#Jean Pierre Le Bris
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
1/10
Cher cousin,
Comme voulu par ma mère et mon père, il est temps pour moi de reprendre la correspondance traditionnelle entre nos deux familles. C'est difficile d'imaginer que c'est une tradition plus ancienne que Grand-Mère tant tout, depuis mon enfance, semble tourner autour d'elle.
Je m'appelle Arsinoé Le Bris, mais appelez moi Noé. Personne ne m'appelle par mon nom complet, à part mon père bien sur, ma grand-mère quand elle se veut solennelle, ou mes soeurs quand elles veulent le taquiner. Très honnêtement, je trouve mon prénom complet vraiment pompeux, mais mon père est un original. Je m'estime heureuse de ne pas m'être appelée Isisnofret, ou quelque chose du genre.
Si j'ai bien compris, le rôle de cette correspondance est de maintenir un lien et de s'échanger des nouvelles entre nos deux familles. Ou plutôt notre famille, car deux de nos ancêtres étaient jumeaux. Grand-Mère a connu celui de mon côté, c'est incroyable, même si c'était déjà un vieil homme à cette époque. Il est aussi difficile d'imaginer Eugénie Le Bris comme une jeune fille. Même quand elle nous parle de sa jeunesse, j'imagine une vieille dame avec une canne. Malheureusement, sa santé n'est pas très bonne. Elle a appris cette semaine que Tante Hélène (la dernière de ses filles) est tombée malade, et elle s'inquiète à s'en rendre à son tour malade. Nous sommes habitués à ses malaises, car chez une dame de cent-trois ans, c'est plutôt attendu. Mais cette fois, je suis inquiète. Elle raconte des choses étranges au matin. Elle dit que les esprits de la famille viennent la visiter durant la nuit. Oncle Adelphe dit qu'il ne faut pas s'alarmer, car elle "voit" des fantômes depuis toujours, mais je ne peux pas m'empêcher d'être inquiète tout de même.
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Jean Boullet
Jean Boullet (12 de dezembro de 1921 - 2 de novembro de 1970) é um pintor , desenhista , ilustrador , crítico de cinema e escritor francês.
Biografia
Jean Boullet era filho de um comerciante de peles de gato na Avenue d'Italie , Henri Boullet, que cometeu suicídio por enforcamento. Em sua infância católica, ele passava os verões em Isdes , em uma casa que ele manteria. Ele começou a pintar em 1942, principalmente retratos. Ele fez seu nome como desenhista e ilustrador em Saint-Germain-des-Prés imediatamente após a guerra. Ele ilustrou tanto um livro de Daniel-Rops, o escritor católico (Este rosto que olha para nós), quanto a obra sulfurosa - proibida pela censura - de Boris Vian , Irei cuspir em seus túmulos, textos de Edgar Poe , Raymond Asso , poemas de Villon, Verlaine . Em 1948, ele foi o autor dos cenários para a peça J'irai cracher sur vos graves que Boris Vian tirou de seu romance homônimo e que ele assinou com seu nome real.
Jean Boullet também é um crítico de cinema que venera os filmes fantásticos e de terror que podem ser vistos no cinema Midi-Minuit nos Grands Boulevards. Para exibir os filmes ainda mais raros que ele ama, ele montou um cineclube privado em sua casa na rue Bobillot: a Société des Amis de Bram Stoker. Ele também estará com Michel Caen, Alain Le Bris e Jean-Claude Romer , o cofundador da crítica de cinema Midi Minuit Fantastique (1962-1971). Esta revista foi publicada por Éric Losfeld . Midi Minuit Fantastique era dedicada a filmes de fantasia, terror e ficção científica5. Jean Boullet aposentou-se da escrita em 1966.
Fundamentalmente libertário, anticlerical, inimigo das ordens estabelecidas e pessoalmente lançado numa busca frenética pelo bizarro e pelo proibido, Jean Boullet é também apaixonado por muitos outros temas: sexologia, ilusionismo, magia, demonologia, mitologia popular… Em dezembro de 1965, ele abriu uma livraria, Le Kiosque, na rue du Château, 79, especializada nestes temas e em histórias em quadrinhos colecionáveis. Aleijado por dívidas, ele fechou a loja no início de 1969 e, em agosto, mudou-se para a Argélia, para Ouargla , para administrar uma livraria lá.
Em diversas ocasiões, ele viajou ao Magreb, notadamente à Argélia, Marrocos e Mauritânia, mas também ao Senegal e ao Sudão, de onde trouxe muitos desenhos.
Durante o verão de 1970, ele deixou Ouargla para o sul e empreendeu uma viagem enquanto mantinha sua livraria. Durante uma das etapas desta viagem, no final de dezembro, ele foi descoberto em Tébessa, ao sul de Constantino, segundo o relatório da polícia argelina, enforcado em uma árvore. No livro, Jean Boullet: Le Précurseur” de Denis Chollet, publicado em 1999, não se sabe se foi assassinato, suicídio ou uma coisa sexual que saiu do controle. Segundo o escritor Roger Peyrefitte , Jean Boullet foi morto a facadas.
Guy Loudmer, Hervé Poulain e Pierre Cornette de Saint Cyr dispersaram sua oficina em Paris em 23 de abril de 1971.
Homoerotismo
Assumidamente homossexual, proclamando-se “pintor da beleza masculina”, multiplicou os desenhos ou pinturas de uma estética homoerótica um tanto inspirada na de Jean Cocteau.
Jean Boullet, durante a sua vida, conheceu os Tout-Paris cujos nomes eram então: Édith Piaf , Michel Déon , Marie-Laure de Noailles , Jean Cocteau , Juliette Gréco , Jacques Chazot , Piéral (a partir de 1942), Sacha Guitry , Marcel Carné , Roland Lesaffre , Kenneth Anger , Félix Labisse , Lise Deharme , Michel Laclos, Elliott Stein , Jacques Courtois .
Ele também era amigo de Max Jacob . Um retrato em tinta da Índia feito por ele em 1943 representando o poeta bretão usando a estrela amarela está agora preservado e apresentado no Museu de Belas Artes de Quimper.
