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#Outre fleuve
lebibliocosme · 6 days
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La Régulation
Titre : La Régulation Auteur : Gaëlle Perrin-Guillet Éditeur : Outre fleuve Date de publication : 2024 (mai) Synopsis : 2300, quelque part dans le monde. Une enclave entourée de murs abrite les survivants d’un cataclysme. Coupés de tout, ils vivent en autarcie dans une société gérée par les DIX, de mystérieux dirigeants que personne ne voit en dehors des écrans tapissant les murs de la ville. Dès…
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simbelmyneswriting · 1 year
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Jour 3 - Bleu Lagon
Après ce qui lui avait semblé des jours de marche, Greda était arrivée à l’embouchure du fleuve, là où ses eaux tumultueuses et opaques se fondaient dans un bleu que l’orc n’imaginait pas si clair, si vif. Ce bleu si étrange, presque mystique, semblait à peine dérangé par l’afflux soudain d’eaux sombres. Un bleu si étrange, si vif comme un joyaux et pourtant, si l’on se concentrait bien dessus, ce bleu semblant devenir presque noir au centre, là où la profondeur était la plus grande. Un bleu lagon. Elle avait entendu cette expression avant, bleu lagon, probablement auprès des voyageurs dans les caravansérails que son clan avaient fréquentés… Ou peut-être dans la bouche de Sanni, lorsqu’elle racontait des histoires aux petits ? Ou bien les deux - sans doute les deux. Est-ce que cette couleur s’appelait-elle ainsi à cause de l’endroit, ou bien l’inverse, d’ailleurs ? Est-ce que c’était cela, même, un lagon ?
Est-ce que tout cela en valait la peine ?, se demanda l’orc en s’appuyant contre le rocher le plus proche. Son outre était vide depuis plusieurs heures et elle n’avait mangé que quelques myrtilles et poires de terre depuis le lièvre d’il y a deux jours. Elle qui avait toujours été une excellente chasseuse, toujours apte à ramener de la gazelle pour son clan, se retrouvait démunie, presque une enfant dans ces conditions. “Père t’aurait mis à mort, pour être aussi faible et ridicule…” marmonna Greda en se laissant glisser au sol, les yeux fermés sur ses larmes et son moignon râpant durement contre la surface du rocher. C’était un miracle que la blessure ne se soit pas infectée, mais heureusement la coupure avait été nette - un avantage précieux des armes de fabrication naine, car leur tranchant était inégalé. Pourtant, ce n’était pas un nain qui lui avait coupé le bras, mais un cavalier à cheval, portant cet étrange soleil comme blason sur ses habits luxuriants.
A vrai dire, maintenant que Gerda y repensait, tous leurs attaquants portaient cette emblème sur leurs armures et chevaux. Une piste à creuser pour tenter de retrouver Sanni, la sauver des griffes de ceux qui l’avait enlevée. Libérée, avaient-ils dit, libérée de ces bêtes sanguinaires, ces sauvages, tels avaient été leurs mots exacts. Elle avait crié son nom, avec ce petit accent charmant même dans l’urgence et cela avait mis un peu plus de bravoure dans les gestes de l’orc. Un peu plus de désespoir aussi lorsque la jeune femme avait disparu de son champ de vision et que le cercle de cavaliers c’était refermé sur elle. Et beaucoup de désespoir, teinté de honte, lorsque tombée au sol et tentant vainement d’attraper une arme, on lui avait coupé l’avant-bras, avant de la laisser là, au milieu des cadavres. Le reste de son clan dispersé ou pire, capturé.
Elle s’était relevée après un moment, avait regardé son bras inerte, coupé net par l’impact de l’arme, pendant un certain temps, puis avait récupéré de quoi nettoyer la plaie. Elle avait ensuite déchiré une toile de tente qui tenait encore debout et l’avait enroulée autour de sa blessure, avant de ramasser quelques provisions et une lance et de se mettre en route vers leur destination : l’avant-poste du Bout du Fleuve, pour la Fête des Morts. Gerda n’était plus si loin, maintenant que l’océan était en vue et que le delta du fleuve s’étendait devant elle, pourtant elle n’arrivait pas à se relever. Elle était lasse, si lasse, de tout. D’avancer. De se battre. D’être forte. Parfaite guerrière mais qui n’avait pu sauver son clan, ni même son épouse. Ni même son bras, qui lui semblait maintenant irradier de chaleur - ou bien était-ce son esprit qui se perdait alors que les larmes s’écoulaient sur ses joues poussiéreuses.
