#Florence Foresti
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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Journée lgbtq
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Le 3ème sexe
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adreciclarte4 · 7 months ago
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Florence Foresti by Denis Rouvre
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vie-et-sentiments · 2 years ago
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Quand tu es au boulot et que tu dois restée polie !
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asmuchasidliketo · 8 months ago
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As a French elder Millennial, I have my own reference to this...
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(if you know you know)
… i admit it. I danced. src
the OG  (and if you don’t get it)
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observatoiredumensonge · 4 months ago
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Quand Florence Foresti souhaitait la mort de Donald Trump
Les people sont misérables et inintéressants
La haine à l’état pur pour des gens en plus sur-pay��s, mais quelle honte ! Par Jean Kast Quand Florence Foresti souhaitait la mort de Donald Trump  Avez-vous déjà souhaité la mort de quelqu’un ? » Pour beaucoup d’entre nous, avouons-le, la réponse à cette question est oui. Il n’est pas rare de secrètement prier pour le malheur d’autrui, rival ou ennemi. C’est un sentiment très peu chrétien…
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poesiecritique · 8 months ago
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REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, performance de Agnès Maéeus et Quim Tarrida, avec Agnés Matéus, 1h15, 2018 - et vu en 2024 au Théâtre de la Bastille, Paris.
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Commençons par dire que ce spectacle, vu en 2024 a été crée il y a 6 ans, à Genève (selon le site théâtre contemporain). En septembre 2018, quelle était la place du féminisme dans nos discours, dominants et dominés ? C'était un an après, à deux semaines près, qu'Alyssa Milano propose de partager, suite à la révélation de l'affaire Weinstein, sous le hashtag #metoo, les violences sexistes et sexuelles subies par les femmes par des hommes. Cette création a aussi lieu dans un contexte espagnol où la prise en charge des violences sexistes et sexuelles aurait permis une baisse du nombre de féminicides selon les médias généralistes nationaux et internationaux. Dans un bref entretien, Agnés Mattéus conteste cette prise en charge effective quand, en 2017, le travail sur la pièce commence - tandis que certaines sociologues féministes, dont par exemple Gloria Casas Vila, critiquent davantage un effet de comptage (quel meurtre est effectivement compté comme féminicide ?), permettant de donner alors l'impression que le nombre de féminicides décroît alors qu'il n'en est rien. En 2023, certains médias généralistes soulignent une ré-augementation des chiffres espagnols de féminicides, se réalignant sur ceux de 2008, soulignant que dans la moitié de ces meurtres, les plaintes avaient été déposées contre les agresseurs, devenus meurtriers et/ou que les agresseurs étaient récidivistes, parfois déjà meurtriers. Si ce type de média souligne cette inversion, on peut donc supposer qu'il ne s'agit que de la partie emergée d'un iceberg bien fat, bien réel, bien patriarcal, et qu'en dessous grouille une bouillie dégueu mais bien organisée du féminicide - à l'instar de l'inceste, comme le montre par exemple Dorothée Dussy dans Le berceau des dominations.
Dire également que je m'interroge sur le travail de collaboration entre Quim Tarrida et Agnés Matéus. Dans le même entretien, qu'elle et il donne au théâtre de la Bastille, la langue française, que parle Agnés Matéus et que ne parle pas Quim Tarrida, donne le primat à Agnés Matteus. Mais j'avoue avoir eu ce réflexe de me demander ce qu'un homme pouvait bien avoir à faire dans la mise en scène d'une femme parlant de féminicides, dont la plus part sont commis par des hommes. Et si tous les hommes ne sont pas des meutriers, des violeurs, etc, la quasi-totalité des hommes de son âge et de sa nationalité (Quim Tarrida est né en 1967) ont été socialisés dans un monde où la masculinité était valorisée, et hiérarchiquement instaurée supérieure au genre féminin. Si l'on comprend que le travail naît d'une précédente collaboration sur les violences policières, et que ce travail précédent naît d'une rencontre lors de leurs engagements militants, malgré tout : comment s'articulent les regards, différemment socialisés, de Agnés Matteus et Quim Tarrida pour aboutir à REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, notamment sur le corps de Agnés Mattéus ? Cela pourrait informer ma lecture, mais je n'y ai pas accès, pas directement, seulement par supposition critique (car, d'expérience, fréquenter un milieu politisé, quand il ne s'agit pas directement de cercles féministes engagés, ne permet pas une déconstruction du regard, d'un regard dominant)
Et maintenant, décrivons ce que propose Ca rebondit ça rebondit et ça t'éclate en pleine face. Cela sera moins qu'une description linéaire et exhaustive, ne m'arrêtant que sur certains tableaux et détails qui m'ont paru particulièrement signifiants. Dire peut-être cela, d'abord : REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA est une succession de tableaux au centre desquels se trouve Agnés Matéus.
