#Parisienne Orange

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Enthüllung des reichen Geschmackserlebnisses der Parisienne Orange Zigaretten

Parisienne Orange Zigaretten sind ein herausragendes Angebot in der Welt des Rauchens und bestechen durch ihr exquisites Geschmacksprofil. Mit Präzision und Sorgfalt hergestellt, definieren diese Zigaretten das Raucherlebnis für Genießer neu. Parisienne Orange, erhältlich in der kultigen Parisienne-Box, zeichnet sich durch eine einzigartige Mischung aus.

Wenn man das Wesen der Parisienne Orange erforscht, stößt man auf eine harmonische Verschmelzung von erstklassigem Tabak, fachmännischer Handwerkskunst und der Verpflichtung, ein reichhaltiges und befriedigendes Rauchgefühl zu liefern. Das unverwechselbare Geschmacksprofil wurde sorgfältig zusammengestellt, um den Vorlieben anspruchsvoller Raucher gerecht zu werden. Der ausgewogene und weiche Geschmack von Parisienne Orange ist zum Synonym für raffinierten Genuss geworden.

Die Parisienne Box, eine elegante Verpackung, die die Raffinesse des Produkts widerspiegelt, trägt zum Gesamtcharme bei. Die Parisienne Orange Zigaretten werden von Smoke4Less, einem vertrauenswürdigen Namen in der Tabakindustrie, bezogen und angeboten und stehen für Qualität und Geschmack.

Parisienne Orange richtet sich an alle, die die schönen Dinge des Lebens zu schätzen wissen. Mit jedem Zug entfaltet sich eine Mischung, bei der es nicht nur um das Rauchen geht, sondern um ein sinnliches Erlebnis. Die Mischung aus hochwertigen Tabakblättern sorgt für ein unverwechselbares Aroma, und die sorgfältige Verarbeitung gewährleistet einen gleichmäßigen Abbrand, so dass der Raucher den Geschmack mit jedem Zug genießen kann.

Was Smoke4Less auszeichnet, ist das Engagement für ein vielfältiges Angebot an hochwertigen Rauchprodukten. Die Parisienne Orange Box, die bei Smoke4Less erhältlich ist, steht für ein Engagement für Exzellenz und Kundenzufriedenheit. Raucher, die ein gehobenes und raffiniertes Erlebnis suchen, finden in Parisienne Orange eine passende Wahl.

Zusammenfassend lässt sich sagen, dass die Parisienne Orange Zigaretten, verpackt in der stilvollen Parisienne Box, den Inbegriff des feinen Rauchens verkörpern. Die sorgfältige Handwerkskunst, die hochwertige Mischung und die raffinierte Verpackung machen sie zu einer bevorzugten Wahl unter denjenigen, die ein überlegenes Raucherlebnis suchen. Besuchen Sie Smoke4Less, um die Welt der Parisienne Orange zu entdecken und sich ihr hinzugeben - wo jeder Zug eine Reise in den Luxus und den Geschmack ist.

Weitere Informationen finden Sie unter: https://smoke4less.ch/

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[basilepesso]

...et allez....!! >>>> "La victime avait ainsi 43 ans et était domiciliée en Île-de-France. D’après Le Parisien, c’était un vendeur à la sauvette originaire du Bangladesh. (...) Selon Actu17, l’autopsie pratiquée sur le corps, sur ordre du parquet d’Évry-Courcouronnes, a révélé de multiples fractures au niveau du crâne et des côtes. Ces dernières auraient entraîné des hémorragies internes qui ont été fatales à la victime. La piste criminelle est donc privilégiée par les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles, en charge des investigations."

(Aussi sur Fb, 3 juin 2 023) Article d’Actu.fr : “Essonne : un homme découvre un cadavre humain en promenant son chien“

[dd-is-my-guiltypleasure]

New pic (March 23, 2023), Malibu.

" Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle"

" Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times."

"Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille . "

"On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir."

"On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»"

". Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard "

[chicinsilk]

US Vogue November 1, 1950 💛💛💛💛💛

Model Dorothy McGowan wears "Siam", Dior's theater suit by Marc Bohan. Flamboyant paisley patterns in a mix of reds and oranges. The cuffs, the sable collar reflect the new Parisian fascination with fur; the curved jacket surmounts a dress, itself surmounted by a (strictly pseudo) bolero. Staron brocade fabric. This creation is part of Christian Dior's Haute Couture Fall/Winter 1961-62 Collection.

