#Sous nos yeux
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Bande Originale du Documentaire SOUS NOS YEUX
Documentaire SOUS NOS YEUX. Un film de Stephane Miquel Musique de Maximilien Mathevon 4 juin à 22h50 – France 3 Television D Day 80s – Celebration Label Plaza Mayor Company Ltd During the Second World War, Normand people filmed their daily lives against a backdrop of mobilization, war, occupation and liberation. These images are a moving testimony of the life of a country during these…
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#Bande Originale du Documentaire#DDay#DDay Celebration#France 3 Television#Maximilien Mathevon#Plaza Mayor Company ltd#Sous nos yeux#Stephane Miquel
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Ces milliards juste sous nos yeux qui pourraient servir à combattre le changement climatique.
Où trouver l’argent pour la lutte contre le changement climatique ? Beaucoup s’en inquiètent, et à raison alors que la facture s’alourdit toujours plus. En signant l’accord de Paris, les pays les plus riches du monde ont réaffirmé leur engagement à mobiliser au moins 100 milliards de dollars chaque année afin d’aider les pays en développement à s’adapter au changement climatique, à investir dans…
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#faut que je parle d'un truc que je trouve ouf là mais ptdrr💀 littéralement je sais pas à qui en parler#mais c'est une partie du lore du fandom de str*y k*ds qui s'écrit sous nos yeux#y'a une autrice qui écrit du rpf sur ao3 qui a écrit une fic sur le ship le + populaire du fandom#et sa fic a un peu blow up genre elle a fait des stats de malade#à tel point que j'ai vu plein de fanart inspirés de la fic etc bref#y'a qques semaines je vois passer un tweet de l'autrice qui ditqu'elle va sortir l'histoire en livre. carrément elle a sorti des préco#SAUF que la go elle a commissioné un-e artiste pour la couverture#et malgré le fait qu'elle disait qu'elle avait changé le titre et les prénoms des persos pour éviter tt pb ensuite#sur la couv du livre c'est LITTÉRALEMENT eux genre. du coup les gens lui ont attrapé la veste en disant qu'elle devrait take down les préco#tant qu'elle avait pas modifié completement la couverture. elle a fait un loooong poste en mode ~apologies~ en disant que bien que#l'histoire est la mm que sa fic elle va bloquer l'acces à la fic et sortir une autre couv et aussi changer la nationalité des persos#et là retournement de situation je vois quoi aujourd'hui ? un de ses tweets passer où elle est en mode 'voilà la nouvelle couverture les-#les personnages n'ont plus rien à voir avec machin et machin. + l'histoire que je vais publier n'a absolument rien à voir avec la fic.'#alors que. de base. elle a market son truc en mode 'sortie de ma fic en physique qui sera intitulée autrement pour éviter les pb'#à côté de ça elle a aussi supprimer tous ses autres tweet mentionnant la fuc en question et là elle est dans les mentions des gens en mode#'c'est faux c'est pas du tout ma fuc c'est une autre histoire' je vous jure je crois le mieux c'est qu'elle publie pas du tout ptdrr elle#est trop chelou💀💀💀#je pense elle a vraiiiment pas prit en compte toutes les 'retombées' suite à la publication de sa fic en physique#genre elle a mentionné d'autres exemples de rpf publiées en fic ensuite pour se défendre un peu#mais idk là c'est différent elle s'y prend trop mal malheureusement :/#genre jsais pas au pire elle aurait pu proposer des versions physiques mais 'homemade' au lieu de littéralement trouver un éditeur#et de se lancer dans l'aventure à l'aveuglette😭#genre jsais pas j'ai l'impression qu'elle a vraiiiment pas réfléchi#bref olalah désolée mais cette histoire m'obsède#publiées en LIVRE* vs avez capté
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Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité.
Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
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Je croyais que la vie était faite de fantasmes mais le réel n'est qu'une imagination continuée. Je le savais : rien (jamais plus) ne serait vrai. Alors dans le temps (court) qui nous était donné (avant la tempête d'une folie complète qui déchaîne et déchaîne), il fallait jouir. Unir. Ou, plutôt je voulais jouir - et faire jouir. Tendre mon corps comme une main - me rappeler d'anciens miracles…
Plus haut que tous les abîmes - la joie resplendirait.
Nus parce que plus rien ne comptait. Que la volupté illimitée - où nous soubrerions sans appel. Nul retour. Et, nos yeux émus… se rencontrèrent. Sans plus connaître d'obstacle à notre entente. Sans plus de...
Non, je ne me déparie pas - mais ma joie excessive versait des larmes.
Car sur ton corps ombré, je m'ouvre à tous les vœux. Je m'ouvre et je célèbre - je suis... mais mes mots, en vain, chercheraient l'issue. Je m'avance - jusqu'au bout de la ligne j'ouvre les bras : je m'aboutis dans les tiens.
(La renaissance ne viendra qu'après la foudre). Le triomphe.
Qui dira ce qu'excèdent mes propres forces ? Deux beautés féroces n'ont pas plus de solution - ni ma bouche, à ta bouche. Proférant les plus ardentes caresses que des lèvres sauraient ordonner sur une page... mais me suis-tu - m'enserres-tu ?
Chemins sombres où s'élève un chant d'amour, nos ventres... Rauque unisson. Et l'odeur acide ou sucrée des herbes fauchées tout autour. Tu m'entraînes - ou je t'avale, je ne sais. Mais les sens se font plus chair - et je sens que nous serions tout, qu'à terme, nous saurions tout.
Qu'une fêlure dans l'union que la plus complète entente étanche - et le bonheur SOU-VE-RAIN.
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saga: Soumission & Domination 356
24h du Mans moto-2
17-04, soir : Comme nous arrivons dans la cour du château, nous rejoignent les derniers motards du groupe. Marc arrive avec Éric et Cédric en passager et Daniel. L'écurie s'étoffe d'une CBR1000RR, du GSX R1000 que j'ai offert à Éric et du GSX R 750 de Daniel. Juste avant la pluie !
Ils ont fait la route ensemble et nous disent avoir rencontré beaucoup d'autre moto allant vers le circuit et pas mal de collègues de nos deux gendarmes.
Je fais la présentation de notre logement du WE et de ses commodités. On se met à l'aise. Les combis sont suspendues un peu partout et comme les autres nous restons en shorty, boxer ou slip selon les préférences de chacun.
De la piscine nous arrivent des cris et des hurlements. Quand on arrive, c'est pour tomber sur une bataille dans l'eau. Bien sûr tout le monde est à poil. Le temps de laisser le peu qui nous restait sur le corps et nous nous joignons à l'échauffourée.
Ça passe au stade " sexe " alors même que personne n'a encore gagné. Les nouveaux n'ont plus l'air d'être fatigués. Ils se lancent dans la mêlée. PH et Ludovic reviennent des chambres avec les kpotes, le gel et du poppers.
