#acuité
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hcdahlem · 4 months ago
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Les grandes patries étranges
Dans son nouveau roman Guillaume Sire raconte le destin d’un orphelin de la Grande Guerre, amoureux d’une pianiste juive. Quand elle monte à Paris pour y faire carrière, il pressent qu’un danger la guette et décide de la sauver. Une quête bouleversante.
  En deux mots Emmanuel meurt durant les combats de la Grande Guerre en 1915. Il laisse son épouse Thérèse et son fils Joseph sans ressources, mais ensemble ils vont tenter de conjurer ce sort funeste, elle en faisant des ménages, lui en utilisant son don, une acuité sensuelle hors-norme. Mais déjà une seconde Guerre se profile. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique « Je te vengerai, et je…
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immunobiz · 1 year ago
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Cogniva: The Breakthrough Smart Chew
Unlock your mind with the power of nature
Cogniva : la percée intelligente
Déverrouillez votre esprit avec le pouvoir de la nature
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ernestinee · 1 month ago
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L'autre jour je parlais de D. le petit chou qui a maintenant 10 ans et demi et avec lequel je travaillais quand il avait 2,3 et 4 ans. L'émergence de son langage avait été coupée nette par le décès du grand-père avec lequel il était très fusionnel. Il avait développé un mutisme sélectif. La rééducation du langage avait super bien fonctionné, il l'a terminée en parlant normalement, il a entièrement récupéré son retard.
Aujourd'hui ses parents sont séparés, son père est avec une psy qui soutient que D est autiste. Dans son jeune âge, on n'a jamais vu de ritualisation, d'intérêts particuliers pour des petits machins que nous, simples mortels, on ne remarquerait même pas, et toutes les étapes du jeu sont apparues aux moments attendus. Le langage s'est débloqué et la courbe est montée à pic, les interactions avec ses pairs avec les adultes sont normales. Le diagnostic d'autisme n'a donc même pas effleuré mon esprit. Il a juste développé son langage avec une bonne acuité non-verbale, une observation des choses, une compréhension des choses et des personnes, un caractère plutôt introverti et il refuse de parler à sa belle-mère. Ce qui, avec son regard de psy et de belle-mère toxique est signe d'autisme 🤡
Le hic est qu'elle essaie de mettre ses copines sur le coup pour valider ce diagnostic.
Du coup maintenant son problème c'est moi.
Je vois D. tout à l'heure je suis émue d'avance.
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empiredesimparte · 4 months ago
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°24 | Francesim, Paris, 1 Fructidor An 230
As Hortense prepares to leave Francesim to join her beloved in Scotland for their royal wedding, Napoleon V seizes the final moments with her, weighed down by the impending separation. The thought of parting with his twin sister, so dear to him, deeply saddens the Emperor. Ever the protector, he can't help but worry for the one he has always considered more fragile than himself. Hortense, while grateful for her brother's love, eagerly anticipates reuniting with her fiancé, Oliver. These recent months have been challenging for her, as she has keenly felt the tensions within the imperial family. Her fiancé’s recent missteps have upset the Simparte dynasty, and Hortense can't help but wonder if she is still welcomed with the same warmth as before.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Hortense's fiancé, Oliver, is a character from @officalroyalsofpierreland
⚜ Traduction française
Alors qu'Hortense se prépare à quitter la Francesim pour rejoindre son bien-aimé en Écosse, où un mariage royal l'attend, Napoléon V profite des derniers instants à ses côtés, le cœur lourd. La perspective de cette séparation avec sa sœur jumelle, si précieuse à ses yeux, l'attriste profondément. Toujours protecteur, l'empereur ne peut s'empêcher de s'inquiéter pour celle qu'il a toujours vue comme plus vulnérable que lui. De son côté, Hortense, bien que reconnaissante de cet amour fraternel, n'a qu'une hâte : retrouver son fiancé Oliver. Ces derniers mois ont été éprouvants pour elle, car elle ressent avec acuité les tensions au sein de la famille impériale. Les récents écarts de conduite de son fiancé ont froissé les Simparte, et Hortense ne peut s'empêcher de se demander si elle est encore accueillie avec la même chaleur qu'auparavant.
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christian-dubuis-santini · 6 months ago
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Il s’agit avant tout d’arrêter de répéter la langue de l’adversaire, cesser de reprendre les termes, les expressions, les mots du persécuteur…
L’analyse appliquée à la politique, comme celle du philologue, ne peut que rejoindre l'observation de l’évolution de la langue par Victor Klemperer (LTI, La langue du IIIe Reich) qui lui permet de détecter avec une acuité particulière ce qui distingue par exemple le Nazisme d'une tyrannie ordinaire ou d'une dicta­ture brutale. Il perçoit dans le détail la «différence totali­taire» du régime nazi lorsqu'il s'avère que celui-ci dispose de la faculté non seulement de maltraiter et d'abattre ses ennemis (réels ou imaginaires), mais aussi d'embourber la parole et la pensée de ses victimes dans la fange de son jargon et de sa propagande. Observateur tout à la fois horrifié et impitoyable, Klemperer évoque fréquemment ces Juifs traqués qui ne cessent de se cou­ler dans la langue du persécuteur, ces braves gens dont les manifestations de compassion véhiculent le venin de l'idéologie et font saigner le cœur de ceux auxquels elles s'adressent non moins que les violences et les insultes des bourreaux.
