#Haltérophile
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Nesi Dajomes from Ecuador smoothly snatching 183kg, while wearing an Afro-ecuadorian headband.
She is about to dominate the category.
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Le clip date de mai 2023. Le gros Donut Donald imite une haltérophile hétéro qui se fait supplanter plate couture par un transgenre non-binaire. Les têtes parlantes de TYT ne savent pas trop ce qu'il tente de démontrer mais "ça faire rire l'électorat" et c touski con te.
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Le sport au féminin
Article associé à cette publication
Laurie, Michel (OMS), Sylvain (DFCO), Océane, Chrystel (CROS BFC), Myriam, Léna.
Un patchwork de personnalités inspirantes du sport au féminin à l' occasion du 3 ème afterwork qui donne envie aux femmes de s’engager dans le sport en région BFC.
Myriam Alyzon, après avoir lancé dans la Nièvre le magazine A fond, vient de s’installer à Dijon, pour continuer à grandir au-delà de 2500 abonnés ; elle a recruté Laurie qui a fait ses piges au Bien Public.
Aurélie Bresson, Directrice du Groupe média Les Sportives, et Présidente de la fondation Alice Milliat, a impulsé le lancement de l’Afterwork au CROS ; elle continue à accompagner ce réseau de personnalités engagées, un projet qui fait écho au programme du CNOSF 300 Dirigeantes, avec un ancrage local et régional.
Sylvain Carric, manager général de la section féminine du DFCO, qui valorise les conditions exceptionnelles de la pratique du foot féminin dans l’agglomération dijonnaise : “on est un des rares clubs en France à disposer d’un centre de formation, il y en six autres. En plus de l’équipe professionnelle, 150 licenciées bénéficient des équipements. Les résultats sportifs sont au rendez-vous avec une septième saison consécutive au haut niveau et un début de saison prometteur. Le DFCO féminin est dans une phase de transition ; c’est une section qui a besoin de sponsors et d’être mieux médiatisée.”
Les joueuses du DFCO pour leur parcours ; pour leur témoignage, Océane Picard, Meriame Terchoun ; Léna Goetsch pour sa section de foot adapté avec des personnes en situation de handicap qui a un effectif de 40 pratiquants après avoir démarré avec 15 jeunes il y a 3 ans.
Des représentantes des structures qui ont déjà atteint la parité demandée pour l’échéance 2028 en application de la loi du 2 mars 2022 : ligue de gymnastique, ligue de natation.
Jean Claude Bonvalot de l’Office Municipal du Sport de Dijon, maître d’œuvre de la Journée du Sport au féminin, annoncée pour le samedi 8 mars 2025.
L’association Femmes Journalistes de sport #OccuponsLeTerrain, qui regroupe 250 adhérentes. En plus de sa mission fondamentale d’aider celles qui sont victimes de discriminations et de violences, l’association met désormais en lumière le métier de journaliste de sport au féminin. En collaboration avec l’UJSF, elle a développé une charte proposée aux directions des rédactions sportives pour répandre des pratiques déontologiques dans l’égalité homme femme au niveau du recrutement et du déroulement de carrière.
Les plumes des journalistes, enfin, pour l’usage d’épicènes et de mélioratifs qualifiant les athlètes femmes : haltérophile, triathlète, gymnaste, kayakiste, fleurettiste, épéiste, gazelles, fenottes, sirènes.
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Six haltérophiles d’une même équipe attendent leur train sur le quai 1 d’une grande gare. Une mamie toute courbée avance péniblement, portant une valise dans une main, et tirant une lourde valise à roulettes avec son autre main. Un des sportifs lui demande : - Vous allez loin comme ça, madame ? - Oh oui. Je vais sur le quai 12, tout au bout de la gare. - Oh putain ! Eh bien, bon courage alors !
#portant une valise dans une main#- Vous allez loin comme ça#madame ?#- Oh oui. Je vais sur le quai 12#tout au bout de la gare.#- Oh putain ! Eh bien#bon courage alors !
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Maximiser Votre Performance avec la Nutrition Sportive
Dans le monde du sport, la nutrition joue un rôle crucial dans la performance des athlètes. La nutrition sportive n'est pas seulement une question de régime alimentaire, mais plutôt une science complexe qui vise à fournir au corps les nutriments essentiels pour optimiser les performances, accélérer la récupération et prévenir les blessures. Dans cet article, nous explorerons en détail l'importance de la nutrition sportive et comment elle peut aider les athlètes à atteindre leurs objectifs de manière efficace et durable.
Les Fondements de la Nutrition Sportive
Comprendre les Besoins Nutritionnels
Pour maximiser leurs performances, les athlètes doivent comprendre les besoins spécifiques de leur corps. Les besoins nutritionnels varient en fonction du type de sport pratiqué, de l'intensité de l'entraînement, de l'âge, du sexe et du métabolisme de chaque individu. Une alimentation équilibrée, composée de glucides, de protéines, de graisses saines, de vitamines et de minéraux, est essentielle pour soutenir les efforts physiques et optimiser la récupération.
L'Importance des Macros et des Micros Nutriments
Les macronutriments, tels que les glucides, les protéines et les graisses, fournissent l'énergie nécessaire pour l'activité physique, la croissance musculaire et la récupération. Les micronutriments, comme les vitamines et les minéraux, sont essentiels pour soutenir les processus métaboliques et renforcer le système immunitaire. Un équilibre adéquat entre les macronutriments et les micronutriments est nécessaire pour maintenir la santé globale et maximiser les performances sportives.
Stratégies de Nutrition Sportive
Planification des Repas
La planification des repas est essentielle pour assurer une alimentation adéquate avant, pendant et après l'entraînement. Les repas pré-entraînement devraient être riches en glucides complexes pour fournir une source d'énergie durable, ainsi qu'en protéines maigres pour soutenir la croissance musculaire et la récupération. Pendant l'entraînement, il est important de rester hydraté en consommant des boissons riches en électrolytes. Après l'entraînement, les repas de récupération devraient inclure des protéines de haute qualité pour aider à reconstruire les tissus musculaires et des glucides pour reconstituer les réserves d'énergie.
Supplémentation
Bien que les besoins nutritionnels puissent être satisfaits par une alimentation équilibrée, certaines situations peuvent nécessiter une supplémentation. Les suppléments nutritionnels, tels que les protéines en poudre, les acides aminés, les vitamines et les minéraux, peuvent être utiles pour compléter l'alimentation et optimiser les performances. Cependant, il est important de consulter un professionnel de la santé ou un nutritionniste sportif avant de prendre des suppléments, car une utilisation inappropriée peut entraîner des effets indésirables.
La Nutrition Sportive pour Différents Types de Sports
Endurance
Pour les athlètes d'endurance, tels que les coureurs, les cyclistes et les nageurs, une alimentation riche en glucides est essentielle pour soutenir l'effort prolongé. Les glucides fournissent une source d'énergie immédiate et durable, ce qui est crucial pour maintenir la performance pendant de longues périodes.
