#Sur la route du retour
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読書
引き続き世界教養全集を読む。第24巻の最後「たった一人の海 Seul à travers l’Atlantique, A la poursuite du soleil, Sur la route du retour」(アラン・ジェルボー Alain Gerbault 著・近藤等訳)を帰宅後の自宅で読み終わった。 一書にまとめられているが、これは「たった一人の大西洋 Seul à travers l’Atlantique」「太陽を求めて A la poursuite du soleil」「故国への道 Sur la route du retour」という3書の合本(がっぽん)だ。この巻の半分ほどを占める大著である。 子供の頃からこの巻は私の愛読書だったのだが、読んでいたのは「アムンゼン探険誌」 Continue reading Untitled
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#A la poursuite du soleil#A.ジェルボー#Alain Gerbault#Albert Schweitzer#André Gide#Antoine Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry#A・シュヴァイツァー#Jean Jacques rousseau#J・J・ルソー#Les Rêveries du promeneur solitaire#My Life As an Explorer#R.アムンゼン#Roald Amundsen#Seul à travers l&039;Atlantique#Si le grain ne meurt#Sur la route du retour#Terre Des Hommes#Zwischen Wasser und Urwald#Zwischen Wasser und Urwald: Erlebnisse und Beobachtungen eines Arztes im Urwalde – Äquatorialafrikas#たった一人の海#アムンゼン探検誌#アンドレ・ジイド#サン・テグジュペリ#一粒の麦もし死なずば#世界教養全集#人間の土地#加納一郎#和村光#堀口大學#太田不二
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Fin du week-end... un dernier regard sur Positano... avant de prendre la route du retour...
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saga : Soumission & Domination 379
Dernier trimestre à Berkeley - Mexique Cancun + Grégoire
De retour en Californie, la vie reprend son cours. Mes américains se font questionner sur la façon qu'on les Français de fêter la fin d'année. Ils restent discrets même Duke avec ses potes de sexe. Ils restent sur le registre gastronomique et expliquent ce qu'ils ont mangés de spécial.
Quand les parents de Max arrivent avec mes beaux-parents, avec Dan je leur fait visiter tout San Francisco. Ils apprécient l'origine de la ville avec le monastère mais aussi Castro le cartier gay et ses maisons victorienne de toutes les couleurs. On ne s'affranchi pas des Pink Ladies pas plus que du quai aux phoques. Ils hallucinent devant la carte de chez Dotties. Nous les lâchons après 3 jours en leur répétant de bien respecter le code de la route local alors qu'ils vont faire quelques parcs nationaux. Ils repartent ravis de leur séjour. J'ai encore marqué quelques points avec ce cadeau de Noël.
Pendant ce temps l'exploitation était aux mains de Côme aidé d'un première année de son école d'ingénieur agro. Appel de Côme avant la fin du séjour de ses parents aux USA, il voulait savoir s'il pouvait présenter sa recrue de première année à Jona pour un recrutement parmi mes escorts. Il m'envoie les tofs du jeune mec. Ok, il a tout pour lui. Grand brun aux yeux bleus avec des épaules larges, bassin étroit mais cul très rond, deux jambes musclées mais le tout un peu trop poilu. Côme me dit qu'il lui avait déjà parlé de ce détail et que c'était pas un problème pour lui de passer à l'épilation.
Il m'explique comment il en est arrivé là.
Quand il a pris l'exploitation de ses parents en charge alors que ces derniers étaient avec moi, il s'est vite aperçu que le gamin n'était pas farouche et qu'il tombait facilement la cote et le t-shirt quand il travaillait dans les bâtiments.
Comme il sait que j'ai besoin régulièrement de " nouveauté " pour ma société, il avait tâté le terrain (littéralement parlant) en prenant une douche à ses côtés dans le studio dédié aux stagiaires. Là, le gamin s'est montré très entreprenant puisque c'est lui qui n'a pas hésité à proposer ses services pour laver le dos de Côme. De son dos il a glissé entre ses jambes et lui a savonné l'entrejambe jusqu'à ce qu'il bande ferme. Côme le laissant faire, il s'est agenouillé pour rendre hommage à la saine réaction de mon beau-frère par une pipe bien menée.
Côme le voyant se mettre des doigts dans le cul lui a proposé de le dépanner par une bonne saillie. Pas de refus du gamin qui s'est aussitôt retourné et plié en deux. Le temps de prendre une kpote, de l'enfiler et mon Côme lui remplissait le boyau. Prise de plaisir conjointe et cela s'est répété tous les jours et parfois 2, 3 fois. Grégoire (le gamin, 18 ans quand même) lui a expliqué qu'il se savait attiré par les mecs depuis quelques années et qu'il ne s'était pas privé de tester ce penchant. Qu'il était sain même s'il n'était pas puceau car il faisait attention avec qui il sortait et que la kpote était obligatoire pour entrer dans son cul et de même en situation inverse.
À la question sur l'utilisation de sa généreuse bite (20x5), sa réponse a été qu'il s'en servait sans problème sur les culs plus jeunes que le sien mais avait du mal avec les mecs plus âgés. Avec eux il se sentait mieux en position passive. Probablement une conséquence de son dépucelage par un stagiaire de son père (exploitant agricole aussi) de 4 ans son ainé.
