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#Philosophie stoïcienne
massi-arezki · 2 months
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Donnez un sens à votre vie
On l’entend souvent, la vie est courte, mais faisons-nous vraiment attention à cette expression ? Profitons-nous réellement de chaque instant de notre vie ? Quel est le but de notre vie ? C’est la question que je me suis posée en écrivant cet article. Je veux que chacun de nous trouve un sens à sa vie, car c’est très important. Chaque jour peut passer à une telle vitesse que toutes les choses…
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shininghorizon · 5 months
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“VEUILLE QUE LES CHOSES ARRIVENT COMME ELLES ARRIVENT ET TU SERAS HEUREUX” (EPICTÈTE)
La citation d’Epictète, “Ne demande pas que ce qui arrive arrive comme tu veux. Veuille que les choses arrivent comme elles arrivent, et tu seras heureux”, se trouve au paragraphe VIII du Manuel et exprime un principe clé de la philosophie stoïcienne qui porte sur le bonheur et la tranquillité de l’âme obtenue grâce à l’ascèse.
ASCÈSE:
Effort visant à la perfection spirituelle par une discipline constante de vie. Manière de vivre de quelqu'un qui s'impose certaines privations.
Pour Epictète, le bonheur réside dans notre capacité à accepter les choses telles qu’elles se présentent, sans résistance ni attachement excessif à nos désirs ou attentes. Il suggère que la source de notre malheur réside souvent dans notre lutte contre les réalités inévitables de la vie et dans notre insatisfaction face à ce qui se produit alors même que le destin est tout à fait hors de nos prises et qu’il ne dépend pas de nous.
Ce qui dépend de nous, c’est à dire de notre faculté raisonnable libre (la prohairesis), c’est de cultiver une attitude de détachement par rapport aux circonstances extérieures. Plutôt que de s’accrocher à des attentes rigides ou de résister aux événements qui échappent à notre contrôle, Epictète invite à adopter une disposition mentale qui favorise l’acceptation et l’adaptation.
Cela ne signifie pas que nous devrions être passifs ou indifférents face aux événements, mais plutôt que nous devrions être capables d’accepter avec sérénité les situations que nous ne pouvons pas changer. Epictète soutient que notre bonheur dépend en grande partie de notre capacité à maîtriser nos pensées, nos jugements et nos émotions, plutôt que d’être déterminé par des circonstances extérieures sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle. Bien souvent, ce ne sont pas les choses qui arrivent qui troublent la tranquillité de notre âme mais seulement les jugements que l’on porte sur ces choses.
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word16 · 1 month
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NIETZSCHE CONCEPTS
AMOR FATI
Amor fati est une locution latine qui fut introduite par le philosophe allemand Friedrich Nietzsche au XIXe siècle (et non par le stoïcien romain Marc Aurèle, comme on le dit parfois)1. Amor fati signifie « l'amour du destin » ou « l'amour de la destinée », ou plus communément le fait « d'accepter son destin ».
L’amor fati est souvent assimilé au fatalisme, mais c'est un contresens. L’amor fati doit plutôt être considéré comme un amour du devenir et du chaos que constitue parfois la réalité. Cet amour n’est pas une résignation passive face à ce qui arrive, ce n’est pas une obéissance servile aux évènements.
Certes, l’amor fati a pour conséquence d'accepter son destin, d'accepter cette fatalité qui nous dépasse et dont nous faisons partie nous aussi, nous qui sommes "un pan de fatalité"2.
Mais le fait que Nietzsche souligne, de façon assez stoïcienne, cette prééminence du destin et de la fatalité n’est pas un argument suffisant pour réduire l’interprétation de l’amor fati à un simple fatalisme. En quoi l’amor fati dépasse-t-il le fatalisme ?
Premièrement, l’interprétation du réel comme amor fati permet précisément aux yeux de Nietzsche de libérer l’homme d’une certaine fatalité, celle de la morale et de sa condamnation. Au contraire de la morale platonico-chrétienne qui, en insistant sur le rôle d’une libre volonté et de la centralité du choix, vise sournoisement, selon Nietzsche, à culpabiliser l’homme pour le rendre obéissant, l’amor fati s’inscrit dans une tentative de déculpabilisation de l’homme : « Nul n’est responsable d’exister de manière générale, d’être comme ceci ou cela »2. Nietzsche tente ici de renouer avec la vision grecque du tragique, telle qu’il la perçoit chez Eschyle et Sophocle, ainsi que chez les philosophes présocratiques : une vision où les notions de faute et de péché n’existaient pas.
