#Quels ailleurs Quel
Explore tagged Tumblr posts
Text
【 SOMMAIRE — AIDE À LA NAVIGATION 】
mots-clés : projet medfan (complété à ~90%) • personnages humains • pas de magie • croyances religieuses (polythéisme global et hénothéisme propre à chaque état) • enjeux politiques (guerres, alliances, jeu diplomatique) • public averti (+18) • une île où coexistent cinq états aux multiples inspirations • rythme libre (pas de minimum de rp par mois) • contexte évolutif et participatif.
〖 POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE PROJET 〗
ES c’est quoi et c’est qui ?
Les mécaniques de jeu
〖 POUR EN SAVOIR PLUS SUR L’UNIVERS 〗
Le prologue
Le quiz (quel État pourrait le mieux vous correspondre ?)
La carte de Staraceste
Les modes de vie en Staraceste
Les croyances majeures en Staraceste
La chronologie commune
➜ PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE CHAQUE ÉTAT :
République de Kyanós (inspirée par le bassin méditerranéen)
Royaume du Northunyre (inspiré par l’Europe du Nord)
Empire Garyanith (inspiré par l’Asie de l’Est et du Sud-Est)
Royaume de Braséa (inspiré par l’Afrique du Nord-Est)
Royaume de Hevenbyre (inspiré par l’Europe de l’Ouest et du Nord)
➜ DIVINITÉS EMBLÉMATIQUES DE CHAQUE ÉTAT :
Culte majeur à Kyanós
Culte majeur en Northunyre
Culte majeur en Garyanith
Culte majeur à Braséa
Culte majeur en Hevenbyre
➜ SOCIÉTÉS, GROUPUSCULES, ORDRES… PRÉSENTS DANS CHAQUE ÉTAT (LISTES NON EXHAUSTIVES) :
Les groupes de Kyanós
Les groupes du Northunyre
Les groupes de Garyanith
Les groupes de Braséa
Les groupes de Hevenbyre
➜ ORGANISATION ÉTATIQUE DE CHAQUE ÉTAT :
Les institutions de Kyanós
Les institutions du Northunyre
Les institutions de Garyanith
Les institutions de Braséa
Les institutions de Hevenbyre
〖 POUR ÉCHANGER AVEC NOUS AILLEURS QUE SUR TUMBLR 〗
Le serveur Discord
〖 POUR AVOIR UN PREMIER APERÇU DES PL 〗
À Kyanós : Althéa Mavralli
En Northunyre : Siadhal Lame-Rouge
En Hevenbyre : Éadaoin Cyneward, Osburga Cyneward

#sommaire#french rpg#projet rpg#rpg francophone#forum francophone#forum rpg#projet forum rpg#rpg fantasy#forumactif#rpg français
22 notes
·
View notes
Text
En fait voilà, j'arrive au pic de la période dure à gérer c'est-à-dire finir mon stage, écrire mon rapport (g fini), assurer les cours, préparer les oraux et surtout choisir les masters et tout remplir les dossiers de candidature. Un dossier de candidature c'est rude, lettre de motivation, projet de mémoire avec état de l'art en accord avec les sujets du labo qui est associé, toutes les notes les plus saugrenues, répertorier tous les travaux faits de mon ancienne licence ect. Donc un peu envie de die. Là je me permets d'en rire parce que dans 2h potentiellement je chiale. Très cyclique, dysphorique la période. Bon et du coup j'en viens aux dilemmes de dégénéré qui s'imposent à moi:
Je veux un master plus que les autres et il est à nice, sauf que ya 15 place pour 1442 demandes (l'an dernier), jsuis un être exceptionnel mais pas au point d'avoir ce master. Il a été énoncé qu'on a plus de chance si on met lui seul à nice (critère de sélection claqué). Mais on m'a dit que j'avais un bon dossier que fallait mettre TOUTES les chances de mon técô.
Le truc c'est qu'en parallèle j'ai peur de quitter nice, j'ai pas très envie, déménager mon septième étage non meublé (donc que j'ai meublé entièrement) m'empêche de dodo.
Ya donc un deuxième master à nice qui me déplaît pas mais je sais que si je le mets ça va faire de l'ombre au premier et ça me saoule parce que quitte à avoir un master de neuro, yen a plein d'autres qui sont mieux en France.
Sauf que j'ai quand même plus de chance d'être prise dans ce deuxième master de neuro que dans tous les autres en France puisqu'il est à nice et qu'on est privilégié rien que par ça et que j'ai une licence de bio et 20 en neuro fin voilà.
Et en fait en parallèle de la parallèle (faut avoir la vision), je me dis, autant partir ailleurs en France quoi quitte à faire one life et découvrir des trucs. Sauf que j'ai quand même moins de chance d'être prise ailleurs en France que ce second master.
Donc finalement ma question c'est: est ce que je mets le deuxième masters de nice ?
Les contres: il peut jouer dans la candidature de l'autre master à nice. Yen a des tellement mieux en France. Mais faudra sûrement déménager. J'ai peut-être besoin de changements.
Les pours: il est à nice. J'ai plus de chance d'être prise dans lui que dans m'importe quel autre master.
Help me jme consume de regrets alors que j'ai encore fait aucun choix ??
15 notes
·
View notes
Text
youtube
Tumblr français, aujourd'hui je vous propose cette vidéo hyper intéressante sur le travail. Comment le travail nous aliène ? Quelles sont les solutions ? Quel est le rôle de nos superieurs ?
Je voudrais rajouter une information sur les inspecteurs du travail dont ils parlent à la fin de cette vidéo. J'ai fait appel à l'inspection du travail, qui n'a rien fait. L'inspection du travail n'a rien fait, pas parce qu'elle ne voulait pas faire, mais parce qu'elle ne pouvait pas faire. Dans un des magazines de l'Humanité (je ne pourrai plus vous dire quel numéro, c'est un de la fin d'année 2024), il y a un article sur le témoignage d'un inspecteur du travail. Il explique que la quantité d'inspecteurs (un peu plus de 2000 à peine aujourd'hui) a diminué pour un nombre d'employés beaucoup plus important (20 millions d'employés. Vous voyez le problème?) Cette inspection est soumise aux décisions du gouvernement, qui veut laisser plus le champs libre aux entreprises avec moins de contrôles. Par ailleurs, maintenant, une inspection du travail a beaucoup de difficultés à agir sans le soutient des syndicats. Si les syndicats ne veulent pas se mouiller (c'était le cas dans mon entreprise, le syndicat majoritaire savait que ça n'allait pas, mais ils ne voulaient pas se mettre la direction contre eux), l'inspection du travail ne pourra pas faire grand chose. L'inspection du travail s'est beaucoup dégradée depuis le meurtre de deux agents en 2004. Voilà où on en est en France aujourd'hui.