En attendant, avec un tel parcours et physique je donne mon accord pour qu'il aille voir Jona et j'envoie à ce dernier les instructions le concernant.
Une semaine plus tard, nouvelles photos dont l'officielle en maillot Aussiebum, bien ! L'épilation laisse ressortir sa masse musculaire qui ne demande qu'à prendre encore un peu de développement avec nos séances sportives, une coupe de cheveux plus dans l'ère du temps et il rejoint les canons de ma boite (après analyses médicales bien sûr).
En Californie, mes amis ont décidé de fêter ma réussite à l'examen que j'ai passé par une semaine à Cancun (Mexique). Nous faisons une première étape chez les parents d'un des participants à Los Angeles puis en avion nous traversons le Mexique.
0n pourrait croire que nous sommes encore aux USA vu la population si cette dernière n'était pas aussi alcoolisée.
On se pose dans un grand hôtel avec piscines et nous prenons 4 suites contigües. Pour faire notre " marché ", entre la plage et les terrasses de bars ou de piscines d'hôtels (et pas que le nôtre), ce n'est pas le choix qui manque. Toutes les teintes de cheveux et de peau sont présentes.
On se challenge à qui ramènera la plus belle " salope " à baiser. Le top sera celui qui se fera baiser par tous les trous et par tout notre groupe. Les deux premiers jours, passent entre baiser à couilles rabattues et repérage de cette perle. La plus part sont hétéro mais, avec un coup dans l'aile, ils se laissent persuader assez facilement de tester le rapport gay.
Je trouve ce que j'espère être le choix du roi dans l'hôtel d'à côté du notre.
Le mec : blanc mais bronzé, dans les 1m80 musclé mais moins que nous, blond imberbe avec un visage d'ange et des yeux bleus à se noyer dedans. Le maillot qu'il porte lacet desserré semble tiré vers le bas par un outillage de bonnes dimensions ses fesses bien rondes l'empêchant de glisser à ses genoux. C'est décidé c'est lui que je ramène !
Il est avec un groupe de pote de 2/3 ans de moins que nous. Je demande à Dan de m'aider. Je suis à son hôtel et quand on le repère près de la piscine, je me hâte de grimper au 2ème étage. Trouver une chambre ouverte me permettant d'accéder à un balcon est chose facile. De là, je plonge dans le bassin au plus près du groupe. Dan se charge d'ameuter sur ma prestation. C'est lui aussi qui encourage ma proie à m'aider à sortir de l'eau.
Donc le mec me tend le bras. J'hésite entre le faire tomber à l'eau en l'attirant à moi ou une fois sorti, le coller. Je choisi la deuxième option. Quand il me tire de l'eau, je me colle à lui en faisant semblant d'être déséquilibré. Il me prend dans ses bras et je fais de même. Ma bouche se pose comme par hasard sur les siennes. Il ne me repousse pas dans l'eau. Je passe mon bras derrière son cou et ouvre la bouche pour un patin. Il met quelques secondes avant d'ouvrir la sienne en essayant de reculer sa tête pour parler je pense. Ma langue qui pénètre rencontre la sienne. Là ça devient magique. Dans un film, il y aurait eu plein d'effets spéciaux autour de nos deux corps collés.
Là, je ressens juste qu'il ne cherche plus à s'écarter de moi et que son maillot gonfle contre ma cuisse. J'entends les sifflements de ses potes, ce qui semble lui échapper. Il bande franchement et maintenant il hésite à s'écarter, car ce n'est franchement plus très discret !
Je décolle mes lèvres de siennes et lui propose de continuer sa journée avec moi. Il est ok avec cette idée. C'est ça qui est bien dans ce genre de délire, tous les participants sont prêt à tout !!
Je passe mes mains entre nos deux corps et remet sa queue dans son maillot et noue le lacet pour éviter qu'elle sorte à nouveau. Il se tourne à peine vers ses potes et leur dit qu'il les retrouvera plus tard.
On part à 4 de l'hôtel pour rejoindre une fête organisée sur la plage. Dan n'avait pas perdu de temps et s'était trouvé lui aussi un petit mec en attendant que je fasse mon affaire. Mignon mais moins que le mien ! Le fait que je n'ai pas cherché à lui sauter dessus tout de suite a rassuré ma proie. Nous passons quelques heures à danser, boire, se frotter (il y a trop de monde pour ne réussir qu'à se frôler !). Mon petit mec a passé plus de temps la queue raide collé contre moi que mou. Comme avec les potes nous avions décidé de faire un point vers les 18h tous à notre hôtel, nous rentrons. Brad, ma conquête, est rassuré de nous savoir voisins. Par contre quand nous arrivons à nos suites et qu'entre les 4 navigue un véritable ballet de beaux mecs qui ne se gênent pas pour s'embrasser et plus, il me dit qu'il va y aller.
Je l'attrape par la taille et le colle à moi. Une nouvelle pelle bien appuyée où je mets toute ma science du sujet lui ôte cette idée de la tête. Ça plus ma main qui est venu attraper sa bite par-dessus le maillot et qui serre un morceau bien raide et circoncis.
