#Tu ne manqueras à personne
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Printemps 1925, Hylewood, Canada
Chère cousine,
Pardonne mes manières frustres, mais il parait que nous avons le même âge, et je trouve cela étrange de m’adresser à toi comme si je parlais à une vieille tante. On est au vingtième siècle, maudit, alors le tutoiement ce sera.
Cela fait un an que je me dis que je dois m’y mettre, mais je me retrouve toujours à repousser. Ne va pas croire que je ne souhaite pas te répondre, mais ne trouves-tu pas qu’il y a quelque chose d’étrange, de romanesque, même, à écrire ses pensées les plus intimes à une personne qui se trouve à des milliers de miles, qu’on a jamais rencontrée, qu’on ne rencontrera jamais ? C’est vertigineux que de se dire qu’on reprend un flambeau porté depuis un siècle. Avant, je pensais que ce genre de correspondance était commune dans toutes les familles. La mienne l’avait toujours fait, alors il me paraissait naturel de me dire que c’était courant de continuer d’écrire à ses petits-cousins issus de germains éloignés au premier degré (oui, j’ai vérifié). Quand j’en ai parlé aux copains du pensionnat, ils m'ont pris pour un cinglé. En même temps, si les habitants de l’île devaient continuer à correspondre avec leur famille éloignée, les lettres n’iraient pas bien loin, il suffirait de traverser la rue et le facteur se retrouverait au chômage.
Moi aussi, j’ai un surnom hideux que ma mère n’aura pas manqué de communiquer à ta mère, mais je te serai grée de ne pas l’utiliser, puisque mes parents s’évertuent à m’appeler « Lulu » et que tu ne manqueras pas de compatir à mon dépit. Au moins, le tien - de surnom - a un peu de panache.
Je ne sais pas quel crédit apporter à ces histoires de fantômes, mais si j’étais toi, je n’en ferais pas trop de cas. Les personnes âgées voient toutes sortes de choses, elles mélangent le passé et le présent dans leur tête après un certain âge, comme si leur mémoire arrivait à saturation devant une chronologie trop longue. C’est ce qui arrive à l’oncle Joseph, qui approche les cent ans et qui est complètement tanné du cerveau depuis quelques années. Il ne se souvient plus des noms et il confond les gens avec des personnes qu’il a connu il y a trente ans, il radote dans ses prêches, tous ses diocésains le supplient de partir à la retraite, mais il n’en démords pas, il reste accroché à son évêché comme une moule à son rocher.
Au revoir, chère cousine Noé – je voudrais pouvoir dire à bientôt mais je préfère ne rien promettre. Excuse le décousu de cette lettre vingt fois interrompue par mes trop nombreux frères et sœurs - Marie a dix-sept ans aujourd'hui et est très excitée par son chapeau, ses parfums – Nuit de Noël de Caron, elle tient à ce que je te le précise puisqu’il parait que je n’y connais rien et que je ne l’apprécie pas à sa juste valeur avec mon nez grossier – cadeaux choisis par elle-même… Je réalise bien que je n’ai pas répondu à tout ce que tu me demandes dans ta longue lettre, mais je me ferai pardonner la prochaine fois.
J'ai mis tant de temps à répondre, tu dois être mariée à l'heure qu'il est. Toutes mes félicitations. Petites et grands t’envoient bien des amitiés. Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Eugénie LeBris : Dépêche-toi de retrouver ton chandail. L’oncle Joseph va être furieux s’il voit que tu ne portes pas ses cadeaux… Dolorès LeBris : Mais je ne porte pas ses cadeaux… Ils sont trop moches ! Eugénie LeBris : Oui, mais il n’a pas besoin de le savoir !
#Tags :#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Eugénie Bernard#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Gizelle LeBris#Joseph Bernard
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Cher Tumblr,
Je me demandais quand ce jour allait arriver. 8 ans que tu fais partie de ma vie. Je t’ai tout raconté, dans les moindres détails de mon âme. 8 ans que tu m’aides à extérioriser, à pleurer quand je n’y arrive plus. Le 24 mai 2015, tu m’as écouté pour la première fois et ça m’a fait du bien. Et aujourd’hui c’est la dernière fois que tu entendras mes maux. La raison pour laquelle j'écrivais a cœur acharné doit prendre fin et mon désespoir est sans nom, elle me manquera toute ma vie alors à quoi bon continuer d'écrire les mêmes peines inlassablement, pour toujours? Tout comme les 7000 personnes qui m’ont lâché un sourire à travers mes écris, tu as su m’aider. Je décide de dire au revoir à tout ça, de dire au revoir à mes écrits, de les laisser dans le néant, pour ceux qui en aurait peut être besoin et qui se seraient perdus à travers l’immensité du néant.
Une page se tourne, une autre commence, cette fois ça ne sera pas moi qui l’écrira, je ne veux plus avoir besoin de tremper mes larmes dans l’encre.
Merci à ceux qui m’ont lus, qui ont ressenti, merci à toi Tumblr de m’avoir aidé plus d’une fois.
Je m’en vais dans un souffle d’une voix cristalline et dans une déconnexion éternelle.
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tag game du rp
j'ai pris le tag libre de @jepeuxpasjairoleplay (bc i like to talk oui oui)
règles du jeu: créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — sur forum j'ai commencé en 2010 donc 14 ans. techniquement, j'ai débuté avant via skyrock (ouéoué). je vais partir sur forum, tho.
quel était le premier personnage que tu as créé? — Natasha Williams sur un forum esprits criminels (si y en a qui ont connu, forever nostalgique de cette époque mdr)
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — alors au tout début je reprenais jamais le même 2 fois (mais j'étais sur un seul forum donc mdr). puis après j'ai découvert Benedict Cumberbatch et il a empiré ma créativité mdrrr
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — jamais été attirée par les univers illustrés ou ceux où on incarne des animaux (ça me perturbe bcp) et j'ai souvent du mal avec les univers totalement inventés et/ou magiques (trop peur de faire une connerie qui soit différent du lore, bref, mon anxiété le vit mal)
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — platonique le famous found family et en romantique CLAIREMENT le friends to lovers (bonus point si ça goes enemies to friends to lovers mdrrr) (colleagues to lovers marche aussi). j'aime aussi bcp quand la nana est petite et fierce et smart et que le mec est un grand dumbass deeply in love
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — si on me lance dans un city classique je me débrouille pour ne pas tourner en rond, je suis une fille simple
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — tous lol Juliet me manquera tout le temps, toujours et prob que je ferai jamais complètement mon deuil d'Avalon non plus
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je sais pas si c'est un archétype mais j'ai remarqué que mes nanas sont toutes ultra féministes. chez les mecs c'est souvent celui qui est considéré (ou se considère, en tout cas) comme le raté de la famille/de sa bande de potes, dépressif, en recherche de réponses. si je jour un perso de 50+ ans, il est dépressif, a eu une vie pourrie dès la naissance, souvent un bouffon (ou aime se prétendre bouffon) (et souvent il a la tronche de Mark Ruffalo car je l'aime d'amour).
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — j'écrivais déjà avant car j'ai toujours écris et inventé des histoires mais Pierre Bottero restera l'une des plus grosses influences littéraires de ma vie.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — y en a bcp niveau livres mais je pense que Sorj Chalandon est encore trop peu connu et je trouve ça scandaleux mdr c'est une littérature blanche (française) absolument divine, des sujets toujours réels, inspirants et déchirants et sa plume est à jalouser for real donc lisez-le. si vous voulez le découvrir, Le Quatrième Mur ou Enfant de salaud sont mes deux préférés (et les deux pour lesquels il aurait du avoir le prix Goncourt idc). et sinon en sf et pour les amateurs de space opera : Becky Chambers. that's it.
☞ je tag: personne ou les personnes qui veulent faire le jeu et qui aiment papoter
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LA SOUVERAINETÉ DE DIEU
D'après un partage de M Haldemann
L'image que nous avons de Dieu impacte notre vie...
"A l'Eternel la terre et ce qu'elle renferme, le monde et ceux qui l'habitent! Car il l'a fondée sur les mers,Et affermie sur les fleuves. Qui pourra monter à la montagne de l'Eternel? Qui s'élèvera jusqu'à son lieu saint?
Portes, élevez vos linteaux; élevez-vous, portes éternelles! Que le roi de gloire fasse son entrée! Qui est ce roi de gloire? L'Eternel fort et puissant, l'Eternel puissant dans les combats. Portes, élevez vos linteaux; élevez-les, portes éternelles! Que le roi de gloire fasse son entrée! Qui donc est ce roi de gloire? L'Eternel des armées : Voilà le roi de gloire!" Psaume 24:1-3, 7-10
Le psalmiste exprime la révélation que l'Esprit Saint lui a donné sur un aspect de la personne de Dieu. Un Dieu qui fait selon sa volonté et selon ses plans, un Dieu souverain à qui tout appartient : "A l'Eternel la terre et ce qu'elle renferme, le monde et ceux qui l'habitent!"
