#Justice pour Gaza

[freepalestinenews]

Manifestation pour la Palestine à Bruxelles : 70 000 personnes exigent un cessez-le-feu

Manifestation pour la Palestine à Bruxelles : un moment historique ! Le 20 octobre 2024, Bruxelles a accueilli une manifestation d’une ampleur historique en soutien au peuple palestinien, réunissant environ 70 000 personnes selon les organisateurs. Ce rassemblement marque un tournant dans la mobilisation internationale pour un cessez-le-feu immédiat et la fin des violences israéliennes à Gaza. Le…

[duckiemimi]

happy international women’s day!

today i think specifically about the women in Palestine, in Congo, and in Sudan. in West Papua and in India, in every corner of the world in need of liberation, of freedom. if you are able, please consider donating to these campaigns or any other you find today:

and if you are unable, don’t forget your daily clicks!

[eretzyisrael]

by Melanie Phillips

he outspoken chief rabbi of South Africa, Dr. Warren Goldstein, has once again given voice to crucial truths that others have shamefully ignored.

He accused both Pope Francis and the Archbishop of Canterbury, Justin Welby, of being indifferent to the murder of black Christians in Africa and the terrorism threat in Europe while being “outright hostile” to Israel’s attempts to battle jihadi forces led by Iran.

“The world is locked in a civilizational battle of values, threatened by terrorism and violent jihad,” said Goldstein. “At a time when Europe’s very future hangs in the balance, its two most senior Christian leaders have abandoned their most sacred duty to protect and defend the values of the Bible. Their cowardice and lack of moral clarity threaten the free world.”

Goldstein’s blistering accusations were on the mark.

Christians in Africa have been subjected to barbaric slaughter and persecution by Islamists for decades. Two years ago, Open Doors, an organization that supports persecuted Christians, observed: “In truth, there are very few Muslim countries—or countries with large Muslim populations—where Christians can avoid intimidation, harassment or violence.”

In January 2024, a report for Genocide Watch confirmed that, since 2000, 62,000 Christians in Nigeria have been murdered by Islamist groups in an ongoing attempt to exterminate Christianity. In addition, more than 32,000 moderate black Nigerian Muslims and non-faith individuals have been massacred.

According to a report in 2020 by the United States Commission on International Religious Freedom, Christians in Myanmar, China, Eritrea, India, Iran, Nigeria, North Korea, Pakistan, Russia, Saudi Arabia, Syria and Vietnam are being persecuted.

These facts were reported in June by Peter Baum for The Daily Blitz. Yet the mainstream media all but ignore these atrocities. There are no marches in Western cities to accuse these countries of facilitating crimes against humanity. There are no NGO-inspired petitions to the International Court of Justice (ICJ) to declare these countries and groups guilty of genocide.

Instead, the media and Western elites demonize Israel as the pariah of the world for defending itself against these genocidal Islamists. This unique and egregious double standard is the hallmark of classic antisemitism.

The attitude of the church leaders is even more astonishing. The hundreds of thousands of victims of this persecution are their flock. The goal of this onslaught is the wholesale destruction of the faith they lead.

Yet from Welby and the pope have emerged little more than occasional expressions of measured concern. And even then, they usually refuse to call out what’s happening by its proper name—the Islamist war to eradicate Christianity and destroy the West.

The 10-month war against Israel by Iran and its proxies following the Oct. 7 pogrom is a crucial front in that onslaught against Western civilization. Yet as Goldstein said, the pope and Welby have stood passively by while African Christians are “butchered by jihadi groups with direct ties to Israel’s enemies in Gaza and the West Bank.”

The jihadi ideology, he said, was also a clear and present danger to Europe. As a result of open-border policies, immigrants poured into the United Kingdom and across Europe, many of them “brandishing a violent jihadi ideology deeply hostile to Christianity, liberal democracy and western values.”

The result has been surging antisemitism leaving Diaspora Jews living in fear. Yet on the ideology fueling this civilizational onslaught, Welby and the pope have been silent. Instead, they have recycled the Islamists’ propaganda that demonizes and delegitimizes Israel with lies.

[sevenoctober7]

בהול || הפושע הזה נקרא בנימין נתניהו והוא נמלט מהצדק הבינלאומי בגין פשעי ההשמדה ההמונית והרעבת האוכלוסייה בעזה. הוא מבוקש על ידי בית הדין הפלילי הבינלאומי, וכל מי שימצא אותו חייב להסגירו לצדק הבינלאומי, אחרת ייחשב שותף לפשע.

——————

Urgent || This criminal is named Benjamin Netanyahu, and he is a fugitive from international justice for the crimes of genocide and starvation he is committing in Gaza. He is wanted by the International Criminal Court, and anyone who finds him must hand him over to international justice, or they will be considered complicit in the crime.

——————

Urgente || Este criminal se llama Benjamín Netanyahu y es un prófugo de la justicia internacional por los crímenes de genocidio y hambre que está cometiendo en Gaza. Es buscado por la Corte Penal Internacional, y cualquiera que lo encuentre debe entregarlo a la justicia internacional, de lo contrario será considerado cómplice del crimen.

——————

Urgent || Ce criminel s’appelle Benjamin Netanyahu, et il est en fuite devant la justice internationale pour les crimes de génocide et de famine qu’il commet à Gaza. Il est recherché par la Cour pénale internationale, et quiconque le trouve doit le livrer à la justice internationale, sous peine d’être considéré comme complice du crime.

