#Maquillage japonais
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o-link · 17 days ago
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Japanese Fencing, Kendo
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fashionbooksmilano · 1 year ago
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Geisha Une tradition vivante
Kyoko Aihara
Editions Soline, Courbevoie 2001, 128 pages, 24x29cm, ISBN 978-2876774315
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
C'est un privilège rare que de franchir les rideaux armoriés des anciennes maisons de thé japonaises, d'où la méconnaissance du rôle joué par les hôtesses de ces lieux rompues aux arts de divertissement et connues sous le nom de geishas. Historiquement, ces femmes sont associées à Kyoto, l'ancienne capitale du japon, où les exigences traditionnelles de leur formation sont toujours en vigueur aujourd'hui. Geisha explore tous les aspects de la vie, souvent pénible, de ces femmes remarquables leur costume, leur coiffure et leur maquillage élaborés, les cérémonies et les rituels auxquels elles participent, leur excellence dans la pratique des arts traditionnels et les relations qu'elles entretiennent avec les hommes et le monde extérieur. Les maiko et les geiko de Kyoto occupent une place à part dans la culture japonaise. II y a un siècle encore, on les voyait déambuler dans les rues de la ville, comme d'autres femmes aux activités proches dans d'autres villes du Japon. Aujourd'hui, leur existence se trouve menacée ; peu de femmes choisissent ce métier exigeant. En effet, de nombreuses années d'études leur sont nécessaires pour perfectionner leur connaissance des arts, apprendre à mener une conversation avec brio afin de divertir les hommes dans le respect de la tradition et à participer aux festivals saisonniers. Kyoto est la seule ville à proposer une formation de haut niveau qui garantit que les maiko et les geiko en exercice sont les véritables gardiennes du patrimoine culturel de leur pays. Le livre éclairant de Kyoko Aihara, richement documenté et illustré de photographies originales, dresse un portrait détaillé d'un pan de la société japonaise encore nimbé de mystère.
Kyoko Aihara est née à Yokohama, au Japon. Diplômée en histoire de l'art de l'Université de Tokyo, elle est ensuite allée étudier l'allemand à Cologne. Depuis 1994, elle est journaliste et photographe free-lance au Japon. Elle a publié de nombreux livres (tous illustrés de ses propres photographies) et rédigé pour de multiples journaux et magazines japonais des articles sur un vaste éventail de sujets. Les contacts privilégiés qu'elle a noués avec les maiko et les geiko de Kyoto lui ont permis de pén��trer l'univers des maisons de thé de la ville et d'écrire ce livre remarquable, unique en son genre.
07/12/23
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art-et-miss-gallery · 2 years ago
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Geisha
Le terme « geisha » signifie en japonais : « qui pratique les arts ». Les premières femmes artistes ayant pour fonction que de divertir et d'accompagner les élites sont apparues au 7ème siècle au Japon.
L'apparence physique d'une geisha est caractéristique et très rigoureusement codifiée. Ainsi, chaque détail de sa coiffure, de son maquillage, de son kimono et même de ses chaussures indiquent l'âge, le rang et le niveau d'expérience de la geisha. Très reconnaissables par leur visage fardé de blanc, leur chignon élaboré et leur kimono de soie coloré, les geisha ne passent pas inaperçues dans la rue.
Véritable gardienne du savoir-faire et du savoir-vivre à la japonaise, la geisha incarne la rigueur et le prestige tout en maîtrisant à la perfection les arts ancestraux du Japon grâce auquel elle anime les soirées, les dîners et les réceptions organisées par ses clients. Bien plus qu'une simple artiste ou animatrice, la geisha se doit également d'arborer une apparence parfaite,
Le métier de geisha est souvent assimilé à tort à la prostitution, en particulier dans notre vision occidentale. Dames de compagnie pour clients fortunés, les geisha ne vendent pas pour autant de faveurs sexuelles. Ambassadrices de l'art japonais et garantes de la réputation de leur okiya (maison des geisha), ces artistes doivent uniquement se distinguer par leurs talents et leur excellence dans la maîtrise des arts ancestraux.
Symboles du raffinement et du savoir-vivre à la japonaise, les geisha sont des artistes complètes, les gardiennes des arts et des traditions nippones. Malheureusement, ce métier se fait de plus en plus et il n'y a aujourd'hui au Japon plus que quelques centaines de geisha en formation ou en exercice.
( Source : https://japon-fr.com/geisha.htm)
Pour Christy dessiner une expression, un regard, un mouvement sans oublier d'aller à l'essentiel, afin que ce visage reflète vraiment l'effet souhaité tout en respectant son identité est capital. Les qualités des Geisha sont particulièrement bien représentées dans ses oeuvres, la douceur, le raffinement émanent de ces tableaux et renvoient une image apaisante.
Voir l'ensemble de ses oeuvres : https://art-top.eu/collections/christy
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lagendageek · 2 years ago
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Mang'Agen & Fiction festival 2023 aura lieu du 11 au 12 mars 2023 à Agen (47). Mang'Agen & Fiction festival 2023 : 3ème édition Festival les 11 & 12 mars - Parc des Expositions d'Agen. Festival Thématiques : Manga-Japon / Pop Culture, Cosplay, Kpop, Jeux vidéos, Dessin, Ateliers, Illustrateurs, Créateurs. Au Menu des animations, montez à bord de la célèbre Anglia à l'espace de Harry Potter et dans la chevrolet de Transformers et repartez avec votre photo gratuitement ! Une Exposition Harry Potter et une exposition sur l'Histoire des Ghibli/Miyazaki. Des boutiques, avec des mangas et romans, des créateurs, des illustrateurs comme l'auteur Bd et manga des mystérieuses cités d'or, des figurines, katanas, peluches et goodies. Au menu également de la Kpop, les Concours de dessin et les défilés de cosplay sur scène, le planning complet disponible une semaine avant le festival. Le chanteur officiel de Pokémon sur scène et en dédicace, Kabeya ça vous dit ? Il y aura aussi des tournois de jeux vidéos et du rétrogaming et des bornes d'arcades japonaises et accès libre. Du Just Dance sur les 2jours avec la célèbre DINA pour danser avec vous les familles mais aussi des tournois de jeux vidéos sur Twitch, un espace Japon et des dédicaces de youtubers et comédiens de doublage, Bruno Meyere, Arnaud Laurent, Karal, Siphano, Pierr Cika. Le retour de Bernard MINET sera en concert au MANG'AGEN le dimanche à 15 h sur la grande scène et en dédicace les 2 jours !! avec une exposition avec des tableau d'illustration originaux Club Dorothée avec Bernard MINET sur le stand en dédicaces. Et d'autres invités à consulter dans le programme définitif publié prochainement... Retrouvez donc des animations mais aussi de très nombreux ateliers gratuits : Confection des gâteaux japonais, de la calligraphie japonaises, des ateliers créations (Pokéball), apprendre à dessiner le manga ou perfectionner son talent avec Thomas Bouveret, Atelier Shiatsu(massage japonais) , des ateliers de maquillage pour enfants et adultes, des ateliers kokedamas (plante japonaise)(Inscriptions sur place). Un espace restauration japonaise et cuisine traditionnelle sur place avec un espace couvert cette année en nouveauté! Un espace avec tables et chaises sera à votre disposition pour faire une pause repas ^^ Informez vos amis Tarifs Entrées : * 15 € la journée avec sorties et rentrées possibles. * 10 € pour les enfants des 8 à 12 ans * 25 € le Pass week-end (Valable 2 jours) * PASS FAMILLE un jour : 40€ (2 entrées + de 13 ans + 2 entrées 8 à 12ans) Gratuit pour les moins de 8ans. 10€ : A partir de 16h. Horaires : Samedi 9h / 19h Dimanche : 9h / 18h Ouverture à partir de 10h pour achats de tickets sur place. Billets en vente : - sur le site internet sécurisé festivalmangagen.fr - Sur place le jour de l'événement à partir de 10h.
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ondessiderales · 1 month ago
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Naissance d'un cauchemar
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Another - La contagion du cauchemar
Entre le matin pâle Et ce passé qui aurait dû mourir Tu vas à nouveau étreindre la solitude.
Ouvre tes paupières recouvrant la nuit. Ne crains pas les ombres maléfiques ! (Ne crains pas ton ombre !)
Immobile tel une poupée Née d'un cercueil obscur et malsain Ton corps est rouge et gelé Et ton cœur est élevé (rongé) par les ténèbres.
Est-ce Que Tu Peux Me Voir ? Ressens-Tu La Froideur De Nos Deux Mains Jointes ?
J'enfonce en toi mes ongles ensanglantés Alors regarde-moi ! Fronce donc tes sourcils !
Détruisons Ces conclusions remplies de mystère Qui nous collent à la peau...
Plutôt que de mourir dans le vide (pour rien) Avec mes ailes et mes jambes coupées Victime de cette sordide (cruelle) destinée...
Il y a un autre « moi » Aimant cette personne au point d'en avoir mal...
Alors ? Lequel de nous deux Est une illusion ?
Plus effrayants encore qu'un cri perçant Sont les chuchotements entre les gens. De simples mots malfaisants Manipulant les cœurs et se propageant.
Je Voudrais Encore t'Effleurer Même Si Le Monde Entier Disparaît...
Vais-je me laisser tromper par tes mensonges ? Ne souris pas aussi innocemment !
Échangeons-nous Ce rêve qui sera créé un jour Comme si nous tombions amoureux.
Même s'il trempe dans le sang et les larmes Ce qui nous attend n'est pas le désespoir.
Il y a un autre « toi » Capable de te blesser au point de te fendre en deux...
Dis-moi Qu'est-ce donc qu'un péché ?
Entre le matin pâle Et ce passé qui aurait dû mourir Tu vas à nouveau étreindre la solitude.
Ouvre tes paupières recouvrant la nuit. Ne crains pas les ombres maléfiques ! (Ne crains pas ton ombre !)
Détruisons Ces conclusions remplies de mystère Qui nous collent à la peau...
Plutôt que de mourir dans le vide (pour rien) Avec mes ailes et mes jambes coupées Victime de cette sordide (cruelle) destinée...
Ah, nous sommes ici tous les deux. En vérité, j'ai envie de vivre Au point d'en avoir mal...
Mais cela fait longtemps Que tu as trouvé la réponse, n'est-ce pas ?
Traduction inspirée par animekaillou.fr
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Signification du prénom 鳴 (Mei) en japonais : cri, hurlement (de douleur, de terreur)
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paulinebeaudemont · 1 month ago
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par Martha Kirszenbaum 
Filant la douce allégorie de l’amour et du sexe, la nouvelle série d’œuvres réalisée par Pauline Beaudemont convoque humour, sensualité, et un sens certain du grotesque. Ce sont d’abord des légumes, plus exactement des cucurbitacées, des courges, potimarrons ou butternut, un peu flasques, un peu flétries un peu vieillies mais, espérons-le, encore belles et désirables. La fascination de l’artiste pour les légumes inoffensifs semble contraster avec son penchant pour les lames et les couteaux, objets aussi attrayant que répulsifs, aussi beaux que dangereux. S’entremêlent ici couteaux japonais, à beurre, de boucher, du chef, économes, hachoirs, etc. Le couteau fait bien entendu écho à la cuisine, mais aussi à la castration, ce qui n’est peut-être pas anodin. Des éléments corporels accompagnent les cucurbitacées et les lames — ici un œil qui pleure, là-bas une dent qui se dresse, une main qui tient un fruit en équilibre ou encore une vanité, évoquant les natures mortes hollandaises ou encore le bodegón, un genre espagnol de peinture de scènes de cuisine aux XVII-XVIIIe siècles. 
Ce qui frappe le regard au premier abord, c’est cette texture si particulière, au toucher velouté, du pastel sec. Pauline Beaudemont fabrique elle-même son matériel et son support, à l’aide de carton ou de toile soupoudrée de poudre de liège, une surface abrasive où le pigment se répand plus aisément. A mi-chemin entre le dessin et la peinture mais en même temps ni l’un ni l’autre, le pastel est un art singulier qui offre un rapport immédiat avec la matière. Il était considéré comme une technique de cosmétique rappelant la poudre de maquillage, évanescente et féminine, légère et frivole, pendant la Renaissance, puis c’est le XVIIIe siècle, âge d’or du pastel, qui redore son blason. Passé de mode à la Révolution, il connaît une renaissance à partir de la moitié du XIXe jusqu’au début du XXe, sous l’impulsion d’Odilon Redon notamment. 
