#Le printemps de Septembre
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French Enbarr !
They will even organise some historical reconstitution next month, Enbarrites vs Barbarians in the arena!
(without big kitties to eat barbarians though)
#real life#ça va faire 3 fois que je me dĂ©place Ă nĂźmes en moins de 30 jours pour le boulot#Ă©videmment ça ne tombera pas pendant les fĂȘtes romaines#mais bon#dans certaines villes on gueule Jeanne au secours#et ici il y a des artistes qui vont faire des reconstitutions et qui venderont des bibelots#Rome en septembre dernier NĂźmes ce printemps et peut-ĂȘtre pompei en juin je fais mon tour de RomanitĂ© pour 5 ans lol
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Jardin des Modes septembre 1958
Jacques Heim Haute Couture Collection Fall/Winter 1958-59. The dress was named "Biche", and it is Ina Balke who wears it. It is made of beige bouclé wool by Dumas Maury. Charming details include the thin, high-set belt, the gathers at the waist and the matching little fur-trimmed hat by Svend-Heim.
Jacques Heim Collection Haute Couture Automne/Hiver 1958-59. La robe a été baptisée "Biche", et c'est Ina Balke qui la porte. Elle est en lainage bouclé beige de Dumas Maury. Détails charmants, la mince ceinture incrustée, placée haut, les fronces de la taille et le petit chapeau assorti garni de fourrure, par Svend-Heim.
Photo Frank Horvat. (aux magasins du Printemps Haussmann)
#jardin des modes#septembre 1958#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#haute couture#jacques heim#frank horvat#ina balke#dumas maury fabric#biche#printemps haussmann#svend-heim
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Je souhaite à tous un miracle pour janvier !
DÚs la premiÚre seconde et pour toute l'année !
Et pour février - le confort de la maison,
Le bonheur au lit. Et un décollage spirituel.
Venant d'une page de Mars propre
A la veille dâun printemps grisant.
Avril - le farceur peindra des visages,
Un sourire de bonheur ! Contes de fĂ©es et rĂȘves.
Aux abricots, jasmin, fleurs de cerisier
Sur les ailes du vent, il apportera Mai Ă tout le monde !
La chaleur du mois de Juin vous attirera plus prĂšs de la mer...
Détendez votre corps et votre esprit cet été !
Compote de cerises, tarte aux framboises,
La chaleur est de plus quarante â câest tout le mois de Juillet.
Je souhaite Ă tous la climatisation dans leurs appartements.
Laissez Août apporter le tulle dans la cuisine.
Des arÎmes magiques de pommes mûres !
Septembre décorera la table avec des légumes,
Et pour qu'Octobre soit velouté et lumineux,
Que le soleil illumine chaque maison !
Et que Novembre ne pleuve pas,
AprĂšs tout, lâautomne est un petit rĂ©sultat.
DĂ©cembre brillera d'une neige merveilleuse,
Pour fĂȘter la nouvelle annĂ©e comme dans un conte de fĂ©es !
Printemps thaĂŻlandais
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Printemps 1929, Hylewood, Canada (3/5)
Papa est malade, et ce nâest pas bon du tout, je suis trĂšs inquiet. Depuis le dĂ©but du mois de fĂ©vrier, Papa a perdu du poids. Il est trĂšs fatiguĂ© et il a dĂ©veloppĂ© une toux persistante. Je lâai amenĂ© de force consulter un mĂ©decin Ă Kingston car sa toux ne sâarrangeait pas, et son Ă©tat gĂ©nĂ©ral ne faisait que sâaggraver. Je vais te dire tout ce que le mĂ©decin a fait, car peut-ĂȘtre que ça dira quelque chose Ă tes tantes qui pourront juger de si les techniques sont bonnes, ou peut-ĂȘtre juger du diagnostique⊠Il a effectuĂ© des rĂąles pulmonaires et une radiographie du thorax, puis il a rĂ©alisĂ© un examen au microscope des expectorations quâil recrache quand il tousse. DâaprĂšs lui, câest la tuberculose. Il mâa expliquĂ© quâil existe plusieurs stade de la maladie. Seul le dernier est mortel. Pour lâinstant, Papa nâest pas en danger immĂ©diat, et le stade actuel de sa maladie peut durer plusieurs mois voire plusieurs annĂ©es. Il parait quâil y aurait un gars Ă QuĂ©bec qui aurait survĂ©cu plusieurs dĂ©cennies avec la tuberculose, et quâau final on ne sait mĂȘme pas si câest la tuberculose qui lâa tuĂ©, ou si câest son grand Ăąge. Papa sera peut-ĂȘtre de ceux-lĂ âŠ
Tu comprends donc pourquoi je suis atterrĂ© de le voir sâostiner avec Marie, et lâoncle Joseph, et Constantin, et Adelphe, et tout le monde. Papa agit comme sâil sâen fichait, il prĂ©tend quâil se moque bien de ce que les gens pensent et de se retrouver seul, mais je sais que câest faux. Je lui ai demandĂ© pourquoi il nâĂ©crivait plus Ă Adelphe. Je nâai pas pu en obtenir grand chose, mais avant quâil mâenvoie chez lâyĂąble, jâai pu en tirer suffisamment pour dĂ©duire que cela viendrait dâune vieille rixe avec Constantin et quâil est persuadĂ© quâAdelphe sâest rangĂ© dans son camp. Jâignore sur quoi la querelle portait, jâignore qui avait tort (et vu son caractĂšre de cochon, je suis prĂȘt Ă reconnaitre les torts de mon pĂšre sans problĂšme). Il est trop fier pour sâexcuser ou faire le premier pas. JâespĂšre que ton pĂšre et ton oncle sont moins idiots que luiâŠ
[Transcription] IrĂšne Bernard : « Date de naissance du demandeur » ? Lucien LeBris : 7 septembre 1905. Je ne comprends rien Ă ces formulaires. « Superficie de la surface cadastrale »⊠Est-ce quâil faut compter ce qui est dans lâeau ?