——————

紧急 || 这个罪犯名叫本雅明·内塔尼亚胡，他因在加沙犯下种族灭绝和饥饿罪而逃避国际司法。他是国际刑事法院的通缉犯，任何发现他的人必须将他交给国际司法，否则将被视为犯罪的共犯。

[thebusylilbee]

Au bout du fil, Marwan est dépité. « On nous parle d’humanité, de droit international, bla bla bla… Mais tout ça, ce ne sont que des paroles », lâche le Franco-Palestinien après avoir reçu la décision du tribunal administratif de Marseille, le 29 juillet. Celle-ci rejette le recours de sa sœur Shama, qui demandait à la justice d’annuler un arrêté dans lequel la préfecture des Bouches-du-Rhône refusait sa demande de titre de séjour et lui enjoignait de quitter le territoire. « C’est très dur », réagit l’intéressée, qui avait obtenu un récépissé de six mois à son arrivée en France.

Son avocat, Me Sidy Dioum, évoque « une sacrée surprise ». Il précise que la décision a beaucoup tardé à être rendue – l’audience au tribunal a eu lieu le 1er février, la décision est tombée six mois plus tard. « Le juge avait la possibilité d’annuler l’arrêté du préfet en se basant sur le principe d’erreur manifeste d’appréciation, au regard de la situation à Gaza. » Valider l’arrêté de la préfecture, et donc l’obligation de quitter le territoire français (OQTF), revient selon lui à « lui donner une corde pour se pendre ».

Sollicitée, la préfecture fait savoir que la situation de Shama a été « examinée avec attention » par ses services, et confirme que sa demande de titre de séjour a fait l’objet d’une décision de refus le 29 septembre 2023 portant mention d’une OQTF. « La situation de Madame a été appréciée avant le début du conflit en Palestine. À ce titre, l’OQTF ne sera pas mise à exécution », assure-t-elle, sans pour autant annuler la mesure.

Elle invite Shama à « porter à sa connaissance tout élément nouveau qui permettrait de reconsidérer sa situation ». Le ministère de l’intérieur n’a quant à lui pas répondu à nos questions. De son côté, Me Dioum maintient que le préfet, qui bénéficie d’un pouvoir discrétionnaire, aurait pu et pourrait encore « apprécier la situation différemment ».

Shama a quitté Gaza aux côtés de son frère, en décembre 2022, pour pouvoir l’accompagner en France grâce à un visa touristique. Elle est ensuite restée pour l’aider à se soigner. « J’ai suivi des études en France et j’ai acquis la nationalité en 2014. J’ai ensuite vécu à Londres, où je travaillais à l’université, mais j’ai voulu rentrer en Palestine », déroule Marwan dans un français teinté d’un léger accent.

Des arguments classiques côté préfecture

Mais en 2021, c’est la descente aux enfers. Un « missile israélien » touche sa maison et le blesse à la tête et aux jambes. À l’hôpital, on lui découvre aussi une tumeur au cerveau. Il souffre depuis de pertes d’équilibre et peine à se déplacer, même avec un déambulateur.

Pour le rencontrer, Me Dioum dit avoir dû se rendre à son domicile, ce qu’il fait rarement. « J’ai bien vu qu’il ne pouvait pas bouger et que sans Shama, il ne s’en sortirait pas. » L’avocat a fourni une série d’attestations médicales démontrant, ajoute-t-il, que l’état de Marwan nécessite un accompagnement au quotidien.

Dans son arrêté, la préfecture des Bouches-du-Rhône déroule ses arguments – classiques – pour justifier le rejet de la demande de titre de séjour et l’OQTF : Shama « ne rapporte pas d’éléments probants de l’ancienneté et du caractère habituel de son séjour », « ne démontre pas une insertion sociale et professionnelle significative sur le territoire français », « n’établit pas être dépourvue d’attaches personnelles et familiales dans son pays d’origine où résident ses parents ainsi que la majorité de sa fratrie ».

Le juge du tribunal administratif de Marseille estime que « s’il ressort des pièces du dossier que le frère de la requérante souffre de séquelles importantes », l’intéressée « ne justifie pas, ainsi qu’elle l’allègue, que son frère serait de nationalité française et n’établit pas non plus être la seule à pouvoir assurer une telle aide ».

Il souligne que Shama ne séjourne en France « que depuis neuf mois à la date de la décision contestée », qu’elle est célibataire et ne fait état d’aucune autre attache personnelle ou familiale en France. Allant dans le sens de la préfecture, il ajoute qu’elle « n’établit pas être dépourvue d’attaches sur le territoire palestinien ».

« Eu égard notamment à la faible durée de son séjour en France, l’arrêté [de la préfecture] n’a pas porté une atteinte disproportionnée au droit au respect de sa vie privée et familiale », tranche le juge administratif, qui laisse le choix aux autorités de « ne pas mettre immédiatement à exécution l’OQTF » et de prendre en compte la situation de conflit sur le territoire palestinien.

Une situation « terrible » à Gaza

« On sent une certaine hésitation, commente Me Dioum. Le juge sait que l’OQTF ne peut pas être matériellement exécutée. » L’avocat déplore que le tribunal n’ait pas vu une violation des obligations de la France au regard des conventions internationales, et le danger qu’encourrait Shama en cas de retour à Gaza, qui croule sous les bombes israéliennes.

