#Garde : Pourquoi ça ?
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C'est un garde et un prisonnier qui discutent: Garde: Félicitation, vous allez sortir de prison pour bonne conduite Prisonnier : Ah bon, mais je comprend pas Garde : Pourquoi ça ? Prisonnier : Et bah je suis venu pour excès de vitesse et je sort pour bonne conduite ?
#C'est un garde et un prisonnier qui discutent:#Garde: Félicitation#vous allez sortir de prison pour bonne conduite#Prisonnier : Ah bon#mais je comprend pas#Garde : Pourquoi ça ?
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#rien ne me surprend dans cet article mais ça m'attriste...#racism#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#maghreb#mena#arabe#islam#muslims
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tout à l'heure on parlait de plein de choses dont de cul et des problèmes que ça nous cause et dans la discussion elle m'a demandé si c'était à cause du gars de cet hiver (en partie mais pas que, ça fait juste remonter des trucs mais c'était déjà la merde dans ma tête) et je me souviens plus vraiment lui en avoir parlé (après j'ai passé mon hiver continuellement bourrée), peut-être que zoé l'a mise au courant car je lui avais fait comprendre. toujours est-il qu'il y a quelques mois j'avais dit que j'allais le bloquer mais que comme pour d'autres je l'ai toujours pas fait. j'ai pas envie de le faire ça veut dire que ça a existé et j'ai peur de le croiser comme on fréquente les mêmes endroits et de devoir lui expliquer (de faire une crise d'angoisse donc), ou alors que d'autres le fasse à ma place. surtout qu'hier il a répondu à une story en me disant qu'il fallait qu'on aille manger ça ensemble mais non, j'ai juste pas répondu du coup mais entre les quelques fois où je lui ai répondu et mon incapacité à le bloquer je me demande toujours si c'était vraiment grave, j'arrive pas à savoir si le revoir ferait tout remonter et me donnerait envie de gerber ou si je me suis juste monté la tête. en fait je comprends pas pourquoi je ne veux pas supprimer des hommes par peur de me dire ok je le fais parce que ça c'est arrivé alors que du coup je les garde en me disant mais du coup c'est peut-être pas vraiment arrivé?
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saga: Soumission & Domination 345
João-2, Romain
La vie d'organise avec João au blockhaus. Une semaine à suffit pour qu'il prenne ses marques. Pour plus de pratique, je lui achète un scooter alors qu'il passe l'évaluation en urgence avec Éric.
Sur les conseils de Daniel, j'opte pour un électrique de chez Govecs le GO ! S2.4+ capable de le propulser à 60 Km/H de chez nous à sa Fac. Au moins les jours de beau temps.
Avec Ammed et Samir, il a trouvé ses marques. Mais pour tous c'est le " petit frère " de la maison. Avec 5 mecs à le surveiller, il bosse quand il n'est pas avec nous à faire du sport ou en prestation. Son français s'améliore à notre contact mais heureusement il garde son accent chantant. Il faut dire que ça discute tout le temps dans la maison. Des études ou du taf en passant par la politique, les nouvelles du monde sont commentées tout comme les locales. C'est sûr que seul dans sa chambre il avait moins l'occasion de parler !
On apprend qu'il n'est pas encore retourné dans son pays depuis qu'il est en France. Du coup on lui promet d'y aller avec lui aux prochaine vacances, je ne connais pas le Brésil ni mes amours. Ça le rend perplexe. Comme nous nous en rendons compte, il nous explique que sa favela a été de celles détruite pour le mondial de foot et qu'il n'est pas sûr de vouloir voir ça. L'ambiance s'est refroidie d'un coup. Je le prends dans mes bras et je ressens qu'il maitrise des sanglots. C'est un gros gros câlin que je lui fais, sans arrière-pensée sexuelle.
Pour le moment on sursoit à ce voyage Trop mignon ce petit mec !
Il s'est plus vite habitué à Marc. Peut-être le fait qu'il ne soit là quasiment que les WE et en plus 1 sur 2 ! Marc aussi le considère comme un petit frère depuis qu'il est au blockhaus. João s'attendait à faire l'amour avec lui et c'est tout juste s'il n'a pas été vexé que cela ne se produise pas. J'aime autant, je ne sais pas pourquoi mais je trouve João différents des autres garçons, un peu comme Enguerrand.
Au bout d'une semaine, il vient me voir tout gêné. Il tourne autour du pot, ne sachant pas par où commencer. Je le laisse trouver ses mots. Il commence par me remercier de le faire vivre avec nous. Je lui dis de laisser tomber ça il l'avait déjà dit/fait.
Il prend son souffle et d'une seule traite me dit que ce qui lui manque c'est d'avoir un mec dans son lit. Pendant son passage à la coloc, il avait retrouvé la chaleur des nuits avec son mentor car il y en avait toujours un des deux autres colocs pour dormir contre lui.
Je réfléchis vite. Je lui réponds que si je dors avec lui, c'est sûr qu'au matin il se réveillera avec ma queue dans ses fesses. Si, lui, ça le dérange pas moi si. En plus je l'aime beaucoup mais je ne l'AIME pas. Il comprend. Je lui propose de retourner à la coloc mais là, c'est lui qui refuse.
Je lui propose alors un truc fou.
Je trouve un gymnaste qui lui plait et qui serait capable d'être escort et je l'autorise à le ramener de temps en temps dans sa chambre et même à y passer la nuit.
Je fais tourner la base de données et nous obtenons 5 noms avec photo d'identité.
2 sont en fac de sport et nous avons de la chance c'est celle de Jona, les 3 autres sont de bons amateurs en club. Tous issus de famille modeste à ouvrière, ils rentrent dans les critères de potentiels intéressés par mes propositions. Physiquement ce ne sont pas des géants comme beaucoup de gymnastes. Par contre ils compensent en largeur d'épaules !
J'appelle Jona pour les deux de son école. La réponse arrive dès le soir même. Ils font partie de la propre sélection de Jona. Ce dernier comptait m'en parler. Lui aussi avait trouvé que ce genre de sportifs ferait merveille auprès de mes clients. Il voit bien ceux que j'ai pointés. Ce ne sont pas parmi les plus grands mais ils sont dans le top 10 de leur cours. L'un deux lui semble intéressé par les mecs vu les coups d'oeil qu'il a reçu sous les douches, contrairement à l'autre au comportement neutre.
Pour les autres, il connait le club de nom mais pas plus. Il me dit qu'il va y faire un tour ce soir.
Rappel de Jona : il a rencontré un des encadrants qui est aussi intervenant à sa fac. Du coup ça lui a facilité la recherche. Sur les 3 il y en a deux de moyen plus et un très bon. En plus d'après lui c'est le plus beau des trois !
On se retrouve avec un choix de 2 petits mecs canons pour mon João. Il arrive avec des photos prises sur son smartphone. João fixe son attention sur le collègue de Jona.
Moi, ça m'arrange car il sera plus libre les soirs et WE qu'un mec en club qui pratique en plus de son cursus d'étude.
Jona a bien bossé. Son dossier est quasiment rempli !
Prénom : Romain
Taille : 1m71
Poids : 68
Sexe : au repos 10cm à vue d'oeil
Pilosité : Blond court, bras et jambes rasées, couilles lisse et touffe rasée
Parents : ouvriers
Logement : chambre chez l'habitant
Travail : WE chez Mac Do
Pas de petit copain connu et pas de pratique homosexuelle déclarée.
Pour le faire venir, Jona lui propose d'intégrer un club privé gratuit ce qui lui permettrait de pouvoir travailler ses muscles en plus des cours. Il était sûr que cela l'intéresserait car ses potes de la même année sont tous inscrits dans une salle en dehors de l'école et lui est trop juste financièrement pour ça. Quand il appâte en précisant que c'est un club exclusivement masculin et multi sport, il se voit renvoyer un " de toute manière les meufs... ", prometteur ça. Ça l'est d'autant plus que quand il demande à Jona s'il en fait partie et que ce dernier lui répond oui, il ajoute un " c'est super alors ".
Je le reçois donc un lundi soir dans mon bureau. Comme pour les autres la frise des photos de mes escorts en maillot de bain fait son petit effet, surtout dans le slip du voyeur.
Il se trouble en me serrant la main. Poignée ferme mais pas écrasante, le mec est conscient de sa force c'est sûr. Jona reste avec nous pendant l'entrevue. On discute de sa formation, de ce qui l'a amené à la choisir et de ses ambitions. Assis bien droit sur la chaise, le dos effleurant le dossier, il est tendu. Jona lui a dit que tout dépendrait de cette rencontre.
On passe sur son temps libre, ce qu'il en fait (pompes et abdos dans sa chambre + temps partiel chez Mac Do). Il m'explique que ses parents ouvriers tous les deux ne peuvent pas assurer complètement ses frais.
Je lui dis que je peux résoudre deux de ses problèmes : le taf, avec 1 soirée par semaine, je peux lui assurer 4000 net par mois et j'ai ici des installations sportives suffisantes pour lui permettre de renforcer son potentiel et même tester d'autres sports comme la natation ou des sports de combat.
J'ai toute son attention. Quand il me demande ce qu'il faudra faire pour avoir droit à tout ça, j'ai l'impression qu'il a déjà compris. Je lui montre la frise de photo et lui dis juste qu'il faut ajouter la sienne à la suite de mes Escorts. Il me dit qu'il va y avoir un problème car les cougars c'est pas son truc et les meufs en général non plus. Il a testé et il aime pas.
Il ne comprend pas que Jona éclate de rire et que je lui renvoie un visage hilare.
Je le rassure que son collègue n'est pas fou, c'est juste que ça tombait bien " qu'il aime pas les meufs " car c'était plutôt des mâles mes clients !
C'est à son tour de rire alors.
Cela étant dit, je lui dis qu'il va nous falloir quand même qu'il me démontre ses " autres " compétences. Il capte de suite et commence à se dévêtir. Les sportifs ne sont pas parmi la population la plus pudique heureusement pour moi !
Il se retrouve en slip, putain de beau physique ! Un peu déséquilibré vers le haut avec l'hypertrophie de la ceinture scapulaire et ses hanches étroites. Par contre ce qui n'était pas petit en bas restait caché par le tissu. Sur un geste de Jona il retire son sous-vêtement. C'est vraiment impressionnant. Sa bite se décolle de ses boulles et se développe jusqu'à remonter nettement au-dessus de son nombril. Professionnel, je prends me mètre ruban et contourne le bureau. 21cm !! Sur un physique pareil ils en paraissent 30 (enfin j'exagère un peu).
Je lui demande comment il cache ça dans son pantalon blanc ajusté. Il me répond direct qu'il pense à une vieille, ça lui suffit pour la maitriser et éviter de se faire repérer. Car c'est sûr que depuis sa puberté, d'être en permanence entouré de beaux mecs musclés, il se serait fait griller sinon !
Je lui demande quand il a été dépucelé et par qui (pas le nom du mec mais qui c'était). Je dirais juste qu'il n'avait pas de retard et que, pour faire original, c'était un gymnaste de 19ans du club où il faisait ses débuts. Il avait aimé ça suffisamment pour que, quand il s'était essayé aux filles, il n'ait pas trop aimé. Il s'était donc fait dépucelé comme passif et c'est 2 ans plus tard que son " mentor " lui avait fait enculer sa dernière " prise " (son équivalent, 2 ans plus jeune). Il s'était alors aperçu que limer un cul c'était bon aussi même si c'était en deuxième position.
Je lui dis que là, c'était une vrai société d'escort donc de représentation avec sorties en smoking ou costumes, et que effectivement certain clients demandaient un service plus qui était alors aussi assuré et dans tous les cas facturé. D'où les salaires mensuels pour 4 prestations +.
