#La promesse verte
Explore tagged Tumblr posts
Text
La promesse verte, l'appel d'Edouard Bergeon à ouvrir les yeux sur le Greenwashing
Edouard Bergeon dans ce drame aux allures de thriller politique dévoile les lobbies de l’huile de Palme, la promesse verte et des différents labels permettant de vendre de l’huile considérée écoresponsable. Derrière cette étiquette se cachent des crimes, des déforestations et différents arrangements politiques. Continue reading La promesse verte, l’appel d’Edouard Bergeon à ouvrir les yeux sur…
View On WordPress
#Alexandra lamy 2024#avis la promesse verte#exemple Greenwashing#Felix Moati#La promesse verte#la promesse verte analyse#le greenwashing c&039;est quoi#nouveau film Alexandra Lamy#Nouveau film Felix Moati
0 notes
Text
La promesse verte, l'appel d'Edouard Bergeon à ouvrir les yeux sur le Greenwashing
Edouard Bergeon dans ce drame aux allures de thriller politique dévoile les lobbies de l’huile de Palme, la promesse verte et des différents labels permettant de vendre de l’huile considérée écoresponsable. Derrière cette étiquette se cachent des crimes, des déforestations et différents arrangements politiques. Continue reading La promesse verte, l’appel d’Edouard Bergeon à ouvrir les yeux sur…
View On WordPress
#Alexandra lamy 2024#avis la promesse verte#exemple Greenwashing#Felix Moati#La promesse verte#la promesse verte analyse#le greenwashing c&039;est quoi#nouveau film Alexandra Lamy#Nouveau film Felix Moati
0 notes
Photo
Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2014. Dans la Bastide Borély, le Musée des Arts Décoratifs, de la Faïence et de la Mode. Une belle expo : “Jade, promesse d’éternité”.
Une cigale, un dragon, un lion, un lièvre...
#souvenirs#marseille#bastide borély#borély#musée borély#musée des arts décoratifs de la faïence et de la mode#jade#jadéite#chine antique#vert#cigale#lièvre#dragon#lion#jade promesse d'éternité#expo
5 notes
·
View notes
Text
Destinée ensorcelée
Résumé : Ivana, la fille aînée de Wanda, perd mystérieusement ses pouvoirs, ce qui la plonge dans une grande détresse. Ne sachant pas comment récupérer ses capacités, elle se tourne vers Agatha, une sorcière expérimentée, pour obtenir de l'aide. Ensemble, elles élaborent un plan pour ouvrir la route des sorcières, espérant que cela les mènera à une solution.
Pour renforcer leur magie, elles décident de réunir un sabbat, une cérémonie qui pourrait leur donner accès à des forces occultes puissantes. Cependant, alors qu'elles se préparent, des complications surviennent. Des forces obscures semblent contrecarrer leurs efforts, et des tensions émergent entre les participantes. Ivana et Agatha doivent naviguer à travers ces obstacles tout en découvrant des vérités cachées sur leurs propres pouvoirs et sur la nature de la magie. Cette quête les amène à remettre en question leurs croyances et à affronter des dangers inattendus, transformant leur aventure en un véritable test de courage et de détermination et d'amour.
Chapitre 1 : L’éveil d’une sorcière
Ivana Maximoff se trouvait au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait au ras du sol. Les arbres, aux troncs massifs et tortueux, semblaient murmurer des secrets anciens, leurs feuilles bruissant doucement dans le vent. La lumière de la lune filtrait à travers les branches, projetant des ombres dansantes qui ajoutaient une atmosphère mystérieuse à cet endroit.
Ivana sentait une présence, quelque chose de sombre et de malveillant qui rôdait autour d'elle. Les démons, aux traits grotesques et aux yeux luisants, émergeaient des ombres, leurs rires résonnant comme des échos sinistres. Ils se déplaçaient avec agilité, leurs corps se contorsionnant de manière surnaturelle, créant un spectacle à la fois fascinant et terrifiant.
Ivana, bien que pétrifiée, ressentait également une étrange curiosité. Elle pouvait entendre leurs chuchotements, des promesses de pouvoir et de connaissance, mais aussi des avertissements de danger. Chaque pas qu'elle faisait dans cette forêt semblait l'attirer plus profondément dans un monde où la réalité et le cauchemar se mêlaient.
Les couleurs autour d'elle étaient saturées, presque irréelles, avec des teintes de violet et de vert qui illuminaient la scène, créant une ambiance à la fois envoûtante et inquiétante. Ivana se tenait là, au milieu de ce chaos, son cœur battant à tout rompre, se demandant si elle pourrait échapper à cette danse macabre.
Ces silhouettes indistinctes semblent se rapprocher, glissant silencieusement sur le sol, créant une atmosphère de tension palpable.
Ivana, ressentant une présence menaçante, se réveille en sursaut. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine, et un cri perçant échappe de ses lèvres, brisant le silence de la nuit. Elle se redresse, les yeux écarquillés, cherchant désespérément à comprendre ce qui se passe. La lumière de la lune filtre à travers la fenêtre, projetant des ombres inquiétantes sur les murs, mais il n'y a personne d'autre dans la pièce.
En reprenant lentement ses esprits, Ivana réalise qu'elle vient de faire un cauchemar. Elle se frotte les yeux, essayant de chasser les images terrifiantes de son esprit. Elle se demande ce qui lui est arrivé durant cette nuit désastreuse. Pourquoi ces ombres l’ont-elles hantée ? Quel message caché se cache derrière ce rêve troublant ? Elle se sent perdue, comme si une partie d'elle-même avait été touchée par une peur inexplicable.
Les questions tourbillonnent dans son esprit, et elle se demande si ce cauchemar est le reflet de ses angoisses profondes ou d'une menace qui rôde dans sa vie éveillée. La nuit, autrefois paisible, semble désormais pleine de mystères et d'inquiétudes, laissant Ivana dans un état de confusion et de vulnérabilité.
☆○o。 。o○☆.☆○o。 。o○☆
Ivana était assise sur son lit, les draps froissés autour d'elle, témoins de son agitation nocturne. Son cœur battait encore la chamade, résonnant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle fixait le mur en face d'elle, mais son esprit était perdu dans un tourbillon de pensées confuses. Les images de ce qu'elle venait de vivre se bousculaient dans sa tête, si réelles qu'elle avait du mal à croire qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Elle passa une main dans ses cheveux en désordre, soupirant profondément. Les souvenirs de cette expérience troublante l'assaillaient, la laissant dans un état de confusion totale. Elle se leva lentement, ses jambes encore un peu faibles, et se dirigea vers la salle de bain.
Le carrelage frais sous ses pieds la ramena à la réalité, mais l'angoisse persistait. Elle ouvrit la porte de la douche, ajusta la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit chaude, presque brûlante, espérant que la chaleur apaiserait son esprit tourmenté. Alors qu'elle se tenait sous le jet d'eau, elle ferma les yeux, laissant les gouttes glisser sur son visage.