Timidement je sens ses mains parcourir mon corps et se fixer, elles aussi, sur ma bite. Je bande comme un âne et mon gland est sorti de mon trunk Aussiebum. Ma main droite sur sa nuque l'invite à descendre me tailler une pipe. Il résiste, tourne la tête vers moi et me dit ne plus être trop sûr de vouloir aller plus loin. Avant qu'il ne se ravise complètement, je tombe à ses genoux et embouche sa queue jusqu'à la garde. Quand son gland pénètre ma gorge, il a un sursaut mais je l'entends gémir malgré la musique forte qui baigne tout l'hôtel en provenance de la piscine. Ses mains se posent sur ma tête et me maintiennent. J'ai gagné je le sens ! Quand je me redresse, il me rend la pareille à genoux devant moi. Ça commence assez désordonné mais avec quelques conseils il s'améliore rapidement. Pour les gorges profondes, il s'y essaye mais s'étrangle vite. Je le tire par les épaule et collés on se re-roule un patin. Là, plus de retenue du tout, il lance sa langue dans ma bouche à la recherche de la mienne, quand je l'enfonce dans sa bouche, il me la tête, j'adore !
A nos coté ça commence à baiser aussi. Je profite de notre différence de format et de muscles pour l'attraper par les hanches et le basculer tête en bas. Ses mains l'assurent en équilibre du coup j'ai sa rondelle sous mes yeux. Vu sa forme, je suis sûr qu'elle n'as pas dû servir souvent dans le sens inverse de sa fonction. Petite très plissées et ronde, j'en suis même à me demander s'il n'est pas vierge du cul. Comme elle est bien propre je la lui enduis de salive et coinçant son bassin contre mes pecs, use de mes doigts pour la faire pénétrer au-delà du premier sphincter.
Il ne peut se défendre, occupé à garder son équilibre. J'assouplis donc son petit oignon qui gentiment s'ouvre. Ses " no, no " du début laissent place à un silence qui me fait penser qu'il y trouve son compte. Quand je lui mets mes deux index ensemble sans refus exprimé, j'estime qu'il est temps de passer à la vitesse supérieure et d'user de la partie de mon anatomie prévue pour cela. Je le redresse, et lui roule à nouveau une pelle. Ne pas le laisser penser qu'il peut en être autrement que mon désir de l'enculer. Il ne rechigne pas à se mettre à 4 pattes comme quelques-uns autour de nous. Je me kpote, ajoute une couche de gel bien épaisse et autant dans sa fente et je le monte.
Petit coup sec pour faire pénétrer mon gland. Légère douleur, premier gémissement. J'appuis et grâce au gel m'enfonce sans qu'il ne puisse résister. Impression géante, ma bite est compressée sur la totalité de ses 20cm. Pour lui aussi l'impression est spéciale et vu comme il gémit, plutôt pas si mal !
J'y vais doucement, je veux que tous les deux on prenne du plaisir il se cambre et tend sa tête vers moi. Je me penche un peu et nos langues se touchent, se collent, se battent alors que ma bite agit comme un piston dans son cul. Il commence a bien y prendre goût ce petit américain !! Dans la suite, ça bouge, les plans évoluent autour de nous. Moi je reste sur mon plan. Par contre de la levrette, nous passons à une position face à face. Alors que je suis toujours dans son cul, je le regarde. Ses yeux son fermé, il est à l'écoute des sensations que son corps lui remonte. Plus je le lime plus son sourire s'élargit. Ses lèvres pleines m'attirent et je pose les miennes dessus en attendant sa réaction. Il les entrouvre légèrement et sort un petit bout de langue. La mienne vient au contact. Et s'est reparti. Je m'écrase contre lui, ses cuisses s'écartent pour faire place à mon bassin. Je sens une légère grimace mais le contact est plus " intime ". Je m'active à perforer sa rondelle avec toute la science que j'ai pu accumuler. Ses gémissements montent crescendos et sans prévenir je sens couler son jus entres nos abdos collés. Au même moment sa rondelle se contracte spasmodiquement et ce con, il me fait juter aussi.
Comme je me retire avant d'être complètement débandé et de perdre ma kpote dans son cul, je me fais remplacer par un de mes potes. Ma recrue n'as pas le temps de protester que la bite XL de mon remplaçant lui défonce le cul.
Il va pour protester que c'est pour moi qu'il était venu, je lui clous le bec d'une pelle et lui dis que ça me fait plaisir qu'il fasse celui de mes amis. Il accepte mais bien pour me faire plaisir, c'est tout ce que je demande !
Cette touze sera la plus réussie de notre séjour au Mexique. Grâce à mes amis, j'y aurai baisé les 12 mecs que nous avions ramenés. Aucun n'aura eu la saveur de celui que j'avais rapporté moi-même. Quand nous l'avons laissé rejoindre son propre groupe de potes, il m'a dit qu'il ne m'en voulait pas même si je lui avais quand même un peu forcé la main.
Jardinier
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La petite journée en amoureux à Ostende
Le petit dej dans les locaux de l'ancienne grote post, la vieille imprimerie, la balade sur la digue et la jetée, le luna park 🤍
Dans l'ancienne poste, il y a des personnages particuliers, on s'est demandé si ce n'était pas des figurants, volontairement vintage pour coller à l'époque du bâtiment des années 50. La vieille dame qui lit son journal en attendant au guichet d'informations est clairement là en train de faire son job (mais wtf la chaussette ?) mais pendant qu'on mangeait, plusieurs personnes avaient un style vestimentaire totalement vintage et étaient assises ça et là, aussi occupés à lire des journaux froissés. Il y avait aussi peut-être, parmi les personnes âgées, des gens qui avaient travaillé là lorsque la poste était encore d'activité. J'ai eu l'impression d'être dans deux époques en même temps.