Je me régale avec les 23x6.5 du Lad motard. Les gendarmes sont appréciés aussi tout comme Éric et son black mamba.
La partouze bat son plein quand Nicolas (notre hôte) arrive voir si nous avons besoin de rien et vers quelle heure nous comptions dîner. Vu le bruit qu'on fait, il ne pouvait se tromper sur nos activités, donc il devait vouloir participer ! C'est d'ailleurs ce qui lui arrive. Près de l'entrée, Frank était en train d'enculer Jules aux côtés d'un " médecin " en train de démonter le cul de Kamal et d'un de ses confrères celui d'Arnaud. Ils se sont décollés le temps de l'attraper et de l'envoyer tout nu au centre de la mêlée. Sa grosse bite attire Cédric habitué aux gros calibre (rappel : c'est le régulier d'Éric). Il se fait donc bouffer la queue jusqu'à l'os, Cédric en mode " garçon en manque ".
Je me reconcentre sur mon cavalier. Quand il n'est pas en train de chevaucher un étalon, ce sont les 184CV de son ZX10R débridé. Il sait maitriser sa monture et quand il enfonce la totalité de sa bite, il obtient mon obéissance totale !
Ludovic passe me voir entre deux plans. Il me roule une pelle et me dit de bien profiter avant de trouver Marc sur son chemin. Il se fait bloquer, retourner et enculer tout en se faisant pousser sous moi (je suis en levrette). Il embouche ma bite raide et est excité de l'intérieur alors que j'embouche son gland.
Pas besoin de bouger pour nous deux. Ce sont les coups de rein de nos deux enculeurs qui activent nos pipes. Quand Marc tire les jambes de Ludovic pour mettre ses chevilles sur ses épaules, il m'enfonce plus profond sa queue au fond de ma gorge. Trop bon ! Nous nous régalons de nos glands respectifs et de la mouille qui en coule. Quand on se met à juter c'est l'apothéose. C'est je pense aussi ce que pense nos enculeurs que l'on sent se libérer dans nos entrailles (enfin kpote chez moi).
Quelques minutes pour retomber sur terre.
Petit coup d'oeil panoramique. Certains ont déjà juté comme nous mais il reste un petit groupe qui n'en a pas terminé. Je m'approche alors que mes comparses prennent la direction des douches. En fait c'est un mini gang-bang. Nicolas est sur le dos en train d'attendre les jets de spermes des 6 mecs debout au-dessus de lui.
Il ferme les yeux quand ça se met à pleuvoir sur lui. Il reste quelques minutes sous cette couverture avant que les participants l'aident à se relever sans glisser. Il reçoit autant de tape dans le dos que de mecs encore présent. Il apprécie le respect que ça sous-entend. Ce n'est pas parce qu'il s'est fait couvrir de sperme après s'être pris plusieurs mecs dans le cul qu'il n'est pas estimable pour autant.
Il nous accompagne aux douches puis nous précède à la salle à manger. Quand nous y arrivons, il a organisé un grand buffet avec plats chauds.
Dans une ambiance assez bruyante, nous commençons à nous restaurer. Les entrées sont simples et bonnes, principalement constituées de crudités et de charcuteries locales. Les rillettes du Mans sont délicieuses !
Nous voyons pour la première fois son cuisinier alors qu'avec lui Nicolas amène les plats chauds. Je comprends pourquoi il nous l'avait caché ! Le mec doit avoir dans les 20/25 ans, carré de gueule et d'épaules, ses cheveux courts et ses boucles d'oreilles et surtout son cul rebondi moulé dans un jeans trop petit, attirent sur lui les sifflets de ma petite troupe.
Ils nous présentent des cotes de boeufs de 6 ou 7 cm d'épaisseur, grillée sur le dessus embaumant les herbes. Une pierre chaude est là pour recuire si quelques un le préféreraient.
Quand il tranche, l'eau nous coule de la bouche. Elles sont grillées en extérieur et le centre est bleu mais chaud. A part Kamal qui lui demande de passer sa tranche sur la pierre, nous nous régalons de sa cuisson parfaite. Là aussi notre hôte privilégie les élevages locaux. Les 6 cotes disparaissent et il ne reste plus que les os ! Le cuisinier est un peu scié. Il y avait presque 4 kg de viande ! Ça n'empêche pas le plateau de fromages de se faire dévaster à son tour.
Il est évident que l'aide culinaire de Nicolas a reçu plus d'une invitation pour le reste de la soirée. Il nous éconduit gentiment arguant du fait qu'il était hétéro et qu'il avait une copine. Evidemment sa sortie soulève un tollé général. Comme si le fait d'avoir une amie, de lui faire l'amour pouvait l'empêcher de prendre du plaisir avec nous.
Entre notre journée sur le circuit à piétiner, les trajets en moto de certains, la touze et le repas, nous sommes morts de fatigue. On se répartit dans les chambres et les lits au petit bonheur la chance.
18-04 :
Je me réveille dans les bras d'un des gendarmes. Je ne suis pas seul puisqu'avec nous dans ce grand lit dort encore Ludovic.
Je le réveille et nous prenons une douche vite fait. Descendus dans la salle commune nous retrouvons la moitié du groupe en train de petit déjeuner. Ils sont déjà bien réveillés et jouent un peu à chauffer le cuisinier.
Nous ne sommes pas pressés puisque le départ n'a lieu qu'à 15h et que le ciel a du mal à se dégager. On discute avec Nicolas pour savoir si nous rentrons diner ou pas.
Après échanges d'avis, il est décidé que non mais qu'ils nous préparent un en-cas froid pour dans la nuit.
Habitués à des invités anglais, le petit déjeuner est conséquent et nous permettra sans problème d'attendre le soir. Avec un sandwich quand même entre temps !
La deuxième moitié du groupe arrive, les yeux encore collés de sommeil. Certains sont encore en boxer et ils sont bandants mal réveillés comme ça. Ils sont condamnés à faire le tour de la table pour les bisous. Quelques langues fraîches approfondissent ces baisers. Mal réveillés mais les dents brossées quand même ! Cédric retrouve les genoux de son Éric, tout comme Arnaud qui se colle à son Léo.
On discute de la journée à venir. Les plus impatients d'y aller sont évidemment ceux qui n'y sont jamais venus. Ils veulent voir les courses qui précédent le départ. Donc on presse un peu le mouvement.
Douches rapides pour ceux qui en ont besoin. On se glisse dans nos combis. Éric me fait la réflexion qu'on va encore attirer des remarques homophobes. Je nous regarde avec plus d'attention. Effectivement, on est quelques-uns peut être un peu trop " moulés " par le cuir. Tant pis pour les cons.
On quitte nos hôtes et fonçons vers le circuit. Notre petite troupe conflue avec d'autres motards en provenance de Paris. Pour plus de pratique et de sécurité, j'ai pris pour tous des entrées pour un parking gardé à l'intérieur du circuit. Du coup on y laisse les motos et les casques.
