#Mode japonaise
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o-link · 2 months ago
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Japanese Fencing, Kendo
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art-vortex · 9 months ago
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(via Coussin avec l'œuvre « "Design traditionnel avec calligraphie japonaise" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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chic-a-gigot · 4 months ago
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L'Art et la mode, no. 42, vol. 33, 19 octobre 1912, Paris. Tunique en soie japonaise brochée. Col et parements de taupe. Jupe de velours noir. Imp. L. Lafontaine, Paris. Bibliothèque nationale de France
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martial-maurette · 7 months ago
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 « BONNARD ET LE JAPON » Hôtel de Caumont, Aix-en-Provence 
« BONNARD ET LE JAPON », visite du 30 Juillet 2024 à l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence) Bien nous en a pris d’attendre, cette fois-ci, calme et tranquillité loin, très loin, du « surtourisme » en début d’expositions précédentes. Donc de quoi prendre le temps de bien lire les cartels (pas toujours bien alignés) et le dossier de presse ; Hypothèse de la commissaire d’exposition Isabelle Cahn : « …l’influence de l’art du Japon sur Bonnard (Japonisme), jusqu’à la fin de sa vie en 1946 ! P.B. dessine, peint ou *photographie et collectionnera des estampes japonaises … » Excellente idée scénographique : la sélection d’estampes japonaises provenant de la prestigieuse collection Leskowicz. Pierre Bonnard : « J’avais compris au contact de ces frustes images populaires que la couleur pouvait comme ici exprimer toutes choses sans besoin de relief ou de modelé. Il m’apparut qu’il était possible de traduire lumière, formes et caractère rien qu’avec la couleur ». Je note sur la tendance dite « Japonisme » : « …l’impact du Japon sur les arts occidentaux. Le mode de penser des artistes de l’ukiyo-e. Le terme japonais ukiyo désigne un monde flottant en accord avec le principe bouddhiste de l’impermanence, ukiyo-e signifiant images du monde flottant. Sa peinture exprime le caractère éphémère des phénomènes, la beauté mystérieuse de la nature et des êtres, le charme subtil des choses. » Aparté photographique : *Marthe Bonnard sous l’objectif de Pierre Bonnard (1867-1947) https://dantebea.com/2013/11/07/marthe-bonnard-sous-lobjectif-de-pierre-bonnard-1867-1947/
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Pierre Bonnard, La Promenade des nourrices, frise des fiacres 1897, Paravent constitué d’une suite de quatre feuilles lithographiées en cinq couleurs 45,3 x 114,3 (chaque panneau) Le Cannet, musée Bonnard © Musée Bonnard/Yves Inchierman
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"…Dans les années 1860, suite à l’ouverture commerciale du Japon avec la France, les gravures ukiyo-e, méprisées par les Japonais pour la légèreté de leurs sujets, servent à caler les produits manufacturés dans les caisses d’expédition…" Extraits DP
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Pierre Bonnard, Femmes au jardin : Femme à la robe à pois blancs ; Femme assise au chat ; Femme à la pèlerine ; Femme à la robe quadrillée, 1890-1891, Détrempe à la colle sur toile, panneaux décoratifs, 160,5 x 48 cm (chaque panneau), Paris, musée d’Orsay
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Pierre Bonnard, Projet d’éventail Femmes et fleurs, 1895, gouache, aquarelle et encre de Chine. Van Gogh Museum, don de la Triton Collection Foundation
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Katsushika Hokusai, Sous la vague au large de Kanagawa, série « Les Trente-six vues du Mont Fuji » Signé: Hokusai aratame Iitsu hitsu Editeur: Nishimuraya Yohachi (Eijudô) vers 1830, oban yoko-e, 25,5 x 37,7 cm Collection Georges Leskowicz
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PIERRE BONNARD (1867-1947) La Revue blanche. Affiche. 1894. Lithographie. [582 x 778].
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"…Les portraits de femmes d’Utamaro, les paysages d’Hokusai et d’Hiroshige ou encore les acteurs de Sharaku atteindront le statut de chef d’œuvre en Occident et de nombreux artistes du tournant du siècle seront fascinés à leur contact. Les estampes avec leurs couleurs posées en aplats, leurs voisinages chromatiques audacieux, leur stylisation décorative ou leurs vues à vol d’oiseau, vont bouleverser les certitudes académiques des artistes occidentaux…"
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"Groupe de chien dansant" Projet de meuble, 1891 Aquarelle, plume et encre Coll. particulière
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"…1872, Philippe Burty forge le terme de japonisme pour définir l’impact du Japon sur les arts occidentaux, dans un article publié dans Renaissance Littéraire et Artistique…"
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…un arrêt du temps, l'instant présent… Très photographique tout ça. "Pierre Bonnard, photographe" (Relié) https://www.amazon.fr/Pierre-Bonnard-photographe-Fran%C3%A7oise-Heilbrun/dp/2904057242
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"…Bonnard ne peint pas seulement pour le plaisir sensuel que le nu lui procure. Il considère ce sujet comme l’un des plus exigeants en raison de la fascination qu’il provoque et de l’interaction du modèle vivant avec l’environnement. Ses modèles évoluent dans des espaces complexes, traités de manière décorative, qui permettent de transformer le réel…"
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Paul Verlaine "Parallèlement", poème Seguidille, 1900. Livre illustré de lithographies en couleur, Pierre Bonnard, Coll. Particulière
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"…Dans l'intimité de leur vie quotidienne, par obsession ou par plaisir, Marthe aime à passer du temps à sa toilette. Ce rituel devient l'occasion pour l'artiste de scruter le jeu des reflets, des lumières, des couleurs. Il fige le bonheur de l'instant en peinture, mais aussi en photographie…" https://panoramadelart.com/sites/default/files/filesPanorama/FA224-02-bonnard-marthe-tub.jpg
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"…Nabi : Mot d’origine hébraïque signifiant « prophète ». Il désigne un groupe d’artistes postimpressionnistes, à la recherche d’une peinture nouvelle. Rassemblés à partir de 1888 autour de Paul Sérusier, les nabis partagent une esthétique faite de formes épurées, d’aplats de couleur, de contours, et parfois un certain sens du symbolisme et de la religiosité. Par ses écrits, le peintre Maurice Denis ne tarde pas à en devenir le théoricien. Sa formule, « un tableau […] est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées », traduit bien l’esprit de synthèse qui anime les nabis…"
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à lire aussi : Un Nabi très japonard https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/presentation/pierre-bonnard-peindre-larcadie
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Le "spectacle" virtuel, partout, pour tout, pour tous. Terriblement XXIème s.
