#vous allez sortir de prison pour bonne conduite
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C'est un garde et un prisonnier qui discutent: Garde: Félicitation, vous allez sortir de prison pour bonne conduite Prisonnier : Ah bon, mais je comprend pas Garde : Pourquoi ça ? Prisonnier : Et bah je suis venu pour excès de vitesse et je sort pour bonne conduite ?
#C'est un garde et un prisonnier qui discutent:#Garde: Félicitation#vous allez sortir de prison pour bonne conduite#Prisonnier : Ah bon#mais je comprend pas#Garde : Pourquoi ça ?
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Après avoir été vendu par ses frères, Joseph fut établi dans la maison de Potiphar, officier de Pharaon. Voyant que Joseph était un jeune homme droit et honnête, Dieu étant avec lui, Potiphar lui confia tout ce qui lui appartenait.
Accusé à tort par la femme de Potiphar, Joseph fut mis en prison, là où étaient enfermés les prisonniers du roi. Là aussi, Dieu le mit en faveur aux yeux du chef de la prison qui lui confia la surveillance de tous les prisonniers. L’échanson et le panetier du roi d’Egypte ayant offensé leur maître s’y trouvaient et, une même nuit, ils eurent chacun un songe. Conduit par Dieu, Joseph leur interpréta :
Dans trois jours, le Pharaon rétablira l’échanson dans ses fonctions comme auparavant. Joseph lui dit : « Mais souviens-toi de moi, quand tu seras heureux … Parle en ma faveur à Pharaon, et fais-moi sortir de cette prison… »
Tandis que, pour le panetier, le songe était l’avertissement de sa mise à mort.
Le troisième jour, Pharaon fit un festin pour fêter son anniversaire et rétablit le chef des échansons, comme prévu par le songe et fit pendre le chef des panetiers.
Mais le chef des échansons ne se souvint pas de Joseph, il l’oublia. (Genèse 40 v.23)
Nous pourrions facilement critiquer ce chef des échansons : quelle ingratitude ! Il oublie celui qui lui a annoncé la bonne nouvelle de sa délivrance. Mais regardons à nous-mêmes : ne nous arrive-t-il pas trop souvent d’oublier Celui qui nous a délivrés de la mort éternelle ? Connaissant nos cœurs oublieux, Jésus a institué un mémorial – la sainte cène – qui nous rappelle son corps dans lequel il a souffert et son sang versé, mais faut-il attendre le dimanche pour nous souvenir de Lui ? Combien de fois l’ai-je « oublié » alors que j’avais l’occasion de parler de Lui lors d’une conversation ? C’est vrai qu’il y a mille choses dans ce monde, légitimes ou non, qui occupent nos cœurs et nos pensées et nous font oublier le Seigneur. Mais si tous les jours de la semaine passent sans que nous prenions le temps de le prier, le remercier, de lire sa Parole… n’est-ce pas l’oublier ?
« Souviens-toi de Jésus Christ ressuscité d’entre les morts » (2 Timothée 2 verset 😎
Un jour, Jésus entrait dans un village quand dix hommes lépreux vinrent à sa rencontre. Se tenant à distance, ils élevèrent la voix disant : « Jésus, Maître, aie pitié de nous ! ». Jésus leur dit : « Allez vous montrer au sacrificateur ». S’en allant, ils furent guéris. L’un d’eux, se voyant guéri, revint sur ses pas en glorifiant Dieu à haute voix et, se jetant sur sa face aux pieds de Jésus, il lui rendit grâce. C’était un Samaritain. Jésus lui dit : « Les dix n’ont-ils pas été guéris ? Et les neuf autres, où sont-ils ? Ne s’est-il trouvé que cet étranger pour donner gloire à Dieu ? ». Et il lui dit : « Lève-toi et va ! Ta foi t’a sauvé. » (Luc 17 v.12 à 19)
Un seul, sur les dix, s’est souvenu de son Sauveur. Les 10 ont été guéris, c’est à lui seul que Jésus dit : « ta foi t’a sauvé ». Les neuf autres ont leurs corps guéris mais leurs âmes sont-elles sauvées ? Ils sont allés se présenter au sacrificateur, pratiquant ainsi le rite religieux de la loi mosaïque comme beaucoup aujourd’hui se croient chrétiens en s’attachant à des ordonnances religieuses, oubliant l’œuvre de Christ.
Souviens-toi, cher lecteur, chère lectrice, qu’il y a environ 2000 ans, Dieu s’est fait homme pour venir ici-bas te chercher et te sauver.
Souviens-toi qu’il s’est livré lui-même au supplice de la croix, par amour pour toi.
Souviens-toi des souffrances qu’il a dû endurer pour expier tes péchés.
Souviens-toi qu’il a donné sa vie, il est mort pour toi.
Souviens-toi de Jésus Christ ressuscité d’entre les morts » (2 Timothée 2 verset 8 )
Souviens-toi qu’il vient bientôt pour prendre tous ses rachetés dans son ciel. Il sera alors trop tard pour ceux qui n’auront pas cru.
Souviens-toi … crois et adore.
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Actes 16
1 Il se rendit ensuite à Derbe et à Lystre. Et voici, il y avait là un disciple nommé Timothée, fils d'une femme juive fidèle et d'un père grec.
2 Les frères de Lystre et d'Icone rendaient de lui un bon témoignage.
3 Paul voulut l'emmener avec lui; et, l'ayant pris, il le circoncit, à cause des Juifs qui étaient dans ces lieux-là, car tous savaient que son père était grec.
4 En passant par les villes, ils recommandaient aux frères d'observer les décisions des apôtres et des anciens de Jérusalem.
5 Les Églises se fortifiaient dans la foi, et augmentaient en nombre de jour en jour.
6 Ayant été empêchés par le Saint Esprit d'annoncer la parole dans l'Asie, ils traversèrent la Phrygie et le pays de Galatie.
7 Arrivés près de la Mysie, ils se disposaient à entrer en Bithynie; mais l'Esprit de Jésus ne le leur permit pas.
8 Ils franchirent alors la Mysie, et descendirent à Troas.
9 Pendant la nuit, Paul eut une vision: un Macédonien lui apparut, et lui fit cette prière: Passe en Macédoine, secours-nous!
10 Après cette vision de Paul, nous cherchâmes aussitôt à nous rendre en Macédoine, concluant que le Seigneur nous appelait à y annoncer la bonne nouvelle.
11 Étant partis de Troas, nous fîmes voile directement vers la Samothrace, et le lendemain nous débarquâmes à Néapolis.