Les pastels de Pauline Beaudemont révèlent ce medium fragile et temporaire, constitué de pigments purs, et qui repose en suspension sur la surface du papier ou de la toile. La vibration qui en résulte en fait sa beauté, mais aussi sa vulnérabilité. Multiformes, les œuvres font ici fusionner ligne et couleur. C’est par une attention particulière portée à la sensation de lumière que l’artiste convoque cette qualité veloutée et mate. La lumière et l’usages de tons vifs et éclatants — vert sapin, orange, pourpre, bleu roi — semblent faire écho à la photographie commerciale des années 1970, ou peut-être la parodie-t-ils. Chez Pauline Beaudemont, qui a étudié la photographie à L’ECAL de Lausanne, les références à la photographie industrielle ou de mode, ou encore au photocollage des avant-gardes sont distillés en filigrane tout au long de sa pratique. C’est peut-être enfin le regard photographique, l’attention portée à la sensualité et au désir, et l’inspiration végétale qui semblent évoquer ici le travail de l’artiste américaine Georgia O’Keefe. De sa maison du Nouveau Mexique où elle s’est réfugiée dans les années 1930, elle décline ses motifs de paysages, de fleurs ou d’os teintés d’érotisme, en affirmant avec esprit “In a way—nobody sees a flower.” 
Au début des années 1990 parut A Painter's Kitchen: Recipes from the Kitchen of Georgia O'Keeffe, un ouvrage rassemblant les recettes de cuisine de l’artiste, compilées par son assistante, et dont la plupart évoquent la cuisine hippie californienne. Plantant ses herbes aromatiques et faisant cuire son pain, O’Keefe mangeait régulièrement des produits que tout consommateur bio d’aujourd’hui considérerait comme basiques — avocats, betteraves rôties, chou kale — mais qui, pour une femme vivant dans le désert du siècle dernier, semblent profondément excentriques. 
Ceux qui connaissent Pauline Beaudemont savent son appétence pour les aliments et la gastronomie, et cela au-delà de leur représentation graphique. Fine cuisinière et amatrice du faire, elle popote, fricote et reçoit avec agilité, élégance et bienveillance, autour d’une potée de légumes ou d’un gigot de Pâques. D’ailleurs, le jour où j’ai rencontré Pauline, en plein désert texan de Marfa il y a une décennie de cela, elle avait confectionné une foccacia avec le romarin du jardin. La manière dont elle tisse son rapport au monde et à sa pratique artistique nous rappelle que ce que peuvent les artistes, les femmes, et de surcroit les femmes artistes n’est pas toujours là où on les attend. Et puis que, quoi qu’on y fasse, la réalité reste plus puissante que la fiction, et la vie plus enivrante que l’art.
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sujet24 · 1 year ago
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Qu'est-ce que le syndrome du maquillage japonais Kabuki ?
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almanach-international · 1 year ago
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14 janvier : le jour où les Japonais deviennent adultes
Les Japonais sont les derniers à devenir adulte, la majorité ne leur est accordée qu’à l’âge de 20 ans. Et, c’est une affaire qui concerne le pays tout entier puisque le jour est aujourd’hui férié au Japon. Les jeunes majeurs dans l’année sont invités par la mairie à une grande cérémonie. Dans les grandes villes, ces rassemblements peuvent réunir plusieurs milliers de jeunes gens. Le stade est alors nécessaire, s’il est couvert car il peut faire très froid à cette saison, ou le palais des congrès. Pas de problème pour répondre présent, la journée est chômée. Elle commence par une visite au temple, avant un repas en famille ou entre copain(e)s. Le cérémonial de ce rite initiatique est inchangé depuis des décennies. Les filles portent de magnifiques kimono, loués pour l’occasion, le forfait comprend aussi la séance de maquillage et de coiffure. Les garçons, eux, sont presque toujours habillés d’un costume à l’occidentale, strict et sombre cela va de soit. À partir de 20 ans les jeunes Japonais peuvent voter, boire de l’alcool... mais la sagesse reste de mise en cette journée très particulière appelée Seijin no Hi ( 成人の日 ).
En 2020, cette fête tombe le 13 janvier.
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omagazineparis · 2 years ago
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Tuto maquillage geisha : devenir une œuvre d’art
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Envie d’ébahir votre amoureux avec un look séduisant ? Pourquoi ne pas s’adresser à l’Orient avec un tuto maquillage geisha ! Venez découvrir l’univers ancien de cette femme qui, depuis toujours, est un mythe de sensualité. Nous vous emmenons dans un voyage historique afin de retracer les origines de la geisha. Et si vous voulez vous transformer au moins une fois en une œuvre d’art vivante, suivez nos astuces avec ce make-up oriental. La geisha : les origines d’une œuvre d’art vivante À chaque fois que nous pensons aux geishas, notre imagination est esclave d’un cliché : ces femmes étaient des prostituées consacrées au plaisir des hommes. Ce n'est pas exactement comme cela : une geisha n’est pas une prostituée. En effet, le terme geisha en japonais signifie « artiste » car elle est, au sens littéral du terme, une œuvre d’art en mouvement. Durant cet article, nous vous montrerons le tuto maquillage geisha et le soin requis pour ce make-up. Ainsi, vous comprendrez mieux par la suite. La première entrée sur la scène japonaise des geishas fut en 1600. Durant cette époque, l’image de la geisha était confondue avec celle des prostituées. Trois geishas du XIXe siècle - Source : Pixabay. Heureusement, la différence entre les deux catégories deviendra plus marquée. Oui, une geisha est consacrée au plaisir de ceux qui la regardent. Néanmoins, il ne s’agit pas d’un instinct sexuel conventionnel. Le plaisir dont on parle est culturel. Ce dernier est artistique. Une geisha suit des études très compliquées durant lesquelles elle apprend à chanter, danser et jouer des instruments de musique. Autour de la geisha, il y a tout un monde qui prend vie dans la totalité des arts et des traditions ancestrales du Japon. De fait, ce qu'un homme attend d’une geisha, c’est un spectacle vivant. Avec grâce et sensualité. Ainsi, il s’agit d’un plaisir que les hommes japonais ne pouvaient pas retrouver dans leurs ménages respectifs… En lien : Les différentes textures de fard à paupières pour un look original Un tuto maquillage geisha pour se plonger dans l'art japonais Entre le Moyen-Âge et le XIXe siècle, la figure de la geisha a profondément changé. Surtout en ce qui concerne le genre sexuel des artistes… Savez-vous que les premières geishas n’étaient que des hommes ? Effectivement, au début de son entrée dans la société japonaise, la geisha était incarnée par un homme qui suivait une formation spéciale. Au fil du temps, les femmes sont préférées pour leur grâce et féminité. Ce n'est qu'en 1800 que des nouveaux quartiers sont apparus dans les villes de Kyoto et Tokyo : ce sont les hamanachi, autrement dits « les quartiers des fleurs ». Deux geishas qui dansent - Source : Pixabay. Là-bas, il y avait des maisons de prostituées mais aussi des maisons de thé où des jeunes filles s’entraînaient pour devenir de futures geishas. Le tuto maquillage geisha n’est qu’un premier pas pour comprendre l’intensité de la formation d’une jeune maiko. Les leçons de danse, de chant, de théâtre traditionnel japonais, d’allure ou bien encore de make-up constituaient la base de la vie d’une maiko. Il s’ensuit que la vie de cette artiste était caractérisée par le sacrifice, la dévotion et le plein engagement afin de devenir un symbole d’art. Les secrets et les symboles cachés dans le make-up d’une geisha La figure de la geisha a inspiré les écrivains, les réalisateurs et l’imagination du monde entier. Régulièrement, la mode a également puisé son inspiration dans l’Orient pour ses créations. Mais comment devenir une geisha au moins une fois dans sa vie ? En suivant un tuto maquillage geisha, bien sûr ! C'est le moment où vous allez découvrir les secrets cachés d'un make-up imprégné de mystère. Par exemple, le cou des geishas : à l’aide d’un fond de teint blanc et d’un pinceau spécial, une geisha se peint le cou en élaborant un dessin par-dessus. C’est une forme qui rappelle une langue et qui laisse, très légèrement, entrevoir la peau de la femme. Le visage maquillé et le cou d'une geisha - Source : Wikimedia Commons. En réalité, ce dessin est un symbole sexuel qui donne de la sensualité à la nuque de l’artiste. Pour le plus grand plaisir des spectateurs. Et le reste du corps ? Non, le reste du corps d’une geisha n'est pas maquillé mais bandé d'un merveilleux kimono. La sensualité de ces artistes japonaises est subtile et rituelle. En remplissant une tasse de thé, par exemple, la geisha dévoile légèrement son poignet. L’image d’une petite portion de peau nue, évoque un sentiment de plaisir à ceux qui éprouvent une appétence à l'endroit de cette tradition. Les phases du tuto maquillage geisha : entre couleurs et minutie Le rituel du make-up pour les geishas est le moment où une femme se transforme en déesse puis en prêtresse de l’art. Comme vous allez voir dans ce tuto maquillage geisha, il faut tout d’abord poser sur le visage une cire parfumée (en japonais, bintsuke) afin d’en détendre les traits. Ensuite, une véritable geisha prend du fond de teint blanc nommé oshiroi. Il s’agit d’une mixture liquide de farine de riz et d'eau qu'il faut appliquer sur tout le visage, sur une portion du cou ainsi que sur la partie supérieure de la poitrine. Après, à l’aide d’une éponge, essayez d’opacifier votre fond de teint. Petite astuce : pour cette opération, vous pouvez vous servir d’un talc pour bébé. A lire également : Les tendances maquillage 2023 : préparez-vous à être éblouis Les yeux et les lèvres : le focus de ce make-up oriental Maintenant, vous devez créer des arcades fines pour vos sourcils. La geisha utilise deux crayons, un rouge pour créer la base des arcades et un autre noir, afin de nuancer les deux couleurs. Ensuite, concentrez-vous sur vos yeux. Il faut, selon la tradition, que vous mettiez de l’ombre à paupière rouge avant de nuancer cette dernière à l’aide d’un petit pinceau. Ensuite, appliquez de l’eye-liner pour prolonger la ligne de vos yeux. https://www.youtube.com/watch?v=7aOLWV0Q5wQ Deux véritables geishas de Tokyo qui se maquillent. Source : © Tokyo Geisha sur YouTube. Maintenant, c’est le moment des lèvres : le véritable focus du tuto maquillage geisha. Une fois de plus, libre cours au rouge pour votre rouge à lèvres. Toutefois, il ne faut pas l’appliquer sur toute la largeur des lèvres : c’est comme si votre bouche prenait la forme d'un cœur. En utilisant le rouge, soyez rigoureuse lors de l'application. Pour parfaire votre maquillage, n'hésitez pas à prendre exemple sur le tutoriel ci-dessus. Et alors, ça y est ? Qu’est-ce que vous pensez de ce tuto maquillage geisha ? Est-ce que vous allez le reproduire ? Nous avons hâte de regarder le résultat ! Partagez vos photos dans les commentaires et montrez-nous votre beauté en style oriental ! Read the full article
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o-link · 17 days ago
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Fushimi Inari Taisha
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les-histoires-de-yumi · 4 years ago
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Projet Scolaire || 01
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Un bruit strident te tire de ton sommeil, composé de plusieurs petits “bip” et d’un vrombissement sourd, provenant du vibreur de ton téléphone portable, poser sur le coin de ta table de nuit. C’est l’heure, il faut te lever. Tu tends avec difficulté ton bras jusqu’à la sonnerie qui a osé te sortir de ton sommeil. Comme chaque matin à six heures trente, tu te redresses de ton lit en soupirant longuement, songeant à la longue journée de cours qui allait t'attendre. “Encore une journée comme les autres...” songes-tu en sortant les pieds de ton lit. Avant, tu avais le sourire lorsque tu te réveillais, mais ça, c’était avant. Maintenant, tous te paraissaient maussade, terne, sans grand intérêt. Tu avais perdu le goût pour toutes les choses qui l'entouraient. Tu ne t'intéressais à rien, sauf le dessin. C’était une passion, un réconfort dans lequel tu t’étais plongé corps et âme après le décès de ton père. Tu avais rejoint le club d’arts plastiques à ton entrée en seconde l’an dernier, tu n’avais pas vraiment sympathisé avec qui que ce soit, ni même avec quelqu’un de ta classe en particulier et pour toi, c’était mieux ainsi. 