Deuxièmement, une compréhension commune du fatalisme le rapproche d’un sentiment de dépassement face au réel qui, de toute façon, suit ses propres règles sans nous demander notre avis. L’homme gagné par la fatalité du monde serait celui qui se demande sans cesse « À quoi bon ? », puisqu’il semble que le monde vive aussi bien sans lui et qu’il ne puisse pas le modifier concrètement. Or ce fatalisme-là est explicitement condamné par Nietzsche qui le désigne sous le concept de "nihilisme". Le « À quoi bon ? » est pour Nietzsche un symptôme de décadence, une parole d’homme malade dont la volonté de puissance est déclinante. Au contraire, l’amor fati est l’interprétation de l’homme affirmateur, suffisamment affirmateur pour englober le réel tout entier, avec toute la part d’horreur et de chaos qu’il comprend, voire pour le dépasser.
Ce dépassement est un point souvent oublié de l’amor fati : contrairement à ce que l’on pense souvent, l’interprétation de l’amor fati est parfaitement compatible avec l’idée de changer le monde. Tout dépend de ce que l’on entend par changement. Aimer le réel pleinement, selon Nietzsche, c’est certes renoncer à le placer sous le joug d’un quelconque « arrière-monde » (religion, morale, philosophie idéaliste) qui n’existe que comme vecteur de valeurs négatrices, haineuses, face à la réalité, cette réalité unique qui est la nôtre.
Mais changer le monde ne signifie pas forcément chercher à le soumettre à un arrière-monde, ce peut être-aussi chercher à l’affirmer toujours plus, chercher à créer des valeurs toujours plus affirmatrices. Affirmer le monde ne revient donc pas à le conserver simplement tel qu’il est ou, pire, à chercher à ce que rien ne change jamais en lui. Être un homme « affirmateur », « un de ceux qui embellissent les choses »3, ce n'est pas s’extasier devant un réel fatalement immuable ou chercher à tout prix à trouver de bons côtés à un monde atroce, sans jamais le changer concrètement. Au contraire, de nouvelles valeurs signifient chez Nietzsche de nouvelles configurations des rapports pulsionnels modelant la réalité, donc une nouvelle réalité. Si l’on suit l’hypothèse de la volonté de puissance selon laquelle le réel n’est qu’un tissu interprétatif de pulsions4, on comprend qu’aimer le réel, c’est précisément l’aimer au point de chercher à réaliser la configuration pulsionnelle la plus affirmatrice possible.
L’amor fati est la conviction profondément ancrée en soi que le devenir et le chaos sont bénéfiques parce qu’ils nous permettent d’exprimer notre puissance, afin de nous épanouir. Ce concept s'illustre par cette citation de Nietzsche : « Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort. » (Crépuscule des idoles, 1888) En effet tout événement qui survient, même le plus atroce, est l’occasion de se dépasser, de devenir plus fort et donc de se sentir plus vivant et plus affirmatif. C’est pourquoi la souffrance en elle-même n’est pas rejetée par Nietzsche : elle fait partie de la réalité et elle est à la fois inéluctable et nécessaire. Il est donc vain et inutile de chercher à la supprimer, mieux vaut chercher à la maîtriser, car cette maîtrise aboutit à la création, étape nécessaire dans l'accomplissement de l'être menant à la figure du surhomme.
Ainsi l’amor fati permet de comprendre que toute la réalité est bonne. Par conséquent, alors que tout le malheur de l’homme est de se sentir étranger sur cette terre, l’amor fati lui permet de se réconcilier avec la réalité. Il permet d’affirmer un idéal, « celui de l’homme le plus généreux, le plus vivant et le plus affirmateur, qui ne se contente pas d’admettre et d’apprendre à supporter la réalité telle qu’elle fut et telle qu’elle est, mais qui veut la revoir telle qu’elle fut et telle qu’elle est, pour toute l’éternité, qui crie insatiablement da capo, en s’adressant non pas à lui, mais à la pièce et au spectacle tout entier, et non pas seulement à un spectacle, mais au fond à celui qui a besoin de ce spectacle et le rend nécessaire ; parce qu’il ne cesse d’avoir besoin de soi et de se rendre nécessaire » (Par-delà bien et mal, 1886, §56).
