#Le livre des Baltimore
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quepasoconharry · 1 year ago
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Conoce más sobre Joël Dicker¡!
Joël Dicker es un autor suizo el cual nació el 16 de junio del 1985 en Ginebra. A él le gustaba la escritura y la literatura desde una edad temprana. A los diecinueve años en el 2010 publicó su primer libro "Les derniers jours de nos pères", aunque que este no tuvo mucho éxito pudo ser como una base para su futuro como escritor.
Su segundo libro "La vérité sur l'affaire Harry Quebert", que en español seria "La verdad sobre el caso Harry Quebert" que trata sobre Marcus Goldman un escritor joven que se ocupa en investigar el caso de asesinato de una niña de 15 años la cual descubrieron su cuerpo en el jardín de su mentor, Harry Quebert. En el 2012 logró obtener más reconocimiento incluso internacional, el libro se ha traducido en 30 idiomas distintos, logrando que Joël fuera un poco más conocido a nivel mundial.
Después del éxito que tuvo "La verdad sobre el caso Harry Quebert", en el 2015 Joël publicó su tercer libro "Le livre des Baltimore" en español seria "El libro de los Baltimore". En este tercer libro su pueden ver algunos personajes del libro anterior pero se enfoca más en Los Goldman, una familia rica de Nueva York.
A lo largo de su carrera ha recibido un montón de reconocimientos, honores y hasta ha logrado tener adaptaciones cinematográficas de sus obras lo cual lo ha ayudado a ser mucho más conocido. Millones de lectores en el mundo quedan fascinados por su capacidad en mantener el suspenso y tensión lo que lo hace uno de los escritores más queridos y exitosos actualmente.
Si quieres saber más sobre esta obra de Joël, puedes seguirme ya que próximamente estaré hablando un poco más sobre esto.
Chaoo:)
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quentinyhk · 1 year ago
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L'écrivain genevois Joël Dicker, auteur de La Vérité sur l'Affaire Harry Québert (2012) et des romans Les Derniers Jours de nos pères (2010), Le Livre des Baltimore (2015), La Disparition de Stéphanie Mailer (2018), L'Affaire Alaska Sanders (2022), ainsi que du livre très réussi intitulé L’Énigme de la chambre 622 (2020).
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cleopattes · 2 years ago
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Rachel Carson, la poésie de la biologiste marine, ses premiers écrits
Avant-propos: je vous partage dans cette série de capsules mes réflexions par rapport à quelques livres et autres lectures exposant une pensée environnementale. Nous y parlerons développement durable, de changements climatiques mais aussi du fonctionnement général de Mère-Nature. Le tout sera agrémenté de données chiffrées et vérifiées, et peut-être aussi d’une touche d’humour.
Nous vous présentions lors de la dernière capsule le livre phare de Rachel Carson, Silent Spring, celui qui fonda le mouvement environnemental international. Elle n’en était pas toutefois pas à sa première publication! À l’âge de 30 ans, Rachel Carson publia l’essai Undersea de 11 pages dans le journal The Atlantic Monthly, qui commença comme suit : « Who has known the ocean? Neither you nor I, with our earthbound senses, know the foam and surge of the tide that beats over the crab hiding under the seaweed of his tide-pool home; or the lilt of the long, slow swells of mid-ocean, where shoals of wandering fish prey and are preyed upon, and the dolphin breaks the waves to breathe the upper atmosphere. » Le ton était donné, l’essai étant jugé comme trop littéraire pour une brochure gouvernementale. Il servi de pierre angulaire à son premier livre Under the Sea-Wind (A naturalits’s picture of ocean life) édité en 1941. Les deux autres livres de sa trilogie marine suivirent, ils feront l’objet d’autres capsules.
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Mais avant de plonger dans le vif du sujet, quelques précisions… Rachel Carson ne faisait pas partie de l’establishment scientifique. En plus elle était une femme, à cette époque, imaginez! Elle signait certains de ses articles « R. L. Carson » pour se faire passer pour « un » auteur. Travaillant à la US Fish and Wildlife Service, en tant que biologiste marine, elle n’avait pas nécessairement d’affiliation académique. Elle écrivait pour le public, davantage que pour une audience scientifique limitée. La biologie, aussi, était moins prestigieuse que la chimie ou d’autres sciences. Elle commença à publier à l’âge précoce de 10 ans. C’est en rédigeant pour le Baltimore Sun dans les années 1930 qu’elle réalisa qu’elle n’avait pas à choisir entre science et écriture, pouvant combiner les deux. Sa pertinence l’amena à témoigner devant le Government Operations Subcommittee of the US Senate, après des rencontres avec les conseillers scientifiques du président. Une belle carrière.
Le livre « Under the Sea-Wind » (1941) fut lancé au même moment que la période de l’attaque de Pearl-Harbour, autant dire que le moment ne pouvait pas être plus mal choisi. Seulement 2 000 copies furent vendues.
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Le récit est alors construit autour d’animaux narrateurs qui ont leur nom (tirés du latin), leur conscience, une mémoire propre pour chacun. Ils ont tous toute une histoire à raconter. Le premier est un « black skimmer » (voir photo ci-dessus). Notons que l’on ne retrouve aucun anthropomorphisme ici, le but étant que le lecteur puisse se projeter dans la vie de l’animal. Les concepts humains sont de facto évacués. Finalement, le principal personnage est l’océan lui-même et tout ce qui gravite autour. En résumé, le livre nous transporte des abysses de l’océan jusqu’aux glaces arctiques.
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Le premier acteur, le sanderling, est un oiseau migrateur effectuant des longues distances, volant de l’Argentine et des rivages de la Patagonie jusqu’à l’arctique. Blackfoot, le leader de la colonie dans notre histoire, en était ainsi rendu à plus de 60 000 miles de distance au cours de son quatrième voyage! Tout comme Silverbar sa future compagne, il se nourrissait en autres de crabes sur une plage de la côte est des États-Unis. Une fois en zone de nidification dans le nord, nous nous faisons instruire du comportement général de cette espèce et de ses stratégies pour assurer la protection de sa progéniture, devant composer avec les prédateurs et la biodiversité décrite d’une manière détaillée. Ookpik la chouette et le lagopède font bien sûr partie du décor.