12 De là nous allâmes à Philippes, qui est la première ville d'un district de Macédoine, et une colonie. Nous passâmes quelques jours dans cette ville.
13 Le jour du sabbat, nous nous rendîmes, hors de la porte, vers une rivière, où nous pensions que se trouvait un lieu de prière. Nous nous assîmes, et nous parlâmes aux femmes qui étaient réunies.
14 L'une d'elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le coeur, pour qu'elle fût attentive à ce que disait Paul.
15 Lorsqu'elle eut été baptisée, avec sa famille, elle nous fit cette demande: Si vous me jugez fidèle au Seigneur, entrez dans ma maison, et demeurez-y. Et elle nous pressa par ses instances.
16 Comme nous allions au lieu de prière, une servante qui avait un esprit de Python, et qui, en devinant, procurait un grand profit à ses maîtres, vint au-devant de nous,
17 et se mit à nous suivre, Paul et nous. Elle criait: Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très Haut, et ils vous annoncent la voie du salut.
18 Elle fit cela pendant plusieurs jours. Paul fatigué se retourna, et dit à l'esprit: Je t'ordonne, au nom de Jésus Christ, de sortir d'elle. Et il sortit à l'heure même.
19 Les maîtres de la servante, voyant disparaître l'espoir de leur gain, se saisirent de Paul et de Silas, et les traînèrent sur la place publique devant les magistrats.
20 Ils les présentèrent aux préteurs, en disant: Ces hommes troublent notre ville;
21 ce sont des Juifs, qui annoncent des coutumes qu'il ne nous est permis ni de recevoir ni de suivre, à nous qui sommes Romains.
22 La foule se souleva aussi contre eux, et les préteurs, ayant fait arracher leurs vêtements, ordonnèrent qu'on les battît de verges.
23 Après qu'on les eut chargés de coups, ils les jetèrent en prison, en recommandant au geôlier de les garder sûrement.
24 Le geôlier, ayant reçu cet ordre, les jeta dans la prison intérieure, et leur mit les ceps aux pieds.
25 Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les entendaient.
26 Tout à coup il se fit un grand tremblement de terre, en sorte que les fondements de la prison furent ébranlés; au même instant, toutes les portes s'ouvrirent, et les liens de tous les prisonniers furent rompus.
27 Le geôlier se réveilla, et, lorsqu'il vit les portes de la prison ouvertes, il tira son épée et allait se tuer, pensant que les prisonniers s'étaient enfuis.
28 Mais Paul cria d'une voix forte: Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici.
29 Alors le geôlier, ayant demandé de la lumière, entra précipitamment, et se jeta tout tremblant aux pieds de Paul et de Silas;
30 il les fit sortir, et dit: Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé?
31 Paul et Silas répondirent: Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille.
32 Et ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, ainsi qu'à tous ceux qui étaient dans sa maison.
33 Il les prit avec lui, à cette heure même de la nuit, il lava leurs plaies, et aussitôt il fut baptisé, lui et tous les siens.
34 Les ayant conduits dans son logement, il leur servit à manger, et il se réjouit avec toute sa famille de ce qu'il avait cru en Dieu.
35 Quand il fit jour, les préteurs envoyèrent les licteurs pour dire au geôlier: Relâche ces hommes.
36 Et le geôlier annonça la chose à Paul: Les préteurs ont envoyé dire qu'on vous relâchât; maintenant donc sortez, et allez en paix.
37 Mais Paul dit aux licteurs: Après nous avoir battus de verges publiquement et sans jugement, nous qui sommes Romains, ils nous ont jetés en prison, et maintenant ils nous font sortir secrètement! Il n'en sera pas ainsi. Qu'ils viennent eux-mêmes nous mettre en liberté.
38 Les licteurs rapportèrent ces paroles aux préteurs, qui furent effrayés en apprenant qu'ils étaient Romains.
39 Ils vinrent les apaiser, et ils les mirent en liberté, en les priant de quitter la ville.
40 Quand ils furent sortis de la prison, ils entrèrent chez Lydie, et, après avoir vu et exhorté les frères, ils partirent.
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Chapitre 1
Error grogne, alors qu'il vérifie l'état de Lanna qui a laissé son chandail sur ses genoux pour recevoir les soins. Ink, quant à lui, range les courses que sa sœur a eu la gentillesse de ramener.
Error : ̷c̷'̷e̷s̷t̷ ̷q̷u̷o̷i̷ ̷c̷e̷t̷t̷e̷ ̷i̷d̷é̷e̷ ̷d̷e̷ ̷d̷é̷f̷i̷e̷r̷ ̷l̷e̷ ̷m̷u̷r̷ ̷d̷u̷ ̷s̷o̷n̷ ̷a̷u̷ ̷b̷o̷u̷t̷ ̷d̷'̷u̷n̷ ̷p̷a̷n̷i̷e̷r̷ ̷d̷'̷é̷p̷i̷c̷e̷r̷i̷e̷ ̷c̷o̷n̷t̷r̷e̷ ̷u̷n̷e̷ ̷é̷t̷a̷g̷è̷r̷e̷ ? ̷ ! ̷
Lanna : ce n'est pas mon idée ! C'est Blueberry !
Ink : j'en parlerais avec Swapy... Il fera la leçon à son frère.
Lanna : sûre... Même si ce voleur de pollen transformé risque plus d'être fier de ce que son frère a fait...
Error : ̷t̷a̷ ̷m̷a̷l̷é̷d̷i̷c̷t̷i̷o̷n̷ ̷n̷e̷ ̷t̷o̷u̷c̷h̷e̷ ̷p̷a̷s̷ ̷l̷e̷s̷ ̷g̷e̷n̷s̷ ̷q̷u̷a̷n̷d̷ ̷t̷u̷ ̷e̷s̷ ̷l̷o̷i̷n̷ ̷d̷'̷e̷u̷x̷...̷ ̷
La rouge soupire et regarde son masque au sol. Elle sent la douleur partir complètement, ce qui lui donne le signal pour couvrir les cicatrices dans son dos et son ventre avec son t-shirt habituel.
Ink : hey, Lanna, ça fait combien de temps que tu n'as pas été voir Sans ?
Lanna : lequel ?
Ink : classique...
Lanna : ho... ça fait longtemps... Je devrais retourner le voir un peu.