Il fait suffisamment chaud pour ouvrir nos combis. Ludovic retire même son t-shirt et réenfile son blouson. Il donne des idées à d'autre et on est la moitié à laisser deviner nos pecs et nos abdos sculpturaux. Comme pas un n'arbore de pilosité, ça attirera encore plus les remarques " déplacées ". On se faufile jusqu'en face des stands pour voir le départ des side-cars. On y reste le temps de les voir passer plusieurs fois puis nous déambulons le long du circuit.
Les néophytes sont surpris de voir que certains motards dorment sur les talus qui bordent la piste. En fait la plupart cuvent déjà l'alcool qu'ils ont ingurgité sans modération.
Après la coupe des 125cc, Marc nous offre à boire. Piétiner pendant 2h30 ça donne soif ! On commence gentiment avec des demis. On partage quelques barquettes de frites en attendant de manger plus tard.
A partir de là, on se disperse. De toutes les façons tous nos smartphones contiennent la totalité des numéros de téléphone des mecs présents et puis on se donne un rendez-vous pour diner ensemble. Marc part avec Éric et Cédric. Je reste avec PH, Ludovic les 2 gendarmes et Jules. On traine dans le village en attendant le départ. Du coup quand il faut se placer, les abords du circuit sont blindés. Moi perso je m'en fous un peu mais Jules et Ludovic sont un peu déçus. En haut des escaliers, entre deux tribunes sur la ligne des stands, des spectateurs devant nous nous bouchent la vue.
G1 attrape Jules et le balance sur les épaules de G2. Je m'accroupi et dis à Ludovic de faire pareil. Il faut que PH le pousse mais une fois que je suis redressé, il domine la foule et voit la piste. Heureusement qu'il n'a pris que 5Kg depuis qu'on s'entraine ! Je peux tenir un bon moment ses 80Kg sur mes épaules. Il reste perché le temps du tour de chauffe et du départ puis glisse au sol. Instinctivement quand il est à terre, il me tourne et me roule une pelle, juste pour me remercier. Evidemment ça déclenche une remarque homophobe. Je me tourne pour voir de qui elle émane.
Un mec 30/35ans moche comme un cul ! La réponse est rapide : " rassure toi, avec ta tête tu n'as aucune chance de m'attirer ". Eclats de rires des mecs qui nous entourent, le pauvre type part plus gêné que nous. Un " mon héros " de la part de Ludovic qui me tombe dans les bras sur un registre mélodramatique achève l'entourage.
Je commence à avoir faim et je ne suis pas le seul. On s'appelle et nous déjeunons tous ensemble. Hot-dogs frites, nous callent pour quelques heures.
Puis on repart dispersés après avoir confronté notre début d'après-midi. Marc, au récit de notre mésaventure, nous dit d'être plus discrets quand même.
Refus de notre part, on ne va pas donner raison aux cons quand même ! Et puis ce n'est pas comme si nous ne savions pas nous défendre.
Avec PH je recherche un petit moment la chapelle. Alban nous a signalé qu'un sculpteur du milieu 20ème en avait réalisé les piliers. On rame un peu car cette dernière n'est plus à l'endroit originel justement nommé " virage de la chapelle ". Elle a été reconstruite de l'autre côté du circuit. Photos, vues générales puis en détails et envoie à l'artiste.
Remerciements immédiats avec demande de prise en gros plan de certains détails particuliers. On passe bien 1h à ces bêtises mais ça fait plaisir à Alban.
Retour dans la foule, et oui la chapelle n'attire pas beaucoup de motards !
On retrouve sur la passerelle Dunlop Frank, Louis, Arnaud et son Léo qui viennent en sens inverse. On se joint à eux et on va trainer les " boutiques ". Les " cuirs " sont de qualité médiocre. On regarde beaucoup mais il n'y a pas grand-chose qui retient mon attention.
Je m'arrête dans l'une d'elle plus pour son vendeur que pour sa marchandise. Le mec est mignon, un peu petit mais une bonne tête, boucle d'oreille à droite comme moi et un torse large mis en valeur par un t-shirt deux tailles trop petites.
Il me demande ce que je cherche et, avant que je n'aie eu le temps de répondre, m'assure qu'il a surement ça en boutique. Je le prends au mot et lui dis que c'est le cas puisque son petit cul outrageusement serré dans son jeans était dans la boutique. Il rit jaune mais entre dans le jeu.
Lui : " désolé vous êtes tombé sur le seul article qui n'est pas à vendre car déjà vendu ".
Moi : " ce doit être négociable si le montant de mes achats est conséquent ? "
Lui : il me déshabille du regard, j'ai toujours le haut de ma combi ouverte sur mon torse musclé et glabre et me sort un " faut voir ".
Je fais le tour de la boutique les autres sont entrés aussi et encombrent les deux allées.
J'avise un T-shirt noir logoté -24h du Mans moto 2015-. Je lui demande conseil pour la taille et lui demande si ça se porte aussi près du corps que le sien.
Réponse du vendeur " bien sûr ". À mon " OK je veux voir ", il n'hésite pas retire le sien et enfile celui que j'ai repéré. Il reste suffisamment longtemps torse nu pour que j'admire son torse large et imberbe aux pecs terminés de deux gros tétons dont un percé d'un anneau inox. Une fois qu'il a enfilé le nouveau T-shirt, je m'approche et passe la main sur le tissu " pour me rendre compte ". Il me laisse faire. En essayant de tester l'épaisseur du tissu, je le pince avec difficulté (il est sec le mec !) et du coup attrape un morceau de chair entre mes doigts. Frisson du propriétaire et en baissant les yeux, je vois sa braguette bien gonflée.
Il s'écarte et fouille pour me chercher un exemplaire et me dit de l'essayer. Je me défais du haut de ma combi qui tombe bas sur mes hanches dévoilant la totalité de mon torse nu et la ceinture d'un bottomless de chez Addicted. Quand je lève les bras pour enfiler le vêtement trop petit, ma combi descend un peu plus dévoilant cette spécificité de mon shorty. Il me dit que je suis bien foutu et à son tour il essaye d'attraper le tissu et pince mon téton libre (de piercing). Je ne peux que laisser échapper un gémissement compromettant. Il tire un peu le bas du t-shirt pour l'amener à ma ceinture et ce faisant touche mon sexe remonté vers mon nombril. Il ne peut plus douter que je bande ! Les copains bouchent toujours les entrées et font que nous sommes tranquilles au fond de l'échoppe. J'attrape son petit cul de mes deux mains et le plaque contre moi en cherchant ses lèvres. Il se laisse faire et je peux malaxer son boule. Je sens au comportement de sa langue dans ma bouche qu'il est prêt à aller plus loin. Je lui dis que c'est cool et que les mecs qui remplissent ses allées sont des potes.
