#Pensionnaire
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"Lettres de menaces," La Presse. June 19, 1933. Page 19. ----- Arthur Daigneault, 44 ans, un pensionnaire du refuge de la rue Belmont, a comparu, ce matin, devant le Juge Maurice Tétreau, sous l'accusation d'avoir tenté d'obtenir de l'argent de M. Harry Mendelsohn à l'aide de lettres de menaces et par intimidation. Il a nié sa culpabilité et le procès a été fixé au 29 juin.
#montreal#terror by letter#sending threatening letters#blackmail#obtaining money by threat#pensionnaire#house of refuge#great depression in canada#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada
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Gotta love when authors write shit like "Robespierre never knew a woman" implying "never knew carnally", because they think saying it like that is more elegant than saying "hehehe, he never fucked one", and then of course they compare him to Danton, who knew many women
But aside from the carnal part I think Robespierre knew women better than Danton? He knew them, if not carnally, emotionally? He was capable of being friend with a woman? Never assaulted one as Danton did?
And while I would love to read positive takes on Robespierre as gay or asexual, maybe he did know women carnally, but surely not as many as Danton, and was clearly more respectful and discreet about it
#robespierre#robespierre vs danton#this is such a tired take#olivier dutaillis: la pensionnaire du bourreau
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24 mai 1670 : Louis XIV crée l’Hôtel des Invalides par ordonnance royale ➽ http://bit.ly/Hotel-Invalides Destiné à recevoir des soldats blessés, estropiés de la guerre ou vieillis dans le service qui jusque-là trop souvent s’adonnaient au vagabondage, l’Hôtel des Invalides est créé par Louis XIV, la construction de l’édifice étant confiée à l’architecte Libéral Bruant entre 1671 et 1676
#CeJourLà#24Mai#Hôtel#Invalides#ordonnance#royale#roi#LouisXIV#monument#édifice#architecte#Bruant#Mansart#soldats#pensionnaires#guerre#musée#armée#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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saga: Soumission & Domination 347
Florian
Florian est le gymnaste amateur repéré par Jona. Il est un peu grand par rapport à Romain et un peu moins large mais ce que me montre Jona sur son smartphone est quand même impressionnant, surtout quand il est aux barres parallèles. Il n'a pas menti non plus sur sa gueule.
Petite présentation : Florian est issu d'un père ouvrier en agroalimentaire et d'une mère femme de ménage, dans les 1m74 il porte 70Kg de muscles. Brun à la pilosité déjà maitrisée (gymnastes), Jona m'annonce un sexe d'une largeur peu commune si ce qu'il a vu au repos sous les douches se concrétise. Il est en première année de BTS Technique et vit la semaine comme pensionnaire du lycée où il fait son BTS.
Il est homo même si peu de gens sont au courant d'après l'enquête. Jona n'a pas vu de probable " petit copain " parmi les autres adhérents du club où le jeune homme s'entraine.
Je n'ai pas le temps de l'approcher. Je demande à Jona de s'en charger.
Il me le ramène un vendredi soir après m'avoir juste téléphoné et prévenu qu'il a déjà débroussaillé le terrain. En tant qu'ancien paysagiste comment dois-je comprendre ce terme ! L'a t'il déjà enculé ou lui a t'il déjà dit pourquoi il m'intéressait ?
Quand ils entrent dans mon bureau, il est 18h. Jona comme Florian sont en jogging. Si on en m'avait pas dit qu'il n'était qu'amateur je ne l'aurais jamais deviné.
Jona me présente et le présente. Il continu à tenir la parole. Il m'explique qu'il a déjà dévoilé à Florian le but de sa présence et les conditions générales du contrat.
Pendant qu'il parle, je mate le nouveau venu. Son jogging est propre mais pas de première jeunesse et pas du modèle de l'année, tout comme ses baskets. S'il est propre sur lui, avec une tête entretenue, pas de bouton, barbe rasée, cheveux court et même s'ils sont coiffés un peu à la footeux, ils vont bien avec sa tête.
Quand Jona se tait, je demande à Florian ce qu'il en pense et ce qu'il croyait pouvoir accepter de faire.
Il prend le temps de la réflexion. Il mate les photos qui m'entourent. Il montre Romain et me dit qu'il peut doubler mon potentiel dans ce style d'escort.