16 notes
·
View notes
Text
Au-delà des mots
## **Résumé :** Après une soirée au bar où Spencer entend des remarques déplacées sur Ludivine, il réalise à quel point elle a été entourée d’hommes qui ne voyaient en elle qu’un simple fantasme. Bouleversé, il lui fait l'amour avec une légère possivité , poue lui montrer qu’elle est bien plus que cela et qu’elle mérite d’être aimée pour ce qu’elle est vraiment.
Avertissements :Harcèlement sexuel, propos misogynes.Contenu explicite (scènes intimes marquées par la possessivité).Évocation d’un passé familial toxique.
### **Point de vue de Spencer Reid**
Les conversations et les éclats de rire emplissent le bar alors que je porte mon verre à mes lèvres.
La mission a été longue, éprouvante, et cette invitation de l’équipe du SWAT est une bonne occasion pour relâcher la pression. Hotch, Morgan et Rossi sont là aussi, échangeant des plaisanteries avec Deacon et le reste de son équipe.
Mais moi, je suis ailleurs. Je ne peux pas m’empêcher de penser à Ludivine. Elle n’a pas voulu venir ce soir, préférant rentrer après cette semaine éprouvante.
*Je vais me poser avec une douche et New York Unité Spéciale*, avait-elle dit en riant avant de me voler un baiser rapide en quittant le bureau.
Son absence rend ce moment un peu fade. J’aurais préféré être avec elle, même si je respecte son besoin de solitude.
Au bar, l'ambiance était étendue. Jusqu'à ce que Ramirez ouvre la bouche.
— « Dommage que Ludivine ne soit pas là. Elle aurait mis de l'ambiance, pas vrai ? »
Un autre agent du SWAT est arrivé.
— « Oh, elle aurait surtout mis les mecs à genoux. T'as vu son corps ? Cette fille, c'est un fantasme ambulant. »
Je me suis crispé.
— « Avec cette poitrine, elle pourrait faire ce qu'elle veut des hommes. »
— « Imaginez-la allongée sur un lit, les cuisses écartées… »
Morgan et moi nous sommes raidis.
— « Tu crois qu'elle est du genre à crier ou à gémir doucement ? »
Mon sang s'est glacé.
— « T'as pas peur qu'elle te dise non ? » a ajouté un autre en riant.
Ramirez a ricané.
— « Je ne suis pas obligé de lui demander. Coincée contre un mur, on peut tout faire. »
J'ai vu rouge.Morgan a été plus rapide que moi. Il s'est levé brusquement, sa mâchoire croustillante.
— « Répète ça, connard ? »
Ramirez a levé les mains en ricanant.
— « Détends-toi, c'est juste une blague. »
Je me suis levé à mon tour, tremblant de rage.— « Ce n'est pas une blague. Tu parles d'elle comme si elle n'était qu'un objet. »
— « Quoi, t'as un faible pour elle, le génie ? »Avant que je puisse répondre, une voix froide a coupé court à la conversation.—
« Ça suffit. »Hotch s'était levé. Son regard noir était fixé sur Ramirez.
— « J'en ai assez entendu. Vous deux, dehors. Maintenant. »
Ramirez a levé un sourcil, mais Deacon s'est avancé à son tour.
— « Tu veux que je te rappelle ce qui est arrivé au dernier gars qui a eu ce genre de propose dans mon équipe ? Il a fini viré.
Ramirez a hésité une seconde, puis a levé les mains.
— « D'accord, d'accord. Pas la peine de s'énerver. »
Ramirez grogne mais se rassoit, un sourire narquois toujours sur le visage.
Je retourne lentement à ma place, mais mon esprit est ailleurs.
Ludivine n’a aucune idée de ce qui vient de se passer, et je me sens coupable. Elle mérite mieux que ça.
### **Chez Ludivine**
Quand j’arrive devant son appartement, je remarque immédiatement que la porte est entrouverte. Un détail qui m’indique qu’elle ne s’attend pas à recevoir de la visite.
Je pousse doucement et entre. Elle est là, assise sur le comptoir de la cuisine, une jambe repliée sous elle, un verre de jus d’orange à la main. À côté d’elle, un paquet de biscuits entamé.
Elle porte un T-shirt ample qui glisse négligemment sur son épaule, dévoilant une partie de sa clavicule et une fraction de sa poitrine.
Son mini-short met en valeur ses cuisses, effleurées par la lumière tamisée de l’appartement.
Ses cheveux encore humides retombent en mèches désordonnées, et je devine l’odeur subtile de son shampoing qui flotte dans l’air.
Elle lève les yeux vers moi, surprise.
— **T’es déjà de retour ?**
Sa voix est calme, presque détachée, mais je perçois une pointe de fatigue derrière son ton.
Je reste figé un instant, absorbé par la scène. Elle a l’air si naturelle, si détendue… et pourtant, je vois autre chose dans son regard.
Une vulnérabilité qu’elle tente de masquer sous son air désinvolte. Je m’avance lentement.
— **La soirée a été écourtée.**
Elle pose son verre et fronce les sourcils.
— **Pourquoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?**
Je prends une grande inspiration et lui raconte tout. Les paroles écœurantes de Ramirez, les regards complices de ses collègues, la rage de Morgan, la mienne, et l’intervention tranchante de Hotch et Deacon.
Elle m’écoute sans m’interrompre, son visage impassible. Puis, contre toute attente, elle hausse simplement les épaules.
— **Ça ne me surprend pas,** murmure-t-elle en mordillant distraitement un biscuit. Je fronce les sourcils.
— **Ludivine…** Elle force un sourire, mais il sonne faux.
— **Spencer, ce genre de remarques, j’y ai droit depuis toujours. Tu crois que c’est la première fois qu’un mec parle de moi comme ça ?**
Son ton est léger, mais son regard, lui, est chargé de quelque chose de plus profond. Une douleur silencieuse. Un souvenir me frappe de plein fouet.
--- ### **Flashback**
Nous étions allongés dans son lit, plongés dans l’obscurité. Sa main traçait distraitement des cercles sur ma poitrine, son souffle régulier effleurant ma peau.
— **J’ai grandi entourée d’hommes qui pensaient comme des gougats ,** avait-elle murmuré.
J’avais tourné la tête vers elle, intrigué par son ton amer.
— **Mon père, ses amis, mon frère et ses potes… Ils parlaient des femmes exactement comme ça. Comme des objets, des trophées à exhiber. Et moi, j’étais là, j’entendais tout. J’ai grandi en sachant que, pour eux, une femme n’était jamais plus qu’un corps à posséder.**
J’avais vu son regard se perdre dans le vide, comme si elle revivait ces souvenirs.
— **Je me souviens des soirées où mon père et ses amis buvaient, riaient, racontaient leurs conquêtes avec des détails sordides. Mon frère faisait pareil avec ses potes. Et moi, j’écoutais, impuissante.**
Elle avait ri, un rire sans joie.