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Passant des vents de surface aux eaux salées, les maquereaux sont tout autant des voyageurs au long court. Scomber naquit ainsi à 70 miles au sud-est de Long Island dans les eaux de surface, aussi petit qu’une tête d’aiguille. Pour information, une femelle produit jusqu’à 450 000 œufs pour assurer le renouvellement des générations, l’immense majorité ne parvenant pas à l’âge adulte. La vie planctonique n’est pas de tout repos, étant soit proie ou prédateur. Vous n’avez pas idée à quoi notre brave Scomber a échappé afin de parvenir à l’âge adulte! Le livre en est un de biologie, mais le périple de notre poisson est empli de ce qu’un être humain appellerait tout autant des scènes d’action, décrites à la voie passive. Par exemple, le lecteur se retrouve au centre de la mêlée lorsque le banc se fait attaquer par des thons qui à leur tour se font dévorer par des orques, avec un beau réalisme, hémoglobines comprises. Après une période de sa vie dans le port, l'encore juvénile maquereau retourne en septembre en haute mer, et on assiste alors à la scène d’anthologie de la partie de pêche, au cours de laquelle Scomber et ses consorts échappent finalement aux filets des pêcheurs ayant pourtant appliqué leur méthodologie habituelle gage de succès. Sauf que dans ce cas, les maquereaux se font aider par des requins de type dogfish. C’est vraiment une scène à vivre de l’intérieur et qui ferait un excellent documentaire.
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Selon moi, la plus belle partie du livre est celle de l’anguille, vivant une épopée hors-norme dans le règne animal. Cet animal longiligne (mesurant jusqu’à quatre pied) et désormais menacé demeure encore de nos jours un véritable mystère. Anguilla, la vedette du livre, commence son voyage dans un étang appelé Bittern Pond, alimenté par deux ruisseaux et situé à 200 miles en amont de la mer. Elle arriva en ce lieu 10 ans plus tôt, alors qu’elle n’était que de la taille d’un doigt humain. En ce jour d’automne, le signal du voyage de retour au lieu de naissance avait été donné. Ainsi, elle dévala avec instinct les ruisseaux de nuit jusqu’à la mer, en se regroupant avec d’autres femelles, qui seules vivent en eau douce, avant de poursuivre le long voyage migratoire en compagnie des mâles, de plus petite taille, et vivant dans les estuaires salés lors de leur vie adulte.
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Ce que la science humaine connaît ensuite, c’est que la zone de fraie serait située dans la mer des Sargasses, quelque part à 500 kilomètres au sud des Bermudes. Autant les anguilles d’Amérique que d’Europe (petites différences morphologiques entre les deux sous espèces) se retrouveraient sur la même zone. Les œufs éclosent dans les profondeurs abyssales (que deviennent alors les adultes?), avant de remonter par milliards progressivement vers la surface pendant les mois suivants. Ainsi au cours de l’été, les rejetons d’un pouce de long à Anguilla et de ses congénères se retrouvent portées par les courants de surface de l’Atlantique. La caravane américano-européenne de jeunes anguilles se sépare ensuite en deux, vers l’ouest ou l’est, dépendamment de l’origine de leurs géniteurs. Les américaines ont cependant globalement moins de chemin à nager. Aucunes cependant ne se posent de questions quant à leur identité, elles la connaissent instinctivement! Quel mystère! Les jeunes anguilles finissent par retourner ainsi dans les mêmes cours d’eaux que leurs parents respectifs, sans débats socio-poissonneux, bouclant une boucle fantastique de plusieurs milliers de kilomètres. Peut-être qu’une des filles à Anguilla a elle aussi remonté le courant jusqu’à Bittern Pond, nul ne le saura jamais.
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Considérons Under the Sea-Wind, ce livre intemporel en tant qu’une combinaison de voyages au long cours emplis de science et de poésie à travers ses animaux, leurs migrations, de manière que le lecteur les vive en étant lui-même partie prenante. N’oubliez pas de parcourir le glossaire avec descriptions des espèces citées et quelques croquis, tel qu’illustré ci-dessus avec l’exemple de la sand flea dont se nourrissent d’ailleurs les sanderlings.
Merci Rachel Carson pour votre plume unique!
Crédits photos : photos tirées du livre de Rachel Carson prises par l’appareil téléphonique de l’auteur (Thierry Lagrange), photo couverture, sanderling, black skimmer, maquereau, anguille américaine, carte de la mer des Sargasses.
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dixvinsblog · 2 years ago
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Pour les fêtes offrez et faites -vous offrir des livres ! Voici une sélection des recueils, nouvelles et Romans des auteurs- trices du blog
Pour les fêtes offrez et faites -vous offrir des livres ! Voici une sélection des recueils, nouvelles et Romans des auteurs- trices du blog
Baltimore – Pascal Depresle -Baltimore chez Z4 Editions de Daniel Ziv. Mais quel est donc le secret de cette Mélissandre qui semble si lourd que nul n’ose en parler ?Qui est-elle vraiment ? Entre rencontres pas toujours fréquentables et perdition au delà de l’océan, c’est une histoire d’amour père-enfants qui ne laisse aucune possibilité au narrateur de ne pas se mettre à nu. L’enveloppe dodue…
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angelitam · 3 years ago
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Partageons mon rendez-vous lecture #13-2022 & critique
Partageons mon rendez-vous lecture #13-2022 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion, Le livre des Baltimore de Joël Dicker Le livre des Baltimore de Joël Dicker – Editions de Fallois En lecture, Intrusion d’Elena Sender Intrusion d’Elena Sender – XO Editions Présentation de l’éditeur : Brillante neuropsychiatre, spécialiste des troubles de l’âme, Cyrille Blake reçoit un nouveau patient : Julien Daumas. Très séduisant, mais…
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lesenfantsdefaust · 2 years ago
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Quels sont les livres que vous avez lu, et que vous avez envie d'offrir parce que ça vous a touché?