Au sein des tumultes politiques, économiques, écologiques et sociétaux de ce monde dans lequel nous vivons et parfois que nous subissons, rappelons-nous que Dieu est souverain. Notre Dieu est au ciel et il fait ce qu'il veut. Notre Dieu est omniscient et il sait ce qu'il fait (ou qu'il ne fait pas).
Malgré les difficultés que nous traversons et les souffrances que nous pouvons connaître, ses pensées sont éloignées des nôtres, mais il sait mieux que nous ce dont nous avons besoin.
En temps de famine, Dieu envoya Élie chez une veuve qui n'avait plus rien pour vivre elle et son fils :
"Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir.
Elie appela la veuve et dit : Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main.
Et elle répondit : L'Eternel, ton Dieu, est vivant! je n'ai rien de cuit, je n'ai qu'une poignée de farine dans un pot et un peu d'huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils; nous mangerons, après quoi nous mourrons. Elie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d'abord avec cela un petit gâteau, et tu me l'apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils. Car ainsi parle l'Eternel, le Dieu d'Israël : La farine qui est dans le pot ne manquera point et l'huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu'au jour où l'Eternel fera tomber de la pluie sur la face du sol. Elle alla, et elle fit selon la parole d'Elie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu'Elie." 1 Rois 17:9, 12-16
Élie, le serviteur de Dieu, connaissait la situation tragique dans laquelle se trouvait cette veuve de Sarepta, et il va pourtant lui demander le peu qui lui reste, car il avait la révélation de Dieu à qui tout appartient.
Tout comme Christ qui enseignait ses disciples en ces termes :
"Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas : Que mangerons-nous? Que boirons-nous? De quoi serons-nous vêtus? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus." Matthieu 6:31-33
Nous avons besoin de réaliser la souveraineté de Dieu dans nos vies et dans tout ce qu'il nous a confié, notamment notre vie. La vie est volatile, demain nous ne savons pas ce qu'il en sera, mais aujourd'hui, tant que nous pouvons dire aujourd'hui, cherchons premièrement le Royaume de Dieu et sa justice et investissons pour l'éternité. Notre vie ne s'arrête pas aux choses d'ici bas, et la révélation de la souveraineté de Dieu nous amène à regarder les choses sous l'angle de l'éternité.
Puisque Dieu est souverain et que tout lui appartient, tout ce que nous faisons ou que nous donnons est pour Lui, même s'il ne nous restait plus que deux pains et trois poissons, il saura se glorifier avec le peu qu'il nous reste.
La souveraineté de Dieu est également un rocher pour notre foi lorsque les vagues déferlantes viennent s'abattre sur notre vie.
Job au sein de sa détresse a eu la révélation de la souraineté de Dieu et a pu dire : "L'Eternel à donné, l'Eternel à repris, que ler nom de l'Eternel soit béni."
Nous sommes pressés de toutes parts, mais non écrasés; inquiets, mais non désespérés; persécutés, mais non abandonnés; abattus, mais non anéantis; car notre Dieu est souverain et nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu !
Il sait si bien ce qu'il nous faut sur son amour je me repose...
Et lorsque je traverse les pires moments de ma vie, je regarde à la souveraineté de Dieu.
Dieu est souverain pour ma vie, et cela est mieux ainsi !
À Lui soit la gloire et l'honneur pour toujours. Amen.
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◀ 1ER JUIN ▶ Les Trésors De La Foi
Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras. Ecclésiaste 11:1
Les promesses de Dieu subsistent
N'attendons pas toujours une récompense immédiate du bien que nous faisons, et ne limitons pas nos efforts aux lieux ou aux personnes qui semblent devoir nous payer en retour. L'Egyptien répand sa semence sur les eaux du Nil, et il peut sembler que ce soit la jeter à la rivière; mais bientôt les eaux baissent, et les grains de riz ou de blé pénètrent dans un sol fertile pour y produire peu après une riche récolté. Faisons du bien aujourd'hui à l'ingrat et au méchant; instruisons l'insouciant et l'obstiné. Des eaux viendront d'une manière inattendue couvrir ce sol aride et le fertiliser. Nulle part notre travail ne sera vain auprès du Seigneur. A nous de jeter notre pain sur les eaux, à Dieu d'accomplir cette promesse: "Tu le retrouveras." Jamais il ne manquera à ses engagements. Toute parole que nous aurons dite de sa part se retrouvera, nous-mêmes en serons témoins. Nom pas immédiatement peut-être, mais, un jour ou l'autre, nous récolterons ce que nous aurons semé. Nous devons exercer notre patience car le Seigneur veut peut-être l'exercer. "Avec le temps," dit l'Ecriture. Et dans plus d'un cas, ce temps devient des mois et des années, mais la promesse reste vraie. Dieu gardera sa parole. Gardons à notre tour ses préceptes, et gardons-les en ce jour. - Lire plus ici :
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Et la petite planète tourne - Pascal Depresle
Parfois, quand on fait un peu le tour de soi, on se rend vite compte, sauf à passer par le nombril et affublé de lunettes roses, qu’il nous manquera toujours des réponses.Celles qui ne viendront jamais parce que les questions n’ont pas été posées.Celles qui ne viendront jamais parce que la personne n’est plus là pour répondre.Celles qui ne viendront jamais parce que le mur auquel tu t’adresses ne…
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COMMENT TE TROUVES-TU, CHER AMI(E) ? QUELLE EST TON OPINION PERSONNELLE À TON PROPRE SUJET ?
CONSIDÈRES-TU QUE TU ES PARFAIT ET QUE TU ES UNE SUPERBE BONNE PERSONNE ?
COMMENT TE VOIS-TU ? COMMENT TE CONSIDÈRES-TU ?
À quelle conclusion, à ton propre sujet, es-tu arrivé après le nombre d'années que tu as vécu sur terre, cher ami(e) ?
À un moment donné, on doit se rendre compte de qui l'on est. Non ?
Crois-tu que tu es formidable ou détestable ?
SANS AVOIR SES PROPRES CONCLUSIONS, ON EST PERDU ET ON NE SAIT OÙ ON N'EN ES ET CE DONT ON A BESOIN.
NON, CHER AMI(E) ?
SANS SE SITUER SOI-MÊME, ON NE SAURA QUELLE DIRECTION PRENDRE.
LE SAVAIS-TU ?
NOUS NE POUVONS VIVRE RÉELLEMENT, SANS ARRIVER À UN MOMENT DONNÉ À NOS PROPRES CONCLUSIONS AU SUJET DE NOUS-MÊMES ET AU SUJET DE TOUTE CHOSE.
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ET MAINTENANT, SI TU AS TON AVIS PERSONNEL SUR TOI-MÊME ET SUR D'AUTRES SUJETS, QU'EN FAIS-TU ?
AS-TU PRIS DES DÉCISIONS APRÈS AVOIR DÉCOUVERT QUI TU ES ET COMMENT TU CONSIDÈRES LA VIE, CHER AMI(E) ?
EN EFFET, QUEL EST TON OBJECTIF ?
CAR MÊME SI TU ES ARRIVÉ À DES CONCLUSIONS, SANS AVOIR TES PROPRES OBJECTIFS DE VIE, TOUT CE QUE TU FAIS N'A AUCUN SENS, EN RÉALITÉ.
ON A BESOIN DE VIVRE AFIN D'ÊTRE CONFORME À CE QUE L'ON CONSIDÈRE ÊTRE LA BONNE VOIE.
NON ?
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L'OBJECTIF DE MES QUESTIONS, EST DE TE POUSSER À LA RÉFLEXION, CAR LA PLUPART D'ENTRE NOUS, MÈNENT DES VIES MACHINALES ET AUTOMATIQUES, ET NOUS NE PRENONS PAS LE TEMPS DE VIVRE EN PROFONDEUR, EN RÉFLÉCHISSANT À LA VIE ET À CE QUI COMPTE VRAIMENT.
LE SAVAIS-TU ?
L'être humain est tellement sûr de ses certitudes, qu'il ne prend plus le temps de se poser des questions existentielles, ou des questions pour réellement savoir les raisons ou les mobiles qui sont dernières chacune de ses actions.
Savais-tu que sans vivre en profondeur, tu auras vécu comme un mouton ou encore tu auras vécu en esclavage, sans réellement avoir compris la vie que tu as vécue ?
Tu auras simplement fait ce que la propagande du pays auquel tu appartiens t'aura manipulé à faire.
Car chaque pays selon sa politique ne donne que les informations à sa population qui lui permette de les manœuvrer ou de se servir d'eux.
Le savais-tu ?
On a la notion de gentil et de méchant, mais aujourd'hui qui est réellement gentil ?
Crois-tu en la bonté humaine ?