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#IrĂšne Bernard#Marie Le Bris III#Joseph Bernard
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"La VerriĂšre, Paysage de Printemps" des maĂźtres verriers Ray et Chanson sur le dessin de l'Atelier Gaucher et Bourgeois (1927) au Printemps Haussmann, Paris, septembre 2024.
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I'm bored so here you have another multilingual post. Sorry for adding colors but my mind has started going nuts at a certain point... ENG - ITA - FRA - ESP - KOR
Days - (i) Giorni - (les) Jours - (los) DĂas - ë (ë€): Monday - (il) LunedĂŹ - (le) Lundi - (el) Lunes - ìììŒ Tuesday - (il) MartedĂŹ - (le) Mardi - (el) Martes - íììŒ Wednesday - (il) MercoledĂŹ - (le) Mercredi - (el) MiĂ©rcoles - ìììŒ Thursday - (il) GiovedĂŹ - (le) Jeudi - (el) Jueves - ëȘ©ììŒ Friday - (il) VenerdĂŹ - (le) Vendredi - (el) Viernes - êžììŒ Saturday - (il) Sabato - (le) Samedi - (el) Sabado - í ììŒ Sunday - (la) Domenica - (le) Dimanche - (el) Domingo - ìŒììŒ
[Week - (la) Settimana - (la) Semaine - (la) Semana - ìŒìŁŒìŒ] [Weekend - (il) Fine settimana - (la) Fin de semaine - (el) Fin de semana - ìŁŒë§]
Months - (i) Mesi - (les) Mois - (los) Meses - ëŹ(ë€): January - Gennaio - Janvier - Enero - 1ì/ìŒì February - Febbraio - FĂ©vrier - Febrero - 2ì/ìŽì March - Marzo - Mars - Marzo - 3ì/ìŒì April - Aprile - Avril - Abril - 4ì/ìŹì May - Maggio - Mai - Mayo - 5ì/ì€ì June - Giugno - Juin - Junio - 6ì/ì ì July - Luglio - Juillet - Julio - 7ì/ìč ì August - Agosto - AoĂ»t - Agosto - 8ì/íì September - Settembre - Septembre - Septiembre - 9ì/ê”Źì October - Ottobre - Octobre - Octubre - 10ì/ìì November - Novembre - Novembre - Noviembre - 11ì/ììŒì December - Dicembre - DĂ©cembre - Diciembre - 12ì/ììŽì
[Year - (l')Anno - (l')AnnĂ©e - (el) Año - ë
]
Seasons - (le) Stagioni - (les) Saisons - (las) Estaciones - êłì : Spring - (la) Primavera - (le) Printemps - (la) Primavera - ëŽ Summer - (l')Estate - (l')ĂtĂ© - (el) Verano - ìŹëŠ Autumn - (l')Autunno - (l')Automne - (el) Otoño - ê°ì Winter - (l')Inverno - (l')Hiver - (el) Invierno - êČšìž
#korean#polyglot#languages#italian#english#french#spanish#learning languages#learning korean#i really thought about adding russian this time but my mind went NO PLS
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aprĂšs des jours de grande chaleur, un peu dâombre au jardin ; le merle a ressorti sa panoplie de printemps
© Pierre Cressant
(lundi 11 septembre 2023)
#poésie en prose#poésie#poÚtes sur tumblr#poÚme#poÚme en prose#prose poétique#poÚtes français#french poetry#poésie contemporaine#poÚtes français#merle#vie des oiseaux#chaleur#printemps
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đ§
this is the most devastating song ever written. and obviously one of my favourites. love the entirety of the lyrics but more particularly âlâamour nous reviendra peut-ĂȘtre / peut-ĂȘtre un soir, au dĂ©tour dâun printemps / quel joli temps, le temps de se revoirâ
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â 15.000 PERSONNES Ă LYON CONTRE LE COUP DâĂTAT DE MACRON â
Samedi 7 septembre, la France sâest levĂ©e alors que Macron a imposĂ© un premier ministre de la droite radicale et gouverne dĂ©sormais avec le RN, foulant aux pieds le verdict des urnes. Ă Lyon, 15.000 personnes ont envahi les rues, 300.000 Ă travers tout le pays.
En quelques jours seulement, sans l'appui des syndicats, une marĂ©e humaine sâest rassemblĂ©e. Pourtant, le pouvoir, habituĂ© Ă des printemps de grĂšves, de blocages, de manifestations bien plus imposantes, nâa pas tremblĂ©.
Nous sommes 300.000. Il y a de quoi retourner le pays, lâenflammer de joie et de rĂ©volte. Des blocages festifs aux actions dĂ©terminĂ©es, ne restons pas enfermĂ©s dans leurs scĂ©narios. Faisons du bruit, occupons les places, les rues, les esprits pour que cette mobilisation ne soit plus ignorĂ©e. Montrons que lâon peut ĂȘtre festifs et inarrĂȘtables, joyeux et dĂ©terminĂ©s.
Faisons trembler ce pouvoir par la créativité et la force du nombre.
đ„ BlĂŒme
â 15,000 PEOPLE IN LYON AGAINST MACRON'S COUP D'ETAT â
On Saturday, September 7, France rose up as Macron imposed a prime minister from the radical right and now governs with the RN, trampling on the verdict of the ballot boxes. In Lyon, 15,000 people took to the streets, 300,000 across the country.
In just a few days, without the support of the unions, a human tide gathered. However, the government, accustomed to springs of strikes, blockades, and much larger demonstrations, did not tremble.
There are 300,000 of us. There is enough to turn the country upside down, to set it ablaze with joy and revolt. From festive blockades to determined actions, let's not remain locked into their scenarios. Let's make noise, occupy the squares, the streets, the minds so that this mobilization is no longer ignored. Let's show that we can be festive and unstoppable, joyful and determined.
Let us shake this power through creativity and strength in numbers.
