations of the Indians, unsettle then for serious work, injure their health or encourage them in sloth and idleness. You should also dissuade, and, if possible, prevent them from leaving their reserves for the 'purpose of attending fairs, exhibitions, etc., when the absence would result in their own farming and other interests being neglected. It is realized that reasonable amusement and recreation should be enjoyed by Indians, but they should not be allowed to dissipate their energies and abandon themselves to demoralizing amusements. By the use of tact and firmness you can obtain control and keep it, and this obstacle to continued progress vill then disappear. The rooms, halls or other places in which Indians congregate should be under constant inspection. They should be scrubbed, fumigated, cleansed or disinfected to prevent the dissemination of disease. The Indians should be instructed in regard to the matter of proper ventilation and the avoidance of over-crowding rooms where public assemblies are being held, and proper arrangement should be made for the shelter of their horses and ponies. The Agent shall avail themselves of the services of the medical attendant of his agency in this connection.
Except where further information is desired, there will be no necessity to acknowledge the receipt of this circular. Yours very truly, Duncan Campbell Scott Deputy Superintendent General Thos. Graham, Esq.. Indian Agent. [Perhaps one of the bluntest example of the attempt to extirpate Indigenous cultural practices, and frankly, their existence as communities, by the Canadian Department of Indian Affairs.]
#primary document#department of indian affairs#settler colonialism in canada#settler colonialism#violence of settler colonialism#banning cultural practices#racism in canada#anti-indigenous racism#indigenous people#first nations#indigenous history#canadian history#duncan campbell scott#années folles
60 notes
·
View notes
Text
/ Autoportrait /
Mon Socle. Roc.
C’est ainsi que je te nomme.
Toi, l’Abrupt. Le Puissant.
Empêcheur de tourner en r
d O
n
Garde du corps,
des
/ cœurs à cœurs /
pour
/ corps à corps /
Tu vises la Nuque. Ou l’Âme.
Ton Mantra incarné pour que Jamais
Je
ne réclame. ne réclamera.
Tu guettes la chimère, et sa voix de Sirène.
Interpeller les alouettes.
C’est ton Flair qui se drape,
Entre Elles ~ é.m.o.i
Ami de longue date,
Tu guides aux confins des Vérités.
Tu n’amoindris rien. Non,
Toi Tu Dis.
Tu réClames.
Ni chuchotements, ni niaiseries.
À. l’ é
q
u e r r e
Rétablir le désordonné.
Je te substitue ma Hauteur. Ma Teneur.
Je te vois, me refuser l’Espoir.
Moqueur - Fureur
Ô Guerrier sans Peur,
Qui.
Garde à l’œil.
au coeur.
Toi,
[ Orgueil ]
13 notes
·
View notes
Text
youtube
Paris des années 20 en couleur (remasterisé) avec son ajouté.
6 notes
·
View notes
Text
youtube
🏖Un jour à la plage 🌊
Images des années folles restaurées 📽 Floride, Hollande, Vancouver, Alantic city, Biarritz, Odessa
Bel après-midi 👋
#été#années folles#plage#baignade#biarritz#odessa#floride#vancouver#atlantic city#retro#summer#belaprèsmidi#fidjie fidjie#Youtube
18 notes
·
View notes
Text
Alice Prin (Kiki de Montparnasse), c. 1920, painted by Gustaw Gwozdecki (1880–1935)
17 notes
·
View notes
Text
Je vais poursuivre dans les vieilles photos. Ici, des vestiges du siècle précédent... Des Années Folles aux années 30 en Auvergne !
1925 - Vichel. Les dames sont de sortie
1926 - Ceyrat : ma grand-mère maternelle (à droite) et , je pense, sa cousine
1932 - Château-sur-Cher. Ma grand-mère et ma mère, encore toute petite.
1933 - Clermont-Ferrand (Les Bughes). Peut-être une des usines Michelin en arrière-plan ?
1934 - Domérat. Coupe à la garçonne.