Jésus lui-même a fait preuve de beaucoup de sévérité durant son séjour sur terre, preuve que la seule personne gentille ou la seule bonne personne qui est venue sur terre, n'a pas pu réellement manifesté sa bonté comme il l'aurait voulu, tellement l'hypocrisie était présente à son époque.
SI JE NE DIS PAS LA VÉRITÉ SELON TOI, POSE-TOI LA QUESTION, D'OÙ VIENT CE QUE TU CROIS ÊTRE VRAI ?
QUI T'A DONNÉ LES INFORMATIONS QUE TU CROIS SÛRES ET CERTAINES ?
SI C'EST UN ÊTRE HUMAIN QUI TE LES A DONNÉ, SACHE QUE TU AS BÂTI TA VIE SUR DES MENSONGES.
CAR AUCUN ÊTRE HUMAIN NE POSSÈDE LA VÉRITÉ.
LES ÊTRES HUMAINS ONT DES CONSTATIONS, DES IMPRESSIONS, DES INTIMES CONVICTIONS, DES TÉMOIGNAGES PERSONNELLES.
MAIS QUI POSSÈDE LA VÉRITÉ ABSOLUE, QUI EST VRAIE QUE TU SOIS VIVANT OU MORT ?
AS-TU LA VÉRITÉ ÉTERNELLE, QUI EST VALABLE EN TOUTE CIRCONSTANCE ?
LA PREUVE QUE TU AS LA VÉRITÉ DIVINE, EST QU'ELLE TA LIBÉRÉ DE TOUS PÉCHÉS, DE TOUS VICES ET DE TOUTE TES CIRCONSTANCES, AU POINT DE DEVENIR COMME LE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST LUI-MÊME.
DONC CROIS-TU TOUJOURS POSSÉDER LA VÉRITÉ, CHER AMI(E) ?
LA VÉRITÉ EST PLUS QU'UNE INFORMATION VRAIE, LA VÉRITÉ EST DIEU LUI-MÊME.
LE SAVAIS-TU ?
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SANS NOUS POSER DES QUESTIONS QUI NOUS EMMÈNENT À DEVENIR DES PERSONNES PROFONDES, ON SERA DÉMUNI LE JOUR OÙ L'ON FERA FACE À DES DIFFICULTÉS OU LE JOUR OÙ L'ON FERA FACE À LA MORT, TOUT SIMPLEMENT.
SANS DEVENIR UN ÊTRE PROFOND OU SANS VIVRE TOUT LE TEMPS DE TOUT SON ÊTRE, ON SERA FORCÉMENT FAIBLE ET ON MANQUERA DE PUISSANCE EN TOUTE CIRCONSTANCE.
Quelle est l'impression que te donne le Christ, quand il faisait face aux difficultés de la vie qu'il rencontrait ?
S'il est ton exemple, pose-toi donc des questions afin de découvrir pourquoi ta vie n'est toujours pas similaire à la sienne.
Non ?
Que veux-tu, réellement cher ami(e) ?
Si Dieu te demandait comme au roi Salomon, "Que veux-tu que je fasse pour toi ?".
Que lui répondrais-tu ?
En tenant compte de la réponse que tu donneras à ton Créateur, est-ce que ta vie actuelle reflète ce que tu attends de Dieu ?
Car demander des choses alors que l'on n'est pas en train de vivre de tout son être ou quand on n'est pas en train de fournir tous ses efforts personnels dans la vie que l'on mène, cela explique pourquoi Dieu n'est jamais venu te poser ce genre de question, cher ami(e).
En effet, si aujourd'hui, tu n'es pas devenu conforme à ce que ta propre conscience te demande, pourquoi ton Créateur viendrait te voir pour être ton ami ou pour te venir en aide ?
SI TU N'ES PAS FIDÈLE À TES PROPRES CONVICTIONS, POURQUOI DIEU T'AIDERAI À ALLER PLUS LOIN OU À PROGRESSER, SI TU NE FAIS PAS DÉJÀ LE STRIC MINIMUM QUI CONSISTE À VIVRE SELON CE QUE TU CROIS PROFONDÉMENT.
CAR EN NE VIVANT PAS AINSI, TU TE MÉPRISE TOI-MÊME, CHER AMI(E).
TU MÉPRISES QUI TU ES, SI TU NE VIS PAS SELON CE QUE TU CROIS VÉRITABLEMENT.
Tu ne peux avoir la force d'être sincère et de demander quoi que ce soit à Dieu, tant que tu n'as pas atteint un certain degré de conformité à tes convictions personnelles et profondes.
Car toute personne non-sincère, est comme si elle était folle ou sans intelligence aux yeux de Dieu.
Qui écoute véritablement une personne que l'on considère folle ?
Qui prend au sérieux ce que dit un fou, mes chers amis ?
Comprends donc, pourquoi tes prières ne sont pas exaucés, comme l'étaient celles du Seigneur Jésus-Christ.
Car tu es considéré par Dieu comme une personne manquant beaucoup de sagesse, pour ne pas dire que tu es vu comme un fou ou comme une folle par ton Créateur, cher ami(e).
SAVAIS-TU QUE DIEU À UNE OPINION SUR CHACUN DE NOUS, BASÉE SUR LES MOBILES QUI SONT CACHÉS DERRIÈRES NOS ACTIONS ?
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Comprends que Dieu est Tout-Puissant et ne pas faire preuve devant lui de consistance ou d'intégrité n'est pas tolérable.
Le minimum que Dieu attend de chacun de nous est de la franchise en tout temps ou le fait d'être fidèle à nos convictions personnelles en tout temps, ce qui est la définition de l'intégrité ou du fait d'être sérieux, tout simplement.
Dieu ne veut pas la perfection de notre part, mais de la sincérité et de la totale transparence.
Dieu est terrible dans la grande assemblée des saints, Il est redoutable pour tous ceux qui l'entourent. - Psaume 89:7 LSG
Car l'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité. - Psaume 84:11 LSG
Être proche de Dieu implique obligatoirement que tu sois devenu fidèle à ce que tu crois personnellement, c'est-à-dire intègre.
Tu ne peux être proche de Dieu, sans te laisser changer par lui, sans devenir de plus en plus comme lui.
Car Dieu par sa seule présence détruit tout mal, chasse toute mauvaise chose.
ET EN RÉALITÉ, C'EST NOUS QUI DÉTERMINONS NOTRE PROXIMITÉ AVEC DIEU ET NON LUI.
L'ÉTERNEL EST PRÈS DE TOUS CEUX QUI L'INVOQUENT, DE TOUS CEUX QUI L'INVOQUENT AVEC SINCÉRITÉ - PSAUME 145:18 LSG
SI TU N'ES PAS SINCÈRE ET INTÈGRE, C'EST TOI-MÊME QUI FUIT DIEU ET TU FUIS AUSSI LES PERSONNES SINCÈRES ET INTÈGRES PAR CONSÉQUENCE.
CAR ON SE COMPORTE AVEC DIEU, COMME ON SE COMPORTE AVEC LES PERSONNES QUI ONT DÉVELOPPÉ UN CARACTÈRE COMME CELUI DE DIEU.
LE SAVAIS-TU ?
MAIS SI TU SAIS QUE TU NE VEUX PAS ÊTRE SÉRIEUX, POUR LE MOMENT, PAS DE SOUCI, CHER AMI(E).
PRENDS TON TEMPS, CONTINUE À FAIRE CE QUE TU TE SENS CONFORTABLE À FAIRE POUR LE MOMENT, CAR EN RÉALITÉ, TU RÉVÈLES QUE TU N'ES PAS ENCORE PRÈS, POUR ÊTRE SÉRIEUX ET DONC TU N'ES PAS ENCORE PRÊT POUR ÊTRE PROCHE DE DIEU, TOUT SIMPLEMENT.
EN EFFET, CHACUN GRANDIT À SON PROPRE RYTHME, CAR CHAQUE PERSONNE EST UNIQUE.
ET DIEU N'EST PAS UN DICTATEUR QUI NOUS OBLIGE À QUOI QUE CE SOIT.
CE N'EST PAS PARCE QUE QUELQU'UN SEMBLE ÊTRE PLUS LOIN QUE TOI, QU'IL L'EST EFFECTIVEMENT.
CAR ON NE PEUT SE COMPARER, CAR CHAQUE PARCOURS EST UNIQUE, TOUT SIMPLEMENT.
SOIS DONC JUSTE TOI-MÊME, ET VIT SELON CE QUE TU CROIS PERSONNELLEMENT, CHER AMI(E).
Le jour que tu sentiras que tout en toi est prêt à être dans la cours des grands, et là, je parle du fait que le jour que tu voudras connaître ton Créateur de tout ton être, tu le feras de toi-même, car en réalité, on n'a pas besoin des uns des autres, Dieu suffit à chacun de nous, tout simplement.