Pour moi :
Kafka sur le rivage, Murakami
Le meurtre du commandeur, Murakami
La fin des temps, Murakami
Le livre des Baltimore, Dicker
L'océan au bout du chemin, Gaiman
Les archives de Roshar, Sanderson
Fils des brumes, Sanderson
La tour sombre, King
A la croisée des mondes, Pullman
Le cycle de Fondation, Asimov
La formule de Dieu, Dos Santos
La clé de Salomon, Dos Santos
L'affaire Charles Dexter Ward, Lovecraft
Le champs de Personne, Picouli
Les annales du Disque Monde, Pratchett
La horde de Contrevent, Damasio
Terreur, Simmons
John Shannow, Gemmel
Soixante-neuf tiroirs, Petrović
Le problème à 3 corps (trilogie), Cixin
Le chat qui voulait sauver les livres, Natsukawa
Moby Dick, Melville
Oedipe sur la route, Bachau
Frankenstein, Shelley
L'oeuvre, Zola
La bête humaine, Zola
La Mélancolie des baleines, Gerin
Les voyages de Cosme K, Gerin
Et vous, comment vivrez-vous ? ,Genzaburô
Le Cycle de Dune 1-6, avec un coup de coeur pour "Le messie de Dune" et "la maison des Mères", Herbert
L'enchanteur, Barjavel
Le peuple blanc, Machen
Le portrait de Dorian Grey, Wilde
Piranhèse, Clarke
Le Cycle de la Bibliothèque des livres oubliés, surtout "l'ombre du vent", Zafon
La mer sans étoiles, Morgenstern
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jiejie-eonni-onee-sama · 4 years ago
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                                         Nahuel Aquino (The Informant)
Mari-Mari !
Je suis Nahuel Aquino et je suis né en Argentine. Si mon salut vous semble étrange, c’est parce que c’est du mapuche, une langue indigène que m’a enseigné ma mère.
J’ai grandi avec un père américain et une mère argentine, issue de la communauté mapuche : j’ai en quelque sorte du sang indien dans mes veines. C’est peut-être pour cela que j’ai une certaine affinité avec Amaru, qui est indien lui aussi.
Dans l’équipe, je suis le dernier garçon à intégrer la bande. Après moi, que des demoiselles et ça n’est pas pour nous plaindre : on a les meilleures du monde à nos côtés.
Quel est mon rôle ? C’est simple : je suis l’informateur de la bande. Grâce à ma mémoire exceptionnelle et mes compétences en informatique, je peux accéder à des informations majeures qui nous permettent de nous préparer ou de nous adapter pendant les missions.
Mais il n’y a pas que ça : je parle à peu près une vingtaine de langues et dialectes différents, ce qui est très utile. Et avec Eugène, nous travaillons souvent en binôme pour décrypter les documents écrits dans une autre langue. D’ailleurs, lui et moi discutons souvent dans différentes langues quand on veut être tranquilles ou pour se passer des infos sans que quelqu’un d’autre le remarque.
J’aime beaucoup cette équipe : ils sont ma seconde famille, en quelque sorte. Je ferais n’importe quoi pour eux et je sais qu’ils feraient la même chose pour moi, quoiqu’il puisse arriver.
Être avec les “Misfits Gentlemen” me donne l’impression d’être un genre de super héros, capable d’aider les autres et d’empêcher des désastres de se produire. Et Dieu sait si certains veulent nous empêcher d’agir... Mais je ne m’en fais pas : on a du répondant.
Comment je suis arrivé dans l’équipe ? C’est une longue histoire, mais pour faire court, je suis arrivé aux Etats-Unis quand j’avais quatorze ans pour mes études. J’étais un peu déboussolé au début : je suis parti de mon petit village pour arriver dans une grande ville, Washington DC.
Après, j’ai fait quelques petits boulots et le dernier m’a emmené à Baltimore où j’ai travaillé comme assistant de bibliothèque. Moi qui aime beaucoup lire, c’est le bonheur assuré !
Et puis, un jour, j’ai rencontré une charmante jeune fille qui voulait emprunter un livre sur les pierres précieuses. On a un peu discuté et elle s’est présentée : Naomi. Sans le savoir, je parlais avec ma future coéquipière.
Petit à petit, elle m’a convaincu de venir rejoindre le groupe pour lequel elle travaillait. Comme vous l’avez constaté, elle s’est montrée persuasive et j’ai pu devenir un “Misfit Gentleman”.
Je vous arrête tout de suite : Naomi et moi ne sommes pas en couple. C’est ma meilleure amie, point.
Je pense qu’on a fait le tour de la question : vous allez pouvoir parler aux dernières membres de l’équipe. Au revoir !
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kcemorg · 4 years ago
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Joel Dicker - Le livres des Baltimore
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drenma · 5 years ago
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Lecture : Joel Dicker, Livre des Baltimore
“Beaucoup d'entre nous cherchons à donner du sens à nos vies, mais nos vies n'ont de sens que si nous sommes capables d'accomplir ces trois destinées : aimer, être aimé et savoir pardonner. Le reste n'est que du temps perdu.”
✏️ Comment vous dire que ce livre m’a bouleversé au plus haut point. Les personnages sont tellement attachants. Joel Dicker a un style particulier, un talent bien à lui qui nous accroche et nous emporte. Cet oeuvre retrace l’histoire de la famille Goldman, Hilel, Woody et Marcus, jusqu’au jour du drame. Et c’est vraiment tout ce que je peux vous dire : A vous maintenant de découvrir ce drame. 🌺
" Les drames sont inévitables. Ils n'ont pas beaucoup d'importance, au fond. Ce qui compte, c'est la façon dont on parvient à les surmonter. “
“Ecrire un livre, c'est comme ouvrir une colonie de vacances. Votre vie, d'ordinaire solitaire et tranquille, est soudain chahutée par une multitude de personnages qui arrivent un jour sans crier gare et viennent d'un grand bus dont ils sont du rôle qu'ils ont obtenu. Et vous devez faire avec, vous devez les loger. Vous êtes responsable de tout. Parce que vous, vous êtes l'écrivain.”
