#Sous nos yeux
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Bande Originale du Documentaire SOUS NOS YEUX
Documentaire SOUS NOS YEUX. Un film de Stephane Miquel Musique de Maximilien Mathevon 4 juin à 22h50 – France 3 Television D Day 80s – Celebration Label Plaza Mayor Company Ltd During the Second World War, Normand people filmed their daily lives against a backdrop of mobilization, war, occupation and liberation. These images are a moving testimony of the life of a country during these…
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#Bande Originale du Documentaire#DDay#DDay Celebration#France 3 Television#Maximilien Mathevon#Plaza Mayor Company ltd#Sous nos yeux#Stephane Miquel
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Ces milliards juste sous nos yeux qui pourraient servir à combattre le changement climatique.
Où trouver l’argent pour la lutte contre le changement climatique ? Beaucoup s’en inquiètent, et à raison alors que la facture s’alourdit toujours plus. En signant l’accord de Paris, les pays les plus riches du monde ont réaffirmé leur engagement à mobiliser au moins 100 milliards de dollars chaque année afin d’aider les pays en développement à s’adapter au changement climatique, à investir dans…
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#faut que je parle d'un truc que je trouve ouf là mais ptdrr💀 littéralement je sais pas à qui en parler#mais c'est une partie du lore du fandom de str*y k*ds qui s'écrit sous nos yeux#y'a une autrice qui écrit du rpf sur ao3 qui a écrit une fic sur le ship le + populaire du fandom#et sa fic a un peu blow up genre elle a fait des stats de malade#à tel point que j'ai vu plein de fanart inspirés de la fic etc bref#y'a qques semaines je vois passer un tweet de l'autrice qui ditqu'elle va sortir l'histoire en livre. carrément elle a sorti des préco#SAUF que la go elle a commissioné un-e artiste pour la couverture#et malgré le fait qu'elle disait qu'elle avait changé le titre et les prénoms des persos pour éviter tt pb ensuite#sur la couv du livre c'est LITTÉRALEMENT eux genre. du coup les gens lui ont attrapé la veste en disant qu'elle devrait take down les préco#tant qu'elle avait pas modifié completement la couverture. elle a fait un loooong poste en mode ~apologies~ en disant que bien que#l'histoire est la mm que sa fic elle va bloquer l'acces à la fic et sortir une autre couv et aussi changer la nationalité des persos#et là retournement de situation je vois quoi aujourd'hui ? un de ses tweets passer où elle est en mode 'voilà la nouvelle couverture les-#les personnages n'ont plus rien à voir avec machin et machin. + l'histoire que je vais publier n'a absolument rien à voir avec la fic.'#alors que. de base. elle a market son truc en mode 'sortie de ma fic en physique qui sera intitulée autrement pour éviter les pb'#à côté de ça elle a aussi supprimer tous ses autres tweet mentionnant la fuc en question et là elle est dans les mentions des gens en mode#'c'est faux c'est pas du tout ma fuc c'est une autre histoire' je vous jure je crois le mieux c'est qu'elle publie pas du tout ptdrr elle#est trop chelou💀💀💀#je pense elle a vraiiiment pas prit en compte toutes les 'retombées' suite à la publication de sa fic en physique#genre elle a mentionné d'autres exemples de rpf publiées en fic ensuite pour se défendre un peu#mais idk là c'est différent elle s'y prend trop mal malheureusement :/#genre jsais pas au pire elle aurait pu proposer des versions physiques mais 'homemade' au lieu de littéralement trouver un éditeur#et de se lancer dans l'aventure à l'aveuglette😭#genre jsais pas j'ai l'impression qu'elle a vraiiiment pas réfléchi#bref olalah désolée mais cette histoire m'obsède#publiées en LIVRE* vs avez capté
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saga: Soumission & Domination 396
Les " petits frères "-1
Jalil :
J'ai truqué l'enchère afin que DGSE soit le gagnant. Je veux quelqu'un en qui j'ai une totale confiance pour lui. Quelqu'un capable de gérer si le petit a un bad trip qui lui revient en pleine face. D'autant plus qu'inconsciemment, il pourrait chercher la domination qu'il a connu ces trois dernières années et que j'ai senti qu'il recherchait alors que nous faisions l'amour tous les deux. DGSE en est conscient lui aussi et accepte le deal. Comme quand je lui avais amené la première fois Ric, il me demande de rester avec eux. Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas baisé un petit mec ensemble et il aimait bien le faire avec moi.
On débarque donc chez le recruteur de Jona et François. Cette fois pas de scénario interrogatoire ou même interpellation. On descend quand même dans son donjon personnel. DGSE à fait disparaitre les menottes et autres moyens de contention dans les caisses, ne laissant que le sling, le cheval d'arçon et bancs de muscu. Jalil tremble un peu malgré le chauffage à fond qui nous invite à nous déshabiller. Je suis derrière lui. Je l'entoure de mes bras alors que DGSE s'approche et l'embrasse. Il se calme, je sens ses muscles se détendre.
DGSE y va très progressivement. Il commence à le dénuder. Le sweet puis le t-shirt quittent mon petit libanais et là, blocage complet. Jalil s'effondre à nos pieds et pas pour nous faire une pipe mais en pleurs. DGSE s'écarte et moi, je m'accroupi pour lui montrer que je suis là avec lui. Il m'attrape aux épaules et s'accroche à moi. Ses pleurs me secouent. Sa tête sur mon épaule, il mouille mon polo. Entre deux hoquets il s'excuse de ne pouvoir assurer. Tout bas je le traite d'imbécile, qu'il ne me fait pas honte et que c'est d'abord lui qui est important, plus encore que le client. Il tourne alors la tête dans tous les sens mais DGSE nous a laissé seuls. Je mets une bonne demi-heure pour le calmer et le persuader de se rhabiller. Malgré son stress il voulait continuer. On remonte et nous retrouvons DGSE qui nous avait préparé un thé bien chaud. Jalil s'approche de lui la tête basse et s'excuse de n'avoir pu assurer. DGSE d'un doigt sous le menton relève sa tête et en le regardant dans les yeux lui dit que ce n'est pas grave. Il se penche et lui calque juste un petit bisou sur les lèvres. Quand nous rentrons, il s'estime lâche et peureux, il panique à l'idée que ses nouveaux amis apprennent son forfait. Je l'assure que ce ne sera pas le cas mais ce n'est que quand Enguerrand et Max l'entourent de leur amour qu'il en est enfin persuadé. Je les laisse ensemble.