Force et Puissance
Pour les athlètes de force et de puissance, tels que les haltérophiles et les sprinters, une alimentation riche en protéines est primordiale pour favoriser la croissance musculaire et la récupération. Les protéines fournissent les acides aminés nécessaires pour reconstruire les tissus musculaires endommagés lors de l'entraînement intense.
Sports d'Équipe
Pour les athlètes pratiquant des sports d'équipe, tels que le football, le basketball et le rugby, une alimentation équilibrée est essentielle pour répondre aux demandes variées de l'activité physique. Une combinaison de glucides, de protéines, de graisses saines et de micronutriments est nécessaire pour soutenir l'endurance, la force et la récupération.
Conclusion
En conclusion, la nutrition sportive joue un rôle crucial dans la performance et la santé des athlètes. En comprenant les besoins nutritionnels spécifiques à leur sport, les athlètes peuvent optimiser leur alimentation pour maximiser leurs performances, accélérer leur récupération et prévenir les blessures. En suivant les stratégies de nutrition sportive appropriées, les athlètes peuvent atteindre leurs objectifs de manière efficace et durable.
Si vous souhaitez lire plus d’informations sur La Nutrition Sportive, visitez → La Nutrition Sportive : La Clé du Succès des Athlètes
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L’arsenal de la communion
« Ce n'est ni par la puissance ni par la force, mais c'est par mon esprit, dit l'Eternel des armées. » Zacharie 4:6
S’il est vrai que Dieu place devant nous une vie de puissance, il est clair que cette vie ne peut se vivre sans Sa Puissance !
La prière est le bras armé de Dieu ! Elle montre à Dieu notre foi, notre faim et notre soif des choses d’en haut. Plus je prie, plus je fortifie ma foi ! Plus j’ai la foi, plus je prie ! Quel alternateur ! La vie de prière vous a été donnée par Dieu dans le but de booster votre foi. Vous pouvez en user sans modération !
La louange fait partie de l’arsenal de la communion, nous y trouvons une véritable puissance. Dans l’Ancien Testament, on peut voir l’armée d’Israël gagner ses batailles quand le peuple décide de louer l’Eternel. La louange est une publication, celle de La Toute Puissance de l’Eternel, de Sa Sainteté et de Sa Gloire. Quand nous Le louons, Dieu S’occupe de nos ennemis.
Le baptême dans le Saint-Esprit est un baptême qui nous « plonge » dans la puissance. L’efficacité dans notre vie de témoin découle de la réception de cette puissance qui se traduit par un revêtement, une couverture, une armure.
Le baptême dans le Saint-Esprit nous communique une énergie permanente même si nous ne la ressentons pas forcément au quotidien. Les haltérophiles n’ont pas besoin de se sentir forts, ils savent qu’ils le sont. C’est au moment de l’effort, de l’action qu’ils vont « MONTRER » leur vigueur. La puissance devient évidente lorsqu’elle est mise en action.
Le but du Saint-Esprit ne consiste pas à nous donner seulement un sentiment permanent de puissance mais bien une puissance Permanente.
Les câbles utilisés pour véhiculer 110 000 Volts demeurent les mêmes, qu’ils soient branchés ou non. Si nous sommes baptisés du Saint-Esprit, alors nous sommes à la disposition du Seigneur pour qu’Il manifeste à tout moment Sa puissance au travers de nous !
Avez-vous reçu la promesse ? Recevez-la sans attendre ! Une promesse réalisée n’est plus une promesse mais un fait accompli.
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur, baptise-moi de Ton Esprit. Accorde-moi cette puissance permanente. Que je puisse l’expérimenter chaque jour de ma vie afin d’être un témoin efficace dans ma génération. Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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Libérer la puissance et la précision : le guide ultime des courroies hautes performances
Dans le monde des accessoires axés sur la performance, les ceintures haute performance s'imposent comme des héros méconnus, soutenant silencieusement les athlètes et les passionnés dans leur quête de l'excellence. Ces ceintures ne sont pas seulement fonctionnelles ; ils sont un symbole de puissance, de précision et de recherche de performances optimales. Excellence technique : créer la ceinture haute performance parfaite
Au cœur des courroies hautes performances se trouve un processus d’ingénierie méticuleux. Combinant des matériaux de pointe et un design innovant, ces ceintures sont conçues pour résister aux rigueurs des activités intenses. Que vous soyez un haltérophile repoussant vos limites ou un passionné de plein air en quête d'aventure, une ceinture haute performance offre la stabilité et le soutien nécessaires pour des performances optimales.
Durabilité inégalée : une ceinture qui résiste à l’épreuve du temps
La durabilité est une caractéristique des courroies hautes performances. Fabriquées avec des matériaux robustes, ces ceintures sont conçues pour résister à un usage intensif, garantissant ainsi qu'elles restent un compagnon fiable lors de votre parcours de remise en forme. Dites adieu à l'usure : une ceinture haute performance est conçue pour durer, offrant un soutien durable lors d'innombrables entraînements et activités.
Ajustement précis : un confort sur mesure pour chaque mouvement
Il n’existe pas de taille unique, et les ceintures hautes performances le comprennent. Dotées de bretelles réglables et de systèmes de fermeture innovants, ces ceintures offrent un ajustement personnalisé pour chaque individu. Le résultat? Un confort inégalé qui ne compromet pas les performances. Déplacez-vous en toute confiance, sachant que votre ceinture est adaptée à votre forme corporelle unique et à votre routine d'exercice.
La polyvalence en action : de la salle de sport aux grands espaces
Les courroies hautes performances ne se limitent pas à un seul domaine. Passez facilement de la salle de sport aux aventures en plein air : ces ceintures sont des compagnons polyvalents pour une gamme d'activités. Que vous souleviez des poids, couriez ou pratiquiez un entraînement fonctionnel, une ceinture haute performance s'adapte à vos besoins, offrant stabilité et soutien dans tous les scénarios.
Conçu pour le succès : élever votre style de performance
Au-delà de la fonctionnalité, les ceintures haute performance font une déclaration. Avec des designs élégants et une variété de styles, ces ceintures allient harmonieusement mode et fonctionnalité. Élevez votre style de performance en vous démarquant avec une ceinture qui non seulement fonctionne sous pression, mais ajoute également une touche de style à votre ensemble d'entraînement.
En conclusion, les courroies hautes performances sont plus que de simples accessoires : ce sont des outils essentiels pour ceux qui exigent le meilleur de leur équipement. Conçues pour l'excellence, la durabilité et la polyvalence, ces ceintures sont la clé pour libérer votre plein potentiel dans chaque activité. Profitez de la puissance et de la précision des ceintures haute performance et découvrez un nouveau niveau de performance dans votre parcours de remise en forme.