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"… l’exposition présente de nombreuses œuvres exceptionnelles de Bonnard, jamais ou rarement vues en France comme Les deux caniches, Le Bar, L’Omnibus, La Place Clichy, Le Jardin de Paris, Conversation provençale, La Nappe blanche, Le Dessert, Le Nu gris de profil…"
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Hôtel de Caumont 3, rue Joseph Cabassol (Portail à carrosses) Quartier Mazarin, Aix-en-Provence
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raisongardee · 2 years ago
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“En ce sens, derrière ou sous l’individu-performance gérant obsessionnellement son "capital santé" et aspirant à mettre à jour ses "compétences", il y a un être sentant, une totalité organique dépendante de situations et soumise à l’épreuve de l’altérité. Derrière ou sous l’occupant connecté des machines à vivre que sont les villes de l’urbanisme moderne, individu transformé en élément statistique de flux circulatoire, il y a un être à la fois temporel et spatial, voué à explorer activement son espace et à s’y installer en l’habitant. Derrière ou sous le consommateur de marchandises au goût frelaté ou à la qualité incertaine, il y a un être au monde qui habitue peu à peu ses sens au simulacre et perd le goût des choses et le sens des nuances. Derrière ou sous le travailleur managé et pressuré (par le lean management à la japonaise, par la préquantification du travail, par le traçage numérique), il y a une énergie vitale châtrée, porteuse de formes culturelles remarquables (liées à ce qu’on appelait jadis le travail "bien fait"), mais niée dans sa puissance même. A chaque fois, la vie empêchée et humiliée c’est la vie recouverte par le "vêtement d’idées" du capitalisme technologique, où l’abstraction est devenue le "mode d’être concret" de la réalité. C’est à réveiller cette vie et ses réserves de résistance potentielle qu’il faut nous attacher.”
Renaud Garcia, Le sens des limites, 2018.
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mmepastel · 2 years ago
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dailymotion
Ça y est, nous avons terminé la charmante série japonaise Dans la cuisine des maiko.
Le dépaysement est total. Au début, tout semble étrange ; les rires légers mais constants des deux amies à la moindre parole, la fonction même de maiko (j’ai passé le premier épisode à me demander de quoi il s’agissait, je me suis renseignée ensuite, notamment auprès de mon fils qui en savait un rayon grâce à sa passion pour le Japon), les multiples rituels, l’importance des politesses, des codes, des prières, le mode de vie.
Ensuite, j’ai craqué pour Kiyo, la recalée des maiko (trop gauche), qui devient maikana (c’est à dire cuisinière pour le gynécée où l’on apprend l’art d’être maiko), sa passion pour les plaisirs simples, son talent pour faire plaisir aux autres, surtout en cuisinant, la beauté des images de Kyoto, la beauté des plats cuisinés.
J’ai été, au fond, tout autant charmée qu’agacée. Au bout d’un certain temps, la philosophie de Kiyo (« chérir chaque instant ») m’a parue tout aussi belle qu’inatteignable, et un peu forcée. Et une part de moi, même éblouie par le raffinement des coutumes et des interactions sociales, ne peut s’empêcher d’être un peu irritée du rôle donné aux femmes. Certes, elles choisissent de devenir maiko puis éventuellement geiko. C’est à dire qu’elles s’entraînent dur pour se parer, se coiffer, se maquiller et danser pour être ensuite employées pour des soirées ou événements dans lesquelles elles seront admirées pour la pratique de leur art. Des dames de compagnie (en tout bien tout honneur) ou des danseuses, ou un peu des deux. Il faut mettre sa main devant la bouche quand on rit, par exemple. Je suppose que ça me dépasse un peu. On est loin loin loin du féminisme… même si elles ont un certain pouvoir et un statut admiré. Au fond, qu’admire-t-on chez elles ? La capacité à faire de leur corps et de leurs mouvements une œuvre d’art ? La capacité de s’effacer au profit d’une tradition ancestrale jamais remise en cause (il n’y a guère que la maiko aguerrie qui soulève des questions) ? La capacité de mettre sa vie personnelle sous le tapis pour plaire aux hommes ? Ces questions, pour une occidentale de 2023, sont naturelles je pense.
Elles ont l’air heureuses, pour la plupart, sauf la sombre Reyko, qui détonne de façon bienvenue avec sa mélancolie maussade et son esprit désabusé. Mais peut-on croire la série sur parole ? Est-elle juste ?
Heureusement, ce qui sauve la série, c’est la solidarité et l’amitié (non dénuée de rivalités) entre les apprenties maiko. Surtout l’amitié de Surume et de Kiyo, qui survit à leurs changements de statut.
Peut-être que la série était trop longue. Neuf épisodes sur une trame aussi ténue, c’est beaucoup. En même temps, cela donne un côté documentaire qui est loin d’être inintéressant.
Une vraie curiosité en tous cas.
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latexcloth · 2 days ago
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Ombrelle japonaise : Un Accessoire Élégant et Pratique pour l'Été
L'ombrelle japonaise est bien plus qu'un simple accessoire de mode. Véritable symbole de raffinement et d'élégance, elle est largement utilisée au Japon pour se protéger du soleil tout en apportant une touche de beauté traditionnelle. Dans cet article, nous explorerons l'histoire de cet accessoire unique, son utilisation et ses avantages pour ceux qui recherchent à la fois style et fonctionnalité.
L'histoire et la tradition de l'ombrelle japonaise
L'Ombrelle japonaise a une longue histoire qui remonte à plusieurs siècles. Introduite au Japon pendant la période Heian (794-1185), elle est rapidement devenue un élément important de la mode japonaise, particulièrement chez les femmes de la noblesse. L'ombrelle était non seulement utilisée pour se protéger du soleil, mais elle avait aussi une forte signification culturelle, symbolisant la grâce et la modestie.
Les premières ombrelles étaient fabriquées avec des matériaux naturels tels que le bambou et le papier, souvent décorées de motifs floraux ou de dessins représentant des scènes naturelles. Aujourd'hui, bien que les matériaux aient évolué, l'ombrelle japonaise conserve son caractère unique et reste un accessoire de mode prisé.
Les différents types d'ombrelles japonaises
Il existe plusieurs types d'ombrelles japonaises, chacune ayant ses propres caractéristiques et usages. Voici quelques-unes des plus populaires :
L'ombrelle en papier de riz : Traditionnellement fabriquée en papier de riz, cette ombrelle est légère et délicate. Elle est souvent utilisée lors de festivals et d'événements spéciaux.
L'ombrelle en soie : Plus sophistiquée, l'ombrelle en soie est idéale pour des occasions formelles. Elle est souvent ornée de broderies et de motifs complexes, ajoutant une touche d'élégance à toute tenue.
L'ombrelle en bambou : Le bambou est un matériau traditionnellement utilisé pour la structure de l'ombrelle. Ce type d'ombrelle est durable et léger, parfait pour une utilisation quotidienne.
Les avantages de l'ombrelle japonaise
L'ombrelle japonaise n'est pas seulement un accessoire de mode ; elle offre également de nombreux avantages pratiques, notamment en matière de protection solaire. Voici quelques raisons pour lesquelles vous devriez envisager d'ajouter une ombrelle japonaise à votre collection :
Protection contre les rayons UV : L'ombrelle japonaise offre une excellente protection contre les rayons UV, permettant de se protéger du soleil tout en restant à l'abri de la chaleur. Cela peut aider à prévenir les coups de soleil et le vieillissement prématuré de la peau.
Refroidissement naturel : Grâce à sa structure ouverte et aérée, l'ombrelle japonaise permet à l'air de circuler, offrant ainsi une sensation de fraîcheur même pendant les journées les plus chaudes.