Enguerrand me dira plus tard qu'ils avaient quand même du ramer ferme pour lui remonter le moral et son estime de lui. Le soir il veut me voir en particulier. Il s'en veut de m'avoir fait perdre de l'argent, il veut savoir si j'acceptais que tous les mois sur ce que lui donne son père, il m'en rembourse une partie. Je lui explique alors pourquoi j'avais choisi DGSE pour son essai d'escort. Qu'avec lui cet incident d'avait pas eu de conséquence et qu'il n'était donc pas question d'un " arrangement " de la sorte. Il me tombe dans les bras et me dit tout bas que pour moi c'est quand je veux qu'il m'offre son corps. Il me rappelle que c'avait été très bon quand nous avions fait l'amour tous les deux. C'était totalement différent d'avec Enguerrand, Max et Nathan, même si avec eux c'était géant aussi. Il commençait à les aimer plus que beaucoup. Avec moi c'était plus " mature " sans être coercitif. En fait je réunissais la domination dont il avait besoin avec l'attention et la douceur que lui apportent les 3 jeunes. Affectueusement je le traite de petit con et le renvoie à ses amis.
Max : Lui aussi a décroché un contrat top. C'est celui dont j'avais eu le plaisir de baiser le majordome. La veille de la prestation, le client m'appelle et me demande si je pouvais accompagner Max, il voulait remercier son valet et à combien j'émargerais le cas échéant. Je me fais un peu désirer et la proposition augmente. J'ai beau lui dire que je ne fais plus ce genre de prestation, il me rappelle qu'il est bon client et depuis longtemps. Il trouve les arguments suffisants pour me convaincre de me remettre personnellement au travail. Nous arrivons donc dans sa grande propriété et Max est impressionné par le service. Le majordome nous conduit à l'arrière de la grande maison et nous retrouvons notre hôte au bord de sa piscine. Je laisse Max avec lui dès que son valet s'est assuré qu'ils avaient tout ce qu'il fallait : boissons fraiches, kpotes, gel et poppers.
Je suis mon homme. Son appart est au-dessus des garages. Il n'est pas malheureux avec un logement d'une centaine de m². Un grand séjour avec cuisine américaine où il ne prépare que du café et une chambre de 30m² aussi bien équipé que celle de son maître. Lit à baldaquin en acier " équipé " : sling... une étagère à roulettes supporte les accessoires nécessaires quand on est souvent seul : godes, plugs, boules, gel et pot de graisse à fist... Je sens que je vais pouvoir m'amuser un peu.
Le mec n'a pas changé. Nu il est toujours aussi et autant épilé même si son employeur ne se sert plus de lui comme avant. Je le trouve un peu plus musclé et il me dit que c'est les passages répétés de mes escorts qui l'ont incité à travailler un peu sa musculature. Car en général, il est présent dans la chambre pour veiller à ce que son maitre et mon escort aient tout ce qu'il faut sous la main sans qu'ils n'aient besoin de demander. A sa demande, son patron a équipé une petite salle de muscu et lui aussi s'en sert un peu. Il s'arrête de discuter et s'approche. Il prend ma bite presque totalement bandée et s'agenouille pour me faire une fellation en mode gorge profonde. Il n'a rien oublié de la technique et s'enfile mes 20cm direct en fond de gorge au premier essai. Je le laisse gérer. Il me pompe grave, n'hésitant pas à rester les lèvres collées à mon pubis plus d'une minute à masser mon gland par de lentes déglutitions. Je le repousse plusieurs fois de peur de jouir trop vite tellement c'est bon. Une telle prestation ne m'est faite que par Jimmy.
Comme il s'est mis à 4 pattes devant moi et qu'il cambre ses reins façon " salope en manque ", je me penche et mes doigts suivent naturellement sa colonne vertébrale, son sacrum pour plonger entre ses fesses et y trouver une rosette palpitante. Deux doigts s'enfoncent sans résistance jusqu'à ce qu'il me les emprisonne d'une contraction destinée à me montrer que ce n'est pas un vagin que j'investi. Je le repousse et lui dis que je vais l'enculer avant de lui travailler sérieusement la rondelle. Il est OK avec le programme. Je le balance sur le sling et kpoté l'encule direct utilisant juste le gel de ma protection pour glisser tout au fond. Sous la poussée, le sling part en avant et le balancement me fait déculer juste ce qu'il faut pour bien sentir le retour. Je joue à ce petit jeu un moment avant de le faire descendre et de le sodomiser en levrette. Il couine sous mes assauts mais surtout me demande d'y aller plus fort. Ce que je ne manque pas de faire. Ma mains tombe sur un gode dans mes dimension. Sans cesser de lui labourer la rondelle, je graisse l'engin et sans le prévenir l'enfonce à côté de ma bite. Bien entrainé, il ne laisse échapper qu'un " arg " de surprise quand je rentre les deux queues, la mienne et celle en plastique. Mais ça passe, je m'en doutais vu les plus gros godes sur l'étagère qui ne doivent pas faire que de la figuration. Je cale le gode bien profond et coulisse entre lui et la moitié du boyau qui me reste.