L'âge. La pièce commence par Agés Matéus dansant masquée, d'un masque de clown horrifique. Ainsi, c'est son corps que l'on voit et regarde. En 2024, le corps de Agnés Matéus, serré dans son pantalon strassé or, son ventre rebondi, a peine dénudé au dessus du nombril donne l'image d'un corps butch, ou d'un corps vieilli, ne répondant plus aux standards patriarcaux d'une certaine minceur. Qu'en est-il de son corps d'il y a 7 ans ? A-t-il changé, et comment ? Vieilli pour sûr, Agnés Matéus dans le texte, et dans les possibles endroits d'improvisation le signale, insiste sur la question de l'âge. Si je suis particulièrement sensible à cette question d'âge, dans les rapports de genre, c'est qu'elle me concerne : les regards changent, le crédit à la parole dans certains contextes aussi. Qu'est ce que faire tourner une pièce pendant 6 ans ? Qu'est-ce qu'expérimenter les changements physiques ? D'autant qu'est soulignée l'énergie de Agnés Matéus, qui tient l'heure quinze que dure Ca rebondit quasi seule sur scène. Mais là aussi, des questions se posent, techniques : quelle place de repos permettent les interludes filmés ? Sont-ils là pour leur qualité intrinsèque, de séquences filmées introduisant un autre rythme à la pièce, et/ou sont-ils présents pour permettre que Agnés Matéus tienne ? Cette question peut se poser, mais pas de la même manière, en fonction de la catégorie d'âge à laquelle l'acteur.ice appartient, car les contingences et les nécessités ne sont pas les mêmes, et donc ne disent, in fine, pas les mêmes choses sur les questions posées par la pièce elle-même. Ici, les premières séquences filmées m'ont moins conduit à regarder les états de délabrements de certaines scènes urbaines qu'à penser au délabrement, en cours mais encore à venir, du corps de Agnés Matéus. Et ces figurations de ruines, par leurs lents travellings dont on sait qu'ils vont, à un moment ou à un autre, figurer une morte, ne m'ont par renvoyées en tant que tel au corps de la performeuse. C'était un autre espace, un autre temps qui se raccorde à l'âge seulement par le comptage, le listage qui vient à la fin de la pièce des femmes mortes, dont l'âge à chaque fois est indiqué. Aucun âge n'est épargné, pas davantage les petites filles que les grand-mères, les jeunes femmes ou les femmes dans la fleur de l'âge. Aucune. Alors, cette question de l'âge se pose pour moi à nouveau dans l'espace où justement d'autres âges que celui de la performeuse, son âge réel, aurait pu être figuré : dans les séquences filmées. Pas d'enfants, pas de jeunes filles, toujours des mortes anonymisées, sans visage, dont on voit qu'il peut s'agir du corps de la performeuse - dont l'âge, là, varie encore par l'absence du visage.
La chute. Après la danse, il y a ce moment que j'ai trouvé très beau, de la chute du corps de Agnés Matéus. La beauté terrifiante de la chute sous les coups. Encaisser les coups et se relever. Être cueillie par les coups. Ne pas répondre, ne pas frapper. En miroir négatif, les poings des hommes pauvres qui apprennent à frapper contre un sac de sable dans la moiteur de salles de sports, à Chicago ou ailleurs, en France, pour se maintenir dans une dignité - je pense à ce qu'en écrit, par exemple, Loïc Waquant, ou encore Jérôme Beauchez (mais moins, ici, et à regret ne les ayant pas (encore lu) aux sociologues ayant travaillé sur les femmes dans les sports de combat, comme Christine Mennesson ou encore Natacha Lapeyroux). L'apprentissage de la chute n'est pas corrélée à l'apprentissage du coup, j'y vois plutôt la réponse de deux précarités, l'une sociale, l'autre de genre, où celui féminin est économiquement, symboliquement plus précaire, vacillant. Mais que penser de la beauté de ces chutes ? Que penser de la beauté dans une telle performance ? Comment la beauté peut se conjuguer à l'horreur de ce qui est dit ? A l'extrême, on pense au texte de Rivette dénonçant l'abject du travelling dans Kapo. S'en détache malgré tout cette chute par ce que permet de percevoir sa répétition, dans ce que l'on perçoit par ce corps, et ce malgré ou grâce à la beauté, ce que permet la répétition c'est de percevoir précisément ce qui n'est pas figurer : la force qui pousse à terre Agnés Matéus, cette lumière qui la pousse, c'est insaisissable comme le patriarcat et au moins aussi éblouissant, ça fait cligner de l'oeil mais malgré tout, on continue à regarder, à accepter. C'est ce déplacement du corps qui chute, par la répétition de la chute, qui permet que l'on perçoive notre propre fascination, la fascination qu'impose la domination, biche en plein phare, notre stupéfaction, notre immobilité face aux coups que l'on sait, même si on ne les voit pas.