Jean Boullet
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Été 1815, Champs-les-Sims, France
Les Le Bris étaient alors une famille de paysans prospères qui vivaient du travail de la terre et de l’élevage de leurs bêtes - cochons, vaches, poules et moutons. Ils étaient des précurseurs de la culture du maïs dans la région, ce qui leur avait permis de s’enrichir et d’acquérir un cheptel et des terres conséquentes. La propriété se nommait la Butte aux Chênes, et à cette époque, elle était tenue par André Le Bris et sa femme Magdelaine. Jean-Pierre et Jacques Le Bris étaient jumeaux et avaient tous les deux quinze ans. Jean-Pierre, aîné de quelques minutes, était destiné à hériter du domaine et prenait son rôle de futur successeur très au sérieux. En tant que bon garçon dévoué, il ne courait pas les filles et attendait sagement que son père lui dégotte une épouse parmi les villageoises. Son frère, plus désinvolte, n’avait aucun projet d’avenir autre que de rester à la Butte aussi longtemps que Jean-Pierre le lui permettrait, et passait beaucoup de temps à flâner. Cette vie n’était pas faite pour lui, mais qu’aurait-il pu faire d’autre ?
#lebris#Sims 3#sims 3 legacy#legacy challenge#history challenge#decades challenge#André Le Bris#Jacques Le Bris#lebrisgen0#Jean Pierre Le Bris#Magdeleine Soyer
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Joseph Kessel (also known as 'Jef') was born on February 10, 1898. He was a French journalist and novelist. He was a member of the Académie française and Grand officer of the Legion of Honour.
Kessel was born in Villa Clara, Entre Ríos, Argentina, because of the constant journeys of his father, a Litvak physician. From 1905 to 1908, Joseph Kessel lived the first years of his childhood in Orenburg, Russia, before the family moved to France in 1908. He studied in lycée Masséna, Nice and lycée Louis-le-Grand, Paris and took part in the First World War as an aviator. He was also an aviator during the Second World War, in the Free French Groupe de Bombardement n° 1/20 "Lorraine" (342 Squadron RAF) with RAF Bomber Command, with Romain Gary, who was also a talented French novelist.
Kessel wrote several novels and books that were later represented in the cinema, notably Belle de Jour (by Luis Buñuel in 1967). In 1943 he and his nephew Maurice Druon translated Anna Marly's song Chant des Partisans into French from its original Russian. The song became one of the anthems of Free French Forces during the Second World War.
Bibliography
La steppe rouge (1922)
L'Équipage (1923)
Au camp des vaincus ou la critique du 11 mai (1924)
Mary de Cork (1925)
Les captifs (1926; Grand Prix du roman de l'Académie française)
Nuits de princes (1927)
Belle de Jour (1928; it inspired Luis Buñuel's 1967 movie of the same name)
Vent de sable (1929)
Fortune carrée (1932)
Le coup de grâce (1931; made into the movie Sirocco in 1951 with Humphrey Bogart)
Wagon-lit (1932)
La Passante du Sans-Souci (1936; turned into a movie by Jacques Rouffio in 1982)
Hollywood, Ville mirage (Gallimard, NRF, 1936)
Mermoz (1938)
L'Armée des ombres (1943; adapted for a movie by Jean-Pierre Melville in 1969); Army of Shadows (Contra Mundum Press: 2017), featuring an intro by Stuart Kendall
Le Bataillon du ciel (Sky Battalion), (1946; turned into a movie by Alexander Esway in 1947): Free French SAS paratroopers in Brittany in Summer 1944
Le tour du malheur (1950)
Les Amants du Tage (1954)
La Vallée des Rubis (1955)
Le lion (English translation: The Lion; 1958)
Les mains du miracle (Gallimard, 1960). (English translation: The Man with the Miraculous Hands. Translated by Weaver, Helen. Farrar, Straus and Cudahy. 1961.)
Les cavaliers (1967) (filmed as The Horsemen in 1971)
Partout un ami (1972)
Des hommes (1972)
Les temps sauvages (1975)
The escape
Filmography
The Crew, directed by Maurice Tourneur (France, 1928, based on the novel L'Équipage)
Nuits de princes, directed by Marcel L'Herbier (France, 1930, based on the novel Nuits de princes)
L'Équipage, directed by Anatole Litvak (France, 1935, based on the novel L'Équipage)
The Woman I Love, directed by Anatole Litvak (1937, based on the novel L'Équipage)
Nuits de princes, directed by Vladimir Strizhevsky (France, 1938, based on the novel Nuits de princes)
Le Bataillon du ciel, directed by Alexander Esway (France, 1947, based on the novel Le Bataillon du ciel)
Sirocco, directed by Curtis Bernhardt (1951, based on the novel Le coup de grâce)
The Lovers of Lisbon, directed by Henri Verneuil (France, 1955, based on the novel Les Amants du Tage)
Fortune carrée, directed by Bernard Borderie (France, 1955, based on the novel Fortune carrée)
The Lion, directed by Jack Cardiff (1962, based on the novel The Lion)
Belle de Jour, directed by Luis Buñuel (France, 1967, based on the novel Belle de Jour)
Army of Shadows, directed by Jean-Pierre Melville (France, 1969, based on the novel L'Armée des ombres)
The Horsemen, directed by John Frankenheimer (1971, based on the novel Les Cavaliers)
The Passerby, directed by Jacques Rouffio (France, 1982, based on the novel La Passante du Sans-Souci)
Screenwriter
Cessez le feu (dir. Jacques de Baroncelli, France, 1934)
Mayerling (dir. Anatole Litvak, France, 1936)
Les Bateliers de la Volga (dir. Vladimir Strizhevsky, France, 1936)
La Peur (dir. Victor Tourjansky, France, 1936)
Les Secrets de la mer Rouge (dir. Richard Pottier, France, 1937)
The Man from Niger (dir. Jacques de Baroncelli, France, 1940)
Au grand balcon (dir. Henri Decoin, France, 1949)
Le Grand Cirque (dir. Georges Péclet, France, 1950)
Act of Love (dir. Anatole Litvak, 1953)
Oasis (dir. Yves Allégret, France, 1955)
La Passe du diable [fr] (dir. Pierre Schoendoerffer and Jacques Dupont, France, 1958)
The Night of the Generals (dir. Anatole Litvak, 1967)
Kessel was elected at the Académie française in 1962 and died on 23 July 1979 in Avernes, Val-d'Oise of a ruptured aneurysm. He is buried in the Cimetière du Montparnasse in Paris. On his deathbed he was quoted as saying that his greatest accomplishment was the birth of his son, Joseph Kessel, who was born just a few months prior on February 24 of the same year. The Joseph-Kessel Prize (Prix Joseph Kessel) is a prestigious prize in French language literature, given to "a book of a high literary value written in French". The jury counts or has counted among its members Tahar Ben Jelloun, Jean-Marie Drot, Michèle Kahn, Pierre Haski, Gilles Lapouge, Michel Le Bris, Érik Orsenna, Patrick Rambaud, Jean-Christophe Rufin, André Velter and Olivier Weber.