Elle n’en savait rien. Elle ne savait plus rien, juste qu’elle avait lamentablement échoué dans toutes ses tâches de future cheftaine. D’un geste rageur, Gerda essuya ses larmes et força ses yeux ouverts. Gifla ses joues pour arrêter cette faiblesse indigne et plongea son regard sur la plaine qui s’étendait en dessous-d’elle, pour finir dans le bleu fascinant de l’océan. Un bleu lagon. Est-ce que cette couleur s’appelait-elle ainsi à cause de l’endroit, ou bien l’inverse, d’ailleurs ? Une ombre se posa sur elle et l’orc pria, en son fort-intérieur, pour que ce soit la fin. Et qu’elle soit rapide et sans trop de douleur. “Gerda ? Gerda Longstooth ? Par Uruk, qu’est-ce que tu fiches là ?! Qu’est-il arrivé à ton bras ? Oh par Uruk ! Oh Uruk ! Oh non ?! Oh gamine tu m’entends ?” tonna l’ombre en s’agenouillant à ses côtés, détournant de force son visage du bleu lagon de l’océan pour vérifier que la jeune orc était toujours vivante.
Gerda cligna des yeux et l’ombre se précisa un peu plus, un orc à la barbe tressée et aux multiples cicatrices se tenait à ses côtés. Par certains traits, il ressemblait à son père, en plus compact. En plus rond et doux, comme souvent ceux qui vivaient près des avants-postes. “… Oncle Roth ?”
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mrlafont · 1 year
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D'une épée fourbie et blanche Était fait le pont sur l'eau froide. Il voit cette onde félonesse, Rapide bruyante et épaisse Aussi noire et épouvantable Que si ce fut le fleuve au diable. Et si périlleuse et profonde Qu'il n'est nulle chose en ce monde Y tombant qui n'y fût allée Ainsi que dans la mer salée. Les mains nus, les pieds déchaux, À grand douleur mais peu lui chaut, Il passe outre en grande détresse Mains et genoux et pieds se blessent Mais tout l'apaise et le guérit Amour qui le mène et conduit Car tout lui est à souffrir doux.
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sporcafaccenda · 2 years
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Jean Bure : de Karol Bor à Jan de Fast
Nous aurions aussi bien pû titrer « Jean Bure : de l’espionnage à l’anticipation » ou encore « Jean Bure : du Toubib au Docteur Alan », etc. Jean Bure, né en 1916, de père français d’origine suédoise et de mère polonaise, avait un doctorat en médecine et parlait huit langues. Actif pendant la dernière guerre mondiale: de Varsovie au Pacifique, via Londres et d’autres lieux. Grand voyageur, il connaissait très bien les pays au-delà du rideau de fer. Il est l’auteur de monographies en qualité d’attaché médical au titre des relations scientifiques avec les pays de l’Est. Voilà qui est bien utile quand on écrit des romans d’espionnage et qui explique la spécialisation de l’auteur dans l’espionnage scientifique, puis dans la science fiction, ainsi que le choix de ses héros permanents (qui semblent bien être des portraits rêvés/romancés de leur créateur). Jean Bure affirmait avoir toujours écrit, depuis l’âge de 16 ans. Il a cependant 43 ans quand paraît son premier roman connu : Aller-Retour Varsovie (Karol Bor, « Le Monde Secret ») chez Arts et Créations en 1959. A partir de là, Jean Bure publiera une moyenne de 5 romans par an, jusqu’à ce qu’on perde sa trace au début des années 80… Après 5 romans chez Arts et Créations, il passe au Grand Damier où il sera Franz Nikols pour 3 romans en 1960/61. Il sera aussi Gen Khor aux Editions Galic en 1962/63. A ce sujet, romans de « vaches maigres » qu’il ne reniait pas, Jean Bure disait :
« J’étais Franz Nikols au Grand Damier et Gen Khor chez Galic. En ce qui concerne ce dernier, le nom porté sur les manuscrits était d’ailleurs très différent avec sa forme mongole, puisque c’était Khan Gor, mais ces nobles pignoufs ne savaient même pas lire… Je n’ai pas eu trop d’ennuis avec le Damier l’ayant quitté à temps, mais un peu plus de bagarre avec Galic.»