Il me demande de voir mes installations sportives. Je lui lance un jock petit modèle (question taille). Il a du mal à tout mettre dedans heureusement que la poche est en tricot élastique. Nous descendons à la serre.
Il kiffe le grand tatami pour son travail au sol. Les machines ne l'impressionnent que par leur nombre. La piscine n'est pas sa tasse de thé. Je le préviens qu'il devra s'y mettre aussi j'aime avoir des escorts " complets ". Je lui dis que c'est sous le coaching d'un vrai maitre-nageur.
On monte au second. Dès l'entrée on entend le souffle de mecs qui s'entrainent. On avance et on trouve Ludovic et João qui soulèvent de la fonte. Je surveille Romain. Je vois son regard passer sans s'arrêter sur Ludovic (ce qui m'étonne vu la belle gueule de mon mec) pour se fixer sur João. Je lui parle mais il n'entend rien, ça m'amuse comme Jona qui s'en aperçoit aussi. De son côté, João n'a pu manquer notre entrée. Il finit sa série avant de se lever pour sa minute 30 de récupération. Il s'étire et n'a jamais été aussi bandant qu'à ce moment-là. Il fait semblant de nous découvrir.
Il vient vers nous. Sachant que Romain devait venir, il s'est choisi un jock à lacet qui expose encore plus son paquet. Il avance son bras pour serrer la main de Romain et nous embrasse sur les lèvres Jona et moi. Je le prends par le bras et lui dis de faire faire le tour du plateau à Romain pendant que nous deux nous nous mettions en tenues.
Je les surveille du coin de l'oeil. Romain est suspendu aux lèvres de notre Brésilien. Rien d'autre n'existe plus pour lui j'en suis sûr. Pour tester je l'appelle mais il ne réagit pas. De la main je fais signe à João de continuer. Ils font le tour des appareils. Quand ils passent dans le sas hygiène, j'entends Romain s'extasier sur la série de douches communes et interroge João sur le fait qu'elles barrent tout le passage. Il exprime sa compréhension quand ils arrivent à la piscine intérieure.
A son retour, il me dit qu'il n'a jamais vu ça même dans tous les clubs de sport de la ville dans lesquels il avait profité des séances gratuites.
Là-dessus il se couche sur le poste de développé couché et s'échauffe avec une barre à 40Kg ! Puis il nous demande de la charger jusqu'à 90 puis il se finit avec un 110 en résistance (càd que le levage se fait avec aide et le travail par la résistance à la descente) ! Là il demande à João de l'aider évidement.
Je le regarde bien pendant l'exercice, il a les yeux fixés sur la poche du jock de ce dernier qui surplombe sa tête. Faut dire qu'avec son frein cassé, le tissu moule son gland d'une façon très...détaillée.
Quand il se redresse ses pecs ont pris " un peu " de volume. C'est très beau tout ça !
Je lui dis que si physiquement il a passé haut la main les tests, il nous reste quand même à vérifier les derniers détails. Il comprend ce que je veux dire par là. On redescend à mon bureau que tous les trois (lui, Jona et moi). Il ne dit rien mais je le sens déçu.
Il ôte son jock sans façon. Il bande déjà un peu. Je pose mes fesses contre le bureau, enlève mon jock. Il se met aussitôt à genoux et le prend en bouche. Il pompe bien et je bande vite. Si mon gland bute un peu contre sa glotte, il change vite d'angle d'attaque et m'avale jusqu'aux couilles. Un bon point pour lui !
Jona met ses mains sur ses hanches et le relève sans que sa bouche ne lâche ma queue. Je lui dis de commencer le travail de la rondelle. Il le fait en me donnant ses constatations.
Jona :
" Le trou est petit et serré avec une rondelle plissée. Souple sous mes doigts mais pas ouverte, je n'arrive pas à mettre le doigt sans lubrifiant. "
Après avoir enduit sa main de gel, il y retourne.
" Mon index passe et il est bien serré. Index et majeur ensemble ça passe aussi et je suis toujours bien compressé. Mon pouce est accepté sans problème avec toujours autant de force à le serrer. "
Je le vois mettre trois doigts sans que Romain donne des signes de douleurs.
Je le repousse et lui demande ses capacités. Il me dit se goder régulièrement avec un engin de 23 x 5.5 et qu'il aime bien les gros calibre, son initiateur l'avait habitué avec sa queue de même taille. C'était lui qui lui avait offert le gode.
Jona ne prend plus de gants et lui met direct 3 doigts qui passent bien. Comme je ne suis monté que d'un 20x5 et Jona d'un simple 19 x 5.5, je lui dis d'appeler João pour qu'il nous aide au test.
Ma décision fait éclore un grand sourire sur la face de Romain.
En attendant qu'il descende, je me kpote et m'enfile dans le cul préparé. Ok, bien que rodé au 23x5.5, il serre parfaitement mon 20x5.
João arrive et me demande ce que je veux. Je lui explique et il se kpote aussitôt. Je me retire et lui cède la place.
Pénétration lente mais continue de mon poulain dans Romain. Comme il se tait je lui demande ses sensations.
"Trou chaud, bien profond, j'ai la bite bien serrée par sa rondelle. "
Il le lime quelques instants comme cela avant que Romain ne le repousse, se couche dos sur mon bureau, les jambes relevées et retenues par ses bras et demande à João d'y revenir.
Ce dernier s'enfonce à nouveau, les chevilles de Romain sur ses épaules. Avec Jona je les mate, bandants comme des taureaux.
Romain fait glisser ses jambes pour les serrer autour de la taille de notre Brésilien. Ça lui permet de l'attirer vers lui et de lui rouler une pelle. Elle doit être bonne car pendant quelques instants, sa sodomie est devenue plus anarchique !
Romain s'accroche au cou de João et j'en comprends la finalité quand ce dernier se redresse et porte Romain sur sa bite. Là on voit le gymnaste entrer en action. João ne bouge pas les pieds écartés bien planté sur le sol. Romain fait tout le travail d'ascenseur. Il se lime la rondelle sur la bite droite de João. De notre côté, Jona et moi pouvons voir le travail de chaque muscle mis en action. Les dorsaux et même les épaules sont sollicités. C'est vrai qu'il ne les avait pas travaillés à la salle !
João apprécie en tout cas. Il le repose sur le bureau et accélère la défonce du petit cul de Romain. Ce dernier alterne pelles et bouffages des gros tétons foncés de son enculeur.
Ils explosent quasiment en même temps, João avec un cri de délivrance non feint ! Romain couvre son torse de longues trainées blanches.
Avec Jona nous n'avions pu nous retenir de nous branler et croisons nos trainées de spermes avec les siennes.
Sans perdre le nord ma nouvelle recrue me demande si ce test là il l'a passée aussi.
Je le déclare bon pour le service et lui propose qu'à terme s'il le désire il pourrait intégrer une coloc avec deux autres de mes recrues. Ce serait plus confortable que sa chambre chez l'habitant et que c'était gratuit bien sûr !
Il me saute au cou de joie ! Une bonne chose de faite pour la diversité d'offre de ma société et je crois pour mon João aussi !!
Jardinier
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J’arrive un peu après la bataille pour en parler ? Tant mieux, je n’ai pas grand chose à en dire, ni rien à ajouter qui n’ait déjà été hurlé. Pour être honnête, je ne l’ai pas regardée, la consensuelle et inclusive Cérémonie. Ayant entendu une courte interview du metteur en chaines, j’avais anticipé un certain nombre de tableaux wokisto-tapetto-parisiens et la seule idée d’avoir à subir cette débauche de connasses pailletées et de dondons à testicules et faux-cils était au-dessus de mes forces. En revanche, je n’ai pas pu éviter les résumés, c’est à dire la mise en lumière des scènes de crime. Et je n’ai pas été déçu.
• L’italo-américaine Lady Gaga pour chanter Zizi Jeanmaire avec un accent US à couper au couteau, pourquoi pas ? On a déjà eu Joséphine et ses bananes pour faire swinguer la France d’avant-guerre. Et comme il est vrai qu’on manque de chanteuses en France...
• Les bateaux-moches en promène-couillons des quatre coins du monde, pourquoi pas ?
• Cette pauvre Marie-Antoinette. Sur les lieux même où la torture morale arriva à son paroxysme... Eh bien, la république ne reculant devant aucun sacrifice, c’est à la Conciergerie qu’elle a exhibé le corps étêté et sanguinolent – cela se voulait drôle, parait-il – de la Reine de France. Pire, elle lui fit chanter “ah, ça ira !”, en oubliant que la suite : “les aristocrates à la lanterne” aurait pu faire blêmir Manu et Jean-Bri, le couple passant souvent ses fins de semaine au très versaillais domaine de la Lanterne... qui ne présente, hélas, aucune potence improvisée.
• Aya Nakamura, la gouailleuse des banlieues qui a tant de mal à aligner trois phrases audibles dans la langue de NTM, a secoué son cul de basse fausse face à l’Académie afin d’apprendre la samba à la Garde Républicaine, régiment réputé d’élite qui s’est ainsi couvert d’une honte durable car décarbonée.
• La flamme était portée par le quasi personnage d’Assassin’s Creed – autant dire un partenariat Ubisoft, tandis que l’artisanat français (savoir-faire, excellence et tout le baratin habituel) était incarné par les malles Vuitton, partenaire obligé, incontournable, incontestable, imposé.
• Autres sponsors, très implicites, les sites de cul qui vous vendent à longueur de plateformes de la bisexualité pratiquée en groupe, ce qui en mode restreint s’appelle un “trouple”. Cette élégante appellation – qui n’est pas sans rappeler le son franc et frais d’une flatulence post-sodomite – s’est vue illustrée par une coquine séquence qui, c’est l’évidence, a tout à voir avec l’olympisme.
• Enfin, la Cène façon Michou, rassemblement d’obèses, d’invertis, d’apprentis-satanistes ou supposés tels, ces trois qualités étant cumulables à l’envi, qui offre à la France, fille aînée de l’Église façon François-l’Embrouille, une occasion de souligner son exemplarité morale et la force de son credo chrétien.
Voilà. J’en oublie sûrement, et cela vaut mieux. Aujourd’hui, la France a clairement montré qu’elle avait choisi son camp, qui se caractérise par une concentration inouïe d’hominidés dégénérés aux commandes du pays, servis par un aréopage de tarés, de déviants ou de simples ambitieux dont le principal souci est de bien montrer au reste du monde – celui qui croit en quelque chose de transcendant – que laïcité et vaseline font excellent ménage. L’exception française deviendra-t-elle la source d’un isolement durable ? J’en suis personnellement convaincu. Et c’est très bien ainsi. Quand on porte la peste...
J.-M. M.
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J'ai trop la flemme de traduire, et j'adore les HC, donc nsm les anglais vous entendez. Btw si y'a quelques contre-sens avec le jeu dites le moi, je reregarde petit à petit le jeu (car nsm les p.a).
HSL CDC HEADCANONS:
Armin:
Laupok c'est son youtubeur fav assuré je suis dsl. Minimum il essaie toujours qu'on choisisse son niveau Mario Maker.
Les cernes. C'est le genre de personne à 3h du matin il est en ranked dans un jeu en ligne ou alors il essaie de battre un boss depuis 21h.
Ses cheveux graissent facilement, c'est souvent Alexy qui lui rappelle de les laver.
Révise jamais mais à 16 de moyenne.
Tu veux le stalker ? Bonne chance car honnêtement il a 12 abonnés sur Instagram.
Lysandre:
Tâche de rousseur dans le dos.
Il a une écriture hyper soignée.