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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Going Down the List #4: ‘Les Huguenots’, Montpellier, 1990
As any of you who have been following me for a long time know, this is one of my favorite operas and I am on a quest to find and watch every available filmed production of this opera. As such, this is my eighth production of Huguenots, and I think the best one I've seen. Here goes:
First things first, any review of a production of this opera has to include some commentary about cuts. I’m happy to say that there are very few of them, the most notable of which is the entire Act III ballet, which still isn’t a huge loss. There are minor cuts elsewhere, such as a section of the Raoul/Marguerite duet that I frequently forget exists (the section, not the whole duet), a small cut in the Act I window scene, a couple tiny cuts in ‘O beau pays de la Touraine’, and some of the Act III finale. Urbain’s Act II aria was omitted as well, but since it was an insert aria in the first place, I don’t see it as that huge of a loss even though I do love it and prefer when it is included.
Also, a warning: the video quality is not great. It’s not horrible, but it’s definitely not ideal. It’s still decent, though, especially for what I’m assuming is an upload of a video ripped from a 1990s TV broadcast of an official in-house recording. There are no subtitles either, which really stinks.
With that out of the way, the production: I’d overall describe it as ‘traditional minimalist with really wonderful direction’.
The sets are where the ‘minimalist’ part comes from: there are only really two sets, one of which is almost entirely white and the other of which is almost entirely black. The sets are slightly modified for each scene, but the first set is essentially ‘huge staircase (most of the time also featuring a couple long tables and a ridiculous number of chairs)’ and the second is essentially a huge open space with black walls, a lot of graffiti that is mostly illegible, and some cut-out door openings. Although personally, I’d prefer a little more detail and variety, I do overall like the sets and I think they work well.
The costumes are beautiful period fashion; the problem with them, however, is that apparently the costume designer thought it would be a good idea to dress large groups of people exactly the same. This is especially a problem with the various Catholic noblemen, to the point where it took me a few minutes to figure out who was playing Nevers because all the Catholic noblemen in Act I wore the exact same outfit. (Perhaps this would have been less of a problem if the video quality were better.) Still, they are gorgeous costumes.
If I had to describe the direction in five words, they’d be, “nuanced, vivacious, and emotionally intense”. I especially love how much the chorus actually moves! That may sound silly, but it’s nice to have an actual street riot in Act III or a frenzied, whipped-up mass of Catholic nobles declaring anathema on the Huguenots in Act IV instead of having the chorus just stand there and sing prettily. The chorus also does an excellent job of reacting in general: they laugh at Nevers’ witty comments, they enthusiastically respond to the calls for a massacre, they recoil in horror when Raoul details the scenes of death and destruction. And the way the ending was staged─ you just had to rip out my heart, didn’t you? That’s all I’ll say about that.
There are some togetherness issues between the onstage forces and the pit; however, these are relatively minor. The orchestra (and its soloists) are very good; the chorus is amazing. Whether it’s a particularly fortuitous sound balance or just a really present chorus, they are always a force to be reckoned with on a scale I don’t think I’ve even heard on any other recording. And as I mentioned earlier, they’re not just great singers, but also great actors. Same goes for the various small roles, with a special shoutout to the six supporting Catholic nobles, who all sound good, look good, and work together very well.
Now for the seven leads:
Danielle Borst was a very adorable Urbain who happened to be dressed like she was from The Addams Family or something (including what appeared to be a very unfortunate black bobbed wig). Regardless, she was all cheer and enthusiasm in the classic trouser-role mold (along with the obligatory flirting with everyone) with a really, really fantastic voice, and she lit up the stage whenever she was on it, whether she was standing on a table or chugging a bottle of wine (during ‘O beau pays’) or spying on the ladies-in-waiting from under a sheet. Her ‘Nobles seigneurs, salut’ in particular was one of the best I’ve ever heard, and I think it’s really a shame she didn’t get a shot at ‘Non, vous n’avais jamais, je gage’.
Marc Barrard was a fantastic Nevers. His voice is really nice and lyrical and beautiful, although owing to the fact that the role is a) relatively short and b) doesn’t have any big solos or even small ensembles, he didn’t get much of a chance to show it off. As a result, as with all baritones playing this role, whether his performance succeeded or not depended on his dramatic skill. He delivered. Depending on what was happening, he was extremely flamboyant, official, gentle, and/or morally outraged— and he managed to do that without overacting, which I appreciate.
Jean-Pierre Courtis absolutely nailed it as the Comte de Saint-Bris. His voice is not particularly subtle, but then again, the character isn’t either. What his voice is is commanding and surprisingly beautiful. Seriously. It’s gorgeous. As he should, he absolutely dominated the Conspiracy Scene and came across as very cold, no-nonsense, but still intensely devoted to his country, his faith, and his own ideas about how they should be─ in short, absolutely fanatical. And I said earlier I wouldn’t give away any details about the staging of the ending, but I will here: after discovering his dying daughter, he did something I haven’t seen any other Saint-Bris do that just wrenched my heart: he walked (or to be more precise, backed) offstage. It was pretty ambiguous, but I think it’s the only portrayal I’ve seen that suggested he didn’t really regret anything he did.
Anyway, they were both awesome.
Ghyslaine Raphanel definitely did right by Marguerite de Valois. Her voice is very light and may take some getting used to (it did for me), but overall it’s a beautiful sound that I think works well for this part. In particular, she has some serious coloratura chops, which she took every opportunity to display (including by far the longest ‘O beau pays’ cadenza I have ever heard). She’s also very good at playing the young, charismatic, beautiful royal who wants peace and love but is completely detached from reality, to the point where she still can’t believe what’s happening even when Raoul tells her about the massacre in Act V, scene 1 (the scene ends with her climbing the staircase, turning around, and looking at all the Huguenot noblewomen as if to say ‘…I have no clue what the hell just happened’).