L'eau s'écoulait, emportant avec elle les résidus de ses pensées sombres. Elle se frotta les bras, comme si elle pouvait laver ses angoisses. Mais même sous le doux murmure de l'eau, les échos de son expérience la suivaient, la rendant incapable de se libérer de ce poids qui l'oppressait.
Ivana sortit de la douche, l'eau encore gouttant le long de sa peau. Elle avait enveloppé son corps dans une serviette moelleuse, l'odeur de son gel douche préféré flottant autour d'elle. Les gouttes d'eau glissaient sur ses bras, et elle se sentait rafraîchie, prête à affronter la journée. En entrant dans la cuisine, la lumière du matin filtrait à travers les volets, illuminant les surfaces en bois et créant une ambiance chaleureuse.
Elle se dirigea vers le réfrigérateur, son esprit encore embrumé par la chaleur de la douche. Elle ouvrit la porte, cherchant quelque chose à manger, quand soudain, un frisson d'inquiétude la traversa. Elle tenta de faire léviter une pomme, comme elle le faisait si souvent, mais rien ne se produisit. Ses mains, qui d'habitude émettaient une douce lueur, restaient désespérément normales.
Ivana plissa les yeux, se concentrant, mais aucun éclat magique ne se manifesta. Elle se mit à trembler, la serviette glissant légèrement sur ses épaules. "Non, pas maintenant," pensa-t-elle, sa voix intérieure teintée d'angoisse. Elle ferma les yeux, cherchant à ressentir cette énergie familière, mais elle était introuvable, comme un rêve qui s'estompe au réveil.
Les souvenirs de ses pouvoirs affluèrent dans son esprit : les moments où elle avait manipulé les objets avec aisance, où elle avait ressenti la magie pulser en elle. Tout cela semblait désormais hors de portée. Elle se retourna brusquement, ses yeux se posant sur le miroir de la cuisine. Elle y vit son reflet, une expression de confusion et de peur marquant son visage.
Ivana se mit à marcher nerveusement dans la pièce, le bruit de ses pieds nus sur le carrelage résonnant dans le silence. "Pourquoi cela m'arrive-t-il ? Qu'est-ce qui a changé ?" se demanda-t-elle, la panique commençant à s'installer dans son ventre. Elle se rappela des avertissements qu'elle avait reçus, des signes qu'elle avait ignorés.
Avec un soupir lourd, elle s'appuya contre le plan de travail, le cœur battant. "Il doit y avoir une explication," murmura-t-elle, la détermination commençant à remplacer la peur. Elle savait qu'elle devait trouver un moyen de comprendre ce qui lui arrivait, même si cela signifiait affronter des vérités difficiles.
Ivana se redressa, prenant une profonde inspiration, prête à se battre pour retrouver ce qu'elle avait perdu, même dans cette cuisine qui lui semblait désormais si ordinaire.
Ivana savait que la seule personne qui pourrait l’aider à retrouver ses pouvoirs était Agatha Harkness, mais demander de l’aide à cette femme était du suicide. Pourtant, la détermination brûlait en elle, et elle avait décidé d’y aller quand même.
Elle se dirigea vers sa voiture, une berline noire qui semblait presque impatiente de partir. Les phares s’allumèrent dans un vrombissement familier alors qu’elle s’installait au volant. "Allez, un dernier coup," murmura-t-elle pour se donner du courage, avant de démarrer en trombe en direction de Westview.
La route défilait à toute vitesse, le paysage flou derrière elle. Ivana se sentait à la fois excitée et nerveuse. Cependant, la vitesse était trop élevée, et bientôt, elle aperçut les girophare de police dans son rétroviseur. Son cœur s’emballa. "Non, pas maintenant," se dit-elle, mais il était trop tard. Elle se gara sur le bas-côté, la peur nouant son ventre.
Alors qu'elle attendait, Ivana pouvait sentir l'adrénaline pulser dans ses veines. La silhouette d'Agatha se dessina dans le rétroviseur. Elle s'approcha, un sourire mystérieux sur le visage.
Ivana, choquée, n'arrivait pas à croire qu'Agatha était là, en uniforme. "Agatha ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle, la surprise se mêlant à l'inquiétude.
Agatha se pencha légèrement, son expression sérieuse. "C'est détective O'Connor. Je ne connais pas d’Agatha désolé.," annonça-t-elle d'une voix suave, ses yeux pétillant de malice.
Après un rapide contrôle, Ivana continua son chemin en voiture, les pneus crissant sur l'asphalte. Le paysage défilait à toute vitesse, les arbres se transformant en flous vert et marron, tandis que son esprit était envahi par des souvenirs de son enfance. Elle savait qu’Agatha était touchée par le sort de la sorcière rouge, et cette pensée la hantait, mais elle était déterminée à retrouver une solution.
En arrivant devant son ancienne maison, Ivana ressentit un mélange de nostalgie et d'appréhension. La maison, bien que familière, semblait avoir perdu de sa splendeur. La peinture s'écaillait, et des herbes folles poussaient entre les dalles du chemin. Elle se gara rapidement et sortit de la voiture, le cœur battant à tout rompre.
En entrant, l'odeur de poussière et de vieux souvenirs l'accueillit. Les murs étaient ornés de photos jaunies, capturant des moments heureux d'une époque révolue. Ivana ferma les yeux un instant, se remémorant les rires et les jeux d'enfance. Mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Elle devait fouiller de fond en comble pour retrouver une solution afin de rompre le sort de sa mère.
Elle commença par la cuisine, ouvrant les tiroirs avec frénésie. Des ustensiles oubliés et des recettes jaunies l'entouraient. Rien d'utile. Elle se dirigea ensuite vers le salon, où le vieux canapé était recouvert d'une couche de poussière. Ivana souleva les coussins, espérant y trouver quelque chose de précieux. Elle trouva seulement des pièces de monnaie et des bonbons durs, oubliés depuis longtemps.
Frustrée, elle monta à l'étage, où se trouvait sa chambre d'enfance. La porte grinça en s'ouvrant, et elle entra dans la pièce. Tout semblait figé dans le temps. Les murs étaient recouverts de posters de ses idoles, et son bureau était encore chargée de livres et de cahiers. Elle fouilla chaque tiroir, chaque recoin, sa détermination grandissant avec chaque minute qui passait.
Finalement, dans un vieux livre de contes qu'elle avait laissé là, Ivana découvrit une page pliée. En l'ouvrant, elle tomba sur une formule ancienne, une incantation oubliée qui pourrait peut-être l'aider à rompre le sort. Son cœur s'emballa d'espoir. C'était peut-être la clé pour sauver sa mère et briser l'emprise d'Agatha.