đ„ Flowers
#lyon#paris#france#videos#video#emmanuel macron#president macron#macron#anti capitalism#antifascist#antiauthoritarian#antinazi#class war#eat the rich#eat the fucking rich#ausgov#politas#auspol#tasgov#taspol#australia#fuck neoliberals#neoliberal capitalism#anthony albanese#albanese government#environmental activism#activism#activist
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LĂGENDES DU JAZZ
BUD POWELL, LA DESCENTE AUX ENFERS DâUN GĂNIE DU JAZZ ââI think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If youâre thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.â
- Sonny Rollins
NĂ© le 27 septembre 1924 Ă Harlem, Earl Rudolph ââBudââ Powell Ă©tait le fils de William Powell Sr., un pianiste de stride, trompettiste et joueur de trombone, et de Pearl Young, une violoniste. Powell avait deux frĂšres, William (nĂ© le 15 mars 1923) et Richard Bertram (nĂ© le 5 septembre 1931).
Powell Ă©tait issu dâune famille musicale. e frĂšre aĂźnĂ© de Powell, William, jouait de la trompette et du violon. Le plus jeune frĂšre de Powell, Richie, Ă©tait aussi un pianiste de bop rĂ©putĂ©.
Powell, qui avait seulement cinq ans au moment de la mort de son pÚre, avait été élevé par sa mÚre avec ses frÚres.
Ă lâĂąge de cinq ans, Bud avait commencĂ© Ă apprendre le piano dâun professeur indien appelĂ© Rawlins. Deux ans plus tard, il avait Ă©tĂ© initiĂ© Ă la musique classique en jouant Ă lâĂ©glise et dans les chorales de son Ă©cole.
Bud avait fait sa premiĂšre apparition publique dans un party oĂč il avait imitĂ© le pianiste Fats Waller. La premiĂšre piĂšce de jazz que Powell avait interprĂ©tĂ©e était ââCarolina Stoutââ de James P. Johnson.
Au printemps 1940, Ă lâĂąge de quinze ans, Powell sâĂ©tait joint au groupe de son frĂšre, les Skeets Powell and Hill Jolly Swingers. Câest probablement Ă cette Ă©poque que Powell sâĂ©tait liĂ© dâamitiĂ© avec un autre pianiste, Allen Tinney. Entre 1940 et 1942, avec Tinney et un autre pianiste, Gerald Wiggins, Powell avait commencĂ© Ă frĂ©quenter les clubs de Harlem, oĂč il avait lancĂ© des dĂ©fis Ă dâautres pianistes.
Dâabord influencĂ© par la musique classique, Powell avait commencĂ© Ă Ă©tudier le jazz Ă lâĂąge de douze ans. Ses premiĂšres influences en jazz avaient Ă©tĂ© les pianistes Fats Waller, Earl Hines, Jelly Roll Morton, Thelonious Monk et Art Tatum.
AprĂšs avoir entendu Art Tatum Ă la radio, Powell avait tentĂ© dâimiter sa technique.
AprĂšs avoir Ă©tudiĂ© Ă la Wendell Phillips Academy, oĂč il avait pris des leçons avec le docteur John DeMarco, Powell avait frĂ©quentĂ© le Conservatoire de Musique de Chicago. En 1935, alors quâil avait treize ans, la mĂšre de Bud lui avait offert un piano. Ă lâĂ©poque, Bud Ă©tudiait la musique classique au New York Conservatory of Music.
En 1938, Ă lâĂąge de seulement quinze ans, Powell Ă©tait entrĂ©Â Ă la Juilliard School of Music, oĂč il avait Ă©tudiĂ©Â la composition, lâharmonie, le contrepoint et lâorchestration sous la direction de Lennie Tristano.
AprĂšs avoir dĂ©crochĂ© son diplĂŽme, Powell avait continuĂ© dâĂ©tudier avec Tristano durant sept ans. CARRIĂRE PROFESSIONNELLE Dans sa jeunesse, Powell avait assistĂ© Ă des concerts Ă lâUptown House, un club situĂ© prĂšs de chez de lui, oĂč il allait souvent voir jouer Charlie Parker et Thelonious Monk.
Powell avait amorcĂ© sa carriĂšre professionnelle comme membre de lâorchestre dâArtie Shaw en 1940. Câest lĂ quâil avait rencontrĂ© Charlie Parker qui Ă©tait rapidement devenu son mentor et lâavait invitĂ© Ă venir jouer avec son groupe. Powell Ă©tait demeurĂ© trois ans avec Parker avant de se joindre aux Jazz Messengers dâArt Blakey en 1941. Lorsque Monk avait rencontrĂ© Powell pour la premiĂšre fois Ă lâautomne 1942, il avait Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© par le jeune pianiste quâil avait dĂ©cidĂ©Â de le prĂ©senter Ă ses musiciens du Mintonâs Playhouse. Monk, qui avait vite pris Powell sous son aile, avait dâailleurs composĂ© une piĂšce en son honneur intitulĂ©e ââIn Walked Bud.ââ Mais si Monk avait tendance Ă se servir du piano comme instrument de percussion, Powell se servait plutĂŽt du piano comme un instrument Ă vent et tentait dâimiter les saxophonistes et les trompettistes quâil admirait. Son style Ă©tait une combinaison de musique classique et dâimprovisation.
Au printemps 1943, le contrebassiste Jimmy Butts avait proposĂ© la candidature de Powell pour jouer dans le Sunset Royals Orchestra, un groupe de danse dirigĂ© par Doc Wheeler. Powell sâĂ©tait rapidement liĂ© dâamitiĂ© avec un des trompettistes de lâorchestre, George Treadwell.
Entre lâĂ©tĂ© et lâautomne de 1943, Treadwell, qui Ă©tait conscient que le talent de Powell Ă©tait sous-exploitĂ©, avait dĂ©cidĂ©Â de quitter les Sunset Royals pour former son propre groupe avec Powell. Le trompettiste Cootie Williams, qui dirigeait son propre orchestre de danse, avait vu le groupe de Treadwell Ă lâoeuvre, et avait dĂ©cidĂ©Â par la suite dâengager plusieurs de ses musiciens, dont Powell.