Il kiff faire les friperies, les vides greniers ect, c'est l'endroit parfait pour lui pour trouver les objets à son goût.
Il adore les films/séries d'animation.
Bien qu'il soit tête en l'air, JAMAIS il n'oubliera l'anniversaire de ceux qu'il aime. Il trouve toujours quelques choses pour faire plaisir à la personne.
Kentin:
Une haine profonde envers le film Barbie à cause de la musique "I'm Just Ken".
Il a des lunettes pour quand il est chez lui, des lunettes de daron rectangulaire y'a que Sucrette qui sait ça.
C'est le genre de personne qui garde les cadeaux qu'on lui offre.
On lui empêche encore de sortir à son big âge.
Il a peur des profondeurs marines et il est claustrophobe + bonus anxiété après ses années d'harcelement et l'armée.
Discipline de fou furieux.
Nathaniel:
"Le livre est bien meilleur, je sais pas pourquoi les gens regardent QUE le film."
Il a déjà tenu un wattpad pendant un an, ses parents ont découvert l'application et l'ont forcé à supprimer.
Il trouve du réconfort dans le contact physique mais il est toujours un peu mal à l'aise face au contact physique.
Ce n'est pas le genre de personne à écouter de la musique très souvent.
Minimum il a une pharmacie entière dans son sac pour ses allergies, quand il a des migraines ect.
Castiel:
Collection de t-shirt de rock.
Ses paires de chaussures sont bien usées bien défoncées. Soit il porte des docs soit des converse.
Skater à ses heures perdus, il a déjà rejoint Iris et Armin au skate parc (cmt caler un HC dans un HC)
Crooked nose bien grrr
Hormis les chiens, il n'aime pas les animaux.
Monsieur hyper aigri est en secret hyper chatouilleux et il a probablement un rire contagieux bien magnifique.
#amour sucre#my candy love#corazon de melon#castiel#lysandre#my candy love kentin#mcl nathaniel#mcl kentin#mcl armin#my candy love armin
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
À ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une réponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommée d'après ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ça va ! Et toi ? Comment était ton voyage à Londres ?
C'était trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les études ?
Snow: Honnêtement, je suis fatigué. J'ai vraiment hâte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible.
En parlant d'exotique; j’ai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystère qui est récemment devenu obscur et je savais que tu étais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom Trithème, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventé la cryptographie et communiqué avec les esprits ?
C’est lui. Je suis tombé sur une étrange maison d'édition qui réédite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: Réédite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a même été traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça.
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-être qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliqués ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drôle. Chaque lettre qu'on veut décoder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut décoder le mot "secret", le texte décrypté devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement être une vraie prière latine, bien que peu créative. Son deuxième livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'écriture.
Les gens ont dû penser qu'il était fou.
Snow: Oui, probablement même après son premier livre Stéganographie.
Ah, c'est ça. Stéganographie est le livre que Mars Éditions a réédité.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. Stéganographie se compose de trois parties. La dernière partie est incroyablement compliquée et contient des tableurs de données planétaires. Quelqu'un découvrait récemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas à comprendre moi-même.
Et les deux premières parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui Trithème mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ?
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planète. Chaque esprit a même son propre symbole, un sceau. Et, bien sûr, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais caché dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression précise. Quand Pamersiel apparaît, on peut lui donner un message à transmettre à n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit être crypté avec des règles spécifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la première lettre de chaque mot.
Si je veux transmettre le mot "secret", j'écris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: C’est un peu plus compliqué. On doit prendre chaque deuxième lettre de chaque deuxième mot. Très différent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le décoder, tu dois savoir quel esprit l'a délivré.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple écrire "c'est assez, tu écartes or et argent".
Snow: Tu es incroyablement doué pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement Trithème-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire téléphonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui était le plus important pour Trithème : le spiritisme ou la cryptographie.
Je pense que pour lui, les deux sont liés. Évidemment même l'astronomie si tu inclus le dernier partie de Stéganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscité l'intérêt de nombreux astronomes et mathématiciens de renom et même de linguistes, c'est ainsi que je suis tombé sur son travail. Mais je ne suis jamais allé trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement là où je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide.
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout à l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
#s23e04 from biscuits to brisket#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Un jour tu comprendras…
Combien de fois on m’a toujours dit que j’étais belle ?
Alors que dans le reflet du miroir je n’arrive pas à trouver ce côté beau de mon corps
Le passé m’a fait perdre la confiance en moi
Car cette petite fille en moi est toujours présente
Celle qui acceptait les avis négatives des autres
Se laisser influencer par les mots blessants à propos de son corps
Tant de mots blessants qu’elle garde et cette petite fille maintenant est devenue une femme
Une femme qui veut vraiment s’aimer et être douce avec son corps
Je m’adresse aux gens qui croyaient que je n’allais jamais réussir
Que je serai toujours une raté et une merde
Ils ont pris le pouvoir car je n’arrivais jamais à me défendre
J’étais cette fille facile qu’on pouvait redescendre en quelques secondes
Un jour tu comprendras pourquoi que je suis tellement dure avec moi-même
C’est pour ça que je ne sais pas si je te crois quand tu me diras « tu es belle »
Parce que le passé m’a détruite et je me répare petit à petit
J’étais entourée par des personnes qui dégageaient une négativité
Et c’est pourquoi que je suis toujours complexée avec mon corps
Un jour tu comprendras que les mots blessants du passé peuvent toujours réapparaître au présent
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— Julius ? — Chérie ? — Pourquoi les gens sont-ils méchants ? — Quelqu’un t’as fait du mal ? — Ces choses que l’on dit sur nous… — Que dit-on ? — Tu sais : « Il fait la sortie des puellarum scholarum le vieux ! », « Ça se voit que t’es cornifrons ! », « Qui croit vraiment que cette jeunette est avec toi pour tes beaux yeux, stultissime ? », « Dulcis pater ! » [NdT : sugar daddy] — Je n’entends rien de tel. — Moi je les entends, et cela me peine. Ce sont des jaloux et des médisants. — Ne crois-tu pas qu’ils soient préoccupés de ton bien être et du respect des bonnes mœurs ? — Oh, mon chéri, tu me taquines ! Mon père a béni notre union sans réserve, j’y ai consenti avec joie et l’on voit bien que je n’ai plus douze ans. Que ne se mêlent-ils de leur culus ? — Adeona, mon cœur, notre union fut en tout point conforme à la loi de Rome, ni moi ni ta famille ne l’auraient voulu autrement. Cependant Vénus, Cybèle et Vesta ont chacune leurs lois. Ainsi que nous sommes, moi en hiver, toi au printemps, leurs jurisprudences divines se contredisent âprement — comme les bacheliers enivrés de vin de Gaule. Vénus dit : qu’importe l’âge et qu’importe demain, si l’amour brûle dans les cœurs des amants… — Je me range sous la loi de Vénus. — Cybèle dit : les moissons de la femme sont précoces, celles de l’homme s’étendent jusqu’à l’automne, mais point au-delà. — Je suis bien aise de connaître le labour sans être aussitôt ensemencée. — Vesta dit : tant que le pilier soutient le toit, que le garde-manger est assez plein, que le sol est propre et le foyer entretenu, la paix logera en cette maison. — Je ne vois pas de contradiction entre ces lois. — Mon pilier s’écroulera bien avant que ton foyer s’éteigne, mon aimée. Si nulle moisson miraculeuse ne survient avant que ma force manque, et si la dernière braise de ton cœur ne trouve plus que les cendres du mien, que restera-t-il pour te réchauffer ? C’est cela que craint la plèbe, du fond de sa sagesse grossière et bruyante. Vois-tu ? Leur fiel n’est pas sans justesse ; leurs insultes ne sont pas sans quelque élan d’amour animal. — Ô mon Julius, je tremble quand tu me rappelles la brièveté du bonheur ! N’ai de crainte pour moi, je t’en prie. Aussi fort que soit le chagrin du veuvage, je serai belle encore et parée de ton héritage. Un autre homme viendra reprendre gaiement le labourage. Au premier de mes enfants je donnerai ton nom. Et si mon nouveau mari manque d’ardeur, je quémanderai un supplément aux hommes de passage. Comme ce fruit que tu manges, la félicité ne peut se garder dans un pot de vinaigre. Goûtons aujourd’hui l’instant suave. Plus tard je goûterai le fruit acide, puis l’amer, à pleine bouche, sans refuser une miette du festin de ma vie. — Quelle grande sagesse dans cette petite tête de femme ! Vois comme les grâces de l’esprit redoublent les attraits du corps : je me sens d’appétit pour labourer encore.
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Charlie a fait nuit blanche pour comprendre pourquoi son hôtel ne marche pas. J'avais déjà dit que le fait que les gens la prenaient pas au sérieux mais aussi que ses exercices ne sont pas adaptés non plus montrant vraiment le côté renfermé de Charlie. Dans le sens qu'elle veut parler à celui qui est le plus haut dans le paradis. Et que par exemple dans l'exercice de confiance ou bien celui de présentation en tapant des mains. Elle dit rien de vraiment vulnérable non plus. Si elle souhaite que ces résidents s'ouvrent, il faut aussi qu'elle s'ouvre à eux d'une certaine manière, qu'elle partage son expérience et pas que les bonnes choses mais aussi les mauvaises choses.
Lorsque Vaggie suggère l'aide de son père, on voit que ça l'enchante pas des masses car elle le voit comme seigneur inactif suite à l'extermination qui approche de plus en plus. De plus on apprend qu'ils se sont séparés, on ne sait pas quand exactement mais Lilith aurait prit sa garde et Lucifer l'aurait appelé pour tromper son ennui. Bien que d'après Lucifer, Charlie ne l'aurait pas vraiment appelé non plus.
Charlie has been up all night trying to figure out why her hotel isn't working. I'd already said that the fact that people don't take her seriously, but also that her exercises don't fit either, really shows Charlie's withdrawn side. In the sense that she wants to talk to whoever is highest in heaven. And that, for example, in the confidence exercise or the hand-clapping presentation exercise. She doesn't say anything really vulnerable either. If she wants these residents to open up, she also has to open up to them in some way, sharing her experience and not just the good stuff, but the bad stuff too.
When Vaggie suggests her father's help, we can see that she's not too thrilled about it, as she sees him as an inactive lord in the light of the extermination that's drawing ever closer. What's more, we learn that they've parted ways. We don't know exactly when, but Lilith is said to have taken custody of her and Lucifer to have called her to relieve his boredom. Although, according to Lucifer, Charlie didn't really call him either.
#hazbin hotel#hazbin hotel spoilers#charlie morningstar#lucifer morningstar#also love husk little smirk this cat loves the drama XD
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Absente de Tumblr ces derniers temps. Quand je goûte au bonheur tout s’envole en une fraction de seconde. Toujours en arrêt maladie suite à un burn-out. Il s’en ai passé des choses avec cet arrêt, un contrôle de sécu, un entretiens avec mes enfoirés de boss, un rdv à la médecine du travail, une deuxieme convoc à la sécu, la goutte d’eau. Sachez que tout ce qu’on m’a dit « ça n’arrive jamais » est arrivé. Je sais pas si je dois rire ou pleurer. On me dit « t’inquiète aucun patron ne garde en arrêt longtemps quelqu’un ils vont finir par te licencier » C’est faux mes patrons sont des enculés qui ne lâche rien ! « T’inquiète la sécu te convoque que quand t’as un arrêt d’un an » au bout d’un mois j’étais contrôlé. « T’inquiète il contrôle pas deux fois » bim à nouveau contrôler. Même le médecin de la sécu me demande pourquoi on me casse les couilles comme ça, je me le demande aussi, ah ben c’est simple « c’est votre employeur qui vous fait contrôler » oh comme c’est étonnant. Demain j’ai rdv à la médecine du travail pour me mettre inapte. Clairement je peux plus me voir mes enculés de boss, j’ai des envie de meurtre quand je vois leur gueule de con. J’ai envie de foutre le feu à leur restau, de flamber leur bagnoles et j’en passe. Je crois que j’ai trop regarder Killing Eve (sorry)
Ma compagne est dans le coma, je crois que ça c’était la goute d’eau. Tout allé bien et la minute d’après elle partait avec les pompiers. Le lendemain mon téléphone sonne pour me dire que son état (pourtant stable la veille) s’est subitement aggravé dans la nuit, elle est tombée dans le coma, elle est en réanimation et sous assistance respiratoire. Son regard était si vide que j’ai crus l’avoir perdue. Heureusement son état commence à s’améliorer même si elle est encore intubée et sédatée.