— **J’ai appris à sourire, à ne pas réagir, parce que si tu réponds, si tu montres que ça t’affecte, ils prennent ça comme un défi. J’ai grandi en sachant que je devrais toujours me méfier, que je devais éviter les mains baladeuses, les regards trop insitants...**
Un poids immense s’était abattu sur ma poitrine cette nuit-là. Je m’étais juré de ne jamais la laisser être réduite à ça.
--- ### **Retour au présent**
Je la vois devant moi, toujours assise sur son comptoir, jouant distraitement avec le bord de son short.
Je m’approche, posant une main sur sa cuisse nue.
— **Tu ne devrais pas avoir à t’habituer à ça.** Elle détourne le regard, mal à l’aise.
— **Je n’ai pas vraiment eu le choix.**
Je resserre doucement ma prise sur sa peau, traçant lentement du bout des doigts des lignes invisibles sur sa cuisse.
— **Tu mérites mieux, Ludivine.** Elle soupire, passe une main dans ses cheveux et me regarde enfin.
— **Pourquoi ça t’énerve autant ?** Je laisse glisser mes doigts sur sa joue, la caressant avec tendresse.
— **Parce que je t’aime.** Elle écarquille les yeux, figée sous l’aveu brutal. Ses lèvres s’entrouvrent, mais aucun son n’en sort.
Alors, doucement, je l’embrasse. Son corps se tend d’abord, surpris, puis elle cède.
Ses bras s’enroulent autour de mon cou et je la soulève du comptoir, l’emmenant avec moi jusqu’au canapé.
Nos baisers deviennent plus profonds, plus fiévreux. Elle est allongée sous moi, son regard brûlant ancré dans le mien.
Elle glisse ses mains sur ma poitrine, traçant des lignes invisibles avec ses ongles.
— **Ramirez peut m’imaginer dans tous ses fantasmes…** murmure-t-elle contre mes lèvres. **Mais il ne m’aura jamais comme toi tu m’as.**
Ces mots enflamment quelque chose en moi. La rage que j’ai ressentie au bar refait surface, se mélangeant au désir brûlant qui me consume depuis que je l’ai vue ainsi, si naturelle, si belle, si vulnérable et pourtant si forte.
Je veux lui prouver qu’elle est à moi. Je veux lui faire oublier toutes ces voix qui l’ont réduite à un objet de désir.
Alors, cette nuit-là, je suis possessif. Mes mains parcourent sa peau avec une intensité fiévreuse, marquant chaque centimètre de son corps comme s’il m’appartenait.
Je murmure son nom encore et encore, comme une prière, comme une promesse.
Mes doigts glissent sur sa poitrine, effleurant la peau sensible avec une délicatesse contrastant avec l’urgence dans mes gestes.
Elle gémit doucement contre mes lèvres, ses cuisses se pressant contre mes hanches comme si elle cherchait à me sentir plus profondément.
Quand je la touche, ce n’est pas juste du désir. C’est une affirmation.
Une manière de lui montrer qu’elle est bien plus que ce qu’ils voient en elle.
Elle est à moi. Et je suis à elle.
Je la garde contre moi, son souffle chaud effleurant ma peau, mes doigts traçant des chemins invisibles sur son dos nu.
Quand elle s’endort contre mon torse, je resserre mes bras autour d’elle.
Ramirez et tous les autres peuvent dire ce qu’ils veulent. Ils peuvent fantasmer, parler, rêver. Mais ils ne l’auront jamais. Elle est à moi.
Et je ne laisserai jamais personne lui faire croire le contraire. Parce que ce n’est pas juste du désir. C’est de l’amour.
#bibliothèquedesriders#criminal minds#dom spencer reid#dr spencer reid#fandom des esprits criminels#fanfic de spencer reid#fanfiction de spencer reid#fanfiction esprits criminels#mg#5 posts
22 notes
·
View notes
Text

Voilà la grande erreur de toujours : s'imaginer que les êtres pensent ce qu'ils disent. (Jacques Lacan)
Pour saisir le sens de la proposition lacanienne, il convient de la questionner: pourquoi les êtres ne pensent-ils pas ce qu'ils disent ?
Cela veut-il dire qu'ils ne disent pas ce qu'ils pensent?
Non, cela ferait trop signe vers la dissimulation, intentionnelle ou pas, et Lacan aurait alors tourné son assertion autrement.
L'inversion logique qui en permet la saisie, comme souvent chez Lacan, est à faire porter ailleurs.
Si les êtres ne pensent pas ce qu'ils disent, c'est tout simplement qu'ils sont toujours eux-mêmes déjà pensés par ce qu'ils disent, c'est "ce qu'ils disent" qui les pense (panse) et pas l'inverse, ainsi retrouve-t-on le primat, la précession du dire sur le penser qui caractérise la prise en compte de l'inconscient, valable pour tout un chacun (et retombe-t-on ainsi sur les pieds de cette autre formule lacanienne: "le langage avant de signifier quelque chose signifie pour quelqu'un").
Lorsque tu dis quelque chose, tu en dis plus sur toi (c'est à dire dans quel discours se prend ton sujet) que sur ce dont tu crois que tu parles.
Les mots que tu dis, le lexique d'où ils viennent, la syntaxe qui les organise décrivent le monde dans lequel tu es, là où ton sujet est pris.
La psychanalyse est à la fois une clinique du discours et un discours, ce "discours" - dans son acception précise lacanienne est celui où l'homme dit de "raison" peut renouer conversation avec la folie - redécouvrant ainsi la dimension de vérité qui lui est inhérente.
Voilà pourquoi le Discours de l'Analyste n'est pas le discours des psychanalystes (pas plus que le Discours Capitaliste n'est le discours des capitalistes), ces Discours (4+1) sont des effets de structure et de logique ; pour la psychanalyse, ce n'est pas le sujet qui tient un discours, mais bien un Discours qui tient le sujet (le sujet au sens lacanien, qui se note $, "sujet barré", ne parle pas, ça parle de lui, et c'est par là qu'il s'appréhende...)
Voilà ce qui devrait permettre d'entendre pourquoi le sujet du signifiant, le sujet de la psychanalyse N'EST PAS à confondre avec le sujet de la philosophie (cf. Herméneutique du sujet de Michel Foucault), comme cela est parfaitement exprimé dans l'assertion de Lacan pour qui "le sujet est toujours représenté par un signifiant pour un autre signifiant qui ne le représente pas"...
7 notes
·
View notes
Text
[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.

Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.

C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:

Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité.