Reprendre la langue de l’adversaire, ne serait-ce que partiellement, c’est nourrir son discours de sens et lui donner continuité de subsIstance…
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swedesinstockholm · 2 months ago
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26 août
hier j'allais pas très bien. après avoir fait un tour au vide-grenier du maybachufer (mon autre routine) où j'ai fermement négocié une chemise bleue ciel à trois euros je suis allée voir l'expo beth b à wedding. on y rentrait dans le noir complet par une espèce de grand tunnel qui descendait sous terre comme dans un parking souterrain avec des aigles projetés sur les murs. c'était grand et spectaculaire donc j'aimais bien. au fond du tunnel y avait une projection d'une fille qui flottait dans l'eau sans bouger vue d'en dessous. c'était que des projections de vidéos mais je sais plus trop ce que j'ai vu, à part une femme assise nue dans la neige avec du sang entre les jambes, des visages en train d'avoir un orgasme, une femme nue qui bouge au bord de l'eau et deux salles avec trop de lumières stroboscopiques. j'ai toujours peur de découvrir que je suis épileptique donc je suis ressortie et j'ai rien vu. y avait une atmosphère morbide un peu hardcore et j'avais pas envie de m'infliger ces images qui avaient toutes quelque chose de violent, j'avais juste envie de remonter à la surface pour aller m'allonger dans l'herbe au soleil dans le jardin du musée.
avant de sortir j'ai lu les textes écrits par des visiteurs de l'expo accrochés au mur. on était invité.e.s à raconter nos expériences de la mort, notre propre mort, évidemment ça m'intéressait. j'ai lu l'histoire d'une fille qui a été poussée dans une piscine lorsqu'elle était petite alors qu'elle savait pas nager, elle a attrapé une méningite et elle a passé trois mois à l'hôpital. on savait pas si elle allait survivre ou pas mais elle a fini par guérir et puis elle est tombée dans l'addiction à la drogue et à l'alcool, et quand elle en est sortie elle a développé une maladie autoimmune. je me rappelle plus si y avait une fin. je me suis dit quelle histoire tragique. quelqu'un d'autre racontait comment elle avait survécu à trois cancers. une femme racontait son premier épisode psychotique, elle pensait qu'elle allait mourir parce qu'elle comprenait pas ce qui lui arrivait jusqu'à ce que son mari l'emmène à l'hôpital. celle-là elle m'a donné envie de pleurer. je sais pas pourquoi. si c'est le fait qu'elle comprenait pas ce qui lui arrivait ou le fait que son mari l'emmène à l'hôpital. le fait d'avoir quelqu'un pour s'occuper d'elle. la détresse probable du mari. et puis j'ai lu ça: i was nearly dying of depression, every room i was in i felt like i was the same shape as the walls. un homme me bloquait l'accès alors je lui ai tourné autour jusqu'à ce qu'il bouge et j'ai lu et relu et rerelu la phrase écrite sur un petit papier jaune, horrifiée et hypnotisée par son acuité. plus tard j'ai lu dans le programme que le musée était un ancien crématorium et tout a pris sens.
de retour à la surface j'ai assisté à une performance d'un type qui a creusé un trou dans la pelouse devant le musée pour s'allonger dedans. il était accompagné par deux musiciens guitare/sons électroniques qui accompagnaient ses mouvements. le type portait un costume et y avait un parasol rouge à franges planté à côté. je trouve ça toujours un peu impressionnant, surtout dans le cadre de la performance, enfin pas toujours mais là ça m'a marquée, de voir ce que ça veut dire d'être artiste. ce que ça permet de faire. de porter un costume de se mettre à quatre pattes sur le pelouse et de creuser un trou dans la terre pour s'allonger dedans. je pensais à la famille et à ce qu'ils diraient. ils sont toujours là dans ma tête quand je vois des trucs comme ça, à se moquer sans vraiment chercher à comprendre.