Les gens avaient tendance à t'insupporter, c’était comme ça même avant que ton père ne vous quitte mais depuis qu’il n’était plus là, c’était devenue pire. Asocial, c’est l’adjectif qu’utilisaient tes camarades de classe pour te définir. Pourtant, quand quelqu’un te demandait de lui prêter une feuille, un stylo ou encore tes notes, tu lui donnais ce qu’il voulait. C’était plus pour avoir la paix qu’autre chose dans le fond mais si tu pouvais être utile à quelqu’un alors cela te faisait un peu plaisir. Aucun d’eux n’avait jamais pris la peine de venir te parler, te demander comment tu allais, quelles étaient tes passions, ce que tu aimais faire après les cours… C’était mieux comme ça, tu l’aurais peut-être envoyer bouler te connaissant. “Tous des hypocrites...”, voilà comment tu les voyais, avec leurs petits sourires de faux cul, leurs airs bien sous tous rapports, ça te rendait malade. 
Ta routine commençait. Tu te levais d’un pas un peu traînant, te dirigeais vers la cuisine pour prendre ton petit déjeuner, constitué généralement de céréale et de lait quand il y en avait. Sinon tu mangeais les quelques restes de la veille que tu avais toi-même préparer. Tu te rendais ensuite dans la salle de bain afin de te débarbouiller, passant un peu d’eau sur ton visage, brossant à la suite tes longs cheveux [C/C] qui étaient une vraie galère à démêler. Puis tu t’emparais de ta trousse de maquillage pour souligner tes yeux [C/Y] d’un fin trait noir, quelque chose de très léger. Tu t’observais quelques instants dans le miroir avant de te rendre au bout du couloir, là où se trouvait ta chambre et où attendait ton uniforme scolaire parfaitement ranger et accrocher à un cintre.
C’est en soupirant que tu enfilais l’uniforme de ton lycan composé d’une chemise blanche, un polo dans les tons noirs, des collants et une jupe de même couleur un peu courte à ton goût ainsi qu’une veste de costume bleu marine dont le blason de l’école Nekoma était brodé au niveau de ton sein gauche. La veille, comme chaque soir tu avais préparé ton sac de cours, glissant à l’intérieur tout ce dont tu allais avoir besoin, prévoyant même pour les quelques imbéciles qui seraient venu les mains dans les poches comme c’était souvent le cas du type assis juste en face de toi. Il ne te restait plus qu’à mettre tes affaires de dessins et te voilà partie seule comme tous les matins, après avoir passé une écharpe rouge autour de ton cou afin de t’aider à supporter la température. Ton frère, l'aîné de la famille était déjà parti depuis bien longtemps de son côté afin de rejoindre son école d’étude supérieure qui se situait à l’autre bout de Tokyo. Ta mère n’était pas rentré hier soir, à vrai dire, elle ne comptait plus ses heures de travail à l’hôpital Tokyoïte de ton quartier depuis que ton père n’était plus là. 
Tu avais de la chance cela dit, toi, tu n’habitais pas loin de ton lycée, il te suffisait d’une trentaine de minutes à pied et tu pouvais apercevoir les grandes grilles de l’établissement scolaire. Comme chaque matin, tu te rendis devant ton casier, afin de mettre les chaussures réserver aux heures de cours, une petite paire sans talon, noire et légèrement cirée, tu en profitais pour laisser ton écharpe à l’intérieur, refermant à la suite ce dernier à clé. Ton voisin de casier était un geek, introverti aux cheveux décoloré, toujours le nez plonger dans sa PSP mesurant dans les uns mètre soixante dix environ, il te disait bonjour en te gratifiant d’un petit signe de la main tous les matins mais sans plus. Tu rejoignais alors ta salle de cours d’un pas tranquille, prenant place à ton pupitre en accrochant ton sac sur le crochet réserver à cet effet. Autour de toi, c’était toujours le même brouhaha de conversations auquel tu ne participais pas. Dans ses instants là, tu observais le ciel à travers la fenêtre à côté de laquelle tu étais installé, attendant patiemment que la cloche ne sonne. 
A chaque début de cours c’était la même chose, les élèves prenaient peu à peu place à leur table, le professeur entrait, faisait l’appel pour vérifier les absences, rendait les copies quand il y avait eu un contrôle la semaine dernière puis le cours pouvait enfin démarrer. Par chance, la classe où tu étais tombé cette année, était assez silencieuse et discipliner, cela te changeait de l’an passé. Aujourd’hui, votre professeur de japonais vous rendait les copies de l'examen de la semaine passée. Il avait l’habitude de les rendre dans l’ordre de la meilleure note à la plus mauvaise. Toi, tu n’avais guère de soucis à te faire, tu étais dans les cinq premiers à recevoir ta copie. Généralement, le type devant toi la recevait juste avant mais là, il l’a reçu juste après la tienne. C’était un gars qui ne donnait pas spécialement l’impression de suivre en cours et pourtant, c'était l’un des élèves les plus intelligents du lycée. Il ne passait jamais inaperçu avec sa grande taille et sa coupe aux cheveux noirs comme s’il venait tout juste de sortir de son lit. Il avait l’air un peu flemmard et tu t’étais faits la réflexion plusieurs fois qu’il ressemblait à un chat parfois de par son comportement et ses expressions faciales. Il avait une drôle de façon d’observer les gens et affichait généralement un sourire fourbe, emplie de malice quand il s’adressait aux autres.
Tandis que tu regardais brièvement ta copie avant de la glisser entre les pages de ton cahier, votre professeur énonça un devoir en commun par groupe de deux. Sans que tu ne puisses faire ou dire quoi que ce soit, le jeune homme c’est retourner face à toi et a posé son cahier sur ta table avant de prendre un crayon de papier dans ta trousse. “Intrusif, sans gêne, parasite...” pensas-tu fortement sans pour autant le montrer, de par ton expression rester assez neutre sur ton visage. Lui te décrocha un petit sourire en coin avant de prendre ton taille-crayon et tailler celui qu’il t’avait emprunté sans permission. Votre instituteur énonça alors votre devoir. Vous deviez écrire une nouvelle d’une quarantaine de page ou plus, aucun thème n’était imposé mais elle devait dénoncer un fait de la société, racisme, harcèlement, pression sociale, asociabilité… Ce genre de chose. Vous aviez trois mois pour travailler sur ce projet en commun. Seul la première heure de cours le lundi allait vous être donné pour travailler sur votre nouvelle, le reste se ferait en dehors des heurs de classe. Ce qui signifiait que tu allais devoir voir ce garçon en dehors du lycée, ça ne t’emballait pas plus que cela à vrai dire... 
Tu as regardé un court instant ton partenaire qui s’était autodésigné comme tel, cela allait te changer du cancre de la classe avec qui tu finissais par faire équipe et qui te laissait faire tout le boulot. Au moins avec lui, tu savais que tu allais avoir matière à réfléchir, c’était déjà ça… 
- Je crois bien que c’est la première fois qu’on va faire équipe tous les deux [T/P]... Affirma-t-il dans un petit sourire en coin.
- On dirait oui.
Il t’appelait par ton prénom, décidément, il était vraiment sans gêne ce garçon… Mais toi, tu ne connaissais même pas son nom de famille, ni même comment il s’appelait. A vrai dire, tu n’avais retenu aucun nom, mis à part, ce garçon qui te saluait tous les matins, Kenma Kozume… Il te semblait d’ailleurs qu’ils étaient amis tous les deux, du moins, ils passaient beaucoup de temps ensemble. Un petit soupir traversa ses lèvres avant qu’il ne laisse sa tête se poser dans la paume de sa main, tandis que son coude était appuyé sur ta table. Il fixait ton cahier, dont quelques phrases étaient soulignées de diverses couleurs, parfaitement entretenue, sans rature, sans pâté… Le sien à côté était un véritable brouillon, s’était à se demander comment il faisait pour s’y retrouver et pour pouvoir apprendre. Tu sentais ses yeux couleur noisette, son regard perçant se poser sur toi et te dévisager, te mettant légèrement mal à l’aise. 
Un nouveau soupir sortait d’entre ses lèvres avant qu’il ne se redresse, étirant ses bras quelques instants en baillant, ainsi que ses jambes qui se tendaient de chaque côté de ta chaise. Il envahissait ton espace personnel, sans gêne, sans comprendre que tu avais besoin de distance et cela semblait l’amuser de te torturer de la sorte. Alors que tu étais plongé dans tes réflexions, sa voix résonna à tes oreilles et durant la conversation, il faisait des allusions lourdes… 
- Faut qu’on se mette d’accord sur ce qu’on va faire… Soupira-t-il. T’es plus du genre science-fiction, horreur, policier peut-être ou romantique school ? ~
- Je ne sais pas, je n’ai pas de genre définit, je lis un peu de tous.
- ça tombe bien moi aussi ~ Mais faut qu’on se mette d’accord sur un genre sinon on ne va pas s’en sortir toi et moi ! Affirma-t-il en riant légèrement. 
- Je te laisse choisir dans ce cas. 
- On part sur une nouvelle érotique alors ~
- ça va pas ? Demandas-tu offusquer.
- Quoi ? C’est un genre comme un autre ~ Si tu n’es pas contente choisie !
- Hum… Fis-tu dans un instant de réflexion. Futuriste post apo, ça te convient ?
- Marché conclu ! Hum… Encore un truc... 
- Quoi ?
- Il va falloir travailler en dehors des horaires de cours, tu préfères venir chez moi ou je viens chez toi ?
- Pourquoi pas la bibliothèque du lycée plutôt ?
- Trop d’intello et ça sent la vieille chouette crever sur une étagère ! On a cas se retrouver chez toi après les heures de club le lundi, le mercredi et le vendredi ~
Tu as acquiescé d’un léger mouvement de tête. Il s’imposait. Dans sa façon de dire les choses, de prendre des décisions. Tu n’avais visiblement pas ton mot à dire. A bien y songer, tu étais plutôt une personne passive. Tu avais du mal à t’affirmer face aux autres et lui semblait être tout l'opposé de toi. Grande gueule, garçon populaire avec de la répartie, ça avait l’air de quelqu’un avec qui on pouvait discuter de tous et de n’importe quoi. Les gens semblaient l’apprécier malgré son côté très taquin et un peu lourdingue quelquefois. Il avait même son petit fan-club féminin qui venait le voir régulièrement à la sortie des cours ou durant les poses. Elles se déclaraient mais il n’est jamais sorti avec aucune d’entre elles, il était plutôt plan cul comme garçon. Comment tu savais ça ? Parce que malgré le fait que tu ne t'intéressais pas aux autres, tu avais eu le malheur d’être placé juste derrière lui et il parlait suffisamment fort avec ses camarades masculins de ses conquêtes pour que tu entendes tout malgré toi… 
“La misogynie...” voilà le sujet que vous pourriez aborder dans votre nouvelle, songeas-tu. Il en était le parfait exemple à traiter toutes ses filles comme des objets et elles, elles étaient ridicules à se comporter comme des groupies pour un garçon qui visiblement n’avait pas de respect pour les femmes. La cloche retentit, les deux heures de cours étaient passées vites pour une fois. Vous aviez eu le temps de décider du genre de la nouvelle, d’apporter quelques idées ici et là sur une feuille de bouillon. Le jeune homme se retourna alors, remettant son cahier sur sa table avant de déposer le crayon de papier qu’il avait emprunté dans ta trousse accompagner toujours de ce petit sourire en coin. Il se leva de sa chaise, histoire de faire un tour afin de se dégourdir les jambes et en partant, il te dit “Au faite, je m’appelle Kuroo Tetsurou !”, comme s’il savait que tu n’avais retenu aucun nom ou prénom des gens qui t'entouraient.