I really loved John Macurdy’s performance as Marcel. His basic voice isn’t my favorite by any means, but I can absolutely say it’s a good voice, with particularly strong low notes. And he’s a great actor! I especially loved his ‘Piff, paff’, for this exact reason: you can hear the hatred Marcel has for Catholicism and women in the way he sings every word. And he has amazing stage presence: even just a little thing, like a gesture at Raoul or the way he put an arm around Valentine and walked her back into the church in Act III, said so much. In other words, he may not be my favorite bass, but he’s a good singer and a virtually perfect dramatic match for the part.
Nelly Miricioiu was a wonderful Valentine de Saint-Bris. Personally, I love her voice although there are some things about it I could see people not liking. Nevertheless, it’s a gorgeous voice that fits the role well, and she’s amazing at everything she does, especially in her two big duets and the final scene. She’s also a very, very good actress who does one of the best acting jobs I’ve seen in this role, and that is no shabby feat, especially in the eyes of yours truly (who once wrote several pages about her character development and posted it on this very blog, although almost no one read it lol). That development I talked about, from very anxious, fragile, and shy to boldly defiant? She absolutely got it.
Gregory Kunde was absolutely phenomenal as Raoul de Nangis. His voice is pretty much perfection in this role, which is especially an achievement considering how many ways the part is demanding─ he has lyric moments and huge dramatic ones alike, and let’s not forget all the insanely high notes! But he nailed it, especially the two arias, which are both very hard in very different ways. Also, his acting was on point: I got all the little bits of his personality─ the romantic dreaminess, the idealism, the moral outrage, the impulsiveness, the stubbornness, all of it. There are so many good little details, from his frequent hesitations at drinking to the fact that even though there’s a massacre going on and he’s trying to rescue the Huguenot nobles, he still takes a few seconds at the end of his Act V aria to bow to Marguerite (and be like, ‘uh, sorry for ruining your big party’) before rushing out. Bravo!
Overall Verdict: Definite recommend; this would be a great first production for anyone wanting to watch this opera, albeit with two caveats: one, there are no subtitles (but I’d be more than happy to send anyone the French-English libretto I have on Google Drive), and two, this production may ruin you for others that are…not of the same quality. 😉
Up next: Due to ongoing difficulties with the Internet at my house, I am going to have to suspend this series until further notice, but as soon as I can, I’ll be doing the 2019 Il trovatore from Beijing!
#opera#opera tag#les huguenots#meyerbeer#giacomo meyerbeer#this was GREAT#going down the list#sorry everyone this series is being suspended until further notice because technical difficulties#but oh well!
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Nous sommes des citoyens d'opinions différentes et très souvent opposées qui se sont trouvés d'accord pour exprimer, en dehors de toute actualité, leur inquiétude face à la montée de l'islamisme. Ce ne sont pas nos affinités qui nous réunissent, mais le sentiment qu'un danger menace la liberté en général et pas seulement la liberté de penser. Ce qui nous réunit aujourd'hui est plus fondamental que ce qui ne manquera pas de nous séparer demain.
Le nouveau totalitarisme islamiste cherche à gagner du terrain par tous les moyens et à passer pour une victime de l'intolérance. On a pu observer cette stratégie lorsque le syndicat d'enseignants SUD Éducation 93 proposait il y a quelques semaines un stage de formation comportant des ateliers de réflexion sur le «racisme d'État» interdits aux «Blanc.he.s». Certains animateurs étaient membres ou sympathisants du Collectif contre l'islamophobie en France et du Parti des indigènes de la République. Les exemples de ce genre se sont multipliés dernièrement. Nous avons ainsi appris que la meilleure façon de combattre le racisme serait de séparer les «races». Si cette idée nous heurte, c'est que nous sommes républicains.
Nous entendons aussi dire que, puisque les religions sont bafouées en France par une laïcité «instrumentalisée», il faut donner à celle qui est minoritaire, c'est-à-dire à l'islam, une place spéciale pour qu'elle cesse d'être humiliée. La même idée se poursuit: il paraît qu'en se couvrant d'un voile les femmes se protégeraient des hommes et que se mettre à part leur permettrait de s'affranchir.
Le point commun de ces proclamations est de penser que la seule façon de défendre les «dominés» (ce n'est pas notre vocabulaire mais celui de SUD Éducation 93), serait de les mettre à l'écart des autres et de leur accorder des privilèges.
Il n'y a pas longtemps, l'apartheid régnait en Afrique du Sud. Reposant sur la ségrégation des Noirs, il voulait se disculper en créant des bantoustans où une autonomie factice leur était concédée. Un tel système a heureusement disparu.
Et voici qu'aujourd'hui, c'est un apartheid d'un nouveau genre qui est proposé à la France, une ségrégation à l'envers grâce à laquelle les «dominés» préserveraient leur dignité en se mettant à l'abri des «dominants».
Mais alors, cela veut dire qu'une femme qui ôte le voile et sort dans la rue deviendrait une proie normale? Cela veut dire qu'une «race» qui côtoie les autres serait humiliée? Cela veut dire qu'une religion qui accepte de n'être qu'une parmi d'autres perdrait la face?
Et les Français musulmans, ou de culture musulmane sans être croyants, qui aiment la démocratie et veulent vivre avec tout le monde, l'islamisme a-t-il prévu de les mettre à part, eux aussi? Et les femmes qui refusent d'être enfermées, qui décidera pour elles? Et les autres, ceux qui ne méritent apparemment pas d'être protégés: sous clé dans le camp des «dominants»?
Tout cela va à l'encontre de ce qui a été fait en France pour garantir la paix civile. Depuis longtemps, l'unité du pays a été fondée sur l'indifférence à l'égard des particularismes pouvant être cause de conflit. Ce qu'on appelle l'universalisme républicain ne consiste pas à nier les sexes, les races ou les religions, mais à définir l'espace civique indépendamment d'eux pour que personne n'en soit exclu. Et comment ne pas voir que la laïcité protège aussi les religions minoritaires? La mettre en péril nous expose au retour des guerres de religion.
À quoi peut donc servir ce ségrégationnisme nouvelle manière? Doit-il seulement permettre aux soi-disant «dominés» de sauvegarder leur pureté en vivant entre eux? N'a-t-il pas surtout pour but d'affirmer la sécession avec la communauté nationale, ses lois et ses mœurs? N'est-il pas l'expression de la haine la plus caractérisée à l'égard de notre pays et de la démocratie?