Avec cette découverte, Ivana savait qu'elle avait fait un pas décisif. Elle devait maintenant retourner à Westview, prête à affronter Agatha et à utiliser tout ce qu'elle avait appris pour défendre ceux qu'elle aimait.
Ivana se tenait devant la porte d'Agatha, le cœur battant la chamade. Elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait, et maintenant, il était temps d'agir. Elle leva la main et sonna à la porte, le son résonnant dans le silence du quartier. Après quelques instants, la porte s'ouvrit lentement, révélant Agatha, les yeux écarquillés par la surprise.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » demanda Agatha, fronçant les sourcils, visiblement perplexe. Sa voix trahissait une inquiétude mêlée de curiosité.
Ivana, sans perdre une seconde, poussa doucement Agatha sur le côté pour entrer dans la maison. L'air était chargé d'une tension palpable. Elle se retourna alors pour faire face à Agatha, ses yeux brillants d'une détermination ardente.
« Écoute, j'ai pas le temps pour tout expliquer, » déclara Ivana d'une voix ferme, presque impatiente. « Il faut que tu m'écoutes et que tu me crois. »
Agatha, encore sous le choc, ne savait pas quoi répondre. Elle croisa les bras, la méfiance se lisant sur son visage. « Attends une minute, je ne te connais . Tu ne peux pas juste entrer chez moi comme ça et... »
« Oh c’est pas vrais j’avais oublier comment Agnes était pipelette» coupa Ivana, sa voix s'élevant légèrement.
Ivana, les yeux fixés sur Agatha, ressentait une vague d'émotions l'envahir. Elle savait que même si ses pouvoirs avaient disparu, la magie analogique pouvait encore opérer des miracles. Elle inspira profondément et murmura le sort, sa voix à peine audible, comme un souffle porté par le vent.
« Libère-toi, Agatha... » chuchota-t-elle, chaque mot chargé d'intention.
À cet instant, Agatha sentit une chaleur douce l'envelopper, comme si une lumière intérieure s'éveillait en elle. Elle plongea son regard dans celui d'Ivana, et un flot de souvenirs afflua. Chaque moment partagé lui revenait en mémoire, vibrant d'une tendresse oubliée.
Agatha, touchée par cette connexion, réalisa à quel point Ivana avait changé. La petite fille qu'elle avait connue était devenue une sublime jeune femme, pleine de force et de détermination. Ses traits étaient marqués par la maturité, mais une lueur d'innocence persistait dans son regard.
« Mini Maximoff, » murmura Agatha, penchant la tête sur le côté, un sourire ému se dessinant sur ses lèvres. « Je suis surprise de te voir ici. »
Ivana, un léger sourire aux lèvres, sentit une chaleur envahir son cœur. « Je sais que c'est inattendu, mais j'avais besoin de toi, Agatha. »
Agatha hocha la tête, la surprise laissant place à une compréhension profonde. « Je vois. Tu as beaucoup grandi, ma chère. Mais dis-moi, que veux tu ? »
Ivana, le regard déterminé, se tourna vers Agatha, son cœur battant avec une impatience palpable. « Je veux rejoindre la route des sorcières, » annonça-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Agatha plissa les yeux, un sourire ironique aux lèvres. « La route n'existe pas, Ivana. C'est une légende, une illusion. »
Ivana, frustrée, secoua la tête. « Ne sois pas une menteuse, Agatha ! Je sais que ça existe. »
Agatha s'approcha d'elle, son regard perçant comme une flèche. Avec douceur, elle déplaça une mèche de cheveux d'Ivana derrière son oreille, créant un moment d'intimité.
« Écoute-moi, » murmura-t-elle. « La route va te tuer. »
Ivana, choquée, observa Agatha s'éloigner, se sentant à la fois trahie et confuse. « Mais tu ne t'es pas fait tuer, toi ! » lança-t-elle, tentant de garder sa voix ferme.
Agatha se retourna, un air de défi dans ses yeux. « Moi, je suis exceptionnelle. » Elle laissa échapper un léger rire, comme si la question ne méritait même pas d'être débattue.
Ivana, ne se laissant pas abattre, croisa les bras, son regard défiant. « Je vais aller sur la route, avec ou sans toi. »
Agatha éclata de rire, amusée par la détermination d'Ivana. « Et qu'est-ce que tu veux vraiment de cette route ? »
« Retrouver mes pouvoirs, » répondit Ivana, sa voix empreinte de passion.
Agatha, sérieuse à présent, hocha la tête. « Pour ça, il te faudra un sabbat. »
Ivana, intriguée, se pencha en avant, désireuse d'en savoir plus.
« Un sabbat ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »
Agatha, avec un air mystérieux, se contenta de sourire. « Tu as encore beaucoup à apprendre, ma chère. »
Agatha se leva, déterminée, et se dirigea vers le porte-manteau. Elle attrapa sa veste en cuir noir, la passant rapidement sur ses épaules, avant de chausser ses bottines à talons. Le bruit des fermetures éclair et le claquement des semelles résonnaient dans l'air, créant une ambiance de tension palpable.
Elle se retourna alors vers Ivana, qui était toujours figée, son regard perdu dans le vide. Agatha plissa les yeux, un sourire amusé sur le visage. « Aller, c’est pas en restant figée comme ça qu’on va trouver un sabbat, » lança-t-elle avec une pointe d'ironie dans la voix.
Ivana, surprise par l'énergie d'Agatha, sentit son cœur s'accélérer. Elle voulu répondre, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Agatha, ne laissant pas le temps à Ivana de réagir, tourna les talons et s'apprêta à quitter la pièce.
« Je regrette immédiatement cette décision, » murmura Ivana, presque inaudible, alors qu'une vague de doute l'envahissait.
Elle soupira, se sentant tiraillée entre son envie de rester et celle de suivre Agatha.Après un moment d'hésitation, elle prit une profonde inspiration et se décida à la suivre. « Comment les choses vont-elles se passer ? » se demanda-t-elle, angoissée mais excitée à l'idée de l'inconnu qui l'attendait. Elle rattrapa Agatha, se préparant à plonger dans cette aventure qui pourrait changer leur destin à toutes les deux.