Tu ne put t’empêcher d’esquisser un petit sourire sur tes lèvres, tout en remettant une de tes longues mèches [C/C] à l’arrière de ton oreille droite. Après le petit quart d’heure de pose, c’était au tour de votre professeur de mathématiques d’entrer en scène pour deux heures barbantes. Bien que tu n’aimais pas beaucoup ce cours, tu t’en sortais plutôt bien. A vrai dire, tu avais de bonnes notes dans la plupart des matières et les instituteurs avaient jugé bon de te désigner délégué de classe en début d’année scolaire. Cependant, tu as refusé. Tu ne pensais pas avoir les épaules nécessaires pour pouvoir représenter les élèves de ta classe, te jugeant trop réservé et puis tu n’avais pas envie de représenter une bande de crétins, car oui à tes yeux c’est là tout ce qu’ils étaient, des crétins. C’était donc Kuroo qui tout naturellement c’était retrouver leader de la première B avec le soutien de ses camarades. Les heures tournants, midi approchait tu allais enfin pouvoir manger avant que les activités de club ne commencent. La cloche sonna et tu sentis alors une main se poser sur ton épaule, en relevant le nez de ton cahier, tu fis face au sourire en coin que t'accordait le capitaine de l’équipe de volley. 
- On se rejoint au gymnase après les activités de club petit chat ~
Tu n'eus le temps de protester ou d'acquiescer qu’il avait déjà décampé de sa chaise en vitesse afin de rejoindre le couloir, emportant ses affaires avec lui. “Petit chat ?”, voilà qu’il te donnait un surnom maintenant. Décidément il était vraiment d’une familiarité déconcertante ce garçon. Tu pris soin de ranger ton cahier et ta trousse avant de te diriger vers la salle réservée au club d’arts plastiques où ne se trouvait encore aucun élève. La pièce était située au dernier étage de l’établissement, bénéficiant d’un bon éclairage naturel en après-midi où les rayons du soleil passant à travers les vitres se reflétaient sur la peinture séchée, verser par maladresse ici et là sur de grandes toiles en tissu disposer sur le sol afin de le protéger. Comme à ton habitude, tu te dirigeas au fond de la salle pour prendre place à un pupitre et sortir le bento que tu avais préparé la veille, constituer de riz et d’un peu de poisson. L’endroit était assez calme, isoler même et cela te convenait. Par la fenêtre, on pouvait facilement apercevoir les autres élèves prendre leur repas assis sur des bancs en plein milieu de la cour qui devait être gelée par ce temps froid mais ils profitaient de la douce chaleur des rayons du soleil qui arrivaient à percer à travers les nuages blancs de l’hiver. Tu étais mieux au chaud à manger dans ta salle de club. En bas, tu aperçus Kenma, il était en compagnie de Kuroo qui le taquinait sans arrêt et tu ne pouvais pas t’empêcher de penser que ça devait être dure pour le gamer introverti de se retrouver comme ça, exposer autant, déranger, taquiner. 
Durant ta pause-déjeuner, après avoir terminé ton bento, tu te penchas quelques instants sur les exercices de math que votre professeur avait données pour jeudi. Tu tenais à t’en débarrasser au plus vite et réaliser les calculs pendant que la méthode était encore ancrée bien chaudement dans ta tête. Et enfin, tes heures d’arts plastiques pencher au-dessus de ton carnet de dessins à griffonner un peu tout ce qui te passait par la tête passèrent comme à l'accoutumée, extrêmement vite. La cloche de seize heures retentit dans les couloirs de l’établissement, annonçant la fin des cours. Tu pris tes affaires, les rangeais dans ton sac en bandoulière avant de descendre les escaliers afin de regagner ton casier. Tu en sortis ton écharpe rouge, la passait autour de ton cou avant de changer de chaussures et rejoindre le gymnase où devait attendre Kuroo. Une fois devant la porte légèrement entrouverte du bâtiment, tu pouvais entendre les grincements des semelles des volleyeurs sur le sol durant leurs actions. Curieuse, tu l’ouvris un peu plus et fis quelques pas afin de pouvoir les observer un peu mieux. Tu n’étais pas très sportive et t'intéressais peu à tout cela mais tu trouvais dans leur style de jeu une certaine grâce, semblable à celle des félins. Cette réflexion s'appliquait pour le grand noiraud capitaine de l’équipe tout particulièrement.
Mais alors que tu observais leur jeu et plus précisément celui de Kuroo sans t’en rendre forcément compte, tu ne remarquais pas la balle frapper par Lev qui se dirigeait vers toi. Enfin, quand tu t’en rendis compte, il était bien trop tard pour tenter de l’esquiver et ton seul réflexe fut de fermer les yeux et protéger ton visage d’un seul bras. Heureusement pour toi, le capitaine de Nekoma avait de formidables réflexions et ne laissait jamais retomber aucune balle. Tel un chat, rapide et agil, il la contra afin de la renvoyer sur le terrain et dans son élan, il vacilla en ta direction, se retrouvant appuyer les deux avant-bras contre le mur derrière toi de chaque côté de ta tête. Ses yeux noisette se plantèrent dans les tiens, sa reprise de souffle se caressait à ton visage, tandis que tu pouvais sentir la chaleur que dégageait son corps durant une activité physique intense. Il te décrocha un sourire mais cette fois, plus rassurant que malicieux, comme il avait l'habitude de le faire.
- Rien de cassé petit chat ? ~
- Plus de peur que de mal… 
- Tant mieux, mais évite de trainer derrière les joueurs à l’avenir ~
Tu n'eus le temps de le remercier qu’il s’était déjà éclipsé afin de reprendre le cours du match. Suivant le conseil du noiraud, tu pris place sur un banc situé sur le côté du terrain, continuant d’observer les joueurs de Nekoma disputer leur set. Leurs actions étaient toujours rythmées par les grincements des semelles de chaussures sur le parquet et lorsque la balle de match fut remportée par l’équipe du chat noir, tu ne pus t’empêcher d’être contente et d’esquisser un rapide sourire. Kuroo prit alors sa gourde, poser sur un banc juste à côté ainsi que sa serviette qu’il posa autour de sa nuque. Il s’approcha de toi tout en essuyant la sueur de son visage et te dis simplement qu’il allait prendre une douche et qu’ensuite, vous pourrez rentrer afin de travailler votre nouvelle, qu’il ferait vite afin de ne pas trop te faire attendre. Et sur cette dernière parole, il t'offrit un petit clin d’oeil et un sourire malicieux qui étrangement, te fit sourire. Kenma s’assit quelques instants près de toi, te demandant comment tu connaissais Kuroo et pourquoi est-ce que tu l’attendais. Tu répondis simplement, “Camarade de classe” et “Devoir de japonais” auquel le garçon te donna une petite tape sur l’épaule, accompagné d’un “Courage”.
Ce dernier mot te paraissait un poil énigmatique et quelque peu exagérer de la part du petit flamby, après tout ce n’était pas comme si tu allais faire équipe avec le diable… Si ? Tu laissais un petit soupir sortir d’entre tes lèvres, observant le gymnase se ranger progressivement. Tu as même donné un petit coup de main à Kenma, récupérant quelques ballons de volley éparpiller un peu partout à travers le terrain. C’est la voix quelque peu imposante de Kuroo qui te sortis de ta phase de rangement. Tu fis un petit signe de la main au décoloré avant de rejoindre le noiraud à l’extérieur qui se plaignait de t’avoir attendu pour te taquiner. Tu sentais en partant les regards curieux du reste de l’équipe sur vous, certains étaient même assez insistants et oppressants mais tu fis mine de ne rien remarquer. Quant à Kuroo, il saluait d’un lever de main les volleyeurs, accompagné de ce petit sourire malicieux comme il avait l’art et la manière de les faire, plein de sous-entendu. Comme la saison hivernale était déjà bien installée, le soleil déclinait fortement et la nuit n’allait pas tarder à englober la ville dans son voile sombre. 
Comme Kuroo s’était imposé, tu n’avais pas vraiment eu le temps de discuter avec ta mère sur l’idée d’avoir un garçon à la maison pendant quelques heures, même si c’était pour un devoir scolaire, tu savais qu’elle ne serait pas enclin à le laisser entrer. Tu lui avais envoyé un message durant la pause-déjeuner mais elle ne t’avais pas encore répondu, sans doute s’était-elle endormi après être rentré de son travail nocturne. Toujours est-il que Kuroo te suivait à travers les quelques pâtés de maisons qui te séparaient du lycée jusque chez toi et une fois devant la petite maison de famille modeste, il eut un petit sursaut de surprise. 
- Ah ! En faites on n’habite pas très loin, l’un de l’autre petit chat ~ J’habite à quelques arrondissements plus loin, c’est étonnant qu’on ne se soit jamais croisé !
- Arrête de m’appeler comme ça, c’est gênant... Affirmas-tu dans un soupir.
- Je trouve que ça te va bien moi ~ Mon petit chat ~
Tu soupirais une nouvelle fois tout en cherchant tes clés dans ton sac. Une fois celle-ci en main, tu franchis le seuil de la porte et fit attendre quelques instants le noiraud dans l'entrée après avoir retiré tes chaussures, regardant si ta mère dormait sur le canapé du salon. Elle était comme tu t’y attendais, étendu sur le sofa, une fine couverture recouvrait son corps encore habiller de la tenue d’urgentiste de l’hôpital. Tu laissais un petit soupir sortir d’entre tes lèvres avant de rejoindre le noiraud et lui indiquer de ne pas faire de bruits. Il s’exécuta docilement pour une fois et te suivait à travers le couloir de la maison afin de rejoindre ta chambre. Comme à ton habitude, elle était parfaitement rangée, chaque chose était à sa place, seules quelques feuilles de dessin traînaient sur ton bureau que Kuroo s'empressa de regarder. “Curieux et envahissant...” pensas-tu une nouvelle fois sans en dire un mot mais il sentit très bien le petit regard légèrement courroucé que tu lui lançais. Il esquissa un sourire, toujours avec cette même malice avant de prendre place autour de la petite table basse au centre de la pièce, s’asseyant en tailleur sur le coussin posé au sol. Il sortit de son sac son cahier de japonais où quelques feuilles volantes vinrent tomber sur le sol qu’il ramassait par la suite. 
Pour ta part, tu retirais l’écharpe rouge autour de ton cou avant de prendre place en face de lui et sortir à ton tour tes affaires. Le silence régna un long moment dans la pièce avant qu’il ne se décide à briser ce dernier, trouvant peut-être que tu n’avais pas assez de conversation à son goût où peut-être que cela le gênait de se retrouver dans un endroit aussi calme. 
- Tu es dans le club d’arts plastiques alors ?
- Oui, depuis l’année dernière… 
- ça va peut-être nous aider à gratter des points en plus ça ~ Affirma-t-il en s'étalant quelque peu sur la table. 
- Comment ça ?
- Hum… On pourrait illustrer un moment fort de chaque chapitre à la fin de ce dernier, enfin c’est une idée comme une autre ! 