Error : ̷é̷v̷i̷t̷e̷ ̷d̷e̷ ̷l̷u̷i̷ ̷m̷o̷n̷t̷r̷e̷r̷ ̷t̷e̷s̷ ̷c̷i̷c̷a̷t̷r̷i̷c̷e̷s̷ ̷e̷n̷c̷o̷r̷e̷...̷ ̷ ̷L̷a̷ ̷d̷e̷r̷n̷i̷è̷r̷e̷ ̷f̷o̷i̷s̷,̷ ̷i̷l̷ ̷n̷o̷u̷s̷ ̷a̷ ̷a̷c̷c̷u̷s̷é̷s̷ ̷d̷e̷ ̷n̷e̷ ̷p̷a̷s̷ ̷t̷e̷ ̷p̷r̷o̷t̷é̷g̷e̷r̷.̷ ̷
Lanna : et avec mes bleus il va encore vous disputer...
Elle glousse, sachant très bien que les deux squelettes pestent sur le fait que le corps de Lanna ne peut être totalement soigné, ils ne peuvent qu'amoindrir la douleur. L'humaine sourit à son frère et celui qui fait battre l'âme de son frère, avant de se relever doucement, vérifiant que ses bracelets tiennent toujours.
Lanna : je vais aller voir Sans ! Nettoyez après avoir utilisé les fils de Error dans la cuisine !
Ink et Error : LA̷N̷N̷A̷ ̷!̷!̷!̷!!!
Elle glousse et court à l'extérieur, prenant son crayon distraitement pour rapidement faire un portail pour Undertale. Elle marche dans la rue printanière, mettant son masque correctement, puis elle regarde les monstres qui l'entourent en souriant. Plusieurs de ses amis d'enfance et de ses ennemis d'enfance profitent du dimanche pour sortir s'amuser ou simplement marcher. Elle revoit la dame lapin, Cassy. Elle revoit Sparkles, une monstre fait de flamme du même âge qu'elle. Elle revoit Frisk, une ado qui l'a aidé à sauver les monstres presque 10 ans plus tôt.
Frisk a des cheveux bruns mi-longs et des yeux dorés. Au lieu de son vieux t-shirt rayé, elle porte une veste en jeans sur un t-shirt violet avec des jeans et des bottes. Dans ses mains, trois gros livres l'épuisent, mais Chara l'aide à transporter trois autres gros livres. Chara est une adolescente du même âge que Frisk avec des cheveux bruns, courts et décoiffés et ses yeux rouges semblent agressifs, mais ils cachent la gentillesse dont elle fait preuve constamment envers les monstres. Avant, Chara n'était qu'un fantôme qui hantait Frisk, étant une humaine morte il y a longtemps, mais depuis près de 10 ans, Lanna a réussi à redonner un corps à l'enfant de 10 ans qu'était le fantôme.
Une énorme envie d'enlever son masque démange la sœur du créateur, alors qu'elle s'approche de la maison du premier des Sans. Jouant nerveusement avec son crayon, Lanna s'arrête devant la porte de son ami, se rappelant de quelques mauvais souvenirs, avant de secouer la tête pour se concentrer sur les bons souvenirs. Les doigts presque blancs rangent le crayon, alors que l'autre main forme un poing devant la structure en bois, puis elle donne deux petits coups à la porte.
Sans : qui est là ?
Lanna : Unevi
Sans : Unevi qui ?
Lanna : Une vieille amie !
Lanna sourit en retirant son masque, alors que la porte ouvre sur un squelette comme Blueberry, mais qui porte une veste bleu foncé sur un t-shirt blanc avec des shorts noirs et des pantoufles roses. Il fait signe à la jeune femme d'entrer, puis il marche nonchalamment jusqu'au divan. La rouge ferme la porte derrière elle, puis elle lance son masque sur la table du salon en allant s'asseoir sur le divan.
Lanna : Quoi de neuf ? La vie à la surface est toujours aussi bien ou je dois aller faire la leçon à ces humains ?
Sans : Ne te fais pas de sang d'encre, ton frère le fait assez pour nous tous...
Lanna : *glousse* Je vois ! ... *soupire* sinon... Tu as des nouvelles de... LUI..?
Sans : Hmm ? ... Tu n'aimeras pas ce que je vais dire...
Lanna : Dis-le quand même... je dois savoir...
Sans : Il est sorti de prison pour bonne conduite...
Lanna : *soupire* Bordel...
Sans : Tu crois que ça ira ou tu préfères qu'on se revoie dans le multiverse ?
Lanna :... Ça ira, je suis capable de me défendre, ne t'en fais pas... *nonchalante* Sinon, où est Papyrus ?
Sans : En entraînement avec Undyne... ils devraient arriver d'une minute à l'autre...
Justement quand Sans finit sa phrase, la porte se fait défoncer par un coup de pied de Undyne et la fenêtre est traversée par Papyrus. Undyne est une femme poisson bleue avec des cheveux rouges et un cache-œil sur son œil droit. Elle porte un jeans avec une chemise bleu pâle, ses bottines noires laissant une traînée de terre mouillée derrière elle. Papyrus est comme Swapy, mais il porte un haut d'armure blanc avec les rebords jaunes et avec des manches noires qui descendent jusqu'à ses gants rouges. Comme bas, il ne porte qu'un slip avec des bottes comme celles de Blue, mais rouge. Un foulard de la même couleur orne son cou.
Papyrus : LANNA !! Tu es de retour !!
Lanna : *glousse* je suis venue vous rendre visite...
Undyne : Big punk ! Tu nous as manqué !
Lanna : désolé, j'avais beaucoup de boulot !
Papyrus : *serre fortement Lanna dans ses bras* NYHE HE HE HE ! Comment vas-tu, très chère ?!
Lanna : *glousse* je vais bien... si tu pouvais me lâcher pour ne pas me tuer, though...
Undyne : *sert Lanna et Papyrus super fort* Tu devrais trouver du temps pour nous voir plus souvent !
Lanna : *perd son air dans un gémissement de douleur* guys...
Sans : Je n'ai pas envie de manger du Lanna-ghetti ce soir, si on pouvait éviter d'en faire de la viande hachée...
Les deux monstres relâchent l'humaine qui se retrouve en boule sur le sol, geignant de douleur et pestant contre les sorts de soin « qui ne servent foutrement à rien ». Celui évaché sur le divan regarde son frère et la femme poisson qui paniquent. Il finit par soulever le t-shirt de la jeune femme et ses pupilles normalement blanches disparaissent sous la colère.
Sans : Lanna... Tu as fait quoi encore ?
Lanna :... juste les courses...
Sans : Sans mentir...