Entre-temps, avec l’entremise de Jean-Pierre Bernier (alias Marc Arno, Paul Orney, etc.), Jean Bure était entré à L’Arabesque dans la collection « Espionnage » (Impasse aux dames, n° 160, signé Karol Bor, 1961) dont il sera un des plus solides piliers (près de 70 romans). Atlantide 1980 (n°185), une anticipation à court terme, obtint le Grand Prix International d’Espionnage de Lugano 1960. Son dernier titre inédit paraitra fin 1969 (Le Toubib vend la mèche, n° 606). La plupart de ces romans, signés Karol Bor, mettent en scène le personnage du docteur Philippe Olivier, alias le Toubib (directeur d’un laboratoire privé, officier de renseignement hors cadre et animateur de réseaux, dont la personnalité et les particularités préfigurent bien évidemment le « docteur Alan » de Jan de Fast). A L’Arabesque, outre Karol Bor, Jean Bure était aussi Noël Ward (pour 7 romans consacrés à Nick Carter) et, comme beaucoup d’autres, Gil Darcy, pour les « Luc Ferran » (Jean Bure en a écrit une trentaine et décrocha le prix Cicéron 1965 pour Luc Ferran bloque le piège)
Quelles étaient les relations de Jean Bure avec son éditeur ? Et sa manière de travailler ? Personne n’est mieux placé que l’auteur pour en parler :
« Je suis profondément égoïste, j’écris pour le plaisir d’un seul lecteur, moi-même. Je place mon héros devant des problèmes dont j’ignore au départ la solution, lui et moi la cherchons ensemble au cours des chapîtres. Mon ami Nouveau sait bien que je ne suis guère intéressé par le côté financier, je me suis contenté d’un forfait de petite dactylo aussi longtemps que j’ai pensé l’aider ainsi à tenir le coup. Sinon, comme bien d’autres, je l’aurais lâché longtemps avant – mes premiers contacts avec le Fleuve Noir dataient de 1965»
Premiers contacts non suivis d’effets immédiats. Jean Bure, sous l’alias Jan de Fast, n’apparaîtra au Fleuve Noir dans la collection « Anticipation » qu’en 1972 avec L’envoyé d’Alpha (FNA n° 495), mais notons qu’à la parution de son deuxième roman « Anticipation » (La planète assassinée, 1972), l’auteur avait déjà écrit une douzaine de manuscrits, acceptés par le comité de lecture du Fleuve Noir sans un seul rejet ! Ce qui représente près de trois années de publication pour un auteur de la collection. Comme quoi les dates de parutions sont parfois assez éloignées des dates de rédaction. Jan de Fast donnera 43 romans à la collection « Anticipation » et disparaîtra du catalogue avec le n° 1111 : Il fera si bon mourir. Un titre prémonitoire ?