17 notes
·
View notes
Note
Trop jeunes pétales soufflés par les vents noirs Échoués sur les rives d'une mer de silence Combien encore devrons-nous attendre Que passent les orages
Ô fuge dissonnante Berce nos pas vers l'horizon
Car tout au bout de ces sentiers de cendres Nous attend la promesse d'un ciel plus calme Et si de nos peines naissеnt de nouveaux espoirs Lеs flammes éteintes trouveront leur grâce
Trop loin de nos terres où chantent les ruisseaux Trop loin de nos frères en proie aux nuits d'ombre
Pourrons-nous un jour, retrouver ensemble Ces verts paysages
Car c'est là que nous chantons depuis des âges Ignorant l'hiver et la foudre des armes Dorés souvenirs de nos innoncences Aujourd'hui envolées si loin
youtube
This is pretty
4 notes
·
View notes
Text
L'homme propose... ou croit le faire
''L'homme propose, et Dieu dispose...''. Cette jolie phrase qui remet soigneusement chaque chose à sa place (et il paraît même que c'est dans ce cadre-là que les vaches seraient le mieux gardées...) est devenue une sorte de proverbe passe-partout. Elle reste d'une actualité brûlante, alors qu'elle date de 600 ans (''Homo proponit, sed Deus disponit'', tirée de L'Imitation de Jésus-Christ (XV ème siècle), bouquin dont très peu de gens savent qu'il est, de nos jours encore, le livre le plus imprimé de tous les temps, après la Bible. Je vais la prendre pour exemple de la distorsion de facto qui existe entre nos désirs et les réalités... qu'est ma situation personnelle à ce jour.
Ceux d'entre vous, chers Amis-lecteurs, qui avez eu la patience de lire jusqu'à la fin l'Addendum chronologique à mon avant-dernier éditorial (Le Trou) n'ont pas pu ne pas être admiratifs devant la précision des détails fournis, relatifs à tout ce qui devait se passer dans les 2 mois qui suivaient, en commençant par une petite visite sur mes terres jurassiennes suivie d'un assez long séjour sous les ciels glorieux de l'île Maurice. En permanence, il jaillissait de mes poches une foultitude de ''QR Codes'' aussi inquiétants que perturbants : on voyait que j'avais tout prévu !
Tu parles ! A peine arrivé dans le Jura, une infection pulmonaire --fille de l'embolie pulmonaire que j'avais si mal soignée au mois de mai dernier-- m'a transformé en chape de plomb. Impossible de faire quoi que ce soit. Abandonnant ma voiture dans mon garage, je suis rentré à Paris en train, dare-dare... avant une hospitalisation de plus d'une semaine à Ambroise Paré --Urgences, pour commencer, et Pneumologie, ensuite.
Adieu lagons verts, cocotiers frémissants, cocktails parfumés et eaux translucides presque tièdes, où la vie foisonnante est si jolie à contempler à travers le masque de plongée... Adieu couchers de soleil sanglants ou petits matins rouges et or... Adieu, projets colorés et sables doux sous les pieds... Adieu, même, la célèbre ''vague'' Manawa, qui étend son rêve pour surfeur sur plus de 7 km : Esculape et Hippocrate semblaient s'être ligués contre moi pour m'assurer un futur proche exclusivement rempli d' IRM et de ponctions pulmonaires --le genre de distractions dont on se prive sans trop de regrets... même si, tout bien mesuré, la vue de ''ma'' Chambre d'hôpital, plongeant du 5 ème étage sur le Bois de Boulogne, avec la Tour Eiffel comme fond de décor, est vraiment belle... ou pourrait l'être, n'était la grisaille uniforme et déprimante qui sert de ''toit'' à la Ville lumière, totalement éteinte par le sectarisme primaire d'une édile délitée...
Tout ce lyrisme, un peu triste tout de même, pour vous dire que tous les items contenus dans mon édito de fin octobre sont nuls et non avenus. Je vais tout faire pour me remettre sur pieds le plus vite possible et reprendre le petit train-train de notre rythme habituel (depuis novembre 2013, on a eu le temps de s'y acclimater, vous en récepteurs et moi en émetteur !), mais ma faiblesse extrême du moment ne me permet aucune promesse qui puisse être sérieusement tenue. Je vais tenter un retour sur vos écrans, mais je vais reprendre la phrase que j'utilisais hier pour vous parler de Trump : ''Que sera, sera..." !
H-Cl
3 notes
·
View notes
Text
...Catherine s’était jointe à nous pour mon plus grand plaisir et mon plus grand supplice. Il y avait l’odeur de l’eau, l’odeur de vase fraîche et verte. Il y avait le feuillage qui tamisait le soleil, le clapotement paisible des rames et les bulles que faisaient les poissons qui remontaient à la surface pour gober les moucherons. Il y avait nos yeux qui clignaient chaque fois que nous sortions du confort de l’ombre… Il y avait la douceur d’un jour heureux et nos sourires béats, idiots… Et enfin, il y avait les seins petits et fermes aux tétons bruns de Catherine qui, pas vraiment pudique, avait déjà enlevé son t-shirt… Et nous ne savions plus qui, du soleil ou de son corps était le plus éblouissant ! Sa peau ruisselait de désir, de promesses, de volupté… De rêves humides. Elle était belle et sensuelle et le savait ! Et savait que nous le savions. Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ! Nous parlions peu, engourdis par la chaleur et la douceur de nos pensées qui accompagnaient les araignées posées sur les feuilles et les herbes qui ondulaient au fil de l’eau. De temps en temps, nous laissions dériver l’embarcation et nous nous allongions en fermant les yeux sous les coulures de lumière et de chaleur....
PJ
42 notes
·
View notes
Text
Le soleil et le blé
Il était une fois le soleil et le blé. Et la voilà, elle avance. Un tapis rose plutôt que blanc. Sur ces épaules un costume, la veste déboutonnée, ouverte sur son ventre. Une brassière jaune qu’on devine, sous les fleurs bleues imprimées. Derrière elle, des fleurs encore, des lavandes et un champ. Le ciel, au loin. Bleu, lui aussi. Elle avance sans sourire mais heureuse toutefois, les cheveux dans le vent, ses pieds nus sur le tapis. Rose parce que la joie. Rose parce que pourquoi pas ? Et sa mère, robe verte, et son père, torse à l’air, bras contre bras, tous les trois les voilà. Ils avancent tous ensemble au milieu de ce parfum violet et lui les regarde arriver, à l’autre bout du tapis. Sa mère est là aussi, un chapeau sur la tête, et son père, jaune poussin la chemise et des alliances dans les mains. Entre leurs doigts, elles glissent, quand les mots de l’amour tombent des lèvres et des yeux de leurs mères, quelques larmes cachées. C’est ainsi, ils se le promettent, un mariage bienheureux, sous les coups de soleil et les bouquets de pins. Quelques éclaboussures, de mer et de rivière, le pastis, les olives, la pétanque, comme les vieux, parions sur les clichés. Les enfants, peut-être un jour, on verra, rien ne presse, n’abusons pas de promesses. Rien de trop grand mais de l’amour. Parce qu’après tout pourquoi pas. Parce qu’après tout la vie, parce qu’après tout la joie.