Lanna : *grogne* vraiment... J'ai été acheter de la peinture magique et du lait et Blue m'a foncé dessus avec un chariot et j'ai fini contre une étagère qui m'est tombée dessus... Donc j'ai juste été faire les courses... promis !
Papyrus : D-donc ce n'est pas de ma faute ?
Lanna : non non, Paps...
Sans se lève d'un coup et se dirige vers la porte de sortie qui se trouve en arrière, alors que Papyrus et Undyne aident la rouge à se relever. En remarquant ce que fait le plus petit des squelettes de la maison, la blessée le regarde, inquiète, alors que le frère fait de même.
Papyrus : où vas-tu, Sans ?
Sans : Dire deux ou trois trucs a Blueberry...
Lanna : Non, Sans ! Ça ira !!! Il s'est excusé, promis !
Sans : tu es déjà sur le point de casser au moindre choc...
Lanna : Non, Sans, je ne suis pas SI fragile que ça ! Tu le sais très bien ! C'est gentil de vouloir me protéger, mais je te promets que ça va ! Ce n'est que des ecchymoses !
Sans : La dernière fois que tu m'as sorti ces mots, tu étais en sang dans mon salon...
Lanna : j'étais juste nulle au volley-ball !
Sans : *fixe Lanna, en colère* Tu sais de quelle fois je parle...
Lanna : *soupire* je sais, Sans... Mais je te promets, c'est juste des ecchymoses, rien de plus ! Et en plus, c'était un accident, je n'étais pas visé !
Sans :... Tu me le promets ?
Lanna : Sur ta vie...
Sans :... D'accord.
Il pose son dos contre la porte en croisant les bras, mais il ne peut garder son regard agacé face au sourire rassurant et amusé de la rouge. Ces actes rassurent les deux autres monstres qui finissent par proposer de faire du spaghetti. Ils n'attendent pas la réponse et courent directement dans la cuisine.
Lanna :... C'est moi ou il jouait simplement l'innocent...
Sans : de quoi tu parles ?
Lanna : il était là quand... la dernière fois que je t'ai dit que ce n'est que des ecchymoses, que ce n'est rien... pourtant, il fait comme si de rien n'était et nous savons tous les deux que Paps a beau être innocent, il n'est pas idiot.
Sans : il fait tout pour que tu te sentes heureuse et confortable avec nous, c'est pour ça... il ne voulait même pas que je t'informe de la sortie de prison de...
Lanna : je vois... Merci de me l'avoir dit quand même, je vais pouvoir faire attention maintenant...
Sans : Il faudra que tu masques ta présence ?
Il fait son sourire de blagueur en pointant du regard le masque de Lanna qui se met à glousser en hochant de la tête, puis elle sourit en fermant les yeux, se couchant soudainement sur le divan, ce qui surprend son ami. Il prend quelques secondes à comprendre, puis il soupire.
Sans : Tu veux dormir sur moi, comme quand tu étais gamine ?
Lanna : Je ne suis plus une enfant, Sans... et un osreillé aussi bossé n'est pas toujours confortable !
Sans : *pouffe* pourtant, je suis coccyx-fortable
Lanna : *rigole* bone-head!
Sans : allez ! tu sais que je suis confortable !
Lanna rigole et baille, avant de fermer les yeux et de s'endormir sur l'épaule de Sans. L'oreiller sourit tendrement et utilise sa télékinésie pour emmener une veste qui trainait au sol pour la poser sur les épaules de l'endormie. Elle bouge un peu pour s'installer plus confortablement, alors que la main osseuse se pose dans la chevelure de rubis, peignant involontairement la crinière.
Un peu plus tard, Papyrus entre dans le salon et trouve les deux endormis sur le divan, ce qui le fait soupirer doucement. Il décide de manger seul avec Undyne, et ce malgré la soudaine arrivée d'un portail entre un univers détruit dans les flammes apparaît dans la maison de classique Sans. Le frère de la jeune femme endormie entre passes en trombe dans le portail, habillé normalement, c'est à dire : un parero brun fermé dont le rebord en avant est doré sur unchandail aux manches ¾ blanc, avec des gants pour utilisateur de tablette graphique dont le petit doigt est la partie de la paume dessous est d'un vert pâle pour contraster avec le reste du gant brun. Pour couvrir ses jambes, il porte un pantalon inspiré de l'ère Edo au Japon, Brun, avec des bas qui ne couvrent pas le talon, ni les orteils. Des bretelles de salopette verte pendent derrière lui, alors que sa ceinture passant de l'épaule gauche à la hanche droite tenant des petits pots de peinture vient empêcher les cordes vertes de passer en avant. Les yeux changeants de formes et de couleurs se posent sur sa sœur, alors qu'il tient son pinceau géant en respirant erratiquement.
Ink : Faut réveiller Lanna de toute urgence !
Papyrus : Qu'est-ce qui se passe ?
Ink : quelqu'un a décidé d'attaquer les habitants de Horrortale...
Lanna : *se réveil doucement* hmm ? Il y a un problème, Inky ?
Ink : OUI ! Viens immédiatement et n'oublie pas ton masque !
Lanna : oui, Inky !
La rouge saute et attrape son crayon qu'elle transforme immédiatement en épée, puis elle vourt à travers le portail. Autour d'elle, les maisons qui tenaient déjà que très peu debout sont pris aux flammes et les monstres qui sont déjà tellement en mauvais états qu'ils se confondent presque tous avec des zombies paniquent et certains tentent de fuir tandis que les autres veulent manger un jeune homme qui tient deux épées entourées de feu. Celui-ci a des cheveux noirs dépeignés comme sa barbe débutante qui se fondent presque dans son chandail à manches longues qui s'attache aux majeurs du jeune homme... du moins, vu de loin. Une veste bleu nuit est attachée à ses hanches et des pantalons bleu ciel sont couverts de suie, tout comme ses bottes noires. Dès que ses yeux bleus se posent sur Lanna, un sourire sardonique apparaît sur ses lèvres.
?? : Ho <3 Lanna <3
Lanna : *frissonne de dégoût* Arrête ce que tu fais et rentres chez toi !
?? : Tu ne veux même pas apprendre à me connaître ? <3 Pourtant, je fais tout ça pour toi ! <3
Dès que le nom a traversé les lèvres masculines, un frisson de dégoût s'est partagé parmi tous ceux qui l'ont entendu, sans que personne ne sache pourquoi. L'homme approche de Lanna en laissant ses lames de feu traîner dans le sol, faisant fondre la neige sur son chemin. Ink utilise son pinceau pour créer un mur devant l'homme, puis il attrape sa sœur par le bras.