Marwan se sent abandonné par la France. « À qui peut-on faire confiance après ça ?, interroge-t-il. Il faut respecter les textes de loi bien sûr, mais là, c’est une question humanitaire. » Il décrit un mois de juillet « terrible » au cours duquel trois de ses nièces ont été tuées.

Depuis le début du conflit, il ajoute que 65 membres de sa famille élargie sont morts dans les bombardements israéliens. Ceux qui ont survécu ont dû se déplacer plusieurs fois, du nord au sud, du sud au nord ; comme la majorité des déplacé·es gazaoui·es ces derniers mois.

« C’est la guerre, on ne peut pas retourner à Gaza. Il n’y a plus rien, ni hôpital, ni maisons. On a le sentiment qu’ils n’ont aucune pitié pour nous », regrette Shama.

La décision du tribunal a agi comme un coup de massue, conclut Marwan : « Tout le monde est contre nous. Ma sœur est bloquée aujourd’hui, on attend de savoir ce que la préfecture va faire. »

Face à ce qu’il qualifie de « drame humain », Me Dioum compte faire appel et espère voir la décision de la préfecture annulée. Un autre espoir subsiste pour Shama : que sa demande d’asile, déposée après l’audience au tribunal administratif, lui permette d’obtenir une protection.

En février, un couple de Gazaouis avait également été visé par une OQTF après un rejet de sa demande de titre de séjour. La préfecture d’Ille-et-Vilaine assumait de vouloir l’expulser malgré les massacres à Gaza, estimant que la situation était « globalement stable » en Cisjordanie, et qu’il était « concevable que les intéressés puissent s’y installer ».

La mesure d’éloignement avait été suspendue après la médiatisation de l’affaire et le couple avait vu sa demande d’asile étudiée en accéléré. Shaden et Ibrahim avaient rapidement obtenu l’asile.

Nejma Brahim

[chalilodimun]

The French ecologist party is currently holding a petition in order to ask the French president to force Israel to authorize the International Criminal Court to come to register all the war crimes happening right now.

According to the petition, the ICC is the only recognized authority to gather proof to show that war crimes, even crimes against humanity, are actually occurring.

So go sign the petition, please. You only need an email to sign it.

[texasobserver]

“Will Texas Cities Stay Silent on Gaza?” by Gus Bova, from the Texas Observer:

Last Thursday, a stream of Austinites poured into their city hall and packed the council meeting chamber—some carrying signs, some with hands painted red, and many sporting black-and-white keffiyehs, headscarves that serve as international symbols of solidarity with the Palestinian struggle.

The activists were there to push the city council to pass a resolution calling for a ceasefire in the Gaza Strip. But since no such item was on the agenda that day, they’d simply booked all the slots in an open public comment period to make their case. 

“I am a Jewish mother; I am also the descendant of survivors of the Holocaust in Germany and the pogroms in Russia. I have been devastated every day watching this genocide unfold,” said Abigail Mallick, one of a series of Jewish speakers who addressed the council that day to oppose Israel’s recent military actions. “We must pass a ceasefire resolution. … We must join the growing chorus of voices saying ‘never again’—‘never again’ for anyone.” 

The testimony was part of a monthslong effort in Austin and other cities across Texas and the country to get local governments to weigh in on the tragedy unfolding across the world in Gaza, the 140-square-mile slice of Palestinian territory that abuts the Egyptian border and the Mediterranean Sea. Since October 7, when Hamas, the Palestinian militant group that governs Gaza, executed a horrific attack in southern Israel that left 1,200 dead and more than 200 kidnapped, Israel has retaliated by unleashing Hell on Earth for 2.2 million Gazans. As of late January, about 25,000 Palestinians have been killed with the majority being women and children, per the Gaza Health Ministry. A quarter of Gazans are starving, and nearly the entire population is displaced. 

South Africa has brought claims of genocide against Israel at the International Court of Justice; Israel denies the charges. Many scholars have warned for months of a possible genocide unfolding, though Israel’s defenders including the U.S. State Department dispute the claim.

Both Arab and Palestinian Americans are undercounted by the U.S. Census, according to the Arab American Institute, but Texas ranks among the top five states for both communities. The state’s biggest urban areas, especially Harris County and the Metroplex, all boast significant populations. 

The Texas Democratic Party was the first among all states to officially call for a ceasefire in Gaza; five of 13 Lone Star Dems in the U.S. House have also done so, in addition to the AFL-CIO central labor councils in San Antonio and Austin. Massive protests have been held across Texas cities, including one in November that was likely the largest demonstration at the state Capitol since the 2017 Women’s March. Nationwide, at least a couple dozen cities have passed ceasefire resolutions, including San Francisco, Atlanta, and Detroit. But, so far, Texas activists are running into brick walls with their municipal representatives as council members either stay silent or argue that endorsing a ceasefire would inflame divisions in their cities or that the issue is simply not a local matter.

At the Austin meeting last week, Council member Chito Vela told the pro-Palestine crowd that he personally supported a ceasefire and had signed an open letter to that effect. “However, I do not want this council to become embroiled in foreign policy matters,” he clarified. “These are far beyond our purview as a local government, and we have too many critical local issues that demand our attention.”