#my art#fashion#women#my post#art#illustration#mode#illustrator#artists on tumblr#digital art#artwork#drawing#drawings#hand drawn#my draws#tumblr draw#my text#my artwork#my#my writing#wedding#love#lovers#writing#writers on tumblr#creative writing#illustragram#illustrative art
2 notes
·
View notes
Text
CollAGE D(ouble)
CollAGE D | Lotophagus Records | 2024
1. Le moteur tourne encore, mais le véhicule est à l’arrêt. À l’extérieur, des promesses bucoliques, de la nature radieuse : entourées de béton. Petits oiseaux qui chantent dans le parc… Ils ne se doutent pas. Et pourtant… Même une journée aussi ensoleillée, aussi tranquillement nonchalante, peut être le cadre rêvé d’un drame. Ça arrive tout le temps. Untel apprend la mort d’un ami proche, tel autre qu’il est atteint du cancer, telle autre que son mari la trompe, tel autre qu’il va nécessairement lui arriver quelque chose de pas très sympathique, puisque des gros bras l’ont kidnappé. Ce con essaie de taper dans la porte du coffre, ou de soulever la plage arrière. Je serre le volant, machinalement. De toute façon, il y a trop de bruit dehors pour qu’on puisse l’entendre. J’ai tout de même envie d’engueuler Maurice, de lui dire : putain, tu l’as mal ligoté ou quoi ? J’ai envie de l’appeler Momo. Je sais qu’il déteste ça. Il est sur les nerfs, lui aussi. Il me devance. Pourquoi t’es passé par là ? me dit-il. Tu savais pas que c’était jour de marché ? Le feu passe au vert, j’embraye. On sort de la ville. Un peu plus loin, on est encore arrêtés par un passage à niveau. Long train de marchandise, puis la campagne.
2. On est arrivés à l’entrepôt. Gégé remplit les bassines pendant que le con attend encore dans la bagnole, encagoulé. La Perceuse étale ses outils de travail. Il en a bien cinquante, parfaitement alignés sur la table dépliante. Il est parfois difficile de deviner l’usage de certains, qu’est-ce que c’est censé pincer, qu’est-ce que c’est censé couper, où est-ce que c’est censé s’introduire… Maurice attend que les instructions arrivent sur le téléphone jetable. Parfois j’ai l’impression qu’il joue à un jeu vidéo ; ce genre de modèle tout en plastique bipe pour un rien. Gégé et La Perceuse comparent leurs attirails. Ils se charrient entre potes, comme deux catcheurs avant un combat, à qui prétend mieux faire, entre la méthode dite technologique et la méthode dite artisanale. Gégé dit qu’avec lui, c’est du propre. La Perceuse lui rétorque qu’il a encore ramené une vieille batterie qui suinte, qu'il ferait mieux de la fermer, alors qu’avec lui, au moins, tout est sous contrôle, qu’il sait doser… L’ambiance est plutôt bon enfant. Sur la banquette arrière, je crois que l’otage récite des psaumes ou je ne sais quoi. Va ! Si ça peut l’aider à garder son calme… Ça sera toujours supplications et pleurniche, quand on le lui fera couler, son sang-froid. Alors, Maurice, ça vient ? Je me garde bien de dire que je ne serais pas contre un contrordre. Ça y est, ça sonne. Oui, dit Maurice. Oui. Non. D’accord. Je regarde comment réagit l’otage. Il se tait, il écoute… Maurice raccroche. Alors, Maurice, on fait quoi ?
3. Ça allait commencer quand ils m’ont envoyé chercher le toubib à cause de Big R. Je ne l’aime pas, Big R. Il est aussi con que son pseudo. Et il se fout toujours dans la merde. Apparemment, cette fois-ci, il se serait pris une balle… Mais pas mécontent de ne pas pouvoir assister au travail à cause de ça. Je ne suis que le chauffeur, moi, dans cette histoire… Je suis la route champêtre avec la fenêtre ouverte, en écoutant un CD pour me détendre : du jazz un peu trop free pour quand il y a Maurice à côté de moi. Putain, mais il ne font plus pousser que du maïs par ici ? Et du colza. Je débouche sur une parcelle de forêt. Je longe la rivière. Des nuées de moineaux à la sortie. J’arrive enfin dans le hameau. Le vieux m’attend déjà avec sa mallette, derrière le portail. C’est un médecin à la retraite. Cela se voit. Ça démarche est tout aussi disloquée que les couacs de saxo. Il dit qu’il a encore la main. Il n’y a pas non plus avalanche de concurrents… Il dit que c’est les pieds et les genoux qui ont trinqué, que c’est pour ça qu’il ne conduit pas. À peine monté, il me demande de couper le disque, parce que ça l'agace. Le toubib, lui non plus, je ne l’aime pas.
4. Big R était planqué chez Annette. Elle aurait bien pu aller chercher le toubib elle-même. Ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Maintenant, la nuit est en train de tomber. Je dois être mort depuis deux heures ou trois. Je ne sais même pas vraiment pourquoi. Je sens que je fais corps avec la terre, avec l’humus, avec les racines, avec les insectes… Je sens que je suis en train de nourrir la forêt. Moi, le chauffeur, me voilà complètement étranger au son des rares voitures qui passent. C’était malin de la part de Big R, tout de même, d’utiliser un fusil de chasse. C'est vrai qu'il y a plein de battues dans le secteur, en ce moment…
5. Thierry, tout tremblant, explique encore une fois aux gendarmes. Tout s’embrouille dans sa tête, et il s’inquiète pour ses deux fils, forcément eux aussi traumatisés par leur découverte dominicale… Thierry répète : ils étaient là, en ballade, pour essayer leurs nouveaux VTT. Et paf, c’est le plus petit qui tombe sur le cadavre, au milieu des gazouillis. Le gendarme tape uniquement des index, mais il tape fort et vite, comme une mitraillette. Thierry se demande si Inès va chercher à lui sucrer la garde du week-end. Parfois Thierry a l’impression que le sergent le suspecte… On lui fait signer sa déposition, on lui dit de ne pas partir en vacances. Il sort du bureau. Les enfants l’attendent en compagnie de la seule femme de la brigade. Ils ont l’air déphasé, mais calme. Thierry a la gorge serrée. Il leur avait promis d’aller au restau, ce midi. Puis il réalise qu’ils vont vouloir rentrer chez Maman, de toute façon.