quand il est ressorti du trou je l'ai pris comme un retour de la mort, pour rester dans le thème du crématorium. il était désespéré, il a creusé sa tombe pour s'enterrer, mais une fois mort il s'est rendu compte qu'il voulait vivre alors il est ressorti du trou et il l'a rebouché pour clore le chapitre, testé et pas approuvé. ça m'a émue. une fois le trou rebouché il s'est laissé tomber dessus et la musique qui était devenue plus intense et plus joyeuse avec le retour à la vie s'est brusquement arrêtée. les gens ont applaudi. plusieurs personnes s'étaient levées pour le prendre en photo pendant qu'il était dans le trou. en rentrant j'ai lu dans le programme qu'il s'y allongeait en position foetale et qu'il fermait les yeux, le temps de récupérer. il disait que parfois il avait des visions, des hallucinations, ou qu'il entendait des choses. quand il estime que le temps est venu, il se relève. parfois il le fait tout seul dans la forêt, sans public, sans caméras, juste pour lui. je trouvais ça rigolo tous les photographes qui lui tournaient autour pour documenter la performance, alors que ça avait l'air d'être un moment, une expérience tellement intime et personnelle justement.
je suis restée assise un moment dans l'herbe à regarder les gens autour de moi. le creuseur se faisait congratuler, il avait l'air épuisé. une femme en robe avec les cheveux gris attachés en queue de cheval lui papillonnait autour. elle est venue demander à son amie willst du introduced werden? (tu veux que je te présente?) son amie a répondu nö et la femme aux cheveux gris est repartie papillonner. dans le cercle de conversation des artistes y avait une femme accompagnée d'une jeune ado, comme à la soirée de court-métrages mercredi au kindl. l'ado du kindl devait avoir autour de treize ans, ses cheveux roux et frisés étaient retenus par deux baguettes chinoises et elle portait une combi rayée. l'adulte qui l'accompagnait la présentait aux gens assis au premier rang, les organisateurs de la soirée, la direction du musée, les artistes. elle serrait la main de tout le monde avec un grand sourire. je me demandais lequel c'était qui avait lu ma lettre de motivation et mon cv. je me demandais aussi ce que ça faisait de grandir là-dedans, entourée d'adultes au style funky qui l'emmènent à des soirées d'art qui ouvrent l'esprit et lui font rencontrer du monde. j'adore observer le style des gens plus âgés dans ce genre d'endroits. j'ai vu beaucoup de artsy fartsy début des années 2000 avec des petits détails quirky, même chez les vieux le y2k est de retour apparemment. une femme avait attaché ses cheveux blonds avec un truc en plastique vert fluo pour fermer les paquets entamés en guise de barrette. devant moi une dame âgée avec un poncho imperméable notait des trucs dans son carnet en attendant que ça commence, comme une possible version de moi dans quarante ans. moi j'enregistrais des sons avec mon téléphone.
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mmepastel · 7 months ago
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Je n’avais jamais rien de lui, mais en entendant un conseil d’un libraire à un client (je tendais l’oreille), j’ai été tentée, et ma foi, je n’ai pas regretté.
En résumé, et je ne spoile rien puisque ce que je vais dire là est contenu dans les premières pages, un homme ordinaire a jeté un autre homme, un promoteur immobilier, à la mer et l’a laissé se noyer. Tout le reste de cet assez court roman sera son quasi monologue, face au juge, pour expliquer ce qui l’a conduit à ce geste meurtrier.
C’est un peu comme un polar à l’envers, les mobiles apparaissent après la révélation de l’identité du meurtrier. Et ces mobiles sont complexes, et variés ; ils relèvent de la moralité, mais aussi de ce sentiment d’enlisement des classes moyennes, déclassées de surcroît, dans ce coin de Bretagne dépeuplé, où les gens rêvent, comme dans la chanson de Souchon, « d’un mieux d’un rêve d’un cheval », ils essaient de sortir d’une forme de torpeur, et se laissent alors parfois embobiner par des promesses clinquantes. On perçoit aussi dans le discours du narrateur la difficulté d’un père, qui sent et sait ce qu’il montre à son fils de ses divers échecs, qui sent ce qu’il lui transmet malgré lui, cette conscience aiguë de ce message mortifère qu’il lui passe comme un poison, malgré lui donc, mais palpable tout de même et impossible à travestir (les enfants comprennent tout, surtout ce qu’il n’y a pas dans les mots).
Le climat de cette presqu’île bretonne, son paysage, semblent s’immiscer dans l’écriture de Tanguy Viel, et c’est assez éblouissant. Un rythme dans les phrases, une acuité dans le choix des mots, une profonde mélancolie un peu teintée de sarcasme. C’est sombre, mais terriblement juste, sans emphase. On est devant un tableau aux teintes grises, mais riche de nuances.
La maîtrise du style et la justesse des portraits, la logique sophistiquée mais implacable des événements font de ce roman, à mon sens, un petit bijou de polar social, quasi métaphysique.