Le modèle Dorothy McGowan porte "Siam", le tailleur de théâtre de Dior par Marc Bohan. Motifs Paisley flamboyant dans un mélange de rouges et d'oranges. Les poignets, le col en zibeline reflètent la nouvelle fascination parisienne pour la fourrure ; la veste galbée surmonte une robe, elle-même surmontée d'un (strictement pseudo) boléro. Tissu brocart Staron. Cette création, fait partie de la Collection Haute Couture de Christian Dior Automne/Hiver 1961-62.

Photo Irving Penn

vogue archive

[fashionbooksmilano]

Atsuro Tayama  Printems-Eté 91

Art Concepr Martine Lagier, Photo Pascal D’Hoeraene, Model Claire, D.A. Alain Castoriano, Hair & Make Lisanne et Pascal Guichard

Atsuro Tayama, Paris 1991, 32 x 44 cm., 8 tavole con 16 immagini

euro 60,00

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Avec ses compatriotes Yohji Yamamoto, Kenzo ou encore Issey Miyake, Atsuro Tayama fait partie de cette vague de créateurs japonais qui s’illustrent brillamment depuis quelques décennies en Europe. Diplômé du Bunka Fashion College de Tokyo en 1975, le couturier fait ses débuts dans la création vestimentaire en imaginant une combinaison en nylon orange pour le concours Pierre Cardin.  Peu de temps après Atsuro Tayama entre au service de Yohji Yamamoto qu’il assistera pendant 5 ans sur ses collections de prêt-à-porter. « Yohji Yamamoto m’a tout appris de la coupe du vêtement. (…) Il m’a surtout appris à commencer par des bases extrêmement classiques avant de déconstruire, ciseaux à la main, ce qu’il venait de concevoir. », dira Atsuro Tayama. Pendant ses années de collaboration avec le couturier japonais, il est envoyé en France afin d’y développer la marque : il participe à la Fashion Week parisienne pour Yamamoto et inaugure la première boutique parisienne du créateur. Atsuro Tayama a 29 ans lorsqu’il lance sa propre marque, fondée sur un esprit casual romantique alors très couru, en Europe notamment. Sa première collection de prêt-à-porter présentée en 1984 au Japon introduit les lignes fondamentales de sa marque : mélange des cultures, des formes et des matières, jeux sur les pliages et les volumes, simplicité des formes et complexité du détail.... En 1987, Atsuro Tayama s’installe à Paris où il ouvre sa première boutique. La capitale de la mode découvre ses créations lors de son défilé prêt-à-porter printemps-été pour la Fashion Week de 1991. Son style pointu, qui se décline en des vêtements subtilement architecturés, trouve rapidement son public. Bords coupés vif, ourlets en boudins, aplats de couleurs, mod��les hybrides, les défilés signés Atsuro Tayama explorent sans cesse de nouvelles pistes créatives.

27/04/23

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[yespat49]

La courageuse police française a interpellé 7 chrétiens venus d’Espagne pour défendre l’honneur de Notre Seigneur.

« STOP AUX ATTAQUES CONTRE LES CHRÉTIENS » CitizenGo (1) qui avait lancé en octobre 2017, en région parisienne, une campagne utilisant un bus orange visant à alerter l’opinion publique sur l’enseignement de la théorie du genre, a récidivé, ce 6 août, en entrant dans Paris avec un car floqué de l’inscription « STOP ATTACKS ON CHTISTIANS ! » . Continue reading La courageuse police française a…

[pascal-et-sarah]

Formalités de départ

Quand on part s'installer à l'étranger il y a pleins de choses à faire et comme j'aime bien faire des listes je me dis que je vais profiter de cette immense plateforme pour documenter les trucs les plus rigolo.

Demande de visa

Probablement la plus simple à anticiper, en fonction des pays il vous faudra un visa pour avoir le droit d'y travailler et à fortiori d'y vivre. Pour le Vietnam pas de grande difficulté, l'employeur doit s'en occuper et vous n'avez à fournir qu'une copie de votre passeport et à remplir un petit formulaire. Ensuite il faudra aller à l'ambassade du Vietnam la plus proche de vous pour vous faire apposer un véritable visa.

Billets d'avion

Une fois qu'on sait où l'on va et qu'on a le droit d'y aller... Bin faut y aller. Pour info un aller-retour Hanoï <--> Paris se négocie autour des ~900€ pour un vol direct et ~800€ avec une escale (au moment où je tape ces lignes of course).