3 notes
·
View notes
Text
Nuit du dimanche 5 mai 2024
Combien de temps mon cœur va-t-il encore s'épuiser ? C'est une question qui tourne en boucle dans mon esprit, comme un refrain lancinant. Mes larmes, elles, semblent être devenues une compagne quotidienne, érodant lentement la résilience de mes yeux. Parfois, elles coulent avec la fureur d'une rivière de lave en fusion, brûlantes et implacables, emportant avec elles toute forme de sérénité. Depuis une semaine, je porte comme un fardeau une teinte insolite, un mélange improbable de vert et de rouge sang sur ce qui me reste de globe oculaire. Une nuance que je n'aurais jamais imaginée sur mon âme tourmentée, mais qui s'impose désormais comme une marque indélébile de ma douleur intérieure. Et pourtant, étrangement, je ne peux m'empêcher d'admirer ce contraste saisissant, comme un tableau abstrait peint par la souffrance elle-même. Mais c'est surtout à l'intérieur, là où réside mon cœur, que la tempête fait rage. À la place de la chaleur réconfortante d'un cœur palpitant, je sens comme un poignard froid et rouillé, pesant sur mes émotions les plus vives. Il semble vouloir arracher chaque parcelle de bonheur, chaque once de joie, laissant à la place un vide béant, un gouffre abyssal que je tente en vain de combler. Il fut un temps où je trouvais refuge dans de petites pilules, cherchant à étouffer mes émotions sous leur voile apaisant. J'espérais naïvement qu'elles pourraient éteindre le feu qui dévorait mon âme. Mais aujourd'hui, même leur douce promesse de paix semble lointaine, perdue dans les méandres de mon désespoir croissant, car je n'ai plus recours à elles. En surface, je me présente comme une femme forte et intrépide, une guerrière façonnée par les épreuves de la vie. Je porte le masque de la résilience avec fierté, bravant les tempêtes avec une détermination inébranlable. Mais lorsque les ténèbres envahissent mon univers, tout bascule. Les murs que j'ai érigés autour de moi s'effondrent, et je me retrouve seule face à mes démons, prisonnière de ma propre mélancolie. C'est alors que je m'évade ici, dans ces mots, cherchant un exutoire à ma douleur, un échappatoire à ma solitude. Mais même dans ma détresse, je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour vous, cher lecteur. Mes confessions ne vous plongent elles pas trop dans l'abîme de la tristesse ? Peut-être que vous aussi, vous êtes en quête de reconstruction, cherchant à recoller les morceaux d'un cœur brisé par les tourments de l'existence. Si tel est le cas, peut-être pourrions-nous marcher côte à côte sur le chemin escarpé de la guérison ? Mais pour l'instant, les questions demeurent. Comment remplir un cœur vide ? Comment apaiser des yeux brûlants de larmes et de désespoir ? Cette nuit, alourdie par un épais brouillard, semble suspendue dans le temps, figée dans une immobilité oppressante. J'aspire à voir l'aube, à contempler les premiers rayons du soleil qui chassent les ombres. En attendant, je me plonge dans ma lecture, cherchant refuge dans les mots réconfortants de "Ressac" de Diglee. Une ode à la solitude et à la lenteur, un miroir de mon propre état d'âme. Comme cela tombe à pic, comme une bouée de sauvetage jetée à une naufragée en pleine tempête.
#ecriture#writer#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#french poetry#you broke my heart#heartbreak#heart#mental health#santé mentale#love#rupture#prose#prose poetry
2 notes
·
View notes
Text
2 notes
·
View notes
Text
Choisissez des amis, des amants et des amours qui sont des ailes fortes avec qui vous envoler, qui vous aident à naître, même quand naître fait mal, pour découvrir qui vous êtes vraiment, pour vous rendre meilleurs. Choisissez qui vous reproche par trop d'affection, au lieu de ceux qui vous console par commodité. Celui qui vous affronte, vous crie dessus et il reste. Choisissez celui qCe matin, j'ai souri sans m'en rendre compte.
C'est peut-être comme ça qu'on recommence..
ne vous enchaîne pas à l'immobilité du sol, mais dessine pour vous un autre morceau de ciel. Ceux qui ne font pas de promesses et les maintiennent. Qui trahit les attentes, parce qu'il n'y a pas d'autre façon d'honorer la vie, dans sa magnifique imperfection. Qui vous change les yeux, ou vous les renvoie pour la première fois, montrant une façon différente de regarder. Choisissez qui vous pousse à se battre, à se battre, à grandir, à expérimenter. Qui invente chaque jour de nouvelles couleurs, et a assez d'inconscience pour arrêter le vert avec le jaune, le bleu cobalt avec le rouge rubis, parce que rien ne nous fait plus courageux que la capacité de briser les schémas et de renverser l'évidence. Choisissez qui vous fait peur. Ensuite, choisissez qui vous donne envie de gagner cette peur.
11 notes
·
View notes
Text
📌[TRÉSOR] 🐳 10 LIVRES MER 2 I 10. Avouons-le, c’est la couverture de sa version originale parue aux EDITIONS ALBIN MICHEL qui m’a marqué, même si je préfère d'ailleurs celle de la version anglo-saxonne (Cf. ci-dessous).
J’ai lu ce récit quand je me suis intéressé aux navigatrices qui à la rame (ANNE QUEMERE) ou en planche à voile (Raphaëla LE GOUVELLO) s’attaquaient à leur tour à la traversée du Pacifique.
Je dois aussi confier que le nom du protagoniste – Thor Heyerdahl – m’interpellait. Cela faisait très viking comme sonnait bien également « Kon Tiki », le nom de son radeau lancé dans une traversée d'un océan à tord baptisé de Pacifique.
La promesse d’aventures et d’inattendus était forte…
〰️
📚 10 LIVRES MER 🌊 #2 BEST-OF I Par Stéphane Dugast
✔ L’EXPÉDITION DU KON-TIKI sur un radeau à travers le Pacifique de Thor Heyerdahl, 1948.
〰️
✒️ HISTOIRE Le récit de l'expédition maritime menée en 1947 par Thor Heyerdahl, anthropologue, archéologue et navigateur norvégien, à bord du radeau baptisé « Kon-Tiki ».
〰️
💬 CITATION
« Plus d'une fois enfin, en de telles nuits, nous avons sursauté parce que deux yeux ronds et brillants surgissant, soudain de la mer à côté du radeau, nous fixaient sans faire un mouvement, comme pour nous hypnotiser. Nos visiteurs étaient souvent des pieuvres géantes qui venaient flotter à la surface de l'eau, leurs yeux verts diaboliques luisant dans l'obscurité comme du phosphore.»