Quand je me suis bien amusé, je décule et lui dis qu'on passe au travaille de sa rondelle. Retour sur le sling où je lui attache les chevilles et les mains aux suspentes. Sa rondelle s'est ourlée de ma sodomie élargie. J'enfile une paire de gant et les recouvre de graisse pour travailler son anneau. Alors que je poisse mes doigts dans son trou en tournant pour bien graisser la surface, je vois qu'il bande ferme, il prend vraiment du plaisir à ça. J'avise un gode gonflable. Je lui enfile et pompe. Ne connaissant pas ses capacités, je lui dis de me guider. Il m'arête après une bonne minute de pompage, me dit d'attendre et quand il se sent prêt, me dit de tirer dessus pour le retirer. J'y vais doucement car le diamètre a quand même doublé par rapport à son entrée. De son côté il pousse et quand il n'en reste plus que la moitié, il l'expulse tout seul. Sa rondelle est maintenant grande ouverte prête au fist. Je recouvre mes gants d'une nouvelle couche de graisse et j'y vais. Main gauche (la plus fine de mes deux mains) doigts réunis en fuseau, je l'enfile sans problème. Main droite pareil mais je sens une compression. Une fois le sphincter passé, je ferme le poing et pousse. Je tape sa prostate, sa bite tressaute de plaisir. Il me souffle d'y aller franchement. Je pousse et j'entre mon avant-bras au 4/5, jusqu'à la partie la plus gonflée qui bloque. Je dois lui écarter la rondelle à pas loin de 11cm de diamètre, belle perf !! Je ressors et je vais jouer de mes deux mains et avant- bras. Il va se mettre à juter des litres sur son ventre quand je lui aurai mis ma main droite et ma bite au centre et que je me serais mis à me branler.
Je tourne autour du sling et lui présente ma bite à sucer. Quelques minutes et je me retire vite pour ajouter mon jus.au sien.
Repos, je le détache et l'aide à se lever. Il me remercie d'avoir été aussi efficace, cela faisait longtemps qu'il n'avait pris un tel pied. Douches, on se rhabille et vu le temps que nous avons passé, nous retournons vers la maison. Nous retrouvons le client en maillot et Max qui, nu, nage lentement dans la piscine. Comme son valet, il me remercie, lui pour Max qui était un vrai bonheur à baiser. Max sort de l'eau et s'approche. Je le sèche pendant que le client rentre dans la maison. Alors qu'il se rhabille à son tour, je lui pose quelques questions. Il me dit que cela s'était très bien passé, l'homme avait pris beaucoup de précaution pour le pénétrer et du coup il se l'était pris d'une seule, lente, mais puissante poussée. Puis il l'avait baisé dans plusieurs positions, passant de l'une à l'autre sans sortir de son cul. Il avait trouvé que le mec était endurant pour son âge. Je lui dis de se taire, c'est pas un sujet sur lequel il peut discuter !!
Il convient que ç'avait été bon mais sans l'intensité qu'il trouve quand il fait l'amour avec ses trois amis et même avec Adam. Je lui confirme que c'est effectivement différent même si on trouve son plaisir quand même, il n'a pas le même goût qu'entre amours. Il est d'accord et ajoute que même avec Jalil qui est le dernier venu dans leur petit groupe d'intimes, c'est meilleur. Quand nous sommes sur le point de partir, le client remet une enveloppe à Max. Il l'ouvre quand nous sommes dans la voiture sur le chemin du retour. Il m'annonce le montant, à quelques billets près c'est le même montant que pour Enguerrand.
Quand il retrouve ses complices impatients, il la joue un peu blasé, comme quoi, oui c'est bon mais il s'excite plus avec eux. Ça ne dure pas car il se fait chahuter et mi- chatouilles / mi- bagarre, il se retrouve enseveli sous les corps de ses 3 amours.
Jardinier
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J'ai aimé dans un au-delà invisible, qui cernait le mouvement des choses, la netteté des drames, des brisures, des fautes. C'est à dire que j'aimais dans le pelage d'or des choses, des regards et des actes, dont la caresse lancinante posée sur mon coeur était interminable. On me disait: les choses sont ainsi et elles portent ce nom. Je ne pouvais y croire. Les faits n'étaient que la marque visible de ce qui réellement se jouait entre nos deux vies. Nos paroles, nos gestes, nos silences sentencieux n'étaient que la chevrotante musique émanée de cet air où nous nous étions trouvés l'un dans l'autre.
Nous étions deux enfants si impatients de la fête approchante qu'ils déchiraient à l'avance leur costume, dans des sursauts d'excitation terrifiée.
La dernière fois que je l'ai vu, au bar, nous étions l'un face à l'autre. Il me parlait, je l'observais. On se disputait pour des histoires de tromperie et de jalousie. Il me dit brusquement: Est-ce que je te plais encore? Est ce que t'en es sûre?
Alors je me posai la question en moi-même. Je voyais cet homme cerné, dont les grosses mains baguées argumentaient la parole enfumée, les sourcils et les cils ouvrageant son regard mauvais, fumeux, de plus en plus éteint. Ses yeux ne frôlaient plus la corde sensible de mon âme. Sa grâce ne l'émouvait plus comme autrefois, ni ses ténèbres. Je ne l'admirais plus, je ne désirais plus sauvagement greffer en moi sa puissance. Ses yeux plats, profonds et noyés dans la rage et le vide, la sévérité triste de son visage, l'éloquence de ses mensonges, sa fougue, ses insultes, ses assauts à ma chair, toute cette danse perdue qu'il était, diffuse et offerte devant moi, ne me charmait plus. C'était plus grave encore, elle m'envoutait. Ce n'était plus les premiers rayons de la fascination, lunaires, éthérés, au goût originel. C'était le remous profond, réverbéré d'écho en écho, du premier coup, de la première rencontre, dont les propagations étaient infinies, successives et liées, et traversaient les régions souterraines par ces résonnements sourds. Mon être vibrait encore à sa vue comme sous un glas. Fixée par lui, il m'emportait encore, dans sa violence qui n'était plus ferme et arquée mais défaite et traînante, comme une roue qui tourne, étourdissante. Alors que j'aurais pu vendre sa peau et son âme au marché noir pour quelques centimes, il me tenait encore, il m'emportait encore dans ses contrées poreuses.
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Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité.
Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
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Je croyais que la vie était faite de fantasmes mais le réel n'est qu'une imagination continuée. Je le savais : rien (jamais plus) ne serait vrai. Alors dans le temps (court) qui nous était donné (avant la tempête d'une folie complète qui déchaîne et déchaîne), il fallait jouir. Unir. Ou, plutôt je voulais jouir - et faire jouir. Tendre mon corps comme une main - me rappeler d'anciens miracles…
Plus haut que tous les abîmes - la joie resplendirait.