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Pour la Nouvelle Calédonie j’en reviens à ce que je dis sur tous les territoires d’Outre Mer : soit on traite leurs habitants exactement pareil que les métropolitains, avec le même niveau de service et d’opportunités, soit on entame un processus d’indépendance. Quand on traite ces territoires comme des colonies, faut pas s’étonner que les gens p��tent les plombs.
Et vu l’affaiblissement de la France sur le plan diplomatique, que la Russie ou l’Azerbaïdjan arrivent à se glisser dans les failles pour venir encourager les émeutes, c’était attendu. Mais ça ne cache en rien la responsabilité de l’Etat pendant des années.
Que ce soit pour la Nouvelle Calédonie, la Guyane ou Mayotte, au bout d’un moment ça devient clair qu’on garde ces territoires pour leurs ressources naturelles et leur espace maritime. La plupart ont des économies coloniales qui les précipiteraient dans la pauvreté si la France partait (c.-à-d. des économies qui reposent sur l’export de matières premières et l’import de tout le reste). On ne peut pas dire aux gens pendant des années « haha vous ferez comment sans les aides sociales » et ensuite s’étonner de leur défiance.
Et puis je ne comprends pas pourquoi on est incapable de faire un Commonwealth comme les anglais alors que la francophonie représente des millions de locuteurs.
Bref ça m’énerve.
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Allez c'est parti, du sang et de la violence avec :6, 7, 16 et 17 pour le fandom qui t'inspire le plus ou les fanfics :D
DU SANG POUR LA HOOORRRDE !!!!
En tout cas, merci beaucoup pour les questions ! :D Je vais surement me concentrer sur le fandom FE3H... heureusement qu'Aura est ignifugé, ça va être long pour bien m'expliquer et ça va saigner !
6 - Quels sont les fans de navires les plus ennuyeux ?
Erratum, j'ai lu trop vite quand j'ai tapé ma réponse, j'ai cru que c'était les "navires les plus ennuyeux", pas les "fans de navires les plus ennuyeux"... oui, je sais, faut que j'arrête de lire trop vite mais, j'aime bien la construction de ma réponses alors, je garde (et j'avais envie de vider mon sac sur les ships depuis longtemps). J'explique aussi ce que je n'aime pas dans la manière dont les ships sont écrits dans le fandom en général alors, je laisse. Pour résumé, ceux que je trouve vraiment ennuyeux, c'est les fans d'Eldeleth et de Dorogrid mais, c'est surtout à cause des stans qui tentent de les imposer à tout le monde en hurlant que c'est les meilleurs couples du monde et les plus sains de l'univers en rabaissant les ships des autres (en particulier les m/m car "c'est des ships de fujoshi dégueulasse" là où leur navire f/f préférés sont parfait et parfaitement féministes) et en les objectivant à donf sinon, les gens ont l'air assez calme alors, pas trop de polémique avec les shippeurs en général.
👺 Bon, je pense que ça n'étonnera pas grand monde mais, l'Eldeleth n'est clairement pas ma tasse de thé, en particulier la manière dont ce ship est représenté dans le fandom. Pour moi, c'est tout sauf un ship mignon, tout doux comme un toudoudou, mielleux et sain comme on le voie souvent.
Non, c'est un ship très sombre, inégal, très toxique, souvent à sens unique et à condition avec Delagarde qui domine complètement Byleth qui doit s'écraser devant elle et est tellement dépendant.e affectivement d'elle qu'iel accepte de tout faire pour elle, même les pires horreurs en envahissant deux pays qui n'ont rien fait de mal, marcher sur sa dignité, se considérer comme une sorte de monstre à cause de son sang nabatéen et iel va tout faire pour s'en débarrasser, reniant sa propre nature et acceptant que Delagarde lui vole ses propres réalisations (comme ses victoires lors de la guerre, que ce soit contre l'Alliance, le Royaume ou les agarthans entre autre exemple).
Et de son côté, Delagarde ne verrait Byleth que comme un outil puissant et utile, à qui elle donne quelques gestes d'affection pour nourrir son amour pour elle tout en la laissant en manque car "Byleth n'en fait jamais assez (et que c'est un monstre nabatéen)" afin qu'iel en fasse de plus en plus pour elle, dont le sang nabatéen la dégoute, et surtout, un outil que Delagarde jettera dès qu'iel ne lui servira plus (et la tuera, ça fera des os nabatéen en plus et un.e nabatéen.ne vivant.e en moins).
Alors, la manière très saine, très mignonne dont le fandom représente leur "lesbian qwen trop libres et athées et qui n'ont besoin de personne en Harley Davidson !!!" (car M!Byleth n'existe quasi pas pour ce genre de ship + El qui n'a besoin d'aucun homme, mais bien sûr, chante beau merle, je vais te croire)... mouais, c'est pas pour moi, surtout que je trouve que le penchant toxique de ce ship pourrait être bien plus intéressant que le classique "je t'aime, faisons-nous des couronnes de fleurs ensembles en courant dans la prairie UwU" qui ne colle pas à leur couple.
👺 Ensuite, on a le F*rdbert mais lui, c'est plus particulier. Encore, j'adore leur deux niveaux de soutien et j'aurais laaaarrrgement préféré que la suite se concentre sur leur antagonisme et leurs opposition plutôt que partir dans des trucs à base de "qui est le meilleur entre le thé et le café ? (et pourquoi les mains d'Hubert sont tâchés de liquide rouge ? C'est du thé aussi ?)" mais bon, c'est péché pour CF d'avoir des situations moralement ambigüe donc bon... (et le Ferdie de cette route est un agarthan, c'est pas possible autrement, laissez moi dans mon déni !)
En fait, même si je déteste l'idée de couple romantique entre les deux personnages, je trouve que la dualité entre Ferdie et Hubert est très bonne et réussi vu qu'ils s'opposent en tout point : l'intègre et incorruptible / celui qui donne les pots-de-vins, le seigneur indépendant / le serviteur servile, celui voulant prendre soin de son peuple et apprendre à le faire / celui pour qui le peuple n'est qu'un outil pour la grandeur de son impératrice, celui qui questionne le pouvoir et s'y oppose / la carpette complète quoi que son impératrice fasse... même leur design est bien pensé pour cette opposition avec le très solaire Ferdie dont les cheveux font penser à des rayons de soleil Vs le très sombre uniforme de Waffen SS d'Hubert noir comme la nuit et à la peau vampirique. Là aussi, je pense qu'une opposition comme rivaux / ennemis jusqu'au bout aurait bien mieux marcher qu'un couple romantique et aurait pu faire des scènes bien plus fortes que juste "thé ou café ???" (ou alors en admettant la toxicité de la relation comme pour l'Eldeleth, un peu comme ce fanart), surtout visuellement où l'opposition entre les deux est très marqué (un peu dans l'esprit de ces fanarts, surtout le premier où ça aurait pu faire une chouette scène de combat)
👺 Ensuite, peut-être plus étonnant mais, je n'aime pas du tout le D*m*l*x... mais genre, vraiment pas. J'ai essayé, je lui ai donné plusieurs chances pour essayer de mieux comprendre et parce que les arts étaient beaux mais... non, ça ne me va pas (à part l'histoire de Dimootri à jamais dans nos coeurs). C'est pas tant dans le fait qu'ils se connaissent depuis des années et qu'ils ont été élevés ensemble, mon ship préféré du jeu est le Sylvix après tout mais, c'est un ensemble d'élément qui me gêne.
C'est dans la caractérisation des personnages que ça bloque. J'ai peut-être pas eu de chance mais, je tombais souvent sur un schéma où... comment dire ça, j'ai un peu peur de mal m'exprimer... j'étais rarement d'accord avec les rôles qu'on donnait aux personnages car, Félix se retrouvait à avoir un énorme syndrome de l'infirmière où il devait "réparer" Dimitri et Dimitri était souvent un personnage très instable qui avait besoin qu'on le répare (ou pire, est très possessif envers lui - en particulier pendant sa phase sanglier - avec Félix qui accepte que Dimitri veuille l'exclusivité de son attention et de son affection, tout en lui pardonnant tous ses gestes déplacés parce qu'il "l'aime" alors que c'était juste des agressions la plupart des cas, il se faisait bloquer et menacer par Dimitri de le tuer en utilisant le nom de Glenn en lui disant qu'il faisait tout ça pour son frère mort, voir même des menaces / agressions sexuels à base de baisers forcés, des morsures ou de vêtements tirés avec Félix qui s'en tire - soupir de soulagement - puis lui pardonne direct sans plus de dégâts sur sa santé mentale quand Dimitri lui dit "déso") et devenait plus ou moins dépendant émotionnellement de lui et inversement. D'accord, dans le jeu, c'est un élément de leur dynamique, Félix doit apprendre à accepter Dimitri tel qu'il est à présent et à ne plus dénigrer sa maladie mentale mais, ça va dans les deux sens. Félix apprend à accepter Dimitri et en face, Dimitri travaille sur lui pour ne plus prétendre tuer tout le monde pour Glenn et à ne plus être l'esclave des morts mais, ça se fait dans le cadre de l'histoire et du jeu.
Dans la plupart que j'ai lu (et s'il y a des fans de d*m*l*x dans la salle, n'hésitez pas à me contredire si je suis juste mal tombée car honnêtement, je voudrais comprendre ce ship), c'est Félix qui fait tout le travail de s'adoucir et de tirer Dimitri à bout de bras tout seul avec Dimitri qui ne progresse que parce qu'il y a Félix à côté, pas parce qu'il se rend compte qu'il ne peut pas continuer comme ça et en voulant aller mieux pour lui-même, et les deux deviennent co-dépendant affectivement l'un de l'autres (bon, ça arrive aussi dans le jeu où Félix perd sa raison de vivre et devient suicidaire en dehors d'AM à cause de la mort de Dimitri, pas parce qu'il a trahi son pays, sa famille, son fief, son devoir de seigneur... et si je peux comprendre sur CF qu'il finisse dans cet état, j'ai plus de mal sur VW et SS où la fin aurait pu être douce amère mais, il aurait trouvé la force de se relever pour son fief et aurait agi pour le protéger en s'alliant au plus fort, quitte à faire arriver les faerghiens après la bataille du grand pont). Il passe d'une dévotion malsaine à l'autre, et toutes les aspérités de Félix sont gommés pour ne laisser qu'un stéréotype de tsundere au masculin avec un sacré syndrome de l'infirmière, même quand c'est évident que leur lien est toxique.