Même sensation bizarre sur la route du retour en passant par Poperinge, qui est une ville traversée par la frontière française. Le flamand/français est partout, dans les noms de rues à moitié l'un à moitié l'autre, dans les devantures des maisons, dans les pierres utilisées, dans les panneaux... Je suis frontalière, je suis habituée aux passages de frontière, à l'esthétique et aux panneaux qui changent en quelques mètres mais là l'endroit est rempli d'un mélange, c'était étrange.
Petit bond particulier dans l'espace et dans le temps aujourd'hui.
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Ah la la la la. Y’a 2cm de neige et vous en faites tout un fromage! Laissez moi vous raconter une petite histoire.
Il y a de cela environ 1 an, une courageuse Française décide de venir au Québec début décembre.
Son avion atterrit et, surprise! Pas de neige et un bon gros 10’C! Elle s’étonne et demande:
- Mais c’est pas supposé être l’hiver?
- Bienvenue au Quebec! Répondit son hôte.
La journée passe, puis la nuit. Au petit matin, à peine les yeux ouverts elle découvre avec stupeur 35cm de neige au sol. Elle s’étonne de nouveau:
- Mais mais mais!!! Qu’est-ce que c’est que tout ça?
- Bienvenue au Quebec! Récidiva son hôte.
Pensant que son séjour était fichu et prête à googler « comment hiberner », son hôte lui propose une sortie. Sur les routes enneigées elle est rapidement confrontée, à un feu de circulation, à la voiture qui les précède qui refuse d’avancer. La route étant en pente montante, la neige empêche cette dernière d’avancer ne serait-ce que d’un centimètre. C’est alors que son hôte détache sa ceinture de sécurité et sort de la bagnole. Persuader qu’elle va aller l’engueuler, elle se cale dans le siège.
Et pourtant… non! Son hôte fait signe au conducteur de se remettre en marche pendant que l’hôte pousse de toute ses forces derrière la voiture pour lui permettre d’avancer. Une fois de retour dans la voiture, la petite Française déclara:
- Ah ben en France il aurait fait avancer la voiture à grands coups de connard!
- Bienvenue au Québec! S’amusa son hôte.
Deux jours plus tard une activité extérieure est organisée. L’hôte offre tuque (bonnet) et mitaines (gants) à son invitée qui les accepte sans trop de conviction. Une fois à l’extérieur la réalité la frappe en plein visage! En 48h la température était passée de 4’C à -22’C!
- C’est quoi ce bordel! Clamant complètement frigorifiée l’invitée.
- Ah ben… Bienvenue au Québec! Se contenta de répondre son hôte.
Plus qu’une semaine avant le grand retour de la Française en sol québécois en hiver! J’ai hâte. On annonce la première tempête de l’hiver justement le 1re décembre 🤣. On va réfrigérer la moitié du club de seniors ^^.
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
2/7
Pour renforcer l'impression d'avoir débarqué dans un véritable vaudeville, laissez moi vous conter une anecdote. Elle date de notre séjour en Egypte, mais j'attendais de voir sa conclusion avant de vous en parler.
Vous savez peut-être qu'avec l'engouement que suscite l'égyptologie et le nombre de touriste toujours grandissant qui s'y rend, nombreux sont les égyptiens à tenter de profiter de cette manne financière, et de bon droit. Alors que errions dans un souk très fréquenté à Louxor, Constantin est tombé par hasard sur un artisan tailleur de pierre qui réalisait des facsimilés de qualité assez médiocre. Ce dernier réalisait alors ce qui semblait être un sarcophage en calcaire, assez simple pour passer pour authentique. Constantin s'est arrêté devant et a observé l'artisan de façon très insistante pendant plusieurs minutes. Quand les yeux de Constantin se perdent ainsi dans le vague, mieux vaut le laisser et attendre. Je suis donc allée acheter un foulard dans une échoppe voisine. A mon retour, mon mari, très fier, m'a annoncé qu'il avait acheté le sarcophage et qu'il comptait l'offrir à Madame Eugénie pour qu'on puisse l'y enterrer l'heure venue.