Un ajout élégant à votre tenue : Que ce soit pour un mariage, un festival ou une promenade en ville, l'ombrelle japonaise est un accessoire de mode qui se distingue par sa beauté et son raffinement. Elle peut compléter parfaitement une robe ou un kimono, tout en apportant une touche de culture japonaise à votre look.
Comment choisir votre ombrelle japonaise
Choisir la bonne ombrelle japonaise dépend de plusieurs facteurs, tels que le matériau, le design et l'utilisation prévue. Si vous cherchez une ombrelle pour un événement spécial, optez pour des modèles en soie avec des motifs décoratifs. Pour une utilisation quotidienne, une ombrelle en bambou ou en papier de riz peut être plus appropriée, offrant à la fois légèreté et confort.
Assurez-vous également de tenir compte de la taille de l'ombrelle. Certaines ombrelles sont conçues pour offrir une couverture plus large, tandis que d'autres sont plus compactes et faciles à transporter.
L'ombrelle japonaise aujourd'hui : un accessoire tendance
L'ombrelle japonaise a connu un regain de popularité ces dernières années, notamment en raison de son style unique et de son côté pratique. Les amateurs de mode et de culture japonaise l'ont adopté comme un accessoire incontournable, et elle est désormais portée dans de nombreuses occasions. De plus, avec la montée en popularité des tendances rétro et vintage, l'ombrelle japonaise se retrouve souvent sur les podiums de mode et dans les collections de créateurs.
Conclusion : Pourquoi adopter l'ombrelle japonaise
En somme, l'ombrelle japonaise est un accessoire polyvalent, élégant et fonctionnel qui mérite une place de choix dans votre garde-robe. Que vous cherchiez à vous protéger du soleil, à ajouter une touche d'élégance à votre look ou à explorer la culture japonaise, l'ombrelle japonaise saura répondre à vos attentes. Offrant un mélange parfait de tradition et de style moderne, elle est l'accessoire idéal pour les amateurs de mode en quête de distinction.
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puchkinalit · 2 days ago
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Les Dames de Kimoto
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Hana a été éduquée par sa grand-mère dans la tradition séculaire des dames japonaises de haut rang pour devenir l'épouse d'un homme renommé et respecté. A vingt-deux ans au début du XXème siècle, elle quitte la ville de Kudoyama et Toyono, sa grand-mère bien-aimée pour épouser Matani Keisaku un notable de Wakayama. Dotée d'un caractère affirmé mais convaincue de sa place inférieure dans la société, elle consacre sa vie à son mari et la bonne marche de son foyer. Elle donne naissance à plusieurs enfant dont Fumio, une fille indépendante, masculine et frondeuse qui s'oppose à toute forme de tradition et est attirée par le mode de vie moderne et occidental... Les Dames de Kimoto expose la condition féminine au Japon en parallèle avec le cours de l'Histoire et l'évolution de la société sur le temps d'une vie, celle de Hana, personnage central de l'histoire, belle femme intelligente mais enfermée dans son respect des valeurs ancestrales, empêchée d'exprimer ses désirs mais réussissant à trouver une certaine maitrise et un épanouissement dans la mission de vie qu'elle s'est donnée.
8/10
Les Dames de Kimoto / Sawako Ariyoshi.- Folio.
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symbioseconsulting · 4 days ago
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La mode africaine : une stratégie d’intégration dans la mondialisation
Par Florence Akogbekan
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@waxfashionparis-blog
La mode africaine s’affirme aujourd’hui comme un véritable moteur d’intégration dans la mondialisation. Elle évolue à la croisée des chemins entre tradition et modernité, portée par des créateurs audacieux, des initiatives novatrices, valorisant un patrimoine culturel unique tout en répondant aux attentes d’un marché international en quête d’authenticité d’unicité culturelle et de durabilité.
Ce secteur ne se limite plus à l’habillement : il s’imprègne d’écologie, d’économie et d’innovation sociale, devenant un véritable espace de dialogue entre le local et le global.
Aujourd’hui, les créateurs africains bousculent les codes, redéfinissent les standards et transforment les perceptions. Ils insufflent une dynamique nouvelle à un continent qui trouve dans la mode une opportunité unique de résonner sur la scène internationale tout en renforçant ses chaînes de valeur économiques sur le continent et au-delà.
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@ahoe_creations
I - Comment les designers africains contribuent-ils à réinventer l’image de la mode africaine tout en respectant ses traditions ?
Les designers africains jouent un rôle essentiel dans la redéfinition de la mode africaine, en harmonisant héritage culturel et innovations contemporaines.
 a- Un dialogue entre héritage culturel, des textiles uniques
Ils puisent dans les traditions ancestrales, s'inspirant des symboles, des motifs et des techniques propres à chaque région, tout en les adaptant aux exigences d’aujourd’hui telles que le confort et la facilité d’usage, la durabilité des éléments puisés dans les ressources naturelles. Des créations des collections qui viennent répondre aux besoins de plus en plus identifiés et assumés de s’extraire de l’uniformisation et d’affirmation culturel tout en restant au présent
Des marques telles que @Le Petit Dakarois et @Le Boubou Bordelais illustrent cette fusion en proposant des vêtements qui marient des tissus traditionnels africains avec des coupes modernes, reflétant une riche dualité culturelle. De même, @Panafrica se distingue par ses chaussures aux motifs africains, fabriquées de manière éthique et responsable, mettant en avant le savoir-faire bottier artisanal du continent, lui aussi peu connu.
Des étoffes telles que le Faso Dan Fani du Burkina Faso ou le bogolan du Mali, symboles d'une identité culturelle forte, sont réinterprétées dans des styles modernes. Par exemple, Pathé’O, basé en Côte d'Ivoire, utilise des textiles locaux pour créer des vêtements emblématiques, dont les chemises portées par Nelson Mandela, incarnant un message de liberté et d'identité.
Bien que riche en diversité, le patrimoine textile africain reste méconnu.
Des designers comme @Amoko Studios au Ghana et @Yehouessi Design au Bénin réhabilitent les textiles africains en proposant des collections modernes et attractives. Ces créateurs redonnent vie à des matières souvent oubliées, comme le kente ou le bogolan, et les adaptent aux sensibilités contemporaines. Grâce à leur travail, les jeunes générations se reconnectent à leur histoire tout en attirant l’attention d’un public international en quête d’authenticité.
Le styliste @KennethIze, avec plus de 70 000 abonnés sur Instagram, s'est imposé comme une figure emblématique de cette renaissance textile. En revisitant l’aso oke, un tissu traditionnel nigérian, il a su séduire des célébrités internationales, telles que Naomi Campbell, tout en collaborant avec des artisans locaux pour préserver leur savoir-faire.
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@kirumono
La styliste derrière la marque @KIRU’MONO fusionne des influences japonaises avec des imprimés afro, créant ainsi des collections uniques où le minimalisme asiatique rencontre la richesse des motifs africains. Ces créations incarnent un dialogue culturel, transcendant les frontières et attirant des passionnés de mode du monde entier.
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@waxfashionparis-blog
Par ailleurs, des marques et créateurs à travers le monde célèbrent également le textile africain sous différentes formes :
likeUafrica, un concept store africain basé à Milan, qui met en avant des pièces uniques et soigneusement sélectionnées.