Se comparer les uns aux autres est la source de beaucoup de confusion et de mauvaises décisions, mes chers amis.
Sache simplement que le jour que tu veux t'approcher de Dieu, que ton Créateur exige de chacun de nous, de l'intégrité pour vivre avec lui.
C'est-à-dire, Dieu nous demande de la fidélité à nos convictions personnelles, tout simplement.
Dieu ne force personne à le connaître ou à se soumettre à lui.
Mais il a créé le monde afin que tout fonctionne bien, uniquement si on est en parfait accord avec lui.
Maintenant, à chacun de s'en rendre compte en son temps.
Donc être heureux sans être en accord parfait avec son Créateur n'est pas réellement possible, en réalité.
Maintenant, tant qu'on est sincère, avec Dieu, on a toujours le temps, en réalité.
Je le redis, ne pas se comparer aux autres est très important, sinon on se sentira mal pour rien.
Mais avec Dieu tout est un apprentissage, donc en demeurant sincère, on finira par comprendre que se comparer aux autres n'est pas le chemin qui mène vers la communion intime et profonde avec Dieu, en réalité.
Et notre Dieu est en chacun de nous depuis notre création, par le souffle divin qu'il a mis en nous, pour nous donner la vie, et qui n'est rien d'autre que lui-même.
L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière du sol, et il insuffla dans ses narines un souffle de vie ; et l'homme devint un être vivant [un individu complet de corps et d'esprit]. - Genèse 2:7 AMP
Alors l'Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. - Genèse 6:3 LSG
Sans l'esprit de Dieu qui te maintient en vie, par sa présence en toi et surtout sans être en parfait accord avec lui, tu ne peux être heureux véritablement.
Mais pour s'en rendre compte, il faut devenir sincère et totalement transparent envers tout le monde.
Ce n'est pas facile, mais avec l'aide de Dieu tout est possible.
Je te partage mon vécu et ma compréhension de mon expérience personnelle.
Si tu as un autre vécu que le mien, je serais content que tu me le partages, si tu le veux de tout ton être, cher ami(e).
Car les relations fonctionnent uniquement si on le veut tous les deux, tout simplement.
Je crois que l'on doit profiter de notre séjour sur terre, afin d'échanger les uns avec les autres, baser uniquement sur nos expériences personnelles et non basées sur nos théories qui n'ont rien à voir avec la façon que l'on vit.
En effet, c'est tellement fatigant d'échangé avec des personnes qui parlent juste afin d'étaler leur savoir, alors que cela n'est en rien en accord avec la vie qu'il mène.
Cher ami(e), à quoi te sert tout ton savoir si tu ne vis pas en conformité à ce que tu crois réellement.
AVOIR UNE VIE CONFORME À CE QUE L'ON CROIT, FAIT QUE LA PEUR DISPARAISSE DE NOS VIES.
CELA FAIT QUE LA MORT ELLE-MÊME NE TE FASSE PLUS PEUR, CAR TU TE SENS TOUT LE TEMPS PRÊT À RENCONTRER TON CRÉATEUR.
NE VEUX-TU PAS VIVRE UNE VIE COMME CELLE-CI, CHER AMI(E) ?
ET BIEN, C'EST CE QUE T'APPORTE LE FAIT DE VIVRE SELON TA CONSCIENCE, OU SELON CE QUE TU CROIS DE TOUT TON ÊTRE.
Je peux te dire que je n'ai quasiment peur de rien, et plus le temps passe, plus Dieu me donne une paix, qui est plus forte que tout ce que je peux traverser.
Je comprends de plus en plus, ce qui est dit de Jésus dans les évangiles, à cause de la transformation divine en moi.
Sais-tu que c'est ainsi que l'esprit de Dieu te conduit dans toute la vérité, c'est en te rendant comme Jésus, que tu finis par comprendre le Seigneur, tout simplement ?
En effet, une compréhension intellectuelle non basée sur une transformation surnaturelle divine en nous-mêmes, n'est pas la façon de faire de Dieu.
Jésus ne parlait pas de ce qu'il n'avait pas vécu ou vu chez son Père.
Le savais-tu ?
Et je comprends surtout que seul Dieu peut te parler de lui.
Oui, Jésus nous l'a annoncé en nous disant que seul l'esprit de Dieu peut nous conduire ou nous diriger dans toute la vérité ou encore dans toute la divinité.
Car, rappelle-toi "la vérité" n'est qu'un des noms de Dieu.
Penser qu'un être humain peut te faire découvrir le Créateur, c'est contredire ce que disent les Saintes Écritures, et c'est aussi rabaisser Dieu à un niveau humain.
Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Éternel - Jérémie 29:13-14 LSG
Seul Dieu peut te permettre de le découvrir, personne d'autre que lui ne le peut.
Le savais-tu ?
Donc penser qu'une assemblée de croyants, qu'un responsable spirituel humain, que la religion ou que même les Livres Saints peuvent te mettre en contact avec le Créateur lui-même, c'est manquer de sagesse ou ce n'est pas comprendre qu'on ne peut décider de véritablement connaître Dieu d'une façon intime et profonde de nous-mêmes, car c'est une grâce que l'on reçoit de sa part ou pas, tout simplement.
Sinon, c'est croire que l'on peut décider à la place de Dieu ou se servir de lui, à sa guise, en se disant que l'on peut le rencontrer comme bon nous semble.
COMPRENDS DONC, QUE DIRE QU'À CHAQUE FOIS QUE TU LIS LES LIVRES SAINTS, OU QUE TU VAS À UNE ASSEMBLÉE DE CROYANTS, OU QU'À CHAQUE FOIS QU'UN LEADER SPIRITUEL HUMAIN S'ADRESSE À TOI, QUE DIEU TE PARLE FORCÉMENT, C'EST NE PAS COMPRENDRE QUE DIEU EST SOUVERAIN ET LUI SEUL DÉTERMINE S'IL S'ADRESSE À TOI PAR L'UN DE CES MOYENS.
CAR DIEU PEUT UTILISER QUI IL VEUT ET CE QU'IL VEUT POUR COMMUNIQUER AVEC NOUS.
LE SAVAIS-TU ?
LIMITER DIEU À SA RELIGION, AUX LIVRES SAINTS, AUX DIRIGEANTS SPIRITUELS HUMAINS ET AUX ASSEMBLÉES DE CROYANTS, C'EST CRÉER FORCÉMENT UN DIEU QUI VIT DANS LES LIMITES DES FRONTIÈRES DE NOTRE COMPRÉHENSION HUMAINE.
OR, IL EST ÉCRIT :
NOTRE DIEU EST AU CIEL, IL FAIT TOUT CE QU'IL VEUT. - PSAUME 115:3 LSG
Arrêtons donc de croire que l'on connaît Dieu, car, qu'en sais-tu, cher ami(e) ?
Es-tu Dieu pour dire que tu le connais personnellement ?
Oui, seul le Créateur peut dire que tu le connais.
Le savais-tu ?
Cela me fait penser aux personnes en couple, qui pensent connaître leur conjoint, et qui se disent qu'il ou qu'elle est heureuse dans sa relation de couple, avant de découvrir que leur conjoint veut mettre fin à leur mariage ou à leur couple.
Attention, à ne pas croire que ce que l'on dit être fiable à 100%, l'est obligatoirement, mes chers amis.
En effet, il n'y a de bon, il n'y a de bien, il n'y a de juste et il n'y a de fiable, que Dieu seul.
Ce qui signifie que tout ce qui vient de chacun de nous est forcément inutile et sans valeur, en réalité.
Sinon pourquoi on ne doit que vivre pour suivre Dieu, si ce que l'on pensait était important ?
Rappelle-toi comment Jésus a vécu sa vie personnelle, cher ami(e).
Jésus dit alors : "Je vous dis la vérité éternelle. Le Fils ne peut rien faire de lui-même ni de sa propre initiative. Je ne fais que les œuvres que je vois faire au Père, car le Fils fait les mêmes œuvres que son Père. - Jean 5:19 TPT
Puis il fit quelques pas, se laissa tomber la face contre terre, et pria ainsi : O Père, si tu le veux, écarte de moi cette coupe ! Toutefois, que les choses se passent, non pas comme moi je le veux, mais comme toi tu le veux. - Matthieu 26:39 BDS
TOUT CE QUE SUR LEQUEL TU T'APPUIES, AUTRE QUE DIEU LUI-MÊME, N'A AUCUNE IMPORTANCE.
MÊME SI TU CROIS QUE DIEU T'A PARLÉ, QU'EN SAIS-TU RÉELLEMENT ?
ES-TU DIEU LUI-MÊME, POUR CONFIRMER SI C'EST LUI QUI S'EST ADRESSÉ À TOI PERSONNELLEMENT ?
ARRÊTONS DE NOUS APPUYER SUR NOS IMPRESSIONS OU SUR NOS INTERPRÉTATIONS PERSONNELLES, OU SUR NOS CONVICTIONS, MES CHERS AMIS.