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Le Pass ’Santé Jeunes Bourgogne-Franche-Comté fête ses 10 ans
A l’occasion du 10ème anniversaire du Pass’Santé Jeunes, ce mercredi 29 novembre 2023 à Dijon, Jean-Jacques Coiplet, Directeur général de l’Agence Régionale de Santé, a rappelé les principes et les objectifs de cet outil novateur de promotion de la santé en Bourgogne-Franche-Comté. "Informations et conseils fiables autour de la santé des enfants et des adolescents" : face au flux continus de messages auxquels sont confrontés les jeunes et leurs parents, le Pass’Santé Jeunes Bourgogne-Franche-Comté s’engage sur une promesse convaincante. Et qui a fait ses preuves ! Depuis 10 ans, ce dispositif novateur fait figure de véritable "boussole" pour trouver son cap face aux questions de santé, que l’on soit âgé de 8-18 ans, parent (d’enfants de la naissance à 18 ans), ou professionnel de l’enfance et de l’adolescence (enseignant, éducateur…) Le Pass’Santé Jeunes, qu’est-ce que c’est ? Le Pass’Santé Jeunes est un outil de promotion de la santé financé par l’ARS et animé par l’IREPS (instance régionale d’éducation et de promotion de la santé), qui allie interfaces numériques et dynamiques partenariales locales. Objectifs : donner aux adolescents des "outils" pour les aider à adopter des comportements favorables à leur santé et développer leur autonomie ; soutenir la parentalité ; fédérer un réseau d’acteurs autour de valeurs communes en promotion de la santé. Alcool, amour et sexualité, "bien manger, bien bouger", bien vivre ensemble, bruit, musique et audition…La démarche s’appuie sur un site portail, entièrement refondu en 2019 et organisé en 2 espaces (parents / jeunes) proposant au public des articles autour de 14 thématiques de santé pour l’adolescence et 6 thèmes pour la petite enfance, enrichis de ressources pour aller plus loin (vidéos, podcasts, jeux). Un répertoire régional des structures d’accueil et d’accompagnement est également disponible. Au fil des ans, les canaux de communication se sont diversifiés pour s’adapter aux différents publics (sites internet, réseaux sociaux, newsletter…). Les réseaux sociaux (Facebook et Instagram) ont été rapidement investis pour relayer des messages de prévention de manière moins formelle en direction des jeunes. Vidéos, podcasts, motion-design : de nouveaux types de médias y sont diffusés pour correspondre aux pratiques des jeunes ou des parents. Des champions ambassadeurs Des partenariats ont été noués avec 6 sportifs de la région chargés de réaliser de courtes vidéos de sensibilisation sur des sujets variés (image du corps, alimentation, activité physique, santé mentale, addictions, santé sexuelle…) Derrière Charles Rozoy, nageur handisport médaillé d’or aux JO paralympiques de Londres, parrain du dispositif de 2013 à 2022, Marlène Spahr, danseuse break-danse, Vicky Graillot, haltérophile, Valentin Turgot, basketteur,Tifany Huot-Marchand, patineuse de vitesse et Corentin Le Guen, champion de rugby fauteuil, se sont engagés en tant qu’ambassadeurs du projet. Ce lien avec des influenceurs a permis d’accroître significativement la portée des publications, passant de 43 000 personnes touchées à plus de 470 000 en un an. Les dernières vidéos publiées sur 2023 avec Tifany Huot-Marchand ont atteint des niveaux inégalés avec plus de 100 000 comptes touchés par vidéo. Le traitement des sujets par des pairs génère davantage d’interactions, qu’il s’agisse de partages, de commentaires ou de mentions "j’aime". L’impact sur le nombre d’abonnés est assez marquant : en moins de 2 ans, le nombre de followers a progressé de 25% sur Facebook et de plus de 70% sur Instagram. La stratégie numérique déployée a également permis d’augmenter de manière significative l’audience sur le site passée d’environ 1 000 visiteurs par mois au lancement à plus de 27 000 aujourd’hui. Les événements de l’anniversaire Pour son dixième anniversaire, le Pass’Santé Jeunes a prévu une programmation d’événements sur-mesure : un concours est organisé sur Instagram en novembre et décembre (avec à gagner des cartes d’activités sportives, places pour compétitions…). Des temps d’échanges sont également proposés aux professionnels : les rdv du Pass’, l’occasion de faire le bilan de leurs pratiques depuis 10 ans et de valoriser des initiatives développées localement. Car c’est aussi la clé de la réussite du projet : des solutions numériques, mais un ancrage territorial fort avec des actions au plus près du terrain, sous la conduite des équipes de l’ARS et de l’IREPS des 8 départements de la région. L’anniversaire célébré ce 29 novembre à Dijon correspond d’ailleurs aussi à la journée annuelle du Pass’ en Côte-d’Or, où le conseil territorial en santé (CTS), instance de démocratie sanitaire, a soutenu cette initiative dans le cadre du Conseil National de la Refondation (CNR) en santé. Read the full article
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Il est 17 heures, et je me rends compte que j'ai traversé la journée avec joie. Je n'ai rien fait pour, pourtant.
Je m'entoure de souvenirs d'il y a quelques années, ou même quelques mois. Le moment d'aller chercher Alma à l'école. Je ne disais bonjour à personne. J'évitais de croiser des regards. Je faisais même en sorte de ne pas en avoir sur moi - je me mettais un imperméable regardofuge, comme ces peintures hydrofuges sur les murs des villes pour faire rebondir la pisse.
Je me tenais à sa main. Je regardais mes pieds et je lui demandais comment s'était passée sa journée. Chaque mot était un effort. Je sortais tout d'un coup dans un souffle, haltérophile. Évidemment, elle ne me répondait pas. Alors, je lui tendais son goûter (une madeleine de 8 kilos).
Mais là, non, on est déjà à la maison et j'ai glissé sur le trajet. J'avais le sourire et le sac de ma fille sur une épaule. C'était fluide. J'ai peut-être même fait un pas chassé. C'est comme ça la vie, quand on est en joie ?
Par habitude, bien-sûr, elle ne m'a pas raconté sa journée. Peut-être un jour.
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Fakemon Haltère
Halterreur
Pokemon Musculation Type: Acier/Combat Taille: 1,0 m Poids: 50,0 kg Talent: Attention Talent caché: Heavy Metal Groupe d'œuf: Minéral
Il refuse que son dresseur ne soit pas haltérophile, il forcera coûte que coûte que son entourage soit musclé.
PV: 50 Attaque: 120 Défense: 160 Attaque Spéciale: 40 Défense Spéciale: 60 Vitesse: 20 Total: 450
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Le masque de l’objectivité : comment la recherche scientifique contribue à l’exclusion des femmes trans dans le sport
Article paru pour le première fois le 28/11/2021 sur xymedia.fr. Version pdf ici.
Dans le monde du sport d’élite, l’inclusion des personnes trans remonte à 2003, quand le COI (Comité Olympique International) autorise les personnes trans à participer dans les catégories auparavant réservées aux cis. Cette décision se révèle à moitié vraie pour les femmes trans, dont la participation a toujours été limitée. Depuis cette première inclusion, leur participation est contrôlée et régulée afin que la catégorie féminine reste une « catégorie protégée ».
La première régulation mise en place par le COI demandait aux femmes trans d’avoir effectué une chirurgie de réassignation de sexe, chirurgie qui était imposée alors comme critère de féminité non pas seulement par le COI, mais aussi par l’État français. Cette régulation a été estimée obsolète en 2015 mais depuis une nouvelle norme a été mise en place. Elle est centrée cette-fois ci sur les taux de testostérone. De même, World Athletics (la fédération internationale d’athlétisme) oblige les femmes trans qui désirent participer aux compétitions athlétiques de contrôler leur taux de testostérone pendant une période de 12 mois avant l’épreuve. Le taux de testostérone requis n’est pas le même par les deux organismes : le COI demande un taux de testostérone inférieur à 10 nmol/L (ou 2,88 ng/mL), tandis que World Athletics demande moins de 5 nmol/L (1,44 ng/mL).