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poesiecritique · 10 months ago
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Demain le silence, Kate Wilhem, Le passager clandestin, 2022 (1970), trad. Michèle Valencia
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Ce livre est petit, 45 pages en poche, c'est une nouvelle, éditée ici seule, pas dans un recueil, ni une anthologie, c'est une nouvelle élue pouvoir devenir livre, c'est une nouvelle qui a été publiée en 1970, sous le titre "The Chosen, l'élu, traduit par Michèle Valencia, peu d'informations sur elle, si ce n'est qu'elle a traduit, beaucoup, d'auteur.ices de langue anglaise, et plutôt de langue australienne et américaine. Kate Wilhem est américaine. Elle a vécu 89 ans, est morte en 2018. Kate Wilhem a 34 ans quand Rachel Carson publie, en 1962, le Printemps silencieux, le constat d'un anthropo-phonocène, une capacité du groupe humain d'affecter la qualité sonore du monde. Cette information est rappelée dans le petit commentaire biographique et contextualisant de l'écriture et la publication de cette nouvelle, The Chosen, Demain, le silence. Personne ne signe ce petit commentaire, fidèle au nom de la maison d'édition, le passager clandestin.
Le silence c'est le silence d'un monde découvert, dont on pense qu'il a été découvert comme un monde parallèle à l'aide d'une technologie en élastique de voyage dans le temps, ou inter-dimensionnel. C'est flou comme un rêve, nécessairement. Comme un désir. Comme ce qui doit être deux choses contradictoires en même temps : flou, brouillé, enneigé, silencieux pour que la projection de l'autre advienne sur ce que l'on ne veut pas dire, ce que Wilhem ne veut pas, dans une logique narrative, tout de suite dévoiler. Mais à vrai dire, ce n'est pas ce qui me plaît autant dans cette fiction. Ce n'est pas ce qui me déplaît le moins non plus. Ce qui me plaît le plus c'est la description d'un monde sans bruit, qui est objectivement tout à fait bruissant (le vent, la neige, les chutes d'eau, les marais, la pluie, l'orage) et tout en même temps, complètement atone subjectivement. Quels sont les bruits que nous entendons, et que nous qualifions tels ? Le bruit est-ce la parole humaine incessante que l'on entend dans un appartement aux murs trop fins, ou la parole reste-t-elle parole, audible, tangible et rassurante ? A cette question, rien ne tient comme réponse que la norme, et ce que la norme sociale imposera. Si le ressort final de Wilhem m'indiffère c'est qu'il ne va pas au bout de la description du monde sonore de l'hôpital psychiatrique qui contraint au silence ceux considérés comme les plus dangereux, en même temps qu'il permet un flot incessant de paroles pour ceux jugés doux, inoffensifs. Ce que Wilhem décrit du premier monde ne se déploie pas dans le second. Si ça reste une nouvelle, 5 pages configurent le second espace sonore, dont une demi, seulement, pour ce que y vit, une fois que le retournement a eu lieu, le protagnoniste.
Ma seconde remarque est à l'endroit du genre.
Dans l'opposition qui se joue sous nos yeux, c'est bien un homme qui, hyper-sensible, va avoir un désir de résistance, de rébellion à un ordre décrit comme oppresseur, et oppressif à son endroit. C'est une figuration classique, où la femme est associée à la pérennisation du modèle social. Nicole-Claude Mathieu analyse la possibilité de ce phénomène (assourdissant) du maintien de l'oppression comme moyen de survie par les opprimé.es dans L'anatomie politique. L'hypersensibilité (dont les représentations sociales nous conduisent à considérer comme qualité féminin mais il faut penser à tous les poètes maudits, leur sensibilité exacerbée, et parmi lesquels les femmes sont bien rares à avoir été autorisés aux mêmes perditions) de cet homme est soulignée par Wilhem qui lui donne un prénom de genre neutre en américain, Lorin. Son hypersensibilité lui fait percevoir avec acuité, chez lui, que "Des enfants jouaient dans les couloirs et hurlaient." (p.43) Une première question est à l'endroit de l'absence de prise en compte de l'hypersensibilité que peuvent avoir des femmes assignées aux tâches domestiques, à la prise en charge des nourrissons et des enfants qui leur font des trous dans les oreilles. Dans Demain, le silence le trouble de cet homme qui désire du silence apparaît, socialement et donc littérairement, plus justifié - à comprendre comme comme collant plus à une réalité sociologique (que nous sommes bien en droit de vouloir renverser).