CAR À LA FIN, SEUL DIEU SAIT LA VÉRITÉ, ET COMPTER SUR LUI SEUL EST LA FINALITÉ DE LA SAGESSE DE LA VIE.
LE SAVAIS-TU ?
Bien sûr, tu dois toujours suivre tes convictions personnelles, mais tes convictions ne sont pas et ne seront jamais Dieu lui-même.
Ne l'oublie pas, sinon, ne t'inquiète pas, la vie te le rappellera, cher ami(e).
Fais entièrement confiance au Seigneur, et ne te fie pas à tes propres opinions. De tout ton cœur, compte sur lui pour te guider, et il te conduira dans toutes les décisions que tu prendras. Devenez intime avec lui dans tout ce que vous faites, et il vous conduira partout où vous irez. Ne pense pas un instant que tu sais tout, car la sagesse vient lorsque tu l'adores avec une dévotion sans faille et que tu évites tout ce qui est mauvais. - Proverbes 3:5-7 TPT
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TROP DE PERSONNES SONT AUJOURD'HUI ARROGANTES, CAR ELLES SE CROIENT APPROUVÉES DE DIEU, CAR ELLES SE DISENT QUE LEUR FRUIT OU LEUR RÉSULTATS VISIBLES, CONFIRMENT QUE DIEU EST AVEC ELLES, ALORS QU'ELLES NE MÈNENT PAS UNE VIE SIMILAIRE À CELLE DE CHRIST.
DEPUIS QUAND ES-TU TON PROPRE JUGE OU DEPUIS QUAND AS-TU REMPLACÉ LE JUSTE JUGE, QUI EST NOTRE CRÉATEUR, EN ANNONÇANT QU'IL T'APPROUVE, CHER AMI(E) ?
EN EFFET, AS-TU REÇU LE TÉMOIGNAGE DU CIEL PAR LE CRÉATEUR, COMME LE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST, QUE DIEU NOUS A DIT DU CIEL DE L'ÉCOUTER ?
JE TIENS À TE RAPPELER CE QUE JÉSUS DIRA AUX ARROGANTS QUI PENSAIENT AVOIR FAIT PLAISIR À DIEU DURANT LEUR SÉJOUR TERRESTRE, SANS QUE LE CRÉATEUR NE LE DISE LUI-MÊME.
"Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux et facile est le chemin qui mène à la ruine et à la perte éternelle, et il y a beaucoup de gens qui entrent par là. Mais petite est la porte, étroit et difficile est le chemin qui mène à la vie [éternelle], et il y en a peu qui le trouvent. - Matthieu 7:13-14 AMP
"Méfiez-vous des faux prophètes, [enseignants] qui viennent à vous sous l'apparence d'une brebis [en apparence douce et innocente], mais qui, au fond, sont des loups voraces. C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez [c'est-à-dire à leur doctrine inventée et à leur égocentrisme]. Cueille-t-on des raisins sur des buissons d'épines ou des figues sur des chardons ? De même, tout arbre sain porte de bons fruits, mais l'arbre malsain porte de mauvais fruits. - Matthieu 7:15-17 AMP
Un bon arbre ne peut pas porter de mauvais fruits, et un mauvais arbre ne peut pas non plus porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez [comme faux prophètes]. - Matthieu 7:18-20 AMP
"Tous ceux qui me disent : 'Seigneur, Seigneur' n'entreront pas dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Beaucoup me diront en ce jour-là [où je les jugerai] : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé en ton nom, chassé des démons en ton nom, et fait beaucoup de miracles en ton nom ?" - Matthieu 7:21-22 AMP
Alors je leur dirai publiquement : 'Je ne vous ai jamais connus ; ÉLOIGNEZ-VOUS DE MOI [vous êtes bannis de ma présence], vous qui agissez méchamment [vous ne tenez pas compte de mes ordres]'. "Ainsi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique sera semblable à un homme sage [un homme prévoyant, pratique et sensé] qui a bâti sa maison sur le roc. - Matthieu 7:23-24 AMP
La pluie est tombée, les inondations et les torrents ont déferlé, les vents ont soufflé et se sont abattus sur cette maison ; mais elle n'est pas tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc. Quiconque entend ces paroles que je dis et ne les met pas en pratique sera semblable à un homme insensé (stupide) qui a bâti sa maison sur le sable. - Matthieu 7:25-26 AMP
Et la pluie tomba, et les inondations et les torrents vinrent, et les vents soufflèrent et frappèrent cette maison ; et elle tomba, et sa chute fut grande et complète". Lorsque Jésus eut achevé ces paroles [sur la montagne], les foules furent étonnées et bouleversées par son enseignement ; car il les enseignait comme quelqu'un qui avait autorité [pour enseigner de son plein gré], et non comme leurs scribes [qui s'appuyaient sur d'autres pour confirmer leur autorité]. - Matthieu 7:27-29 AMP
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Pensées Brouillées ⁷.
✫✫✫✫✫
Éblouie par sa beauté,
Jamais elle n'avait songé,
Que son vœu serait exaucé,
Quant au fait de le retrouver à ses côtés.
✫✫✫✫✫
Le ventre vide,
Le cœur qui saigne,
Le visage livide,
Et ma peine qui règne.
✫✫✫✫✫
J'ai le cœur qui se meurt,
Partir je n'en ai plus la peur,
Doutant de pouvoir regoûter au bonheur,
J'embrasse avec rage mon déshonneur.
✫✫✫✫✫
Le sentiment d'avoir le cœur aux bords des lèvres,
Ensevelie par l'amour, sa fièvre,
J'espère que les dieux qui là-haut m'observent,
Devant mes actes douteux s'énervent,
Car ce sont peut-être eux les responsables de la douleur qui me submerge.
✫✫✫✫✫
Un coup de volant un peu brusque,
La rencontre avec un arbuste,
Ne m'en voulez pas de ne pas trouver ça juste,
Mon esprit est simplement épuisé d'au quotidien jouer à la roulette russe.
✫✫✫✫✫
Songer à partir,
Au fait qu'on ne manquera à personne,
N'être plus qu'une voix qui dans les souvenirs raisonne,
Afin que la vie cesse de se noircir.
✫✫✫✫✫
Les sentiments masqués par la tristesse,
Ne t'en fais pas, moi aussi je me déteste,
Seul le destin saura où tout cela peut nous mener,
Espérant que l'on ne sera pas à nouveau malmenés,
Car je ne suis pas sûre de pouvoir me relever,
Si l'univers m'arrache le bonheur qui refleurit juste sous mes pieds.
✫✫✫✫✫
Si seulement vous saviez,
À quel point elle a envie de tout lâcher,
Elle n'est même plus sûre de vouloir être sauvée,
N'ayant qu'une envie : enfin de sa peine en être soulagée.
✫✫✫✫✫
J'ai besoin de tes lèvres cruellement,
De ton odeur démesurément,
De ta chaleur dès maintenant,
Que l'on se pousse vers le haut mutuellement,
Dis, m'aimes-tu suffisamment,
Pour continuer à grandir auprès de moi autant dans le futur que dans le présent ?
✫✫✫✫✫
Des larmes sur mes joues,
À la place de tes lèvres,
Mon cœur ne rêve que d'un nous,
Qui ne s'arrêtera pas une fois sortie de mes rêves.
✫✫✫✫✫
Goûtons ensemble à l'éternité,
Je t'en prie, ne laisse jamais notre amour se noyer.
✫✫✫✫✫
Écris moi des mots d'amour,
Fais les rimer avec toujours,
Que tous les jours je les savoure,
Vers mon cœur un aller simple sans retour.