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs Vous vagabondiez et elle fantasmait Elle a cultivée, avec les philosophes une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
#s36e03 sicilian and seafood#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
33 notes
·
View notes
Text

"En réalité, comme Orwell n’a cessé de le souligner, il est évident que l’apparition et le développement concret de ces différents totalitarismes (quel que soit, par ailleurs, la part indiscutable qui doit revenir aux conditions locales et aux facteurs "matériels" au sens étroit du terme) demeurent strictement incompréhensibles tant que l’on refuse de reconnaître un rôle central au projet idéologique typiquement moderne, porté par certains secteurs déterminés de l’intelligentsia contemporaine, d’organiser scientifiquement l’humanité. Il va de soi que cette remarque vaut également pour l’idéologie libérale dont les élites politiques occidentales (sous des formes assurément très différentes, mais néanmoins dépendantes du même imaginaire) ont entrepris, depuis maintenant plus de deux siècles, de matérialiser les dogmes à l’échelle du monde entier."
Jean-Claude Michéa, L’empire du moindre mal, 2010.
13 notes
·
View notes
Text
Us & Coutume - Généralités
La Monnaie
En Elyrian ou dans les royaumes voisins, la monnaie, aussi nommée l’Aekel, est la même partout. Frappées à l'effigie d’un kelpie, les pièces de monnaie sont aujourd'hui l'unique façon de commercer, en dehors du troc dans les régions les plus reculées. Le cour de la monnaie ne fluctue jamais et reste toujours stable. Les pièces sont au nombre de trois : des piécettes en or, en argent et en bronze.
1 pièce d'or = 5 pièces d'argent. 1 pièce d'argent = 10 pièces de bronze.
Le Langage
L'Elyrath est la langue commune en Elyrian, ayant évolué au fil des siècles et engendré divers patois dans les différents archipels, mais restant intelligible par tous les Elyriens. Cependant, en raison des échanges commerciaux avec les royaumes voisins, l'Aethelis est couramment parlé, notamment à Nepthis et Cresta, ainsi que parmi les familles nobles et érudites du royaume.
Le Commerce
En ce qui concerne le commerce, ce dernier tient évidemment une part très importante dans l'économie du royaume. En effet, chaque archipel possède ses propres denrées, ses propres spécialités que l'on ne peut trouver ailleurs :
Archipel de Nehenor : Commerce global – Minerais de pierre – Armurerie – Coquillages – Pêche – Production fruitière – Production de chanvre – Epices – Bétail – Perles précieuses – Artisanat magique – Joaillerie –Minerai de sel
Archipel de Takalan : Commerce Illégal – Artefacts rares – Artisanat précieux (bois & pierres) – Production de rhum – Épices – Café – Sucre – Production fruitière – Cueillette – Pêche – Minerai d’or – Chasse – Potions – Herboristerie – Alchimie – Archéologie
Archipel de Njorei : Armurerie – Minerais de diamant et d’argent – Construction Navale – Elevage de bétail – Cuir – Minerai de fer – Céréales – Production d’Eau de Vie – Défense militaire – Ecole Militaire – Commerce global
L'Education
La transmission des valeurs et du savoir est un fondement essentiel de la société elyrienne. Chaque enfant né au sein du royaume a le droit de recevoir un apprentissage, bien que les disparités sociales influencent grandement la qualité et l’étendue de cette éducation. Les familles nobles et fortunées offrent à leurs enfants un enseignement approfondi et spécialisé, tandis que les classes populaires doivent souvent se contenter d’un apprentissage plus rudimentaire.
L’entrée à l’école est fixée partout au même âge : 10 ans. Avant cela, les enfants sont instruits à la maison par leurs parents ou un précepteur lorsqu’ils en ont les moyens. Dans les villages et les villes, des enseignements collectifs sont parfois organisés pour regrouper les plus jeunes et leur transmettre les bases de la lecture, du calcul et des traditions elyriennes.
L’école n’est pas obligatoire, mais fortement encouragée par les hautes autorités, qui y voient un moyen d’unifier le peuple et d’assurer la pérennité du royaume. L’enseignement général se termine à 18 ans, âge de la majorité en Elyrian. Au-delà, seuls les plus érudits peuvent poursuivre leurs études auprès de spécialistes dans les grandes villes. Toutefois, cet apprentissage avancé n’est pas gratuit et reste principalement accessible aux familles les plus aisées, capables de payer les érudits, alchimistes ou maîtres d’armes les plus renommés.
La mode & les vêtements
L'apparence joue un rôle primordial dans la culture d'Elyrian, quel que soit le statut social ou la richesse d'un individu. Le royaume valorise l'élégance et l'originalité, et chaque vêtement, qu’il soit simple ou somptueux, est un reflet du statut, des origines et de l'appartenance à un archipel. Les matériaux utilisés pour confectionner les habits sont un indicateur de la classe sociale d'un individu : plus les tissus sont précieux, plus leur porteur se distingue comme étant de haute naissance ou de grande richesse.
Matières répandues : la soie, le lin, le velours, le coton.
Matières plus rares : l’écaille de mer polie, le cuir finement tissé, le cachemire des montagnes de Nehenor.
Chaque archipel d'Elyrian possède ses propres codes de mode, en adéquation avec le climat et les spécificités locales :
Nehenor - Étant les principaux producteurs de textiles du royaume, les habitants créent des vêtements sophistiqués et d'une grande qualité, souvent décorés de motifs représentant les souffles et les courants marins qui dominent leur archipel.
Takalan - A Takalan, la mode s'inspire de la nature luxuriante de la forêt tropicale, avec des matériaux légers et des motifs inspirés des plantes et des animaux.
Njorei - A Njorei, les habits sont conçus pour être pratiques et résistants, adaptés aux conditions difficiles des îles les plus exposées aux tempêtes.
Les femmes Elyriennes portent principalement des robes somptueuses, souvent cintrées à la taille, avec des jupes longues ou mi-longues, mais peuvent également opter pour des pantalons, plus pratiques dans certaines situations. Les vêtements peuvent laisser entrevoir une partie du corps : jambes, dos ou épaules, car la nudité n’est pas perçue comme un tabou dans le royaume, bien que la pudeur soit toujours respectée dans les contextes intimes.
Us & Coutumes - La société
Classes sociales
Les classes sociales d'Elyrian sont principalement déterminées par la richesse, l'influence et l'origine.
Noblesse : Au sommet de la hiérarchie, composée des seigneurs des archipels, des conseillers du Monarque et des familles influentes. Ils détiennent le pouvoir politique et économique.
Marchands et Artisans : Riches et influents, mais en dehors de la noblesse. Ils jouent un rôle clé dans le commerce, la production et l'artisanat.
Citadins et Habitants : Classe moyenne, vivant dans les villes ou villages, travaillant dans des métiers divers mais sans grande influence.
Paysans et Ouvriers : Au bas de l’échelle, ils travaillent la terre, la pêche ou dans des usines, avec peu de droits et de ressources.
Hors-la-loi et Prisonniers : Une classe inférieure, souvent réduite à des travaux forcés, généralement issus de guerres ou de dettes impayées.