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les-tentatrices · 6 years ago
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Le Livre des Baltimore — Joël Dicker
Le Livre des Baltimore — Joël Dicker
Le Livre des Baltimore, Le Livre de Poche, 1er mars 2017, format numérique et poche
Tombée amoureuse de la plume de Joël Dicker au travers de son magistral « La vérité sur l’affaire Harry Québert », je devais obligatoirement lire« Le Livre des Baltimore » surtout en sachant que le personnage principal est le même… Je suis entrée dans cette histoire sans trop savoir où je mettais les pieds,…
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sb-queen · 7 years ago
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basbleus · 8 years ago
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Interview : Carène Ponte, étoile Librinova et auteure chez Michel Lafon
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Étant très fan du travail de Librinova avec les auteurs n’ayant pas de contact dans l’édition française, j’étais curieuse d’en découvrir l’un des plus grands succès qui fleurit aujourd’hui chez Michel Lafon. Ça a été un réel plaisir de discuter par questions interposées avec Carène Ponte qui représente tout ce que j’aime dans la communauté des auteurs passés/passant par l’auto-édition, authenticité, proximité et un véritable désir de partage avec les lecteurs. Je ne suis toujours pas une afficionada du feel-good mais l’univers de Carene est un must-read si c’est là votre dada. 
Peux-tu te présenter en quelques mots ? Je m’appelle Carène PONTE, j’ai 36 ans (pour encore quelques mois…), j’ai 2 enfants, je vis en couple. Dans la vie, je suis responsable de formation et de formation initiale juriste (oui je sais ça fait trèèèèès sérieux !)
Dans les remerciements d’Un merci de trop, tu expliques que publier en maison était un rêve d’enfant, tu as d’ailleurs écrit une nouvelle en fanfic du club des cinq à cet âge-là, comment est née cette passion ? C’est la lecture qui a amené ce rêve je crois. Je lis depuis que je suis toute petite, et lorsqu’un roman me transportait, je me disais que ce serait drôlement chouette d’être capable d’en faire autant. Avant l’auteure, il y a avant tout une lectrice. Je me souviens que chaque semaine, lorsque j’accompagnais ma mère pour faire les courses, j’avais le droit de déposer des livres dans le caddie. Et je peux vous dire qu’à l’époque (on dirait que j’ai 70 ans en disant cela…), il n’y avait rien ou quasi en littérature jeunesse. Quand je vois tout ce qui existe aujourd’hui, j’ai presque envie de redevenir une ado (presque hein.. Parce quand même avoir une carte bleue c’est pratique).
Tu as commencé par publier Un merci de trop sous forme de saga, est-ce que tu continues à écrire tes romans de cette façon ou bien est-ce que tu as changé de procédé entre-temps ? J’ai arrêté et heureusement ! Parce qu’en fait procéder de cette façon n’est pas du tout une bonne idée ! Lorsque j’ai commencé à publier les aventures de Juliette sur le blog, je n’avais aucun plan, ni même aucune idée de ce que je ferai vivre au personnage la semaine suivante. Bien sûr ça permet de créer des tas de rebondissements mais quand on met tout bout à bout on s’aperçoit qu’il y a pas mal d’incohérences et surtout qu’entre les rebondissements, il faut écrire du liant pour que ça ressemble à un vrai roman et non plus à des épisodes d’une histoire sur un blog. Pour tout dire, j’ai un peu galéré du coup à étoffer une histoire déjà existante. Aujourd’hui, je sais où je vais avant de commencer à écrire et j’ai un plan avec en gros ce que je veux mettre dans chaque chapitre, même si au fur et à mesure de l’écriture, des chapitres se rajoutent. Mais comme je sais dans quel sens je veux emmener l’histoire, tout s’insère.
Si oui, est-ce que tu peux nous parler un peu de ce process et de tes manies d’écriture ? Hihihihii c’est rigolo parce que lorsque je rencontre un auteur c’est aussi la première question que je lui pose. Je suis moi aussi très intéressée de savoir comment les uns et les autres s’y prennent pour écrire. Et je crois qu’il y a autant d’auteurs que de manière de travailler. Avant tout je réfléchis à l’histoire que j’ai envie de raconter, aux thèmes que j’ai envie de développer. Ensuite, je travaille les personnages, je les décris, je pose leur histoire, leurs goûts, leurs dégoûts, leurs failles. Une fois que j’ai le sentiment de sentir complètement les personnages, de leur avoir donné corps dans mon esprit, j’essaie de construire l’histoire dans son enchaînement : dans le chapitre 1, voilà ce que je veux, et donc ensuite dans le chapitre 2, il pourrait se passer telle chose. Et ainsi de suite. J’ai aussi un carnet dans lequel j’écris les idées de scènes qui me viennent, je ne sais pas encore forcément dans quel chapitre la scène s’insérera, ni même si au final je l’intégrerai, mais si j’ai une idée de réplique, de situation drôle, hop je l’écris dans ce carnet. Tout ce travail préparatoire je le fais à la main, papier, stylo. Je ne prends mon ordinateur que lorsque je commence à écrire véritablement le roman. Ensuite, j’écris sans chercher à obtenir quelque chose de parfait du premier coup. J’avance, j’avance et je me dis qu’ensuite lors de la relecture, je pourrai développer tel point ou retravailler tel autre. Lorsque je me mets devant mon écran, je relis juste le dernier chapitre écrit pour me remettre dans l’atmosphère, mais je ne remonte pas plus loin. Je peine souvent à écrire la première phrase du chapitre et quand je peine trop je me dis « vas-y écris quelque chose même n’importe quoi ». Et contrairement à beaucoup d’auteurs, j’écris sans musique. Je n’ai pas de playlist associée à tel ou tel roman. La musique n’est sans doute pas suffisamment présente dans mon quotidien pour que je l’associe à ce travail d’écriture.