Références
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Pierre Hadot: La Citadelle intérieure: Introduction aux Pensées de Marc Aurèle, p. 102. [archive]
Nieztsche, Le Crépuscule des idoles, "Les quatre grandes erreurs", §8
Nietzsche, Gai Savoir, §276
Nietzsche, Par-delà bien et mal, §36
Bibliographie
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'Le Vocabulaire de Nietzsche' ed. Ellipses, Patrick Wotling, 2013 entrée "Amor fati" (texte de l'entrée [archive] accessible en ligne dans les extraits du livre fournis par l'éditeur)
'Dictionnaire Nietzsche' Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2017, entrée "amor fati", redac. Juliette Chiche, avec bibliographie (texte de l'entrée [archive] accessible en ligne dans les extraits du livre fournis par l'éditeur)
Source Wikipedia
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savoir-entreprendre · 4 months
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Dans le monde trépidant des affaires, où les défis surgissent à chaque coin de rue et où l'incertitude est monnaie courante, les entrepreneurs cherchent souvent des moyens de renforcer leur résilience mentale et émotionnelle. Dans cette quête, une philosophie ancienne mais puissante offre des enseignements précieux : le stoïcisme. En effet, les principes stoïciens peuvent être des outils précieux pour les entrepreneurs qui cherchent à naviguer avec succès dans le tumulte du monde des affaires contemporain. Les Fondements du Stoïcisme Fondée à Athènes au IIIe siècle avant notre ère par Zénon de Citium, la philosophie stoïcienne enseigne la vertu comme le bien suprême et encourage la maîtrise de soi, la résilience face à l'adversité et la recherche de la sagesse. Les stoïciens croient en un univers régi par la raison, où le bonheur découle de l'acceptation des choses que nous ne pouvons pas changer et de la focalisation sur ce que nous pouvons contrôler : nos pensées, nos actions et nos attitudes. Pratiquer le Stoïcisme dans le Monde des Affaires Pour les entrepreneurs, l'application des principes stoïciens peut offrir une perspective précieuse pour surmonter les obstacles et prospérer dans un environnement souvent volatile. Voici quelques façons dont les entrepreneurs peuvent exploiter le pouvoir du stoïcisme : 1. Acceptation du Contrôle Les entrepreneurs sont souvent confrontés à des circonstances imprévues et à des défis inattendus. Le stoïcisme enseigne à se concentrer sur ce qui est en notre pouvoir et à accepter ce qui ne l'est pas. En reconnaissant que certaines choses échappent à notre contrôle, les entrepreneurs peuvent éviter le stress inutile et se concentrer sur des actions constructives. 2. Résilience Face à l'Échec L'échec fait partie intégrante du parcours entrepreneurial. Le stoïcisme encourage à voir les revers comme des occasions d'apprentissage et de croissance plutôt que comme des défaites personnelles. En adoptant une perspective stoïcienne, les entrepreneurs peuvent surmonter l'échec avec résilience et persévérance. 3. Pratique de la Pleine Conscience La pleine conscience, ou la pratique de l'attention et de la présence consciente, est une composante clé du stoïcisme. En restant pleinement conscients de leurs pensées et de leurs émotions, les entrepreneurs peuvent mieux gérer le stress et prendre des décisions plus réfléchies. 4. Visualisation des Pires Scénarios Une pratique stoïcienne courante consiste à envisager les pires scénarios possibles et à se préparer mentalement à les affronter. Pour les entrepreneurs, cette technique peut aider à atténuer l'anxiété liée aux risques et à renforcer la résilience face à l'adversité. En intégrant les principes stoïciens dans leur approche entrepreneuriale, les chefs d'entreprise peuvent cultiver une mentalité de résilience, de persévérance et de sagesse. Le stoïcisme offre un cadre puissant pour naviguer avec succès dans le tumulte du monde des affaires, en permettant aux entrepreneurs de prospérer même face aux défis les plus redoutables. En exploitant le pouvoir du stoïcisme, les entrepreneurs peuvent non seulement atteindre le succès professionnel, mais aussi trouver un sentiment de paix intérieure et de satisfaction durable. https://savoirentreprendre.net/?p=4177&feed_id=6643
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jaimelire-france · 6 months
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linsaad · 9 months
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"Les hommes sont dans le malheur parce qu’ils cherchent avec passion à acquérir des biens qu’ils ne peuvent obtenir et à fuir des maux qui sont pourtant inévitables.
Mais il y a une chose, une seule chose, qui dépend de nous et que rien ne peut nous arracher, c’est la volonté de faire le bien, la volonté d’agir conformément à la raison. Il y aura donc une opposition radicale entre ce qui dépend de nous, ce qui peut donc être bon ou mauvais, parce qu’il est objet de notre décision, et ce qui ne dépend pas de nous, mais des causes extérieures, du destin, et qui est donc indifférent.
La volonté de faire le bien est la citadelle intérieure inexpugnable, que chacun peut édifier en lui-même. C’est là qu’il trouvera la liberté, l’indépendance, l’invulnérabilité, et, valeur éminemment stoïcienne, la cohérence avec soi-même."
Pierre Hadot, Qu'est-ce que la philosophie antique ?