Abc_wax, une blogueuse passionnée par le wax, qui partage régulièrement ses trouvailles et coups de cœur textiles.
Melylaw, spécialisée dans la création de décorations et d’accessoires de mode faits main.
Plume_de_wax, une créatrice textile dédiée à l’art du wax.
NeonAfrique, qui propose une mode inspirée de l’Afrique tout en intégrant des touches modernes.
WAX ELSE, basée dans l’Oise, combine mode, déco et accessoires en wax dans des collections éclectiques.
Glam Ethnik, qui explore le prêt-à-porter inspiré des Caraïbes, en mêlant les influences afro et insulaires.
Lili_wax_and_co, surnommée "la fée waxée", propose des créations uniques en wax qui captivent par leur originalité.
Nayee.crea, spécialisée dans les sacs et accessoires en cuir et wax faits main, véritables œuvres d’art portables.
Mbam_creation, qui valorise la reconnexion culturelle à travers des foulards élégants et symboliques.
Mania.wax, dédiée aux objets et accessoires du quotidien sublimés par le wax.
Le_monde_de_felix, qui crée des vêtements et accessoires en wax pour enfants, alliant tradition et modernité.
My Afro Touch, qui propose des bijoux et accessoires afro-inspirés, célébrant la beauté et la diversité des cultures africaines. (« une façon de façon de raconter qui vous êtes ! » )
L’hôtel Maison Rouge à Cotonou reflète cette même dynamique en mettant en avant les textiles africains dans ses intérieurs, que ce soit pour ses rideaux, coussins ou meubles décorés de motifs locaux. Cette valorisation inspire un mouvement global où le textile africain s’intègre à des usages variés, de la mode à la décoration.
Ces initiatives montrent que le textile africain dépasse les frontières de la mode pour s’affirmer comme un pilier culturel et artistique, capable de séduire des publics diversifiés à travers le monde. En associant créativité, durabilité et authenticité, ces acteurs participent à une redéfinition de l’image et de l’impact du textile africain dans un contexte globalisé.
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@waxfashion et @myafrotouch
b.  Une réponse aux enjeux écologiques
Le recyclage et l’upcycling, pratiques à la fois modernes et enracinées dans la culture africaine, participent à cette réinvention. Par exemple, les centres comme Songhaï au Bénin transforment des déchets plastiques en textiles et accessoires. Cette stratégie répond à la demande croissante pour une mode durable tout en valorisant le savoir-faire local
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Burkina Faso, des ateliers innovants transforment des sachets plastiques multicolores en tissus tissés à la main, qui sont ensuite utilisés pour confectionner des chaussures et divers objets du quotidien.
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Le président @Djangoun au Bénin déstructure et retravaille complètement le modèle de la mode et du recyclage, en créant une approche qui mélange innovation et durabilité. Ses initiatives incluent la transformation de déchets textiles en matériaux réutilisables et le soutien à une économie circulaire ancrée dans le patrimoine local.
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c.   Une mode en lien avec les arts et à la culture
L’artiste @AmirElPresidente a réalisé la comédie musicale Le Trône de Béhanzin le 22 décembre 2024, un spectacle vibrant qui fait revivre l’époque héroïque de ce roi mythique de l’histoire du Bénin. Ce spectacle, présenté à Cotonou, mêle musique, danse et costumes traditionnels
réinterprétés, offrant une plateforme aux designers pour exprimer leur créativité tout en honorant le patrimoine culturel. Cette œuvre sera prochainement en tournée internationale, permettant de découvrir les tenues culturelles locales au travers de ce voyage artistique.
Le président @Djangoun au Bénin, quant à lui, réinvente la mode et le recyclage, proposant une démarche qui mêle créativité et durabilité. Son approche novatrice transforme les déchets textiles en matériaux réutilisables, illustrant une vision avant-gardiste de l’économie circulaire.
L’art de la table n’est pas en reste, avec des initiatives comme Wax on the Table, fondée par Absa Sar Chay, qui marie la porcelaine de Limoges aux motifs africains. Cette combinaison harmonieuse d’artisanat européen et de design africain donne naissance à des collections uniques d’assiettes, de tasses et de plats décoratifs, reflétant une esthétique culturelle hybride. Cette initiative met également en lumière l’importance du savoir-faire artisanal dans un cadre contemporain, attirant l’attention de collectionneurs et d’amateurs de décoration raffinée.
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@waxonthetable
d. L'impact des influenceurs, des plateformes et des événements
Les plateformes dédiées à l’#AfricStyle, comme @Afrikrea, @Blaxwaxparis, et Etsy, offrent une vitrine aux créateurs africains et de la diaspora, facilitant la diffusion et la commercialisation de leurs œuvres à l’échelle mondiale. Ces espaces numériques permettent une visibilité accrue et une reconnaissance internationale de la mode africaine contemporaine.
Les influenceurs jouent également un rôle clé dans cette dynamique. Par exemple, @ClaudeMonthe utilise sa plateforme pour promouvoir les créations africaines, sensibiliser à l’importance de la mode éthique et encourager l’adoption de styles qui honorent les traditions tout en embrassant la modernité.
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@claudemonthe
 @SandyAbena, avec une plateforme dédiée aux cultures afro et suivie par 167k abonnés sur Instagram, partage ses voyages et ses découvertes à travers l’Afrique.
Par ailleurs, des événements à travers le monde mettent de plus en plus en lumière
 la mode africaine :
Istanbul Fashion Connection : met l’accent sur les tendances internationales et se tiendra du 5 au 8 février 2025.
WaxFashion : avec 16.7k abonnés, organise chaque année à Paris un défilé haute couture et avant-garde ; le prochain, Ze Défilé, aura lieu le 19 avril 2025.
Le Marché Afro-Caribéen : depuis 2017, accompagne les artisans et créateurs en organisant un grand marché chaque mois de mars. Le prochain aura lieu les 22 et 23 mars 2025.
La Foire de Paris : un rendez-vous incontournable pour découvrir les innovations textiles.
FIMO228 : le Festival International de la Mode au Togo, sous le thème La mode pour un monde sans cancer, se tiendra du 12 au 15 février 2025. Cette semaine de la haute couture africaine incarne l’essence de la fashion week africaine.
Ces démarches témoignent d’une volonté de préserver et de promouvoir les traditions africaines, tout en les adaptant aux contextes contemporains, contribuant ainsi à une image renouvelée et dynamique de la mode africaine.
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II - Évolution de la mode africaine dans les 10 à 20 prochaines années
La mode africaine se trouve aujourd’hui à un tournant majeur, portée par une dynamique mêlant tradition, innovation et ambition. Dans les 10 à 20 prochaines années, elle est appelée à jouer un rôle encore plus central dans l’économie mondiale et dans la construction de récits identitaires africains. Ce mouvement d’envergure sera marqué par une double transformation : une expansion internationale sans précédent et un renforcement des écosystèmes locaux, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles opportunités économiques et culturelles.
a.  Une ouverture accrue sur la scène internationale
La mode africaine continuera de s’exporter et d’attirer l’attention du monde entier grâce à des créations uniques mêlant authenticité, créativité et éthique. Des initiatives comme les spectacles culturels, à l’instar de la comédie musicale Le Trône de Béhanzin, et des plateformes numériques telles qu’@Afrikrea et @Blaxwaxparis permettront de raconter des histoires africaines par le biais des vêtements.