En plus, on parle assez rarement du rapport de force inégal entre les deux et que techniquement, Félix doit obéir à Dimitri et que sa famille a beaucoup donné au Royaume et à la famille royale, dont le sang de ses membres. En fait, je préfère quand on explore leur relation comme une ancienne amitié qui a été brisé et qui est vraiment difficile à reconstruire suite à des évènements tragiques (et avec Dimitri qui va mieux parce qu'il le veut et pour tout le monde, pas parce qu'il ne veut pas perdre une seule personne qui aura l'entièreté de son affection), tout en prenant en compte la vassalité de Félix et avec Dimitri qui essaye de l'effacer car il veut être son ami et égal, pas son seigneur. C'est peut-être une des raisons pour lesquelles je préfère le sylvix avec le fait qu'il y a un bien moins gros passif très agressif entre les deux, les deux personnages sont plus au même niveau sans personne qui domine vraiment l'autre, et les deux gardent leur caractère respectif avec moins souvent un syndrome de l'infirmière avec les deux qui doivent apprendre l'un de l'autre. Je trouve juste les relations plus équitables, même quand elles sont compliquées.
En fait, en général, 👺 je n'aime pas les ships Blaiddyd x Fraldarius à part pour les Braves (c'est même mon ship pour ma version des Braves mais, il y a un gros contexte pour que Simplex et Pertinax tombent amoureux et leur histoire n'est pas un long fleuve tranquille vu qu'ils ne peuvent pas être ensemble). C'est souvent les mêmes histoires qui se ressemblent un peu toutes "oh, je suis si amoureux de mon roi mais, il : option 1, ne me voie pas car il est amoureux d'une autre alors je me lamente en silence en le dévorant des yeux (ça c'est surtout le Lambrig*e) / option 2 : on s'aime et on s'envoie en l'air avec heureusement nos femmes qui servent de paravent et son totalement ok pour se faire tromper car ce sont des reines aroace avec une forte personnalité qui savent se battre mais qui fait tapisserie et n'a aucun problème avec le risque de perdre sa réputation si on la sait cocu jusqu'au cou (ça c'est Kyphon x Loog et Lambrig*e aussi)". Même si pour le coup, je dirais que les auteurs de la deuxième option ne se rendent pas compte du côté problématique de forcer une aroace à se marier et à avoir des rapports sexuels et des enfants avec un homme qu'elle n'aime pas juste parce qu'il le faut parce que scénario, encore plus en réduisant une femme décrite comme forte à "elle sait se battre et n'est qu'un ventre" mais, ce n'est pas très agréable.
Déjà, pour le Lambrig*e, Rodrigue mérite cent mille fois mieux que Lambert qui ne lui arrive pas au petit doigt de pied, laissez-le avoir un mariage heureux avec la personne qu'il aime, sa vie est bien assez ponctuée de tragédies comme ça (surtout que ça voudrait dire qu'il est amoureux du responsable de la mort de son fils là), et les histoires avec Kyphon et Loog se ressemblent un peu toutes. En plus, il y a une sorte d'avatavisme étrange avec l'idée que "tous les Fraldarius tombent amoureux / sont forcément fanatiquement fidèles aux Blaiddyd" sans plus d'explication à par "le DESTIN !!!" et honnêtement, je trouve ça d'un bien malsain vu que les Fraldarius (rarement les Blaiddyd qui eux ont le choix de qui ils peuvent aimer) - qui ont une position inférieure à celle de la famille royale et donc doivent déjà lui obéir de base - sont souvent "obligés" de tomber amoureux d'eux sans avoir le choix car c'est présenté comme une fatalité, et de deux cela renforce encore plus le déséquilibre de pouvoir entre les deux qui est déjà très fort.
Là aussi, c'est le manque d'aspérité qui me dérange et ne m'aide pas à aimer les ships car, c'est un peu mille et une nuance d'un verre d'eau. Même si tu la changes un peu à chaque fois de verre, ça reste de l'eau. Alors que ça pourrait être aussi très intéressant d'explorer d'autres types de relation et d'interactions. Pêle-mêle, on pourrait avoir un duc qui protège un.e petit.e prince.sse devenus souverains trop tôt, deux rivaux pour le pouvoir qui se tirent dans les pattes et complotent les uns contre les autres, un roi qui fait tout pour protéger la famille ducale après que leur chef de famille ait trouvé la mort lors de son service et s'en veut, une relation tendue au départ qui devient une amitié solide mais avec l'un qui remet toujours l'autre en question et s'oppose souvent à lui, des ennemis mortels avec un Fraldarius qui veut venger un parent que le roi / reine a utilisé comme bouclier humain, deux complices dans le crime, une famille ducale terrifiée lors de son service car ils savent qu'ils devront mourir à la place du roi et rongeant son frein en attendant l'occasion de renverser la situation, un duc voulant devenir roi à la place du roi et commence une révolte nobiliaire... bref, autre chose que le sempiternel "ô mon amour, laisse-moi mourir pour toi car, c'est si bon de mourir pour mon amour et rien à foutre de mes gosses et de mon fief qui ont besoin de moi 💘" et aussi prendre en compte que ce sont deux familles puissantes, les Fraldarius ne sont pas n'importe qui alors, le roi doit compter avec eux et faire gaffe à ne pas se les mettre à dos alors, voir les relations de pouvoir et les jeux d'influence entre les deux clans pourraient également être très intéressant.
👺 Et enfin, pour finir le sel des ships que je n'aime pas, on va faire Doro. Bon, on va faire ça clair, simple et rapide [craque les doigts] :
+ Ingrid : c'est du harcèlement avec Doro qui insiste pour sortir avec elle et jouer à la poupée vivante même après qu'Ingrid lui ait mis un énorme stop, et on continue avec le comportement d'harceleuse dans leur paralogue et même dans FEH, j'appelle tout de suite la police
+ Félix : Félix lui met des balles bien placés sur le fait qu'elle veut se rapprocher de lui uniquement parce qu'il est duc et riche (ce qui est le cas, elle assume complètement à plusieurs moments qu'elle veut épouser quelqu'un juste pour la thune et avoir une retraite dorée, voir le soutien avec Caspar) mais, ces critiques sont complètement invalidées par le soutien alors qu'elles sont parfaitement justifiées et Doro finit par l'avoir à l'usure, il accepte le thé car elle n'arrêtait pas de le harceler et de le gêner pendant son entrainement et afin d'avoir la paix. Là aussi, police direct.
+ Yuri : elle le pousse à le faire monter sur scène, veut le pousser à chanter devant les autres contre sa volonté alors qu'il ne veut pas à cause de son passif, et y arrive en jouant sur la corde sensible alors, même pas la peine d'y penser. En plus, étant donné que Doro ne pense qu'à sa pomme, je voie très mal Yuri accepté d'être avec elle alors qu'il se tue à tout faire pour aider les autres et son peuple alors, couple à la poubelle !
+ Byleth : n'est avec lui que parce que c'est l'archevêque - sa haine de l'Eglise disparait comme par magie pour le coup - ou nouveau roi de Fodlan et pour son couple avec f!Byleth, on va être honnête, c'est surtout pour ajouter un cliché de couple lesbien qui plait aux hommes hétéros (la lesbienne ultra active sexuellement et sexy en couple avec une autre lesbienne à grosse poitrine), y a quand même fallu attendre le DLC pour avoir d'autres couples romantiques m/m, là où les f/f étaient là dès le départ on rappelle. Faites plus de couples gay / lesbiens avec les personnages bisexuel du jeu en général et sans suivre une check-list des fantasmes de toujours la même cible, vous serez mignon IS.
+ Sylvain : c'est le pire côté de Sylvain dans ce soutien qui n'existe que parce que ce sont les deux dragueurs invétérés de Garreg Mach (alors que Sylvain n'aurait pas dû être misogyne mais misanthrope en général vu ce qu'il s'est pris dans les dents, et je mourrais sur cette colline !) et s'ils se marient, Sylvain se retrouve bien marié à une femme là que pour son nom de famille et sa position alors, pas une bonne fin pour lui et son arc. Pas police mais, poubelle direct.
+ Pétra : Pétra a 15 ans, n'a pas l'air d'avoir eu de relation amoureuse avant ça, est là en tant qu'otage politique très loin de son pays d'origine depuis qu'elle est enfant, n'a pas du tout les mêmes coutumes / cultures, et comprend / parle assez mal la langue au début du jeu et là, t'as Doro - 18 ans, grosse compréhension des rapports amoureux / sexuels et ayant déjà de l'expérience en la matière - qui débarque en lui proposant direct de la masser (red flag !) et de lui chanter une berceuse (GROS red flag !) tout en étant tout sucre tout miel avec elle et en la complimentant énormément sur son apparence (là aussi, gros red flag avec les mineurs, les écarts de maturité se creusent vite à cet âge) - bien plus qu'avec les autres persos féminins à part El car c'est le jackpot et son gourou, Ingrid car c'est sa victime de harcèlement préférée et Bernie est une cible facile - alors qu'on le sait que Doro veut juste le fric des gens pour sa retraite, c'est pas parce qu'elle le dit pas ou prétend que ce n'est pas le cas que c'est pas dans sa tête ni dans la nôtre IS. Elle est en train de proposer de "masser" et de donner des soins avec insistance à une gosse de QUINZE ans isolée, qui ne comprend pas tout ce qu'elle raconte ni la portée de ses actes ! Allo police ! C'est pour une urgence ! Faites VITE !!!
+ Ferdinand : j'aimais bien leur couple au début, surtout qu'ils vont bien ensemble visuellement mais, en le relisant et en apprenant de plus en plus à connaitre Doro, juste, elle ne le mérite pas. Meuf, c'était y a plus de 15 ans et il se plie en quatre pour t'apprécier, arrête de lui lancer des tomates pourries, de lui en vouloir pour une bourde de gosse et passe à autre chose ! Là, c'est pas la police mais, voilà le numéro d'un psy
+ Caspar / Linhardt / Lorenz : de l'eau tiède mais, même eux sont trop bien pour elle (et Lorenz a une biiien meilleure version de ce soutien où il se fait ramener à la réalité par une roturière avec Léonie)
En fait, les seuls ship que je trouve tolérable avec Doro, c'est celui avec Delagarde car c'est celui de l'adepte fanatique avec son gourou, ou celui avec Hubert car c'est deux fanatiques d'El qui convolent ensemble et écrasent les autres pour la grandeur d'El. Tout le reste, soit la poubelle, soit la police.
7 - Quel personnage avez-vous commencé à détester non pas à cause du canon mais à cause de la façon dont le fandom réagit à leur égard ?
🧂 Qui ça étonne si je dis Delagarde ? Personne ? Personne.
En fait, au départ, j'étais vraiment tiède avec El. Elle était là, elle faisait le café niveau méchant surtout que bon, j'ai fait VW en premier alors, elle est pas très présente alors, en jouant sans trop me creuser la tête, je faisais pas trop attention au "pourquoi devons nous combattre cette pauvre Delagarde qui nous a attaqué et a envahi sans sommation le Royaume ? C'est kro triste :'(", j'étais même pas chaude à l'idée de la tuer dans le Tombeau Sacré mais, pas par affection, juste par peur des retombés politique avec l'Empire qui pèterait un cable si on tuait leur princesse puis, elle apparaissait en vraie méchante dans AM et là, je l'aimais bien comme méchante, elle assurait vraiment dans ce rôle, surtout à la fin et vu l'état de Dimitri, je comprenais pourquoi ça lui faisait aussi mal de la combattre. Puis SS où je voulais franchement l'exploser car juste, cette gar... cette gamine est insupportable et que je savais où elle voulait en venir alors, par pitié donnez moi mon épée que je l'occise moi-même ! Mais en même temps, vu le personnage de Byleth et vu que c'était quand même la première élève qu'elle a rencontré, je pouvais comprendre qu'elle n'ait pas envie de la combattre, ça se tient encore.