Récemment, la fédération internationale de rugby, World Rugby, a fait la une des médias en 2020 après avoir interdit la participation des femmes trans dans les catégories féminines. Peu importe le taux de testostérone, elles possèderaient assez d’avantages et constitueraient un danger pour les femmes cisgenres.
Dans le monde du sport, les organismes internationaux ont un rôle majeur : leurs décisions sont suivies par de nombreuses fédérations sportives, et cette importance les oblige à fonder leurs décisions sur des fondements solides, et notamment sur des preuves scientifiques. C’est sur le lien entre recherche scientifique et le sport que je souhaite poser mon regard dans cet article. Éloigné des médias, le monde de la recherche reste très obscur pour la majorité des personnes, alors que son influence est décisive lorsqu’il s’agit de décider de la participation des femmes trans dans le sport. Ce rôle clé est fondé en théorie sur la neutralité et l’objectivité de la science; objectivité qui, dans certains cas, est loin d’être vraie.
En examinant la recherche scientifique, il est important de reculer de quelques pas et de se demander : y a-t-il une justification, est-ce qu’il y a un besoin de régulation de la participation des personnes trans ?
Les JO de Tokyo ont été historiques pour les personnes trans. En juillet dernier, la première femme trans de l’histoire à participer dans une épreuve olympique, Laurel Hubbard, a fait la une des médias. Il s’agit d’une haltérophile d’origine néo-zélandaise qui avait déjà gagné quelques médailles dans les championnats d’haltérophilie d’Océanie. Malgré sa carrière, elle a fini dernière de sa catégorie, et n’a même pas réussi à se classer.
La présence de Laurel Hubbard n’en a pas moins provoqué de débat. Journaux et médias ont publié des articles sur elle, questionnant la légitimité des femmes trans. « Première transgenre des jeux olympiques, Laurel Hubbard fait débat » écrit Le Figaro. Fox Sports choisit de cibler sur la censure et le « drame des athlètes obligés de se taire ».
Pour ce camp, la présence de Laurel Hubbard est une atteinte à l’égalité. Ce n’est pas la première fois qu’elle est la cible de telles accusations. En 2017, lors de sa participation dans les Commonwealth Games, les journaux avaient déjà publié de nombreux articles sur la légitimité de sa participation. « Je suis déçue pour l’athlète femme qui a perdu sa place » a déclaré une ancienne athlète olympique. La Fédération australienne d’haltérophilie a même essayé de l’empêcher de participer.
L’idée commune à ces attaques est que les femmes trans sont en train « d’envahir» le sport féminin. Si on croit les prédictions les plus alarmistes, le sport féminin serait même en voie de disparition. Au-delà de la transphobie inhérente à cette vision, elle ne reflète pas la tendance réelle dans le sport d’élite. Dans le monde, les personnes trans constituent approximativement 0,6% de la population. Si la proportion d’athlètes trans dans les compétitions sportives était la même que dans la population générale, Laurel Hubbard aurait dû être seulement une des dizaines d’athlètes trans à participer aux Jeux Olympiques. De même, on aurait dû avoir d’autres athlètes trans dans les JO depuis au moins 2003.
Les personnes trans sont sous-représentées dans le sport d’élite, ce qui veut dire qu’elles sont moins présentes que ce qui serait attendu. Pour décrire cette situation, certains parlent de barrières à l’encontre des personnes trans. «Il est évident, à partir des études, que les personnes trans confrontent des barrières au moment de s’engager dans le sport compétitif » écrit un article scientifique publié en 2017 qui analyse la situation des personnes trans dans le sport1. Le manque d’inclusivité et une atmosphère d’hostilité sont les principaux problèmes qu’affrontent les personnes trans dans leur pratique sportive.
Si je m’attarde à expliquer ceci, c’est parce que la recherche est affectée par cette situation sociale. De prime abord, elle est influencée par cet alarmisme des médias et des réseaux. La recherche tend à se focaliser sur ce que la société considère plus important, ou ce qui bénéficie d’une grande attention sociale. Dans ce cas, de manière injustifiée, il s’agit des femmes trans. De nombreuses études sur les femmes trans se situent explicitement au cœur de la controverse, et réfléchissent activement aux différentes régulations, malgré le fait qu’il n’y ait pas de vraie raison urgente pour réguler la participation des femmes trans.
Deuxièmement, cette situation provoque une absence importante de données sur les athlètes trans. Il s’agit ici d’un des points les plus soulevés ces dernières années par les scientifiques. « Il existe un manque aigu de données autour de la performance sportive capables de pouvoir informer et actualiser les régulations sur les femmes trans » explique en mars dernier la Fédération Internationale de Médecine Sportive, dans un communiqué sur la participation des femmes trans2. Les barrières à l’entrée contre les personnes trans, paradoxalement, diminuent la capacité des organismes sportifs à analyser objectivement la question.
L’absence de données sur les personnes trans n’est pas une nouveauté pour nous. La recherche médicale autour des personnes trans est déjà très réduite, et provoque une absence de connaissances quant aux différents traitements hormonaux et chirurgicaux. Dans le cas spécifique du sport, les organismes internationaux régulent avec encore moins d’informations. L’absence de données fait qu’actuellement il existe seulement deux articles scientifiques publiés dans le monde qui étudient la question. Un de ces articles, publié en 2015, a mis 7 ans à être élaboré tellement le nombre d’athlètes trans disponibles était faible. Pour pallier ce manque, les organismes internationaux s’appuient sur des études réalisées sur des populations cis, et sur des populations trans générales, non sportives. Par exemple, des 49 articles cités par World Rugby dans sa décision de bannir les femmes trans de la catégorie féminine, seulement 15 articles concernent les personnes trans en général, et aucun ne concerne des athlètes trans. C’est-à-dire que les athlètes trans, une sous-catégorie de population avec des caractéristiques spécifiques, sont contrôlés avec des données qui ne les concernent pas. Les femmes trans ont ainsi été exclues des compétitions de rugby sans aucune preuve du danger qu’elles représenteraient pour les rugbywomen cis.
La décision de World Rugby est basée (la copiant parfois) sur une étude publiée en 2020 dans la revue Sports Médicine par deux chercheurs, le suédois Tommy Lundberg et l’anglaise Emma Hilton3. Cette étude est une méta-analyse, c’est-à-dire, une étude qui analyse un ensemble d’études sur un sujet donné. C’est une des rares études scientifiques à se focaliser sur le cas des femmes trans dans le sport. Il s’agit aussi de l’unique étude qui conclut à un avantage définitif des femmes trans, et recommande la révision des régulations afin d’assurer l’égalité des chances et la sécurité des athlètes cis.