In November, Austin’s Human Rights Commission urged the city council to call for a ceasefire. Three council members issued a joint statement in December expressing their support, and activists believe these three would back a formal resolution. With a fourth member, they could force a vote, but—even in Texas’ most left-wing city—sufficient support remains elusive.

“Our city always was known for standing for human rights and for progressive values,” said Hatem Natsheh, a member of the recently formed Austin for Palestine Coalition and longtime local activist who was born in Palestine’s West Bank. “We need our leaders to stand with us and [against] these horrific crimes that happen to our community.”

Natsheh noted that the council has weighed in on foreign policy before with resolutions condemning ex-President Donald Trump’s Muslim ban and the 2003 Iraq invasion. He also observed that Mayor Kirk Watson, whose office did not respond to a request for comment, spoke at a pro-Israel event shortly after the October 7 attack. “We know that the City of Austin has no power over international issues, but we are not asking because of that,” Natsheh said. “We’re asking them to take a moral stand for humanity.”

Just down I-35, in San Antonio, pro-Palestine activists nearly secured a ceasefire vote earlier this month before a council member reversed course.

With three members supporting, which is enough to convene a special meeting in San Antonio, the Alamo City council was set to vote on a ceasefire resolution in either January or February. But earlier this month, Council Member Manny Pelaez withdrew his support, saying, “It became evident that this was causing more pain and anxiety than was originally intended.” Another council member, Jalen McKee-Rodriguez, called Pelaez’s decision “one of the weakest moves I’ve ever seen from any councilmember ever.” 

In late December, a group of Jewish leaders in San Antonio had written city council arguing that the resolution, “while well-intentioned, is morally wrong and will further endanger members of the local Jewish community.” Following Pelaez’s reversal, Mayor Ron Nirenberg penned a memo stating the special meeting was scrapped. In it, Nirenberg suggested the vote would have “exacerbate[d] trauma,” adding that “Wading into a complex and volatile international environment with an incomplete understanding could prove to be reckless.”

The ceasefire push has been led in part by San Antonio for Justice in Palestine (SAJP), a Palestinian-led group that existed prior to October 7 but has been revitalized in the last few months. The group works alongside others including the local chapter of Jewish Voice for Peace, which has coalesced pro-Palestine Jews across the country. “The call is coming straight from Gaza, straight from Palestine … that we need to do everything within our power to make calls for a ceasefire,” said Sara Masoud, a Palestinian SAJP core member and health science professor with family in the West Bank. She noted that the council in 2022 passed a resolution calling for a ceasefire in Ukraine and also contradicted Nirenberg, saying a “call for a ceasefire actually reduces trauma because it speaks on behalf of peace.” 

Masoud said her group and allies will keep working to find a third supporter to replace Pelaez.

In Dallas, council members approved a resolution on October 11 stating that the city “stands with Israel in its fight against Hamas.” Since then, as the death toll in Gaza has soared, Dallasites have repeatedly turned out to push the body to consider a ceasefire resolution. “It’s a city issue in that countless Palestinians here in Dallas have been affected by it, have lost family members,” said Sumayyah El-Heet, a Palestinian organizer with the Dallas chapter of the Palestinian Youth Movement (PYM). El-Heet said she knew of Dallasites who are mourning dozens of family members killed in Gaza. 

Dallas Council member Adam Bazaldua has authored a ceasefire resolution. Depending on the procedure used, Bazaldua told the Texas Observer, he needs either two or four additional supporters to trigger a vote. He said he has little patience for the argument that the matter is not a local issue or that it would distract from municipal business.

“I personally cannot stand that pushback on any particular item,” Bazaldua said, “because if we were elected and not expected to be able to walk and chew gum at the same time, then I don’t know why the hell we were elected.”

Down I-45, Houston has seen months of large pro-Palestine demonstrations and other events. The Bayou City has one of the largest Arab-American populations in the nation. While some council members have voiced support for a ceasefire, ex-Mayor Sylvester Turner—who left office at the beginning of this month—has said Houston City Council simply does not do resolutions of this sort. In an email, spokesperson Mary Benton told the Observer that Houston “does not have a history of issuing resolutions regarding global conflicts” or other issues beyond city administrative business, though she said she hadn’t yet discussed the matter with now-Mayor John Whitmire.

“Houston holds one of the largest Palestinian and Arab communities in the country right now; we have Houstonians who were trapped in Gaza for months,” said Fouad Salah, an organizer with the Houston chapter of PYM, which has been pushing city council unsuccessfully to take a stand on the issue. “We have Houstonians—I mean, myself, I have family, God rest their souls—who have been murdered in Gaza. … To be clear, a lack of calling for a ceasefire is an endorsement of the genocide of our people.”

[lepartidelamort]

Argentine : le tyran fou Javier Milei donne le contrôle de la diplomatie du pays à un oligarque juif lors d’un serment sur la Torah.

Plus de la moitié de la population vit désormais dans une indicible pauvreté.

Dans un moment sans précédent dans la politique argentine, le président Javier Miley a adopté une approche non conventionnelle lors de la prestation de serment du nouveau ministre des affaires étrangères du pays, Gerardo Werteyn, qui est juif. S’écartant du format traditionnel de la prestation de serment, la cérémonie a comporté un Dvar Torah, au cours duquel M. Werteyn a prêté serment devant la Torah.