Puis y a eu CF et son avalanche d'idiotie qui ont commencé le travail à me la faire la déteste. Honnêtement, j'ai jamais fini, le jeu m'a complètement largué quand on en est arrivé à la scène du portrait de mémoire... je viens de tuer Claude, j'ai envahi un pays neutre OKLM, tuer tout le monde, et je m'apprête à envahir un pays qui a bien morflé par la faute de l'Empire et des agarthans, qui n'a aussi rien demandé à personne à part vivre sa vie tranquille, pour buter son roi et les principales têtes pensantes tout en m'appuyant sur des traitres, et finir un génocide d'un espèce entière qui n'a rien demandé à personne par pur racisme, je veux voir des plans de méchants, Hubert qui exulte de joie en poussant un rire maléfique, jouer des unités bêtes démoniaques, El qui marche sur ses ennemis et s'en fait un trône, qui brandit la tête de Claude et d'Hilda devant Holst pour le faire se soumettre, commence à avoir des plans de conquête du monde, de la moralité noire et des actions douteuses mais jouissives... bref, je veux jouer un camp des méchants qui s'assume ! Je ne veux pas entendre des c*nneries à base de "ô ma sensei, j'ai si peur des rats, ils sont si méchants et me ramènent à des souvenirs... oh... ! si douloureux, prenez moi dans vos bras forts et rassurant pour me protéger !" et de "ne... ne regardez pas mon dessin de vous fait dans votre dos sans votre consentement - mais qui est un acte trop mignon et pas absolument creepy et malsain -il est pas joli, va-t-en baka !" digne d'un shojo mal écrit ! On est pas dans Luna Kiss ou School Days ma parole ! (même si Byleth qui devient psycho en tuant Rhéa et se met à tuer tout le monde avant de s'exiler en bateau en gardant la tête d'El en souvenir aurait été une fin bien plus satisfaisante à ce truc)
Et enfin, ses fans ont fini le boulot de me la faire la détester tellement ils sont forceurs et horribles avec tout le monde. Si leur objectif secret était de la faire détester au monde entier par tous les moyens possibles et inimaginable avec la pire des mauvaises fois, des mensonges sur le jeu, déformant les propos des développeurs en les prenant soit comme parole d'Evangile soit comme parole d'hérétique au nom de la mort de l'auteur, puis en harcelant toutes les personnes qui ne sont pas d'accord avec eux, et bien ça a bien marché, je peux plus l'encadrer.
🧂Sinon, en moins classique, je dirais peut-être Lambert à cause du décalage entre ma vision du personnage que je tire du texte (ce mec est quand même parvenu à être un échec comme roi, comme père et comme mari, sacré exploit, le dernier en liste était Ionius) et la manière dont le fandom le voie. Tu l'as mieux expliqué que moi mais, je ne voie pas comment on peut le considérer comme un bon père (a emmené son fils dans un voyage ultra dangereux en étant en mode "yolo si je meurs, il s'en sortira ! Des bisous fiston <3"), un bon ami (se décharge de sa responsabilité de père sur Rodrigue sans écouter ses mises en garde, le tout en mettant en danger le fils de Rodrigue de force vu qu'il ne peut pas refuser de servir le roi), un bon mari (n'écoute pas Patricia et n'arrive pas à lui parler seul à seul vu que Cornélia s'impose et là, quand c'est pas Rodrigue, il n'arrive pas à lui imposer son avis et à la chasser) et un mauvais roi (EVIDEMMENT QUE C'ETAIT DANGEREUX ET UNE TRES MAUVAISE IDEE LE VOYAGE A DUSCUR QUI ALLAIT METTRE TOUT SON ROYAUME DANS LA MOUISE EN CAS DE PROBLEME ET ECOUTE CORNELIA !!!) à part son design qui fait très papa ours et husbando nounours... c'est pas de la détestation, juste, comme le dimilix, je comprends pas.
🧂 Et un petit dernier pour la route spéciale Nopes, le margrave Gautier. Non de dieu, que je déteste Matthias... honnêtement, je suis d'accord avec la caractérisation du margrave Gautier par le fandom avant la poubelle qu'était Nopes : un homme froid et sévère, un monstre maltraitant sans vergogne Sylvain et ne le voyant que comme un héritier et un outil qui doit lui obéir. Là, on est d'accord mais, quand Nopes est arrivé, certains se sont mis à plaindre ce mec parce que "son histoire est kro triste, pauvre biquet ! TT_TT " alors que juste, cette histoire de première femme ne l'a fait que rendre plus horrible, en particulier avec Sylvain, et voir des gens se mettre à en faire un pauvre biquet méritant d'être réparé et acceptant de marcher allègrement sur le rêve de paix de Sylvain avec Rodrigue qui doit recoller les pots cassés derrière lui aussi le rend particulièrement insupportable (et c'est sans parlé du coup avec Leif où il ne comprend pas pourquoi il n'a pas développé un sérieux syndrome de Stockholm après sa période d'otage et lui en veut pour l'avoir gardé comme otage politique... comme si vivre deux minutes à Gautier ne donnait pas envie de tout cramer par le feu tellement c'est pourri jusqu'à la moelle sous Matthias...).
Franchement, tout ce que mérite Matthias, c'est que Sylvain claque la porte, aide Leif à s'évader, puis ce dernier soit lui renvoie l'ascenseur en l'emmenant avec lui en Sreng pour l'éloigner de son père, soit en l'aidant à l'éliminer discrètement quand il est adulte, ce qui permettrait de dégager Miklan au passage vu qu'il n'aurait pu de soutien pour rester général et le mettre au bout d'une corde, tout en donnant l'occasion à Sylvain de lui dire ses quatre vérités. C'est tout ce qu'il mérite, pas qu'on le plaigne à cause de sa petite histoire tragique à la mord-moi-le-nœud alors qu'il a ruiné la vie de son fils cadet et sa santé mentale.
16 - tu ne peux pas comprendre pourquoi tant de gens aiment cette chose (caractérisation, trope, headcanon, etc)
Je vais sans doute pas mal me répéter avec ce que tu as dis mais, pour commencer, 🫠 je n'aime pas trop le concept de 3e roue où c'est juste une silhouette dans le fond sans personnalité. Juste, laissez les personnages homosexuels vivre tranquille sans avoir d'époux / épouse forcé ou alors, explorer le fait que c'est une situation gênant et désagréable pour deux parties si le contexte de l'histoire "oblige" plus ou moins le mariage arrangé et au moins, débrouillez-vous pour ne pas les obliger à avoir de relations intimes ensemble. Pour la nuit de noces, une aiguille, un doigt et c'est bon pour la virginité, et il reste l'adoption pour les gosses. Même si là, je ne me sens pas particulièrement légitime pour en parler car, on pourrait me reprocher de faire la même chose avec Pertinax et Simplex, même si j'essaye de mettre un contexte béton pour justifier qu'ils aient des enfants et le veulent d'eux-mêmes mais, je comprendrais qu'on me trouve hypocrite pour le coup.
🫠 De manière plus spécifique au fandom FE3H, je n'aime pas non plus la manière dont les parents sont vues dans ce fandom et comment ils sont catégorisés en "bon parent" / "pire parent, va brûler en enfer". Il y en a avec lesquels je suis d'accord, comme pour le père de Caspar, le père de Bernie et le margrave Gautier pré-Nopes, là on est d'accord, c'est les pires parents du monde. Pour Gustave, je crois que la majorité des gens en ont soit rien à cirer de son perso, soit le considère comme un mauvais père pour Annette alors, on est d'accord (et j'ajoute Dimitri aussi car ce n'est pas quelqu'un de sain pour lui). Alois est l'oncle sympa, Hanneman est papi, on est ok.
Par contre, j'ai beaucoup plus de mal avec la manière dont Rodrigue et Seteth sont catégorisés comme de mauvais parents, là où Jeralt est souvent vu comme un excellent père, idem pour Lambert, Ionius (même si là, ça doit venir des stans de sa fille, nulle ne doit offenser le nom du Saint Père, amen, tout ça, tout ça), ou des parents de Claude. Je comprends vraiment pas comment on peut les aimer ces quatre-là...
Personnellement, je trouve que Rodrigue et Seteth sont d'aussi bons pères qu'ils le peuvent : ils sont à l'écoute de leur enfant, tente de le protéger, veulent le meilleur pour lui, voudrait renouer le contact avec lui respecte son espace... mais c'est difficile car, la situation familiale est compliqué, que ce soit Rodrigue et Félix qui ne traitent pas leur deuil de la même manière, ou Seteth qui a constamment peur qu'on repère sa fille et qu'elle finisse en arme brillante alors, ça complique les choses et la plupart du temps, leurs actions plus critiquables envers leurs enfants viennent de ces situations compliqué. C'est surement le cadrage (et qu'on a surtout le point de vue d'un Félix en mode ado edgy pour Rodrigue) où leurs actions sont montrés comme étant souvent soit mauvaise / mal venues / maladroites mais, je me demande si ce n'est pas aussi car, ils posent des limites à leurs enfants, contrairement aux 4 autres précédemment cités et qui apparaissent sous un éclairage bien plus positif.
Seteth et Rodrigue sont des parents qui encadrent leurs enfants, ils leur font la leçon quand ils se conduisent mal, mettent en place des règles... et c'est tout à fait normal. Un enfant a besoin d'un cadre stable et de règles bien posées pour pouvoir grandir et apprendre à vivre avec les autres sans problème. Pour prendre un exemple qui est arrivé dans mon entourage, un gamin avait l'habitude de faire de gros bisous à sa petite soeur encore bébé. Ok, mignon mais, il y allait tellement fort que ça gênait la petite et la faisait pleurer, et il le faisait n'importe quand, même quand sa soeur dormait mais, il continuait quand même car il ne voyait pas le problème de faire un bisou alors, les parents ont dû lui expliquer d'y aller plus doucement et le limiter dans son enthousiasme pour ne pas gêner sa soeur. D'accord, ils lui posent des limites mais, c'est nécessaire pour qu'il apprenne à bien traiter les autres sans les gêner / blesser, même si ça part d'une bonne attention. C'était une règle nécessaire, et c'est pareil avec Rodrigue et Seteth, qui font d'autres règles car, ils sont dans un autre contexte avec d'autres priorités / enjeux.
C'est peut-être parce que les gens sont jeunes et que c'est un fantasme assez répandu de se retrouver dans une famille très libre avec zéro règle et limite mais, Jeralt, Lambert, Ionius et les parents de Claude ne sont pas de bons parents et laissent leur enfant livrer à eux-mêmes, il ne s'en occupe pas correctement.
Jéralt ? Embarque bébé Byleth dans sa vie vagabonde de mercenaire où les deux pourraient se faire tuer n'importe quand car, iel ressemble à sa mère et n'est pas "normal". Il boit beaucoup au point d'être alcoolique (et il ne peut pas toujours payer son vin vu qu'ils laissent de grosses ardoises partout) pour noyer son chagrin d'avoir perdu sa femme, ce qui veut dire que Byleth est seul.e à la maison à devoir s'occuper d'iel même tout seul.e alors que c'est un enfant, voir même Jéralt l'abandonne on ne sait où pour aller entrainer Léonie on ne sait combien de temps. De plus, il ne lui apprend rien sur rien sur le monde qui l'entoure et la laisse dans l'ignorance complète, ce qui l'empêche de s'émanciper de son père et le/la laisse dépendant.e de lui, alors qu'un parent devrait aider son enfant à grandir et à évoluer dans le monde qui l'entoure, pas l'en couper. Et là aussi, on retombe sur le fait qu'ils sont mercenaires alors, Byleth serait dans une sacrée panade le jour au Jéralt meurt si iel ne connait rien sur le monde.