Que chacun vive dans la loi de sa communauté ou de sa caste et dans le mépris de celle des autres, que chacun ne soit jugé que par les siens, cela est contraire à l'esprit de la République. Celle-ci a été fondée sur le refus de droits privés s'appliquant à des catégories spécifiques et exclusives, sur l'abolition des privilèges. Les mêmes lois pour chacun de nous, voilà ce que nous garantit au contraire la République. C'est ce qu'on appelle tout simplement la Justice.
Le nouveau séparatisme avance masqué. Il veut paraître bénin, mais il est en réalité l'arme de la conquête politique et culturelle de l'islamisme. L'islamisme veut être à part car il rejette les autres, y compris les musulmans qui ne partagent pas ses vues. L'islamisme déteste la souveraineté démocratique car elle lui refuse toute légitimité. L'islamisme se sent humilié lorsqu'il ne domine pas.
Il n'est pas question d'accepter cela. Nous voulons vivre dans un monde complet où les deux sexes se regardent sans se sentir insultés par la présence de l'autre. Nous voulons vivre dans un monde complet où les femmes ne sont pas jugées inférieures par nature. Nous voulons vivre dans un monde complet où les gens peuvent se côtoyer sans se craindre. Nous voulons vivre dans un monde complet où aucune religion ne fait la loi.
Les signataires
Waleed al-Husseini, écrivain Arnaud d'Aunay, peintre Pierre Avril, universitaire Vida Azimi, juriste Isabelle Barbéris, universitaire Kenza Belliard, formatrice Georges Bensoussan, historien Corinne Berron, auteur Alain Besançon, historien Fatiha Boudjahlat, essayiste Michel Bouleau, juriste Rémi Brague, philosophe Philippe Braunstein, historien Stéphane Breton, cinéaste, ethnologue Claire Brière-Blanchet, reporter, essayiste Marie-Laure Brossier, élue municipale Pascal Bruckner, écrivain Eylem Can, scénariste Sylvie Catellin, sémiologue Gérard Chaliand, écrivain Patrice Champion, ancien conseiller ministériel Brice Couturier, journaliste Éric Delbecque, essayiste Chantal Delsol, philosophe Vincent Descombes, philosophe David Duquesne, infirmier libéral Luc Ferry, philosophe, ancien ministre Alain Finkielkraut, philosophe, écrivain Patrice Franceschi, écrivain Renée Fregosi, philosophe Christian Frère, professeur Claudine Gamba-Gontard, professeur Jacques Gilbert, historien des idées Gilles-William Goldnadel, avocat Monique Gosselin-Noat, universitaire Gabriel Gras, biologiste Gaël Gratet, professeur Patrice Gueniffey, historien Alain Guéry, historien Éric Guichard, philosophe Claude Habib, écrivain, professeur Nathalie Heinich, sociologue Clarisse Herrenschmidt, linguiste Philippe d'Iribarne, sociologue Roland Jaccard, essayiste Jacques Jedwab, psychanalyste Catherine Kintzler, philosophe Bernard Kouchner, médecin, humanitaire, ancien ministre Bernard de La Villardière, journaliste Françoise Laborde, journaliste Alexandra Laignel-Lavastine, essayiste Dominique Lanza, psychologue clinicienne Philippe de Lara, philosophe Josepha Laroche, universitaire Alain Laurent, essayiste, éditeur Michel Le Bris, écrivain Jean-Pierre Le Goff, philosophe Damien Le Guay, philosophe Anne-Marie Le Pourhiet, juriste Barbara Lefebvre, enseignante Patrick Leroux-Hugon, physicien Élisabeth Lévy, journaliste Laurent Loty, historien des idées Mohamed Louizi, ingénieur, essayiste Jérôme Maucourant, économiste Jean-Michel Meurice, peintre, réalisateur Juliette Minces, sociologue Marc Nacht, psychanalyste, écrivain Morgan Navarro, dessinateur Pierre Nora, historien, éditeur Robert Pépin, traducteur Céline Pina, essayiste Yann Queffélec, écrivain Jean Queyrat, réalisateur Philippe Raynaud, professeur de sciences politiques Robert Redeker, écrivain Pierre Rigoulot, historien Ivan Rioufol, journaliste Philippe San Marco, auteur, essayiste Boualem Sansal, écrivain Jean-Marie Schaeffer, philosophe Martine Segalen, ethnologue André Senik, enseignant Patrick Sommier, homme de théâtre Antoine Spire, vice-président de la Licra Wiktor Stoczkowski, anthropologue Véronique Tacquin, professeure, écrivain Pierre-André Taguieff, politologue Maxime Tandonnet, auteur Sylvain Tesson, écrivain Paul Thibaud, essayiste Bruno Tinel, économiste Michèle Tribalat, démographe Caroline Valentin, essayiste David Vallat, auteur Éric Vanzieleghem, documentaliste Jeannine Verdès-Leroux, historienne Emmanuel de Waresquiel, historien Ibn Warraq, écrivain Yves-Charles Zarka, philosophe Fawzia Zouari, écrivaine
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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POST-SCRIPTUM 792
AGITATION FRITE 2 : CES TEMPS-CI, PAR CES SOIRS D’ÉTÉ
Agitation Frite 1, Témoignages de l’underground français est donc sorti chez Lenka lente. Un second volume est en préparation. La forme en est la même : un peu moins d’une quarantaine d’entretiens dont la plupart, cette fois, sont inédits. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, Lucien Suel (Station Underground d’Émerveillement Littéraire, The Starscrewer, Potchük).
EXTRAIT…
JACK KEROUAC / STEVE ALLEN, « Readings From On The Road And Visions Of Cody »
Jack Kerouac lisant un extrait de Sur la route, j’entends Dieu qui s’adresse à lui et lui dit : « Go moan for man. » Il parle de son frère mort, de son père mort, de sa mère au loin. Cette lecture accompagnée au piano est dans ma tête depuis le début des années 1970. J’avais réussi à en capter un extrait à la radio, chose rare à l’époque. J’avais aussi une cassette de William Burroughs éditée en Allemagne et j’ai expérimenté mes premiers collages sur bande magnétique en mêlant les voix de Jack Kerouac, Allen Ginsberg et William Burroughs, plus un extrait du premier album des Fugs. C’est de Kerouac que je me suis toujours senti le plus proche, par l’éducation, la religion (catholique par l’éducation, et bouddhiste par l’étude), ce balancement continu entre être dans le monde et se retirer du monde. Et quelle œuvre ! Ces temps-ci, par ces soirs d’été, je me délecte à lire Dharma, le grand inédit posthume qui est en fait un immense collage-journal émouvant, érudit et poétique.