Par ailleurs, l’organisation d’événements comme le FIMO228 au Togo ou le Waxfashion à Paris renforcera la visibilité internationale des créateurs. Cette ouverture sur la scène mondiale ne se limitera pas aux vêtements : les accessoires, les tissus et même les métiers d’artisanat traditionnel africain deviendront des ambassadeurs du continent.
En conséquence, la mode africaine deviendra une vitrine culturelle et un outil diplomatique, attirant des collaborations internationales tout en façonnant une image positive et dynamique du continent.
b.  Renforcement des chaînes économiques et émergence de nouvelles filières
L’essor de la mode africaine sera également marqué par une structuration plus solide des chaînes de valeur locales. Les coopératives artisanales et les certifications valorisant le « fait main » contribueront à la reconnaissance internationale des savoir-faire locaux tout en générant des emplois sur le continent.
Autour de cette industrie, des métiers connexes se développeront :
Mannequins professionnels travaillant sur le continent, soutenus par des agences locales spécialisées dans la gestion de carrière et la formation.
Professions liées à l’image, comme les photographes, stylistes, graphistes, et gestionnaires de contenu digital, qui joueront un rôle clé dans la mise en valeur de la mode africaine sur les plateformes numériques.
Industries du textile et de l’événementiel, qui s’adapteront pour répondre aux exigences de qualité, de durabilité et d’authenticité des marchés internationaux.
Différents organismes d’états et prives, auront un rôle important à jouer en soutenant la structuration de la filière et en accompagnant les créateurs africains à se préparer avant de se lancer sur des marchés de plus en plus compétitifs et digitalisés. Des initiatives comme celles du groupe @MARAZ ou de l’entrepreneur @AkimSoul, avec son #FMD, montrent déjà la voie pour organiser cette transition stratégique.
L’entrepreneur @Akim Soul nourrit le rêve de faire connaître au monde entier le savoir-faire africain, en particulier malien, dans le domaine de la mode à travers son initiative #FMD. Depuis 2011, il a déjà organisé plusieurs événements marquants :
Les Journées de la Création, mettant en avant les talents émergents et confirmés.
Le Mali Mode Show, une vitrine incontournable de la créativité malienne.
Le Forum de la Mode, dont la première édition a eu lieu en 2024 à Bamako, offrant une plateforme d’échange et de structuration pour les acteurs de la filière mode en Afrique.
Ces initiatives illustrent son engagement à propulser la mode africaine sur la scène internationale tout en renforçant les écosystèmes locaux.
En résumé, la mode africaine de demain se positionnera comme un acteur majeur, à la fois culturellement influent et économiquement structuré, offrant au continent une opportunité unique de rayonner dans un monde globalisé.
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        III - Place de l’artisanat local dans la production de mode africaine face à une production de masse encouragée par la mondialisation
La mode africaine se trouve à un carrefour, où l’artisanat local joue un rôle clé dans la préservation des traditions tout en s'adaptant aux exigences d'une mondialisation toujours plus compétitive.
1. L’artisanat local : un pilier économique et culturel
En l’absence d’une industrialisation généralisée, l’artisanat reste le cœur battant de la production de mode en Afrique, soutenant des millions de familles et préservant des savoir-faire ancestraux transmis de génération en génération. Le couturier local, véritable mémoire vivante des mesures et préférences de chaque membre de la famille, incarne cette tradition. Bien plus qu’un simple créateur, il innove en permanence, donnant vie à de nouvelles pièces uniques et jouant un rôle d’ambassadeur culturel. À travers son travail, il célèbre et réinvente l’identité africaine tout en répondant aux besoins d’une clientèle contemporaine.
2. Une coexistence entre menace et opportunité
La production de masse, facilitée par la mondialisation, exerce une pression concurrentielle importante sur l’artisanat. Cependant, cette dernière peut se distinguer en misant sur la qualité et l’authenticité. Des initiatives telles que la création de coopératives, l’obtention de certifications « fait main », ou encore des plateformes comme Afrikrea et d’autres, permettent de donner une visibilité mondiale aux produits artisanaux, tout en soulignant leur unicité. 
3. Vers une intégration mondiale des savoir-faire locaux
L’intégration de textiles et de techniques artisanales dans des collections internationales permet de revaloriser l’artisanat africain. Des collaborations entre designers locaux et marques mondiales ouvrent des opportunités économiques tout en assurant la pérennité des traditions. Ces échanges équilibrent les rapports de force économiques et permettent à l’artisanat africain d’acquérir une reconnaissance globale.    
Conclusion
Face à la production de masse, l’artisanat africain se distingue comme une alternative précieuse, alliant authenticité et modernité.
Portée par un riche héritage culturel, une attention croissante aux dynamiques écologiques et un profond ancrage local, la mode africaine ne se contente pas de s'adapter à la mondialisation : elle la transforme.
Elle y apporte une nouvelle âme, un souffle d’identité et d’humanité qui célèbre la singularité tout en inspirant une vision plus durable et inclusive de la création. En valorisant ces atouts, l’Afrique façonne non seulement son avenir, mais aussi celui de la mode mondiale. 
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sexychicazombiegirl · 1 month ago
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Bienvenue sur le blog Cherry Pop !
Ce blog est consacré à la musique japonaise, la mode japonaise et tout ce qui est kawaii (mignon).