L’absence de données sur le sujet n’a pas ébranlé les deux chercheurs. Comme World Rugby, ils construisent leur raisonnement à partir de données qui ne concernent pas les athlètes trans. Des 111 articles cités dans leur méta-analyse, seulement un concerne des athlètes trans. Pour pallier ce manque, des études qui n’ont pas été conçues pour des populations sportives se retrouvent alors utilisées à tort et à travers pour analyser la situation.
Par exemple, les études médicales sur la densité osseuse des femmes trans. Ces études montrent que les os des femmes trans restent en bonne santé sous l’effet du traitement hormonal de substitution (THS), et ne subissent aucune perte de densité. Une bonne nouvelle pour les femmes trans, mais une très mauvaise pour les chercheurs, qui considèrent que ce maintien de densité leur confère un avantage sportif. Cependant, impossible de savoir lequel, puisque ni eux, ni les articles cités n’expliquent quel avantage confère le maintien de la densité osseuse. Il s’agit là d’une chasse à l’avantage, où toute différence entre femmes trans et femmes cis est cataloguée comme conférant un avantage sportif.
D’autres erreurs de raisonnement ponctuent l’étude de Hilton et Lundberg. Les deux chercheurs assument que les hommes cis et les femmes trans pré-THS sont la même chose. Une femme trans, avant les effets féminisants des hormones, possèderait en moyenne la même masse musculaire et aurait la même performance que les hommes cis. Or, ce n’est pas le cas : les études montrent constamment que les femmes trans pré-THS sont moins performantes et ont moins de masse musculaire et de poids que les hommes cis. Les femmes trans, même en pré-transition, sont une population distincte des hommes cis4.
Une autre erreur de comparaison concerne cette fois-ci les femmes trans et les femmes cis. Les deux chercheurs se livrent à des comparaisons absolues de la masse musculaire et de la performance des femmes cis avec celles des femmes trans. Ils arrivent à la conclusion que les femmes trans ont plus de muscles et une meilleure performance que les femmes cis. Cependant, ces comparaisons sont biaisées car ne contrôlent pas certains facteurs comme la taille. Une personne grande a plus de masse musculaire qu’une personne petite ; par conséquent, si on compare un groupe de personnes grandes avec un groupe de personnes petites, le résultat sera toujours biaisé envers les grands. Cela quand bien même, à hauteur égale, elles peuvent avoir la même force/masse musculaire. C’est ce qui se passe avec les femmes trans, qui sont en moyenne plus grandes que les femmes cis. Si on fait des comparaisons absolues on verra toujours que les femmes trans sont plus fortes que les cis, et on ne saura réellement, à hauteur égale, s’il existe de vrais avantages.
Ces deux erreurs de méthodologie suffisent largement à invalider les conclusions des deux chercheurs. Cependant, ce ne sont pas les seuls. L’article est tellement truffé de problèmes que la chaîne Youtube Jangles ScienceLad, fondée par Justin Gibson, entraîneur américain et détenteur d’un master en biomécanique, a publié une vidéo de 40 minutes en mars dernier analysant, point par point, ceux-ci et d’autres erreurs scientifiques.
Au-delà des problèmes scientifiques, l’étude de Hilton et Lundberg possède aussi un flagrant problème de conflit d’intérêt. Emma Hilton est une des fondatrices de Sex Matters, une ONG britannique dont le but est de « promouvoir la clarté sur le sexe dans les politiques publiques » et « rétablir que le sexe est important pour les régulations ». Cette organisation milite aussi pour « la diversité d’opinions sur le sexe et sur le genre », et cela « sans sanctions et sans se faire qualifier de haineux ». Une des cofondatrices de Sex Matters est Maya Forstater, personnalité connue des cercles soi-disant “gender critical” qui avait été licenciée suite à des tweets transphobes en 2017. Elle et Emma Hilton sont le genre de personnes qui parlent de Lobby LGBT. Bref, ce sont des TERFs, acronyme de Trans Exclusionary Radical Feminist (qui signifie littéralement féministe radicale trans-excluant).
Hilton spécifiquement a écrit des tribunes sur « les dangers de l’idéologie transgenre ». Elle est active sur les réseaux sociaux et dans les médias, et elle donne des conférences pour des groupes anti-trans, comme celle-ci pour Women’s Place UK, un des principaux groupes TERFs au Royaume-Uni. Cette conférence avait déjà pour thème la participation des femmes trans dans le sport. Elle a été réalisée en 2019, c’est-à-dire avant son travail dans l’article.
Entre TERFs il arrive qu’Emma Hilton fasse référence aux athlètes transféminines comme des « mâles biologiques » ou tout simplement comme des « mâles » (exemple de Laurel Hubbard). « Mâle biologique » est une expression souvent utilisée pour nier l’identité des femmes trans. D’ailleurs, l’étude utilise abondamment cette expression, et n’utilise pas les termes neutres « femme trans » ou « homme cis ». L’article semble alors un prolongement du discours de haine d’Emma Hilton.
Emma Hilton est biologiste du développement à l’Université de Manchester, c’est-à-dire qu’elle n’est pas experte dans l’étude du sport. Aucune de ses études précédentes n’ont de lien avec le sport. La conclusion de l’étude contraste avec d’autres revues d’articles5 : là où les autres insistent sur le besoin de plus de recherche, Hilton et Lundberg concluent à l’avantage des femmes trans et font appel à revoir leur inclusion dans le sport.
À cause de la pression, les deux auteurs ont publié une rectification au sujet des conflits d’intérêt. Il s’agit d’une rectification6 qui n’en est pas une, où ils ne parlent pas du militantisme de Emma Hilton, et où ils se défendent en faisant appel à leur liberté académique et personnelle. « [Les auteurs signalent que] toute diffusion ou engagement, quel que soit le média, a été guidée par leur éducation, leurs connaissances dans la discipline et les résultats de leurs recherches. » Nous avons contacté Tommy Lundberg, celui qui en théorie apparaît comme le moins transphobe des deux chercheurs, afin de connaître sa posture. Dans sa réponse, Lundberg se défend en citant à nouveau le droit à la liberté académique et la liberté d’expression, sans commenter les prises de position transphobes de sa collègue.
Cette posture reste, quand même, moralement discutable. Est-ce que la liberté académique permet de publier des articles biaisés portant préjudice aux femmes trans ? Si la recherche peut être motivée par des conflits politiques, les résultats scientifiques ne doivent pas être biaisés, et moins encore au nom d’une prétendue liberté académique. De même, la recherche ne doit pas être le véhicule de la haine : la liberté d’expression, rappelons-le, ne tolère pas les discours de haine.
En vrai, qu’est-ce qu’on sait sur les personnes trans et le sport ?
À ma connaissance, il existe seulement deux études faites sur les performances physiques des athlètes trans. Dans ces études, les personnes étudiées n’ont pas le niveau suffisant pour participer aux jeux olympiques, mais assez élevé comme pour être considérés comme des athlètes.
La première étude a été publiée en 2015 dans le Journal of Sporting Cultures and Identities, par Joanna Harper, marathonienne et scientifique transgenre7. Pendant 7 ans, elle a collecté les temps de course de huit femmes trans dans des épreuves allant des 5 km jusqu’au marathon. Ses résultats indiquent qu’après la transition, les femmes trans avaient des temps statistiquement similaires à ceux des femmes cisgenres.