Comment l’auteur en est-il venu à la science-fiction ? Jean Bure :
« Ce qui justifie la disparition du Toubib vient de ce qu’il s’est déplacé à la fois dans le temps et l’espace. J’en avais assez de l’espionnage, à part le côté descriptif des lieux de l’action, l’histoire est toujours la même, on se recopie sans cesse. Un agent est liquidé par ceux d’en face à Singapour ou au Kamtchtka, le Vieux fait appel à l’indestructible héros qui se fait casser la figure pendant douze chapitres, rebondit sur ses pieds et pulvérise d’un seul coup le réseau adverse. Notez que je m’efforçais de faire raisonner mon personnage avec son cerveau plutôt qu’avec sa mitraillette, mais ça devenait vraiment lassant.(…) Le Toubib est devenu le docteur Alan, médecin et aventurier du 23ème siècle, membre itinérant du Conseil Suprême de la Fédération des Planètes Unies et son hypernef l’entraine au cœur de lointaines civilisations galactiques. »
Place donc au docteur Alan et à Jan de Fast. C’est sous ce pseudonyme que Jean Bure s’est réellement surpassé à tous les niveaux : En compagnie d’un personnage itinérant incroyablement attachant, nous assistons à la construction, roman après roman, d’une Fédération galactique cohérente. Les idées de Jan de Fast sont brillantes, réellement novatrices, exposées avec clarté, et devraient être méditées – pour ne pas dire « être mises en pratique (ne serait-ce qu’à titre expérimental) » – tout comme ses remises en cause des préconcepts, des préjugés et des tabous ancestraux. Des visions et des extrapolations vertigineuses enfièvrent le lecteur ou le plongent dans une torpeur féérique et déconnectée. Certains des premiers romans de Jan de Fast sont, selon nous, de véritables chefs-d’œuvres : Infection focale, La quatrième mutation, Cancer dans le cosmos, Les tueurs d’âme, Sécession à Procyon, notamment, théâtres permanents de l’inouï qui témoignent d’une inspiration époustouflante et n’ont pas encore fini de nous envoûter. L’apothéose d’une belle carrière de romancier populaire.
Par la suite, Jan de Fast délaissa quelque peu le docteur Alan au profit d’autres personnages, plus aventuriers et mercenaires que concernés par les interventions humanistes et les enquêtes scientifiques. Encore que… A la fin des années 70, Jean Bure, toujours sous l’alias Jan de Fast, se mit à la nouvelle et donna quelques récits à la revue Fiction et aux anthologies de l’époque : « c’est un exercice qui me prend très peu de temps et m’amuse, je peux m’y libérer par l’humour, même s’il est parfois un peu noir ». Il disait aussi être tenté par l’Univers de Jacques Sadoul mais qu’il lui faudrait alors se surpasser. Si ça ce n’est pas de la modestie ! Salut docteur Alan et merci Jean Bure !
©️2009 ®️2023 Myrrha Kerenko
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#Jean Bure #Karol Bor #Jan DeFast #litterature populaire #espionnage #anticipation #Le Toubib #Docteur Alan #Brantonne #Jef de Wulf #Gaston de Sainte-Croix #paperbacks
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selidren · 2 years
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Printemps 1804 - Champs-les-Sims
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Cher cousin, 
Je m’inquiète quelque peu de ne pas avoir de vos nouvelles ces derniers temps. Il me semblait pourtant que la vie à Hylewood était excessivement calme et que nos journées n’étaient qu’un long fleuve tranquille. A moins que vous ne soyez père à nouveau et que cela occupe vos journées. 
Chez nous, il n’est pas question d’autre chose que de petits drames ou histoires domestiques sans grand intérêt, rien qui ne soit si différent de chez vous je pense. Constantin ambitionne désormais de retourner en Egypte seul, bien que nous soyons tous globalement opposés à l’idée. Pas à l’idée qu’il reparte bien entendu, mais le laisser y aller seul ne semble être une bonne idée pour personne à part lui. Je me demande si je ne finirai pas par le suivre, même si l’idée de rester plusieurs mois loin de Marie et de mes enfants ne m’enchante pas. Grand-Mère est d’ailleurs également engagé dans un semi-conflit avec mon épouse. Cette dernière juge qu’elle a trop laissé Alexandre aux mains de ma grand-mère durant ses premières années et entend s’occuper davantage d’Emma, qui n’est en outre pas encore sevrée. Je pense que vous connaissez désormais assez le caractère d’Eugenie Le Bris pour savoir qu’elle n’est très réjouie par cette résolution. 
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titou-nz · 2 years
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Croisière sur le Nil en Felouque - Égypte
Le rôle du Nil dans la fondation de la civilisation égyptienne
La nourriture a joué un rôle crucial dans la fondation de la civilisation égyptienne. Le Nil a été une source intarissable de nourriture. Le Nil rend les terres environnantes très fertiles grâce à ses crues annuelles. Les Égyptiens pouvaient entre autres cultiver le blé et l'orge, fournissant de la nourriture pour toute la population. En outre, l'eau du Nil attire la faune telle que le buffle d'Afrique, et, après son introduction par les Perses au VIIe siècle avant notre ère, le dromadaire. Ces animaux ont pu être tués pour la viande, ou capturés, apprivoisés et employés pour labourer — ou, dans le cas des dromadaires, pour voyager. L'eau était vitale pour les humains comme pour le bétail. Le Nil était également un moyen commode et efficace de transport pour les personnes et les marchandises.