- Pourquoi pas… 
- Après ça te fera du travail en plus alors je peux m’occuper de la mise en page tout seul, comme ça, ça te fera moins de tâche à faire petit chat ~
- D’accord… Répondis-tu dans une légère grimace à l’idée qu’il continue à t'appeler ainsi. Au faite, merci pour tout à l’heure… 
- C’est normal, j’allais pas laisser mon chaton se manger un ballon quand même, ça aurait été dommage ~
Un énième soupir sortir d’entre tes lèvres, cela semblait amuser le noiraud qui se redressa afin que vous puissiez vous pencher sur votre écrit. Kuroo avait de bonne idée, vous aviez choisi une thématique particulière pour votre nouvelle qui allait traiter de la place de la robotique dans la société. La machine devait-elle remplacer l’homme dans son travail ou l’assister ? Était-il bon de développer les intelligences artificielles et de leur donner une conscience ? C'était un peu un scénario qui pourrait être inclus dans le jeu “Detroit, become human” à bien y réfléchir mais cela avait l’air de vous plaire à tous les deux. Après deux bonnes heures de travail, alors que la nuit était parfaitement tombée sur la ville, le volleyeur à remballer ses affaires afin de regagner son domicile. Tu l'accompagnais jusqu’à la porte d’entrée où avant de partir, il te gratifia d’un sourire sincère pour une fois tout en te souhaitant une bonne soirée avec encore ce surnom très affectif qui ne manqua pas de tomber dans l’oreille de ta mère. Tu sentais les ennuies et la prise de tête arrivée à grands pas derrière toi maudissant ce vulgaire chat de gouttière de t’avoir mis dans la panade...
Tu dus répondre à un tas de questions assommantes et embarrassantes pour la plupart, te demandant dans un premier temps qui était ce garçon, pourquoi est-ce que tu l’avais invité à la maison sans permission en plus, pourquoi est-ce qu’il avait un comportement aussi familier avec toi, est-ce qu’il était ton petit copain, pourquoi est-ce que tu ne lui avais pas présenté si c’était le cas, est-ce que vous couchiez simplement ensemble, est-ce que tu te protégeais… Bref, ce genre de conversation prise de tête qui se solda par un “Je ne veux plus que tu voies ce garçon !” et ceux même si tu t’étais efforcé de faire comprendre à ta mère que tu devais simplement travailler sur un projet scolaire avec lui. Quand elle voulait, elle était plutôt têtue et n’en démordait pas. Mais bon, tu étais du genre obéissante et tu préféras abdiquer aux paroles de ton aîné avant de retourner dans ta chambre et terminer les devoirs qu’il te restait à faire. Tu savais que ramener Kuroo chez toi, sans en avoir parlé avec elle allait être une source d’ennuis mais pas à ce point, pourquoi s’énervait-elle autant ? Il n’y avait franchement pas de quoi… 
C’est vrai même s’il était plutôt taquin et très familier, il était plutôt gentil dans le fond. Tu le trouvais intelligent, l’un des meilleurs élèves du lycée, il avait du charisme à sa manière, l’âme d’un leader, il était plutôt beau garçon aussi… Sans t’en rendre compte, tes joues prirent quelques couleurs en y songeant. 
- Tu n’es vraiment qu’un stupide chat... Murmuras-tu doucement à l’intention du noiraud.
Une fois tes devoirs terminés, tu as rejoint ta mère et ton frère dans la cuisine afin de partager un repas bien chaud dans un calme olympique. Tu ne t’es pas attardé plus que cela, ne voulant pas qu’elle ne relance le sujet dans une conversation à sens unique, alors après avoir débarrassé et fait la vaisselle, tu es allé te coucher. Mais la discussion avec ta mère, tournait en boucle dans ton esprit, incapable de t’en défaire, tu eus un mal fou à trouver le sommeil. Quand enfin, tu réussis à fermer les yeux, c’était le visage de ce stupide chat noir qui te revenait en mémoire, avec son petit sourire en coin et ses allusions plus que douteuses et barbantes. Le lendemain, la routine te tendait à nouveau les bras. Le réveil qui sonne, ton repas matinal, ton petit rituel pour te préparer, t’habiller et te voilà fine prête pour partir de chez toi mais la vie nous réserve bien des surprises parfois… Alors que tu marchais afin de rejoindre le lycée, tu entendis quelqu’un marché derrière toi, courir même pour te rattraper. Tu eus à peine le temps de te retourner que tes yeux |C/Y] se plantèrent dans le regard noisette du volleyeur à quelques centimètres de toi. Il allait poser ses mains sur tes épaules, sans doute pour te surprendre et te faire peur mais à la place, il esquissa un sourire et posa une de ses mains sur le haut de ta chevelure, ébouriffant tes longs cheveux [C/C].
Tu affichais une petite moue boudeuse sur le visage, remettant tes cheveux en place calmement. Kuroo se mit à rire doucement, te taquiner de la sorte semblait l'amuser plus qu’autre chose. Sans un mot, tu t’es retourné et tu as repris le chemin du lycée en compagnie du capitaine de l’équipe de volley qui emboitait le pas juste derrière toi. Tu hésitais à entamer un semblant de conversation, cherchant un sujet quelconque à aborder pour ne pas rester dans le silence. C’était assez étonnant de ta part… Et tu sortis ça un peu de but en blanc :
- On ne pourra pas travailler chez moi. 
- Bah pourquoi ? Demanda Kuroo l’air étonné. Je t’insupporte déjà ? ~
- Non, c’est juste que ma mère a totalement pété un plomb hier et m’a... Comment dire ça… C’est assez gênant… Interdit de te voir ?
- Ah ah ! Ce n’est pas comme si j’allais te manger ! Affirma-t-il en riant. Ah moins que c’est ce que tu veux auquel cas je m’exécute sur le champ mon chaton ~
- Arrête tes surnoms et tes sous-entendus, c’est lourd… 
- Tu t’y feras ~ Annonça-t-il avec un sourire. Bon, plus sérieusement, ça va être coton pour travailler correctement si on ne peut pas se voir en dehors des heures de cours...
- Il reste la bibliothèque mais tu n’aimes pas aller là-bas alors… Disons chez toi plutôt ? Enfin je n’aimerais pas m’imposer non plus... 
- Tu deviens entreprenante, ça me plaît ~ Mais ta mère risquerait de te taper sur les doigts si elle apprend qu’on continue à se voir non ?
- Je gère mes fréquentations, elle n’a pas vraiment son mot à dire là-dessus !
- Oh ~ Le chaton sort ses griffes on dirait, je devrais me méfier !
Malgré ce surnom un peu lourdingue, sa remarque te fis rire doucement. Tu sentis une de ses mains se poser dans ton dos et te tapoter gentiment en te disant “T’inquiète pas, je ne te mangerai pas ! Enfin pas encore ~”. Tu affichais un petit sourire gêné à la suite, sentant que tes joues s’échauffaient doucement devant son commentaire. Tu tirais sur ton écharpe rouge, pour cacher tes pommettes, comme si le froid te dérangeait, continuant de marcher à ses côtés en écoutant les nouvelles idées qu’il avait eues pour votre projet scolaire. Une fois devant les grilles du lycée, vous êtes entré tous les deux sous le regard méprisant de ses groupies qui enrageaient de votre soudaine proximité. Il t’a accompagné jusqu’à ton casier avant de se diriger vers le sien afin de mettre ses chaussures. Kenma t’a rejoint peu après, te saluant comme chaque matin mais cette fois, il entama un semblant de discussion, te demandant comment tu allais et si Kuroo n’était pas trop insupportable. Le petit flamby se reçut un coup sur la tête de la part du noiraud, rétorquant qu’il avait été adorable comme à son habitude, qu’il n’était jamais insupportable et que ceux qui affirmaient le contraire avaient l’esprit trop étriqué, voilà tout. 
Cela te fit rire, une nouvelle fois. Tu es resté en compagnie des deux garçons, jusqu’à ce que Kuroo et toi ne rejoignez votre salle de cours. Les quatre heures défilèrent à une vitesse affolante, chaque intercours étaient rythmé par les petites remarques du noiraud qui aimait plaisanter et surtout te faire rire. A la pause-déjeuner, il attendait que tu ranges tes affaires et au moment où tu sortis de la pièce pour regagner comme à ton habitude la salle de club et y prendre ton repas, il t’attrapa le bras. Surprise, tu eus un petit sursaut et le regardais dans les yeux. Il te décrocha un sourire à la suite, tenant toujours cette proximité entre vous durant la conversation qui allait suivre. 
- Où tu vas ? Demanda-t-il l’air amusé. 
- A ma salle de club… 
- Tu me fais faux bond chaton ~
- J’aimerais manger au calme et… 
- Tu me brises le cœur là ! Affirma-t-il l’air triste avec son meilleur jeu d’acteur. Moi qui pensais qu’on pourrait manger en tête à tête ~
- Une autre fois peut-être…
- Ah non ! Tu es resté suffisamment seule comme ça ~ Allez hop !
Et juste à la fin de sa phrase, il s’est légèrement baisser afin de glisser un bras à l’arrière de tes genoux et t’a soulevé comme si tu n’étais qu’une petite plume. Tu poussais un petit cri de surprise, t’accrochant à lui pour éviter de tomber tandis qu’il marchait à travers les couloirs de l’établissement sous les regards médusés des autres élèves et les remarques des instituteurs indignés. Il semblait n’en avoir strictement rien à faire alors que toi, tout ceci te mettait mal à l’aise, tu sentais tes joues s'empourprer fortement mais quelque part, cela te faisait plaisir que quelqu’un comme lui s’intéresse à toi. Même s’il était envahissant, sans gêne, taquin, qu’il n’avait guère sa langue dans sa poche et n’hésitait jamais à dire ce qu’il pensait, tu l’appréciais. Bien que tu lui demandes de te reposer à plusieurs reprises, donnant de petits coups sur le haut de sa chevelure charbon, le noiraud n’en démordait pas et te reposa qu’une fois à destination, sous le préau légèrement à l'abri du froid. Il laissa tes pieds regagner le banc sur lequel étaient déjà assis Kenma et Lev, en face d’eux se trouvaient Kai, Yaku et Yamamoto déjà occuper à manger. Les volleyeurs te saluèrent alors que tu donnais un énième coup à Kuroo sur le haut de la tête, descendant par la suite afin de t’asseoir avec eux. 
Les garçons riaient devant la scène de ménage, heureux de voir que quelqu’un tenait enfin tête à leur capitaine. Kenma se décala de quelques centimètres, poussant brièvement Lev afin que le noiraud puisse s’asseoir au bout du banc juste à côté de toi. Tu sortis ton bento et mangeais en leur compagnie dans une ambiance plutôt animée par les rires et les conversations quelquefois grossières des membres de l’équipe. Étant du genre à rester dans ton coin en temps normal, tu ne te sentais pas très à l’aise à être autant entouré et Kenma le comprit bien vite. Il te donna un petit coup de coude, te faisant tourner la tête en sa direction alors qu’il te décrochait un sourire rassurant. Tu lui rendis, te rapprochant un peu du décolorer tout en te penchant un peu plus en sa direction, regardant l’écran de sa psp pour voir à quoi est-ce qu’il pouvait bien jouer. Tu ne le remarquas pas mais le fait que tu te retrouves si près de Kenma fit rager le chat noir intérieurement qui se retrouvait être après cela d’une humeur plus sarcastique que jamais. La fin de la pause arrivant, tu t'apprêtais à rejoindre ta salle de club quand Kuroo t'attrapa une nouvelle fois le bras tout en te décrochant un sourire en coin. 
- Oya, oya oya… Tu nous quittes déjà chaton ? ~
- La cloche va bientôt sonner… 
- Tu ne veux pas rester encore un peu avec moi ? ~
- Si tu veux on se retrouve à la fin des cours pour rentrer ensemble… 
- Hum ~ C’est si gentiment proposé, je ne peux pas refuser ~
Il te décrocha un sourire en coin, emplit de malice, satisfait de la réponse que tu lui avais donnée, à croire que c’était un petit jeu, que c’était là, tout ce qu’il voulait t’entendre dire. Il a relâché ton bras, glissant ses doigts le long de celui-ci jusqu’à effleurer la paume de ta main, se retournant à la suite vers ses camarades, où certains jalousaient la scène. Pour ta part, tu fis volte-face afin de regagner ton club, croisant dans les couloirs les quelques commères du lycée, occuper à colporter les ragots qui se diffusaient plus rapidement qu’une traînée de poudre dans ce genre d’endroit. Tu sentais les regards pesants des autres filles sur ta personne, entendais les chuchotements, les messes basses lorsque tu tournais dans les couloirs. Lorsque tu as atteint la salle réservée aux élèves d’arts plastiques, juste après la sonnerie, tes camarades s’étonnèrent de te voir arriver légèrement en retard. En quelques heures seulement, tu étais devenu le sujet de bien des conversations et tu maudissais ce foutu chat noir de te sortir autant de ta routine de la sorte. Tu n’aimais pas être le centre de l’attention du lycée, tu aurais largement préféré faire ta scolarité discrètement, sans t’attirer les foudres des prétendantes de Kuroo. Mais il était un peu tard maintenant pour faire machine arrière, le noiraud t’avait visiblement mis le grappin dessus et il ne semblait vouloir en démordre.