Moeurs
À Elyrian, les âmes s’unissent sans entraves, guidées par le cœur, plutôt que par des conventions rigides. L’amour y est fluide et il ne connaît ni barrières, ni interdits. Hommes, femmes, personnes de tous horizons et identités trouvent leur place sans avoir à se justifier : ici, être soi-même est une évidence, et non un combat. Les regards en biais n'existent pas, car l’amour et l’identité ne sont pas des sujets de débat.
Mariage & Divorce
Le mariage à Elyrian est une institution sacrée, considérée comme l’union de deux âmes sous la bénédiction des dieux. Il est vu comme un engagement à vie, renforcé par des cérémonies religieuses. Le divorce, bien qu'accepté légalement, est extrêmement mal vu par la société, car il est perçu comme un échec de l’harmonie divine entre les époux. Ceux qui se séparent sont souvent stigmatisés, et leur réputation peut en souffrir. Cependant, dans des cas de violences ou d'infidélités graves, des exceptions peuvent être faites.
Naissances hors mariage
Le mariage est la norme au sein des couples et un enfant né hors de cette union est toujours mal vu. Les bâtards nobles sont bien souvent rejetés voire même tués dans des cas extrêmes à la naissance afin d'éviter un quelconque problème avec la succession.
Rites Funéraires
Les Elyriens honorent leurs morts lors de cérémonies nocturnes, empreintes de silence, de respect et de lumière. Ces rites, appelés Passage des Ombres, marquent le dernier voyage d’une âme vers l’au-delà. Deux voies sont traditionnellement possibles :
L’inhumation en mer, réservée aux marins, pêcheurs ou âmes ayant voué leur vie à l’océan. Le corps est enveloppé dans un linceul, lesté de pierres ou de chaînes rituelles, puis confié aux flots lors d’une veillée sous les étoiles. Une torche allumée est lancée à la mer pour guider l’âme, et une pièce d’argent est posée sur chaque paupière du défunt afin qu’il puisse “payer la traversée”.
Le bûcher funéraire, plus répandu sur la terre ferme ou pour ceux liés au souffle des plantes. Le feu est considéré comme une force de purification. Les cendres sont souvent dispersées dans les jardins sacrés ou au sommet des falaises, là où souffle le vent.
Quel que soit le rituel choisi, le nom du défunt est gravé sur une tablette de bois déposée dans un sanctuaire dédié à Myrron, divinité du passage. Des prières y sont murmurées pour éviter que l’âme ne se perde ou ne revienne hanter les vivants. Dans certaines régions, les proches portent un fil noir autour du poignet pendant sept jours pour marquer le deuil, avant de le couper lors d’un dernier adieu sur les flots ou autour des braises éteintes.
Comportements Sociaux
Le geste du souffle : Pour saluer ou remercier quelqu’un de manière respectueuse, un Elyrien pose deux doigts contre ses lèvres, puis les étend vers l’autre personne, comme s’il envoyait un souffle. C’est un signe de paix, de gratitude ou de reconnaissance.
Ne pas parler de son souffle subtil en public : Par tradition (et superstition), on évite de parler de son souffle subtil à haute voix, surtout devant des étrangers. Il est considéré comme intime, parfois comme un mystère sacré confié par les dieux. L’évoquer directement peut être perçu comme prétentieux ou dangereux.
Offrir un objet lié aux souffles : Pour marquer une alliance, une amitié ou un pardon, il est courant d’offrir un petit objet naturel lié au souffle de l’autre (plume, pierre polie, graine, goutte de verre, etc.). Le refuser est une offense grave.
Tresser les liens : Les Elyriens tressent souvent des cordons de fil, d’algue ou de cuir pour symboliser des liens (familiaux, amoureux, d’équipage). Ces tresses peuvent être portées au poignet, à la cheville ou tressées dans les cheveux. Les couper volontairement est un acte fort.
L’importance des noms : Changer de nom, ou le cacher, est un acte grave. Un nom public peut être donné à la naissance, mais certains Elyriens portent aussi un nom intime, connu de quelques personnes. Le révéler est un geste d’amour, de confiance... ou de manipulation.
Ne jamais pointer vers la mer : Pointer du doigt vers la mer est un geste mal vu, car cela revient à accuser l’océan, à le défier. On montre plutôt d’un geste vague du bras : c’est un signe de respect pour l’indomptable.
Et voilà le poisson ! La partie 2 de cette annexe arrivera très bientôt, stay tuned ! 💙
#forumactif#fantasy rpg#forum rpg#forums rpg#projet rpg#rpg#annexes#medfan#projet forum rpg#coutumes
4 notes
·
View notes
Text





Automne 1923 - Champs-les-Sims
5/7
Quand à Noé, elle ne fréquente plus le jeune Kleber dont je vous avais parlé. Je ne sais pas si elle s'est entichée d'un autre jeune homme depuis, mais je ne le pense pas. Elle passe ses journées à travailler, et elle ne quitte jamais le domaine, ou presque. Savez vous qu'elle a convaincue ses soeurs de venir aider à la vendange comme les faisaient autrefois les femmes de la famille. J'y ai moi-même pris part et c'était très stimulant. La chaleur était atroce, mais je pense que cela a fait du bien à tout le monde et renforcé les liens entre les filles. Je suis curieuse de voir quel jeune homme captera son regard, un futur époux peut-être. Cela vous semblera peut-être un peu vain de ma part, mais j'aimerai que ma fille épouse quelqu'un de son propre choix et pas quelqu'un choisi par Madame Eugénie, comme l'aïeule y aspire.
Transcription :
Arsinoé « Tu es venu ! »
Jean « Je n’ai qu’une seule parole Mademoiselle Noé. »
Arsinoé « En fait, je n’étais pas sûr que tu trouverais mon billet… »
Jean « J’ai attendu que Monsieur Barbois regarde ailleurs. Tu sais, je ne suis pas le seul ouvrier qu’il doit surveiller pendant les vendanges. Mais tu as tout de même de la chance que personne n’ai trouvé ton mot avant moi. Sois plus prudente la prochaine fois. Dissimule-le dans ma hotte par exemple. »
Arsinoé « J’avoue que je n’y avais pas pensé… Enfin, le plus important c’est que tu sois là ! »
Jean « Oui, nous allons enfin avoir un peu de temps pour parler. »
Arsinoé « Et plus encore j’espère ! Enfin… hum, je voulais dire en apprendre un peu plus l’un sur l’autre, ce genre de choses. »
Jean « Ouf, tu m’as fichue une de ces frousses. Je ne veux pas… bref… Je fois rester raisonnable devant la fille du patron. »
Arsinoé « En fait, c’est moi la patronne.»