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whencyclopedfr · 9 months
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Sénèque
Lucius Annaeus Seneca (Sénèque le Jeune, 4 av. J.-C. - 65 de notre ère) était un auteur romain, un dramaturge, un orateur et, surtout, un tuteur et conseiller de l'empereur romain Néron (r. de 54 à 68 de notre ère). Influencé par la philosophie stoïcienne, il écrivit plusieurs traités philosophiques et 124 lettres sur des questions morales, les Epistulae Morales (Épîtres morales). En tant que précepteur de Néron, il tenta de lui transmettre sa philosophie d'une vie vertueuse et, avec l'aide du préfet de la garde prétorienne, Burrus, il fit tout son possible pour contrôler les péchés mignons de Néron.. Malgré tous ses efforts et accusé à tort de faire partie d'un complot visant à assassiner l'empereur, il reçut l'ordre de se suicider de la part d'un Néron de plus en plus paranoïaque.
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dandanjean · 11 months
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Marc Aurèle
Dans cette vidéo-ci, nous allons explorer les enseignements intemporels d’un empereur philosophe du 2e siècle dont les paroles continuent d’inspirer malgré l’effet du temps : Marc Aurèle. De son vrai nom : Marcus Aurélius Antonius, Marc Aurèle est né en 121 à Rome. Élevé dans la philosophie stoïcienne depuis son enfance, il a été formé par les meilleurs maîtres de son époque. Il devint empereur…
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christophe76460 · 1 year
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À partir d’un seul homme, Dieu a créé tous les peuples pour qu’ils habitent sur toute la surface de la terre ; il a fixé des périodes déterminées et établi les limites de leurs domaines (Actes 17:26).
Là encore, l’idée de l’existence d’un monde organisé dans le temps et dans l’espace était conforme à la pensée stoïcienne. Cependant, le fait que tous les hommes étaient issus d’Adam portait un rude coup à l’orgueil des Athéniens qui se croyaient une race supérieure aux autres. En affirmant que le Créateur a fixé les temps de gloire des nations ainsi que les limites de leur territoire, Paul fait une déclaration fascinante. Il dit que c’est Dieu qui a attribué aux différents peuples leur lieu d’implantation. Quand on y pense, souvent les guerres ont eu pour cause le désir expansionniste d’un peuple aux dépens d’un autre. Si les nations avaient accepté la place qui leur avait été assignée, il n’y aurait pas eu autant de conflits dans l’histoire de l’humanité.
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Par tout cela, Dieu invitait les hommes à le chercher, et à le trouver, peut-être, comme à tâtons, lui qui n’est pas loin de chacun de nous. En effet, « c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être », comme l’ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « de lui nous sommes la race ». Ainsi, puisque nous sommes ses enfants, nous ne devons pas imaginer la moindre ressemblance entre la divinité et ces idoles en or, en argent ou en marbre que peuvent produire l’art ou l’imagination des hommes (Actes 17:27-29).
Tel est le paradoxe de la condition humaine : Dieu est tout proche et veut qu’on le cherche, et pourtant l’être humain ne peut l’atteindre, car il est comme aveugle. Il ne peut trouver le Créateur que si celui-ci se révèle. La première citation : c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être, est d’Épiménide, un poète crétois, tandis que la seconde : de lui nous sommes la race, est du poète Aratos originaire de Cilicie, la patrie de Paul, située au centre sud de la Turquie actuelle. Tous les hommes sont de la race de Dieu dans le sens qu’il les a créés et qu’ils ont reçu de lui la vie.
La conclusion est inévitable ; étant donné que les hommes ont été créés par Dieu, la divinité ne peut pas être conforme à une idole ou une image conçue et construite par l’homme. Paul exposait un concept révolutionnaire pour les Athéniens dont la ville était pleine de faux dieux.
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Or Dieu ne tient plus compte des temps où les hommes ne le connaissaient pas. Aujourd’hui, il leur annonce à tous, et partout, qu’ils doivent se repentir. Car il a fixé un jour où il jugera le monde entier en toute justice, par un homme qu’il a désigné pour cela, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant d’entre les morts (Actes 17:30-31).
Après avoir dénoncé l’idolâtrie rampante des Athéniens, l’apôtre les appelle à se remettre en question, à se repentir. Dieu a été patient jusqu’à présent et n’a pas tenu compte de leur ignorance. Dans les âges passés, il a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies en tolérant leur idolâtrie grossière, mais maintenant est venue l’heure de vérité où il faut choisir. Cet appel à la repentance est urgent parce que Dieu, dit Paul, a fixé un jour où le monde sera jugé par le Christ. C’est sa résurrection qui est la preuve suprême et irréfutable de l’authenticité de la personne et de l’œuvre de Jésus. S’il est ressuscité, il est la garantie qu’il en sera de même de tout homme ; et chacun reviendra à la vie pour faire face au Jugement.