#noir et blanc#vintage#années folles#années 20#années 30#auvergne#coupe à la garçonne#famille#vichel#chapeau cloche#château-sur-cher#clermont-ferrand#les bughes#michelin#domérat
3 notes
·
View notes
Text
MARVAL, Jacqueline. L'étrange Femme, 1920. Huile sur toile, 134 x 170 cm, collection particulière.
7 notes
·
View notes
Photo
Westworld
Season 4, “Années Folles”
Director: Hanelle M. Culpepper
DoP: John Conroy
#Westworld#Années Folles#Westworld S04E03#Season 4#Hanelle M. Culpepper#John Conroy#Thandiwe Newton#Maeve Millay#Aaron Paul#Caleb Nichols#Kevin Lau#Suzanne Wrubel#Lisa Joy#Jonathan Nolan#HBO#Warner Bros. Domestic Television Distribution#HBO Entertainment#Kilter Films#Bad Robot Productions#Warner Bros. Television#TV Moments#TV Series#TV Show#television#TV#TV Frames#cinematography#July 10#2022
3 notes
·
View notes
Photo
AUGUSTA, non pas Auguste... Une FEMME The silk finishers, Lyonnais or Italian, what a work of form and colors. It's not Auguste, but Augusta, a woman for haute couture, the Roaring Twenties, before and after
ab. 1932 Summer evening dress (attr. to Auguste Bernard)
silk chiffon
(Museum für Angewandte Kunst, Cologne)
975 notes
·
View notes
Text
Olga Chekhova
Olga Chekhova, née Olga Konstantinovna von Knipper, était une actrice germano-russe célèbre pour ses rôles dans le cinéma allemand des années 1920 aux années 1950. Née à Alexandropol (aujourd’hui Gyumri, Arménie) le 14 avril 1897, elle était la nièce de l’écrivain Anton Tchekhov et la femme de l’acteur Michael Chekhov. Elle a émigré en Allemagne en 1920 et est rapidement devenue une star de���
View On WordPress
0 notes
Text
Les orphelins héros
Voici quatre romans - deux pour adultes, deux pour enfants - qui ont pour héros des orphelins, parus en 2023. Vous verrez qu'ils sont rejoints, en 2024, par un autre...
Convoi pour Samarcande - Gouzel Iakhina
Au début des années 1920, une terrible famine se déclare en Russie. La région de la Volga est particulièrement touchée. En 1923, le gouvernement met en place un programme d’évacuation des enfants, la plupart orphelins, de Kazan, la capitale du Tatarstan, à Samarcande, ville du Turkestan, épargnée par les désastres de la révolution et de la guerre civile. Le voyage se poursuit sur quatre mille kilomètres à travers forêts, steppes et déserts. Deïev, un jeune officier de l’Armée rouge, se voit attribuer la responsabilité d’un train qui accueille à son bord pas moins de cinq cents enfants, tous très atteints dans leur santé physique et parfois mentale. Les accompagnent également la commissaire Blanche, l’infirmer Bourg, un chauffeur, des femmes chargées de s’occuper des enfants et, j’allais oublier, le lecteur pris dans ce périple souvent cauchemardesque dès les premières pages.
Les chapitres s’enchaînent tels les wagons du convoi. Le lecteur ne repose le livre que pour faire des pauses tant la situation est dramatique, mais il le reprend vite, attaché qu’il est aux personnages, aux enfants, incarnés, qui se sont donné mutuellement des surnoms; au gré de petites victoires, par exemple, quand il y a à manger. Mais ce n’est pas tout: même si ces gamins portent sur leurs corps et leurs visages les traces d’un vécu qui les fait ressembler à des petits vieux, ils conservent au fond d’eux des étincelles d’enfance, et les accompagnants en sont bouleversés. Les adultes ne sont pas en reste. On devine chez eux des blessures, en particulier chez Deïev qui, ayant pris part à la guerre civile, cherche à tout prix à expier ses horreurs, au risque de devenir fou. Mais quel héros magnifique, en particulier dans ses bras de fer contre les périls que sont la maladie, la famine, les conflits et dangers qui surgissent en route!