Puis, tu es passée par la plateforme Librinova, est-ce que tu peux nous raconter cette expérience ? J’ai découvert Librinova dans le cadre d’un concours auquel j’ai participé (concours de nouvelle) et que j’ai gagné. C’était même avant l’écriture d’Un merci de trop. J’ai découvert à la fois Librinova et le monde de l’auto-édition à ce moment-là. Ce qui m’a séduit, c’est le concept « En route vers le papier » et cette possibilité d’agent littéraire à partir de 1000 ventes. J’avais évidemment ce rêve toujours enfoui d’être un jour une auteure publiée en librairie et avec ce concept, ça paraissait moins insurmontable.
Sur son blog, Carène vous raconte en détails son expérience chez Librinova.
Est-ce que tu as des conseils de choses à faire ou à ne pas faire quand on passe par cette maison d’auto-édition ? Les choses à faire : travailler la couverture et la quatrième. Faire relire et rerelire son texte. Il y avait des coquilles dans la toute première version d’Un merci de trop et ça m’a valu des commentaires 1 étoile sur Amazon… C’est comme si les gens étaient encore pus intransigeants avec un auteur auto-édité qu’avec un auteur édité par le circuit traditionnel. Je ne sais pas vraiment s’il y a des choses à ne pas faire.
Tu as pu profiter des services d’agent littéraire proposés par Librinova. En combien de temps as-tu atteint les fameux 1000 exemplaires vendus ? Qu’est-ce que ça fait ce moment où on passe ce cap avec un roman qu’on a porté aussi longtemps ? Oui, tout à fait, j’ai bénéficié de ce service d’agent littéraire pour Un merci de trop et c’est même grâce à ce service que j’ai pu rencontrer mon éditeur Michel Lafon. Ce sont Laure et Charlotte qui ont parlé de mon roman à Elsa Lafon, qui ont su éveiller son intérêt et quelques semaines plus tard je rencontrais l’équipe alors que de moi-même jamais je n’aurais osé envoyer mon manuscrit à une maison d’édition. La version auto-éditée d’Un merci de trop a été publiée en mars 2015 et pendant les premiers mois, j’ai dû en vendre 200 ou 300. Puis, il y a eu cette offre flash Amazon (négociée par Librinova), le 16 juin 2015. Et là, en une journée, il s’est vendu 1000 exemplaires d’un coup. Avec en prime, une première place dans le top 100 pendant 3 jours. J’étais comme une dingue devant mon écran. Je n’y croyais pas.
Quel est ton meilleur souvenir de cette période-là ? Cette journée de juin 2015 reste un moment très fort. Parce qu’en atteignant les 1000 ventes, ça devenait concret, je me suis dit « maintenant le rêve va peut-être pouvoir devenir réalité ». Et puis, cette journée de novembre 2015, lorsque j‘ai rencontré pour la première fois Elsa Lafon, Cécile Majorel et Florian Lafani, dans les locaux de Michel Lafon reste gravée dans ma mémoire à tout jamais. Ce jour-là, on a évoqué le texte, les choses à retravailler, la date de parution envisagée, c’était magique.
Quels étaient les avantages et les inconvénients d’entrer dans le monde de l’édition par la porte de l’auto-édition ? Les avantages : pour ce qui est de passer par Librinova, clairement la facilité. J’ai posté mon texte Word et c’est Librinova qui a créé le fichier .epub, s’est chargé de toutes les démarches, la publication sur toutes les plates-formes numériques. Moi je n’ai eu qu’à déposer mon fichier et ma couverture sur le site. Ensuite, je me connais, jamais je n’aurais osé envoyer un manuscrit. Pour tout t’avouer lorsque Charlotte m’a dit on a envoyé ton manuscrit à michel Lafon, j’ai ri pensant à une blague. Et ensuite, j’ai eu peur en me disant « mais qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir penser de cette histoire banale et sans intérêt ». Tu la sens la fille qui a confiance en elle ? Oui, c’est moi. Donc l’auto-édition clairement m’a conduite vers l’édition et sans auto-édition il n’y aurait rien eu du tout. Avoue que ça aurait été dommage pour le paysage littéraire français ! En toute modestie (mouahahahahaaha)
Comment s’est passé la réécriture d’Un merci de trop avec ton éditrice ? J’ai adoré !!! Pour Un merci de trop, j’ai travaillé avec Cécile Majorel et ce sont des semaines merveilleuses que je garde à l’esprit. J’étais tellement en demande de ce regard de professionnel pour m’aider à grandir dans l’écriture. J’ai appris tellement grâce à Cécile. J’étais si fière de recevoir des compliments de sa part, ou de la faire rire des bêtises que je pouvais faire dire à mes personnages. Je souhaite à tout auteur d’avoir la chance de vivre ces moments d’échange sur leur texte. Cécile pointait du doigt des choses à retravailler, me donnait des indications, des explications. Je réécrivais et presque de manière magique, je voyais le paragraphe devenir meilleur sous mes yeux. Pour le roman qui sort le 1er juin, j’ai travaillé avec Denis Bouchain et là encore des semaines de travail de réécriture que j’ai adorées. Cécile m’a aidée à corriger des choses que Denis n’a donc pas au à reprendre, mais lui m’a aidée à ne pas tomber dans la facilité, à ne pas en faire trop (comme si j’en faisais trop… Pffffffff), à peaufiner. Vraiment, ça n’a pas de prix cet accompagnement et je passe mon temps à leur dire merci et combien j’apprécie ce travail de réécriture du texte.
Est-ce que maintenant que tu es en maison tu pourrais réenvisager l’auto-édition pour d’autres projets ? J’ai auto-édité en novembre 2016 un roman jeunesse, Mélissa Sac a gras (un roman sur le harcèlement scolaire d’où le titre). Oui, les deux ne me paraissent pas incompatibles. Michel Lafon m’accompagne sur des romans adultes, j’avais un roman jeunesse dans les tiroirs, il était difficile de lui trouver une place dans le catalogue, alors je l’ai auto-édité. Toujours avec Librinova, on ne change pas une équipe qui gagne et elles font partie intégrante de mon aventure littéraire.