✫✫✫✫✫
2022
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Maxi Jazz, le chanteur du groupe de danse Faithless, est décédé à l'âge de 65 ans.Dans une publication sur Facebook samedi, le groupe a écrit : « Nous avons le cœur brisé de dire que Maxi Jazz est mort la nuit dernière. C'était un homme qui a changé nos vies à bien des égards.«Il a donné un sens et un message appropriés à notre musique."C'était un être humain charmant avec du temps pour tout le monde et une sagesse à la fois profonde et accessible. Ce fut un honneur et, bien sûr, un vrai plaisir de travailler avec lui.Faithless, qui s'est formé en 1995, comprenait les membres principaux Rollo, Sister Bliss et Maxi Jazz.Leur premier album, Reverence, est sorti en 1996 et les singles Insomnia et Salva Mea se sont vendus chacun à plus d'un million d'exemplaires. Leur deuxième album studio, Sunday 8PM, sorti en 1998, présentait le hit mondial God Is A DJ et a consolidé la position du groupe en tant que force musicale majeure.Dans un post Instagram, le groupe a écrit que le chanteur « est mort paisiblement dans son sommeil »."C'était un parolier brillant, un DJ, un bouddhiste, une présence scénique magnifique, un amateur de voitures, un bavard sans fin, une belle personne, une boussole morale et un génie", écrit-il."Repose en paix cher Max. 1957 - 2022 et merci à la famille Faithless pour tout l'amour que vous nous avez montré au fil des ans. S'il vous plaît, prenez soin les uns des autres, vous entendez ?? comme dirait toujours Max.Le DJ Dave Pearce a déclaré: "Tellement triste d'apprendre que Maxi Jazz est décédé. Faithless était une force emblématique de la musique dance britannique du milieu des années 90 et a touché tant de vies. Tout au long de leur ascension fulgurante vers la gloire, Maxi est resté une âme chaleureuse, cool et amicale - un poète de la musique de danse - des pensées avec sa famille et ses amis RIP.UB40 a déclaré: "Un gars adorable, encore une fois qui est parti trop tôt, mais enfin Maxi, tu peux dormir un peu. RIP Maxi Big Love UB40.DJ MistaJam a déclaré: "Je ne l'ai rencontré IRL qu'une seule fois et c'était l'homme le plus gentil avec une telle aura à son sujet. Ses paroles et ses performances ont touché tant d'entre nous et il nous manquera beaucoup. Aime à @thesisterbliss et l'ensemble @déloyal famille. Reposez-vous dans Power Maxi Jazz.Ritchie Neville, du boys band 5ive, a déclaré : "Nous avons perdu une icône de notre époque." Il a dit qu'il avait le cœur brisé et que son adolescence avait été bénie "avec l'un des meilleurs airs house de tous les temps", gracieuseté du musicien. Il a ajouté: «Le temps de dormir la légende. Merci d'avoir inspiré.Le club de football de Crystal Palace a déclaré qu'il "pleurait la perte d'un musicien légendaire", ajoutant que l'équipe "se rendrait à Faithless le lendemain de Noël en hommage".
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Tu ne manqueras à personne
Tu ne manqueras à personne
C’est fou quand je commence un roman d’Alexis Aubenque, j’ai toujours la même sensation et c’est un vrai bien-être qui s’installe en moi. Il faut dire que je lis l’auteur depuis cinq ans alors si j’ai continué c’est que c’est totalement à mon goût. L’auteur a fait en sorte que “Tu ne manqueras à personne” puisse se lire comme un oneshot mais je conseille fortement de lire le tome précédent avant.…
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A trop voyager, on en devient chiant. Une fois à Paris, on dit : ça tu vois, un truc comme ça à Chicago, le serveur il aurait tout de suite débarqué avec une nouvelle bière. Parce qu'on a beaucoup vu, on voit les choses avec un angle inédit. Oui. Mais il nous manquera toujours des briques. Il y a Amsterdam, et puis il y a des villes sans canaux. Il y a Berlin, et puis il y a des villes sans grand parc. Il y a Naples, et puis il y a des villes sans soleil. Il y a Tanger, et puis il y a des villes sans mystère.
Certaines facettes manqueront toujours aux voyageurs, condamnés à les recréer en surimpression. A voir leurs expériences passées dans la courbure d'une rue, dans la lumière entre les feuilles, dans l'odeur d'un kiosque à journaux.
Il en va de même pour les personnes qui ont eu plusieurs relations intenses. Plus elles avancent, plus leurs relations sont incomplètes. Les espaces se chargent alors d'une voix, d'un visage, d'un air enjoué, d'un air fermé, d'un air concentré, d'une façon de se moucher, de déambuler dans une pièce, d'un regard intense, d'une bouche ouverte.
Ce sont des gélatines pour projecteurs, jetées les unes sur les autres. Elles ne se superposent jamais parfaitement pour former un carré noir. Non. Elles se chevauchent, se recouvrent partiellement, se révélant seules à occuper un espace, et laissant des zones libres aux gélatines des strates inférieures.
On ne peut se résoudre à vivre une seule vie.
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On entend souvent cette phrase : « L’Eternel est mon berger ». Mais qu’est-ce que ça veut dire vraiment ? Et en quoi le fait que l’Eternel est mon berger amène du repos dans ma vie chargée et difficile ?
Oui, du repos pour notre âme fatiguée et chargée par les soucis du monde, il y en a. Et par cet article j’aimerais t'aider à creuser une belle vérité biblique, afin que tu puisses cultiver davantage le repos en Dieu.
« L’Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien. » Psaume 23.1
L’Eternel est mon berger
Dieu EST mon berger. Il est mon berger: d’un côté, un berger est doux, tendre, et aimant, il prend soin de son troupeau, il le fait paître, et il va chercher les brebis qui se perdent; d’un autre côté, il est fort et puissant, il protège son troupeau contre tout danger et il va même jusqu’à se sacrifier pour ses brebis. N’oublions pas aussi qu’un bon berger corrige les brebis qui s’égarent. Il n’est pas indifférent face à leurs égarements. Jean 10.11 nous montre cela quand Jésus est décrit comme « le bon berger qui donne sa vie pour ses brebis ».
Te rappelles-tu du roi David ? Avant d’être roi, il était berger. Et lorsqu’il se décrit en tant que berger, il dit : « Quand un lion ou un ours venait pour en enlever une du troupeau, je courais après lui, je le frappais et j'arrachais la brebis de sa gueule. S'il m’attaquait, je l’attrapais par la gorge, je le frappais et je le tuais. » (1 Samuel 17.34-35) La parabole de la brebis perdue en Luc 15 est aussi un bon exemple. Un homme perd une de ses brebis, et il la cherche jusqu’à ce qu’il la trouve. Une fois qu’il l’a trouvée, il se réjouit et demande aux autres de se réjouir avec lui. Oui, Dieu a un troupeau. Mais Dieu aime chacune de ses brebis individuellement. Toi, en tant qu’enfant de Dieu, tu es aimé et protégé par Dieu de manière personnelle et individuelle. Tu n’es pas juste une brebis parmi plein d’autres brebis. Tu es une de ses brebis. Tu es parfaitement connu, recherché, sauvé, et aimé. Repose-toi en cette vérité ; la vérité de l’amour et de la protection de Dieu pour toi en tant qu’individu.
L’Eternel est ton berger.
L'Éternel connaît tous tes besoins
Que veut dire que tu ne manqueras de rien ?Déjà, cela ne veut pas dire que tu auras dans cette vie tout ce que tu voudras. Dieu n’est pas le génie de la lampe d’Aladdin qui nous donne tout ce qu’on veut, quand on le veut. C’est lui le berger. C’est lui celui qui dirige, et il connaît nos besoins mieux que nous les connaissons. « Je ne manquerai de rien » ne veut pas dire «j’aurais ma maison de rêve, mon boulot de rêve, ma santé de rêve, et ainsi de suite». Ça veut plutôt dire « étant donné que l’Eternel est mon berger, je ne manquerai de rien. Si j’ai l’Eternel en tant que berger, j’ai tout. Il est à moi, donc je ne manquerai de rien. »
L'Éternel connaît tous tes besoins. Il te connaît mieux que tu te connais toi-même, et en plus de ça, il a un plan avec ta vie : il veut te faire progresser dans la foi (Phil. 2.13), afin que tu matures et que tu ressembles de plus en plus à Jésus-Christ. Alors, s’il connaît parfaitement tes besoins, reposes-toi ! Lorsque tu n’as pas tout ce que tu désires, fais confiance au bon berger qui connaît le mieux tes besoins. Fais confiance au bon berger qui veut ton bien !Et, comme Richard Briggs disait: « entraîne ta perception du besoin afin qu’elle soit mieux en phase avec ce que Dieu pourvoit. » En d’autres mots, pousse tes besoins à s’adapter à ce que Dieu offre.
Sa personne est suffisante, donc ce qu’il pourvoit est aussi suffisant.
L’Eternel est ton berger, tu ne manqueras de rien.
Oui, cher chrétien chargé par les soucis de la vie, tu peux trouver du repos dans cette merveilleuse vérité que la parole de Dieu proclame. L’Eternel t’aime, te protège et te garde, toi, en tant qu’individu. Il pourvoit à tous tes besoins, lui, ton créateur, celui qui te connaît le mieux. Il sait vraiment quels sont tes besoins et comment y pourvoir, pour ton bien, et pour sa gloire ! Alors, fais confiance au bon berger, et avance sur le chemin de la vérité, en te reposant dans la sécurité qu’il t’offre.