〰️
#litterature#mer#aventure#bestof#sélection#selection#roman#océan#ocean#livre#livreaddict#livres#livresphares#litteraturemaritime#littératuremaritime#stéphanedugast#stephanedugast#expédition#norvège#pacifique#traversée#radeau#kontiki#thorheyerdahl
2 notes
·
View notes
Text
05/12/18 : Fume l'espoir
L'aéroport est bondé. Des enfants, des adultes, des agents de sécurité, il est entouré par la foule. Il voit de loin les escrocs, habitués à arnaquer des touristes. Il voit des mendiants, qui font appel à la charité de l'humanité. Un rictus menace de remplacer son sourire parfait, mais il tient son masque en place. La charité de l'humanité, quelle belle blague ! Comme si un être aussi fou que l'Homme pouvait comprendre le sens de ce mot. Connaissait-il seulement son existence ? Il se reprend mentalement. Inutile de tergiverser, ou ses pensées dériveraient trop profondément dans ses souvenirs, et alors, Hyperion était certain de perdre définitivement le contrôle. Une de ses mains passe dans ses cheveux blonds vénitiens, déjà parfaitement coiffés. Il se trouve devant l'escale de l'aéroport, où d'une minute à l'autre, la touriste dont il a été chargé de s'occuper arrivera. Il se souvient de son étonnement, lorsque le STTM, le Service de Transports et Tourisme Magiques, lui avait dit de se rendre dans ce grotesque aménagement moldu afin d'accueillir cette sorcière Australienne, cette sorcière qui n'avait pas voulu prendre un moyen de transport magique. Seul un détail chez cette étrangère l'avait fait accepter le travail, autrement il aurait refusé de s'y rendre. Ses yeux verts froids scrutent avec attention les gens qui déferlent dans l'escale, et il brandit bien devant lui ce carton qui comporte ces deux mots qui l'ont fait changé d'avis. Hope Smoke. L'espoir, ça le connaît. Ce sentiment d'ivresse traître, qui vous transporte dans une autre dimension, et attend que vous ayez fermé les yeux pour pouvoir vous poignarder, et vous brûler à petits feux... l'espoir qui vous fume, ou vous fumant l'espoir, qu'importe le rôle que vous jouez, le résultat final revient toujours au même : vous, seul, au milieu de ce brouillard qui, jadis, était un amas de rêves et de promesses que vous chérissiez. Il s'est préparé à la confrontation. Exactement comme son géniteur lui a appris, il a appliqué toutes les leçons qu'il a reçues. Vêtu d'un costume moldu sobre mais chic, des chaussures noires cirées et une malle qu'il tient de sa main droite, il patiente. Un sourire resplendissant accroché aux lèvres, qui n'attend qu'un signal de sa part pour déballer son discours charmeur, son regard qui garde l'entrée de ses pensées calculatrices, son visage qui n'exprime que la paix et la sérénité. Il est le calme avant la tempête. L'allumette qui va mettra le feu à la cigarette. Et la question qui semble brûler les lèvres de tout le monde : à qui sera la clope ? À lui, ou à l'espoir ? Hope smoked by Hyperion. Hope smokes Hyperion. H smokes H or H smoked by H ? Il la voit, et ses yeux froids s'embrasent. Une soudaine montée d'adrénaline, de stresse, de trac le submerge. Son sourire se creuse encore, formant une petite fossette sur sa joue. Sa peau est mate, ses iris vertes. Pas du même vert que les siens, elle les a plus clairs, moins sombres, plus vifs. Il se fait la réflexion qu'ils sont deux contraires parfaitement opposés, mais que dans leur différence, ils se ressemblent. Ça l'effraie, ça le bouleverse. Il voit ses lèvres couleur rouge carmin, il ressent les épreuves que lui a fait subir le destin. Elle ne doit pas dépasser le mètre soixante, et pourtant, quand son regard se pose sur elle, il voit sa peine et sa douleur, son deuil et sa souffrance, ses craintes et son désespoir. Hope Smoke, ou plutôt Smoked Hope ?
2 notes
·
View notes
Text
La paranoïa est en fleur
Les transmissions PR reprendront
Ils essaieront de pousser des drogues qui nous maintiennent tous muets
Et j'espère que nous ne verrons jamais la vérité autour
(Alors venez)
Une autre promesse, une autre scène
Un autre mensonge emballé pour nous garder piégés dans la cupidité
Et toutes les ceintures vertes enroulées autour de nos esprits
Et des formalités administratives sans fin pour garder la vérité confinée
(Alors venez)
Ils ne nous forceront pas
Ils arrêteront de nous dégrader
Ils ne nous contrôleront pas
Nous serons vainqueurs
(Alors venez)
Interchanger le contrôle de l'esprit
Viens, laisse la révolution faire des ravages
Si tu pouvais actionner l'interrupteur et ouvrir ton troisième œil
Tu verrais qu'on ne devrait jamais avoir peur de mourir
(Alors venez)
Lève-toi et reprends le pouvoir
Il est temps que les gros chats aient une crise cardiaque
Tu sais que leur temps touche à sa fin
Nous devons nous unir et regarder notre drapeau monter
(Alors venez)
Ils ne nous forceront pas
Ils arrêteront de nous dégrader
Ils ne nous contrôleront pas
Nous serons vainqueurs
(Alors venez)
Ils ne nous forceront pas
Ils arrêteront de nous dégrader
Ils ne nous contrôleront pas
Nous serons vainqueurs
3 notes
·
View notes
Text
Qui est responsable ?
Le logiciel des princes qui croient qu'ils nous gouvernent alors qu'ils nous mènent à l'abattoir tient en trois mots : ''la transition verte'', un échec sanglant... leur satanée ''mondialisation'' (malgré son échec XXL)... et leur ''Europe'' qui n'est qu'une machine liberticide... Pour eux seuls, ces trois incongruités sont les seules clés du futur. Et si pas une seule n'a jamais marché... ce serait, à les écouter, ''parce qu'il faut plus des trois !'' (sic !), ce qui est une ''dystopie'''. Tout le monde le sait (jamais la confiance en la parole officielle n'a été aussi basse), mais personne ne dit rien.
Cette énorme erreur d'aiguillage, on la connaît et on la subit depuis longtemps. En revanche, ce qui a surpris, c'est la vitesse de cette victoire du faux sur le vrai, obtenue à peu de frais (pour eux). Mais ils dominent tout avec une efficacité d'autant plus redoutable que le ''système'' est vraiment au point : il détruit tout, contrôle tout, ronge tout, avale tout, confisque tout... et ne produit rien en retour (au mieux, il redistribue... et encore... très mal !). La ''crise agricole'' vient de trouver une non-solution factice –puisque limitée à ''un report temporaire'' : nos doctrinaires n'ont rien lâché !
En résumé : une “caste” sans mérites particuliers autre que son ambition croit avoir reçu en partage le pays et ses richesses (devenues des prébendes, des rentes à vie, et des copinages florissants. Cf le gouvernement annoncé ce jeudi soir), et a délégué à une Administration pléthorique, qui est surpayée au sommet et dont la base croule sous des avantages syndicaux et statutaires, mais immérités et indus, qui se fout comme d'une guigne des habitants, tour à tour “usagers”, assujettis ou contribuables, des “ceux qui ne savent pas et n'ont pas besoin de savoir’’, inférieurs aux ’‘ceux qui savent et décident”. Et, pour paraphraser Voltaire, “que croyez-vous qu'il arrivât ? C'est le contribuable qui creva !”.