Cette fois-ci, le message de l’apôtre allait carrément à contresens de la façon de penser de ses auditeurs. En effet, la résurrection était incompatible avec la philosophie des Athéniens qui voulaient se débarrasser de leurs corps qu’ils considéraient comme un boulet. Un jugement personnel était aussi un concept qui leur restait en travers de la gorge. Paul venait de terminer son discours. Il avait fait une présentation complète de l’Évangile en parlant du besoin pour chaque individu de se repentir, de la justice divine et du jugement à venir.
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Lorsqu’ils entendirent parler de résurrection des morts, les uns se moquèrent de Paul, et les autres lui dirent : — Nous t’écouterons là-dessus une autre fois. C’est ainsi que Paul se retira de leur assemblée. Cependant, quelques auditeurs se joignirent à lui et devinrent croyants, en particulier Denys, un membre de l’Aréopage, une femme nommée Damaris, et d’autres avec eux (Actes 17:32-34).
Pour tous les Grecs qui avaient subi l’influence de la pensée idéaliste de Platon, c’était un non-sens de croire qu’un mort pouvait sortir du tombeau, endosser un nouveau corps et vivre éternellement. Il faut en effet savoir que dans la pensée grecque marquée par le platonisme et éprise des religions mystérieuses le corps était perçu comme la prison de l’âme et la matière comme une réalité dont il était bon d’être un jour libéré. Cependant, la prédication de Paul n’a pas été sans résultats : Denys, l’un des juges de la cour de l’Aréopage, ils étaient choisis parmi les hommes les plus nobles de la cité, fut un de ceux qui acceptèrent la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ.
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guidefinances · 2 years
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Principes d'une philosophie stoïcienne de la fortune
Une revue de la philosophie stoïque sur la fortune de Sénèque nous offre des principes immortelles sur notre relation à l'argent.
De nombreux investisseurs de renoms, que cela soit sur les marchés (comme N. Taleb) ou dans des start-ups (N. Ravikant ou T. Ferris) ont vanté la sagesse du romain Sénèque. Sénèque était une personnalité importante de son époque et avait atteint les plus hauts offices public du début de l’empire romain. Dans le cadre des revues plus psychologique et philosophiques de Guide Finances, voici ici…
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aisakalegacy · 3 years
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Eté 1880, Hylewood, Canada
Chère Lucrèce,
Cela fait deux ans que je n’ai pas eu de vos nouvelles. J’espère qu’il ne vous est rien arrivé de fâcheux, et que si cela était le cas, l’on m’aurait prévenu.
Cette année a été plus calme que la précédente. Jacqueline a enfin publié le livre sur lequel elle travaille depuis des années, un ouvrage d’histoire littéraire française qui a été acclamé par la critique. Vous demanderez à Hélène si elle souhaitera l’ajouter à sa bibliothèque personnelle, ma femme en a gardé un exemplaire qu’elle pourra lui envoyer si cela l’intéresse.
Je suis parvenu à un statu quo qui me permet de tenir les caprices de Françoise. Je joue du fait que ma fille a un fort esprit de compétition. Il se trouve que je suis très bon aux dominos. Nous possédons un très beau jeu en ivoire auquel personne n’avait plus touché depuis le départ de ma soeur et Joseph. Désormais, si elle veut quelque chose, Françoise doit me battre au jeu. Pour je ne sais quels biscuits ou entremets importés de Montréal, elle doit me battre trois fois consécutivement. Veut-elle aller au théâtre à Kingston ? Elle doit me battre tous les soirs pendant une semaine. Souhaite-t-elle une nouvelle robe ? Ses victoires doivent se prolonger sur un mois. Cela la force à travailler sa patience et sa réflexion, plutôt que d’entretenir son impulsivité capricieuse. En procédant ainsi je lui donne un sentiment de mérite tout en entretenant notre relation filiale, que je sentais endommagée depuis son entrée dans l’adolescence.
Jules a commence l’école au début du mois d’août. Il a rejoint Marie à l’école d’Hylewood. Les deux démontrent une certaine intelligence, surtout Marie qui fait preuve d’un esprit remarquable pour son jeune âge. Mon neveu, leur instituteur, la qualifie volontiers de génie. Depuis cette année, les universités sont ouvertes aux femmes au Canada : compte-tenu de ses capacités, Jacqueline rêve de la voir faire des études. Elle tient les arts en grand intérêt et pour ses huit ans, elle a demandé un livre sur la sculpture que nous lui avons commandé. C’est un très beau livre, qui possède de belles pages illustrées de reprographies de sculptures néoclassiques. Virgile n’arrête pas de le lui voler et s’intéresse beaucoup à la mythologie.