Ink : Je ne pensais pas qu'il en voulait après toi en particulier...
Lanna : T'inquiète pas, ce n'est pas le premier qui en veut à ma vie en particulier... Et ce ne sera pas le dernier.
?? : ho <3 Un simple mur magique ? Comme c'est stupide... <3
Le mur prend feu en deux secondes, puis il tombe en cendre. Sous le choc, le frère et la sœur peinent à bouger, mais les instincts étant plus forts que le mental, la rouge se retrouve vite entre le squelette et l'autre humain.
Lanna : Ink, rentre ! Tu n'as pas à être blessé pour moi !
Ink : Et te laisser face à quelqu'un qui veut te tuer ?!
Lanna : Ce truc n'en veut qu'à moi ! Je vais éviter qu'il détruise ou ne blesse quiconque de plus !
Ink : Lanna...
Ink essaie de bouger pour protéger sa sœur, mais celle-ci le pousse vers l'arrière, ne remarquant pas que l'humain s'approche dangereusement d'elle.
?? : Ce truc a nom, ma chère Lanna <3
Lanna : Si tu me le dis, tu rentres chez toi et tu laisses les univers tranquilles ?
?? : Non !
Lanna : Alors je ne veux pas savoir...
?? : RUDE ! Je vais quand te faire la faveur de savoir qui va tellement te détruire que tu auras souhaité que je t'aie tué aujourd'hui <3 Appelle moi Loucas <3
Ink : Lanna, viens avec moi !
Lanna : Je sais me défendre Inky... rentre voir Error...
Ink hésite, mais Lanna le pousse loin en se tournant vers le susnommé Loucas. Une épée entre les mains, la rouge tente de désarmer celui tenant deux épées, mais il ne lui laisse pas le temps de bouger qu'une des lames de feu vient couper profondément le bras non armé. Un léger cri s'échappe des lèvres de la femme, alors que les bottines tenant des pieds couverts de cicatrices reculent. Une seconde n'a pas le temps de passer que la masquée donne un coup sur la main gauche de son adversaire. Il recule en sursautant, sa lame tombant au sol, puis il vise la tête de Lanna sans perdre son sourire sadique.
Ink a disparu, probablement rentré chez lui, alors que la rouge tente de faire reculer son adversaire, en vain. Il a presque tranché la jambe de Lanna ainsi que son dos et pourtant, la demoiselle tient toujours debout, haletante et tenant faiblement son arme. Pourtant, Lanna n'arrête pas d'attaquer Loucas, pratiquement en vain. Il n'a que quelques égratignures et ecchymoses qu'autre chose.
Loucas : Tu tiens plutôt bien pour une anomalie, Lanna <3
Lanna : Tu veux bien arrêter de dire mon nom ? C'est dégoûtant !
Loucas : jamais, Lanna <3
En disant sa dernière phrase, Loucas utilise ses lames pour brûler une maison d'où un enfant regardait le combat. La rouge remarque ce fait et sursaute en courant vers la maison. Malheureusement, Loucas en pense autrement, puisqu'il décide de planter sa lame dans la jambe encore vide de blessure. Remarquant que sa blessure saigne lorsque la lame est enlevée, Lanna hausse les sourcils, puis elle serre les dents en restant debout grâce à l'adrénaline. Surpris, le sourire de l'homme s'agrandit, alors qu'il recule de deux pas. Il commence à manquer de magie et il sait qu'elle l'a remarqué.
Lanna : Sale humain de merde ! Part !
Loucas : Je n'en ai pas envie, mais le devoir m'appelle dans un autre univers... pourquoi pas Underswap ?
Lanna : Tu...
Un cri de peur coupe la phrase de la sœur du créateur. Un cri d'enfant. Lanna n'écoute plus rien autour d'elle, puis elle boite difficilement jusqu'à la maison en flamme, cherchant l'enfant. En entendant les pleurs continuer, la rouge cherche la source en évitant les flammes le plus possible. Elle voit un enfant qui pleure, entouré de flammes. La panique s'emparant d'elle, la jeune femme court sans se rendre compte que son masque est quelque part dans la neige, en miette sous la lame de Loucas. Ce dernier s'assure de bien détruire le masque, avant de trancher le vide, créant un portail pour une maison dans les bois dans le multivers. Dès qu'il passe dans l'ouverture, il entend les poutres de la maison tomber, suivi d'un cri de douleur.
Loucas : Évite de mourir tout de suite ou ça ne sera pas amusant, Lanna <3
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Les temps qui sont les nôtres : Trump ou la star du porno ? le 26 mars 2018 – Retranscription
Retranscription de Les temps qui sont les nôtres : Trump ou la star du porno ? Merci à Catherine Cappuyns et Pascale Duclaud !
Bonjour, nous sommes le lundi 26 mars 2018 et si vous avez suivi un tout petit peu mon actualité, vous pouvez constater que la grippe ne m’a pas tué, pas cette fois-ci. Elle ne m’a pas laissé beaucoup de voix et si le cerveau est atteint ou non (rires), vous aurez l’occasion d’en juger dans les minutes qui viennent. J’espère que le dégât n’est pas trop sérieux.
De quoi je vais vous parler ? Eh bien, une fois de plus l’actualité depuis pas mal de temps maintenant pour moi ici dans ma petite vidéo, c’est les États-Unis. Pourquoi ? Parce que c’est là qu’il s’y passe effectivement des choses qui déterminent le sort de tout le reste. Il reviendra peut-être un moment où je vous parlerai de sujets qui ne sont pas états-uniens, mais là, je vais vous parler cette fois-ci de ce qui s’est passé hier soir aux États-Unis : l’émission ‘60 Minutes’ où était interviewée la star du porno, Stormy Daniels (de son nom de naissance : Stéphanie Gregory, et au point de vue, je dirais, des autorités : Stéphanie Clifford, du nom de son premier époux).