Le one-woman show. J'ai pris plaisir à ce one-woman show grinçant, en robe de mariée saupoudrée de paillettes d'or (interdites désormais), comme d'une femme sous cloche, dans une boule à neige, une boîte à musique dont la danseuse dit avec le sourire des insanités. Simple, drôle, jusqu'à et avec son craquement Frida Ka(h)lo. J'ai trouvé malin que les références connues se tissent progressivement avec celles inconnues - mon coup au cœur quand Bessette se fait invisibiliser, inconnue. J'ai trouvé pertinent le moment de réflexion sur l'arbre Kahlo qui cache la forêt des femmes : combien de fois avons-nous vu la vie d'une qui devient emblème de toutes, effaçant les spécificités de chacune, un féminisme non intersectionnel, encore que Kahlo pose la question du validisme, une intersection non négligeable. Agnés Matéus m'a fait penser à une Blanche Gardin, une Elodie Poux, une Florence Foresti. Ce sont des ressorts similaires : montrer ce qui est dit en le confrontant à la réalité. Analyse de l'écart du symbolique, du discursif et du réel pour en montrer l'absurde - et l'absurde faire rire, à tout coup, même si c'est déjà connu, même si c'est jaune.
Le lancer de couteaux. La mise en danger, réelle, m'a glacée. Je n'ai pas voulu, je ne voulais pas. La tension. Qu'en dire ? Que le spectacle est bien rôdé ? Que je n'ai jamais été au cirque (ou plutôt une seule fois) ? Que ce n'était pas une scène de cirque dont on sait que tout est maîtrisé, y compris le danger ? Que le danger venait là davantage de la peur de Agnés Matéus que du lanceur ? Que je l'ai imaginée à chaque fois défaillir de peur, et se précipiter sous le couteau pour le fuir ? Qu'à cet endroit quelque chose se renverse du rapport au danger ? Est-ce une métaphore du féminicide : le danger pris dans le sang-froid du meurtrier (n'en faisons pas un fou) est de bouger, et de provoquer, et de fuir seulement après ? Il faudrait disparaître à soi-même pour ne pas disparaître tout court, mourir ? Mais le danger passé, est-il possible de sortir de l'état de mort dans lequel il nous plonge (et qui se traduit, assez littéralement, par la tête de Matéus dans une brouette de terre) ? Il n'y a pas de résolution de cette question, car elle est irrésolvable. Insupportable ? Une dame au premier rang s'est levée pour sortir du théâtre, un peu avant la fin de la pièce, quand les noms des femmes tuées défilaient, trop vite pour qu'ils soient lisibles. Matéus et Tarrida ne donnent pas de réponses, ni au pourquoi ni au comment, il s'agit d'une performance de constats, fragmentés et parfois rendus sensibles.
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semena--mertvykh · 2 years ago
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Du jour 41
En consultant ma messagerie, je suis tombée sur le mail de ma tutrice, m'annonçant la bonne nouvelle que mon stage commence lundi.
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Ceci, notons-le bien, alors que je continue à voir arriver, sur la mailing list de notre association professionnelle, des offres de stage pour l'IRCAM, ou pour la Croix Rouge à Genève....
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J'ai remarqué que Prof Austère était en copie - çà c'est nouveau - ce qui signifie vraisemblablement que 1) Sexy lui refile le bébé et 2) PA a pour mission de me fliquer dorénavant.