Gouzel Iakhina nous offre un des plus beaux romans parus en 2023 et dont on se souviendra longtemps. Son travail de documentation est à saluer. A la fin du livre, elle a pris soin de faire figurer un lexique avec les noms des enfants et leur signification. Elle les a inventés sur le modèle de sobriquets réels en se basant sur différentes sources. Son humanité leur donne une existence.
Le Verger de poires - Nana Ekvtimishvili
Autre lieu, autre époque. Nous sommes à Tbilissi, capitale de la Géorgie, au début des années 1990. Dans la proche banlieue, et plus particulièrement dans la rue de Kertch, nous faisons la connaissance de Lela, une jeune fille qui a été élevée à l’ « école des idiots ». Cette institution, héritée du passé soviétique, accueille des handicapés mentaux et des enfants orphelins. Agée de 18 ans, Lela y demeure encore - faisant partie des meubles - et y travaille. Elle protège comme elle peut les enfants, les pousse à étudier, malgré la médiocrité des cours, pour qu’ils puissent un jour tenter de voler de leurs propres ailes. Parmi eux, il y a Irakli, un garçon obnubilé par l’idée que sa mère vienne le chercher, ce qu’elle ne fera bien sûr jamais. Un jour, c’est l’effervescence dans l’internat: un couple d’Américains se présente qui cherche à adopter un enfant. Et si c’était Irakli ?
Le roman s’ouvre alors que Lela prend une douche dans le vieux bâtiment des bains. Sous le jet d’eau chaude, elle répète inlassablement : « Je vais tuer Vano… Il faut que je tue Vano. » Vano est le professeur des enfants dont il abuse, comme il a abusé de Lela. Et ce n’est pas le seul. Le ton est donné. Mais reprenons le récit. Voici justement Irakli qui vient chercher Lela. Dali, la surveillante, a besoin d’elle. Nous traversons la cour et découvrons par la même occasion le bâtiment et ses habitants. L’institution fait partie du quartier et sa vie y est imbriquée. Par exemple, les mariages se font dans le grand réfectoire. Les enfants y participent, de loin certes, mais ils assistent aux préparatifs, à la fête - une grande table est dressée pour eux un peu à l’écart. C’est l’occasion de se remplir la panse et de tout observer. Une bien maigre ouverture sur un monde où l’horizon se ferme, pour ses habitants comme pour les orphelins, au-delà de la rue de Kertch.
Malgré tout, Lela, comme d’autres, lutte pour que ses protégés en réchappent. Et une fois qu’elle aura tué Vano, elle partira elle aussi. Ce récit qui décrit bien l’atmosphère post-soviétique n’est pas dénué d’humour, voire d’une certaine naïveté, celle du regard de Lela, héroïne attachante à qui l’on souhaite, ainsi qu’à tous ces enfants grandis trop vite, un avenir un peu moins sombre.
Le Corbeau de nuit - Johan Rundberg
Place à des romans pour la jeunesse. Le premier se déroule à Stockholm en1880. Mika a 11 ans. Elle ignore tout de sa naissance et vit dans un orphelinat. Trop âgée pour aller à l’école, elle y travaille, quand elle ne sert pas à « La Chapelle », une taverne peu recommandable. A l’orphelinat, elle a un oeil sur les enfants qu’elle tente de protéger. C’est l’hiver, la nourriture manque et le froid est glacial. Des gamins des rues tentent régulièrement d’être admis dans l’établissement. En vain. Une nuit, un adolescent s’y présente. Mika lui ouvre la porte et se retrouve avec un paquet dans les bras qui contient un nouveau-né. Le jeune, terrorisé, confie à Mika que L’Ange noir est au courant de l’enlèvement du bébé. Puis, il s’enfuit.