Je m'arrange de sa boucle de ceinture et des boutons du jeans pour pouvoir le descendre sous ses fesses. Mes doigts s'aventurent alors entre les deux masses musculaires et trouve une rondelle accueillante. Chaud le mec, pas de slip ! Je me kpote et dans le même mouvement, je le retourne et enfonce ma bite entre elles, puis dans son cul. Là, c'est son tour de gémir. Heureusement que les motos tournent sur le circuit tout près.
J'entends plusieurs fois " le vendeur est pris, vous pouvez revenir plus tard ? ". J'accélère le tempo tout en faisant attention qu'il " monte " en même temps que moi.
Je le fais juter contre la toile du fond et moi, sous la contrainte des spasmes de sa rondelle, je rempli ma kpote.
Réajustement. Je lui dis que je garde le t-shirt mais qu'il m'en faut 22 autres avant de corriger le chiffre à 24 en pensant à notre hôte et son cuisinier.
PH me rejoint et on se roule un patin. Je vois les yeux du vendeur s'ouvrir tout grand. PH le rassure et lui dit qu'il n'est pas jaloux et que j'ai eu la chance d'être le premier à le voir. Sous-entendu, ç'aurait pu être lui.
Avec mes amis présents, nous estimons les différentes tailles à approvisionner. Comme je ne veux pas m'embarrasser, il nous garde le paquet jusqu'à sa fermeture.
Quand nous viendront le chercher, on trouvera nos achats mis dans un petit sac à dos offert par la maison. Bon, c'est vrai qu'après l'avoir défoncé, je n'avais pas eu le coeur de lui demander une ristourne.
Jardinier
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Ugly Sweater
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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Le temps d'un week-end... La maison au bord du lac
Un réveil au chant des oiseaux, où sous nos yeux, Dame nature déploie généreusement toute sa parure de beauté que nous contemplons avec ravissement. Tout est grâce, en cet instant !
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Good Omens Poetry: #chillomenstober day 10
The fourth prompt is: Yellow. I wrote a freeform poem in french! Forgive me for any grammatical mistakes, I am quite rusty but I tried my best! Wishing my high school french prof was here to correct my work xD
C'est la couleur de tes yeux Qui me fait toujours sourire Même quand je suis seul Je pense à toi dans ces moments Une chaleur pendant l'hiver Quand je désire Que tu me prennes dans tes bras Ou le jaune des feuilles d'automne Qui tombent dans un tas Et font le craquement sous nos pieds Les rayons dorés de soleil Nourrissent les tournesols Donc ils poussent bien en été Et aussi les abeilles Qui travaillent dur dans la ruche Le miel du printemps est le plus sucré La beauté dans tes yeux On le trouve partout Tu es toujours avec moi Mon cher
English Translation It's the color of your eyes That always makes me smile Even when I'm alone I think of you in these moments A warmth during winter When I long For you to take me in your arms Or the yellow of autumn leaves That fall in a pile And make a crunch under our feet The golden rays of the sun Feed the sunflowers So they thrive in the summertime And also the bees Who work hard in the hive Spring honey is the most sweet The beauty in your eyes It is found everywhere You are always with me My dear
#good omens#chillomenstober#gomens#good omens poetry#good omens fanart#ineffable husbands#crowley#aj crowley#anthony j crowley#aziraphale#az fell#angel of the eastern gate#crowley's eyes#yellow#french poetry#ticketyboooo posts
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10 CHOSES QUE JE DETESTE SUR LES FORUMS. Part 01.
les avis longs comme une baguette de pain sous une fiche alors qu'elle est a moitié rempli, ou parce-que c'est soit l'amie, soit un avatar de folie, soit un pseudo de folie, soit un caractère de folie. Mais il n'y a encore ni histoire, ni réellement de fond de matière. Et parfois ça arrive sur des fiches presque vide. En plus saucer quelqu'un comme ça, je souffle fort.
Les forums avec des designs en petits caractères. Allô ? Revoyez vos normes, on a mal aux yeux !
Les demandes de liens a tout va juste pour du smut ou alors sans réel fond de base rp. "Tiens, nos persos ont vu le même arbre, on les fait potes ?" Bah non ?
Les demandes et établissements de liens pour strictement rien faire derrière ou abandonner le rp au bout de deux réponses. Bah oui on sait tous que brainstorm un lien ça ne demande pas de prendre du temps hein.
Les fétichistes des fcs.
Les fétichistes du smut.
Les relations toxiques entre les personnages type dark romance avec des relation hyper anti-féministes mais les joueurs.euses derrière l'écran se disent féministes. Lol, t'aimes que ton personnage se fassent traiter comme de la merde avec des actes immorales (séquestration, violence et j'en passe) mais t'es féministe. Alala la romantisation...
Le manque de recherche. Et ça va pour tout : utilisation/vendre de drogue, alcoolisme, maladie etc.
Les créas(teurs/trices) impatients. Vous êtes chiants.
Cette communauté qui essaie pas de se remettre un peu en question. Je ne prône pas la perfection sur ma personne, je suis loin de l'être (très loin), mais vraiment là depuis quelques années c'est de pire en pire.
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source : @cheminer-poesie-cressant
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Impuissant et résigné nous disons "tout s'accélère".
En réalité nous profitons de plus en plus de la vie
car le passage du temps sous nos yeux a de moins en moins de secret.
Nous en connaissons l'ouverture et nous en connaissons la fin.
Nous le ressentons jusque dans nos veines.
Et nous approchons chaque jour davantage la vérité, le cœur de la vie.
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(mercredi 5 octobre 2005)
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⟡ · megaverse · ⟡, version 5, décembre 2024
All I want for Yule is you… Nouvelle version, nouveau décor ! Cette fois, Megaverse se pare d'un vert profond et de doré étincelant ✨❄️. Un design hivernal et féerique signé par nos deux déesses HRSY. et dope lovers. Ça sent le sapin ici, pas vous ? 🎄☃️.
À l'honneur ce mois-ci, Camila Mendes pour notre Bliss Hansley nationale, véritable muse de l'équipe, plus douce qu'un chocolat chaud sous un plaid. Elle s'accompagne en version nuit de notre pitre en chef, Atlas Pendragon (ft. Choi Yeonjun), toujours là pour animer le forum de son humour tantôt douteux, tantôt tordant. Deux âmes qui réchauffent nos cœurs même avec les températures en chute 💚🔔.
𝐋𝐎𝐑𝐄 𝐌𝐄𝐆𝐀𝐕𝐄𝐑𝐒𝐄
Vertus et pêchés s'invitent à votre table Ouvrez grand vos yeux, car les Royaumes de Pandemonium et Utopia vous révèlent enfin leurs secrets : Vertus et Péchés s’affrontent dans une guerre éternelle depuis des millénaires. Astralis ou Infernalis ? Êtres divins ou infernaux ? Rejoignez le front et façonnez la destinée de vos personnages... à vos risques et périls ou pour le meilleur à venir✨🔥.