Lambert ? J'en ai laaaarrrgement assez parlé ici donc, vous savez de quoi je parle, voir plus haut sinon.
Ionius ? A laissé ses enfants être expérimentés par des savants fous, ce qui les a tués, et admet lui-même qu'il n'a pas bougé le moindre petit doigt (je sais pas, quand ça arrive à Flayn Seteth devient fou d'inquiétude et est sur le point de retourner chaque pierre du monastère pour la retrouver et aurait surement pu reprendre sa forme de dragon de rage en la voyant dans les mains des agarthans même s'il est bloqué en forme humaine, et ça arrive à Rodrigue avec ses fils, je le voie plus aller les délivrer quitte à arracher la gorge des agarthans avec ses propres dents et faire un 1 Vs 10 000 contre Shambhala puis Thalès tout en gagnant aisément parce que l'énergie et la rage d'un père loup inquiet pour sa portée est infinie et que personne ne touche à ses louveteaux)
Les parents de Claude ? Ils torturent leur fils en l'accrochant à un cheval au galop pour le punir ! C'est une maudite méthode d'exécution ! Demander à Batiste de Gaza sous Alexandre le Grand, il a été trainé vivant derrière un char par les talons jusqu'à ce que mort s'en suive ! Et ils laissent aussi les autres enfants du harem / ennemis politique / premier raciste qu'il croisait tenter de le tuer parce qu'il est métis fodlan sans jamais tenter de le protéger (encore une fois, Fregn serait capable de griller sa couverture quitte à envoyer les traités de paix avec Fodlan à la mer pour protéger Sylvain de son père, quand elle sait que Sreng peut gagner et que son fils y sera en sécurité, et elle fait aussi chanter Isidore pour pouvoir l'élever vu qu'elle est au courant pour son petit secret gros comme son père qui s'appelle Halfdan)
Donc... ça, c'est de bons parents ? Vraiment ? Là où Rodrigue et Seteth sont l'exemple même des parents indignes et maltraitant qui peuvent brûler en enfer ? Car il est trop protecteur avec sa fille qui a dormi MILLE ans après s'être épuisée à soigner des humains qui venaient de les génocider, ou parce qu'il tente de gérer son deuil différemment que son fils ? Non, c'est le pire père du monde fanatique à la famille royale en étant un bon toutou (ironique dans les fics où Félix devient fanatique... kof ! kof ! Fou amoureux et fidèle à Dimitri aussi et donc lui passe tout, dont son comportement ultra possessif qui l'étouffe) qui n'a d'yeux que pour le grand frère car il est bien mort et est fier qu'il soit mort, tout en remplaçant son vrai fils de sang par son autre gamin en oubliant complètement Félix pour s'occuper uniquement de Dimitri et en lui donnant toute son affection ? Ne vous en faites pas, l'amour, c'est pas comme le pétrole, c'est potentiellement infini et Rodrigue a bien assez d'amour pour deux enfants, dont un qui ne doit surtout pas laisser entre les griffes de son oncle et qui a besoin de gros soins médicaux et affectif vu ce qu'il s'est pris dans la figure.
Vraiment, je ne comprends pas cette répartition des rôles entre bons parents et mauvais parents, à part en se disant que les gens prennent les dires des personnages trop au pied de la lettre et qu'ils font de la projection / sont encore dans une période où ils doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.
17 - il devrait y avoir plus de ce type de fiction/art
Il devrait avoir plus de fanfiction qui se concentre sur d'autres choses que des relations romantiques ! C'est très mignon pour les couples qui sont bien mais, quand il n'y a que de la romance pure, ça tourne vite en rond ou ça se répète (raison pour lesquels j'aime bien les UA sirènes / autre monde / vampire / loup-garou / fantastique / sorcier et sorcières... ça change le cadre, les règles tout en donnant de nouvelles dynamiques). Alors, j'aimerais bien qu'on explore plus des relations romantiques et / ou familiales, même compliqués et en prenant en compte les deux points de vue à part égale (quand les deux points de vues se valent bien entendu) et qu'on ne condamne pas immédiatement le parent parce qu'il doit être parfait en toutes circonstances.
J'aimerais bien aussi avoir plus d'histoires où les relations prennent en compte les rapports de force entre les familles et qui montre les jeux de pouvoir complexes, même côtés gentils. Laissez vos personnages ne pas être d'accords, débattre, s'opposer, quitte à y aller franchement et se menacer les uns les autres, même du côté des gentils, c'est même encore plus importants de montrer qu'il n'y a pas de pensée unique côté gentil et qu'on peut remettre les autres en questions avec de l'esprit critique et surtout, avoir la liberté de le faire.
Et sinon, plus d'histoire avec des OC ! C'est bien les OC et là aussi, on a d'autres dynamiques qui peuvent se faire différentes de celles possibles avec les personnages du canon, tout en mettant à la sauce de l'écrivain qui sera forcément influencé par son propre vécu et même ses origines / cultures. Un français ne verra pas les rapports de force entre nobles de la même manière qu'un américain et encore moins comme un japonais pour donner un exemple.
Bon bah c'était long mais, merci pour les questions !
#jeu de questions#écriture de curieuse#une curieuse qui s'énerve un peu et dit des trucs qui lui passe par la tête#dame ladyniniane#merci beaucoup pour les questions !#DU SANG !!!#depuis le temps que je voulais faire un point sur les ships que je n'aiment pas ! J'attendais juste l'occasion de le faire !#A chaque fois j'avais peur de pourrir mon tableau mais ça fait du bien de vider son sac !#et désolé pour les pavés- j'avais beaucoup de choses à dire sur ses questions - -'
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Ça fait des mois que j'ai une idée de fic avec Galessin et Angharad (en mode Brotp je précise) basée sur cet épisode
J'ai pas le temps de l'écrire mais je veux me la sortir de la tête, alors voilà les grandes lignes :
"Faut qu'on se tire" : les premiers mots de la fic prononcés par Angharad à l'adresse de Galessin
Angharad revient d'un énième "rencard" avec Perceval et elle vient de comprendre (enfin) que Perceval ne passera jamais le cap de la demander en mariage
Elle a bien réfléchi : pour s'extirper de sa condition de bonniche et être indépendante, sa meilleure option est de faire un peu comme Lancelot et de se tirer. Elle est debrouillarde, elle s'en sortira
Galessin se demande en quoi ça le concerne
Angharad lui propose de se tirer avec elle. Lui aussi, c'est sa meilleure option pour ne plus être à la botte de personne
Là y'aurait un dialogue avec Galessin qui nie par peur de sortir de sa routine et Angharad qui essaie de le secouer un peu (y'aurait sûrement quelques parallèle avec Loth, sauf que là Angharad essaierait de le faire sortir de la noix de Saint Jacques au lieu de l'enfoncer)
Galessin met quelque part l'argument qu'il tient à son confort et que la vie de bohème à faire du camping c'est pas son truc (il a déjà essayé de jouer à être pauvre, il a pas aimé)
Angharad lui fait remarquer que le camp de Lancelot c'est pas franchement le luxe, et que quitte à dormir par terre dans la boue, autant le faire en étant libre
Galessin flippe un peu de la réaction de Loth s'il se barre. "S'il me retrouve je suis mort"
Angharad lui répond qu'elle sent que les choses vont bouger à Kaamelott, avec le départ de Lancelot et de la reine, et que Loth sera sûrement plus occupé à foutre la merde dans la politique pour s'assurer d'avoir un belle place dans le futur du royaume que de courir après lui.
Pas mal de débat un peu philosophique et psychologique sur les craintes et les désirs des deux.
Galessin finit par accepter
Angharad dit qu'elle voudrait emmener Guenièvre aussi pour la sauver de sa situation. Elle ne peut pas la laisser seule avec ce taré de Lancelot.
Les 2 prévoient un plan de fuite pendant que Lancelot est hors du camp
Guenièvre, enchaînée au lit, rechigne au début par principe mais Angharad la persuade vite.
Le trio fuit dans la nature. Là y'aurait des échanges marrants entre les 3, sur comment s'organiser, qui monte le camp, qui part chasser etc.
Angharad est une badass de la nature, dans la même categorie que Léodagan
Du coup Galessin prend plutot les tours de gardes pour protéger Guenièvre
Y'aurait sûrement une discussion un peu gênante mais interessante entre les 2
Le royaume s'effondre progressivement autour d'eux. Ils entendent dire qu'Arthur a replanté l'épée et ne gouverne plus.
Galessin et Angharad sont bien contents d'avoir quitté tout ça, mais Guenièvre s'inquiète pour Arthur. Elle veut retourner auprès de lui à Kaamelott
Grosse dispute "c'est trop dangereux, pourquoi vouloir retourner là bas avec lui, etc." (Galessin est toujours terrorisé par l'idée que Loth puisse le retrouver)
Galessin et Angharad (Angharad d'abord, Galessin après) réalisent qu'ils sont en train de faire à Guenièvre ce que tout le monde a toujours fait : lui imposer sa conduite. Ne voulant pas reproduire cette erreur, ils se résignent.
Ils font discrètement parvenir un mot à Arthur, lui disant de se rendre à un certain endroit pour revoir Guenièvre.
Guenièvre et Arthur se retrouvent, Galessin et Angharad en retrait.
Arthur toise Galessin et Angharad. Silence pesant.
Anghard brise la glace avec un simple "On a bien pris soin d'elle"
Arthur voit que Guenièvre est en bonne santé, ça lui suffit.
Il les salut d'un dernier signe de tête.
Galessin et Angharad retournent à leur camp, et construisent leur nouvelle vie du mieux possible sans plus jamais se mêler des affaires du royaume.
Le titre de la fic ça serait un truc genre "La reine, la bonniche et la noix de Saint Jacques"
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saga: Soumission & Domination 336
Enguerrand et Max -1
Je suis devenu le confident d'Enguerrand. Depuis que je l'ai sorti des griffes de XX de XXX et que je l'ai dépucelé pour sa 2ème fois le 1er janvier, il me garde une confiance aveugle. Le fait qu'il ait trouvé chez moi son copain Max ajoute à ces sentiments.
La rentrée de janvier s'est bien passée et il me dit que ses professeurs l'ont complimenté pour sa tenue en classe. Il me dit que le soir, il rattrape son retard avec Max. Ses premières notes montrent la transformation du gamin. Là où péniblement il atteignait les 6 à 8, il est maintenant autour de 16. Comme ses deux frères, Enguerrand est loin d'être bête et il pourra surement choisir ce qu'il veut faire plus tard sans difficulté. C'est en français que les remarques sont les plus élogieuses. Il faut dire que sa " mésaventure " l'avait rendu très " noir " et que c'est dans cette matière que cela se voyait le plus. De même ses tenues négligées qui lui valait des avertissements ont laissé place à ce que la direction demande. Là où les surveillants devaient se battre avec son agressivité, ils trouvent un gamin ouvert, souriant et de bonne volonté.