Le cauchemar libertarien n’en finit plus en Argentine.

Alors que le peuple argentin agonise dans la misère et la ruine, le tyran fou Javier Milei distribue les ministères aux juifs les plus fanatiques.

The Times of Israël :

Un vétérinaire juif issu d’une influente dynastie d’hommes d’affaires a été nommé au poste de ministre des Affaires étrangères en Argentine, au moment où le président Javier Milei accorde la priorité aux liens entretenus par son pays avec les États-Unis et avec Israël. Gerardo Werthein est venu remplacer Diana Mondino, limogée par Milei après que l’Argentine a voté, aux Nations unies, la condamnation de l’embargo américain sur Cuba. Les États-Unis et Israël – que Milei, élu l’année dernière, a défini comme étant les principaux alliés du pays, ce qui est un changement pour cette nation d’Amérique du sud – avaient été les seuls à s’opposer à cette résolution non contraignante. Werthein était l’ambassadeur de Milei aux États-Unis, l’un des deux ambassadeurs juifs nommés par un homme qui se décrit comme un « anarcho-capitaliste ». L’autre envoyé juif est Axel Wahnish, un rabbin orthodoxe qui représente l’Argentine en Israël.

Gerardo Werthein

Werthein prendra la tête d’une « transformation de la politique étrangère de notre pays », a fait savoir un communiqué qui a été émis par le bureau de Milei. Les relations de l’Argentine avec Israël et la question du conflit israélo-palestinien figurent parmi les principaux éléments de cette transformation. Le prédécesseur de Milei était un critique acerbe d’Israël – tout comme ses homologues d’Amérique latine. Les dirigeants des pays voisins, le Brésil et le Chili, avaient condamné Israël pour sa réponse militaire au pogrom qui avait été commis par le Hamas dans le sud du pays, le 7 octobre 2023, et cela avait aussi été le cas du Colombien Gustavo Petro. Milei, en revanche, a apporté un soutien sans faille à la campagne militaire menée par l’État juif à Gaza et il s’est rendu en Israël au mois de février – c’était son premier voyage à l’international en tant que président. Dans le cadre de ce changement de politique étrangère, le Hamas a été désigné comme groupe terroriste pour la toute première fois – et le Hezbollah, pour la première fois également, a été désigné comme étant le seul coupable de deux attaques meurtrières qui avaient visé des cibles juives dans les années 1990. La semaine dernière, la ministre de la Sécurité, Patricia Bullrich, a par ailleurs révélé l’identité du chef du Hezbollah en Amérique latine, Hussein Ahmad Karaki. Elle a déclaré que l’homme avait participé aux attentats terroristes de Buenos Aires et qu’il continuait à diriger les opérations du Hezbollah dans la région, probablement depuis le Liban. Elle a fait savoir qu’elle demanderait à ce qu’il soit poursuivi en justice. Werthein, dont la seule expérience diplomatique se résume à un bref passage au poste d’ambassadeur, devrait s’appuyer sur des années de collaboration internationale dans le domaine du sport et sur son rôle au sein de l’entreprise familiale.

Cette entreprise avait vu le jour en 1904 lorsqu’un de ses ancêtres, un immigrant de Bessarabie – dans ce qui était alors la Russie – avait fondé un magasin rural appelé l’Hébreu dans la province agricole de La Pampa. Aujourd’hui, le groupe Werthein travaille dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage, dans le commerce de détail, dans les télécommunications, dans l’immobilier, dans les services financiers, dans la viticulture et dans le domaine de l’énergie. Gerardo Werthein avait quitté l’entreprise en 2019.

Il y a un an, il s’était rendu à New York avec Milei pour se rendre sur la tombe du rebbe Loubavitch dans le Queens – l’une des nombreuses démonstrations de sympathie que Milei, catholique d’origine et philosémite avoué, a pu avoir à l’égard de la communauté juive, avant et après son élection. « C’était un moment spécial, symbolique et agréable », avait-il commenté en évoquant cette visite sur la tombe.

L’ambassadeur des États-Unis en Argentine, Marc Stanley, est également juif et actif au sein de la communauté juive locale de Buenos Aires.

Précédemment :

Le sort effrayant de l’Argentine est exactement ce que souhaitent pour la France Bolloré, Praud, Rieu, Messiha, Zemmour, Knafo, Odoul, Ménard, etc..

Ce qui frappe en Argentine, c’est à quel point les résultats pratiques de l’hyper capitalisme sont identiques à ceux de l’hyper communisme : le peuple est saigné à blanc par la juiverie qui s’arroge tous les leviers de pouvoir.

 1er semestre 2024. LA PAUVRETÉ EST PASSÉE DE 41,7 % à 52,9 %. Une augmentation de 11 points de pourcentage. Au moins depuis 2003, la pauvreté n’a jamais autant augmenté en un seul semestre. L’indigence est aujourd’hui deux fois plus importante qu’au premier semestre 2023.

Le tyran Milei est aussi rampant face aux juifs qu’il est impitoyable avec ses compatriotes les plus démunis.

C’était un autre test de QI.

Comme une horloge suisse, les droitardés se sont enthousiasmés pour ce golem.

Les fascistes s’en sont tenus à bonne distance et à raison.