𝐂𝐀𝐋𝐄𝐍𝐃𝐑𝐈𝐄𝐑
Yule Festival
Les guirlandes illuminent Elysium, la neige recouvre Sierra Lake, et un majestueux sapin attend qu’on vienne l’habiller comme il se doit🎀. Batailles de boules de neige, patinages endiablés... la fête de Yule promet un mois riche en activités. Les plus téméraires oseront s’aventurer sur la glace, tandis que les plus gourmands dégusteront un verre d’obsidian chaud 🍷✨.
Avec notamment des activités RP (Courses de luges, sculptures sur glace, hot sauce challenge mais shh, on en dit pas plus pour laisser la surprise), mais aussi un calendrier de l’Avent prêt à se dévoiler jour après jour, case par case, vous offrant surprises et petites douceurs au programme❄️☕.
Les collectionneur·se·s de badges et les aventurier·ère·s du forum y trouveront assurément leur bonheur 🎁🦌.
Côté spectacle
Place au show ! Décembre amorce également le tournoi international de Smartchery, des duels magiques de haut vol, et les légendaires EMA (Ever Magical Awards), où artistes et fans se retrouvent pour une remise de prix autour de la scène de Flarecrest Arena 🎶
𝐇𝐎𝐑𝐒 𝐉𝐄𝐔
Boutique & Systèmes La boutique s’agrandit pour la saison, offrant de nouveaux objets à acheter ou à offrir à votre bon loisir (et pour la détresse de vos gallions)🎁💚. Et comme toujours, le dé chocogrenouille n'attend que vous pour tirer plus de cartes, prêtes à être échangées, capturées, collectionnées et exhibées à votre bon vouloir✨❄️.
Conclusion Megaverse, c’est vous, c’est nous : une communauté qui grandit et se renforce à chaque version, et c'est toujours un immense plaisir que de voir de nouvelles têtes s'ajouter à notre petite (mais cosy comme un snowy cocoon ~) communauté.
En cette fin d'année 2024, prenez soin de vous et de vos proches. Profitez des chocolats, des raclettes fumantes et des moments chaleureux autour du feu, et surtout, dévorez les rps de vos partenaires sans jamais de pression 🔥🍪.
On se retrouve en 2025, avec toujours plus de magie, de rêves et d’aventures à partager sur MGV🕯️✨.
Puis... Joyeux Yule et belles fêtes de fin d’année à toustes ☕
LE FORUM · NOTRE GENERATEUR DE PERSONNAGE · NOS PREDEFINIS
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Live broadcast of ‘Le Sacre de Napoléon V’ on the national channel Francesim 2, hosted by Stéphane Bernard
(Stéphane Bernard) The Emperor solemnly hands over the regalia and all honors to the Church, symbolized by the Grand Chaplain Mgr. Morlot, so that they may receive the sacraments necessary for the anointing. It is at this moment that the Alleluia will resound. A gesture of profound symbolism unfolds before our eyes, dear viewers.
(Pope) Do you profess, our dear Son, and promise before God and the angels to observe the law, to administer justice to your subjects, to maintain peace in the Church of God with the help of His grace, in the manner that you deem most fitting…
(Pope) … Based on the advice of your faithful counselors, and to ensure that the Pontiffs of the Church enjoy the respect and honors due to them according to the holy canons? (Napoléon V) Profiteor
⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°10 | Francesim, Paris, 28 Thermidor An 230
The Emperor of the French, Napoleon V, makes his profession of faith before Pope Gregorius XIX. It was broadcast live on television by Stéphane Bernard, the famous journalist for the crowned heads in Francesim.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
(Stéphane Bernard) L'Empereur remet solennellement les regalia et tous les honneurs à l'Église, symbolisée par le Grand Aumônier, afin qu'ils reçoivent les sacrements nécessaires à l'onction. C'est à ce moment que retentira l'Alléluia. Un geste d'une profonde symbolique se déroule sous nos yeux, chers téléspectateurs.
(Pope) Professez-vous, notre cher Fils, et promettez-vous devant Dieu et les anges, de faire observer la loi, de rendre la justice à vos sujets, de maintenir la paix dans l'Eglise de Dieu avec le secours de sa grâce, de la manière que vous jugerez la plus convenable....
(Pope) ... D'après l'avis de vos fidèles conseillers, et de veiller à ce que les Pontifes de l'Eglise jouissent du respect et des honneurs qui leur sont dus suivant les saints canons ?
(Napoléon V) Profiteor
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La bataille de Montgisard
Le soleil se couchait lentement sur Jérusalem, enveloppant la cité sainte d'une lumière dorée. Baudouin se tenait sur les remparts du château royal, contemplant la ville en contrebas. À ses côtés se tenait son amie Alix de Tripoli, la future comtesse de Tripoli.
"Baudouin, dis-moi, comment s'est déroulée la bataille de Montgisard ?" demanda Alix, curieuse de connaître les détails de la victoire de son ami sur les troupes de Saladin.
Baudouin lui sourit tristement, son visage marqué par la maladie. "La bataille a été une épreuve difficile, Alix. Nous étions face à un ennemi bien supérieur en nombre, mais j'ai refusé de reculer. Nous sommes parties d'Ascalon sous le couvert de la nuit et avons avancé rapidement sur les arrières de Saladin et soudain à Montgisard nous avons surgi de derrière les montagnes."
Il continua son récit, décrivant avec passion le déroulement de la bataille. Il parla de la fureur des combats, de l'audace de ses soldats, de sa propre témérité malgré sa condition. Il raconta comment, contre toute attente, les troupes de Saladin furent finalement vaincues, laissant derrière elles un champ de bataille jonché de cadavres.
"Alix, cette victoire a été cruciale pour la survie de notre royaume. Nous avons repoussé l'ennemi et montré au monde que malgré ma maladie, je suis capable de mener nos troupes à la victoire", conclut-il fièrement.
Alix regarda son ami avec admiration, la lueur de l'admiration brillant dans ses yeux. "Tu es un véritable héros, Baudouin. Ta force et ta bravoure sont admirables, et je suis fière de t'avoir comme ami."
Baudouin sourit, reconnaissant pour le soutien indéfectible d'Alix. Ensemble, ils restèrent sur les remparts, contemplant le coucher de soleil sur la ville sainte, unis par une amitié indéfectible qui résisterait à toutes les épreuves.
#fanfic#king baldwin x reader#baldwin iv x oc#baldwin of jerusalem#leper king#king baldwin iv#baldwin iv#baudouin iv#roi baudouin IV#king baldwin
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J'ai aimé dans un au-delà invisible, qui cernait le mouvement des choses, la netteté des drames, des brisures, des fautes. C'est à dire que j'aimais dans le pelage d'or des choses, des regards et des actes, dont la caresse lancinante posée sur mon coeur était interminable. On me disait: les choses sont ainsi et elles portent ce nom. Je ne pouvais y croire. Les faits n'étaient que la marque visible de ce qui réellement se jouait entre nos deux vies. Nos paroles, nos gestes, nos silences sentencieux n'étaient que la chevrotante musique émanée de cet air où nous nous étions trouvés l'un dans l'autre.