Jean « Pardon ? »
Arsinoé « Oui, enfin, quand j’aurai vingt-et-un an j’en deviendrai la gérante officielle. »
Jean « Mince… Tu ne plaisantes pas ! C’est toi la fille Le Bris ? »
Arsinoé « Tu imaginais que j’étais qui au juste ? Je ne lui ressemble absolument pas à Adelphe pourtant. »
Jean « Le patron… ton oncle a plusieurs filles non ? Je pensais que tu en étais une et que Noé était un diminutif pour Noëlle, et pas Arsinoé. Bah mince alors, je sors le soir avec la fille à marier la plus riche de la région ! »
Arsinoé « N’exagérons rien… Je ne suis pas à marier, et nous ne sommes pas si riches que cela. »
Jean « Si, j’en suis positivement sur. A Seraincourt, tout le monde sait qui sont les Le Bris de la Butte au Chêne. Arsinoé… pardon… Mademoiselle Le Bris… tu… pardon vous êtes sure que vous voulez que nous continuions à nous voir ? »
Arsinoé « Seigneur… Pour commencer, à part mon père, personne ne m’appelle Arsinoé. C’est juste Noé. Ensuite, ne me vouvoie pas en me donnant du Mademoiselle… sauf si c’est pour me taquiner. »
Jean « Bon sang… Si il apprend que j’ai tutoyé et parlé de façon familière à une fille de bonne famille, mon père va me tuer, c’est sur ! »
Arsinoé « Alors oublie tout ça! J’ai envie de passer une bonne soirée avec toi. Après tout, on s’en fiche de qui je suis non ? Je suis une fille banale, tu es un garçon banal. Et nous avons décidé de se voir en cachette, tels les deux amoureux que nous sommes, derrière chez moi avant que quelqu’un ne remarque mon absence. »
Jean « Dire que ce palais est là où tu vis... »
Arsinoé « Allez Jean, on oublie ça aussi ! »
Jean « Bon d’accord… Noé. »
Arsinoé « Mon pauvre, tu as l’air tout chamboulé. Viens donc dans mes bras... »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Arsinoé Le Bris#Jean Davires#Adelphe Barbois#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris
8 notes
·
View notes
Text

Téma la grande école qui forme nos politiques quels que soient leur idéologie, corrompue par les marques qui financent un génocide tranquilou
C'est d'ailleurs le moment de vous rappeler de faire vos courses ailleurs qu'à Carrefour
6 notes
·
View notes
Text
Brouillon 5 29/25
-Je suis sobre, dit Jean.
Sa peau a l'air presque rose
Il continue,
Et tu peux pas savoir à quel point je deteste ça. J'ai enfilé un costume de Junkie, et jai quand même décidé de mettre une cravate.
-"je, je, je, je, je", répond Saul.
-"JE!" T'emmerde, Saul, mon amour, mon ami.
-Ça c'est bien toi.
- Et je vous emmerde aussi, mes amours, mes amis. Tous autant que vous êtes. Hélène lance depuis le fond de la pièce.
Elle continue,
- ça sent la merde cette histoire, je vais m'en aller de cette foutue ferme, si on peut encore appeller ça une ferme après tout ce que Henri veux en faire. Je vais m'en aller, claquer la porte au nez de tout le monde, et tant pis pour Greta. Je vais m'en aller, et si vous voulez encore voir ma tête vous aurez qu'à vous en aller aussi.
- Dis, tu connais pas une Odile? Jean demande.
- Tu m'écoutes pas, répond Hélène.
-Sérieusement, ça te dit rien?
-Si, j'étais à l'école avec elle quand j'habitais à la mer. Je savais pas qu'elle aussi elle etait venue jusqu'ici.
-Ça on en sais rien, dit Saul. Mais on entend beaucoup parler d'elle. On dit qu'elle a des choses qu'on trouve nulle part ailleurs.
- Elle voyageait beaucoup, oui. Ça ne m'étonne pas, dit Hélène.
-Des plantes tricolores! dit Jean. Des plantes tricolores qui t'en font voir de toutes les couleurs. Et puis tout un tas d'autres trucs aussi, des cachetons, du speed, de la poudre, et sans oublier, le soit-disant plus beau cul du monde.
-En fin de compte Jean tu devrais rester, je suis sûre que toi et Henri vous allez bien vous entendre sur un tas de choses. Toi aussi Saul! Ça a l'air davoir piqué ton intérêt toutes ces histoires. Vous avez qu'à reprendre la ferme et la transformer en pharmacie clandestine, je sais pas, pourquoi pas? Vous mettez deux trois coussins au sol et une pancarte à l'entrée " fumerie d'opium"; ou alors encore mieux, une maison close! Comme ça, quand les putes prendront leur pauses elle pourront aller jouer à la poupée avec Jeanne, qu'est-ce que vous en pensez?
-fais pas la bonne soeur, Hélène. Tu nous a pris pour des tordus ou quoi? Jean est assis sur le lit, il nettoie sa bayonette.
-On pourra discuter comme des adultes quand tu auras rangé ton jouet hors de ma vue, repond Hélène. En attendant, tout ce que vous dites c'est un ramassis de conneries.
-J'ai rien dit, moi. dit Saul.
-Elle était comment, Odile, la dernière fois que tu l'a vue? Jean pose la bayonette au pied de l'armoire avant de se tourner vers Hélène.
-Elle était très jolie et complètement dingue. Un peu avant que je parte j'ai appris qu'elle etait enceinte. Ça fait deux ans, j'espère que le gosse va bien. C'était pas le genre de personne qu'on imagine devenir parent. Je la connaissais pas beaucoup, je crois même que j'ai jamais vraiment parlé avec elle. Elle aimait bien faire toute une legende d'elle même. Elle s'en allait souvent, personne savait jamais trop où.
-J'aimerais bien aller dans ce coin là, moi. Dit Saul
Il continue,
Aller voir la mer, et tout ça. Quand mon frère est mort, c'était sous un ciel couvert de mouettes.
2 notes
·
View notes
Text
Attention : si vous n’avez pas envie de lire des complaintes de meuf qui râle alors qu’elle a la chance d’être en tour du monde passez votre chemin. Sinon je vous invite à continuer votre lecture pour voir à quel point je suis encore bien française.
Cela fait maintenant 7 mois que je suis partie de France et ça me parait une éternité. Les expériences que je vis sont exceptionnelles et inoubliables. Sauf que parfois il y a aussi des moments de down où on a beau faire les trucs les plus fous qu’on ait jamais fait on arrive pas vraiment à profiter. Ça peut aller du petit coup de blues style « j’ai un peu la flemme de faire ça » au vrai mal du pays où tout semble trop nul parce que c’est pas français et où on a plus envie de sortir de se chambre (ou de son lit dans son hostel).
Depuis quelques jours c’est ce que je ressens. Je pense que le contraste Nouvelle-Zélande avec les Fidji n’a pas aidé mais il y a aussi une certaine lassitude.