Andreea B
De l'article :
https://www.larebellution.com/articles/repose-toi-mon-ame-leternel-est-ton-berger
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◀ 1ER JUIN ▶ Les Trésors De La Foi
Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras. Ecclésiaste 11:1
Les promesses de Dieu subsistent
N'attendons pas toujours une récompense immédiate du bien que nous faisons, et ne limitons pas nos efforts aux lieux ou aux personnes qui semblent devoir nous payer en retour. L'Egyptien répand sa semence sur les eaux du Nil, et il peut sembler que ce soit la jeter à la rivière; mais bientôt les eaux baissent, et les grains de riz ou de blé pénètrent dans un sol fertile pour y produire peu après une riche récolté. Faisons du bien aujourd'hui à l'ingrat et au méchant; instruisons l'insouciant et l'obstiné. Des eaux viendront d'une manière inattendue couvrir ce sol aride et le fertiliser. Nulle part notre travail ne sera vain auprès du Seigneur. A nous de jeter notre pain sur les eaux, à Dieu d'accomplir cette promesse: "Tu le retrouveras." Jamais il ne manquera à ses engagements. Toute parole que nous aurons dite de sa part se retrouvera, nous-mêmes en serons témoins. Nom pas immédiatement peut-être, mais, un jour ou l'autre, nous récolterons ce que nous aurons semé. Nous devons exercer notre patience car le Seigneur veut peut-être l'exercer. "Avec le temps," dit l'Ecriture. Et dans plus d'un cas, ce temps devient des mois et des années, mais la promesse reste vraie. Dieu gardera sa parole. Gardons à notre tour ses préceptes, et gardons-les en ce jour.
- Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?Tid=153&t=3
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Pascal Depresle - Il nous manquera toujours des réponses
Parfois, quand on fait un peu le tour de soi, on se rend vite compte, sauf à passer par le nombril et affublé de lunettes roses, qu’il nous manquera toujours des réponses.Celles qui ne viendront jamais parce que les questions n’ont pas été posées.Celles qui ne viendront jamais parce que la personne n’est plus là pour répondre.Celles qui ne viendront jamais parce que le mur auquel tu t’adresses ne…
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II
00:18
- Putain, j’y crois pas ! Je suis même plus bourrée !
Elle lâche ça d’une longue complainte agacée, comme si le monde entier avait pour obligation d’entendre le moindre recoin de son esprit. Je suis pas arrivé à m’en débarrasser. Je comprends même pas pourquoi elle me suit.
Je remonte les quais de la ville qui longent le fleuve. Tout est calme et silencieux. Les gens sont chez eux, à dormir, faire la fête, ou confortablement installés dans leur canapé, à regarder une émission de merde en se rêvant vivre la vie idéale. J’ai rien à dire. Je pensais que si je restais sans parler, elle allait se lasser. Mais elle continue de m’emboiter le pas.
Je marche d’un pas rapide. Je sais pas trop où je vais. Loin d’ici. Loin des gens. Loin d’elle. Autour de moi, les dalles sur le sol et la végétation sont éclairés par des lampadaires aux lueurs colorées. On se croirait dans le rêve psychédélique d’un toxico. Et toujours Mélodie derrière moi.
Elle fume sa clope, le claquement de ses talons résonnant dans les alentours. Elle marche vite, probablement pour pas perdre mon rythme. Elle comprend pas le message.
- On est samedi soir, bordel ! Elle continue, agrémentant le monde de ses humeurs. C’est pas un temps à être sobre !
Je réagis pas, comme si j’effectuais une incantation destinée à la faire disparaitre. Pas besoin de me retourner pour savoir que ça doit la faire chier d’être ignorée. C’est ce genre de fille. Je l’ai capté aussitôt.
- Hé, Machin ! Elle m’appelle. Tu veux pas me payer un verre ?
Je continue d’avancer, faisant comme si je l’entendais pas.
- Je t’ai sauvé la vie, elle insiste. La moindre des choses que tu peux faire, c’est de me payer à boire.
C’en est trop pour moi. Je m’arrête d’un coup, sans réfléchir. Elle manque de me rentrer dedans. Je me retourne vers elle, agacé.
- Tu m’as pas sauvé la vie !
- OK, elle répond calmement, comme si c’était de l’ordre du détail. Mais dans tous les cas, je peux pas retourner à la soirée. Et tout ça, c’est ta faute. Si t’étais un vrai gentleman, tu me payerais une bouteille.
- T’as pas eu besoin de moi pour te faire virer de la soirée ! Tu t’es très bien débrouillée toute seule !
- J’ai une idée. Et si on débattait de tout ça autour d’un verre ?
Elle me fixe droit dans les yeux, souriant d’un air malicieux. Ca la fait marrer. On dirait que plus j’ai l’air agacé par son comportement, et plus elle s’en amuse. C’est comme ça qu’elle prend son pied ? Je comprends pas ce qu’elle cherche.
Je la regarde de haut en bas, d’un air méprisant. J’ai même pas envie de comprendre. J’ai même pas envie de m’énerver. Elle en vaut pas la peine. Je lâche un petit rire moqueur, et je reprends la marche. Je crois pas que ça lui ait trop plu. Je l’entends me suivre.
- C’est quoi ton nom ? Elle demande froidement, dans mon dos.
Je m’arrête à nouveau, me tournant vers elle. Une nouvelle fois, elle ne s’y attend pas, et manque de me rentrer dedans. J’ai pas le temps de m’en soucier.
- T’as pas un chez toi où aller ?!
- Si, elle répond rapidement. Tu me raccompagnes ?
- Non !
Qu’est-ce qu’elle comprend pas celle-là ?! Je veux juste être tranquille ! C’est pas compliqué, si ?! Je me détourne, et accélère le pas. Cette fois, j’entends pas le son de ses talons sur les dalles. Elle reste immobile. Tant mieux.
- OK, comme tu veux ! Elle me crie, haussant la voix pour se faire entendre malgré la distance que je mets avec elle. Mais il fait nuit, et j’habite super loin ! Je vais très probablement me faire violer en route !
Je l’ignore, continuant mon chemin. J’ai pas envie de rentrer dans son jeu. Pas envie de continuer à parler. Pas envie de compagnie. Je sens les vertiges me reprendre. La sensation de vide. Dans ma tête, tout se met à tourner. Mes pensées rentrent en collision, créant un feu d’artifices cérébral. Je veux être ailleurs. Je sais pas trop où.
Je veux être ailleurs... que dans ma tête.
***
Je continue à longer les quais pendant plusieurs minutes, sans jamais croiser personne. Je sais pas où je vais. C’est comme si mes jambes portaient mon corps sans que je leur ai rien demandé. Heureusement. Parce que j’ai plus la force de rien.
J’arrive à l’entrée d’un pont en pierre qui traverse le fleuve. Je m’arrête. Y a quelque chose qui m’y attire. Comme une force que je peux pas contrôler. Le vide. La chute. Je sais plus si c’est dans ma tête, ou dans la réalité. Je sais plus si y a vraiment une différence.
Je me sens faible. Je me sens pathétique. J’ai l’impression de même plus vraiment être un humain. De juste faire semblant. Une coquille vide qui répèterait des phrases comme un perroquet pour donner le change. J’ai mal. Putain, j’ai mal. Pourquoi vivre ça demande de souffrir toujours plus chaque jour ? Tu te réveilles le matin, et la première chose que t’as envie de faire, c’est de te rendormir. Rien que pour te lever, t’es obligé de te raconter des histoires. J’en ai marre de mentir. A moi-même. Au monde. Je suis fatigué. Et y a le vide, et la chute. Toujours là, en dessous de moi.
Je regarde par-dessus mon épaule, vérifiant que personne ne soit posté dans les alentours. Je suis bel et bien seul. Quelle ironie, hein ? Mais c’est mieux comme ça. Y a un côté poétique. Je crois. Je sais plus très bien. Y a des fois, j’ai du mal à savoir ce qui est vrai, de ce qui l’est pas.
Je longe lentement le muret qui sépare le pont et le fleuve, m’appuyant dessus. Puis à un moment, je m’arrête, et je me tourne. Je me penche lentement.
De l’autre côté du muret, y a de l’air. Et au-delà de cet air, une dizaine de mètres en dessous, y a le fleuve. Son courant est rapide, emportant des bouts de bois qui, dans la nuit, ressemblent plus à des cadavres se débattant dans l’eau.
C’est là que je veux être. Je le sais maintenant. Pas ici, dans le monde réel. Pas dans ma tête, où tout est confus. Là, tout en bas, dans l’eau. Je veux être un bout de bois. Je veux être un cadavre.
Ca m’apparait comme une révélation. Mais étrangement, ça me fait pas éprouver d’émotions particulières. C’est juste comme ça. C’est juste la vérité. C’est peut-être pas plus mal de se l’avouer. C’est peut-être pas plus mal de dire les choses pour une fois, au lieu de passer par des chemins sinueux sans intérêts. Je voudrais être mort.
Voilà.
C’est tout.
Je me retourne, vérifiant à nouveau être seul. J’ai presque peur que quelqu’un soit capable d’entendre mes pensées. Des pensées interdites, que la société nous a appris à réprimer depuis notre plus jeune âge.
J’emmerde la société.