Ceci dit, la baisse de moral est moins brutale que la semaine dernière, où j'avais carrément dévissé de la hauteur d'un immeuble. Une fois intégré le fait que Sexy n'éprouve aucune inclination pour moi (et çà ne risque pas de s'arranger après le mail que je lui ai envoyé), on est plus dans la descente par paliers ; mais une descente où j'aurais globalement stabilisé.
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En me débrouillant bien, j'aurais peut-être même atterri avant le prochain coup de pute que la vie me réserve et je saurai encaisser avec toute la sérénité requise...
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hedgehog-moss · 1 year ago
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The way Marine Le Pen cynically and relentlessly exploits every issue makes me want to throw up. She's all over this one, happy for the opportunity to side with her fellow far-right piece of shit politicians in Israel under the guise of caring about Jewish people, and denouncing the left for 'supporting Hamas'—which, yes, 1 far-left party made an inexcusable statement in that regard and it's not like there isn't antisemitism on the left, but still it boggles the mind to have Marine Le Pen smugly posturing as a moral authority on the matter, "these leftist hypocrites don't care if Jews die, unlike me and my fascist party funded by my Holocaust denialist father who speaks fondly of the Gestapo" CLOWN WORLD
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nudesnoises · 2 months ago
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Florence Foresti in "De Plus Belle"
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spinningalbinoturtle · 7 months ago
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Modern Songs and Artists that the Lotr crew would jam out to
Aragorn
He loves his look-a-like Hozier not because of their shared hairstyle but because he loves the message of a worshipping your girlfriend like a goddess. He has listened to “Too Sweet” too many times to count. Also enjoys some Noah Kahan and Florence.
Legolas
While I think Legolas generally likes pop-I think he secretly likes Noah Kahan as well cause he matches his foresty aesthetic. All of Stick Season was on his Spotify wrapped. He also loves the Beyonce country album and Sabrina Carpenter, Olivia Rodrigo, and Charlie XCX
Gimli
He’s been blaring “Hind’s Hall” with Eowyn cause he’s a king like that. He likes rap but only when it has a social conscious message. I think he also enjoys some Hozier but more for the music and less for the lyrics. Generally listens to very little modern music-much more of a 90s guy.
Merry
He’s a big fan of The Weekend and has recently been getting to Djo. He also LOVES SZA. He actually has pretty decent taste in (pop) music. He likes Billie Eilish as well
Pippin
Pippin is still listening to Machine Gun Kelly. He’s been getting into K-pop a lot and really wants to see Stray Kids. Is taking Drake’s side. He likes anything fun on the charts.
Sam
Sam is a Swiftie and was really stoked tor TTPD. I think he also enjoys Maggie Rogers’ new album a lot too. He also likes Lizzo and isn’t sure who to believe in the controversy with her. He also loves Olivia Rodrigo but doesn’t want to think bad of Taylor so isn’t sure where he stands on that issue. I think he like Brandi Carlisle for her country gayness.
Frodo
He loves some boygenius and Vampire Weekend but lately he’s been losing it over Good Luck Babe (he’s screams it when he’s by himself). He did buy the Chappell Roan album on vinyl. Though not a big Swiftie generally he actually really liked Tortured Poets since he himself is one. And of course Mitski. He went to Troye Sivan with Arwen and they sat in the accessible section.
Arwen
She’s a huge Kacey Mussgraves fan. She also is into Troye Sivan. Arwen likes Dua Lipa cause she doesn’t have drama and embodies the sparkly aesthetic. She kinda likes Halsey as well.
Eowyn
She’s recently become a big Macklemore fan (wink wink). She also got really into LABOUR of course. Other than that she doesn’t listen to much that is super popular but she does like King Princess, Halsey, and Phoebe Bridgers and Brandi Carlisle.
Eomer
He’s real into Kendrick Lamarr. Pretty much into all the big rappers-was a Kanye defender for a while before Eowyn finally convinced him not to be (via various threats)
Faramir
Faramir also loves Chappell Roan. Also loves Ethel Cain cause she had a traumatic upbringing (no I am never letting go of my transfem Faramir headcanon you can pry it from my cold dead hands)
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edith1962 · 7 months ago
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#nikkacosta #florenceforesti
La base pour toute une génération ! Trop drôle revisitée par Florence Foresti,
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detournementsmineurs · 11 months ago
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Béatrice Facquet, Laetitia Vercken, Anouk Feral et Clément Bresson dans "Désordres" mini-série de et avec Florence Foresti (2022), janvier 2023.