Abonnement téléphone

Aucun des grands opérateurs français (Orange, Free, Bouygues) ne propose de forfait qui contient de la data à prix raisonnable pour le Vietnam. Il faudra donc s'intéresser aux opérateurs là bas (plus simple maintenant que les eSIM se démocratisent). J'ai trouvé pour le moment

Viettel, le France Télécom (t'as vu ça) local

Vinaphone, le petit qui pousse fort

MobiFone, l'autre 😬

Grosso modo les abonnements haute gamme (3Go de data par jour) reviennent à 150K VND (soit 6€) par mois, pas la peine de s'agacer, autant prendre l'opérateur national. La difficulté, tous les sites sont en vietnamien et les outils de traduction automatique ne sont pas encore très bons sur le Vietnamien.

Bref il va falloir rentrer dans une boutique sur place.

Un endroit où vivre

Pas mal d'expatriés vivent maintenant au Vietnam et donc il y a des agences spécialisées où les annonces sont disponibles en anglais. Par contre on ne peut pas remplacer la visite. Donc on peut faire des premières recherche en ligne mais il faudra compléter sur place (la suite dans un autre billet). Quelques exemples:

My Hanoi Home

Vietlong Housing

Hanoi Real Estate (mon petit préféré, parce qu'il faut bien choisir un)

Hanoi Full House

Au global les tarifs (comparés à la vie parisienne) sont très raisonnables et la qualité a l'air au rendez-vous. La suite au prochain épisode quand on aura trouvé un petit chez nous.

Prenez soin de vous et à la prochaine. P&S 🐓

[oelnet]

Coupe de France féminine: pourquoi la programmation de la finale OL-PSG à Orléans fait grincer des dents - RMC Sport

Coupe de France féminine: pourquoi la programmation de la finale OL-PSG à Orléans fait grincer des dents  RMC Sport Coupe de France (F) : Les Lyonnaises veulent gagner pour Aulas  Toute l’actualité sportive sur Orange Coupe de France : pourquoi il faut suivre la finale entre les Lyonnaises et les Parisiennes  franceinfo OL – PSG : une grande finale dans un petit stade  Olympique et Lyonnais Des…

[basilepesso]

Ben quoi ?? La France !! Addendum Tumblr : je précise à toutes les petites salopes qui me disent ou pensent “raciste” et qui me boycottent et brisent mes carrières depuis dix ans pour cela, que ce boxeur était noir. BP. >>>>> "Le poids lourd de 23 ans, grand espoir de la boxe, a été tué par balle dimanche 30 avril devant un bar à chicha de Bonneuil (Val-de-Marne) où il était employé. Originaire du quartier de la Haie-Griselle à Boissy-Saint-Léger, le jeune père de famille était « une icône pour toutes les générations »."

(Aussi sur Fb, 2 mai 2 023) Article du Parisien : “« C’était un chouette gars » : après le décès du boxeur Wilfried Florentin, ses proches sous le choc“

[breath-of-french-air]

Breath of French Air

[skirtmag]

[dd-is-my-guiltypleasure]

Entre nous, on avait un peu oublié David Duchovny. L’acteur américain est célèbre pour ses rôles dans X-Files et Californication. Les deux séries cultes sentent fort leur époque, chacune à leur manière. La première, les années 90, lorsqu’on regardait tous les mêmes programmes à la télé et que l’on pouvait faire semblant de croire aux extraterrestres et à toute sorte de complots sans que cela débouche sur une attaque du Capitole. La seconde, la fin des années 2000, lorsqu’être un homme blanc hétéro, écrivain alcoolique et priapique de Los Angeles, était encore le summum du cool.

David Duchovny, donc, n’était plus trop dans nos radars, même si on se souvenait l’avoir aperçu dans la Bulle de Judd Apatow, comédie satirique sur un Hollywood covidé physiquement et surtout mentalement à la sortie des différents confinements. Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle. «Done some good, I’ve done some bad, like any man I bet» : «J’ai fait des choses bien, d’autres mauvaises, comme tous les hommes je parie», et on veut bien croire que c’est vrai tandis que l’on se met mentalement à marcher le long d’une longue route droite en mâchonnant un brin d’herbe. Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times. Après un premier où ce végétarien se mettait dans la peau d’une vache nommée Bovary, un deuxième vient d’être traduit en français, la Reine du Pays-sous-la-terre. Dans cette fantasy urbaine, une jeune femme se bat pour son amour contre des créatures mythologiques et folkloriques diverses, sur fond d’hommage au métro new-yorkais (le nom original étant Miss Subways) et de débats sur le melting-pot, l’éducation, la culture.

Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille. «L’idée qui m’est venue est celle d’une sorte de bataille culturelle, raconte-t-il, les yeux encore un peu embrumés mais tout à fait sympathique. Vous prenez un immigrant français qui arrive avec son folklore gaulois. Il essaye de s’assimiler ou il est forcé de s’assimiler à une culture américaine judéo-chrétienne plus importante. Qu’est-ce qui arrive si ses références de départ s’anthropomorphisent, prennent vie, ont une personnalité et une identité ? Est-ce qu’elles auraient une forme de pouvoir ? Je trouvais que c’était intéressant par rapport à toutes les discussions que l’on a aujourd’hui, par exemple sur l’appropriation culturelle.»

On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir.

Avec la Reine du Pays-sous-la-terre, qui déborde de références, anciennes et modernes, Duchovny voulait rendre hommage au New York bordélique de son enfance, celui de sa mère, une institutrice protestante, qui vivait encore dans la 9e rue, à West Village, jusqu’à ses 91 ans. L’homme qui a des lettres s’est inspiré de la Seule Jalousie d’Emer, une pièce de théâtre de l’Irlandais Yeats, à qui il voue une admiration jamais démentie depuis ses années étudiantes. Qu’il se soit mis à écrire des romans est tout sauf un hasard. Un de ses grands-pères était un écrivain et journaliste juif, originaire de Berdytchiv, en Ukraine. Un errant, parti en Palestine avec sa famille puis expulsé vers l’Egypte par les Ottomans au début de la Première Guerre mondiale, avant de traverser l’Atlantique en 1918. Son père publia de nombreuses biographies et enquêtes. A la fin de sa vie, il sortit enfin une fiction et mourut d’une crise cardiaque à Paris, où il avait décidé de passer sa retraite.

David Duchovny nous en parle d’emblée. La capitale française reste intimement liée pour lui à ce drame. Et à Samuel Beckett, son dieu personnel. En fac de lettres à Princeton, il écrit un mémoire sur le nobélisé. A l’époque, il s’imagine prof profitant de ses vacances d’été pour rédiger des nouvelles. Mais sur les conseils d’un ami, il passe une audition pour une pub, enchaîne avec des petits rôles, croise Brad Pitt dans l’oublié Kalifornia, jusqu’à devenir Fox Mulder dans X-Files en 1993.

La vérité est ailleurs, mais la carrière est à Hollywood pour les trente années qui suivent. Elle est faite de hauts et de bas, tant à l’écran que dans sa vie privée. Onze ans de mariage avec l’actrice Tea Leoni, deux enfants, et plusieurs séparations-réconciliations sur fond de tromperies et d’addictions sexuelles dont les tabloïds font des gorges profondes jusqu’en 2014… David Duchovny ne s’en cache pas et a fait d’une réplique de Beckett populaire chez les sportifs et les businessmen de la Silicon Valley son mantra : «Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore. Echoue mieux.»

Les stars parfois vieillissent mal. David Duchovny aurait pu tourner réac. On le sent parfois au détour de certaines lignes sceptiques sur la tournure que prend la société. L’anti-Trump viscéral, qui a composé une chanson contre l’ancien président, se la joue avant tout sage, en universaliste curieux. «La beauté d’une culture, c’est qu’elle en rencontre une autre et se mélange, dit-il, revenant à notre sujet du jour. Bien sûr, c’est d’un point de vue optimiste, il ne faut pas oublier des facteurs comme la colonisation ou les violences politiques en général qui rendent la question bien plus compliquée.» On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»

«On est au milieu du pont, il est trop tôt encore pour juger», note-t-il. Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard. Peut-être que l’on se trompe. David Duchovny le dit : «La vérité est toujours beaucoup plus nuancée.»

par Quentin Girard

publié le 6 avril 2023

[persolaise]

Guerlain L'Heure De Nuit Review - Thierry Wasser; 2012

Guerlain's tribute to the legendary L'Heure Bleue: L'Heure De Nuit composed by Thierry Wasser. #perfume

In 2012, to mark the 100th anniversary of the release of L’Heure Bleue, Guerlain launched a scent that eventually came to be called L’Heure De Nuit. And just the other day, I finally got to try it for the first time. To hear my thoughts on this Thierry Wasser composition, please click on the following link to episode 162 of Love At First Scent: Guerlain L’Heure De Nuit review. Continue reading