Ă la fin de lâannĂ©e 1943, on avait proposĂ© Ă Powell de jouer avec le quintet dâOscar Pettiford et de Dizzy Gillespie, mais, comme le groupe se produisait dans un club de nuit, la mĂšre de Bud avait dĂ©cidĂ© quâil Ă©tait prĂ©fĂ©rable que son fils continue dâoccuper un emploi plus stable dans lâorchestre de Williams.
La dĂ©cision de la mĂšre de Powell Ă©tait tout Ă fait pertinente car lâannĂ©e suivante, Powell avait participĂ© Ă quelques sessions dâenregistrement avec Williams. Lâune dâentre elles comprenait le premier enregistrement de lâhistoire de la piĂšce ââRound Midnightââ de Monk. Le contrat de Powell avec Williams avait pris fin Ă Philadelphie en janvier 1945. AprĂšs le concert, Powell se trouvait prĂšs de Broad Street Station lorsquâil avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© dans un Ă©tat dâintoxication avancĂ© par la police du chemin de fer. Un des policiers lâavait dâailleurs frappĂ©Â durement Ă la tĂȘte aprĂšs quâil ait rĂ©sistĂ© Ă son arrestation. Remis aux constables de la ville, Powell avait Ă©tĂ© briĂšvement incarcĂ©rĂ©.
Dix jours aprĂšs sa libĂ©ration, comme ses maux de tĂȘte ne dĂ©montraient aucun signe de ralentissement, Powell avait Ă©tĂ© admis Ă lâHĂŽpital Bellevue, avant dâĂȘtre envoyĂ© Ă lâhĂŽpital psychiatrique de Pilgrim State situĂ© Ă une soixantaine de milles plus loin, oĂč il Ă©tait demeurĂ©Â durant deux mois et demi. Il est trĂšs probable que les coups que Powell avaient reçus Ă la tĂȘte avaient provoquĂ© une commotion cĂ©rĂ©brale et avaient Ă©tĂ© la cause de ses frĂ©quents maux de tĂȘte et de ses problĂšmes de comportement au cours des annĂ©es suivantes.
AprĂšs sa libĂ©ration en avril 1945, Powell Ă©tait aller jouer Ă Manhattan avec le batteur Sid Catlett et le saxophoniste tĂ©nor Don Byas. Câest alors quâil avait Ă©tĂ© recrutĂ© par le contrebassiste John Kirby afin de prendre la place du pianiste Billy Kyle avec son groupe.
En 1945-46, Powell avait enregistré avec Frank Sololow, Sarah Vaughan, Dexter Gordon, J.J. Johnson, Sonny Stitt, Fats Navarro et Kenny Clarke. Le 6 mars 1947, Powell avait dirigé ce qui avait sans doute été son premier concert sous son nom à Harlem.
Powell Ă©tant reconnu pour son habiletĂ© Ă lire la musique et Ă exĂ©cuter des piĂšces au tempo rapide, Charlie Parker lâavait choisi comme pianiste en vue dâune session dâenregistrement qui devait avoir lieu le 8 mai 1947 avec un quintet composĂ© de Miles Davis, Tommy Potter et Max Roach. CâĂ©tait la seule fois de lâhistoire oĂč Powell et Parker participaient Ă la mĂȘme session dâenregistrement.
La seule autre session dâenregistrement Ă laquelle Powell avait participĂ© en 1947 avait eu lieu le 10 janvier dans le cadre dâun enregistrement avec son trio formĂ© de Curly Russell et Max Roach. UNE SANTĂ MENTALE PRĂCAIRE Le 14 novembre 1947, Powell avait eu une altercation avec un client dans un bar de Harlem. Au cours de la bagarre, Powell avait Ă©tĂ© frappĂ© par une bouteille au-dessus de lâoeil. Lorsque les employĂ©s de lâhĂŽpital de Harlem avaient examinĂ© Powell, ils lâavaient trouvĂ© incohĂ©rent et turbulent. Ils lâavaient donc fait admettre Ă lâHĂŽpital Bellevue, oĂč il avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© soignĂ© prĂ©cĂ©demment. Ă leur tour, les employĂ©s de lâHĂŽpital Bellevue nâavaient pas su quoi faire de Powell et lâavaient envoyĂ© au Creedmoor State Hospital, oĂč il avait Ă©tĂ© gardĂ© durant onze mois.
Powell sâĂ©tait assez bien adaptĂ© Ă son sĂ©jour Ă lâhĂŽpital, mĂȘme si lors dâexamens psychiatriques il sâĂ©tait plaint dâavoir Ă©tĂ© persĂ©cutĂ© en raison de sa couleur. De fĂ©vrier Ă avril 1948, Powell avait Ă©tĂ© soumis Ă une thĂ©rapie par Ă©lectro-chocs aprĂšs avoir appris que sa petite amie Mary Frances Barnes Ă©tait enceinte. La thĂ©rapie nâayant pas produit les rĂ©sultats souhaitĂ©s, les mĂ©decins de Powell lui avaient administrĂ© une seconde sĂ©rie de traitements en mai. Powell avait finalement Ă©tĂ© libĂ©rĂ© en mai 1948. Le 1er juin, lâamie de coeur de Powell, Mary Frances, avait donnĂ© naissance Ă son seul enfant, une fille qui avait Ă©tĂ© baptisĂ©e sous le nom de Cecelia June Powell.
AprĂšs avoir Ă©tĂ© briĂšvement hospitalisĂ© au dĂ©but de lâannĂ©e 1949 aprĂšs avoir enfreint les conditions de sa libĂ©ration, Powell avait fait quelques enregistrements durant les deux ou trois annĂ©es suivantes (notamment avec Sonny Rollins et Fats Navarro), principalement sous Ă©tiquette Blue Note, Mercury, Norgran et Clef. Powell avait Ă©galement enregistrĂ© pendant lâĂ©tĂ© pour le compte de deux producteurs indĂ©pendants avec son trio habituel composĂ© de Max Roach et Curly Russell. Les huit ââmastersââ qui avaient rĂ©sultĂ© de ces enregistrements nâavaient Ă©tĂ©Â publiĂ©s quâen 1950, aprĂšs que les disques Roost aient rachetĂ© les ââmastersââ et les aient publiĂ©s sous forme de 78-tours. Le musicologue Guthrie Ramsey avait Ă©crit quâavec cette session "Powell proves himself the equal of any of the other beboppers in technique, versatility, and feeling."