Nus parce que plus rien ne comptait. Que la volupté illimitée - où nous soubrerions sans appel. Nul retour. Et, nos yeux émus… se rencontrèrent. Sans plus connaître d'obstacle à notre entente. Sans plus de...
Non, je ne me déparie pas - mais ma joie excessive versait des larmes.
Car sur ton corps ombré, je m'ouvre à tous les vœux. Je m'ouvre et je célèbre - je suis... mais mes mots, en vain, chercheraient l'issue. Je m'avance - jusqu'au bout de la ligne j'ouvre les bras : je m'aboutis dans les tiens.
(La renaissance ne viendra qu'après la foudre). Le triomphe.
Qui dira ce qu'excèdent mes propres forces ? Deux beautés féroces n'ont pas plus de solution - ni ma bouche, à ta bouche. Proférant les plus ardentes caresses que des lèvres sauraient ordonner sur une page... mais me suis-tu - m'enserres-tu ?
Chemins sombres où s'élève un chant d'amour, nos ventres... Rauque unisson. Et l'odeur acide ou sucrée des herbes fauchées tout autour. Tu m'entraînes - ou je t'avale, je ne sais. Mais les sens se font plus chair - et je sens que nous serions tout, qu'à terme, nous saurions tout.
Qu'une fêlure dans l'union que la plus complète entente étanche - et le bonheur SOU-VE-RAIN.
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Coucou mes petites fleurs 🌸
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Dans un monde où les couleurs dansent et les formes s’épanouissent, laissez-vous emporter par la magie d’un petit artiste de cinq ans.
Sur sa table d’organisation, chaque crayon raconte une histoire, chaque projet prend vie.
Avec le livre “365 Dessins Kawaii”, un kaléidoscope d’imagination s’ouvre, proposant mille et une créations à explorer au fil des saisons.
Et grâce au projecteur Xoomy, les rêves prennent forme sous nos yeux émerveillés.
Joignez-vous à nous pour célébrer l’art, la créativité et la joie de créer ensemble, un dessin à la fois.
Belle journée à vous
#xoomy#partage#artists on tumblr#amour#bonheur#carpe diem#famille#coloriage#dessin d’enfant#dessin#drawing#fleurus#kawaii#dessin kawaii#jeux#jeux créatifs#gratitude#original art#art
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Apprendre à recevoir
Résumé : Alex, marquée par un passé difficile, lutte pour accepter de recevoir du plaisir. Avec Spencer, elle découvre la douceur et l'écoute, apprenant petit à petit à se libérer de ses blessures émotionnelles.
Avertissements :Thèmes sensibles, traumatisme passé, relation intime, exploration des blessures émotionnelles, contenu mature.
La chambre est baignée d’une lumière tamisée, la douce lueur de la lampe de chevet dessinant des ombres mouvantes sur les murs.
Le silence est seulement troublé par nos respirations mêlées et le bruissement léger des draps sous nos mouvements.
Je suis en califourchon sur Spencer, mes mains posées sur son torse, mes hanches effectuant un mouvement lent, calculé, maîtrisé.
Son regard est fixé sur moi, intense et brûlant, mais différent de ce que j’ai toujours connu. Il ne me scrute pas avec avidité, ni avec cette impatience possessive que j’ai toujours l’habitude de voir dans les yeux des hommes.
Il me regarde comme si j’étais importante, comme si j’étais... humaine. Je baisse les yeux, troublée. Depuis toujours, j’ai appris que mon rôle était de donner, d’être là pour l’autre, et jamais pour moi-même.
Mes gestes sont automatiques, parfaits, répondant à ce que je crois être ses attentes. Je ne cherche pas mon propre plaisir, seulement le sien.
Et je fais tout pour qu'il y arrive rapidement, en silence, sans jamais laisser transparaître mes besoins.
Mais Spencer n'est pas comme les autres. Ses mains glissent lentement sur mes hanches, exerçant une légère pression pour ralentir mes mouvements.
Je sursaute, mon rythme se brise un instant alors que je lève les yeux vers lui, inquiète.
"Alex..." murmure-t-il, sa voix grave résonnant doucement dans la pièce. "Pourquoi tu fais ça ?"
Je détourne les yeux, un frisson me parcourant. "Je veux que tu prennes du plaisir," dis-je automatiquement, comme si c'était une évidence.
Il fronce légèrement les sourcils, ses doigts dessinant des cercles réconfortants sur ma peau.
"Et toi ?" Sa voix est douce mais ferme. "Pourquoi tu ne veux pas en prendre aussi ?"Un sourire nerveux flotte sur mes lèvres. "Je suis bien comme ça," je murmure en haussant légèrement les épaules, évitant son regard.
Il ne dit rien pendant quelques secondes, puis il tente doucement de me donner du plaisir, ses mains glissant entre mes cuisses avec une infinie délicatesse.
Je me raidis aussitôt, attrapant son poignet dans un geste presque paniqué."Non." Le mot s’échappe précipitamment de ma bouche, et mon cœur s’emballe.
Spencer s’arrête immédiatement, son regard scrutant le mien avec une attention douloureuse. "Pourquoi pas ?" demande-t-il doucement, sans jugement, seulement de l’inquiétude dans sa voix.
Je déglutis difficilement, sentant mes doigts trembler sur son poignet. "J'ai pas besoin de ça," je murmure, ma voix à peine audible.Il observe mon visage un long moment, et je vois son expression se transformer, une ombre de tristesse voilant ses traits.
"Ce n’est pas que tu n’en as pas besoin," murmure-t-il, "c’est qu’on t’a appris à ne pas en avoir envie, c’est ça ?"
Des souvenirs remontent brutalement, des fragments de mon passé que j’ai essayé d’enterrer.
Je revois Daniel, mon premier petit ami, me reprochant d'être "trop passive" si je ne me donnais pas entièrement à lui.
Je revois Lucas, soupirant d’agacement quand je demandais une pause. "Tu peux tenir encore un peu, j’ai pas fini."
Et puis mon père... Sa voix, froide et implacable : "C’est normal, les hommes ont des besoins, tu dois apprendre à donner."Je ferme les yeux, un nœud douloureux se formant dans ma poitrine.
"Mon père disait que..." Je ravale mes larmes et inspire profondément. "Que c'était normal qu'une fille donne tout. Que je devais apprendre à ne pas être égoïste."