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codumofr · 2 months ago
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L'Arrondissement Spécial de Shibuya ayant été fondé en lui-même en 1932. Shibuya est connu pour son croisement appelé le "Carrefour Hachiko" ou "Shibuya Crossing". C'est aussi le quartier des affaires avec de nombreux sièges sociaux d'entreprise présents. Mais Shibuya, le site en lui-même serait habité depuis la période Jōmon (13 000 à 400 ans av. J.-C.) suite à la révélation de plusieurs sites archéologiques établis sur son territoire actuel. Occupant les parties élevées du plateau de Musashino, ses restes se composent de Kofun (monuments funéraires), des objets faits d’argiles ainsi que des os humains découverts et sortis de terre. Son histoire est assez floue durant les périodes de Nara (710-794) et celle de Heian (794-1185) malheureusement. C’est en 1092 qu’un clan de samouraï donne son nom à une fortification militaire présent sur ses lieux, mais aussi à un lieu de culte du Shinto, le Château de Shibuya détruit en 1524 par les Go-Hojo et le sanctuaire de Shibuya Hachiman, aussi appeler “Konno Hachiman-Gul”, qui lui est au début du XXIe le seul édifice de ce clan à avoir été préservé. Ce n’est que durant l’époque de Kamakura (1185-1333) que commence à s’écrire l’histoire de Shibuya, et cela, provenant de la province de Musashi, alors sous l’impulsion du clan du même nom. Jusqu’à l’époque Edo (1603-1868), les villages se développent, on peut y retrouver Harajuku, Sendagaya, Hatagaya ou encore Shimoshibuya. Ce n’est que durant le shogunat Tokugawa (1603-1868) que la région prospère comme extension du domaine lié au pouvoir central qui siège à cette époque à Edo. Le nouveau gouvernement installé à Tokyo lors de la restauration de Meiji (1868-1889), le pouvoir remodèle l’organisation administrative du pays et le district de Shibuya est officiellement créer en 1869 et sera rattaché à la préfecture de Musashi. En 1889, le village de Shibuya est fondé en tant que telle. Comprenant 8954 habitation pour une population de 35191 habitant en 1904, ça ne sera que le 1er octobre 1932 que le village de Shibuya devient l’un des 35 arrondissement de Tokyo, incluant la vallée du cours supérieur du fleuve Shibuya, le quartier résidentiel Yoyogi et celui de Harajuku. Après la Seconde Guerre mondiale, en 1947, Shibuya est maintenant comme un des 23 arrondissements spéciaux de la capitale japonaise et ça ne sera qu'à partir de 1955 que les premiers gratte-ciel de l’arrondissement seront construits. S’établissant comme centre d'affaires, centre administratif et centre commercial tout en étant desservi par de nombreuses lignes de chemin de fer (dont la ligne Yamanote), son développement augmentera drastiquement en 1964 suite à la tenue des Jeux olympiques d’été cette année-là. C’est par la suite l'arrivée de nombreuses boutiques de mode qui permettra à Shibuya de devenir un lieu de rendez-vous de la jeunesse tokyoïte, mais aussi un grand lieu commercial. Shibuya possède de nombreuses université telle que l’Université des Nations Unies qui est le centre de recherche de l’ONU ; l’Université pour femme de Jissen qui diplôma la première femme à obtenir un doctorat en agronomie du Japon. Cette femme est Michiyo Tsujimura, reconnu pour ses recherches sur le Thé Vert, notamment grâce à l’isolation de la Catéchine Flavonoïde en 1929. De nos jours, Shibuya est habité par 229 553 habitants (Octobre 2022) pour une densité de 15192 habitants au kilomètre². En 1988, l’Astéroïde 4634 est découvert à Kobuchizawa par Masaru Inoue et Osamu Muramatsu qui décident de le nommer d’après l’arrondissement de Shibuya.
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o-link · 2 months ago
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spiritgamer26 · 2 months ago
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Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival
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https://www.youtube.com/watch?v=bxxNSpQl6jI
Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival – Enfin sur Toutes les Scènes !
Deux ans après avoir fait vibrer la Nintendo Switch, Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival débarque enfin sur PlayStation 5, Xbox Series X|S et PC. Une arrivée qui élargit l’horizon de cette série légendaire née en 2001 dans les salles d’arcade japonaises. En près de deux décennies, la franchise a conquis presque toutes les plateformes, mais il aura fallu attendre 2018 pour qu’elle frappe enfin à nos portes en Occident.Une Percussion Qui Frappe FortPour les néophytes, Taiko no Tatsujin appartient à la catégorie des jeux de rythme, ce genre de niche où la coordination et la rapidité sont vos meilleures alliées. Ici, pas de simples boutons à presser : vous devez vraiment frapper, avec des tambours virtuels (ou réels, pour les puristes). Chaque note est une invitation à entrer dans le groove et, parfois, une leçon d’humilité pour vos réflexes.En Asie, Taiko no Tatsujin est une institution, mais en Occident, c’est une découverte bien plus récente. Tout a commencé avec Drum 'n' Fun! sur Nintendo Switch et Drum Session! sur PlayStation 4 en 2018. Depuis, les fans ont répondu présents, encourageant Bandai Namco à continuer d'exporter la série au-delà des frontières japonaises.La Switch Ouvre la Voie, les Autres SuiventInitialement sorti comme une exclusivité Switch, Rhythm Festival s’est rapidement imposé comme un incontournable du genre. Mais le passage à d'autres plateformes marque un tournant. PlayStation et PC, c’est du classique, mais voir Taiko no Tatsujin tambouriner sur Xbox, une console souvent boudée par ce type de jeux, relève presque de l’événement.Bandai Namco prouve ainsi qu'il est possible de s’attaquer à de nouveaux marchés en misant sur un concept à la fois simple et addictif. Grâce au soutien des joueurs, cette pépite rythmique continue d’élargir son public, que ce soit avec des sticks virtuels ou des baguettes réelles.Une Série Qui Traverse les ÂgesTaiko no Tatsujin ne se contente pas de jouer la carte de la nostalgie ; il réinvente l’expérience tout en restant fidèle à ses racines. Avec une playlist qui s’enrichit à chaque opus et des modes toujours plus immersifs, la franchise reste un choix incontournable pour les amateurs de jeux de rythme.Alors, que vous soyez un vétéran des arcades ou un novice intrigué par ce tambour légendaire, Rhythm Festival est la promesse de longues heures à transpirer de plaisir... et peut-être de frustration. Mais au fond, n'est-ce pas ça qui fait un bon jeu ?
Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival – Tambours, Rythme et DLC à Gogo
Si vous cherchez un jeu où le plaisir rime avec simplicité, Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival est là pour vous. Dès le premier coup de tambour, le jeu met les choses au clair : ici, tout tourne autour du rythme et de la bonne humeur. Vous êtes accueilli par les adorables DON-Chan, tambour rouge emblématique de la série, et Kumo-Kyun, une nouvelle recrue pleine de charme, prêts à vous entraîner dans une aventure musicale au cœur d'Omiko City.Pas d’Histoire, Mais Une Carte des RécompensesLe jeu ne propose pas de mode histoire classique, mais il compense avec une Carte des Récompenses, un mélange de progression narrative légère et de chasse aux trésors. Les joueurs accumulent des points Taiko en jouant, ce qui permet de progresser dans cette carte divisée en cases. Certaines dévoilent des bribes d’histoire, tandis que d’autres offrent des récompenses : pièces Don, objets personnalisables ou tenues pour le célèbre DON-Chan. Une approche qui incite à jouer encore et encore, même si l'histoire elle-même reste un prétexte sympathique.Modes à Gogo : Jouez Comme Vous VoulezLe cœur du jeu, c’est le Mode Taiko. Véritable menu principal, il vous permet de choisir une chanson et de jouer sans pression, que ce soit pour la performance ou pour le simple plaisir. Ce mode propose aussi bien du jeu rapide que du multijoueur local ou en ligne. Envie de progresser ? Testez le Ghost Assist, une nouveauté qui analyse vos statistiques et vous permet de retravailler les sections difficiles des chansons. Une fonctionnalité idéale pour les perfectionnistes du tambour.Et si vous préférez jouer avec un ami, Rhythm Festival a tout prévu : branchez un deuxième tambour ou une manette pour un duo en local, ou plongez dans les lobbies en ligne pour affronter d'autres joueurs. Bref, que vous soyez un loup solitaire ou un compétiteur invétéré, il y a de quoi vous occuper.Une Playlist ÉclectiqueBandai Namco régale avec 80 chansons incluses dans le jeu de base, réparties sur quatre niveaux de difficulté (Facile, Normal, Difficile et Extrême). La sélection mêle des classiques intemporels, des hits d’anime comme Gurenge (Demon Slayer), Guren no Yumiya (Attack on Titan), ou Kaikai Kitan (Jujutsu Kaisen), et même des OST de jeux vidéo populaires comme MEGALOVANIA (Undertale) et Life Will Change (Persona 5).Cependant, les chansons sous licence se font rares, la majorité de la playlist étant constituée de titres originaux signés Namco. Si cela vous laisse sur votre faim, préparez-vous à ouvrir le portefeuille, car le jeu propose une montagne de DLC.Taiko Music Pass : L’Empire du DLCL’offre DLC culmine avec le Taiko Music Pass, un abonnement qui donne accès à plus de 700 chansons supplémentaires. Au menu : pop, musique classique, génériques d’anime et bien d’autres pépites. Mis à jour chaque mois, le service coûte 3,99 € par mois ou 9,99 € par trimestre, avec un essai gratuit de 7 jours pour les indécis. Vous préférez un paiement unique ? Pas de souci : certaines chansons sont également disponibles à l’achat individuel en boutique.Verdict : Un Jeu Qui Bat le Rythme de Vos AttentesTaiko no Tatsujin: Rhythm Festival est un pur concentré de fun, même si son modèle économique axé sur les DLC peut faire grincer des dents. Avec ses modes variés, sa playlist dynamique et ses options de personnalisation, le jeu s’adresse aussi bien aux fans inconditionnels qu’aux novices curieux de tester leur sens du rythme. Mais si vous voulez tirer le maximum de cette expérience, préparez-vous à tambouriner dans votre porte-monnaie.
Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival – Quand le Jeu de Rythme Devient une Fête
Le mode Taiko reste l’épine dorsale de Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival, mais Bandai Namco a bien compris que varier les plaisirs est essentiel pour garder les joueurs accro. Pour cela, le jeu propose Taikolandia, une véritable aire de jeu où le mode Party brille par ses mini-jeux multijoueurs délirants, et Dondoko Town, une arène compétitive en ligne pour les férus de classements.Taikolandia : Le Rassemblement Musical1. The Great Drummer War : Duel Tambourinant Dans ce mode 1v1, jouable en local ou en ligne, la stratégie rencontre le rythme. Vous composez une armée de jouets, chaque figurine ayant son coût et ses capacités. Une fois déployés, vos jouets poussent contre ceux de votre adversaire, et celui qui envahit le plus la barre de notes adverse l'emporte. Ajoutez à cela des pénalités sonores qui sabotent la performance de l’adversaire, et vous obtenez un mode aussi stratégique que frénétique.2. Don-Chan’s Band : Le Concert Coopératif Ce mode transforme le jeu en véritable jam session. De deux à quatre joueurs, chaque participant choisit un instrument à jouer (et pas seulement le tambour, pour une fois). Les performances se combinent pour créer une harmonie collective, même si le mode souffre d’une sélection limitée de chansons. Malgré cela, l’aspect collaboratif fait mouche, surtout lors des parties solo où les notes des joueurs se connectent pour ajouter une couche de complexité.3. Run! Ninja Dojo : La Course au Rythme Mode compétitif à quatre joueurs, Run! Ninja Dojo combine la frappe rythmique et la vitesse. Chaque note correspond à un ennemi sur votre barre de notes, et plus vous frappez précisément, plus vous avancez rapidement. Des parchemins spéciaux, les Don-Jutsu, permettent de ralentir vos adversaires. Le résultat ? Une bataille où la précision est aussi importante que la malice.Dondoko Town : Le Champ de Bataille des ProsSi vous préférez vous mesurer à d'autres joueurs du monde entier, Dondoko Town est fait pour vous. Ce mode en ligne classé adopte une approche similaire à celle des jeux de combat, où chaque victoire vous rapproche du rang supérieur. La difficulté des chansons est directement liée à votre classement, promettant un défi croissant à mesure que vous gravissez les échelons.Chaque mois, les classements sont réinitialisés, et les meilleurs joueurs reçoivent des récompenses exclusives, comme des objets de personnalisation pour leur profil. La cerise sur le tambour ? Les batailles de promotion, où une victoire vous propulse dans une nouvelle ligue, ajoutent une touche compétitive supplémentaire à cette expérience musicale.Un Jeu de Société Déguisé en Jeu de RythmeAvec Taikolandia, Rhythm Festival se transforme en une fête conviviale, parfaite pour des soirées entre amis, tandis que Dondoko Town ravira les compétiteurs en quête de gloire. Que vous soyez un joueur occasionnel ou un expert en percussions, le jeu a de quoi satisfaire tout le monde, ajoutant une richesse de contenu à son gameplay déjà addictif.Bref, Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival ne se contente pas de battre le rythme, il élève l'art du tambour au rang d'une célébration universelle. Alors, prêt à entrer dans la danse ?
Quand la Personnalisation Prend le Rythme
Dans Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival, l'histoire suit son cours à travers la fameuse Carte des Récompenses, et ce n'est pas seulement pour vous offrir une dose narrative. Cette carte sert également de passerelle vers une boutique riche en options de personnalisation, où votre Don-Chan peut s’habiller avec style tout en vous permettant de mettre en avant votre avatar unique.La Boutique Taiko : Une Caverne d’Ali Baba MusicaleLa boutique du jeu regorge de contenus pour transformer votre tambour préféré en véritable icône de mode. Les tenues pour Don-Chan sont nombreuses, allant des costumes loufoques aux ensembles élégants. Mais ce n’est pas tout :- Jouets stratégiques : Utiles pour le mode Great Drummer War, ces figurines enrichissent vos batailles rythmiques. - Instruments alternatifs : Changez le son des notes pour varier vos sessions musicales. - Plaques et salutations : Ajoutez une touche personnelle à votre profil d’avatar, parce que pourquoi pas ?Les Pièces Don : Monnaie en RythmeTout cela n’est évidemment pas gratuit, mais pas besoin de casser votre tirelire IRL. Les achats se font avec les pièces Don, que vous pouvez facilement accumuler en jouant et en progressant dans la Carte des Récompenses. Une mécanique simple et gratifiante qui pousse à explorer les différents modes du jeu.Un Tambour à Votre ImageAu final, la boutique de Rhythm Festival ne se contente pas d’être un bonus cosmétique. Elle joue un rôle essentiel dans l’immersion, permettant aux joueurs d’ajouter une touche personnelle à leur expérience tout en encourageant une progression naturelle. Que vous soyez du genre à collectionner les costumes loufoques ou à optimiser vos performances avec les bons jouets, il y a de quoi faire dans cette caverne aux merveilles.Alors, prêt à donner à votre Don-Chan le style qu’il mérite ?