La deuxième étude, plus complète, a été publiée en 2020 dans le British Journal of Sports Medicine, par une équipe de trois chercheurs américains8. Ils ont analysé les performances d’une population semblable aux athlètes : des militaires. Ici, les résultats varient. En comparant les entraînements d’un groupe de 29 hommes trans et de de 46 femmes trans à celles de leurs équivalents cisgenres, ils ont trouvé qu’au bout de deux ans de THS, les femmes trans avaient des performances similaires aux cis en nombre de pompes et d’abdos réalisés. Pour les temps de course, elles gardaient cependant un avantage de 10%.
Ces deux articles ont aussi leur lot de problèmes. Les huit athlètes étudiées par Joanna Harper ont soumis elles-mêmes leurs temps de course, et certains n’ont pas pu être vérifiés. Les habitudes de ces femmes ont grandement varié pendant leur transition: quelques-unes ont presque arrêté de courir et d’autres, au contraire, ont doublé leurs entraînements. Les deux études ne contrôlent pas la performance en fonction de la taille, bien que la deuxième signale explicitement qu’il s’agit d’un des facteurs qui permet d’expliquer l’avantage de 10% retenu.
Cependant, de manière intéressante, cette deuxième étude montre aussi des résultats pour les hommes. Au bout de deux ans de traitement hormonal substitutif (THS), les hommes trans font statistiquement le même nombre de pompes que les hommes cis et le même temps de course, mais les dépassaient significativement en nombre d’abdos. Ce résultat, cependant, ne fait pas l’objet de commentaire dans l’article. Les trois auteurs choisissent plutôt de se focaliser sur les résultats des femmes.
Les arguments alarmistes qui entourent les femmes trans se produisent aux dépens des hommes trans. Tout le monde connaît et possède une image mentale des femmes trans, mais ce n’est pas la même chose pour les hommes. Avant Laurel Hubbard, il y a eu des athlètes comme Chris Mosier. Peu connu, ce spécialiste du duathlon et du triathlon a été la première personne trans à représenter les États Unis (dans la fameuse ‘Team USA’) à des épreuves athlétiques. En 2020, dans les épreuves de qualification olympique, une blessure au ménisque lui empêcha de terminer la compétition et de participer aux JO de Tokyo.
Dans les articles scientifiques et dans les médias, les hommes trans sont souvent oubliés. Au sujet de ce déséquilibre dans les sciences, le chercheur Emmanuel Beaubatie écrit « nombreux·ses sont ceux-celles qui y voient un sex ratio déséquilibré entre femmes trans et hommes trans, mais la pensée de la critique féministe des sciences permet d’avancer une autre hypothèse : celle de l’androcentrisme scientifique. La médecine s’intéresse davantage aux femmes trans’ parce que de manière générale, elle se focalise plus sur les corps des femmes comme des corps imparfaits qu’il s’agirait en quelque sorte de parachever. »9
Ce que suggère Beaubatie, serait donc que les femmes trans sont toujours perçues comme des corps incomplets et que, au contraire, le corps des hommes trans serait considéré comme masculin de facto. À ce jour, il n’existe aucune limitation à la participation des hommes trans de la part du COI et de World Athletics, et dans le débat public la question ne se pose même pas. Peu importe qu’ils s’injectent (littéralement) de la testostérone, ni la masculinité ni les performances des athlètes mâles ne sont questionnées. En ce sens, les hommes trans auraient un avantage par rapport aux femmes trans : une intégration plus facile dans le sport.
Cependant, il serait naïf de croire que les hommes trans sont vraiment intégrés. Félix Pavlenko, chercheur à l’Université d’Ottawa, précise : « En effet, malgré la prise d’hormones, les hommes trans’ sont toujours considérés comme « désavantagés » par un corps qualifié de « féminin » à la naissance. »10 Ce préjugé est visible à nouveau dans la régulation de World Rugby, qui demande aux rugbymen trans de signer un document où ils assument le risque de jouer avec des hommes cisgenres. Ce document doit inclure : « Une reconnaissance écrite et une acceptation par le joueur des risques associés à la pratique du rugby de contact avec des hommes qui sont statistiquement susceptibles d’être plus forts, plus rapides et plus lourds qu’eux. » Ça ne viendrait jamais à l’esprit de quelqu’un de demander un tel document pour les hommes cis, et pourtant, il est requis pour les hommes trans.
Dans tous les cas, il ne faut pas oublier que les hommes trans, comme toutes les personnes trans, subissent de la transphobie. « Les sportif·ves peuvent aussi, à cause des règlements, être amenés à devoir faire un choix entre commencer leur transition pour se sentir mieux avec elleux-même ou continuer à pratiquer leur sport » signale Pavlenko. Cette transphobie pousse les hommes trans souvent à abandonner le sport en début de transition, par peur d’affronter le rejet ou l’incompréhension de leurs pairs, et perpétue la dynamique d’ignorance dans laquelle se trouve la recherche scientifique.
Revenons aux régulations imposées par d’autres organismes internationaux, comme le COI et World Athletics. Pour rappel, ce sont deux des organismes sportifs les plus importants du monde, et ils ont deux régulations différentes centrées sur la testostérone. La première impose un taux maximal de 10 nmol/L pour les femmes trans, qu’elles doivent maintenir pendant 12 mois avant l’épreuve. Le deuxième réduit ce taux maximal à 5 nmol/L mais conserve la durée de 12 mois.
Pour ces deux régulations, contrairement à celle de World Rugby, les détails sont beaucoup moins nombreux. Elles sont réalisées en interne et, par conséquent, il est plus difficile de déterminer le corpus scientifique et le raisonnement qui se cache derrière ces limites. Dans les deux cas, cependant, l’élément central est la testostérone.
Actuellement, il existe un débat sur l’importance de cette hormone sur les performances sportives. D’un côté, certains montrent que le taux de testostérone est fondamental dans le développement et la composition du corps des hommes. De nombreux bénéfices sportifs lui sont liés : diminution des graisses, facilité à produire du muscle, meilleure oxygénation… La testostérone donnerait aux hommes un avantage sportif de 10% à 50% en fonction de la discipline.
D’un autre côté, des chercheurs montrent que ce lien n’est pas si évident. Une première difficulté réside dans le fait qu’il existe un overlap entre les hommes et les femmes quant à leur niveaux de testostérone; en d’autres mots, ça veut dire que certains hommes et femmes ont des taux de testostérone similaires naturellement. 25% des athlètes masculins ont un taux de testo inférieur à la limite imposée par le COI de 10 nmol/L. Selon la règle du COI, ces hommes-là n’auraient même pas besoin d’hormones pour réduire leur taux de testo et pouvoir participer à des épreuves féminines.
Une deuxième difficulté est que la testostérone n’est pas, pour l’instant, associée à une meilleure performance physique. En 2017 une étude a été faite sur 2127 athlètes d’élite afin d’analyser les taux de testostérone en relation avec leur performance11. Il s’agit de l’étude la plus large qui ait été réalisée à ce sujet, et elle montre qu’il n’y a pas de corrélation entre taux de testostérone et performance.