Mon fils allant sur ses douze ans, je l’ai retiré de l’école et j’ai engagé un précepteur avec lequel il commence tout juste ses leçons. Il lui enseigne la grammaire, la logique, la rhétorique, ainsi que la philosophie et le grec, car il me paraît important pour un jeune homme bien éduqué que d’avoir de la conversation et de savoir réfléchir. Ses résultats scolaires laissent à désirer. Virgile est assurément moins vif que ses frères et soeurs, et il lui faut faire montre d’un travail plus conséquent pour parvenir au même résultat. Je ne peux pas dire qu’il soit féru d’études : j’ai assisté à quelques unes de ses leçons pour m’assurer de la qualité du précepteur que j’ai engagé, et mon fils parait plus intéressé par les anecdotes sur Diogène que par la pensée stoïcienne… En revanche, il démontre un véritable intérêt pour le grec et s’implique sérieusement dans l’apprentissage de cette langue. Il m’importe beaucoup qu’il sache le grec. Plus jeune, je rêvais de l’étudier, mais mon tuteur considérait cela comme une perte de temps. Voir mon fils s’y appliquer m’emplit d’une certaine fierté.
Je vous parle à peine de Jeanne, mais c’est-à-dire qu’il n’y a pas grand chose à raconter à son sujet… Elle est très sage, discrète et réservée, d’un tempérament mélancolique. La seule chose qui l’éveille un peu sont les animaux, et nous songeons avec ma femme à lui prendre un petit chien pour Noël. Depuis le temps que la vieille niche de mon père est inoccupée…
Transmettez bien mes amitiés à toute votre famille. Je vous prie d’agréer, chère cousine, l’expression de la plus haute considération et l’hommage le plus empressé.
Auguste Le Bris
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dsirmtcom · 3 years
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Fiche de lecture - Sénèque, De l’oisiveté
Fiche de lecture - Sénèque, De l’oisiveté #Philosophie #MardiCestPhilosophie #Sénèque #Stoïciens #Oisiveté #Contemplation #Sagesse
Philosophie – Fiches de lecture Fiche de lecture n° 39 Eléments contextuels Éléments biographiques et doctrine générale Sénèque, philosophe latin, naît à Cordoue en -4 av. J.-C. Il se suicide en 65 ap. J.-C., sur l’ordre de Néron. Sénèque fait partie de l’école stoïcienne ou “philosophie du portique”. Zénon de Citium, fondateur du stoïcisme, avait créé son école près d’une galerie couverte,…
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takingnapsisuseless · 2 years
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L’avenir et les craintes existentielles qu’il suscite interrogent notre besoin de sens et nous portent à rechercher des réponses parfois métaphysiques. Certains courants philosophiques proposent cependant une approche dénuée de croyance: en son temps, Voltaire nous invitait à cultiver notre jardin et avant lui Marc-Aurèle affirmait qu’il était inutile d’en vouloir aux évènements. Accueillir au quotidien les choses telles qu'elles sont en voulant faire évoluer ce qui peut être changé tout en acceptant ce qui ne le peut pas semble ainsi constituer l'attitude du sage face aux vicissitudes de la vie. Pour se défaire de toute tentation moraliste et envisager avec confiance les époques futures, la pensée stoïcienne commande ainsi de se garder de tout jugement. "Il faut aimer son destin", nous dit-on. La posture distanciée propre à cette philosophie aide, en cela, à s’affranchir du manichéisme sans renoncer pour autant à l'action. Tout au contraire, elle commande d'être courageux et de savoir faire des choix pour soi-même sans accepter les fatalités dangereuses.
 
L'œuvre de Miyazaki de 2001: Le Voyage de Chihiro, offre une lecture magistrale de ces préceptes et de leurs bienfaits. Chihiro, dix ans, capricieuse et peureuse, se perd dans un monde étrange et inquiétant où elle doit retrouver son chemin et braver de nombreux dangers. Loin de ses parents, elle traverse les tribulations avec ses yeux d’enfant. Sa vision et ses interactions sont toujours candides et ingénues de sorte qu’elle accepte chaque instant de son épopée sans jugement. Les créatures inconnues et l’environnement singulier ne semblent pas perturber Chihiro, qui se comporte toujours très poliment et qui offre simplement son aide. Alors même qu’un esprit féroce tente de la dévorer, elle lui propose de l’accompagner dans sa route. Cette spontanéité ne lui cause aucune déconvenue, tout au contraire il semble que les événements finissent par se plier à sa volonté non pas de façon miraculeuse mais plutôt par son action bienveillante et courageuse. 