La Beat Generation semble être à l’origine de ta vocation d’écrivain. Tu as d'ailleurs rencontré Claude Pélieu et édité Starscrewer en France. Y a-t-il d’autres écrivains qui t'ont marqué ?
Les écrivains qui m’ont vraiment marqué sont, dans la Beat Generation, Jack Kerouac et William Burroughs ; dans le XXe siècle français, Louis-Ferdinand Céline et Georges Bernanos ; et dans le XIXe siècle, Joris-Karl Huysmans et Léon Bloy ; je peux ajouter le poète Arthur Rimbaud et tous ceux du mouvement Dada. Je fais aussi un cas particulier des Chants de Maldoror, le livre qui a marqué ma jeunesse. Il y a deux ans, à Liège, Jacques Izoard, qui me questionnait en public, s’étonnait de me voir citer Bernanos avec Burroughs, à quoi je répondais que tous ces écrivains ont en commun d’être des révoltés, de dénoncer la société moderne, l’oppression machiniste et technicienne, le contrôle pseudo-démocratique, la tyrannie de l’économie, la destruction de la planète au nom du progrès – et tout cela toujours lié chez eux à un évident souci du langage, du style et de la forme.
PATTI SMITH, « Piss Factory »
J’ai ce 45 tours. « Piss Factory » est la face B avec Lenny Kaye. La face A, c’est « Hey Joe » avec Tom Verlaine à la guitare, et toute l’histoire de Patty Hearst avec la Symbionese Liberation Army. J’aime bien ce côté « talking blues », un truc d’écrivain. J’ai vu Patti Smith lors de son retour sur scène en 1998. Elle est passée à Dranouter, un grand festival folk en Flandre belge, pas loin de chez moi. J’y suis allé avec ma fille Marie qui chante aussi dans un groupe (Gomm). C’était très émouvant de voir Patti Smith, quinquagénaire comme moi, avec cette énergie, cet humour. Elle avait commencé en lisant un extrait de Howl d’Allen Ginsberg qui venait juste de mourir. J’étais vraiment très ému.
Le numéro 11 de Starscrewer est consacré au punk, quelque chose d’important pour toi.
J’ai publié un poème inédit de Patti Smith dans le n°11 de Starscrewer, en 1978-1979. C’était une grande époque de créativité, après la récupération des idées des années 1960. Bazooka Production, néo-Dada, la destruction de la mode, la musique faite par tous. De nouveau, on trouvait des 45 tours à acheter : Desperate Bicycles, Spherical Objects, Buzzcocks, X-Ray Spex... Ça n’a malheureusement pas duré très longtemps.
Quand tu as fait de la radio, tu as programmé beaucoup de groupes de garage et de hardcore.
En 1982, j’ai participé à la création de Radio-Banquise, une radio libre associative. J’avais une émission, Bris-collage, et je diffusais toutes ces musiques non commerciales, bruitistes, faites à la maison, et qui m’arrivaient par la poste. Être punk aujourd'hui, ça ne veut plus dire grand-chose. Par contre, on peut encore être dans l’underground, le non-académique (en gros, ce dont on ne parle pas dans les médias dominants), dans une logique de l’échange, voire du don, en dehors du profit.
WILLIAM S. BURROUGHS, « K-9 Was In Combat With The Alien Mind-Screens »
William Burroughs, je connais tellement bien sa voix. J’avais vu une photo de lui dans un dossier du Magazine Littéraire, le n°1, en 1967 je pense. C’est seulement trois ans plus tard que j’ai pu lire ses livres. Et depuis, je crois bien que je les ai tous lus, jusqu’au dernier, Ultimes paroles, que j’ai découvert cette année avec beaucoup d’émotion.
Comment as-tu découvert le cut-up et qu’a-t-il représenté pour toi ?
J’ai tout de suite essayé et adopté le cut-up. C’est beaucoup plus satisfaisant que l’écriture automatique des surréalistes. L’idée de couper dans des textes existants, de les manipuler, d’utiliser le « hasard » pour produire des images et stimuler l’imagination, détruire les discours imposés, briser les lignes d’association, comme le dit William Burroughs, recycler de la littérature morte, écrire avec une paire de ciseaux ou un cutter, tout ça me convient parfaitement, dans ce monde, à cette époque.
C’est une évidence de dire que nous vivons sur le mode « cut-up » du collage, du mixage des productions, des sensations. Le tout est de s’en rendre compte, d’être en éveil, toujours, à chaque instant et de s’en servir.
Je viens d’écrire un opuscule intitulé Coupe-Carotte, dans lequel je présente ma pratique du cut-up et comment celui-ci a influencé mon écriture entre 1972 et 1997. Ce petit volume doit paraître prochainement aux Éditions Derrière La Salle De Bains.
Quels sont les divers aspects qu’a pris ce travail du texte au cours des années et des expérimentations successives ?
J’avais déjà utilisé la méthode Dada des mots placés dans un chapeau et transcrits dans l’ordre de leur apparition. Ensuite, je suis passé au cut-up classique réalisé à partir de pages de mes carnets de notes dans les années 1970 (pages coupées en quatre et scrupuleusement réassemblées selon les principes mis au point par William Burroughs et Brion Gysin). Allant plus loin, j’ai testé le cut-up de cut-up avec effets sonores ajoutés (tout ce travail était mené parallèlement à l’usage du magnétophone à bande, découpes, manipulations, épissures, toutes choses qu’on fait aujourd’hui d’un mouvement de souris). J’ai aussi pratiqué le cut-up mental. Par exemple, en prenant des notes, dans un train, dans une réunion. La prise de notes se fait automatiquement, donc en sautant des mots et des phrases. Le sens n’a aucune importance (on écrit ce que l’on entend au moment où l’on écrit), d’autant que s’ajoutent aux bribes du discours initial, des considérations personnelles sur le cadre de l’action (lieu, bruits, odeurs), et sur les particularités des protagonistes.