DualSense ou Tambour ? Le Match du Siècle
Dans Taiko no Tatsujin: Rhythm Festival, Bandai Namco laisse les joueurs libres de choisir leur arme rythmique. Entre le contrôleur classique et le célèbre tambour Taiko, le duel est serré... ou presque. Après avoir testé le jeu sur PS5 avec une manette DualSense et comparé l’expérience à celle offerte par le tambour sur Nintendo Switch, il est clair que chaque méthode a ses atouts. Mais qu’on se le dise, l’une des deux options est définitivement taillée pour cette série.Manette : Une Alternative Solide mais...Avec la DualSense, le jeu offre une expérience fluide et intuitive. La possibilité de calibrer le timing des notes permet d’éviter les frustrations liées aux décalages, un vrai plus pour les puristes du rythme. Cependant, dès que vous passez aux niveaux extrêmes, préparez-vous à une sérieuse séance de gymnastique digitale. Appuyer frénétiquement sur les boutons pour suivre le tempo effréné des morceaux les plus complexes, c’est un défi que même les pros auront du mal à relever sans quelques crampes.Le Tambour : L’Expérience UltimeLe tambour, conçu sur mesure pour Taiko no Tatsujin, reste sans surprise le roi des périphériques. Avec ses frappes fidèles au tempo et son ergonomie pensée pour le jeu, il transforme chaque session en véritable performance musicale. La différence entre les deux périphériques devient évidente dès que l’on s’attaque aux niveaux les plus exigeants : le tambour ne se contente pas de suivre, il sublime l’expérience.C’est plus qu’un simple accessoire, c’est une extension du jeu. Avec le tambour, chaque coup donne l’impression de jouer réellement dans un orchestre de festival japonais. Et soyons honnêtes : le plaisir de frapper un tambour au rythme de Gurenge de Demon Slayer est incomparable.Conclusion : Frapper ou Cliquer, Faites Votre ChoixLe contrôleur classique fait le job et permettra à tous les joueurs, même les nouveaux venus, de profiter pleinement du jeu. Mais pour les puristes et les amateurs d’immersion totale, le tambour reste l’option incontournable. Si vous avez l’opportunité d’en acquérir un, ne réfléchissez pas trop longtemps : Taiko no Tatsujin est une fête, et rien ne vaut un bon tambour pour se sentir au cœur de l’action.Alors, plutôt doigts agiles ou baguettes enflammées ?
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chic-a-gigot · 7 months ago
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Mode-palace : album mensuel des dernières créations parisiennes. No. 7, juillet 1907, Paris. Planche coloriée no. 149. Costumes d’été. Bibliothèque nationale de France
Première figurine. — Costume en gros tulle bleu Nattier, brodé de pastilles bleu foncé satiné. Jupe froncée à la taille, cerclée d'une bande en taffetas changeant bleu et vert appliquée de pastilles. Cette même garniture forme sur le corsage de larges emmanchures japonaises volantées d'un étroit plissé en linon. Blouse intérieure en plumetis, montée sur un empiècement en irlande garni de biais en taffetas bleu pale. Manches ballon courtes en tulle bleu. Chapeau en paille bleu, jarreté de taffetas vert et garni de roses bleues avec feuillage.
First figure. — Suit in large Nattier blue tulle, embroidered with satiny dark blue pastilles. Skirt gathered at the waist, surrounded by a band of changing blue and green taffeta applied with pastilles. This same trim forms wide Japanese armholes ruffled with narrow pleated lawn on the bodice. Interior blouse in plumetis, mounted on an Irish yoke trimmed with pale blue taffeta bias. Short balloon sleeves in blue tulle. Blue straw hat, trimmed with green taffeta and garnished with blue roses with foliage.
Métrages: tulle, 6 m 50; taffetas, 3 m 50.
Seconde figurine. — Costume tailleur en toile kaki. Jupe en forme ample du bas. Jaquette longue et ajustée faisant boléro découpé et piqué sur la basque. Col et revers en soie verte ourlés de satin marron avec pastilles vertes. Manches demi-longues à parements de soie verte. Col et devant en lingerie fine plissée. Chapeau en paille vert, garni de ruban de faille kaki.
Second figure. — Khaki canvas tailored suit. Skirt in loose bottom shape. Long, fitted jacket making a bolero cut and stitched on the basque. Green silk collar and lapels hemmed with brown satin with green dots. Half-long sleeves with green silk facings. Collar and front in fine pleated lingerie. Green straw hat, trimmed with khaki fault ribbon.
Métrages: toile, 8 mètres; soie verte, 1 m 50.
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evasionsrebelles · 4 months ago
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Le Japon à Vélo : Une Expérience Unique et Immersive
Le Japon, avec ses paysages variés, ses villes dynamiques et sa culture ancestrale, est une destination idéale pour les amateurs de voyages à vélo. Pédaler sur les routes japonaises permet de découvrir ce pays fascinant d’une manière intime et authentique, loin de la foule des grandes villes et des circuits touristiques traditionnels. Ce mode de transport doux et écologique offre une immersion…
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choses-dingen · 4 months ago
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Moins ! La décroissance est une philosophie Dans son dernier ouvrage, le jeune philosophe Kohei Saito propose une lecture totalement originale de Marx, qu’il présente comme écologiste et prônant la décroissance.
La Terre brûle. Il fait de plus en plus chaud, on n’arrête pas de travailler, tout est transformé en marchandise. En quête de survie et de liberté, un jeune philosophe japonais, né en 1987, lit les carnets d’un vieux philosophe allemand, mort en 1883. Il y découvre une pensée qui aurait tout pour sauver le monde entier et la partage dans le livre que vous tenez entre vos mains. Rien de plus, tout au moins. S’appuyant sur les carnets tardifs inédits de Marx et voyant dans le pacte vert le nouvel opium des masses, Kohei Saito déconstruit le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés, et prône une société fondée sur les communs. Radical et urgent, cet essai fixe un objectif politique et civilisationnel apparemment incompatible : le communisme de décroissance. Il aspire à la transformation du travail, à la démocratisation du processus de production, à la démarchandisation progressive, et à la mise en valeur des services essentiels. Multiplier les espaces de liberté, miser sur les communs, l’autolimitation, la confiance et l’entraide, c’est dire si Kohei Saito assume sa responsabilité sociale et croit en ses lecteurs.
Kohei Saito est docteur en philosophie de l’Université Humboldt de Berlin et professeur associé à l’Université de Tokyo. Il participe à l’édition des œuvres complètes de Marx et Engels (MEGA). En 2018, il est devenu le plus jeune lauréat du Deutscher Memorial Prize. Il est l’auteur de La nature contre le capital. L’écologie de Marx dans sa critique inachevée du capital (Syllepse, 2021). À l’origine d’un débat inédit sur les changements climatiques au Japon, Moins ! La décroissance est une philosophie, déjà traduit dans 12 pays, est un bestseller international.
Le livre de Kohei Saito "Moins ! La décroissance est une philosophie" a été publié pendant la #pandémie, à un moment où l’on se disait qu’il fallait changer de style de vie et qu’il fallait ralentir. La pandémie a bien sûr causé de nombreux problèmes, mais elle a aussi donné du temps libre aux gens, notamment avec leur famille. Cela leur a permis de se consacrer à des choses essentielles. C’était donc peut-être le bon moment pour réfléchir sur les excès du capitalisme japonais. D’ailleurs, l’économie japonaise stagne depuis des décennies et les citoyens ont abandonné l’idée qu’elle allait repartir. Les gouvernements successifs ont tout essayé : dérégulation, privatisation, assouplissement quantitatif… Mais ça n’a pas marché ! Peut-être qu’il faut accepter le fait que la décroissance est notre destin. Extraits "Le keynésianisme climatique nous promet un avenir durable sans rien changer de notre mode de vie impérial c'est-à-dire sans aucun effort de notre part. C'est une fuite en avant. Si nous mêmes ne changeons pas radicalement ce mode de vie impérial, il sera impossible de faire face à la crise climatique."
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