A l'hypersensibilité s'ajoute la naturalisation de la parole des hommes, et la figuration du désir de bavardage des femmes. Ce paradoxe est rendu possible par un sexage du travail de socialisation de la parole qui revient à la femme (comme le montre, d'un point de vue féministe C. Monnet dans La répartition des tâches entre les femmes et les hommes dans le travail de la conversation (1998), et d'un point de vue masculiniste Kleist dans De l'élaboration progressive des idées par la parole). D'une certaine façon, Wilhem prend ce paradoxe en compte en prénommant la protagoniste féminine Jan qui est de genre neutre en américain - et que la traductrice s'est bien gardé de francisée en Jeanne, ou même Jane. Mais Kate Wilhem le souligne également par la description des prises sonores des hommes et des femmes de cette société : "Des femmes poussaient des cris aigus, les hommes juraient", puis une litanie de bruits urbains. Ainsi, dans la trame sociale de ce monde (qui ressemble fort au nôtre), la naturalisation de la parole des hommes induit qu'ils continuent à être dotés de la parole même dans leur forme encolérée à l'inverse des femmes, des enfants - et des objets. S'ils sont en colère, c'est grave et réflexif, pas aigüe et sans sens comme la nature des femmes. A cela, s'articule, en miroir négatif, le désir de socialisation permanente de Jan, sa femme, dans toute la première partie de ce livre - même dans le sommeil, elle souhaite dormir à proximité des autres, à l'intérieur du navire. Ce désir permanent de socialisation avec d'autres peut aussi être une forme de refus d'un isolement dans une relation exclusivement duelle. Les violences de genre, sexistes et sexuelles, sont en effet accrues par l'isolement, et peut-être moins celui physique que celui social caractéristique d'une relation d'emprise, où tous les réseaux sont abandonnés au profit d'un espace-temps dédié à cette relation devenant unique. Si Jan semble, d'un certain point de vue, répondre parfaitement à cette société, d'une certaine façon cette société la protège peut-être de ce type de relations (bien que les bruits décrits par Wilhem soient moins un tissu relationnel qu'une somme de bruits, mais encore ici, malgré tout, rendus à l'aune de la perception de Lorin).
Mais outre le désir de silence ou de parole, le genre du silence est présent par devers les genres neutres des prénoms, l'hypersensibilité de Lorin, et avec le désir de bruit qu'à Jan. Quand Lorin, sur la planète, désire plus que tout y vivre, et y emmener Jan, il le dit mais ne détaille jamais ses affects, tout au plus son plan :"Jan, essaie de me comprendre. Nous pourrions avoir la belle vie ici. Nous pourrions avoir des enfants qui auraient de l'espace pour courir, jouer dans la forêt, nager dans la rivière… (…) Tu t'habituerais au calme…" (p.18) Il essaie de convaincre Jan, ce qui le ferme à entendre les émotions de Jan, mais de plus, Lorin ne lui dit jamais sa propre nécessité qu'il a du silence : il évoque des désirs d'enfants, soit le contraire du silence. Par ailleurs, Jan réagit typiquement par un silence genré à la promenade, qui se déroule sur un temps de plus en plus long, en ne disant pas son refus. Comme dans notre monde, les femmes, dotée ou non d'un prénom neutre en terme de genre, ne semblent pas avoir reçu cet apprentissage fondamental qui est de savoir exprimer le refus, autrement que par le silence.
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de-gueules-au-lion-d-or · 1 year ago
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« Chaque jour est répété en boucle que la France doit devenir une société ouverte sur le monde et à toutes les identités, manifestement pas à l’identité française. Il ne fait décidément pas bon être français de culture française. Les Français le perçoivent avec une très grande acuité, et c’est la raison pour laquelle ils sont de plus en plus nombreux à se sentir apatrides sur la terre que leurs ancêtres ont façonnée après de longues batailles et de grandes souffrances.
En France, tout le monde a le droit d’être fier de son identité et d’en exprimer publiquement la traduction au quotidien, sauf les Français de culture française. Chaque fois qu’ils en viennent ne serait-ce qu’à exiger le respect de leur identité, ils peuvent se voir accusés de racisme, de xénophobie et à présent d’islamophobie. Pour un peuple, la négation constante de son identité est une frustration sans borne et représente une véritable humiliation. Cette humiliation se mue peu à peu en colère sourde. Comme toujours en pareille situation, il y aura un retour de balancier. »
Malika Sorel, Décomposition française.