Ok il a tout compris.
On passe donc direct aux questions personnelles. Les évidentes étant déjà en mémoire, je passe directement à sa bite. Il m'annonce un 18 x 7, pas mal du tout, même si c'est sa rondelle qui va encaisser le plus souvent.
Dépucelage : à l'adolescence par un copain du sport, même âge mais plus avancé sur le sujet.
Vie sexuelle : faible si on ne compte pas les branlettes avec doigts dans le cul.
Outing : nul, ni à la famille ni aux copains.
Revenus : les parents paye l'internat et il a bossé les 2 mois d'été dans leur usine pour les extra.
Je veux le voir nu, même si j'ai confiance en Jona.
Il ne fait pas de difficulté. Et c'est rapide vu ce qu'il a sur le dos. Sous le blouson un marcel (il est réchauffé quand même !) qui dégage ses épaules et c'est impressionnant comme il souligne bien sa musculature. Il retire son slip en même temps que son bas de jogging. Ok il est bien fait et déjà épilé ou rasé. Un peu moins déséquilibré que Romain, ses épaules sont quand même très larges. Son sexe au repos est court mais déjà large. Il repose sur deux grosses couilles lisses. Je lui demande de bander. Il se branle, met un peu de temps à y arriver. Je comprends, c'est pas évident de bander comme ça devant deux inconnus sans aucune tension sexuelle ambiante. Mais ça gonfle et je vois le résultat. 7cm de large même un peu ovale sur 18 seulement c'est encore plus impressionnant que sur une bite de 25 ! Je lui demande de se tourner. Son cul ? Une beauté, petit, très rond il attire la morsure. Sans que je lui demande il se penche en avant écarte les fesses pour que je vois sa rondelle imberbe comme le reste. Je le remercie et il se redresse et me fait face.
Je lui demande s'il pense possible d'interrompre son internat. Avec l'accord de ses parents qu'il se fait fort d'obtenir s'il argumente d'un travail rémunérateur, cela peut se faire dès la fin du mois puisque le paiement est trimestriel.
Je comprends que depuis qu'il a été approché par Jona il a réfléchi à la chose. Je lui demande son cursus. Bac S avec mention bien mais pas les moyens de faire autre chose qu'un BTS. Quand je lui demande ce qu'il aurait voulu faire, il me répond une école d'ingénieur mécanique ou généraliste.
Je lui dis qu'avec ce qu'il va gagner chez moi, il peut de nouveau envisager ce type d'études. Il y pensait mais n'avait pas encore osé l'envisager.
Jusqu'alors Jona ne lui avait pas encore parlé précisément de salaire. Je l'informe que d'ici la fin août, s'il consent à faire une prestation par semaine plus 15 jours à 1 mois de " vacances " il pourra non seulement se payer ses frais de scolarité mais vivre correctement ses 5 années d'études. Et s'il continue de temps à autres à prestater pour moi, ses 5 années seront confortables même.
Là il me dit qu'il se privera un peu mais qu'il assurera pour les études de son petit frère.
Le dossier monté un peu rapidement n'en faisait pas mention. Le gamin n'a encore que 18 ans mais déjà en première S. Il suit Florian en tout sauf en ce qui concerne le sexe et le sport. Il est plus attiré par le design industriel et jusque-là n'envisage qu'un BTS de dessin industriel.
En sexe, il sort actuellement avec une copine de sa classe et en sport c'est un handballeur.
Ma fois ci ça peut le motiver pour le taf, moi ça me va.
Je reviens sur le côté sexe des prestations. Jusque-là il a été aussi bien actif que passif même s'il n'a pas trouvé beaucoup de mecs volontaires pour ses 7cm ! En passif son record est un beur de 25ans monté 25x6 une seule fois. C'avait été un peu difficile et douloureux mais il lui avait quand même tout mis.
Ça me rassure, la base est bonne.
C'est lui qui me demande si je veux tester la " marchandise ". Bon, question vocabulaire y'a un peu de travail à faire mais pour le reste le gamin n'a pas froid aux yeux.
J'appelle João. Maintenant qu'avec lui j'ai une bite de 22x6 sur place, cela pousse mes tests plus avant.