Je suis arrivé au poème express lorsqu’au lieu de couper, j’ai commencé à raturer les textes, à caviarder les pages, depuis les tracts politiques ou syndicaux, jusqu'aux prospectus publicitaires en passant par les romans à succès. Le poème express est, comme le cut-up, une réponse à l’angoissante (hum !) question de la page blanche, puisqu’il commence à partir d’une page déjà écrite, imprimée, le plus souvent, page arrachée d’un roman d’amour ou d’un roman policier. Il suffit de biffer le maximum de mots, de lignes, jusqu’à arriver à une combinaison satisfaisante pour l’esprit ; une autre façon de briser les lignes d’association... Le mixage dérive du cut-up, lorsqu’on mélange des bribes de journal avec, par exemple, des paragraphes découpés dans un roman pornographique. Le même procédé permet aussi la création de situations pseudo- romanesques. C’est ainsi que j’ai rédigé un court roman expérimental intitulé Le Lapin mystique, dont les deux premiers chapitres ont été composés en mixant quelques pages d'un roman policier de Mickey Spillane avec des lettres de la carmélite Xavérine de Maistre. Le reste du roman a pour fonction de justifier les « bizarreries » initiales. Le résultat donne une intrigue cyclique puisque le livre achevé, on peut le relire dans une optique « logique ».
Qu’est-ce que l’écriture justifiée ? Comment t’en est venue l’idée ?
L’écriture en vers justifiés que je préfère maintenant appeler « vers arithmogrammatiques » (l’expression est de Jean-Pierre Bobillot) est presque..., ..., ...
( Jack Kerouac, par là )
#jack kerouac#steve allen#brion gysin#william s. burroughs#philippe robert#lenka lente#agitation frite 2#agitation frite#patti smith#desperate bicycles#x-ray spex#buzzcocks#lenny kaye#allen ginsberg#the fugs#tom verlaine#léon bloy#joris-karl huysmans#louis-ferdinand céline
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Aviation : les machines volantes - Art philatélique, bloc feuillet émis par la France en 2006
Cliquez sur les photos pour les zoomer. ════════════ ❄❄
Prix : 43 € - envoi avec suivi dans une enveloppe cartonnée rigide
════════════ ❄❄
Histoire de l'aviation, Montage numérique de photos
Vous cherchez un vieux coucou !
Regardez ce bloc qui a raté son atterrissage et se retrouve fixé sur une photo. Seul véritable objet philatélique dans cet article, il est protégé par son sachet protecteur.
Cette photo sera imprimée et le bloc de timbres y sera collé, par le biais de son sachet protecteur.
C'est ce que vous pouvez découvrir sur la première vue.
Quelques informations techniques :
papier photo de 270 g à séchage immédiat.
Emission du bloc de timbres dentelés par la France en 2006
sur feuillet de 143 x 105.
Les avions qui apparaissent :
l' "Hélicoptère" du vicomte Ponton d' Amécourt
la "Demoiselle" d' Alberto Santos-Dumont
la "Barque ailée" de Jean-Marie Le Bris
l' "Avion III" de Clément Ader
l' "Hydravion" d'Henri Fabre
le "Ballon à rames" de Jean-Pierre Blanchard
à titre indicatif, bloc coté 10 € dans le catalogue 2019.
poids de l'enveloppe cartonnée : 90 g
Matériaux utilisés : carton, papier cristal, film fleuriste, pastilles adhésives, papier photo 280 g
Couleurs : multicolore
Taille : A4 c'est-à-dire 210 x 297 mm, en mode portrait
Style : Rétro, Historique
Thème : Aviation, les machines volantes
Destinataire : tous publics
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Hiver 1916-1917 - Champs-les-Sims
5/7
Je suis bien loin d'être une spécialiste aussi informée que Constantin, mais il me semble que les autres bustes que nous possédons sont également de la XXème dynastie. Personnellement j'ai un attrait plus particulier pour l'art de la XVIIIème et XIXème, mais je trouve cela fascinant de voir que nous avons dans notre collection des reliques datant d'une lignée de princes de sang, qui se sont autrefois passés le pouvoir de mains en mains. Bien que l'on puisse reprocher aux pharaons de la XXème l'affaiblissement progressif de l'Egypte, il y a quelque chose d'émouvant dans tous ces portraits qui reprennent le nom et la forme d'un ancêtre prestigieux. Cela me rappelle ma petite Eugénie. Le jour où Madame Eugénie nous quittera, elle sera là pour se souvenir d'elle.
Nous possédons aussi une très belle collection de vases canopes que nous exposons dans le bureau, de même que mes photographies. J'espère pouvoir un jour vous les montrer et je sais que Constantin en serait également extrêmement fier.