Avec les parents de Max, il est le gamin idéal. Serviable, poli, prévenant, il confirme la stabilisation de leur propre rejeton. Max me dit qu'après avoir voulu les mettre dans deux chambres séparées, ils avaient vite capitulé à force de voir l'un sortir de la chambre de l'autre chaque matin. La grande chambre de Max avait été reconfigurée. Un 2ème grand lit est mis à l'instigation de madame qui n'a pas encore ouvert les yeux sur la sexualité de son rejeton, un 2ème bureau avait été installé à côté de celui de Max et un 2ème PC mis dessus. Enguerrand me dit que son Max est trop bon aussi. Et là, ce n'est pas de ses connaissances en math ou en physique qu'il parle, mais de leurs performances aux lits. Il me confie qu'avec Max, il apprend à être actif et à y prendre du plaisir. Surtout il est content de donner ainsi du plaisir à Max. De son côté, Max me dit exactement la même chose. Des fois il est encore surpris par certains gestes de son ami mais se souvient aussitôt de l'expérience traumatisante qu'il a vécue. Il me dit qu'il attend un peu avant de lui proposer des plans à trois avec Daniel avec qui il a eu une relation un peu plus poussée alors que j'étais " cassé ". De la campagne nous arrivent à Ludovic et moi, d'aussi bonnes nouvelles. La remontée des notes d'Enguerrand y est pour beaucoup et surtout la bonne tenue de Max, sa gentillesse et sa prévenance envers leur fils a conquis leurs coeurs. Ils ont encore parfois des scrupules de n'avoir rien vu.
Plusieurs fois, mon " beau-père " m'en parle. Dans l'intimité de son bureau, il cherche ce qu'il aurait dû faire. Il me prend à témoin qu'à l'époque personne ne pouvait parler avec son fils. Je lui avoue que je n'ai appris son histoire qu'en faisant faire une enquête sur lui. Heureusement il ne relève pas ! J'ai eu chaud, je me vois mal expliquer le comment du pourquoi. Il me demande si j'ai des nouvelles de XX de XXX. Je lui dis juste que je garde un oeil sur lui et qu'il a l'air de s'amender. Il est avec des cousins à lui dans un hôpital Ebola et d'après mes renseignements, il s'y donne vraiment. Mon " beau-père " me dit qu'il aura quand même du mal à lui pardonner ce qu'il a fait à son fils. Je le comprends, j'ai dû moi-même me retenir de ne pas aller plus loin. Et je ne suis pas son père ! En attendant les deux " petits " sont attendrissants et ils en profitent pour intégrer les séances de sport du blockhaus. Max argumente qu'en tant qu'homos, ils ont plus de risque de se faire casser la gueule et qu'ils doivent donc suivre nos cours de lutte et de self défense. Quand j'avance que la boxe française d'Enguerrand devrait les mettre à l'abri des importuns, il me rétorque que ça n'a rien à voir avec la capacité de se défendre des casseurs de PD. Comme les résultats scolaires sont là, j'accepte !! Ils s'intègrent sans problème. Je décèle même une prise en charge par mes Escorts à l'instar de véritable " petits frères ". Même João qui n'a que deux ans de plus à un comportement protecteur avec eux deux. C'est lui qui prend le plus de temps à leur inculquer les basiques de l'auto-défense. Jona et François suivent leurs progrès et leur enseignent les gestes nécessaires pour arrêter un " boeuf " de plus de 100Kg.
Après quelques semaines, je n'aimerais pas être celui qui viendra les embêter. Je surprends aussi nos deux jeunes à avoir des conversations sur le taf des uns et des autres. Sur leurs études aussi, eux même ne savent pas encore vers quels métiers se destiner. Alors que nous sommes tous en jock, ils sont les seuls que j'oblige à porter un short complet. Après négociation, ils ont accepté seulement s'ils étaient près du corps. Comme ceux que je leur avais fournis ne l'était pas assez, ils sont arrivé un soir avec sur les fesses des boxers de chez Olaf Benz. Plus moulant ce n'est pas possible et sans slip dessous, ils sont plus impudiques que les jocks avec leurs grosses mailles élastiques. Content de leur petit effet, ils ont passé les 3 heures de sport à se faire mater par tous ceux présents, des nageurs aux lutteurs, sans compter tous ceux qui poussent de la fonte, pour les " assurer " bien sûr ! Ils font bander plus d'un escort et moi-même j'ai la barre quand je vois leurs petits culs moulés par le tissu élastique jusqu'à rentrer entre leurs fesses. Quand je leur dis de se calmer s'ils ne voulaient pas se faire violer par tous les mecs présents, je ne reçois pour toute réponse que c'est peut-être le but cherché. Pour garder un semblant de maîtrise, je hurle tout haut que celui qui voudra enculer Max ou Enguerrand devra me le demander avant. Les deux jeunes me traitent d'esclavagiste, ils me disent qu'ils ont déjà un père chacun et que ce n'est pas moi. Je m'en fous, ils sont sous ma responsabilité ! Morgan rigole et me dit que j'étais moins regardant le WE du 1er janvier. Il croit même qu'en 3 jours ils ont du se prendre tout ce qui bandait au blockhaus.
Quand je me retourne vers eux deux, ils regardent le plafond avec un faux air innocent. Je me rapproche, les prends chacun par une oreille et, tirant pour les obliger à se mettre sur la pointe des pieds, leur demande si c'était vrai. Max me dit que c'était pas humain d'avoir toutes ces belles bites devant les yeux et de ne pas y toucher. Enguerrand en même temps dit qu'après m'avoir quitté (c'est vrai que j'ai été le premier à le sodomiser), il avait testé ses capacités à plaire et avait aussi vérifié que c'était bien les mecs qui l'attiraient. Bravo la mauvaise foi !! La semaine suivante, le père de Max m'appelle des urgences de l'hôpital. Ses collègues l'avaient prévenu qu'ils avaient son fils et un de ses copains ainsi que 4 mecs un peu plus amochés encadrés par un commissariat entier. Il préférait m'appeler plutôt que d'inquiéter le père d'Enguerrand. Avant de les rejoindre, je contacte DGSE pour savoir s'il avait ses entrées dans la police locale. Il me dit qu'il me rappelle. Ludovic m'accompagne évidemment. Aux urgences, il se présente aux flics et ça nous permet de voir son frère. En quelques mots, Enguerrand nous dit que les 4 mecs d'à côté les ont cherché et qu'ils s'étaient fait traiter de sales PD et autres joyeusetés avant qu'ils essayent de leur casser la gueule. Ils avaient des témoins c'est pour ça qu'eux n'étaient pas menottés.
Ludovic pendant ce temps-là l'a inspecté sous toutes les coutures. A part une petite ecchymose à la pommette gauche, il n'a rien. Avec un doigt je tourne son visage vers moi et lui demande si c'est pour récolter ça qu'on leur a enseigné à se défendre. Je lui demande comment s'en est sorti Max. Réponse : comme moi, mais dans les côtes, un gros bleu pas de fêlure. Il rit et, avec une grimace, me dit qu'ils avaient attendu qu'ils frappent les premiers pour pouvoir leur casser la gueule en légitime défense. Le flic qui était resté avec nous lui dit qu'ils avaient été malins sur le coup. Ils n'avaient d'ailleurs rien contre eux deux puisque leurs dépositions correspondaient à celles des autres clients du bar. La seule chose qu'il leur conseillerait serait d'être un peu moins " enthousiaste " à se défendre. Sans témoins, ils auraient risqué d'être poursuivis pour coups et blessures. Ludovic reste avec son frère et je discute avec le flic. C'est un lieutenant, je lui demande comment s'en sortent leurs agresseurs. Un peu moins bien est sa réponse. Il énumère : quelques côtes cassées, deux luxations d'épaules plus une jambe cassé et un genou déboité. Je siffle de surprise. Il ajoute qu'ils sont peut-être jeunes mais que lui-même ne s'y frotterait pas pour de mauvaises raisons. Je le regarde. Beau mec dans les 30 ans, carré, mains vierges de tous anneaux, jeans remplis de ce qu'il faut, il parait tout à fait baisable ! Je réponds que dans un combat régulier, il aurait effectivement du mal à les mettre au sol, l'un ou l'autre. Il me confirme alors que je lui demande s'il leur faut un avocat qu'ils ne seront pas inquiété, le caractère homophobe de l'agression étant constitué et témoigné. Il me dit qu'il s'assurera personnellement que ce soit porté à la connaissance du juge. Un " il faut bien protéger notre nouvelle génération " me fait penser qu'il doit être de notre bord.
Appel de DGSE. Je m'écarte et lui dis avec qui je suis. Il prend quelques secondes puis me confirme que le mec en question est bien de notre bord. Ludovic nous rejoint avec Enguerrand et Max sort d'un autre box avec son père. Les deux jeunes se roulent une pelle, soulagés de ne pas être inquiétés avant de s'apercevoir qu'on n'est pas qu'entre nous. Ils se décollent et remercient le lieutenant. Il leur répond qu'il ne fait que son travail et avec le même geste que moi, son index droit sous le menton d'Enguerrand, il fait tourner son visage pour examiner le bleu qui commence à virer de couleur. Il se montre rassurant et dit que ce ne sera qu'une question de jours avant que ça disparaisse. Il ajoute, " fait attention à ton visage, ce serait dommage de l'abimer par une cicatrice ". Son doigt remonte le long de la mâchoire, un peu intime comme geste ! Enguerrand s'en trouble d'ailleurs.
Max qui se tient les côtes lui dit qu'il fallait bien qu'ils se fassent taper en premier non ? Le lieutenant acquiesce. Il ajoute qu'il faut dévier le premier coup vers une zone moins risquée. Là, si le mec avait été plus fort, Ludovic aurait pu se faire casser l'os de la pommette. Je prends note, nous apprenons à nous battre avec efficacité, ce qui vient d'être démontré mais personne n'avait encore pensé à cette facette de l'engagement. Alors que le père de Max embarque les deux petits pour les ramener chez lui, je prends la carte de visite du policier. Pendant le retour je dis à Ludovic que DGSE m'avait dit que ce dernier était gay comme nous. Je lui demandais ce qu'il pensait de l'idée qui m'était venue : comment faire en sorte que notre défense ne passe pas pour l'agression en cas de rencontre avec des homophobes, et de voir cette problématique avec le lieutenant. Il me dit que cela l'aurait étonné que je ne fasse pas une fixation sur ce représentant de l'ordre. Il me dit que je suis qu'un obsédé qui saute sur le moindre mec baisable qui passe à ma portée. Il ajoute que ce sera risqué avec ma société d'escorts. Je lui dis qu'il ne viendra que pour Max et Enguerrand. Ce sera à eux de transmettre ce qu'ils auront appris.
Il n'est pas convaincu et me dit que PH sera de son avis. C'est effectivement le cas mais PH étudie la façon de présenter les choses pour que le risque de problème avec le lieutenant soit minime. Ludovic ne comprends pas jusqu'à ce que PH lui explique qu'avec moi, il est plus simple de m'aider que de me contredire. J'appelle donc le lieutenant lors d'une pause entre deux cours. Je lui dis que je souhaiterais qu'il enseigne à ces deux têtes brulées où prendre le premier coup pour s'est tirer sans mal, et lui propose deux soirs à son choix. Il préfère le vendredi soir puisqu'il n'est pas de permanence le samedi suivant. Du coup je lui dis qu'il restera diner. Comme c'est un ordre plus qu'une invitation, il accepte. Les deux " gamins " seront présents.
Jardinier
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Deux garçons mignons, des perruches...) >з< 😘❤️💙
Salut! Alors, je vous dévoile l'idée de l'art qui se trouve au dessus du poteau... 😌
Hier encore, en plus des poissons que je garde, j'ai une autre amie : une jolie perruche nommée Malvina. S'il vous plaît, aimez et respectez. Et alors, en chemin, aujourd'hui une idée m'est venue à l'esprit : pourquoi ne dessinerais-je pas Spirou et Fantasio sous forme de perruches ?! Finalement, ce miracle s'est produit. Bon, en fait, c'est tout ce que j'ai, j'espère que je n'ai pas dessiné tout ça pour un espace vide. Au revoir tout le monde) >з' 😋❤️
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