Pourquoi était-elle interviewée ? En raison des différends entre elle et le Président Trump depuis un certain temps. Elle a été payée 130.000 dollars, pas par Trump directement mais par l’avocat de Trump, pour ne pas parler de la relation sexuelle qu’ils ont eue (si j’ai bon souvenir c’est en 2006), et du procès qui lui est intenté pour ce qui apparaît un non-respect de son NDA – « Non Disclosure Agreement » (je ne sais pas comment on appelle ça en français, un « accord de ne pas en parler »). Ça devient de plus en plus courant dans les entreprises : vous devez jurer sur la tête de votre grand-mère et de vos enfants de ne jamais parler de ce qui s’est passé là où vous étiez. Je ne sais pas si c’est un statut véritablement légal mais comme vous le savez sans doute, ce qui se passe maintenant dans le milieu des affaires, le plus souvent, n’a pas de statut légal véritable et c’est pour ça qu’il vous reste toujours la possibilité de vous tourner vers les tribunaux, comme le fait Madame Clifford en ce moment : on lui a imposé un arbitrage privé sur l’accord qu’elle a passé en échange des 130.000 dollars et son avocat lui a dit qu’il fallait dire que tout ça n’était pas légal.
Vous vous souvenez des aventures de l’État français avec Monsieur Tapie ? où l’État français était passé avec Monsieur Tapie, dans un accord, par un arbitrage, ce qui est quand même assez sinistre de voir qu’alors que l’État dispose quand même de l’exercice de la justice – ça fait partie d’un des trois piliers du fonctionnement de l’État : l’exécutif, le législatif et le judiciaire – que l’État accepte aussi de se tourner vers des individus privés qui pourraient décider de la justesse, de la justice, dans une affaire. Et l’illustration dans le cas de Monsieur Tapie, bien entendu a été remarquable : non, l’État, s’il vous plaît, abstenez-vous – au moins vous ! – de faire ce genre de choses. Bien entendu, un des arbitres était de mèche avec Monsieur X et toute l’affaire s’est écroulée.
D’où est-ce que ça nous vient ça ? Ça nous vient de la lex mercatoria. C’est le droit marchand, qui avait souvent lieu entre les marchands qui n’appartenaient pas à de mêmes pays et on se mettait d’accord de se tourner vers des arbitres, des arbitres privés. Alors, avertissement à vous tous : n’acceptez jamais un contrat où on vous dit que le règlement éventuel du conflit passera par un arbitrage privé : ce sont des gens qui sont de mèche avec ceux qui vous font signer le contrat. N’acceptez jamais ça ! Ce sont des gens qui… (il y a des statistiques qui ont été faites par des sociologues et autres) qui donnent raison dans 95% des cas à celui qui vous a fait signer le contrat et donc c’est de l’escroquerie pure et simple. Non, non : il existe des lois dans nos pays et elles continuent de fonctionner et donc il faut se tourner vers elles – tant que ce système-là n’est toujours pas entièrement vendu d’ailleurs aux marchands, qui disposent déjà du système d’arbitrage !
Alors, qu’est-ce qui s’était passé ? Donc, effectivement Monsieur Trump a eu un « one night stand » : ils ont dormi une fois ensemble, Madame Clifford et lui. Ça n’a eu lieu qu’une fois apparemment, en 2006, et les circonstances méritent d’être racontées parce qu’elles sont importantes pour la conclusion de ce que je vais dire : Monsieur Trump et Madame Clifford se sont trouvés dans une chambre dans un des golfs qui lui appartient et une fois la porte fermée, il lui a montré la couverture d’un magazine où il y avait une photo de lui et il a dit : « Est-ce que ce n’est pas formidable ? » et elle lui a dit : « Pour avoir dit ça, vous méritez une bonne fessée. Baissez votre pantalon ». Et prenant le magazine pour le fesser, elle l’a fessé avec le magazine ; lui, ayant aimablement accepté de baisser son pantalon.
Alors, pourquoi est-ce que tout se tourne maintenant vers la télévision, vers l’opinion publique, comme étant un moyen de trancher ? Parce qu’elle explique que tous les accords dans lesquels elle a accepté de signer, ça a été sous la menace. Ça a été dans un climat d’intimidation, et elle a raconté pour la première fois hier – c’est un élément dont le public ne disposait pas – qu’en 2011, en se rendant à un club de fitness avec sa toute petite gamine, au moment où elle sort de sa voiture sur le parking, il y a un gars qui l’attend et qui lui dit comme dans la tradition des gangsters, qui lui dit en regardant la gamine : « Cette petite fille n’aimerait pas qu’il arrive quelque chose de pas sympathique à sa maman ! ». Et l’avocat actuel de Madame Clifford dit que l’accord – elle a reçu 130.000 dollars pour ne rien dire – et qui la menace par arbitrage privé un million de dollars chaque fois qu’elle ouvre la bouche, il a affirmé hier : « Tout cela n’est pas très différent finalement de la menace sur le parking. Si on vous dit : « Chaque fois que vous ouvrez la bouche pour dire quelque chose à mon sujet, vous devrez payer un million de dollars », dit-il « ce sont des méthodes de gangsters et c’est de l’intimidation du même ordre. »
J’en sais quelque chose : je me suis retrouvé dans une affaire – vous avez peut-être entendu parler de ça – où on m’a traité de la pire des manières et en me disant : « Si vous bronchez, ça va vous coûter très très cher. » Et dans ce cas-là, chers amis, faites comme Madame Clifford, faites comme moi : expliquez à ces gens-là que oui ! souvent le vrai monde c’est effectivement le monde des gangsters, que les gangsters l’emportent souvent mais rappelez à la personne qui vous dit ça, dites-lui la chose suivante : « Même Al Capone a fini en prison ». Parce que nous avons heureusement encore – et ça c’est la solidarité – la solidarité entre les êtres humains qui fait que nous avons encore des systèmes qui permettent à celui qui apparaît en position de faiblesse de se défendre.
Alors, ce qu’on apprend là de Monsieur Trump, ce n’est pas nouveau si vous regardez un petit peu ce que des biographes ont déjà écrit à son sujet. C’est un monsieur qui est… je dirais, il est né voyou et il a été voyou toutes les années qui se sont écoulées depuis sa naissance jusque maintenant. Comment est-ce qu’on devient voyou comme ça ? Eh bien, avec un père comme le sien : membre du Ku Klux Klan et qui répète à son gosse d’être un tueur : on s’en sort dans la vie en étant un tueur. Manque de pot pour ce Monsieur Fred Trump (il s’est trouvé dans pas mal d’ennuis du point de vue légal), un jour son fils devient vraiment un voyou et il est obligé de l’envoyer dans une espèce de maison de correction de type militaire. L’affaire officielle, c’est qu’il serait allé acheter avec un copain des couteaux à cran d’arrêt en ville. En ville, où il disparaissait souvent. Mais le biographe en question écrit : « La maison de correction, c’était peut-être un peu fort pour un couteau à cran d’arrêt. Il y a peut-être encore des choses qu’on ne sait pas ». Alors, voilà : il y a peut-être encore des choses qu’on ne sait pas.