Je sens Spencer se tendre sous moi, ses mains se crispant légèrement sur ma peau. "Quoi ?"
Sa voix est à peine un murmure, mais je peux y sentir toute sa colère contenue.Je baisse les yeux, honteuse.
"Il... il me touchait..." Je me recroqueville légèrement sur moi-même. "Quand j'étais enfant."Spencer inspire profondément, et je le sens lutter pour ne pas laisser sa colère exploser.
Ses bras m'entourent doucement, m'attirant contre lui, son souffle chaud effleurant mon front."Alex..." murmure-t-il, la voix brisée. "Ce qu'il t’a fait... c'était mal.
Ce n'était pas normal."Je hoche faiblement la tête, nichant mon visage dans le creux de son cou.
Son odeur me rassure, me ramène à l’instant présent. Après un long silence, Spencer recommence à caresser doucement mon dos, cherchant à me rassurer.
Je hausse les épaules, mal à l’aise. "C’est juste comme ça. J’ai appris à être... utile."
Son expression se durcit légèrement, pas en colère, mais avec une détermination que je ne lui ai jamais vue auparavant.
"Tu n’es pas un outil, Alex. Tu es une personne. Tu mérites plus que ça."
Sa tendresse me trouble. Ses doigts effleurent ma joue, ses lèvres pressent un doux baiser contre mon front, comme pour effacer ces années de douleur imprimées sous ma peau.
Puis il reprend lentement ses mouvements sous moi, ses hanches cherchant un rythme doux, patient, mais je tente instinctivement de reprendre le contrôle.
J’essaye de bouger plus vite, de me concentrer sur lui, sur ce que je pense qu’il veut.Ses mains viennent alors saisir fermement mes hanches pour m’arrêter.
"Non, Alex," murmure-t-il, son regard brûlant plongeant dans le mien. "Laisse-moi faire. Laisse-moi prendre soin de toi."
Je veux protester, dire que ce n’est pas comme ça que ça marche. Mais il m’embrasse doucement, son baiser me faisant taire, et je sens mon corps céder petit à petit à sa tendresse.
Il murmure des mots rassurants contre ma peau, me guidant avec une patience infinie jusqu’à ce que je me laisse enfin aller.
Et quand l’extase me submerge, mon premier réflexe est de mordre ma lèvre, d’étouffer le moindre son, de ne pas faire de bruit.
Spencer le voit tout de suite. Ses lèvres capturent les miennes, sa langue caressant doucement la mienne pour m’encourager à relâcher la tension.
"Laisse-toi aller," souffle-t-il contre ma bouche. "Je veux t’entendre, Alex. Personne ne va te punir ici."
Je me fige, un sanglot étouffé m’échappant, suivi d’un gémissement que je ne retiens plus. Spencer me tient fermement contre lui, son regard tendre ancré au mien alors qu’il m’aide à franchir cette barrière invisible que je traîne depuis des années.
Et pour la première fois, je me laisse aller à ressentir, à recevoir.Après, blottie contre lui, ma tête nichée dans le creux de son cou, je murmure :
"T’es pas comme eux..."Il resserre ses bras autour de moi, déposant un baiser sur mes cheveux.
"Non. Et tu mérites quelqu’un qui ne soit pas comme eux."Je ferme les yeux, une larme solitaire coulant le long de ma joue.Avec lui, je suis en sécurité. Enfin.
#bibliothèquedesriders#criminal minds#dom spencer reid#dr spencer reid#fandom des esprits criminels#fanfic de spencer reid#fanfiction de spencer reid#fanfiction esprits criminels#mg
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François Dejardin marche à toutes les frontières et nous en ramène des œuvres comme des confidences. Qu'il s'agisse de vidéo, de photo, de dessins, de textes ou de peinture, tout semble être le fruit d'une aventure intime, aux confins où nous sommes très peu nombreux à nous rendre. Ce qu'il ramène de ses voyages nous plonge alors dans une expérience captivante où tout nous paraît à la fois proche et lointain. Une forêt calme, en pleine nuit, nous rassure tout en rappelant les cauchemars de la petite enfance. Une ferme se dresse, immense, devant un promeneur solitaire sur la bosse d'un horizon à bout portant. Un tas de bois mort sous la neige va brûler nos certitudes. Un ciel trop menaçant se verra bombardé d'étoiles à vœux. Un gravier de choses sans destination dans les yeux du Petit Poucet lui permettra de rentrer chez lui. Des enfants, dans leur toute-puissance fragile, nous conseillent de rester concentrés dans notre jeu. L'aube, comme une délivrance, devient la preuve que la nuit fut terrible. Le fond du jardin, qui n'a plus rien à nous apprendre, surgit comme une information de dernière minute. Un arbre noueux, solidement ancré, se met à danser, puis fond pour retrouver sa forme initiale. Les paysages ressemblent à des cartes postales de 14-18, qui viennent d'arriver dans notre boîte mail après être passées par le cloud. Une image satellite trace des triangulations entre les continents, pour finir en petit archipel de pénicilline collé sur une lame de verre sous l'œil d'un microscope électronique. Une fleur n'a pas peur d'être belle comme une chromolithographie, avant de se diluer dans le tableau d'un désert peint par une main surréaliste. C'est de l'humanité et de l'exil. François Dejardin n'a rien à cacher, et c'est mystérieux.
Texte : Werner Moron ( 2024 )
Photos : François Dejardin ( 2024 )
Avec : Élise Morel, Camille Dupont, Léa Garnier, Moi-même
#LostInTheLandscape#MelancholicBeauty#EtherealPortraits#SolitudeInNature#DreamyLandscapes#AloneInTheWild#MelancholyAndGrace#EtherealMoments#WhisperedSolitude#SilentStories#LonelyInNature#PastelDreams#PoeticIsolation#MysticalLandscapes#SolitaryFigures#WistfulWanderers#TimelessMelancholy#EtherealLight#WomenAndNature#DreamlikeSolitude#contemporaryart
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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Le temps d'un week-end... La maison au bord du lac
Un réveil au chant des oiseaux, où sous nos yeux, Dame nature déploie généreusement toute sa parure de beauté que nous contemplons avec ravissement. Tout est grâce, en cet instant !