En constatant ce fait, tu soupiras longuement, espérant qu’elles ne t’en fassent pas trop bavé même si tu n’avais pas trop d’espoir là-dessus. Les filles pouvaient être de vrai pestes parfois et tu le savais parfaitement puisque au collège déjà tu avais été victime de quelques brimades, à cause de ton insociabilité. C’est toujours plus facile de s’en prendre à ceux qui sont isolés, plutôt qu’à un groupe qui se soutient. Le mieux pour toi, était d’éviter le capitaine de l’équipe de volley le plus possible mais comme il était dans ta classe et que vous aviez ce foutu projet scolaire en commun, cela allait être difficile. Pourtant, tu allais faire ton possible pour l'esquiver, réfléchissant sérieusement à divers stratagèmes… Oui voilà, si tu partais plus tôt le matin, il ne ferait pas le trajet avec toi et vous n'arriverez donc pas au lycéen ensemble. Les soirs où vous ne travaillerez pas tous les deux, tu n’avais pas besoin qu’il te raccompagne. Le midi tu filerais à toute allure jusqu’au club pour manger seule, comme à ton habitude. C’était ce qu’il y avait de mieux à faire. Passé inaperçu, tel était ton nindo désormais. “Mode Ninja activité !” songeais-tu, en esquissant un sourire penché sur ton carnet de dessins alors que tu esquissais les différentes étapes de ta journée à l’aide d’un crayon de papier.
Encore une fois, la cloche de seize heures sonnait bien trop vite à ton goût. Bien que tu aies proposé à Kuroo de rentrer avec lui, après avoir rangé tes affaires, tu fonças jusqu’à ton casier afin de mettre tes chaussures pour pouvoir quitter le lycée. Une fois devant les grilles, tu soupirais doucement, hésitant un court instant à faire marche arrière mais tous ses regards dont tu avais l’impression qu’ils étaient tous rivés sur toi, te refroidir. Tu entrepris de rentrer alors tranquillement chez toi, marchant d’un pas quelque peu coupable. Tu avais l’impression de le trahir. Quel drôle de sentiment que cela. Tu resserrais ta prise sur la lanière du sac en bandoulière qui était posé sur ton épaule tout en te mordant la lèvre. Tu réalisais alors que dans la précipitation que tu avais oublié ton écharpe dans ton casier et le vent froid de l’hiver Tokyoïte te le rappelait bien vite à ton grand regret. Tu franchis le seuille de la porte d’entrée en soupirant, légèrement soulagé que Kuroo ne t’ait pas rattrapé sur le chemin. Tu t'installais à ton bureau afin de terminer les quelques devoirs qu’ils te restaient à faire avant de te changer pour troquer ton uniforme contre des vêtements plus confortables et chauds. Une fois cela fait, tu t’es attelé à préparer le repas du soir et les bentos du lendemain, aujourd’hui c'était ton tour de faire à manger. 
Après le repas et avoir discuté un peu avec ton frère, tu es allé te coucher, te préparant mentalement pour la journée de demain qui allait être rude, tu le sentais et tu n’imaginais pas à quel point elle allait l’être… Dès le réveil que tu avais programmé trente minutes à l’avance, un long soupir traversa tes lèvres et tu hésitais un instant à te faire porter pâle pour échapper à Kuroo et les messes basses de tes camarades. Courageuse, tu te repris et sortis de ton lit. Après tout ce n’était qu’un mauvais moment à passé, rien de plus, oui voilà, un mauvais moment. Tu engloutis ton petit déjeuner avant d’entamer ton petit rituel de préparation, terminant par t’habiller avant de prendre ton sac de cours et filer en vitesse, afin d'échapper au chat noir. Seulement voilà, à peine tu fus sortis de chez toi, que tu avais franchi le portail de la cour, que tu sentis une main se poser sur ton épaule et un regard courroucé te scruter de la tête aux pieds, te donnant un long frisson d’effroi. Kuroo avait faits le pied de grue tôt ce matin pour ne pas te louper, à croire qu’il avait anticipé tes actions. “C’est un psychopathe ma parole...” songeais-tu en te retournant pour lui faire face. Etrangement, il affichait un sourire crispé sur le visage mais ses yeux eux ne mentaient pas, il était contrarié.
- Tu t’es enfuie hier, ce n’est pas très gentil ~ Affirma-t-il dans une petite moue boudeuse. Moi qui me faisait une joie de rentrer en ta compagnie ~
- Ah… Je… Ma mère m’a appelé pour que je prépare le dîner… Désolé… 
- Oh ~ Tu me feras goûter ta cuisine ? ~ Demanda-t-il dans un grand sourire.
- Si… Si tu veux… 
- Ah tant que j’y pense, donne-moi ton numéro ! Comme ça tu me préviendras si tu as un empêchement à l’avenir mon chaton ~
Son expression s’était adoucis. Il déverrouilla son téléphone et te le tendit afin que tu puisses rentrer ton numéro à l’intérieur. Tu lui rendis après l’avoir fait et il esquissa un sourire satisfait tout en t’envoyant un message afin de vérifier la véracité du dis numéro avant de le ranger dans la poche intérieure de sa veste. Il avait remarqué qu’aujourd’hui tu ne portais pas d’écharpe, pourtant, cela allait être la journée la plus froide de la semaine. Il voyait là un moyen peut-être de se rapprocher et naturellement, alors que vous alliez entamer la marche vers le lycée, il passa la sienne autour de ta nuque afin que tu n’attrapes pas froid. “Psychopathe mais gentleman” pensas-tu doucement amuser. Tu le remercias avant que vous ne vous dirigiez vers le lycée, d’un pas tranquille. Sur le trajet, tu ne pus t’empêcher de sentir son odeur assez agréable tu devais te l’avouer. La journée fut comme tu t’y attendais, éprouvante. Non seulement Kuroo ne t’avait pas lâché d’une semelle mais en plus de cela, vous étiez devenu le sujet de toutes les conversations et les groupies du volleyeur ne se gênaient pas pour faire quelques petites remarques et moqueries à ton sujet quand ce dernier n’était pas dans les parages. “Bandes de pestes” songeais-tu dans un soupir. Décidément, ce chat ne t’attirait que des ennuis et en même temps, c’était probablement normal puisqu’il était noir… 
En plus aujourd’hui, vous aviez sport pendant deux bonnes heures avant le repas. Heureusement, avec la saison hivernale, vous étiez contraint de rester dans le gymnase au moins vous étiez au chaud, c’était déjà ça. Tu n’aimais pas beaucoup le sport et encore moins quand il devait être pratiqué en équipe et puisque le sort semblait vouloir s’acharner, tes camarades avaient choisi de faire du volley. “Evitement” songeais-tu dans un soupir. Etrangement, tu t’es tourné en direction de Kuroo, un air suppliant sur le visage afin qu’il vienne à ton aide, chose qu’il fit immédiatement. Il t’a montré comment faire de bonnes réceptions, des passes, des smatchs et comment servir. Même si tu n’appréciais pas trop les cours d’éducation physique et sportive, tu prenais peu à peu plaisir à jouer avec le noiraud qui était à ton grand étonnement un bon pédagogue. Après ses quelques efforts un peu intenses, vous vous êtes aidé mutuellement pour les étirements rendant votre proximité à nouveau embarrassante pour toi, tandis que lui, semblait s'en amuser beaucoup. Tu as regagné à la suite les vestiaires des filles, faisant à nouveau face à quelques remarques désobligeantes à ton sujet. Des petites piques jalouses, quelques insultes mais tu ne disais rien, ce n’était pas dans ta nature de tenir tête aux autres et ça n’avancerait à rien, juste t'attirer plus d’ennuis que nécessaire… Après avoir pris une douche, t’être habillé, tu as rejoint la sortie où attendait le chat noir et le simple fait qu’il te décroche un sourire, un peu moqueur certes mais cela restait son sourire, cela te fit quelque peu oublier cette sensation humiliante qui traînait au fond de toi.
A la fin de la journée, tu as rejoint le gymnase, attendant que Kuroo ne se change pour que vous puissiez rentrer chez lui afin de plancher sur votre projet scolaire. Après dix minutes de plus que pour aller chez toi, le noiraud te fit entrer dans une grande résidence, composée de plusieurs appartements. En prenant les escaliers, vous vous êtes arrêté au quatrième étage, devant la porte de son logement et après avoir ouvert cette dernière, il te fit franchir le seuil la première, refermant derrière lui. Tu as retiré tes chaussures, suivant Kuroo jusqu’au salon où il t'indiquait que tu pouvais poser tes affaires sur la grande table de la salle à manger. Tu as pris place autour de cette dernière, pendant qu’il se rendait dans la cuisine, te demandant si tu préférais un thé, un chocolat chaud ou du café. Une fois la boisson déposée sur la table, il rapporta une boîte de pocky qu’il déposa entre vous tout en prenant place en face de toi. Il te décrocha un sourire avant que vous ne commenciez à mettre vos idées notées sur des feuilles volantes en commun. Vous en avez même profité pour terminer vos devoirs où tu dut expliquer au noiraud le cours de math qu’il avait eu du mal à comprendre. Alors que tu étais dans tes explications, tu sentis quelque chose se frotter à ton pied. Tu eus un petit sursaut et te mis à rougir bêtement, pensant que c’était ton voisin qui te faisait du pied, du moins c’est ce que tu as pensé jusqu’à ce que tu sentes à la suite quelque chose se poser sur tes cuisses. Ton corps c’est raidit tout à coup, tandis qu’un miaulement se fit entendre, te faisant soupirer de soulagement. 
- Désolé, il est un peu envahissant…
- Tel chat, tel maître ! Rétorquais-tu en souriant tout en déposant une caresse sur le dos du chat qui se mit à ronronner. 
- Toucher ~ Dit-il en riant. Tu veux que je le reprenne ou je te le laisse ?
- ça va, il peut rester là, ça ne me dérange pas… Comment est-ce qu’il s’appelle ?
- Kuro !
- Tu lui as donné ton nom de famille ?
- Bah non, comme la couleur, parce qu’il est noir ! Affirma-t-il en riant. Le mien s’écrit avec deux O à la fin… 
- Ah je vois ! C’est original sans vraiment l’être en fait !
- Bah dit donc t’as l’esprit bien critique [T/P] ! ~ Et toi, tu as des animaux de compagnie ?
- Non, ma mère n’aime pas trop ça mais ça m’aurait bien plu d’avoir un chat !
- Hum ~ Adopte-moi alors je suis comme les chats avec quelques petits extras en plus cela dit ~ Ajouta-t-il dans un clin d’œil. 
- S-sans façon, merci… 
Tu sentis tes joues devenir aussi rouges que deux tomates laissées en plein soleil d’été. Kuroo se mit à rire, aimant toujours autant te taquiner de la sorte mais tu ne savais si ses paroles étaient sincères ou non. Après tout il avait une réputation de coureur de jupons et ne s’était jamais attachée à aucune fille du lycée, pourtant, tu trouvais qu’il te traitait différemment des autres. Mais tu ne te faisais pas d’illusion, comment un gars comme lui pouvait s’intéresser à quelqu’un comme toi ? Non, il était juste sympa parce que vous aviez ce projet en commun, voilà tous, tu ne devais pas t’attendre à plus. Une fois les trois mois écoulés, ta vie reprendrait son cours, Kuroo ne ferait plus attention à toi et tu retournerais dans ta monotonie, c’était ce que tu voulais alors pourquoi y penser te faisais autant mal ? Une fois dix-huit heures trente arriver, il était temps pour toit de ranger tes affaires et partir. Le noiraud t’a raccompagné jusque chez toi mais avant de sortir, il a passé son écharpe autour de ton cou avant de prendre la tienne et la passer autour du sien. “Echange de bon procédé” a-t-il déclarer en sortant. Tu as esquissé un sourire, laissant sortir un soupir entre tes lèvres avant d’entamer la marche jusque chez toi à ses côtés. Une fois devant le portail, il t’a salué et il est rentré de son côté, te laissant son écharpe tandis qu’il gardait la tienne.