Le 17 septembre 1949, Powell avait signé le premier contrat de sa carriÚre avec le producteur Norman Granz. Powell avait fait ses débuts à Carnegie Hall le soir de Noël de 1949 avec son trio. Participaient également au concert le saxophoniste ténor Stan Getz, la chanteuse Sarah Vaughan, le pianiste Lennie Tristano et Charlie Parker.
Parmi les musiciens qui avaient participĂ© Ă la session dâaoĂ»t 1949 pour Blue Note, on remarquait Fats Navarro, Sonny Rollins, Tommy Potter et Roy Haynes. Au nombre des piĂšces interprĂ©tĂ©es par le groupe, on remarquait ââBouncing with Budââ et ââDance of the Infidels.ââ La session de 1951 mettait en vedette le trio de Powell avec ses acolytes Curley Russell et Max Roach. Parmi les piĂšces enregistrĂ©es, on relevait ââParisian Thoroughtfareââ et ââUn Poco Locoââ Cette derniĂšre piĂšce avait étĂ© sĂ©lectionnĂ©e plus tard par le critique littĂ©raire Harold Bloom dans sa liste des plus grandes oeuvres amĂ©ricaines du 20e siĂšcle. Les musiciens Ray Brown, George Duvivier, Percy Heath, Max Roach, Curly Russell, Lloyd Trotman, Art Blakey, Kenny Clarke, Osie Johnson, Buddy Rich et Art Taylor avaient participĂ© aux sessions organisĂ©es par Norman Granz.
La rivalitĂ© de Powell avec Charlie Parker avait Ă©ventuellement semĂ© la zizanie parmi les musiciens. La dĂ©tĂ©rioration de la santĂ© mentale et physique de Powell nâavait dâailleurs guĂšre contribuĂ© Ă allĂ©ger lâatmosphĂšre.
Au cours des annĂ©es 1950, Powell avait fait dâautres enregistrements pour Blue Note et Norman Granz, mais ceux-ci avaient dĂ» ĂȘtre interrompus par un nouveau sĂ©jour en hĂŽpital psychiatrique entre la fin de 1951 et le dĂ©but de lâannĂ©e 1953, aprĂšs que le pianiste ait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© pour possession dâhĂ©roĂŻne en compagnie de Monk et de deux autres musiciens. Les quatre compĂšres avaient Ă©tĂ© enfermĂ©s aux Tombs, un cĂ©lĂšbre centre de dĂ©tention. Powell avait dâailleurs Ă©tĂ© de nouveau battu dans le cadre de son incarcĂ©ration. AprĂšs avoir plaidĂ© non coupable, Monk avait Ă©tĂ© condamnĂ© Ă soixante jours de prison. Quant Ă Powell, il avait Ă©tĂ©Â renvoyĂ© Ă lâhĂŽpital Bellevue, puis Ă Pilgrim, oĂč il avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© mentalement inapte. AprĂšs une dĂ©tention dâun mois, le directeur de Pilgrim avait recommandĂ© que Powell soit gardĂ© indĂ©finiment. Durant onze jours, Powell avait Ă©tĂ© soumis Ă une nouvelle thĂ©rapie par Ă©lectro-chocs avant dâĂȘtre finalement transfĂ©rĂ© Ă Creedmoor en aoĂ»t 1952.
JugĂ© incapable de gĂ©rer ses propres finances, Powell avait Ă©tĂ© placĂ© sous la garde dâOscar Goodstein, le propriĂ©taire du Birdland, avec qui il avait signĂ© un contrat de vingt semaines. Lorsque Powell ne jouait pas au Birdland, il avait des engagements Ă Philadelphie, Ă Washington ou Ă St. Louis. Jamais Powell nâavait Ă©tĂ© aussi occupĂ©.
Le 9 mars 1953, Powell avait Ă©pousĂ©Â Audrey Hill, une Californienne. Le mariage avait Ă©tĂ© arrangĂ© par Goodstein, qui croyait sans doute que le fait dâĂȘtre mariĂ© permettrait de rendre Powell plus stable et prĂ©visible. Le couple ne sâĂ©tait pas revu depuis que Powell avait Ă©tĂ© obtenu son congĂ© de lâhĂŽpital. Le mariage avait finalement Ă©tĂ© annulĂ© en juillet.
En 1953, Powell avait enregistrĂ©Â pour Blue Note dans le cadre dâun trio avec George Duvivier et Art Taylor. La session comprenait lâenregistrement dâune composition de Powell intitulĂ©e ââGlass Enclosureââ, dont le titre Ă©tait possiblement inspirĂ© de son quasi-emprisonnement dans lâappartement de Goodstein. Le 15 mai de la mĂȘme annĂ©e, Powell avait participĂ© au concert historique de Massey Hall Ă Toronto avec un quintet formĂ© de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charles Mingus et Max Roach. Le concert avait Ă©tĂ© enregistrĂ© par Mingus qui lâavats mis en marchĂ© grĂące Ă sa propre maison dâenregistrement, Debut Records, sous le titre de ââJazz at Massey Hall.ââ
De nouveau Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©Â le 14 juin 1954, Powell avait Ă©tĂ© accusĂ© de possession dâhĂ©roĂŻne. Le procĂšs avait finalement eu lieu au dĂ©but de 1955.