Le lendemain, à la demande de la directrice, un agent de police se présente pour procéder à l'enregistrement du bébé et poser des questions à Mika sur les circonstances de l’abandon. Cette dernière décrit l’adolescent et mentionne l’Ange noir. Cela attise la curiosité d’un de ses collègues, l’inspecteur Valdemar Hoff, qui convoque à son tour Mika. Un crime a été commis la nuit où le bébé a été déposé à l'orphelinat. L’Ange noir en est-il l’auteur ? Le mode opératoire rappelle celui du Corbeau de nuit, un assassin en série qui a été exécuté quelques mois auparavant. Hoff ne met pas long à réaliser que la gamine est futée et ferait une excellente enquêtrice, habituée qu’elle est à tout observer afin d’échapper à de potentiels dangers. Le géant bourru aux méthodes peu conventionnelles et la fine mouche vont s’associer pour élucider une affaire de crimes en série, tous plus horribles les uns que les autres. Pour Mika, ce sera aussi l’occasion de tenter de percer le secret qui plane autour de ses origines; surtout quand elle découvre que, comme le bébé abandonné, elle portait à la naissance un bracelet de cuir orné de petites fleurs…
De ce roman, on aime tout: les personnages hauts en couleur et très attachants - dont le duo improbable de héros -, l’atmosphère sombre et glaciale, les descriptions des lieux, l’enquête palpitante, les moments de douceur entre Mika et le bébé. Le mystère autour de la naissance de Mika ne sera pas résolu, mais quelques indices sont avancés. Et comme, il s’agit d’une série, on a hâte d’en savoir plus et de participer à une nouvelle enquête.
Elisabeth sous les toits - Vincent Cuvellier
A l’âge de 10 ans, Elisabeth s’est enfuie de son orphelinat en Bretagne pour rejoindre Paris où elle pense mener une vie meilleure et obtenir des informations sur ses parents. Arrivée dans la capitale, deux clochards l’adoptent et la conduisent à l’immeuble de la rue Marbeuf où ses parents ont vécu et où elle s’installe dans la clandestinité, se cachant le jour et sortant la nuit. La capitale se répartit en plusieurs territoires: dont, à l’est, celui des apaches, voyous et truands en tout genre, et, côté Opéra, celui les riches. Voyous et bourgeois se côtoient à la Bastille où les Auvergnats ont ouvert des restaurants et des commerces de charbon. Rue de Lappe, les bals musette fleurissent et l’on danse la java. La gamine, qui n’a pas froid aux yeux, n’hésite pas à franchir la porte du Balajo où elle fait la connaissance de Blaise Cendrars qui la prend sous son aile et lui présente ses amis : Picasso, Foujita, Max Jacob, entre autres. Et même un « nègre » danseur de charleston.
On se prend d’amitié pour cette gamine débrouillarde et courageuse qui ne craint ni les Schmolls, petits êtres fantastiques et malfaisants dont son immeuble est envahi, ni les fantômes. Elle nous fait découvrir des personnages et des lieux emblématiques du Paris d’après-guerre et l’atmosphère des années folles. Vincent Cuvellier signe ce bon roman d’aventure lié à l’Histoire. A l’instar de ses personnages, son écriture est vivante, émaillée de mots d’argot, en particulier dans les dialogues. Guillaume Bianco, auteur des illustrations, livre une interprétation très convaincante des personnages.
A la fin du livre figure un bonus avec les paroles de la chanson « Les Goélands », un quizz sur les années 1920 à Paris et trois femmes qui ont fait bouger les Années folles: Coco Chanel, Joséphine Baker et Louise Brooks.
On pensait qu'Alexandre sur les flots serait la suite des aventures d'Elisabeth. Or, si l'on y croise la gamine, ce roman met en scène un autre orphelin, Alexandre, et se déroule à la même époque. Tout aussi réussi que le premier et toujours accompagné des chouettes illustrations de Guillaume Bianco, on y apprend l'origine des Schmolls et on plonge à nouveau dans l'Histoire - principalement la Russie. C'est passionnant. Vincent Cuvellier, pour ne pas perdre son lecteur, se permet même à l'occasion des chapitres où il s'adresse à ce dernier en aparté pour résumer la situation. C'est assez gonflé, drôle, mais bien utile. L'écriture est toujours aussi vivante et le ton de certaines phrases - cela n'engage que moi - m'ont rappelé la série "Emile". A la fin du roman, Elisabeth et Alexandre se retrouvent, font plus ample connaissance et nous laissent envisager qu'on les reverra car tout les lie.