Aussi, la nature omniprésente tout au long du film, tout comme dans la culture japonaise, est une ode à la poésie. L’harmonie qui s'en dégage, accentuée par une musique aux tonalités profondes, est propice à la réflexion philosophique. Les mélodies de Joe Hisaishi plongent ainsi le spectateur dans un état méditatif. A l'issue de son errance, un train peuplé de spectres emmène Chihiro à travers la mer dans une longue séquence silencieuse. Le paysage qui défile nous renvoie symboliquement à l’idée de la vie qui passe. Bien que Chihiro soit présentée, dans cette scène, comme spectatrice du défilé de l'existence, elle continue d'observer et semble confiante. N'a-t-elle pas embarqué pour une destination précise? Accompagnée d'une silhouette sans visage qui la suit depuis le début de son périple, Chihiro avance avec assurance.
Bien qu'à première vue, elle soit une fillette ordinaire, elle fait preuve, tout au long du film, d’un courage innocent. En effet, à peine a-t-elle franchi les portes de ce monde fantastique, qu'elle déploie une énergie formidable pour retrouver son chemin et sauver ses parents. Les rôles sont inversés et les responsabilités pèsent sur l’enfant. Chihiro est en réalité une fille très brave et intelligente qui sait faire des choix pour elle-même et qui tient tête aux personnages effrayants qu’elle rencontre. Dans l’établissement des bains où elle va jusqu'à perdre son nom, elle travaille sans relâche et subit son sort sans perdre espoir et sans s’aliéner dans le travail comme les autres personnages du film.
 
Le voyage de Chihiro, dans une fable spectaculaire, nous invite à philosopher et à accueillir notre destinée. À l’issue de ce voyage initiatique, Chihiro apparaît finalement comme une métaphore de l'existence qui passe. Ce récit original et fantasmagorique revisite de façon singulière et inattendue la pensée stoïcienne. Cette œuvre s’inscrit donc dans la continuité d’une pensée qui envisage l’avenir avec confiance.
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yes-bernie-stuff · 4 years
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Vivre aujourd'hui
Pourtant elle existe
25 FÉVRIER 2021
Pilate lui dit : Qu’est-ce que la vérité ?Jean 18.38 La mise en cause des vérités gênantes a toujours existé. La question de Pilate montre qu’influencé par la philosophie, il est un bon serviteur de la vérité politique de Rome, opposée à celle que Jésus révélait.La philosophie, qui recherche la sagesse humaine, n’aboutit pas forcément à la vérité : Entre les philosophies épicurienne et stoïcienne, aux conclusions diamétralement opposées, qui dit vrai ?Depuis qu’une philosophie prétendant que Dieu est mort aide la société à se libérer, le monde va-t-il mieux ? Y-a-t-il une vérité absolue ? Jésus-Christ a dit : Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie 1.La vérité du Christ est liée à la vraie vie, et au chemin vers Dieu. Jésus Christ a démontré avec puissance la vérité selon Dieu, tant par ses miracles, que par ses discours, dont même ses opposants ont reconnu la grandeur2. Cette vérité élève, apporte un éclairage nouveau tant sur la vie ici-bas, que sur celle à venir, elle est libératrice3.Ne serait-ce pas mieux de fonder nos vies sur cette vérité, plutôt que sur les mensonges d’une société qui se délite ?David demandait à Dieu : Conduis-moi dans ta vérité, et instruis-moi, car tu es le Dieu de mon salut 4. Que ce soit aussi notre désir, de trouver en Jésus-Christ, Fils de Dieu, la vérité qui libère, la grâce qui sauve, et la sagesse pour vivre. Francis Rivère 1 Jean 14.6          2 Jean 7.46          3 Jean 8.32          4 Psaume 25.5 __________________Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 1, versets 18 à 23. 18 La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive,19 car ce qu'on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître.20 En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables,21 puisque ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres.22 Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous;23 et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l'homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles.