Bien que Powell ait obtenu son congĂ© de lâhĂŽpital, la qualitĂ© de son jeu avait Ă©tĂ© affectĂ©e par lâingestion de Largactil, un mĂ©dicament quâil prenait pour soigner sa schizophrĂ©nie. Le 26 juin 1956, la vie de Powell avait Ă©tĂ© encore plus assombrie lorsque son frĂšre Richie et le trompettiste Clifford Brown avaient Ă©tĂ© tuĂ©s dans un accident automobile. AprĂšs avoir passĂ© plusieurs mois Ă lâhĂŽpital, Powell sâĂ©tait installĂ©Â Ă Paris en 1959 avec sa nouvelle compagne Altevia ââButtercupââ Edwards et son fils John. Powell avait rencontrĂ© Edwards, une femme mariĂ©e, aprĂšs son emprisonnement en 1954. Le couple sâĂ©tait installĂ© avec lâenfant Ă lâHĂŽtel La Louisiane. Câest Altevia qui gĂ©rait les finances de Powell et sâassurait quâil prenne ses mĂ©dicaments. Câest donc en grande partie grĂące Ă elle que Powell avait pu continuer de jouer et dâenregistrer.
En juin 1960, Powell avait Ă©tĂ© lâinvitĂ© de Charles Mingus au Festival de jazz de Juan-les-Pins. En avril 1961, Powell avait participĂ© Ă une brĂšve tournĂ©e en Europe avec Thelonious Monk, notamment Ă Marseille, Milan, Bologne et Rome. Powell, qui nâavait pas encore enregistrĂ© pour une compagnie de disques europĂ©enne, avait collaborĂ© avec le saxophoniste Cannonball Adderley pour une sĂ©rie de deux albums en dĂ©cembre 1961. En fĂ©vrier 1962, Powell avait dĂ©crochĂ© un contrat au CafĂ© Montmartre de Paris, qui venait de rĂ©ouvrir ses portes. PrĂ©vu initialement pour deux semaines, le contrat de Powell avait Ă©tĂ© prolongĂ© de cinq semaines supplĂ©mentaires Ă la demande du pianiste. Â
En avril 1962, Powell, qui Ă©tait de retour Ă Copenhague, avait reçu une offre dâune compagnie danoise qui lui avait fait enregistrer des classiques quâil avait rarement jouĂ© en studio, notamment ââStraight No Chaserââde Monk et ââHot Houseââ, une piĂšce traditionnellement associĂ©e Ă Charlie Parker.
En dĂ©cembre 1962, Powell, qui avait trop bu, avait Ă©tĂ© retrouvĂ© complĂštement saoul dans les rues de Paris et avait Ă©tĂ© admis dans un hĂŽpital local. Powell avait finalement Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans lâaile psychiatrique de lâhĂŽpital, avant dâĂȘtre libĂ©rĂ© grĂące Ă lâintervention de son ami Francis Paudras.
En quatre mois, de fĂ©vrier Ă juin 1963, Powell avait participĂ© Ă plus de sessions dâenregistrements quâil nâen avait fait en quatre ans. Powell avait fait des apparitions comme artiste invitĂ© dans deux de ces sessions. La premiĂšre Ă©tait dirigĂ©e par Dexter Gordon et la seconde par Dizzy Gillespie. DERNIĂRES ANNĂES En 1963, aprĂšs avoir contractĂ© la tuberculose, Powell avait Ă©tĂ©Â admis Ă lâhĂŽpital de Paris. Powell ayant obtenu un contrat pour jouer au Birdland, il Ă©tait de retour Ă New York le 16 aoĂ»t 1964. Neuf jours plus tard, il avait partagĂ©Â la scĂšne avec Horace Silver, John Coltrane, Charles Mingus et Thelonious Monk.
Ă lâĂ©poque, la qualitĂ© du jeu de Powell avait nettement dĂ©clinĂ© en raison de son alcoolisme. Lorsque Powell avait nĂ©gligĂ© de ses prĂ©senter le 11 octobre Ă un de ses concerts au Birdland, Goodstein avait dĂ©cidĂ©Â de le congĂ©dier.
AprĂšs des mois de dĂ©couragement et de comportement erratique, Bud Powell avait Ă©tĂ© hospitalisĂ© Ă New York Ă la suite de complications pulmonaires. Powell avait prĂ©sentĂ© son dernier concert le 1er mai 1965. Il avait Ă©tĂ© admis dans un hĂŽpital psychiatrique Ă lâautomne suivant.
Bud Powell est dĂ©cĂ©dĂ© le 31 mars 1966. Sa mort avait Ă©tĂ© attribuĂ©e aux effets conjuguĂ©s de la tuberculose, de la malnutrition et de lâalcoolisme.
Plusieurs musiciens de jazz avaient rendu hommage Ă Powell. Dans son autobiographie, le trompettiste Miles Davis, qui avait un jour dit de Powell quâil ne lâengagerait jamais dans son groupe parce quâil Ă©tait encore plus cinglĂ© que lui, avait dĂ©clarĂ©: "[He] was one of the few musicians I knew who could play, write, and read all kinds of music. Bud was a genius piano player â the best there was of all the bebop piano players." Le pianiste Bill Evans, qui avait toujours considĂ©rĂ© Powell comme sa principale influence, lui avait rendu hommage en 1979 en dĂ©clarant: "If I had to choose one single musician for his artistic integrity, for the incomparable originality of his creation and the grandeur of his work, it would be Bud Powell. He was in a class by himself". De son cĂŽtĂ©, Herbie Hancock avait affirmĂ© dans une entrevue au magazine DownBeat en 1966: "He was the foundation out of which stemmed the whole edifice of modern jazz piano". Le saxophoniste tĂ©nor Sonny Rollins avait Ă©galement eu de bons mots pour Powell et avait commentĂ©: ââI think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If youâre thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.â Quant au pianiste Bill Cunliffe, il considĂ©rait Powell comme "the first pianist to take Charlie Parker's language and adapt it successfully to the piano."