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sauvesparlekong · 2 years ago
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*** L’éternité le bien grand mot… 🌔 Saint Augustin s’interrogeait dans ses Confessions : « Qu’est-ce que donc le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais. Si quelqu’un pose la question et que je veuille l’expliquer, je ne sais plus. […] Quant au présent, s’il restait toujours présent sans se transformer en passé, il cesserait d’être “temps” pour être “éternité”. » Absorbés dans la phrase que vous venez de lire; vous êtes pourtant bien présents devant la page, et les mots, eux, s’évaporent. Vous subsistez - de chair, de corps, d’âme, de substance, et d’étendue - quand ces segments de phrase s’évanouissent dans le blanc vortex des interlignes qui se perdront et sont déjà perdues. L’art, lui, reste. Depuis toujours, et à jamais. Souvenez-vous de St Augustin : si le présent ne se transforme pas en passé, il devient éternité. Par quel tour de force, par quelle métaphysique ondulatoire un tel miracle peut advenir? Via l’art, toujours, qui lui, subsiste, se crée et se recrée sous votre œil qui devient le pinceau. Votre œil, dans sa vertu régénère l’œuvre en présence. La vertu d’un œil, déparée de toute morale, est de « bien voir » pour les Anciens. Sa complétude réside dans son acuité. Le postulat de l’éternité devient alors moins péremptoire, elle s’avère être accessible, et pour le dire simplement : vous avez l’éternité sous les yeux car c’est le moment choisi où il ne dépend que de vous de le rendre immortel, encore et encore, malgré les soubresauts de l’hydrométrie, du cadrage ou de la luminosité. Nymphéas immortels, vue de Delft atemporelle, canaux de la Sérénissime par Canaletto éternels si tant est que votre œil les régénère. Là la clé. Figer la sensation dans la matière et la rendre accessible à tout un chacun, n’ayons point peur des mots sur le sujet qui nous concerne ici : graver une sensation, retranscrire peu ou prou une psyché pour qu’elle devienne à la fois universelle et atemporelle. L’éternité / @villepin_art https://www.villepinart.com Exhibition Opening: 22 March – 16 April, 2023 // 53-55 Hollywood Road, Central, Hong Kong 
Thursday - Saturday | 11AM to 7PM (Open to Public) (à Villepin) https://www.instagram.com/p/Cq1n_SUvzF5/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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leblogdemarinaetjm · 2 years ago
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MERCREDI 1er MARS 2023 (Billet 2 / 3)
« THE SON » (2h 03min)
Un film de Florian Zeller, avec Hugh Jackman, Laura Dern, Zen McGrath, Vanessa Kirby, Anthony Hopkins…
Dieu qu’il est difficile de parler d’un film qui nous a à ce point émus ! Nous avons cherché dans toutes les critiques trouvées sur Internet (une bonne trentaine au moins) celle qui pourrait le plus se rapprocher de ce qu’on en a pensé, vous la trouverez ci-dessous.
Nous lui donnons tous les deux ❤️❤️❤️❤️ sur 5.
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Après avoir brillamment adapté sa pièce de théâtre « Le Père », Florian Zeller adapte désormais « Le Fils ». Mais il n’y a aucun rapport entre les deux si ce n’est les thèmes de la famille, des liens familiaux chahutés et de la maladie psychique comme matières premières. Dans « The Son », deux parents séparés doivent affronter la sévère dépression de leur fils qui n’a de cesse de s’enfoncer dans ses tourments.
Deux heures pour le voir, deux jours pour s’en remettre ! C’est comme cela que l’on pourrait résumer (de manière expéditive) l’expérience qu’est la découverte de ce second long-métrage de Florian Zeller. Le néo-cinéaste souffle littéralement sur place un spectateur dévasté par un récit poignant au possible. Un gamin, jadis lumineux, et qui désormais ne parvient plus à supporter la vie, littéralement dévoré de l’intérieur par une insondable tristesse qu’il ne parvient même pas à expliquer. Une mère, rongée de douleur face au désespoir de la chair de sa chair, ne sachant pas comment l’aider, et le voyant fuir loin d’elle. Un père, désespéré malgré sa bonne volonté, incapable de trouver la solution, incapable de comprendre le problème, terrifié à l’idée de sombrer dans le modèle paternel qu’il a eu et qu’il s’était juré de ne pas reproduire.
Certains s’offusqueront peut-être devant l’instrumentalisation du drame. Oui, Florian Zeller a une approche très mélodramatique… dans sa réalisation, la composition de ses scènes, l’écriture de ses dialogues, son appel à une musique très enveloppante et présente, l’incorporation de flashbacks émouvants toujours à point nommé pour qu’ils soient efficaces. Mais ça marche. Et au fond, c’est un peu le but. On demande à un film d’horreur de faire peur, à une comédie de faire rire, à une romance d’émouvoir. Logiquement, on attend d’un drame, qu’il bouleverse. Mais ce que l’on retiendra surtout de cette éprouvante descente aux enfers familiale, au-delà de ses quelques excès, c’est la justesse de ses scènes les plus intimes, les plus dures, les plus cruelles. Une justesse que ceux qui ont pu être confrontés à pareilles situations sauront pleinement juger.
Florian Zeller signe un film sublime qui saura parler à tous (ou presque). Sa direction d’acteurs est exceptionnelle. Hugh Jackman, extraordinaire en père déboussolé, Laura Dern, déchirante en mère rongée en passant par la révélation Zen McGrath, en ado tourmenté et trop conscient de son enfer. Sans parler de Vanessa Kirby, formidable en « dommage collatéral secondaire » ou d’un Anthony Hopkins qui n’a qu’une scène, et quelle scène !