En attendant je lui demande de commencer avec Jona. Il est maladroit, hésitant, gauche pour tout dire. Il va y avoir un peu de travail à faire avant de le lancer même en tant que " bête de sexe ". Ses réponses bravaches cachaient finalement au minimum une certaine appréhension au pire de la peur.
Jona le ressent aussi et il fait tout pour l'aider. Il prend l'initiative de lui rouler un patin. Là, le petit se donne vraiment. A croire qu'on a basculé l'interrupteur. João entre et ma recrue ne s'en rend pas compte. Je fais signe à João d'y aller. Il se colle au dos de Florian. Ce dernier tourne la tête et se laisse embrasser par le nouveau venu. Bien que coincé entre mes deux escorts, je vois sa bite se redresser entre les jambes écartées de Jona.
Il se laisse glisser à leurs pieds. Il commence par une pipe aux 19cm de Jona. Il en prend facile 18. Quand il bascule sur João, le résultat est le même. Je le note comme un point à améliorer. Mais là aussi la base est bonne, 18cm c'est déjà l'entrée de sa gorge.
Alors qu'il suce João, Jona tire son bassin ver le haut pour préparer la sodo. Je lui tends le gel et des kpotes. Il enduit la rondelle et commence à mettre des doigts. Un passe facile tout comme deux d'ailleurs. Le troisième demande un peu de travail mais finit par entrer quand même. Il les retire et présente sa bite emballée. Il l'enfonce entre les deux globes ronds et le pénètre. Pas de modification du pompage de João. Il doit se mettre ses doigts à chacune de ses branlettes !
Après quelques minutes, je demande à ce qu'ils échangent. João " s'habille " à son tour et alors que Jona, lui, se découvre. Là, c'est un peu différent pour Florian.
Il sent bien passer les 22cm de mon brésilien. Les 6cm semblent lui faire assez d'effet et plusieurs fois il écarte la bite de Jona de sa bouche pour respirer plus facilement.
Quand le dernier cm lui écarte la rondelle il serre les dents. Bon prince, je lui passe sous le nez un flacon de poppers ouvert. Il se détend direct et reprend sa sucette.
Moi ça me va, il semble volontaire, endurant à ce que je vois sous mes yeux et comme je vois qu'il bande toujours, plutôt chaud.
João se donne à fond et Florian en profite bien. Il rue du cul pour se le faire prendre plus fort.
Jona se retire et lui jute sur les cheveux. Je le remplace pour tester par moi-même ma nouvelle recrue.
Il pompe bien. S'il n'a pas eu beaucoup d'expérience, il a vite appris alors. Il alterne les tentatives de gorges profondes avec un travail de langue sur gland des plus convaincants. Je comprends pourquoi Jona s'est fait prendre au piège.
Jona se coule entre nous et pompe le petit nouveau. Il n'en devient que plus vorace et João s'aperçoit aussi de la différence. Il l'encule plus sèchement jusqu'à se fixer au fond, les mains crispées sur ses hanches occupé à remplir sa kpote. De mon côté j'ajoute mon sperme à celui de Jona qui lui reçois la production de Florian sur l'épaule.
Tous les 4 sous les douches, Florian me demande s'il est embauché. Je lui dis que c'est OK mais qu'il va devoir travailler son vocabulaire et perdre ce petit accent " banlieue ". Pour le reste je lui fais confiance, il saura s'adapter aux physiques de mes clients. Un truc, c'est qu'il devra trouver des positions originales et " sportive " lors de ses rapports avec eux puisque c'est sa spécificité " Gymnaste " qu'ils vont louer. Alors que nous somme secs, il prend devant nous quelques positions. Après un grand écart au sol il nous fait le même debout. A la " Van Damme ", il suit avec un autre entre deux chaises avant de poser ses deux mains au sol et de lentement faire un équilibre les jambes toujours parallèles au sol. Il pivote, descend le bassin et sans toucher le sol, les jambes à l'équerre, il plie les bras et les tend comme un simulacre de défonce sur un mec couché sur le dos.
Ok la démo est faite, il semble avoir suffisamment d'imagination.