Et à partir de là, ce Monsieur s’est toujours conduit de la même manière, si vous regardez un petit peu ses affaires. Si vous regardez Trump University, « l’université Trump », c’est une escroquerie en grand, où simplement des bonimenteurs poussaient les gens à s’endetter pour suivre des pseudo-cours qui en fait étaient des trucs recopiés de bouquins écrits par d’autres que Trump, et des choses assez expédiées. Plusieurs milliers de dollars pour trois jours de cours, un montant – si j’ai bon souvenir – de trente neuf mille dollars pour un cours approfondi et des choses de cet ordre-là, et qui s’adressent bien entendu aux gens qui n’ont que les billets de loterie pour sortir de leur condition. « C’est peut-être ma dernière chance », « Ça vaut peut-être la mise », et ainsi de suite. Et cet argent est entièrement pompé. Trump avait dit qu’il allait donner cet argent-là à des bonnes œuvres et ça s’est retrouvé, vous allez voir, c’est dans les « records », dans les attendus : « Les sommes sont difficiles à tracer » (rires). Pas les bonus bien sûr qui lui ont été donnés ! Et quand on regarde ses affaires, ses affaires immobilières, eh bien en général ce sont des catastrophes. Il commence par… en fait ce sont des pyramides. Il s’attribue à lui des bonus énormes sur le premier argent qui rentre et puis après si ça marche ou si ça ne marche pas, ça c’est une question liée au hasard.
Alors, pourquoi ça a marché pour lui ? Pourquoi est-ce qu’il se retrouve quand même président des États Unis ? Eh bien c’est parce que voilà : j’ai mis l’autre jour, sans commentaire, un petit truc que j’ai trouvé sur Wikipedia : sur le mâle dominant chez les chimpanzés. Si vous avez lu ça, eh bien vous avez vu cette description du comportement de Monsieur Trump. Je n’ai pas mis la dernière phrase parce que je me suis dit que ça pourrait apparaître comme une incitation au meurtre (rires). J’ai mis simplement une des phrases qui disait : « Quand le mâle dominant exagère, les autres se liguent contre lui et lui font passer un mauvais quart d’heure ». Et la phrase que je n’ai pas mise est : « Parfois il se fait même tuer ».
C’est comme ça que ça marche. C’est comme ça que ça marche dans certains cas : c’est que ce comportement de mâle dominant – qui, chez nous, est plus ou moins caché par les institutions, plus ou moins caché par le fait que les gens [aillent] à l’école, par le fait que les gens raisonnent et ne réagissent pas purement « à l’instinct » comme on dit (ce que le corps nous dicte dans l’instant immédiat), font des plans à long terme, essayent de s’en tenir à des principes, à prendre de bonnes résolutions et à essayer de – voilà – de s’en tenir à leurs bonnes résolutions, etc. mais il y a aussi l’aspect purement voyou, c’est-à-dire King Kong (rires) : le mâle dominant de la bande de chimpanzés ou de gorilles : ça aussi ça existe.
Et malheureusement… malheureusement si nous avons permis dans nos institutions – qu’est l’État en particulier – que ce comportement soit plus ou moins mis entre parenthèses dans les entreprises – moi j’ai travaillé dans des entreprises qui étaient des bonnes entreprises, et dans de mauvaises, mais même dans les bonnes, c’est toujours le modèle King Kong qui décide ! C’est toujours un mâle dominant qui se trouve au sommet ! Ou alors une femelle dominante, ça arrive aussi, mais qui est du même style alors que le mâle dominant : c’est-à-dire un « Moi, Je ! », « Fermez votre gueule ! », « C’est moi qui gagnerai de toute manière : je peux vous foutre à la porte demain si vous répétez ce que vous venez de dire ! », etc. Pourquoi est-ce que j’ai perdu treize de mes emplois : parce que je leur ai à chaque fois dit « Allez vous faire foutre ! », hé hé hé ! (rires) Mais euh… tout le monde n’est pas comme ça ! Alors ça continue.
De La Boétie a parlé de « servitude volontaire»… Ce n’est pas de la servitude volontaire. Il faut survivre aussi, hein ! Il faut survivre ! Les mâles non dominants doivent aussi survivre et les femelles doivent survivre quand même, etc. Il faut leur trouver des excuses. Comme les généticiens… il y a un bel article, je ne sais plus si c’est dans le Washington Post ou dans le New York Times que j’ai lu ça hier, un article d’un généticien disant : « Ecoutez, on trouve quand même des choses ! Il est quand même vrai qu’il y a dix-sept gènes qui sont liés au fait d’être intelligent et si on ne les a pas ou s’ils sont en mauvais état, c’est pour ça qu’on ne réussit pas à l’école », etc. etc.
Bon, alors : les gens qui ne réussissent pas à l’école, eh bien on le sait, Todd en parle dans son dernier bouquin (il y a d’autres analyses qui sont faites) : qu’est-ce qu’ils ont fait, les gens qui n’ont pas réussi à l’école ? Ils ont voté pour Trump massivement ! C’est surtout eux ! C’est surtout les blancs qui n’ont pas réussi à l’école qui ont voté pour Trump. Ils ont reconnu : « Voilà, après tout ce n’est pas si mal ! Après tout ce n’est pas si mal de réussir comme ça ! ». Et il dit… il dit en fait, ce gars-là qui est mu essentiellement par le ressentiment (alors que lui, il ne devrait pas hein ! avec tous les millions qu’il a), mais il sait que les millions qu’il a, il ne les mérite pas. C’est ça le problème, c’est ça qui le taraude.
Enfin voilà : ces gens-là ont voté pour ça et ils ont le résultat de leurs actions, d’avoir voté de cette manière-là. Alors qu’est-ce que cela nous donne ? Cela nous donne un Trump qui, vendredi dernier, nomme comme conseiller pour les affaires de sécurité nationale – c’est-à-dire à la défense – il nomme un certain Bolton qui est partisan de frappes préventives sur l’Iran et sur la Corée du Nord.