Transcription :
Constantin « Ah Grand-Mère ! Je vous attendais depuis une bonne heure. »
Eugénie « A mon âge, il convient de se reposer fréquemment pour garder une bonne santé mon petit ! Mais qu’est-ce… ? »
Eugénie « Dis moi, mon garçon… Quelle est cette chose qui encombre mon tapis ? »
Constantin « Je vous avais dit qu’une partie de mes bagages étaient restées un moment à la douane de Marseille. Cela n’a pas été facile avec tous ces escaliers, mais on me l’a enfin apporté ! C’est splendide n’est-ce pas ? »
Eugénie « Hum… c’est très brut, dirons nous. Mais quand tu parlais de bagages, j’imaginais plutôt quelques malles, pas… qu’est-ce d’ailleurs ? »
Constantin « Et bien, votre cadeau enfin ! »
Eugénie « Mon cadeau ? »
Constantin « Oui, vous m’aviez fait promettre de vous ramener quelque chose cette fois. Comme je ne suis pas ingrat, je m’y suis attelé. Je me suis vraiment creusé la tête pour trouver quelque chose qui pourrait vous plaire, et cela n’a pas été facile. Et finalement, je suis tombé sur cette beauté, et je me suis dit que c’était la chance qui l’avait mis sur ma route ! »
Eugénie « Fort bien. Et qu’en a dit Albertine ? »
Constantin « J’ai du insister car elle n’a pas du tout apprécié que je le fasse ramener à l’hôtel. Elle a dit que c’était un cadeau morbide à la limite de l’insulte. Mais je ne suis pas d’accord. Nous nous sommes mêmes disputés à ce sujet, vous rendez vous compte ? »
Eugénie « Morbide tu dis… »
Constantin « Cela n’a rien de morbide. Qui ne rêverait pas d’être enterré dans un sarcophage ? Je vous accorde que celui de Monsieur Mariette est plus travaillé, mais je me suis dit que celui-ci aurait l’air plus authentique. Il faudra simplement penser à prévenir les fossoyeurs au préalable. »
Eugénie « Tu m’as offert un… sarcophage ? »
Constantin « Et bien oui. C’est Adelphe qui me rappelait justement qu’un jour vous ne seriez plus parmi nous et qu’il me fallait m’y préparer. Je l’ai bien écouté, car vous m’avez toujours dit de bien écouter Adelphe, et il est hors de question que l’on inhume ma grand-mère dans un bête cercueil en acajou. Non, vous méritez les honneurs des anciennes reines d’Egypte ! »
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RAPPEL DU PROGRAMME
Dimanche 23 juin : départ du collègue à 22h, être présents à 21h15
Lundi 24: traversée de la Manche, visite de Winsdor, balade jusqu'à Eton et route vers les familles
Mardi 25: chasse au trésor dans Bath, visite des Roman Bath, quartier libre (si mérité... 😉)
Mercredi 26: visite de Bristol sur le thème du Street Art et atelier spray, visite du Brunel's SS Great Britain et balade sur le Clifton Suspension Bridge
Jeudi 27: visite de Londres à pied puis route vers Douvres après le dîner
Vendredi 28: retour en France et arrivée au collège vers 12h30
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Sur la route du retour
La chaîne des Pyrénées
Envie de bifurquer vers ces cimes enneigées....un projet émerge....
Le cœur rempli de rencontres balades partages sensations dépassement de ma zone de confort des heures de marches avec des difficultés de dénivelés de glissade
Des vues surprenantes
Des paysages magnifiques
Gratitude pour ce que je vis
Vivre le présent à chaque instant
🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏
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In the shadow
Day 13 : "Midnight City" by M83
The neon lights hovered in the warm night air, bathed in the glow of streetlights reflecting off the windows of Alzagar's car. He was there, alone, parked at the side of a deserted road, waiting. The city in the background seemed to never stop, the distant hum of engines and conversations blending in the air, but in the car, there was only silence. Alzagar sat there, hands on the steering wheel, eyes lost in the void. Each second felt like an eternity, but he didn’t feel rushed. The only thing that mattered was the moment to come. The moment when Venec would join him in the car. A shiver of anticipation ran through his veins, a mix of desire and strange calm, a familiar wait. The night was their playground, where rules didn’t exist. Where, in the dark, their roles faded away to make room for who they truly were. The radio played soft, almost hypnotic music, a perfect contrast to the tension that hung in the air. Alzagar remembered getting lost in the city’s alleyways the first time, the uncertainty in Venec’s eyes, the same adrenaline they felt with each secret meeting. What they shared wasn’t just physical—it was that feeling of escape, of freedom, like a flight through the darkness. Then, finally, he saw him in the distance, his silhouette outlined by the light. Venec was approaching, his steps sure, as if there was no turning back. Alzagar felt his heart beat a little faster, but he didn’t stand up. He didn’t need to move. Venec was there, and in that frozen moment, everything was perfect. Their world was in that car, in that night. There was nothing else. When Venec climbed inside, everything went silent, except for the music, which seemed to now accompany them in their own rhythm. Alzagar slowly turned the ignition key, the car coming to life, ready to take them into the unknown. And in that darkness, they sped away, out of sight, away from judgment, into another world—the one where they were simply themselves, without any restraints.
Dans l’ombre
Les néons flottaient dans l’air chaud de la nuit, baignés par la lueur des lampadaires qui se reflétaient dans les vitres de la voiture d’Alzagar. Il était là, seul, dans son véhicule garé au bord de la route déserte, attendant. La ville, en arrière-plan, ne semblait jamais s’arrêter, les bruits lointains des moteurs et des conversations se mélangeant dans l’air, mais dans la voiture, il n’y avait que le silence.
Alzagar se tenait là, les mains sur le volant, les yeux perdus dans le vide. Chaque seconde semblait durer une éternité, mais il ne se sentait pas pressé. La seule chose qui comptait, c'était le moment à venir. Le moment où Venec rejoindrait la voiture. Un frisson d’anticipation parcourait ses veines, mélange de désir et de calme étrange, une attente familière. La nuit était leur terrain de jeu, là où les règles n'existaient pas. Là où, dans le noir, leurs rôles s’effaçaient pour laisser place à ce qu'ils étaient vraiment.