On finit l'entretien par la visite des installations sportives le second très orienté muscu l'intéresse et la piscine le surprend. Mais la serre c'est autre chose. Le grand tatami l'attire aussitôt pour le travail au sol. Il me dit qu'il pourra tester là ses positions spécifiques de baise. La piscine de 25m l'interpelle et il me demande s'il devra s'entrainer dedans. Je hoche la tête.
J'ajoute que pour lui et son compère, j'allais voir à acquérir des barres parallèles et s'ils le veulent, j'essayerai d'implanter des anneaux.
Avant qu'il ne parte avec Jona, je lui donne les adresses auxquelles il va devoir faire une visite. Le médecin, le labo d'analyse, pour les vêtements, je demande à Jona de l'accompagner.
Je fais un point avec João. Je lui demande si celui-là lui plait aussi. Il me dit qu'il est bien mais c'est pas son Romain, même s'il a pris du plaisir à l'enculer.
La semaine suivante, les résultats arrivent satisfaisants. Il est clean de HIV comme des MST. Il intègre alors le groupe officiellement. Le changement des soirées d'entrainement auprès des autorités du lycée s'est fait sans questions.
Romain est content d'avoir un collègue même si ce n'est qu'un amateur. Ils nous gratifient d'un petit défi entre eux qui les classent quasiment exæquos. Il apprécie aussi de l'avoir avec lui quand ils se mettent dans le bain (au propre). Ce ne sont pas des nageurs et ce n'en seront jamais, pas le physique. Mais Anthony m'assure qu'ils s'amélioreront quand même et puis nous ne préparons personnes aux compétitions ! Sous les douches il fait sensation avec sa bite extralarge. Plusieurs font remarquer qu'ils pourront s'entrainer sur lui plutôt que des godes pour se préparer à certains de nos clients.
Florian bande sans pouvoir s'en empêcher devant la multitude de corps nu devant ses yeux. Il ne s'est jamais fait de partouze et ça ne lui est jamais encore arrivé de voir autant d'homos, nus devant lui.
Ce premier soir il serait illusoire de se contenter d'une simple douche. Ça vire troisième mi-temps sexe. Si João avait eu des velléités de garder son Romain encore quelques semaines pour lui tout seul (hors clients), c'est râpé ! En tant que petits nouveaux, ils sont sollicités de tous les côtés. Je reste un peu en retrait pour analyser leurs comportements.
Si je vois Romain interroger du regard son João lors des premières dragues et mains à son cul, il s'affranchi vite de son approbation tellement ça vient de partout. Mes autres escorts sont curieux de leurs capacités particulières. Je vois quelques baises acrobatiques. Les bancs de muscu servent de supports à leurs grands écarts, Romain couche Simon au sol à côté d'un banc et je le vois s'installer pour faire les triceps avec ce même banc. Quand il descend il s'encule sur Simon enfin sa bite de 18x5 et quand il travaille ses triceps, il décule. En fait il ajoute une donnée " plaisir " au travail musculaire ingrat. Il pourra faire ça aussi avec mes clients sur leur tapis et lui en appui sur le bord du canapé.
Florian est plutôt sollicité pour défonce mes escorts. Quand je jette un oeil sur lui, il est en train de se faire mes 2 russes. Nikolaï est sur le dos avec Viktor dans les bras à se rouler des pelles. Leurs bites écrasées l'une contre l'autre, ils présentent leurs deux culs à la sodomie.et comme ils sont amant officiels, pas la peine de changer de kpote entre leurs deux trous. Ils apprécient et on entend gémir celui qui reçois les 7cm de Florian. En sourdine puisqu'ils s'embrassent !
Je retiens quelques minutes mes deux nouveaux alors que tous s'en retournent chez eux. Impressions ? Ils sont ravis. Surtout Florian qui n'avait encore jamais connu ça.
Il en profite pour m'annoncer que c'est vu avec ses parents et que c'est ok pour qu'il sorte du pensionnat à la fin du mois. Pour les trajets il me demande s'il pouvait avoir une avance pour s'acheter un scooter. Il en a bien un chez lui mais en panne depuis quelques semaines. Je lui passe le n° de téléphone de Daniel et lui dit de voir directement avec lui, il m'enverra la facture directement.