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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saga: Soumission & Domination 383
Récit de Ric : suite
Nous sortons de sa chambre pour regagner celle qui sera la nôtre pour le reste du séjour. Son valet nous accompagne et nous dit de nous laver avant de repartir.
Retour à la douche. Mes jambes ne me tiennent plus et je me retrouve assis sous la pluie d'eau chaude. Amaury me rejoint et me prend dans ses bras. Sa bouche collée à mon oreille, il me parle tout bas. Il me félicite d'avoir encaissé ça comme un pro. Il me soulève et me masse la rondelle. Il sait y faire et je me sens me refermer rapidement sous et sur ses doigts. Je lui rends la politesse. On se masse pour faire partir les contractures provoquées par certaines positions. Et quand nous sommes secs, Le valet nous dit de nous enduire de l'huile et de nous détendre, nous avions quelques heures avant le prochain " intermède sexe ". Nous lui demandons si nous pouvons être d'une aide quelconque pour son petit " problème " à l'entrejambe. Il nous sourit mais décline notre proposition. Il ajoute que nous sommes à l'usage exclusif de son maitre et de ses amis.
Là nous venons d'apprendre quelque chose ! À suivre.
Nous sommes appelés à rejoindre le séjour près de deux heures plus tard. Notre client est debout au centre du salon avec toujours son valet. D'une pression sur nos nuques il nous place à ses pieds. Pas besoin de dessin, on a compris. Nos langues remontent les jambes jusqu'à son gland qui pend bas. C'est Amaury qui entame la fellation qui va amener cette monstrueuse bite à la raideur nécessaire pour une bonne sodo. Je sens que ce coup-là, la première intromission sera pour moi. Avec mes doigts je me prépare la rondelle. Le temps que Monsieur soit bien raide, ma rondelle s'est bien assouplie et quand, après s'être assis sur un des canapés il me fait signe de faire la " kpote ", je suis prêt. Un pied de chaque côté je m'accroupi et pose ma rondelle sur son gros gland. Je vais pour descendre gentiment qu'il me prend par la taille et m'abaisse brusquement.
Je me prends ses 30cm en une seule et rapide poussée. Mes pieds glissent et je me retrouve assis sur ses cuisses sans pouvoir me relever. Je ne peux retenir un hurlement étouffé par la grande main du serviteur apparue fort à propos pour me bâillonner. Putain de défonce !! Il m'empêche de remonter et de me libérer de son emprise. Je sens des larmes couler sur mes joues mais les mains posées sur le cuir j'essaye de me soutenir. Je ferme les yeux. Dans mon dos je sens un torse nu se plaquer contre moi. C'est Amaury. Je sens ses mains passer sous mes cuisses et me relever d'une vingtaine de cm avant de me relâcher complètement. C'est hard mais je kiffe ! Sans retenue aucune, mes fesses s'écrasent à chaque fois sur les cuisses musclées de notre émir, absorbant ainsi les derniers cm et mm de cette queue gigantesque.
En moi-même je me dis que de retour à la maison, mon père trouvera une différence, même avec ses 27x7. En attendant je ne débande pas sous mes plantages violents sur ce mat.
Le mec est endurant et Amaury plus fort que je le pensais. Je me fais détruire la rondelle un bon moment dans cette position.
Claquement de doigts et je suis relevé totalement. Amaury me remplace mais en position levrette ou plutôt jument dans ce cas précis. Je mate tout comme le serviteur. Je remarque qu'Amaury est encore meilleur que moi sur les hyper calibres ! Limite ça me vexe un peu. Je pensais qu'avec les doubles sodos par les clients blacks les mieux montés du carnet de clients de Sasha j'étais le meilleur. Belle leçon d'humilité ! Je n'en veux pas pour autant à Amaury. Je l'admire ! En attendant il se fait démonter la rondelle avec un rythme soutenu. Il se prend une alternance de pilonnage de fond de ventre avec des sorties totales avec rentrées brusques qui le propulse d'un mètre sur le tapis. L'émir accélère et ne sort que pour couvrir le dos d'Amaury d'une épaisse couche de sperme blanc. Je vais à notre salle d'eau pour prendre un drap de bain afin qu'en revenant dans notre chambre il ne salope pas le salon. Avant la douche nous évacuons notre excitation par un 69 vorace. Il ne nous faut que 5 mn pour juter comme des malades.
Douches, repos, diner léger dans notre chambre et attente, nos peaux sont huilées à nouveau et nos anus refermés.
A moitié endormis, le serviteur vient nous chercher. Nous avons juste le temps de nous graisser la rondelle sans oublier une bonne giclée en profondeur. Le salon est sombre malgré la lumière venant des rues. Notre émir n'est plus seul. Habillé d'une djellaba, il reçoit un Français. Je reconnais l'homme. C'est un politique de haut niveau. Je regarde Amaury, je vois qu'il sait aussi qui est le deuxième homme. Nous restons impassibles et toujours nus hormis les harnais dorés. L'invité est en costume.
D'un geste l'émir nous commande de venir, Amaury entre ses jambes et moi entre celle du Français. Nous nous exécutons rapidement ce qui vaut une remarque à notre propos, de la part du mien. " Bien obéissantes vos chiennes, il faudra me dire où vous les avez trouvez et quel dressage vous avez appliqué ". Claquement de doigts et nous plongeons entre leurs cuisses. J'appui mon visage sur l'entrejambe du politique. Il bande déjà. Il me parait bien monté mais rien à voir avec notre client, plutôt dans les 22x6. Dommage pour moi !
Le mec est impatient. Il ouvre vite son pantalon pour sortir sa bite. Propre, bien droite, la touffe entièrement rasée, je ne m'étais pas trompé dans mes estimations. Quand j'entends Amaury sucer, je me presse de l'imiter. C'est évident qu'une queue pareille me rentre direct entre les amygdales et que mon nez s'écrase sur le pubis sans provoquer de renvois. Autant l'émir est discret, autant son invité ne peut s'empêcher de commenter. Nous entendons tous un " putain que c'est bon une gorge de salope " et à moi directement " suce ma bite, je vais te défoncer, tu vas prendre cher ".