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jihef03 · 2 years ago
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On peut remercier Alexandre Astier et Louis Clichy pour beaucoup de choses dans leur adaptations d’Astérix, mais ce à quoi je pense surtout  c’est d’avoir refait du village gaulois une vraie communauté, active et solidaire. Je crois qu’on n’avait pas vu ça depuis Astérix et Obélix contre César.
Alors certes ça doit être en partie dû à ce qu’Astier utilise son crew habituel pour ses productions, mais Serge Papagalli en Abraracourcix, Florence Foresti en Bonemine ou Lionel Astier en Cétautomatix, on va pas dire non. Chacun à son petit moment dans les deux films et je trouve ça plus satisfaisant que lorsque les villageois sont une bande de figurants qu’on lâche au bout de dix minutes pour qu’Astérix et Obélix aillent faire du tourisme.
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papillondusoir · 26 days ago
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Les vieux VS les jeunes - Florence Foresti
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coulisses-tv · 3 months ago
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Le spectacle « Epilogue » de Florence Foresti diffusé sur TMC mercredi 4 septembre 2024 (vidéo)
http://dlvr.it/TCjlK2
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ulkaralakbarova · 4 months ago
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In the second episode of the trilogy Fantômas kidnaps distinguished scientist professor Marchand with the aim to develop a super weapon that will enable him to menace the world. Fantômas is also planning to abduct a second scientist, professor Lefebvre. Credits: TheMovieDb. Film Cast: Fantômas / Fandor / Professeur Lefèvre / Marquis de Rostelli: Jean Marais Commissaire Juve: Louis de Funès Hélène: Mylène Demongeot Inspecteur Bertrand: Jacques Dynam Directeur du journal: Robert Dalban Professeur Marchard: Albert Dagnant Inspecteur Pierre: Christian Toma Inspecteur Léon: Michel Duplaix Michou: Olivier de Funès La dame: Florence Blot Le ministre: Robert le Béal Président de l’assemblée: Pietro Tordi Homme de main de Fantômas: Henri Attal Homme de main de Fantômas: Dominique Zardi Agent de police ferroviaire: Jacques Marin Surveillant de l’institut: Max Montavon Directeur de la clinique psychiatrique: Jean Michaud Professeur suisse: Mino Doro Homme de main de Fantômas: Yvan Chiffre Faux huissier: Eric Vasberg Homme de main de Fantômas: Antoine Baud Homme de main de Fantômas: André Cagnard Professeur canadien: Arturo Dominici L’homme hypnotisé: Bob Morel Un inspecteur: Antoine Marin Un inspecteur: Bob Lerick Homme de main de Fantômas: Pierre Palfray Serveur du wagon-restaurant: Albert Daumergue …: Gérard Moisan Un inspecteur (uncredited): Philippe Castelli Un inspecteur (uncredited): Roger Lumont Fantômas (voix) (uncredited): Raymond Pellegrin Film Crew: Producer: Alain Poiré Director of Photography: Marcel Grignon Stunts: Jean Marais Set Decoration: Max Douy Makeup Artist: Anatole Paris Director: André Hunebelle Original Music Composer: Michel Magne Dialogue: Jean Halain Screenplay: Pierre Foucaud Novel: Marcel Allain Special Effects: Gil Delamare Special Effects: Gérard Cogan Assistant Art Director: Jacques Douy Second Unit Director: Jacques Besnard Novel: Pierre Souvestre Assistant Director: Michel Lang Sound: René-Christian Forget First Assistant Director: Jean-Pierre Desagnat Producer: Paul Cadéac First Assistant Director: Renzo Cerrato Production Manager: Cyril Grize Cinematography: Raymond Lemoigne Co-Director: Haroun Tazieff Assistant Editor: Colette Lambert Editor: Jean Feyte Assistant Director: Patrick Saglio Script Supervisor: Marie-Thérèse Cabon Makeup Artist: René Daudin Hairstylist: Denise Lemoigne Set Dresser: André Labussière Costume Design: Mireille Leydet Special Effects: François Suné Production Manager: Giorgio Riganti Assistant Art Director: Jean Forestier Unit Manager: Paule Pastier Sound Assistant: Jean Jak Script Supervisor: Charlotte Lefèvre Location Manager: Gille Schneider Production Manager: Luciano Pesciaroli Movie Reviews:
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