Dès qu'il nous quitte, j'appelle ce dernier et lui donne mes instructions. Florian à son permis donc il peut conduire des scooters de 125cc3. Daniel me propose qu'il prenne plutôt un 3 roues, y'en a de sympas maintenant et il pourra monter en cylindrée. Et comme il sera obligé de faire une mini formation que ce soit un 2 ou un 3 roues ça changera pas grand-chose. Lui, il opterait pour un Gilera Fuoco 500, plus original qu'un Piaggo ou qu'un Peugeot. Comme il monte à 145Km/h il pourra s'amuser un peu.
Je lui dis de voir ça avec l'intéressé. J'ajoute qu'il s'occupe aussi des protections, blouson cuir et casque de marque ! Il ne faut pas lésiner sur la sécurité !
Il me dit avoir reçu de nouveaux SHARK dont un Raw dual black de toute beauté et avec un look très robot qui plait assez. Il lui proposera en blouson un ICON 1000 HOOD, avec capuche il fait moins spécifique moto tout en étant de la qualité top. En noir avec le casque il devrait avoir une touche qui sort un peu du lot. En pantalon il préconise un Jeans John Doe Kamikaze en Kevlar plus un cuir ICON 1000 Roughshod pour le look. Je lui dis de ne pas oublier les pieds et pour ça me dit qu'il l'équipera soit en ICON field armor 2 ou en AXO Slammer. Les deux sont des boots moins typées moto.
Appel à Éric pour les 7 heures de formations obligatoires et tout est en place.
En une semaine tout est bouclé et il est équipé avant d'entrer dans la coloc. Certificat en poche et vêtu de neuf, il vient me remercier. Il a une bonne touche un peu noire mais le look est là. Je lui pique son scoot le temps de faire un tour dans le coin. La conduite est amusante et les accélérations sont sympas.
Il me dit qu'il pourra même rentrer chez lui avec vu qu'il n'a que 50Km à faire.
Dans un premier temps comme je ne pourrais l'utiliser que dans des contrats sexes, pas besoin de lui prévoir une voiture.
Jardinier
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Entre études et vinyles, la vie de pensionnaire s'épanouit, 1958.
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TW — drogue inventée (légère mention), oppressions (mention).
LES CATACOMBES
Il y a eu la cruauté, les discriminations ; et devant la haine, on s'est organisé là où on ne nous trouvera pas. Les communes altérées se construisent comme des oasis, cachés des non-altéré·es, où on peut vivre en paix. La plus connue, Providence, se dresse en cathédrale géante au-dessus du Point Némo. Elles sont, toutes, autogérées ; c'est-à-dire que les altéré·e·s les composant en prennent les décisions ensemble. En France, il en existe deux : une perdue dans les Alpes, l'autre située dans les Catacombes de Paris. Les galeries ne s'ouvrent que pour nous. Les non-altéré·es ont leur partie, on a la notre. Nos catacombes sont aménagées. Il y a des échelles pour les explorer, des appliques au mur pour les éclairer. Sur les carrefours, des pancartes ; mieux vaut quand même y descendre avec quelqu'un qui s'y connaît déjà pour éviter de se faire avaler tout rond.
POINTS NÉVRALGIQUES
C'est comme des lieux de rencontres ; des endroits où les galeries finissent par déboucher. Ils forment des petits villages, avec une bonne hauteur sous plafond, où l'on se sent presque pas sous terre. Certains cultivent même de la végétation ; c'est le cas du Refuge de Bescel.
LA COUR DES MIRACLES Zone de non-droit où on fait la loi. L'endroit où ta mère t'interdit d'y aller. Non, mais ; il y a des petites boutiques sympa à côté des boites de nuit et des bars. La nuit, tout le monde s'y rend pour s'éclater le crâne, se bruler les sinus, se percer les tympans. La journée, tout est fermé : la cour des miracles reste vide jusqu'à la tombée de la nuit, elle se remet de sa gueule de bois. Là-bas, t'y trouves tes meilleurs potes, des gens qui fêtent toutes sortes de choses ; des types recherchées par la loi, en cavale depuis 40 ans. Il y a plein d'histoires qui se racontent là-bas, plein d'histoires qui s'écrivent aussi. C'est aussi le paradis parfait pour l'Érythryle et pour celles et ceux qu'organisent une révolution sans paillettes, mais avec beaucoup d'artifices.