On est véritablement bien embarqués… ! Quand même, le moment est venu… le moment est venu pour les mâles non dominants de se mettre d’accord et d’éliminer le gars-là ! Alors, qui est-ce qui va réussir à le faire ? Est-ce que c’est M. Robert Mueller qui est un héros, un type irréprochable qui s’est conduit comme un héros incroyable dans des situations de batailles… sur un champ de bataille, un monsieur d’une intégrité extraordinaire : est-ce que c’est lui qui va parvenir à faire tomber King Kong ? Ou bien est-ce que c’est Mme Stormy Daniels ? Parce que les gens ordinaires et peut-être en particulier ceux qui n’ont pas réussi à l’école parce qu’ils n’ont pas les dix-sept gènes qui permettent d’être intelligents et qui se reconnaissent en Trump ? Avec qui est-ce que maintenant les gens ordinaires vont s’identifier ? Avec King Kong ? Ou avec la jolie blonde kidnappée par King Kong et qui lui dit de baisser son pantalon parce qu’elle va lui donner la fessée ?
Alors je ne suis pas sûr (sourire) que ce soit avec King Kong dans cette situation-là. Alors bonne chance Madame Daniels ! Madame Daniels nous explique qu’à dix-sept ans, elle a participé volontairement à un strip-tease, à un concours de strip-tease, et que de fil en aiguille, bon, elle est devenue une star du porno. Elle dit aussi, quand on lui parle de sa vie, de sa vie à cette époque-là, elle disait : « Je vivais dans un quartier de merde. Ce n’est pas donné de travailler dans des… de vivre dans des conditions comme celles-là ». Alors voilà ! Voilà comment on devient une star du porno, sans être une mauvaise personne, parce qu’on est à des endroits où comme elle le disait : « J’ai gagné à cette soirée-là, la première soirée du strip-tease, j’ai gagné tout ce que je gagnais d’autre part comme serveuse en une seule semaine ». Et voilà comment les choses se décident.
Alors, le [dilemme] de l’américain moyen à partir de demain : Stormy Daniels (Stephanie Clifford ou encore Stephanie Gregory) ou Monsieur Donald Trump, le King Kong facilement dominé par quelqu’un d’autre (rires) ? À eux de choisir !
Bon, je ne suis pas Américain… Je prie… « Praise the Lord » [Le Seigneur soit loué !], je prie le Seigneur pour ma famille américaine puisque c’est comme ça qu’on parle là-bas ! Allez, à bientôt !
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Après avoir été vendu par ses frères, Joseph fut établi dans la maison de Potiphar, officier de Pharaon. Voyant que Joseph était un jeune homme droit et honnête, Dieu étant avec lui, Potiphar lui confia tout ce qui lui appartenait.
Accusé à tort par la femme de Potiphar, Joseph fut mis en prison, là où étaient enfermés les prisonniers du roi. Là aussi, Dieu le mit en faveur aux yeux du chef de la prison qui lui confia la surveillance de tous les prisonniers. L’échanson et le panetier du roi d’Egypte ayant offensé leur maître s’y trouvaient et, une même nuit, ils eurent chacun un songe. Conduit par Dieu, Joseph leur interpréta :
Dans trois jours, le Pharaon rétablira l’échanson dans ses fonctions comme auparavant. Joseph lui dit : « Mais souviens-toi de moi, quand tu seras heureux … Parle en ma faveur à Pharaon, et fais-moi sortir de cette prison… »
Tandis que, pour le panetier, le songe était l’avertissement de sa mise à mort.
Le troisième jour, Pharaon fit un festin pour fêter son anniversaire et rétablit le chef des échansons, comme prévu par le songe et fit pendre le chef des panetiers.
Mais le chef des échansons ne se souvint pas de Joseph, il l’oublia. (Genèse 40 v.23)
Nous pourrions facilement critiquer ce chef des échansons : quelle ingratitude ! Il oublie celui qui lui a annoncé la bonne nouvelle de sa délivrance. Mais regardons à nous-mêmes : ne nous arrive-t-il pas trop souvent d’oublier Celui qui nous a délivrés de la mort éternelle ? Connaissant nos cœurs oublieux, Jésus a institué un mémorial – la sainte cène – qui nous rappelle son corps dans lequel il a souffert et son sang versé, mais faut-il attendre le dimanche pour nous souvenir de Lui ? Combien de fois l’ai-je « oublié » alors que j’avais l’occasion de parler de Lui lors d’une conversation ? C’est vrai qu’il y a mille choses dans ce monde, légitimes ou non, qui occupent nos cœurs et nos pensées et nous font oublier le Seigneur. Mais si tous les jours de la semaine passent sans que nous prenions le temps de le prier, le remercier, de lire sa Parole… n’est-ce pas l’oublier ?
« Souviens-toi de Jésus Christ ressuscité d’entre les morts » (2 Timothée 2 verset 8)
Un jour, Jésus entrait dans un village quand dix hommes lépreux vinrent à sa rencontre. Se tenant à distance, ils élevèrent la voix disant : « Jésus, Maître, aie pitié de nous ! ». Jésus leur dit : « Allez vous montrer au sacrificateur ». S’en allant, ils furent guéris. L’un d’eux, se voyant guéri, revint sur ses pas en glorifiant Dieu à haute voix et, se jetant sur sa face aux pieds de Jésus, il lui rendit grâce. C’était un Samaritain. Jésus lui dit : « Les dix n’ont-ils pas été guéris ? Et les neuf autres, où sont-ils ? Ne s’est-il trouvé que cet étranger pour donner gloire à Dieu ? ». Et il lui dit : « Lève-toi et va ! Ta foi t’a sauvé. » (Luc 17 v.12 à 19)
Un seul, sur les dix, s’est souvenu de son Sauveur. Les 10 ont été guéris, c’est à lui seul que Jésus dit : « ta foi t’a sauvé ». Les neuf autres ont leurs corps guéris mais leurs âmes sont-elles sauvées ? Ils sont allés se présenter au sacrificateur, pratiquant ainsi le rite religieux de la loi mosaïque comme beaucoup aujourd’hui se croient chrétiens en s’attachant à des ordonnances religieuses, oubliant l’œuvre de Christ.
Souviens-toi, cher lecteur, chère lectrice, qu’il y a environ 2000 ans, Dieu s’est fait homme pour venir ici-bas te chercher et te sauver.
Souviens-toi qu’il s’est livré lui-même au supplice de la croix, par amour pour toi.
Souviens-toi des souffrances qu’il a dû endurer pour expier tes péchés.
Souviens-toi qu’il a donné sa vie, il est mort pour toi.
Souviens-toi de Jésus Christ ressuscité d’entre les morts » (2 Timothée 2 verset 8)
Souviens-toi qu’il vient bientôt pour prendre tous ses rachetés dans son ciel. Il sera alors trop tard pour ceux qui n’auront pas cru.
Souviens-toi … crois et adore.
http://www.la-verite-sure.fr/page826.html
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