Le Nil a aussi fourni le lin pour le commerce. Le blé était également échangé, une récolte cruciale dans le Moyen-Orient où la famine sévissait souvent. Ce système marchand a fixé les rapports diplomatiques de l'Égypte avec d'autres pays et a souvent contribué à la stabilité économique de l'Égypte. En outre, le Nil a fourni des ressources telles que la nourriture (poissons, gibier d'eau, irrigation des champs) ou de l'or alluvionnaire, pour lever rapidement et efficacement des armées.
Le Nil a joué un rôle important dans la politique et dans la vie sociale. Le pharaon faisait déborder le Nil, et en échange de l'eau fertile et des récoltes, les paysans cultivaient le sol et envoyaient au pharaon une partie des ressources qu'ils avaient récoltées. En contrepartie, ce dernier utilisait ces ressources pour le bien-être de la société égyptienne.
Le Nil avait une dimension spirituelle. Le Nil signifiait tant dans la vie des Égyptiens qu'ils ont créé un dieu consacré au bien-être apporté par l'inondation annuelle du Nil. Le nom de ce dieu était Hâpy et autant lui que Pharaon étaient censés contrôler la crue du Nil. Le Nil a été aussi considéré comme un seuil entre la vie et la mort, l'au-delà. L'est était considéré comme le lieu de la naissance et de la croissance et l'ouest celui de la mort, comme le dieu Rê, le soleil, qui subit ces trois états : naissance, mort et résurrection à chaque fois qu'il traverse le ciel. Ainsi, tous les tombeaux ont été placés à l'ouest du Nil, parce que les Égyptiens croyaient que pour entrer dans l'au-delà, il fallait être enterré du côté symbolisant la mort.
L'historien grec Hérodote a écrit que « l'Égypte était un don du Nil ». Cette formulation, bien que naïve, illustre bien l'importance du Nil dans la société égyptienne. Cependant, elle passe sous silence la grande quantité de travail fournie par les Égyptiens pour mettre en valeur le fleuve (construction de canaux d'irrigation puis utilisation de chadoufs et de norias) ; en effet, ses crues dévastatrices et son cours variable (la ville de Pi-Ramsès a par exemple dû être abandonnée à la suite de l'ensablement du bras du Nil qui l'alimentait) ont rendu son exploitation laborieuse. Cette phrase passe également sous silence la mise en valeur plus anecdotique des oasis du désert Libyque, pour lesquelles il a également fallu avoir recours à d'importants travaux d'irrigation (chadoufs, norias, qanats, etc.).
Le commerce de grande envergure le long du Nil depuis des temps antiques peut être prouvé à partir de l'os d'Ishango, probablement la première indication connue de la multiplication, qui a été découverte près de la source du Nil (près du lac Édouard, au nord-est du Congo), os qui a été daté au carbone 14 à près de 23 000 années avant notre ère.