LES THERMES Des galeries inondées ; où l'eau, purifiée et chauffée, permet de s'y baigner. C'est bas de plafond, mais bien éclairé. Des altéré·es y vivent, dans des alvéoles, mais c'est surtout l'endroit où celles et ceux qu'ont besoin de flotte pour respirer peuvent se reposer. On s'organise, comme on peut, pour aller les voir, leur parler ; faire des soirées. On commence à y faire pousser des plantes, à décorer l'endroit, mais ça reste bien sommaire : on en est qu'au début.
LE REFUGE DE BESCEL Le bâtiment, en Art déco, serpente dans les galeries, les ouvrent, les embellit. Il y a une partie à la surface, un dôme de verre pour laisser passer la lumière sur les jardins. Ses bras sont bâtis de vieilles pierres, l'acier se rouille, se fait vieux. Mais il y a un odeur de confort dans la poussière qui s'y repose. À l'intérieur, il ressemble à un orphelinat bloqué dans le temps. Il y a des rires, des pleurs quelques fois, mais tout le monde essaie de rendre l'endroit joli. C'est un effort commun, de toute la communauté, pour qu'il tienne debout. Et putain qu'il est précaire son équilibre. Certain·es altéré·es se la jouent profs, d'autres toubibs ; certains sont payés, travaillent jour et nuit là-dedans, d'autres viennent lorsqu'iels ont le temps. Ça arrive que des gens malintentionnés essaient de s'en prendre à la bâtisse. Et pour ça, t'as des types de la Cour des Miracles qui en assurent sa protection.
Il y a beaucoup d'animaux dans le refuge : des chats et des chiens, surtout. Le Refuge de Bescel a un partenariat avec la SPA. Les cabots aident souvent les altéré·es, il est pas rare d'en dresser certains pour qu'ils deviennent de véritables alliés. Les chats, eux, permettent à certains pensionnaires de trouver un peu de calme. Ça apporte un soutien, de la vie et un peu de réconfort.
À NOTER : Pour les altéré·es handi·es, on a creusé des galeries pour elleux. Elles sont sans échelles, avec des pentes plus abordables et des aides pour s'y déplacer. Si ça reste trop compliqué, on s'organise. Il y a des altéré·es spécialement formé·es à descendre celles et ceux qui peuvent pas le faire seul·es. Ça s'organise entre les concerné·es, c'est plutôt bien foutu et c'est dans l'écoute du respect et des besoins de chacun.
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim
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Dire, se défaire
Je n’ai pas fait ce que j’avais dit ; je n’ai pas fait de confettis – pas vraiment, pas vraiment en grand nombre, pas comme je l’avais imaginé au départ : atteindre mon poids en confettis. Je n’ai pas fait ce que je m’étais promis. Je n’ai pas fait ce que je leur avais dit, aux membres du jury : détruire une partie de mes archives à l’aide d’un emporte-pièce, afin de les transformer en confettis. Je n’ai peut-être pas choisi le meilleur outil. Une table pour écrire, une autre pour désécrire. Assez vite, je me suis rendu compte que cela me prenait plus de temps de détruire une page manuscrite que de l’écrire. Un côté tâcheron que je revendiquais pourtant à cette occasion. Dans le même élan, je ne pouvais pas ne pas m’intéresser à l’histoire du confetti : fendre le mot, fendre la chose, me fendre de quelque chose que je ne connaissais pas encore, m’ouvrir à l’inconnu en me tenant au choix du plus petit. Une fois installé à la Villa Médicis, comme un coq en pâte, je devais faire comme si… là était ma place, mû par une mission plus grande que moi. Je m’étais alors imaginé convaincre les autres pensionnaires d’organiser un carnaval au printemps suivant, renouant ainsi avec cette tradition du carnaval à la Villa. Un bal masqué, avec une taxe à payer à l’entrée, j’ai assez vite abandonné l’idée, n’étant pas la bonne personne pour fédérer autour de ce projet qui me déportait là où je ne voulais pas aller. Et puis, comme je le redoutais, j’ai tellement été amené à parler de ce projet-confetti qu’à un moment je n’ai plus du tout eu envie de le réaliser. En en parlant à tout va, j’ai tué le désir. Comme antidote, je me suis tourné vers le grand frère Filliou et sa devise : Quoi que tu fasses, fais autre chose. De même, quand on écrit, il ne s’agit pas de devenir écrivain ou de se prendre pour tel, mais plutôt de concentrer ses efforts pour devenir autre chose, et ainsi s’adonner à sa propre métamorphose. Tout le monde, dans le microcosme