Nous étions deux enfants si impatients de la fête approchante qu'ils déchiraient à l'avance leur costume, dans des sursauts d'excitation terrifiée.
La dernière fois que je l'ai vu, au bar, nous étions l'un face à l'autre. Il me parlait, je l'observais. On se disputait pour des histoires de tromperie et de jalousie. Il me dit brusquement: Est-ce que je te plais encore? Est ce que t'en es sûre?
Alors je me posai la question en moi-même. Je voyais cet homme cerné, dont les grosses mains baguées argumentaient la parole enfumée, les sourcils et les cils ouvrageant son regard mauvais, fumeux, de plus en plus éteint. Ses yeux ne frôlaient plus la corde sensible de mon âme. Sa grâce ne l'émouvait plus comme autrefois, ni ses ténèbres. Je ne l'admirais plus, je ne désirais plus sauvagement greffer en moi sa puissance. Ses yeux plats, profonds et noyés dans la rage et le vide, la sévérité triste de son visage, l'éloquence de ses mensonges, sa fougue, ses insultes, ses assauts à ma chair, toute cette danse perdue qu'il était, diffuse et offerte devant moi, ne me charmait plus. C'était plus grave encore, elle m'envoutait. Ce n'était plus les premiers rayons de la fascination, lunaires, éthérés, au goût originel. C'était le remous profond, réverbéré d'écho en écho, du premier coup, de la première rencontre, dont les propagations étaient infinies, successives et liées, et traversaient les régions souterraines par ces résonnements sourds. Mon être vibrait encore à sa vue comme sous un glas. Fixée par lui, il m'emportait encore, dans sa violence qui n'était plus ferme et arquée mais défaite et traînante, comme une roue qui tourne, étourdissante. Alors que j'aurais pu vendre sa peau et son âme au marché noir pour quelques centimes, il me tenait encore, il m'emportait encore dans ses contrées poreuses.
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saga: Soumission & Domination 349
Florian préparation 1er contrat (suite), contrat
Dimanche :
Je me réveille en premier. Je visionne en hyper rapide la nuit dans la chambre d'à côté. Rien, ils n'ont fait que dormir mais quand je vois comme nous avons écrasé nous aussi ça ne m'étonne pas.
J'attends mes dormeurs puis décide que c'est suffisant. Je tire doucement la couette qui les recouvre et je les admire. Ils sont beaux dans le sommeil. Instinctivement après mon départ, ils se sont rapprochés et dorment enlacés. La jambe de PH recouvre celles de Ludovic et la tête de ce dernier est collée sur son épaule. Je leur laisse encore quelques instants puis me coule vers eux. Ma langue remonte du gros orteil de Ludo à son aine juste interrompu par le détour de la cuisse de PH.
Son sexe est plus gros qu'au repos mais pas franchement bandé non plus. Sans poser ma tête sur lui, je sors ma langue et vient titiller le bout de gland laissé apparent par son prépuce. Pas de réaction, je m'enhardi. Avec mes lèvres je repousse cette peau et peut ainsi prendre le gland entier dans ma bouche. Je me contente de ça. Je salive puis tourne ma langue dessus. Je dois bientôt reculer ma tête car mon Ludovic se met à vraiment bander. Il gémit. Je le regarde persuadé de l'avoir réveiller mais non. Il doit faire un rêve érotique. Je prends moins de précaution et ça fini par le vraiment le réveiller. Sa main se pose sur ma tête et d'une légère pression m'indique qu'il souhaite plus. Je me penche plus et m'enfonce son gland dans ma gorge. Il m'étouffe, ça me fait bander encore plus.
Ça fait un peu comme le jeu du foulard mais par la face interne. L'étouffement provoque une décharge d'hormones qui booste mon excitation. Je ne me tue pas pour autant et pompe mon mec comme un affamé. Il ne bouge pas pour ne pas réveiller PH mais quand il explose, ses spasmes le secouent et ce dernier ouvre les yeux. Ses premiers mots sont pour nous traiter d'obsédés sexuels.
Ça lui vaut une immobilisation complète et un abus de son corps. Sa bite trouve la bouche de Ludovic comme capuchon et sa rondelle sert d'étui à la mienne. Sur l'écran qui est toujours branché sur la chambre d'à côté, je vois que nos jeunes se sont réveillés aussi avec une libido encore plus alerte. Eux aussi se donnent un peu de plaisir avant le petit déjeuner. J'explose au fond de PH et lui, remplit la gueule de Ludovic qui vient partager avec nous. Trop bon !
On sort de nos chambres en même temps. Embrassades, et on monte au 4ème. Petit déjeuner puis la matinée se passe à travailler nos cours. J'aide Romain en français et nous bossons jusqu'au déjeuner.
L'après-midi je reprends en main la préparation de Florian mais ce coup-ci, seul je le travail au sous-sol. On commence par un passage à la douche interne. Il connait pas mais il aime bien, enfin pas la première fois mais après ça été mieux. Je décide d'en faire autant. Une fois bien propres, j'installe un gode de 25x6.5 sur la selle spéciale et après avoir bien graissé le trou de Florian, je le fais s'assoir dessus. Il y va à son rythme mais doucement il se le prend en entier. Je l'encourage, le flatte, lui fais sniffer un peu de poppers quand il me le demande et sa chevauchée prend des allures de grand prix de l'arc de triomphe. Je l'arrête avant qu'il ne jouisse, j'ai bien l'intention de profiter de ses 7cm de diamètre ! Je m'installe sur le sling et lui demande de me travailler l'anus. Il fait ça bien. Je me gaze à fond en prévision de sa large pine. Quand il me pénètre c'est une véritable défonce avec un grand D. Des 7 de diamètre, j'en ai connu qu'avec mes clients. Mais non suis-je bête, un des lads de Bordeaux en a une de 26x7 mais ça va faire depuis le nouvel an que je m'en suis quand même pas pris une pareille. Il n'est monté que de 18 de long mais ça me va quand même. Ses coups de rein un peu désordonnés au début font place à un rythme bien efficace. Je sniffe à nouveau mon flacon de poppers et mes mains posées sur ses fesses, j'augmente sa cadence de pilonnage. Il butte une fois de trop sur ma prostate et j'explose m'envoyant du sperme jusque dans mes yeux. Il décule vite et je ressens un bref coup de frais avant que ma rondelle se referme. On se calme 1/4 d'heure et je termine sa formation express. Il prend ma place sur le cuir suspendu et je le défonce au gode de la taille juste inférieure à son client. Je rebande, quelle forme ! Du coup je sors le monstre de son cul et lui en enfile un autre très raisonnable. Il ne comprend pas tant que je n'ai pas ajouté ma bite au morceau de plastique. Je le sodomise jusqu'à ce qu'il jute et il résiste bien même après m'avoir limé le cul.