D’abord je pense qu’à force de faire des choses nouvelles tous les jours on finit par « user » son capital émerveillement et ce qui nous semblait incroyable au début fini par paraître banal soit parce qu’on le compare à autre chose qu’on a vu ailleurs soit parce qu’on s’est tellement habitué à voir des choses inattendues qu’on finit par s’émerveiller pour les choses ordinaires. Pour vous donner un exemple, j’étais aux anges de voir une 307 Peugeot grise en NZ la semaine dernière. C’est là que je suis contente d’avoir des amis qui me rejoigne pour certaines étapes et qui n’ont pas encore entamer leur capital « wouah ».
Ensuite il y a la fatigue que peut provoquer le voyage. J’ai lu quelque part que voyager n’est pas toujours synonyme de vacances, en effet il faut en permanence prévoir, planifier la suite du voyage, gérer un budget, faire des benchmarks pour tout, ne pas se tromper dans les dates, choisir les meilleures activités. Et c’est d’autant plus difficile quand on est tout.e seul.e parce qu’on ne peut pas partager les tâches.
Il y aussi des trucs où j’ai atteint un point de non retour. Je veux parler du sac à dos. Être niveau 57 en Tetris pour fermer le sac, marcher avec le tiers de mon poids sur le dos, avoir l’impression de me balader avec une tonne de trucs alors que je porte les mêmes fringues tout le temps (rotation de 7 jours max). Et je veux aussi parler des trajets en avion avec son nombre d’étapes infini : aller jusqu’à l’aéroport, déposer son bagage, passer la sécurité et parfois l’immigration, attendre, payer un café aussi cher qu’une nuit d’hotel, attendre, embarquer, avoir la place du milieu, ne pas arriver à dormir, écouter les enfants hurler, manger des trucs beurk, sortir complètement décalqué.e, attendre son bagage, passer la douane, se faire fouiller son sac, parfois dormir sur le sol en attendant son prochain vol, devoir calculer les fuseaux horaires, etc. Tout ça saupoudrer de gens qui découvre la vie et savent pas faire fonctionner un sèche main Dyson, alors vous imaginez les portails d’immigration électroniques! Le seul point chouette de l’avion, enfin des gros avions, c’est que c’est le seul endroit où je regarde des films en ce moment.
Et puis il y a une fatigue plus insidieuse moins évidente. On dit que l’homme est un être d’habitudes et il y a une bonne raison à ça. Prendre des décisions demandes de l’énergie, il faut réfléchir aux options, les évaluer, en choisir une et la réaliser. Quand on pense à prendre des décisions on pense à choisir ses études post-bac ou la dates de ses vacances. Mais ce qu’on ne se rend pas compte c’est que le quotidien le plus simple est fait de micro décisions : comment vous vous brossez les dents, ce que vous mangez au petit-dej, l’ordre dans lequel vous vous habillez, etc. Et les habitudes permettent au cerveau d’économiser une quantité folle d’énergie en écrivant un programme qu’on suit sans se rendre compte. Heureusement sinon on arriverait au boulot sur les rotules. Dans un environnement familier on ne s’en rend pas compte et on est hyper efficace. Sauf qu’en voyage on change de pays et de culture tous les mois, de logements tous les deux jours. Il faut constamment réinventer son quotidien pour l’adapter et on ne se rend pas compte mais ça demande énormément d’énergie. On ne mange pas la même chose partout, on ne fait même pas les courses de la même manière partout! Avant de prendre une décision il y a donc une étape supplémentaire c’est savoir comment on fait ici. Je vous raconte même pas quand il faut faire les lessive, surtout dans les pays pas très développés où il faut demander au voisin du village d’à côté pour laver ses petites culottes avec les boxers d’un inconnu.
C’est épuisant et à ça s’ajoute la nostalgie des spécialités françaises (je vais pas vous mentir ce matin j’ai regardé des photos de croissants pendants 5 min) et la solitude. Ce voyage j’ai choisi de le faire seule et je ne regrette pas parce que je sais qu’un voyage partagé du début à la fin aurait été impossible pour moi comme pour l’autre personne. Et même si je rencontre plein de gens, c’est pas à chaque coin de rue qu’on rencontre des gens avec qui ça clique. Et parfois ce dont on a envie c’est pas forcément d’une échange hyper intense mais juste quelqu’un qui est là pour te tenir compagnie quand tu conduis, pour dire que la bouffe est bonne (ou pas), pour se marrer ou pour surveiller tes affaires quand tu vas aux toilettes.
Parfois le seul truc dont je rêve c’est de me réveiller chez la daronne en mode automatique et vivre une journée classique. Faire un puzzle en buvant un bon thé, faire un câlin à ma mère, un croissant bien beurré pour le goûter, faire les courses chez Auchan, refaire le monde avec mes sœurs, boire un coup dans un bar et une bonne nuit de sommeil avec un BON OREILLER!
J’ai mis des photos nostalgie du coup.









2 notes
·
View notes
Text
OH NON VOUS NE POUVEZ PAS RÉARMER L’EUROPE ET DEVENIR INDÉPENDANTS !
Les larbins de Mumbaï Musk en surchauffe.
Cette catin néerlandaise a réussi à se hisser grâce à son cul et grâce à Musk, à présent c’est le moment du renvoi d’ascenseur à ses employeurs.
Les eurocrates sont devenus complètement fous.@vonderleyen réserve 800 milliards d’euros de dépenses de défense européenne pour soutenir l’Ukraine.
Leur position par défaut est de revendiquer une supériorité morale en faisant exactement le contraire de tout ce que fait @realDonaldTrump – même si cela déclenche la Troisième Guerre mondiale.

Cette garce ne crise pas sur le budget militaire américain.
Pourquoi ?
Et pourquoi cette pute n’a-t-elle rien dit sur les menaces d’annexion du Groenland ?
Les Américains cauchemardent à l’idée que l’Europe s’organise hors de leur orbite.
Une heure sépare ces deux tweets.
Ils veulent la guerre éternelle.
Combien de parents sans fils ?
Combien d’enfants sans père ?
Selon leur logique, cela ne s’arrête jamais.


Militariste aux USA, pacifiste en Europe.
Qui ne voit pas clair dans le jeu de Mumbaï Musk ?
Il y a deux choses distinctes ici.
Le réarmement du continent après trente cinq ans de pacifisme libéral
La guerre en Ukraine
Je suis pour le réarmement massif de l’Europe, étape indispensable à son indépendance vis-à-vis de l’Amérique juive.
Je suis contre la guerre en Ukraine, obstacle à l’alliance stratégique euro-russe.
Être contre la guerre en Ukraine n’est pas la même chose que d’être faible, désarmé, passif, et aligné sur le gangster sioniste de la Maison Blanche.
Ce sont deux choses différentes.
Peu importe le contexte, l’Europe doit être armée, très armée. Si demain matin la Turquie décidait d’envahir la Bulgarie puis les Balkans, nous ne pourrions que regarder, impuissants, Erdogan agir.