de la Villa, s’était imaginé que l’ex-croque-mort, durant son séjour, se tiendrait à cette activité monomaniaque : celle de poinçonner ses archives, se délestant d’un monticule de papiers qu’il avait pris soin de glisser dans ses bagages. Au fil des jours, je me dédoublais, ou plutôt, je me désolidarisais de ce candidat-confettiste que j’avais tenté d’incarner au seuil du Palais. La tournure des événements m’a de toute façon obligé à bifurquer. Je n’ai pas fait ce que j’avais dit. Au fond, ce n’est pas très grave, je me suis débrouillé autrement. Mes deux parents étant morts à quatre mois d’intervalle, alors que je séjournais à Rome, je ne pouvais poursuivre mon travail de déblaiement, comme si de rien n’était. Dans les jours qui ont suivi la mort de ma mère, en février, j’ai écrit, sans me regarder écrire, cela m’a aidé à réaliser ce qui se passait en moi à cet instant ; de même, lors de l’agonie de mon père, l’écriture a été d’un réel secours. Façon d’être présent, en se dépouillant de tout artifice, de tout semblant, de tout faux-semblant. Fils assis à côté de son père, veillant sur lui. Père donnant le change jusqu’à la veille de sa mort. C’est dans les mois qui ont suivi qu’il m’a fallu leur faire de la place au-dedans. Cela ne se fait pas d’un coup de baguette magique.
#joueretécrire#écrireetjouer#écrirec'estjouer#francoisdurif#tornosubito#jerevienstoutdesuite#tour#détour#retour#projetconfetti#commesi#jeu#confetti#motif
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Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
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"Educanda" ou "La Pensionnaire" de Gianni Vagnetti (1930), " Fillette aux Yeux Bleus" et "Fillette Attentive" de Frans Depooter (circa 1930), "Le Petit Graçon Sage" d'Andrée Bosquet (circa 1930) et "Le Petit Arthur" de Frans Depooter (circa &930) au sein de “La Piscine” de Roubaix - Musée d'Art et d'Industrie André Diligent - de l'architecte Albert Baert (1927-32), octobre 2024.
#expos#peinture#style#chapeau#Vagnetti#Depooter#Bosquet#LaPiscine#MuseeArtIndustrieAndreDiligent#LilleTourcoingRoubaix
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J'ai lu "Patients" de Grand Corps Malade et c'est surtout pour l'ado, qui s'y prend encore au dernier moment et donc il va lire mon résumé et on va parler de l'histoire. Je me demande bien ce que la prof va pondre comme questions étant donné qu'ils n'ont pas droit au livre pour l'interro.
J'ai trouvé le livre intéressant, simple à lire, ça m'a pris 3h tout en prenant des notes. J'ai trouvé un bon rythme dans les phrases, on sent le poète alors que ce n'est pas de la poésie. Je me demande surtout comment l'ado va réagir, je sais qu'il est touché quand le texte relate des faits existants.
On y apprend l'histoire personnelle de Fabien, son accident de plongeon, son arrivée en centre de revalidation, le cheminement, l'histoire des autres pensionnaires, le quotidien, la perte d'autonomie, la dépendance totale et puis chaque petit progrès et les efforts pour y arriver.
Voilà voilà ⭐⭐⭐⭐
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Portrait du jour : Bruno Pajot En ce mois béni de Ramadan, où la solidarité et le partage résonnent plus que jamais, je tiens à rendre hommage à deux personnes exceptionnelles : Bruno et Hélène Pajot. Depuis mon enfance, je suis témoin du dévouement inlassable de Bruno envers les autres. Pendant 42 ans, aux côtés de son épouse Hélène, il a incarné les valeurs fondamentales d'Emmaüs, telles que prônées par l'Abbé Pierre : accueil, travail, solidarité et vie communautaire. Ces valeurs ont guidé chaque action entreprise par Bruno et Hélène, et ont été le socle de leur engagement envers les plus démunis. J'ai eu la chance de collaborer brièvement avec Bruno lors d'actions pour les pensionnaires d'Emmaüs, dans le cadre de notre association Solidarité Sous-France. Son engagement sans faille et sa compassion envers les plus vulnérables m'ont profondément marqué. En cette période où la fraternité et l'entraide sont à l'honneur, je salue la générosité et le dévouement exemplaires de Bruno et Hélène Pajot. Leur parcours remarquable et leur contribution à la construction d'un monde plus solidaire resteront gravés dans nos cœurs à jamais. Leur dévouement envers les autres est une source d'admiration totale.