Le client sera content, il ne lui explosera pas en 5mn ! Quand nous en avons fini, une bonne douche fait disparaitre les " salissures ". Un jet d'eau froide sur nos rondelles accélère le processus de rétraction. Retour au 4ème. Les autres nous attendaient pour une bière. Leurs dernières heures studieuses les avaient soulés.
Après diner je reconduis Florian au pensionnat. Quand il sort de la SLS c'est pour tomber sur un de ses potes qui rentrait aussi. Je ne m'éternise pas. Il m'appelle une heure plus tard pour me dire qu'il est grand temps qu'il quitte le lycée, il a dû expliquer pourquoi il revenait en MERCEDES, qui était le mec au volant etc. Il m'a dit qu'il était désolé mais qu'il m'avait fait passer pour un de ses cousins mais qu'il n'est pas sûr que ses détracteurs l'aient cru ! Je ris, le rassure que ce n'est pas grave puisqu'il y avait peu de risque que je croise ses copains de promo.
Le contrat :
Pour rappel le client est black 50ans dans les 1m80 entretenu question tour de taille et surtout une bite de 26x7. Soit le même diamètre que la queue de Florian mais 8cm plus longue. Il y va avec son scooter équipé cuir de la tête au pied. Ça lui donne un look racaille qui va avec son parlé un peu basique encore.
Rapport de Florian :
Je suis un peu stressé. Sasha a eu beau me préparer la rondelle avec les habitants du blockhaus le WE dernier, j'ai un peu les foies. Sasha m'a mis au parfum, le client est monté comme moi avec 8cm de plus en longueur. Jamais encore vu ça en réel. Le scooter 3 roues est génial. Je me fais plaisir à faire des accélérations qui sèchent même les caisses qui attendent comme moi le feu vert. Daniel le mec à qui Sasha m'a envoyé n'a pas voulu me dire le montant de la dépense mais je pense que ça du couter un max. Que des marques, du cuir et le casque est trop kiffant. Il me fait une tête de robot. Les 7 heures de formation entre les pattes de son pote Éric se sont bien passé mais le mec est sévèrement burné ! Sa combinaison de moto fait une coque énorme en haut de ses cuisses. J'aurais bien aimé tâter le morceau mais je veux pas faire honte à Sasha avec un comportement qui va pas. Bon je reviens à mes moutons ou plutôt au loup qui m'attend moi pôvre petit agneau innocent ! Je sonne au portail d'une grande maison particulière. Je dois ôter mon casque pour qu'il me voie à la vidéo. Le portail s'ouvre tout seul et je pousse jusqu'aux marches de l'entrée. Il m'attend en haut. Je suis pas grand mais en contre plongée, il fait géant. Quand je le rejoins je vois qu'il fait bien 15 à 20cm de plus que moi. Il m'accueille gentiment. L'entrée doit faire la moitié de la maison de mes parents ! Il me demande de me " défaire de ma carapace ". Je pose le casque sur une tablette, retire mon blouson. Le fait que je paraisse en marcel (c'est un Léotard) dessous à l'air de lui plaire. Je quitte mes chaussures montantes et fait tomber le pantalon. Je suis en fuseau de gymnastique (sokol), moulant mes jambes et surtout mes fesses rondes. J'en ai choisi un trop petit qui me rentre bien dans la raie des fesses.
Il a devant lui le parfait petit gymnaste en tenue classique du travail aux anneaux. Et à ce que je vois se développer dans son pantalon, ça le fait kiffer grave. Ça déforme le tissu, et je vois le gland descendre vers son genou gauche. J'en étais hypnotisé au point que c'est lui qui m'a rappelé à la réalité. Il me demande de le suivre. On monte l'escalier et on entre dans une grande chambre avec un lit en cage. Un baldaquin je crois mais réalisé en tube. Le plafond est à plus de 3m et je note que je dois pouvoir faire de la barre fixe si le support est solide. Je me lance, au pire je m'étale sue le matelas.
Je saute et attrape la barre au-dessus du pied de lit. Elle résiste et quand je la teste en me balançant un peu, je vois qu'elle est solidement fixée. Je m'échauffe avec quelques mouvements sous la barre avant de me lancer dans un tour complet. Aie ! J'ai pas mes maniques ! Je relâche et tombe le dos sur le grand lit. Je n'ai pas fait attention mais il s'est déshabillé pendant ma petite exhibition. Sur le dos je le vois à l'envers mais il est impressionnant. Le noir est très noir et sa bite un vrai monstre. Il me tire par les épaules vers le bord du lit et quand ma tête est en dehors du matelas, il m'ouvre la bouche et enfonce son pieu. Il bute sur ma glotte et me dis de respirer un grand coup. J'obéi et il me défonce la gorge ! Il se retire et me fait le coup plusieurs fois sa bite devient de plus en plus raide, dure et droite. Quand il bande à fond, avec tout ma bonne volonté j'en laisse bien 4 cm dehors !
Alors qu'il me baise la bouche je tente de me déshabiller. Il m'arrête aussitôt. Il veut me baiser en tenue. J'avais pas pensé à ça mais ça va me la saloper grave et je me vois pas la ramener pleine de sperme à ma mère ! Tant pis ! Il cesse de me détruire la gorge et me retourne comme une crêpe. Mes 70Kg ne semblent pas peser entre ses bras. Il me roule un patin. Sa langue est proportionnée à sa bite, elle envahi ma bouche. Puis il se met à me lécher le corps, enfin les parties nues, cou, trapèzes, épaules, aisselles. Puis il attrape le haut de mon Léotard et le déchire jusqu'au Sokol. Merde ! C'était le plus correct de mes Léotards. Les autres sont soit trop petits soit usés.
Il continu le massacre et je me retrouve à poil, mes vêtements en lambeaux ! Je n'ai pas le temps de pleurer dessus qu'il attrape mes jambes, et les tire vers le haut jusqu'à ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Je pose mes mains au sol et assure l'équilibre. Je le sais actif, j'écarte donc les jambes pour lui présenter mon cul. Il devait attendre ça car il s'est aussitôt penché et direct m'a léché la rondelle. Pour le fun je lui fais un grand écart mais je ne crois pas qu'il s'en soit aperçu. Par contre moi je me rends bien compte qu'il travaille avec sa langue. Si tout à l'heure elle me remplissait la bouche à en vomir, là, elle pointe ma rondelle et la pénètre de quelques cm. Trop bon ! Je redresse mes jambes et emprisonne (gentiment) sa tête entre mes cuisses. Ça repose mes fessiers. Je sens sa salive couler dans mon trou. Mais le temps passe et de rester la tête en bas, je commence à avoir des éblouissements. En appuis de mes jambes sur ses épaules, je me cambre, lentement pour qu'il ait le temps de contrebalancer mon poids. Je m'étale le ventre sur le lit mais reste les reins creusés pour lui signifier que ce n'était qu'un changement de position, pas un refus de me faire bouffer l'oignon.