Démocratie Participative

[ehmuhree]

Petition to stop financing Israeli forces

On the morning of September 10, Israeli forces massacred 40 people sheltering in a humanitarian safe zone. Campaigners from the consumer watchdog group Ekō (who have successfully influenced several companies and governments before) are working round the clock to cut funding to the weapons companies that are supplying the Israeli government, and more than ever we need to keep up the pressure.

It's all illegal. The International Court of Justice in The Hague confirmed that Israel's occupation of Palestinian territory -- including Gaza -- breaks the law. Netanyahu says he’d “fight with fingernails” — but the truth is that he depends on arms pouring in from weapons manufacturers, which depend on financing from our banks.

Tell the banks to stop.

Sign the petition and share widely.

[aurianneor]

Une aide militaire sous conditions

L’aide au développement et l’aide en sécurité doit être conditionnée à l’adhésion aux valeurs humanistes des Lumières qui sont universelles.

Il ne faut pas soutenir un régime dictatorial qui oppresse sa population. Le soutien inconditionnel des Etats-Unis à Israël qui pratique un régime d’Apartheid contre les Palestiniens n’est pas normal. Cette aide aurait du être accompagné de contreparties. Le soutien de la France aux pays du Sahel contre les guérillas Islamistes ne s’est pas accompagné d’une exigence de démocratie et de développement humain. La protection américaine de l’Arabie Saoudite contre l’Iran et l’Irak a été fait malgré le fait que l’Arabie Saoudite fait la discrimination homme/femme, la torture, le régime dictatorial monarchique, etc. Au Gabon, la France a soutenu la dynastie Bongo au pouvoir pour permettre au pays de prospérer mais en échange on a pas demandé de progrès démocratiques et humains. Du coup maintenant les Gabonais se sont détournés de la France. Au Mali, il n’y a pas eu d’exigences à l’aide militaire, les Maliens ont vu que cela protégeait le dictateur au pouvoir et se sont tournés vers les milices Wagner. Cela crée du ressentiment dans la population. C’est une trahison des valeurs universelles de la DUDH.

A Taiwan, en Ukraine ou en Corée du Sud, la protection de l’Ouest a ses exigences en terme d’élections, de progrès humain de lutte contre la corruption. Ces pays ont fait des progrès humains formidables: ce sont de vraies démocraties respectant les droits de l’homme, avec de vraies élections, sans persécutions des femmes ou LGBT+, ils n’agressent pas leurs voisins, etc. C’est donc possible.

Dans la nuit du 13 au 14 avril 2024, l’Iran a lancé une salve de 300 missiles et drones sur Israël dans le but de tuer un maximum de gens sans pouvoir discriminer civils et militaires. C’est un crime de guerre. Si l’Iran ou ses alliés au Moyen Orient venaient à renouveler une telle attaque, Israël aura besoin de l’aide militaire des pays occidentaux pour la défense de sa population. Cette aide doit être sous conditions: l’arrêt des massacres à Gaza, l’arrêt de la violence dans les territoires occupés et la fin du régime d’Apartheid contre les palestiniens. L’aide de l’Ouest s’arrête au respect des valeurs humanistes universelles. La déclaration des droits de l’Homme est universelle. Ce n’est pas du néo-colonialisme, il n’y a pas d’occupation e ce qu’ils font est inacceptable. Ils sont signataires de la DUDH.

Si un régime est aidé sans adhérer à ces valeurs quelles seront les conséquences? Le soutien inconditionnel à Israël a aussi conduit à soutenir le gouvernement israélien qui massacre des Gazaoui en toute impunité.

Il faut négocier ces conditions publiquement. Il faut que les violences s’arrêtent. Il faut que quand l’Occident arrive, il y ait de la sécurité, des écoles, la santé, du développement et de la prospérité. Sinon, la déception est grande et cela nourrit le fait que les populations se détournent de l’Occident.

--------------------------------------------------------------------

Conditional military assistance: https://www.aurianneor.org/conditional-support/

Quand la force est légitime: https://www.aurianneor.org/quand-la-force-est-legitime/

Pour une défense européenne: https://www.aurianneor.org/pour-une-defense-europeenne/

Le compas moral: https://www.aurianneor.org/le-compas-moral/

Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/

Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/

Comment regagner la confiance?: https://www.aurianneor.org/comment-regagner-la-confiance/

Police et justice pour le peuple: https://www.aurianneor.org/police-et-justice-pour-le-peuple/

Guerre et Paix à l’ONU: https://www.aurianneor.org/guerre-et-paix-a-lonu-en-1961-lavion-du/

Les rouges et les jaunes: https://www.aurianneor.org/les-rouges-et-les-jaunes-foulards-rouges-contre/

La preuve qu’on sait ne pas se battre. – Quand la force n’est pas légitime…: https://www.aurianneor.org/la-preuve-quon-sait-ne-pas-se-battre-quand-la/

Arrête de financer la haine: https://www.aurianneor.org/arrete-de-financer-la-haine/

Police, Armée: https://www.aurianneor.org/police-armee-manif-des-policiers-je-suis-gilet/

[aurevoirmonty]

France occupée - Meyer Habib donne ses ordres en direct au ministre de la «Justice» à l’Assemblée nationale

Pas de séparation des pouvoirs pour le député franco-israélien, quand il s’agit de défendre la mère patrie Israël.