Très vite, on réalise que « The Son » ne sera pas une « partie de plaisir ». Très vite, on regrettera d’avoir oublié ses mouchoirs à la maison. Mais très vite, on saura aussi se laisser emporter par des moments de cinéma absolument magistraux. Des instants qui prendront à la gorge et aux tripes (la scène à l’hôpital) ou qui enivreront (la scène de danse dans le selon). « The Son » est un ascenseur émotionnel permanent, cernant avec acuité le drame de la dépression. Avec comme idée que la plus grande tragédie dans l’histoire est finalement de se dire que, parfois, il n’y a pas de réponse au problème. Et quand il n’y a pas de réponse, la solution est encore plus difficile à trouver.
(Source : « mondocine.net »)
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christophe76460 · 7 days ago
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*#KEEPSAYINGIT #3328*
*Mercredi 15 janvier 2025*
Je ne marcherai jamais dans la confusion car l’Esprit de Dieu me guide sur le chemin de la vie et me conduit sur la voie du succès surnaturel et de la prospérité permanente. Je fais prospérer mon chemin et je connais constamment un bon succès lorsque je médite sur la Parole et que je la proclame avec audace. Je suis guidé et propulsé par la sagesse divine de Dieu pour faire Sa volonté et accomplir ma destinée en Christ. Je suis un associé du panthéon céleste. J’ai la vie éternelle à l’œuvre en moi. Elle me rend maître des circonstances. J’ai la domination sur les systèmes déplorables du monde. J’ai la domination sur Satan. Je suis supérieur aux maladies et aux infirmités. Je suis supérieur à la défaite. Je suis supérieur aux dépravations qui affectent l’homme naturel.
J’ai vaincu le monde et ses illusions, sa méchanceté, ses difficultés, sa cupidité et sa tromperie. Je suis crucifié avec Christ, néanmoins je vis ; ce n’est plus moi qui vit, mais Christ qui vit en moi. La vie que je vis maintenant dans la chair, je la vis par la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et s’est donné pour moi. J’ai une mémoire vive et une solide capacité à me souvenir des détails importants, des expériences et des connaissances. Mon acuité mentale et mes capacités cognitives sont de premier ordre. Je suis né de Dieu, par conséquent, la peur n’a pas sa place dans ma vie. Je suis perspicace, astucieux et intelligent. Je suis confiant, audacieux et courageux.
J’ai été amené à la vie et à l’immortalité parce que je suis vivant pour Dieu ! Je déclare que cette foi produit la santé dans mon corps, par conséquent, je refuse d’entretenir des doutes dans mon cœur. Je ne suis pas ému par ce que je vois, ressens ou entends ; je suis seulement ému par la Parole de Dieu. Je vis en bonne santé 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Le même Esprit qui a ressuscité Jésus d’entre les morts vit en moi ; il m’est impossible d’être abattu par la maladie. Peu imp
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gaboninfoslive · 11 days ago
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"Qui est réellement politiquement crédible dans notre pays ?" S'interroge Jugglah Essone
La question de la crédibilité politique se pose avec une acuité grandissante dans le contexte actuel de notre pays. Il est légitime de s’interroger sur le rôle de cette société civile, jadis vocale, qui semble désormais muette face aux crises qui secouent notre nation. Aux côtés de la junte au pouvoir, elle est devenue l’ombre d’elle-même, n’apparaissant que pour réagir à des analyses politiques…
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"Douleur physique et douleur psychique : des mécanismes cérébraux communs"
La douleur physique et la douleur psychique activent en effet des régions similaires du cerveau. Les recherches en neurosciences ont montré que, bien que ces deux types de douleur soient d'origines différentes, elles partagent des mécanismes neuronaux communs. Cela signifie que, pour le cerveau, la douleur émotionnelle et la douleur corporelle sont perçues de manière relativement similaire en termes d'activation des circuits cérébraux.
Plus précisément, des zones comme le cortex cingulaire antérieur, l'insula et la matière grise périaqueducale, qui sont impliquées dans le traitement de la douleur, sont également activées lors de situations de souffrance émotionnelle ou de stress psychologique. Cette interconnexion suggère que notre cerveau ne distingue pas toujours clairement entre la douleur physique et la douleur psychique, et traite ces deux types de souffrance avec une certaine équivalence en termes d'intensité.
Il est donc possible que la douleur psychique soit vécue avec une telle acuité qu’elle peut sembler aussi réelle et profonde que la douleur physique, ce qui explique pourquoi, lorsqu'on traverse des épreuves émotionnelles intenses, notre bien-être général peut en être tout autant affecté.