Toi qui es maman, est-ce que tu peux me confirmer que la gestation d’un roman ressemble un peu à celle d’un enfant ou pas du tout ? Soyons honnêtes, c’est tout de même beaucoup moins douloureux !! Enfin je parle pour moi qui aie eu deux accouchements particulièrement pourris ! Mais le processus de création, c’est vrai se rapproche un peu de la grossesse. On fait grandir l’histoire dans son esprit, pendant un temps plus ou moins long, quand on se sent mûre, on commence à poser des mots, des phrases et quand le mot “fin” est là, on a en effet le sentiment jouissif d’avoir « mis au monde » quelque chose.
Justement la grossesse est un thème important d’Un merci de trop, comment est venue la genèse de ce roman, est-ce qu’il se nourrit de tes propres souvenirs  ? Comme je le disais, je n’avais aucune idée de là où j’allais quand j’ai commencé à écrire l’histoire de Juliette sur le blog. Je réfléchissais à des rebondissements possibles d’une semaine sur l’autre et je me suis dit « tiens et pourquoi pas une grossesse ». Il n’y a rien de mon histoire dans celle de Juliette. En revanche le personnage me ressemble (un peu, beaucoup ? Je n’en dirai pas plus sans la présence de mon avocat…)
Ton nouveau roman Tu as promis que tu vivrais pour moi aborde des thèmes moins légers, cependant d’après le pitch, l’héroïne tout comme Juliette envisage de changer radicalement de voie. Est-ce que ce thème de la renaissance est important pour toi ? Oui, ce sont des thèmes qui me tiennent à cœur. J’écris du feel good et quoi de plus intéressant que de prendre une héroïne et de l’emmener sur le chemin du bonheur et de la connaissance de soi. C’est important pour moi de véhiculer cette idée positive, qu’on est maître de ce que l’on fait de sa vie et que l’on a toujours la possibilité de faire des changements si on ne se sent pas heureux. Ne pas subir mais agir.
Est-ce que toi aussi tu as pu claquer la porte de ton travail alimentaire ? Hélas non. Mais ça viendra peut-être. J’en rêve bien sûr. Et peut-être qu’avec ce second roman cela se rapprochera. Il y a plein de belles choses qui sont en train de se passer autour de ce second roman, alors je me plais à espérer que peut-être dans un avenir proche ,je pourrai remplir mes journées d’écriture et en vivre.
Juliette rêve de vivre à New-York, est-ce que ce ne serait pas un de tes rêves également ? New-York, cette ville… Un an plus tard je ne m’en suis toujours pas remise. C’est grâce aux droits d’auteur d’Un merci de trop que j’ai pu faire ce voyage. Le symbole est pour moi très fort. J’ai vécu huit jours hors du temps, je ne pense qu’à une chose : y retourner. Alors l’idée d’avoir un appartement là-bas et de pouvoir y aller plusieurs fois par an… J’en défaillirais presque, rien que d’y penser.
Il me semble que le roman écrit par Juliette est actuellement en vente sur Librinova, non ? Est-ce que tu comptes encore lier les divers univers de tes histoires dans d’autres romans ? Alors Trois femmes est une nouvelle. C’est celle qui a gagné le concours Librinova auquel j’avais participé. Au départ, c’était une idée de roman que j’avais et j’en ai fait une nouvelle pour ce concours. J’ai aimé l’idée de faire un clin d’œil à ce texte dans Un merci de trop. C’est quelque chose que faisait Isabel Wolff dans ces premiers romans. On voyait furtivement apparaître dans le suivant, l’heroine du roman précédent. J’aime beaucoup. Et dans le troisième roman sur lequel je suis en train de réfléchir, je fais aussi un clin d’œil puisque l’héroïne rencontrera un des personnages de Tu as promis que tu vivrais pour moi (ahahahaha teasing de fou et information donnée en avant-première intergalactique).
Après la chicklit et le roman feel good, est-ce que d’autres genres te font de l’oeil en terme d’écriture ? Il y a ce qui me fait de l’œil et ce que je suis capable d’écrire. Je suis lucide, je serai parfaitement incapable d’écrire un thriller ou un roman à la Harry Potter. J’adorerais être capable d’inventer des mondes, mais je suis consciente de mes limites. Alors je vais rester dans le feel good et c’est un genre que j’affectionne en plus en tant que lectrice, donc ça ne m’ennuie pas du tout. Après, j’aimerais énormément écrire une saga, des personnages qu’on retrouve d’un roman à l’autre, qui évoluent. Je suis une grande fan de Sophie Kinsella et une série à l’image de L’accro du shopping est quelque chose qui me fait rêver.
Tu es également un peu blogueuse littéraire qu’est-ce que tu aurais à nous recommander en ce moment ? Mon énorme coup de cœur 2016 est pour le roman d’Anna McPartlin,  Les derniers jours de Rabbit Hayes . Ce roman est juste fabuleux et premier roman à m’avoir fait pleurer d’aussi loin que remonte ma mémoire de lectrice. Je viens de terminer hier la lecture du dernier Musso, Un appartement à Paris que j’ai également beaucoup aimé, c’est un thriller à l’intrigue très efficace. Je suis également fan de la plume de Joel Dicker et je ne peux que vous recommander de foncer sur La vérité sur l’affaire Harry Quebert et Le livre des Baltimore. Dernièrement j’ai lu aussi le nouveau roman d’Amélie Antoine, Quand on n’a que l’humour, un roman très touchant sur les rapports entre un père et son fils. J’ai aussi beaucoup aimé le dernier roman de Marie Vareille dont j’apprécie énormément la plume très moderne et drôle Là où tu iras j’irai. En fait, je peux en conseiller encore des dizaines et des dizaines ! ;-)
Enfin, qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour les mois à venir ? Que l’aventure continue et qu’elle soit toujours aussi belle ! J’ai l’immense chance d’avoir auprès de moi une équipe de choc pour m’accompagner : toute l’équipe de Librinova et toute l’équipe de Michel Lafon. Je me connais, j’ai besoin de ce soutien-là, de cette bienveillance pour avancer sereinement. Et qui sait ce que l’avenir me réserve encore… Si on m’avait dit en ouvrant le blog en juin 2013, que j’en serai là quatre ans plus tard, j’aurai probablement proposé à la personne de reprendre un verre…
Merci à Carène pour ses rires contagieux !