Dupond-Moretti a quand même grogné un peu, même si c’est comme ça que ça se passe hors caméras.

«Ce qu'on appelle les territoires contestés c'est 5.000 kilomètres carrés. La bande de Gaza, c'est à peine… invisible (sic) sur une carte», a fulminé Habib, ex-membre (https://fr.wikipedia.org/wiki/Meyer_Habib) du mouvement de jeunesse sioniste radical du Betar.

Membre du Comité exécutif du Fonds national juif, il est également élu au comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

Et il cornaque Macron.

[i-am-aprl]

"Si nous permettons que cela se produise... cela signifie que nous allons sacrifier tout avenir pour quelque chose qui s'appelle la justice"

S'exprimant lors d'une table ronde à Londres, Wadah Khanfar, président du Forum Al Sharq et ancien directeur général d'Al Jazeera, a fustigé l'Occident. « l'hypocrisie éhontée » de certains pays concernant la guerre d'Israël contre Gaza.

[eretzyisrael]

by Dion J. Pierre

Columbia University’s most strident pro-Hamas organization distributed literature calling on students to join the terror group’s movement to destroy Israel during this year’s convocation ceremony last week, according to various reports on social media.

“This booklet is part of a coordinated and intentional effort to uphold the principles of the thawabit and the Palestinian resistance movement overall by transmitting the words of the resistance directly,” says a pamphlet distributed by Columbia University Apartheid Divest (CUAD), a Students for Justice in Palestine (SJP) spinoff, to incoming freshmen. “This material aims to build popular support for the Palestinian war of national liberation, a war which is waged through armed struggle.”

Other sections of the pamphlet are explicitly Islamist, invoking the name of “Allah, the most gracious” and referring to Hamas as the “Islamic Resistance Movement.” Proclaiming, “Glory to Gaza that gave hope to the oppressed, that humiliated the ‘invincible’ Zionist arm,” it says its purpose is to build an army of Muslims worldwide.

“We call upon the masses of our Arab and Islamic nations, its scholars, men, institutions, and active forces to come out in roaring crowds tomorrow,” it adds, referring to an event which took place in December. “We also renew our invitation to the free people and those with living consciences around the world to continue and escalate their global public movement, rejecting the occupation’s crimes, in solidarity with our people and their just cause and legitimate struggle.”

This latest exaltation of violence was followed by a disturbing act of vandalism on Columbia’s New York City campus. On Tuesday, a masked man poured red paint on the Alma Mater sculpture located in front of the Low Memorial Library, symbolizing the spilling of blood. A protest broke out elsewhere on campus, with a young woman, whose face was concealed with a keffiyeh, waving a sign cut into the shape of an inverted red triangle. It said, “Long live the intifada.”

[programmedtoexterminate]

[ID: A Medium article by Amanda Gelender חַנָּה 🔮 posted on Oct 20, 2023 titled "Kaddish for the Soul of Judaism: Genocide in Palestine"

Underneath the title there is a picture with the following ID: A bright, three-paneled illustration of red pomegranate trees on a deep, blue background.

Transcript of the screenshotted passages:

Can you hear me recite the Mourner’s Kaddish for every soul killed in Gaza? It may take me a moment, I have to say thousands of prayers, and each person has a name. I will sit Shiva for a million lifetimes. I leave a stone on each martyred grave to root the dead back into the earth, but I can still hear the screaming and I’m trying to pray.

I want to turn back the clock. Can you please unburn the houses and re-root the olive tree groves, Israel? Can you drain the concrete you poured in the water springs? Can you unlaunch the bombs you dropped on the hospitals? I can’t hear you at the bimah because the air strikes are too loud.

Does it make you feel strong, Israel? To be the one wielding the gun as children cower? Are you healed now, do you know peace? You are a coward, dropping bombs from the sky making vapid platitudes for peace. I want to reach for Jewish wisdom but I cannot read the Talmud, it’s covered in blood.

Gaza is starving, can she eat at our Seder? Can you jump on the tracks before this train arrives at Bergen-Belsen? Can you distract the guard and dump the Zyklon B? Can you poison the commander or throw a rock of resistance at his tank? Can you see a Palestinian as human before you turn on this deadly gas? It’s all quite unpleasant and distracting me from prayer.

I’m wailing at the wall. I need challah for Shabbos but Israel bombed the last bakery in Gaza. Palestine is hungry for justice and the dehydration is setting in.

I’m having a nightmare, can you please wake me up? I’m dreaming that they fooled the Jewish people to do the bidding of western imperialism. To feed their tech, their fascism, their bank accounts, their global death squads for the expansion of empire. That us Jews wiped out villages and stole indigenous land, maintaining 75 years of genocide. All I see are pieces of G-d’s dead children in plastic grocery bags — can you please wake me up?

—

Palestine will never forget. The world will never forget. My Jewish descendants and I will never forget. And who are you in this moment, my beloved fellow Jew? Are you waving the Israeli flag as entire lineages of Palestinian families are wiped from the public record? Are you partying at the edge of a concentration camp? Has the guilt crept up your spine yet? And how many dead children will make you feel safe? What’s the number? When you kill that many, will you stop?