Soie. Les Orphelins d'Argentan - Alice Brière-Haquet
Quelques jours après la disparition de sa mère, morte en couches, Lise intègre l’orphelinat d’Argentan où les jeunes filles sont formées à l’art de la dentelle. Son père n’a plus donné signe de vie depuis de quelques mois malgré l’approche du terme de la naissance. Aventurier dans l’âme, se lançant dans des projets sensés apporter fortune à sa famille, mais dont l’échec est prévisible, il garde en temps normal le contact avec les siens au moyen de messages. Voici donc Lise séparée de ses frères, l’aîné comme le nourrisson.
A l’orphelinat, il se passe de drôles de choses. Dans des circonstances tenues secrètes, le petit frère de Lise est adopté par une mystérieuse comtesse que tout le monde craint. Au même moment, une commande est passée à l’atelier pour la confection d’une robe de mariée entièrement réalisée en dentelle. Lise, qui n’est pourtant que débutante, est choisie pour y travailler. Le fil que les ouvrières devront utiliser est d’une finesse extraordinaire, mais il est d’un gris terne. Drôle de couleur pour une robe de mariée. Lise va enquêter.
On se prend vite d’affection pour l’héroïne et l’amie qu’elle se fait à l’orphelinat. Bien ficelé, ce roman haletant se lit avec plaisir. Et on apprécie les informations sur la fabrication des toiles d’araignées et de la dentelle que l’on complètera en allant faire un tour sur internet !
Convoi pour Samarcande, Gouzel Iakhina, trad. Maud Mabillard, Noir sur Blanc, 2023
Le Verger de poires, Nana Ekvtimishvili, trad. Maïa Varsimashvili-Raphael et Isabelle Ribadeau Dumas, Noir sur Blanc, 2023
Le Corbeau de nuit, Johan Rundberg, trad. Marina Heide, Thierry Magnier, 2023
Elisabeth sous les toits, Vincent Cuvellier, ill. Guillaume Bianco, Little Urban, 2023
Soie. Les Orphelins d'Argentan, Alice Brière-Haquet, Rouergue, 2024
Alexandre sur les flots, Vincent Cuvellier, ill. Guillaume Bianco, Little Urban, 2024
#orphelin#orphelinat#Russie#Georgie#Paris#Années folles#Johan Rundberg#Nana Ekvtimishvili#Gouzel Iakhina#Vincent Cuvellier#Guillaume Bianco#Noir sur Blanc#Thierry Magnier#Little Urban#famine#Rouergue#Alice Brière-Haquet
1 note
·
View note
Text
"WHITE MICE CARRIED CONVICT'S MESSAGES," Daily British Whig (Kingston, Ontario). October 21, 1920. Page 2. --- Penitentiary Inmates Have a Complete System of Telegraphy. ---- In view of the combined efforts of the convicts at the penitentiary to create a disturbance by yelling and hooting in the cells, citizens have been wondering how they carried out a system to bring it all about.
It is claimed that the convicts in the "pen" have a complete system of tapping or telegraphy, by which they communicate with each other, and it is carried on with great success, in spite of the efforts of the prison authorities to put a stop to it. Sometimes the tapping is carried out on the walls, or their tin drinking cups, but it is known for a fact that convicts have communicated with each other in this way, and that many a scheme has been carried out as a result.
It is stated that some few years ago, several of the convicts had white mice as their pets and that the mice were used to carry messages to and fro among the convicts. This may appear as a fairy story, but it is vouched for, by people in a position to know. Needless to say there are no white mice in the penitentiary to-day.
#kingston penitentiary#kingston ontario#prison strike#prisoner protest#prison agitator#trafficking in prison#smuggling contraband#smuggling letters#causes of prison riots#1920 kp rcmp investigation#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada#prison grapevine#années folles
5 notes
·
View notes
Video
youtube
Allez lui donner du love, elle n’a pas beaucoup de vues et elle est chouette <3
2 notes
·
View notes