Nous étions devenus des homosexuels soumis aux États-Unis, mais ça change sous la dynamique des évènements.
Trump ne s’attendait pas à voir l’Europe bouger face à la marginalisation brutale qu’il cherche à lui imposer. Du point de vue des Américains, mais aussi des Russes et des Chinois, l’Europe est un continent impotent.
L’annonce de ce plan de réarmement de 800 milliards d’euros les a laissés stupéfaits.
Dans leur esprit, c’était une impossibilité, les Européens ne pouvaient pas faire preuve de volonté, encore moins de capacité de décision.
Cela va prendre du temps, mais l’Europe va se doter de moyens militaires considérables qui vont surclasser ceux des Russes (sauf sur le plan nucléaire) ou des Turcs, et faire réfléchir les Américains à deux fois avant de nous provoquer.
La seule Allemagne a annoncé un plan d’armement de 1000 milliards d’euros d’investissements dans sa défense sur les dix années à venir, soit 100 milliards de plus qu’actuellement tous les ans.
Le budget de la défense allemand va passer de 70 à 170 milliards d’euros, soit 20% du budget militaire américain actuel et 150% du budget militaire de la Russie actuel.

La droite marron trumpiste n’aime pas cette perspective galvanisante.
Les Européens sortent de leur léthargie et c’est très positif.
Il nous faut une politique de puissance et, par ailleurs, cela offre à la France une opportunité exceptionnelle de soutenir et de développer son industrie militaire.
Je ne suis pas américain, et si je suis pro-russe, je suis d’abord européen et il n’y aura jamais d’alliance avec la Russie sans que nous ne soyons une véritable puissance mondiale pour commencer.
Plus fondamentalement, je suis partisan d’une doctrine Monroe européenne : pas d’ingérence extérieure dans les affaires continentales, à commencer par celle de ces Américains obèses.
Jamais une politique de faiblesse ne peut être une solution pour y parvenir.
Il est impossible pour nous de voir les juifs de la Maison Blanche dicter les affaires sur notre continent au point de nous écarter physiquement de toutes les discussions le concernant. L’accepter, c’est sortir définitivement de l’histoire, devenir une Union Africaine bis.
Quel homme blanc d’Europe peut envisager ça avec enthousiasme ?
C’est aussi une opportunité pour pulvériser les dépenses sociales et les investir dans des choses tangibles. Il n’y a rien de plus tangible que de la technologie militaire.
Cette militarisation de principe est une bonne chose, mais il faut avancer vers la militarisation de la société, étape indispensable à la renaissance du fascisme européen et de l’Europe tout court.
Les valeurs femelles anti-militaristes sont résolument une relique du passé.
youtube
Démocratie Participative
2 notes
·
View notes
Text
Interstellar Medic : The long run, par Patrick Chiles (Baen, février 2025)

De nos jours, Melanie Mooney est paramedic (infirmière-urgentiste en unité mobile). Le hasard, sa compétence et son empathie naturelle la font choisir comme sujet test par « The Galactic Union » pour intégrer le « Galactic Union Medical Corp »…
Les histoires d’humains enlevés par des non-humains pour les amener ailleurs et/ou demain sont consubstantielles de la SF, et ce roman aurait pu être écrit à n’importe quel moment entre 1926 et aujourd’hui (à quelques détails technologiques près). Cette version feel good se lit avec plaisir et j’attends le second volume, « The long way home », pour cet été.
2 notes
·
View notes
Text
tagged par @briselegeredansletemps (merci, c'est la première fois de ma vie qu'on me tag -osekour-, c'est un honneur !)
When was the last time you cried: Vendredi soir. J'ai fait une big crise d'angoisse, j'étais en larme, accoudée à mon balcon, une clope à la main en train de remettre l'entièreté de ma vie en question. Caricatural mais véridique.
Do you have kids: pas biologique non, en revanche, mon mec se comporte comme tel, ça compte je pense.
What sports do you play/have you played: J'ai fait de la danse classique 8 ans avant de réaliser que j'aimais pas. De la gym 5 ans puis jme suis pétée le yep. Ensuite, j'ai opté pour un mode de vie sédentaire parsemé de séance de yoga et de courses le samedi matin.
Do you use sarcasme: mon identité est construite sur/autour/avec ce concept.
Whats the first thing you notice about people: les yeux, ça en dit toujours plus que ce que les gens veulent bien (se) l'avouer. Tout ment, tout trompe, tout illusionne, sauf le regard.
Whats your eyes color: marron. Aller noisette pour le body positive. Franchement, anecdotique.
Scary movie or happy ending: je préfère les scary movies aux happy ending (parce que quel ennui sérieusement) mais je préfère tout le reste du spectre pas représenté ici aux scary movies.
Any talents? : je sais faire la grenouille avec ma bouche. Je sais tenir mon arbre droit autant de temps je veux.
Where were you born: dans un hôpital ? (Aller c bon l'humour pour aujourd'hui, en France)
What are your hobbies: j'ai pas de préférence particulière pour des trucs en particulier.
Do you have any pets: 2 chats chez mes darons, 1 (mon mec) en alternance à mon appart.
How tall are you: 1.60m
Favorite subject in school: j'ai bien aimé la psychologie cognitive au semestre dernier, très intéressant, assez intuitif.
Dream job: ça ne m'a jamais fait rêver de travailler navrée (peut-être thanatopractrice)
So now tag other people:
J'ai aucun pote sur Tumblr mdrr, je vais donc identifier des personnes que je vois souvent passer et qui sont intéressantes (désolée si vous êtes déjà taggué.e ailleurs et désolée si on se connait pas):
@perduedansmatete, @frenchpatate, @quandvientlapluie, @unjournalasoi, @lekintsugihumain
12 notes
·
View notes
Text

"La machine c’est l’infection même. La défaite suprême ! Quel flanc ! Quel bidon ! La machine la mieux stylée n’a jamais délivré personne. Elle abrutit l’Homme plus cruellement et c’est tout ! J’ai été médecin chez Ford, je sais ce que je raconte. Tous les Fords se ressemblent, soviétiques ou non !... Se reposer sur la machine, c’est seulement une excuse de plus pour continuer les vacheries. C’est éluder la vraie question, la seule, l’intime, la suprême, celle qu’est tout au fond de tout bonhomme, dans sa viande même, dans son cassis et pas ailleurs !... Le véritable inconnu de toutes les sociétés possibles ou impossibles… Personne de ça n’en parle jamais, c’est pas "politique" !... C’est le Tabou colossal !... La question "ultime" défendue ! Pourtant qu’il soit debout, à quatre pattes, couché, à l’envers, l’Homme n’a jamais eu, en l’air et sur terre, qu’un seul tyran : lui-même !..."
Louis-Ferdinand Céline, Mea Culpa, 1936.
15 notes
·
View notes