📷 𝑀𝐾 | ©
☞ 𝑺𝒐𝒖𝒔-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆
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Il y a déjà quelques matins, nous avons eu de la route à faire. Un peu moins de 3h30 pour rejoindre l’aéroport de Bulawayo. Nous devons rendre notre voiture pour midi et de là un employé du centre de réhabilitation des babouins et venu nous chercher pour nous conduire au centre. Bonne coïncidence, une autre volontaire arrive aujourd’hui et atterrit à midi, nous ferons le chemin ensemble. Deux autres volontaires arriverons plus tard, dans la soirée.
Pour être honnête, je me réjouis beaucoup de ces quelques jours de volontariat mais j’appréhende également un peu. Être 24h/24 avec les mêmes personnes, que je ne connais pas, vivre en communauté quoi…
Mais mes tracas s’en vont très vite. Des notre arrivée, nous sommes très très bien accueilli. Tous le monde est super sympa. Il est juste passé 13h, le temps de faire les présentations, grignoter un petit truc et déjà c’est l’heure de la promenade des babouins ! 🐒 je ne m’attendais pas à autant de “règle de vie” dans le monde des babouins. Il y a pleins de chose à faire et à ne pas faire lorsque l’on est en contact avec eux. J’appréhende un peu la rencontre 😅 nous partons avec une dizaine de primates. Des “enfants”, des “ados” et des “adultes”. Ils sont pleins d’énergie ! Nous arrivons à leur “place de jeux” où ils pourrons se dépenser durant les deux prochaines heures. Tous s’est très bien passé 😍 A notre retour, nous rencontrons les autres pensionnaires : autruche, phacochère, girafes, zèbres, impalas, hiboux, mangouste, vautour, chacals, et j’en passe, tous plus mignons les uns que les autres ! 😍 on se réjouit vraiment beaucoup de la semaine que nous allons passer ici ! Bien que le confort soit sommaire. Lit dortoir (qu’on occupe que nous deux avec Dan), pas d’internet, peu d’électricité, eau chaude uniquement le soir sur générateur, toilettes et douche sur le palier…mais franchement, on en oublie tous ça tellement les moments qu’on passe sont cool !
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#robespierre#this is about dutailli's book#olivier dutaillis: la pensionnaire du bourreau#I expect the winner to not be surprising 🤭
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Comme promis voici une vidéo réalisée par la Batterie des Grognards de Haute Alsace (B.G.H.A.) le 5 mai 2023 en l'honneur des pensionnaires des Invalides, à proximité du Tombeau de l'Empereur Napoléon Ier
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As promised here is a video made by the Batterie des Grognards de Haute Alsace (B.G.H.A.) on May 5, 2023 in honor of the Invalides residents, near the Tomb of the Emperor Napoleon I
Vidéo réalisée par France Bonapartiste
#france#napoleon#bonaparte#napoleon bonaparte#guerre#soldats#cosplay#reconstitueurs#cosplayers#batterie#Musique#Tambour#Flute
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Douai (Nord), le Musée de la Chartreuse. Une visite pour la Nuit des Musées.
Pâris Prévost - buste de Henri d'Oultreman - 1605
pensionnaire de Saraceni : "Le Reniement de Saint Pierre"
Rochus Hoppesteyn - vase-bouteille et vases à décor chinois - Delft, 1686
école de Simon Vouet : "Deux Musiciens"
Jan Van Scorel - Polyptique de Marchiennes (la vie de Saint Jacques le Majeur et de Saint Etienne)
plan-maquette de Douai en 1710 (49 ans avant la construction de ma maison !)
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