On l’a un peu oublié, mais tant le mouvement des gilets jaunes que la révolte paysanne actuelle (son dernier rejeton à ce jour), sont nés de la jacquerie fiscale de la France dite périurbaine –en vérité stigmatisée--, cette France de la clope et du diesel (comme avait osé le dire le macronien pur jus Griveaux). Ces maltraités se sont révoltes une première fois en novembre 2018 contre la fausse écologie (fausse, mais douloureuse) et contre une inutile taxe carbone. Ils ont prévenu sans agressivité la France des villes qu’ils avaient deux mots à lui dire à propos. Mais cela fait si longtemps que les “français de souche” ferment leur gueule que ce simple ''appel pour personne en danger'' fut une surprise pour des bureaucrates habitués à un ''entre soi'' qui exclut le peuple.
Le pouvoir, pas aussi con qu'il en donne l'impression, a mis au point un gigantesque artifice pervers, factice, mensonger, nuisible, et j'en oublie : le covid, c'est-à-dire une fausse pandémie d'une fausse maladie mensongèrement prétendue gravissime qui a condamné les populations à être emprisonnés chez elles, à des limitations inutiles et injustifiables de leur liberté, dans des conditions d'humiliation extrême et des déluges de bêtises que personne de sensé ne croyait possibles (leur excès a créé l''effet surprise'' qui a rendu leur application possible)... La trouille a suffi à paralyser temporairement des révoltes justifiées et compréhensibles.
Avec cette malhonnêteté intellectuelle, le Pouvoir a acheté deux années de fausse tranquillité... exactement comme il est en train de le refaire sous nos yeux incrédules qu'une telle infamie puisse ''marcher'' deux fois de suite. Attendons la suivante : elle est inscrite, n'en doutons pas, dans les modalités de la fausse paix (faite de lassitude, de peur des violences policières, des impératifs de la ferme...) qui vient d'être achetée à coup de promesses dont aucune ne sera poursuivie à son terme, c'est d'ores et déjà écrit dans les textes.
La technostructure, jusqu'au sommet de l'Etat, a été contaminée par les deux vraies pandémies du temps, celles qui détruisent tout, partout, en permanence : la fausse écologie contr'écologique mortifère, assassine de toute douceur de vivre, mangeuse d'hommes, liberticide sans limite, et capable des pires gabegies, pour une menace inventée et fabriquée,(celle du Giec, de l'affreuse ado suédoise GretaThun-truc… et de Macron qui veut faire croire depuis hier qu'il pourrait avoir évolué, comme par miracle, sur ce point, fondamental pour son système de contre-références !) d'une part... et d'autre part, L'Europe-démolisseuse, qui a à peu près les mêmes symptômes et les mêmes conséquences (5 % des gens en veulent, et encore... pas pour tout !).. Ces deux pathologies se sont réunies dans le dernier avatar du mot ''religion'', avec tous les excès et les menaces que peut contenir en elle-même une iso-religion (fausse, en plus !).. Or, si nous la laissons s'épanouir, croître et embellir, des siècles de malheur nous attendent...
Cette “France périphérique” si bien décrite par le géographe Christophe Guilluy, a explosé au grand jour, à la surprise du microcosme qui ne voyait dans ces appels à l'aide désespérés “aucune revendication convenable” (pour lui : seuls comptent les lieux communs de la vieille “doxa” de gauche, périmée depuis des décennies... mais seule acceptée sur les ondes officielles…). Le résultat fut à la hauteur de la qualité des gouvernants : il ne se passe rien. Dormez, braves g...cons, vous qui ne demandez que l'arrêt des taxes directes, indirectes, écologiques, annoncées ou cachées pour tout ce qui touche à l'agriculture... et à l'auto : le rêve pervers des énarques est que vous vous endettiez pour acheter des bagnoles conformes aux diktats de la pseudo-écologie officielle (obligatoire), tout en vous interdisant de rouler à des vitesses normales, de vous garer… et de ''faire le plein'' sans des heures d'attente ! Lénine, retourne d'où tu viens, tu as rendu totalement fous nos énarques et notre administration !
A chaque fois, c'est la même chose : au début, on entend la voix du peuple français, celui qu'on a oublié, celui qui trouve idiot de se serrer la ceinture à mort pour les bébés pandas, pour 12 dauphins par an dans le Golfe de Gascogne, pour la protection des fourmis Gnamptogenys striatula ou pour les erreurs volontaires des ayatollahs du Giec qui prétendent que le sauvetage éventuel de la planète justifie le fait de la rendre invivable à l'homme... alors que si elle doit être esquintée un jour, ce sera par des cycles gigantesques qui nous échappent en totalité, et pas par nos incursions infiniment petites dans les domaines de l'infiniment grand. Le masochisme tous azimuts n'est pas la solution. Ni le malheur du monde... ni Belloubet à l'Education nationale !
Mais ça ne pouvait pas durer : ‘‘le peuple peut être dangereux, vous savez…’’. Les médias et le monde politique ont donc officiellement relooké en douce l'immigration, après l'ISF : le risque n'est pas bien grand, car d'autres taxes, dés-indexations ou ponctions cachés, et le stupide IFI pèse lourd sur le redressement du pays et l'effondrement désormais évident, du secteur ''Immobilier''). Et surtout, seuls les ralliés à la doxa la plus perverse (= la plus “à gauche”) ont droit à la parole, sur les ondes.
Les pauvres opposants, paysans, artisans ou retraités assassinés par la CSG à +25,53 %, épuisés par leurs fins de mois, sont tombés dans le piège… Mais comme ce sont des “purs” (NB : il faut un sacré culot pour les assimiler aux casseurs de l’ultra-gauche, aux pilleurs banlieusards et aux tueurs de flics que Darmanin, terrifié par leur capacité de nuisance, n' ose même pas désigner par leur nom. Le ''2 poids, 2 mesures'' de nos pleutres est une indignité intellectuelle), il ne va pas être facile de les renvoyer au seul rôle que les ‘’élites’’ leur assignent : payer des taxes “à la con” et fermer leur gueule. Ils rentrent chez eux... mais ils reviendront.
Depuis le début de son règne, Macron a vraiment fait tout ce qu'il ne fallait pas pour fracturer la société française : progressistes contre conservateurs, femmes contre hommes, piqués contre ''non vaccinés'', actifs contre retraités, homos contre hétéros, et jeunes contre moins jeunes… et voilà qu'il en rajoute une couche en opposant les classes moyennes supérieures aux classes moyennes mais pas supérieures… A la veille de la ‘'Saison 60’’ du Salon de l'Agriculture, les seules perspectives de sortie de crise sont… de ne pas en sortir, ou alors, par le bas du bas... Ah ! Si vous saviez comme j'aimerais me tromper !
H-Cl.
3 notes
·
View notes