D'ailleurs il me suit la langue toujours enfoncée dans mon trou. Après peut être 15mn de bouffage de rondelle, il les redresse, pose une de ses mains sur mon dos pour m'immobiliser et j'entends qu'avec l'autre, il se kpote. Quand c'est fait, ses mains agrippent mes hanches et il me tire au bord du lit. Les pieds au sol, j'écarte bien les jambes pour dégager le passage. Il ajoute une dose de gel maousse sur mon cul et s'enfonce dedans.
Merci Sasha pour la préparation sinon il m'aurait fendu en deux. En attendant il ne s'arrête qu'avec ses couilles collées aux miennes, incapable d'en rentrer plus. Moi ça me coupe le souffle. Je sens son gros gland en moi c'est impressionnant comme sensation. Il pousse mes boyaux. Je le laisse un moment me limer la rondelle dans cette position puis me dis qu'il doit en vouloir plus d'un gymnaste. C'est pour ça qu'il s'était battu avec l'autre mec pour m'avoir. Je bascule le buste sur le côté et gardant mes jambes bien à l'équerre, je me retrouve sur le dos, mes chevilles sur ses épaules. Lentement je contracte mes abdos (ce qui fait que je sens encore plus sa grosse bite en moi), pose mes mains derrière son cou et me colle à lui (enfin à mes jambes surtout). Je tends alors les bras vers la traverse du baldaquin et m'accroche à elle. Là, j'utilise la force de mes bras pour monter et descendre sur sa bite. Ça le fait car il cesse de me soutenir les fesses et ses mains caressent mes biceps qui gonflent sous l'effort.
Il me décroche de la barre et me pose dos sur le lit. Son corps recouvre le mien et à part mes épaules qui dépassent sur le côté, je dois disparaitre sous son corps. Sa bite elle est bien restée tout le temps dans mon cul. Puis il attrape des menottes à chaque pilier de coin et je me retrouve enchaîné façon écartèlement comme on en voit dans les fils d'époque. Ce qui me surprend c'est quand il actionne un mécanisme qui tends les chaines puis qui me soulève. Ma ceinture abdominale est sollicitée un max pour pouvoir rester à l'horizontal. Absorbé par ce qu'il me faisait, je n'avais pas noté que je bandais ferme moi aussi. C'est quand il s'est mis à me sucer la bite que je me suis rappelé que j'avais aussi un engin de plaisir devant. Quand il sent que les abdos fatiguent (tremblements importants), il actionne à nouveau son truc et les chaines se rejoignent sur les côtés me pliant en 2 mais bras et jambes écartés. Là il se remet à m'enculer non sans avoir remis une couche de gel. Il ne s'arrêtera plus avant d'avoir juter des litres dans sa kpote. Il m'a fait jouir quelques minutes avant, ça doit être les spasmes de ma rondelle qui ont raison de sa résistance.
Il me décroche et je tombe sur le lit un peu scié par ce qu'il vient de m'infliger. J'étale mon sperme sur mon torse pour pas qu'il coule sur le lit et reprend mon souffle. Le client se dékpote et me montre le résultat de ma prestation. Quand je dis des litres j'exagère mais la quantité qu'il y a, j'avais encore jamais vu ça. Il la jette et me rejoint sur le lit. Il passe son bras sous mon cou, se mets sur le côté et sa main libre vient parcourir mon corps. Elle suit les contours de mes muscles. Il ramasse avec ses doigts mon sperme éparpillé et l'apporte à ma bouche. J'hésite mais après tout c'est le mien et je lui lèche les doigts. Putain que ça doit faire " salope " !
Je bascule sur lui, le repoussant sur le dos et comme un jeune chiot sur un adulte, je cale ma tête en haut de son pec et ma bite trouve place sur son nombril. Il me laisse un moment comme ça. On récupère doucement à la limite de s'endormir. C'est le cas même puisque je me réveille quand il me plonge dans sa baignoire. Un machin immense où il peut se mettre avec moi. Je me laisse faire. Il me lave, c'est bon même si c'est un peu infantilisant. Quand je veux faire pareil, il m'en empêche et je ne fais que le regarder. Séchages, retour dans la chambre. Je ramasse les restes de ma tenue de sport et j'ai dû faire une tête bizarre puisqu'il me dit de ne pas m'en faire. Il en a de bonne ! C'est pas lui qui va devoir en acheter une nouvelle tenue complète. Il me laisse seul alors que je me dis que je vais avoir un peu froid à poil (que je n'ai pas) dans mes cuirs, les seules choses récupérables étaient mes chaussettes. Et vue l'heure avancée de la nuit, ça va cailler ! Il revient avec un grand sac et me dit que c'est pour moi. Je suis surpris mais j'ouvre. Plein de tissus synthétiques, je tire dessus et je sors une bonne demi-douzaine de léotards, pareil de sokol et même de short. Il éclate de rire et me dit que je n'avais quand même pas cru qu'il allait détruire mes vêtements sans les remplacer quand même !
Je suis gêné c'est exactement ce que j'avais pensé. Je les regarde tous. C'est la marque de l'équipe de France. Il me dit de les essayer. Je tombe mon pantalon en cuir et passe les vêtements. Ils sont tous à ma taille et les imprimés qu'il a choisis pour les léotards sont top. Quand je me retourne pour le questionner, il me devance et me dit qu'il avait eu mes tailles par Sasha. Je suis trop content, je commençais à être juste question équipements. Dans le fond du sac je trouve encore plusieurs paires de maniques avec attaches différentes. Je ne sais comment le remercier. Je me colle à lui, tends mes lèvres pour une pelle bien sentie et commence à me frotter contre son sexe. Il me repousse et me dit que j'en ai déjà fait bien assez pour cette fois. C'est vrai que ça va faire 6h qu'on est ensemble. J'ai dû oublier de décrire quelques positions Oups !
Je me choisis l'ensemble que je kiffe le plus avant de remettre mes cuirs. Il me tend une sacoche dans lequel il a mis les autres vêtements. Je ne dis plus rien et accepte ce nouveau cadeau. En plus en cuir, c'est raccord avec le reste. Il s'habille et m'accompagne jusqu'au portail. Je rentre directe au blockhaus. Sasha m'a réservé une chambre au premier et il veut me voir dans quelques heures puisque le matin est déjà là !
Je trouve un mot sur la porte du bureau de Sasha avec mon nom dessus. Il me dit juste de dormir tout ce que je veux ce matin (samedi) et de monter au 4ème pour le petit déjeuner.
Trop content de mon cadeau, je m'endors dedans.
Jardinier
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