En 1986, lâartiste Francis Paudras avait Ă©crit un livre Ă propos de son amitiĂ© avec Powell. Lâouvrage a Ă©tĂ© traduit en 1997 sous le titre de ââDance of the Infidels: A Portrait of Bud Powell.ââ Les souvenirs de Paudras avaient servi de base au film de Bertrand Tavernier, ââRound Midnightââ, qui Ă©tait inspirĂ© de la carriĂšre de Powell et de Lester Young, et dans lequel le saxophoniste Dexter Gordon jouait le rĂŽle dâun musicien en exil Ă Paris.
Bud Powell a influencĂ© plusieurs jeunes pianistes au cours de sa carriĂšre, plus particuliĂšrement Horace Silver, Wynton Kelly, Andre Previn, McCoy Tyner, Cedar Walton et Chick Corea. Ce dernier avait dâailleurs enregistrĂ© en 1997 un album entier consacrĂ© Ă Powell intitulĂ© ââRemembering Bud Powell.ââ Grand innovateur, Powell avait Ă©tĂ© le premier pianiste Ă jouer des parties qui Ă©taient initialement conçues pour des cuivres. Powell avait Ă©tĂ© mis en nomination Ă sept reprises pour un prix Grammy dans la catĂ©gorie de la meilleure performance instrumentale en solo. c-2023-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de lâImaginaire historique.
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Link Click saison 3
Bonjour Ă tous et toutes, je fais un petit saut pour annoncer que nous devons dire au revoir Ă Link Click....
Du moins, pour le temps de la saison 2, eh. oui, car le site officiel à annoncé peu de temps aprÚs la diffusion du dernier épisode de la saison 2 que une saison trois arriverait.
A ce jour, le 23 septembre, nous ne savons pas encore la date, mais au vu de l'attente entre la saison 1 et saison 2, qui avait duré 2 ans, il faudra sans doute attendre printemps-automne 2025.
A moins qu'il n'aies déjà commencé la production antérieurement et comme le cov-19 n'est plus d'actualité, il soit plus facile de produire des animés, nous n'ayons la surprise d'un retour de Link Click l'année prochaine. A voir.
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ChĂšre Amie,
Je t'Ă©cris en ayant l'impression que ça fait plusieurs Ă©ternitĂ©s que je ne l'ai plus fait. Je suis encore lĂ , je suis encore Ă Rennes pourtant mes derniers mois se rapprochent beaucoup des pires que j'ai pu vivre. Je suis encore Ă Rennes et dans ce printemps qui semble enfin dĂ©cidĂ© Ă nous envelopper tendrement, j'aime Ă penser que c'est un peu de ton soleil d'Italie qui rĂ©chauffe ma peau, qui caresse mon coeur. Je suis conscient de ne plus avoir grand chose Ă dire, plus grand chose Ă apporter, ici comme dans la vie, ces 5 annĂ©es Ă travailler m'ont asphyxiĂ©es jusqu'Ă sucer jusqu'aux derniĂšres gouttes de ma sĂšve d'antan. C'est le coeur flĂ©tri et l'Ăąme en lambeaux que je t'adresse ces mots. Je me rappelle parfois ces printemps prĂ©cĂ©dents, ces jours plus tranquilles bien que tristement immobiles et je crĂšve de ce que le temps m'inflige, de ce que la vie a fait de mes nombreuses failures. Sur la platine, Gazzelle est en train de chanter "Ă stata la primavera piĂč brutta di sempre" et rien ne m'a jamais semblĂ© plus vrai que ces quelques mots en italiens, comme lorsque rĂ©Ă©couter Bon Iver me renvoie instantanĂ©ment au printemps 2012. C'est cette douceur amĂšre, celle qui lacĂšre la chair mais qui garde le coeur vivant, puisqu'il faut qu'il batte et qu'il batte encore, pour ressentir cette douleur de vivre, cette morsure qui me tient Ă la vie au bord du prĂ©cipice. Tu sais, cette annĂ©e ça fera dĂ©jĂ 15 ans, mon dĂ©part pour Londres le 8 Juillet 2009 et ce qui en a dĂ©coulĂ©. Ăa fera aussi 10 ans que j'ai arpentĂ© pour la toute premiĂšre fois les rues ensoleillĂ©es de Turin au coeur de l'Ă©tĂ© 2014, sous une chaleur accablante, c'Ă©tait le 12 AoĂ»t, et puis 10 ans aussi, le 30 septembre cette fois, le concert de reformation des Libertines avec mon frĂšre et ma soeur. Toutes ces dates, tu sais comment je suis avec les dates, mĂȘme si j'ai Ă©normĂ©ment progressĂ© avec ça ces derniĂšres annĂ©es avec mon ancienne psychologue, toutes ces dates font qu'il est vital pour moi que Turin se rĂ©alise cette annĂ©e, le plus tĂŽt possible, il en va de ma survie je crois, de ma santĂ© mentale aussi, du moins ce qu'il en reste.
J'ai bien conscience que ce ne sont que de simples mots jetĂ©s Ă la va-vite dans l'immensitĂ© froide d'internet mais je voulais tout de mĂȘme essayer de t'expliquer, pourquoi tout est si dur pour moi en ce moment, pourquoi je suis de plus en plus fatiguĂ© de continuer Ă me battre. Si il n'y a pas Turin, je ne sais pas, je ne sais pa ce que je ferais, il n'y a pas de plan B, il n'y en a jamais eu.
Tendrement.
Mathieu.
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Samedi 10 mars 2012.Le Havre. RĂ©Ă©dition du journal.
Jean-François me conseille, pour me rendre du centre-ville du Havre Ă la bibliothĂšque universitaire oĂč nous accrochons lâexposition « Vents dâEst », dâemprunter le boulevard de Strasbourg, aprĂšs avoir fait des zig zags autour de la mairie, pour voir de trĂšs belles maisons bourgeoises Ă©pargnĂ©es par les bombardements qui ont littĂ©ralement rasĂ© la ville. Le 5 septembre 1944, deux heures de raid intensif par lâaviation anglaise sur le centre-ville et le port pour affaiblir lâoccupant allemand, 800 bombardiers lourds, 80 000 tonnes de bombes dĂ©versĂ©es, 5123 morts et 10 000 immeubles dĂ©truits feront du Havre la ville la plus dĂ©truite de France.