Lire Un merci de trop en cliquant ici, Trois femmes en cliquant ici
Précommander  Tu as promis que tu vivrais pour moi en cliquant là.
Retrouvez Carène sur son blog, sa page auteure Amazon, sa page Librinova, son Facebook et son Twitter.
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caelestiaal · 8 years ago
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[Buchbesprechung]: "Die Geschichte der Baltimores" von Joël Dicker
please, don’t delete the caption or alter credits. thanks!
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marinebouquine · 2 years ago
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L’énigme de la chambre 622 - Joël Dicker
“La vie, comme un roman, doit être une aventure.”
J’ai lu pratiquement tous les romans de Joël Dicker, mais à chaque nouvel opus, je suis de plus en plus réticente à la lecture. La raison ? J’avais été très déçue par La disparition de Stephanie Mailer, qui n’avait aucun intérêt pour moi, et depuis, je crains d’être confrontée à un nouvel échec de lecture. J’ai tenté le tout pour le tour avec L’énigme de la chambre 622 que je me suis offert avec une carte cadeau - je me disais ainsi que je culpabiliserais moins si, in fine, le roman ne me plaisait pas... 
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Qu’est-ce que ça raconte ?
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais. Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire. Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier ?
Est-ce que je suis totalement réconciliée avec Joël Dicker ? Pas tout à fait. Je continue de lui trouver des imperfections que je ne détectais pas forcément dans ses premiers romans : des personnages caricaturaux, des schémas redondants, des remarques qui tombent comme un cheveu sur la soupe, des dialogues assez vides, et des dénouements totalement rocambolesques et invraisemblables. L’énigme de la chambre 622 était certes un bon page-turner, qui se lisait avec facilité; mais les clichés de banquiers suisses assoiffés de fortune et de réussite, de jeunes génies à qui tout réussit sauf l’amour, les séparations tragiques entre âmes sœurs qui se retrouvent plus tard, les révélations totalement absurdes, les déguisements, les masques qui tombent en manquant parfois de cohérence et de réalisme, une riche héritière, un roman dans le roman...Pour moi, c’était un peu trop. La lecture n’était pas désagréable pour autant, mais je n’ai pas été absolument entraînée par le suspense, et je n’ai pas été comblée par les solutions offertes par l’auteur. Des lecteurs appréciant les retournements de situation, les rebondissements par dizaines, et les révélations au compte-goutte y trouveront peut-être leur compte. 
Est-ce bien grave ? Non, parce que j’ai par ailleurs accepté l’idée que j’ai préféré les récits rythmés par la présence de Marcus Goodman et qu’en son absence, il m’allait être difficile d’apprécier autant les enquêtes de Dicker. J’ai lu tous les Joël Dicker sortis à date, et je n’ai rien aimé tant que La vérité sur l’affaire Harry Quebert et Le livre des Baltimore. J’avais même beaucoup apprécié ce deuxième opus et ces nouveaux personnages, comme Hillel. Est-ce par la faute de Marcus seul ou par tout l’univers construit par l’auteur autour de ce protagoniste auquel il s’identifie en créant toutefois une nouvelle personnalité ? Aujourd’hui, je me suis fait une raison, et avant même d’entamer un nouveau roman de l’auteur suisse, je me prépare à ne pas succomber immédiatement et à ne pas tomber sous le charme comme pour Harry Quebert. Ce n’est pas une fatalité en soi, et ça ne me gâche pas le plaisir de lire un roman policier; j’appréhende juste le livre désormais avec une approche plus adaptée au plaisir qui en découlera. 
Est-ce que je reconnais la vertu thérapeutique de ce roman pour son auteur qui faisait ses adieux en beauté à son éditeur et ami ? Inévitablement. J’ai parfois trouvé gênantes dans le rythme de lecture et lourdes les nombreuses références à Bernard de Fallois, à travers lesquelles on sentait Joël Dicker évoquer ses souvenirs avec transparence, honnêteté et intimité; mais il est difficile de reprocher à un auteur de vouloir rendre hommage à celui qui l’a découvert, qui l’a fait grandir et lui a tout appris. Je trouve cela juste dommage que ces éléments n’aient pas été insérées de façon plus naturelle dans le récit, parce que chaque souvenir évoqué à propos de Bernard causait pour moi une rupture forte dans le rythme de l’histoire, à tel point qu’il était difficile de se remettre dans la dynamique de l’enquête ensuite. Un autre élément qui m’a beaucoup gênée dans cette perspective d’introduire le réel dans la fiction et de faire tomber le quatrième mur, c’est cette tendance à s’autoproclamer l’Écrivain, et à se jeter des fleurs et à rappeler son succès tous les dix pages. Seigneur, qu’il était satisfait de quitter la temporalité de l’Écrivain, cela permettait d’être épargné pendant plusieurs chapitres des remarques pompeuses de Joël Dicker sur son propre succès dont il aime visiblement beaucoup parler à la troisième personne en se cachant derrière un alter ego littéraire. 
Ainsi, L’énigme de la chambre 622 n’était pas un coup de cœur pour moi, mais ce roman reste un page-turner accessible quand on ne veut pas se prendre la tête à lire un policier compliqué - quoiqu’on s’y perd parfois un peu. 
Vous voulez l’acheter ? J’ai profité d’une carte cadeau pour commander ce roman à la Fnac pour 9,50€. Vous pouvez le trouver facilement en librairie, chez des bouquinistes ou en revente; ou le commander auprès de votre libraire préféré. 