Les trois prochains mois se passèrent ainsi, rythmer entre les cours, les temps de pauses que vous passiez ensemble ainsi qu’avec le reste de l’équipe de volley masculin, vous rentriez tous les deux, profitant du chemin pour discuter de tout et de rien. Tu lui avais même posé quelques questions sur le volley en te rendant compte à tes dépens que si tu avais le malheur de lancer le sujet, il ne s'arrêtait plus… Le soir vous vous envoyaient quelques messages, histoires de discuter encore un peu. Ce garçon avait été une bouffée d’oxygène pour toi. Il avait débarqué en donnant un grand coup de pied dans tes habitudes et ta monotonie, te forçant à t’ouvrir au monde qui t'entourait. Mais plus la date fatidique de la rente du projet arrivait, plus tu sentais cette boule au fond de toi, cette angoisse de te retrouver à nouveau seule, isoler, abandonner. Et plus tu passais de temps avec lui, plus tu étais victime des brimades de tes camarades féminines, allant des insultes, à quelques petites bousculades dans les couloirs lorsque tu te retrouvais seule toujours. “Lâches…” Soupiras-tu autant pour elles que pour toi. Certaines filles de ton club avaient même renversé de la peinture sur ton uniforme une fois mais tu n’avais rien dit et quand Kuroo te demanda ce qui t’était arrivé, tu n’as pas osé lui dire la vérité. “Ce n’est rien, juste de la maladresse…” As-tu déclarer en souriant. 
Enfin, il était là. Le jour où vous avez rendu votre projet. Tu t’attendais à ce que le noiraud se tourne vers toi et te dise “Bon bah... C'était sympa [T/P] de faire équipe avec toi ! Allez à plus !” Mais au lieu de ça, lorsque la cloche de midi a sonné, il s’est étirée longuement sur sa chaise après avoir rangé ses affaires puis il s’est redressé et c’est diriger vers la sortie de la classe. Au moment où tu allais tourner à gauche afin de rejoindre ta salle de club, il t’a regardé et as attrapé ta main tout en te décrochant un sourire, sous les regards furibonds des groupies aux alentours.
- Où est-ce que tu vas comme ça chaton ? ~
- Eh bien comme on a terminé notre projet scolaire je pensais qu’on allait reprendre nos habitudes… Donc… Fis-tu légèrement hésitante.
- En quel honneur je te pris ? ~ Tu ne te sens pas à l’aise quand tu es avec nous ?
- Si, bien sûre que si ! Affirmas-tu en gonflant les joues.
- Bah alors ? Je te jure toi… Tu me les feras toutes ! ~
Il soupira doucement avant de refermer sa main sur la tienne, entremêlant vos doigts tout en marchant avec toi a travers les couloirs de l’établissement afin de rejoindre les autres qui vous attendaient à l’extérieur. Tu avais pris quelques couleurs devant son geste mais la sensation chaude de sa main refermée avec tendresse sur la tienne était assez agréable, tu devais l’admettre et à cet instant, ton cœur battait d’une sérénité nouvelle grâce à lui. Tu n’avais plus ressenti ce sentiment de plénitude depuis longtemps, bien avant le décès de ton père. Vous avez rejoint la table où se trouvait le reste de vos amis afin de partager un bon repas tous ensemble, dans la joie et la bonne humeur. Après cela, tu as regagné ta salle de club, un sourire un peu béat collé à tes lèvres. Alors que tu montais les escaliers menant au dernier étage, tu sentis derrière toi quelqu’un te tirer, dans un mouvement sec, brusque violent faisant quitter à tes pieds les marches. Une sensation de vide t'enveloppait alors, sans rien auquel pouvoir te raccrocher, ton corps frissonnait sous la chute libre et par réflexe tu as fermé les yeux, tombant lourdement sur le sol. Puis plus rien, tu ne discernais plus aucun bruit, c'était un brouhaha monstrueux autour de toi alors que tu sombrais dans l’inconscience… 
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theoppositeofadults · 5 years ago
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en train de me préparer pour mon retour imminent à glasgow, j’ai tellement hâte, il faut juste que j’arrive dans mon appart (sachant qu’il n’y a plus de bus de l’aéroport donc je dois prendre tram + train/bus, po idéal)
mais après je suis PRÊTE à être en quarantaine, j’ai une livraison de snacks japonais (et des briques de jus de mangue!) qui doit arriver demain soir, une boite de masques pour le visage coréens est arrivée ce matin et j’ai un colis de maquillage qui doit arriver mardi matin. et en plus j’ai la livraison gratuite sur deliveroo. we treating ourselves for 2 weeks straight. 
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havaforever · 4 years ago
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YALDA - LA NUIT DU PARDON 
Un film événement, dérangeant et instructif à plusieurs titres, qui explore conjointement deux thématiques essentielles que l’on ne soupçonnait pas d’être liées à ce point. Les fondements de la justice d’une part, et cette vie ultra connectée qui n’a désormais de sens que par médias interposés d’autre part.
Synospis : Iran, de nos jours. Maryam, 22 ans, tue accidentellement son mari Nasser, 65 ans. Elle est condamnée à mort. La seule personne qui puisse la sauver est Mona, la fille de Nasser. Il suffirait que Mona accepte de pardonner Maryam en direct devant des millions de spectateurs, lors d’une émission de téléréalité.
Le film de Massoud Makhshi commence par revisiter à nouveaux frais la première question que Socrate posait déjà sur l’Agora : comment établir une « vraie » Justice, au sens de bonne pour tous ? La nuit du Pardon, conjugue cette question vieille comme le monde avec une problématique on ne peut plus actuelle : celle de la vie par procuration, cette vie-rtuelle faite d'images, de clichés et de selfies, de filtres et d'effets spéciaux. Les émissions de téléréalité, le fil des réseaux qui relaient nos vagues idées, nos petites poussées d’indignation, ce qui reste de nos sentiments et de notre humour ; tel est  désormais ce qui  prend la place de la vraie vie.
La nuit de Yalda est la plus longue de l’année, les iraniens ont pour habitude de se réunir en famille et partager la nuit du solstice d’hiver de façon festive et agréable. Les faits ont donc lieu dans ce pays aux mœurs lointaines où règne encore la Loi du Talion : celui qui a tué, mourra. En Iran, la décision de la mise à mort de celui qui est coupable de meurtre appartient au Tribunal, mais la sentence peut être révoquée, et la condamnation à la peine capitale remplacée par « le prix du sang ». Ce rachat de la victime n’est possible que si la famille de la victime accepte la demande de pardon du coupable.
Cette pratique est très éloignée de la Justice dite « occidentale », et cela est bien évidemment de nature à choquer tous les regards ethnocentrés, qui verront rapidement dans cette façon de monnayer la vie d’un condamné de la régression moyenâgeuse. Avant de plonger dans ces considérations toutes faites, il est utile de rappeler que les institutions qui tentent de rétablir la Justice sont avant tout culturelles, et que contrairement à ce que pensait Socrate, il n'y a pas de Justice unique, universelle, que notre esprit puisse atteindre dans le Ciel des Idées par une dialectique ascendante… Quand bien même il y aurait un Justice idéale, qui peut prouver que celle des Droits de l’Homme telle que La République Française les a proclamés en 1789 correspond à  la référence ultime en matière de ce qu’il est juste ou injuste de faire et de penser?
En laissant aux victimes la possibilité de gracier le condamné à mort, la justice iranienne donne une place centrale au pardon, et propose une des clés de cette justice idéale dont tout le monde rêve. Par son aménagement de la Loi du Talion, la société civile (principalement dominée par l’idéologie de l'Islam) suggère la plus belle alternative que l'on puisse trouver à la vengeance . Elle vise à construire une société où le prix du sang qui a coulé, n'implique pas forcément la nécessité de faire couler du sang un fois de plus, comme l’indiquerait la Loi du Talion prise dans sa littéralité. La dette peut être soldée par un prix qui est calculé par le Tribunal de façon très savante, en fonction de quatre-vingt critères.
Ce changement de perspective qui met l'individu et non l’institution au centre de la notion de Justice, est peut-être le meilleur moyen de déraciner l’idée d'une réparation qui prend son origine dans le désir de voir l’autre souffrir pour s’apaiser. Faire justice ne vise pas seulement à sublimer l’élan meurtrier émanant de la colère en substituant le poignard de celui qui vengerait personnellement son frère par une exécution publique. Le tribunal propose directement à la victime de choisir ce qui lui convient de faire de cette pulsion. Mais surtout, la victime et le coupable sont directement confrontés : l'un pour demander pardon, l'autre pour prononcer la sentence qui confirmera la décision du juge. Ce face à face qui donne une dimension intersubjective à un idéal inaccessible, transforme le verdict de l’institution en un assentiment personnel.  Il offre surtout l’occasion à la victime de réparer l’irréparable en sauvant la vie du condamné.
Le prix de la vie, face à ce que le crime a déjà coûté en sang, comme la ténacité de la rancune au regard de la puissance de celui qui pardonne, avaient déjà été exploité par Ashgar Farhadi dans un magnifique premier film Les enfants de Belle Ville (2003). L’originalité de Massoud Makhshi qui reprend comme trame de son scénario l’aménagement de la Loi du Talion, est d’avoir confronté ce principe ancestral à la « nouvelle » barbarie, propre aux pratiques du 21ième siècle. Il ne s’agit plus d’interroger les motifs de ceux condamnent  à mort, c'est impensable et impossiblement correct ! Seuls les chinois, les texans, les iraniens, les russes, les japonais, de nombreux états d’Afrique, et encore bien d'autres pays en sont encore là. Cela représente bien du monde sans possibilité de racheter « le prix le sang », mais là n’est pas la question.
Il s’agit, en terre abolitionniste et éclairée, de vivre avec un barbarisme désormais incontournable : exposer les moindres détails d’une existence qui s’invente sur les réseaux.  Cette dictature qui affirme que la réalité n’est palpable, voire viable que si elle est augmentée, bloggée, vloguée, youtubée, snapchatée ; c’est-à-dire partagée avec des spectateurs réels ou virtuels. Dans le tribunal populaire ultime des pays éclairés comme ceux du monde entier,  plus rien n’a de goût, de couleur, ni de saveur s’il ne passe pas le verdict du like... Nous y sommes. Le bonheur n’a de consistance que s’il est traduit en stories sur Instagram ; au restaurant ou même à la maison, plus personne ne touche à son plat avant d’en avoir fait le portrait en bonne et due forme, avec filtre à l’appui.
Les combats de Gladiateurs servaient de catharsis à la population romaine, « La vie ! La vie ! La vie ! », scandait le public pour sauver son héros des griffes de l’adversaire qui l’avait plaqué au sol ; durant la nuit de Yalda, ce sont les SMS qui seront nécessaires à sauver Maryam. Si le nombre de participants à l’émission qui tient tout le pays en haleine est suffisant, et que la fille du mari assassiné pardonne, le réalisateur financera le prix du sang qui permettra à la coupable de se racheter.
La tension mise en place par le scénario est sans égal, car à l’instar de ce qui se jouait sur le sable du Colisée, le spectacle est alimenté par la peur et les larmes de celle qui a déjà été condamnée à mort, dont le sauvetage in extremis est suspendu au pardon de la famille de la victime. Plusieurs rebondissements spectaculaires, entrecoupés des besoins d’une émission qui doit tenir ses promesses auprès des millions de téléspectateurs assoiffés de sensations fortes, rendent ce film à la limite du supportable. Le hiatus entre la mise en scène commandée depuis la régie et ce dont il est question derrière les vitres qui séparent le local technique du plateau transformé en tribunal, est suffoquant. Mais cette sensation terrible est aussi celle de la culpabilité provoquée par ce que ces images nous renvoient sans autre détour. A coup de fleurs, d’intermèdes publicitaires, et de retouches de maquillage, ces séquences parfois surréalistes nous racontent  ce que nous sommes devenus : ce que notre addiction à la vie par procuration des médias a fait de nous. 