La radio diffusait une musique douce, presque envoûtante, un contraste parfait avec la tension qui flottait dans l'air. Alzagar se revoyait se perdre dans les ruelles de la ville la première fois, l’incertitude dans les yeux de Venec, cette même adrénaline qu’ils ressentaient à chaque rencontre secrète. Ce qu’ils partageaient n’était pas simplement physique, c’était cette sensation d’évasion, de liberté, comme un vol dans l'obscurité.
Puis, enfin, il le vit, au loin, sa silhouette se découpant dans la lumière. Venec s’approchait, les pas sûrs, comme s’il n’y avait pas de retour en arrière. Alzagar sentait son cœur battre un peu plus fort, mais il ne se leva pas. Il n’avait pas besoin de bouger. Venec était là, et dans cet instant figé, tout était parfait. Leur monde était dans cette voiture, dans cette nuit. Il n'y avait rien d’autre.
Quand Venec monta à bord, tout devint silencieux, sauf pour la musique, qui semblait désormais les accompagner dans leur propre rythme. Alzagar tourna lentement la clé du contact, la voiture s'éveillant, prête à les emmener dans l’inconnu. Et dans cette obscurité, ils s’élancèrent, loin des yeux, loin des jugements, vers un autre monde, celui où ils étaient simplement eux, sans aucune retenue.
Challenge by @monthlywritingchallenges
#januarysongchallenge#midnight city#m83#drabble#kaamelott fanfiction#kaamelott#alzagar x venec#alzagar#venec
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読書
引き続き60年前の古書、平凡社の世界教養全集を読んでいる。 最近、漫画などを読んでいるので、こちらの方は休み休みなのだが、しかし、少しずつ読み進めている。 第24巻の第2作目、「人間の土地 Terre des hommes(サン・テクジュペリ Antoine de Saint-Exupéry 著・堀口大学訳)」を読み終わった。読み終わったのは東京駅八重洲中央口にあるバー「The Old…
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#A la poursuite du soleil#A.ジェルボー#Alain Gerbault#Antoine Marie Jean-Baptiste Roger de Saint-Exupéry#My Life As an Explorer#R.アムンゼン#Roald Amundsen#Seul à travers l&039;Atlantique#Sur la route du retour#Terre Des Hommes#たった一人の海#アムンゼン探検誌#サン・テグジュペリ#世界教養全集#人間の土地#加納一郎#堀口大學#平凡社#平凡社世界教養全集#言葉#読書#近藤等
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Lundi 11/09 - Mettre la cage dans une cage
Philza est de retour de ses vacances. Il est allé directement dans la chambre de ses enfants, et a découvert qu'ils ne sont plus là. Tubbo et Fit lui ont fait un point global sur tout ce qui s'est passé : les oeufs, les waystones, le vote, les meubles, Forever… Ils ont décidé de passer un message à la fédération en recouvrant le bâtiment fédéral du président de cobblestone grâce à de la lave. Philza a laissé un message au dessus de la structure, disant qu'il avait "mit la cage dans une cage", et qu'il leur laissait une semaine pour leur rendre leurs oeufs, sinon de plus grosse destructions arriveront sur les bâtiments fédéraux.
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https://clips.twitch.tv/ConsiderateFitKathyNotATK-ugcWGxyOXnq-wHnA
Pac a reçu une shulkerbox chez lui avec des informations sur WalterBob, dont la position de sa maison. En y allant, il a pu découvrir des souvenirs de la vie passé de Walter, dont ses enfants et ses amis.
Pac a raconté ses découvertes à Fit. Celui-ci en regardant les images s'est rendu compte qu'il connaissait une des personnes sans visage sur une photo, mais d'avant sa vie sur Quesadilla Island. Il n'arrive pas a remettre le nom sur ce visage, ses souvenirs sont flous.
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https://clips.twitch.tv/MistyPrettiestSeahorsePunchTrees-rAICRI135ZBVFqKD
Philza et Tubbo ont décidé d'enquêter sur le laboratoire de la fédération où les nouveaux joueurs ont été retrouvés. Là bas, ils ont remarqué qu'un gros cube de glace avait fait son apparition. Ils ont analysé tous les étages du labo, sans rien trouver de particulier. Tubbo a les coordonnées de la prison, et pense qu'il faudrait aller là bas, mais elle se trouve a plus de 100.000 blocs, et Etoiles n'a pas de waystone a proximité.
Aypierre a enfilé un gilet jaune, et a démarré une grève à l'aide des autres joueurs. Ils ont placé des explosifs sur la route du spawn, et ont testé un nouveau système de mines. Aypierre a aussi fait écouter à Cucurucho la nouvelle musique de Faster : "Fuck the federation".
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https://www.twitch.tv/aypierre/clip/StrangeSmokyPeachBudBlast-ya3GiM4UTn4EKtOt
Pour aider Cellbit et les autres joueurs dans leur enquête sur les médicaments que procure Cucurucho à Forever, Pac a accepté de jouer au cobaye. Il a expliqué à Forever être triste en ce moment et avoir besoin d'un bon remontant. Forever a transmis l'information à Cucurucho et celui-ci a invité Pac a rejoindre la salle d'opération. Pac, après avoir laissé un livre à Cellbit lui expliquant tout ce qu'il compte faire, est allé dans la base de la fédération, s'est allongé sur le lit, et Cucurucho lui a administré un calment. Son live s'est coupé sur cette image.