Le général De Gaulle fait une visite au Havre le 7 octobre 1944. La ville du Havre reçoit la Légion d'honneur le 18 juillet 1949 pour « l'héroïsme avec lequel elle a supporté ses destructions ».
Au printemps 1945, le MinistÚre de la Reconstruction et de l'Urbanisme confie le projet de reconstruction du centre-ville du Havre à l'atelier Perret. Il souhaite faire table rase des anciennes structures et appliquer les théories du classicisme structurel. Le matériau retenu pour l'édification des bùtiments est le béton et le plan général est une trame orthogonale. Officiellement, la reconstruction s'achÚve au milieu des années 1960.
Le long du boulevard de Strasbourg sâĂ©tale le chantier du tramway. Les rails sont dĂ©jĂ posĂ©s, mais le boulevard est toujours fermĂ© Ă la circulation. Le tramway doit ĂȘtre mis en service vers le mois dâoctobre.Â
Sur une barriĂšre du chantier, une photo dâidentitĂ© dâune petite fille est accrochĂ©e avec un trombone. Il ne doit pas sâagir dâune disparition, car aucun mot nâest accrochĂ©. La photo, tombĂ©e dâun cartable ou dâun portefeuille, sans doute, est en trĂšs bon Ă©tat. La personne qui lâa accrochĂ©e Ă cet endroit espĂ©rait sans doute que la petite fille photographiĂ©e, ou ses parents la verrait.
Une photo dâidentitĂ©, en soi, ce nâest pas grand-chose dâimportant. Mais câest le geste de la sauvegarder de cette maniĂšre qui me plaĂźt et mâinterpelle.
Je continue sur le boulevard car la journĂ©e va ĂȘtre dure. Il va falloir accrocher Ă la bibliothĂšque. Et finir pour ce soir le gros du travail, qui comprend entre autres 5 photos de 1,70 m de large qui seront suspendues dans le vide.
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Au bord du lacâŠđđđ
Vous avez quittĂ© le lac en septembre, câĂ©tait bien trop tĂŽt, il fait encore beau.
Ce fameux Ă©tĂ© des indiens semble vouloir sâinstaller pour un bout.
La lumiĂšre illumine la forĂȘt et parsĂšme le lac de diamants.
Les huards ne semblent pas pressés de partir trompés par la chaleur.
Bien calée dans mon fauteuil sur la véranda,
mon cafĂ© Ă la main, jâadmire ce paysage extraordinaire baignĂ© dâor et de rouge.
Le bruit des bateaux Ă moteur sâest tu ne laissant que le clapotis apaisant du lac.
Le silence nâest troublĂ© que par le son des feuilles qui craquent sous nos pas.
Il fait si bon encore, lâair embaume de lâodeur de la terre humide.
Les arbres se déshabillent lentement comme une effeuilleuse qui fait durer le plaisir.
Chaque jour je remplis mes yeux de la beauté
que cet automne déploie avant que ne vienne
la grande dame blanche au souffle glacial
qui endormira cette nature la couvrant
dâun Ă©pais manteau blanc jusquâau prochain printemps.
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FRANCK HORVAT -Â Paris, le monde, la mode.
Au Jeu de Paume jusquâau 17 septembre 2023
Entre 1950 et 1965, Horvat affirme une personnaliteÌ hors norme dâauteur-reporter et de photographe de mode. Lâexposition apporte une vision renouveleÌe sur lâĆuvre de cet acteur majeur de la photographie française et europeÌenne.
ReÌaliseÌe aÌ partir des archives laisseÌes par le photographe dans sa maison-atelier de Boulogne-Billancourt, lâexposition comporte 170 tirages et 70 documents dâeÌpoque (publications, eÌcrits, ouvrages, planches contacts). Elle preÌsente, aux coÌteÌs dâimages embleÌmatiques, des ensembles de photographies moins connues ou compleÌtement ineÌdites. Câest toute la richesse et la singulariteÌ dâune Ćuvre complexe et multiforme qui est ici deÌvoileÌe, replaceÌe dans le contexte de lâhistoire de lâimage photographique et de la presse illustreÌe dâapreÌs-guerre.
ApreÌs le succeÌs de lâexposition Frank Horvat preÌsenteÌe au ChaÌteau de Tours au printemps 2022, le Jeu de Paume a souhaiteÌ proposer aÌ Paris une version enrichie de lâexposition. Sont ainsi preÌsenteÌs un ensemble ineÌdit de photographies ainsi que de nombreuses revues de mode, apportant un eÌclairage particulier sur le contexte de creÌation de ces images, aÌ une eÌpoque ouÌ lâessor du preÌt-aÌ-porter et lâeÌvolution du statut des femmes dans la socieÌteÌ modifient profondeÌment les canons du genre.
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Londres, Paris, Amsterdam
Il y a eu des choses de vraiment positive dans ma vie en cette année 2024. Ce sont les deux beaux voyages à Londres et Amsterdam. Et j'ai eu la chance de profiter de Paris à plusieurs reprises. C'est la premiÚre fois de ma vie que je voyage autant en une seule année. Et je n'oublie pas mon road-trip au mois de septembre ! Cette semaine en van avec mon ami. J'ai vraiment vécu de bons moments de liberté pendant ces nombreux voyages. Inoubliable !
Londres est l'endroit que j'ai le plus aimĂ©. Cette ville me fascine depuis mon adolescence. J'ai toujours rĂȘvĂ© de venir Ă©tudier et vivre en Angleterre. Mais en y venant au printemps 2024, je me suis rendu compte que c'est une ville oĂč la vie est trĂšs cher ! Mais je rĂȘve d'y revenir plus souvent. En 2025 ? Concernant Amsterdam, j'adore Ă©galement cette ville. La monnaie est l'euro ! C'est plus facile. Quoi qu'il en soit, je veux revoir cette ville â€ïž
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