Dans un geste prudent, calculé, je me mets à enjamber le muret. Lentement. J’arrive de l’autre côté, trouvant position sur une mince bordure de pierre qui me sépare du vide. Le vide. Il avait été métaphorique pendant si longtemps, et le voilà maintenant physique en dessous de moi. A quelques centimètres de mes pieds. Je fixe le fleuve, m’accrochant au pont de toutes mes forces.
Je tremble. J’ai peur. Oui, j’ai peur. Je l’avoue. C’est juste une réaction chimique. Mon corps qui s’accroche encore à la vie parce qu’il a pas compris, ce con. Il a pas compris que c’était fini. C’est plus supportable. J’empoigne le muret à m’en faire mal aux jointures. Je relève la tête, et je ferme les yeux. C’est le moment d’être courageux. C’est pas le moment d’hésiter, de douter. C’est terminé, tout ça. Maintenant, il faut agir. Je sais pourquoi je suis venu jusqu’ici. Je sais où mes pas m’ont mené. Je connais la destination de ma chute. Dans l’eau, tout en bas. Et au-delà. Si y a un au-delà...
J’inspire un grand bol d’air. L’émotion m’envahit. Putain, c’est pas facile. Même ça, ça fait mal. Mais ça va pas durer longtemps. J’essaie de m’en convaincre. J’ai plus qu’un simple geste à faire. Et tout sera réglé. Bye bye la douleur incessante. Les doutes, et la souffrance. Sayonara à la grande excuse de merde qui m’a servi de vie. C’est pas plus mal. Je manquerai à personne. Personne me manquera. Oh, peut-être qu’au début, ils pleureront un peu. Ma famille. Mais ils s’y habitueront. Le temps guérit tout, comme on dit. La vie suit son cour, ou je sais pas quelle autre connerie. C’est la solution. La vraie solution. La seule solution.
Lentement, je lève un pied au-dessus du vide. C’est le moment. Je vais le faire. J’ai pris ma décision. Plus qu’un tout petit geste, et...
- Tu fais quoi ?
Je sursaute, manquant de tomber. Je resserre ma prise au muret, et repose mon pied à terre. Je me retourne rapidement. J’ai jamais été aussi surpris de ma vie.
De l’autre côté du muret, sur le pont, y a cette fille qui m’observe, à quelques mètres de moi. Mélodie. Elle est calme, fumant sa clope, me regardant avec tranquillité comme si elle venait seulement de me découvrir en train de jouer à un jeu dont elle aurait jamais entendu parler. Je peux vraiment pas me débarrasser d’elle.
Je sens une vague de honte me submerger. La honte d’être pris sur le fait. Je saurais même pas expliquer pourquoi.
- Approche pas, ou je saute !
Je crie dans sa direction, l’air menaçant. Ca a pas l’air de lui faire grand chose. Elle me quitte pas des yeux, continuant d’inspirer ses bouffées de tabac. Puis elle répond d’une voix calme, pas du tout inquiète :
- Vas-y, saute.
Ca me surprend. Je sais plus trop comment réagir.
- Je plaisante pas !
- Qu’est-ce que j’en ai à foutre ? Je te connais pas. Tu vas pas me manquer.
Je suis décontenancé, embarrassé. Comme quand vous aviez fait une bêtise étant enfant, et que vos parents osaient même pas hausser la voix. Vous saviez que c’était pire que tout. Pire que s’ils vous engueulaient vraiment.
- Ouais, je vais sauter, je reprends plus calmement. Alors, laisse-moi tranquille, maintenant.
- Non, je veux voir. J’ai jamais vu personne mourir. Je veux pas rater ça.
Je la dévisage quelques secondes, pas sûr de comprendre si elle le pense vraiment, ou si elle a seulement l’humour le plus dérangé de toute l’histoire de la Création. Mais elle me rend mon regard, toute aussi sérieuse.
- Non ! Je m’exclame, ne sachant plus très bien quoi dire. Je... Je peux pas sauter si quelqu’un me regarde ! Ca me déconcentre !
Elle lève les yeux au ciel, d’un air agacé. Déçu, presque.
- Olala ! L’excuse !
Elle jette son mégot de clope en direction du fleuve, puis longe le muret, remontant le pont. Je la regarde faire, appréhendant en silence, ne comprenant pas très bien ce qui se passe. Elle se met alors à son tour à enjamber la petite protection de pierre, à quelques mètres de moi. Je comprends de moins en moins.
- Qu’est-ce que tu fais ?!
- J’ai la flemme de rentrer chez moi, elle répond sur le ton de la conversation, s’installant sur la mince bordure qui la sépare du vide. C’est trop loin. Moi aussi, je vais sauter.
- Tu crois que c’est un jeu ?!
- C’est quoi tes raisons, toi, pour sauter ? Elles sont tellement meilleures que les miennes ?
- Ca te regarde pas !
- C’est bien ce que je pensais. T’es juste une chochotte.
- Quoi ?!
- T’es juste une chochotte. T’as pas de vraies raisons. Tu fais juste ça pour attirer l’attention.
Je bégaye. Les mots s’entravent dans ma gorge. Je sais plus quoi dire. Cette fille... elle me déstabilise. Elle a des réactions tellement inattendues. Je sais plus si je dois la prendre au sérieux ou pas. Je cherche à lui répondre quelque chose, mais rien ne vient. Ca redouble mon énervement.
- Tu sais quoi ?! Va te faire foutre ! Je vais sauter, et tu t’en voudras toute ta vie, connasse !
- Ouais, mais ma vie, elle durera pas longtemps. Parce que je saute juste après toi.
- Tu sauteras jamais ! Tu fais juste ça pour me faire changer d’avis !
Pour une fois, elle perd un peu son calme, me fixant avec agacement. Et aussi un peu de dédain.
- Alors, là ! J’en ai rien à foutre de te faire changer d’avis !
- Tu sauteras jamais !
- T’es prêt à parier combien ? Parce que, crois-moi, je vais sauter.
Je la fixe droit dans les yeux. Elle me rend mon regard sans ciller. Elle a l’air décidée. Je commence doucement à la croire.
- Non, tu peux pas sauter !
- Tu vas me donner des ordres, maintenant ?!
- Si on saute tous les deux, les gens vont croire qu’on s’est suicidés ensemble !
- Et alors ? Qu’est-ce que tu t’en fous de ce qu’ils croient, les gens ? Tu seras plus là.
- J’ai pas envie qu’on interprète les choses comme ça !
- OK, ben, tu sauteras un autre jour. Moi, je saute ce soir.
- Non ! J’étais là avant !
- Ben ouais, mais fallait sortir tes couilles, et sauter direct. Maintenant, c’est trop tard.
Voilà que je me fais insulter, maintenant ? C’est la goutte de trop. Je lève les yeux au ciel. J’en peux plus. Je sens la rage monter. Je hurle.
- AAAAAAAAAAAAAH !
Je me tourne vers Mélodie.
- Qu’est-ce que tu fous à me suivre ?! Hein ?! Pourquoi tu cherches la bagarre avec des mecs qui font deux fois ta taille ?! T’es complétement ivre ! C’est quoi ton problème ?!
Contre toute attente, elle me répond d’un ton tranquille, sans hausser la voix.
- Tu voles de la thune, et après tu veux sauter d’un pont. Et c’est moi qu’ai des problèmes ?
Ca me calme direct.
- Qui t’a dit que j’avais volé de la thune ?
- Arrête. Tu crois que je t’ai pas vu dans la chambre ?
- Je croyais que tu dormais.
- Non. Je réfléchissais à un truc. Je te l’ai dit.
Elle marque un point. Je sais plus du tout quoi lui répondre. Je suis perdu. Cette conversation n’a ni queue ni tête. La situation est devenue tellement absurde, nous deux se disputant au-dessus du vide, chacun accoudé au muret. Dans d’autres circonstances, j’aurais peut-être pu me rouler par terre de rire.
Je soupire, me forçant à rester calme.
- OK. Dis-moi ce que tu veux. Une bonne fois pour toute. Et après, tu me laisses tranquille.
- Je veux sauter. Comme toi. Je pensais que tu comprendrais.
Je la regarde attentivement, scrutant la moindre de ses réactions. Elle soutient mon regard avec gravité. Elle a l’air sincère. Je sais pas ce que ça veut dire. C’est n’importe quoi. Mais elle a l’air sincère. Elle croit au moins en ce qu’elle raconte. C’est déjà ça.
Je détourne la tête, soupirant à nouveau. J’ai aucune idée de comment enchainer après ça. Mais j’ai pas besoin, parce que Mélodie est la première à briser le silence.
- Il est quelle heure ?
J’ose même pas me tourner vers elle, répondant d’un ton froid.
- J’en sais rien.
- Les kébabs, c’est encore ouvert, tu crois ?
Je la regarde, surpris par sa question. Je vois absolument pas où elle veut en venir. Mais elle a l’air d’avoir une idée derrière la tête.
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