Transcription :
Eugénie « Tu es bien gentil d’accompagner ta vieille grand-maman à sa promenade mon garçon. Et quelle élégance, tu me rappelles ton grand-père au même âge ! »
Marc-Antoine « Votre mari, André ? »
Eugénie « Oh grand Dieu non ! Tu n’as rien pris de lui le ciel soit loué ! Non, je parlais de Maximilien. Et tu lui ressembles presque trait pour trait. Chez lui, l’élégance n’était pas qu’une question d’allure mais aussi de physionomie. Et tu as la même prestance. »
Marc-Antoine « Merci Grand-Mère, c’est gentil. Allons nous monter jusqu’à l’étang ? »
Eugénie « Non, le froid fait mal à mes vieilles articulations. Nous allons rester dans le domaine pour aujourd’hui si tu le veux bien. Cela te ferait plaisir que nous montions à l’étang un jour ? »
Marc-Antoine « Oui beaucoup ! Il y a une très belle vue sur le village de là-haut. »
Eugénie « Alors dès que le temps le permettra nous irons. Aujourd’hui, j’ai envie de venir ici. Tu sais ce qu’est cet endroit ? »
Marc-Antoine « Oui, enfin un peu. Les filles n’aiment pas venir jouer ici car elles trouvent que c’est un peu glauque. Et vous dites que des fois, les fantômes des morts sortent. C’est terrifiant je trouve. »
Eugénie « Oh ils ne peuvent pas nous faire de mal. Pas plus qu’il n’en ont fait de leur vivant pour certains, en tous cas. »
Eugénie « Je voulais venir ici avec toi, spécifiquement toi. Tu sais qui repose ici j’imagine ? »
Marc-Antoine « Oui, nos ancêtres. »
Eugénie « Exactement. Tous les Le Bris qui sont nés qui sont nés sur cette terre de la Butte aux Chênes, depuis plus de cent ans. A quelques exceptions bien sur. Il y a ton grand-père, Maximilien, dont tu tiens tellement. Il y a son frère, Matthieu, et deux de ses sœurs, Lazarine et Daphné. Mes enfants enterrés bien trop tôt. Il y a aussi feu mon mari, qui malgré ses actions détestables a eu à coeur le bien être de notre famille. Il y a aussi ses parents, Jean-Pierre et Marianne, tes arrière-arrière grand-parents, ceux qui ont rebâti sur les cendres du domaine familial. »
Marc-Antoine « Et un jour... »
Eugénie « Oui, un jour il y aura tes parents, ton oncle Adelphe, puis toi, tes enfants, et les enfants de tes enfants. Et bien sur, d’ici quelques temps, vous m’y enterrerez également. »
Marc-Antoine « Vous ne mourrez jamais Grand-Mère. Oncle Adelphe dit que vous êtes une force de la nature inébranlable et bien trop têtue pour céder aux caprices du destin. »
Eugénie « C’est adorable. Mais vois-tu, j’ai déjà enterré trop d’enfants et de petits-enfants. Je suis trop usée, mon petit. Comme beaucoup de gens de mon âge, j’aspire au repos après tant d’années de bons et loyaux services. Chaque personne enterrée ici a fait son devoir au service de cette famille. »
Marc-Antoine « Quel devoir ? J’ai des devoirs envers qui ? »
Eugénie « La famille, mon petit. Nous sommes chacun ici un individu, une pièce d’un immense ensemble que nous appelons la famille Le Bris, et durant notre vie, nous ajoutons notre pierre à l’édifice. De tous ceux qui reposent ici, je crois que c’est ton grand-père Maximilien qui le comprenait le mieux. »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Jules Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Arsinoé Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#André Le Bris#Maximilien Le Bris#Constantin Le Bris#Adelphe Barbois#Matthieu Le Bris#Lazarine Le Bris#Daphné Le Bris#Jean-Pierre Le Bris#Marianne Onilois#Eugénie Le Bris II
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Été 1815, Champs-les-Sims, France
Les hommes Le Bris n’étaient que peu préoccupés par toutes ces pérégrinations géopolitiques qui de toute manière ne touchaient jamais Champs-les-Sims. À la fin de l’après-midi, ils revenaient du château de Monsieur de Chastel le cœur léger, mais la bourse lourde : ces petits cochons de lait se vendaient une fortune, et l’argent allait leur permettre d’acheter un bélier, une nouvelle vache, peut-être même d’agrandir la grange !
En pénétrant la ferme, Jacques se figea. Il n’y avait pas un bruit, et surtout, la cour était vide - plus trace de leurs vaches, leurs moutons, leurs cochons et leurs poules.
“Vous avez remarqué ?” lança-t-il derrière son épaule.
L’absence de réponse et l’air grave de son frère et son père lui confirmèrent qu’eux aussi étaient alertes. Quelque chose clochait, et ils allaient bientôt savoir quoi...
#lebris#history challenge#decades challenge#Sims 3#legacy challenge#Jacques Le Bris#André Le Bris#lebrisgen0#Jean Pierre Le Bris
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Christine and the Queens - La vita nuova via https://youtu.be/EIdSORj_dd0 // La vita nuova New EP available here: https://ChristineAndTheQueens.lnk.to/lavitanuova_Yo Story by Christine and the Queens and Colin Solal Cardo Directed by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz http://www.christineandthequeens.com Like Christine on Facebook: https://www.facebook.com/christineandthequeens/ Follow Christine on Twitter: http://www.twitter.com/queenschristine Follow Christine on Instagram: https://www.instagram.com/christineandthequeens/ Subscribe to the channel : http://bit.ly/ChristinetheQueens
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DIRECT. Isère : la propriétaire du véhicule utilisé pour foncer sur des militaires interpellée à Echirolles
Retrouvez ici l'intégralité de notre live #VARCES
13h53 : #Varces #Grenoble. Interpellation de la propriétaire du véhicule par La BRI sur la commune d'#Echirolles.
14h09 : a propriétaire du véhicule utilisé pour foncer sur des militaires a été interpellée à Echirolles (Isère), indique la police sur Twitter. Suivez la situation dans notre direct.
13h10 : #Varces #Grenoble. La Police judiciaire procède à des vérifications sur l'individu interpellé pour déterminer si il était le conducteur au moment des faits.
13h14 : Ce matin, l'individu aurait foncé en voiture sur des militaires à Varces-Allières-et-Risset (Isère), avant de prendre la fuite. Il n'y a pas de blessé. Les enfants de la commune ont été brièvement confinés dans les écoles de la ville. Suivez notre direct.
(JEAN-PIERRE CLATOT / AFP)
13h04 : Un homme suspecté d'avoir foncé sur des militaires en voiture a été interpellé à Grenoble.
10h36 : Les enfants sont actuellement confinés dans les écoles, crèches, et dans le collège de Varces-Allières-et-Risset, annonce le maire à franceinfo. Le conducteur du véhicule est activement recherché.
10h36 : Un véhicule a foncé sur des militaires à Varces-Allières-et-Risset, sans faire de blessé. "Des militaires qui sortaient faire leur sport le matin ont été agressés, dans un premier temps verbalement, insultés", précise à franceinfo une source militaire au sein du 93e régiment d'artillerie de montagne. Le véhicule a ensuite "fait demi-tour avec le véhicule de façon à essayer de les écraser".
10h37 : Un homme a foncé sur des militaires aux abords d'une caserne à Varces-Allières-et-Risset, près de Grenoble, rapporte France Bleu Isère. Il n'y a pas eu de blessé, selon nos informations. La voiture arrivant en face d'eux aurait empiété sur le trottoir à leur hauteur, mais le groupe de militaires à réussi à éviter le véhicule en se jetant dans le fossé. L'auteur est en fuite et le véhicule est activement recherché.
10h37 : Un homme a foncé sur des militaires aux abords d'une caserne à Varces-Allières-et-Risset, près de Grenoble, rapporte France Bleu Isère. Pour l'heure, on ne sait pas s'il s'agit d'un acte terroriste, ni s'il y a des blessés.
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Article complet: Franceinfo — https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/isere-un-homme-suspecte-d-avoir-fonce-sur-des-militaires-en-voiture-a-ete-interpelle-a-grenoble-suivez-notre-direct_2679966.html
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