When I see Gaza, I am the Palestinians. I do not see myself in the face of an Israeli soldier — why should I? Because we are both Jewish? I see a colonizer, an occupier, a violent settler. I see someone willing to keep their boot on the neck of Palestine until she dies in the street.

Tell me the story again, zayde. Of David and Goliath, of Palestine and Israel, of a stone vs a tank. Tell me again who you are and tell me the truth this time.

End ID]

[thebusylilbee]

A noter qu'une question sur la vente d'armes par la France à la colonie sioniste a été posée en février 2024 dans le Journal Officiel des Questions du Sénat, et que personne au sein du Ministère de l'Europe et des affaires étrangères n'a pris le temps de répondre depuis... Voici le contenu de la question :

Question de M. GAY Fabien (Seine-Saint-Denis - CRCE-K) publiée le 15/02/2024

M. Fabien Gay interroge M. le ministre de l'Europe et des affaires étrangères sur les ventes d'armes opérées par la France à Israël en 2023 et 2024. Le rapport annuel sur les exportations d'armes, présenté par le ministère des armées en juillet 2023, établit que depuis 10 ans, la France a vendu pour 208 millions d'euros de matériel militaire à Israël, dont 25,6 millions en 2022, auxquels s'ajoutent près de 9 millions d'euros d'autorisations d'exports d'armes de catégorie militaire ML4. Ces ventes intervenaient dans un contexte où l'organisation des Nations unies (ONU) formulait des alertes répétées sur les atteintes aux droits perpétrées par les colons et l'armée israélienne à l'encontre des Palestiniens dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. Pourtant, la France est signataire depuis 2013 du traité des Nations unies sur le commerce des armes (TCA), qui interdit aux États la vente d'armes s'ils ont « connaissance [...] que ces armes ou ces biens pourraient servir à commettre un génocide, des crimes contre l'humanité, des violations graves des conventions de Genève de 1949, des attaques dirigées contre des civils ou des biens de caractère civil et protégés comme tels, ou d'autres crimes de guerre ». La situation géopolitique s'est encore dégradée par suite de l'attaque du Hamas perpétrée à l'encontre de civils israéliens le 7/10/2023. Depuis, l'offensive militaire menée par le Gouvernement israélien dans la bande de Gaza a engendré la mort de plus de 27 000 Palestiniens et provoqué au moins 66 000 blessés ; 10 000 personnes sont toujours portées disparues sous les décombres liés aux bombardements incessants, au moins 1,8 million de Gazaouis ont été déplacés. Concernant la Cisjordanie occupée, les exactions commises par les colons et l'armée israélienne se multiplient. Le 26/01/2024, la Cour internationale de justice a ordonné à l'État israélien de s'abstenir de commettre des actes entrant dans le champ d'application de la convention sur le génocide et de « prévenir et punir » toute incitation au génocide des populations palestiniennes. Le Premier ministre israélien a qualifié cette décision de « fausse » et « scandaleuse » et a ajouté que son pays continuera à se « défendre ». De plus, douze de ses ministres, dont celui en charge de la sécurité nationale, ont participé le 28/01/2024 à un grand rassemblement appelant à l'installation de colonies à Gaza et au transfert de la population palestinienne hors de ce territoire. L'existence d'un risque génocidaire plausible à Gaza, reconnu par une haute instance internationale, oblige désormais expressément l'ensemble des États, qui sont notamment tenus de cesser tout export d'armes, de matériels ou de technologies militaires vers Israël. Le ministère des affaires étrangères français a été interrogé sur l'existence d'exports d'armes vers Israël au cours de l'année 2023, et spécifiquement suite au 7 octobre. En l'absence de chiffres officiels, le ministère a annoncé le 24/01/2024 que : « La France respecte strictement ses engagements internationaux dans ses exportations d'armes vers Israël [...]. À ce titre, elle n'exporte pas et n'exportait pas avant les événements dramatiques du 7 octobre de matériels létaux susceptibles d'être employés contre des populations civiles dans la bande de Gaza », tout en précisant que la France « exporte des équipements militaires à Israël afin de lui permettre d'assurer sa défense, comme l'article 51 de la Charte des Nations unies lui en donne le droit ». Aussi, il souhaiterait obtenir des chiffres précis sur les exports et autorisations d'exports d'armes décidés par la France vers Israël en 2023, et le détail des équipements qui ont été livrés dans cette période. Il souhaiterait aussi savoir si le Gouvernement entend prononcer en 2024 un embargo sur la vente d'armes à Israël, conformément aux engagements internationaux de la France.

Publiée dans le JO Sénat du 15/02/2024 - page 506

[brun-math]

Le Génocide Des Palestiniens Et Palestiniennes Commis Par Israël À Gaza from Amnesty International on Vimeo.

Israël a commis un génocide contre les Palestiniens et Palestiniennes dans la bande de Gaza occupée. Regardez cette vidéo pour comprendre comment Amnesty International est parvenue à cette conclusion.   

Pour mettre fin au génocide, les gouvernements doivent agir ensemble et prendre des mesures fortes.  Ils doivent utiliser toutes les voies juridiques disponibles pour traduire les responsables présumés en justice, faire cesser les transferts d’armes et travailler de toute urgence à démanteler le régime d’occupation illégale et d’apartheid mis en place par Israël.  

Pour en savoir plus :  

amnesty.org/fr/petition/end-israels-genocide-against-palestinians-in-gaza/