Chaque SMS transforme potentiellement le téléspectateur en président de la cour d’assises. Mais son vote en fait aussi le complice d’une justice que le réalisateur de cette émission glaçante manipule et oriente à sa guise. La participation massive qui permet de lever les fonds nécessaire au rachat, accuse ainsi la société qui fait du spectacle avec tout, de la même façon qu’elle en fait avec rien ; sans aucune hiérarchie, sans aucune distinction morale ou sensible. Ces flots d’images qui mettent en scène des accouchements comme des exécutions, des beignets en train de flamber dans leur rhum, comme des forêts entières en train de se consumer ; évoquent tout sur le même ton, ou presque…
L’émission s’achève et nous laisse comme inanimés devant le rideau qui tombe sur la sentence finale. La téléréalité iranienne qui a inspiré ce film a duré dix ans, mais elle n’a actuellement plus cours. Ce dont tout cela témoigne, se poursuit pourtant. Le temps d’une émission, ou d’un film sur une émission, cette catharsis nous a vidés de l’illusion d’une vie médiatisée par le regard complètement déréalisé devant lesquels nous avons pris l’habitude de respirer. Systole et diastole ont muté, elles circulent désormais sous forme virale en mode publication et like, exhibition et condamnation, ma storiy ou la vie, ou indifféremment : je t’aime et/ou je te tue.
NOTE 14/20 - Même s’il n’est pas complètement abouti cinématographiquement, YALDA est un film choc qu’on n’est pas prêt d’oublier, à l’instar Des Enfants de Belle Ville, il y a de nombreuses années.
A ne pas manquer! 
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alexar60 · 5 years ago
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L’omamori
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L’avion passa inaperçu au milieu des centaines d’autres. Les canons et mitrailleuses s’en donnèrent à cœur joie ainsi que les chasseurs qui décollèrent à la hâte afin de détruire un maximum d’ennemis avant qu’ils ne touchent les navires. Les uns après les autres, les avions s’écrasèrent souvent dans la mer déchainée. Cependant quelques-uns atteignaient une cible, une frégate ou d’un destroyer sans vraiment faire de dégâts. La guerre était déjà gagnée, les japonais ne faisaient qu’un ultime sursaut d’orgueil.
Il fut un des derniers à s’écraser atteignant la piste d’un porte-avion. Toutefois, il n’explosa pas à cause du manque d’essence. Mike fut parmi les premiers à intervenir, extincteur à la main si besoin. Le kamikaze ne réagit pas en voyant les soldats américains encercler son engin, il gardait la tête basse malgré ses yeux ouverts ; une rafale de balles avait transpercé sa poitrine, Il avait réussi à survivre jusqu’à atteindre l’immense navire mais sans essence ni explosif, le suicide ne servit à rien. L’américain grimpa et vérifia qu’il était bien décédé. Il fouilla le corps toujours chaud mais trempé de sang. Il découvrit ensuite de nombreux objets sur lui. Mike trouva une espèce d’amulette enfermée dans un tissu violet. Il comprit qu’il s’agissait d’un texte religieux bien qu’il soit en japonais. Puis, en fouillant de nouveau, il découvrit une photo étrangement préservée malgré le sang qui recouvrait l’uniforme du mort. Il ne put s’empêcher de frémir en pensant à sa chère Sarah, sa fiancée qui vivait à New-York. D’ailleurs il réalisa que la photo de sa compagne était placée au même endroit que celle trouvée sur le pilote. Il regarda la jeune femme lui trouvant une ressemblance à Sarah. Les collègues retirèrent le corps du Mitsubishi avant de le balancer à la mer avec un minimum de respect religieux. Mike préféra déposer l’omamori, le porte bonheur dans le linceul du japonais mais conserva le portrait de la jeune femme.
Le soir, sur sa couche, il contempla la photographie. Il trouva la jeune japonaise admirablement belle avec sa coiffure exotique et son visage plutôt angélique. Il y avait dans la forme de sa bouche une humilité associée avec de la sérénité laissant à penser qu’elle souriait. Il sortit la photo de Sarah et compara les physiques. En dehors de leurs tenues, la jeune américaine montrait les mêmes traits. Sarah portait la dernière coiffure à la mode, il devina que cette inconnue faisait de même. Il sentit un léger malaise en réalisant que la photo de son amie pouvait tomber dans les mains d’un ennemi s’il mourrait. Puis il s’endormit, gardant les photos entre ses mains posées sur son ventre. Il rêva d’un voyage au Japon.
Lui et Sarah visitaient une grande cité quand ils arrivèrent devant la porte d’une maison en bois. Il ne frappa pas car cet homme les attendait le nez à la fenêtre pour leur ouvrir. L’aviateur kamikaze souriait grandement, courbant la tête afin de saluer le couple américain. Mike répondit par le même salut avant de présenter son épouse, car dans le rêve, ils étaient mariés. Après une accolade et des souvenirs de guerre, l’autochtone invita les touristes à entrer. Il présenta ensuite sa concubine. Elle était comme sur la photo, la même coiffure, le même maquillage, un kimono l’habillait magnifiquement. Elle fit un signe timide de la tête et partit dans une autre pièce, faisant claquer ses tongs de bois à chaque pas sur le parquet. Ils s’assirent à même le sol devant une table basse et commencèrent à grignoter en racontant des souvenirs qu’ils n’ont jamais vécus ensemble. Le pilote nippon parlait bien l’anglais ou, peut-être ne savait-il pas qu’il parlait le japonais ? L’alcool aidant, la soirée devint mémorable. Tous rirent et s’amusèrent à parler de leurs folklores, de leurs histoires. Parfois, Mike tenait la main de Sarah et racontait leurs projets. Cela fit rougir la jeune japonaise. Elle n’osa pas avouer attendre un enfant, préférant laisser son mari l’annoncer parce qu’elle aimait le regarder bomber les torse : Ca le rendait fier ! Dès lors, Mike lui fit une accolade pour le féliciter et ils burent un verre de saké, fêtant ainsi l’heureux événement.
Quand il se réveilla, le marin eut l’impression qu’il était ivre. Le navire tanguait étrangement, secoué par une tempête comme il n’en avait jamais vécue. En sortant pour reprendre son service, il apprit qu’une bombe avait éclaté sur une grande ville du Japon. Une bombe si terrible qu’elle anéantit la ville entièrement. La nouvelle impressionna ses camarades. L’un d’eux demanda le nom de la ville. Mike, regarda les quelques mots écrits sur le dos de la photo. Il ne connaissait pas l’écriture japonaise, toutefois, à la grande surprise de tout le monde, il murmura simplement : « Hiroshima». C’était la ville qu’il avait visitée dans son rêve, la ville où la jeune femme sur la photo habitait.
Alex@r60 – novembre 2019
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ondessiderales · 6 months ago
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Mascarade
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Masquerade (魔崇華麗奴)
Déguisant ta voix et ton cœur avec un maquillage basé sur les autres Un secret se cache derrière le masque
Mascherat-a-tat ! On n'y peut rien, il y a des gens impitoyables partout Levez les yeux et vous verrez que les gens qui ont du pouvoir font ce qu'ils veulent Tout le monde a peur de plus impitoyable que soi
Mascherat-a-tat ! Si tu fais tout cela inconsciemment, c'est fini pour toi Souviens-toi de tes expériences passées, à cette époque Si tu baisses ta garde, les gens te tireront vers le bas - quel dommage ! Invoque l'autre "moi" pour éviter ce contretemps
Kourin ! Okie dokie béni oui-oui Faisant comme si de rien n'était Vivant passionnément pour surmonter sa frustration
Action ! A force de dire oui à tout et de flatter leur égo Tu finiras par devenir quelqu'un d'autre (contrefaçon)
Dansant follement comme si je m'étais libéré Ah, je n'en peux plus Sans m'en rendre compte Je me suis perdu et suis devenu une copie de quelqu'un d'autre
Avant que ce faux masque ne reste collé à ton visage Montre ton vrai moi et échappe-toi du labyrinthe Masque mascarade
Copier le comportement des autres Adoucir mon ton User des mêmes politesses en boucle Je me suis perdu… Masque mascarade
Pour éviter toute dispute Adoucir mes mots Montrer patte blanche Mais tu es qui au juste ? Masque mascarade
Mascherat-a-tat ! La plupart des gens portent une couverture pour cacher leur vrai moi La vérité n'est pas la bienvenue
Mascherat-a-tat ! Si tu veux lâcher prise et t'ensauvager, enlève ce masque Mais ah, il ne s'enlève plus…
Tiens ? C'est bizarre Ton intérieur et ton extérieur ont dû être échangés Ils ne reviennent plus à leur place…
Quoi ? Que veux-tu que j'y fasse ? Tu récoltes ce que tu as semé L'heure de la mort de ta personnalité vient juste de sonner !
Les autres sont jaloux de toi et de ton insouciance Quel panier de crabes ! Ils essaient de te faire chuter avec de fausses rumeurs
Déguisant ta voix et ton cœur avec un maquillage basé sur les autres Un secret se cache derrière le masque
Avant que ce faux masque ne reste collé à ton visage Montre ton vrai moi et échappe-toi du labyrinthe Masque mascarade
Changer de ton et couvrir son cœur avec un maquillage basé sur les autres Un secret se cache derrière le masque
(un côté) Côté pile, un visage recouvert par la liriope (deux côtés) Côté face, ta vraie nature (trois côtés) Révélée par le miroir à trois faces (quatre côtés) Tu ne peux plus échapper à ton destin d'avoir des ennemis de tous les côtés
Je ne peux plus tromper mes yeux avec ton faux masque Libère tes instincts et ensauvage-toi Make you free ! Masque mascarade
Copier le comportement des autres Adoucir mon ton User des mêmes politesses en boucle Je me suis perdu… Masque mascarade
Pour éviter toute dispute Adoucir mes mots Montrer patte blanche Mais tu es qui au juste ? Masque mascarade
Faire semblant toutes ces années, vois où cela t'a conduit Tu ne peux plus décoller le masque de mensonges accroché à ton visage Les sentiments en carton dont tu as rempli ton cœur Sont vides et dénués de sens
Mascarade
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Dans le langage des fleurs japonais, la liriope est associé à la dissimulation, aux secrets que l'on cache au fond de soi
魔崇華麗奴 se lit « masquerade » (masukareido) mais signifie littéralement « splendide esclave vénérant le diable »
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la-fabrique-de-miss-red · 5 years ago
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Salon de Takarazuka: 2015 & 2018
Lors de mes deux passages au théâtre de Takarazuka, j’ai eu le bonheur de pouvoir essayer des costumes de scène grâce au “Salon de Takarazuka”, espace dédié qui permet d’immortaliser cette expérience grâce à une séance photo.
En 2015, j’ai choisi une robe portée par Elisabeth dans la comédie musicale “Elisabeth, Ai to shi no rondo”. Des accessoires et une perruque (par chance, de la même couleur que mes cheveux) m’ont également été prêtés pour compléter la tenue.
En 2018, je me suis amusée avec la robe de Maddalena de Coigny dans “The poem of love and revolution” et son imposante perruque, qui pèse fort lourd ! Une occasion également de confirmer que le blond ne me va pas du tout.
Pour les personnes non habituées aux corsets, comme c’est mon cas, attendez-vous à suffoquer un peu. La crinoline était tellement imposante par ailleurs, que j’avais l’impression d’être une énorme meringue (ou pièce-montée) maladroite, incapable de se déplacer normalement avec tout cet attirail.
C’est une expérience magique que je recommande à toutes les amatrices de la Takarazuka et de beaux costumes. Les dames présentes pour aider à l’habillement et prendre les photos ont été gentilles et patientes avec mes difficultés de compréhension du japonais.
Différents tarifs disponibles selon la formule choisie (avec ou sans maquillage de scène notamment), mieux vaut réserver sa séance si possible (directement sur place ou par téléphone).
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