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yes-bernie-stuff · 2 months
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◀ 31 JUILLET ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié, c’est-à-dire de proclamer la Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu. Actes 20.24
Jusqu’au bout de la course
La vie chrétienne est une course d’obstacles et non un long fleuve tranquille. Le péché peut nous faire trébucher, mais la repentance et l’action du Saint-Esprit nous permettent de nous relever, de reprendre des forces et de repartir à partir de l'endroit où nous sommes tombés. Si cette course jusqu’au Royaume des Cieux peut être comparée à une épreuve cycliste, on peut dire que nous avons le don de nous mettre des « bâtons dans les roues » et de nous exposer aux chutes. Et ces bâtons sont divers. Ce peut être des fréquentations toxiques qui nous poussent à pécher ou nous incitent à aller dans des lieux de tentations, mais ce peut être également la désobéissance lorsque nous faisons le contraire de ce que le Seigneur nous recommande (cf. 1 Corinthiens 15.33 ; Proverbes 22.25). Ainsi, il nous faut humblement reconnaître nos faiblesses, et nous discipliner pour ne pas nous approcher des flammes et nous brûler. Une personne fragile sexuellement par exemple, devrait s’interdire tous les lieux et les ressources qui attisent sa convoitise et la font systématiquement chuter. Celui qui lutte contre l’alcoolisme devrait quant à lui éviter en outre les rues où il y a une concentration de débits de boissons. Tout au long de ce marathon jusqu’aux Cieux, nous ne voyons pas la ligne d’arrivée et il y a de nombreux obstacles à franchir ou à éviter. Cela peut nous décourager, mais si nous combattons le bon combat de la foi et ne nous relâchons pas, alors nous gagnerons la course et nous recevrons la couronne du vainqueur ! Et la solution pour tenir jusqu’au bout, c’est de rester attachés à Christ, c’est Lui abandonner notre vie, nos projets et nos désirs personnels au profit de Ses plans et pour l’annonce de l’Évangile qui est la raison principale pour laquelle le Seigneur nous laisse sur Terre plutôt que de nous prendre immédiatement avec Lui (cf. Jean 4.35 ; 1 Timothée 2.4). De la sorte, imposons-nous une discipline de fer, soyons rigoureux avec nos pensées et notre corps et écartons-nous de toutes sources de tentations car même si l’esprit de l’Homme est plein de bonne volonté, sa chair est faible (cf. Matthieu 26.41). Veillons, prions, prenons les bonnes décisions avec la sagesse que Dieu donne à ceux qui la Lui demandent, et résistons au diable qui rôde comme un lion rugissant cherchant qui dévorer (cf. Jacques 1.5-6 ; 2 Corinthiens 2.11 ; 1 Pierre 5.8). - Lire plus ici :
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quentinyhk · 4 months
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] Ainsi, Jacob s'enrichit considérablement au détriment de Laban qui avait tenté de le léser. Outre son troupeau personnel abondamment pourvu d'animaux rayés, mouchetés et vigoureux, il put entrer en possession d'ânes, de chameaux, de servantes et de serviteurs. - Départ de Jacob pour Canaan Aux oreilles de Jacob parvinrent les propos que les fils de Laban tenaient à son sujet : - Cet homme s'est rendu maître de tous les biens qui appartenaient à notre père. C'est avec les richesses de notre famille qu'il a bâti sa fortune. Constatant également que Laban ne le regardait plus que de travers, la mine assombrie, Jacob entendit soudain l’Éternel lui murmurer : - Retourne sur les terres qui t'ont vu naître, et je t'assisterai. Se tenant auprès de son bétail, Jacob demanda à ses épouses Rachel et Léa, qui travaillaient aux champs, de venir le rejoindre, afin de leur déclarer : - Je peux voir, à son attitude, que votre père Laban ne m'accorde plus sa bienveillance. Cela importe peu, car je bénéficie toujours de celle de Dieu. Vous le savez, j'ai travaillé dur pour votre famille. Et votre père a maintes fois essayé de me léser. Cependant, l’Éternel ne lui a pas permis de me nuire. Souvenez-vous ! Lorsque Laban m'a déclaré, par le passé, que seules les brebis tachetées de son bétail constitueraient mon salaire, toutes les bêtes qui naquirent au cours des mois suivants étaient tachetées. Et lorsque, constatant ce phénomène, votre père changea ses lois du tout au tout, en me disant que je ne serais plus payé qu'avec les bêtes rayées, toutes celles qui naquirent ensuite étaient rayées ! Jacob précisa qu'en songe, il avait vu un ange de Dieu lui annoncer, en compensation de la rouerie tyrannique de son beau-père, les naissances de ces bêtes tachetées ou rayées. C'était donc, en définitive, l’Éternel qui lui avait permis de prospérer prodigieusement par le truchement du bétail appartenant à Laban. Rachel et Léa, qui savaient que leur époux Jacob avait reçu de Dieu l'instruction de retourner dans le pays qui l'avait vu naître, lui donnèrent leur avis à ce sujet : - Que sommes-nous, toutes deux, dans cette histoire ? Faisons-nous encore partie de la maison de notre père et sommes-nous toujours ses filles, ses héritières ? Non. Nous ne sommes plus que des étrangères à ses yeux, puisqu'il nous a vendues, et qu'il a dilapidé tous les biens qui étaient à nous. Dieu lui a ôté ses richesses pour te les donner, à toi, Jacob, notre époux, père de nos enfants. Ce qui appartenait à Laban est désormais à nous. Plus rien ne nous retient auprès de notre père malhonnête, désormais. Partons. Alors, sans en rien dire à Laban, Jacob rassembla ses épouses et ses enfants sur des chameaux. Ils emportèrent tous leurs biens et leur bétail avec eux. Leur convoi traversa un fleuve, puis se dirigea vers la montagne de Galaad. Dans ses bagages, Rachel transportait des théraphims, des statuettes représentant des divinités protectrices des foyers, que, dans la précipitation du départ, elle était allée voler à son père Laban, profitant de ce que celui-ci était occupé à tondre les brebis de son troupeau.