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https://clips.twitch.tv/ColorfulTriumphantRutabagaUWot-QQ79C6XPZ_E9FMFe
Forever a souhaité prouver à Philza que Richarlyson va bien. Il l'a donc emmené dans sa base et lui a montré la maison qu'il a construit pour son fils. Philza a pu découvrir la roche dans le lit de Richarlyson et en tentant de lui expliquer qu'il y a un problème, Forever a sorti son pistolet, lui demandant d'arrêter ce bruit d'horloge. Il a pris ses médicaments et sa joie de vivre est revenue. Fit écoutait toute la conversation, caché en minant dans la base de Forever. Lui et Philza se sont entretenus après l'explication de Forever sur les votes. Ils en ont conclu que Forever avait totalement disjoncté, et qu'il fallait s'occuper de ce problème rapidement.
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Alors qu'il se baladait paisiblement accompagné d'Ironmouse, Tina et Jaiden, le code a attaqué Etoiles. Ils se sont défendus (les autres joueurs ayant pu rejoindre le combat via une sharestone), et le code s'est enfuit sans laisser de message.
Forever, ayant rejoint tout le groupe pour le combat contre le code, a pris BadBoy à part et l'a demandé en mariage ! BadBoy a évidement refusé, lui disant qu'il n'est pas dans son état normal. Forever lui a donc dit vouloir tester quelque chose sur lui et l'a attaqué avec des mines, perdant au passage plusieurs totems. Dès qu'il a vu Etoiles s'approcher, Forever s'est enfuit dans sa base. BadBoy et Etoiles ont conclu qu'il était temps de tuer le président pour lui prendre ses médicaments. Etoiles, qui ne voulait pas attaquer tant qu'il n'en avait pas reçu l'ordre, a accepté la mission.
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Jaiden s'est mise dans l'idée de profiter de son lien spécial avec Cucurucho pour lui demander des explications sur tout ce qui se passe sur l'île actuellement. Réfugiée dans son havre de paix, elle a attendu Cucurucho pendant plusieurs jours, et a même menacé d'enfreindre la loi du nombre de coeurs maximum, avant de se raviser, se disant qu'elle ne devait pas gâcher tout le travail de confiance que Cucurucho lui a apporté. Cucurucho l'a finalement rejoint, et Jaiden lui a demandé si tout allait bien. Cucurucho a expliqué qu'il est très occupé en ce moment a rendre les gens de l'île heureux, et a s'occuper de l'intégration des nouveaux résidents. Tubbo est un problème pour l'instant, mais il finira par rentrer dans le rang, il va s'en assurer. Jaiden lui a demandé des nouvelles du deuxième Cucurucho : son entrainement continu, mais le temps passé avec Jaiden a clairement aidé. Jaiden lui a montré comment faire du thé, mais n'a pas voulu lui poser de question sur les oeufs ou les médicaments, se disant qu'elle n'aurait aucune réponse de toute manière et qu'il valait mieux faire attention à Cucurucho.
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Pendant que BadBoy et les autres discutaient, ils ont remarqué que le président était mort d'une chute fatale. Ils se sont précipités à sa base pour voir s'ils pouvaient en profiter. Là bas, ils ont remarqué que son cadavre était quasiment vide, il ne portait qu'une armure en dark metal, ainsi qu'une télécommande et un livre se traduisant par "Help, I can't take it all the time going back to that hate". BadBoy en a conclu que le président était somnambule et que son inconscient avait probablement tenté d'en finir. Ils se sont ensuite infiltré dans sa base, voyant que Forever était dedans, pour voir ce que la télécommande ouvrait. Ils ont réussi a ouvrir le passage vers la chambre de Richarlyson, et ont remarqué le président en train de dormir à ses côtés. Une fois que Foolish ai posé aux côtés du président dans son lit, les joueurs ont discuté sur ce qu'il pouvait bien se passer avec Forever pour qu'il agisse comme ça.
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Foolish a continué la construction de la nouvelle route : il a profité du carnage provoqué par les joueurs pour détruire l'ancienne route, au profit d'une en pierre. Avec l'aide de BadBoy, il l'a aussi décoré avec des lampes sur le côté.
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Il est 3h35, je suis enfin rentrée chez moi. Sur la route du retour avec une pote il y avait un mec en voiture qui nous a suivi, on a trouvé une trottinette de la ville allumée on a péta et on a tracé avec. A un rond point on a réussi à le semer mais ce fdp s’est arrêté pour essayer de nous interpeller🙃. C’est marrant que ça nous arrive ce soir, on a justement eu une discussion avec nos potes aujourd’hui qui ne comprenait pas pourquoi on avait « peur des mecs » en général, mdr, bref
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Je l'avais noté l'autre jour, j'ai entamé "Réparer les vivants". Trois jeunes garçons qui vont surfer de bon matin et ont un accident de van sur la route du retour. Un accident grave pour deux d'entre eux, mortel pour le troisième.
Ce sera l'histoire d'une transplantation d'organes.