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angelitam · 3 years ago
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Le livre des Baltimore de Joël Dicker
Le livre des Baltimore de Joël Dicker
Le livre des Baltimore de Joël Dicker – Editions de Fallois Le livre des Baltimore de Joël Dicker, présentation 24 octobre 2004, un mois avant le drame. Ils sont quatre, Marcus, Hillel, Woody et Alexandra, à se retrouver avant que Woody purge sa peine de prison. Deux jours plus tard, Marcus reçoit un appel de son oncle Saul qui lui demande de venir en urgence. Avis Le livre des Baltimore de Joël…
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runningtothesea · 7 years ago
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French novels - Rec list (part 2/2)
If you want to avoid spoilers, don't read the trigger warnings.
La nuit des temps (1968), René Barjavel
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This is a science-fiction novel about scientists finding vestiges of a civilisation, as well as a woman and a man buried under the ice in Antarctica. They manage to wake the woman up and she tells them all about her civilisation, which disappeared 900 000 years prior.
Themes: science, exploring, civilisation, love, unrequited love, soulmates, misunderstandings, death, war.
Trigger warnings: some stuff is done against the consent of characters (not sex), very sad, no happy ending at all (not at all!), pretty tragic really. But it’s still worth it.
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Un sac de billes (1973), Joseph Joffo
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This is an autobiographic novel about Joseph leaving his home with his older brother Maurice during the Second World war to join some of his family in the Zone Libre, in order to escape the Nazis.
Themes: war, Judaism, family, freedom, oppression, Nazism, death of a loved one.
Trigger warnings: obviously Nazism/fascism, death.
Difficulty level: French pupils often read this book in middle-school, so it is not very difficult when it comes to language.
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Le soleil des Scorta (2004), Laurent Gaudé 
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This novel narrates the lives of several generations of the same Italian family, living in a village that rejects it. I loved this novel because it’s really easy to get immersed in the décor and atmosphere of it.
Themes: family, friendship, rejection, life in a small town, cruelty, feuds, death, love, religion, abuse.
Trigger warnings: character deaths, abuse of many kinds.
Difficulty level: I don’t remember it being particularly difficult, then again it won the Goncourt (which is a prestigious award for novels), so the style is probably quite elaborated in some way or other.
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Le cœur cousu (2007), Carole Martinez
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I LOVE THIS BOOK SO MUCH (sorry, it’s just THAT good). I don’t think I know anyone who read it and didn’t like it (also I had the chance to meet the author when I was in high-school and got my book signed, and I’ll forever cherish this memory, it is totally irrelevant to this post but I had to talk about it). It is about a girl narrator and her family, it is quite hard to summarise, so I hope my minor freak out will be enough to convince a few people to give it a try. I’ll just add that this book is magical (in the figurative sense, but also because there is literal magic in the world in which the story takes place), and the atmosphere is dreamy and really original imo.
Themes: family, womanhood, mother/daughter relationship, gifts/talents, magic, tradition, travelling, changes, love, depression, religion, art.
Trigger warnings: all that comes to my mind right now is a passage talking about periods at the beginning of the book (so blood tw I guess), and depression.
Difficulty level: it’s pretty recent, so the writing isn’t that complicated I think. It’s still elaborated and beautiful writing, so it might ask for some kind of effort (but it’s definitely worth it).
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Un homme accidentel (2008), Philippe Besson
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A policeman meets an actor during a murder investigation and is immediately entranced by him.
Trigger warnings: this starts with an investigation after a prostitute was murdered, so it is dark.
Themes: love, homosexuality, feelings, adultery, fame, death.
Difficulty level: I honestly can’t remember (sorry), then again it  probably mean it’s pretty standard (if it was particularly difficult, I think I would have remembered it).
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Du Domaine des Murmures (2011), Carole Martinez
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And Carole Martinez appears a second time in my list with this shorter novel set in the Middle Ages. A young woman named Esclarmonde chooses not to marry and to stay confined in a cell until she dies. However she soon gives birth, which is taken as a miracle by the population.
Themes: religion, marriage, motherhood, miracles, loss, abandonment.
Trigger warnings: abuse, rape, incest, death by fire (yes, it’s a dark story).
Difficulty level: it can be pretty difficult because there is some unusual vocabulary (since the story takes place in the Middle Ages).
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La vérité sur l’affaire Harry Quebert (2012), Joël Dicker  
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A woman disappears in 1975. Her bones are found in Harry Quebert’s garden in 2008. Marcus, a writer, decides to help prove his friend Harry’s innocence. To be honest, I’m not even sure I remember how the book ends, but I really loved it. I remember being so hyped up on it I even wrote an essay to defend this book against my literature teacher’s criticism (because she didn’t like it for some obscure reason, while every one of my friends who read it absolutely loved it… I mean, this book is like more than 600 pages and I did read most of it in one sitting).
Themes: friendship, love, treason, writer’s block, inspiration, past and present.
Tigger warnings: I think someone is disfigured in this book, and we have a scene telling how it happened, if my memory hasn’t already gone whacky at such a young age. Apart from that, keep in mind that it is an investigation story.
Difficulty level: I do think it is quite easy, so go for it guys! :D
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Le livre des Baltimore (2015), Joël Dicker  
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This book is about the Goldman family. Marcus Goldman lives in New Jersey with his parents, and he’s fascinated with the Goldman family (his aunt, uncle and cousins) from Baltimore. This part of the family is a lot richer and more successful than Marcus’ family, but a tragic event disrupts everything. Will Marcus finally be able to find out what happened to the family he admired so much in his youth? I’ll let you see for yourself ;) I remember being disappointed by that book, but to be honest my expectations were too high because of how much I had loved the author’s previous book a few years before. It’s still a pretty good book.
Themes: friendship, family, money, success, family drama.
Trigger warnings: as the summary suggests, there is a tragic event that happened at some point, so it isn’t all rainbows and butterflies. Apart from that, I can’t think of anything in particular.
Difficulty level: pretty much the same as the previous book, I think ;)
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