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benfrel · 4 years
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En voyage avec Marcus Aurelius
 Marcus Aurelius
Marcus était un empereur romain passionné de philosophie, cependant, pas un philosophe-dirigeant dans la perception de Platon. Entre autres choses, il n'a pas réussi à entreprendre le programme ardu de révision nécessaire à Platon, et de toute façon, la philosophie que Marcus adopte, bien que platonicienne dans certains endroits, est clairement généralement stoïcienne par nature. Néanmoins, cela pourrait aussi être une erreur de négliger Marcus, de l'emmener chercher un penseur au second prix qui devenait empereur. Nous avons maintenant, dans ses écrits, pratiquement rien de moins qu'un type de distillation de l'approche stoïcienne qui est filtrée à travers les besoins pratiques d'un individu en possession d'une énergie politique monumentale. Son chemin vers le pouvoir était rare. Marcus a été utilisé et présenté correctement par son grand-père, l'empereur Antonius Pius (lui-même utilisé par l'empereur Hadrien). En vivant tous les équilibres, Marcus était un excellent étudiant de la rhétorique, de la poésie et de la législation, mais il semble avoir pris une fascination jeune et incroyablement ardente pour le point de vue, en particulier les articles de l'Épictète stoïcien. Avec un groupe d'âge précoce, peut-être aussi jeune que 11 ans, il a commencé à s'habiller clairement et à adhérer à ce qu'il avait considéré comme un régime sévère de recherche, voyage entreprise Le Caire de frugalité et de déni personnel d'un stoïcien. Peut-être est-il allé trop loin, car il y a des records que sa santé globale a endurée. À la mort d'Antonius, Marcus et son inutile frère Lucius, également utilisé par Antonius, montèrent sur le trône. Il est clair que Marcus aurait pu gouverner seul, mais étonnamment, il a décidé d'offrir la règle des articulations de Lucius. Ils ont partagé le pouvoir jusqu'à la mort de Lucius en 169 après JC. Marcus a alors gouverné par vous-même, et par tous les équilibres en général bien, jusqu'à sa mort, peut-être de troubles, tout en menant une campagne de marketing près du haut Danube. Si sa mort semble angoissante, ce n'est vraiment rien comparé aux difficultés de Rome pendant son règne. Il était presque continuellement en guerre avec les Parthes; les barbares en danger dans les hautes frontières de la France; il a investi des années à combattre les tribus allemandes sur le Danube; il réprima deux révoltes de lieutenants récalcitrants; sa moitié probablement, beaucoup moins meilleure, Faustine, est décédée brusquement; Rome a enduré un minimum d'un problème principal pendant sa ligne directrice, avec la famine, les inondations, les incendies et les tremblements de terre; et un seul de ses enfants est décédé plus jeune. Son enfant survivant, Commodus, était vil et n'aurait pas été beaucoup plus confortable et facile. Les stoïciens considèrent la nature comme seule divine et cyclique - la considération est clairement panthéiste - consistant en des périodes de vie et de conflagration cataclysmique, éternellement répétées. Les stoïciens ultérieurs impliqués seuls plus avec les valeurs que la métaphysique, et certainement le cerveau romain utile de Marcus est presque entièrement préoccupé par la façon dont on devrait vivre. Néanmoins, l'opinion selon laquelle le caractère est, pour une raison quelconque, à la fois divin et se déplaçant sur un certain chemin, en dépit de nos alternatives, explique en partie le regard du stoïcien selon lequel l'existence dirigée en équilibre avec la nature est l'existence idéale, l'existence vertueuse. De plus, cela clarifie la fameuse indifférence inébranlable des stoïciens à l'égard de l'argent et du malheur. Tout ce qui nous arrive fait partie du déroulement de tout programme divin qui est à la fois au-delà de notre pouvoir d'affecter et, lui-même, finalement excellent. Une image stoïcienne qui fait l'idée est celle de l'animal lié à l'arrière d'un wagon. Si le chariot bouge, votre chien peut soit être traîné en jappant, aboyer et étrangler seul en tirant dans le sens inverse, ou il peut calmement aller avec lui. Votre chien part exactement dans le même chemin quoi qu'il décide de faire; sa seule vraie sélection est de savoir comment elle fait face à son destin payé. Comme Marcus se le rappelle constamment, un stoïcien doit faire une variation entre ce qui dépend de nous et ce qui n'est pas autant que nous. En cela, il fait écho à Epictète: «A nous sont l'opinion, l'impulsion, le désir, l'aversion. … Pas autant que nous sommes le corps, la maison, les antécédents, le bureau. »Si l'on commet l'erreur de supposer, par exemple, que votre position sociale dépend de vous, dans votre sphère de contrôle, vous serez insatisfait ; vous allez vous considérer comme lésé par ceux qui vous négligent pour votre promotion et déplorent vos échecs. Les déceptions, cependant, ne sont généralement pas celles que vous avez. Vous avez simplement le pouvoir sur vos opinions et vos attitudes, et ici, seul, la vertu est facile pour le stoïcien.
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whencyclopedfr · 2 years
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Épictète
Épictète (c. 50 - c. 130 de notre ère) était un philosophe stoïcien, surtout connu pour son Enchiridion (le manuel) et ses Discours, deux ouvrages fondamentaux de la philosophie stoïcienne, qui auraient peut-être été écrits par son élève Arrien à partir de ses enseignements.
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