On en revient alors à une situation paradoxale : la testostérone est déterminante pour la performance sportive, et elle ne l’est pas. Davantage d’études sont nécessaires pour comprendre l’influence de cette molécule sur le corps des athlètes. De même, l’existence d’un seuil de testostérone séparant les hommes et les femmes est encore à vérifier. Encore une fois, le manque d’informations n’a pas ébranlé les organismes régulateurs.
La dernière étude que nous avons citée a été originellement réalisée par une équipe de scientifiques de World Athletics. Ceux-ci ont trouvé une corrélation entre testostérone et performance dans quelques épreuves féminines (les 400 m, 400 m haies, 800 m, le lancer de marteau et le saut à la perche). Cette corrélation indiquerait alors un possible mais incertain avantage lié à la testostérone. Malgré cette incertitude, l’article affirme ce lien. World Athletics utilisa ce résultat comme une preuve pour introduire une limite de 5 nmol/L pour les athlètes atteintes d’hyperandrogénie. Par conséquent, à l’époque, en 2017, l’athlète sud-africaine Caster Semenya avait été interdite de participer aux épreuves de 400 m et de 800 m. Deux ans après, en 2019, cette règle était aussi appliquée aux femmes transgenre.
Le COI et World Athletics ont été souvent critiqués pour cette limite de testostérone, car elle impose implicitement une norme et une définition de la féminité. Il s’agirait d’une version moderne des « vérifications de sexe » réalisées au 20ème siècle pour vérifier que les athlètes étaient bien du sexe déclaré. De l’examen des génitaux aux tests d’ADN, ces « vérifications » ont toujours été controversées, ciblant surtout les femmes qui ne rentrent pas dans la norme occidentale de la féminité, comme les femmes racisées ou les femmes trans. Surtout, ces tests n’ont jamais ��té efficaces à 100%.
Face aux accusations de vérifications de sexe, les deux organismes ont répondu que ce n’était pas leur intention. Dans un article de 2014 en réponse à leur critiques, l’équipe de scientifiques chargés des régulations de World Athletics écrivait : « Le COI et l’IAAF [ancien nom de World Athletics, ndlr] ont fortement souligné que le sexe d’un individu ne doit jamais être remis en question. L’identité sexuelle ne peut pas être déterminée par n’importe quel test biologique que ce soit »12. Ces deux organismes semblent accepter alors qu’il n’existe pas fondement biologique à la notion de sexe.
Cependant, un des auteurs de cet article est Stéphane Bermon, qui est aussi le directeur Health & Science division de World Athletics, le département chargé de produire les régulations de la fédération. Il est aussi l’auteur de l’article publié en 2017 qui analysait les taux de testostérone de 2127 athlètes d’élite. Malgré sa grande responsabilité, il n’est pas présent dans les réseaux sociaux et concède très peu d’entretiens. L’un des seuls qu’il a accordés ces dernières années était pour le magazine Sciences et Avenir en 2019. À la question, somme toute banale, « comment nommer [autrement que dopage] le fait de modifier le taux hormonal naturel d’une personne pour qu’elle rentre dans la norme et réduise ses performances au cours d’une compétition ? », Stéphane Bermon répond :
Votre point de vue me semble biaisé. Si vous avez un taux de testostérone haut et que vous êtes socialement acceptée comme une femme et voulez « ressembler » à une femme et concourir avec les femmes, les traitements (contraception orale, par exemple) qui affirment votre genre féminin sont le standard de soin, pour vous. On ne fait rien pour « faire rentrer les gens dans la norme ». Si une personne affirme être une femme et veut concourir dans cette catégorie féminine protégée, elle devrait alors se réjouir de baisser son taux de testostérone. Si tel n’est pas le cas, il faut alors se poser des questions a) sur sa véritable identité sexuelle, b) sur d’éventuels bénéfices secondaires à maintenir en tant que sportive ses taux élevés de testostérone.
Bermon montre dans le passage souligné le préjugé d’une identité liée à des taux de testostérone. Il se permet même de douter de l’identité d’une personne si elle ne se conforme pas aux taux supposés féminins. Cela malgré le fait qu’il n’a aucune preuve qui le justifie, et en contradiction avec ce qui est défendu publiquement par World Athletics.
L’indépendance et la neutralité des régulations ont aussi été questionnées aux derniers Jeux Olympiques. Alors que deux athlètes avec un trouble du développement sexuel voient leur participation à l’épreuve de 400 m annulée à cause de leur taux de testostérone anormalement élevé, Bermon et les co-auteurs de l’article publient une rectification. Sur celle-ci, ils reviennent sur la corrélation trouvée, affirmant qu’elle était seulement exploratoire, et qu’ils n’avaient pas assez d’informations pour conclure a un réel avantage. Cette correction est publiée en septembre 2021, soit un mois après les jeux olympiques, ce qui provoque une vague d’indignation.
Les preuves scientifiques contre l’inclusion des femmes trans n’existent tout simplement pas. La prohibition imposée l’année dernière par World Rugby est basée sur un corpus de données inadéquat, biaisé, et manipulé par une TERF. Ce n’est vraiment pas une surprise si cette régulation a fait preuve d’opposition par des Fédérations de Rugby de nombreux pays, comme les États Unis ou le Canada, et même de l’Angleterre, à cause d’un manque flagrant de preuves. Dans un communiqué en octobre dernier, la Rugby Football Union indique qu’elle « n’envisage pas pour l’instant d’adopter les mesures proposées par World Rugby car elle considère que davantage de données scientifiques sont nécessaires pour cela, ainsi qu’une réflexion sur d’autres mesures moins restrictives quant à l’éligibilité des athlètes transgenre ».
De même, la publication, en septembre 2021, d’une correction à l’article réalisé par une équipe de scientifiques de World Athletics souligne, encore une fois, que les sciences supposées dures sont très susceptibles aux préjugés, et au contexte social et politique. Cela souligne aussi le besoin d’une recherche scientifique indépendante des organismes sportifs. Stéphane Bermon, un des auteurs de l’article, semble lui-même avoir compris qu’il n’était pas apte à réaliser des études sur le sujet, puisque dans la correction il fait appel au développement d’une recherche indépendante.
Les chemins à explorer sont nombreux. Le rôle que joue la testostérone dans la performance physique doit être mieux compris, tout comme les effets du THS sur la performance physique dans le temps. Mais des précautions, aussi, sont à prendre en compte. Chaque discipline sportive mobilise un ensemble de compétences uniques, ce qui obligera, dans le futur, à faire du cas par cas dans les comparaisons. Surtout, il faut étudier cette question sur les personnes impliquées, les athlètes trans.
L’absence de recherche scientifique sur celles-ci est un symptôme de la discrimination à l’encontre des personnes trans. L’hostilité du monde cisnormé à notre égard, dont la régulation houleuse de World Rugby est une preuve, perpétue le faible nombre de sportif-ves trans. Les athlètes trans méritent une meilleure recherche, pour qu’on puisse parler d’eux sans passer par les cis ou les non-sportifs. Il faut aussi une recherche par les personnes trans pour les personnes trans, à l’abri du cissexisme, de la transphobie et des préjugés du monde académique. Dans tous les cas, peu importe ce que découvrira la recherche future, ce débat ne peut être résolu qu’en favorisant la participation des trans’ dans le sport.