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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sports-100-buzz · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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reussir-a-tout-prix · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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ouyander · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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naantokhi · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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katakaal · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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kareban · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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ka9oukeuktakal · 5 months
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À la découverte de la communauté rurale de Ndendory, anciennement connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est située à l’est du Sénégal. Elle fait partie de l’arrondissement de Wouro Sidy, du département de Kanel et de la région de Matam. Cette région est bordée par la région de Saint-Louis au nord, la région de Louga à l’ouest, la région de Kaffrine au sud-ouest et la région de Tambacounda au sud-est. Ndendory, Sénégal : Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop La communauté rurale de Ndendory, autrefois connue sous le nom de Sinthiou Bamambé, est un exemple fascinant de la diversité et de la richesse culturelle du Sénégal. Située dans l'est du pays, elle fait partie de l'arrondissement de Wouro Sidy, dans le département de Kanel, et appartient à la région de Matam. Cette communauté illustre la structure administrative et sociale unique des communautés rurales sénégalaises, qui sont des collectivités locales distinctes des circonscriptions administratives telles que les villages, les arrondissements et les départements. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Ndendory est un village qui a une histoire liée à la République du Sénégal. Par exemple, le village de Ngano, situé sur la rive gauche du fleuve Sénégal dans la commune rurale de Ndendory, a été associé à la République pour avoir donné le collier porté par le président de la République lors de son investiture par le Conseil constitutionnel. Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés Ndendory, avec ses 1 804 résidents impactés, est actuellement au cœur de l'attention des autorités administratives de la région de Matam. Ces individus représentent une partie importante de la population locale et leur bien-être est une priorité pour le développement durable de la communauté. La gestion de ces impacts nécessite une approche holistique qui prend en compte les besoins sociaux, économiques et environnementaux de la communauté. Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 →À lire aussi Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Le Sénégal, étant un pays principalement agricole, voit ses communautés rurales comme Ndendory jouer un rôle crucial dans l'économie nationale. Elles regroupent les villages et sont responsables de la gestion des ressources locales, de la promotion de l'agriculture et de la préservation des traditions et des cultures locales. La décentralisation a permis à ces communautés de gagner en autonomie, leur donnant plus de pouvoir dans la prise de décisions concernant leur développement. Ndendory est un microcosme de la société sénégalaise... Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation La communauté rurale de Ndendory est donc un microcosme de la société sénégalaise, reflétant les défis et les opportunités auxquels le pays est confronté dans son ensemble. Elle est un exemple de la manière dont les communautés peuvent s'organiser, se développer et prospérer tout en préservant leur identité unique et en contribuant à la richesse culturelle et économique du Sénégal. En outre, la région de Matam abrite également l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory, qui a suscité des questions sur les indemnisations et les impacts sur les populations locales. Si vous avez besoin d’informations plus détaillées sur ces sujets ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me le faire savoir ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 →À lire aussi Nicaragua entre lacs et volcans | Voyage au Nicaragua Pour en savoir plus sur la communauté rurale de Ndendory et son rôle dans la structure administrative du Sénégal, vous pouvez consulter les ressources disponibles sur Wikipédia.
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