En moi-même, je me dis que c'est pas avec ce qu'il a entre les jambes qu'il va me faire du mal ! En attendant l'application de ses menaces, je le pompe consciencieusement. Il pose ses mains sur ma tête et tente à plusieurs reprises de m'étouffer avec son gland, reflexe misérable de petit chef ! Merci la natation, j'ai un temps d'apnée important. Je sens que je vais m'ennuyer avec lui, j'envie Amaury. Il essaye de me faire vomir mais n'y arrive pas et je sens que ça l'énerve un peu.
Il sort alors de son attaché case un plug queue de chien et me l'enfile avant de se remettre devant moi les cuisses écartées. " Voilà, comme ça il fait encore plus chienne ". Par dérision, je tortille du cul ce qui me vaut une caresse sur la tête et un " bon chien-chien ça ". Le temps de pose j'ai pu apercevoir Amaury qui se mettait en position pour se faire saillir. Ça donne l'idée au miens de faire pareil. Je me tourne donc et me retrouve à 4 pattes ma tête au niveau de celle d'Amaury. Son émir relève sa djellaba juste ce qu'il faut et fait disparaitre, avec une aisance parfaite, son sexe d'étalon dans le cul d'Amaury. Le mien est plus brouillon, après s'être couvert, il tente plusieurs fois de me la mettre avant d'y arriver. Son petit cri de triomphe amène un sourire compatissant sur le visage de l'émir. Je sens sa queue mais elle n'a vraiment rien à voir avec celle qui m'a défoncé précédemment. J'ai dû laisser transparaitre cet état de fait car un froncement de sourcils de l'émir me fait comprendre que je dois veiller à bien satisfaire son ami. Je rue du cul d'où un " holà, comme elle en veut cette chienne " pas très original. L'émir pousse Amaury en avant jusqu'à plaquer sa tête contre la mienne. On teste une pelle entre nous, voir si c'est ce qu'il désire. Il se penche et caresse nos têtes c'était bien ça. Ça me fait un peu oublier mon enculeur qui s'y prend comme un manche. Avec ce qu'il a, il pourrait me faire bien mieux que ça !! En plus je suis sûr qu'il se prend pour un baiseur de compétition. L'émir pousse Amaury jusqu'à la table basse et le tourne sur le dos. Il me fait signe de venir les rejoindre. Je marche à 4 pattes, l'autre imbécile collé à mes fesses. Je couvre Amaury et nous nous faisons un 69. Je prends plus de plaisir à lui faire une pipe qu'à me faire ramoner le conduit, c'est dire l'habileté de mon enculeur !! Le mec parle trop. Il nous dit que mon cul est meilleur que celui des dernières putes qu'il a monté. Qu'avec sa femme qui ne l'accepte que par devant, c'est ennuyeux, qu'il tienne absolument à pouvoir nous revoir etc. L'émir commence à s'échauffer du bonhomme nous l'entendons lui dire que ce n'est pas nécessaire car nous sommes trop chers pour lui.
L'invité se tait quelques instants. Et puis il remet ça !! Non seulement il baise mal mais en plus il est con, je dois faire avec. Amaury, lui est content. Je le sens dans l'enthousiasme qu'il met à me sucer la queue. Soudain mon piètre sodomiseur me prend par les épaules, redresse mon buste et accélère ses va et vient. Il jute précocement dans sa kpote en trois pauvres spasmes. En face de nous l'émir monte lentement vers le plaisir ultime, travaillant l'anneau d'Amaury alternativement de grands limages sur ses 30cm, du pilonnage de fond de cul ou juste de son gland à passer sur sa prostate quand ce ne sont pas par des rotations du bassin qu'il modifie ses poussées.
Le mien aurait pu en apprendre beaucoup à le regarder faire. En attendant, il se retire, ramollissant à toute vitesse. Il me replace le plug brutalement comme s'il avait besoin de ça pour me prouver sa domination ! Je ne bouge pas et continu mon 69. L'émir sort complètement d'Amaury et sa force fait que son gland remonte vers mon visage. Je laisse la bite de mon collègue et embouche le gland. Bien que géante, sa queue est toujours propre grâce à nos précautions. Quand il se met à alterner ma bouche et la rondelle d'Amaury, mon ancien partenaire s'exclame que c'est ce qu'il aurait dû faire, il aurait alors sûrement tenu plus longtemps. Le pauvre !!
L'émir me fait signe de couvrir Amaury de mon corps. Je me place de façon à ce qu'il puisse disposer de nos deux trous. C'était ce qu'il désirait puis alors qu'un bref refroidissement de mon trou (dû au retrait de cette ridicule queue de clebs) disparait il me saillit à mon tour.
Putain que c'est bon !! J'en oublie la médiocrité précédente. Amaury me reprend la bouche et notre pelle appuyée couvre mes gémissements de plaisir. Il nous fait jouir tous les deux avant de me recouvrir le dos de son sperme, c'est mon tour.
Pour un type comme ça, on se défonce tellement il baise bien. Par contre avec l'autre connard, pas question de faire du zèle. Collés ensembles par nos spermes mélangés, nous sommes recouverts de peignoirs et laissés là à récupérer.
La discussion entre notre hôte et l'homme politique passe sur des sujets sérieux. Je regarde Amaury et un clin d'oeil entre nous nous dit que c'est pour ça qu'on était là. Afin de détourner l'attention, Avec Amaury on se câline lentement. Ça commence avec une pelle, ça continu avec une pipe puis je l'encule. Le tout en silence afin de ne rien louper de la discussion en anglais.
Trois fois nous serons interpellés en anglais et à chaque fois nous avons ignoré l'appel feignant l'incompréhension de cette langue.
Comme nous ne sommes pas sollicités de nouveau, notre petite affaire s'approfondie et je me kpote pour tester mon collègue. Sa rondelle s'est bien resserrée depuis tout à l'heure et bien que monté modestement (quasiment moitié, rapport à notre étalon d'émir), je me sens bien collé. Amaury est encore très sensible de sa dernière monte et il apprécie cet intermède qui repose son anneau. Il me roule un patin et nous baisons à un rythme zen.