Pour l'instant, c'est l'histoire d'une mère qui reçoit le coup de fil qu'on redoute tellement, votre fils a eu un accident, c'est grave. Qui apprend à l'accueil de l'hôpital qu'elle doit aller aux urgences, aux urgences qu'elle doit aller en réa. En réa que son fils est dans le coma, que les constantes sont de moins en moins bonnes, les réactions du cerveau de plus en plus faibles. Le cerveau se noie dans le sang.
Elle ne le sait pas encore, parce qu'elle a couru avec ce qui lui restait de jambes, s'est réfugiée dans le parking, a hurlé dans sa voiture, tapé de toutes ses forces sur le volant. Elle ne le sait pas encore mais on vient d'apprendre que son fils est en état de mort cérébrale et mon dieu mon cerveau va exploser comment est la vie quand on perd ce qui est le plus précieux.
J'ouvre le livre un peu plus loin puis plus loin puis plus loin, je veux croiser encore le nom de cette mère, je veux m'assurer qu'elle sera encore dans l'histoire, qu'on ne la laissera pas en plan.
C'est fou comme la vie est fragile et précieuse. J'hésite à continuer cette lecture car je sens mon empathie un peu trop développée, je viens de pleurer un bon quart d'heure à gros sanglots, je viens de m'imaginer dans cette situation, dire à son père que je n'ai plus la force de vivre, que ça n'ira pas, ça le fera pas, désolée. Et son regard qui n'a aucun argument contre ça. Oui je comprends, moi non plus. J'entends mon ado dans sa chambre et j'ai soudain tellement peur. Je suis au calme dans le salon. L'homme dort déjà. L'ado joue à je ne sais quel jeu avec je ne sais quels potes et j'ai envie que rien ne change.
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L'heure qui se reflète au plafond indique 3h. Elle est là dans cette chambre bleue n'arrivant pas à retrouver le sommeil. Le petit ronflement qui se fait entendre signifie que @titus6312 dort profondément. Les persiennes laissent passer un filet de lumière venant du lampadaire extérieur. Il traverse la chambre et arrête sa route sur la table de nuit d'où jaillit une surbrillance qui lui attire l'œil. " le plug diamant 💎 "... il a échappé au retour dans la valise magique avec les autres accessoires et diverses lingeries qui leur avaient servies la veille.
Elle a une envie irrésistible de le tester. Elle s'en saisi discrètement, le lubrifie par un bref passage dans sa chatte devenue humide suite à sa pensée du moyen le plus efficace pour retomber dans les bras de morphée. Elle l'approche timidement de son anus car il faut bien le dire ce n'est pas trop sa tasse de thé. Et puis d'un coup il est comme happé... quelle sensation bizarre qui lui donne envie de s'adonner à un plaisir solitaire là maintenant, à côté de celui qui lui a tant donné de plaisir hier mais qui ronfle comme un bienheureux.
La voilà partie. Oh là là, elle jouie très très fort et se rendort sur le champ.
Quelques heures plus tard elle sent un doux baiser se poser sur ses lèvres et une voix sensuelle qui lui dit. "Voilà le petit déjeuner, il est l'heure ". Elle s'assoit et sent une présence inhabituelle dans son postérieur. 😱, le plug ! Mais comment le remettre à sa place sans que rien n'y paraisse ?
Quelqu'un a t'il la réponse à cette question ? sinon il faudra attendre un prochain épisode...
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (12/20)
Pour que vous compreniez ce qu’il s’est passé, il faut que je vous parle d'abord un peu de la politique actuelle du gouvernement canadien. En décembre dernier ont eu lieu les premières élections fédérales où les femmes ont eu le droit de vote. L’enjeu majeur de ces élections était la question de la conscription obligatoire, très populaire chez les Anglophones, très attaquée par les Francophones. Je n’ai pas voté lors de ces élections, mais peut-être que j'aurais dû. Le candidat unioniste qui a été élu à la mi-décembre, Sir Robert Borden, est un partisan de la conscription. Au cours du mois de janvier, la Loi sur le Service militaire a été mise en application : tous les hommes de vingt à quarante-cinq ans peuvent donc être conscrits de force dans l’armée.
[Transcription] Napoléon Bernard : Mais où est-il, enfin ? Nous avons presque une heure de retard ! Je vais finir par annuler la cérémonie. Jules Le Bris : Vu ce qu’elle m’a coûté, essaye donc, Bernard ! Peter Simmon : Je réponds de mon neveu, et quand il arrivera, il aura intérêt d’avoir une bonne excuse. Il humilie la famille Simmon ! Louise Le Bris : Je suis certaine qu’il va arriver, Révérend. Louise Le Bris : Il a dû avoir un retardement... Ou peut-être qu’il s’est blessé sur la route… Napoléon Bernard : Quelle route ? Il habite sur la jetée en bas de la colline, c’est à moins d’un kilomètre d’ici ! Louise Le Bris : Dans tous les cas, il doit avoir une bonne raison. Lucrèce Le Bris : Faut-il que j’aille le chercher ? Françoise Simmon : Inutile, ma fille est déjà partie. Elle sera de retour bientôt avec une explication. En attendant, il est inutile de nous exciter.
#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Louise Le Bris II#Earnest Simmon#Napoléon Bernard#Peter Simmon#Françoise Le Bris#Lucrèce Le Bris#Adèle Schneider#Frédéric Rumédier#Bert Simmon#Ada Simmon
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