[Entre la redaction et la publication de cet article, le COI a publié un nouveau document cadre sur la participation des personnes trans et intersexe dans le sport. Dans ce cadre, le COI intègre plusieurs des critiques qui sont évoquées dans cet article, comme le rôle imprécis de la testostérone, ou l’absence de données sur les athlètes trans.]
Notes.
1. Jones, B.A. et al. (2017) ‘Sport and Transgender People: A Systematic Review of the Literature Relating to Sport Participation and Competitive Sport Policies’, Sports Medicine, 47(4), pp. 701–716. doi:10.1007/s40279-016-0621-y.
2. Hamilton, B.R. et al. (2021) ‘Integrating Transwomen and Female Athletes with Differences of Sex Development (DSD) into Elite Competition: The FIMS 2021 Consensus Statement’, Sports Medicine, 51(7), pp. 1401–1415. doi:10.1007/s40279-021-01451-8.
3. Hilton, E.N., Lundberg, T.R. (2021) ‘Transgender Women in the Female Category of Sport: Perspectives on Testosterone Suppression and Performance Advantage’, Sports Med 51, 199–214 . https://doi.org/10.1007/s40279-020-01389-3
4. « The main criticism of this review is the purely biological argument from an elite male versus elite female position, implying that transwomen athletes are the same as elite male athletes (Table 1). Data showing lower baseline isometric torque and muscle volume [51] in transwomen compared to cisgender males highlight the problematic nature of inferring that transwomen and cisgender males are the same, as this ignores the impact of gender-affirming treatments such as HRT and GAS and the psychological effects of gender dysphoria such as low self-esteem, anxiety and/or depression, and becoming socially isolated [52]. » in Hamilton, B.R. et al. (2021), art. cit., p. 1406.
5. Par exemple, Hamilton, B.R. et al. (2021), art. cit, et aussi,
Harper, J. et al. (2021) ‘How does hormone transition in transgender women change body composition, muscle strength and haemoglobin? Systematic review with a focus on the implications for sport participation’, British Journal of Sports Medicine [Preprint]. doi:10.1136/bjsports-2020-103106.
6. Hilton EN, Lundberg TR (2021). ‘Correction to: Transgender Women in the Female Category of Sport: Perspectives on Testosterone Suppression and Performance Advantage’. Sports Med, 51(10):2235.
7. Harper, Joanna (2015). « Race Times for Transgender Athletes. » Journal of Sporting Cultures and Identities 6 (1): 1-9. doi:10.18848/2381-6678/CGP/v06i01/54079.
8. Roberts TA, Smalley J, Ahrendt D (2020). ‘Effect of gender affirming hormones on athletic performance in transwomen and transmen: implications for sporting organisations and legislators’, British Journal of Sports Medicine, 2021;55:577-583.
9. Beaubatie, E., ‘Le genre précède le changement de sexe’, dans Clochec, P. and Grunenwald, N. (2021) Matérialismes trans: Actes de la journée d’étude ‘Matéralismes trans’ qui a eu lieu à l’ENS de Lyon, le 30 mars 2019. Fellering: Hystériques et associé-es.
10. Pavlenko, Félix (2018). « Sport et transidentité: représentations des sportif×ves trans’ dans la presse française (1977-2018) ». Mémoire de Master 1, Université de Lyon 2.
11. Bermon S, Garnier P (2017). « Serum androgen levels and their relation to performance in track and field: mass spectrometry results from 2127 observations in male and female elite athletes », British Journal of Sports Medicine, 51:1309-1314.
12. Ritzén, M. et al. (2015) ‘The regulations about eligibility for women with hyperandrogenism to compete in women′s category are well founded. A rebuttal to the conclusions by Healy et al.’, Clinical Endocrinology, 82(2), pp. 307–308. doi:10.1111/cen.12531.
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JO Tokyo pousse un ouff de soulagement! L'haltérophile ougandais disparu retrouvé "sain et sauf". Les membres de l'équipe olympique ougandaise n'ont pas réussi à caché leur joie devant un hôtel dans la ville d'Izumisano, préfecture d'Osaka, le 20 juin 2021. Haltérophile ougandais disparu à JO Tokyo 2020 retrouvé "sain et sauf" L'haltérophile ougandais disparu depuis vendredi d'un camp d'entraînement au Japon a été retrouvé "sain et sauf", a annoncé mardi la police japonaise. Julius Ssekitoleko avait disparu après avoir omis de se présenter à un test de dépistage de la Covid-19. "Mardi, l'homme a été retrouvé dans la préfecture de Mie (centre) sans aucune blessure et sans aucune implication criminelle", a indiqué à l'AFP un responsable de la police d'Osaka. Ce sportif de 20 ans avait disparu de l'hôtel d'Izumisano, près d'Osaka (ouest) où il logeait avec son groupe, avaient annoncé les autorités de cette municipalité qui accueille leur camp de base. Perdu tout espoir de participer pour des raisons de quotas olympiques Julius Ssekitoleko, qui avait remporté récemment la médaille de bronze aux Championnats d'Afrique d'haltérophilie, était sur une liste d'attente pour les Jeux Olympiques mais a récemment perdu tout espoir de participer pour des raisons de quotas olympiques. Il devait rentrer prochainement dans son pays. JO Tokyo www.kafunel.com l'haltérophile ougandais disparu retrouvé sain et sauf Quarantaine Il faisait partie du premier groupe de neuf sportifs, entraîneurs et cadres ougandais arrivés au Japon mi-juin, et dont deux membres non sportifs avaient été testés positifs au coronavirus peu après. Tout le groupe avait dû effectuer une quarantaine dans la foulée. La police a précisé mardi que l'homme avait voyagé jusqu'à Nagoya puis vers la préfecture de Gifu, avant de se rendre vers le sud, à Mie. "Il a été retrouvé dans une maison appartenant à des gens en connexion avec lui", a précisé le responsable de la police, ajoutant que le sportif n'avait opposé aucune résistance. "Nous continuons à l'interroger sur ses motivations". Des restrictions drastiques ont été prévues au Japon pour tous les participants aux JO de Tokyo (23 juillet-8 août), alors que la crise sanitaire s'aggrave dans le pays. Les athlètes doivent notamment être testés quotidiennement et leurs déplacements sont extrêmement restreints, limités entre leurs hébergements, leurs centres d'entraînement et leurs lieux de compétition. A lire aussi Des arts martiaux au microphone : Voici l'histoire de Julianna PeñaLes KO « spectaculaires tragiques » des Arts martiaux Quasiment toutes les épreuves des JO se dérouleront par ailleurs à huis clos, ont décidé les organisateurs la semaine dernière. Par Kafunel avec AFP
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#portant une valise dans une main#- Vous allez loin comme ça#madame ?#- Oh oui. Je vais sur le quai 12#tout au bout de la gare.#- Oh putain ! Eh bien#bon courage alors !
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