J'en oublie nos voisins jusqu'à ce que je me fasse défoncer par surprise. Reflexe : je me redresse et tourne la tête. Comme si un autre que nôtre client pouvait en avoir un aussi grosse ! Il est nu et le Français est parti. Je me fais baiser comme une reine et Amaury en profite par ricochet.
Ce sera la dernière fois que nous servirons.
Le lendemain matin, le serviteur nous remet à chacun une grosse enveloppe kraft avant de nous laisser partir. Il nous demande aussi nos n° de portables. Son maitre nous ayant trouvé très à son goût, nous devions nous attendre à être de nouveau demandés. Nous lui donnons celui de la société de Sasha.
Après consultation des contenus des enveloppes, Jona nous en a restitué 60% soit l'équivalent d'un an de salaire d'un cadre moyen !!
Amaury a voulu lui rendre lui disant qu'il n'avait fait cela que pour rendre service à Sasha, mais Jona est resté inflexible et il a dû partir avec !
Jardinier
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Good Omens Poetry: #chillomenstober day 10
The fourth prompt is: Yellow. I wrote a freeform poem in french! Forgive me for any grammatical mistakes, I am quite rusty but I tried my best! Wishing my high school french prof was here to correct my work xD
C'est la couleur de tes yeux Qui me fait toujours sourire Même quand je suis seul Je pense à toi dans ces moments Une chaleur pendant l'hiver Quand je désire Que tu me prennes dans tes bras Ou le jaune des feuilles d'automne Qui tombent dans un tas Et font le craquement sous nos pieds Les rayons dorés de soleil Nourrissent les tournesols Donc ils poussent bien en été Et aussi les abeilles Qui travaillent dur dans la ruche Le miel du printemps est le plus sucré La beauté dans tes yeux On le trouve partout Tu es toujours avec moi Mon cher
English Translation It's the color of your eyes That always makes me smile Even when I'm alone I think of you in these moments A warmth during winter When I long For you to take me in your arms Or the yellow of autumn leaves That fall in a pile And make a crunch under our feet The golden rays of the sun Feed the sunflowers So they thrive in the summertime And also the bees Who work hard in the hive Spring honey is the most sweet The beauty in your eyes It is found everywhere You are always with me My dear
#good omens#chillomenstober#gomens#good omens poetry#good omens fanart#ineffable husbands#crowley#aj crowley#anthony j crowley#aziraphale#az fell#angel of the eastern gate#crowley's eyes#yellow#french poetry#ticketyboooo posts
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10 CHOSES QUE JE DETESTE SUR LES FORUMS. Part 01.
les avis longs comme une baguette de pain sous une fiche alors qu'elle est a moitié rempli, ou parce-que c'est soit l'amie, soit un avatar de folie, soit un pseudo de folie, soit un caractère de folie. Mais il n'y a encore ni histoire, ni réellement de fond de matière. Et parfois ça arrive sur des fiches presque vide. En plus saucer quelqu'un comme ça, je souffle fort.
Les forums avec des designs en petits caractères. Allô ? Revoyez vos normes, on a mal aux yeux !
Les demandes de liens a tout va juste pour du smut ou alors sans réel fond de base rp. "Tiens, nos persos ont vu le même arbre, on les fait potes ?" Bah non ?
Les demandes et établissements de liens pour strictement rien faire derrière ou abandonner le rp au bout de deux réponses. Bah oui on sait tous que brainstorm un lien ça ne demande pas de prendre du temps hein.
Les fétichistes des fcs.
Les fétichistes du smut.
Les relations toxiques entre les personnages type dark romance avec des relation hyper anti-féministes mais les joueurs.euses derrière l'écran se disent féministes. Lol, t'aimes que ton personnage se fassent traiter comme de la merde avec des actes immorales (séquestration, violence et j'en passe) mais t'es féministe. Alala la romantisation...
Le manque de recherche. Et ça va pour tout : utilisation/vendre de drogue, alcoolisme, maladie etc.
Les créas(teurs/trices) impatients. Vous êtes chiants.
Cette communauté qui essaie pas de se remettre un peu en question. Je ne prône pas la perfection sur ma personne, je suis loin de l'être (très loin), mais vraiment là depuis quelques années c'est de pire en pire.
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Je parle au vent,
peut-être qu'il m'écoutera plus que toi ...
et c'est peut-être le seul moyen de vous joindre.
Ça m'emmènera où personne ne pourra me trouver,
Je lance ...
pour vous rejoindre.
Mon âme te cherche ...
Pouvez-vous comprendre qui je suis?
Je ne veux pas te donner d'indices,
Je sais que nous nous (re) retrouverons sous un grand chêne,
une nuit où les étoiles chanteront et descendront pour toucher nos visages,
neige chaude.
Et nous serons Noël.
Les nuages.
la pluie,
feu
mer et lumière.
Nous serons ce que nous sommes déjà et qui nous étions.
Compréhension et complicité parfaite.
Je cherche de la nourriture dans mes yeux,
vous trouverez une partie de vous-même,
une partie de nous qui n'a jamais disparu,
maintenu en vie par l'ardeur qui a alimenté nos sens,
par les mots chuchotés la nuit,
des rêves de deux amoureux fous
par rationalité réduite au silence,
de nos cœurs qui s'élançaient dans le train de la vie.
Et nous nous prendrons par la main.
Nous entrelacerons nos doigts.
Nous tisserons des émotions,
loin de tout "si",
le "mais",
et le "qui sait".
Loin de toutes nos peurs,
loin de mon "pourquoi" et de mon "bien".
Loin ...
être le plus beau cadeau à jeter,
pour (re) avoir cette partie de moi que je vous ai laissée avec un grand arc devant une porte fermée.
Je ne veux plus être présence dans le besoin.
Je veux t'embrasser aux quatre coins du monde.
Pour toi,
essence de l'amour et non de la possession,
l'odeur de la bruyère dans notre jardin,
la douce nostalgie des caresses avait,
le long baiser dès que tu te réveilles.
Je serai le câlin qui te protégera,
le bras qui vous soutiendra.
Et tout ça
seulement
écoute
un coup de vent
et un sourire dans le vent ...
.....
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