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"La douleur physique et la douleur psychique activent les mêmes zones du cerveau. Autrement dit, pour notre cerveau, la douleur physique et la douleur psychique sont traitées de manière similaire et ont une valeur équivalente."
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christian-dubuis-santini · 2 years ago
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«Dans les époques exigeant la tromperie et favorisant l'erreur, le penseur s'efforce de rectifier ce qu'il lit et entend. Il répète dou­cement ce qu'il entend et lit, pour rectifier au fur et à mesure. Phrase après phrase, Il substitue la vérité à la contre-vérité [...]. Le penseur avance de phrase en phrase, de façon à corriger lentement, mais complète­ment ce qu'il a lu et entendu, en suivant l'enchaînement. Ainsi, il n'oublie rien.» (Bertolt Brecht, Sur le rétablissement de la vérité – in Écrits sur la politique et la société, L'Arche, 1970)
Il s’agit avant tout d’arrêter de répéter la langue de l’adversaire, cesser de reprendre les termes, les expressions, les mots du persécuteur…
L’analyse appliquée à la politique, comme celle du philologue, ne peut que rejoindre l'observation de l’évolution de la langue par Victor Klemperer (LTI, La langue du IIIe Reich) qui lui permet de détecter avec une acuité particulière ce qui distingue par exemple le Nazisme d'une tyrannie ordinaire ou d'une dicta­ture brutale. Il perçoit dans le détail la «différence totali­taire» du régime nazi lorsqu'il s'avère que celui-ci dispose de la faculté non seulement de maltraiter et d'abattre ses ennemis (réels ou imaginaires), mais aussi d'embourber la parole et la pensée de ses victimes dans la fange de son jargon et de sa propagande. Observateur tout à la fois horrifié et impitoyable, Klemperer évoque fréquemment ces Juifs traqués qui ne cessent de se cou­ler dans la langue du persécuteur, ces braves gens dont les manifestations de compassion véhiculent le venin de l'idéologie et font saigner le cœur de ceux auxquels elles s'adressent non moins que les violences et les insultes des bourreaux.
Reprendre la langue de l’adversaire, ne serait-ce que partiellement, c’est nourrir son discours de sens et lui donner continuité de subsIstance…
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drchristophedelongsblog · 22 days ago
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Troubles de la marche et de la vision : un duo qui peut déstabiliser
On sait tous que la vision joue un rôle essentiel dans notre mobilité. Mais saviez-vous que les problèmes de vision peuvent aussi engendrer des difficultés à marcher ? Explorons ce lien étroit entre la vue et la marche.
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Pourquoi la vision influence-t-elle notre marche ?
Notre cerveau utilise les informations visuelles pour ajuster en permanence notre posture et nos mouvements. Lorsque la vision est altérée, ces informations sont moins précises, ce qui peut entraîner :
Des difficultés à estimer les distances: Les obstacles peuvent être sous-estimés, augmentant le risque de trébucher ou de tomber.
Une perception déformée de l'espace: Les escaliers, les trottoirs ou les changements de niveau peuvent sembler plus hauts ou plus bas qu'ils ne le sont en réalité.
Des problèmes d'orientation: Il peut être difficile de se repérer dans un environnement inconnu ou mal éclairé.
Les conséquences des troubles de la vision sur la marche
Les troubles de la vision peuvent avoir des conséquences importantes sur la vie quotidienne :
Augmentation du risque de chutes: Les personnes ayant des problèmes de vision sont plus susceptibles de tomber, notamment chez elles.
Réduction de l'autonomie: La peur de tomber peut limiter les activités et réduire la confiance en soi.
Isolement social: Les difficultés à se déplacer peuvent entraîner un retrait social.
Quels types de troubles de la vision peuvent affecter la marche ?
La vision floue: Une acuité visuelle réduite rend difficile la perception des détails et des contrastes.
La vision double: La perception de deux images au lieu d'une peut désorienter et rendre la marche instable.
Les champs visuels réduits: Une perte de vision périphérique limite le champ de vision et augmente le risque de collisions.
Comment améliorer la mobilité en cas de troubles de la vision ?
Consulter un ophtalmologue: Un bilan visuel régulier est essentiel pour détecter et corriger les problèmes de vision.
Porter des lunettes ou des lentilles adaptées: Une bonne correction visuelle peut améliorer considérablement la qualité de vie.
Utiliser des aides visuelles: Une loupe, une lampe de poche ou des verres grossissants peuvent faciliter certaines tâches.
Adapter son environnement: Un bon éclairage, des contrastes marqués et des rampes d'accès peuvent rendre l'environnement plus sûr.
En conclusion, les troubles de la vision peuvent avoir un impact significatif sur la marche et l'équilibre. Il est donc important de consulter un professionnel de la santé pour trouver les solutions adaptées à chaque situation.
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